Episode Transcript
[00:00:04] Speaker A: Oh.
[00:00:17] Speaker B: Ça m'avait manqué ! Oh j'ai la tête qui tombe !
[00:00:22] Speaker C: Le ténor ! Ouh là, Tino Rossi !
Tino Rousti ! Tino Rousti !
[00:00:33] Speaker B: Si t'es une petite galette avec des patates, c'est Tino Rousti !
[00:00:35] Speaker C: C'est un peu moi, c'est tout ce qu'il me représente. Bienvenue à vous toutes et à vous tous, c'est Bang Bang Comme Tout, les dimanche soir à partir de 19h. On se rejoint pour passer un bon moment déjà.
[00:00:43] Speaker B: En espérant en tout cas !
[00:00:44] Speaker C: Je le souhaite, oui ! Autour du métal, cette musique qui nous anime, cette musique qui nous a aidé, cette musique qui nous fait du bien. Et comme vous pouvez le constater, ce dimanche, c'est le grand retour de Ben !
[00:00:56] Speaker B: Désolé, les émissions ne dureront plus cinq heures. Je suis vraiment désolé pour vous.
[00:01:02] Speaker C: Il y a quelqu'un qui pourra au moins faire en sorte que ça se passe plus correctement.
[00:01:06] Speaker B: Oui, on verra.
[00:01:07] Speaker C: Et voilà, comment vas-tu Ben ?
[00:01:10] Speaker B: Ça va.
[00:01:11] Speaker C: Eh ben c'est un bon résumé.
[00:01:14] Speaker B: J'aimerais avoir plus à dire, mais non, j'ai parlé anglais pendant trop longtemps. Je suis très content de revenir en France.
[00:01:24] Speaker C: Ah oui ?
[00:01:24] Speaker B: Parler français.
[00:01:25] Speaker C: Ah ouais, parlez français !
[00:01:27] Speaker B: Oui, non, je suis content d'être obligé !
[00:01:28] Speaker C: Voulez-vous parler français ?
[00:01:30] Speaker B: Hier, les gens ont fait une sacrée fête pour mon retour, vraiment, et les gens étaient dans la rue, criaient...
[00:01:35] Speaker C: C'est vrai, se sont manifestés pour toi. J'ai vu des portraits de toi absolument partout.
[00:01:40] Speaker B: Des feux d'artifice, tout ça... Qui dessinaient.
[00:01:42] Speaker C: Ton visage dans le ciel.
[00:01:43] Speaker B: Exactement.
[00:01:44] Speaker C: C'est incroyable. Ça, c'est le succès.
[00:01:46] Speaker B: Quand je ressemble plus à une étoile.
[00:01:47] Speaker C: Mais...
Ah bah c'était un autre dessin.
[00:01:52] Speaker B: Je peux pas leur en vouloir de ne pas savoir bien dessiner, tout le monde n'a pas de talent.
[00:01:56] Speaker C: C'est vrai, totalement. J'espère que de votre côté le week-end s'est bien déroulé, que vous avez passé un bon samedi.
[00:02:01] Speaker B: Et toi Pierre, comment tu vas ?
[00:02:02] Speaker C: Moi ça va très très bien. Moi ça va très très bien pour plein de raisons. Parce que tu sais, comme d'habitude, je raconte ma life. C'est très important dans ce moment parce que je suis égocentré et donc je veux que les gens sachent tout. Il s'est passé plein de choses cette semaine, figurez-vous. Je suis allé à l'hôpital psychiatrique mercredi.
[00:02:18] Speaker B: Bon déjà ils t'ont pas gardé, c'est plutôt bon signe. Finalement c'est moins grave que ce qu'on pensait.
[00:02:26] Speaker C: J'ai été voir un ami à nous qui est déjà venu dans cette émission, Laurent Carilla, pour essayer d'aller un peu mieux dans la tête. Et du coup, c'était plutôt sympa. L'hôpital, c'est pas sympa, par contre. Je me suis dit, mais pourquoi les hôpitaux, c'est tout le temps moche ? Il y a une tapisserie qui est horrible, t'es mal à l'aise. Bon, puis quand tu viens de dire des trucs sur ta propre santé mentale, forcément, tu dis toujours « Ouh là là, je sais pas trop ce qui va se passer ». Ils m'ont demandé, je suis désolé, je dis des choses qu'il ne faut pas dire, désolé, loin. Ils m'ont dit, il faudrait que tu fasses une description psychologique de tes parents. Je vous aime, mon papa, t'es un peu con, mais je t'aime quand même. Mais maman, je t'adore, évidemment, puisque je suis un garçon malgré tout.
Mais c'est très difficile. C'est très très difficile. Bon bref, ça s'est très bien passé. Sinon, il y a eu plein de choses que j'ai notées. Mardi, les toilettes ont explosé. Mardi, les toilettes ont explosé. C'est-à-dire que mardi, je suis arrivé...
[00:03:24] Speaker B: Dans la suite des fuites chez nous.
[00:03:26] Speaker C: Une régularité. C'est-à-dire que je suis arrivé, je me suis dit avant je voulais aller au boulot, je suis arrivé au bureau et quand je suis allé aux toilettes, il n'y avait plus de plafond.
Le plafond était tombé sur les toilettes. Mais c'était pas les chiottes des voisins, donc c'est déjà plutôt pas mal.
[00:03:40] Speaker B: C'est mieux que la fois d'avant.
[00:03:42] Speaker C: C'est mieux. Mais ça, bon, quand y'a pas le plafond, on voit ce qui se passe au-dessus. Et bon, l'immeuble, globalement, est en train de s'effondrer.
[00:03:48] Speaker B: Oui, ça, moi je le savais déjà, donc je suis pas... Plusieurs fois, j'ai trifouillé les trucs là-haut, je me suis.
[00:03:54] Speaker C: Dit, oh... Non, mais tant qu'il y.
[00:03:55] Speaker B: A un cache, on voit pas.
[00:03:56] Speaker C: C'est ça. Le mec fait, ah non, ça va, ça... Bah, le tuyau, il est rouillé, c'est-à-dire que le truc va exploser dans 10 minutes. C'est souvent comme ça, quoi. Voilà, sinon, qu'est-ce qui s'est passé d'autre ? Il y a eu le match. Bah oui, je sais, tout le monde s'en fout, mais moi, j'aime le foot. Et on a quand même fait un sacré score avec le PSG.
[00:04:12] Speaker B: Mais pas que le foot, d'ailleurs.
[00:04:13] Speaker C: Non, non, j'aime les footballeurs aussi, mais ça c'est un autre sujet.
[00:04:16] Speaker B: Non, je pensais pas à ça.
[00:04:17] Speaker C: Ah pardon, tu penses à quoi ?
[00:04:18] Speaker B: Non, je vais pas le dire. Il y a un jeu de mots qui a un rapport avec...
[00:04:24] Speaker C: Il faudrait rajouter une lettre avec un.
[00:04:25] Speaker B: R. Il y a un rapport avec une invitée de ce soir.
[00:04:28] Speaker C: Ah !
[00:04:29] Speaker B: On en parlera !
[00:04:30] Speaker C: Pardon ? What ?
[00:04:31] Speaker B: On en parlera après ! C'est vrai que tu transpires !
[00:04:36] Speaker C: Ah ouais, j'ai chaud ! Non mais c'est l'endropo ça, les années passent. Et Dis-moi !
Et donc je suis allé aussi voir un concert, et ça c'est quand même le principal, parce que c'est ça l'information très intéressante. Je suis allé voir A Day To Remember.
[00:04:51] Speaker B: Et tu t'en es souvenu ou pas ?
[00:04:52] Speaker C: Bah oui, parce que j'ai pas bu un seul millilitre d'alcool. En même temps ma carte bleue ne marche plus parce que j'ai découvert. Donc j'ai essayé d'éviter les auditeurs à qui j'avais promis d'acheter des bières. Et c'est bien, ils m'ont pas demandé. Merci, merci auditeur. Merci. Et du coup c'était très très bien. En fait j'avais jamais vu en live je crois. En tout cas je m'en souviens pas.
[00:05:12] Speaker B: Ouais, je pense que... Si tu avais dû les voir mais en 2010 ou un truc comme ça.
[00:05:16] Speaker C: Bah ouais, autant te dire...
[00:05:18] Speaker B: Déjà tu te souviens pas ce que t'as mangé hier.
[00:05:24] Speaker C: Bref, c'est très très bien, hyper festif, très bon son, ça explose tout le temps. C'est-à-dire qu'il y a une chanson où il y a les fumigènes, il y a une chanson où il y a les confettis, il y a une chanson où il y a le pistolet à t-shirt. La kermesse, j'adore. C'est très très bien, très cool, hyper gentil, pas trop trop de communication mais quand même un bon moment. Moi j'ai trouvé ça très très bien.
[00:05:44] Speaker B: Peut-être qu'ils se sont fait une raison, ils se sont dit « de toute façon ils ne comprennent jamais quand on parle anglais ».
[00:05:48] Speaker C: Oh bah il a fait une tirade avant quand même, j'ai déjà rien compris.
[00:05:51] Speaker B: J'Ai fait OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII.
[00:06:08] Speaker C: Sûrement, sûrement. Dites-nous ce que vous en pensez en commentaire ou là en direct dans le ch'meule puisque nous sommes en direct tous les dimanches et comme ça, n'hésitez pas à nous rejoindre, plus on est plus on rit et surtout plus on peut prouver qu'on aime le métal en France et ça c'est que vous qui pouvez faire changer les choses. Ce soir nous avons des invités, enfin une invitée principalement, c'est la dame métal, enfin, elle va s'asseoir ici et elle va nous raconter sa belle aventure avec le métal, l'alternative rock, elle nous dira pourquoi elle écoute cette musique, si ça lui fait du bien ou pas. J'espère que ça lui fait du bien parce que sinon on sait qu'elle est maso.
[00:06:40] Speaker B: Après, ça arrive à certaines personnes. Et on ne juge pas.
[00:06:43] Speaker C: Non, c'est vrai, moi je ne juge pas du tout.
[00:06:45] Speaker B: Je crois qu'elle aime bien.
[00:06:47] Speaker C: Mais du coup, elle va tout nous raconter et puis on va bien rigoler. Les choix musicaux sont délicieux. Il y en a un que je n'ai pas pu mettre parce que malheureusement, je n'ai pas trouvé le clip. Mais je vais bien en parler parce que j'ai bien noté le nom et ça m'a intrigué.
[00:07:02] Speaker B: Là, tu m'as hooké !
[00:07:05] Speaker C: Il va falloir rester bien sûr avec nous pour pouvoir savoir tout, tout autour de la dame métal. Elle m'a dit que je viens avec une copine, donc je ne sais pas trop qui c'est, on verra bien. Et puis, bien sûr, nous aurons Gladice qui sera là pour nous foutre des tardes dans la gueule.
[00:07:17] Speaker B: La Gladice.
[00:07:18] Speaker C: Et elle est arrivée, attention, parce qu'elle ressemble à un personnage assez connu de la Rome Antique.
Et pas des nouveaux romantiques. J'ai déjà fait la blague dans l'après-midi donc je la recycle ici.
[00:07:31] Speaker B: Très bien.
[00:07:31] Speaker C: Ah mais si, on a oublié de dire un truc.
[00:07:33] Speaker B: Quoi ?
[00:07:33] Speaker C: On a vu un ami à nous, un ami belge.
[00:07:35] Speaker B: Un ami, c'est un ami à grands mots.
[00:07:37] Speaker C: Non mais il est encore là.
[00:07:38] Speaker B: Ah oui, il me fait des doigts.
[00:07:41] Speaker C: Je t'avais dit, il est encore ici. Et merde !
[00:07:46] Speaker B: Je l'avais pas vu, ils sont si discrets.
[00:07:49] Speaker C: Non mais voilà, il est venu nous faire un petit coucou parce qu'il a une belle surprise à offrir à toutes les personnes qui le suivent.
[00:07:54] Speaker B: On peut dire qui c'est ?
[00:07:55] Speaker C: Bah oui, on peut dire qui c'est évidemment.
[00:07:56] Speaker B: C'est Lama Lavalamp.
[00:07:57] Speaker C: Lama Lavalamp.
[00:07:59] Speaker B: On a déjà reçu, d'ailleurs vous pouvez retrouver l'émission avec lui sur notre chaîne YouTube. Et il est venu enregistrer un petit jeu, on peut dire que c'est ça. Un petit jeu, voilà, très très bien fait.
[00:08:12] Speaker C: Ah ouais, c'est ouf.
[00:08:12] Speaker B: Et je pense que vous allez vous régaler et ça sort dans quelques semaines.
[00:08:18] Speaker C: Voilà, plein de jours, mais pas trop longtemps.
[00:08:21] Speaker B: Possiblement dans le mois.
[00:08:24] Speaker C: Ah mais c'est vrai qu'on est le 1er juin ?
[00:08:26] Speaker B: Bah oui, on est le 1er juin.
[00:08:27] Speaker C: Ça veut dire que c'est bientôt les vacances ?
[00:08:28] Speaker B: C'est le jour 1 du mois de juin. J'ai pas la suite. Ce mouvement ?
[00:08:37] Speaker C: J'ai envie de continuer mais j'ai envie de dégueuler. Bah oui, c'est ça.
[00:08:40] Speaker B: Bah moi, rien qu'en te regardant, j'ai envie de dégueuler.
[00:08:42] Speaker C: Il y a plein de raisons pour ça.
Non mais voilà, après, comme il était là, il y avait plein de gens qu'on connaît.
[00:08:50] Speaker B: On en parlera quand ce sera sorti, on vous donnera un petit peu des...
[00:08:53] Speaker C: On fera un petit clin d'œil à toutes les personnes qui ont participé.
[00:08:56] Speaker B: Un petit inside. On vous dira toute la vérité. Sur la tricherie et tout ça.
[00:09:02] Speaker C: C'est vrai qu'il privilégie certaines personnes.
[00:09:05] Speaker B: Bien sûr. On ne dira pas que Jimmy Ryan a été très aidé.
[00:09:12] Speaker C: Il y a quelque chose... Non, je.
[00:09:13] Speaker B: Ne le dis pas.
[00:09:14] Speaker C: C'est un complot.
[00:09:14] Speaker B: J'ai dit que je ne le dirais pas, je ne l'ai pas dit.
[00:09:18] Speaker C: Bon, si on mettait de la musique. On va balancer un clip bien évidemment et comme j'ai été voir A Day to Remember et que tout le monde a apprécié et que c'est un merveilleux concert, je vous conseille vraiment d'aller les voir en concert un jour dans votre vie, s'il vous plaît.
[00:09:31] Speaker B: Non, ils sont au Hellfest.
[00:09:32] Speaker C: C'est vrai qu'ils sont au Hellfest et ils étaient aussi du côté de Lyon ce week-end.
[00:09:36] Speaker B: Ah voilà, mais nous on n'y était pas.
[00:09:38] Speaker C: Non, pourtant on mange bien là-bas.
[00:09:40] Speaker B: Knell, pâtes et croûtes, serval de canut, tablier de sapeur.
[00:09:46] Speaker C: C'est pas trop quoi pour ça en fait. C'est sûrement bon.
Il en faut pour tous les goûts. Bon, on balance la musique. C'est très long. A Day to Remember, c'est la chanson d'ouverture. The Downfall of Us All.
[00:09:58] Speaker B: C'est le plus gros tube.
[00:10:00] Speaker C: Je croyais que ça allait être le dernier morceau. Ah ouais, ils vont jouer ça à la fin. C'était très football aussi, comme intro. Et puis non, ils l'ont fait en tout premier. Là, je me suis dit. Régalé.
[00:10:12] Speaker B: Dès le début, ils jouent pas les rhalas.
[00:10:15] Speaker C: Ils envoient direct le gros tube.
C'est très désagréable cette intro. Bon allez on y va parce que je sens que sinon vous allez zapper. A Day To Remember, bienvenue !
[00:11:03] Speaker A: Try not to miss me when I'm gone I sold my soul to the open road Oh follow me in the same spot Believe me I can never stop My life's turned upside down Lead me up past the straight tracks I'm leaving and I'm coming back C'est la fin de l'année !
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres.
[00:13:38] Speaker D: Réalisés para la communauté d'Amara.org.
[00:13:59] Speaker A: Sous-titres.
[00:14:28] Speaker D: C'est.
[00:14:29] Speaker A: Réalisés para la communauté d'Amara.org parti !
C'est parti !
C'est.
[00:16:05] Speaker D: Ça mon...
[00:16:13] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[00:16:57] Speaker B: Ils font pas qu'ils jouent si bien que ça. Je trouvais qu'ils manquaient un peu de groove.
[00:17:01] Speaker C: Je vous dérange pas ? Non parce qu'on est quand même dans une émission.
[00:17:03] Speaker B: Tu nous déranges toujours Pierre, sache-le.
[00:17:05] Speaker C: C'est ce qu'on me dit souvent.
J'ai besoin de revenir vite. Bien sûr, qu'est-ce qu'on vient de... Qu'est-ce qu'on s'est regardé ?
[00:17:15] Speaker B: D'accord, Straight From The Path.
[00:17:16] Speaker C: Eh oui, Straight From The Path avec ce morceau qui s'appelle A Shot Caller. Et je ne vais pas en dire plus, voilà, parce que j'ai pas du tout envie. Ça ne m'intéresse pas, la chanson m'intéressait, le clip merveilleux, tout tout tout, les rayons laser, tout ça, ça plaît à Marcel en plus, parce qu'il avait un peu de flou, il a l'impression d'être dans son univers. Et puis voilà.
[00:17:34] Speaker B: Un bon groupe PowerPoint. Voilà, c'est tout ce que j'ai à dire.
[00:17:40] Speaker C: T'imagines vraiment les réunions par contre avec de la musique comme ça, c'est pas mal. Alors je pense qu'au niveau des ventes...
[00:17:46] Speaker B: Ils sont obligés de crier à cause du bruit.
[00:17:48] Speaker C: Non mais on va arrêter parce que s'il faut crier, c'est parce que...
[00:17:51] Speaker A: C'EST L'HEURE DU FLASHBACK ! Yeah ! Yeah !
[00:17:59] Speaker C: Yeah ! Yeah !
[00:18:01] Speaker D: Yeah !
[00:18:01] Speaker C: Yeah ! Yeah ! Yeah !
[00:18:03] Speaker B: Yeah !
[00:18:03] Speaker A: !
[00:18:04] Speaker C: Yeah ! Yeah Yeah ! Yeah Yeah !
[00:18:08] Speaker D: Yeah !
[00:18:08] Speaker A: !
[00:18:08] Speaker C: Yeah !
[00:18:08] Speaker A: !
[00:18:08] Speaker D: Yeah ! ! Yeah ! ! Yeah !
[00:18:09] Speaker C: Yeah !
[00:18:09] Speaker D: Yeah !
[00:18:09] Speaker C: !
[00:18:09] Speaker D: Yeah !
[00:18:09] Speaker C: ! Yeah ! Yeah ! !
[00:18:10] Speaker B: Excuse-moi, je suis revenu des Etats-Unis avec des vibes. Le P du R&B.
[00:18:19] Speaker C: J'avais l'impression d'être avec TLC.
[00:18:22] Speaker B: Ah bah c'est ça.
[00:18:22] Speaker C: Oui parce que je suis vieux donc j'ai des super références récentes.
[00:18:25] Speaker B: Moi je savais que je suis à côté de toi, j'ai l'impression d'être à côté de Rihanna.
[00:18:27] Speaker C: C'est trop mignon. Tu sais pourquoi ?
[00:18:29] Speaker B: Parce que tu shines bright like a diamond, Pierre.
[00:18:31] Speaker C: C'est vrai.
[00:18:32] Speaker B: Mais c'est à cause du sébum. C'est toujours mi-compliment, mi-insulte, on ne sait jamais.
[00:18:40] Speaker C: C'est pas totalement faux non plus mais bon voilà.
[00:18:42] Speaker B: C'est toujours un fond de vérité.
[00:18:44] Speaker C: Bon c'est les news, c'est les news et aujourd'hui les news ne sont pas présentées par Didier, les news sont présentées par Gladys ! Evidemment nous faisons un gros gros gros gros bisous à Didier.
[00:18:59] Speaker B: Oui tu nous manques !
[00:19:03] Speaker C: Ça c'est mieux pour le podcast quand on fait un silence.
[00:19:06] Speaker B: J'espère le voir, il est même pas là pour me serrer dans ses grands bras.
[00:19:12] Speaker C: En plus il y a Gladys qui veut me foutre des patates. C'est sa façon de dire qu'elle t'aime.
[00:19:17] Speaker B: Oui mais j'aime moins.
[00:19:23] Speaker E: C'est comme ça que j'ai été élevée, moi.
[00:19:25] Speaker C: Mon père aussi disait souvent ça.
[00:19:29] Speaker B: On peut passer aux news ?
[00:19:32] Speaker C: Je sais pas, moi. D'accord. On n'est pas toutes seules joueurs.
[00:19:36] Speaker B: D'abord, il faut dire Gilles Debray.
[00:19:39] Speaker D: Je fais plante verte pour ce soir.
[00:19:42] Speaker E: Je vais faire le roseau.
[00:19:44] Speaker C: Pourquoi ?
Non, parce que les roseaux, alors je vais te dire un truc, non parce qu'il faut que les gens soient informés. Ils plient, mais ne rompent pas. Exactement, mais en plus ça fait des racines, c'est chiant à enlever. Donc ça veut dire que tu bougeras pas de ce siège.
[00:20:00] Speaker B: Elle est là pour rester.
[00:20:01] Speaker C: Here to stay, yeah. Bon, Gladys, que s'est-il passé cette semaine ? Gilles Debré ? Oui, Gilles Debré.
[00:20:09] Speaker B: Hello, salut, bonjour.
[00:20:13] Speaker C: Alors.
[00:20:18] Speaker E: Dans les petites news de la semaine, le groupe punk australien Private Function a sorti un album intitulé...
[00:20:31] Speaker C: Quoi ?
[00:20:32] Speaker E: Bah c'est ça le nom de la vidéo.
[00:20:33] Speaker B: Ah c'est le smiley comme ça là ?
[00:20:35] Speaker E: Donc l'édition Collector est un vinyle parfumé recréant l'odeur de la bougie « This smells like my vagina » de Gwyneth Paltrow. Un mélange de géranium, bergamot, cèdre, rose de Damas et graines d'ambrette. Rock'n roll ou marketing de génie, je vous laisse juger.
[00:20:52] Speaker C: C'est à quel moment de la journée ? Après ou avant les toilettes ?
[00:20:58] Speaker B: Je vois pas trop...
Je suis pas sûr de cette combinaison pour Daphine Arsatole.
[00:21:08] Speaker C: Bergamot, moi j'ai bien vu ce que ça voulait dire.
[00:21:09] Speaker B: Bergamot, normalement c'est un petit peu...
[00:21:12] Speaker C: Un petit peu cendré ?
[00:21:13] Speaker B: Non, justement, la bergamot c'est un agrume. C'est proche du yuzu, tout ça quoi. J'aime beaucoup la bergamot. C'est ce qu'il y a dans le Earl Grey.
[00:21:22] Speaker C: Ah, très bien. Bon, toujours est-il que... Moi j'ai trouvé le concept intéressant. Il y a un concept en tout cas, c'est sûr.
[00:21:31] Speaker E: Il y a un concept pour des punks.
[00:21:33] Speaker C: Non mais je ne connais pas le groupe.
[00:21:38] Speaker E: Moi non plus mais du coup je vais acheter le vinyle je pense. Juste par curiosité.
[00:21:41] Speaker C: Pour sentir.
[00:21:42] Speaker E: J'ai envie de savoir maintenant en fait.
[00:21:44] Speaker C: Ah bah ça nous a tous rendu curieux.
[00:21:46] Speaker E: Tu peux comparer.
[00:21:47] Speaker C: Mais du coup on peut sentir.
[00:21:51] Speaker B: Ça me rappelle...
[00:21:52] Speaker C: C'est comme le cinéma où on peut annoncer qu'il se peut plus.
[00:21:53] Speaker B: Est-ce que tu te souviens de quand on était petit, il y avait des trucs, c'était des cartes, t'achetais, il y avait un chewing-gum et un truc qui grattait avec une odeur dedans, tu te souviens de ça ?
[00:22:02] Speaker C: Non mais c'était un cinéma.
[00:22:04] Speaker B: Et en fait, soit ça pouvait sentir bon, soit ça pouvait sentir l'ail. Et en fait, c'était horrible quand t'avais celui qui sentait l'ail parce que le chewing-gum, il avait le goût d'ail dégueulasse.
[00:22:12] Speaker C: Alors figure-toi que... Et je me dis.
[00:22:14] Speaker B: Que là, ça va être un peu pareil. Je pense qu'en vieillissant, ça va pas être génial, quoi.
Ça ressemble bien à l'ail. Mais non, pas l'ail, mais un peu le vieux...
[00:22:23] Speaker E: Le renfermé, quoi.
[00:22:24] Speaker B: Ouais.
[00:22:26] Speaker C: Ça va ch'mouter, quoi. La cave, quoi. Non, mais figure-toi que tes chewing-gums, ils existent toujours, mais t'as plus à les gratter. C'est des chewing-gums où les enfants tombent sur ceux qui ont vraiment le goût d'ail.
[00:22:35] Speaker B: Ah oui, non, mais ça, c'est le truc d'Harry Potter. Ouais, c'est le truc d'Harry Potter.
[00:22:38] Speaker E: C'est ça, c'est les bonbons Harry Potter, ça.
[00:22:39] Speaker C: Oui, mais excusez-moi. J'ai l'air d'Harry Potter, ça me fait peur.
[00:22:42] Speaker D: J'parle de vous, crotte de nez.
[00:22:43] Speaker C: Il y a un mec qui a des chaussées d'escalier. Bon, excusez-moi.
[00:22:45] Speaker B: Avec des lunettes.
[00:22:49] Speaker C: Qu'est-ce qu'il se passe ? T'aimes bien Harry Potter ?
[00:22:51] Speaker B: Moi j'arrive pas à croire qu'ils ont pas envie de lui payer une chambre mais ils lui payent une paire de lunettes.
[00:22:56] Speaker E: Il faudra m'expliquer.
[00:22:59] Speaker D: Elle est quand même scotchée et tout.
[00:22:59] Speaker E: Elle est scotchée et tout ça parle pas.
[00:23:00] Speaker C: Il n'y a plus que ça.
[00:23:01] Speaker E: Ils l'ont peut-être trouvée, ils lui ont donné.
[00:23:03] Speaker B: Il y a peut-être une autre news aussi ?
[00:23:04] Speaker C: Du coup il a été traité par sa mère. Allons passer à la suite.
[00:23:07] Speaker E: Du coup on vient de voir le clip de Stray form the past. Qui a du coup sorti un album surprise parce qu'on le savait pas.
[00:23:14] Speaker B: Ils vont se mettre à l'écart du chemin ?
[00:23:16] Speaker E: Oui, en fait, parce qu'ils ont annoncé leur séparation en même temps. L'album est quand même produit par Will Putney. Ça comprend des collaborations sympas avec notamment Florence Alfatti de Landmarks et Jeff Morera de Pose on the Veil. Et c'est une sortie choc du coup pour un groupe emblématique de la Sonarcore.
[00:23:36] Speaker C: Donc c'est fini ?
[00:23:37] Speaker E: Bah c'est fini.
[00:23:38] Speaker C: Mais y'a une tournée ?
[00:23:39] Speaker E: Bah je suppose oui mais... Et du.
[00:23:41] Speaker C: Coup il fait quoi ?
[00:23:42] Speaker E: Je trouve le concept un peu chelou de... Je sors un album surprise en même temps je vous dis que je m'en vais.
[00:23:46] Speaker B: Je pense que l'album était prêt et que la décision... En fait je pense pas que... Enfin...
[00:23:53] Speaker C: Ils ont fait l'album dans le sens de la séparation.
[00:23:54] Speaker B: Ouais je pense qu'ils se sont dit en fait ça nous fait chier bon on va quand même le sortir maintenant qu'on l'a fait puis ça fera au revoir les gens.
[00:24:01] Speaker C: Et il n'y a pas eu de plus d'explications sur pourquoi ?
[00:24:04] Speaker E: Aucune, il n'y a eu aucun communiqué de pression.
[00:24:06] Speaker D: Mais du coup, est-ce qu'ils vont faire des dates pour ce tournage ?
[00:24:09] Speaker E: C'est prévu normalement.
[00:24:10] Speaker B: Je pense qu'ils vont faire comme une petite tournée d'adieu parce qu'ils aiment quand même la scène. Après, moi je trouve que ça fait un moment qu'ils n'étaient plus très inspirés quand même.
[00:24:18] Speaker E: Mais justement, le dernier album est cool donc c'est dommage quoi.
[00:24:20] Speaker B: Ouais, je ne sais pas. Enfin, je n'ai pas écouté le last fixe qui est sorti.
[00:24:23] Speaker C: Ils se lassent ? du son qu'ils ont peut-être. Ou alors ils ont fait cette annonce pour voir si ça marchait comme pour Scorpion qui le fait depuis 87 ans et du coup ils ont dit bah voilà.
[00:24:33] Speaker E: Impossible.
[00:24:34] Speaker D: En tout cas fini les réunions PowerPoint. Dommage.
[00:24:38] Speaker B: C'est ce qu'a mis la fin à tout. Ils avaient pas mis GIF animé sur la slide 33. Le mec a dit je me casse.
[00:24:48] Speaker C: Très bien. Bon ben c'est dommage, c'est dommage.
[00:24:50] Speaker B: Comment il s'appelle Clippy ? Le petit trombone qui vient t'aider là ?
[00:24:53] Speaker C: Oh putain ! Mais t'es con ça !
[00:24:59] Speaker E: Tout le monde va savoir qu'on est vieux là maintenant.
[00:25:01] Speaker B: Je sais pas, t'es dans le graphisme et tout ça.
[00:25:08] Speaker C: C'est toi qui l'avais dessiné ? On parle dans le vide, les gens ne savent pas à qui on parle. C'est notre ami imaginaire. Un lama magique. Ouais non.
C'est le... Oula ! Ah ! Regardez, il est arrivé jusqu'à nous !
[00:25:23] Speaker B: Ah, il vole !
[00:25:25] Speaker C: Alors ouais, pour le voir... Qu'est-ce que tu me dis ?
[00:25:28] Speaker B: La news suivante ? D'accord.
[00:25:29] Speaker C: J'ai le fion ouvert ! Ah pardon, pardon, excusez-moi.
[00:25:31] Speaker B: J'ai essayé de faire un truc élégant...
[00:25:32] Speaker C: Bah c'est élégant ?
[00:25:33] Speaker B: Non.
[00:25:34] Speaker C: Il faut mettre des gants en tout cas. Non mais c'est sûr. Bon... News suivante.
[00:25:38] Speaker E: Donc la chanteuse norvégienne Aurora, connue pour son univers féerique et électropop, a exprimé son désir de collaborer avec les titans français du métal Gojira.
qui je pense qui est improbable mais qui pourrait donner naissance à une oeuvre unique mêlant puissance tellurique et voix céleste. Si c'est tant dit, je crois pas que Gojira ait déjà fait... Ben c'est.
[00:26:00] Speaker C: Ce que je suis en train de me dire.
[00:26:01] Speaker B: Un feat ? A part pour les JO quoi. Je crois pas qu'il y ait des artistes qui soient venus faire un feat sur leur album mais ils ont déjà fait des feats avec des artistes.
[00:26:12] Speaker C: Ah ouais ? Ok.
[00:26:13] Speaker E: Bon voilà, Aurora veut faire un feat.
[00:26:15] Speaker C: Après là c'est une collaboration totale ou c'est pour un morceau ?
[00:26:18] Speaker E: En gros elle a juste dit qu'elle rêvait de faire un feat avec.
[00:26:23] Speaker B: Moi je pense que ce serait intéressant. En plus ils ont tout ce truc, toute cette approche un peu sur l'environnement et tout ça qui est assez commune aux deux personnes.
[00:26:32] Speaker E: Comme elle est perché parce qu'elle fume beaucoup d'herbe.
[00:26:34] Speaker B: Je sais pas si elle prend des trucs mais par contre elle est spé ouais. Mais moi j'aime bien, je trouve elle.
[00:26:39] Speaker C: Est hyper... Ah c'est son univers en même temps.
[00:26:41] Speaker B: C'est un peu une elfe quand même.
Une elfe dans les aurores boréales quoi.
[00:26:48] Speaker C: Pardon, c'était peut-être un message amical. La suite s'il te plaît.
[00:26:55] Speaker E: Alors, Dave Mustaine.
[00:26:56] Speaker C: David Moutarde, on t'a déjà dit !
[00:26:59] Speaker B: Régalez-nous !
[00:27:00] Speaker E: A relancé la vieille rivalité avec Metallica en déclarant que le groupe aurait volé un riff qu'il avait écrit, qu'on retrouverait dans le célèbre « Hunters and Men ». Dans une interview, il affirme qu'on peut comparer ces démos de l'époque et ce riff légendaire et que c'est difficile de ne pas faire le lien. Mustaine ajoute que Metallica me doit beaucoup de choses en termes de riff, de quoi rallumer les flammes entre les fans des deux groupes.
[00:27:26] Speaker B: Le mec, il s'en remettra jamais.
[00:27:28] Speaker C: Alors qu'il peut dire ce qu'il veut.
[00:27:31] Speaker B: Quand on voit que Ghost arrive à faire toute sa carrière. Ah non, on n'a plus le droit.
[00:27:35] Speaker C: De parler de Ghost.
[00:27:36] Speaker B: Non mais parce que normalement dans les news, ça parle tout le temps de Ghost et du plagiat.
[00:27:40] Speaker C: On en a suffisamment parlé, mais c'est juste que Dave Mustaine, on en a beaucoup parlé aussi de Dave Mustaine, mais c'est juste qu'il est un râleur, il est frustré. Il est aigri, il a tout ce qu'il faut.
[00:27:52] Speaker B: Mais il est frustré.
[00:27:52] Speaker C: Faut pas hésiter à nous dire ce que vous en pensez parce qu'il y a des fans, mais il y a bien des fans qui comprennent qu'il est quand même frustré, j'imagine.
[00:28:00] Speaker B: Il aurait aimé pouvoir avoir...
[00:28:01] Speaker C: Il emmène les gens en vacances avec lui pour gagner 4 deniers.
[00:28:06] Speaker B: Je pense que le vrai truc c'est surtout qu'il est triste de plus jouer avec l'insulrique. Moi je pense que c'est ça le vrai fond de l'histoire.
[00:28:15] Speaker C: Parce que c'est le seul qui arrive à avoir le même rythme que lui.
[00:28:18] Speaker B: Non et puis c'est surtout les deux mecs qui ont le meilleur look avec des bandeaux de tennis. Je pense que c'est ça le vrai truc.
[00:28:25] Speaker C: Ton histoire est piquante, David Moutarde.
[00:28:27] Speaker B: Ah oui j'ai compris ! En tout cas ça lui montonnait.
[00:28:31] Speaker D: On peut plus.
[00:28:31] Speaker C: Bon bah ouais, ils nous énervent comme d'habitude.
[00:28:34] Speaker B: Il y a quelqu'un qui demande c'est qui Dave Mustaine. C'est le guitariste qui s'est fait virer de Metallica avant que Metallica devienne énorme.
[00:28:41] Speaker C: Et qui... Et qui a fait un groupe qui s'appelle Megadeth.
[00:28:44] Speaker B: Voilà.
Il a fait de bonnes chansons Megadeth.
[00:28:47] Speaker C: Il doit bien en avoir moins 3. 4 sur une carrière de 485 ans. Non mais c'est très bien Megadeth bien sûr.
[00:28:57] Speaker E: Et du coup comme il était très en colère et que moi aussi je me suis dit que j'allais mettre une chanson très contestataire mais pas dans le même délire et j'ai choisi Casualties, sortie 12.
[00:29:05] Speaker C: Alors, figure-toi que j'ai lu ça et je me suis dit, mais c'est un vieux morceau ? Mais c'est pas un vieux morceau. C'est un vieux morceau ça ?
[00:29:14] Speaker E: Bah il est pas si jeune non plus.
[00:29:16] Speaker C: Je sais pas, parce que ça fait tellement longtemps que j'ai pas écouté les Casualties. Je me suis dit, ça c'est la petite punk qui vient nous...
[00:29:23] Speaker E: En chanson naturelle, il revient en galop comme on dit.
[00:29:26] Speaker B: C'est début 2000 ça, non ?
C'est si vieux que ça ? Je crois.
[00:29:31] Speaker C: Mais ils existent encore ?
[00:29:32] Speaker E: Ah bah oui ! Ils sont passés à Paris l'année dernière.
[00:29:36] Speaker C: Ok, donc il y a encore une nouveauté.
[00:29:37] Speaker E: C'est un nouveau chanteur par contre.
[00:29:38] Speaker B: Avec des dents.
[00:29:41] Speaker E: J'avoue qu'elle est sale mais elle est drôle.
[00:29:47] Speaker C: Merci Marcel nous dit 2018.
[00:29:50] Speaker E: C'est plus récent que ce que je pensais.
[00:29:51] Speaker C: Bon ça reste quand même vieux donc... 2018 c'était déjà longtemps. J'avais toutes mes dents aussi.
[00:29:58] Speaker B: C'était avant le Covid.
[00:30:00] Speaker C: Bon en tout cas voilà t'avais juste envie de punk.
[00:30:04] Speaker E: Ouais j'avais envie moi aussi de montrer que j'étais en colère.
[00:30:06] Speaker C: T'étais en colère pourquoi ?
[00:30:08] Speaker B: Alors lui demande pas tu vas te faire péter la gueule.
[00:30:10] Speaker E: Il n'y a pas besoin d'avoir de raison pour être en colère je me lève le matin je suis en colère.
[00:30:14] Speaker C: On va écouter ça, peut-être juste après on sera encore vivant.
[00:30:31] Speaker A: Ça qui doit !
ACAB !
13 12 !
[00:32:46] Speaker C: Ah pardon, excusez-moi. Elle était dans l'ambiance.
[00:32:50] Speaker B: Elle t'avait prévenue qu'elle était pas contente.
[00:32:53] Speaker C: Elle aime bien les patates chaudes mais les patates froides comme ça, ça surprend.
[00:32:56] Speaker E: C'est parce que je suis une meuf de l'Est qu'elles sont froides.
[00:32:58] Speaker C: Ça c'est une bonne vanne, c'est une bonne vanne. J'aime bien.
En tout cas voilà, The CaloGeralties, ça faisait bien longtemps que je n'avais pas écouté.
[00:33:07] Speaker B: Et non pas Le CaloGeralties. Aucun rapport avec le chanteur en apesanteur.
[00:33:13] Speaker C: Je suis content que tu sois revenu. Tant de vannes comme ça, j'avais perdu l'habitude si on est autant.
[00:33:18] Speaker B: Moi j'ai essayé de regarder un petit peu l'émission quand j'étais pas là. Et en fait, je...
[00:33:23] Speaker C: Tu faisais des vannes depuis derrière l'écran ?
[00:33:25] Speaker B: Exactement. Et en fait ça m'énervait que vous lisiez pas mes vannes et que ça m'a énervé, du coup j'ai arrêté de regarder.
[00:33:34] Speaker E: Le vieux rageux là. T'es comme Mustaine en fait.
[00:33:39] Speaker B: J'aurais pu faire une émission à succès et puis je me suis retrouvé dans une émission à la ramasse.
[00:33:48] Speaker C: Tu l'as demandé, tu l'as eu.
En tout cas, c'est très très bon sur scène et nous on les avait vus au Grosse Roque quand ça existait ce festival qui était très très bon. La Belgique.
[00:34:01] Speaker E: J'ai vu l'année dernière à Ptibans et l'année d'avant je crois que je les ai vus au Glazart.
[00:34:05] Speaker C: Ouais, tu disais en Antenne qu'ils y passaient quasiment tous les ans. Très bien. Vive le punk, tout simplement. D'autres news pour cette semaine ?
[00:34:13] Speaker E: Tout à fait. Après le départ soudain de Tanner Wayne, In Flames a confirmé que John Rice Job for a Cowboy et Behemoth en live. Prendra la relève temporairement pour les concerts à venir, dont le Summer Breeze Open Air. Aucune info sur un remplaçant officiel, mais John est déjà considéré comme l'un des batteurs les plus fiables de la scène extrême moderne.
[00:34:31] Speaker C: Je crois qu'il va rester. Il y a déjà deux groupes, donc pourquoi pas un troisième ?
[00:34:37] Speaker E: Bah voilà, le mec il est multitâche de toute façon.
[00:34:40] Speaker B: Comme Pierre.
[00:34:42] Speaker C: Moi c'est parce que j'ai plein de tâches sur mes vêtements.
[00:34:45] Speaker E: Il est bon en plus, il est fiable, il est bon.
[00:34:48] Speaker C: J'ai cru que t'avais dit il est beau, j'étais là ah bon ?
[00:34:51] Speaker E: Non j'ai pas dit ça, non.
[00:34:51] Speaker C: Il est bon ? On peut discuter mais je... Non mais.
[00:34:57] Speaker B: Attention c'est la musique, c'est ça qui compte.
[00:35:00] Speaker E: Ouais on va dire ça. De toute façon il est derrière la batterie, on le voit pas donc on s'en fout.
[00:35:03] Speaker B: Comme tous les batteurs.
[00:35:05] Speaker C: C'est vrai que les batteurs sont toujours mis loin derrière, à part quand ils saignent et qu'ils font comme ça.
[00:35:09] Speaker B: Ou qu'ils passent la vitesse supersonique.
[00:35:11] Speaker C: Ah bah oui, alors là par contre on les voit parce qu'ils brillent. Ça me fait penser, tout à l'heure.
[00:35:15] Speaker B: Je parlais du concert de Spiritbox où le batteur, en fait tout le monde sortait de scène et le batteur était coincé derrière sa batterie pendant que tous les titres étaient là. Bon bah moi je reste là.
[00:35:25] Speaker C: Bah je suis puni voilà.
[00:35:26] Speaker B: Vous voulez pas renir quand on fait les concerts ?
[00:35:30] Speaker C: Bon In Flames ouais, bon écoute je sais pas.
[00:35:34] Speaker E: C'est un faux communauté.
[00:35:35] Speaker C: Après il faut être fan pour s'y intéresser quoi.
[00:35:36] Speaker B: Voilà.
[00:35:38] Speaker E: C'est pas mon cas non plus.
[00:35:39] Speaker B: Non bah non.
[00:35:40] Speaker C: Bah là-bas derrière oui.
[00:35:42] Speaker E: Ah ouais ?
[00:35:43] Speaker C: Il est hyper fan des Flames.
[00:35:44] Speaker B: Tous les t-shirts moches il les a.
[00:35:47] Speaker C: Il a tatoué sur tout le buste des Flames.
[00:35:51] Speaker E: Il était déjà à zéro, maintenant il est en négatif en fait.
[00:35:53] Speaker C: Bon allez, une autre news.
[00:35:56] Speaker E: Le groupe metalcore A.S. Nine Kills a reçu une vague de critiques après avoir utilisé une image générée par l'intelligence artificielle pour faire la promo de leur merch spécial Memorial Day. Les fans n'ont pas apprécié l'esthétique cheap et l'utilisation d'IA dans une scène pourtant très attachée au travail d'artistes d'humains. Lui, moi, je montre des personnes typées tueurs de films en série en train de faire un barbecue.
C'est amusant mais bon, t'as tellement d'artistes qui sont si bons, pourquoi utiliser l'IA ?
[00:36:25] Speaker B: Bah parce que c'est gratuit.
[00:36:26] Speaker E: Ils vont nous faire croire qu'ils sont pas la moula pour payer un artiste. Et puis ça n'a pas d'âme ça.
[00:36:33] Speaker B: Peut-être qu'ils auraient pas fait ça s'ils avaient dû payer un artiste.
[00:36:41] Speaker E: Ils auraient peut-être dû mieux rien faire dans ce cas-là.
[00:36:43] Speaker B: Moi je dis pas, j'écoute pas.
[00:36:46] Speaker E: Ça faisait vrai que musicalement je suis pas fan non plus.
[00:36:49] Speaker B: Voilà, je me demande bien qui peut aimer.
[00:36:51] Speaker C: Oh ça va, ça va.
[00:36:54] Speaker B: Franchement ça aurait pu être pire.
[00:36:55] Speaker C: On nous montre l'image là, Marcel nous montre l'image. Franchement ça va, c'est pas... Ça me choque pas que ce soit moche, je vois même pas que c'est moche.
[00:37:04] Speaker B: C'est pas pire que le reste.
[00:37:07] Speaker C: Quand on voit le t-shirt qu'a Marsa là... Non mais oui c'est vrai que l'univers est toujours très très travaillé pour ce groupe là mais bon là ça va c'est mignon enfin c'est... Ouais mais.
[00:37:16] Speaker D: Ça reste l'IA quoi !
[00:37:18] Speaker B: Tout le monde sait pas dessiner !
[00:37:20] Speaker E: Ça remplace trop d'artistes, merde !
[00:37:22] Speaker C: Ils ont peut-être demandé aux artistes de faire deux mecs qui font un barbecue...
[00:37:27] Speaker B: Sur plein de trucs je suis assez... Enfin c'est très clivant l'IA. Mais après je sais pas si... En fait c'est soit ils font ça, soit ils le font pas.
Je pense pas que ça remplace forcément un artiste.
[00:37:39] Speaker D: Là c'est pour quand même vendre un produit en fait.
[00:37:42] Speaker B: Oui mais je pense qu'il l'aurait pas fait s'il savait écouter parce que c'est un truc un peu happening quoi. En plus ils vendent, c'est qu'ils faisaient une promo. En fait Memorial Day aux Etats-Unis c'est un jour férié et du coup il y a des soldes généralement ce jour-là. Mais je pense pas que ce soit le design d'un t-shirt. Je pense que c'est juste le visuel pour annoncer les promos du truc.
[00:38:03] Speaker C: Et du coup comme c'est cheap, ça montre que les t-shirts sont moins chers pendant ce jour-là. C'est de trouver des trucs.
[00:38:08] Speaker B: Après oui, embaucher des artistes, sauf quand je pense que ce qui s'est passé c'est qu'ils font « Attends, on va faire des promos pour le Memorial Day ». « Ouais, mais c'est demain ». « Ah, on n'a pas le temps de demander à un artiste ».
[00:38:19] Speaker C: Oui, c'est ce que j'ai dit.
Bon tant pis, mais c'est pas grave.
[00:38:27] Speaker E: En tant qu'ancienne tatoueuse... Et artiste, tu es artiste.
[00:38:30] Speaker B: Non mais je comprends, mais tu sais, dans la vidéo, tous les clips qui sont faits en images générées par IA, voilà. Mais je pense qu'il faut juste, c'est comme tout, il va falloir apprendre à s'en servir et trouver où ça peut te faire gagner du temps sans compromettre ta création.
[00:38:49] Speaker E: Maintenant on sera tous remplacés par des robots.
[00:38:52] Speaker B: Eh bien bien sûr, de toute façon.
[00:38:53] Speaker C: On finira tous dans un gangbang.
[00:38:55] Speaker B: T'as entendu ma rêve ?
[00:38:57] Speaker C: Bah si mais moi j'ai déjà fait des gangbangs.
[00:38:59] Speaker E: J'ai pas écouté, pardon.
[00:39:00] Speaker B: J'ai dit tout le monde finira dans un gangbang.
[00:39:02] Speaker C: Bon bref mais... C'est des paroles de prémons.
[00:39:05] Speaker E: Alors le chanteur de Refused, Dominique Lixenne.
[00:39:09] Speaker C: Il a des nouvelles bottines et des nouveaux cheveux.
[00:39:12] Speaker B: Il s'est fait greffer des cheveux, c'est pas de ma faute !
[00:39:14] Speaker C: Mais oui, je sais, je sais.
[00:39:15] Speaker B: Comme Laurent Bafi !
[00:39:16] Speaker E: Mais là, c'était un truc sérieux en plus.
[00:39:17] Speaker B: Ah, d'accord.
[00:39:18] Speaker C: Ah, merde.
[00:39:18] Speaker B: Refuse qu'il s'arrête.
[00:39:20] Speaker E: Ah, c'est ici ! C'est pas la news.
[00:39:24] Speaker B: Woah !
[00:39:26] Speaker C: Woah ! Calm the fuck down !
[00:39:30] Speaker E: Il a relancé le débat sur l'implication politique dans la musique en soutenant le boycott de festivals liés à Israël, en signe de solidarité avec la Palestine. La déclaration a déclenché des réactions polarisées dans la scène hardcore-punk. Certains fans soutiennent l'initiative, d'autres estiment que la musique doit rester un terrain neutre.
[00:39:56] Speaker C: Il n'y a pas de réponse, mais...
[00:39:57] Speaker B: Tu ne t'arrêteras pas puisque... De toute.
[00:39:58] Speaker E: Façon, les deux parties ne seront jamais d'accord.
[00:40:00] Speaker C: Non, c'est le principe. Non, mais c'est... Après, c'est son fond de commerce.
[00:40:05] Speaker B: Oui, il a toujours fait ça. Il y avait une chanson qui s'appelait France-Afrique pour critiquer la politique française. C'est facile quand on vient de Suède et qu'on n'a jamais été bien impliqué dans quoi que ce soit.
[00:40:19] Speaker C: Le nombre de sous, le nombre d'épaule du 200 !
[00:40:22] Speaker E: Ça l'empêche pas d'avoir une certaine conscience ?
[00:40:24] Speaker B: Non, non, mais bien sûr !
[00:40:26] Speaker C: Je fais des blagues !
[00:40:27] Speaker B: En tout cas, moi, je ne dis.
[00:40:29] Speaker E: Pas qu'il doit lancer le débat sur le sujet, mais si lui ne se sent pas de donner de la thune à Israël, parce que ses principes... Ah.
[00:40:35] Speaker B: Oui, c'est ça, oui.
[00:40:39] Speaker C: Ça c'est sûr. Mais est-ce qu'il lance ce débat parce qu'il a vraiment envie d'en parler ? Ou est-ce que la tournée d'adieu finalement ne marche pas et donc du coup il essaye de mettre un peu de piment là ? Non mais en fait il faut toujours réfléchir un peu à ces trucs-là parce que les gens ne voient pas le dessous du business mais malheureusement c'est des choses qui sont mises en place parfois pour faire rebouger un petit peu les ventes quoi. Après je dis pas que c'est le cas.
Je fais une supposition, j'en sais strictement rien. Puis je m'en fous, après il a toujours dit des trucs comme ça. Bon bref, passons à la suite.
[00:41:09] Speaker E: Dernière news du coup, le batteur... Alors, dis le nom.
[00:41:14] Speaker C: En fait, elle a fait venir sa pote juste pour dire les noms.
[00:41:17] Speaker E: Parce que c'est un groupe que j'aimais bien.
[00:41:19] Speaker D: Après, les noms, je ne les connaissais pas.
[00:41:21] Speaker E: Dean Butterworth, voilà.
[00:41:23] Speaker B: Ah, Dean Butcherworth !
[00:41:24] Speaker E: Membre de Good Charlotte depuis 2005, n'est fait plus partie du groupe. Aucun communiqué officiel pour l'instant, mais son absence sur les visuels promos de la prochaine tournée aux Etats-Unis a mis la puce à l'oreille des fans. Une page qui se tourne pour ce groupe phare du punk, hop-hop, punk, émo des années 2000. Et c'est un de ces groupes, bref, donc...
[00:41:43] Speaker C: Mais c'est très bien Good Charlotte !
[00:41:44] Speaker D: Ça ne veut pas dire qu'ils finissent, finissent ? Ils ont peut-être recruté quelqu'un d'autre ?
[00:41:48] Speaker C: Ah oui, ça c'est sûr !
[00:41:49] Speaker E: Les gars, rien n'a pas changé.
[00:41:51] Speaker C: Je vais te dire un truc, ça ne s'arrêtera jamais. C'est sûr et certain. C'est juste que les mecs prennent leur temps parce que c'est pas ça qui leur importe probablement le plus.
[00:42:00] Speaker B: Non et puis après c'est aussi qu'ils aiment le mode de vie des riches et des célèbres.
[00:42:04] Speaker C: C'est le nom d'une chanson.
[00:42:09] Speaker B: Non mais de toute façon, Good Charlotte, c'est les deux frangins. C'est les frères Mayden et puis le.
[00:42:14] Speaker D: Reste... Et puis même, il y en avait un... Bah justement, c'était pas le.
[00:42:17] Speaker E: Premier batteur, je crois.
[00:42:17] Speaker D: Il y avait eu un autre batteur avant.
[00:42:18] Speaker B: Bah non, c'est de 2005. Et Good Charlotte, c'est plus vieux que 2005.
[00:42:22] Speaker E: Du coup, ça faisait quand même 20 ans qu'il était là, lui.
[00:42:24] Speaker B: Après, on s'est réveillé de 20 ans.
En 20 ans, dans les 20 dernières années, ils n'ont pas fait grand chose. Ils ont dû faire deux tournées dans les 20 dernières années. Enfin, j'exagère, mais...
[00:42:38] Speaker C: Généralement, quand ils réaniment le truc en faisant des tournées, c'est qu'il y a un album qui... Enfin, au moins quelques chansons qui arrivent. Ils ne se manifestent jamais sous le nom Goode Charlotte sans qu'il y ait quelque chose d'autre derrière. Il faut toujours y en mettre en place. Je sais parce qu'ils ont même liké beaucoup de comptes français de médias métal et d'influenceurs.
[00:42:58] Speaker B: Pour dire coucou, on existe.
[00:43:00] Speaker C: Donc il y a déjà eu ça avant l'annonce de la tournée américaine. Et alors s'ils avaient fait le tour, ils ont après annoncé la tournée américaine mais ils ont titillé tous les médias internationaux métal. Il y a forcément un truc qui va se passer. Ils se feraient pas autant chier juste pour des dates aux Etats-Unis en tout cas.
[00:43:15] Speaker B: Bonne nouvelle pour les fans de Goode Charlotte.
[00:43:17] Speaker E: En tout cas moi je suis très curieuse de savoir qui va prendre la relève à la batterie.
[00:43:20] Speaker C: Après je pense pas que ce soit très difficile.
[00:43:23] Speaker E: Je pense qu'il va y avoir la queue derrière pour postuler quoi. Non mais pour postuler... Oh mais merde !
[00:43:29] Speaker C: Je sais, mais désolé, c'est juste ce que j'ai dit.
[00:43:31] Speaker B: Ce sera peut-être Josh Freeze.
[00:43:33] Speaker C: Bon après je pense qu'il se fait chier dans le goût de Charlotte.
[00:43:36] Speaker B: Les tournées c'est sympa. Il a joué sur Alanis Morissette.
[00:43:42] Speaker C: C'est pas faux. C'est vrai. Après on adore Alanis Morissette.
[00:43:46] Speaker B: J'adore Alanis Morissette.
[00:43:48] Speaker C: Voilà.
[00:43:49] Speaker E: C'était donc la fin de ces news.
[00:43:51] Speaker B: Bravo !
[00:43:52] Speaker C: On applaudit ! Bravo Gladys !
[00:43:56] Speaker E: Et du coup pour clôturer tout ça, j'ai choisi un titre parce que mon groupe il me fait chier, ils adorent les Prousts. Et du coup j'ai choisi les Prousts, Nighttime Disguise.
[00:44:05] Speaker B: T'as pas de personnalité quoi.
[00:44:06] Speaker E: Bah en fait je l'ai écouté en boucle depuis deux semaines vu qu'ils me font travailler une des chansons.
[00:44:10] Speaker B: Et du coup t'aimes bien ?
[00:44:11] Speaker E: Bah j'ai fini par aimer.
[00:44:12] Speaker B: Syndrome de Stockholm quoi.
[00:44:14] Speaker E: C'est comme ça à chaque fois.
[00:44:16] Speaker C: Moi je me pose une question Gladys. Ce que t'as dans les cheveux, on le voit de l'autre côté, est-ce que tu peux... Est-ce que c'est parce que t'es fan de Jules César ?
[00:44:25] Speaker E: Non, c'est parce que je suis une.
[00:44:26] Speaker C: Dé... Ah, j'aime ça.
[00:44:29] Speaker B: Goddess power.
[00:44:30] Speaker E: C'est la saison 5 de Buffy contre les vampires, c'est pour ça.
[00:44:33] Speaker C: Waouh, c'est intéressant aussi.
[00:44:35] Speaker E: J'aime bien le crossover là.
[00:44:36] Speaker B: Tant qu'elle se balade pas avec des pieux, moi ça me va.
[00:44:40] Speaker C: Bon, très bien. Merci beaucoup. Avec grand plaisir. De toute façon, tu restes avec nous.
[00:44:44] Speaker E: Bah oui, je t'aime.
[00:44:44] Speaker C: Parce que tu vas venir basser du son qui fait beaucoup de bruit.
[00:44:48] Speaker E: Ça va être bien sympa. En vrai, un qui tabasse et un.
[00:44:54] Speaker C: Qui est plus... Oui, j'ai essayé de mettre l'eau à la bouche.
[00:44:56] Speaker E: J'y ai été dans la deuxième maison, pour une fois.
[00:44:59] Speaker C: C'est vrai, je constate qu'il y a eu un peu plus d'accalmie. En attendant bien sûr de recevoir notre invitée de ce soir, la dame métal qui arrive dans quelques petites minutes, elle va tout nous dire, tout nous dévoiler et peut-être que comme Gladys, elle aura envie de nous frapper, ça on en saura un peu plus dans quelques petites minutes. Place donc à son choix, les Proust.
[00:45:41] Speaker A: C'Est bon Je synchronise, je synchronise Je synchronise, je synchronise J'ai toujours pensé que j'allais y arriver Maintenant, il n'y a plus grand chose à faire C'est plus que je peux comprendre J'ai promis que je ferais des erreurs J'allais alterner Musique.
[00:48:26] Speaker C: Rock.
[00:48:35] Speaker A: I make alterations in my soul It feels like a battle of love So I'm contradicting myself Jésus ...
...
c'est quoi.
[00:52:22] Speaker D: C'est trop lent. On doit essayer...
[00:52:24] Speaker C: Essayons 140.
[00:52:27] Speaker A: Bang Bang J'ai vu la nouvelle aujourd'hui Et être humain c'est un jeu perdant qu'on doit jouer Je suis dans la douleur Je suis si distraité Qu'on ne voit pas que notre dernière chance passe lentement Et s'effondre Musique d'outro Sous-titres.
[00:53:43] Speaker C: Avec.
[00:53:56] Speaker A: Une batterie minée par un enfant dans une zone de guerre.
[00:53:59] Speaker C: Puis prétendre réalisés para la communauté d'Amara.org être ignorant.
[00:54:02] Speaker A: Regardez la dissonance cognitive. Regardez, le court a des stats. Le mauvais gars gagne. Regardez, parce que vous regardez la merde que vous êtes dans. Ce téléphone est un miroir et je.
[00:54:11] Speaker E: Suis juste un réflexe.
[00:54:13] Speaker C: J'ai besoin de plus de dopamine.
[00:54:15] Speaker A: Bienvenue dans l'ancien monde que nous vivons. C'est l'arrivée du monde que vous voyez.
C'est la fin de cette vidéo.
[00:55:22] Speaker C: La Team Rock tous les dimanche soir à partir de 19h, c'est en live Twitch et c'est ici. Dites-le à vos amis, s'ils aiment le métal, s'ils aiment le gros son, eh bien ils seront ravis de passer une petite tête. Et puis nous, dans les stands, ça nous fait bien plaisir, ça nous encourage à continuer. Et puis en plus, on discute avec des passionnés. Ben, après cette chanson que je trouve très bien.
[00:55:40] Speaker B: Oui, alors dedans, il y a l'apparition de Sophie Powers, qui est une costume designer. qui fait des vêtements, on peut l'imaginer, et qui fait aussi de la musique. Et ses visuels sont hyper cool. Je vous conseille d'aller voir. Elle s'est fait connaître, notamment en allant dans l'émission American Got Talent, où elle a fait un truc un peu disrespectful. Mais très drôle, donc c'était très bien. Elle a un choqué un peu tout le monde, elle a un petit pansement sur le nez, on dirait un mélange entre un manga et... Mais ce qu'elle fait c'est assez cool, conseille d'aller voir.
[00:56:17] Speaker C: Granson c'est très bien, même si on constate que le chanteur a mis du temps à écrire cette chanson, parce qu'il a des gros cerneaux et il consomme beaucoup de... A vous de choisir, je vous laisserai libre.
[00:56:27] Speaker B: N'oubliez pas de fêter avec modération.
[00:56:29] Speaker C: Oui c'est très important. Il est peut-être l'heure de recevoir notre invité ? Mais c'est qui notre invité ?
[00:56:34] Speaker B: Attends, je sais pas, j'hésite. Est-ce qu'on reçoit une invitée ou pas ?
[00:56:39] Speaker C: Ok ! On accueille la dame métal !
Alors, il y a beaucoup de gens qui ont envoyé des messages. Je me suis retenu pendant trop longtemps. Bonsoir. C'est un flou absolu de vie. Juste avant, il y a des parents qui ont envoyé « je peux regarder avec mon fils ». Enfin, ils ont dit souvent « mon fils ». Comme ça, il gueule à ce moment-là et après il va dormir. On fait des coucous à ces familles qui permettent à leurs enfants d'hurler avec nous. Comme quoi, quand on est vieux, on peut rester un enfant. Qu'est-ce que...
[00:57:18] Speaker B: J'ai l'impression qu'il y a quelqu'un d'autre.
[00:57:20] Speaker D: Bah oui, je suis pas venue toute seule en fait, ce soir les gars.
[00:57:23] Speaker C: Mais qui est cette dame ?
[00:57:24] Speaker F: Bonsoir les hommes !
[00:57:30] Speaker C: Mais oui, c'est ce Fair Food qui t'accompagne, les copines. Et ce Fair Food qui est déjà venu ici dans l'émission, on peut retrouver l'épisode.
[00:57:39] Speaker F: Il y a deux ans.
[00:57:40] Speaker C: Il y a un bon bout de temps. Un an et demi, deux ans à peu près. Il y a quelques semaines. Non mais voilà, vous pouvez retrouver l'épisode avec toi sur notre page YouTube. N'hésitez pas, point d'exclamation bang, pour ceux qui sont en direct. Et puis dites-le à vos amis. Et si vous aimez la cuisine, parce que je me permets de parler d'un petit peu d'elle... Ah bah permets-toi, je t'en prie. Ou est-ce que... Comment tu veux qu'on procède ?
[00:58:02] Speaker B: Ou tu veux parler d'elle ?
[00:58:03] Speaker D: Permettez-vous.
[00:58:04] Speaker B: Ou tu veux qu'on parle de toi ?
[00:58:05] Speaker D: Oh là là, l'égotripe là, ouf !
[00:58:07] Speaker B: Choisissez de qui on parle en premier !
[00:58:10] Speaker D: Mais la copine Audrey, avec grand plaisir. C'est glisser sur le ring.
[00:58:18] Speaker C: Tu es venue nous faire un petit coucou parce que tu avais envie de t'éteindre passage ?
[00:58:24] Speaker F: Je voulais savoir si tu mangeais bien depuis la dernière fois qu'on s'était vu déjà.
[00:58:28] Speaker C: J'ai reçu ton message quand j'ai mangé mon sandwich à la mayonnaise, t'as peut-être été pas fière.
[00:58:31] Speaker F: Je sais, je sais, c'est moche mais j'aimerais te venir en aide. J'ai fait un nouveau livre, voilà.
[00:58:37] Speaker C: C'est un livre qui parle de quoi ? De nourriture j'imagine, mais de quel genre, quoi exactement ?
[00:58:43] Speaker F: Au niveau du concept, pour récapituler, c'est vrai que mon ancien livre c'était Cook'n Roll où on pouvait cuisiner les meilleurs groupes métal du monde entier. Donc il y avait les apéros Smith, les Placebo, les AC dessert, vous pouviez cuisiner des Tofu Fighters, des Mother Bread.
[00:58:59] Speaker D: Donc voilà, le concept.
Donc.
[00:59:18] Speaker C: Ouais, c'est plein de jeux de mots et des concepts.
[00:59:20] Speaker F: Voilà, pour expliquer le concept un petit peu aux personnes qui connaissaient pas. Donc je reviens avec un livre maintenant qui est sur la pâtisserie métal et qui s'appelle Metallicakes. Même concept, vous aurez des pâtisseries plutôt simples à faire, parce que moi, passer des heures à faire des gâteaux c'est sympa, mais quand on écoute du gros son, c'est toujours compliqué. Et c'est mieux bien sûr, mais c'est toujours compliqué de se concentrer, j'avoue. Mais voilà, donc il y aura...
[00:59:43] Speaker C: C'est simple et efficace.
[00:59:44] Speaker F: Simple, efficace, des trucs... Il va y avoir des lorna-s'mores. Je ne sais pas si vous connaissez... Tu dois connaître les s'mores, aux Etats-Unis, bien sûr.
[00:59:51] Speaker C: Je ne sais pas ce que c'est, moi.
[00:59:52] Speaker B: C'est le petit gâteau... Tu sais quand tu fais fondre les chamallows sur le feu ? Et bah, normalement, aux Etats-Unis, tu fais les s'mores. Donc tu prends le chamallow, tu le poses sur un carré de chocolat, qui du coup va fondre avec, et tu mets ça avec un ou deux petits crackers ou petits biscuits.
[01:00:10] Speaker C: Ah oui, je vois tout à fait. C'est léger.
[01:00:12] Speaker F: C'est léger, comme Will Ramos. Des petits chamals roses avec quelque chose de très lourd autour. Il y a toujours une réflexion derrière. Il va y avoir un panthéramitsu, par exemple.
[01:00:26] Speaker B: Un linking tarts.
[01:00:29] Speaker F: Donc on repart sur ce type de concept avec des recettes super simples, pour rigoler, à faire entre amis, entre copains, en famille, que vous aimiez ou pas, le sucré c'est toujours aussi un bon cadeau à faire. Et ce qui est important, que je voulais dire, c'est qu'il est en précommande, parce que contrairement à avant où j'étais passée, il était publié.
J'insiste sur le fait que, n'hésitez pas à précommander pour vos amis, pour votre famille, il sort en septembre.
[01:01:00] Speaker C: Je travaille encore dessus. On est dans une préparation pour Noël, donc c'est quand même cool de prévoir le coup.
[01:01:08] Speaker F: Il sort le 1er septembre. Donc vous pourrez l'acheter à peu près.
[01:01:11] Speaker B: N'hésitez pas, on vous met le lien pour pouvoir le précommander. J'ai besoin de sous. On le dit souvent pour les concerts, c'est important d'acheter les places quand c'est annoncé pour être sûr que les concerts se font. Et pour les gens qui ont des projets comme ça, c'est aussi important de soutenir, même quand il y a des albums en précommande, des livres en précommande. C'est important de montrer votre soutien dès le début parce que ça aide les artistes et les gens qui créent à pouvoir créer dans de meilleures conditions.
[01:01:43] Speaker C: Et puis quoi qu'il arrive, on est bien d'accord, le premier bouquin est déjà excellentissime.
[01:01:48] Speaker F: Faut pas hésiter à l'acheter aussi.
[01:01:49] Speaker C: Il est vraiment hyper bien et on se marre, c'est vrai qu'on adore découvrir toutes tes petites recettes et puis c'est un moment entre potes, effectivement, autour des jeux de mots et puis on mange bien.
[01:02:03] Speaker B: J'ai envie de dire que rien que pour les jeux de mots ça vaut le coup.
[01:02:06] Speaker D: C'est un kiff total de le lire, juste de le lire.
[01:02:09] Speaker C: Il y a de tout dans cette pâtisserie, il y a du végan.
[01:02:12] Speaker F: Oui, végétarien, végan. Comme sur les précédents, pareil, il va y avoir une suggestion d'écoute, une playlist associée. C'est vraiment un concept entier là-dessus, c'est que vous pourrez écouter la playlist en cuisinant et puis faire partager tout ça et faire connaître aussi plein de nouveaux groupes parce que ça sera assez large et plus éclectique. possible en tout cas et c'est vrai que c'est moins rock que cook'n'roll où il y avait quand même vraiment des choses plus rock. Là on est dans le métal. La pâtisserie, le lourd, tout ça on aime bien.
[01:02:47] Speaker C: Vous voyez c'est son petit message quand elle est venue sur mon live tiktok du lundi. Elle a dit j'ai entendu que tu parlais de bouffe et ben je constate que c'est toujours aussi dégueulasse. Donc Elmani prépare toi tu vas faire des belles petites pâtisseries et tu pourras enfin te nourrir correctement.
[01:02:59] Speaker F: J'y crois un jour. On va cuisiner un jour ensemble.
[01:03:02] Speaker B: Je sais que moi dans mes concepts, il y a faire une émission de cuisine. C'est ma plus grande passion après la musique, c'est la cuisine. Il va falloir qu'on le fasse. Ne t'inquiète pas, c'est déjà là. Il faut juste qu'on le fasse. Il faut aménager une cuisine. C'est un détail.
[01:03:25] Speaker C: On la met, elles seront dans le plafond. Ah non, c'est pas possible.
[01:03:29] Speaker F: Attention, parce que moi je fais craver des trucs et tout. J'espère que t'as des trucs, des bords d'incendie, des machins.
[01:03:36] Speaker E: De toute façon, ici, tous les trucs.
[01:03:37] Speaker B: Qu'On a pour cuisiner, c'est au gaz.
[01:03:38] Speaker F: Ah ok, c'est parfait.
[01:03:39] Speaker B: Bon, on va pouvoir foutre le feu, c'est parfait.
[01:03:41] Speaker F: Parce qu'en fait, il faut savoir que moi je suis une vraie catastrophe en cuisine. Non mais ça c'est un peu les off parce que t'es là avec ton joli bouquin parce que je fais les photos donc tu fais des jolies photos mais moi derrière c'est le chaos, le projet chaos, je suis le projet chaos, je suis chaotique chaotique moi en tant que personnage donc la cuisine c'est un enfer il y en a partout enfin.
[01:04:05] Speaker B: On ne va pas se mentir, dans les cuisines, ils s'en sortent parce qu'il y a des gens dédiés à nettoyer et à faire la plonge. Le problème, c'est que dès que tu cuisines, tu salies beaucoup de choses. C'est bien de faire des recettes simples, parce que tu n'as pas utilisé 5000 bols, 3000 assiettes. Enfin, j'exagère peut-être un petit peu, c'est.
[01:04:26] Speaker C: Peut-Être que la moitié de ça.
[01:04:28] Speaker F: C'est exactement ça. C'est pour ça qu'il y a des recettes qui sont hyper simples, qui sont faisables pour des novices. Il y a des trucs un peu plus complexes.
[01:04:36] Speaker B: Ouais, comme ça on upgrade un petit peu.
[01:04:38] Speaker F: Oui voilà, il y a quand même des trucs un peu techniques, des entre-métal. Et puis voilà, comme ça il y en a pour tous les goûts.
[01:04:45] Speaker B: Un entremet, alors entremetal, par rapport au entremet, c'est quand il y a différentes couches, par exemple, dans un gâteau. Ça s'appelle un entremet.
[01:04:51] Speaker C: D'accord, ok. Du coup, entremetal. Non, je ne savais pas.
[01:04:55] Speaker B: C'est pour ça que je te le dis.
[01:04:56] Speaker C: Je sais que t'es un petit peu.
[01:04:57] Speaker B: Limité sur certains termes, pas intellectuellement. T'es un génie, on le sait.
[01:05:05] Speaker C: J'ai d'autres qualités après.
[01:05:06] Speaker B: T'es aussi intelligent que t'es beau, Pierre.
[01:05:11] Speaker C: Tout le monde a laissé un blanc.
[01:05:13] Speaker F: Quand même ce coup-là.
[01:05:15] Speaker C: Et bim, une deuxième fois.
[01:05:17] Speaker B: Moi je trouve que t'as un canon.
[01:05:18] Speaker C: Bon c'est gentil. Non mais on va mettre tous les liens bien évidemment en description pour les personnes qui vont regarder la VOD sur notre chaîne YouTube. Comme ça ils pourront directement pré-commander ton bouquin. Mais ça va bien se passer j'en suis persuadé.
[01:05:31] Speaker D: Achetez, achetez, achetez.
[01:05:33] Speaker C: Ça a été facile de pouvoir sortir ce bouquin ?
[01:05:35] Speaker F: Pas du tout.
[01:05:36] Speaker C: Ah bon ok. Parce que je sais qu'on avait déjà discuté de ça. C'était pas chose simple.
[01:05:39] Speaker F: Non c'est vrai qu'après dans ce type de concept, après comme on dit, nous les métalleux on est des niches pour les maisons d'édition. Donc c'est toujours un peu, alors le concept est sympa mais vous les métalleux vous êtes pas si nombreux. C'est là qu'en fait c'est assez compliqué de défendre son projet et j'ai quand même une maison d'édition qui m'a fait confiance mais là du coup il y a le système de précommande qui est obligé d'être, voilà, qu'ils ont préféré en tout cas pour avoir le moindre risque possible parce que c'est... C'est un peu comme faire un disque tout ça, où il y a des gens derrière qui mettent des sous et qui nous aident. Après nous on touche nos royalties. Et c'est vrai que c'est pas toujours simple de trouver quelqu'un qui va nous faire confiance sur des projets comme ça en fait.
[01:06:23] Speaker C: Alors voilà, deux raisons de plus pour répéter ce qu'a dit Ben, il faut précommander pour vraiment soutenir les projets. C'est-à-dire que là si ça leur donne confiance, il peut y avoir des tas d'autres choses qui peuvent se faire.
[01:06:33] Speaker F: J'en ai des idées, j'en ai plein.
[01:06:36] Speaker C: J'imagine bien mais autour de la cuisine c'est vraiment cool. Et puis les métalleuses c'est des petits cuistots.
[01:06:41] Speaker F: Ah mais oui mais ils adorent les apéros Smith. Moi le truc qui marche le plus c'est le motor bread. Alors pour expliquer c'est ce qu'on appelle un pain à hérisson. Un pain que tu coupes, alors tu mets du fromage, tu peux mettre des lardons, tu peux mettre du bacon végétal, ce que tu veux. Tu passes ça au four et après c'est flambé au whisky. Ça te fait une énorme flamme. Il n'y a pas eu d'accident selon mes sources.
[01:07:01] Speaker C: Oui, il faut faire attention.
[01:07:03] Speaker F: Mais il faut faire attention quand même. Mais c'est le truc qui marche le mieux, les gens m'envoient des vidéos, c'est génial.
[01:07:08] Speaker C: Ah ouais, trop bien.
[01:07:09] Speaker F: En mode, ouais, je suis avec les potes, c'est mon anniversaire, les fans de Motorhead, voilà, regarde. Personne n'est mort ? Non, non, c'est bon, tout va bien, c'est validé.
[01:07:19] Speaker C: Non mais trop bien, c'est trop trop bien, quand tu dois recevoir ça, ça doit être tellement plaisant et agréable. Ah oui, j'adore.
[01:07:23] Speaker F: Des personnes qui me disent aussi, c'est con, mais il y a des gens qui me disent, j'ai des problèmes de troubles alimentaires, j'aimais plus cuisiner, etc. Et puis le fait que ça soit du métal, ça m'a donné envie de cuisiner. J'étais hyper touchée en même temps, en me disant, waouh, comment un livre de cuisine, moi qui fais pour moi juste des recettes. Des gens qui me disent, ça m'a permis de renouer avec ma famille, ça m'a permis de cuisiner pour mes potes, pour ma meuf, pour mes enfants.
[01:07:49] Speaker C: C'est vrai qu'il y a ce tirage dans la cuisine.
[01:07:50] Speaker E: Il y a un côté social en.
[01:07:51] Speaker F: Fait qui est très important.
[01:07:53] Speaker B: La cuisine c'est le partage et c'est le partage de l'amour.
[01:07:56] Speaker F: Donc là tu as la musique et la cuisine et c'est vrai que j'ai énormément de retours là dessus, c'est hyper touchant.
[01:08:02] Speaker B: Double porte d'entrée quoi.
[01:08:04] Speaker C: C'est trop bien, bravo encore, j'ai hâte de... On en reparlera de toute façon bien sûr parce que dès que ce sera en plus disponible, on en remettra une couche parce que encore une fois le premier bouquin est tellement, mais tellement... Le premier bouquin est tellement bon et du coup alors vous vous connaissez comment ?
[01:08:20] Speaker D: Par les réseaux, en fait. Tout simplement, je suivais Audrey quand elle était en voyage à Londres et j'adorais ses stories parce que justement, elle montrait un petit peu tout ça. Et puis après, j'ai découvert que je ne connaissais pas encore son premier livre et j'ai trouvé le concept génial. Et puis, par la suite, en fait, moi, j'avais préparé ce que j'appelle le métal andréé de l'avant. Donc, c'est un calendrier que je fais pendant le mois de décembre, qui reprend le concept de calendrier de l'avant. Et je contacte Audrey en lui disant « Est-ce que ça te dit que je consacre une case pour parler de ton livre ? ».
[01:08:56] Speaker C: Du coup on est devenus amis.
[01:08:59] Speaker D: J'ai adoré la vibe et du coup j'ai dit bah t'es ma pote. On s'est contactés, on a échangé et puis en fait le feeling est super bien passé et depuis on échange assez régulièrement non seulement par rapport au réseau et puis surtout aussi pour parler d'autres choses parce qu'il n'y a pas que les réseaux dans la vie.
[01:09:19] Speaker C: De musique j'imagine aussi principalement.
[01:09:21] Speaker D: Et on se retrouve en plus sur les mêmes événements régulièrement donc on aime beaucoup passer du temps ensemble et là on a passé trois jours ensemble.
[01:09:30] Speaker B: Et alors Salah c'est toujours ami ?
[01:09:32] Speaker D: Non.
[01:09:33] Speaker B: Moi ça me fait pareil avec Pierre.
[01:09:36] Speaker D: Dis-le, fais un signe si t'es en danger ou si tu veux qu'on le sente.
[01:09:39] Speaker C: T'as pas vu il danse sur Instagram ? Ah non c'est pas lui. J'ai compris.
[01:09:42] Speaker D: Donc c'est parti d'une première proposition de collab dans ce cadre là et puis bah en fait Vibe, feeling naturel, fluide. C'est comme ça que tu te fais aussi des copains des réseaux.
[01:09:57] Speaker C: Ce qui n'est pas forcément une chose facile, mais qui est cool. Toi, tu regardes son contenu aussi ?
[01:10:05] Speaker F: Oui, justement.
[01:10:06] Speaker B: Non, je ne l'en suis toujours pas.
[01:10:08] Speaker F: D'Ailleurs, reste toujours cette question pour toi.
[01:10:09] Speaker C: Bande de cons, c'est pour qu'elle l'introduise et qu'elle explique ce que la dame Bétal fait.
[01:10:14] Speaker B: Excuse-moi Pierre, mais c'est tellement bien construit tes émissions, moi j'ai du mal à suivre.
[01:10:19] Speaker F: Non mais évidemment je crois qu'on s'est suivi à peu près en même temps en fait, quelque chose près, je ne peux pas dire une date, ça ne se quantifie pas et c'est vrai que je trouve ça hyper cool justement sa déa, la manière dont est présentée aussi les groupes, enfin je me suis dit cool, cool, il y a une meuf qui présente des groupes de métal, il faut que ça soit ma pote déjà, Et de deux, je soutiens vraiment de manière déter que les créatrices de contenu soient de plus en plus nombreuses, qu'elles puissent se poser dans le milieu un peu, et c'est le cas, donc c'est très très cool.
[01:11:00] Speaker C: C'est ce que j'allais dire, on s'est vu, parce que vous étiez là pour Red Eye To Remember aussi, puis on a passé un petit moment ensemble, mais on disait qu'il y avait de plus en plus de créateurs de contenu, mais qu'il y avait surtout de plus en plus de femmes qui parlent de métal sur les réseaux.
[01:11:13] Speaker D: C'est surtout qu'en plus le domaine du métal s'est catalogué très masculin et souvent en fait ça va être beaucoup plus des créateurs finalement de contenus qu'on a pu voir ces dernières années. Il y a assez peu de femmes et là oui il y a un regain et je trouve ça super parce que justement il y a aussi des nouveaux courants de métal qui arrivent. Pardon j'ai un peu buggé.
[01:11:39] Speaker B: Moi aussi j'ai le même problème. J'ai pas pu bien français.
[01:11:43] Speaker D: Et je trouve ça bien aussi de pouvoir en parler et d'avoir aussi des figures féminines parce qu'il n'y a pas que des métalleux, il y a des métalleuses aussi. Donc d'avoir aussi une sorte de repère et de se dire les copines métalleuses sur les réseaux, tout simplement.
[01:12:05] Speaker C: C'est vrai que comme tu dis, le fait qu'il y ait plus de figures féminines pourrait éventuellement ouvrir plus le métal aux femmes. Non pas qu'il n'y en a pas, mais on sait que sur les réseaux, enfin nous on regarde les statistiques, etc. pour voir un peu qui nous regarde. Et bon, après nous on a des blagues graveleuses, donc c'est vrai que c'est un peu moins féminin. On ne peut pas dire le contraire. Mais c'est vrai qu'il y a peu de femmes qui suivent nos réseaux et du coup je me demandais si quand on est une femme c'est...
[01:12:31] Speaker D: C'est pas simple. C'est pas simple. En fait, on a parlé un peu de mon expérience quand j'ai commencé les réseaux en parlant de métal. Automatiquement, j'ai rien contre vous messieurs, que ce soit clair. Mais tout de suite, ça a été beaucoup plus une communauté d'hommes que j'ai eue. Et j'avais, à mes tout tout tout débuts, j'avais entre 11 et 12% de femmes qui me suivaient. Et là aujourd'hui, en fait, ça fait partie un petit peu de mes petites fiertés, mais on est presque 36% de femmes sur mon compte. Et ça, je trouve ça formidable parce que je me dis, ça y est, elles m'ont trouvée.
[01:13:07] Speaker C: Elles me trouvent.
[01:13:09] Speaker D: Elles viennent à moi. Elles sont là, les filles.
[01:13:10] Speaker C: Il faut que ça se sache aussi.
[01:13:12] Speaker F: Je pense que ton pseudo aide beaucoup, en fait, parce que la dame métal, au moins, on sait où on va. Je trouve que c'est important.
[01:13:19] Speaker D: Le choix du pseudo, il était assez... En fait, il fallait que je trouve un nom facile à retenir. Et puis je me suis dit, je suis quoi ? Je suis une femme. J'allais pas dire la femme métal, mais bon, c'est très bizarre. La femme, on voit pas !
Non mais voilà, et en fait c'est parti aussi d'une blague parce que...
[01:13:39] Speaker C: C'est Gladys qui s'est rappelée par les stars.
[01:13:43] Speaker B: Non, c'est mon ordinateur. C'est des gens qui décident de m'appeler sur mon ordinateur.
[01:13:48] Speaker C: Ok, très bien. Je suis désolé.
[01:13:51] Speaker B: Pardon, excusez-moi.
[01:13:52] Speaker D: Non je disais qu'en fait c'est parti aussi d'une sorte de blague parce qu'avec une copine souvent on se disait mais quand on se parlait mutuellement et qu'on s'entendait pas on se disait mais qu'est-ce qu'elle raconte la dame là ? Elle veut quoi la dame là ? Des trucs comme ça. C'est parti un peu d'une blague un peu comme ça et j'aimais bien ce terme là et du coup bah en fait tu mets la dame tu mets métal à côté hop c'est bon allez.
[01:14:13] Speaker C: C'Est bon Juste avant de parler un peu de musique, moi j'ai cru que c'était parce qu'il y avait des enfants qui t'appelaient, c'est la dame qui écoute du métal ?
[01:14:21] Speaker D: Ah non, pas du tout !
[01:14:22] Speaker C: Parce que j'avais un petit côté... Oui bah ça va, me regarde pas avec des yeux noirs...
[01:14:25] Speaker D: Mais ça aurait été si mignon !
[01:14:27] Speaker C: Bah oui, c'est tout mignon !
[01:14:28] Speaker D: En vrai, franchement, c'est pas impossible, tu vois. Bah c'est la dame qui parle du métal sur les réseaux. Ça marche aussi, potentiellement ça marche aussi. Mais non, c'est partie d'une blague. Et de la facilité, clairement. J'avais besoin d'un truc très simple. Et un truc qui est drôle, en fait, le fait de m'être appelée comme ça, les gens, des fois, ils me vouvoient quand ils m'envoient des DM et je trouve ça hyper drôle, mais un côté vouvoiement genre blague, tu vois. Bonjour Madame Métal ! Ça me fait rire.
[01:14:59] Speaker F: Tu es la Valérie, le Mercier du métal, un peu, du coup.
[01:15:04] Speaker C: Je sais pas comment on doit le prendre.
[01:15:06] Speaker F: C'est le rejoignement, tu sais, t'as dit.
[01:15:08] Speaker D: Un petit accent, un petit peu la.
[01:15:09] Speaker F: Madame, donc ça fait un peu Valérie Mercier du métal. Mais c'est faux, on est d'accord.
[01:15:14] Speaker B: C'est moi qui l'ai fait.
[01:15:15] Speaker D: Non, tu aimes ? Moi j'aime. Ça va. Ça me dérange pas, ça me dérange pas du tout.
[01:15:21] Speaker B: J'aime beaucoup Valérie Mercier.
[01:15:22] Speaker F: Moi aussi. Moi aussi je l'aime bien.
[01:15:25] Speaker B: Et bah alors, c'était un compliment ? Et bah alors, fais pas ça.
[01:15:31] Speaker D: Le choix du pseudo c'est quand même assez important quand on se lance sur les réseaux et surtout quand on veut parler d'un sujet spécifique. Je pense que je l'ai bien trouvé et ça m'a fait rire d'avoir ces petits DM où vraiment des fois j'ai des... Ça me fait rire donc c'est drôle. C'est cool.
[01:15:51] Speaker C: Je demande toujours aux invités bien sûr de choisir des chansons et là bon comme vous êtes deux et parce qu'on le savait ça va, vous savez bien que c'est une fausse surprise. Mais du coup tu as choisi un morceau, ce Fair Food a choisi un morceau. Et je vous ai bien pris en compte... Ah oui, il faut qu'on aille.
[01:16:09] Speaker B: Te suivre sur les réseaux, bien sûr.
[01:16:10] Speaker F: Ah oui, bien sûr, sur Fair Food, alors je fais donc des livres, mais je fais aussi de la création de contenu métal depuis plusieurs mois, depuis que je suis retournée, revenue d'Angleterre, en fait. Parce que c'est vrai que la foudre, c'est très très long à produire sur les réseaux. C'est pas forcément quelque chose qui est pas très vu, mine de rien, parce que malgré le concept, Il faut aussi s'adapter à l'exigence des réseaux. Donc c'est vrai qu'on est un peu maintenant aussi dans les mêmes thématiques des fois, parce qu'on fait toutes les deux des créations de contenus, de la valorisation du groupe, et de festivals, et de promotion de la musique métal. Donc voilà, moi ça reste Fair Food, mais food et métal, du coup.
[01:16:53] Speaker B: Et du coup t'as choisi un titre ?
[01:16:55] Speaker F: Oui, tout à fait.
[01:16:56] Speaker C: De qui ?
[01:16:57] Speaker F: De qui ? Alors, ça va pas être une question...
[01:16:59] Speaker C: Mais je voulais dire, de qui ? Eh ben, B alors !
[01:17:03] Speaker F: Non, je ne l'ai pas, je suis de Bretagne, je ne sais pas faire l'accent du Sud.
[01:17:07] Speaker B: Est-ce que tu sais faire la bouillabaisse ?
[01:17:12] Speaker F: C'est Landmark, c'est sans grande surprise pour beaucoup de gens qui me suivent, c'est vraiment mon album cette année qui m'a... Ouais, le banger de cette année où j'ai... Depuis longtemps je n'avais pas écouté un album de début jusqu'à la fin et donc j'ai choisi... Bah tu dois savoir quelle chanson j'ai choisi puisque... Ah oui.
[01:17:31] Speaker C: Tu t'en souviens pas, alors là il est in the dust ! Line in the Dusk, qu'on a déjà beaucoup passé aussi. Non mais en fait j'étais en train de me dire, mais c'est quoi qui te fascine chez Landmarks, c'est quoi qui t'excite, c'est quoi qui a fait que c'est ton album de l'année ? Parce qu'il y a plein de gens qui disent plein de trucs différents, c'est très varié, les choses qu'on trouve dans Landmarks.
[01:17:47] Speaker F: Alors j'ai voulu m'intéresser pas seulement à l'aspect musical, je me suis aussi intéressée à l'aspect artistique. D'ailleurs c'est ce que j'avais, j'ai interviewé l'artiste qui a fait la pochette de l'album sur les réseaux. Elle est magnifique. Il s'appelle Gimishima qui a fait la pochette. Donc c'est très intéressant d'avoir aussi la partie musicale mais aussi artistique parce que ça fait partie aussi de moi de ce que j'aime en tout cas. Et c'est vrai que l'album en fait il est très parlant parce qu'après je pense que pour beaucoup de gens avec qui j'en ai discuté c'est l'aspect santé mentale c'est l'aspect deuil, c'est l'aspect vraiment... on est sur une noirceur qu'il faut, bah voilà, qui s'exprime. Et ça parle à beaucoup de gens aujourd'hui, un peu dans les situations que l'on vit toutes et toutes. Et donc je pense que cet album a parlé à beaucoup de gens par rapport à ça et m'a parlé particulièrement aussi par rapport à des éléments, on va dire, des choses de la vie qui arrivent et qu'on doit traverser.
[01:18:44] Speaker C: Bon ben je crois que tout est dit, on est tous d'accord sur le fait de lancer ce beau morceau de Landmars ?
[01:18:50] Speaker F: Magnifique morceau !
[01:18:51] Speaker C: Et ben c'est parti !
[01:19:32] Speaker A: Réalisé par Neo035 Avec.
[01:20:02] Speaker D: Le soutien de.
[01:20:02] Speaker C: Denix.
[01:20:10] Speaker A: I think.
[01:20:26] Speaker D: I sold my soul.
[01:20:27] Speaker A: For real Sous-titres.
[01:21:07] Speaker D: Réalisés para la communauté d'Amara.org.
[01:21:19] Speaker A: Contact the scars and contact the bruises All the mercies in my head are falling right to the sky I've lied to myself, I'm spinning round again I'm talking to the devil, but it's just yelling the phrase Mais je m'ennuie.
[01:22:01] Speaker C: Je m'ennuie dans ce monde Plein de.
[01:22:04] Speaker A: Lies et d'empties mots J'ai dit ça depuis tellement de temps Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[01:23:09] Speaker D: If you're ready for love, if you're ready for love.
[01:24:04] Speaker F: Musique.
[01:24:34] Speaker B: Avec d'outro de l'imagination et de la.
[01:24:36] Speaker C: Beauté de l'esprit J'ai-je dégradé moi-même ?
[01:24:40] Speaker A: J'ai-je brisé l'esprit ?
[01:24:42] Speaker C: J'étais malade de résistance Je ne pouvais pas m'aider.
[01:26:24] Speaker D: Oh.
[01:26:32] Speaker C: Que j'aime ce choix musical et ce clip d'ailleurs qui est très intéressant simple mais efficace avec beaucoup de beaux messages le retour de Garbage bien sûr dans Bang Bang on aime Garbage on soutiendra toujours Garbage et Shirley Manson Plein de big love. C'est le titre « There's no future in optimism ». On l'avait déjà passé, mais on se devait de le repasser parce que, en fait, ce n'est pas moi qui ai fait ce choix. C'est Gladys. Et alors là, tu nous as surpris.
[01:27:01] Speaker E: Eh ben oui, je savais que ça me surprendrait. Mais moi j'ai découvert Garbage quand j'avais 16 ans, dans ma salle de répète. J'avais un groupe de punk. Il y avait un énorme poster « Garbage » avec « Stupid Girl » écrit dessus. Et du coup, voilà.
[01:27:13] Speaker B: Tu t'es dit c'est pour moi.
[01:27:15] Speaker E: Je me suis dit que je connaissais beaucoup de « Stupid Girl ».
Ça m'intéressait de savoir ce qu'elle racontait.
[01:27:21] Speaker C: Ok, ok. Elle a été vénère dès le début.
[01:27:24] Speaker B: On l'avait donné le ton.
[01:27:26] Speaker C: Je parle pas du poisson. Et du coup, ce nouveau morceau, tu voulais nous en dire quoi ?
[01:27:33] Speaker E: D'ailleurs, vous trouvez que rien que le titre, ça donnait le ton. Le titre il pique quand même. C'est le premier titre aussi de l'album, en ouverture, et c'est pas juste une intro pour moi, c'est vraiment une mise en tension. J'ai skippé aucune chanson de l'album pour vous donner un peu une idée. Donc il est vraiment bon. Donc ça sent la colère, la lucidité, mais aussi une forme d'espoir un peu tordu, je trouve. Shirley Manson, avec sa voix toujours aussi intense, parce qu'elle a quand même une empreinte vocale de malade, elle te balance un message clair. Ouais, on vit une époque bien dark, mais justement, c'est pas le moment de baisser les bras. Le titre, il a l'air désabusé, mais en vrai, c'est plus un appel à rester humain dans un monde qui déraille. Je trouve ça vachement cool comme message. Musicalement on retrouve tout ce qui fait garbage en fait, du rock crasseux, des basses électro sombres, des riffs bien tendus et c'est une ambiance un peu post-apocalyptique qui colle à la peau et la prod elle est super actuelle. Je trouve qu'ils se sont bien renouvelés, ça sonne moderne, sans renier les racines du groupe donc je trouve ça super cool. Et ce qui est ouf aussi c'est que le titre te met direct dans le bain, tu ressens l'attention mais aussi une espèce de rage maîtrisée, une volonté de pas se laisser faire, c'est un peu un cri de révolte mais aussi un boost genre ok, C'est la merde, mais on n'est pas morts. Donc il faut continuer. Bref, pour moi, ce titre, c'est du garbage pur jus. Une vraie résonance en 2025. Ça cogne, ça parle vrai et ça donne envie d'écouter la suite sans respirer. Et franchement, le reste de l'album est vraiment très cool, donc allez-y. Parce que c'est tout ce qu'on attendait d'eux, en fait, je trouve.
[01:29:00] Speaker C: Tu parles bien. Je te l'ai déjà dit la dernière fois, mais tu parles bien. Franchement, c'est hyper bien fait. Bravo. Moi j'applaudis. Applaudissez Gladys, s'il vous plaît.
[01:29:08] Speaker E: Je m'applaudis moi-même.
[01:29:09] Speaker C: Vous pouvez la suivre sur Milchek Media. Tout ça, vous pouvez le retrouver aussi sur son média, Milchek Media.
[01:29:13] Speaker E: Et d'ailleurs, cet album-là, c'est la première fois que je chronique un album ici que je n'ai pas déjà chroniqué sur Milchek parce que c'est une de mes collègues qui l'a chroniqué, qui l'a fait merveilleusement bien. C'est ce qui m'a donné envie de l'écouter. Donc un petit... Bonjour à Jolina.
[01:29:26] Speaker C: En tout cas, c'est vrai que je pensais que ça allait sortir bientôt, peut-être début juin, mais non, il est sorti ce vendredi. Ça m'intrigue parce qu'on aime beaucoup Garbage. On est allé les voir en live la dernière fois, c'était au Grand Rex. Ils ont dit que ça allait être un très très bon album. Le truc qui est toujours particulier avec Garbage, c'est que les premières écoutes sont toujours un peu particulières.
Il faut rentrer dans l'univers, c'est comme ça que je le ressens, il faut l'écouter plusieurs fois je pense. Et après t'es embarqué dans un truc de fou parce que c'est à la fois subtil et en même temps assez complexe, ce qui représente plutôt pas mal Shirley Manson aussi, la chanteuse. Et elle a eu beaucoup de problèmes de santé, c'est une personne qui est très sensible aussi, elle a des combats qu'elle mène, elle en parle beaucoup sur les réseaux sociaux.
[01:30:14] Speaker E: C'est quelqu'un de très ouvert et très honnête sur ce qu'elle pense et ce qu'elle ressent.
[01:30:17] Speaker C: J'aime beaucoup. En plus, elle est belle comme tout. Et du coup, voilà, je vais aller l'écouter, cet album. Je vais vraiment l'écouter.
[01:30:26] Speaker E: Moi, j'en ai skippé aucune, alors que ça m'arrive très souvent de skipper des chansons.
[01:30:30] Speaker C: Oui, on ne peut pas tout aimer. Et puis, des fois, les albums sont chiants.
[01:30:35] Speaker E: Aussi.
[01:30:35] Speaker C: On ne peut pas dire le contraire. Mais la chanson, elle est vraiment très bien. Elle est cool.
[01:30:40] Speaker E: Même le clip est sympa, en vrai.
[01:30:42] Speaker C: Ça serait bien qu'il y ait un peu plus de soutien pour Garbage, parce que c'est pas parce que c'est un vieux groupe qu'il faut passer à côté, bien au contraire, très actuel comme... Surtout.
[01:30:49] Speaker E: Qu'Ils ont réussi à s'adapter justement en ayant un son un peu plus moderne tout en restant eux-mêmes, donc c'est...
[01:30:53] Speaker C: Puis faut pas oublier que dans Garbage, il y a Budwig quand même.
[01:30:57] Speaker B: Tout à fait.
[01:30:57] Speaker C: Budwig, c'est pas n'importe qui. Non. Voilà, il a fait quelques bons albums connus mondialement.
[01:31:02] Speaker B: Vite fait. Voilà, bon... 2-3 trucs ont un peu marché.
[01:31:06] Speaker C: C'est quoi, du grunge par exemple ?
[01:31:08] Speaker B: Ouais, peut-être.
[01:31:12] Speaker C: On va pas rentrer dans les détails. C'était pas dans Supercopter.
Désolé, c'est une private joke, mais pas vraiment private, puisque c'est un film. Mais à chaque fois, à ce moment-là de l'émission, il y a la récompense ultime, la gloire à une personne qui nous suit, à un ou une banger, puisque vous le savez, nous avons un Patreon, et on a envie de vous remercier de nous soutenir financièrement et moralement aussi, parce que vous avez plein de beaux messages que vous nous laissez sur notre page Patreon, vous êtes des amours, sincèrement, c'est... Je leur dis tout le temps, je leur dis c'est trop mignon, je chiale tout le temps, ça vous le savez mais ça me fait pleurer parce que je trouve que c'est plein d'amour, plein de gentillesse, plein de bienveillance et en plus on partage, on partage la même passion et vous nous partagez les morceaux que vous aimez. Donc sur Patreon, vous avez le droit de nous proposer des morceaux pour le clip des Bangers et après il y a un vote, donc une espèce de battle mais c'est bon enfant, c'est vraiment fait dans... dans la bonne humeur. C'est surtout qu'on peut découvrir quand même les autres morceaux, puisqu'ils sont sur Patreon. Et puis le gagnant a le droit, enfin la gagnante, a le droit de laisser un petit message vocal d'une minute. La minute de gloire, c'est toujours avec de la haute technologie. Attendez, je me suis pas trompé de compte ? Non, ça va. C'est arrivé une fois.
Qu'est-ce qu'il y a ?
[01:32:38] Speaker B: Il te juge si fort quoi ! J'ai arrêté le jugement, le jour où je suis parti.
[01:32:45] Speaker E: Et t'es quand même revenu, c'est ça que moi j'ai pas compris.
[01:32:47] Speaker B: Bah j'ai pas le choix.
[01:32:48] Speaker E: Tu me diras, même moi je reviens.
[01:32:50] Speaker C: Ça va je vous dérange pas là ?
[01:32:51] Speaker B: Non ça va, enfin si un peu.
qu'on fait avec.
[01:32:56] Speaker C: Alors dans les participants il y a eu Evan, il y a eu Kevin, parents et il y a eu lampe de chevet. Je suis désolé lampe de chevet, à chaque fois ça me fascine ce pseudo. Et c'est Evan qui donc a raflé la mise. Et donc voici son petit message.
[01:33:12] Speaker B: Salut Pierre, salut les baigneurs et bonjour à nos invités.
[01:33:15] Speaker C: Aujourd'hui je vous présente un petit clip.
[01:33:18] Speaker B: De Seven Hours After Violette. C'est un groupe que j'ai découvert grâce à la programmation d'un festival local à.
[01:33:26] Speaker C: Clisson, côté de Nantes.
[01:33:28] Speaker B: Vous allez peut-être reconnaître un grand chauve avec une barbichette aussi longue que son crâne.
[01:33:35] Speaker C: C'est finalement Chaveau de System Of A Down.
[01:33:38] Speaker B: C'est du metalcore assez récent, 2024 il me semble pour l'album. Je vous souhaite une bonne écoute à tous.
[01:33:46] Speaker C: C'est gentil Evan, il est bien son message. Belle explication, simple, efficace, petite voix posée, beau gosse, végé.
[01:33:56] Speaker E: Pas de la voix du moins. Je sais pas à quoi il ressemble.
[01:34:00] Speaker B: Le physique ça compte pas. T'es toujours la destructrice.
[01:34:06] Speaker E: Je sais pas.
[01:34:08] Speaker C: On s'en fout, c'est pas ce qu'on lui demande.
[01:34:11] Speaker E: Oui bah quand j'ai présenté Zech la dernière fois t'arrêtais pas de dire il est beau, il est beau, chacun son tour.
[01:34:16] Speaker C: Oui parce qu'il est beau. D'ailleurs quand t'as allé lui dire bonjour pendant des tours Remember je me suis barré au courant de ce que je lui ai dit.
[01:34:22] Speaker E: J'avais tellement envie de te présenter.
[01:34:23] Speaker C: Je me suis barré, j'ai fait oh putain je vais être tout rouge et je vais dire non mais ne me frappez pas.
[01:34:30] Speaker E: Tu l'as objectifié.
[01:34:32] Speaker C: C'est le chanteur de Azéburne, bon bref. De toute façon, cela n'est pas le sujet. Evan, merci mille fois, comme pour les autres bien sûr. Et excellent choix, pareil. On va regarder ça, puis on peut en discuter si vous le souhaitez, juste après.
[01:35:08] Speaker A: Riding in the streets and tell the passing light I'm gone Can't even look at me now You are missing me It's alright As my bones fall C'est la fin de cette vidéo.
C'est pas vrai !
Now I'm so fucking mad ! Hallucinating Soldiers indeed me You are pissing me You are pissing me It's alright It's alright As my blood spills I'm still alive Possessing me Possessing me It's our time It's our time I'll dance to you forever Excellent.
[01:38:01] Speaker C: Choix de Evan sur notre Patreon si vous avez envie de nous soutenir et bien n'hésitez pas et si vous n'avez pas les moyens ne vous inquiétez pas vous pouvez tout simplement nous suivre sur les réseaux liker et commenter c'est déjà énormissime merci merci d'être de plus en plus nombreux et nombreux à suivre Bang Bang et encore plus Restless Radio ce que nous venons de regarder d'écouter c'était Seven Hours After Violet Voilà, avec le titre « Alive ».
[01:38:24] Speaker B: Et c'était le choix de nos patrons.
[01:38:26] Speaker C: Exactement, de Evan plus précisément. Alors oui, c'est vrai, j'ai oublié de le dire aussi, dans un très court instant, la dame métal revient puisque, bien sûr, l'interview n'est pas terminée. Loin de là, elle a beaucoup, beaucoup de choses à nous dire et puis nous, on est très curieux, donc on a envie de connaître son parcours, mais en attendant.
[01:38:42] Speaker B: Mais le problème, c'est que Gladys avait des chroniques à nous présenter et elle a dit « je vous pète la gueule si je ne les fais pas ».
[01:38:48] Speaker E: Exactement.
[01:38:49] Speaker B: Sachez qu'on réagit vraiment sous la contrainte.
[01:38:52] Speaker C: Regardez, vous voyez ? C'est vrai qu'il y a un plan sur son visage, on a bien compris que...
[01:38:56] Speaker B: C'est une déesse, donc on n'a pas trop le choix de dire mot.
[01:39:02] Speaker E: Rosternez-vous devant moi.
[01:39:04] Speaker B: Simple mortel. Oh non, pas l'anus encore !
[01:39:08] Speaker C: Je suis bloqué !
[01:39:10] Speaker B: Ma prothèse de hanche !
[01:39:15] Speaker C: Bon alors, tu voulais nous parler d'un autre groupe ?
[01:39:18] Speaker E: Oui, tout à fait. Alors là, je reviens un peu aux racines. On va faire un peu plus de bagarre, tu vois. Donc je vais vous parler d'un duo parisien qui vient de mettre tout le monde d'accord avec leur dernier morceau. Donc le groupe, c'est DOPSPEL. Et le titre, c'est No Hole for Glory.
[01:39:32] Speaker B: Pas de trou pour la gloire.
[01:39:34] Speaker E: Voilà.
[01:39:35] Speaker C: Donc dès l'intro... Pas de trou pour ma gloire ?
[01:39:38] Speaker E: Ma gloire en un seul mot ou.
[01:39:41] Speaker C: En deux mots ?
[01:39:43] Speaker B: Ma gloire c'est plutôt l'ultro je pense.
[01:39:45] Speaker C: Bon allez on continue.
[01:39:47] Speaker B: Je l'ai déjà vu au bar.
[01:39:49] Speaker C: Ah oui moi aussi je l'ai déjà rencontré. Bon bref.
[01:39:51] Speaker B: C'était un buffet gratuit, je peux dire que le champagne ça coulait à flot.
[01:39:54] Speaker E: Elle est horrible.
[01:39:59] Speaker D: Elle est horrible.
[01:40:00] Speaker C: Tu veux continuer Gladys s'il te plaît ?
[01:40:04] Speaker E: Il faut que j'arrive à respirer.
Vous allez voir que dès l'intro, t'es à paix, l'ambiance elle est lourde, tendue, presque ciné. Le morceau démarre pour de bon et là quand il démarre, y'a pas de transition douce, genre tu te prends une tape dans la gueule directe.
[01:40:18] Speaker B: On aime bien ça.
[01:40:19] Speaker E: Voilà. Le son il est massif, brut, c'est super bien foutu, y'a rien de brouillon, tout est en place, ça claque. Au chant on retrouve Morse qui est aussi tatoueur que moi je connais depuis des années et des années et de l'époque où j'habitais pas encore à Paris donc c'est pour vous dire. il est totalement habité, sa voix c'est pas juste genre de l'agressivité pour faire genre, chaque mot est balancé avec une intention, avec du poids, et il y a un moment fort au milieu où il gueule pas, il hurle pas, sa voix elle est juste posée, mais chaque mot a une intensité et il le pose de manière à ce que ça soit hyper percutant en fait. Et du coup chaque mot tombe juste, et ça j'adore. Et derrière tout ça, à la prod, Au mix, même à la réale du clip, t'avais l'ancien batteur de l'Esprit du Clan. Et franchement, tu sens qu'il a dû vécu, vu l'expérience. Et surtout une vraie direction. Il y a aussi un break de Dingo, ultra bien amené, forcément. Et la fin du morceau, je l'adore parce qu'elle s'étire, mais juste ce qu'il faut. C'est net, c'est propre, c'est marquant, vous allez kiffer. Et ce qui impressionne le plus, c'est qu'ils sont juste deux. Et pourtant t'as l'impression, t'as un son dense en fait, qui est vivant, qui est organique. Ils sont en train de bosser actuellement sur du passage en live, en mode DIY. Et juste petite annonce, ils cherchent encore un guitariste de session pour compléter ça sur scène. Donc s'il y a des guitaristes qui sont chauds. Voilà, j'ai passé le message.
[01:41:42] Speaker C: Oh waouh, ils vont recevoir plein de messages.
[01:41:44] Speaker E: J'espère pour eux, j'espère pour eux, mais qu'il soit bon par contre.
[01:41:46] Speaker C: Oui, oui, voilà.
Si vous êtes une merde...
[01:41:49] Speaker E: Si tu sais faire trois accords sur ton lit, ça sert à rien. Vous allez voir, c'est super bon.
[01:41:56] Speaker C: Un bon guitariste expérimenté.
[01:41:58] Speaker E: Et bonne nouvelle aussi, un album est prévu pour 2026. Donc si ce titre, c'est le niveau de base, on peut s'attendre à du très très lourd.
[01:42:07] Speaker C: C'est le tout premier morceau, c'est ça ?
[01:42:08] Speaker E: C'est le tout premier morceau du prochain clip. Enfin du... Album, putain. Tu m'as perdu là.
[01:42:14] Speaker C: Ok d'accord.
[01:42:15] Speaker E: Du coup franchement je trouve que ça donne envie de secouer la tête et de rester à l'écoute d'Obspel. Pour moi c'est un groupe à surveiller de très très près.
[01:42:22] Speaker B: Bah merci de partager ça avec nous comme ça on peut découvrir aussi.
[01:42:24] Speaker C: Bah ouais grave parce que moi je connaissais pas.
[01:42:25] Speaker B: Eh bah moi non plus je connais pas je crois.
[01:42:27] Speaker E: Ça c'est récent.
[01:42:28] Speaker C: Ravis. Eh bah voilà ça c'est de la belle exclusivité.
[01:42:31] Speaker E: Eh ouais.
[01:42:32] Speaker C: On va pas nous dire qu'on passe pas des groupes en création, en devenir et bravo Gladys encore une fois pour tous ces choix.
[01:42:39] Speaker E: Avec plaisir.
[01:42:39] Speaker C: J'essaye de me prosterner désolé ça va marcher.
[01:42:41] Speaker E: Non mais l'intention était là je note. Je note que toi tu n'as même pas essayé.
On en parlera plus tard.
[01:42:48] Speaker C: Putain, je vais encore redoubler. Merci Gladys, on te retrouve prochainement. Et puis on te trouve surtout sur Milkshake Media. Voilà, notez bien, c'est pas compliqué. Allez-y, rejoignez les réseaux sociaux et vous serez ravis, j'en suis persuadé.
[01:43:07] Speaker E: Merci beaucoup.
[01:43:09] Speaker C: Merci. Allez, c'est parti pour Dope Spell.
[01:47:24] Speaker A: 1, 2, 3 !
[01:49:00] Speaker C: C'est la vie, c'est la vie C'est.
[01:49:11] Speaker A: La vie, c'est la vie C'est la vie, c'est la vie T'as l'air d'un atomi, c'est l'heure de l'anatomie T'as l'air d'un atomi, c'est l'heure de l'anatomie T'as l'air d'un atomi, c'est l'heure de l'anatomie.
[01:49:45] Speaker C: T'as l'air d'un atomi, c'est l'heure de.
[01:49:47] Speaker D: L'Anatomie.
[01:50:29] Speaker C: Moi ça j'aime bien ça, je me suis dit c'est délicat, c'est calme, ça part dans tous les sens, ça mélange plein plein de choses. Alors je pense que leur nom c'est Ailif Dopa, A-I-L-I-F-D-O-P-A pour ceux qui écoutent le podcast, comme ça au moins ils ont le nom. Et la chanson c'est A Hell Anatomia.
C'est un mélange de choses, je ne me suis pas plus renseigné, mais je me suis dit, en regardant ça, c'est un peu barré, ça fait des liens japonais qui partent dans tous les sens. Il y a un côté punk, un côté ska, un côté System of a Down aussi. On aura pu constater quelques petits... Cette fin très... Ouais, qui s'accélère, c'est très rapide, très soutenu. Mais j'ai bien aimé, plein de couleurs. Donc voilà, si vous souhaitez en découvrir plus, n'hésitez pas à aller les suivre sur les réseaux ou alors prendre votre plateforme d'écoute légale, celle la moins conne.
vous irez découvrir leurs morceaux. Excusez-moi, je m'étouffe. Alors nous vous revoilà avec notre invité de la soirée. Encore merci la dame métal d'être parmi nous, d'avoir fait ce grand voyage.
[01:51:32] Speaker D: Oui, bah écoutez, c'est à moi que ça fait plaisir.
[01:51:34] Speaker C: Bon, c'est gentil, merci. Est-ce qu'on peut, de ton côté, expliquer globalement tout ce que tu fais ? Parce qu'il y a quand même différentes choses.
[01:51:42] Speaker D: Ouais, alors donc, moi je suis sur plusieurs plateformes, sur les réseaux sociaux, donc je suis sur Instagram, je suis sur TikTok, je suis sur YouTube, mais à la base, quand j'ai créé du contenu, je voulais tout d'abord créer une chaîne Twitch. Donc c'était avant tout ça, c'était vraiment la création de contenu sur Twitch. Donc je fais des choses totalement différentes sur chaque plateforme. Donc Insta et TikTok, ça va surtout être du contenu soit informatif, soit des anecdotes, soit du humoristique. Voilà, je me fais kiffer avant tout, je fais des petits contenus. Voilà, j'ai plaisir à les faire aussi. Twitch, ça va plus être de la React. Donc je Twitch, enfin je stream plutôt tous les jeudis à 21h. Et on fait de la réact ensemble sur des documentaires métal ou alors sur des actus métal ou alors sur tout simplement la culture alternative de façon générale. Et sur Youtube en fait je l'utilise pour mettre mes replay de Twitch. Et aujourd'hui j'ai développé un nouveau format qui est plutôt les vlogs aux événements auxquels je me rends. Les gens ils aiment bien parce que des fois quand t'as pas eu l'occasion soit d'y aller ou que tu te dis ah j'aimerais bien découvrir comment c'est avant de m'y rendre l'année prochaine, ça leur donne un petit aperçu et ils disent ok bon bah je prendrais mon billet pour l'année prochaine. T'as fait beaucoup de choses déjà.
Mais je m'éclate et puis voilà, je fais mon petit bout de chemin comme on dit.
[01:53:05] Speaker C: T'as un univers quand même. Enfin je veux dire, on disait tout à l'heure, ce faire-foutre nous le disait aussi, mais la dame métal c'est un univers. T'as une façon de présenter les choses, t'as un personnage. Par un personnage, je veux dire, c'est peut-être toi, mais... Oui, ça reste moi.
[01:53:18] Speaker D: Sur les réseaux sociaux, disons que je voulais en fait, je voulais être loin de toute l'image qu'on pouvait avoir, des clichés qu'on pouvait avoir du métal. Je parle pas forcément de ceux qui sont déjà métalleux, enfin les métallettes de façon générale, mais ceux qui n'y connaissent rien. Et quand tu leur dis, j'écoute du métal, c'est ah ouais, bière, rock'n'roll, machin, enfin bref, les clichés un peu C'est.
[01:53:43] Speaker C: Comme s'il n'y avait pas autre chose.
[01:53:44] Speaker D: C'est comme s'il n'y avait pas autre chose et surtout que moi, j'ai jamais eu cette image-là depuis que j'écoute ce style de musique. Et moi, j'avais plutôt envie de montrer un univers un peu plus... En fait, j'avais envie de représenter l'univers que moi je me représente dans ma tête quand j'écoute cette musique en fait. Donc quelque chose d'assez énigmatique, on joue sur des codes un petit peu, je vais pas dire du fantastique, mais un peu bleutés, très dans les couleurs. En fait j'associe beaucoup les couleurs aux émotions. et j'avais envie de faire ressentir ça à travers ma déa et surtout en fait c'est très bizarre mais voilà dans le métal on a tendance à utiliser des couleurs sombres tout ça donc dans ma déa je me suis dit tiens je vais contraster, être plus pétillant peut-être un petit peu plus coloré mais en étant intense fallait que ce soit aussi intense que ce que je pouvais écouter et voilà donc oui j'ai un univers J'ai un univers en fait où je tends à présenter quelque chose qui soit loin des clichés, qui soit peut-être, je vais oser dire les mots, plus élégant. J'avais envie de présenter quelque chose qui soit élégant, accessible et peut-être aussi intense en couleurs.
[01:55:03] Speaker C: Et puis ça ouvre quand même, non ? Ça permet peut-être à des gens qui ont des a priori sur le métal de dire bah, elles l'écoutent, donc pourquoi je ne m'y intéresserais pas ?
[01:55:12] Speaker D: C'est ça, c'était vraiment en fait l'idée, c'était déjà de partir loin de tous les clichés, de dire en fait quand on dit à quelqu'un j'écoute du métal, tout de suite il va dire gros black metal machin tout ça, alors que pas du tout, il y a différents genres sous-genres. Et l'idée c'était en fait de dire mais si tu veux t'y intéresser, il y a des choses vraiment que tu peux écouter, ça va bien se passer, t'inquiète pas, aucune chèvre va être brûlée sur la place publique ou quoi, tout va bien se passer. Donc c'était vraiment cette idée d'accessibilité, de casser un peu les clichés et puis de faire honneur en fait, de faire honneur à ce style de musique qui m'a beaucoup aidée dans beaucoup de périodes.
[01:55:51] Speaker C: C'est dur de devenir créateur de contenu ? Est-ce que c'est quelque chose qui... En étant une femme en plus, je veux dire, il y a plein de schémas là, donc je te laisse dire ce que tu veux, mais quand on fait ce genre de choses, alors nous on peut déjà en parler, mais c'est pas la même chose qu'on fait, donc c'est différent, mais c'est un milieu qui est difficile.
[01:56:08] Speaker D: J'ai envie de dire oui et non parce que là où j'ai eu de la chance, en fait je vais te dire oui c'est difficile si tu veux te lancer dans un domaine qui est très général.
[01:56:19] Speaker C: D'accord.
[01:56:19] Speaker D: Je vais dire mainstream. J'avais envie de dire mainstream mais je me suis dit oh là là. Non mais en fait là où j'ai de la chance c'est que je me suis lancée dans un domaine où déjà il y a enfin à ce moment là il y avait encore peu de créateurs de contenu et surtout j'étais une femme donc Alors, c'est ça qui est rigolo, c'est que j'aime bien dire que le fait d'être une femme, c'est à la fois mon avantage et mon inconvénient. Mon avantage, parce qu'on n'est pas beaucoup encore, et mon inconvénient, parce que du coup, je dois prouver, je dois prouver, je dois débroussailler le chemin. Mais c'est exactement ce que... J'avais eu une conversation comme ça où on m'avait dit, mais en fait, tu coupes les arbres et tu traces la voie pour que les gens puissent Pour.
[01:57:00] Speaker C: Que d'autres vies puissent le faire aussi ?
[01:57:02] Speaker D: Oui, pour que les nanas puissent se dire, si si vous pouvez le faire et tout, il n'y a pas de soucis et puis ça va bien se passer. Et vous sentez-vous légitime aussi de le faire ? Mais je ne suis pas la première, il y a eu d'autres créatrices avant moi, mais on est de plus en plus, mais c'est cool de voir que plus on aura des exemples et plus les femmes se diront mais ouais moi pas nécessairement dans le métal mais dans tout et n'importe quoi on peut se lancer dans la création de contenu dans n'importe quel domaine si déjà si ça vous fait plaisir si vous avez envie de trouver des gens avec qui parler de ça bah faites-le c'est que du bonheur et puis surtout tracez votre route quoi vraiment tracez votre route c'est vraiment en tout cas c'est quand je me suis lancée sur les réseaux c'est Un peu le mindset que je me suis dit, c'est tu fais, tu t'éclates, si tu te sens forcée, c'est pas un problème. Et tu essaies de revoir, de prendre du recul, machin. Et puis tu kiffes et tu traces ta route. Vraiment, c'est mon mindset, je me le suis écrit sur un tableau devant moi quand je travaille, écrit tu traces ta route.
[01:58:06] Speaker C: Dès qu'il y a des compromis ou un truc...
[01:58:08] Speaker D: Dès qu'il y a un truc qui me... Ça arrive aussi, ou des contraintes. Mais même des fois, tu sais, quand tu crées, des fois t'as pas envie. Tu te dis, putain, ce soir, il faut que je publie une vidéo. Et t'as pas envie, quoi. Tu te dis, ok, qu'est-ce que je vais publier la semaine prochaine ? Et t'es, ok, là, si je sens que j'ai pas envie, c'est que soit il y a un souci, soit il y a tout simplement un syndrome de la page blanche. Enfin, des choses comme ça, mais bon, c'est que du détail.
[01:58:33] Speaker C: C'est quand même de la panique et de...
[01:58:35] Speaker D: Mais pour en revenir à ta question, oui, c'est facile s'il n'y a pas grand monde dans le domaine qui est choisi, métal ou pas métal, bien sûr. Et non, ce n'est pas facile dans le sens où, justement, c'est tellement niche, c'est tellement niche des fois que... Comment expliquer ça ? C'est tellement niche que ça met du.
[01:59:00] Speaker B: Temps à être découvert, à trouver ton public.
[01:59:04] Speaker D: À trouver son public, à le construire. Et puis aussi que les gens te voient un petit peu comme une référence. Alors loin de moi l'idée de dire je suis la référence. Mais d'acquérir une confiance. Voilà, d'acquérir une confiance.
et que quand je fais des propositions musicales, les gens savent pourquoi ils me suivent aussi. C'est-à-dire qu'ils me suivent parce que je vais faire quelques petites propositions, ou je vais parler d'un événement, ou même je vais conseiller une tatoueuse ou des choses comme ça. Et puis les gens, ils aiment bien ça. En fait, c'est vraiment ce côté... En fait, ça fait partie de mon univers. C'est vraiment... Moi, je vois Instagram comme une petite maison. C'est-à-dire que chacun... Enfin, comme un grand lotissement.
C'est-à-dire que chacun a sa petite maison et quand tu vas dans la maison, t'as plein de petites choses à découvrir. J'imagine ça un petit peu comme ça, c'est-à-dire qu'un compte Instagram égale une petite maison avec un univers. Tu rentres dedans, si ça te plaît, tu restes un petit peu et si ça ne te plaît pas, tu te renvoies, tu te casses.
[02:00:06] Speaker C: C'est très important, il faut quand même le rappeler. Ça ne sert à rien. Quand on n'aime pas, ça ne sert à rien de rester. Autant aller voir ailleurs.
[02:00:12] Speaker D: Mais il y en a beaucoup qui ne le comprennent pas.
Des fois tu me critiques tout le temps. Des gens vraiment, ils ont un réflexe. Ah j'aime pas, ah j'aime pas. Quand je fais des recos musicales, ah j'aime pas, j'aime pas. Mais pourquoi tu restes en fait, si tu veux ? On est plusieurs à faire des recos, tu trouveras sûrement ton bonheur. Et c'est ça aussi qui est bien dans la création de contenu, c'est que du fait qu'il y ait de plus en plus de créateurs de contenu, et comme il y a pas mal de genres de métal, on peut tous avoir aussi nos spécialités, entre guillemets je dirais.
[02:00:45] Speaker C: Il ne faut pas être triste ou déçu au début aussi parce que c'est la difficulté d'avoir sa communauté. C'est très long quand même, on ne claque pas des doigts et les gens ne tombent pas du ciel. Donc il faut avoir un univers, toi tu as réussi à le créer, il faut réussir à avoir une façon de présenter, une mise en scène parce que c'est ça qu'on veut aussi. On y pense assez peu mais parler seul, ce n'est pas le truc le plus simple du monde non plus.
[02:01:11] Speaker D: J'ai de la chance en fait qu'à mon appartement on ait un bureau et qui nous sert de studio et en fait je m'en sers pour faire mes vidéos mais c'est vrai que dans le quotidien c'est un exercice...
qui n'est pas toujours simple. Au début moi j'avais du mal à parler devant la caméra, surtout sur les live Twitch. Les premiers live Twitch c'était...
[02:01:36] Speaker C: Tu trouves ça plus difficile le live Twitch que de faire une vidéo ? Ah oui !
[02:01:40] Speaker D: Ah oui ! Enfin à mon sens, après chacun a son ressenti là-dessus. Maintenant je suis beaucoup plus à l'aise quand je suis en live Twitch. Je suis beaucoup plus à l'aise, c'est-à-dire que pour faire un comparatif, quand j'ai commencé il y a un an, quand je préparais mes live Twitch, je mettais mon setup, je le préparais une heure avant, et puis l'après-midi j'avais passé à faire mes scripts et tout, genre je vais parler de ça, ça, ça, je vais poser telle question, telle question, telle question, et puis en fait je me suis rendu compte que ça me brimait dans la spontanéité et dans mes lives. et puis en fait maintenant aujourd'hui je me prépare dix minutes avant, le setup pareil et bon mes programmes je les prépare quand même à l'avance mais j'arrive je suis tranquille quoi, enfin c'est bon et j'ai compris ce système là et en fait pour moi c'est beaucoup plus simple et puis ça me met beaucoup plus à l'aise quoi.
[02:02:31] Speaker C: Carrément ouais t'es moins bloquée, tu te dis, ah bah là c'est le moment où je dois dire ça.
[02:02:35] Speaker D: Mais c'est ça.
[02:02:35] Speaker B: Finalement vous avez plan de concordance parce que toi aussi avant tu préparais vraiment beaucoup les vagues.
[02:02:39] Speaker C: T'es enfoirée.
[02:02:40] Speaker B: Et maintenant tu fais ça plus... Quel salaud ! Plus naturel quoi !
[02:02:45] Speaker C: C'est vraiment un salaud !
[02:02:47] Speaker B: Quoi, c'est pas vrai ?
[02:02:49] Speaker C: Mais non mais c'est... Ça arrive des fois, mais je sais qu'avec la Dame Métal, la discussion est plus simple. Je n'ai pas besoin de savoir un truc, je veux juste savoir qui est la Dame Métal.
[02:03:02] Speaker B: Blague à part, nous on est beaucoup plus à l'aise en live qu'en enregistré.
[02:03:07] Speaker C: Je suis un assez mauvais acteur.
[02:03:09] Speaker B: Et c'est pour ça qu'on fait l'émission en live. Et il y a ce truc d'être beaucoup plus naturel, fluide.
[02:03:16] Speaker D: Bah là je suis très à l'aise. Ça va, aujourd'hui t'es à l'aise.
[02:03:20] Speaker C: Mais t'as eu une formation avant ?
[02:03:23] Speaker D: Mon parcours ?
[02:03:24] Speaker C: Ouais parce que t'as décidé de faire ça à quel moment ? Enfin c'est arrivé comme ça, tu faisais autre chose ?
[02:03:29] Speaker D: Alors... Bah si t'as envie d'en parler. Oui bien sûr, on est là pour ça, sinon je m'en vais.
Mais en fait, pour la petite histoire, j'ai commencé il y a un petit peu plus d'un an maintenant. Et moi, à l'origine, je suis chargée de production audiovisuelle et je travaillais déjà pour des créateurs de contenu. Et le truc, c'est que j'étais des créateurs de contenu qui étaient dans le divertissement. Et quand t'es dans le divertissement, au bout d'un moment, je trouvais plus trop de sens à ce que je faisais. Les projets sur lesquels je travaillais, je trouvais plus trop de sens. Et moi j'avais vraiment le besoin de faire quelque chose qui me parle. Et puis je consommais beaucoup de contenu métal. Même j'étais un peu retournée dans ce style musical. Mais vraiment, en fait, j'étais restée très longtemps dans les groupes que j'écoutais depuis des années. Et je ne m'intéressais plus du tout à ce qui se faisait de nouveau. Et quand j'ai commencé à m'intéresser, j'ai dit mais...
Mais punaise, j'ai raté beaucoup d'épisodes et donc j'ai dû rattraper tout ça et en fait je me suis dit mais il n'y a pas grand monde qui fait de la création de contenu là dessus et puis en fait j'avais accumulé aussi beaucoup de compétences grâce à mon travail. Et en fait, quand tu travailles pour des créateurs de contenu, t'es pas juste chargé de production, t'es à la déco, tu fais tout, tu fais beaucoup de choses.
[02:05:03] Speaker B: Parce que c'est pas encore aussi... Enfin, excuse-moi, je me coupe, mais c'est que c'est aussi un milieu qui est encore en... C'est un milieu qui se professionnalise encore et que du coup, il n'y a pas encore les budgets pour tout. Tout le monde est obligé d'un peu tout faire pour faire le truc, parce que ce n'est pas devenu encore des productions. Enfin, pour certains, oui, pour ceux qui sont...
[02:05:24] Speaker D: Mais oui, c'est des toutes petites équipes pour beaucoup de créateurs de contenu. Et du coup, quand tu travailles, quand on dit tu travailles à la production, en vrai, tu travailles à la déco. Tu travailles aussi. Moi, je faisais de l'installation de setup. des choses comme ça. Enfin, t'es assez multitâche. Et en fait, comme je commençais à en avoir un petit peu assez, je me suis dit, mais attends, je faisais du montage aussi, des choses comme ça. J'ai dit, mais attends, mais t'as un panel de compétences. Pourquoi tu le mets pas à ton profit ? Et c'est comme ça que c'est mis.
[02:05:55] Speaker C: Après, c'est pas toujours facile de passer de l'autre côté.
[02:05:58] Speaker D: C'est pas toujours facile. Après, j'avais déjà fait de la création de contenu un petit peu avant dans un domaine qui était totalement différent. Donc, être devant la caméra, c'était déjà un exercice que je connaissais. Et puis, là, je me suis dit, là, j'ai envie de le faire pour un truc qui me stimule à fond. Et voilà. Et c'est comme ça qu'est née la dame métal.
[02:06:18] Speaker B: C'est souvent plus facile. C'est souvent plus... Excuse-moi, mais c'est souvent plus facile quand c'est un truc qui te motive. Les épreuves, les efforts semblent moins durs à faire.
[02:06:28] Speaker D: C'est ça, on en revenait sur le côté difficile mais ça fait partie.
Si ça ne te stimule pas, si ça ne te parle pas là, c'est compliqué. Si tu ne te fais pas plaisir, parce que c'est clair que, comme tu disais, c'est dur de créer sa propre communauté, c'est dur de rassembler des gens, de tenir le rythme, tout ça. Si tu perds, on va dire, ce qui te stimule, si tu perds la raison pour laquelle tu as fait ça, et le plaisir aussi de créer. Moi, quand je publie une vidéo, je suis contente. Il y a un peu de fierté quand on crée quelque chose. On le publie, on le montre au monde. Comme tout créateur de contenu, ça nous fait plaisir. Et si on perd ça, si tu perds ce truc-là, c'est que c'est déjà... Ça va être compliqué de continuer si tu perds cette petite flamme-là.
[02:07:18] Speaker C: C'est vrai, c'est vrai. Petit peu de musique ? Un tout petit peu de musique. Après on va parler du début de ton amour avec le métal, tes découvertes.
[02:07:28] Speaker B: La rencontre.
[02:07:29] Speaker C: La rencontre.
[02:07:29] Speaker B: La toute première fois.
[02:07:30] Speaker C: Les amis, les habits, tout ça. On va en savoir beaucoup plus sur la dame métal, encore plus. Et là je vois que tu as choisi... Alors, je ne m'attendais pas à ça. Je ne connais pas tes goûts donc en fait je te découvre un petit peu. Machine Head.
[02:07:45] Speaker D: Ouais, j'ai choisi « Machinette » de Hello. Parce que justement, tu disais comment on en est venu à cet amour pour cette musique. Je crois que ça a été ma première grosse claque en concert. J'ai vraiment une attache assez particulière à cette chanson parce que c'était la première fois que je vibrais vraiment en concert. Je ne sais pas si vous voulez raconter un peu.
En fait, la première fois que je suis allée au Hellfest, c'était en 2007. Et pour la petite histoire, c'était mon frère qui m'y avait emmenée. J'avais 15 ou 16 piges, un truc comme ça. Enfin, à l'époque, c'était les premiers Hellfest. Et cette année-là, il y avait Machine Head qui passait. Et moi, je connaissais pas du tout encore. J'écoutais plus du rock, mais du métal, je connaissais encore très peu de groupes, à part Korn, voilà, des groupes comme ça.
Et c'était l'année où il n'avait plus Lagadou, machin, tout ça, enfin une horreur, machin. Et donc j'arrive et puis déjà l'ambiance du festival me plaisait. C'était la première fois, non seulement le premier concert, mais en plus premier festival.
[02:08:56] Speaker C: C'est quand même la classe, je veux dire.
[02:08:58] Speaker D: C'est un souvenir marquant. C'est marquant, c'est très très marquant. Et le premier concert que je vois, bah ouais, c'est Machine Head. Et puis là, ils se mettent à chanter le son Hello.
Et je sais pas, je suis transportée par cette musique et je sens qu'elle me parle. Tu sais, c'est très bizarre, mais je sens qu'elle me parle.
[02:09:22] Speaker C: On parle souvent de coup de foudre dans l'émission.
[02:09:26] Speaker D: J'ai eu un coup de foudre, je pense. J'ai eu un coup de foudre et je suis restée un peu scotchée et avec l'envie de réécouter cette musique. Alors, à l'époque, je faisais plus une fixette sur cette musique que le groupe en lui-même. Et puis, quand je suis allée voir un peu les paroles, ça me parlait énormément parce que c'est une chanson qui parle pas mal de, on va dire, dénonciation des contraintes religieuses ou des choses comme ça. Et moi, j'ai vraiment une aversion envers tout ce qui est, on va dire...
Et je sais pas, je sentais que cette chanson elle me parlait et effectivement quand j'ai un peu traduit les paroles, parce que je ne suis pas bilingue, quand j'ai traduit les paroles j'ai dit bah ouais ça me parle et puis bah c'est un peu comme ça que voilà.
[02:10:15] Speaker C: Ça a ajouté encore plus à la chanson quoi, tu l'avais déjà en vibration là.
[02:10:18] Speaker D: Ouais c'est ça. C'était un sacré souvenir et puis vraiment j'ai vraiment les images de moi qui est comme une con avec mon verre de cidre et mon frère à côté.
[02:10:29] Speaker B: Qui fait putain de pleurs. Quoi pardon tu buvais du cidre à 15-16 ans ?
[02:10:32] Speaker D: Oupsie !
[02:10:33] Speaker C: Faut pas le faire, mais bon, maintenant c'est passé. 2007, c'était notre époque.
[02:10:38] Speaker B: Ton frère va finir en taule.
[02:10:41] Speaker C: Ouais, je crois que là, il y a une conscription.
[02:10:44] Speaker B: Ah bah, j'espère pas. Non, c'était il y a moins de 5 ans.
[02:10:47] Speaker D: 2007. Flatter !
[02:10:49] Speaker C: En tout cas, il a failli faire...
[02:10:55] Speaker B: Bah non, c'était il y a au.
[02:10:56] Speaker C: Moins... Oui, parce que je t'ai entendu dire il y a 5 ans, mais je ne sais plus calculer, comme je suis un peu... Mais Bachinade, quand même, je me suis dit, quelle est la période de sa vie ? C'est vraiment le début.
[02:11:08] Speaker D: C'est vraiment les premiers concerts.
[02:11:12] Speaker C: Les premiers émois du métal. Non mais c'est cool parce que dans tes propositions, j'avais pensé que c'était autre chose. Bon, on y reviendra un peu plus tard.
[02:11:19] Speaker D: Oh bah ça va venir !
[02:11:21] Speaker C: Je garde ça petit secret, c'est pour la suite. En attendant, on va regarder justement ce clip.
[02:11:27] Speaker D: Ah le clip, les vieux ! Je trouve que le clip a très très mal vieilli, mais bon.
[02:11:32] Speaker C: Au Machinède, ils n'ont pas fait des super clips en carrière.
[02:11:35] Speaker D: Ils ne sont pas connus pour ça.
[02:11:36] Speaker C: Je ne me souviens pas de beaux clips de Machinède. Je me permets de me tourner vers le spécialiste. Bon allez, on y va Machinède !
[02:12:28] Speaker A: C'est C'est le droit à la vie, pas juste une bataille C'est la mort, la mort, la mort, la mort et je ne prierai pas pour toi et je ne prierai pas pour toi C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé !
Oh.
[02:16:46] Speaker C: Putain !
[02:17:13] Speaker A: Tu n'aimes pas la douleur donc tu es parti de meilleures journées T'es devenu si bon en t'étouffant Tu es un peu désagréable donc tu es parti de meilleures journées Est-ce que tu es heureux maintenant ? Non, ce n'est pas trop tard Pour changer tout ce que tu veux.
[02:17:51] Speaker D: You.
[02:17:51] Speaker A: Don'T wanna run from better days You got stuck in your hometown It's so dramatic how you run from better days I won't let you bring me down It isn't my fault that you ran from better days Are you happy now ? Now it's not too late To change everything you wanna change I hope one day you'll say You don't wanna run.
[02:18:47] Speaker D: From.
[02:19:20] Speaker A: To change everything you want.
[02:20:08] Speaker C: Oh que j'aime ce groupe, oh là là, Yellowcard, oui oui, j'avais envie de passer ce tout nouveau single, c'est tout frais, c'est tout bon, Yellowcard avec Better Days et on espère tous qu'il y aura de meilleurs jours, il y en a toujours bien évidemment, lorsque ça va pas, vous avez les amis, la famille, lorsque elle est sympa. Pas tout le temps le cas, mais normalement on est censé compter dessus. Mais les amis, voilà, ils sont là pour ça. Et puis, il y a toujours des numéros. Si vous n'allez pas bien, n'hésitez pas à aller checker sur Internet les numéros qui sont là pour vous aider, vous tendre la main. C'est gratuit. Et vraiment, il y a plein de services magnifiques en France qui sont là. Si vous allez assez mal, Yellowcard, eux, nous font aller bien. Et je vous conseille d'aller voir sur scène. C'est marrant parce que c'est un groupe qui n'a jamais trop, trop marché en France. Et c'est bien dommage parce qu'ils sont vraiment hyper sympas. Je me souviens qu'on a fait plusieurs sessions acoustiques avec eux quand on faisait Bring the Noise.
[02:20:57] Speaker B: En parlant de gens qui rendent heureux, est-ce qu'il n'y a pas la Dame Métal aussi ?
[02:21:02] Speaker C: La Dame Métal qui est toujours là bien sûr, merci encore une fois. On passe des chansons comme ça, tu connais un peu Yellowcard ou c'est pas ton style du tout ?
[02:21:10] Speaker D: Je connaissais pas nécessairement mais c'est sympa. C'est mignon.
[02:21:15] Speaker C: Oui, c'est mignon. C'est sûr que ça n'envoie pas le pâté.
[02:21:17] Speaker B: C'est une scène de pâté. Excusez-moi, je viens des Etats-Unis.
[02:21:25] Speaker C: Il est là pour traduire.
[02:21:26] Speaker B: Je suis là pour traduire.
[02:21:28] Speaker C: Il se passe plein de choses hors antenne.
[02:21:31] Speaker B: Il se passe plein de choses hors antenne.
[02:21:36] Speaker C: On discutait de plein de choses. Ça me perturbe.
J'ai le cœur qui bat de plus en plus vite. Bon, on discutait un petit peu de tout ce qu'on avait déjà dit dans le passage précédent. S'il te plaît Ben, ça me fait chier.
[02:22:03] Speaker B: It's making poop.
[02:22:07] Speaker C: En plus ça me fait rire, il y a comme une divergence.
[02:22:12] Speaker B: Love-hate relationship.
[02:22:15] Speaker C: Mais on parlait de nos expériences communes dans le métier. Et on disait que oui c'est très rude et j'essayais d'expliquer ce que je voyais du truc. J'arrivais pas à mettre de mots sur être une personne, réussir à faire quelque chose avec une incarnation. Et j'arrive pas à expliquer ça pour les jeunes qui pensent que c'est beau aussi.
[02:22:37] Speaker D: J'arrive pas à me concentrer.
[02:22:38] Speaker C: Je sais pas ce que ça donne surtout en podcast.
[02:22:40] Speaker B: Je la fais vraiment pas fort donc je pense que ça va.
[02:22:44] Speaker C: Mais du coup c'est très... Arrête ! En plus dans ma tête ça fait...
[02:22:48] Speaker D: En plus je suis en train d'attendre la traduction !
[02:22:51] Speaker B: Si vous voulez je repars aux Etats-Unis, ok ?
[02:22:54] Speaker D: Non, reste un peu.
[02:22:55] Speaker B: Au revoir Gladice !
[02:22:56] Speaker C: Au revoir Gladice ! Voilà c'est du direct.
[02:23:00] Speaker B: C'est bon, maintenant on peut reprendre.
[02:23:01] Speaker C: Mais oui, c'est quand même très très difficile, c'est pas un métier facile, ça peut faire rêver. On n'arrive pas au rêve très facilement. On aimerait bien en tout cas, nous on est toujours sur cette quête, on est au rêve parce qu'on se fait plaisir.
[02:23:15] Speaker D: Tout le monde rêve.
[02:23:16] Speaker C: Mais sans rêve, ça sert pas à grand chose non plus malheureusement. Mais il faut faire attention de ne pas imaginer des tas de choses. C'est un boulot. C'est pas quelque chose qui se fait comme ça. C'est un vrai travail, il y a de la rigueur, on a appris aussi de notre éducation, des métiers qu'on a pu faire, des rencontres qu'on a pu faire. Et c'est quelque chose qui se fait pas en claquant des doigts, il faut être strict. Alors moi je ne le suis pas, mais au moins... Non mais j'aurais jamais pu faire ça. En vrai, je réalise que j'aurais jamais pu faire ça tout seul.
[02:23:45] Speaker D: Être créateur de contenu ?
[02:23:47] Speaker C: Ben, c'est la personne qui dit, parce que de son expérience aussi, que c'est quelqu'un de sérieux. Oui, mais c'est toujours relatif. Oui, bien sûr, mais du coup, il faut être droit, il faut un rythme, il faut que ça sorte constamment, ça se nourrit et sinon disparaît en plus, parce que ça, c'est un métier aussi où... disparaître de moi pour reconquérir les gens, c'est compliqué.
[02:24:10] Speaker D: C'est ça. En fait, tu es toujours dans un espèce de stress de te dire je ne peux pas prendre de pause parce que si je ne poste rien, c'est terrible. Il y a beaucoup de créateurs qui souffrent de ça. J'ai l'impression de parler d'une maladie, mais c'est une réalité aussi. C'est que si on ne poste pas, il y a cette peur que les gens vont partir. Et en soi, non, ils seront là, c'est juste qu'il faut aussi beaucoup s'écouter. Et si on sent qu'on poste... En fait, souvent je dis je poste jamais un truc si je sens que je veux pas poster pour poster, tu vois. Des fois, c'est dur, mais en même temps, t'as une petite voix qui te dit non, il faut absolument que tu postes !
Non mais voilà, faut que ça reste avant tout si on se lance dans la création de contenu. Il y a plein de choses qui sont possibles, mais il faut vraiment avoir du plaisir à faire ce que vous faites, parce que s'il y a un moment donné où ça vous fait chier, c'est qu'il y a un problème. Ça veut pas dire qu'il faut arrêter. C'est-à-dire se dire, ok, pourquoi là ça me convient pas ?
[02:25:10] Speaker B: Faut trouver le moyen que ça soit toujours...
[02:25:12] Speaker D: C'est ça.
[02:25:13] Speaker B: Ce que je trouve un peu, excuse-moi, mais le truc que je trouve un petit peu malsain là-dedans, c'est que c'est pas tant les gens qui nous oublient, c'est plus l'algorithme qui va vraiment pas être cool si tu pertes ta régularité. Et c'est ça qui est un peu malsain, c'est que l'outil, l'outil se sert de nous presque plus qu'on se sert de l'outil. Et c'est ça qui conditionne un petit peu la manière dont on est obligé de travailler.
[02:25:38] Speaker D: C'est vrai qu'en fait, C'est très bizarre parce que tu as différents sons de cloche par rapport à l'algorithme. Moi je suis plutôt partisante de dire faites ce que vous voulez, on s'en fout parce que si vous commencez à vous dire en fait il faut absolument que je poste à 7h si ou que je poste 3 vidéos ou tous les jours dans l'heure ou quoi, en fait ça, ça vous empoisonne. Parce qu'il ne faut pas oublier que les gens qui consomment votre contenu c'est des vrais gens. Et s'ils sont là, en fait, s'ils vous suivent, c'est qu'ils ont bien aimé votre contenu et qu'ils seront là pour voir la suite, pour aussi regarder votre parcours. Et en fait, il y a aussi beaucoup de créateurs qui pensent trop à l'algorithme et qui pensent pas assez à les gens qui vous suivent derrière. C'est eux qui ont leur importance là-dedans. Et l'algorithme, écoutez, vous empoisonnez pas avec ça parce que c'est chronophage, c'est méga chronophage. Et il y a plein de sons de cloche, en fait.
[02:26:36] Speaker B: Il y a quand même l'aspect où...
On sait les choses qu'on pourrait faire pour que ça marche mieux. Mais on a aussi envie de faire les trucs qu'on aime. Du coup, on se dit qu'on n'en a rien à foutre. Mais par contre, c'est vrai que c'est vrai. Mais c'est aussi ce qui peut provoquer une croissance plus ou c'est beaucoup plus fastidieux parce que malgré tout, il y a des règles qui font que L'algorithme, il choisit ce qu'il montre aux gens aussi. C'est-à-dire que ce n'était pas vrai à une époque où tu voyais tout ce que tu suivais. Mais aujourd'hui, ce n'est plus le cas. Tu peux suivre... Il y a des groupes que je suis et j'apprends qu'ils ont joué le lendemain de la date parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont partagé des trucs sur eux. Et du coup, le truc ressort et je fais... Ah ! Je n'étais même pas au courant qu'ils avaient joué. Moi je suis d'accord avec toi dans le sens où il ne faut pas que ça conditionne tout. Mais la crainte de se dire que si je ne poste rien pendant deux semaines, les gens vont partir, ce n'est pas les gens qui vont partir, c'est l'algorithme qui ne va pas pousser le truc et montrer aux gens forcément. Enfin, ce n'est pas exactement ça la règle. Mais je trouve que c'est assez malsain quand même. C'est dur de trouver le juste milieu.
[02:27:45] Speaker C: Il ne faut pas se perdre là-dedans.
[02:27:47] Speaker D: Oh pardon, excuse-moi. On parle beaucoup, enfin moi c'est des sujets qui me touchent beaucoup et que je suis contente aussi de pouvoir partager ça avec d'autres créateurs de contenu dans mon domaine ou dans d'autres. C'est de parler de santé mentale dans ce milieu-là, en fait. Parce que justement, comme tu disais, des fois t'en as... Je vais pas dire qu'ils pètent des câmes, mais il y a une obsession par rapport à ça. Et en fait, c'est là où t'as le côté plaisir, en fait. Tu te dis mais là, est-ce que t'as pris du plaisir à faire ta vidéo ? Là, en fait... Ou alors, moi je sais que j'ai eu une période où j'étais un peu comme ça, c'est-à-dire que je postais une vidéo, et je m'en suis voulue parce que je postais une vidéo, j'étais avec des amis, et en fait je faisais que checker mon portable pour regarder les statistiques. Et là t'as tes potes qui te disent tu peux lâcher ton portable 5 minutes, là on est en train de prendre l'apéritif, enfin voilà, c'est chiant, et je le conçois. Et là tu te dis il y a un problème, là il faut que je fasse quelque chose, et en fait ça peut être aussi très obsessionnel. Et c'est aussi pour ça que c'est important d'en parler entre créateurs de contenu et déjà de ne pas se sentir tout seul. Moi par exemple avec Audrey on discute beaucoup de ça, on partageait aussi de ne pas de ne pas rester dans son coin et de se ruminer tout seul. Alors que t'as peut-être d'autres créateurs qui vivent le même truc, qui se posent les mêmes questions. Et en fait c'est des métiers aussi où t'es très très très seul, tu travailles seul, t'es chez toi, tu fais tes contenus, tu fais tes lives, mais en soit tu parles avec plein de gens. C'est paradoxal parce que tu parles avec plein de gens, t'échanges avec plein de créateurs, mais en soit t'es tout seul. D'où l'importance de parler aussi santé mentale entre créateurs, des fois on échange et puis des fois ça fait du bien quoi. On a des conversations safe place en mode putain là c'est la zone grise où on peut... Voilà parce qu'il y a des périodes où on se dit mais je comprends pas j'ai fait un post en rapport avec l'actualité ou quoi ça marche pas ou au contraire se dire putain mais mon post que j'ai mis deux secondes à faire ça y est ça pète. C'est que des questions un petit peu comme ça qui peuvent sembler futiles mais qui vraiment dans notre domaine peuvent peut-être vraiment te remettre en question.
[02:29:49] Speaker B: C'est des problèmes de travail que tout le monde peut avoir dans une entreprise ou tout ça. Ça semble un petit peu plus... Il n'y a pas de contact avec des gens et tout ça, comme tu disais. C'est pas comme tu peux parler à pause déj avec ton...
[02:30:04] Speaker D: C'est ça, ouais.
[02:30:05] Speaker B: Collègues de travail. C'est un truc qu'il faut organiser, qui se fait moins naturellement, mais qui est très important, je pense.
[02:30:13] Speaker D: En fait, c'est très bizarre, ça s'appelle réseaux sociaux et en même temps, on est complètement éloigné. D'où l'intérêt aussi d'échanger avec d'autres créateurs.
ne pas être tout seul. Et il y avait un autre truc que je voulais dire mais j'ai oublié.
[02:30:28] Speaker C: Ça reviendra sûrement. Ne t'inquiète pas, tu peux d'un seul coup dire ça y est je sais ! Et on en parlera. On va parler un petit peu d'enfance. L'enfance, ce moment si charmant.
[02:30:41] Speaker B: Ou adolescence, peut-être, ça dépend à quel âge elle a découvert.
[02:30:43] Speaker C: Parce que je suis un éternel adolescent donc pour moi l'enfance c'est jusqu'à 18. Mais c'est parce que c'est toujours un moment où on se façonne et c'est pas forcément facile. Tout à l'heure tu parlais de Machine Head, mais t'écoutais du rock avant ? C'est familial ou c'est toi qui ?
[02:31:02] Speaker D: Alors moi j'ai pas une famille de musiciens, par contre j'ai une famille de gros consommateurs de musique.
J'ai toujours grandi en fait dans la musique, dans le sens où c'était très rare de ne pas avoir de la musique à la maison qui tournait. J'ai un papa qui est très fan de blues, de jazz, de bonnes musiques. Un papa qui a une pile de... On va dire des trucs de sa génération parce que mon papa est plutôt âgé, mais des fois il me sort des anecdotes ou des concerts qu'il a eus, je suis...
Mais je connais pas. Mais je sens qu'il est content de m'en parler, tu vois, donc c'est chouette. Ensuite, j'ai un frère, lui, alors c'est encore plus une tronche, en musique. Lui, il est très dans, on va dire, les musiques plus indépendantes, rock. En fait, c'est surtout mon frère qui m'a initiée à la musique parce que j'ai beaucoup d'écarts avec mon frère. J'ai 19 ans d'écarts avec mon frère. Donc ça fait pas mal d'écarts. Et quand il était à la maison et qu'il... Lui, pareil, en fait, toujours de la musique. C'était impossible. C'est pas possible. Chez moi, c'est pas possible qu'il n'y ait pas de la musique. Et mon frère écoutait beaucoup, beaucoup Nirvana. Quand il avait la vingtaine, c'était sa génération. Donc j'ai grandi dans ces sons-là. Et il aimait beaucoup aussi Sonic Youth. Et puis il est très... Scène indépendante underground. Ma sœur aussi très dépêche-mode. Morsiba, je suis très fan de... Donc c'est très hétéroclite, c'est vraiment très varié. Donc j'ai grandi vraiment dans ces groupes et artistes-là. Et puis après moi, je me suis surtout dirigée vers le rock. Alors étant donné que je suis de la génération, on va dire, j'espère qu'il y en a qui sont dans le chat qui font... C'est un peu la honte, mais je vais le dire quand même. J'ai commencé à l'adolescence, t'avais le groupe Tokyo Hotel qui rasait tout. Mais je sais, le pire, ce qui me fait beaucoup rire, c'est que des fois j'en parle des fois en live à mes viewers et des fois je vois il y en a qui se font Moi aussi en fait, moi aussi. Et tu sais c'est le petit groupe shame tu vois.
[02:33:18] Speaker C: Ouais en fait à l'époque on le voyait comme ça mais je pense qu'il y a plein de gens aussi qui se sont révélés en disant non mais en fait j'écoutais aussi, j'aimais bien.
[02:33:30] Speaker D: J'écoutais, j'étais assez fan et puis en fait très vite je me suis dirigée vers des groupes de rock. J'étais fan de Fall Out Boy. J'adore Fall Out Boy. Franchement, j'aimerais bien les voir en concert, ça fait partie de mes goals. Vraiment, on va croiser les doigts. J'écoutais aussi beaucoup HIM. Et je sais que... Voilà !
[02:33:51] Speaker C: C'était le petit groupe dont je vous parlais tout à l'heure.
[02:33:55] Speaker D: Love Metal. Ouais, Love Metal. L'album.
Mais c'était génial, moi ce que j'attends de la musique c'est qu'elle me transporte et qu'elle m'emmène ailleurs.
[02:34:08] Speaker B: Si possible près de Villevalo.
[02:34:10] Speaker D: Si possible près de Villevalo.
[02:34:12] Speaker C: Tu m'as comprise. Mais il est beau gosse, c'est un peu, je lui disais, parce qu'on me disait c'est quoi, je lui disais c'est Ym et tout, en même temps on est tout le temps jaloux, on fait ouais mais lui c'est pas juste, il chante, il fait des chansons d'amour, il est beau gosse, il y a un moment c'est pas juste.
[02:34:26] Speaker D: C'est pas normal qu'il ait tout.
[02:34:28] Speaker B: Il n'y a que si tu veux une barbe ou tu l'envisages. Il y a un petit côté un peu imberbe quand même.
[02:34:33] Speaker C: C'est un style, c'est tout.
[02:34:36] Speaker D: Mais surtout j'aimais beaucoup ces musiques-là. Après moi je suis partie vers tout ce qui était Wishing Temptation et Nightwish. Symphonique.
[02:34:44] Speaker B: Est-ce que c'est le côté qui est des femmes dedans qui t'a attiré aussi ? Ou est-ce que c'est la musique en elle-même ?
[02:34:53] Speaker D: La musique en elle-même, mais je pense que ça y fait aussi que... Peut-être, on va pas se le cacher non plus.
[02:35:02] Speaker C: Vous pouvez être pénible peut-être à l'époque déjà, parce que les femmes étaient surtout vues à travers le symphonique, même si elles allaient ailleurs.
[02:35:09] Speaker D: Oui, mais t'as raison de le dire, c'est que moi c'était mes références métal. J'ai pas nécessairement vu des références comme pour Ginger, des groupes un peu plus énervés. mais c'était mes premières références, donc j'aimais énormément. Et là où j'ai eu un petit peu de, on va dire, la chance, c'est qu'à l'adolescence, quand je suis allée au lycée après, moi j'ai grandi à côté de Clisson.
[02:35:39] Speaker C: Ah bah super !
[02:35:40] Speaker B: Comme de par hasard !
[02:35:42] Speaker D: Et du coup, j'étais dans un lycée, lycée de Gorge, si y'en a qui connaissent Charles Péguy, voilà, je les embrasse ! Lycée Charles Péguy qui est à Gorge, donc à côté de Clisson, et en fait, on entendait déjà beaucoup parler du Hellfest, et y'avait quand même... En fait, ce qui était drôle, c'est que là où y'avait beaucoup de lycées où on écoutait plus de rap que de rock et de métal, bah là, dans ce lycée-là, c'était un peu le contraire. C'était, on écoutait beaucoup plus de rock et de métal. Ah oui, il y avait beaucoup plus de métalleux.
[02:36:09] Speaker C: Je pense que c'était dû au rayonnement du HF.
[02:36:11] Speaker D: Peut-être, il y a peut-être de ça. Je sais pas, mais en tout cas, il y avait pas mal de métalhead dans la cour.
[02:36:20] Speaker C: C'est rare un lycée en France où c'était pas une domination rap.
[02:36:23] Speaker D: Je dis pas qu'on était tous, mais en tout cas, c'était...
[02:36:27] Speaker C: Tu pouvais en retrouver au moins.
[02:36:28] Speaker D: Tu pouvais en retrouver, ouais, c'est ça. C'est ça.
[02:36:31] Speaker B: Je pense que forcément avoir le Hellfest à côté, ça éveille la curiosité.
[02:36:35] Speaker D: Ouais, puis c'était un peu une petite fierté pour les élèves quoi, de se dire...
[02:36:38] Speaker C: On a ça nous.
[02:36:39] Speaker D: Nous on a ça en fait. On n'a peut-être rien autour, mais on a le plus gros festival de métal. Et d'accord.
[02:36:46] Speaker C: Du coup, cette musique, elle t'a permis d'avoir un peu des potes quoi. Ouais. T'avais des potes très éclectiques ?
[02:36:54] Speaker D: Non, quand je fais le calcul, on est plutôt rock. Plutôt des potes rock, tout ça, mais s'il y avait quand même quelques metalheads. Puis après, c'est drôle parce que chacun a fait son parcours. Il y en a, ils sont restés complètement dans le metal et tout. Il y en a d'autres, ils écoutent toujours, mais ils ne sont plus... C'était mon adolescence et tout, mais c'est très sympa.
[02:37:13] Speaker C: C'est étrange, ça. Je me suis toujours dit... Alors bon, après, nous, on est dedans, donc ce n'est pas pareil. C'est toujours difficile de se mettre à.
[02:37:19] Speaker D: La place des autres.
[02:37:19] Speaker B: On n'a pas voulu en sortir.
[02:37:22] Speaker C: C'est peut-être pas la meilleure des idées. Je bifurque sur ce sujet là, le fait que des gens décident de s'en éloigner ou en tout cas de plus le dire aussi.
[02:37:34] Speaker D: Parce qu'ils sont parents en disant «.
[02:37:36] Speaker C: Je ne peux pas être parent et écouter du métal ».
[02:37:39] Speaker D: C'est quoi le rapport ?
[02:37:40] Speaker C: C'est juste de la musique encore une fois.
[02:37:42] Speaker D: Ouais, c'est ça. J'ai eu cette période-là parce que... Tu sais, on parlait tout à l'heure que j'ai été claire de notaire avant. Donc j'ai fait une école de notariat où il n'y avait que des meufs, mais que des meufs sapées comme jamais.
Pardon, vraiment, référence d'une merde. Je suis désolée, je pensais pas le sortir.
[02:38:00] Speaker C: C'est tellement sorti naturellement.
[02:38:02] Speaker D: Ah mon dieu, c'est tellement sorti naturellement. Mais du coup, je me suis retrouvée dans un lycée. Faut bien imaginer.
[02:38:07] Speaker B: On sait ce que t'as écouté quand t'as arrêté d'écouter du catalogue.
[02:38:09] Speaker D: Ah mon dieu, ouais. Non, non. Peut-être pas à ce point-là. Eh, respecte-moi un peu.
Mais en fait je suis passée d'un lycée où on écoute du rock, du métal, machin, et c'est, enfin voilà, c'est la vague, tu vois, à des costards, à des nanas habillées en tailleurs, en talons hauts, machin, avec que des hommes qui donnaient cours, des notaires, machin, et tout, et là tu te dis, ah, bizarrement en fait j'en écoutais quand même, mais effectivement j'en parlais pas, j'avais peur du... Je sais pas, j'avais pas envie d'être jugée. En fait, comme du coup, je voyais bien que la musique métal était tellement associée à des choses négatives que j'avais pas envie de le dire et j'avais pas envie que mon image, en plus, soit dégradée parce que c'est aussi un petit milieu, le notariat. Et je me suis dit, si je commence à parler de ça, déjà, je vois pas. En plus, le pire, c'est qu'il y a des notaires qui sont des gros métalheads.
[02:39:05] Speaker C: Ah bah oui, bien sûr. Je confirme. De grands avocats.
[02:39:09] Speaker D: Voilà, c'est ça.
Mais bon, j'étais jeune, écoute, j'avais 18, 19, 20. Je voulais juste m'intégrer dans le moule en fait et faire partie de la société.
[02:39:23] Speaker B: Quand j'étais aux Etats-Unis, justement, on parlait de J'ai un ami qui a des enfants en France et qui sont venus vivre en Amérique, qui se sont trouvés à se colorer les cheveux, s'habiller de manière un peu plus extravagante, faire les trucs qu'ils faisaient et qui sont revenus en France après. Et en quelques mois, tout était reparti et elles étaient retournées dans le...
[02:39:55] Speaker D: Dans le droit chemin ?
[02:39:56] Speaker B: Non mais à redevenir... En fait, en France, il y a quand même un truc d'uniformisation qui est très fort dans la société et à l'école encore plus ou à la fac ou des choses comme ça. C'est vrai qu'il y a ce truc de devoir rentrer, ne pas faire trop de vagues, ne pas être... Là où aux Etats-Unis, être un peu original, ça peut être bien vu. En France, c'est vrai que quand t'es original, c'est pas toujours bon signe.
[02:40:22] Speaker C: T'es montré du doigt, ouais, faut montrer du doigt.
[02:40:24] Speaker B: Il faut beaucoup de caractère pour réussir, c'est pas facile. Et surtout quand tu te dis, c'est un peu un enjeu professionnel, je pense que c'est normal de te dire...
[02:40:32] Speaker D: C'est ça, c'était surtout ça en fait.
[02:40:33] Speaker B: Il faut que je fasse ça pour avoir du taf et bien réussir, je vais le faire.
[02:40:37] Speaker C: C'est là où tu te dis, putain, devenir adulte, c'est pas rigolo. Alors déjà adossé, en fait, il n'y a rien de rigolo tout le temps. Non mais oui, on en parlait parce que oui, comme moi, j'ai travaillé avec des huissiers. Oui, voilà, c'est des choses qu'on fait.
[02:40:50] Speaker D: Mais c'est des milieux particuliers aussi.
[02:40:51] Speaker C: Moi, j'ai eu de la chance, mais je pouvais venir habiller avec des fringues de merde. Donc c'était le seul avantage. Mais c'est vrai que c'est très particulier. Et on a envie de rentrer au moulin, on a envie de pouvoir avancer en tout cas. Puis on a peur aussi du rejet. Mais au-delà du jugement et du regard...
[02:41:06] Speaker D: J'avais pas envie de me justifier, tu vois. J'avais pas envie qu'on me dise « Ah t'écoutes ça, mais pourquoi ? Pourquoi ? T'écoutes du bruit, mais pourquoi t'aimes ça ? Mais en fait t'es sadomaso ». J'avais pas envie de me justifier, j'avais juste envie qu'on me foute la paix. Pourquoi faire ? Moi en plus je considère que c'est mon petit cocon. C'est mon jardin secret quand j'écoute ce style de musique. Comme je disais tout à l'heure, ça m'emmène ailleurs quand on écoute, donc j'avais pas besoin d'en parler en fait. J'avais pas du tout besoin. Mais du coup, forcément, tu fais ton chemin de vie, t'en écoutes un petit.
[02:41:37] Speaker B: Peu de moins en moins.
[02:41:38] Speaker D: Ça te fait sortir du système.
[02:41:42] Speaker C: Non mais c'est vrai, en plus il y a des nouveautés, on passe à côté de plein de choses.
[02:41:46] Speaker B: Si t'en écoutes moins, t'as moins l'occasion aussi de découvrir des nouvelles choses, tu fréquentes moins aussi les gens qui en écoutent, tout ça.
[02:41:53] Speaker C: Oui, tout le temps découle. Et puis trouver des nouveautés quand tu fais que bosser, c'est quand même chiant. C'est pour ça que quand les gens vieillissent, on en revient au sujet. Quand on vieillit, on en écoute moins, c'est aussi si t'es occupé avec tes gosses, que tu travailles comme un chien et que t'as pas beaucoup de temps, t'as plus envie de te reposer que d'aller chercher des nouveautés en permanence. D'où les créateurs de contenu et la dame de métal qui peut vous amener à découvrir... La dame métal, pardon.
[02:42:15] Speaker D: Mais c'est drôle, les gens, ils racontent.
[02:42:17] Speaker C: Toujours ce que tu veux.
[02:42:18] Speaker B: C'est de la vraie chair.
[02:42:19] Speaker D: Regarde, c'est la vraie.
[02:42:21] Speaker C: Sinon quand elle bougera, ça fait un.
[02:42:23] Speaker D: Clic, clic, clic, clic.
[02:42:25] Speaker C: Bah monsieur met de l'huile. Petit homme.
[02:42:28] Speaker B: Écoute, écoute, plutôt réglisse.
[02:42:30] Speaker C: Bref. Une référence, vraiment, voilà. Écouteur Église. Il est retourné aux années 90. Ça aussi c'est quelque chose qui est très actuel, c'est que d'être créateur de contenu, comme ce que tu fais, aujourd'hui les gens, au-delà d'avoir une plateforme d'écoute légale, ils ont plein de choses, mais ils ont besoin aussi de partager avec un créateur de contenu ou des gens qui vont chercher.
[02:42:53] Speaker B: Ils font l'accuration.
[02:42:54] Speaker C: Voilà, merci. J'étais là, putain, c'est quoi déjà le mot ? J'ai vécu mais j'avais pas le reste.
On va passer à un clip. Et alors là, ça j'étais ravi parce que c'est un groupe que j'aime énormément. Enter Shikari avec Destabilize. Je sais pas si je l'écris correctement mais bon c'est pas grave. C'est Destabilize ou c'est Destabilize ?
[02:43:28] Speaker B: Je sais pas.
[02:43:29] Speaker C: Je ne sais pas. Ceux qui savent parler anglais, vous corrigerez.
[02:43:31] Speaker B: Ce serait bien écrit sur l'écran. Marcel, on compte sur toi.
[02:43:35] Speaker D: Déstabilise ? Déstabiliser quoi ! Merde alors !
[02:43:40] Speaker C: Parce qu'on est complètement là en ce moment ! Mais Enter Shikari, c'est quoi l'histoire ?
[02:43:44] Speaker D: L'histoire d'ailleurs, c'est que j'aimais beaucoup le titre Sorry You're Not A Winner, puis en fait j'ai découvert via le Mouv'.
[02:43:54] Speaker C: Avec la Metal Academy.
[02:43:56] Speaker B: T'auras pu mieux découvrir sur WFM parce qu'on les a beaucoup plus passés.
[02:44:00] Speaker C: D'accord.
[02:44:00] Speaker D: On recommence.
[02:44:03] Speaker B: Non mais c'est très bien, Metal Académie en plus.
[02:44:05] Speaker D: En fait moi ça a fait partie justement de mon adolescence, moi j'adorais la Metal Académie, j'écoutais longuement parce que justement j'avais ma petite chaîne Ify avec mon radiocassette et quand il y avait un titre qui passait...
Et quand il y avait un titre qui passait, il fallait que j'attende. Ok, ils vont le passer. C'est bon, c'est maintenant. Et donc, j'ai découvert beaucoup de titres via la Metal Academy. Et donc, il y avait notamment Sorry You're Not A Winner.
[02:44:35] Speaker C: Et tu tapais des mains ?
[02:44:36] Speaker D: Hein ?
[02:44:37] Speaker C: Et tu tapais des mains ?
[02:44:38] Speaker D: J'adore, j'adore. Et j'ai hésité à proposer ça mais je me suis dit je vais pas faire que des clips vieux sinon on va croire que j'ai que des références des années 2000. Mais... Mais du coup, j'ai voulu réécouter ce son des années plus tard et j'ai eu dans les propositions d'Estabiliz et j'ai adoré parce que ça a été longtemps ma musique de sport. Ça a été longtemps de la musique de sport parce que c'est rythmé, il y a des pauses, machin, et quand tu fais du sport là-dessus, quand tu fais ton cardio, tu sais sur les vélos... Merci.
[02:45:25] Speaker C: Épileptique.
[02:45:25] Speaker D: Ouais mais moi je... Non parce que.
[02:45:27] Speaker B: Vu que t'as fait comme ça je croyais que c'était pas... Non c'est comme...
[02:45:29] Speaker D: Ouais tu vois t'as vu le mouvement t'as fait ah c'est bon j'ai la ref. J'ai la ref. Mais du coup, j'avais une période où j'allais tout le temps au sport, c'était ma vie. Mais du coup, je passais très très souvent cette chanson parce qu'en fait tu pouvais accélérer et puis décélérer. Et puis après ça reprenait et voilà t'allais à fond à la fin. Et voilà. Et tu avais perdu deux kilos.
[02:45:55] Speaker C: Avec le métal, on peut le fractionner.
[02:45:57] Speaker D: Mais maintenant, il y a beaucoup de profs de sport ou d'organismes qui proposent du sport et métal.
[02:46:04] Speaker B: Metal Workout.
[02:46:05] Speaker C: Voilà, Metal Workout. Ne serait-ce que ça.
[02:46:08] Speaker B: Et d'ailleurs, au Hellfest, il y aura encore le yoga métal et tout ça cette année.
[02:46:13] Speaker D: Je ne l'avais pas fait l'année dernière, j'aimerais bien tester.
[02:46:16] Speaker C: Nous, on est très sport, donc tu nous raconteras.
[02:46:18] Speaker B: Moi, tout ce qui est vélo, elliptique, c'est vraiment mon dada.
J'ai mis mon petit fuseau Lululemon et puis c'est parti. Putain, régalez-vous !
[02:46:31] Speaker C: Zem zem ! Interchicari, c'est quand même pas le groupe le plus simple aussi à écouter, c'est-à-dire quand t'as pas l'habitude, il y a beaucoup d'informations, c'est très original.
[02:46:42] Speaker B: Et à la fois, c'est très entraînant, je trouve.
[02:46:44] Speaker D: Ah ouais, mais je m'éclate.
Et en live, quelle fête ! Je les ai vus l'année dernière du coup à Hellfest, et j'étais vraiment à la barrière, et c'était une claque monstrueuse, j'ai adoré ce concert-là. Et ça m'a beaucoup touchée, j'ai eu l'impression de revenir à d'autres barrières. Bah forcément, parce que je ne suis pas toute jeune, donc forcément j'ai des souvenirs.
[02:47:10] Speaker C: Faut pas dire ça devant des gens de notre âge, c'est tout.
[02:47:12] Speaker D: Ça prend 20, 21 ans... Oui c'est vrai.
[02:47:15] Speaker C: Parce que j'ai écouté ça à deux ans quand j'allais au coin, mais non ça marche pas.
[02:47:18] Speaker D: Je suis sur mon petit vélo.
[02:47:21] Speaker C: Mon tricycle il est petit. Alors juste, je sais que ça fait un petit moment qu'on parle, juste ça me fascine, elle a dit un truc qui me fascine et je veux pas l'oublier. Tu vois la crash barrière, c'est-à-dire que tu vas encore en concert, tu peux aller tout devant.
[02:47:35] Speaker D: Ça dépend le groupe, mais là... T'as le courage !
[02:47:38] Speaker B: C'est bon, elle n'a pas 96 ans.
[02:47:41] Speaker C: Excuse-moi, je ne peux pas aller tout devant.
[02:47:44] Speaker B: La dernière fois que tu es allé voir Deftones ?
T'es bien allé devant.
[02:47:49] Speaker D: T'étais bien devant.
[02:47:49] Speaker C: J'étais complètement sous.
[02:47:51] Speaker B: Ah oui ? Bah du coup t'as quand même réussi.
[02:47:53] Speaker C: C'est vrai. Bon bah il vient de me faner là.
[02:47:57] Speaker D: Bah en vrai franchement ça dépend. Là disons que c'était la Warzone. Enfin le concert était à la Warzone.
[02:48:04] Speaker C: Très tardivement.
[02:48:04] Speaker D: Je crois que c'était THE groupe que je voulais surtout pas rater de cette édition.
[02:48:09] Speaker B: Non mais des fois t'as envie de faire un effort quoi. Tu dis ok c'est peut-être un peu plus physique mais... Si t'as vraiment envie, c'est beau quoi.
[02:48:15] Speaker D: Ouais, c'est ça. Et en vrai, ça me dérange pas. J'ai pas trop de préférences fausses ou... Franchement, j'ai pas...
[02:48:20] Speaker C: Selon ton mood.
[02:48:22] Speaker D: Franchement, selon mon mood et selon aussi les gens qui m'accompagnent.
[02:48:25] Speaker B: Ouais.
[02:48:26] Speaker D: Voilà, il y en a... Ça a déjà arrivé que j'y aille avec des copines qui soit connaissent pas le groupe ou soit n'ont pas forcément l'habitude d'aller en concert. Donc OK, pas de problème, on va aller en gratin. Faut aussi... Faut être conciliant aussi, quoi. T'as déjà quelqu'un qui t'accompagne, c'est bien.
[02:48:42] Speaker B: L'avantage, Hunter Shikari, les gens sont plutôt bienveillants et c'est plutôt sa danse que sa frappe. Quand même pas un pit... Ça peut arriver quand même. Non mais un petit peu, mais ce que je veux dire c'est pas...
[02:48:55] Speaker C: C'est pas du gros hardcore où les gens se foutent.
[02:48:56] Speaker D: C'est plus des gens qui sont comme ça quoi.
[02:48:58] Speaker B: Il y a quand même un côté un peu sympa quoi.
[02:49:00] Speaker C: Pour ceux qui sont en podcast, imaginez des gens sous tase.
[02:49:04] Speaker B: Regardez des vidéos de live d'Unter Sheet qui arrivent, vous allez voir comment danse le chanteur, ça vous donne une idée.
[02:49:09] Speaker D: Ah putain ouais, il a une énergie folle. Ouais, roux.
[02:49:15] Speaker C: C'est son intention.
[02:49:16] Speaker B: C'est aussi sa couleur de cheveux.
[02:49:17] Speaker D: Mais d'ailleurs j'ai récupéré, j'étais un petit peu fière, j'avais dit oui. Et gros en plus, laisse tomber !
[02:49:24] Speaker C: Non mais c'est cool, parce que je veux dire, ça aussi, quel que soit l'âge, t'as toujours ce petit truc où d'un seul coup tu redeviens enfant.
[02:49:29] Speaker D: Mais c'était ça, j'étais propulsée 15 ans en arrière.
[02:49:34] Speaker C: C'est cool.
[02:49:35] Speaker D: À peu près.
[02:49:36] Speaker B: Bah écoutons !
[02:49:36] Speaker C: On va regarder ce clip, on va l'écouter et je peux vous dire que vous allez l'apprécier. Enter Shikari !
[02:49:55] Speaker A: C'est parti !
C'est la fin de cette vidéo.
[02:52:22] Speaker C: Musique.
[02:52:34] Speaker A: Douce Sous-titres.
[02:53:50] Speaker D: Réalisés para la communauté.
[02:53:50] Speaker C: D'Amara.Org.
[02:54:08] Speaker A: BANG BANG C'est la fin !
Sous-titres.
[02:56:19] Speaker C: Réalisés para la communauté d'Amara.org Bang bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, c'est comme ça tous les dimanches si vous passez un bon moment, n'hésitez pas à cliquer sur le petit cœur qu'il y a sur Twitch, ça nous fait chaud au cœur justement. Alors, j'ai oublié de dire, avant de revenir avec la dame métal et de parler bien sûr de sa relation... Attends.
[02:56:40] Speaker B: La dame métal ou la dame de métal ?
[02:56:41] Speaker C: Mais ça va ! De toute façon, à chaque fois qu'on a un invité, je cours dans le nom, il y a toujours un moment...
[02:56:45] Speaker B: Tu changes de nom à chaque fois... Comment je ferais ?
[02:56:49] Speaker C: C'est à moi je change de nom à chaque fois ?
[02:56:50] Speaker B: Mais bien sûr, Sylvia.
[02:56:55] Speaker C: Je vais en connaitre une de sidère du coup, ça me fait rire. Je te dirai pourquoi. Du coup, je ne sais plus ce que je voulais dire. Oui, la dame métal arrive dans un instant. Juste, je voulais remercier les personnes qui nous suivent, toutes les personnes qui nous aident et qui nous soutiennent parce que les gens, on l'a dit tout à l'heure, c'est difficile, mais les gens sont extrêmement gentils. C'est juste hallucinant l'amour qu'on nous envoie. Je reçois beaucoup de messages très positifs donc merci infiniment. On a dépassé les 7000 sur Youtube, moi ça me fait extrêmement plaisir ! Merci à vous ! Bravo ! N'hésitez pas encore une fois à laisser des commentaires, c'est comme ça qu'on se fait un peu plus connaître. On ne se fait pas connaître pour gagner de l'argent puisque nous sommes une association et que du coup on veut redistribuer cet argent. Bon, à Marcel c'est vrai, il faut quand même le payer.
[02:57:38] Speaker B: Tout le monde n'est pas bénévole.
[02:57:40] Speaker C: Tout le monde n'est pas prêt à.
[02:57:44] Speaker B: Perdre de l'argent pour faire cette émission.
[02:57:47] Speaker C: Mais du coup voilà, on a envie de le redistribuer après dans des événements, dans plein de choses. Donc ce n'est pas dans nos poches. On veut juste faire en sorte que cette musique puisse avoir plein de choses. On gagne nos vies à côté. Moi j'aime bien ça mais... Non je ne l'ai plus mais... Je veux gagner ma vie à côté.
[02:58:02] Speaker B: Moi j'étais intermittent mais je ne le.
[02:58:04] Speaker C: Suis plus non plus. C'est bien.
[02:58:07] Speaker B: On est sans revenu.
[02:58:09] Speaker C: Et sans pantalon. Ah non, ça c'est Eric Lesoreille. Belle référence aussi pour la jeunesse. Non mais voilà, merci infiniment. Il y a plein de chiffres comme ça. Je suis un peu chiffre addict. Tout à l'heure tu disais que c'est très mauvais. Et c'est très mauvais. Mais j'ai tendance à pas tout le temps regarder si... C'est comme si c'était une preuve d'amour alors qu'en fait non c'est nul, c'est stupide.
[02:58:30] Speaker D: C'est une addiction tu sais, c'est mon shot de statistique.
[02:58:34] Speaker C: C'est très malsain et c'est très bizarre mais bon voilà. Je vois Laurent Carilla aussi pour ça, je lui ai dit j'aimerais juste arrêter de cette merde parce que ça envahit vite l'esprit et on imagine plein de choses et ça tourne en rond. Bref, notre invité ! Sinon je peux en parler seul pendant des milliers d'heures. On peut en parler demain, lundi voilà, en live TikTok. Rejoignez-nous. La dame métal ! J'étais juste Au tout début tu disais je suis hors des clichés etc. Bon t'as quand même des beaux tatouages je te le dis.
[02:59:01] Speaker B: C'est pas des tatouages très très métal.
[02:59:04] Speaker D: C'est pas à l'intérêt mais...
[02:59:07] Speaker B: Je sais même pas si c'est un.
[02:59:09] Speaker C: Tatouage métal en fait.
[02:59:10] Speaker B: C'est avec des têtes de mort, du sang...
[02:59:13] Speaker C: C'est un peu plus élégant, je le disais tout à l'heure.
[02:59:19] Speaker B: J'ai montré personne du doigt, vraiment.
[02:59:22] Speaker D: Je dis juste, c'est Estelle Villapoussin sur les réseaux qui me l'a fait. Je fais une petite décourelle.
[02:59:27] Speaker B: Pas grave, tant qu'elle nous envoie un chèque, y'a pas de soucis.
[02:59:30] Speaker C: Non mais est-ce que quand t'étais plus jeune, avant les cours au-dessus du lycée, t'avais une attitude vestimentaire... À part si tu penses que c'était trop douteux pour en parler.
[02:59:45] Speaker B: T'avais des converses ?
[02:59:47] Speaker D: Bien sûr. Pas encore. Bizarrement, j'ai porté quand même des docs chez les notaires. C'est une chaussure en cuir, c'est un peu plus discret. Ça reste classe, tu peux rester classe en docs. Mais au lycée, quand je vois les photos, si, j'ai dû essayer.
[03:00:05] Speaker C: Attends, on est tous passés par des étapes.
[03:00:07] Speaker B: Est-ce que t'avais une mèche décolorée ?
[03:00:09] Speaker D: Je crois que j'ai eu les cheveux rouges.
[03:00:11] Speaker C: C'est cool.
[03:00:11] Speaker D: J'ai eu les cheveux rouges, mais genre j'avais fait une merde. C'était pas au lycée, c'était au collège. À l'époque, ils vendaient les colorations rapides. Ils avaient fait tout un business pour les jeunes de colorations rapides. Je l'ai fait toute seule.
[03:00:27] Speaker B: Je la connais, c'est pas celle-là.
[03:00:29] Speaker C: Alors excuse-moi, je coupe tout parce que les gens ont très envie de savoir. C'était le concert de Soulfly avec Limp Bizkit en première partie à l'Elysée Montmartre. Donc il y a 300 ans, puis j'ai fait j'aimerais bien avoir un truc cool, j'avais les cheveux lisses et très longs qui tombaient jusqu'aux fesses et je me suis dit, je suis l'enfant blond, très blond et je me suis dit j'aimerais bien les avoir rouges mais j'ai décidé de ça trois heures avant le concert donc bon bah du coup non je ne veux pas être rouge et j'ai acheté un tube comme ça, je me suis foutu sur la gueule et bah pendant le concert je transpire beaucoup.
[03:00:55] Speaker D: Ouais et du coup t'as se feinté sur ton t-shirt.
[03:00:57] Speaker C: J'ai plus le visage rouge que les cheveux. C'était dégueulasse. Y'a plein de photos et j'ai une photo avec Logan Mather où tu vois qu'il est à côté de moi et il me regarde comme ça du style « Ah ouais quand même, on a les fans qu'on mérite ». Voilà, excuse-moi.
[03:01:12] Speaker B: T'as cru que tu t'étais inspiré des maquillages dans Bloody Roots ?
[03:01:16] Speaker C: Je vais pas expliquer pourquoi, on en reviendra dessus une autre fois.
[03:01:20] Speaker D: J'avais essayé une tentative capillaire de me teindre les cheveux en rouge. Je voulais les cheveux rouges parce que ça n'a rien à voir mais j'avais des références, je lisais beaucoup quand j'étais petite, Witch Magazine.
référence. C'est normal mais je le dis mais il y avait une nana qui avait les cheveux rouges magnifiques et je trouvais ça trop beau donc ça c'était plus ma référence mais sinon plutôt au lycée non j'avais on va dire plus rock donc j'avais les converses, les grosses ceintures en damier, rock émo tu vois. J'avais un carré plongeant avec.
[03:01:56] Speaker B: J'étais fière.
[03:01:59] Speaker D: En plus, je voulais le carré le plus plongeant qui puisse exister sur terre.
[03:02:03] Speaker C: Et puis ça partait de la moitié du crâne.
[03:02:04] Speaker D: Mais sans déconner, c'est-à-dire que ça partait vraiment de la base de la nuque. Et en fait j'avais déjà les cheveux très très longs, je devais avoir les cheveux extrêmement longs, même plus longs jusque là. J'ai dit à la coiffeuse, tu me fais un carré le plus long possible. Et elle avait réussi à faire un carré immonde qui part de la nuque et qui arrive... à peu près à ce niveau-là, mais ça faisait genre... Et j'étais trop contente !
[03:02:27] Speaker C: C'est un peu stylé !
[03:02:29] Speaker B: C'est une coupe un peu Tony Hengai, quoi.
[03:02:32] Speaker C: Excuse-moi, une coupe Tony Hengai, c'est une non-coupe. Ça coûte 400 balles et puis on se rassemble à E.T. pour la fin.
[03:02:38] Speaker B: Il y avait deux trucs, ils avaient que des trucs comme ça, asymétriques, où t'as un côté qui est comme ça, un côté qui est comme ça, là...
[03:02:46] Speaker D: Mais en fait c'est des coupes de cheveux, c'est chiant en entretien.
[03:02:49] Speaker B: Ah bah ça ne marche que quand tu sors de chez le coiffeur.
[03:02:51] Speaker D: Voilà c'est ça.
[03:02:52] Speaker B: Le lendemain t'as l'air d'un... Moi j'étais.
[03:02:54] Speaker D: Trop fière, je trouvais que mon... J'avais pris je sais pas combien de photos... J'avais pris je sais pas combien de photos, après tu sais tu postes sur Facebook et t'es là « Hé nouvelle coupe ! » Et maintenant c'est la honte mais... Mais ouais disons que c'était plus ça.
[03:03:08] Speaker B: C'est à dire que c'est encore sur ton Facebook ça.
[03:03:10] Speaker D: Ouais mais n'essayez pas de le chercher.
Mais voilà et puis sinon vestimentairement c'était plus... Si j'avais des hautes têtes de mort quoi. J'avais des hautes têtes de mort. Des espèces de...
[03:03:22] Speaker B: Bracelet de force ?
[03:03:22] Speaker D: Bracelet de force, ouais.
[03:03:24] Speaker C: Ah oui quand même, t'avais le style. Mais si ! Non mais il faut arrêter... Avec des guillemets.
[03:03:31] Speaker B: Y'avait une intention.
[03:03:33] Speaker C: Y'avait une intention, voilà. Y'a pas besoin de... Y'a pas besoin de ressemblage je sais pas quoi.
[03:03:37] Speaker D: Jean-Paul Gaultier. Ah oui mais surtout le maquillage noir.
C'était très dark, c'était surtout ça.
[03:03:45] Speaker C: Les parents ne se sont pas dit il faut qu'on lui parle ou non ? Il y avait ton frère et tout mais...
[03:03:51] Speaker D: Alors non, mais disons en fait eux c'était, c'est une phase. Vraiment pour Mopoze, oh bah écoute t'es jeune. Non mais c'est vrai, pour Mopoze c'était, oh bah écoute nous ça nous plaît pas, c'est pas notre style mais ça lui passera. On va la foutre dans une école de notariat, elle va apprendre à s'habiller.
Et puis après tu reviens à des choses qui te ressemblent plus. J'avais un look légèrement rock, mais pas non plus poussé. Par contre j'aimais beaucoup me faire des méga make-up avec de l'eyeliner.
[03:04:30] Speaker C: J'aurais adoré moi aussi, mais mes parents l'auraient encore plus mal pris.
[03:04:35] Speaker D: Mais voilà, c'était pas très poussé.
[03:04:38] Speaker B: Moi, j'ai une petite question. Du coup, après, t'as rentré dans cette école de notaire, t'as écouté un peu moins de métal. Qu'est-ce qui a été le déclencheur de d'y revenir ? Est-ce que t'as écouté un truc ? T'en écoutais encore un peu, les trucs que t'écoutais avant. Du coup, c'était quoi les groupes que t'as continué à écouter ?
[03:04:57] Speaker D: Beaucoup Enter chez Carrie. Him, comme je disais tout à l'heure. Ne me tapez pas.
[03:05:03] Speaker C: Mais non !
[03:05:05] Speaker B: C'est quoi l'image qu'on a ?
[03:05:07] Speaker C: On n'aime pas la musique de merde.
[03:05:09] Speaker B: Mais on respecte quand même !
[03:05:12] Speaker C: On dit quand on n'aime pas, mais ça ne veut pas dire que les gens n'ont pas le droit d'aimer quand même.
[03:05:15] Speaker D: J'étais surtout sur des trucs bullet form à valentines, des choses, slipknot, cornes, les trucs, on va dire, ma zone de sécurité, mais je ne cherchais pas nécessairement à voir ce qui se faisait ailleurs, mais par contre j'étais dans le confort, vraiment dans le confort. Il y a plein de gens qui sont comme ça et qui aiment bien écouter les nouveaux sons.
[03:05:34] Speaker C: Est-ce que c'était parce que justement tu étais en école de notaire et que c'était le seul moyen que tu te sentes bien ? Que ces musiques rassurantes, ces musiques qui t'ont fait ?
Parce que souvent, quand on se sent pas bien, souvent on a des chansons, des trucs qui vont nous faire du bien, qui vont nous emmener vers le haut ou vers le bas, ça dépend des choix.
[03:05:55] Speaker D: Non, je le voyais plus comme une bulle en fait, c'était pas nécessairement je vais pas bien, je veux écouter ça, c'était plus j'ai besoin d'autre chose, j'ai besoin d'ailleurs là. Là j'ai besoin d'ailleurs et voilà, on fout le casque sur les oreilles. Donc non, je ne le voyais pas comme une rébellion envers le monde. Non, c'était plutôt... C'est mon jardin secret, c'est ma petite zone de confort et c'est l'endroit où je peux être un petit peu moi-même et un petit peu sereine. Donc voilà.
[03:06:21] Speaker C: Et donc c'est quoi le déclencheur ?
[03:06:23] Speaker D: Et donc le déclencheur finalement, j'ai pas été que claire de notaire, après j'ai été chargée de production de violons comme je disais. J'ai eu des trucs vraiment pas cool dans ce milieu là. Et il y a des choses qui se sont très mal passées dans lesquelles je ne veux pas non plus trop entrer. Mais j'avais besoin, je faisais face à des injustices, vraiment des grosses injustices. Et j'avais vraiment besoin de me défouler, vraiment de me défouler. Parce que je me suis dit, si je ne fais rien, Je ne sais pas si je vais commettre un meurtre ou pas, mais on n'en est pas loin, on va arriver à des violences qui peuvent me faire aller en prison. J'étais vraiment à bout, j'étais sur un burn-out, on m'avait mis à bout et là j'étais, il faut que je fasse quelque chose. Et c'est à ce moment-là que je suis retournée d'abord dans les groupes confort. Donc à fond, machin. Et puis le hasard m'a fait ouvrir les portes du modern metal, de ce qui se faisait actuellement. Et là, je suis tombée sur des groupes comme Spiritbox, Bad Omens. Et je me suis dit, tiens, il y a des trucs nouveaux qui sont pas mal.
[03:07:43] Speaker C: Tu es passée par quel biais pour les connaître ?
[03:07:45] Speaker D: TikTok. Et c'est très bizarre en fait parce que j'avais pas nécessairement du contenu métal sur TikTok. Et puis petit à petit j'en suis venue et puis après forcément tu n'as qu'une vidéo, ça y est on a 36 000 likes. Bon ok, c'est quoi ? Fais voir. Et donc toutes ces choses là Puis après, je sais pas, c'était parti. En fait, j'avais trouvé une nouvelle zone de confort et certaines chansons parmi elles vraiment me faisaient plus de bien à ce moment-là, dans le côté vraiment...
exutoire. J'avais besoin de ça. Et certaines chansons m'ont vraiment, vraiment aidée, notamment celle qui va arriver par la suite. Mais j'avais vraiment besoin de ça. Et puis, finalement, je me suis dit en fait, pourquoi ça ne fait pas partie intégrante de ta vie ? Parce que finalement, ça te fait du bien. Quand on écoute, t'es dans une énergie folle.
[03:08:44] Speaker B: Et puis, t'as réalisé quoi.
[03:08:45] Speaker D: Ouais, c'était bizarre. Je me suis dit, mais en fait, Bah en fait, ouais, ça me faisait du bien, ça parlait à ma place en fait, tu vois. Ça parlait à ma place. Bon, je pense que c'est des choses que vous entendez assez régulièrement, ce côté un peu...
[03:08:57] Speaker C: C'est toujours des histoires un peu différentes, mais oui, le métal a l'air d'être une musique de personnes qui...
[03:09:02] Speaker B: C'est thérapeutique.
[03:09:03] Speaker C: C'est thérapeutique, ouais. J'utilise un mot qui énerve tout le monde, mais des gens en margent. Si, parce qu'on est dans notre monde et on voudrait qu'on ait nos sécurités, le métal, ça aide pas mal.
[03:09:15] Speaker D: C'est ça, il y a un côté, j'ai l'impression qu'il y a quelque chose que j'apprécie énormément dans la communauté métal et dans les thèmes qui sont souvent abordés. J'ai vraiment l'impression qu'il y a beaucoup les sujets de l'acceptation de soi et aussi de ne pas renier ce qu'on peut ressentir, c'est-à-dire des choses que je ne retrouvais pas nécessairement dans les musiques plus radio-friendly.
Non mais tu vois, les musiques, on va dire, pop, où t'as des sujets où c'est que agnan, c'est l'amour et machin, tout ça. En fait, ce que j'ai retrouvé dans les thèmes abordés par le métal, c'est que déjà, l'acceptation de soi, accepter aussi d'être en colère, d'être dépassée, accepter ses émotions. Et ça en fait je me suis dit mais ça c'est des thèmes qui me parlent et j'aime bien ce côté assumer, assumer en fait ce qu'on ressent et c'est ok d'être en colère et c'est ok de ne pas sentir bien, c'est ok d'avoir des périodes de pas ouf mais t'es pas obligé de mettre un masque en fait tout le temps tu vois, t'es pas obligé de mettre un masque et c'est ce que je ressentais avec la musique qui passe à la radio on va dire, je sais pas pourquoi c'est une référence mais Il.
[03:10:27] Speaker B: Y a une connexion plus directe aux émotions.
[03:10:29] Speaker D: J'avais l'impression qu'on me parlait franchement. J'avais l'impression qu'on ne me disait pas non allez tu vas te requinquer, tu vas repartir dans la vie parce que la vie en fait c'est trop génial. Non c'était plus en mode bah... Non.
[03:10:41] Speaker C: C'Est de la merde !
[03:10:43] Speaker D: Non mais c'était vraiment...
[03:10:44] Speaker B: Tu manges ta merde et gros tonnerre !
[03:10:47] Speaker D: Est-ce que c'est pas plus mal aussi de se dire bah en fait non c'est pas facile tous les jours mais c'est ok de ne pas être ok. Et de ne pas se mentir. C'était surtout ça qui me plaisait en fait. C'est vraiment ça qui me plaît dans ce milieu là.
[03:11:01] Speaker C: Finalement c'est complètement antisocial.
Non, parce que la société, c'est très...
[03:11:06] Speaker B: Oui, mais oui et non, parce que justement, en fait, est-ce que pouvoir accepter que ça va pas, c'est pas ça qui fait que tu peux être... En fait, je pense que c'est le contraire. En fait, accepter tout ce que tu es, c'est ce qui fait que tu peux accepter les autres aussi.
[03:11:21] Speaker D: Oui, c'est ça.
[03:11:22] Speaker B: Alors que c'est le problème de la société qui te dit que tout doit être merveilleux et tout ça, mais qui n'est pas...
Ce n'est pas ça vivre en société.
[03:11:31] Speaker C: Ce n'est pas une réalité de toute façon.
[03:11:33] Speaker B: Ecouter, s'écouter, écouter les autres, c'est ça qui fait que tu t'entends avec tout le monde. Je pense que c'est un peu le problème qu'il y a en ce moment. Les gens ne s'écoutent plus et tout le monde se déteste et hyper catégorique surtout. Ça, je ne pense pas que ce soit une bonne chose.
[03:11:49] Speaker C: Je suis bien d'accord. C'est un sujet très complexe et très long.
[03:11:52] Speaker D: Mais c'est pour ça qu'on dit beaucoup que dans la communauté métal, il y a une grande ouverture d'esprit. Je pense que ça y fait aussi.
[03:12:00] Speaker B: Après, il y a toujours des gens qui sont à passementière. Il y en a qui sont bien dans le mur, mais...
[03:12:06] Speaker D: Ils sont bien scotchés. On ne peut pas les retirer.
[03:12:08] Speaker C: Oui, ça y en a partout après. Mais c'est vrai que c'est peut-être un milieu où, comme les sujets sont plus souvent abordés de différentes façons, plus avec différents cas, On peut en discuter, on est plus aptes à entendre l'autre. Mais rien ne vaut encore une fois un professionnel. Les amis c'est très important. Professionnel c'est quand même quelque chose de plus précis.
[03:12:30] Speaker B: Il y a différentes gradations.
[03:12:33] Speaker C: Exactement.
[03:12:34] Speaker B: Tout le monde n'est pas obligé de voir un professionnel juste parce que...
[03:12:36] Speaker C: J'essaie juste de croire que je suis quelqu'un de... Non mais tout le monde.
[03:12:39] Speaker B: Est comme toi Pierre, tout le monde est comme toi. Pas de soucis.
[03:12:43] Speaker C: Tu sais ces fameux mots, quand tu vas voir la première fois le psy, tu dis j'aimerais juste être normal. Et quand il fait aïe aïe aïe, bon bah ça commence mal.
[03:12:51] Speaker B: J'adore quand tu commences, tu sais quand, alors que peut-être qu'on ne l'a pas fait ça. Enfin si tout le monde l'a fait, pardon.
[03:12:59] Speaker C: Je préfère non, parce que je n'ai pas envie d'être dictateur mais je l'oblige à dire des choses.
Ok donc là tu rentres dans ce domaine là et tu te lances et là tu te sens mieux, t'es libre.
[03:13:10] Speaker B: Et maintenant ta vie est merveilleuse, il n'y a plus aucun souci.
[03:13:12] Speaker D: Bah disons qu'il y a des soucis mais je le prends avec le sourire.
[03:13:16] Speaker B: Always see the bright side of life.
[03:13:22] Speaker C: C'est très bien.
[03:13:24] Speaker B: Voilà merci, il y a quelqu'un, je dirais pas qui c'est mais achetez son livre.
[03:13:30] Speaker C: Et donc aujourd'hui, le futur, tu le verrais comment ? Ça aussi, parce qu'on peut pas tout dévoiler, mais...
[03:13:39] Speaker D: Le futur ?
[03:13:40] Speaker C: Mais t'aimerais faire des interviews, t'aimerais rencontrer des artistes, t'aimerais... Dans les yeux, sans dire précisément.
[03:13:47] Speaker D: Alors moi, ce que j'aimerais, ce serait monter un collectif de créatrices de contenus dédiés aux gens musicals.
[03:13:54] Speaker B: Des meufs métal.
[03:13:55] Speaker D: Des meufs métal, ouais. Des meufs. Pour qu'il y ait une grande représentation. C'est un joli nom d'ailleurs.
Meuf métal, ouais. Ben après, dame métal, écoute. Pourquoi pas ? Mais ouais, non, j'aimerais vraiment être à l'initiative de quelque chose comme ça, qui puisse regrouper. Parce que finalement, en fait, on est plusieurs créatrices de contenu avec des goûts différents dans le domaine. Et je me dis, mais en fait, pourquoi on ne se regrouperait pas pour faire quelque chose ensemble ? Là, déjà, on a une émission avec Jenny Hollister, que j'embrasse aussi, qui regardera sûrement. Mais on a créé... Hein ?
[03:14:31] Speaker B: Je refais la blague.
[03:14:34] Speaker D: Mais on a déjà monté une émission qui s'appelle Tchitchalt avec Jenny où là par contre on parle plus, on va dire, gossip de la scène métal, voilà ce genre de choses et plus mode alternatif qu'on aime bien. Donc là c'est vraiment un vrai petit magazine qu'on fait sur Twitch une fois par mois et qu'on aime bien.
[03:14:52] Speaker C: Sur ta chaîne ?
[03:14:52] Speaker D: Sur ma chaîne, ouais. Voilà, donc l'idée par la suite ce serait vraiment de développer...
Oui, Marcel se.
[03:14:58] Speaker C: Mouche, il envoie la purée, je peux te dire que c'est en train de sortir. Enfin, je parle du nez. Bref, façon.
[03:15:05] Speaker B: C'est les gossips, ça.
[03:15:06] Speaker D: Mais du coup, j'aimerais bien monter un collectif.
[03:15:12] Speaker C: Ça serait chanmé, franchement, en vrai, ça serait chanmé.
[03:15:14] Speaker B: T'as besoin d'un coup de main, t'hésites pas ?
[03:15:17] Speaker D: Bah, avec plaisir.
[03:15:18] Speaker B: On se déguisera en femmes.
[03:15:19] Speaker D: J'aimerais bien, ouais.
[03:15:20] Speaker C: Comme ça, on sera...
[03:15:21] Speaker B: Franchement...
[03:15:22] Speaker C: Alors moi, je le fais régulièrement, mais en vrai...
[03:15:24] Speaker B: Une pérille s'est assimilée pour un an.
[03:15:27] Speaker C: Non mais c'est vraiment, pour le coup, on plaisante, mais s'il y a besoin d'aide, effectivement, on est à fond pour aller là-dedans. Parce que c'est des choses qu'il faut porter aussi, il faut que tout le monde le porte. Oui, c'est ça.
[03:15:37] Speaker D: Puis l'idée, ce serait vraiment aussi de pouvoir, on va dire, plus professionnaliser le milieu et que ces créatrices, elles ne se sentent pas paumées quand elles veulent débarquer là-dedans. Et que, disons que celles qui ont fait un petit peu leur patte, puissent aussi les manager, les conseiller, machin, tout ça. Parce que quand on arrive dans ce milieu, on est confronté à A beaucoup de choses, on parlait tout à l'heure... A beaucoup de problèmes et que je pense que tout le monde n'est pas aussi... Enfin, tout le monde n'est pas forcément préparé à débarquer... En fait, il y a beaucoup de gens qui disent on débarque sur les réseaux, on sait pas ce qui va se passer. Est-ce qu'on va être critiqué ? En fait, on s'attend à être critiqué sur quelque chose, on va être critiqué sur complètement autre chose. Il y a aussi, on parlait tout à l'heure, le côté légitime, crédibilité, mais surtout aussi le côté avoir des références, de dire aussi aux nanas, mais en fait, si, si, il y a des femmes qui écoutent du métal et puis vous pouvez aussi, on peut en discuter ensemble, tout ça. Et voilà, c'est OK.
[03:16:35] Speaker C: C'est génial parce que ça permet une sécurité, c'est-à-dire que normalement, il n'y a pas un sale mec en plein milieu qui peut faire de la merde. Je rigole mais c'est pas marrant, c'est juste pour dire qu'il y a une vérité aussi derrière tout ça.
[03:16:47] Speaker B: Il y a un truc qui est vrai pour tout créateur qui commence, c'est aussi des gens qui peuvent venir autour un peu et donner des conseils qui sont pas vraiment des bons conseils ou des trucs comme ça, ou essayer de profiter d'une situation, d'une personne. Et je pense qu'encore plus quand on est une femme parce qu'il y a ce côté où on peut avoir peur de ne pas être légitime auprès des gens et peut-être chercher une validation auprès de quelqu'un qui va essayer de profiter.
[03:17:18] Speaker D: Qui va dire ouais, c'est bien.
[03:17:20] Speaker B: Je peux faire ça pour toi, t'inquiète pas. Je prends l'argent pour toi, t'inquiète pas.
On a vu des choses comme ça arriver, c'est pas cool.
[03:17:29] Speaker D: Mais du coup, l'idée, ce serait justement d'éviter ça et que ces nanas-là puissent avoir aussi des repères dans le milieu même. Et un côté vraiment... J'en ai déjà parlé avec Audrey parce que j'ai déjà ma petite idée de qui j'aimerais... En tout cas, monter ce collectif et du moins les créatrices avec lesquelles j'aimerais bien que ça se fasse et qu'elle...
[03:17:54] Speaker B: Le dis pas de le voir parce qu'Audrey n'est pas dedans donc elle va mal le prendre.
[03:17:58] Speaker D: En termes de temporalité, je ne saurais pas dire, parce que pour l'instant, disons que je fais mon petit truc. Et si maintenant, quand ça se fera, ça se fera. Et du coup, j'aimerais bien que ce collectif soit aussi à l'initiative, enfin, permette aussi à des émissions, genre Chichalt, que ça puisse être aussi intégré à ce petit collectif et qu'ensemble, on puisse créer de belles choses et faire plein de de différents projets et que chacune puisse être épanouie et se sentir légitime, surtout, comme tu disais, et puis avoir les bons conseils parce que, comme tu as dit, tu as aussi beaucoup de gens.
[03:18:36] Speaker C: Qui se sentent à sa place, tout.
[03:18:39] Speaker B: Ensemble, pour que le sol tremble.
C'est pas de moi, c'est Plemo. Mais vous pouvez le reprendre, c'est ce qu'ils ont fait. C'était la chanson United Nowhere, qui parle du collectif Nowhere, dont le but était la même chose, d'aider les groupes entre eux, de s'entraider pour pouvoir trouver les bons plans pour faire des concerts, des choses comme ça. C'est un peu le même principe de groupe à femme créatrice de contenu, mais c'est beau.
[03:19:05] Speaker D: C'est ça. Et puis aussi, il y a aussi cette idée... Je suis désolée, je parle beaucoup.
[03:19:09] Speaker B: Non, non, non, c'est un peu chiant.
[03:19:12] Speaker D: Mais non, mais voilà, parce que c'est des projets aussi qui stimulent, donc forcément, je veux dire, mais c'est aussi parce qu'aujourd'hui, en fait, on est de plus en plus de créateurs aussi à être contactés par des groupes, des événements, tout ça. Et il y a beaucoup de créateurs qui... Enfin, soit c'est les événements et les groupes qui ne connaissent pas forcément les codes de comment ça se passe de collaborer avec un créateur de contenu ou quoi. soit c'est le créateur qui n'a pas encore les codes et qui du coup on va lui demander plein plein plein de choses à faire. Et savoir comment ça se passe. Qu'est-ce qu'on peut demander, qu'est-ce qu'on peut...
[03:19:48] Speaker B: Qu'est-ce qu'on peut accepter, qu'est-ce qu'on peut ne pas accepter des gens.
[03:19:55] Speaker D: Pour l'instant, il n'y a pas de temporalité, mais si ça se fait, ce ne sera que du bonheur.
[03:19:59] Speaker B: On n'hésite pas à venir en reparler quand ça se fera.
[03:20:02] Speaker D: C'est trop gentil, avec grand plaisir.
[03:20:04] Speaker B: Clairement, nous, le but de ce média, c'est d'aider des gens à faire des trucs. Si on peut aider, nous, c'est ce qu'on veut faire.
[03:20:15] Speaker D: Je reviendrai avec toute l'équipe, tout le crew de créatrices. Il n'y a pas de soucis.
[03:20:25] Speaker C: J'aimerais un grand canapé. Non mais c'est très cool, c'est une super idée. C'est bizarre parce que je n'avais jamais pensé à ça.
[03:20:33] Speaker B: C'est vrai que pour nous, ce n'est pas très légitime de le lancer.
[03:20:35] Speaker C: Non, non.
[03:20:36] Speaker B: C'est peut-être pour ça.
[03:20:37] Speaker C: Moi, je ne vais pas faire avec mon collectif, sinon on va tous être ensemble.
Quel horreur ! Bon, je suis désolé, c'est faux. Mais non, c'est une super idée, franchement, géniale. Et quel que soit le moment où ça se passera, c'est vraiment top. Rien de courir non plus, c'est juste... Fais-le.
[03:20:51] Speaker D: Si je le fais, je veux le faire bien.
[03:20:54] Speaker C: Tu disais qu'il y avait un groupe important, ce fameux Bad Omens ?
[03:21:01] Speaker B: Mauvais présage, là.
[03:21:03] Speaker D: Mauvais présage. C'est un des premiers groupes qui m'a fait raccrocher et je suis tombée sur... Je sais pas si je peux le dire sur Twitch. Artificial suicide.
[03:21:20] Speaker B: En plus, si tu le dis comme ça, c'est parfait.
[03:21:23] Speaker D: Je suis pas bilingue.
[03:21:26] Speaker C: Je l'ai mis à la fin, ça va être écran géant sur l'écran. Si ça s'arrête...
[03:21:32] Speaker D: Mais oui, en fait, c'est vraiment, comme je disais tout à l'heure, j'avais besoin d'une musique qui gueule à ma place, qui gueule sur des injustices que j'étais en train de vivre. Et c'est arrivé pile au bon moment. Et j'ai dit OK, c'est quoi ce groupe ? Bon, il y a des chansons que je n'aime pas nécessairement, mais c'est un groupe que j'apprécie quand même beaucoup. Donc, j'ai hésité entre cette chanson-là et What do you want from me ?
[03:21:57] Speaker C: Alors, on connaît très mal... très mal...
[03:22:00] Speaker B: Oui... Moi, je pense que c'est de la merde, donc j'écoute pas. Je rigole, bien sûr, à moitié.
[03:22:05] Speaker C: Marcelle nous rappelle que c'est de la prévention, bien sûr, ce n'est aucunement une incitation à court soin.
[03:22:10] Speaker B: Bien sûr, bien sûr.
[03:22:12] Speaker C: C'est justement de l'aide.
[03:22:13] Speaker B: Alors, il est artificiel.
[03:22:14] Speaker C: Oui, ça parle d'autre chose, oui.
[03:22:16] Speaker B: C'est pour pas que ce soit réel.
[03:22:18] Speaker D: Mais c'est ça la force de cette musique, c'est justement d'expliquer comment ça se passe. Je m'en foutais des paroles, c'était l'émotion que ça me faisait ressentir, l'énergie que je ressentais à travers cette chanson et j'ai dit c'est exactement ce qu'il me faut. Donc voilà, ça m'a beaucoup aidée et du coup j'ai fait plouf, dans le gros bain.
[03:22:41] Speaker C: Bon bah c'est cool.
[03:22:42] Speaker B: Bah écoutons ça ! Bad Omens avec Artificial... Pouet-pouet !
[03:23:35] Speaker A: Pour.
[03:23:52] Speaker C: Un oeil, un doigt, un doigt.
[03:23:54] Speaker A: Lumières et molotovs pour l'enfant brisé Can you hear me through the white noise, friend?
[03:24:02] Speaker E: The gist of the life, you don't.
[03:24:04] Speaker C: Get to choose Another Emmy Christ on.
[03:24:06] Speaker A: The evening news Can you hear me through the white noise? Can you hear me through the white no- There's gonna be a commodity Not another maggot in the feed That you're gonna eat Motherfucker, you can try But I'll fix you Répétez la phrase que j'ai forcée à lire Si je veux être génial, je veux être moi-même Pouvez-vous m'entendre par le bruit blanc ? Pouvez-vous m'entendre par le bruit blanc ? Pouvez-vous m'entendre ? Pouvez-vous m'entendre par le bruit blanc ?
Mon officiel, c'est O-M-G !
[03:26:20] Speaker C: C'est.
[03:26:38] Speaker A: Parti.
[03:26:50] Speaker C: !
[03:29:06] Speaker E: C'est.
[03:29:35] Speaker A: La fin.
[03:30:58] Speaker C: Calva Louise à l'instant, dans Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, c'est comme ça tous les dimanches soirs, le rendez-vous est donné, c'est vrai que le week-end a été sympa, le lundi c'est chiant, et bien au milieu il y a nous, voilà, avec de la bonne musique et des invités extraordinaires, là c'était Calva Louise que je vous conseille chaudement d'écouter.
[03:31:15] Speaker B: Pro retour de Calva Louise !
[03:31:16] Speaker C: Le titre s'appelle Impeccable. Au début on en a fait la blague et c'était impeccable. Et notre invitée ce soir c'est la Dame Métal, encore une fois merci beaucoup. La Dame Métal que vous retrouvez sur les réseaux, partout, elle est partout. TikTok, Instagram, Twitch, seule ou accompagnée du coup.
[03:31:35] Speaker B: Il faut la suivre partout parce que c'est différent partout.
[03:31:37] Speaker D: C'est différent partout. Je me mets des difficultés toute seule.
[03:31:42] Speaker C: Après c'est logique. Je pense que c'est un truc qui est important. Si tu ne donnes pas un petit bonus...
[03:31:47] Speaker D: En fait, il y a souvent les abonnés...
[03:31:49] Speaker C: Il y a quelques différences.
Bon, continue.
[03:31:54] Speaker D: Les abonnés, si tu veux, ils vont te suivre sur les mêmes plateformes. Donc, il faut que quand ils te suivent, t'aies autre chose à proposer. En tout cas, moi, j'ai envie de fonctionner comme ça.
[03:32:06] Speaker B: C'est une belle preuve de volonté de satisfaire les gens.
[03:32:12] Speaker D: Ou du sadomasochisme.
[03:32:14] Speaker B: Ça revient un petit peu au même quelque part.
[03:32:18] Speaker C: C'est tout le plaisir de ce métier. Est-ce que tu aurais quelque chose à dire, un mot, un message que t'avais en tête et que tu t'es dit tiens je l'ai pas dit pendant cette émission ?
[03:32:28] Speaker B: Girl Power !
[03:32:29] Speaker C: Elle l'a dit, elle l'a dit.
[03:32:31] Speaker B: Et toujours le point levé comme dirait Nadia.
[03:32:33] Speaker D: Qu'est-ce que j'aurais pas dit ?
[03:32:37] Speaker C: C'était elle. Et toujours le point levé. Non, c'est pas Nadia.
[03:32:41] Speaker B: Ah, c'est Chérie Falona, pardon.
[03:32:43] Speaker D: Non, c'est Amel Bent.
[03:32:45] Speaker B: Ah, c'est Amel Bent. En plus, je l'ai filmée, Amel Bent. Elle est très gentille.
[03:32:48] Speaker C: Elle est hyper gentille. Bon, voilà.
[03:32:51] Speaker B: Bon, après, elles sont toutes pareilles.
[03:32:53] Speaker C: Oh ! Laisse-la dire son message.
[03:32:57] Speaker D: Mais non, mais c'est bien parce que je réfléchis.
[03:32:58] Speaker C: Je réfléchis au message. Toi, tu comprends rien. Toi, t'es toujours en train de croire.
[03:33:04] Speaker B: Que je suis méchant.
[03:33:05] Speaker C: Mauvaise.
[03:33:06] Speaker B: C'est toi la mauvaise.
[03:33:12] Speaker C: Et ça en podcast ça fait presque une voiture de course. C'est mon asthme.
[03:33:16] Speaker D: Non mais en fait je sais pas si... En fait quand je me suis lancée sur les réseaux le but avant c'était vraiment de développer ma chaîne Twitch donc juste pour expliquer un petit peu parce que c'est aussi si on peut faire un peu la pub.
[03:33:28] Speaker C: Mais évidemment t'es là, bah c'est aussi là pour ça sinon.
[03:33:31] Speaker D: Quoi ?
[03:33:32] Speaker B: Tant que t'envoies un chèque y'a pas de soucis.
[03:33:34] Speaker C: Le running gag de l'émission. Il est fort, il est très fort.
[03:33:39] Speaker D: Mais en fait...
[03:33:41] Speaker B: C'est parce que je suis gros ?
[03:33:41] Speaker C: Oh putain quand je l'ai dit je me suis dit merde, merde, merde !
[03:33:45] Speaker B: Non mais je vais pas me vexer mais c'est bon.
[03:33:47] Speaker C: La chaîne Twitch. C'est très compliqué de travailler avec nous. Tu pourrais demander à Marcel, regarde il a les bouchées.
[03:33:55] Speaker D: Oui je le vois il est en PLS là. C'est fini !
[03:34:03] Speaker C: Oui, j'ai le rire de Louis de Funès. Et puis de Bévis et Betadine.
[03:34:06] Speaker B: Non, il a beaucoup plus de talent que toi, Louis de Funès.
[03:34:10] Speaker C: Bon, on te laisse là-bas.
[03:34:12] Speaker D: Donc, à la base Twitch. Oui, en fait, à la base Twitch, pour donner un petit peu l'idée de ce que je fais sur Twitch, je ne sais pas s'il y en a qui connaissent un petit peu le créateur de contenu incréatif qui se fait appeler EEEE.
[03:34:28] Speaker C: Moi, je ne connais pas.
[03:34:30] Speaker B: C'est normal.
[03:34:32] Speaker C: Ok bah c'est bien pour les gens qui connaissent pas alors !
[03:34:34] Speaker D: C'est initialement un youtubeur qui finalement s'est dirigé vers Twitch et en fait il fait beaucoup de réact sur des sujets de société avec à l'appui des documentaires sur des gens un peu what the fuck genre style striptease tout ça, machin tout ça. Et en fait c'est vraiment cette chaîne-là qui m'a inspirée parce que j'ai voulu décliner le truc et le mettre à ma sauce sur ma chaîne Twitch, donc c'est pour ça qu'aujourd'hui je propose des contenus... Enfin voilà, c'est vraiment un programme où on réacte à des documentaires sur le métal ou en lien avec la culture alternative, tout ça, et de faire découvrir des choses soit nouvelles ou...
[03:35:11] Speaker C: C'est pour ça que tu m'as demandé l'adresse de la vidéo de mon documentaire, maintenant je comprends mieux ! Tu peux pas me donner l'adresse ?
[03:35:19] Speaker D: C'est exactement pour ça. Mais ils aiment bien, franchement, les viewers qui sont là régulièrement, ils aiment bien qu'on réacte à ça. Et voilà, donc c'est tous les jeudis, 21h. Donc n'hésitez pas, on s'amuse bien. Et puis j'aime beaucoup discuter avec les gens parce que ça fait partie aussi de la création de contenu. C'est un réseau social, c'est un échange. Donc n'hésitez pas à y venir faire un petit tour.
[03:35:45] Speaker C: Vous êtes connectés, donc c'est le moment ou jamais. Vous aurez une deuxième page, vous tapez la dame métal.
[03:35:50] Speaker B: Il y a même le lien dans le tweet. Oh bon alors.
[03:35:52] Speaker C: Donc n'hésitez pas à vous y abonner. C'est la musique. Il écrit Marcella.
[03:36:00] Speaker B: Il y avait le lien du twitch, il y avait le lien du Instagram sur lequel il y a forcément un lien.
[03:36:05] Speaker D: Je crois que c'est des underscores. Ouais voilà, bien ouège.
[03:36:08] Speaker B: Ah il y a MyMetalUnicorn qui est là, qui a dit Pierrot F1.
Ton imitation de... Il l'a déjà oublié. Non mais c'est grave, c'est un poisson rouge le machin.
[03:36:19] Speaker C: Bah je suis poisson petit, c'est rarement bon. Je vis dans mon bocal. Je fais des bulles.
[03:36:27] Speaker D: Oh mon caca !
[03:36:30] Speaker C: Alors attendez parce qu'on n'a pas parlé de cette histoire des capotes avec du caca dedans.
[03:36:34] Speaker B: Non mais je crois qu'on ne va pas parler du caca pote.
[03:36:38] Speaker D: On avait dit qu'on gardait ça pour nous.
[03:36:40] Speaker B: On attendra que la main revienne pour qu'ils se justifient.
[03:36:43] Speaker C: Ou alors, allez poser la question.
[03:36:45] Speaker B: Sur chacune de ces vidéos, vous demandez à Lama Lavalampe, c'est quoi l'histoire du cacapote ? Donc ça s'écrit C-A-P-O-T-E. Sur chacune de ces vidéos, vous mettez en commentaire, c'est quoi l'histoire des cacapotes ?
[03:37:03] Speaker C: Bon, très bien.
[03:37:06] Speaker D: Et donc voilà.
Non mais voilà, je voulais juste faire un petit aparté sur la chaîne Twitch parce que c'était initialement vraiment le contenu principal que je voulais développer. Finalement, j'ai développé tout, donc voilà. Venez me voir, on passe des bons moments.
[03:37:22] Speaker B: Je suis gentille, je vous promets.
[03:37:23] Speaker D: Je suis gentille, je meurs personne et généralement, les gens qui sont avec moi, ils sont très sympas.
[03:37:27] Speaker C: Oui, puis c'est tout le plaisir, c'est d'échanger, de discuter justement, de regarder des trucs. Et puis vous construisez autour quoi.
[03:37:33] Speaker B: Et puis même si vous ne regardez pas, vous allez la follow pour lui donner de la force. Voilà.
[03:37:37] Speaker D: Je suis très présente sur Instagram.
[03:37:39] Speaker B: C'est ça ce qu'il faut faire. Il faut soutenir tous les créateurs. Tous ceux qui font du métal, vous dites oui, j'aime bien.
[03:37:46] Speaker D: Discutez pas.
[03:37:47] Speaker C: Tous, tous.
[03:37:48] Speaker B: Non, il y en a quelques-uns, on vous donnera des noms la prochaine fois.
[03:37:53] Speaker C: On leur fait coucou.
[03:37:55] Speaker B: Vous connaissez ?
[03:37:58] Speaker C: Ah bah c'est fini, pardon.
Mais non, on les aime bien quand même.
[03:38:03] Speaker B: On aime tout le monde, nous. Même ceux qui nous chient dessus.
[03:38:06] Speaker C: Enfin, c'est une façon de parler.
[03:38:09] Speaker B: Au sens figuré.
[03:38:10] Speaker C: Ceux qui nous chient vraiment dessus.
[03:38:12] Speaker B: Parce qu'au sens propre, c'est un peu trop sale.
[03:38:14] Speaker C: C'est ça. Ça sent trop la noisette.
[03:38:17] Speaker D: Oh, la référence !
[03:38:19] Speaker C: T'aimes le praliné ?
[03:38:25] Speaker D: On va vraiment finir là-dessus ?
[03:38:28] Speaker B: Apparemment oui. Mais c'est pire, il sait pas finir.
[03:38:31] Speaker C: La fin d'émission est toujours un peu bizarre. C'est le moment en fait gênant. C'est parce qu'en fait ça part en cacahuètes sans le jeu de mots.
[03:38:41] Speaker B: On tient à ce que nos invités gardent un bon souvenir.
[03:38:45] Speaker D: Bon, à quel niveau ?
[03:38:47] Speaker C: En tout cas, encore une fois, c'était très très intéressant. Merci. Bravo pour ce que tu fais.
[03:38:53] Speaker D: Merci.
[03:38:53] Speaker C: Tu es une belle personne, tu as une belle âme, parce qu'on a beaucoup parlé hier, donc on s'est vu aussi. Et il faut que tu y ailles à fond, et tes idées de collectif, je trouve ça merveilleux. Donc il ne faut pas lâcher. C'est cool, c'est vrai, il faut vraiment bien faire ça.
[03:39:08] Speaker B: Et toujours le point levé, comme dirait Abel Bel.
[03:39:12] Speaker D: Chéri Palouna, là.
[03:39:14] Speaker C: Chérifouna !
[03:39:14] Speaker B: Non, c'est à ma peinte !
[03:39:16] Speaker C: Ah non, Chimifou !
[03:39:17] Speaker B: C'est gênant !
[03:39:22] Speaker C: Attends, je vais toujours être censuré à.
[03:39:23] Speaker B: Partir de maintenant !
[03:39:24] Speaker C: Et alors parce qu'en fait, c'est là qu'il a...
C'est pas lequel est le plus désagréable.
[03:39:32] Speaker B: Toi, toujours.
[03:39:33] Speaker C: Elle est belle cette petite poule. Enfin, ce coq, je sais pas trop ce que c'est, mais bon. Non mais voilà, j'étais sérieux, mais vraiment, bravo, il faut y aller à fond. Et ce qui est cool, c'est d'avoir un univers, et ton univers, il est vraiment très différent, et justement il est... Il est pas, comme tu le disais en début d'émission, t'es pas dans le cliché métal. T'as fait un truc différent. Donc t'as pas tout l'attirail et tout le truc qui fait que... Et je trouve que c'est vachement bien. Parce qu'on aimerait trop que le métal puisse être accepté. Alors c'est plus le cas aujourd'hui évidemment. Mais encore plus. Et du coup... Et je pense que t'es quelqu'un qui peut faire dire aux gens... Oui, il y a quand même des gens normaux qui écoutent cette musique. Mais non, mais tu vois, c'est très bizarre de le dire comme ça.
[03:40:15] Speaker D: C'est exactement pourquoi, je suis désolée, j'ai l'œil qui pique parce que déjà je suis émue par tes mots, mais surtout j'ai des allergies aux pollens.
[03:40:23] Speaker C: Parce que je suis une belle fleur ! Oh la tête que t'as faite ! Mais quel enfoiré ! Le regard de Mélode s'est décollé ! Ah là j'hallucine ! Je sais pas du tout ce que t'as senti ! Merci l'émission !
[03:40:39] Speaker B: Je pensais à tes pétales !
Excuse-moi mais ça m'a donné envie de gerber.
[03:40:44] Speaker D: C'est un enfer en ce moment. Mais l'idée c'était vraiment ça, c'était de dire aux gens qui sont curieux, venez, et aux gens qui sont complètement amateurs, venez aussi.
[03:40:57] Speaker C: Et mon œil va crever. On a tout ce qu'il faut sur le bureau, il y a aussi du liquide pour mettre dans les yeux, attention de pas te rendre l'œil encore plus rouge.
[03:41:07] Speaker B: De toute façon on va terminer cette émission.
[03:41:08] Speaker C: Parce qu'en fait, je m'y souviens en.
[03:41:10] Speaker B: 75... Faut que tu présentes le dernier titre, Pierre.
[03:41:13] Speaker C: Ah putain, j'ai pas regardé qui c'est.
[03:41:14] Speaker B: Qui a proposé moi. Alors, comme... Bah regarde, pendant ce temps je...
[03:41:17] Speaker C: Mais je peux pas, c'est là-bas !
Merci, le titre c'est notre scène, bah tu l'as aussi.
[03:41:22] Speaker B: Donc, à la fin, tu peux me montrer, s'il te plaît, comme ça elle peut soigner son oeil tranquillement.
[03:41:27] Speaker C: Non c'est bon, c'est bon, ça revient. Chaque fin d'émission, c'est pareil que pour le clip des Bangers, c'est sur Patreon que vous avez le droit de choisir et c'est un clip d'un groupe français, c'est une obligation et si vous nous le proposez, on est obligé de le diffuser, à part s'il n'est pas diffusable évidemment. J'ai quand même des règles à respecter, mais vous pouvez le faire. Donc rejoignez-nous sur Patreon et proposez-nous, si vous êtes en groupe, c'est aussi l'occasion de diffuser votre groupe. Pour le proposer, c'est 6,66 euros. Bon, ça va, c'est pas non plus... Mais voilà. Et ça nous a été proposé par Kevin. Il est là, notre Kevin. Kevin Parent. Merci encore une fois à toi, parce qu'il est très, très actif. Et c'est une personne qui soutient beaucoup. Beaucoup. J'ai vu une petite abeille qui tourne autour du clic.
Et merci infiniment Kévin, sincèrement, tu sais que je dis plein de conneries mais je sais que tu comprends aussi. Merci beaucoup la Dame Métal, merci ce Fair Food aussi, merci à vous toutes et à vous tous d'avoir été aussi nombreuses et nombreux, merci d'être encore plus chaque jour, partout, sur les réseaux, merci pour vos messages hyper gentils.
[03:42:28] Speaker B: Ça c'est notre cœur qui bat, regardez !
[03:42:30] Speaker C: Et n'hésitez !
[03:42:31] Speaker B: C'est bizarre, j'aurais dit ça tout de suite.
[03:42:33] Speaker C: En tout cas merci infiniment, vive le métal, vivez-vous parce que sans vous cette musique n'est rien. Et puis bon courage pour demain matin. Je sais, nous aussi on va aller bosser, donc on n'a pas le choix. Merci beaucoup.
[03:42:45] Speaker B: Dites aux gens que vous aimez que vous les aimez, c'est important. Je t'aime Pierre.
[03:42:50] Speaker C: Mais je t'aime moi aussi ! Je t'aime Marcel, je t'aime !
[03:42:55] Speaker B: C'est encore pire, il m'aime !
[03:42:59] Speaker C: Je pourrais te sortir ma langue si tu veux.
[03:43:00] Speaker B: Peut-être qu'on peut dire ce que c'est ? Not a Scientist avec la chanson ?
[03:43:03] Speaker C: Not a Scientist avec Cough in the Web. Not a Scientist, groupe de Lyon, Clermont-Ferrand, je crois, vers ces eaux-là. C'était les anciens Uncommon Men from Mars. Enfin, il y en a, pas tous, mais voilà. Très très bon groupe, des gens très gentils aussi, qu'on aime fortement. Des gros bisous à eux, voilà, et à vous toutes et tous. Bisous, au revoir, vive le métal !
[03:44:29] Speaker A: C'est parti !
J'ai échoué sur mes rêves maintenant Sous-titres.
[03:46:17] Speaker D: Réalisés para la communauté d'Amara.org.
[03:46:53] Speaker A: Un pour le caillou.
[03:46:58] Speaker B: Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir.
[03:47:19] Speaker E: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon.
[03:47:28] Speaker C: N'hésitez pas à vous abonner.