#51 - ROYAL REPUBLIC en invités

Episode 51 June 07, 2024 03:02:21
#51 - ROYAL REPUBLIC en invités
Bang!Bang! RSTLSS
#51 - ROYAL REPUBLIC en invités

Jun 07 2024 | 03:02:21

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Show Notes

C’est toujours un moment de franche rigolade une interview avec ROYAL REPUBLIC !!! On les aime et on vous conseille de vous pencher sur leur univers… On les reçoit d’ailleurs à l’occasion de la sortie de « LOVECOP », leur nouvel album sorti le 07 Juin 2024 !

Ben, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:15] Speaker A: BANG BANG BING BING ! [00:00:21] Speaker B: Ça commence très très bien. Par contre on a donné toute l'énergie qu'on avait. Moi j'ai une voix de merde. [00:00:28] Speaker C: Maintenant c'est à moi de tout faire, c'est ça ? [00:00:30] Speaker B: C'est toi le héros, c'est toi le héros. Bienvenue à vous toutes et à vous tous. Vous êtes dans Bang Bang, l'émission alternative rock et métal, celle du dimanche, le rendez-vous dominical en live Twitch à partir de 19h. Et bonsoir Ben. [00:00:42] Speaker D: Bonsoir Pierre. [00:00:44] Speaker B: Bonsoir Enjoy The Noise. Peut-être que je vais parler comme ça toute la soirée, ça me fera un peu moins crier. [00:00:50] Speaker D: Ah oui, c'est pas désagréable. [00:00:51] Speaker B: Je peux le faire, je peux vraiment le faire jusqu'au bout de la nuit. Je vais parler jusqu'à la fin de cette émission. [00:00:56] Speaker D: Je vais mettre ton micro un petit peu plus fort du coup. [00:00:59] Speaker B: Je vais essayer de rester un petit peu concentré devant, comme ça au moins je parlerai. J'espère que vous avez passé une bonne semaine, j'espère que vous avez passé un bon week-end, j'espère que vous avez vu plein de bons concerts parce qu'il s'en est passé des choses cette semaine. Et on va en parler bien sûr, vous le savez. Je le répète, cette émission est un divertissement, c'est un moyen de se décontracter avant le début de la semaine et d'oublier les tracas. Donc on n'est pas là pour dire des choses sérieuses, on n'est pas là pour vous dire qu'on a la science parfaite. Non, on discute. [00:01:29] Speaker D: C'est une discussion. Une discussion entre amis. On n'a pas la science infuse et on n'infuse pas la science. [00:01:36] Speaker C: Le thé, oui. [00:01:38] Speaker B: On est au thé, on est bien, on est pépère. C'est une belle soirée qui s'organise avec, en invité ce soir, vous le savez, les Royal Republic. On est très très contents. Alors c'est une interview qui a été enregistrée, je tiens quand même à les signaler. On l'a dit mille fois. Mais ils présentent leur nouvel album qui sort vendredi. Et ils sont en concert, comme je l'ai dit, au Zénith. Si vous avez regardé un petit peu nos réseaux sociaux. Et c'est un moment très agréable. On a bien rigolé. C'est pas les derniers sur la galéjade. On va passer un très très bon moment. Si vous êtes fan, vous allez surkiffer. Des concerts cette semaine. Est-ce que tu as fait un concert cette semaine ? [00:02:15] Speaker C: Cette semaine non, pas de concert. Le dernier que j'ai fait, c'était avec Ben, c'était la semaine dernière. Donc le concert de Brimheim. [00:02:21] Speaker B: On en avait parlé. Moi j'ai été voir enfin, pour la première fois, Model Actrice à Lille. Je tiens à dire que j'ai découvert l'aéronef parce que je ne connaissais pas du tout cette salle, je crois pas en tout cas. C'est bien ! Ah bah oui ! Ah mais c'est hyper bien l'aéronef ! 6 euros la place de concert ! Ah vache ! [00:02:39] Speaker C: Mais amenez les mêmes ici ! [00:02:42] Speaker B: C'est juste ouf ! Tu sais au début j'ai fait « ah je suis quand même devant des Na'vi » tu sais je me suis dit que c'était quand même raclure de demander Na'vi. [00:02:47] Speaker C: J'ai des amis à Lille qui vont sans arrêt à l'aéronef maintenant je comprends ! [00:02:50] Speaker B: Bah oui ! En fait ils y vont très souvent, ils ont un abonnement et en plus ceux qui sont abonnés payent 3 euros la place ! Enfin bon bref ! C'était un très très bon concert ! [00:02:59] Speaker D: En plus d'avoir une très bonne programmation là-bas ! [00:03:01] Speaker B: C'est vrai que la programmation elle est complètement ouf, et l'avantage d'être entre la Belgique et Londres j'imagine, mais c'est incroyable. En concert, en modèle actrice, c'est très différent de l'album, c'est beaucoup plus violent. Fait des lancers de jambes, je peux vous dire que j'ai été très très jaloux. [00:03:18] Speaker D: Il va falloir que tu t'entraînes. [00:03:20] Speaker C: Il a la souplesse. [00:03:20] Speaker B: En plus il met des talons donc du coup... [00:03:23] Speaker D: La portée des jambes est encore plus... [00:03:25] Speaker B: Il fait ça juste à la tête en plus des personnes qui sont devant mais bon bien sûr c'est bien calculé parce qu'il va pas leur donner un coup de pied, c'est pas le but. Mais ça passe vraiment très proche, tu fais wow ! Bon tout le monde était bourré donc je veux constater que... Wow ! Wow ! Et il est souvent dans le public, il descend tout le temps et il chante avec les personnes, il danse, c'est très sensuel, c'est très sexuel aussi et ça transpire. Je sais pas comment l'expliquer sans dire que c'est crade. Mais il y a un côté un peu sale, on a l'impression qu'il est vraiment mais under drugs mais genre sale. Je ne voyais pas ça comme ça, mais effectivement, ça ressemble un petit peu à ça. Mais impressionnant. Franchement, je conseille à toutes les personnes qui ont envie de vivre d'un bon concert, d'aller voir Motel Actrice parce que c'est... Qu'on aime ou qu'on aime pas la musique, vous allez sortir en disant OK, j'ai kiffé. [00:04:20] Speaker D: Et puis on peut leur conseiller aussi d'écouter l'album qui est excellent. [00:04:23] Speaker B: C'est ça, excellentissime. [00:04:24] Speaker D: On en a déjà parlé, on en a déjà diffusé, mais c'est vrai que... Souvent ils jouent le dimanche soir à Paris, donc on a un peu dans le cul. [00:04:30] Speaker B: C'était un peu le problème, effectivement. Sinon, il y a eu ça, alors je ne sais pas si on voit bien le bracelet, on ne voit pas. [00:04:36] Speaker D: Ce qu'il y a écrit dessus. [00:04:39] Speaker B: C'est le Super Sonic Block Party qui a eu lieu jeudi, vendredi et samedi. Et c'est une superbe initiative qui donc rassemble plusieurs bars dans un bloc, dans un quartier, comment on appelle ça ? [00:04:50] Speaker D: Un pâté de maison ! [00:04:52] Speaker B: Un pâté de maison, exactement ! Merci ! Et merci professeur ! Et donc il y a des concerts qui sont organisés, c'est très peu cher, vous pouvez vous éclater, il y a des belles découvertes, comme à chaque fois le Supersonic sait le faire, donc je les félicite, je les remercie de nous avoir invités parce qu'on avait beaucoup envie de voir un groupe qui s'appelle Death Lens, dont on a parlé il y a peu, dont tu as parlé il y a peu, et c'était bien. [00:05:17] Speaker D: Ah bah c'était très très bien, ils sont arrivés l'air de rien. En fait le truc, donc ça marche, la block party du Supersonic, ça marche un peu comme un festival, où au lieu d'avoir des scènes, c'est des bars. Et vraiment, mais chaque barre est à deux minutes l'une de l'autre, donc... Enfin, l'un de l'autre. Je parlais des scènes, mais bon bref, vous avez compris. Du coup, c'est hyper facile d'aller voir plusieurs trucs. Nous, on est allé voir aussi Marathon un peu. Marathon, ça avait l'air super cool. [00:05:49] Speaker B: Au début, on a dit tiens, c'est Nirvana. [00:05:50] Speaker D: On les a écoutés. En tout cas, on ne les a pas vus, mais on les a écoutés. [00:05:53] Speaker B: Parce qu'il y a Nico du Supersonic qui fait 2m50 et qui se met nos rangs. Comment tu veux voir derrière ? [00:05:57] Speaker D: Lui, il n'a pas de problème, il est de la foule. Et du coup, nous on est allé s'installer pour aller voir Deathlands parce qu'on s'est dit bon bah... Quitte à pas voir les autres qui jouent, autant bien voir ceux qu'on veut voir. Du coup on est allé se poser devant la scène du Super Sénic. Et le groupe a commencé, la salle s'est remplie en deux secondes. Puisque les gens bougent quand les concerts se terminent quoi. Et ça a mis le feu ! [00:06:24] Speaker B: Le public est excité, on a vu des pieds. [00:06:27] Speaker D: On a vu des pieds, il y a quelqu'un qui a failli me faire un t-bag sur la tête. [00:06:31] Speaker B: J'ai eu très très peur. [00:06:34] Speaker D: Mais j'ai réussi à esquiver tout ça. Il y avait beaucoup de personnes en chemise aussi. [00:06:39] Speaker B: Il y avait des gens qui sortaient du bureau. [00:06:41] Speaker D: Ça sent canaille dans le rock, attention ! [00:06:44] Speaker C: Ça, ça me fait penser à ces salarié-men japonais qui sont hyper propres sur eux la journée, puis qui vont s'encanailler dans les bars en mettant la cravate autour de la tête. [00:06:54] Speaker B: Il y avait un peu de ça, ouais. [00:06:55] Speaker D: Il y avait un peu de ça, sauf qu'ils n'avaient pas la cravate autour de la tête, mais par contre, ils étaient contents de goûter au plaisir du pogo. Non mais très bonne ambiance et le groupe très très bon, ça tient bien la route, c'est efficace, vraiment parfait. [00:07:11] Speaker B: Il y a du tube, en fait quand tu enchaînes les morceaux, tu te dis celui-là c'est bien un peu dansé, celui-là ça groove, celui-là ça envoie la patate. [00:07:20] Speaker D: Du coup ils disent que c'est du garage punk, enfin c'est ce qui était écrit sur le truc du... En fait je trouve qu'il y a un petit côté, c'est un peu idols, turnstile, plus une vibe un peu plus encore californienne, mais il y a un côté quand même un peu hardcore old school. [00:07:35] Speaker B: Il y a un fond hardcore, oui complètement. Après il y a ce côté très branché, je dirais. [00:07:41] Speaker D: Ah bah ils sont branchés. Ah bah il y a des t-shirts. [00:07:43] Speaker B: Blancs bien coupés, il y a du. [00:07:45] Speaker D: T-Shirt coupé, il y a de la moustache, il y a du Ticalo, il y a du... [00:07:49] Speaker B: J'appelle ça le grand surmateur. Il y a beaucoup de turnstile dans le truc. Mais j'ai jamais vu turnstile donc je ne pourrais pas m'y accompagner. [00:07:57] Speaker D: De toute façon, il faudrait voir turnstile sur une scène aussi petite aussi. [00:08:01] Speaker B: Ce n'est pas faux. [00:08:03] Speaker D: La scène est vraiment pas très grande et du coup à un moment le chanteur s'est carrément assis. Il chantait assis au fond, vu que je peux pas bouger autant être assis. C'était rigolo, franchement j'ai passé un bon moment. [00:08:15] Speaker B: Très agréable aussi parce qu'il sourit sur scène. Ils ont fait monter un français qui a chanté. [00:08:21] Speaker D: Oui, ils ont dit qu'il y a quelqu'un qui connaît les paroles et ils l'ont fait chanter à la fin de la chanson, apparemment il les connaissait pas trop. [00:08:25] Speaker B: On félicite quand même parce qu'il est quand même monté sur scène. Ouais, ouais. [00:08:30] Speaker D: Enfin, yaourt sûrement, mais... [00:08:32] Speaker B: Je sais pas, vous me soulevez pas les paroles, donc je me suis dit... [00:08:34] Speaker D: Ah, c'est bien ! [00:08:34] Speaker B: J'ai vu le chanteur qui a fait... [00:08:35] Speaker D: Il était mort de rire, il était content. Mais l'ambiance était super cool, et le groupe, surtout, enchaîne. C'est-à-dire qu'il n'y a pas... Ils ont joué 50 minutes, mais il n'y a pas eu quasiment pas de pause entre les titres. Vraiment, ça enchaîne, ça enchaîne. [00:08:51] Speaker C: On s'est vu l'autoroute, quoi. [00:08:53] Speaker B: Et puis c'est bien parce que 50 minutes, comme nous on est vieux et qu'on était debout, moi j'ai abandonné au bout d'un moment, j'ai fait j'ai peur, je vais au fond. Je voulais une bière aussi. [00:09:01] Speaker D: Oui c'est plus l'appel de la bière. [00:09:03] Speaker B: Du coup ma voix elle est restée là-bas. Non mais excellente initiative et très très bon groupe. Si vous ne connaissez pas Death Lens, ça s'écrit L-E-N-S. [00:09:12] Speaker D: La lentille de l'enfer. Oui de la mort pardon. Pourquoi de l'enfer ? [00:09:17] Speaker B: C'était plus amusant. La lentille de l'enfer ! En tout cas, si vous avez des groupes à nous conseiller, si vous avez des groupes à nous faire découvrir, on est friands, on demande, n'hésitez pas à nous rejoindre sur Discord, vous tapez !Discord dans le chemeule, en direct, dans Live Twitch, comme ça vous pouvez rejoindre notre page et discuter avec nous. On y va parce que ça commence à être un peu consospectueux. [00:09:38] Speaker D: Je tiens juste à préciser que quand il dit friands, c'est pas les trucs fourrés à la viande. Voilà, c'est tout. [00:10:55] Speaker A: Repeated hatred to rub the hurt A. [00:10:57] Speaker B: List of scars They see you trying. [00:10:59] Speaker A: And put you down C'est parti ! The hatred of TV shows Unleash the scum, we prove them wrong Like a heartbeat, broken, burned and ammonized Like a heartbeat, I create the undertones Like a heartbeat. [00:16:53] Speaker B: Bravo, bravo, bravo, là, du clip de Clémentine... [00:16:57] Speaker C: C'est un high concept comme on dit, c'est ça ? [00:17:01] Speaker B: Non mais incroyable, j'avoue que quand tu m'as envoyé cette proposition, puisque c'est toi EnjoyTheNoise qui a choisi ce morceau-là, je me suis dit, mais attends, mais c'est le clip ça ? Parce que, en plus, j'étais sur mon téléphone, donc je voyais pas le détail dans les images. Attends, mais c'est de la merde, c'est des pubés, toi, la con, c'est des images gratuites où je sais pas que. [00:17:16] Speaker C: T'Achètes au kilomètre... Ouais, c'est du stock-stock. [00:17:19] Speaker B: Je me suis dit, mais c'est génial. Après j'attendais vraiment ton commentaire. Alors le groupe déjà on va dire... Comment il s'appelle ? C'est... T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O U T H O. [00:17:38] Speaker D: U T H O U T H. [00:17:38] Speaker B: O U T H O U T. [00:17:39] Speaker D: H O U T H O U Non mais moi en fait ça m'a fait penser aux images qu'on utilise quand on fait les fausses pubs pour les awards et là j'ai vu le truc et j'ai fait le décalage entre les images et la musique incroyable. [00:17:59] Speaker B: Le grand. [00:18:00] Speaker D: Jeu d'acteur des personnes qui savent. En plus, tu vois vraiment la misère du monde quand tu vois ces images tournées. D'ailleurs, si un jour vous vous embêtez, je vous conseille d'aller regarder ces trucs-là parce que tu peux les voir, toutes ces vidéos. [00:18:14] Speaker C: Tu peux les consulter. [00:18:15] Speaker D: Tu tapes des mots-clés et puis tu peux voir et c'est vraiment... [00:18:18] Speaker B: Mais tu vois ça où ? [00:18:19] Speaker C: Sur Adobe Stock, Shutterstock, voilà, tu vas dans la catégorie vidéo et tu cherches. [00:18:26] Speaker D: Tu tapes des mots-clés puis là tu rigoles, tu dis putain il y a vraiment des gens qui ont tourné ça. [00:18:30] Speaker B: Ils veulent vraiment faire passer ce message là via ces vidéos aussi parce que j'imagine la séparation on a vu... Ah. [00:18:36] Speaker D: Non mais en fait à chaque fois il y a des scènes et puis après tu les utilises pour ce que tu veux. [00:18:41] Speaker C: C'est ça, c'est juste des scènes. Après, je crois que les images stock ou qui montrent les téléphones, à la base, les téléphones, les écrans sont verts et tu incrustes ce que tu veux dedans. Finalement, en fait, tu fais des images de démonstration. Je ne sais pas si tu veux vendre une appli ou un truc comme ça. Tu fais des images de démonstration avec ça. [00:18:59] Speaker B: En tout cas, c'est très, très amusant. C'est bien vu de leur part d'avoir ce genre de choses. Est-ce que tu peux nous en dire un petit peu plus sur l'autre ? C'est pas mon genre de musique, j'avoue. [00:19:07] Speaker C: À la base, Zoo, c'est pas trop ma cam non plus, mais après quand j'ai vu le clip, j'ai fait le décalage est génial, c'est vraiment un truc à montrer. Zoo, c'est un groupe qui existe depuis un paquet d'années maintenant, qui est un groupe de sludge, on leur a deviné, qui vient de Louisiane. qui a la particularité en fait d'être moins proche dans l'esprit des groupes de sludge qui pullulent en Nouvelle-Orléans, dans ce coin-là, etc. Mais plus proche de l'esprit grunge, voire de l'esprit punk hardcore avec tout ce qu'il y a d'esprit DIY, tout ce qu'il y a d'esprit politique, assez de gauche, etc. Et Zoo, c'est un groupe qui a la particularité d'avoir une discographie qui est absolument longue comme le bras, mais avec une écrasante majorité d'EP et de splits, avec au passage aussi beaucoup de collaborations sur scène, au Roadburn par exemple, avec des artistes comme Emma Rothrundel, des gens comme ça. Donc ZOO, c'est un groupe qui est très très actif, qui a beaucoup de choses. Là, ils viennent de sortir un album. Un album qui s'appelle... Je l'avais... C'est... Merde, je l'avais. Merde, ça ressemble en plus... Attendez. [00:20:30] Speaker D: Je vais chercher pour toi, s'il te plaît. [00:20:32] Speaker B: Voilà, s'il te plaît, merci. [00:20:35] Speaker C: Donc, ils viennent tout juste de sortir un album, donc ce vendredi. Et donc, ce titre, Unbeaten Guest, qui est un des, on va dire, singles de l'album, et qui montre un petit peu, si vous connaissez pas Zoo, du coup, l'album s'appelle Umbilical. Voilà, Umbilical. [00:20:54] Speaker D: C'est joli. [00:20:54] Speaker E: Comme le cordon. [00:20:55] Speaker C: C'est très joli. [00:20:56] Speaker B: Un joli nom. [00:20:57] Speaker C: Exactement, merci pour l'anti-sèche. Et donc, vous voyez, Zou, c'est ce que vous avez entendu, donc c'est du sludge qui est très lourd, assez bruitiste, souvent assez chaotique. Voilà, un tout petit peu. Et qui est assez difficile d'accès au premier abord, mais bon, une fois qu'on se plonge dedans, qu'on a un peu compris l'esprit, le concept et tout, on s'y fait plutôt facilement. [00:21:23] Speaker D: Et puis c'est vrai que l'album en collab avec Emma Ruth Rundle, par exemple, c'est une porte d'entrée qui aide un petit peu. Voilà, c'est un peu moins intense. [00:21:33] Speaker B: Là c'est vrai que c'est très intense. [00:21:35] Speaker D: Là c'est très intense, ouais. Là c'est du pain aux fruits, mais vraiment très... Levé, quoi, vraiment. Du pain noir, quoi, c'est du pain noir. On aime bien croire que c'est un peu plus levé, quoi, avec une belle mielle véolée et tout ça. [00:21:52] Speaker B: En parlant de miel véolé ! Tu veux passer à la suite, c'est ça ? Bah oui ! C'est toujours un joy-to-know, je ne travaille jamais, je laisse faire tout ce qu'il faut. Non, tu as décidé de nous présenter le tout dernier clip de Leprousse, c'est ça ? [00:22:05] Speaker C: De Leprousse, ouais. Leprousse. Ou Lecrousse, comme on avait dit déjà, voilà. Lecrousse, le revoilà, ils sont de retour. [00:22:14] Speaker B: Donc les étudiants, ils en sont où ? [00:22:16] Speaker C: Les étudiants, ils vont sortir un album en août 2024, un album qui va s'appeler « Melodies of Atonement », qui va sortir en août 2024. Donc pour ceux qui ne connaissent pas, les Pross, groupe norvégien de métal progressif, qui a un beau groupe, à la base, qui va sur ses 25 ans, là je crois, ils ont été fondés en 2001, on dirait pas comme ça. Donc groupe qui a sorti quand même déjà un bon nombre d'albums, qui sont généralement très acclamés par la critique, c'est très bien sur scène aussi, les Pross. Un groupe qui gravite beaucoup autour de son chanteur, Einar Solberg, qui a cette posture un peu de diva à voix, qui est très dans les... [00:23:06] Speaker D: Un peu comme Pierre, quoi, finalement. [00:23:08] Speaker B: Exactement. [00:23:11] Speaker C: Donc, ouais, cette posture un peu, qui a adopté de plus en plus aussi, j'ai l'impression, au fil du temps, cette posture d'artiste un peu torturé, un peu perturbé, inspiré et tout. Bon, à vrai dire, le mec, un peu comme Pierre, bon, à vrai dire. [00:23:26] Speaker B: Pour le coup... Ah, t'étais en train de me montrer, j'étais concentré. Je crois que j'ai fait le micro, si y a souci. [00:23:31] Speaker F: Je te connais. [00:23:33] Speaker B: Non pas que ce soit pas intéressant, c'est que je suis beaucoup sorti. [00:23:36] Speaker C: Je sais, je sais. Oui, pour le coup, le gars est quand même... a eu son lot de perturbations, il a eu notamment une dépression foudroyante pendant quelques années qui lui a inspiré un album qui est sorti en 2019 qui s'appelait Pitfalls. Les Pros, à la base, c'était un groupe de metal pro qui était assez barré, qui pouvait partir un peu dans un esprit un peu chien fou, mais en costard cravate. Ils étaient toujours bien habillés, avec des chemises rouges, etc. Et la première fois que je les ai vus sur scène, c'était vraiment les... Tu les vois arriver sur scène, tu les vois pas trop venir les gars, ils étaient en chemise rouge avec des cravates noires et tout, tu disais « putain, les mecs ils sont propres sur eux » et en fait ils commencent à jouer, ça part en vrille et tu vois qu'ils étaient bien fous dans leurs têtes. Au fil du temps, ils sont un peu assagis, ils ont quand même gardé un pied dans le métal qui tape un peu, hein, pour pas non plus trop se regner. mais ils ont mis plus en avant des inspirations de trip-hop, de pop un peu sophistiqué à la radiohead, des choses un petit peu hors métal, ce qui fait que ça fait des albums un peu plus contrastés, un petit peu plus accessibles aussi, avec des choses un peu plus orchestrales, tout ça. Et là, ils viennent de sortir un clip qui a à peine deux jours, le morceau s'appelle Atonement, qui sera de cet album qui va sortir en août de cette année, donc Melodies of Atonement. et j'ai rien de trop... j'ai pas grand chose à dire sur le clip si ce n'est Ninja Néon, voilà. Donc vous allez voir. [00:25:02] Speaker D: Bon bah déjà on sait que Marcel va être fan. [00:25:04] Speaker C: C'est très cyberpunk, voilà, Marcel, il va être content. [00:25:09] Speaker B: Mais sur scène c'est vrai que c'est très très beau, il y a quelque chose d'assez fou. Ça cartonne aussi les gens, enfin je sais qu'il y a des gens qui font des déplacements de ouf pour aller voir Le Pouce, j'ai jamais... Ce genre de truc j'aurais fait pour Korn. Bon, effectivement, c'est peut-être pas un aussi bon groupe, mais les gens se dépassent et ça vaut vraiment le détour. Si vous n'aimez pas, il faut vraiment s'enseigner parce que c'est très très bon. [00:25:26] Speaker C: La dernière fois que je les avais vus, c'était en 2019 et c'était un concert en France, un petit festival qui s'appelait le Heart Sound, qui était un festival de progressifs et à visée caritative, qui faisait de la prévention pour inciter aux dons de moelle osseuse et qui travaillait avec des associations. et donc ils avaient fait venir des groupes de prog français et internationaux, donc il y avait par exemple Smash Hit Combo, il y avait Vola et il y avait Les Pros. Et Les Pros, ils avaient fait un truc qui était assez couillu, je trouve, c'était de faire un set avec un tirage au sort. En fait, ils avaient mis plein de noms de morceaux dans un chapeau et ils faisaient tirer au sort sur des petits papiers. dans des gens du public. [00:26:09] Speaker B: Ça veut dire qu'ils connaissent leurs chansons, quoi. [00:26:11] Speaker C: Ça veut dire qu'ils avaient répété beaucoup de morceaux et les gens tiraient au sort la setlist sur le moment. C'est-à-dire, ils finissaient un morceau, ils tiraient au sort un morceau, ils jouaient, etc. Bon, malheureusement, ça faisait une setlist qui était vraiment pas orientée sur les morceaux les plus accessibles et les plus, on va dire... Ça faisait pas une setlist qui était très intense. on va dire, même les musiciens au bout d'un moment, ils sentaient qu'ils avaient la... [00:26:36] Speaker D: On va quand même vous jouer des singles ! [00:26:39] Speaker B: Vous allez connaître au moins un morceau à un moment. [00:26:40] Speaker C: Non, vraiment, ils ont assumé le concept jusqu'au bout. Mais ouais, en tout cas, c'était intéressant et impressionnant de voir qu'ils connaissaient leur répertoire et ils ont cette capacité d'apprendre énormément de morceaux, de connaître vraiment leur répertoire sur le bout des doigts et de savoir bien le restituer. [00:26:57] Speaker B: Les jouer directement comme ça. Bon, balèze. Donc c'est un très bon groupe. Voilà, c'est tout ce qu'on va retenir. Et on va regarder ce clip, donc, de Leprous, qui s'appelle Atonement. On peut y aller, Ben ? [00:27:07] Speaker C: Allons-y. [00:27:07] Speaker B: S'il vous plaît, oui. [00:27:08] Speaker D: T'as pas fait comme ça ! [00:27:10] Speaker C: C'est parti, l'union est honte. [00:27:43] Speaker F: Well, empty faces in a whirlpool Removing pity with a sharp tool Seems you're. [00:27:57] Speaker B: Always the one to blame Sour, crumble. [00:28:04] Speaker C: Ready to devour Broken pieces of the side. [00:29:13] Speaker B: That is all because of you. [00:29:17] Speaker A: The final life The last denial Realized That is all because of you. [00:30:05] Speaker F: Musique d'ambiance. [00:30:35] Speaker A: Et c'est tout à cause de toi La dernière vie La dernière chance Nous sommes des étoiles dans la douleur infinie. Dans nos rêves, nous sommes un étoile. Qu'est-ce que cela signifie, quand Golden Gate est notre rue ? Nous devons décider, quel côté de la vie nous restons. C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:37:00] Speaker B: C'est sombre, on n'était pas dans la joie, on était dans le... [00:37:03] Speaker C: C'est bien, c'est raccord avec la météo, très bien. C'est la dépressionnite, c'est lourd, c'est gris. [00:37:10] Speaker B: C'est bien, c'est très bien. Lorsque Ben m'a envoyé ce morceau, puisque c'est ton choix, j'avoue que je ne m'attendais pas du tout à ce que ça donne ça, parce que ce groupe qui s'appelle, alors je vais essayer de le dire correctement, Umbra Vitae. J'ai jamais fait... C'est du latin ? [00:37:27] Speaker D: Oui, c'est du latin, tout à fait. [00:37:28] Speaker B: J'ai jamais fait ça. En tout cas, je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus accéléré, rapide, violent, incisif. là c'est très lourd, bon ça garde ce côté très sombre, ça c'est peut-être pas la surprise mais c'est super poétique, je trouve ça très beau et je vais te laisser en parler parce que les gens se disent mais d'où sort ce groupe ? [00:37:46] Speaker C: Qu'est-ce donc que cela ? [00:37:47] Speaker D: Alors je vais pas en parler pendant deux heures mais c'est juste du coup c'est le groupe Ambra Vitae qui est un side project du chanteur de Converge voilà donc au départ il avait commencé à faire un truc solo avec deux musiciens Et puis finalement, il y a d'autres gens qui ont rejoint le projet et puis c'est devenu Embra Vitae. Donc ils avaient déjà sorti un EP ou un album en 2020. Du coup, là, ils ont annoncé avec ce clip qu'il y a un nouvel album. C'est déjà sorti il y a un mois, mais on n'a pas eu l'occasion d'en parler avant. Mais l'album sort le 7 juin, donc la semaine prochaine. Si je ne m'abuse, oui, c'est ça. Et du coup, voilà, nouvel album qui s'appelle, alors attendez, je vous le dis, il s'appelle Light of Death. La lumière de la mort. [00:38:33] Speaker B: Alors on comprend que dans sa tête ça se passe pas très bien. Donc la lumière de la mort. Il y a eu des morts, il. [00:38:38] Speaker C: Y a eu des lumières aussi dans le clip. C'est cohérent. [00:38:41] Speaker B: C'est une belle analyse. [00:38:46] Speaker C: La lumière par la lame. [00:38:47] Speaker D: Et du coup pour terminer juste dessus, dans les autres membres il y a des gens de The Red Cord, je sais pas si vous connaissez ce groupe, il y a des gens de Twin Ching Tongs. On n'en entend plus parler mais à un moment ça marchait bien. Il y a 10 ans de ça. Et des gens qui ont aussi joué dans Eight Breed, dans Job for a Cowboy, dans... [00:39:07] Speaker B: Voilà. Oui, il y a beaucoup de beau monde. [00:39:09] Speaker D: Voilà, c'est des gens qui sont censés être plutôt compétents dans leur domaine. On peut dire ça comme ça. [00:39:14] Speaker B: C'est comme un All-Star Band, mais sans qu'il se vante que ce soit un All-Star Band. [00:39:18] Speaker D: Voilà, tout à fait bien. [00:39:18] Speaker B: C'est une bonne chose. [00:39:19] Speaker D: Surtout, continuez bien à parler ensemble, tous les deux, à chaque fois. Là, ça fait quelques émissions, vous n'arrêtez pas. Donc à un moment, il va falloir... Sinon, vous allez porter des casques et vous allez entendre. [00:39:30] Speaker B: Ah non ? [00:39:31] Speaker D: Ah bah oui. Et que moi qui cours ! [00:39:34] Speaker B: J'ai une superbe voix là ! Pourtant aujourd'hui elle est belle en plus ! Bon on va faire une petite pause avant de dire... C'est le FlashBang News, la mini-bloggers ! Alors, il y a beaucoup d'informations, des bonnes et des mauvaises. Vous le savez, on est là pour rigoler, on est là pour critiquer, s'amuser autour de ça. C'est jamais méchant, c'est juste pour passer du bon temps. [00:40:01] Speaker D: Voilà, c'est un prétexte pour faire des vannes. [00:40:03] Speaker B: Oui voilà, ça n'a rien à voir avec le fait d'être sérieux puisqu'on ne peut pas l'être. [00:40:08] Speaker C: Quoi de neuf dans notre beau monde cette semaine ? [00:40:10] Speaker B: On va commencer avec Metallica, je ne sais pas si vous avez regardé un petit peu les news de cette semaine. Ils ont fait un premier concert européen, c'était du côté de Munich si je ne dis pas de bêtises. Et si vous regardez les images du live, il pleut. Il pleut vénère, il joue quand même. Donc j'ai quelques petites questions à poser après. Et il y a l'orage surtout qui se déclenche, tu vois des éclairs tomber en même temps que certains sons de batterie arrivent, ce qui donne un effet extraordinaire, mais qui moi m'ont fait flipper. Moi j'ai vu ça, je me suis dit, déjà voir un concert sous la pluie c'est de la merde, on va pas se mentir. Deuxième question, il n'y a pas de sécurité, ils n'arrêtent pas le concert lorsque il y a de l'orage. Bon, pourquoi pas, il y a peut-être des paratonnerres, j'imagine qu'il devait y avoir des systèmes pour éviter le drapeau. C'était où ? [00:40:48] Speaker C: C'était dans un stade ? [00:40:49] Speaker B: C'était dans un stade. [00:40:50] Speaker D: J'attends que tu aies fini toutes tes questions pour répondre Pierre. [00:40:52] Speaker B: Est-ce qu'on a le droit de jouer... Est-ce qu'on peut jouer de la guitare sous l'eau ? Et bien, je me suis dit, mais attends, ils vont prendre le jus ! [00:41:00] Speaker D: Alors, du coup, j'ai regardé, j'ai vu Master of Puppets. [00:41:03] Speaker B: Oui, c'était sur Master of Puppets. [00:41:05] Speaker C: Je ne les ai pas vus, moi, ces fameuses vidéos, donc je n'imaginais pas ce que ça donne. [00:41:09] Speaker D: Bah, ils sont... Alors vraiment, il pleut. Il pleut, mais genre... Des rideaux, quoi. Comme vaches qui pissent, comme on dit. Et alors déjà, je pense, c'est dans un stade, donc en fait, la scène, la structure de la scène est forcément plus basse que toute la structure du stade. [00:41:26] Speaker B: Donc je pense qu'il doit y avoir des paratonneres aussi. [00:41:28] Speaker D: Voilà, il doit y avoir des paratonneres beaucoup plus haut que... Enfin, je veux dire, c'est un peu prévu. Il peut y avoir des matchs de foot aussi pendant un orage, j'imagine. [00:41:37] Speaker C: Et c'était une scène centrale comme ils faisaient sur l'Ordre d'Afrique ? La scène circulaire ? [00:41:41] Speaker D: Ouais, exactement. Et du coup, alors après je me suis posé beaucoup de questions. Je me suis dit déjà comment ils font pour que tout le matos marche. Alors j'ai regardé sur la batterie, quasiment tous les micros sont placés sous les cymbales et tout ça. Donc ils sont quand même protégés. Mais la batterie, vraiment, il y a de l'eau qui coule. Les cymbales, c'est des gouttières. Vraiment, ça coule comme ça. Ils tapent sur les toms, ça fait... [00:42:05] Speaker C: Faut faire attention parce qu'à partir d'un certain nombre de centimètres, l'arce ulrique, il peut se noyer. [00:42:10] Speaker D: Mais c'est là où vous oubliez tout le secret, c'est qu'il est d'origine nordique. Et en fait, c'est Thor, l'arce ulrique. En fait, c'est pas des baguettes, c'est des petits marteaux de Thor, et c'est avec ça qu'il peut contrôler la foudre. [00:42:29] Speaker B: Eh ouais, c'est pour ça que quand. [00:42:32] Speaker F: Il tape, ça fait BAAAAM ! [00:42:33] Speaker B: BAAAAM ! [00:42:33] Speaker C: Il faut pas oublier que ce type, il ride de lightning, attention ! Eh ouais ! [00:42:37] Speaker B: Ils ont fait le... Bien sûr, aucun. [00:42:39] Speaker D: Rapport avec les chaises électriques ! Non mais en plus, tu vois, le truc commence en disant... C'est Hitfield qui dit « Asseyez ses revenus ». Donc je pense qu'il y a eu des problèmes techniques. Et si tu regardes, le début du morceau, Kirk Hammett a une guitare, et puis après, pendant le morceau, il est en train de jouer, puis il essaye de toucher des trucs en même temps, en continuant le riff, et tu le vois plus, et après quand tu le revois, il a une autre guitare. Donc je pense que techniquement, ça a dû être compliqué. [00:43:12] Speaker C: Il y a eu une couille. [00:43:13] Speaker B: Ouais. Non mais c'est ouf parce qu'ils ont quand même continué à jouer. Ce qui est incroyable, c'est qu'ils... Moi j'ai trouvé ça... [00:43:17] Speaker D: J'ai trouvé ça... Parce que tu vois. [00:43:19] Speaker B: Leur gueule, ils sont quand même bien sous la forme. [00:43:20] Speaker D: Ah ouais, l'harcèlerie qu'il est torse nu... [00:43:22] Speaker C: Ça devait être épique, ouais. Ça devait être épique comme image, comme truc à voir. [00:43:27] Speaker D: Et franchement, moi, ce que je me suis dit, je me suis dit, putain, les mecs à leur âge, au stade où ils en sont, ils mouillent le maillot, c'est ce que je veux dire. Elle moule le maillot de bar en l'occurrence ! [00:43:39] Speaker C: J'ai vu des groupes plus jeunes que ça, beaucoup plus jeunes que ça, qui annulaient un concert en festival sur des scènes couvertes, donc eux-mêmes étaient quand même très à l'abri des intempéries, mais annulaient carrément ou raccourcirent le concert parce qu'il pleut. [00:43:57] Speaker D: Là, eux, ils y vont et puis ils y vont bien. Franchement, moi, je me suis dit... De voir ça, ça m'a donné envie de revoir Metallica en live. [00:44:05] Speaker B: Bah ça force à les respecter, à se dire ok bon les gars c'est pas n'importe qui, ils font les trucs en vrai quoi. [00:44:12] Speaker C: Ils ont dû continuer à jouer en se disant putain ça va faire des bêtes d'images. [00:44:16] Speaker B: Peut-être mais c'est pas grave franchement parce que tu vois qu'ils souffrent un peu quoi. Franchement, c'est pas facile. [00:44:22] Speaker D: Tu vois qu'ils ont tous des vestes un peu... Enfin, Hitfield, il a une espèce d'une veste imperméable et tout. Il a rien sur la tête. Non, mais franchement, les mecs, ils y vont. Ça fait longtemps que je n'avais pas vu des groupes qui se donnaient autant que ça. [00:44:39] Speaker B: En tout cas, bravo Metallica et bravo à tous les fans qui sont restés aussi sous la pub. [00:44:42] Speaker C: Ils avaient des ponchos. Oui, mais c'est quand même relou. [00:44:48] Speaker B: Ah oui j'imagine. [00:44:49] Speaker D: Enfin après une fois que t'es mouillé t'es mouillé. [00:44:51] Speaker B: Oui c'est vrai. [00:44:53] Speaker C: Une fois que tu es Trump, tu es Trump. [00:44:55] Speaker B: Une autre news quand même parce qu'on va pas s'arrêter à Metallica. Stéphane Carpenter. Alors il fait parler de lui mais en bien. Il fait du bien Stéphane Carpenter. L'offre de la weed aux gens sans... Non, non. En fait je vais vous expliquer. C'est pas lui directement qui fait du bien, c'est un ami à lui. [00:45:12] Speaker C: Un concept de pizzeria en forme de terre. [00:45:15] Speaker B: Non on va pas parler de platiste ni tout ça, on va décomplot, on va mettre ça de côté, on va garder le fait que c'est un très bon guitariste. Il s'est associé avec Richie de Londres de Soul Invicto, alors je suis désolé je ne connais pas ce groupe non plus mais bon on s'en fout, pour offrir de l'argent et ouvrir une cagnotte pour un fan à eux qui a perdu sa maison, enfin il était locataire mais son enfant était dans la maison, le gamin est sorti en courant parce qu'il y a le feu qui a pris, qui a tout cramé, ils ont tout perdu, leurs deux chats sont morts. C'est une information qu'il faut garder en tête. Et Stéphane Carpenter donc a donné 1700 balles, l'autre il a donné 500 balles, ils ont invité les gens à donner de l'argent pour qu'ils puissent récupérer des affaires, qu'ils puissent payer un nouveau loyer, etc. Bref, c'est une belle démarche. Pour une personne qui ne connaisse pas, c'est quand même très très beau, donc on les félicite. Et tu te dis bon, c'est juste qu'ils ont envie d'aider les humains. Stéphane Carpenter. A dit, moi j'ai des chats et je sais que ça serait très triste si je les perdais. Alors c'est vrai, c'est triste. Je ne dis pas qu'il a tort. Il a toujours le bon mot. Mais tu dis, bon, je pense qu'on aurait pu s'en passer de la petite dernière phrase. [00:46:18] Speaker D: De toute façon, lui, c'est toujours un peu le mot neutro. [00:46:22] Speaker C: Toujours le bon mot. [00:46:23] Speaker D: En tout cas, un petit message pour Stephen Carpenter. [00:46:27] Speaker B: Miu Miu. Je l'imaginais avec ses petits chats, alors un petit chat complètement défoncé avec des yeux... Bring me the horizon ! Bon, vous le savez, ils ont sorti un album que je trouve encore une fois très très bon, les avis sont partagés, bon après comme c'est très très connu et que ça cartonne pour parce que ça s'est fait... Il y a eu des écoutes de ouf, ça a été un véritable carton. Eh bien, ils ont passé encore un step puisque je ne le savais pas mais dans cet album, ils ont caché un QR code qui donne accès à un jeu où les gens participent, enfin bref... en direct, en live, où je n'ai pas trop compris, donc je ne vais pas m'attarder là-dessus. Si, j'ai lu, mais je n'ai vraiment jamais compris le principe. En tout cas, les gens peuvent avoir accès à des chansons inédites, du matériel inédit, donc c'est cool, qui a un rapport avec le premier album. Ça aussi, je n'ai absolument pas compris pourquoi. Mais il y a aussi pas mal de messages qui sont là pour donner aux gens des notions de self-help et pour les aider donc à tenir le coup, j'imagine, des choses comme ça, puisque lui est passé par des étapes très compliquées quand même au lycée. Donc il y a un côté très positif aussi d'aide, de main tendue. Il y a plein d'autres messages cryptiques. Peut-être que personne n'a encore trouvé pour l'instant, donc il y a plein de trucs à découvrir. L'ISAC s'est dit, franchement, il y en a vraiment des tonnes et des tonnes, donc ils ont fait un site parallèle auquel tu as accès. Ils se sont fait pirater quand même. Et ils se disent, putain, on a fait un truc comme si c'était un truc pirate, mais on s'est fait niquer parce qu'il y a quand même des gens qui sont vraiment tellement contre Bring Me The Horizon qu'ils se sont bougés. [00:47:56] Speaker C: Qu'ils ont dit, Bring Me The Source Code, quoi. [00:47:59] Speaker B: Bravo. [00:48:00] Speaker D: Et je pense qu'ils se l'avaient pas cherché non plus, ils s'étaient pas dit que des gens allaient vouloir les défoncer, donc ça devait pas être forcément très bien. [00:48:06] Speaker C: Très bien sécure, oui. [00:48:07] Speaker B: En tout cas, voilà, j'ai trouvé l'initiative très cool et puis ça correspond complètement évidemment à l'univers de cet album qui est très jeux vidéo, très monde moderne. Ça va plaire à notre ami Marcel. Je suis persuadé. En tout cas, voilà, c'était pour la bonne petite info. Sinon, on va parler de Otep, avec la chanteuse qui... J'y ai arrivé. Intente une action en justice, c'est ça ? contre le prochain film de Netflix qui s'appelle Trigger Warning parce qu'elle dit j'ai créé un court métrage au début qui a été volé par un ami à moi c'était en 2009 il a disparu lorsqu'on écrivait le texte du film et je vois que maintenant ça sort en film chez Netflix donc il me l'a bien mise à l'envers, et du coup elle est super vénère, donc elle envoie des messages partout sur les réseaux, il y a une vraie action, donc elle attaque, parce qu'elle a des preuves que c'est sorti, parce qu'elle avait mis sur les réseaux sociaux déjà le principe de l'histoire et tout ça, et puis la première partie qui était... — Oui, puis. [00:49:04] Speaker C: Elle avait rendu public des informations, c'est une bonne chose. [00:49:07] Speaker D: — Elle doit avoir des scripts datés, des choses comme ça aussi. [00:49:11] Speaker B: — Oui, il y a un peu ça, et puis il y a des preuves qui sont sur les réseaux, donc ça c'est vraiment, je pense, important. Bon, voilà le seum. Attends, Netflix, le truc est cool. Mon pote, il a disparu. Mon ami, il a disparu avec mon idée. Enfin, notre idée. [00:49:25] Speaker D: Du coup, elle l'a retrouvée. [00:49:27] Speaker B: Alors l'ami, il l'a toujours pas retrouvée, mais il l'a retrouvée où il était parti. [00:49:32] Speaker C: Il n'est plus perdu de recherche, c'est bien. [00:49:34] Speaker B: J'espère qu'elle va gagner. Je peux comprendre quel est le seum, parce que, bon, Otep, c'est un très bon groupe, mais je ne suis pas sûr que ça puisse le rapporter autant qu'un bon film de Netflix. [00:49:43] Speaker D: Je te confirme que c'était suffisant. [00:49:46] Speaker B: Enfin voilà, si vous avez d'autres informations sur Brimi aussi, ça m'intéresse de savoir la vraie histoire, parce que je... Si vous voulez me laisser des commentaires, j'ai oublié de le rajouter. Je fais une petite déviation. Ça te dérange pas ? [00:49:56] Speaker D: Pas du tout, Pierre. [00:49:57] Speaker B: On va regarder un clip d'OTEP, c'est l'occasion aussi, on va retourner bien bien dans le passé, parce que c'est un vieux clip qui a été restauré par une personne qui s'est donnée du mal, et je me suis dit que c'était plutôt pas mal, un petit peu néo-métal, ça nous ferait plaisir. On y va ? Allons-y. [00:50:38] Speaker A: Ouais ! C'est parti ! Dangerous, get the scrapers to know I'm failing, I'm angry I use my fear to empower my naive. [00:54:17] Speaker B: Othep à l'instant dans Bang Bang, vous le savez tous les dimanche soir à partir de 19h en live Twitch, vous avez la chance de nous avoir. Oui parce que j'ai un ego surdimensionné. [00:54:25] Speaker D: J'ai surtout la chance d'écouter de la bonne musique. [00:54:28] Speaker B: Bah oui et puis de découvrir, de redécouvrir, pour les plus jeunes peut-être qu'Othep n'est pas un groupe évident. Eh bien sachez-le, ça c'était très vieux comme morceau. Je sais pas de quelle année c'est mais... [00:54:36] Speaker D: C'est avant 2000. [00:54:39] Speaker B: Et le morceau s'appelle Bloodpigs, vous l'aurez compris puisque de toute façon c'était écrit... Mais incroyable cette chanteuse aussi qui envoie vénère. C'est génial, j'aime beaucoup. C'était un bon souvenir. On continue les news avec Ed Sheeran. Alors oui, je sais, on est dans le métal, mais vous savez, Ed Sheeran aime le métal. Il l'a déjà dit plusieurs fois. On sait qu'il aime beaucoup Korn. [00:54:59] Speaker D: D'ailleurs, il va venir bientôt faire l'émission. [00:55:01] Speaker B: J'adorerais qu'ils viennent discuter parce qu'il a l'air très très gentil ce garçon là, il est monté sur scène avec Offspring pendant le festival. [00:55:11] Speaker C: J'ai cru qu'on allait revenir sur la collaboration supposée avec Cradle of Filth, enfin avec Danny Fields. [00:55:17] Speaker B: Parce que c'est fait, c'est enregistré. [00:55:20] Speaker C: On l'a pas encore eu quoi. [00:55:21] Speaker B: Oui bon puis après est-ce qu'on veut l'écouter, je ne sais pas. Chacun ses petits plaisirs. Non là il est monté sur scène avec Offspring parce qu'Offspring a pris connaissance du fait qu'il était fan d'Offspring. [00:55:31] Speaker D: Ah oui j'ai vu, il lui montre son tatouage. [00:55:33] Speaker B: Et ouais il a un tatouage Offspring. et en fait il avait signalé sur les réseaux sociaux... Et sur les réseaux sociaux Ed Sheeran avait dit il y a une chanson, c'était ma première chanson dans ma vie que j'ai adorée qui s'appelle Million Miles Away et l'album de Offspring qui était sorti en 2000 qui s'appelle Conspiracy of One c'était mon tout premier album que j'ai acheté donc c'est quand même des gros souvenirs les premières choses qu'on va... tu me diras à l'époque parce qu'aujourd'hui je suis pas sûr que ça existe encore Mais du coup, il avait mis ça sur les réseaux sociaux et ils ont trouvé ça trop cool. Bon, j'imagine que ça leur faisait plaisir d'inviter un mec qui est encore plus connu pour pouvoir faire un peu de pub, je suppose. Mais ça reste cool, ça reste plutôt sympa. Et là, chantez cette chanson avec The Offspring, vous avez quelques extraits, vous avez des vidéos disponibles. des spectateurs qui sont là pour vous régaler. C'est quand même cool. Ed Sheeran, il a l'air quand même super sympa de ce côté-là parce qu'il a cette âme d'enfant. Tu le vois sur scène, il est comme un gamin. Tu vois qu'il réalise un rêve. Il le dit en plus, il dit « putain j'étais là, trop content et tout ». Il m'invite, c'est quand même The Ostring. Ed Sheeran, bon, c'est quand même 10 millions de fois plus gros. Mais il a une carrière quand même beaucoup moins longue. Oui, en termes de vente. Je ne parle pas de physique. [00:56:43] Speaker C: Mais il a une carrière quand même beaucoup moins longue et donc du coup t'as cette sensation de devoir un truc à The Offspring, je pense qu'il a dû quand même jouer. [00:56:53] Speaker D: De toute façon, que tu sois huge ou pas, les groupes que t'as admirés quand t'étais petit, tu les admires toujours autant ou pareil. [00:57:03] Speaker B: En plus après il refait un topo de toutes les personnes avec qui il a passé du temps. et tu vois qu'il y a quand même beaucoup de métalleux et il va aller voir genre un peu fanboy, je peux faire une photo avec toi ? Mais je trouve ça trop marrant parce que tu dis attends mais un mec qui a ce niveau là où le public est complètement hystérique c'est-à-dire qu'il y a quand même des fans qui sont vraiment dévoués et peut-être même un peu hardcore et puis il gagne des millions de dollars, mais non, il a toujours cette passion de la musique, cette passion de partager, et toujours... [00:57:29] Speaker C: C'est bien, justement. [00:57:30] Speaker B: Je trouve ça bien, après je connais pas l'homme personnellement, mais je me dis qu'à ce niveau-là, d'avoir cet équilibre, ça montre que c'est quelqu'un de sain. [00:57:37] Speaker C: En tout cas, il a cette image, j'ai l'impression, de gars plutôt accessibles, et à ce niveau de notoriété, ça reste assez rare, quoi. Et ça va au-delà de l'image qu'il se donne sur les réseaux sociaux, parce qu'il y a... Il y a aussi des interviews qui sortent où il parle de ses influences, de groupes qui l'ont influencé, etc. Il peut parler de groupes qui ont eu beaucoup moins de succès que lui, comme il avait déjà déclaré que Fightstar, par exemple, donc groupe anglais, avait beaucoup influencé ses goûts musicaux et qu'il rêverait de faire des albums comme eux, donc bon, voilà. [00:58:13] Speaker B: Bon écoute, on va passer à la suite. Disturbed. Disturbed ont enfin leur première chanson sur Youtube qui a dépassé le milliard de vues. [00:58:19] Speaker C: Dans The Sickness j'imagine ? [00:58:20] Speaker B: Eh bien pas du tout. Même pas ? Non, une autre ? [00:58:24] Speaker D: Bah c'est la reprise. [00:58:25] Speaker B: Bah oui c'est la reprise. Ce n'est même pas leur chanson. [00:58:28] Speaker D: C'est Sound of Silence. [00:58:29] Speaker B: C'est Sound of Silence qui a dépassé le milliard parce qu'en fait cette chanson a été utilisée dans The Voice, dans plein d'autres trucs aux Etats-Unis, ça a été vraiment tout C'est ça qui a. [00:58:37] Speaker D: Fait le retour de Disturbed. Ils avaient complètement disparu, ils sont revenus grâce à cette reprise qui a cartonné aux Etats-Unis. [00:58:45] Speaker B: Alors lui très humble, évidemment, David Draymond qui dit « Ah mais je pensais pas que ça allait prendre une telle dimension, parce qu'en fait cette chanson c'est mon âme, blablabla ». Bon, je vous laisserai lire ce qu'il raconte parce que je m'en fous mais... [00:58:56] Speaker D: Après, bon là où c'est... Je pense que si si YouTube avait existé au moment de la sortie de Down With The Sickness, je pense que c'est celle-là qui aurait le plus de vues parce que... [00:59:06] Speaker B: Tu penses vraiment ? Parce que je me suis dit, elle. [00:59:09] Speaker C: A quand même le gimmick pour lequel tout le monde connaît Disturbed finalement. [00:59:13] Speaker B: Ouais mais Sound Of Silence, c'est quand même une très très belle chanson, il y a quand même une mélodie qui est beaucoup plus accessible. [00:59:18] Speaker D: Ouais mais je pense que l'autre, enfin, le problème c'est que quand un clip arrive, des années après, en plus France, il a été publié sur YouTube au moment où le groupe ne faisait plus rien. Donc ça, ça n'a pas... C'est le truc. Mais oui, forcément. [00:59:32] Speaker B: Je pense que s'il y avait eu YouTube en 64 quand la chanson est sortie avec Simon & Garfunkel, ça aurait peut-être fait encore plus un carton. Après, il y a beaucoup de remixes sur TikTok de Deezer. Vous avez déjà entendu les remixes de cette chanson ? [00:59:46] Speaker C: De laquelle ? [00:59:47] Speaker B: Bah de Sound of Silence avec David Raymond et puis c'est très TikTok donc c'est très beau, vous imaginez bien. Et il y a lui qui se déplace comme ça avec des images de chiens, de petits chatons. [00:59:59] Speaker D: Bah Marcel va vous montrer ça. [01:00:01] Speaker B: Il y a plein plein de sortes donc j'espère qu'il va retrouver les meilleurs parce que c'est vraiment dégueulasse. Mais quel enfer. [01:00:07] Speaker C: Je suis pas surpris finalement, parce que cette reprise de Sound of Silence, c'est le morceau que n'importe qui peut écouter de Disturbed sans être réfractaire à leur style de basse. [01:00:21] Speaker D: Parce que c'est pas un morceau de Disturbed. [01:00:22] Speaker C: Parce que c'est pas un morceau de. [01:00:23] Speaker B: Disturbed, voilà c'est ça. Bon, Max Cavallera. Max Cavallera, encore un homme magnifique qui décolle dans le lot. Normalement on l'aime beaucoup Max Cavallera. [01:00:31] Speaker D: Il a ouvert une chaîne de salons de coiffure au Brésil. En Turquie. [01:00:36] Speaker C: Ça s'appelle One Dread Wonder. [01:00:40] Speaker B: Non, non, pas du tout. Il vient de préciser ce qu'on dit depuis le début. Il dit j'ai envie de revenir aux sources. J'ai envie de mettre de la musique tribale. J'ai envie de revenir sur un son que j'ai aimé, qui m'a animé et j'ai envie de continuer. [01:00:54] Speaker D: J'ai envie que ça marche. [01:00:56] Speaker B: Je pense qu'il y a un petit peu de ça. Alors, il dit que c'est sous le nom de Soulfly, donc pour l'instant, il n'y a pas de retour. [01:01:00] Speaker D: Mais il va faire la machine arrière. [01:01:02] Speaker B: Voilà, c'est exactement ce que j'ai aussi dit. Il a dit j'aimerais refaire mes premiers albums de Soulfly. Donc, on commence par ça et le reste arrivera derrière. [01:01:11] Speaker D: J'aimerais bien refaire Roots quand même. [01:01:14] Speaker B: C'est ça, c'était la pré-Roots. Donc franchement, c'est une bonne nouvelle parce que moi, j'aime bien cette période-là. Après, chacun ses goûts. Je ne dis pas que c'est la meilleure période, c'est celle qui m'a fait le plus plaisir. Mais voilà, on sent que le mec se prépare et qu'il a envie de gagner un petit peu de pépettes. [01:01:28] Speaker D: On va pas lui en vouloir, les temps sont durs. [01:01:32] Speaker C: Les temps comme les os sont durs. [01:01:34] Speaker B: Il faut essayer du shampoing déjà. Mais il va mieux, il a l'air d'aller mieux quand même. Sinon un petit potin, on va faire rapide, c'est le chanteur Dimmer, qui a clashé encore un groupe avec lequel il était en tournée, c'est-à-dire que sur les réseaux sociaux, il a pour habitude, enfin pour habitude, c'est arrivé quelques fois, où il dit, ou alors il cite pas le groupe, ou alors il dit que le groupe est nul, c'est quand même assez agressif, il a des termes qui sont pas très très futfuts, je dirais. [01:02:00] Speaker D: Ils sont pas non plus connus pour être des murs un peu non ? [01:02:03] Speaker B: Il a quand même une sale réputation en plus lui je crois. Là c'est AlphaWolf qui l'a désingué en fait, il a dit j'ai passé un très bon moment de tournée avec les groupes AlphaWolf a disparu, il a mis des photos où il n'y a pas AlphaWolf. Donc en gros il les a dézingués et y'a le mec d'AffaWolf, un des mecs je sais plus lequel, et il a commencé à dire sur les réseaux sociaux « Ah bah nous on a passé un bon moment aussi » pour dire « Coucou on est là quand même » et l'autre il a dit « Ouais, enfin t'es censé être tout gros mais franchement vous jouez trop mal, nous on joue tellement bien, tout ce qu'on fait c'est merveilleux, notre merchandising c'est tellement vendu, vous vous avez rien vendu, donc on est les meilleurs, vous êtes des merdes. [01:02:35] Speaker D: » Alors, je ne cautionne pas ses propos, mais après c'est vrai qu'il y a un truc qui est en train de se... Alors déjà y'a beaucoup de gens qui doivent à Aymur énormément parce que La scène metalcore actuelle est quand même très, très inspirée de ce qu'a fait Émure. Émure était un peu les précurseurs de toute cette vague un peu machin. Enfin, à mon sens, dites-moi si je me trompe. [01:02:57] Speaker B: Je ne sais pas. [01:02:59] Speaker D: Pour moi, c'est le cas. Et c'était en tout cas eux qui étaient les plus gros dans ce style-là. Et c'est vrai qu'aujourd'hui, en fait. [01:03:06] Speaker B: Il. [01:03:06] Speaker D: Y a beaucoup de la course au play. C'est-à-dire que les groupes sont beaucoup jugés avec leur nombre d'auditeurs sur Spotify et tout. Sauf que dans la réalité, ça ne se retranscrit pas forcément en vente d'albums, en vente de merch et en vente surtout de billets de concert. Et du coup, il y a des tensions qui commencent un peu à se créer parce que des groupes se retrouvent sur l'affiche mieux placés que d'autres qui sont potentiellement meilleur. Alors là, dans ce cas-là, je ne sais pas. J'ai pas vu AlphaWolf et Emhyr. La dernière fois que je les ai vus, c'était il y a 15 ans. Donc je ne sais pas. Mais c'est vrai qu'il y a des groupes qui se retrouvent un peu relégués parce qu'ils sont moins dans la vaille Spotify et tout ça. Possiblement. Possiblement, parce qu'Emhyr, on l'entend quand même beaucoup moins parler maintenant. Et que tous les groupes qu'ils ont inspirés passent devant eux. Donc peut-être qu'il a les boules, mais peut-être que c'est fondé. Oui, affaire à suivre, n'hésitez pas. [01:04:06] Speaker C: Il doit y avoir en plus des différences de cachets selon la place sur la fiche et donc du coup selon les stats. [01:04:12] Speaker D: Exactement. [01:04:13] Speaker B: Si vous avez un avis là-dessus ou si vous voulez nous corriger, n'hésitez pas d'ailleurs en direct dans le chemeule ou en commentaire sur l'AVOD qui sera mise à votre disposition dès demain. Voilà, sur notre chaîne YouTube, point d'exclamation, bang ! On va terminer avec Kerry King, voilà, parce que Slayer, on n'en parle pas jamais assez. Enfin, Kerry King, pardon, excusez-moi, je me suis trompé. Il a dit, je vais jouer des reprises lors de mes concerts. C'est-à-dire que le mec a sorti un album solo, tu es censé faire la promotion de cet album solo. Enfin, tu dois le vendre. Apparemment, ça... pas aussi bien marché que ce qu'il espérait, bon après moi je le trouve bien cet album donc j'ai pas de méchants c'est-à-dire là-dessus je suis très content que Kerry King fasse des choses même si je préfère que ce soit Slayer mais il a dit je vais faire deux reprises alors pas de Slayer parce qu'il a dit... Putain alors là, mais je veux, je veux, je veux vraiment qu'il le fasse. Bon bref, mais non, non... [01:05:04] Speaker C: Tu vas faire des solos, des iwiwi à la guitare là ? [01:05:07] Speaker B: J'ai pas noté les groupes dont il parle parce que c'est des trucs très classiques mais dans le genre musical que fait Kerry King évidemment, il y a Motörhead, il y a des trucs comme ça. Il dit ils sont morts, je le fais parce que les gens veulent revoir sur scène ces morceaux qui ont animé leur vie, etc. Oui, c'est pas faux. Mais j'en ai plein le cul des groupes qui font des reprises des gens en live. Limp Bizkit en est l'exemple parfait. [01:05:28] Speaker D: Je crois qu'ils le font plus maintenant. [01:05:29] Speaker B: Ils le font beaucoup moins, mais franchement... [01:05:31] Speaker C: C'est plus la fête de la musique Limp Bizkit. [01:05:33] Speaker D: Apparemment, là, c'est un peu arrêté. [01:05:34] Speaker B: Non, parce que c'était quand même juste relou, quoi. [01:05:39] Speaker D: Après, il y a une différence, c'est que Limp Bizkit, ils ont suffisamment de chansons pour ne pas avoir à faire de reprises. [01:05:45] Speaker B: C'est pas faux. [01:05:46] Speaker D: Kerry King solo, il n'a qu'un album. [01:05:47] Speaker C: Il n'a qu'un album qui vient tout juste de sortir. [01:05:50] Speaker B: Ouais, après il n'a qu'à pas faire des concerts de 15 700 heures quoi, tu vois ce que je veux dire. [01:05:55] Speaker D: Ouais, il n'a qu'à jouer 15 minutes. [01:06:00] Speaker C: Trois morceaux de thrash metal administratif là, et puis c'est bon, emballé, c'est bon. [01:06:03] Speaker D: Et puis il s'appelle 15 Minutes King. [01:06:07] Speaker B: Non, non, mais je fais toujours cette blague, je suis désolé. Mais non, non, je suppose que c'est très bien sur scène. Il a quand même dit, viendra le jour où je ferai des reprises de Slayer, parce que c'est quand même bien et c'est mon groupe. Voilà. Donc je le fais pas tout de suite parce que je sais que je vais m'en prendre plein la gueule et que tout le monde se prépare à juste me tailler. Donc je vais faire les autres et puis on verra ça après. Racky Racking, de toute façon c'est un bon. [01:06:28] Speaker C: Attends, je fais une estimation, faut attendre à peu près 20... À peu près 20 ans, comme Pantera. [01:06:33] Speaker B: Ah oui ? Ah bah c'est... Bah non, de toute. [01:06:35] Speaker D: Façon Slayer se reforme, donc... [01:06:38] Speaker B: C'est pas exactement ça, mais bon, on peut imaginer que l'argent appelle à l'envie de se reformer définitivement. Il a dit quand même, il a dit, il n'y aura pas de nouvel album, il n'y aura pas de nouvelle tournée. Il n'y a que quelques dates qui peuvent arriver. [01:06:52] Speaker D: Oh là là, oh là là. Avant, ils avaient quand même dit qu'ils arrêtaient complètement. [01:06:56] Speaker C: Si ça se trouve, ils vont se mettre à réenregistrer leurs premiers albums et puis voilà. Ah peut-être, faire des tournées anniversaires, on sait rien. [01:07:04] Speaker B: Bon en tout cas je vous conseille d'aller voir Kerry King en concert bien sûr puisqu'il passe par Paris aussi et que c'est quand même un artiste qui est très très bon et un mec extrêmement gentil. Donc j'espère qu'on l'aura d'ailleurs en interview lors du Hellfest puisque nous serons là-bas pour célébrer la grande messe du métal. [01:07:18] Speaker C: Et vous aurez une émission spéciale. [01:07:21] Speaker B: Alors je vais pas faire cette blague, je vais rester tranquille. S'il a quand même une tête, on dirait un missile qui va exploser dessus le monde. [01:07:28] Speaker C: Le fromage des métalleux en culottes d'eau. [01:07:30] Speaker B: Avec des éclairs comme ça. Bon, on s'arrête là-dessus ? [01:07:33] Speaker D: C'est vraiment là ? [01:07:34] Speaker B: Oui, on a parlé vraiment en même temps, je sais. [01:07:36] Speaker D: Non, non, pas que ça, c'est aussi la teneur des groupaux. [01:07:39] Speaker B: Le niveau, oui, je sais, le level. [01:07:41] Speaker D: Fromage, éclairs... Bah écoute, je suis un. [01:07:45] Speaker B: Beauf, je suis un beauf, j'ai loin, non ? Je suis un boutant de train. [01:07:48] Speaker D: Allez, on regarde... [01:08:03] Speaker A: Sanity implies that there's intelligence All I ever find is pure incompetence C'est pas la même chose, c'est pas la même chose, c'est pas la même chose. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Toxique gouvernement, toxique politique, toxique hypocrite ! Toxic government, toxic politics, toxic hypocrites! Biased policy. [01:10:43] Speaker B: C'Est. [01:11:12] Speaker A: C'est la fin de l'épisode ! J'ai pas le temps de danser J'ai pas le temps de bouger J'ai pas le temps J'ai pas le temps J'ai pas le temps de danser J'ai pas le temps de parler Pas le temps pour une conversation J'ai pas le temps J'ai pas le temps J'ai pas le temps de parler Attention Musique du générique. Gonna make some time for you Cause you're gonna make time for love Gonna make some time for you If you make some time for me too Gonna make some time for you Cause you're gonna make time for love. [01:13:30] Speaker B: I ain't got time to talk, no time for. [01:13:32] Speaker A: Conversation I ain't got time, I ain't. [01:13:35] Speaker E: Got time, I ain't got time to. [01:13:37] Speaker F: Talk. [01:14:04] Speaker A: BANG BANG ! [01:14:35] Speaker B: Bienvenue à vous toutes et à vous tous, et oui, nous continuons bang bang avec des invités, ceux que vous venez de voir en vidéoclip. Ah, on adore, on adore. Ils vont sortir un album qui s'appelle Love Cop et c'est les Royal Republic. Bonsoir ! Thank you for having us ! [01:14:49] Speaker F: How are you today ? Very good ! [01:14:57] Speaker E: Oui, c'est ce qu'on disait quand nous sommes arrivés, c'est incroyable de se réveiller en Suède et puis dans l'après-midi boire une bière dans un bâtiment à Paris. [01:15:11] Speaker B: C'est bien. Longtemps non vu, je suis très heureux de vous revoir et de faire quelque. [01:15:16] Speaker E: Chose avec le public royal. [01:15:17] Speaker B: Et les autres, ça va aussi ? [01:15:20] Speaker E: Les autres deux sont à la maison avec des enfants, je suppose. [01:15:32] Speaker B: Bonjour. Je veux dire bonjour à Adam et Jonas. Vous avez été assez occupé depuis trois ans, je pense. Le quatrième album a été sorti avant la pandémie, donc tout a été postponé en termes de concerts, de gigs, tout. Après la pandémie, ça a l'air d'être ultra intense. Depuis, tous les concerts, vous avez fait beaucoup. N'êtes-vous pas trop fatigué aujourd'hui ? [01:15:57] Speaker F: Même s'il y a ce nouveau album ? Non, on n'est pas fatigué, on se sent plein d'énergie. On est juste en train d'embarquer dans une nouvelle cycle de tournage. On a un nouveau album kick-ass qui sort et on est de retour en Paris. Donc, on est plein d'énergie. Ça ne peut pas ressembler à ça, mais on l'est. [01:16:12] Speaker E: Ça ne peut pas ressembler à ça. C'est bien parce que les gens ne réalisent pas, ou peut-être qu'ils le réalisent, mais je n'ai pas réalisé jusqu'à présent combien de temps ça fait depuis que nous avons sorti un album bonifié. Parce que de la pandémie, Club Majesty est sorti, et nous avons dû attendre un long temps, et donc c'est génial d'être de retour avec de la nouvelle musique, et ça sent comme un nouveau début qui n'a pas eu lieu depuis. C'est la pandémie, donc on est vraiment bien. [01:16:49] Speaker B: Donc vous lancerez ce nouveau album le 7 juin, Love Cop. C'est votre 5ème album, bien sûr. Les choses se retournent sur le chemin. Êtes-vous heureux d'avoir ce nouveau album ? Êtes-vous effrayé ? Parce que c'est assez différent des autres. On va parler de ça. Votre sentiment sur cet album en ce moment ? [01:17:08] Speaker F: Nous sommes très confiants. Nous aimons l'album, nous aimons ce que nous faisons en général, et oui, c'est un peu différent, mais à l'autre côté, tout ce que nous faisons est un peu différent, donc il n'y a pas de surprises. Et je pense que nous en sommes habitués, les fans en sont habitués, et c'est une sorte de partie de notre DNA en ce moment, ne pas faire la même chose à nouveau, ce qui nous rend très fiers, et nous sommes vraiment étonnés d'avoir des fans absolument incroyables. [01:17:44] Speaker D: Qui sont en train de s'entraîner pour le tournage. Nous sommes reconnaissants et heureux. C'est vrai, nous écoutions l'album cet après-midi, et je me disais que c'était vraiment différent, mais en même temps, nous discutions sur le fait que nous reconnaissons la bande. Il y a des marquages énormes qui vous font croire que vous connaissez la bande. [01:18:03] Speaker F: Oui, c'est ça. Nous n'avons pas eu de difficultés avec ça, mais nous l'avons entendu tout au long de notre carrière, des marques et tout. On a besoin de se tenir à quelque chose. Mais nous n'avons jamais pu le faire, parce que nous n'avons jamais voulu le faire. Nous voulions faire ce que nous avions envie de faire. Et après un moment, c'était un problème pour certaines personnes. genre, comme une boîte que les gens pourraient nous mettre dans. Mais maintenant, notre boîte n'a pas de boîte, tu vois ce que je veux dire ? C'est notre truc, tu vois, maintenant. [01:18:36] Speaker B: Mais c'est un défi. [01:18:37] Speaker F: Oui, c'est un défi, mais je pense que c'est vraiment cool et on est fier de ça. [01:18:42] Speaker E: À un moment donné, ça va être hors de la boîte pour nous de. [01:18:46] Speaker F: Rester dans la boîte. Tu es tellement hors de la boîte que tu es dans la boîte, tu es putain de dégueulasse. [01:18:53] Speaker B: Donc je veux juste parler de l'intro de l'album. Iloth, vous savez, j'étais juste là, oh merde. [01:19:00] Speaker F: C'est dans la boîte, c'est vrai ? [01:19:01] Speaker B: Ils le font. Anticipé. Bizarre. [01:19:03] Speaker E: Vous savez, pour moi, ça veut dire. [01:19:09] Speaker B: Que j'ai regardé The Young and the Restless. Vous connaissez la série ? C'était un truc de porno des années 70, je ne sais pas. Tu veux juste le faire. On doit penser. [01:19:25] Speaker F: On ne le fera pas. C'est drôle, mais l'intro de My House, c'est juste de nous amuser. C'est tout. Je me souviens, quand on a enregistré My House, et on a fait cette partie dans le chorus, où c'était comme... Je crois que tu as dit, ça ressemble à un show de télévision, comme un sitcom des années 80 ou 90. Et on était comme... C'est putain de bien ! [01:19:49] Speaker D: Ce que j'ai trouvé vraiment intéressant, c'est que tu écoutes une chanson et tu te dis, à quel point ça va aller ? [01:20:00] Speaker F: Et puis il y a le rap. [01:20:04] Speaker B: C'est vrai. On va en parler plus tard. Dans votre dernier album, vous parliez de firefighters. Et aujourd'hui, vous parlez de policiers. Vous êtes peut-être, je ne sais pas, vous êtes Chippendales ou je ne sais pas. [01:20:19] Speaker E: On aime les hommes en uniforme. Et les femmes en uniforme. Et ceux qui restent incertains de leur pronom. C'est une bonne réponse. Non, je ne pense pas que quelqu'un ait pensé à Fireman et Lovecopter. [01:20:40] Speaker F: Non, mais c'est intéressant. On a Fireman, on a Lovecopter. Qu'est-ce qu'on a d'autre ? On a un week-end man. Ce n'est pas vraiment une occupation, mais il devrait l'être. [01:20:51] Speaker B: Dans deux albums, vous avez la situation de tous les villageois. [01:20:56] Speaker D: Oui, j'espère. [01:20:57] Speaker B: Vous n'allez pas être si heureux. [01:20:58] Speaker D: Nous comprenons ce que vous voulez faire. [01:21:01] Speaker B: Et nous sommes d'accord. [01:21:11] Speaker D: Mais attendez la feature ! [01:21:15] Speaker B: Dans cet album, vous êtes plus... je pense que c'est ma façon de penser, vous êtes plus... vous utilisez des sons des années 80, vous savez ce que je veux dire ? Vous utilisez du disco, celui-ci est plus des années 80, est-ce que c'est vrai ? Oui, je pense que nous passons par l'histoire. [01:21:35] Speaker E: Chaque album est différent. [01:21:43] Speaker D: Le prochain sera Grunge et New Metal ? [01:21:48] Speaker E: On verra... Je ne pense pas que c'était une décision consciente du tout. On a dit qu'avec celui-ci, on voulait... prendre ce que nous avions fait jusqu'ici et le remplacer ou peut-être le paqueter un peu et faire un benchmark et dire, ok, c'est la bande, maintenant c'est tout ce que nous avons fait et c'est comme ça quand c'est tout ensemble. Et je pense que quelqu'un l'a dit dans une interview aujourd'hui, ça ressemble à Club Majesty croisé avec Weekend Man. Et je pense que c'est plutôt parfait, en fait. [01:22:32] Speaker B: Depuis le début, vous avez beaucoup d'énergie, vous vous amusez, les gens s'amusent avec vous. C'est quelque chose de très positif. Et celui-ci aussi, de plus en plus positif, je pense. Est-ce quelque chose que vous voulez faire ? Oui. Parce que tout est si sombre et mauvais aujourd'hui. [01:22:52] Speaker C: Oui. [01:22:52] Speaker E: Nous voulons donner aux gens une pause, si c'est nécessaire. Nous voulons que n'importe qui, de n'importe quel camp politique, puisse aller à notre émission. Et tant que vous ne portez pas vos couleurs sur vos vêtements, vous devez pouvoir vous assister à quelqu'un avec une opinion drastiquement différente et s'amuser. Et tant que vous ne parlez pas de politique, tout le monde est une personne et vous pouvez danser et chanter. Au début, j'ai eu un peu de difficulté avec ça, on ne prend pas une position sur rien, mais c'était il y a des années, et maintenant je pense que c'est devenu de plus en plus important de ne pas avoir ces salles où on ne parle pas de politique, tout le monde est une personne, et si tu ne parles pas de tes opinions, tout le monde peut s'amuser. [01:23:43] Speaker B: J'étais juste en train de penser à ça. Chaque chanson d'aujourd'hui peut avoir une couleur sombre. Ils sont tristes, ils pleurent, etc. Et quand on va à vos concerts, c'est ce qu'on a dit il y a quelques heures. Après ça, vous pouvez sortir et être heureux. Être un nouveau homme ou une nouvelle femme. [01:24:04] Speaker D: C'est comme un beurre frais. [01:24:07] Speaker F: C'est génial parce qu'on a besoin de ces bandes, on a besoin de bandes politiques, on a besoin de bandes comme Rage Against The Machine ou autre, on a besoin de ça. Je crois en ça, je pense que c'est génial. Je pense que les gens ont besoin d'aller dans les rues et de faire leur chose. Mais ce que nous faisons, c'est d'offrir un relief de ça. Même si c'est juste 90 minutes ou d'écouter un album ou une chanson, Parce que les gens ont besoin de relief aussi. [01:24:33] Speaker E: Si vous devez être dans votre voiture, sur votre voyage au travail, et juste ressentir que vous avez besoin d'une certaine énergie pour passer le jour, alors c'est nous. [01:24:43] Speaker B: C'est pour ça que je parle des années 80, parce qu'en années 80, ils parlaient de choses sombres, mais chaque genre de musique était... Vous pouvez danser dessus, vous pouvez s'amuser dessus. Ma sœur est plus âgée que moi, et elle me dit toujours, pourquoi aujourd'hui tout n'est pas... Nous ne pouvons pas danser, à l'exception de vous. Donc c'est de la merde, pourquoi ? Tu es peut-être la bonne chose, la nouvelle chose, tu vois ce que je veux dire ? On en a besoin. Je l'ai juste écrit, avec une copine d'amour, est-ce un super-héros ? [01:25:14] Speaker E: Je pense que c'est ce que tu veux que ce soit. Hannes en a déjà parlé. On ne pense pas à ces choses avant, on vient juste avec des mots drôles. Et puis on écrit une chanson sur ça, et on se dit « Oh. [01:25:34] Speaker F: Putain, on va devoir... » Tu expliques quelque chose ? J'étais en fait en train de penser à ça sur le vol, à Paris aujourd'hui. « Putain, on est enfin arrivé. C'est le jour où je vais devoir répondre. » C'est tout ce bullshit. Je savais que ça allait arriver. Alors, qui est un copain d'amour ? Je vais m'asseoir dans un... Quoi que ce soit que tu veux. [01:25:57] Speaker E: Mais je pense que c'est une bonne chose. Ça peut être les village people ou les Chippendales. Ça peut être Black Lives Matter, si tu veux que ce soit comme ça. Ça peut être de la violence policière. Ça peut être une chanson de fête que tu n'as pas besoin de trop penser. [01:26:15] Speaker B: On pense trop. [01:26:17] Speaker E: Oui, je pense que nous pensons trop. [01:26:21] Speaker F: Ne pensez pas trop. [01:26:23] Speaker B: Nous ne pensons jamais. [01:26:28] Speaker F: Vous faites de la musique, donc vous pensez beaucoup. Nous ne pensons pas, putain. [01:26:33] Speaker B: Je pouvais le dire, je voulais juste être poli. Je vous ai demandé de choisir des chansons, et vous avez parlé des problèmes de Jay-Z. Tout le monde connaît la chanson, j'espère. [01:26:48] Speaker E: On parlait de choisir des clips que nous pensions intéressants. Ça signifie quelque chose pour vous dans votre vie ? [01:26:54] Speaker B: 99 problèmes ? Non, je n'ai pas 99. [01:26:56] Speaker E: Non, j'ai un problème et 99, non. Non ! Trop difficile à dire. Pas aussi drôle. [01:27:04] Speaker B: J'ai 99. [01:27:04] Speaker F: Vous vous souvenez quand vous étiez jeunes. [01:27:13] Speaker B: La première fois que vous écoutiez de la musique rock ? [01:27:19] Speaker E: Je me souviens, le premier concert que j'ai fait, c'était avec une bande qui s'appelait Primus. Et j'étais fou de Primus. Mais à l'époque, je n'avais pas de magasins de musique, et il n'y avait pas d'Internet. Ce que je connaissais de Primus, c'est que j'en connaissais des... des CDs, ou ce que vous appelez ça, des boucliers. Merci. Merci Johannes. [01:27:43] Speaker F: Je n'ai rien dit, mais vous êtes bien le bienvenu. Il m'a regardé, vous voyez comment on est connectés ? Il m'a regardé et j'ai dit... Et. [01:27:55] Speaker E: Je suis allé voir Primus et je ne savais pas ce qu'ils ressemblaient parce que dans chaque livre ils ressemblaient différemment. Donc je suis resté à l'avant de la ligne, le roadie vient sur scène et je me suis dit « Est-ce lui ? Est-ce Less ? » Il m'a répondu « Non, ce n'est pas Less, c'est un gars avec des lèvres. » Et puis quelqu'un d'autre vient et me dit « Oh mon dieu, Less a gagné de poids. » Et je lui ai répondu « Non, ce n'est pas Less. » Et enfin, ce gars arrive avec des shorts surfer, une tenue hawaiienne, un gros micro du size que vous n'avez jamais vu avant, des lunettes et une moustache, et je me suis dit, c'est fucking Les Claypool ! [01:28:32] Speaker D: Vous ne le savez pas jusqu'à ce que vous le voyez. Il n'y avait pas de doute. [01:28:37] Speaker E: C'est le gars ! C'était un super show. [01:28:43] Speaker B: C'est à ce moment-là que vous choisissez de faire de la musique ? [01:28:47] Speaker E: Je crois que j'avais déjà décidé. [01:28:50] Speaker B: Mais ça m'a appris quelques leçons valables. [01:28:52] Speaker E: C'est pour ça que je suis ici avec pas de gros cheveux de microphone. Pas de veste de zone. Pas de veste de Hawaii. Vous avez une veste de Hawaii. C'est le début. [01:29:00] Speaker F: J'étais juste froid. Ma première expérience dans la musique ? Tout d'un coup, ça s'est transformé en un autre genre de conversation. Mon père m'a emmené à un festival au Danemark, le Roskilde Festival, qui était énorme à l'époque. Peut-être qu'il l'est encore aujourd'hui. Il m'a emmené voir Slash, Slash the Snake Pit. J'avais 12 ans, et ça m'a étonné. Et je me souviens... Je veux dire... Jusqu'à ce moment-là, je n'avais pas besoin... Slash sur scène, évidemment ça a rendu les choses meilleures, mais je me souviens de la guitare tech qui roulait, le monde de la guitare, le stand avec toutes les guitares sur scène, et j'étais en pleurs, je n'arrivais pas à croire que j'avais vu les guitares que Slash jouait en réalité. C'était énorme. C'était mon premier concert de propriété. J'aime que ça s'appelle le monde de la guitare. C'est très prétentieux. [01:30:29] Speaker E: Tu en fais un plus grand. [01:30:32] Speaker B: C'est l'univers de la guitare. En attendant, on va regarder ce clip qu'ils ont choisi, puisque c'est aussi ça, Bang Bang. Oui, oui. C'est donc Jay-Z avec 99 Problems. [01:30:44] Speaker A: If you having girl problems, I feel bad for you, son. I got 99 problems, but a bitch ain't one. I got the rap patrol on the f***ing patrol. Fools that want to make sure ... ... ... ... ... ... ... C'est parti pour le tournage ! C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est pas une merde, j'ai l'impression d'avoir une merde, mais la merde, j'ai l'impression d'avoir une merde. Les paparazzis avec leurs caméras, ils les frappent. [01:33:49] Speaker B: D.A. [01:33:49] Speaker A: Essaye de donner un chef à nouveau. Une moitié pour Bell, parce que je suis africain. Ou parce que l'enfant les harasse. Il essaie de jouer le garçon comme il est saccharin. Mais il n'y a rien d'agréable, je garde ma... J'ai 99 problèmes, mais la merde n'y. [01:34:03] Speaker B: En a pas un. Tuez-moi ! [01:34:04] Speaker A: 99 problèmes, mais la merde n'y en a pas un. Si vous avez des problèmes de filles, je suis là pour vous, mon fils. J'ai 99 problèmes, mais la merde n'y en a pas un. Tuez-moi ! [01:35:46] Speaker B: Et Les Royal Republic à l'instant donc en clip dans Bang Bang, on adore, ça donne envie de danser, ça donne envie de s'amuser, ça donne toujours du bonheur, c'est incroyable. Merci encore d'être ici avec nous, et merci pour la musique, pour votre énergie, je dirai toujours ça, merci, merci beaucoup. Je vais parler aussi du saxophone, parce qu'il y en a beaucoup. Pour moi, j'ai toujours dit, depuis les années 90, non, on n'a pas besoin d'un saxophone. Et vous me dites qu'on peut avoir un saxophone, c'est cool. Oui, c'est intéressant. [01:39:42] Speaker F: Parfois. Parfois avec vous, mais pas avec les autres. Nous avons un gouvernement qui continue de dire qu'il n'y a pas de saxophone. [01:39:50] Speaker E: Chaque fois que le saxophone sort, ils roulent les yeux. C'est le fait de la blague. J'ai hâté ça aussi, mais je commence à aimer ça. En ordre de survivre dans ce groupe, j'ai dû commencer à aimer le saxophone. [01:40:14] Speaker F: Imaginez quand nous aurions un monde saxophone. [01:40:18] Speaker B: Juste imagine. [01:40:24] Speaker E: Et il y a ce petit garçon. En regardant les saxophones d'Adam Grant qui. [01:40:33] Speaker F: Sont en train d'être montés sur la scène. En ayant une expérience Hannah Slash avec. [01:40:37] Speaker B: Le monde des saxophones. C'est magnifique. Ben m'a dit que j'étais sûr que tu aimerais cette chanson sur l'album, parce que tu as les clappes, tu sais, les clappes des mains. Je l'aime aussi, tu sais. C'est une partie de la chose aussi, d'être heureux, de participer à quelque chose. Tout le monde peut clapper les mains. C'est pour ça que tu le fais ? [01:40:57] Speaker E: Vous pouvez dire f*** vous ! [01:40:58] Speaker D: La question est plutôt, pensez-vous à l'heure que vous allez la faire sur scène quand vous écriverez votre musique ? Pensez-vous à des choses pour l'audience ? Oui, on y pense. [01:41:14] Speaker F: Mais il y a deux choses, quand on enregistre un album de la République Royale, il y a deux choses qui nous font tous heureux, tout le temps, chaque fois qu'on enregistre. La première, c'est l'applaudissement. Et l'autre, encore plus, c'est le cow-bell. Si il y a un cow-bell, la chanson est géniale. [01:41:33] Speaker B: Je suis d'accord avec ça, je suis d'accord. Qu'est-ce que tu penses ? Je suis d'accord, je veux juste savoir. Il y a aussi la guitare. On a parlé de la diastrète. [01:41:50] Speaker D: Oui, le son, la texture. [01:41:52] Speaker F: Ça vous rappelle certainement. C'est certainement Mark Knopfler qui m'a cassé. [01:42:03] Speaker D: Je le savais. [01:42:04] Speaker B: C'est vrai ! J'ai pensé à Synthwave, peut-être qu'à ce moment-là il y a beaucoup de Synthwave, peut-être que c'est quelque chose qui t'inspire pour cet album ? [01:42:17] Speaker F: Je ne sais pas. [01:42:18] Speaker D: Non ? [01:42:18] Speaker E: Pas du tout ? Tu détestes Synthwave ? Non, je pense que c'est dans le temps. Je veux dire, il y a beaucoup d'artistes qui retournent aux années 80, même des gens qui n'étaient même pas nés. Je ne sais pas quand The Weeknd est né, mais il ne devait pas faire... Il ne devait pas sonner comme il sonne. Et si tu l'avais dit il y a 6 ou 7 ou 10 ans... C'est qu'il fait très bien, pour ne. [01:42:37] Speaker F: Pas ressembler à ce qu'il devrait être. Mais si tu avais dit à un. [01:42:40] Speaker E: Enfant, il y a 10 ans, que tu aimais la musique des années 80 et 90, ils auraient dit, ok boomer, et maintenant c'est leur jam. [01:42:56] Speaker B: Bon, c'est des fois ça aussi. All the time. We're a little bit old, so... So what do you remember from the 80s that... the thing you love in the 80s, because... 80s? Yeah. [01:43:10] Speaker D: No, haters. [01:43:11] Speaker B: 80S. [01:43:11] Speaker F: That was a Freudian slip right there. The love in the 80s. [01:43:18] Speaker B: Parce que tout le monde dit qu'il n'y a que des choses belles, mais on sait que ce n'est pas vrai. Est-ce qu'il y a quelque chose que vous avez aimé ? [01:43:24] Speaker F: Ce que j'ai aimé dans les années 80, en général, c'est que les gens n'étaient pas effrayés de pousser les choses jusqu'aux extrêmes. Et ça va pour la musique et la mode. [01:43:41] Speaker E: Les vidéos de Michael Bolton. C'est comme s'ils s'étaient poussés tout le long et passés le point où c'était... Et parfois on peut dire... [01:43:50] Speaker B: Mais c'est là qu'on l'aime. Quand les gens vont... Donc quand vous. [01:44:10] Speaker E: Faites cet album, êtes-vous ensemble dans le studio ou travaillez-vous ensemble ? Nous avons réalisé qu'en écrivant des chansons, ou en créant des idées, c'est la meilleure façon. Parfois ces idées ne sont vraiment qu'un chorus ou un riff, et parfois c'est une chanson complète. [01:44:21] Speaker B: Mais vous êtes ensemble dans le studio pour jouer ? [01:44:27] Speaker E: Oui. Donc nous écrivons comme ça, puis nous nous réunissons pour terminer la chanson. Et puis on va aller au studio, et cette fois-ci, on va tout jouer ensemble, mettre les fondations, deux guitares, basse et trompettes. Et si ça n'était pas bon, alors tu sais... Ok, quand c'était bien, c'était bien. Tu savais que tu avais la chanson, tu n'avais pas besoin de changer de choses. [01:44:56] Speaker D: Quand ce n'était pas bien. [01:44:57] Speaker F: C'est beaucoup plus intéressant, n'est-ce pas ? [01:44:59] Speaker D: C'était bien ou... Ce n'était pas bien. [01:45:00] Speaker B: Quand ce n'était pas bien, tu avais. [01:45:06] Speaker E: Besoin de changer de choses. [01:45:09] Speaker D: Ok, ça a du sens. [01:45:11] Speaker E: Et ce n'était pas parce que le symbole était faux, ou parce qu'il y avait un random drum fill dans le milieu du chorus, ou quelque chose comme ça. [01:45:24] Speaker B: Je voulais juste essayer d'imaginer comment c'est quand on est ensemble dans le studio, tu sais, comment tu peux être sérieux. [01:45:34] Speaker D: Est-ce que tu es sérieux quand tu travailles, ou est-ce que c'est toujours facile ? C'est comme nous, on ne peut pas être sérieux. C'est vraiment difficile pour nous de travailler sérieusement. [01:45:46] Speaker E: Je pense que nous prenons notre musique sérieusement. Très sérieusement. Je pense qu'on a beaucoup de plaisir quand on fait des choses. Je pense qu'il y a beaucoup de discipline. On peut s'amuser sans rire, mais juste. [01:46:02] Speaker D: En appréciant le moment, en partageant. Quand on est sur scène ensemble, ou. [01:46:08] Speaker E: Quand on est dans une pièce ensemble et qu'on joue ensemble, on est presque toujours ensemble. Mais si on est sur scène, on ne le prend pas très sérieusement. Ça ne veut pas dire qu'on n'a pas un bus. [01:46:23] Speaker B: Bien sûr. Je veux dire, quand on pense à Metallica ou à des groupes comme ça, tu sais, peut-être qu'ils ne sont pas des amis, ou aujourd'hui, c'est juste du travail. Donc je pense qu'on peut sentir que tu es des amis et que tu fais des choses ensemble. [01:46:42] Speaker D: C'est une bande, une vraie bande. Je pense qu'ils ne pouvaient pas faire ce qu'ils faisaient sans s'amuser ensemble. Ça ne pouvait pas être juste un. [01:46:49] Speaker F: Travail comme... Non, pas du tout. Nous avons beaucoup de plaisir ensemble. Mais il y a un temps et un endroit pour tout, évidemment. Quand vous enregistrez un album, par exemple, bien sûr, c'est beaucoup de plaisir et c'est génial de toutes les manières, mais il y a aussi le côté... Il y a de la pression dans le cadre d'un temps, d'une date de relâche, d'un délai, et de l'argent, évidemment. Ce n'est pas cher d'être dans un studio, etc. Donc, comme pour tout autre chose, il s'agit de trouver un équilibre. Mais oui, nous sommes de très bons amis, nous aimons l'un l'autre, et nous avons beaucoup de plaisir. [01:47:31] Speaker E: Aujourd'hui, quelqu'un m'a posé la question, comment vous vous êtes rencontrés ? Quand nous étions tous ensemble à l'Académie de Musique, et que la bande a été mise ensemble par des membres de l'Académie de Musique, Et quand on a joué ensemble pour la première fois, on avait beaucoup de plaisir. On pouvait dire que c'était vraiment génial. Ok, il y a quelque chose qui se passe dans la salle quand les 4 jouent ensemble des instruments et des chansons. Mais quand on a arrêté de jouer, on s'est rendu compte qu'on ne se connaissait pas du tout. Tout ça est arrivé plus tard. Je ne savais rien à propos de Hannes, mais je savais qu'on avait du plaisir à jouer ensemble. [01:48:19] Speaker D: C'est incroyable. [01:48:20] Speaker F: J'ai pensé que son nom était James pendant un an. [01:48:23] Speaker D: Et que vous jouiez au Midsiatica. [01:48:28] Speaker E: Et j'étais là, ouais ! [01:48:31] Speaker F: Et non ! [01:48:31] Speaker B: Donc, avant d'écouter et de regarder un autre clip, je voulais juste vous demander, est-ce que dans le prochain futur, vous pouvez inviter David Hasselhoff pour faire une chanson avec vous ? Parce que votre clip a beaucoup de choses en néon, donc je sais qu'il aime ça. [01:48:51] Speaker F: C'est un match parfait. [01:48:52] Speaker E: On a une vidéo qui sort, et je ne sais pas si je peux le dire encore, mais il y a un gars qui ne joue pas le saxophone dans toute la vidéo. David Hasselhoff serait le candidat parfait pour ne pas jouer le saxophone à un défilé. Je vais juste monter sur scène avec un saxophone et ne le jouer. [01:49:13] Speaker F: En plus, nous pouvons apporter le monde du sexe. [01:49:21] Speaker B: Tu choisis une chanson de Neil Young avec Paul McCartney. [01:49:28] Speaker F: Oui, je pense que nous tous le faisons. Tu trouves quelque chose sur Youtube et tu te dis que c'est la meilleure chose que j'ai jamais vue dans toute ma vie. Et un mois plus tard, c'est quelque chose de différent. Mais en ce moment, c'est la meilleure chose que j'ai jamais vue dans ma vie. C'est Neil Young qui fait « A Day in the Life » par les Beatles au festival anglais, britannique, le plus grand. [01:49:56] Speaker D: Reading ? [01:49:57] Speaker B: Clastonbury, oui. [01:50:02] Speaker F: C'est Neil Young qui fait une version de Kick-Ass de A Day in the Life de The Beatles. Et à la fin, Paul McCartney arrive. J'adore la version de Kick-Ass. J'adore Neil Young. Et j'adore quand Paul McCartney arrive. Je sais que ce n'est pas random, mais ça semble très random. Et l'interaction entre Neil et Paul est tellement naturelle. Ce sont deux des plus grands... rockstars in the world and what they do is just so relaxed and natural and they're just having a blast. And it's just great. I think everyone should see it. I want to see it. [01:50:41] Speaker B: C'est ce que nous allons faire. On va regarder ce clip. On va le regarder immédiatement. Et n'hésitez pas à laisser vos commentaires, que ce soit en direct, bien sûr, dans le ch'meul sur Twitch ou en commentaire sur YouTube en dessous de cette vidéo. [01:51:12] Speaker A: I read the news today About a lucky man who made the grade You know the news was rather sad I just had to lie J'ai vu un photographe Il a jeté son esprit dans une voiture Il ne savait pas que les lumières avaient changé Une foule de gens se sont posés et ont regardé J'ai vu son visage Nobody was really sure if he was from the House of Lords I saw a film today, oh boy The English army had just won the war A crowd of people. [01:52:38] Speaker E: Turned. [01:53:34] Speaker A: Oh yeah ! C'est pas possible ! ah ouais C'est parti ! C'est bon, c'est bon. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Oh non ! Yeah I'm ready to go And you. [02:00:32] Speaker F: Don'T have to tip on your toe. [02:00:33] Speaker B: Around my house. [02:01:16] Speaker A: J'suis de retour, prêt à partir ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:02:55] Speaker B: BANG BANG On continue notre interview avec les Royal Republic que nous venons de voir en clip. Je vous rappelle qu'ils sortent un nouvel album qui s'appelle Love Cop. Ça sort le 7 juin. On va parler bien sûr de leur tournée parce que bon, il y a une date quand même qui arrive. On va venir, mais je vais encore les embêter avec les années 80. Je sais que là, ils vont en avoir plein de cul par contre. Plus profondément, quels sujets sont adressés dans ce nouvel album, Love Cop, à part. [02:03:45] Speaker D: La joie, le bonheur ? [02:03:46] Speaker B: Est-ce qu'il y a quelque chose de sérieux dans les lyriques ? [02:04:05] Speaker E: J'en suis sûr qu'il y a quelque chose. [02:04:09] Speaker F: Est-ce qu'il y a jamais eu quelque chose de sérieux ? [02:04:14] Speaker E: On arrive plutôt proche sur « Laser Love ». Oui, c'est vrai. C'est en quelque sorte une lyrique assez profonde et douce. Et ça peut signifier n'importe quoi. Ça peut être l'amour à travers la salle, l'amour à travers l'univers. [02:04:35] Speaker F: Mais c'est une chanson d'amour. Ça m'a tout de suite touché. [02:04:41] Speaker E: C'est fou d'être nous. Il n'y a pas de sadisme, de masochisme, de merde kinky. C'est juste une belle chanson d'amour. [02:04:50] Speaker F: Qu'est-ce qui s'est passé ? [02:04:55] Speaker B: Quand j'entends la chanson Elektra, bien sûr, on pense à la voix d'Adam. J'ai pensé à Maurice. Eh bien, il n'est pas là. Peut-être que tu penses à lui ? Tu penses à Morris ? Tu l'aimes ? Peut-être des chansons de Morris ? [02:05:13] Speaker F: Je ne sais pas. Si Adam l'avait à l'esprit, je ne le penserais pas. Morris n'est pas quelqu'un qui vient souvent quand on parle de musique. [02:05:24] Speaker D: Peut-être que c'est une chose inconsciente. C'est comme si tout le monde l'entendait. Oui, c'est ça. J'ai l'impression que quand tu es dans la musique, les sons s'appellent à d'autres sons. Tu as l'impression d'avoir un son de guitare et que tu dois faire quelque chose d'un peu différent. C'est comme quand quelqu'un fait une photo, ton oeil... les yeux sont entraînés pour quelque chose, et quand tu as des couleurs, peut-être que l'ambiance arrive. Est-ce que c'est pareil pour la musique ? [02:06:04] Speaker F: Absolument, je pense que c'est exactement comme ça. Je veux dire, si tu arrives à un certain riff, ce n'est pas comme si tu vas t'asseoir et aller à travers tous les types de beats, ou tu sais, c'est comme si ce riff appelait à ce genre de beat, alors évidemment tu vas le changer un peu. Et c'est la même chose pour la basse et les lignes vocales. Donc oui, une chose conduit à l'autre tout le temps. [02:06:30] Speaker D: Est-ce que vous travaillez plus à partir des sons ou à partir du rythme ? Tu vois ce que je veux dire ? Parfois, la manière de jouer est plus rythmique, et parfois c'est plus comme une recherche de son, et puis tu trouves le rythme qui fonctionne avec le son. Je ne sais pas si ça te fait sens, mais... [02:06:56] Speaker F: Oui, mais il n'y a pas de formule. C'est comme ça que nous faisons. Parfois c'est un rythme, parfois c'est un riff, parfois c'est... Beaucoup de fois c'est un titre de chanson, une ligne vocal, ou un mot qui nous sonne cool. Donc ça diffère beaucoup. [02:07:19] Speaker E: Avec Elektra, la chanson a été faite avant la production. La chanson a existé dans une version très différente, peut-être pas très différente, mais d'une certaine manière très différente, au moins en termes de son. Et puis ça s'est transformé dans ce, je ne sais pas ce qu'on appelle, Billy Idol, Bangles. [02:07:42] Speaker F: Morrissey. [02:07:43] Speaker E: Morrissey, oui. C'est difficile à dire. [02:07:49] Speaker D: Est-ce que cette dernière partie se déroule plus lorsque vous atteignez le studio ? Ou est-ce que beaucoup de choses sont faites en pré-production ? [02:07:59] Speaker E: En pré-production, je dirais. Je pense qu'il y a généralement un intent avec le son avant que l'on atteigne le studio. Pour cet album, sur le côté démo, ça a sonné très différemment. Parce que nous faisions tous les démos, et je choisirais un son de tambour que j'aimais pour une chanson, et puis Hannes, la prochaine chanson, aurait un set de tambour complètement différent, et un plug-in de tambour, ou des samples, ou quoi que ce soit. Et quand on est allé au studio, bien sûr, c'était un seul set de drums qui jouait tout. C'était un seul son de guitare. Je pense qu'on s'est dit qu'on devait limiter les sons de guitare. Hannes a un seul son de guitare distorsé, un seul son propre, et un seul son chorégraphique. Et puis le son de la basse est comme ça. Et puis, tout d'un coup, toutes les chansons s'unissent dans le même espace. [02:08:56] Speaker D: Et sont plus connectées. C'est cool. Il faut trouver le bon qui fonctionne. [02:09:04] Speaker F: Pour toutes les chansons. [02:09:05] Speaker E: Ça serait super intéressant de retourner et écouter les démos. Et puis écouter les versions finales. Juste pour voir combien ça a changé. [02:09:14] Speaker F: Je pense que c'était une bonne chose, mais c'était aussi assez drôle avec Michael Hilbert. Michael Hilbert et Adam ont réalisé l'album. Je suis venu au studio, j'ai eu 4 ou 5 guitares différentes, et j'avais 6 ou 7 ampères avec moi. Le premier jour, j'ai connecté ma guitare principale à un Marshall standard. J'ai joué la corde, et Michael m'a dit « ça a l'air génial ». [02:09:42] Speaker E: « Attends, je veux essayer avec tout ! [02:09:46] Speaker F: » Et puis on a enregistré une chanson ou deux, et j'ai eu beaucoup de respect pour Michael Rubin, donc j'ai sorti mon doigt en disant « Michael, j'ai beaucoup d'amplis ici, veux-tu essayer autre chose ? » « Non, pourquoi en essayer ? Ça a l'air génial, continue ! » Ok, je ne vais pas en demander encore. Et puis je me souviens, le dernier jour, quand on a commencé à charger nos équipements, donc on avait tous les équipements dans la salle, Michael sort, il avait juste rassemblé son sac, il était prêt à partir, et il sort dans la salle et il voit un bandit de PV que j'avais acheté. Et il me dit, tu as un bandit de PV ? Tu l'avais ? Tu l'avais ici tout le temps ? Et je me disais, oui, j'ai essayé de te le dire. Qu'est-ce que... J'adore PV... Pourquoi vous... N'importe quoi, l'album est terminé. [02:10:46] Speaker E: Et j'ai apporté 6 cases de symboles. J'avais tous les symboles connus à l'homme. Et Michael les détestait tous. [02:10:56] Speaker B: Tu peux avoir de la frustration quand tu enregistres un nouvel album. Les choses que tu veux faire, à la fin, non. Et qu'est-ce qu'il y a de rap, tu sais ? Parce que pour moi, c'était juste des choses années 80, mais ce rap, c'est. [02:11:12] Speaker F: Un peu des choses années 90. [02:11:15] Speaker D: Crossover. [02:11:16] Speaker F: On le fait chronologiquement dans une seule chanson. [02:11:20] Speaker E: Le temps passe dans ma maison. On va d'une décennie à l'autre. Je ne sais pas, je pense que Ulysses, notre manager, a dit qu'il fallait. [02:11:30] Speaker B: Qu'On fasse un rap. [02:11:30] Speaker E: Je pense que c'est le moment pour vous de faire un rap. [02:11:35] Speaker B: Au début, ce n'était pas une blague ? [02:11:37] Speaker E: Non, je pense qu'il était sérieux, mais je ne pense pas qu'il signifie le genre de rap que c'est maintenant. [02:11:45] Speaker D: Il n'a pas pensé que tu le ferais. Peut-être qu'il faisait une blague. [02:11:49] Speaker F: Exactement. Il a appris sa leçon. Non, je veux dire, nous aimons le hip-hop, nous aimons le rap. C'était, je veux dire, et c'était juste... Juste avant que le rap arrive, il y a un... Et c'est un beat cool, donc ça appelle à un rap. Je ne vois pas ce que vous pouvez faire d'autre. Il n'y a pas d'autre moyen, vous devez faire du rap. [02:12:17] Speaker D: Bien sûr. Pouvons-nous attendre des vibes R'n'B pour le prochain ? [02:12:21] Speaker F: Oui, oui, définitivement. [02:12:24] Speaker B: Je ne peux pas attendre. C'est comme ça. Alors, qu'est-ce qu'il y a de la dernière chanson ? Shalala Lady ? Je me demandais si c'était Earth, Wind & Fire, ou quelque chose comme ça. Funky, danse, disco, c'est tout. Chaque seconde, c'est comme ça. [02:12:42] Speaker F: Oui, mais vous devez vous rappeler que c'est une chanson de 10 ans, donc on est en 2020 maintenant. On passe par les décennies. [02:12:53] Speaker E: Je ne sais pas ce. [02:12:57] Speaker F: Qu'Il s'est. [02:12:57] Speaker B: Passé, je ne me souviens pas. [02:13:00] Speaker E: Mais c'est la bonne façon de... Oui, on l'a mis à la dernière et quand on l'a fait, j'ai pensé à moi-même, si vous mettiez ça sur un cycle, Et tu arrives à la dernière chanson, et tu as cette grosse chanson qui chante « Pour ton amour » avec des chimes et tout. Et après ça, ça repart et tu dis « Play on » avec l'intro du saxophone de nouveau. Tu es sorti en plein cercle. [02:13:26] Speaker F: Et l'album se déroule dans un cercle très schizophrène. [02:13:35] Speaker B: Félicitations encore une fois pour cet album, c'est vraiment sympa, c'est incroyable. Je veux juste que je te vois en vie et que tu fasses une grande tournée. Tu seras à la Zénith à Paris. Félicitations à l'énorme venue, je suis très heureux que vous puissiez y aller. Nous vous connaissons depuis le début et c'est comme... Oh, les enfants sont vraiment bien ! [02:13:55] Speaker F: Non, nous sommes très enthousiastes aussi, très heureux. [02:13:58] Speaker E: Nous sommes vraiment enthousiastes de la façon dont les choses se passent, nous sommes vraiment enthousiastes d'être de retour avec un nouvel album. Nous sommes vraiment enthousiastes de la France. Parce que la France, après avoir joué... Nous avons travaillé sur la France depuis longtemps. Je veux dire, vous nous connaissez depuis longtemps. Et après on a joué... [02:14:20] Speaker B: C'est pas facile à dire. [02:14:21] Speaker E: Et on leur a dit qu'on devait jouer la chanson Ratatata sur Taratata. Et il a dit non. [02:14:30] Speaker F: Il a dit pourquoi ? Ça n'a pas de sens. [02:14:36] Speaker E: Et tu sais, tu fais beaucoup de shows comme ça, et ils te disent que ce show va te battre dans ce marché, etc. Et celui-ci l'a vraiment fait, ça nous a vraiment aidé beaucoup. Et de revenir maintenant après Olympia et de jouer au CINIT, On a de l'histoire au CNIT. On a ouvert pour Offspring en 2011, au CNIT. Deux nuits en un coup. Je me souviens, en entrant là-dedans, je me suis dit que ce lieu était énorme. Imaginez être dans une bande qui vend ce nombre de tickets. C'est un rêve qui se réalise ? [02:15:16] Speaker B: Oui, vraiment, définitivement. [02:15:20] Speaker E: C'est un moment de pinch-me. [02:15:22] Speaker B: Ça va avoir lieu le 16 novembre, je précise, pour toutes les personnes qui ont envie d'acheter leur ticket, il faut y aller. C'est vraiment un concert auquel il faut assister. Vous allez en sortir juste meilleur, grandi, heureux. [02:15:34] Speaker D: Et si vous voulez voir tout le Zénith danser, c'est le meilleur moyen. [02:15:37] Speaker B: Tout le monde va danser, tout le monde va être heureux de nouveau et de nouveau. Je vais toujours dire la même chose. On peut attendre qu'il y ait quelque chose de différent, ou peut-être que ce mec va... [02:15:51] Speaker E: On a juste commencé à enregistrer les nouvelles chansons. Dans le futur, on va essayer de mettre les choses ensemble. On verra ce qui se passera. Quand on les met sur scène, des choses peuvent se produire, comme en faisant une version cow-boy. Une version de line dance de quelque chose, je ne sais pas, on verra. Mais nous avons toujours un bon moment sur scène et les gens ont l'air d'avoir un bon moment en nous regardant. C'est vraiment une chose intriquée. [02:16:29] Speaker B: Bon, je vais arrêter là. Merci encore d'être venu. Nous serons là le 16 novembre. Et bien sûr, tout le monde, écoutez l'album Love Cop qui sort le 7 juin. Je ne dis pas de bêtises, j'espère. Mais pour finir, justement, ils ont parlé d'Offspring, qu'ils ont ouvert aux Inuits. Vous choisissez Offspring, encore une fois, pour la chanson... Qu'est-ce que le nom de la chanson ? [02:17:02] Speaker E: Tribute. [02:17:03] Speaker D: Pretty Fly for White Guy. [02:17:04] Speaker B: Pretty Fly for White Guy. Vous nous demandez de dire quelque chose ? Vous voulez chanter ? [02:17:08] Speaker F: Il s'est fait pratiquer un peu. Non, mais vous avez fait une excellente expression. [02:17:17] Speaker B: La version de Wayne's World. [02:17:22] Speaker F: Oui, Wayne's World, Beverly Hills. [02:17:26] Speaker D: C'est assez bien. Pourquoi as-tu choisi cette chanson ? [02:17:30] Speaker E: C'est la première chanson qui m'est venu à l'esprit. [02:17:33] Speaker D: Littéralement. [02:17:33] Speaker E: Et ça m'a étonné quand j'ai vu la chanson dans la scène. Pete Morata, qui jouait les violons avec Dundun, il a pu jouer le cow-boy, « Give it to me baby ». Et j'ai pensé, je veux Peter Parada, le drummer. [02:17:52] Speaker B: Et j'ai pensé, j'aimerais jouer. [02:17:57] Speaker F: Dad Hook. [02:17:59] Speaker B: C'est cool. [02:17:59] Speaker F: J'aimerais que ce soit moi. [02:18:02] Speaker E: Oui, tu le fais. [02:18:07] Speaker B: Je crois que c'est un bon mot de la fin. [02:18:08] Speaker D: Ouais, c'est ça. [02:18:09] Speaker B: Donc, merci encore. Peut-être que tu veux dire quelque chose au monde, je ne sais pas, aux gens qui regardent. [02:18:16] Speaker E: Merci, France, d'être si généreuse et d'aimer nous. Nous sommes vraiment heureux et fiers que nous puissions faire ça et continuer notre voyage vers le Cénit. Cénit. C'est incroyable d'être dans cette bande, à ce moment-là. C'est toujours été incroyable, mais c'est en train de s'améliorer, je pense. J'ai l'impression que chaque fois que je fais cette fin de parole aujourd'hui, je. [02:18:54] Speaker B: Me rends plus et plus émotionnel. [02:18:55] Speaker D: Merci. [02:18:55] Speaker F: Merci. Merci d'avoir été avec nous. [02:18:59] Speaker B: C'est un super album. Merci aussi à vous. [02:19:01] Speaker A: Bang Bang ! Et tous les filles disent que je suis un garçon blanc. 1, 2, 3, 4, 5, 6 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org And all the girls say I'm pretty fly, for a white guy He needs some cruelty, not just any will suffice But they didn't have ice cubes, so he bought vanilla ice Now cruising in his pinto, he sees homies as he passes But if he looks twice, they're gonna kick his lily ass So don't debate, play it straight You know he really doesn't get it anyway Hey, hey, do that brand new thing ! 1, 2, 3, 4, 5, 5, 6. Oh putain, j'en peux plus ! 3, 2, 1... [02:25:57] Speaker B: Bang Bang ! Avec à l'instant un groupe que j'aime beaucoup, enfin que j'ai beaucoup aimé puisque c'est un très vieux groupe, Kitty, qui fait son comeback. On en a déjà parlé, qu'on était très contents que ça avait changé, etc. Kitty comeback ! Par contre ce morceau, bon, on peut en discuter. On va pas en discuter très longtemps, je pense. [02:26:17] Speaker D: Non mais déjà, c'est bien qu'elles aient pu revenir. Notamment, je pense qu'un truc qui a aidé, c'est aussi la reprise qui a été faite par Poppy, qui a remis un petit peu en lumière l'existence de Kitty. Enfin, à mon sens. [02:26:30] Speaker B: Oui, puis tout ça peut-être très bien organisé aussi, je sais pas. [02:26:33] Speaker D: Je sais pas, c'est chez Myriad ? [02:26:34] Speaker B: Alors ça, je ne sais pas, je pourrais pas me prononcer. Mais bon, après, je sais pas. [02:26:39] Speaker D: Petit changement de line-up. [02:26:41] Speaker B: Oui, mais cette chanson qui change quand même pas mal de ce qu'elles ont pu faire auparavant. Une direction artistique un peu différente. Le gros plan, bon, je suis pas totalement sûr. J'ai jamais trop aimé ce genre de... [02:26:53] Speaker D: Moi je suis pas sûr du terme direction artistique. Je pense que c'est un peu ce qui manque. [02:26:59] Speaker C: Parce que le clip, bon, c'est... Basique de chez Basique, quoi, c'est juste elles, on dirait qu'elles ont été filmées dans un coin de musée ou je sais pas quoi. [02:27:08] Speaker D: T'as vu comme il est misogyne ? Tout ça parce que c'est des femmes. [02:27:11] Speaker B: Alors que quand c'est des groupes de. [02:27:12] Speaker D: Mecs qui font du prog, là, ça le dérange pas que ce soit des clips comme ça. [02:27:15] Speaker C: Ah bah non, les groupes de mecs qui jouent dans des hangars, excuse-moi, on. [02:27:18] Speaker B: En a vu plein, quoi. [02:27:21] Speaker D: Au moins quand c'est des mecs, bon, bah voilà, quoi. [02:27:26] Speaker B: C'est vrai qu'il y a une exposition autour d'elle. [02:27:31] Speaker D: Il y a un projecteur de cinéma, il y a des statues, il y a un gros ventilateur. [02:27:37] Speaker C: Il a été filmé dans un musée pour épater la galerie peut-être. [02:27:41] Speaker B: Non mais gros ventilateur surtout parce qu'il y a une grosse baie vitrée donc à un moment il faut qu'il fasse rien. C'est quand même à LA, il fait chaud. La chanson n'a pas trop d'utilité. Le break et tout. Ça peut être efficace, mais là je sais pas, ça manque d'intention. [02:27:57] Speaker D: C'est un peu mouligasse. Je pense que de Kitty tu t'attends à ce que ça... Moi je croyais que j'aurais fait un retour un peu plus musclé. Mais bon, ça c'est plus mainstream quoi, ça passe partout. [02:28:12] Speaker B: Oui, c'est une bonne chanson qui pourrait être diffusée en radio aux Etats-Unis, contrairement à ici. Bon, petit enjoy the noise. Je vais me tourner vers toi, parce que Kitty, on aime quand même, attention on dit ça, mais on est très très fan, on adore, et on les soutient. [02:28:25] Speaker D: On les diffuse. [02:28:26] Speaker B: Si on n'aimait pas, on ne les diffuserait pas. Mais toi, tu vas nous parler d'un groupe qu'on aime beaucoup aussi, enfin d'un groupe... [02:28:34] Speaker C: Un duo qu'on aime beaucoup, qu'on a déjà passé dans l'émission, c'est Soft Cult. Donc là, les sœurs canadiennes, les sœurs Phoenix et Mercedes Arnhorn. On va pas refaire leur biographie non plus parce que c'est pas la première fois qu'on en parle. Et elles sortent des singles à un rythme très régulier. Donc si je m'écoutais, je les passerais tous. Mais bon, au bout d'un moment, ça commence à faire un peu beaucoup. Là, elles viennent de sortir un single qui s'appelle Nine Circles. qui est vraiment, on le rappelle quand même, Softcult, c'est celle d'alternatifs très shoegaze, et là c'est shoegaze à mort, c'est un morceau ultra-stellaire, c'est vraiment le genre de morceau que tu écoutes, tu t'allonges dans le noir, tu fermes les yeux et tu vois des couleurs qui dansent. [02:29:19] Speaker D: Ou tu t'endors. [02:29:21] Speaker C: Ou tu t'endors au bout d'un certain... Et tu fais des rêves chelous du coup. Tu fais des rêves cotonneux mais chelous. Et du coup, oui, Une fois encore, à chaque fois qu'elle sort un single, c'est accompagné d'un clip qui a toujours cette esthétique lo-fi qui leur colle bien, qui leur convient bien. Le clip en question est réalisé par les deux sœurs, carrément, donc c'est vraiment du home-made avec cette esthétique qui leur sie bien et qui colle bien à leurs sons. [02:29:51] Speaker B: Alors j'ai pas du tout écouté la chanson donc je vais la découvrir comme toutes les personnes peut-être qui sont là ou d'autres la connaissent déjà mais est-ce que je me permets la question, c'est pas méchant, mais dans Soft Cult j'avoue qu'il y a des fois où je me suis dit ça tourne un peu en rond et du coup je me suis dit que ça pouvait m'ennuyer pour rester poli. Est-ce que là il y a un. [02:30:11] Speaker D: Truc un peu... Est-ce que ça va être la chanson de la surprise ? [02:30:14] Speaker C: Chanson de la surprise, je pense pas. Honnêtement je pense pas. [02:30:16] Speaker D: Mais elle est quand même bien. [02:30:17] Speaker C: Elle est bien, elle est quand même bien, mais après c'est du soft cult comme on connaît quoi. [02:30:21] Speaker B: D'accord. [02:30:22] Speaker C: C'est soft cult sur son versant le plus shoegaze, le plus nébuleux on va dire. Pas le plus musclé parce que ça leur arrive de sortir des morceaux un peu plus grungy etc. Là c'est vraiment sur le côté plus shoegaze. [02:30:34] Speaker B: C'est le moment où on s'envole quoi. Voilà exactement. [02:30:38] Speaker F: On flotte. [02:30:38] Speaker B: Une mousseline qui serait dans le vent, dans une brise. [02:30:41] Speaker F: Tout à fait. [02:30:45] Speaker C: C'était très classe. [02:30:45] Speaker D: Je propose qu'on envoie la mousseline. [02:30:47] Speaker B: Alors j'ai juste une précision à donner, c'est qu'il va y avoir un grand débat qui va être disponible cette semaine, qui arrive normalement si tout se passe bien, dès jeudi ou vendredi, sur le Shoegaze, où Marc de visual-musique.org va donner son avis sur ce genre musical. Je vous conseille de vous préparer, de vous abonner au podcast pour pouvoir entendre des choses. Et n'hésitez pas d'ailleurs à laisser des commentaires sur Spotify parce que vous pouvez. [02:31:11] Speaker D: On vous met le lien dans la description de ce podcast, bien sûr. [02:31:13] Speaker B: Voilà. Allez, on y va en regard Softcult. [02:31:45] Speaker A: I've seen you before Je n'ai pas l'espoir, je n'ai pas le temps. [02:35:31] Speaker B: Je suis juste en train de me découvrir. [02:36:28] Speaker A: C'est parti pour le tournage ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:37:35] Speaker C: If. [02:37:35] Speaker A: I wanna hear your feedback, feedback I'll. [02:37:38] Speaker B: Let you know. [02:38:15] Speaker D: Bah dis donc, ça m'a soufflé ! [02:38:17] Speaker C: Ça a fait bang bang ! [02:38:19] Speaker B: Alors, merveilleux clip, merveilleux effets spéciaux, la fin, vive l'Amérique ! [02:38:26] Speaker D: Ah bah ça c'est un jour dont on se souvient dans le record ! [02:38:28] Speaker B: Bravo ! Le grand retour de A Day to Remember, j'avais envie de diffuser ce clip parce que j'aime bien la chanson, mais ma question sur cette chanson et sur toutes les chansons qu'on a un peu diffusées, puisqu'il y avait un fil rouge, c'est maintenant qu'aux Etats-Unis, bon même si le rock n'a jamais disparu, mais je veux dire que toutes ces musiques reviennent vraiment sur le devant de la scène, qu'il y a vraiment beaucoup... Est-ce que. [02:38:49] Speaker D: Nickelback va enfin revenir ? [02:38:53] Speaker B: Alors, c'est un peu cette idée-là. Est-ce que, justement, le fait que ça revient, on refait pas un peu de la soupe ? Tu vois ce que je veux dire ? Parce qu'on sait ce qu'il y a été dans le cadre du Néométal. Je suis archi-fan de Néométal. [02:39:05] Speaker C: Il y en a toujours eu, finalement, de la soupe, même quand c'était plus la mode. [02:39:08] Speaker B: Ouais, mais du coup, comme là, on l'entend beaucoup, on a quand même l'impression qu'il y a un nivellement vers le bas. Alors, j'adore la chanson, attention. J'aime beaucoup de chansons qui sont nulles. [02:39:19] Speaker D: Non mais la chanson, tu l'écoutes, c'est sympa. Maintenant, est-ce que tu te réveilles la nuit en disant « Ah tiens, j'ai vraiment envie de l'écouter ». [02:39:28] Speaker C: Est-ce que c'est un banger au point où tu vas y repenser un petit peu, spontanément ? [02:39:34] Speaker B: Je pense que la chanson m'intéresse plus sans le clip. Je vous conseille de l'écouter sans le clip parce que ça va donner une autre idée de la chanson qui est plus agréable. Après c'est l'Amérique et bon c'est pas non plus... [02:39:46] Speaker D: Après le clip a le mérite d'être divertissant. [02:39:49] Speaker C: Oui le clip est sympa. [02:39:50] Speaker B: Amusant. C'est rigolo. [02:39:52] Speaker D: C'est un peu mieux qu'une salle toute blanche par exemple. Avec une fenêtre. Avec un peu plus de travail. Avec un gros ventilateur. [02:39:59] Speaker C: Moi je dis dans le clip, il manquait juste un truc, c'était Nicolas Cage au volant. [02:40:02] Speaker B: Non, parce qu'il n'est pas Nicolas Cage. Arrêtez avec Nicolas Cage. Il m'a rien fait, je ne peux pas me voir. [02:40:09] Speaker C: J'ai touché une corde sensible, je ne savais pas. [02:40:10] Speaker D: Il aurait mieux fallu mettre Joachim Phoenix. Avec son petit bec d'olive là. [02:40:19] Speaker B: Je ne sais pas comment rebondir, mais. [02:40:20] Speaker D: On va parler des concerts. Mais en tout cas, il y a un point commun vraiment entre cette chanson de Kitty et cette chanson de Day to Remember. Pour moi, c'est la même chose. [02:40:28] Speaker B: C'est exactement ça. L'intérêt, c'était aussi de montrer, mais j'en ai plein d'autres. [02:40:31] Speaker D: On va s'arrêter là-dessus. [02:40:35] Speaker B: On va s'arrêter là-dessus. Il y a d'autres choses qui arrivent quand même, on va voir ce que vous en pensez. [02:40:39] Speaker D: Surprise surprise ! [02:40:40] Speaker B: Mais en attendant, je vais vous parler des concerts et vous le savez, on parle des concerts qui ont lieu à partir du mardi 11 juin. Donc comme ça, ça vous laisse le temps de vous préparer pour pouvoir vous y rendre. Il va y avoir, figurez-vous, à la machine du Moulin Rouge, Bayeux Hazard. Il ne reste personne, donc n'hésitez pas à y aller. Et by hazard, à la machine moulin rouge, je pense que ça peut être une bonne soirée old school. Je ne sais pas quel âge ils ont, mais ce n'est pas tout frais. [02:41:03] Speaker D: C'est plutôt jeune. [02:41:05] Speaker B: Le mercredi 12 juin, attention parce qu'on continue dans les toutes petites fraîcheurs, il y a Fear Factory au Forum Vauréal. [02:41:11] Speaker D: Pas assez les surprises. [02:41:12] Speaker B: Hey, coucou, je suis Dino Cazaresque. Voilà, je vous laisserai regarder. [02:41:18] Speaker D: C'est le bruit du dino. [02:41:20] Speaker B: Le jeudi 13 juin, il va y avoir Crowbar avec Hatebreed à l'empreinte à Saint-Vincent. [02:41:25] Speaker D: C'est la soirée Formol. C'est vraiment la semaine du Formol. Il y a une addiction. Deux groupes de vieux achetés, un offert. [02:41:33] Speaker C: Je tendrais tête de bois mais... Non. [02:41:36] Speaker B: Mais comme quoi les vieux se sont réveillés, se sont dit j'aimerais bien quand même aller au concert parce que pour que tous ces groupes là viennent c'est qu'il y a un public qui est là et je pense pas que ce soit des gens jeunes en masse qui se déplacent pour aller voir ces groupes. [02:41:46] Speaker D: Je te le confirme, je pense qu'à Krobar va pas y avoir de gens de moins de 30 ans. [02:41:50] Speaker B: Ouais c'est ce que je me suis dit, même 30 ans c'est jeune, c'est très jeune. Vendredi 14 juin, alors on sort du métal mais j'aime bien vous donner tous les concerts qui sont rock puisque nous sommes sur SLS et vous le savez on a une radio qui diffuse tous les rock. Il va y avoir Angus & Julia Stone à l'Olympia, il va y avoir Rufus Wainwright à la Maison de la Radio, il va y avoir Korytni au Forum Boréal. On vous conseille d'y aller parce que j'adore Korytni. Samedi 15 juin, il y a encore une fois Angus and Julius Stone au Grand Rex, on change de salle. Les Rum Jacks, si vous aimez l'Irlande et les musiques de marins à Boston, bon bah vous allez être contents. C'est au Forum Boréal, c'est très mal décrit mais c'est un peu le principe. Il y a Chivas et Métro Verlaine du côté du Café de la Danse. Il y a Angoun Rangoon. Elle ne répond plus, elle ne répond plus à Angoulême. Je crois qu'elle a... Elle a dit il faut contacter mon attaché de presse. J'ai compris qu'à partir de là c'était... [02:42:40] Speaker D: Ça c'est pas bon. [02:42:42] Speaker B: Au palais des congrès. [02:42:43] Speaker D: Après si vous voulez qu'on reçoive Angoon, comme elle avait dit qu'elle serait heureuse de venir faire l'émission, n'hésitez pas à lui écrire. [02:42:48] Speaker B: Voilà, sur Instagram. [02:42:49] Speaker D: Mais ne la harcelez pas, ne la harcelez pas. [02:42:51] Speaker B: Voilà, tu es gentil. [02:42:52] Speaker D: Ah, dis donc, t'es au courant qu'il y a une bonne émission ? [02:42:55] Speaker B: Il y a plein de métallurgistes, ils n'arrêtent pas de parler de toi parce qu'ils t'adorent. Nous on adore Angoone. On adore Angoone, évidemment. On ne va pas chanter mais on est presque prêts. Dimanche 16 août, il va y avoir Under Roof à la Machine Rouge. On est très contents puisque c'est un dimanche. [02:43:11] Speaker D: Ah ouais, ah non. Je ne serai peut-être pas là. Ah si, je serai là. Bon, ok. [02:43:17] Speaker B: T'as le droit d'aller au concert, je. [02:43:19] Speaker D: Te... Non, non, non, mais l'invité... Enfin, bon, j'ai pas de réponse non plus. [02:43:24] Speaker B: Ah oui, c'est vrai, je vois. Aaron Jones du côté des Cuisines HL, voilà, si vous aimez cet artiste que vous pouvez avoir aussi sur notre page YouTube avec des sessions live, donc vous tapez juste Restless Radio et voilà. [02:43:37] Speaker D: Petite information, les Cuisines HL, c'est une salle de concert, ce n'est pas un restaurant. [02:43:42] Speaker B: Cuisine avec un Z. Voilà exactement en plus. Et sinon il y a les Smashing Pumpkins du côté de Record Arena. Je suis désolé j'ai le droit de les appeler les Smash même si je suis le seul au monde. [02:43:52] Speaker D: Bah non moi aussi j'appelle ça les Smash maintenant. [02:43:56] Speaker B: J'adore les Smash. [02:43:59] Speaker C: On serait capable de confondre avec les Smash Mouth aussi. En tout cas... Même si maintenant c'est difficile pour Smash Mouth. [02:44:07] Speaker D: C'est vrai. J'ai l'impression que c'est pas simple non plus pour Smashing Pumpkins. Mais pas pour les mêmes raisons. [02:44:13] Speaker B: J'aurais bien aimé aller voir les Smashing Pumpkins. Avec une tête de citrouille et tout. [02:44:18] Speaker D: Peut-être qu'ils vont t'éviter. [02:44:20] Speaker B: Ils vont m'éviter, oui, surtout. Non, c'est dimanche, donc de toute façon il y a l'émission. On fait pas l'émission dimanche ? [02:44:27] Speaker D: Franchement, si t'as une place, on fait pas. [02:44:30] Speaker B: Vous vous sentez là ? Je peux en avoir deux si tu veux ? Non, non, non ! Si on fait pas, laisse-moi tranquille ! Si je fais pas, je vais être tranquille, je vais être bien. Non, tu peux aller à London Earth, ceci dit. Vous avez des places à gagner, non pas pour un de ces concerts-là, mais comme c'était vraiment pas thématiquement possible à diffuser, je vous laisse aller sur notre Instagram, parce qu'on vous offre souvent des places de concert. Il y a un festival merveilleux qui s'organise, je vous laisse aller checker tout ça, je ne vais pas en parler pendant cinq heures parce que sinon vous n'allez rien comprendre mais j'ai décidé d'illustrer cette semaine de concert avec évidemment un clip des Smashing Pumpkins parce qu'un bon petit classique ça fait toujours du bien et c'est Butterfly Wings. Il était jeune. Regardez bien le clip et regardez des photos d'aujourd'hui. [02:45:11] Speaker D: Tu comptes regarder toi à l'époque et aujourd'hui ? J'ai envie de gerber. Le monde est un vampire. [02:45:27] Speaker A: Sentimentalisés. [02:45:32] Speaker C: Détruiseurs secrets. [02:46:26] Speaker A: C'est pas vrai ! C'est pas vrai ! J'espère que vous avez aimé cette vidéo. Musique de David Forte C'est parti ! [02:51:41] Speaker B: C'Est. [02:52:13] Speaker A: C'est parti ! [02:53:20] Speaker B: Eh ben ça c'est une surprise partie. [02:53:23] Speaker D: Ah là je sais pas quoi penser de ce qu'on vient de voir, vraiment ? [02:53:26] Speaker B: Eh bien c'est dans la continuité un petit peu de ce qu'on disait tout à l'heure, alors un peu mieux quand même parce que là il y a du rythme, ça donne plus la pêche que quelques autres morceaux qu'on a pu entendre, mais Moi, mon commentaire sur cette collaboration entre Babymetal et donc Electric Coal Boy, c'est qu'on sent qu'eux sont un peu moins impliqués qu'elles quand même en termes de danse. [02:53:46] Speaker C: On sent un peu moins de professionnalisme d'un côté que de l'autre. [02:53:49] Speaker B: Il y a vraiment des chums qui doivent danser, puis qui lancent un peu les bras comme ça, mais genre, allez vas-y on le fait parce qu'il faut le faire, dans des tenues qui sont pas très agréables. Pas très poussées, pas très recherchées. [02:53:59] Speaker D: Je crois qu'il y a plein de choses, je n'arrive pas à comprendre le tenant, les aboutissants de ce projet. [02:54:06] Speaker B: Mais après la chanson n'est pas si nulle que ça, c'est juste que c'est... [02:54:14] Speaker D: C'est un grand intérêt. [02:54:16] Speaker B: Oui. Je sais pas pourquoi ça arrive. [02:54:18] Speaker D: En fait, en plus ce qui est bizarre, c'est que ça arrive... Ça aurait été sur un album. Mais là c'est un titre qui sort comme ça, quoi ? [02:54:25] Speaker C: C'est juste un single pour les plateformes, quoi. [02:54:27] Speaker B: C'est un titre qui est... Enfin, c'est Babymetal apparemment qui fait un titre avec Electric Coalboy, si j'ai bien compris. Même s'ils sont mis au même niveau dans l'écriture. [02:54:36] Speaker D: On dirait plus un titre d'Electric Coalboy avec Babymetal. [02:54:39] Speaker B: C'est ce que je me suis dit aussi, alors j'ai pas compris. [02:54:41] Speaker C: Parce qu'Electric Coalboy joue en premier, enfin généralement c'est dans cet ordre-là que ça se fait, ouais. [02:54:44] Speaker B: Bon écoute après c'est peut-être par respect aussi qu'ils ont mis Babymetal dans le nom en premier, je n'en sais rien, je laisse les gens s'exprimer dans le ch'meul pareil en commentaire. [02:54:53] Speaker D: Qu'est-ce que vous pensez de la collaboration Japono-Allemande ? Germano-Nippone ? [02:55:05] Speaker B: Voilà. Perso, je trouve que c'est ni bon ni mauvais. [02:55:11] Speaker C: Cette blague nous ramène à des heures sombres. [02:55:13] Speaker D: Ah oui, des années 80. [02:55:15] Speaker B: Voilà, ça a marqué plein de gens. Mais non, le morceau est sympa, mais voilà, pas plus à dire, je pense qu'on l'a passé une fois, c'était bien. Maintenant, organisez-vous. [02:55:26] Speaker C: C'est-à-dire, faut le voir chez soi. [02:55:28] Speaker B: C'est bien, voilà, sur vos téléphones, tranquillement, avec des écouteurs s'il vous plaît. Mais cachez-vous. Je plaisante. Vous faites ce que vous voulez, bien évidemment. [02:55:38] Speaker D: Tant que vous le faites loin de nous. [02:55:40] Speaker B: Je tiens à rappeler à tout le monde que nous avons des pages YouTube, je sais que je le répète très souvent, mais plus vous serez nombreux, mieux ce sera. Et je tiens à vous remercier aussi puisque nous avons passé la barre des 3000 abonnés sur le YouTube de BengBeng. [02:55:52] Speaker D: C'est ça. Il y a encore beaucoup de gens qui regardent sans s'abonner. Si ça vous plaît, abonnez-vous, ça coûte rien, ça nous aide. [02:56:01] Speaker B: C'est ça. C'est comme une bonne participation pour qu'on aille de l'avant, il faut cliquer sur follow. [02:56:07] Speaker C: Ça nous donne du soutien et de la street cred. Voilà. [02:56:11] Speaker B: Exactement, c'est surtout pour ça. [02:56:13] Speaker D: Enfin de la online cred, en l'occurrence. [02:56:17] Speaker C: Et mine de rien, c'est très important. [02:56:18] Speaker B: Merci beaucoup Enjoy The Noise pour toutes ces informations, ce savoir, encore une fois, vous êtes magnifiques, et qu'il est beau en plus. Un super beau mec. [02:56:25] Speaker D: BG. BG de ouf. [02:56:28] Speaker B: Ben, toi aussi, tu es un super beau mec. Ceci, on m'a dit, je ne sais pas si ça se dit à l'antenne, mais on m'a dit, quand je regarde, je suis hypnotisé par ses yeux et ses mains qui ont l'air tellement belles et douces. C'est des femmes qui m'ont dit ça, et j'ai dit, c'est bizarre. Je n'ai pas répondu. J'ai juste dit que j'allais passer le message. C'est joli, c'est gentil en moins. [02:56:52] Speaker D: C'est vrai que j'ai les mains douces, mais... Voilà. Moi, il y a quelqu'un qui m'a dit... [02:56:58] Speaker B: Il y a quelqu'un qui m'a dit... [02:57:00] Speaker D: J'étais en concert, il y a quelqu'un qui est venu me parler, qui m'a fait... Allons, j'ai trop envie de prendre de la coke, alors du coup j'attends devant les chutes pour voir s'il n'y a pas quelqu'un qui peut acheter une petite trace. C'est pas moi. [02:57:09] Speaker B: Attention, c'est pas moi. [02:57:10] Speaker D: Ah non, c'était une femme. Non mais voilà, comme quoi on entend chacun des trucs en soirée. [02:57:14] Speaker C: C'est un autre type de compliment, bon voilà. [02:57:16] Speaker D: Je suis pas sûr que c'était un compliment. Je suis pas sûr d'ailleurs que ça avait... Je sais pas pourquoi on m'a dit ça moi. [02:57:22] Speaker B: Ah bah moi j'étais à côté de toi et j'avoue que j'ai éclaté de rire, je me suis dit mais what the hell, qu'est-ce que c'est que ce délire ? [02:57:27] Speaker C: En tout cas c'est quelqu'un qui s'est senti en confiance et qui t'a estimé être une belle personne au point de te confier ça. [02:57:39] Speaker D: Je pense plutôt que c'était quelqu'un qui était dans un état tel qu'elle a fait confiance à tout le club pour essayer de trouver cette substance. [02:57:48] Speaker C: Peut-être qu'il y avait beaucoup de belles. [02:57:49] Speaker D: Personnes dans ce club. [02:57:51] Speaker B: Évidemment ne pas consommer et l'alcool il faut faire attention aussi à boire avec beaucoup de modération. L'alcool est une drogue comme les autres. Exactement. Encore une fois merci, je vous souhaite à toutes et à tous une excellente semaine, bon courage, je sais qu'il fait moche, je sais que le boulot c'est chiant, mais n'empêche que vous avez tous les dimanches la récompense, c'est bing bing, voilà. Parlez-en autour de vous, si vous aimez le métal, on est des passionnés, et voilà, ensemble c'est toujours mieux. [02:58:17] Speaker C: Et entre nous, est-ce que vous préfériez Michel Drucker ? Je ne crois pas. [02:58:21] Speaker B: Non, de toute façon ça j'en suis certain. Je termine cette émission avec toujours une découverte française. On m'envoie des clips, n'hésitez pas à le faire si vous avez un groupe, quel que soit son niveau. Vous m'envoyez des clips via Instagram, le Restless Radio, l'habituel, celui que vous connaissez normalement. Et vous envoyez ça, je les regarde, et il y en a un qui est pris au hasard et que je diffuse. Ça plaît, ça plaît pas, mais en tout cas, ce qui est certain, c'est que je suis content de pouvoir mettre en avant des artistes qui ne le sont pas forcément, facilement, voilà. Et là, ça s'appelle Très Amère. Alors, c'est pas du tout alternative rock. [02:58:55] Speaker D: 13 en chiffre romain, et amer comme l'amertume. [02:59:00] Speaker B: Exactement. Le titre s'appelle Le Sable, c'est chanté en français. Vous allez voir, c'est assez particulier, mais je trouve ça plutôt cool. [02:59:06] Speaker D: J'aime le post-punk, donc... [02:59:10] Speaker B: C'est vrai que j'ai pas fait attention si c'était ces paroles-là. Peut-être que c'est une reprise. Non, je ne pense pas. Mais le morceau est sympa. Mais voilà, c'est un style très particulier, mais je l'applaudis et je félicite. Et j'avais envie de partager ça avec vous. Des gros bisous. Je vais m'arrêter là, parce que sinon ça va être chiant. [02:59:23] Speaker D: Oh bah ça l'est déjà. [02:59:26] Speaker A: Love love, on vous aime, passez du. [02:59:48] Speaker C: Bon temps, vivez le rock'n'roll, bonne semaine ! L'humeur est vorace Je me balade sur la grève J'observe les amers J'ai perdu mes peurs et mes pleurs J'ai tout jeté dans la mer Hier, j'étais dans la merde Demain, je serai ton avenir Bébé, pourquoi souffrir ? Je ne veux que m'ouvrir On se fait des confidences Mais la fuite, c'est que de la science Je sais que j'ai touché la grâce Dès le matin, je fume la grâce Téléphone comme des glaces On sentit le futur s'effacer Mais j'ai faibli sans pas Et croisé mes semblables Y'a des humains sympas Mais certains sont défables J'écoute cent fois, j'recompte le sable Dans l'vide j'abois mes sables, sables J'écoute cent fois, j'recompte le sable Dans. [03:00:31] Speaker B: L'Vide j'abois mes sables, sables J'écoute cent fois, j'recompte le sable Dans l'vide j'abois. [03:00:38] Speaker C: Mes sables, sables J'écoute sans voix, j'reconge le sable Dans l'vide j'abois mes sables sables J'entrevois, j'aperçois Je navigue en nos troubles Y'a des doutes, c'est normal Et j'écoute les sans voix J'entrevois, j'aperçois Je navigue en nos troubles Y'a des doutes, c'est normal Et j'écoute les sans voix J'écoute cent fois, j'recompte le sable Dans l'vide j'abois mes sables, sables J'écoute cent. [03:01:16] Speaker B: Fois, j'recompte le sable Dans l'vide j'abois. [03:01:20] Speaker C: Mes sables, sables J'écoute cent fois, j'recompte le sable Dans l'vide j'abois mes sables, sables J'écoute cent fois, j'recompte le sable Dans l'vide j'abois mes sables, sables. [03:02:09] Speaker B: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. N'hésitez pas à vous abonner.

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