#52 - LLAMALAVALAMP en invité.

Episode 52 June 14, 2024 03:25:47
#52 - LLAMALAVALAMP en invité.
Bang!Bang! RSTLSS
#52 - LLAMALAVALAMP en invité.

Jun 14 2024 | 03:25:47

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Show Notes

Lorsqu’on parle de Metal, on imagine toujours une petite communauté, mais en vérité, nous sommes nombreux, même en France ou nous sommes probablement plusieurs millions. Du coup, on aime a recevoir des acteurs de cette musique et là, c’est LLAMALAVALAMP qui nous a fait le plaisir de venir de Belgique. C’est un Youtubeur qui nous apprend des choses en retrascant l’histoire d’un groupe, mais c’est aussi un musicien et un artiste globalement. Il est venu nous raconter comment tout ça a commencé et ce qu’il en est aujourd’hui : PASSIONNANT !

Ben, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:15] Speaker A: BANG BANG ! Bienvenue les bangers dans l'émission Dominical, le live Twitch du dimanche. C'est quoi, métal, alternative rock, ça fait du bruit, c'est extrême et c'est beaucoup de conneries. Bonsoir Ben. [00:00:30] Speaker B: Bonsoir Pierre. [00:00:31] Speaker A: J'espère que les bangers sont heureux aujourd'hui, même si c'est une journée un peu spéciale. [00:00:35] Speaker B: Car il y a du soleil. [00:00:36] Speaker A: C'est ça, il fait beau. Profitez-en ! Non mais voilà, c'est une journée particulière donc on est là pour vous soulager un petit peu, vous relaxer. Bah excuse-moi, tu connais mon coup d'âme ? [00:00:48] Speaker B: Ton amour pour le soulagement ? Je le connais bien, oui. [00:00:51] Speaker A: La tendresse de mes doigts. [00:00:52] Speaker B: Malheureusement. [00:00:55] Speaker A: Ce soir, nous avons un invité qu'on aime beaucoup. [00:00:57] Speaker B: C'est vrai ? [00:00:57] Speaker A: Ah ouais, on l'aime beaucoup. [00:00:58] Speaker B: C'est qui attends ? Laisse-moi deviner. [00:01:00] Speaker A: Vas-y, vas-y. [00:01:02] Speaker B: Jean-Marie Bigard ? [00:01:03] Speaker A: Putain, quel horreur ! [00:01:05] Speaker B: J'ai vu, maintenant il fait des pubs pour les... Putain, je m'attendais à tout sauf un putain de... En plus, maintenant il fait des pubs pour les trucs pour se laver le cul. [00:01:13] Speaker A: Bon, très bien, ce soir, notre invité, c'est... Lama Lama Lampa ! [00:01:20] Speaker C: Ouais ! [00:01:21] Speaker B: Ah, c'est bien mieux que Jean-Marc Bigard ! [00:01:22] Speaker A: C'est quand même vachement mieux, ouais. [00:01:24] Speaker D: T'as regardé la production ? Je suis sûr, il est ravi d'être venu, déjà. [00:01:26] Speaker C: Je sais pas comment le prendre, mais ok. [00:01:28] Speaker A: Non, il faut pas répondre, on a. [00:01:30] Speaker B: Dit que c'était mieux. [00:01:30] Speaker C: J'ai déjà passé votre chose. [00:01:32] Speaker B: On a dit que c'était mieux. C'est bien, c'est mieux. [00:01:35] Speaker A: Bienvenue à toi. Merci. J'espère que la journée a été bonne et que tu es content quand même d'être ici. [00:01:40] Speaker C: Oui, avec plaisir. C'est vraiment cool d'arriver sur Paris, d'être accueilli ici, c'est cool. [00:01:45] Speaker A: On est accompagné, bien sûr, de notre meuble. Jean-Marie Bigard, pour vous servir. Tout simplement, enjoy the noise. J'espère que tu vas bien aussi. [00:01:53] Speaker D: Bah oui, ça va, il fait beau. Ça fait du bien après beaucoup de temps de merde à Paris. [00:01:58] Speaker A: J'en connais un qui va rentrer à pied. en pleine nuit, comme ça, avec ses playlists. Dis-moi, ma première question, elle est simple, c'est comment on dit vraiment ton nom ? C'est-à-dire qu'en fait, tout le monde m'a corrigé, mais personne n'a dit la même chose. Donc j'ai eu même des versions, je me suis dit, comment ils peuvent dire ça comme ça ? [00:02:16] Speaker C: Ouais, je sais, c'est un enfer, mais. [00:02:17] Speaker A: C'Est... Non, c'est pas un enfer, je veux ça. [00:02:19] Speaker C: À prononcer, c'est un enfer, ouais. Bah, c'est Lama Lava Lamp, quoi. [00:02:22] Speaker A: Ah, c'est tout simplement. [00:02:23] Speaker C: En fait, les Américains, les Anglais disent... Enfin, écrivent Lama avec deux L. Et si vous voulez l'origine, il n'y a pas vraiment d'origine, c'était juste un pseudonyme créé aléatoirement. Ça n'a juste aucun sens en fait, ça n'avait aucun sens en fait avec une chaîne YouTube sur lequel metal, c'était juste un pseudonyme pour stream. [00:02:42] Speaker A: Il y a bien eu un truc qui est arrivé à un moment, c'était une soirée arrosée, parce que tu choisis ton pseudo, il y a quand même un truc. [00:02:49] Speaker C: Ouais mais c'était pas le pseudo à la base pour une chaîne YouTube. Oui c'était le pseudo de Ouais c'était un truc de gaming et puis après c'est venu pour du stream et puis après il y a eu la chaîne youtube et puis je me suis dit bon bah tant pis ça va être. [00:02:59] Speaker A: Ça le nom Oui en même temps c'est installé maintenant et tout le monde connaît ce nom, ça marche quand même plutôt pas mal pour toi ? [00:03:06] Speaker C: Ouais ça va. [00:03:06] Speaker A: Non mais c'est bien et comme je le disais, comme je l'ai répété, comme on me l'a dit lorsque j'ai dit que c'était toi notre invité, tu nous apprends beaucoup de choses, tu fais un travail qui est sérieux et ça, ça fait quand même plaisir. Bah merci. Nous on en a un qui fait ça, techniquement on en a un autre, bon bah au milieu... Moi je le. [00:03:21] Speaker B: Fais pas trop là. [00:03:22] Speaker D: Ouais tu sais c'est les gens qui viennent de YouTube, on commence sérieux et puis après on rencontre des gens comme vous. [00:03:28] Speaker A: Les gens de la radio, les gens de la FM, ceux qui sont un peu vieux et qui sont un peu concons. Ça fait depuis combien de temps que tu fais cette chaîne ? [00:03:38] Speaker C: Je pense que ça fait trois ans, quasi tout pile. Et avant, je faisais juste de la rediff d'interviews que je faisais avec des potes pendant le Covid, des interviews d'acteurs de la scène belge et tout, parce que je suis belge du coup. Ça a vraiment commencé il y a trois ans. La première vidéo, c'était Timeline Bring Me. qui est une catastrophe. Quand je la regarde, je... [00:03:59] Speaker A: C'est la première. [00:04:00] Speaker B: Ce qui est bien, c'est que tu peux la refaire aujourd'hui, il y a des nouveaux trucs à raconter. Comme ça, l'ancienne, tu peux la refaire. [00:04:05] Speaker C: C'est un truc que j'hésite un peu maintenant à me dire, est-ce que j'ai envie d'un petit peu dire, allez, je la jette, je la refais, et au moins je serai content de la revoir après, parce que là, pour l'instant, c'est un peu le premier rejeton que tu te dis, ouf, je l'avais pas... pas ouf, quoi. [00:04:18] Speaker D: C'est le premier enfant, tu te dis, bah, c'est le brouillon. [00:04:20] Speaker C: Le premier toujours raté, c'est comme les crêpes, quoi, le premier... [00:04:23] Speaker A: C'est ça, elle est toujours épaisse et puis elle colle un peu. Quand ça vient de ma bouche, effectivement, on imagine plein de saloperies. Il suffit de regarder mon bureau pour comprendre. On va commencer quand même avec une chanson puisque l'interview ce n'est pas maintenant, on est que dans le bonjour. Il y a eu un événement cette semaine. Il y a eu un événement où je suis allé, je ne pense pas que tu y sois allé, c'était le concert de Toul. [00:04:47] Speaker D: Non, je n'y étais pas. [00:04:48] Speaker A: Alors, qui a fait polémique évidemment de par ses tarifs, de par leur façon d'accueillir le public. Je sais pas ce que tu en penses, toi, de tout ça, du fait que tous fassent des concerts qui soient excessivement chers. [00:04:59] Speaker C: Je sais pas, c'était combien ? [00:04:59] Speaker A: C'était 75 euros quand t'es derrière le pilier au dernier étage de l'aréna. [00:05:03] Speaker C: Ah ouais, ok, ok. [00:05:05] Speaker A: Et quand t'es en bas, t'es plus dans les 200, 120. Je sais que dans les gradins hauts, c'était 120 euros et plus tu descendais, plus c'était cher. Et dans la fosse, tout le monde est assis. [00:05:14] Speaker C: Il n'y a vraiment aucun mouvement dans la foule ? [00:05:16] Speaker A: Après les gens se lèvent quand même parce qu'ils ont envie de se lever mais ils ne se déplacent pas, ils restent à leur place. [00:05:20] Speaker C: Du siège et tout ? Ah ouais, chaud. [00:05:22] Speaker B: En même temps, tous, c'est un peu chiant. Non mais bon, j'adore tout là. [00:05:26] Speaker A: On est fan, on est aussi fan. [00:05:28] Speaker B: Je suis archi fan, c'est pour ça que je critique. Surtout qu'ils jouaient plein de nouvelles chansons, donc forcément t'as pas trop envie de bouger. Par contre j'ai vu un truc, il y a un de nos auditeurs qui avait du coup les places pas chères, et en fait comme le truc de devant était pas plein, et que les places n'ont pas été vendues, la meuf de la sécu elle a ouvert la grille et elle a dit bah allez-y, rapprochez-vous. Du coup je pense qu'ils ont payé 70 balles mais qu'ils ont eu des places à 120 ou un truc comme ça quoi. Ce qui est sympa. [00:06:06] Speaker D: Il y en avait qui avaient quand même payé les 120 balles et qui se retrouvent logés à la même enseigne que ceux qui ont payé moins cher. Tant mieux pour eux j'ai envie de dire. Surclassement de dernière minute. [00:06:15] Speaker B: Après j'ai envie de dire, perdu pour perdu, les places, enfin je veux dire, à un moment, faut pas les connaître non plus quoi. [00:06:22] Speaker A: Mais ça c'est particulier, et c'est vrai qu'ils ont joué beaucoup du dernier album, il y a eu, c'est simple, il y a eu qu'une vieille chanson. Donc on est resté sur... Enfin vieille... Bah Stingfy c'est quand même... [00:06:30] Speaker B: Oui mais vieille, qui est déjà pas vieille vieille quoi. Premier album quoi, enfin deuxième album. [00:06:36] Speaker A: C'est ça, qui date, et un peu de l'âge. [00:06:38] Speaker D: Bon bref, c'est pas la préhistoire quoi. [00:06:40] Speaker B: Non mais je veux dire, il n'y avait pas des chansons de Undertow ou des trucs comme ça ? [00:06:45] Speaker A: Non, mais c'était la plume de la setlist. En tout cas, le son était extraordinaire. Par contre, ça on peut rien dire. Le groupe est mortel, ça joue, le batteur c'est quand même juste un ouf. Mais vraiment, c'est-à-dire que là, comme les chansons sont chiantes, t'as le temps de devoir jouer. Mais du coup lui il joue vraiment comme un ouf alors que t'as quand même Ménarne qui ne fout rien, Ménarne le chanteur donc, qui ne fout rien, qui se balade avec sa crête et puis qui de temps en temps a tenté de hausser la voix, à savoir qu'il a quand même fait des annonces dernièrement en disant j'ai plus de voix donc j'en ai marre. Les vieilles chansons c'est terminé. [00:07:18] Speaker C: C'est bien ça fait envie. [00:07:21] Speaker D: Surtout t'arrives au concert. [00:07:23] Speaker A: Tu peux faire les blagues plus fort ? [00:07:25] Speaker C: Jean Maynard. [00:07:26] Speaker B: Il faut que tu les assumes beaucoup plus ici. [00:07:28] Speaker C: Je sais pas, parce que normalement c'est vous qui faites ça. [00:07:30] Speaker A: Ah bah non, tu peux le critiquer aussi, tout le monde en est plein la gueule, ça fait partie du but. [00:07:34] Speaker B: Sache que nous aussi, si on peut ne rien faire, on est pour. [00:07:38] Speaker C: On anime, mais si vous voulez un petit peu travailler de votre côté... [00:07:41] Speaker A: Tu sais, comme ça on fait une micro-sieste, on dirige la caméra vers toi, nous. [00:07:44] Speaker B: Ça c'est déjà ce qu'il fait, mais... [00:07:45] Speaker A: Oui, tout le temps, je suis en micro-CS constant. Donc bref, toujours est-il que c'était quand même un très très bon concert, tout le monde était très heureux et que voilà, musicalement ça le fait et que j'espère que vous pourrez les voir une fois dans votre vie même si vous n'aimez pas parce que ça reste quand même du gros et du très très lourd et c'est agréable. Du coup j'ai choisi quand même le morceau qui a clos ce concert qui est Sting Fist. [00:08:06] Speaker B: Je crois qu'on dit qu'on a qui a clôtu. J'crois qu'on l'a compris, ouais. Attends, d'abord j'ai une question, t'aimes bien Tool, toi ? [00:08:13] Speaker C: Ouais, ouais, j'adore. Pas au point de dépenser 75 euros pour aller le voir, non. [00:08:19] Speaker B: Et t'as une période préférée ? Y'a des albums que t'aimes plus ou... T'aimes tout un peu ? [00:08:24] Speaker C: Lateralus. Vraiment. Mais c'est pas longtemps que j'ai pu vraiment réécouter. Bah oui, j'ai blindé et poncé ça quand j'avais 17 piges, quoi. [00:08:32] Speaker A: Parce qu'il est jeune, hein. [00:08:33] Speaker B: Ouais. Ah, c'était il y a deux ans ? [00:08:35] Speaker A: Pas si jeune que ça ! Tu veux qu'on te dise en quelle année on avait 17 ans ? Ah bah non ! Ça se demande pas aux jeunes dames, ok ? Allez mademoiselle ! On y va, on regarde donc ce clip de StingFist et restez avec nous parce qu'on aura des cadeaux à vous. [00:08:53] Speaker E: Offrir pendant cette émission ! Nothing seems to satisfy again Merci d'avoir regardé cette vidéo ! Musique du générique. [00:17:14] Speaker A: Et oui, vous ne rêvez pas, c'est bien ceux que vous avez vus, hein, de Jesus Lizard. Et oui, les Jesus Lizard qui reviennent si je ne m'abuse, après moultes années. [00:17:25] Speaker D: Après 26 ans sans album, je crois, Jesus Lizard. Gros, ils avaient fait une reformation, je crois, au début des années 2010, mais seulement pour quelques concerts. Là, ils annoncent un album qui va sortir cette année chez Hippie Cac. [00:17:37] Speaker A: Et pas autant d'années sans alcool, ça par contre... Où ça bonbon ? [00:17:41] Speaker B: Non, non, non, faut pas rêver. [00:17:43] Speaker D: Déjà, ils ont 60 piges, ils sont encore debout. [00:17:47] Speaker A: C'est quand même, il y a la pêche et le truc, ils ont gardé vraiment leur patte. [00:17:49] Speaker D: Non, pour des sexagénaires, ça tient encore bien la route. Ils sont vénères. [00:17:54] Speaker A: Donc on peut dire un ménarde, tu vois. Tu peux quand même t'énerver un peu. [00:17:57] Speaker C: Casser les bonbons. C'est pas 100 balles la place peut-être. [00:18:00] Speaker D: Ah non, je pense que c'est pas la même ambiance. [00:18:02] Speaker A: Le principe musical, c'est pas le même. [00:18:05] Speaker B: Je dirais juste une chose, hippie caquier, motherfucker. Vous avez compris, vous avez l'ARF. [00:18:12] Speaker C: Par rapport au label. [00:18:13] Speaker B: Dites-nous dans le schmulz si vous avez l'ARF. [00:18:16] Speaker A: Le titre de la chanson c'est Hide and Seek. [00:18:19] Speaker D: Et l'album qui va sortir normalement le 13 septembre, si j'ai bien retenu, va s'appeler R.A.C.K. Ils n'avaient pas sorti d'album depuis 1998, histoire de faire un petit raccord avec une autre actualité un peu récente. Ils avaient avant ça 4 albums qui étaient produits par Steve Albini, qui nous a quittés malheureusement. qui les avaient accompagnés sur leur début de carrière. Mine de rien, The Jesus Lizard, c'était un nom important de la scène alt-américaine de l'époque, avec les Nirvana, Sonic Youth, Foghezi, etc. Ils baignaient là-dedans, ils reviennent. On ne les attendait pas, mais ils sont là. [00:19:02] Speaker A: T'as fait un petit choix de diffuser ça aussi par rapport à ce qu'il se passe aujourd'hui ? [00:19:06] Speaker D: Non, pas spécialement, non. [00:19:07] Speaker A: Vous étiez quand même aussi assez politisé, c'est-à-dire dans l'idée de lutter contre les... [00:19:15] Speaker D: Les inégalités. [00:19:15] Speaker A: Les inégalités, merci. Bah excuse-moi, c'est mon repas de ce midi. [00:19:21] Speaker B: Je préfère pas savoir ce que c'était. [00:19:28] Speaker A: Bref, Llama Lamp est notre invité. [00:19:32] Speaker B: Lama. [00:19:32] Speaker A: Lama, pardon, Lama. Il faut que je m'y habitue. [00:19:35] Speaker B: Il n'est pas espagnol. [00:19:35] Speaker A: Si je te dis que Lama, ça va ? [00:19:37] Speaker C: Oui Lama, c'est bien. [00:19:38] Speaker B: Et que Lama Lamp. [00:19:39] Speaker C: Simple. Lui il m'appelle Monsieur Lamp, Baccarède. [00:19:44] Speaker A: C'est mignon. C'est gentil. A quel moment tu as commencé à écouter du rock ? Qui t'a amené l'envie d'écouter du rock ? Et qu'est-ce que ça t'a procuré ? [00:19:56] Speaker C: Bah moi je suis un enfant des 90's donc c'était encore à l'époque où il y avait des trucs sur MTV, MCM et tout. et donc ouais quand tu finis par juste rester un peu trop dans la télé puis à un moment tu zappes et tu tombes sur du Linkin Park, Deftones, Slim Biscuit et tout et tu dis oh putain c'est quoi ça et tu commences à creuser un petit peu là il commençait à y avoir l'air internet qui arrivait donc je commençais à creuser essayer de trouver des téléchargements essayer de trouver des moyens de découvrir d'autres groupes Légalement. Légalement, totalement légalement. [00:20:23] Speaker A: Oui, bien sûr, comme tout le monde. [00:20:24] Speaker C: Et puis voilà, je suis totalement tombé dedans. Au fur et à mesure, je commençais à acheter un album, deux albums, trois albums, aller à des concerts et tout. [00:20:30] Speaker A: Donc c'est vraiment juste les médias qui t'ont fait des courses. [00:20:33] Speaker C: Ouais, clairement. [00:20:34] Speaker A: Dans la famille, il n'y avait personne qui écoutait du rock ? [00:20:36] Speaker C: Non, pas vraiment. J'ai une grande sœur, mais elle écoutait plus tout ce qui était... Elle sortait de l'époque grunge, elle a 10 ans de moins que moi. Elle écoutait quand même du grunge. Elle écoutait du grunge, mais c'était la fin du grunge. C'était... Elle a vécu la mort de Kurt Cobain, etc. Donc moi j'avais un petit peu entendu tout ça, mais ça ne m'avait pas attrapé. Pas autant que le new metal qui passait après. [00:20:56] Speaker A: Oui, bien sûr. Il y a quand même une base. Dans ta famille, il y a quand même ta sœur qui écoutait des trucs. [00:21:01] Speaker C: Un peu... Oui, vite fait, mais ce n'était pas du fanatisme. C'était vraiment envie de faire un petit passage de l'adolescence qui était dedans. [00:21:07] Speaker B: Au moins, ça veut dire que tu n'avais pas des parents qui étaient un peu contre ce genre de musique ? [00:21:11] Speaker C: Ni pour ni contre, mais quand je commençais à aller un peu trop à des concerts et des machins, ils m'ont fait « ça casse un peu les couilles ton truc là ». Mais sinon, c'était vraiment de l'envie de creuser via la télé et après sur l'internet. [00:21:26] Speaker A: Les parents ont aimé la musique quand même ? [00:21:28] Speaker C: Ouais, mais plus de la variété, mais ils n'étaient pas contre du rock et du métal, mais quand j'ai commencé à passer à du skate note et de plus en plus de trucs un peu plus durs, ça a commencé à être un peu plus dur, à être accepté. [00:21:41] Speaker A: Tu vis en appartement ou maison ? Je sais que c'est bizarre comme question. [00:21:43] Speaker C: Moi c'était à la campagne, j'ai grandi à la campagne donc c'était à la maison, je mettais le son bien fort quoi. [00:21:48] Speaker A: Non parce que c'est important mine de. [00:21:49] Speaker C: Rien, quand t'es gamin et que tu. [00:21:50] Speaker A: Fous le son à blinde, t'as quand même ce truc qui te rend ouf. T'as plein d'envie de te dépenser, de tout défoncer en vrai. [00:21:57] Speaker C: Moi j'ai un souvenir, je devais avoir 15 piges, il y avait un concert live de Limp Bizkit et j'étais avec un pote qui lui écoutait pas vraiment ça et on était à fond devant le concert et avec les leçons à fond de balle alors qu'il est 23h. C'est sur MTV, c'était un concert de Rock'n'Ring, un truc comme ça tu vois. Et c'était à l'époque où genre il y avait « Results May Vary » qui venait de sortir, tu vois, donc... Il y avait encore des bons morceaux et tout, puis après les musquettes ont commencé à disparaître un petit peu. [00:22:21] Speaker B: Mais du coup, il n'y avait déjà plus Wes Borland ? [00:22:22] Speaker C: Il n'y avait plus Wes Borland, non. Je l'avais vu dans les clips et. [00:22:25] Speaker D: Tout, et j'étais pas « Oh, il. [00:22:26] Speaker B: Est où, mon ? ». [00:22:27] Speaker A: Il est où le monsieur qui met plein de trucs sur lui, là ? [00:22:30] Speaker D: Il est où le monsieur tout peinturluré, là ? [00:22:33] Speaker A: Le barge, mais qui n'est pas si barge que ça, finalement. Bon. [00:22:35] Speaker B: Je. [00:22:38] Speaker A: Vais m'arrêter là. [00:22:39] Speaker B: Je n'ai pas envie de parler, en ce moment. [00:22:41] Speaker A: Je ne sais pas où t'allais. [00:22:43] Speaker B: Non mais il est très intéressant. [00:22:46] Speaker A: Il est très très intéressant. Il a fait une fac de musique en Floride et puis il a fait plein de trucs d'art et tout ça. Donc c'est plus l'hibiscuit Linkin Park. Du coup tes potes, tu dis, t'en avais un qui était ton meilleur pote qui était là pour voir ce concert, mais tes potes autour de toi, tu les incitais à écouter cette musique ? [00:23:06] Speaker C: Ouais j'ai essayé de faire un petit peu... après j'en ai trouvé de plus en plus et puis j'ai bougé à la capitale et là il y avait beaucoup plus de gens qui écoutaient ce style de musique et j'ai commencé à rentrer dans des groupes, j'ai commencé à traîner plus dans des scènes qui grandissaient. Moi j'ai joué dans pas mal de groupes qui étaient plus metalcore, discore, hardcore, etc. Et voilà au fur et à mesure j'ai commencé à m'intéresser à de plus en plus de styles différents et voilà quoi. [00:23:30] Speaker B: Moi j'ai une petite question, du coup tu fais de la musique, tu joues de la guitare, et t'as commencé très tôt. [00:23:37] Speaker C: Quasi en même temps, tu vois des gens jouer de la guitare. C'est ça qui t'a fait switcher un peu ? En même temps. Tu vois des gars jouer des trucs qui sonnaient pas. habituellement sur des chaînes grand public ou bien à la radio, des trucs qui ne m'intéressaient pas vraiment. C'était pour moi trop connoté sur du vieux rock, du blues, etc. Et là je vois des trucs que j'avais jamais entendus en fait à la guitare avec le nu metal et ça m'avait vraiment posé des questions en mode on peut faire vraiment beaucoup de rythmique, on peut commencer à jouer sur d'autres sonorités, la disto elle sonne pas comme sur des trucs à l'ancienne avec tout ce que mes parents écoutent tu vois. Et donc j'ai vraiment demandé à ce moment-là, je peux avoir une guitare s'il vous plaît ? Je veux une guitare, genre un truc, un gros ampli et tout quoi. [00:24:24] Speaker B: Et du coup t'as eu la guitare et après tu t'es dit, ah mais ça sonne pas vraiment pareil non plus. [00:24:27] Speaker C: Ah oui, il faut commencer à d'étudier, il faut une pédale en plus, il faut du matos et de l'argent. Et après c'est le gouffre, c'est le gouffre qui arrive. [00:24:35] Speaker A: C'était le début. [00:24:36] Speaker C: C'est là aussi où les parents font, bon, c'est la guerre. Non seulement tu sors tout le temps, mais en plus tu nous demandes plein d'argent pour acheter des amplis. T'as pas envie de t'intéresser à l'agriculture, un truc plus simple ? [00:24:51] Speaker A: Fais pousser les tomates ! L'un n'empêche pas l'autre, ceci dit, on peut très bien être agriculteur et faire du rock, c'est pas interdit. [00:24:58] Speaker B: Non, c'est sûr. [00:24:59] Speaker A: On n'en a pas encore rencontré. [00:25:00] Speaker B: Peut-être qu'en Belgique c'est interdit, on n'est pas au courant. [00:25:04] Speaker A: Ah, peut-être. Après la Belgique c'est particulier, mais je pense que c'est quand même plus le pays du rock que la France. [00:25:10] Speaker B: C'est vrai. [00:25:10] Speaker A: Après est-ce que c'est le pays des agriculteurs, je sais pas. [00:25:13] Speaker B: Ah si, il y a des énormes groupes quand même en Belgique. [00:25:16] Speaker C: Ouais, après ça c'est encore un autre sujet. En Belgique c'est compliqué quoi. Il y a 3 millions de francophones et environ 7 millions de flamands. La culture est très différente. Bruxelles est dans la Flandre. Du coup Bruxelles est un petit peu une enclave francophone en Flandre. et donc c'est très compliqué. Vraiment le métal résonne beaucoup plus chez les flamands que chez les francophones. Tu vas trouver des métals francophones, il n'y a pas de problème, mais je veux dire vraiment les gros groupes que tu connais à mon avis belges, ils sont flamands, et les grosses scènes sont flamandes, les grosses salles là où viennent les groupes quand ils sont entournés. Tu peux imaginer n'importe quel groupe, généralement ils vont venir à Anvers ou ils vont venir dans le nord du pays. [00:26:00] Speaker A: Mais du coup on ne peut pas parler de belges juste ? Ça reste des groupes belges. [00:26:04] Speaker C: C'est pour ça que je te dis que c'est compliqué. Tu peux pas dire que la scène c'est de la scène belge. C'est pas aussi homogène que si tu dirais la scène française. [00:26:13] Speaker A: Oui, mais d'accord, il y a quand même des groupes à Marseille, mais on nous appelle comme ça. On dit quand même des groupes français. Tu vois ce que je veux dire ? [00:26:19] Speaker B: Oui, mais à Marseille, ils parlent la même langue que toi. Ils parlent la même culture que toi. J'ai pas la même culture, mais... [00:26:24] Speaker D: Ils parlent un français bizarre, mais un français quand même. [00:26:26] Speaker A: Bon, merde. [00:26:27] Speaker B: Bah tu le dis, tu le dis. [00:26:29] Speaker A: Je suis de là-bas, ok ? Et non, je ne dirais pas ça. [00:26:35] Speaker B: Et bah tu le dis. [00:26:36] Speaker A: Je le dis, je suis comme un cervet. Il y a des guitaristes, un guitariste en particulier qui te rend ouf, qui t'a vraiment fasciné, qui t'a nourri. [00:26:48] Speaker C: Un guitariste ? Moi je n'ai jamais été vraiment... [00:26:50] Speaker B: Alors tu sais, je ne crois pas qu'il l'ait rencontré à l'époque et qu'il lui ait donné à manger des sandwichs. [00:26:53] Speaker C: Qui manouche. [00:26:54] Speaker A: Allez vas-y, je te donne un triangle. Ah putain c'est cool, merci. [00:26:58] Speaker B: Ah tu me rends fou. [00:26:59] Speaker C: Non, je ne sais pas. Moi j'étais beaucoup dans le visuel, je pense, quand t'es ado, tu vois, donc t'aimes bien l'attitude, t'aimes bien la guitare qui est stylée, t'aimes bien les trucs comme ça. Et dans le nu metal, bah ça pour ça t'étais régalé quoi, tous les guitaristes avaient une attitude et un truc... Déjà il y avait, genre Linkin Park c'était la PRS, t'avais West Borland, c'était soit de la Ibanez au début, puis après il s'est fiché sur d'autres marques, il y a eu un moment... C'était quoi ? Chez Yamaha, il avait une signature. En fait, chaque guitariste avait vraiment une attitude et quand t'es ados, t'es en train de dire « putain, moi aussi je veux avoir ma guitare, je veux avoir mon truc et tout ». Mais j'étais pas un guitariste technique, je voulais pas, j'étais pas obsédé par un truc en mode lui il fait de la technique, il fait du solo, etc. [00:27:37] Speaker A: Tu voulais avoir le style. [00:27:38] Speaker C: Je voulais être un guitariste, je ne voulais pas être un gars technique. [00:27:43] Speaker A: En vrai c'est énorme que tu dises ce genre de phrases parce que c'est quand même très très rare que les gens avouent ça. Il y a beaucoup d'artistes qu'on reçoit qui disent moi c'était la créativité. [00:27:51] Speaker C: Après j'ai changé, j'ai commencé à écouter du prog et tout, j'ai commencé à vouloir faire des trucs plus techniques. [00:27:55] Speaker A: Je me doute bien, mais c'est naturel quand on a enfant de vouloir avoir. [00:27:59] Speaker C: Un style et de créer un personnage. [00:28:01] Speaker B: Je pense que c'est aussi un style de musique qui t'aide à vouloir faire un truc, enfin je veux dire, l'intérêt du truc du néo, c'est ce côté un peu syncopé, où c'est presque plus rythmique que mélodique. [00:28:13] Speaker D: Le côté où le son te procure une vibration en fait, plus que vraiment une recherche mélodique poussée, c'est plus viscéral quelque part. [00:28:23] Speaker C: Clairement. [00:28:24] Speaker A: Bon et du coup tu parles de Limbisky, t'as parlé de plein de choses mais Deftones... Deftones c'est juste après et. [00:28:33] Speaker C: Deftones en fait m'a fait un switch quand j'étais ado en me disant tout ce que j'écoutais jusque là c'était énervé, c'était un peu angoissant, c'était un petit peu vraiment un truc où il fallait se défouler et Deftones dès que c'était passé à la télé du coup à ce moment là quand j'ai découvert je me suis dit Waouh, là j'ai l'impression de planer, j'ai l'impression d'écouter un truc qui pourrait être plus dans l'atmosphère, plus proche d'un truc genre le reggae ou des trucs comme ça, très happy, très relaxant. [00:28:56] Speaker B: Attention à ce que tu dis quand même. Non parce que Deftones c'est le reggae dans la même phrase. [00:29:00] Speaker C: Je parle de l'effet que ça peut procurer. [00:29:02] Speaker D: Fais bien gaffe ! [00:29:02] Speaker C: Quand t'as pas de repères, quand t'es à dos. [00:29:04] Speaker A: Il y en avait un qui avait des dreads, ceci dit. [00:29:08] Speaker B: Bon c'est vrai. [00:29:09] Speaker A: Après... Non, faites pas cette blague. Il y avait des séries les marmots. Arrest in peace. C'est horrible de dire ça, je sais bien, mais on l'aimait. [00:29:22] Speaker C: Donc voilà, c'était vraiment le côté happy, tout d'un coup mêlé à du métal, et je pense que c'est encore... peu présents dans le métal, d'avoir vraiment une fusion de sentiments heureux et en plus un côté vraiment énergique et un peu violent. [00:29:37] Speaker B: Toi tu trouves que Deftones c'est heureux ? [00:29:39] Speaker C: Non mais le morceau que du coup j'ai envoyé par exemple, pour moi il représente ça quoi. [00:29:43] Speaker B: Ok, ok, ok. Non mais moi je trouve qu'il y a un truc plus introspectif en fait dans Deftones. D'ailleurs je pense que c'est ça qui a fait qu'ils étaient un peu l'ovni du néo-métal. C'est-à-dire qu'ils se sont retrouvés catalogués là-dedans. [00:29:55] Speaker C: Mais au final... Et ils ont toujours détesté ça. [00:29:56] Speaker B: Ouais, ouais. Surtout qu'ils n'ont pas pris les millions comme les autres. [00:30:00] Speaker C: Mais du coup ils n'en voulaient pas de toute façon. [00:30:05] Speaker B: Je suis tombé sur une interview de Chino Moreno. où justement ça revient sur le fait du moment où Limbiskit ils sont partis sur la stratosphère en faisant Mission Impossible et que eux, non. Genre limite c'était le moment où c'était un peu le creux de la vague pour eux. Bon ben il dit que maintenant il est content, mais qu'à l'époque il était dégoûté. Ah ouais ? [00:30:31] Speaker D: Ouais. Bah attends... [00:30:34] Speaker A: Il y avait la sensation de remonter le coche ? C'est ça un peu... [00:30:36] Speaker C: C'est pour ça qu'ils avaient sorti Back to School, parce que le label leur avait demandé à ce moment-là d'essayer de sortir un petit peu un bon tube bien numérique. [00:30:42] Speaker D: Levez un putain de single ! [00:30:43] Speaker C: Ouais, sortez-moi un putain de single ! [00:30:44] Speaker A: Non mais il est bien ce single. [00:30:45] Speaker C: Bah ouais, il est bien, mais tout ce qu'il y a à renforcer quoi. [00:30:48] Speaker B: Ouais, mais qu'il n'était pas sur l'album initial quoi. [00:30:51] Speaker A: Ouais. [00:30:52] Speaker B: Enfin, en version Redux quoi. [00:30:53] Speaker A: Bon, il n'y a que moi qui aime la musique commerciale en fait donc. [00:30:56] Speaker B: Non, non, mais moi j'adore... Moi j'adore, j'adore. [00:30:59] Speaker A: Moi je ne suis pas musicien. [00:31:00] Speaker C: Je pense que les meilleurs morceaux de Viptone n'ont pas été faits dans un but commercial. [00:31:04] Speaker A: Oui, non, c'est sûr. Après, je pense pas que... Ouais, je sais pas. [00:31:08] Speaker B: Je suis pas sûr. [00:31:08] Speaker A: Ça dépend de quel morceau. [00:31:09] Speaker B: De leur aveu. De leur aveu. De l'aveu de... Moi, j'avais discuté une fois avec... Je crois, je sais pas si j'ai pas déjà raconté cette anecdote. [00:31:17] Speaker A: Si, mais tu peux lui raconter, il la connaît pas. [00:31:19] Speaker B: Une fois, j'ai discuté avec Abe. C'était à la sortie de Diamond Eyes. Et... Abe Cunningham, donc le batteur de... Non, mais je dis pour les auditeurs. Toi, je me doute que tu... Et il disait que l'album qui était le moins sincère, c'était « Saturday Night Twist ». [00:31:37] Speaker C: Ça ne m'étonne pas. [00:31:38] Speaker B: Et parce qu'il me dit, il y a plein de trucs qu'on a faits, enfin déjà ils étaient moins ensemble, et il y a plein de trucs qui ont été faits en mode... on va le faire, on peut le faire sur un album, mais on ne pourra pas le faire en live. Il y a des lignes de chant qui sont impossibles, avec je ne sais pas combien de layers. [00:31:54] Speaker D: C'est le plus atmosphérique, c'est celui qui sera de toute manière le plus difficile à rendre en live dans un setup normal. [00:32:03] Speaker B: Et du coup, il disait que c'est pour ça aussi que Diamond Eyes, quand ils sont revenus avec Diamond Eyes, il y avait aussi le côté frustration de la perte de Chi et tout ça qui a intervenu. Ce qu'ils me disaient, c'est qu'ils avaient envie de retourner à un truc beaucoup plus... [00:32:19] Speaker A: Direct. [00:32:19] Speaker B: Direct, ouais, sincère. [00:32:21] Speaker A: Bon, n'empêche, le prochain album, on sait pas à quoi il va ressembler, mais peut-être que ça va revenir à quelque chose de plus doux. [00:32:25] Speaker B: Bah, non, apparemment, c'est parti pour être vénère, là. [00:32:28] Speaker A: Ah oui, encore plus. Ou que ce soit... Bah déjà, le. [00:32:31] Speaker C: Choix du producteur... Ça dépend de l'état du guitariste, quoi, parce que pour l'instant, t'es pas trop spinoffé. Ça dépend où il se trouve sur terre, en tout cas si il va. [00:32:39] Speaker A: Trop au bord, il risque de tomber. [00:32:41] Speaker C: Peut-être qu'il va avoir des dinosaures dans sa tête, je sais pas ce qu'il fait. [00:32:44] Speaker B: Peut-être qu'ils vont l'enfermer dans un studio sans weed pendant deux jours et le. [00:32:48] Speaker C: Mec, il va faire les riffs les. [00:32:50] Speaker B: Plus vénères de sa vie. [00:32:52] Speaker D: C'est vrai que c'est une bonne idée. C'est comme Devin Townsend quand il avait composé Alien de Strapping Young Lad, c'est comme c'est un bipolaire et il avait stoppé ses traitements juste pour composer l'album et du coup ça fait un truc ultra vénère. [00:33:03] Speaker A: Ok, bon ça ne se fait pas, si vous avez des traitements pour quoi que ce soit, il faut les prendre. Ça reste quand même très très important. [00:33:09] Speaker B: En tout cas, si vous arrêtez, ne tuez pas des gens. [00:33:12] Speaker A: Restez enfermés dans votre studio, ne tuez personne. Ça reste une règle globale. [00:33:17] Speaker C: Tuer les gens, c'est pas bien. [00:33:20] Speaker A: C'est pas bien. Allez, on regarde donc ce clip de Deftones, Be Quiet and Drive. Ça fait des souvenirs. On était jeunes, ou peut-être déjà un. [00:33:27] Speaker E: Peu vieux, non ? Ah ! [00:37:04] Speaker C: Papi. [00:37:30] Speaker E: Je suis trop profond, je fais croire Je sais que les démons m'ont toujours choisi Ils se déplacent et se déplacent, poussent de nouveau Ils essayent toujours de me consommer Je ne peux pas les laisser entrer, ils prennent tout de moi Ne me croyez pas, je n'ai rien cherché J'ai pas envie de m'endormir J'ai pas envie de m'endormir J'ai pas envie de m'endormir J'ai pas envie de m'endormir J'ai pas envie de m'endormir C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:39:50] Speaker C: Et. [00:39:50] Speaker E: Je suis forcée à confronter ce que j'ai devenu. Le silence crie si fort. J'ai mis mon corps devant le bas. J'ai besoin d'une nouvelle vie. [00:40:31] Speaker A: Encore un hommage à David Rayman ! Mais laissez-le dans son coin, le pauvre David ! [00:40:37] Speaker B: Tout le monde lui rend hommage, c'est bien. J'en se rends compte que c'est lui la colle qui tient le monde en place. [00:40:43] Speaker D: Avec sa tête de monsieur propre, oui. [00:40:47] Speaker B: Oh là là, on ne juge pas. [00:40:48] Speaker A: Les cheveux, ok ? Mais tu crois qu'on va lui rendre hommage aussi en portant des capes noires ? En cuir ! [00:40:57] Speaker B: Et c'est facile ! [00:40:59] Speaker A: Non mais très très bon morceau, elle est passée à travers la bâche de sécurité mais on lui dit à faire attention à ma popille s'il te plaît. [00:41:07] Speaker B: Ma petite popillette ! [00:41:08] Speaker A: Mais c'est surtout que comme on le disait en antenne, bon très très bon morceau, moi j'adore. Mais on sent que ça vient quand même de quelque part. [00:41:16] Speaker C: Merci Jordan Fisch et merci à Steph de Hex Fever qui est maintenant dans, je sais plus comment ça s'appelle, House quelque chose. [00:41:26] Speaker A: Qu'est-ce qu'on peut lui souhaiter à Popy que ça continue ? Moi j'en ai à fond, je pense que ça va continuer, elle est dans une bonne lancée. [00:41:33] Speaker B: Non mais le morceau est bien, après moi je trouve que ça perd un peu de... C'est plus aussi weird qu'avant quoi. [00:41:39] Speaker A: Ouais voilà. [00:41:39] Speaker C: Ça reste un morceau maintenant advenu adulte. Ah non c'est devenu un morceau bring me. [00:41:43] Speaker B: Ah ben c'est bring me à fond. [00:41:44] Speaker D: C'est un morceau très balisé là ce qu'on entend. [00:41:47] Speaker B: T'as presque l'impression d'entendre Oissex des fois quoi. Tu te dis juste qu'il mettrait un peu plus de saturation. [00:41:55] Speaker C: Elle a des popys au début. [00:41:56] Speaker B: Bah ça dans tous les morceaux ! J'attends qu'elle annonce que son nom de famille c'est Yet et ça sera parfait. [00:42:02] Speaker A: Oh super ! J'aime beaucoup mais... [00:42:06] Speaker B: Les popiettes, bien sûr ! Avec une petite sauce tomate, c'est délicieux ! [00:42:11] Speaker A: Est-ce que quand on voit ça, moi je suis fan de ce genre de choses donc je sais pas de... Ah. [00:42:15] Speaker B: Bah toi c'est parfait pour toi. [00:42:16] Speaker A: Ah bah alors là moi j'ai l'impression d'être de nouveau au lycée, je vais sortir mes Osiris, mon baguit qui tombait à peu près à mes genoux, on voyait mon cul, enfin mon caleçon à carreaux. [00:42:24] Speaker B: Moi je me souviens de ça. [00:42:25] Speaker A: Et puis mes dreadlocks. Mais j'ai envie, mais je me dis que c'est une période aussi où la musique avait commencé à basculer dans quelque chose que tout le monde critiquait en disant, aïe aïe aïe, attention, il commence à en avoir beaucoup trop et ça commence à partir en cacahuètes et... Après, est-ce que c'était une volonté des gens qui disaient ça de garder le métal pour eux ? Je ne sais pas. Mais tu parles des gatekeepers. On nous a dit qu'on était des gatekeepers, non ? [00:42:49] Speaker B: Moi je suis un gatekeeper. [00:42:51] Speaker A: J'ai essayé de trouver un t-shirt avec. [00:42:55] Speaker C: Protect Metalcore, mais je n'ai pas trouvé. [00:42:56] Speaker A: Voilà une marque de fringues. Ne la lancez pas, c'est ta vie, ok ? [00:43:01] Speaker B: En même temps, il a déjà un t-shirt de Metalcore. [00:43:05] Speaker A: Oui, je me doute. [00:43:06] Speaker B: On en parlera plus tard. [00:43:10] Speaker A: Non mais c'est une question. [00:43:12] Speaker B: Moi j'aime bien, j'aime bien, je trouve que c'est bien. Je veux dire, si les gens doivent entrer dans le métal avec ça, je trouve ça très très bien quoi. Enfin je veux dire, c'est mortel. [00:43:22] Speaker D: Faut bien rentrer quelque part de toute manière. Tout se rentrer par... Au moins à la maison. [00:43:26] Speaker A: Oui. [00:43:26] Speaker C: Tu savais en disant ça que... Non mais je... [00:43:29] Speaker A: Il était déjà prêt. [00:43:30] Speaker D: Il n'y a plus rien. [00:43:32] Speaker C: Tu dis un mot de toute façon. [00:43:33] Speaker D: Il n'y a rien de méthode, tu sais, je les pratique depuis un petit moment maintenant. [00:43:37] Speaker C: Stop. Non mais les groupes qui ouvrent un petit peu l'accès à la scène aux jeunes etc. c'est super important. C'est juste qu'il y a des vieux, comme on dit en Belgique, des vieux tiches qui sont omnibulés sur le fait qu'eux ils sont dedans depuis 15 ans et que c'est hors de question que des gens qui n'y connaissent rien commencent à toucher à mes bébés. Mais à un moment il faut un petit peu faire venir, amener des gens dans la scène quoi. [00:44:05] Speaker B: Moi je suis d'accord, je suis complètement d'accord avec toi. Après je trouve là, le seul truc qui est chiant c'est, alors je sais plus comment c'était fait, mais tu sais, c'est quand les gens commencent à s'intéresser à un truc et très vite, tu sais, la courbe de... une comparaison entre la courbe de ce qu'ils apprennent et ce qu'ils pensent connaître. Et en fait, je sais plus comment ça a un effet, mais du coup... [00:44:23] Speaker D: — Je vois la fameuse courbe, ouais. [00:44:25] Speaker B: — Et du coup, les gens, quand ils commencent à s'intéresser à un truc, ils ont l'impression de tout connaître et d'avoir la vérité absolue. Et moi, le seul truc qui me. [00:44:32] Speaker D: Dérange... — Alors qu'ils sont à 10% du sujet. [00:44:34] Speaker B: — Ouais. Le truc qui me dérange, c'est ces gens qui deviennent genre hyper extrêmes dans leurs propos et dans ce qu'ils pensent connaître des choses, alors qu'ils connaissent pas encore beaucoup de choses. Et c'est normal, mais... — On appelle. [00:44:47] Speaker D: Ça être déposeur, en fait. [00:44:48] Speaker B: Ouais, enfin, je ne sais pas si c'est form... [00:44:51] Speaker C: Il a dit le mot, il a dit le p-word. [00:44:54] Speaker B: Je ne sais pas s'ils le font forcément, tu vois, de manière consciente, parce qu'ils veulent briller. Je pense qu'ils sont persuadés d'avoir raison. Mais je trouve que nous, on avait eu ce truc avec Bad Omens où moi, j'avais juste fait une critique sur une pub Instagram où ça mettait un passage super vénère. Et quand tu écoutes l'album, ce passage est vraiment représentatif. C'est pas représentatif du truc, c'est dommage. [00:45:20] Speaker C: Ouais je comprends ça, mais en fait le truc c'est que maintenant Bad Omens ils sont bookés sur des festes très grand public. Mais on s'en fout en fait que la majorité des morceaux soient super accessibles. Il y a quand même un moment où ils vont en sortir un truc avec Circle Pit. [00:45:32] Speaker B: C'est pas ça que je dis, je suis très content du succès de Bad Omens. Et j'espère d'ailleurs que le chanteur va aller mieux puisqu'en ce moment... Du coup. [00:45:39] Speaker D: Ils sont plus bookés en festival. [00:45:41] Speaker B: Ils ont quand même annoncé des dates aux Etats-Unis. [00:45:45] Speaker C: Ils vont juste ne pas voyager à. [00:45:46] Speaker D: L'Autre bout du monde, on peut comprendre. [00:45:54] Speaker B: Moi ce que je trouve gênant c'est les fans qui découvrent Bad Omens et qui pensent tout connaître metal parce qu'ils connaissent Bad Omens et qui du coup commencent à tenir des propos un petit peu gênants et si t'as le malheur de leur dire non mais c'est pas vraiment ça, t'essaies d'amener un peu de nuance ça devient tout de suite des clashs incroyables. Et ça, je trouve ça gênant. Après, il faut que jeunesse se fasse. [00:46:16] Speaker A: C'est le succès, la rançon du succès. C'est-à-dire que t'as forcément une fanbase qui est forte et qui est très liée, qui s'accroche et qui connaissent ou qui connaissent pas, peu importe. C'est juste qu'ils se sentent blessés aussi par le... [00:46:27] Speaker B: Je pense que c'est pas le problème pour le groupe, c'est un problème des gens. Mais après, écoute... Attends, on dit un. [00:46:33] Speaker A: Truc sur Korn, je peux te dire que... Non, je les descends quand même. [00:46:37] Speaker B: Parce que maintenant tu sais ! Avec le temps ! [00:46:41] Speaker A: Je peux raconter plein de choses ! [00:46:43] Speaker B: Non mais après, le fait qu'il y ait de plus en plus de trucs, c'est très très bien ! [00:46:47] Speaker A: Bon en tout cas voilà, moi je trouve ça très très bien. Après moi j'ai toujours été pour qu'une musique marche. C'est-à-dire qu'à partir du moment où elle marche, pourquoi des gens qui n'y connaissent rien n'ont pas le droit de le faire, qu'ils le fassent et que ça fonctionne. Et c'est de la musique qu'on aime donc on lui souhaite le meilleur et surtout de la réussite. [00:47:02] Speaker B: En plus moi je l'aime bien Poppy depuis toujours. [00:47:04] Speaker A: Ma petite Poppyette. Bon. Quoi ? C'est le Flash Bang News ! Alors, on n'a pas d'argent donc on fait le jingle à la bouche. Sache-le, mon petit Ben, lorsque j'étais à Toul... [00:47:19] Speaker D: C'est la raison de ma surdité, ça pique à droite. [00:47:23] Speaker A: Sache-le, Ben, lorsque j'étais à Toul, j'étais installé et derrière moi, une personne a hurlé, c'est l'heure du Flash Bang News. Sérieux ? Et je me suis senti très mal à l'aise. Mais je lui fais d'énormes bisous parce que j'ai trouvé ça très rigolo. Mais en même temps, j'ai pas trop bougé. Puis il m'a recommencé donc je me suis tourné vers lui pour lui dire bonjour. Mais c'était très étrange parce que t'as Toul qui s'arrête parce qu'il y a un entracte donc tu peux aller faire. [00:47:46] Speaker B: Pipi et tout ça. [00:47:58] Speaker A: Bref, c'est le principe, tu connais probablement, c'est on donne des news, c'est juste là pour rigoler, c'est pas sérieux, ou. [00:48:07] Speaker B: On fait des blagues. Donc sens-toi bien libre de faire des blagues, de toute façon ce sera de notre faute, donc là ils font preuve. [00:48:20] Speaker A: Il y a quand même peut-être des limites. Non, on va commencer avec une news que vous avez sûrement vu passer, parce qu'on l'a mise sur notre site, mais je voulais en reparler. C'est la chanteuse de Pretty Reckless qui, lors d'un festival, elle était en live et il y a une chauve-souris qui s'est agrippée à sa cuisse et elle ne l'a pas captée. Et c'est le public qui a commencé à bader parce qu'ils ont commencé à flipper parce qu'elle a la batte, la chauve-souris. [00:48:40] Speaker B: J'ai pas le temps, j'ai pas le temps. [00:48:46] Speaker A: Je parle pas bien le français. C'est parce que j'ai un job à l'investissement SLS. [00:48:52] Speaker C: C'est l'heure de Flash Bang News. [00:48:59] Speaker A: Bref, elle avait cette putain de chauve-souris collée à elle, elle l'a pas captée jusqu'au moment où elle a vu que tout le monde lui montrait ses cuisses, donc elle se sentait quand même à l'aise. Elle s'est retournée, elle l'a vue, elle a flippé. Ça va, elle a quand même géré le truc. Il y a un mec qui... Lâche-moi ! Il y a les vidéos. Mais non, mais tout le monde aurait fait comme ça, toi. Et non, elle regarde, elle flippe, mais elle la touche pas. Et en fait, elle demande à une personne de venir s'en occuper pour pas qu'elle soit blessée. Moi, j'aurais badé tout petit, j'aurais envoyé chier le truc. Je respecte les animaux, mais... Et en fait, la chauve-souris lui a bouffé la cuisse. Donc elle a été soignée, elle est sous traitement. [00:49:34] Speaker B: Elle a devenu vampire. [00:49:35] Speaker A: Ah bon elle est déjà vampire un petit peu. [00:49:37] Speaker D: Elle est devenue Ozzy Osbourne. [00:49:38] Speaker A: Alors c'est ce que tout le monde a dit, tout le monde a dit, je croyais que c'était un coup des chauves-souris qui se vengent d'Ozzy Osbourne qui avait fait la tête d'une chauve-souris une fois. [00:49:46] Speaker C: Après c'est sûr parce que Pretty Reckless ils ont un délire un peu justement avec des imageries Tim Burton et tout quoi. [00:49:50] Speaker B: Ouais la musique est quand même plus soft. [00:49:53] Speaker C: Ouais c'est soft mais je dirais qu'ils sont un peu dans le délire. [00:49:55] Speaker B: Alors moi l'autre fois j'ai vu une vidéo d'un mec qui porte son enfant et qui va monter des marches et donc il tient son enfant comme ça et il y a un chat qui sort de dessous les marches qui s'accroche à son pantalon, le mec commence à. [00:50:07] Speaker A: Flipper et il balance le gosse. [00:50:13] Speaker B: Du coup bravo Taylor de ne pas avoir fait ça quoi. [00:50:16] Speaker A: C'est seulement du self-contrôle. C'est-à-dire que le père ne respecte pas son enfant, il respecte les animaux. [00:50:21] Speaker D: Je croyais que tu allais nous dire qu'il a pris l'enfant pour tabasser le chat. [00:50:24] Speaker B: Moi c'est ce que j'aurais fait, mais bon après... Logique. C'est pour ça que je ne m'autorise pas à avoir d'enfant. [00:50:31] Speaker A: Une guitare qui est en vente. Voilà, c'est une bonne information. Pour toi t'as combien ? Guitare acoustique Framus Utnani. Donc je ne sais pas comment on dit, je te le prononce comme je ne connais pas. [00:50:40] Speaker B: Je ne sais pas le français. [00:50:44] Speaker A: C'est une douze cordes de John Lennon, voilà, il a utilisé cette guitare-là au tout début des Beatles, et donc ils ont mis en vente cette guitare. Écoute, puisque je te donne une info. [00:50:53] Speaker B: Que j'ai lue, je... Et retranscribe sa pelle même. [00:50:55] Speaker A: Voilà, j'ai pas été vérifié, c'était écrit partout sur internet, j'ai dit ok, ça doit être vrai. Moi je fais confiance à Internet, après on m'a dit bon... [00:51:05] Speaker D: Tout est vrai sur Internet. [00:51:06] Speaker A: Je me suis inscrit à un truc, c'est QAnon, je sais pas trop, mais ça va être sympa. [00:51:10] Speaker C: Sur Reddit ? Sur Internet. [00:51:12] Speaker D: Sans t'inquiéter frère. [00:51:13] Speaker A: Non mais, votre avis à combien elle en vente cette guitare ? Ouf ! 12 millions. [00:51:17] Speaker C: Premus ils ont des trucs très chers. Donc à mon avis... 8000 ? [00:51:21] Speaker D: C'est celle de John Lennon. [00:51:22] Speaker A: C'est celle de John Lennon qui t'en vends. [00:51:24] Speaker C: Donc 12 millions, c'est celle qu'il a. [00:51:25] Speaker A: Utilisé au début de sa carrière. [00:51:26] Speaker D: Ouf ! Je sais pas, je fais 1 million par corde, 12 millions. [00:51:31] Speaker C: En moins. Un million. [00:51:33] Speaker A: Bon, il est un peu plus proche quand même. [00:51:36] Speaker B: Je ne joue pas parce que j'ai vu la réponse. [00:51:38] Speaker A: C'est 2,9 millions d'euros, dollars pardon. 500 000 de plus que la dernière vente de guitare la plus chère, c'était celle de Bruce Springsteen je crois. [00:51:52] Speaker B: Et ça va se trouver dans le. [00:51:53] Speaker A: Café de New York, donc si vous avez envie d'avoir, c'est super. [00:51:56] Speaker B: Tu préfères avoir une guitare de Bruce Springsteen ou de John Lennon ? [00:52:00] Speaker C: Elle vaut combien celle de Bruce Springsteen ? [00:52:02] Speaker B: 500 000 de moins ! [00:52:03] Speaker A: Bon celle de Lennon alors ! [00:52:06] Speaker C: Je suis pas fan de Framus. [00:52:09] Speaker A: J'y connais rien en guitare alors que tu me regardes... Bruce Springsteen c'est un. [00:52:12] Speaker C: Petit peu plus stylé, c'est un peu plus marrant. [00:52:14] Speaker B: Ouais mais j'écoute plus souvent du Bruce. [00:52:18] Speaker C: Springsteen que... Ah ouais ? [00:52:20] Speaker A: T'es moins champignon que... Ça me fait. [00:52:22] Speaker C: Plus marrer Bruce Springsteen ! [00:52:23] Speaker B: Toi t'es plus born in the USA quoi ! [00:52:29] Speaker A: Des news de Slipknot ! Au moins deux semaines ! Alors c'est pas eux qui en donnent, c'est une thérapeute qui a analysé tous les clips de Slipknot, qui s'est foutu devant, elle a tous les clips les uns après les autres, et deviné ce qu'elle en a déduit. C'est du métal ! [00:52:48] Speaker B: Ils ont une obsession avec la violence. [00:52:51] Speaker A: Ouais, voilà, pourquoi pas. Non, c'est une thérapeute quand même. [00:52:54] Speaker C: Ils ont des masques. [00:52:55] Speaker A: C'est une psychologue. [00:52:56] Speaker B: Elle a des yeux sur toi, pardon. [00:52:58] Speaker D: Un trouble de l'identité à cause des masques, je sais pas. [00:53:01] Speaker A: Et bien non, elle dit que c'est des gens équilibrés. Et que la preuve en est de par les histoires qu'ils racontent dans leurs chansons et que de dire ce genre de choses en thérapie, lorsqu'on arrive à dire ce genre de choses, c'est qu'on a franchi un cap et qu'on est en train de digérer le mal que ça a pu nous procurer. Bon, c'est elle qui le dit, après, on peut se foutre de sa gueule, y'a pas de problème. De toute façon, l'américaine, elle ne le verra jamais quand c'est au-dessus de sa gueule. Mais elle dit, en plus, si vous regardez bien, les masques changent selon le moment qu'ils traitent, le moment de leur mâle qu'ils traitent, c'est-à-dire de leur enfance ou quoi que ce soit. Selon les ips, selon les yeux plus ou moins ouverts, etc. Elle a fait une grosse analyse. Je fais un gros résumé, parce que c'est très long. Et je vous conseille d'aller le voir. [00:53:41] Speaker B: Elle n'est pas très intéressante ? [00:53:42] Speaker A: Si, elle s'appelle Taylor Palmby. [00:53:48] Speaker B: Je peux me permettre d'ajouter un petit truc sur Slipknot ? [00:53:50] Speaker A: Oui, vas-y. [00:53:51] Speaker B: J'ai vu la première interview de Eloy Casagrande depuis qu'il a rejoint Slipknot. Et dedans, il expliquait, parce qu'il y avait tout ce truc de comment il est parti de Sepultura et tout ça. Et en fait, dans l'interview, il dit, les mecs de Slipknot m'ont proposé de devenir membre de Slipknot. Il dit, dans Sepultura, je n'étais toujours pas membre de Sepultura, j'étais juste un musicien de session. Donc il a dit, ouais bah du coup, moi je me casse quoi. Non mais il a dit franchement depuis le temps, si j'avais été intégré au groupe, peut-être que j'aurais attendu pour partir. Mais là au final, les mecs depuis toutes ces années, ils m'ont pris pour acquis alors que j'étais juste payé à la tâche quoi. [00:54:42] Speaker D: Il était musicien de session depuis 12 ans en fait. [00:54:45] Speaker B: Exactement. Tu veux qu'on parle de Deftones ? C'est ce qui s'est passé avec Sergio Vega qui était à deux sessions depuis le début et quand il a demandé à intégrer le groupe, ils lui ont dit Casse-toi ! Adios ! Sachant que Frank Delgado, le DJ, a mis plus de 15 ans à rentrer dans le groupe. [00:55:09] Speaker C: Ah ouais ? Il n'était pas intégré directement ? [00:55:12] Speaker A: Non bah il fallait pas lui donner trop d'argent. [00:55:15] Speaker B: Ils ont décidé de le prendre à partir du moment où il a fait community manager, tu sais, ils mettent à faire des photos sur les morceaux où. [00:55:21] Speaker A: Il jouait pas, et du coup là. [00:55:22] Speaker B: Ils ont dit ok c'est bon tu peux le retourner. [00:55:24] Speaker A: Ok tu peux gagner 2000 balles, ça va. [00:55:26] Speaker C: Chris Barker c'était ça aussi, il avait pas été intégré directement au premier album qu'il avait fait avec Blink, et puis après il a été vraiment intégré. [00:55:33] Speaker A: Lui, il l'a pas attendu trop longtemps. [00:55:35] Speaker C: Je pense que je vais passer à côté de quelques millions. Je vais pas me demander s'il y a moyen de refaire un petit peu le contrat. [00:55:44] Speaker A: Sinon le guitariste de The Ghost Inside, Jack Johnson, il a choisi de rendre public ses propres plans annonçant donc son parcours de restauration capillaire. Il va en faire un documentaire, il va expliquer aux gens, avec certains produits, comment récupérer des cheveux. Je vous en parle parce que du coup ça m'intéresse. [00:56:03] Speaker B: Après c'est pas les mêmes raisons. Parce que eux c'est lié à l'accident qu'ils avaient eu je pense, pas au fait que c'est un quarantenaire qui a pas pris soin de... [00:56:13] Speaker A: Il en parle beaucoup comme ça aussi. Il dit je fais ça aussi pour que les gens qui perdent leurs cheveux puissent être rassurés, ça revient. Bon là il n'a pas encore fini donc bon il faut... Je pense qu'il va le voir avec des boursouflures sur la gueule et tout. Non mais peut-être qu'il va ouvrir un salon en Turquie, je sais pas. Bah attends, pourquoi pas ? The Ghost Inside ! Non ? Vous avez pas envie de faire pousser des cheveux ? [00:56:35] Speaker B: Non, bah moi je... Non. Moi j'assume. [00:56:37] Speaker A: Bah eux ils en ont trop. Regarde, ça me déchire la tête. [00:56:40] Speaker C: Pourtant je les crame hein, mais ils. [00:56:42] Speaker A: Veulent pas... Ah ouais, bah t'en as quand même. [00:56:44] Speaker D: Sois content, pas respect. [00:56:45] Speaker B: Profitant, profitant. [00:56:46] Speaker A: Regarde l'autre, il a carrément une moumoute collée à la gueule. Je l'aime, je l'aime. [00:56:53] Speaker D: C'est du vrai. [00:56:54] Speaker A: Je suis juste jaloux, c'est tout. Tu sais quand on est méchant, généralement, ça va pas pour moi. [00:56:58] Speaker B: Demande pas à Pierre de faire ce que tu viens de faire. Parce qu'il va retirer sa casquette et là... [00:57:02] Speaker A: Bientôt qu'il part, ça va brûler. Twitch va brûler. C'est pas beau ce qu'il y a là-dessous, je vous avoue. [00:57:09] Speaker B: On se met un petit clip ? Ah oui, pardon. C'est vrai, les clips. [00:57:14] Speaker A: C'est parce que j'étais pas contre. Mais on peut commencer par le clip, ça peut être pas mal. The Ghost Inside avec donc le titre Death Grip. [00:57:38] Speaker E: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! J'accepte de me détruire Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est trop bon ! [01:00:27] Speaker A: Ah bah c'est l'ambulance, c'est l'ambulance. [01:00:31] Speaker B: Franchement, ambiance comme dalle, dans ce devant dalle. [01:00:34] Speaker A: Il semble bien la chaleur. Alors, on continue les news et on va pas chanter du 113 toute la soirée. On va continuer avec tout, on en parlait tout à l'heure, je suis obligé de... Comment ? [01:00:45] Speaker B: Non rien. Je suis pas sûr que ce soit 113 mais c'est pas... [01:00:48] Speaker A: C'est pas les 113 ? [01:00:48] Speaker D: Non. Non je crois pas. [01:00:49] Speaker A: C'est qui ? [01:00:50] Speaker B: C'est Je sais pas je vais retrouver. [01:00:56] Speaker A: Toule donc réfléchissent et ils se sont dit ok on vieillit. On vieillit bon c'est les 60 ans de Ménard. [01:01:00] Speaker C: On a besoin d'argent. [01:01:03] Speaker A: Bah ça ils ont déjà réfléchi avant apparemment, ils se sont bien préparés depuis déjà de tourner. [01:01:07] Speaker D: C'est bien en place là. [01:01:08] Speaker A: Mais non, bah du coup maintenant qu'ils gagnent une blinde de thunes... [01:01:10] Speaker B: C'est vrai qu'ils ont rien gagné pendant longtemps et là les mecs ils font « Attends mais en fait c'est comme ça ! On dit des prix et les gens nous le donnent ! Ah bah si on continue ! [01:01:19] Speaker A: » Bah là ils se sont dit, bah du coup ils se sont dit, tu sais qu'on avait déjà dit dernièrement qu'ils avaient dit on va peut-être ressortir un nouvel album plus vite parce que bon, il faut le faire et puis c'est bien de sortir plein d'albums parce que comme ça on fait plein de tournées et puis comme ça... [01:01:30] Speaker B: C'est surtout que Maynard il commence à se dire moi je vais pas faire des tournées quand j'aurai 80 ans. [01:01:34] Speaker A: C'est ça, déjà comme il a dit, comme je l'ai dit, il a annoncé qu'il perdait sa voix et qu'il avait plus la force de pousser sa voix autant qu'avant. Donc là ils ont dit on va sortir des chansons de temps en temps, donc ils sortent du format classique, c'est-à-dire la sortie d'un album, ce qu'ils ont toujours gardé. Ils vont sortir des morceaux de temps en temps. Et ils ont dit il faut vraiment qu'on se dépêche parce que bon, la fin est proche quand même. Ce serait bien de les sortir tant qu'on est vivant. [01:02:05] Speaker B: Et avant que les gens se rendent compte qu'on n'y connaît rien en maths en vrai. [01:02:09] Speaker A: Tu as des conneries ! Mais voilà, Ménard et ses collègues... [01:02:14] Speaker B: Apparemment le prochain morceau est basé sur. [01:02:17] Speaker D: La suite de Fetouchini et sur le théorème de David Copperfield. [01:02:23] Speaker A: Sinon, est-ce que vous avez suivi cette histoire de messages sur la religion, la philosophie du groupe Liturgie ? Enfin, d'un de ses membres qui s'appelle Hunter Hendrix. Non, parce qu'on s'en fout. [01:02:35] Speaker B: Je connais pas Liturgie, moi, déjà. [01:02:36] Speaker D: Hunter Hendrix, c'est la personne qui lead le groupe, d'ailleurs, je crois, non ? [01:02:41] Speaker C: C'est le leader, ouais. [01:02:43] Speaker A: Et en fait, il fait des grands débats où il explique plein de choses, il parle de l'histoire, bref. Après, on aime, on n'aime pas. Je n'ai pas lu tout ce qu'il y avait parce que c'était un pavé de beaucoup de pages. Mais ça avait l'air quand même assez intéressant. Et le groupe qui est en première partie de liturgie sur une tournée américaine a décidé que comme il parlait de religion, il fallait quitter la tournée. Est-ce que c'est intelligent ou pas ? Parce qu'il n'y a pas de message haineux. [01:03:07] Speaker B: C'est juste du prosélytisme religieux selon eux. [01:03:10] Speaker A: Alors j'ai pas compris justement si quelqu'un dans le ch'meule ou en commentaire sur YouTube a le fond de l'idée de ce groupe qui s'appelle... l'autre groupe c'est... c'est... c'est... c'est... c'est... [01:03:19] Speaker C: Tu l'as pas écrit. [01:03:20] Speaker A: Je l'ai pas écrit, eh ben c'est super. C'est l'autre groupe. Ah, formidable. [01:03:24] Speaker B: Bon, est-ce que toi si t'es entourné avec un groupe qui fait... qui dit des trucs pas haineux mais religieux, est-ce que ça te donne envie ? [01:03:31] Speaker C: C'est pas mon groupe, c'est un groupe. [01:03:32] Speaker B: Avec qui on tourne. Non, c'est le groupe avec qui tu tournes. Pour qui tu ouvres ? [01:03:35] Speaker C: Bah s'ils ont rien dit de haineux, non ? Pourquoi ce serait un problème ? [01:03:38] Speaker B: Bah je sais pas, apparemment... [01:03:39] Speaker C: Sauf si le gars prend ça vraiment à bras-le-corps en disant « je vais commencer à faire des speeches religieux pendant les concerts », alors là, ouais, c'est autre chose, mais... [01:03:46] Speaker B: En même temps, il y a plein de groupes qui ont vie et rêve de faire la première partie de 30 Seconds to Mars. [01:03:56] Speaker A: Mais du coup, est-ce qu'on peut considérer ça comme une religion déjà ou pas ? [01:03:58] Speaker B: Ça s'appelle une secte, mais c'est pareil. [01:04:01] Speaker C: Il y avait un groupe qui s'appelait Fort Today, et à chaque fois qu'on allait les voir, il faisait des speeches comme ça, le gars devenait vraiment... Il faisait des prêches vraiment en concert, comme ça, à dire « Dieu m'a fait ça, vous devriez faire ça ». Et t'es en mode, oui mais nous on veut juste se taper sur la. [01:04:16] Speaker B: Gueule, on fait la ferme d'un gueule-cris. [01:04:21] Speaker C: Et là du coup ça prend une autre tournure parce que du coup on peut s'en foutre que le groupe soit religieux, mais s'ils commencent vraiment à utiliser le concert comme un lieu de prêche, là c'est un peu plus domandier. [01:04:31] Speaker D: J'imagine quand ils demandent un circle pit, séparer la mer. [01:04:33] Speaker C: C'est vraiment ça quoi. [01:04:36] Speaker A: Bon bref, Quinn est en train de négocier la vente de son catalogue. Je suis dans les devinettes aujourd'hui. À votre avis, combien ? [01:04:45] Speaker B: Cher ? [01:04:45] Speaker A: Jean-Luc Rechman, c'est vous ? [01:04:51] Speaker B: Je pense que s'il devait être quelqu'un de la télé, il serait plutôt Patrick Roy, ça serait vraiment le... [01:04:57] Speaker A: On serait bien faux, parce qu'il a quand même des cheveux bizarres, j'ai l'impression qu'on lui a collé. [01:05:01] Speaker B: Tex. [01:05:05] Speaker A: Je vois bien la critique qu'il y a derrière tout ça. Je suis vieux, je fais des blagues pourries, et en plus ma carrière est foutue ! [01:05:15] Speaker B: T'inquiète moi je crois encore en toi Pierre. [01:05:16] Speaker C: Non mais il n'a pas de casquette. [01:05:18] Speaker A: C'était quoi les derniers chiffres ? [01:05:20] Speaker D: C'était Quis qui avait vendu pour 600 millions d'euros. [01:05:25] Speaker A: 300 millions d'euros Quis. 350 ou un truc comme ça, bref on n'est pas à 50 millions d'euros prix. [01:05:29] Speaker B: Non c'est beaucoup plus Queen. Queen ? [01:05:33] Speaker D: 450 millions. [01:05:34] Speaker B: Non c'est beaucoup plus. Je pense que c'est beaucoup plus proche du milliard. [01:05:38] Speaker A: Il. [01:05:40] Speaker D: Y a moyen d'autant qu'avec en plus Bohemian Rhapsody, le film et tout, ça a relancé un peu la machine. [01:05:45] Speaker B: Je pense que c'est délirant. [01:05:46] Speaker A: C'est simple, on est encore sur Bruce Springsteen, mais Bruce Springsteen a vendu son catalogue, en gros, attention j'ai pas le chiffre exact, mais 500 millions d'euros. [01:05:55] Speaker B: Je pense qu'on est à 800, 800. [01:05:58] Speaker C: Sa guitare coûtait plus cher. [01:06:01] Speaker B: C'est ouf ça ! Tu vends ta guitare plus cher que ton casalogue ! Putain de merde ! Peut-être qu'il cachait des trucs dans la guitare. [01:06:08] Speaker A: Non, ça va être vendu, enfin c'est censé être vendu parce que c'est pas encore signé, 1 milliard d'euros. [01:06:13] Speaker B: Ah ouais, bah ouais. [01:06:14] Speaker A: Voilà, 1 milliard d'euros et le groupe a dit mais ils ont quand même le droit d'utiliser le logo. Ah bah c'est gentil, merci vraiment, fallait pas quoi ! C'est cadeau ! [01:06:25] Speaker B: Ah bah c'est un petit bonus quoi ! [01:06:27] Speaker A: Un milliard quand même, t'imagines ? Bah écoute... Bon après c'est Queen, c'est vrai que... [01:06:30] Speaker B: C'est comme quand t'as un bon client et qu'on te donne un petit... T'sais à la boulangerie t'achètes beaucoup de trucs et ils font... Ah bah je vous ai mis un croissant en plus ! [01:06:38] Speaker A: Il est rassi mais il est bon ! J'ai mis un petit pain suisse ! Ça c'est la gentillesse à la française ! [01:06:43] Speaker D: Et du coup on sait qui a acheté le catalogue ? C'est encore un fonds de pension je sais pas quoi ? [01:06:47] Speaker A: Sony Musique. [01:06:48] Speaker D: Sony, ah d'accord. [01:06:49] Speaker A: Voilà, et en fait ils expliquent que c'est surtout pour We Will Rock You et We Are The Champions parce que ça tourne quand même beaucoup dans les stades et qu'en fait ça rapporte mais une blinde mais genre c'est inimaginable l'argent que ça rapporte de passer dans les stades. [01:07:03] Speaker C: Et que ça continue à rapporter surtout. [01:07:05] Speaker A: Oui, ça ne s'arrête pas du tout. Donc en fait un milliard, ils ont dit c'est pas grave. [01:07:11] Speaker B: C'est à peu près deux semaines d'exploitation. [01:07:15] Speaker A: Et enfin on termine avec Slayer. [01:07:20] Speaker B: Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas parlé de Slayer aussi. [01:07:23] Speaker A: Ça c'est la guitare, excusez-moi. C'est ma sœur quand elle a fait Slayer, elle a fait ça, donc maintenant. [01:07:29] Speaker C: Je suis... Avec sa main là aussi ? [01:07:32] Speaker B: J'ai rien dit, j'ai rien dit. Avec sa main là aussi ? [01:07:35] Speaker A: Elle fait beaucoup de choses cette main là. [01:07:38] Speaker C: Je parlais pas de celle-là. Je parlais pas de celle-là, mais c'est vrai. [01:07:41] Speaker B: Ah bon ? [01:07:44] Speaker C: Je sais que je suis belge, mais quand même quoi. [01:07:47] Speaker A: Bon, Slayer, ils existent encore sous plusieurs formes. Là, ils viennent de sortir un nouvel objet acheté, un nouveau collectif. Et c'est quoi ? Je suis dans les devinettes, je suis désolé. Mais c'est quoi ? Je vais le dire très rapidement parce que vous ne l'avez pas trouvé. [01:08:07] Speaker C: Est-ce que ça tourne autour de... ? [01:08:09] Speaker B: C'est un produit dérivé Slayer qui vient de sortir, pas en rapport, pas genre comme... Parce que Ghost... Ouais, ou... Pas comme ça. [01:08:18] Speaker A: Non, non. Non, il n'y a pas de cliché. Il n'y a pas de... C'est pas sexuel du tout. [01:08:21] Speaker B: Est-ce que c'est un produit d'hygiène ? Non, non. [01:08:25] Speaker C: Pas du tout. Un pommeau de douche-champagne à tacle. [01:08:29] Speaker A: Ceci, c'est une bonne idée. On l'applaudit quand même. [01:08:32] Speaker C: Et tu sais comment on l'appellerait ? Il tourne le truc en rouge, ça serait Raining Blood. [01:08:38] Speaker B: Tu mets du colorant dedans, et quand l'eau coule, elle est rouge. [01:08:41] Speaker A: Tu insères le vitre, c'est trop bien. [01:08:45] Speaker D: Ou alors, tu sais, les pommeaux de douche avec une LED intégrée en rouge, et puis voilà. [01:08:52] Speaker B: Ouais, mais c'est moins drôle s'il n'y a pas vraiment du sang sur toi. [01:08:56] Speaker D: Franchement, la rue marketing, on l'a fait. [01:09:00] Speaker A: Par contre, ne dansez pas sur du caillot dans votre baignoire, ça glisse. [01:09:04] Speaker C: C'est ici que vous l'avez entendu, ok ? [01:09:07] Speaker A: C'est une glacière. Mais ils peuvent ranger 24 canettes dedans. Et elle coûte 179 dollars. [01:09:14] Speaker B: Alors attends, t'as pas dit toute l'info. Parce que 179$, c'est la version avec un speaker Bluetooth, mais il y a une version sans speaker qui est moins chère. Et il y a une version bandoulière aussi, où tu peux mettre que 6 bières. [01:09:29] Speaker C: Voilà. [01:09:32] Speaker A: C'est nul. C'est déceptif. [01:09:34] Speaker C: Notre idée était mille fois mieux. [01:09:36] Speaker B: Bien sûr, mais ça, ça demande beaucoup moins de développement. [01:09:39] Speaker A: C'est-à-dire qu'ils ont juste... Bah pas sûr quoi ! [01:09:41] Speaker B: Non mais si c'est des trucs déjà tout faits, ils foutent juste le logo dessus. [01:09:44] Speaker C: Ouais, un pommeau douche c'est quoi, c'est. [01:09:46] Speaker B: Juste un effet métallique des trous. Oui mais faut faire le pintacle et tout. [01:09:48] Speaker A: Takiri King récupère sa transpiration de crâne, il colle et puis il colle les logos Slayer dessus. [01:09:52] Speaker B: Je suis dégoûté. [01:09:55] Speaker A: J'aurais pu dire plein d'autres choses. [01:09:56] Speaker B: Oui, je sais bien. [01:09:58] Speaker D: Alors que des ballons de plage avec les tatouages de Kerry King, franchement, ça avait déjà plus de gueule. [01:10:05] Speaker C: Avec des chaînes autour. [01:10:09] Speaker A: Voilà, c'est tout ce que j'avais comme infos. [01:10:10] Speaker B: D'accord, on peut s'arrêter là. Pierre, c'était de très belles news, merci. [01:10:16] Speaker A: N'hésitez pas à laisser vos commentaires sur Youtube ou dans le cheveu, l'en parler, partagez bien sûr, puisqu'on a envie de savoir la vérité, on a envie de connaître votre avis, donc ne vous gênez pas. [01:10:24] Speaker B: Je me permets de remercier aussi Didier, qui préparait tous ces trucs. [01:10:28] Speaker C: Qu'on embrasse. [01:10:31] Speaker B: Si tu nous regardes ! [01:10:32] Speaker A: Salut Didier ! Du coup j'ai mis un petit clip de Slayer. Parce qu'on aime quand même Slayer, c'est pas parce qu'on se fout de leur gueule qu'on les aime pas, mais j'aime beaucoup Slayer. [01:10:40] Speaker C: On s'est pas vraiment foutu de leur gueule en leur donnant des conseils ! [01:10:41] Speaker A: On les aime ! [01:10:42] Speaker C: Franchement ! Parce que les glacières, voilà quoi. [01:10:47] Speaker D: Quand on aide, on aime bien. [01:10:48] Speaker A: Ceux-ci font toujours chaud sur scène, c'est bien d'avoir une petite glacière. Bon, on va regarder War Ensemble. [01:10:53] Speaker D: War Ensemble ! [01:10:54] Speaker A: Eh ben c'est ce qu'on va voir ensemble. [01:10:56] Speaker B: Ah ouais, c'est très bien celle-là ! [01:10:59] Speaker C: La boule d'huile. [01:11:01] Speaker A: J'ai rien d'autre à rajouter là, je suis désespéré. [01:11:03] Speaker B: Donc moi j'y vais là ? [01:11:04] Speaker A: Ouais tu peux balancer là. [01:11:04] Speaker B: C'est maintenant ? [01:11:05] Speaker A: Vas-y. [01:11:06] Speaker B: Maintenant ? [01:11:06] Speaker A: Vas-y. [01:11:07] Speaker B: Ou maintenant ? [01:11:08] Speaker A: Maintenant. Maintenant. [01:11:09] Speaker C: Maintenant. [01:12:48] Speaker E: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! Générique de fin Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'en veux d'eux. [01:20:21] Speaker A: C'est moi qui coupe la fin non ? Vous êtes toujours dans Bang Bang, tous les dimanches, je le rappelle, c'est en live Twitch. Il suffit de nous rejoindre pour ne rien rater. Tous les dimanches, on reçoit des invités, on discute musique, on essaie de passer un bon moment. Voilà, on est là pour passer des clips, rigoler et se détendre, découvrir notre invité. En l'occurrence, ce soir, c'est Lama. C'était un crachat de Lama. [01:20:49] Speaker D: Je l'avais. [01:20:54] Speaker A: Qu'est-ce que nous venons d'écouter, de regarder ? [01:20:55] Speaker B: On vient de voir le deuxième single du prochain album de Heriot. Heriot donc c'est un groupe britannique. Alors j'ai pris mes petites notes. L'album sortira le 27 septembre et il s'appelle Devoured by the Mouth of Hell. Donc dévoré par la bouche de l'enfer. Je pense que... Je pense qu'on a pu comprendre en partant de la pop... La chanson est assez cohérente avec le titre de l'album, j'ai l'impression. [01:21:24] Speaker D: Je pense qu'on va partir sur un petit album de bedroom pop, là, tranquille. [01:21:28] Speaker B: Et du coup, ça a été enregistré avec Josh Middleton, ancien guitariste de Architects, et Will Putney. Le fameux Willou. Et moi j'aime bien, j'aime bien ce son beaucoup plus... C'est assez direct quoi, y'a pas de... Non mais je veux dire c'est pas... En off on parlait un peu des trucs un peu surproduits, et là je trouve que c'est gros, mais ça fait pas dix mille couches de choses dans tous les sens qui ne peuvent pas. [01:22:00] Speaker D: Être faites en... Ça gratte un peu l'oreille quoi, c'est... [01:22:02] Speaker B: Je pense qu'apparemment, moi j'ai jamais eu la chance de les voir en live, mais apparemment en live c'est... Bon d'accord. [01:22:07] Speaker C: Moi j'ai aussi envie de les voir. [01:22:08] Speaker A: Ils sont Hellfest, non ? [01:22:09] Speaker B: Je crois bien, oui. [01:22:10] Speaker A: Il me semble qu'ils sont Hellfest. [01:22:11] Speaker B: Je crois que je l'ai mis dans ma liste. [01:22:12] Speaker A: C'est pour ça que ça me vient à l'esprit. Tout à fait. Bon, passons. En tout cas, excellent titre. Mon petit Lama ! On continue de parler un petit peu de ta vie, de tes pensées, de ton vécu, toutes ces choses-là qui nous intéressent parce que le métal, on le dit souvent, c'est aussi une musique qui rassemble, qui fait que tu te fais des amis ou en tout cas que tu peux exulter quelque chose. et on dit que c'est une communauté assez incroyable. Est-ce que tu es d'accord avec cette affirmation que le métal est une communauté qui est assez cool et assez incroyable, très ouverte ? [01:22:51] Speaker C: Ça je sais pas si je pourrais dire qu'elle est très ouverte. On va dire peut-être dans l'ensemble, elle peut donner l'image en tout cas d'être très ouverte, mais après j'ai rencontré quand même beaucoup de connards très fermés d'esprit. [01:23:01] Speaker A: Dans la scène métal. En faisant une généralité quoi. [01:23:04] Speaker C: Ouais je sais pas, je pense que c'est comme dans n'importe quelle communauté, t'as des gens super cool et super intéressants et puis tu peux tomber sur soit des gros racelards, soit des gens vraiment qui donnent une mauvaise image de cette scène quoi. [01:23:17] Speaker A: T'as toujours été bien accueilli par cette scène ? [01:23:19] Speaker C: Ouais, personnellement ouais. Et je sais pas, c'est parce que j'ai été dans certaines scènes plutôt que d'autres, mais j'ai jamais vraiment eu trop de problèmes, que ce soit en festival ou en gros concert, ou bien dans des cercles privés d'events, etc. Mais dans l'ensemble, moi, je me suis fait beaucoup d'amis en fait dans cette scène. [01:23:38] Speaker A: Quel que soit le genre de métal, parce que quand je dis métal c'est très large. [01:23:41] Speaker C: Ouais c'est ça, mais non, peu importe les scènes, j'ai jamais vraiment eu trop de problèmes là-dedans. [01:23:46] Speaker A: Il y a plus ça, ça existe encore tu crois à l'époque ? Tu sais quand t'étais no metal tu pouvais pas écouter du death, quand tu écoutais du death tu pouvais pas écouter du grunge. [01:23:53] Speaker C: Ouais ça par contre ça existe encore. [01:23:55] Speaker A: Ah ouais ça existe encore vraiment ? [01:23:56] Speaker C: Ouais je sais pas, moi je crois encore parfois des gars qui sont à fond black ou à fond death et qui... qui voient qui je suis et qui vont me faire deux trois petites remarques en mode tu parles que de ça, tu parles que de New Metal, tu parles que de machin... Sorry, mais je parle pas que de ça, c'est juste que quand t'es une chaîne YouTube et que tu essaies de faire des vues, bah évidemment que tu vas te parler de trucs qui rassemblent beaucoup de gens. Et on va pas se mentir, au-dessus de 30 ans, tout ce qui est New Metal, ça a marqué pas mal de gens, même sur plusieurs générations. Et ouais, t'arrives quand même à essayer parfois de glisser sur d'autres, amener peut-être le regard sur d'autres petits groupes, d'autres styles de musique qui ont peut-être moins... on va dire rassemblés, que le nu metal, je ne parle pas que du metal, mais je veux dire, je peux parler de Emo, des trucs comme ça, tu vois, qui sont aussi des styles de musique qui ont quand même été très, très populaires. [01:24:45] Speaker A: Après faire une vidéo complète sur un groupe qui est pas connu et qui est tout petit, forcément il y a moins à dire que sur un groupe qui a une super grande carrière. [01:24:52] Speaker C: J'ai fait une timeline sur Periphery par exemple, c'est pas un groupe super connu, c'est quand même assez niche, c'est quand même du prog, c'est quand même un truc, ça sert à pas à faire les mainstage à 20h des gros fest en Europe, mais ça sert à pas à rassembler autant qu'un groupe comme les Miskits ou un truc comme ça. mais j'essaie toujours d'amener peut-être le regard sur d'autres petites scènes, d'autres trucs un peu plus compliqués à aborder, en essayant de trouver un sujet qui peut rassembler, pour essayer d'apporter le regard sur un truc un peu moins connu. Mais bon ouais, pour revenir à ta question, sinon j'ai pas l'impression qu'une scène en particulier est peut-être moins accueillante qu'une autre, sauf si elle est vraiment connotée sur un truc... Oui, non, moi je. [01:25:34] Speaker A: Ne m'inclue pas dans les scènes dont on ne parle pas. [01:25:37] Speaker B: Moi je pense que des trucs où c'est moins accueillant, c'est peut-être les trucs des vieux qui n'ont jamais accepté que la musique a évolué. Je pense que des gens qui ont écouté Maiden et pour eux il n'y a que ça qui existe et que le néo-metal c'est de la merde et que tout ce qu'il y a eu après c'est de la merde. Donc je pense qu'il y a eux qui sont peut-être un peu moins... Des générations vraiment... Ouais, des vieux quoi. [01:26:02] Speaker C: J'ai beaucoup de commentaires négatifs qui viennent de gens qui ont à mon avis plus de 50 ans et qui à chaque fois veulent me faire la leçon en disant tu n'y connais rien, c'est pas ça, c'est ça, le rock c'est pas ça ou le métal c'est pas ça. C'est pas ça le rock ! Récemment il y avait quelqu'un qui m'avait fait un pavé en me disant vous n'êtes pas des gens du métal parce que le métal vous aurez dû parler de Iron Maidens, vous aurez dû parler d'un tel, un tel, de faits partout, des trucs comme ça. J'étais en mode gros... [01:26:27] Speaker B: Tout le monde en a parlé depuis 70 ans. [01:26:29] Speaker C: Commence déjà par toi à ouvrir ton esprit parce qu'en fait t'as l'air de t'y connaître sur pas mal de choses et puis moi peut-être que je me ferais mon avis sur des choses qu'en fait j'ai jamais eu envie d'écouter parce que je suis arrivé après tout ça. [01:26:39] Speaker D: Au bout d'un moment le métal c'est une musique, la musique c'est vivant, ça évolue aussi avec les époques alors c'est normal qu'il y ait des groupes qui parlent des publics d'aujourd'hui qui parlent moins que les publics d'hier. C'est quand même dans l'ordre des choses. Et puis il y a des gens. [01:26:56] Speaker C: Qui aiment pas le metalcore et qui trouvent ça trop populaire. Le choc des générations. [01:27:06] Speaker A: Je vous permets pas monsieur, jeune homme. Non mais... Non mais au moins vous. [01:27:09] Speaker C: Avez le recul de comprendre peut-être que justement la génération qui arrive peut-être justement beaucoup trop enclin à vouloir vite se dire leur avis sur les réseaux et peut-être qu'on aurait fait pareil si on avait eu l'occasion de le faire à cette époque-là. [01:27:24] Speaker A: Moi j'ai l'impression que j'aurais été complètement à l'avant. [01:27:27] Speaker B: Nous à l'époque déjà au moment où on a commencé de pouvoir dire des choses ça passait par déjà une minute d'un modem qui faisait du bruit Ton. [01:27:35] Speaker C: Message, il était en train de s'envoyer. [01:27:37] Speaker D: Ça te laisse un petit peu le temps de réfléchir. [01:27:42] Speaker B: Après, tu attendais le moment où la page chargée, t'entendais le disque dur gratter. Je suis sûr que c'est en train de charger, j'entends le bruit du disque dur. Putain les vieux ! Toi t'as pas connu ça toi ? [01:27:56] Speaker A: Non toi t'as connu. [01:27:58] Speaker C: Ouais mais j'ai pas vraiment beaucoup connu ça. [01:28:04] Speaker B: Le moment où t'as le droit d'utiliser, ça allait déjà vite quoi. [01:28:08] Speaker A: T'avais combien de 14,4 ? Bon bref, là n'est pas le sujet. Non mais quand tu dis que tu choisis les biscuits et tout ça, quand on parle de ta chaîne YouTube, c'est juste aussi parce que quand tu fais ta chaîne, c'est que tu parles de tes sujets, des sujets que t'aimes bien. [01:28:24] Speaker B: De ce que t'aimes bien. [01:28:25] Speaker A: Tu vas pas te forcer à faire un sujet, peut-être si, avec le temps, parce qu'au bout d'un moment, forcément, t'auras peut-être fait le tour de ce que tu kiffes à fond. Mais je trouve ça normal de parler, dans un premier temps, sur sa chaîne. [01:28:38] Speaker B: YouTube, de partager ta passion. [01:28:41] Speaker C: Après c'est toujours... Moi je vois la chaîne YouTube aussi comme quelque chose où j'ai envie de divertir et d'apporter quand même un côté un peu fil conducteur, un petit peu narratif, d'avoir quelque chose d'intéressant qui se construit sur une durée quand même assez longue, d'avoir 20-30 minutes où il faut essayer de captiver quelqu'un. il faut que le groupe ait des choses intéressantes à raconter aussi quoi. [01:28:59] Speaker D: Il faut qu'il y ait des choses à montrer aussi. [01:29:01] Speaker C: Des choses à montrer, ouais, des archives, etc. Et quand t'as un petit groupe, il n'y a pas énormément de matière parfois à exploiter, que ce soit vidéo ou photo quoi. Et en plus, tu vas en dessous des années 90, on dit 90 chez nous, mais les gens aussi. T'as le droit de dire 90, on n'est pas dans le même jeu. [01:29:16] Speaker A: Oui, on comprend. [01:29:16] Speaker B: On se moquera de toi, mais il. [01:29:18] Speaker C: N'Y a pas de soucis. Sur ma chaîne les gens ont parfois vraiment du mal avec ça, c'est un commentaire que je reçois très souvent, c'est. [01:29:27] Speaker B: Qu'On comprend pas quand tu dis les dates. [01:29:29] Speaker A: Arrêtez, c'est chiant. [01:29:31] Speaker C: C'est important ? Non. Sur Insta les gens le savent, moi c'est un truc qui m'a fait péter un câble mais genre j'ai tout le temps tout le temps des commentaires sur on comprend rien quand tu dis les dates et que moi quand je parle de l'histoire d'un groupe je vais souvent. [01:29:42] Speaker B: Dire des dates et donc je dis. [01:29:43] Speaker C: Tout le temps en 1990 et les gens sont là Ah t'as dit à dire 90, je dis non je vais pas me forcer à parler autrement que comment je parle. C'était plus quoi la question ? [01:29:54] Speaker A: Je sais plus. [01:29:54] Speaker B: Non de parler de choses qui te passionnent quoi. Après ce qui est vachement bien je trouve c'est que toi tu fouilles vachement, toutes tes vidéos sont quand même très poussées, c'est pas des choses très... Tu fais pas ça comme ça quoi. [01:30:11] Speaker C: Tu poses le truc assez loin. Je pose les sources pour être sûr de ne pas dire de conneries, de ne pas mélanger aussi les événements parce que parfois ça peut être assez important. Surtout que par exemple, tu vas parler de Deftones par exemple, l'accident, ça change beaucoup de choses qui se sont passées au niveau des concerts, etc. Donc il faut essayer d'être un petit peu raccord au niveau des événements. Et puis la vidéo s'appelle Timeline. Le but c'est de respecter le timeline des événements, de ce qui s'est passé dans l'histoire d'un groupe. [01:30:36] Speaker A: Quand tu fais tes recherches, ça te prend combien de temps par exemple pour faire une vidéo ? Avec les recherches ? [01:30:41] Speaker C: On va dire en moyenne 3 mois vraiment pour faire l'écrire et terminer la vidéo. [01:30:46] Speaker B: C'est pas 3 mois full-time, mais c'est pas mon métier. Je préfère dire pour Pierre parce que... [01:30:52] Speaker A: Il est un peu con con. [01:30:54] Speaker C: Non mais c'est vrai, il y a des youtubeurs qui sont full time là-dedans et qui vont vraiment s'investir vraiment du matin au soir dedans. Moi je peux pas me le permettre, c'est pas mon métier. [01:31:03] Speaker A: Donc ouais, tu fouilles quand même. C'est quoi tes sources ? Bon il y a internet j'imagine, mais est-ce que tu essaies de te renseigner auprès de spécialistes ou d'aller fouiner dans. [01:31:13] Speaker C: Des... Bah ça dépend en fait des groupes. Il y a des groupes qui vont avoir qui ont eu des DVD, par exemple, qui font déjà une bonne matière, qui vont décrocher des grosses parties de leur carrière, ou alors des livres, mais voilà, des livres, moi, ça me permet juste de réécrire, on va dire, l'histoire, mais ça m'amène pas d'images, ça m'amène pas de vidéos, pas de témoignages, rien, juste du texte, quoi. [01:31:32] Speaker B: Non, parce que rien que la partie iconographie, d'aller chercher toutes les images pour illustrer les trucs, ça prend un temps monstrueux. [01:31:40] Speaker D: Ça prend un temps monstrueux pour l'avoir vécu, justement. Ça prend un temps... Et puis, comme tu disais, selon l'époque que tu essaies de traiter, si tu veux aller traiter d'un groupe qui était déjà actif dans les années 80... C'est compliqué d'avoir des archives. [01:31:54] Speaker A: Faut que t'ailles chercher des VH sur Boncoin. [01:31:58] Speaker C: Non, ça c'est pas évident, ouais. [01:32:00] Speaker A: Et t'es tout seul à travailler là-dessus ? [01:32:02] Speaker C: Ouais. [01:32:02] Speaker A: Donc tout seul, tout seul. Tu fais absolument tout quoi ? [01:32:04] Speaker C: Tout, filmer, archive, montage, animation, tout ce qu'il y a dedans. [01:32:08] Speaker A: T'as appris ça sur le tas ? [01:32:09] Speaker C: Bah mon métier, en fait, je fais de l'animation, donc je suis déjà dans le visuel, déjà de base. Mais voilà, j'ai appris vraiment surtout le côté narratif au fur et à mesure. C'est pour ça que je dis Bring Me, par exemple, la première timeline, pour moi c'est une catastrophe parce qu'il n'y a rien à niveau narratif et qu'au fur et à mesure j'ai commencé à comprendre comment je devais construire ma vidéo pour que ce soit un minimum Captivant, vraiment. Pendant 20 minutes, parce que l'air de rien, quand tu regardes une vidéo qui dure aussi longtemps, tu peux vite décrocher. Et c'est, je pense, le plus gros challenge, en plus de trouver les archives, c'est d'avoir vraiment un fil conducteur qui captive. [01:32:42] Speaker B: Et tu fais aussi, je ne sais pas si on en parle maintenant, mais tu fais aussi des vidéos musiques. Moi c'est comme ça que je t'ai découvert avec une vidéo où tu refaisais des morceaux à l'art. T'as fait ça non ? Je me trompe ? [01:32:57] Speaker A: Dans le genre 2. [01:32:58] Speaker B: Dans le genre 2 ? [01:33:00] Speaker C: Non ça c'est Aziz. [01:33:01] Speaker B: Non non non non. Bon alors je vais revérifier mais je suis sûr que c'est comme ça. [01:33:04] Speaker C: Aziz il a fait des morceaux vraiment à la sauce 2. [01:33:08] Speaker B: J'ai vu un truc, bah je vais rechercher. [01:33:10] Speaker C: En fait moi j'ai fait des projets où on s'est fait par exemple un challenge avec plein de musiciens en fait belges. On se regroupait pendant trois mois et on compose vraiment plein de morceaux et on joue sur scène après les morceaux qu'on a composés tous ensemble quoi. [01:33:23] Speaker B: C'est arrivé déjà ce concert ? [01:33:25] Speaker C: Ouais, c'était en octobre. [01:33:26] Speaker B: C'est cool ça. [01:33:27] Speaker C: On a essayé de faire des petits challenges comme ça, on avait fait aussi un autre délire il y a deux ans, on s'était dit 24 heures, on dit top, chrono, on écrit, on enregistre et on filme un clip et on sort le morceau, c'est sur Spotify après 24 heures. [01:33:41] Speaker A: Comme quoi la drogue ça marche. [01:33:45] Speaker B: Comme quoi les mecs des labels qui nous disent qu'il faut les visuels 6 mois avant pour pouvoir les mettre sur Spotify, ils mentent. [01:33:53] Speaker A: C'est-à-dire que quand on prend une décision et que tout est clair, c'est plus simple. Ça aide beaucoup. Est-ce que le métal t'a permis, c'est une question désolé c'est moi qui la pose systématiquement, est-ce que ça t'a permis d'aller mieux, d'être quelqu'un de plus tu libères avec toi-même, qu'ils t'acceptent plus grâce au métal ? [01:34:15] Speaker C: Ouais, ouais, clairement. Clairement, parce que c'est une thérapie. J'en ai parlé dans une vidéo sur la santé mentale, mais c'est clairement un exutoire, comme style de musique, que ce soit en concert, en tant que musicien ou au spectateur. Je pense n'importe qui qui a déjà mis les pieds dans des événements comme ça sait très bien de quoi je parle. Tu sors jamais d'un concert de métal vraiment les mains dans les poches en disant c'est sympa. Ou alors t'es vraiment blasé de l'expérience live, mais de manière générale t'es dans le pit, t'es pris comme le reste de la foule dans une énergie collective. Donc clairement c'est un truc qui de toute façon te marque, que ce soit même chez toi quand t'écoutes de la musique je pense, et en concert. [01:34:55] Speaker A: T'as qu'à analyser. En fait il voulait péter la gueule à tout le monde mais ça au moins ça fait qu'il est respecté. [01:34:59] Speaker C: Ou j'en pète la gueule aussi à tout le monde. Il me pète la gueule aussi. Je pense qu'un pétage de gueule collectif est totalement assumé. Ça fait du bien aussi. [01:35:06] Speaker A: Il y a du respect quand même. [01:35:07] Speaker B: C'est bien en commun. [01:35:08] Speaker A: Il faut quand même le savoir. Si vous n'êtes pas métalleux, c'est pas des gens justes qui se frappent sur la gueule. Clairement pas. [01:35:14] Speaker B: Il y en a qui sont là juste pour ça mais c'est pas la majorité. [01:35:18] Speaker A: J'espère qu'ils sont sortis assez rapidement non ? [01:35:20] Speaker B: Non mais de toute façon, il y a des... Ça dépend des styles de musique. [01:35:24] Speaker A: Ah oui, on a dit qu'on ne parlait pas de ça. [01:35:27] Speaker B: Non, non, mais il y a des... Enfin, dans les concerts hardcore, il y a des pits où t'as le droit. [01:35:31] Speaker C: De... Ah oui, le crawl kill. [01:35:34] Speaker B: Ouais, ça fait partie du truc, quoi. [01:35:36] Speaker A: Quand tu y vas, tu sais que tu peux sortir dans un mauvais état. [01:35:38] Speaker C: En logique, t'inquiètes, on a une bonne set-bim-bam. À côté de Charleroi et tout, on traîne souvent dans des lieux, le MCP à page pour ceux qui connaissent, c'est des lieux où il y a quand même beaucoup de concerts. [01:35:51] Speaker B: Après, tu peux te mettre un peu à l'écart. Tu peux essayer de te mettre à l'écart. [01:35:57] Speaker A: Des fois, il y a un peu. [01:36:01] Speaker C: De char et tu te mets derrière. [01:36:03] Speaker A: Et dans les paroles aussi, les paroles des groupes que t'as aimé, parce que tu parlais du style et tout ça, de la musique, mais il y a les paroles quand même dans le métal ? [01:36:11] Speaker C: Bah les paroles je trouve c'est plus simple maintenant, parce que moi quand j'ai grandi, j'ai eu la chance d'avoir beaucoup de groupes qui chantaient en français, et puis les groupes anglais, que je pense que quand t'es un ado, tu comprends rien, ça t'essaie de faire du yaourt sur ce que t'as entendu, et seulement des années après tu te dis mais qu'est-ce qu'ils disaient en fait ? [01:36:28] Speaker A: Attends mais ça n'a rien à voir ! [01:36:31] Speaker C: Mais ouais, les paroles c'est vraiment venu après je pense, moi perso. Vraiment vers la vingtaine où je commençais à me dire bon allez je vais vraiment commencer à creuser comment c'est construit, qu'est-ce que ça voulait dire, c'est quoi, parce que parfois t'as des messages que si tu connais pas l'histoire du groupe ou tu connais pas l'histoire du chanteur, tu sais pas pourquoi il a dit ça. Et tu comprends un peu le background, tu essaies de comprendre un petit peu aussi d'où il vient, d'où le groupe vient. Mais je pense qu'en tant qu'européen, tout ce qui est chanté en anglais, les paroles, ça vient après, je pense. Sauf si t'es vraiment anglophone, alors là, ça t'impacte directement à l'écoute du morceau. Mais moi, perso, ça a été du coup la scène française qui m'a le plus marqué au niveau des paroles au début, quoi. [01:37:06] Speaker A: Ok, ok, ok. On va en parler juste après ? [01:37:08] Speaker B: Du coup, ouais. [01:37:08] Speaker A: On va en parler. Mais avant, on va parler d'un groupe que tu as choisi, d'un titre. Ce groupe me parle, alors je sais pas pourquoi, mais ce groupe me parle, c'est The Ongoing Concept. [01:37:18] Speaker C: Yes. [01:37:19] Speaker A: Avec Covergirl. Yep. Pourquoi ce choix ? [01:37:23] Speaker C: Est-ce que tu peux nous en parler. [01:37:24] Speaker A: Un petit peu ? [01:37:24] Speaker C: Bah dis donc Going Concept, en plus on a Baka qui est juste là-bas et c'est un de ses groupes préférés aussi. [01:37:28] Speaker A: C'est le clin d'œil. [01:37:29] Speaker C: Ouais c'est un groupe complètement fou qui est un peu juste au boutiste avec des idées complètement folles parfois et Covergirl c'est sur un album qui s'appelle Saloon et ils ont eu un délire justement ambiance très western et tout et Covergirl ça... En fait je pense qu'ils l'expliqueront mieux dans le morceau tu vas vite capter de quoi ça parle. [01:37:46] Speaker A: Oui j'ai vu mais c'est pour ça que ça m'a parlé quand j'ai je me suis dit putain mais ça me dit vraiment quelque chose et c'est quelque chose qui pareil là c'est juste pour partager un petit moment avec un pote et lui faire un clin d'oeil au delà de la folie du groupe. [01:37:58] Speaker C: C'est un morceau qui m'a beaucoup parlé dans le sens où c'est vraiment très axé sur ne pas chercher à vouloir copier absolument le style musical ou bien la façon de construire un morceau ou la façon de de vouloir parler à un public ou quoi que ce soit et d'être plus spontané et de dire ok j'ai envie de faire un morceau comme ça je le fais comme ça et de pas vouloir absolument dire ah j'aime bien faire je sais pas moi... Oui de reproduire. De vouloir absolument j'aime bien Deftones je vais faire du Deftones quoi. Il y a moyen d'aller chercher quelque chose d'un peu plus personnel et de juste dire allez je vais improviser je vais essayer de faire quelque chose d'un peu plus unique et plus proche de ce que moi j'ai envie de sortir quoi. [01:38:33] Speaker B: Et on dire ça aujourd'hui c'est très engagé quand même. Attention à toi ! [01:38:41] Speaker A: On va regarder du coup ! [01:38:42] Speaker B: Bah oui carrément ! [01:38:43] Speaker A: Comme ça les gens vont probablement découvrir pour une grande part ! [01:38:45] Speaker C: C'est pas très connu ! [01:38:46] Speaker D: Perso je connais pas du coup, j'aurais. [01:38:48] Speaker B: Bien entendu parler ! [01:38:49] Speaker A: Tiens bien fait ! Ché ! [01:38:57] Speaker C: All right, boys and girls, let's go ahead and put away our books. We're going to go ahead and turn to our vocabulary lesson. Let's see, who can tell me what the word originality means? Originality. Originality. Anyone? Anyone at all? Jeffy? donner à l'enseignante une pomme? Bien joué, mon ami, mais ce n'est pas exactement ce que ça signifie. Bien, vu que nous ne savons pas vraiment ce qu'est l'originalité, j'ai décidé d'inviter quelques invités pour nous aider à apprendre le sens de l'originalité. Et regardez ça! C'est bon les gars et les filles, j'aimerais vous présenter le concept en cours ! Bon alors, je suppose qu'on est prêts pour commencer ! Question ! Vous allez jouer au walk and roll ? [01:40:24] Speaker E: Hey les gars ! [01:40:25] Speaker A: Gather around, I wanna tell you... [01:41:52] Speaker E: Bien joué ! Oh, oh, oh Yeah, yeah Oh, oh, oh Yeah, yeah Oh, when I was a young boy My mama said to me, son Don't be like the other boys Just follow your own fate And I said, mama, don't you be afraid Don't worry about a thing Cause when I grow up I'm gonna be an artist And not a cover girl. [01:43:57] Speaker A: Sous-titres. [01:43:58] Speaker E: Réalisés para la communauté d'Amara.org. [01:44:40] Speaker A: Ok, prochaine école demain. La drogue c'est mal. [01:47:23] Speaker C: Je sens pas bien. [01:47:24] Speaker A: C'est pas bien, faut pas se piquer les yeux à l'héroïne, nulle part. Ou à la javel. [01:47:31] Speaker B: Un vrai petit bonbon. [01:47:32] Speaker A: Apparemment la tronche, c'est peut-être pas les meilleurs. [01:47:37] Speaker D: Les dentiers sont un peu étranges. [01:47:39] Speaker C: En plus le bonbon qu'on propose pour rentrer dans une camionnette. [01:47:42] Speaker A: C'est ça. [01:47:43] Speaker C: Moi c'est plus... [01:47:44] Speaker A: C'est celui que tu prends encore après. [01:47:45] Speaker B: Ils étaient bizarres ces petits cailloux marrons. [01:47:51] Speaker A: Alors c'était qui ? C'était Kendi. C'était un choix de ta part. Pourquoi avoir choisi ça ? C'est parce que tu veux nous annoncer quelque chose ? [01:47:59] Speaker B: Tu as un problème ? [01:48:00] Speaker D: Pas du tout non parce que ça vient de sortir en fait l'album vient de sortir donc ce vendredi donc troisième album de Kendi qui est un groupe de hardcore américain et qui, comme vous avez entendu, mélangent pas mal de trucs. Alors Hardcore, il y a un peu, je reconnais un peu de Slipknot façon 1999, il y a pas mal d'induces, il y a dans le morceau, il y avait un petit côté un peu prong même je trouvais, il y a... Pas mal d'électronique aussi, ça s'entend encore plus sur d'autres morceaux. Il y a vraiment des côtés très bruitistes, très agressifs. Et en fait, c'est pas le hardcore façon Knocked Loose où il y a énormément de puissance de feu. C'est plutôt un peu plus roots, un peu plus cracra. Là c'est cracra, c'est vraiment... C'est un peu plus délire masculin. [01:48:41] Speaker A: C'est-à-dire qu'avant de monter sur scène, ils se lèchent les aisselles alors qu'ils ne sont pas lavés. [01:48:44] Speaker D: Voilà c'est ça, les aisselles qui picotent un peu, et puis voilà. [01:48:46] Speaker C: Ils ont mis de la statue sur tout, et ils ont mis de la statue sur le master, et ils ont mis de la statue sur tout, tout, tout. Sur l'image aussi, de la statue. [01:48:53] Speaker A: Voilà. [01:48:53] Speaker C: Full statue. Exactement. [01:48:55] Speaker A: Tu les as déjà vus en live si tu nous le disais ? [01:48:57] Speaker C: C'était très très très violent, je suis pas resté très longtemps. [01:49:00] Speaker D: Ah oui c'est vrai. [01:49:02] Speaker C: C'était une toute petite scène du Gérard Honner l'année passée. C'était très très violent, ça se tapait contre la barrière et tout. [01:49:09] Speaker A: Ok, c'est ce genre-là. Toi t'aimes bien ça ? [01:49:15] Speaker C: Attends les bonbons. [01:49:16] Speaker D: Ça suffit à m'en écorcher vif pour que ça te plaise ? [01:49:18] Speaker B: Ouais, ouais, ça va. C'est un peu roots bien... Moi j'aime quand c'est sale quoi. [01:49:25] Speaker D: Voilà pour le coup ça l'est. [01:49:27] Speaker B: Pas toujours d'ailleurs, j'aime bien les trucs toux aussi. Moi j'aime tout en fait. [01:49:30] Speaker C: Evidemment, évidemment. [01:49:32] Speaker A: Moi aussi j'aime quand c'est sale. Toi c'est plus sale... Deux sales deux ambiances. Bon bref, là n'est pas le sujet. Qu'est-ce que tu voulais ajouter sur Kendi ? [01:49:45] Speaker D: Je ne connaissais pas avant d'écouter l'album qui est sorti il y a deux jours. Franchement, très belle découverte. C'est de l'agression. [01:49:54] Speaker A: C'est enregistré dans le salon. [01:49:59] Speaker D: J'ai l'impression qu'il y a quand même des moyens mais c'est volontairement rendu cracra malsain, vraiment. [01:50:04] Speaker B: Ça sonne gros quand même. C'est sale mais gros. C'est pas magnétophone dans ton salon. [01:50:11] Speaker D: Ça sonne bien épais. Ça sonne bien épais. [01:50:13] Speaker C: C'est Nails version hardcore. [01:50:14] Speaker D: Ouais, un peu ouais. [01:50:16] Speaker A: Version Indus. [01:50:18] Speaker C: Avec une snare qui fait ping ! Moi j'aime bien. [01:50:23] Speaker A: Ok, ok. On va changer par contre dossier là parce que je sais pas ce que t'as vu. [01:50:27] Speaker D: On va totalement changer dossier. [01:50:29] Speaker A: Est-ce que là c'est la petite sélection d'Enjoy The Night ? [01:50:31] Speaker B: Ah c'est son moment, c'est son quart d'heure de gloire. [01:50:33] Speaker A: C'est celui où il nous raconte des trucs et qu'on écoute comme ça, sagement, et puis on peut l'insulter. [01:50:38] Speaker D: Père Castor raconte une histoire c'est ça ? [01:50:40] Speaker B: Putain j'allais la faire, j'ai même pas eu le temps. [01:50:43] Speaker A: Et alors là on passe de, j'ai pas compris, de Cundy à The Killers. [01:50:48] Speaker B: Oui. Sans transition ! [01:50:52] Speaker D: Je m'attendais pas à ce que les morceaux soient dans cet ordre, mais franchement, finalement... Même dans l'autre ! Non mais je ne m'attendais pas à ce qu'ils soient collés l'un à l'autre, mais bon, pourquoi pas. [01:51:03] Speaker B: Après c'est peut-être l'activité, le passe-temps des mecs de Candy, c'est peut-être d'être des tueurs, donc ça marche. [01:51:08] Speaker C: C'est marrant que le groupe violent s'appelle Candy et le groupe en fait plus simple. [01:51:15] Speaker D: J'avoue, il y a un pattern. [01:51:17] Speaker B: Le mémo n'est pas passé. [01:51:20] Speaker A: Et donc les Killers en plus t'as choisi le tube, enfin l'un des tubes honnêtement. [01:51:25] Speaker B: Le tube métal, le type métal. Je vous rappelle qu'on est une émission métal. [01:51:29] Speaker A: Ça va on peut passer à un petit peu autre chose, c'est pas une obligation, c'est Somebody told me. [01:51:34] Speaker C: Ah bah, ça c'est métal ouais. [01:51:35] Speaker B: Quelqu'un m'a dit que c'était pas très métal. [01:51:40] Speaker A: Pas super métal. [01:51:43] Speaker B: Selon mes renseignements. T'aimes bien The Killers ? [01:51:46] Speaker C: J'ai pas beaucoup écouté mais ce morceau là je l'aime vraiment bien. [01:51:49] Speaker D: Ah, tant mieux. [01:51:49] Speaker A: Celui-là tu l'as entendu en soirée. [01:51:51] Speaker C: Bah j'ai pas eu le choix vraiment. Autant que Beyoncé ou autre chose, juste que ça a été là et voilà, j'ai aimé du coup. [01:51:58] Speaker B: Je pense qu'on peut pas vraiment... J'ai pas aimé ce morceau, il est quand même très... Enfin, si t'aimes le rock... Il est cool ! [01:52:04] Speaker A: Même sans aimer le rock, je pense. [01:52:05] Speaker B: Que tu peux l'aimer. [01:52:06] Speaker D: Oui, totalement. Si t'es fan de pop, par exemple, si t'es public RTL2, oui, tu peux complètement kiffer ce morceau. [01:52:13] Speaker A: Quand tu le mets en soirée, tout le monde danse et tout le monde le chante. [01:52:16] Speaker B: Tout le monde le chante, à peu près. [01:52:21] Speaker A: Tout le monde dit « Somebody told me ». [01:52:25] Speaker C: Tout le monde aime bien ça, c'est comme aller à un concert de Knuckles et qu'à la fin tout le monde chante du Cascada. [01:52:29] Speaker A: Oui, c'est vrai qu'il y a ce truc-là. Pourquoi d'ailleurs c'est comme ça dans le métal, il y a ce côté décalé, marrant, que Mike Rock n'a pu nous offrir aussi dans ses mixtes avec des passages un peu plus débiles. Non mais je pense que c'est les. [01:52:42] Speaker B: Gens qui se prennent le côté « je me prends pas au sérieux » et le côté décalage qui est drôle aussi. [01:52:46] Speaker C: On aime bien être des gros beaufs à un moment aussi, c'est pour ça qu'Electrical Boys explose aussi un peu partout. Avoir ce côté un petit peu... Et en même temps se taper un peu sur la gueule. [01:52:57] Speaker D: Il y a un exutoire dans le côté un peu beauf. [01:52:59] Speaker A: C'est ce que j'allais te dire, c'est qu'il y a en même temps le métal et les chansons beaufs. [01:53:04] Speaker C: Assumez le beauf qui entre en haut. [01:53:06] Speaker D: Il y en a qui assument bien bien. [01:53:09] Speaker A: J'ai le droit. [01:53:12] Speaker B: Pourquoi t'as fait une imitation de Mitterrand ? Parce que je suis un gars en même temps. [01:53:21] Speaker A: Si, si, je suis bien ringard, mais c'est très assumé. C'est très assumé, et je suis très fier de ça. [01:53:25] Speaker B: Tu défends juste parce qu'il est fan de corne, mais sinon... Bah non, faut. [01:53:28] Speaker C: Arrêter tout le temps de se déligrer comme ça. [01:53:30] Speaker A: Après quand on est fan de corne, on est déjà ringard un peu, donc il y a un petit truc... [01:53:33] Speaker D: Il y a un truc à assumer. [01:53:34] Speaker C: C'est pour ça aussi que je dis que c'est pas si... Moi je suis pas ringard, ok ? Tu te calmes maintenant ! [01:53:42] Speaker A: Bon, et les Killers alors ? [01:53:44] Speaker B: À part nous faire danser. [01:53:44] Speaker D: Non mais, c'est le moment où je plombe l'ambiance, ça a 20 ans. [01:53:49] Speaker A: C'était juste pour ça que tu nous fais chier avec cette chanson ? [01:53:52] Speaker D: Tu mets mon préféré dans le même, 30 ans ! J'ai appris après que My Chemical Romance aussi, pareil, mais oui l'album Hot Fuzz, donc premier album de The Killers, a 20 ans depuis deux jours peut-être, donc. [01:54:05] Speaker A: Du coup... 2004 c'était y a un an. Je te fais chier à la gueule en fait, parce que moi c'était quand je rentrais à OUIFM, ça faisait un an que j'étais rentré à OUIFM, et c'est pour ça que cette chanson je la connaissais par cœur très rapidement. Puisque comme c'est une FM, t'as 4 chansons qui tournent en boucle. Et je l'ai bouffée. Mais là tu viens de me faire comprendre que quand je suis rentré pour la première fois, que j'ai eu mon premier emploi, c'était il y a 20 ans. Excusez-moi ! [01:54:30] Speaker B: Et dire que ton dernier emploi c'était quasiment en même temps ? Ah le bâtard ! [01:54:37] Speaker A: C'était il y a 10 ans ! Ah non c'est pas non, il y a eu un autre emploi mais bon, ça compte pas vraiment. [01:54:44] Speaker D: Donc du coup, l'album Hot Fuss, il a 20 ans et j'ai un rapport assez particulier à cet album parce que c'est un des premiers albums de rock que j'ai écouté de mon époque, on va dire. Et en fait, ma découverte du rock, mon goût pour le rock ça s'est fait un petit peu en deux temps. [01:55:00] Speaker B: Attends tu peux l'en faire, les gens n'ont pas vu ! [01:55:03] Speaker D: Ça s'est fait un peu en deux temps, d'abord il y a eu American Idiot de Green Day et ensuite Hot Fuss de The Killers dans un style un peu différent parce que The Killers c'était plus dans un style un peu ce que j'ai appris ensuite, ce qu'on appelle le post-punk avec un côté New Wave en plus avec les synthés etc avec un côté un petit peu plus pop Un petit peu plus anglais, j'ai longtemps cru que le groupe était anglais, alors que non, ils sont de Las Vegas, on peut pas faire plus américain. [01:55:31] Speaker A: Ils sont très ricains. Après quand tu les regardes, il y a des paillettes. Il y a quand même beaucoup beaucoup de paillettes. [01:55:39] Speaker B: Moi, il y a une artiste comme ça, j'ai mis du temps à savoir qu'elle était grande britannique, c'est PJ Harvey. J'ai toujours pensé qu'elle était américaine. [01:55:49] Speaker A: Au moins New-Yorkais. Après il y a quelques raisons qui faisaient qu'on pouvait croire qu'elle était britannique. [01:55:57] Speaker B: Si j'avais regardé plus de photos, j'aurais pu le savoir. [01:56:00] Speaker A: Parce qu'elle a quand même un sourire qui est correct. Donc elle ne peut pas être britannique. Oui c'est méchant. On a dit on n'attaque pas. [01:56:07] Speaker B: Mais en même temps c'est un peu vrai. Est-ce que c'est vraiment méchant si c'est vrai ? Ça c'est un autre débat. [01:56:13] Speaker A: Le pauvre il est là, putain les gens les détestent. On adore les britanniques mais bon. Il faut qu'il arrête de manger de la salade sur le sol. [01:56:21] Speaker C: C'est à dire avoir un palais un petit peu plus développé quoi. [01:56:25] Speaker B: Bon après je rappelle que t'es belge et qu'une spécialité nationale c'est la pêche au thon. Non mais voilà, c'est toute la pêche au thon, ok, je m'arrêterai là. [01:56:35] Speaker C: Et les pickles aussi, c'est très bon. [01:56:37] Speaker B: Ça, les pickles c'est très bien. [01:56:38] Speaker C: Les pickles, oui. Sauce tartare, vous avez déjà goûté une bonne sauce tartare baraque à frites ? Ça oui. [01:56:45] Speaker B: Ça oui, mais la pêche au thon. [01:56:46] Speaker C: C'Est autre chose quoi. Ça c'est de la gastronomie. On commence pas à comparer avec ce. [01:56:49] Speaker B: Qu'On mange des fichiers de gaufres et. [01:56:51] Speaker A: Tout, c'est bon, en cas de con, ça se passe. [01:56:53] Speaker C: Les mangeurs de grenouilles ici commencent à faire des leçons. Allez faire caca dans la scène et revenez me parler. C'est prévu, c'est prévu le 23 juin. Parce qu'apparemment ils vont même pas nager. [01:57:04] Speaker B: C'est décalé parce qu'il y a eu trop de pluie au mois de mai et du coup ça va pas être bon encore pour la scène le 23 juin. Comme quoi un milliard cinq ça a pas suffi. [01:57:19] Speaker D: Faut 1,5 de plus. [01:57:21] Speaker C: Tu m'as compté tout le budget des JO en disant que ça n'a pas suffi pour les JO de base. Est-ce que j'ai cru comprendre ? [01:57:27] Speaker A: Elle a dit assez ! [01:57:29] Speaker D: C'est vrai. [01:57:30] Speaker B: Elle a dit assez des gens qui dénigrent. Elle a dit. [01:57:35] Speaker C: J'irai pas nager. [01:57:36] Speaker B: Non, elle a dit assez. Il y en a marre ! [01:57:40] Speaker A: C'est assez. [01:57:41] Speaker B: Trois fois elle l'a dit. [01:57:42] Speaker C: Arrêtez de critiquer. [01:57:43] Speaker D: Arrêtez de triquiter. [01:57:44] Speaker B: Bon, pardon, donc les Killers. [01:57:46] Speaker A: Je me suis perdu, j'ai eu plein de trucs dans la tête, mais après tout le temps, voilà, je me parie fou. [01:57:51] Speaker C: Somebody told me. [01:57:53] Speaker B: Donc 20 ans de cet album. [01:57:55] Speaker D: Et puis c'est un de mes premiers albums de rock que j'avais bien poncé dans tous les sens. J'avais été attiré par Somebody Told Me, donc premier single radio. Ensuite, il y avait Mister Brightside. Ensuite il y avait eu « Smile Like You Mean It », etc. Et puis ensuite les morceaux... Toujours du très efficace, en fait, sur cet album. [01:58:13] Speaker A: Cet album, il a la patate. [01:58:15] Speaker D: Il a la patate. Je pense que si je... J'ai pas testé, contrairement à d'autres albums un petit peu de mon adolescence, de le réécouter aujourd'hui, mais je pense qu'il passerait toujours bien. [01:58:23] Speaker A: Ouais, je pense aussi. [01:58:25] Speaker B: Il a un temporel, cet album. Après, ils ont changé un petit peu. [01:58:28] Speaker A: C'était un peu plus... Je trouve que les chansons qui ont suivi, il y avait quand même une... c'est pas que c'était moins efficace, c'était que c'était peut-être plus recherché, ils avaient envie de faire quelque chose de plus classe que ça. [01:58:42] Speaker D: Après très honnêtement j'ai pas trop suivi le reste de la carrière des Killers parce que j'étais passé, j'ai bien passé. J'étais un peu passé à autre chose depuis mais en tout cas cet album là voilà il a été sur mon chemin à un moment donné, il m'a appris des trucs et je l'en suis reconnaissant aujourd'hui même s'il me fait quand même avoir un petit coup de feu parce que 20 ans quand même. [01:59:00] Speaker C: T'as pas oublié de le rappeler ? [01:59:02] Speaker A: Non. 20 ans ! Quand à chaque fois on te dit c'était énorme mais nous on avait 16 ans il y a... 5 ans ! Bon allez on va regarder le clip de Somebody Told Me, le titre de. [01:59:14] Speaker E: Somebody Told Me des Killers c'est dans Bang Bang ! J'ai 17 tracks et je l'ai fait. [01:59:44] Speaker A: Avec ce jeu ! [01:59:45] Speaker E: J'ai 17 tracks et je l'ai fait. [01:59:52] Speaker B: Avec ce jeu ! J'ai 17 tracks et je l'ai fait. [01:59:54] Speaker A: Avec ce jeu ! [01:59:55] Speaker E: J'ai 17 tracks et je l'ai fait avec ce jeu ! J'ai 17 tracks et je l'ai fait avec ce jeu ! c'est pas la même chose. [02:00:40] Speaker A: C'est parti pour le tour. [02:00:43] Speaker E: Du monde ! Well, somebody told me you had a boyfriend He looked like a girlfriend that I had in February Of last year, it's not confidential I've got potential, rushing, rushing around Place yourself on me. [02:01:30] Speaker C: I. [02:01:31] Speaker E: Said maybe, baby, please Mais quelqu'un m'a dit que tu étais un pauvre J'ai le potentiel ! [02:02:51] Speaker A: Musique d'outro. [02:03:59] Speaker B: Non. [02:05:53] Speaker E: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:06:00] Speaker A: C'est le cow-boy avec les Bruce Vash ! [02:06:05] Speaker D: Cette fois il n'a pas fait les yeux laser quand même. [02:06:07] Speaker A: Non mais le clip est très beau encore une fois, Falling in reverse, comme je l'ai déjà dit, mec sur qui je chie, mais en même temps... Il a constaté ? [02:06:16] Speaker B: Ah non je ne sais pas, enfin. [02:06:17] Speaker A: Peut-Être, je ne sais pas s'il aime ça et il fait ce qu'il veut, ça ne me regarde pas. Mais les derniers morceaux qui sont sortis, je trouve tout bon, je trouve ça très très bon. Les clips sont très beaux, c'est marrant, il y a un côté décalé quand même. [02:06:28] Speaker B: Et puis il y a un côté fun de Kid Rock. [02:06:35] Speaker A: Du coup voilà l'Amérique qui revient un petit peu sur ses bases, la country music. [02:06:40] Speaker C: Avec un feat quand même légendaire. [02:06:43] Speaker A: Mais du coup, qu'est-ce qu'on en pense ? Moi j'aime bien, j'ai dit j'aime bien. Je parle pas de l'homme, je parle de la chanson. [02:06:51] Speaker C: Tu veux dire qu'on doit séparer l'homme de l'artiste ? [02:06:53] Speaker A: Bah écoute, moi je dis oui. Il y a un débat, il y a un débat à SES où j'en discute, donc il y a mon avis. [02:06:58] Speaker B: Je n'ai aucun souci avec ça. [02:07:00] Speaker A: De temps pris, commence ! Mets-toi dans la merde aussi ! [02:07:03] Speaker B: Non, non, moi j'ai aucun problème, de toute façon les gens me détestent toujours. C'est vrai. Non, non, moi je trouve que c'est bien fait. C'est un tube radio, c'est un tube télé, c'est un truc... Moi personnellement je n'irais pas l'écouter. Mais voilà, je trouve que c'est bien fait. Et après, l'homme, bon, il est complexe, mais bon... Je veux dire, au final, il a... De ce que je sais, il n'y a plus rien contre lui. Enfin, il n'y a pas vraiment de... Il y a beaucoup de choses qu'il dise qui ne sont pas vraiment vraies. Il y a des trucs, c'est un peu des concours de circonstances. [02:07:40] Speaker C: Alors moi, j'ai une petite remarque pour ce clip. Alors déjà, j'ai fait une vidéo sur lui parce que c'est quand même un personnage qui est très très controversé. [02:07:49] Speaker A: Et... [02:07:50] Speaker C: Je pense que c'est le plus gros troll de la scène de métal. [02:07:52] Speaker B: Mais c'est sûr ! [02:07:53] Speaker C: Parce que ce morceau, déjà c'est un morceau country avec du métal dedans, avec un feat avec une star de la country. Et dans le clip, je ne sais pas si vous avez remarqué, il y a Blair White qui est en fait une femme youtubeuse qui a fait sa transition il n'y a pas si longtemps. qui est très controversée. En fait il a fait ce clip aussi pour faire un gros fuck à toutes les personnes qui le traitent de transphobe, etc. Elle-même est une personne très controversée parce que c'est une meuf qui a été, avec une casquette maga, en plein strip, commencer à créer la polémique elle aussi, parce qu'elle aime bien ça, comme monsieur Ronny Redkey. Et donc ouais je pense que c'est un des plus gros trolls qu'on ait jamais vu et ça marche quoi ! Tu vois le nombre de vues que ça a fait en trois jours quoi ! [02:08:41] Speaker A: C'est monstrueux ! [02:08:43] Speaker C: Il vient de commencer à teaser qu'il va venir en Europe l'année prochaine et je pense honnêtement que les tickets vont partir en même pas quelques secondes quoi ! [02:08:52] Speaker B: Et aussi sur la tournée il y a Slaughter to Prevail qui est aussi un peu controversé donc je pense que c'est la totale. Mais lui en fait de toute façon depuis le début il aime un peu foutre des coups de pied dans la fourmilière. [02:09:07] Speaker C: Il est très doué pour ça, il sait comment utiliser... [02:09:09] Speaker A: C'est peut-être plus subtil, c'est peut-être mieux fait aujourd'hui qu'au début parce que c'était très agressif quand même au début. [02:09:14] Speaker B: Je pense que c'est juste qu'aujourd'hui, il a plus de moyens. En fait, il a une aura qui lui permet de faire des trucs de manière beaucoup plus classe que ce qu'il faisait avant. Mais s'il peut faire ça aujourd'hui, c'est parce qu'il faisait ça avant. Je pense qu'après, le perso, il a toujours été... Après, là, j'ai l'impression aussi qu'on retourne dans l'ère du clash. Enfin, je sais pas, il y a Eminem aussi qui a sorti Oudini. [02:09:37] Speaker C: Oudini avec des reflets allumés. En fait c'est un peu cringe parce que lui il est déjà un peu plus vieux et il fait un peu art. [02:09:44] Speaker D: Il a quoi 50 piges maintenant ? [02:09:46] Speaker B: Après il saute aux vannes là-dessus lui-même mais bon le morceau est pas ouf. [02:09:53] Speaker C: Ouais parce qu'il essaie de faire des vannes sur la concert culture, essaie d'avoir un petit peu son nom à dire sur la culture de maintenant en 2024. Mais tu sonnes quand même comme un daron qui fait encore du rap à l'ancienne même si t'es le meilleur, ça sonne un petit peu cringe quand même quoi. [02:10:06] Speaker A: Moi j'ai pas accroché donc... Non, non. [02:10:09] Speaker B: Mais toujours est-il que c'est ce côté un peu provoque pour faire parler et. [02:10:13] Speaker C: Puis... De nouveau, moi René Radkis, c'est un personnage que je trouve fascinant même si c'est un connard fini, on est tous d'accord là-dessus. peu importe qu'on soit d'accord avec son discours ou quoi, la manière dont il aborde ses discours est ultra provocatrice, et très clivante, et il passe son temps, genre il est revenu sur Instagram, il fait je pense trois vidéos par jour, où il passe son temps à dire « toi tu veux me parler, toi t'es un connard, toi tu veux me parler, toi t'es une connasse », et il fait que ça. Parce qu'il sait que ça fonctionne ! [02:10:42] Speaker A: Je savais pas qu'il faisait ça. [02:10:44] Speaker B: Je le suis passé pour savoir ça. [02:10:46] Speaker D: C'est comme appuyer sur les triggers de la bêtise. [02:10:51] Speaker C: Il a vu un tableau avec tous les boutons qu'il devait appuyer juste pour créer la polémique, il a appuyé sur tout. Il est vraiment moche. [02:10:59] Speaker D: Il a roulé sa tête dessus. [02:11:01] Speaker A: Et faire des sujets sur des artistes comme ça, c'est une prise de risque ? C'est quelque chose où tu dis, il faut en parler parce qu'il faut décrypter aussi l'ensemble du truc ? [02:11:11] Speaker C: Il faut en parler parce que je pense que les gens ne sont pas au courant, parce que c'est plus un personnage américain qui a vraiment en fait, tout ce qui est polémique, ça fait beaucoup de bruit aux Etats-Unis. En tant qu'européen, nous on est très loin de tout ça. Surtout quand t'as des polémiques, enfin genre Blair White par exemple, on n'est pas au courant de qui c'est ici en Europe. C'est quelqu'un qui a fait une polémique vraiment aux Etats-Unis. Et on n'a pas vraiment le recul aussi sur tout ce qui se passe de la sphère Twitter, vraiment toute la sphère américaine là-dedans. Et c'est pour ça que je voulais faire une vidéo là-dessus, parce que je pense que le public européen, s'il va le voir l'année prochaine, je pense que ce serait bien quand même qu'il soit au courant de tout ce qu'il a traversé depuis le début, ce qu'il a fait traverser à des gens, et tous les casseroles qui lui collent au cul. [02:11:49] Speaker D: Qu'Ils aient eu en connaissance de cause quoi. [02:11:50] Speaker C: Ouais voilà, au moins vous allez le voir, si vous allez le voir, si vous payez vos places de concert, que vous aimez sa musique et tout, au moins vous aurez un petit feedback sur son background quoi, sur un petit peu qu'est-ce qu'il... [02:11:59] Speaker A: Si on vous fait d'ailleurs quelques petites réflexions, vous sachez pourquoi. [02:12:02] Speaker C: Non c'est ça, mais au moins tu peux pas faire l'autruche tu vois. Moi je reste assez neutre en fait quand j'aborde ce genre de vidéo, je suis pas avec un parti pris, je suis pas là pour dire ça c'est bien, ça c'est mal, je pense que chacun est quand même capable de comprendre que s'il a été pris dans un truc où il a failli tuer quelqu'un, enfin où je sais plus exactement ce qui s'était passé, peu importe tout ce qu'il a fait, les histoires qu'il a eues avec des fans, etc. Je suis pas là pour dire, si t'y crois, c'est... Enfin, ça t'appelle pas de toi une mauvaise personne ou pas. Je pense que ça, les gens sont assez grands quand même pour savoir... Non. [02:12:37] Speaker A: Parce que sur Internet, ça va très vite. On disait, les gens peuvent s'enflammer et ça peut être un sujet où des gens se désabonnent, où d'un seul coup t'as un... Enfin, tu vois ce que je veux dire ? Ce sentiment de bad buzz alors que t'as donné juste une information. C'est compliqué, c'est une grande décision je trouve, non ? [02:12:51] Speaker C: Bah honnêtement sur cette vidéo j'ai pas eu vraiment de remarques très... vraiment... on va dire... violentes. [02:12:57] Speaker B: C'est que t'as bien réussi ton... [02:12:59] Speaker C: Mais par contre j'ai eu beaucoup de remarques de gens qui ont dit ah bah merci j'étais pas au courant. Et je pense que c'était ça le plus important en fait, de juste mettre au courant les gens quoi. Que de commencer à dire... à faire le donneur de leçons en disant si t'écoutes René Rattke t'es un connard fini. [02:13:14] Speaker B: Aujourd'hui il y a beaucoup de raccourcis qui sont faits. [02:13:18] Speaker C: Mais au moins maintenant t'es au courant. [02:13:22] Speaker B: C'est plus mon problème. [02:13:24] Speaker C: Quand on parle de séparer l'homme et l'artiste, quand t'écoutes un artiste après être au courant de tout ça, A toute façon tu ne l'écoutes pas de la même manière. [02:13:34] Speaker A: Tout à fait, je pense à beaucoup d'artistes. [02:13:38] Speaker B: Moi dont un dont je parlais tout à l'heure, je sais déjà que je vous le dis, il va y avoir un pavé dans la marme. [02:13:43] Speaker A: Oh là là là là là là là ! C'est une notice depuis tout à l'heure ! Dis-moi dans les choix que tu as fait, ça je ne connais absolument pas. [02:13:52] Speaker B: Et d'ailleurs tu n'arrives pas à le dire. [02:13:55] Speaker A: Affen... Affenpinschers. [02:13:56] Speaker C: Affenpinschers, ouais. [02:13:58] Speaker A: Je ne connais pas, je ne sais pas du tout ce que c'est. [02:14:01] Speaker C: C'est des potes, c'est un groupe de hardcore belge. Et en fait dans le trio, parce qu'ils sont trois donc c'est un power trio de hardcore. Donc il y a Jules qui est au chant, et Thibaut et Gilles qui sont des très bons potes à moi. et Jules en fait est un gars qui était guitariste pour Landmarks pendant des années, donc il vient de Marseille, et ça faisait des années que je suivais le projet Affenpincher et je savais pas en fait que c'était son projet à lui. Et quand il est venu à Bruxelles, il a émis un message en disant ouais je cherche des musiciens parce que je veux continuer mon groupe, et moi j'étais fan de ce qu'il faisait déjà avant, donc il avait fait des feats avec les gars de Landmarks ou Novelist, Et j'avais dit bah ça tombe bien, j'ai des potes qui cherchent un projet et donc au final ils ont rejoint son projet et maintenant ça commence à pas mal tourner. Moi je suis parti en tournée avec eux, je les avais accompagnés, ont été descendus jusqu'au MarsFest justement l'année passée et ça commence à bien marcher pour eux aussi donc voilà. C'était pour un peu représenter un peu le hardcore belge, qui est quand même une scène qui bouge pas mal. [02:14:57] Speaker A: C'est ça, j'allais te poser la question justement, s'en est où le hardcore en Belgique ? [02:15:01] Speaker C: Ouais mais ça tourne pas mal et justement niveau francophone on a quand même pas mal de groupes qui ont fait pas mal leurs preuves. Sur Joffery ou Doordaai, c'est des groupes, Doordaai qui ont encore joué au Belfest l'année passée. Et donc voilà. [02:15:11] Speaker A: Bon bah on va regarder ça, c'est une découverte. [02:15:14] Speaker C: Très bonne scène. [02:15:14] Speaker A: Toi t'es fan de la scène hardcore belge ? [02:15:19] Speaker B: Fan, non, mais j'écoute quelques trucs et il faut avouer que c'est très efficace. [02:15:25] Speaker A: Avant de lancer la chanson, je suis désolé. [02:15:27] Speaker B: C'est un peu ton émission, Pierre. [02:15:33] Speaker A: Il y a des festivals comme ça hardcore en Belgique ? [02:15:36] Speaker C: Oui, il y en a un blindé. Il y a l'Hipperfest qui est quand même un très très gros festival de hardcore au court trait. [02:15:47] Speaker B: Il y a beaucoup de concerts, c'est une scène qui est très active, il y a énormément de concerts. concerts qui sont un peu sous forme de mini festivals avec quand même pas mal de groupes qui s'enchaînent. [02:15:57] Speaker C: Il y a un truc, je sais plus comment ça s'appelle, qui s'est passé l'année passée, c'était genre un truc genre Superbowl du hardcore aussi belge, où il y avait d'autres festivals vraiment pur hardcore belge et ça tourne, c'est très vite sold out ou très vite bien rempli quoi, donc c'est très très vivant quoi. [02:16:12] Speaker A: C'est plus facile d'organiser un concert en Belgique qu'en France ? Si tu es au courant comment ça se passe en France, j'imagine que oui. [02:16:18] Speaker C: Je ne sais pas trop. En fait, le hardcore c'est un truc qui fédère très rapidement et c'est des gens assez engagés dans cette scène aussi. Quand tu as un gros event comme l'Hyperfest, généralement on sait que ça va être The Place to Be. C'est pas comparable mais c'est un peu le même engouement qu'on va dire pour le Hellfest, pour les Pétables de France. L'Hyperfest c'est un peu l'engouement pour le hardcore belge, pour les belges. Mais des festivals de manière générale, le Grasse Pop vient d'être sold out hier je pense. [02:16:43] Speaker A: Mais en termes d'organisation, c'est-à-dire quand tu dis tiens j'ai envie d'organiser un concert, nous il y a des tas de... [02:16:48] Speaker B: Je pense que c'est un peu comme chez nous, après la différence c'est que je pense que sur la scène hardcore c'est des groupes qui sont tellement habitués à être dans des conditions de merde qu'il y a un petit peu l'événement. [02:17:01] Speaker C: De l'année qui rassemble. Mais il y a plein de petits fest en Wallonie, il y a le Durbuy, le Durbuy Rock, qui existe depuis des années, et ça reste encore aussi un endroit qui bouge pas mal, mais de nouveau, en fait, c'est ça que tu me demandais par rapport à la Belgique, tu vas pas voir beaucoup de flamands au Durbuy Rock, alors que c'est quand même pas loin de la Flandre, quoi. Et par contre, les francophones vont beaucoup aller au Grasse Pop, quoi. Mais c'est toujours un peu contradictoire. C'est deux cultures différentes en fait. [02:17:31] Speaker B: La fiche du Grasse Pop est quand même beaucoup plus grosse que la fiche du Derby. [02:17:35] Speaker C: Oui c'est ça. Le niveau de programmation n'est pas le même du tout. Mais juste pour te dire du coup, c'est que les programmations vont toujours être plus grosses du côté flamand généralement. Mais c'est pas pour ça que du coup en Francophonie il n'y a pas des festivals. Il reste encore deux ou trois événements comme ça. [02:17:52] Speaker A: C'est juste la différence qu'il y a encore entre ces deux cultures. Ok, j'en apprends tous les jours, c'est ça qui est bien avec cette émission, et c'est ça qui est bien avec de bons invités. [02:18:00] Speaker C: Moi je pourrais t'en parler encore pendant deux heures, parce qu'il y a encore plein de choses à dire. [02:18:02] Speaker A: Ah bon, on va en parler en antenne après, parce que si tu veux en parler pendant deux ans... [02:18:05] Speaker B: Il ne nous reste pas deux heures, je vous confirme. [02:18:08] Speaker A: Bon, on va regarder donc les amis de la manne qui s'appelle... Affenpinscher. Affenpinscher, avec Speed Absolves Us. [02:18:18] Speaker B: C'est qui qui le lance ? C'est toi qui le lance ? [02:18:19] Speaker A: Ah non, c'est lui qui le lance, allez vas-y, lance-le. [02:18:21] Speaker E: Affenpinscher ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est génial ! Motherfuckers ! My friend ! With the useless goals Spastique Désir. [02:22:44] Speaker B: POSSIÈRE. [02:22:44] Speaker E: DE SUIVRE UN SPRINGTRAP ! T'as pas l'aise hein ? J'ai enfin entré à l'intérieur de la churche Les gens étaient là-bas Ils m'ont attrapé en pleurant Surpris de me voir S'il vous plaît, s'il vous plaît Dites-moi ce qui s'est passé Et oui, même si c'est dégueulasse Je suis responsable pour les autres Juste comme vous m'avez dit Mais ça ne me semble pas bien It doesn't feel right to me Sometimes it's best not to look for what's missing But that's not it That's not the way it happened In the garden, my violent dreams Weeds are flying over my chapel, this demonetary dream But my dream's vanishing to nothingness My life has been stolen again, strange among our exiled. [02:28:36] Speaker D: Land. [02:29:31] Speaker E: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:30:57] Speaker A: Ah ben ça c'était fameux, c'était bien, c'était léger, c'était goûtu. En tout cas c'est très bien fait. Et ça c'est un choix encore une fois de Monsieur Enjoy The Noise. Et ça s'appelle comment ? Matras. [02:31:08] Speaker D: Ça s'appelle Matras. [02:31:09] Speaker A: Avec deux S. [02:31:11] Speaker B: Quoi ? [02:31:11] Speaker A: On touche pas à matrasse ? [02:31:12] Speaker B: Ah ouais, bien sûr. J'ai cru que tu parlais de toucher. [02:31:16] Speaker D: Ma matrasse, mais... Non, alors... Non, j'ai eu peur. [02:31:20] Speaker A: La mienne était déjà limite, donc... Non. [02:31:22] Speaker D: Mais c'est ce que j'avais entendu, en fait. [02:31:23] Speaker C: Petite blague matresse... Moi, j'avais une blague. [02:31:26] Speaker B: Sur le curry matrasse, mais madrasse... [02:31:29] Speaker D: Voilà, c'est plus fin. [02:31:31] Speaker A: Il y a un peu plus de recherche. [02:31:33] Speaker B: Ouais, ouais, ouais, mais du coup, j'ai pas fait. [02:31:38] Speaker A: Le désespoir, regardez le désespoir ! [02:31:41] Speaker B: J'avais préparé ça depuis deux semaines, je vous en souviens. Et là, ils vont remettre la trace, parce que la cocaïne c'est cool. [02:31:52] Speaker A: Pourquoi tu as choisi ma trace ? [02:31:53] Speaker B: Sachez que c'est faux, la cocaïne c'est pas cool. [02:31:55] Speaker D: Non, ça ne l'est pas. [02:31:58] Speaker A: Non, cela ne l'est pas. C'est mal voyé ! [02:32:02] Speaker B: C'est mal voyé ! [02:32:05] Speaker D: Ma trace en attendant, c'est un groupe français, c'est un groupe de post-metal français qui est actif depuis 2016, il me semble, qui vient de sortir son premier album, enfin, qui vient de le sortir, il est sorti le mois dernier. L'album s'appelle Cathedrals, comme le morceau qu'on vient d'écouter, qui est le titre de conclusion de l'album. C'est un groupe qui plaît à la fois À la fois à ceux qui aiment le rock-hatmo, à ceux qui aiment le gros son, le gros son bien lourd, etc. Quand on aime les deux comme moi, c'est le jackpot. En prime avec la chanteuse Clémentine Brown qui sait à peu près tout faire. Donc très bon groupe à suivre, Matras, qui avait sorti un EP je crois en 2022 et là c'est son premier album. [02:32:52] Speaker B: Alors apparemment elle sait tout faire mais apparemment ses omelettes sont pas ouf. C'est juste Donald préciser quand même. Elle sait tout faire, mais pas les omelettes quoi. Celle-là, je ne l'avais pas préparée, elle vient de venir. [02:33:06] Speaker A: C'est vrai qu'elle regarde cette émission et qu'elle réagisse. [02:33:11] Speaker C: Elle fait tout et aussi le café. [02:33:14] Speaker B: Non, ça c'est beaucoup trop sexiste. Par contre, je serais pour qu'on cuisine avec des musiciens. J'ai ce souvenir de Ray Cox qui faisait des pizzas avec Megadeth. [02:33:28] Speaker A: Ray Cox ? Il était quoi avec la foudre ? [02:33:30] Speaker C: C'était pas à Welfest qu'ils avaient fait ça pendant le Covid ? Un truc vraiment en mode... [02:33:34] Speaker B: Je sais pas. Cuisinoir avec les métalleux... Moi je te parle d'une émission qui était dans les années 90. Ah ouais, j'étais pas né... Et ils faisaient des pizzas avec Megadeth. Et autant te dire que c'était quelque chose. [02:33:48] Speaker A: Ah ben, avec David Boutarde. Voilà. Bon, sur ma trace, ça s'écrit comment ? M-A-T-R-A-2-S. [02:33:55] Speaker D: Voilà, exactement. [02:33:56] Speaker A: Tout simplement, pour vous retrouver tout simplement. [02:33:57] Speaker B: Dites-le bien en même temps, mais pas vraiment en même temps, comme ça, c'est parfait. [02:34:00] Speaker C: Ouais. [02:34:01] Speaker A: Tu veux le redire ou ? [02:34:02] Speaker D: M-A-T-R-A-2-S. [02:34:03] Speaker B: Voilà. [02:34:05] Speaker A: On va faire un point... Ça va, ça t'a goûté ou quoi ? [02:34:07] Speaker C: Le point est bon. [02:34:08] Speaker A: Non mais si c'est comme ça ce soir, je rentre pas à la maison. [02:34:10] Speaker B: Ah bah, j'espère bien. [02:34:12] Speaker E: On. [02:34:14] Speaker D: Connaît un qui va dormir sur le canapé. [02:34:16] Speaker A: Non, j'ai plein d'amants, je m'en fous. Alors ? [02:34:19] Speaker B: Dans ses rêves... [02:34:22] Speaker A: La choucroute ! [02:34:24] Speaker B: La choucroute, si tu veux une saucisse ! [02:34:26] Speaker A: Alors attention, c'est un film. C'est un grand détournement. [02:34:31] Speaker C: Avec Enjoy, on vous regarde, on ne juge pas. [02:34:34] Speaker A: Si, il nous juge tout le temps, lui. [02:34:37] Speaker D: Tout le temps, mais c'est constant, donc. [02:34:38] Speaker A: Ça ne change rien. Alors, les concerts, parce qu'on fait un point sur les concerts, vous le savez, et on commence à partir du 17 juin, puisque comme ça, pour ceux qui regardent la VOD, ils ne sont pas perdus dans les dates. Lundi, que va-t-il se passer ? Eh bien lundi, il y a Turnstyle à l'Olympia. Voilà, donc si vous n'avez pas votre ticket, c'est tant pis pour vous. [02:35:02] Speaker C: C'est complet depuis très longtemps à mon avis. [02:35:04] Speaker A: J'imagine. C'est très tendance. Sinon, mardi, c'est le gros poisson. Mardi, c'est Green Day avec The Interactors. T'es à l'accord Arena, si je ne dis pas de bêtises, samedi. C'est à l'accord ou c'est à la défense ? On s'en fout. L7, parce que si vous n'avez pas oublié, il n'y en a plus non plus. L7 au Trianon, ça c'est plutôt cool, si vous voulez connaître un petit peu les groupes des années 90, là on fait partie. Mercredi 19 juin, il y a Megadeth au Zenith. [02:35:30] Speaker B: Ah bah, préparez les pizzas ! [02:35:33] Speaker A: Et il y a MS Paint au Supersonic, je vous conseille. Jeudi, 20 juin, il y a Bar Italia à La Cigale, oui je sais c'est du post-punk. [02:35:41] Speaker B: Avec un nom comme ça. [02:35:43] Speaker A: Ils sont pas italiens. [02:35:43] Speaker B: Ah ouais ? Bah non, j'imagine bien. [02:35:46] Speaker C: Ils sont anglais. Déjà Megadeth prend les pizzas ici et... [02:35:49] Speaker B: Ça fait dépouiller de sa culture. Le vent poupant. Maneskin... Miskine. [02:35:58] Speaker A: Bien vu, bien vu. Il est fort. Samedi 22 juin, il y a Royal Blood à l'Olympia pour un premier round. Il y a Ty Seagull et Earth Tongue à l'Elysée Montmartre. Et il y a Aaron Jones à l'empreinte à Savigny-le-Temple. Et dimanche 23 juin, il y a encore une fois Royal Blood à l'Olympia. [02:36:13] Speaker B: Mais vous ne pourrez pas y aller parce que vous serez en train de regarder notre émission. [02:36:16] Speaker A: Et puis c'est complet. De toute façon, il y a des complets en deux secondes. Et moi, j'ai des places à vous offrir. [02:36:22] Speaker D: Je voulais juste ajouter un petit truc aussi, du vendredi 21 au dimanche 23, il y a le Rock in Bourlon, à Bourlon, qui est un excellent festival. [02:36:30] Speaker B: Où tu seras ? [02:36:31] Speaker D: Où je serai ? [02:36:32] Speaker A: Eh ben voilà, notre grand reporter ! [02:36:34] Speaker D: Tout à fait. [02:36:34] Speaker B: On compte sur toi, on promet sur le terrain. [02:36:36] Speaker A: On compte sur toi, tu vas nous faire du contenu, de toute façon t'es pas payé. [02:36:40] Speaker C: Grindé en plus, c'est le concert de la tournée où ils jouent exclusivement Dookie et American Idiot ? [02:36:45] Speaker A: Excellente question. [02:36:48] Speaker D: Vu ce qu'ils viennent de jouer à Lyon, ça doit être ça. [02:36:50] Speaker C: Parce que j'ai vu vraiment la salle vraiment gigantesque avec les deux pochettes sur scène. [02:36:55] Speaker A: C'est toujours bien Grenadier sur scène en vrai, qu'on aime ou qu'on aime pas c'est un bon groupe en vrai. [02:37:00] Speaker B: D'ailleurs il y a eu une photo de... Attends c'est quoi qu'il est allé voir ? C'est Taylor Swift ? [02:37:07] Speaker A: Qui ça ? [02:37:08] Speaker B: Billy. Je crois qu'il est allé voir Taylor Swift à Lyon. Il a mis sa petite vidéo de lui parce qu'il était déjà à Lyon. [02:37:19] Speaker A: Punaise, mais ça c'est parce qu'il aime bien les manger sur Lyon, il connaît... [02:37:22] Speaker B: Ah bah oui, sûrement il doit... Il cuise des grenouilles. Je vois pas d'autre explication. [02:37:28] Speaker A: Sûrement. C'est un homme bizarre. Vert. Moi j'ai des places donc de concerts à vous offrir parce que c'est ça qui est important pour vous. C'est des places pour aller voir Biohazard. Vous savez c'est dans cette série de groupes de vieux. Et bien eux en font partie mais on les aime beaucoup. C'est à la machine du Moulin Rouge et donc j'ai des places à vous offrir. N'hésitez pas à jouer immédiatement en envoyant un petit email à pierrearobazresles.com pierrearobaz rstlss.com Vous mettez votre nom, votre prénom. Et vous serez tirés au sort dans la soirée, je vous envoie un petit mail, parce que ça se passe quand même, mardi 11 juin. Voilà. Donc c'est dans deux jours. [02:38:01] Speaker B: 11 juin c'est beaucoup. [02:38:05] Speaker A: Tu dois avoir les yeux bien rouges à la fin. Tu dois ressembler à Carpenter. C'est plat ! [02:38:11] Speaker B: Pardon, excusez-moi. Comme la pizza de Dagmar Stoltz. [02:38:18] Speaker A: On va regarder un petit clip de Grimdy parce que je me suis dit que ça fait toujours du bien. J'ai mis le gros gros gros classique, pas le vieux classique, mais le gros classique, American Idiot. Toi Grimdy, ça te parle ? [02:38:29] Speaker C: Ah oui, clairement. J'ai pas envie de dire que la prochaine Timeline a un lien avec Green Day, mais... Et je sais pas quand elle sort cette émission, mais... [02:38:37] Speaker A: Mais peut-être qu'elle sort dans... Peut-être que. [02:38:39] Speaker C: Ça tombera peut-être en même temps qu'une Timeline qui n'a rien à voir avec. [02:38:43] Speaker A: Green Day, mais... Ok, allons-y. [02:38:47] Speaker C: Je suis dans le négatif, mais... Non mais Grindelwald oui clairement c'est un groupe je pense que comme tout le monde on a aussi vu ça à la télé constamment c'est un des vrais groupes de punk enfin de punk avec des guillemets mais vraiment de pop punk punk rock qui passait H24 au radio à la télé et que Tu sais que. [02:39:07] Speaker A: Moi c'est pour ça que je l'ai détesté au début. Quand il y avait Basket Case qui passait en boucle. Tu l'as eu deux fois du coup. [02:39:14] Speaker C: T'as eu l'époque Dookie et l'époque American Idiot. [02:39:17] Speaker B: En plus il était à WeFM après. [02:39:20] Speaker A: Et je me suis dit putain mais American Idiot là je me suis réconcilié avec l'ensemble parce que même si je l'entendais en boucle c'était le boulot donc ça me gênait moins que quand t'allumais la télé il y avait Grindé tout le temps puis avec ses têtes là il me faisait flipper. Pour moi c'était vraiment flippant, il y avait un truc qui me gênait. Bon, aujourd'hui je trouve ça très bien. [02:39:41] Speaker D: En tout cas, American Idiot, comme je disais tout à l'heure, hormis Hot Fuss de The Killers, avant il y avait eu American Idiot de Green Day qui m'avait fait... C'était mon premier vrai contact avec le rock de mon époque, hormis ce qu'écoutaient mes parents, ce genre de choses. C'était le premier album que j'ai de rock qui m'a vraiment fait me dire « Ah ouais, en fait j'aime ça ». Vraiment j'aime ça. [02:40:00] Speaker C: Ah parce que c'est tellement bien écrit. [02:40:02] Speaker D: Bah oui, il est super bien écrit et en même temps hyper accessible. Même quand il y avait des morceaux au fleuve, des morceaux à tiroir, etc. C'était hyper accrocheur. [02:40:10] Speaker C: Et puis ça tombait à une période assez importante parce qu'ils ont failli arrêter en fait, avant American Idiot. Ils étaient vraiment au fond du gouffre. Ils voulaient plus faire de la musique parce que les chiffres ça descendait au fou. Ils avaient l'impression d'être les vieux ringards dans une scène punk qui commençait vraiment à remonter. Avec les 71 bling etc. qui arrivaient et qu'eux ils se retrouvaient en mode Allez, on peut retourner avec les petits jeunes ! [02:40:30] Speaker D: C'est nous les darons ! [02:40:31] Speaker C: On est les darons maintenant et il va falloir essayer d'être pertinent là-dedans. Et puis ils ont sorti American Idiot, qui est quand même leur deuxième plus gros album avec Dookie. [02:40:40] Speaker D: Moralité, j'ai découvert le punk-rock avec American Idiot et ensuite après j'ai découvert les petits jeunes de l'époque en tout cas. [02:40:47] Speaker C: Sum 41, etc. Comme quoi ça sert, des gros groupes comme ça qui cassent les oreilles et qui n'ont pas envie d'écouter. [02:40:53] Speaker A: Oui puis Sum 41 maintenant c'est les vieux puis ils arrêtent. [02:40:55] Speaker E: C'est ça, alors que Grenier continue ! C'est parti pour le tour du monde ! C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est la seule façon de vivre ! C'est la seule façon de vivre ! Bien à. [02:46:08] Speaker B: L'Abri, c'est ça qu'a passé. [02:46:10] Speaker A: Remove the unnecessary from the mind Save. [02:46:13] Speaker B: Me, the truth is reachable Open up. [02:46:15] Speaker A: The doors and we'll be able to. [02:46:18] Speaker E: Crack the riddle Face your times, fight for what's undone C'est génial! [02:47:42] Speaker A: Et c'était quoi ça mon p'tit Ben ? Qu'est-ce que c'était que ce groupe-là ? [02:47:45] Speaker B: Je me demande bien dit que c'est ! [02:47:46] Speaker A: Mon dieu ! Mais je ne connaissais pas ! [02:47:48] Speaker B: J'sais pas, en tout cas y'a un sacré BG dedans. [02:47:52] Speaker A: Y'a plein de BG dans ce groupe-là. [02:47:53] Speaker B: Y'A que des BG dans ce groupe-là. [02:47:54] Speaker C: Y'en avait un qui ressemblait à quelqu'un qui est sur le canapé quand même. [02:48:00] Speaker A: Y'a un truc ! Non, c'est ton groupe ? [02:48:07] Speaker B: Exact. [02:48:07] Speaker A: Sans d'encre, donc ? [02:48:08] Speaker C: Sans d'encre, ouais. On vient de sortir le morceau, donc c'était hier, en fait. Et donc voilà, c'est un tout nouveau projet sur lequel je bosse depuis deux ans. Et vous avez peut-être reconnu, en fait, du coup, les gars d'Affenpinscher qui sont donc le bassiste et le batteur. Le batteur qui n'est pas officiellement dans le groupe, mais voilà, c'est notre batteur aussi. [02:48:25] Speaker D: Un musicien de session depuis 15 ans, lui aussi. [02:48:27] Speaker C: Voilà. Mais ouais donc voilà c'est le premier clip sur lequel aussi j'ai bossé. On parlait un petit peu technique et réal dessus juste avant en off. [02:48:36] Speaker A: Parce que ton métier pour pouvoir vivre et avancer c'est ? [02:48:41] Speaker C: De l'animation et de la vidéo quoi. [02:48:44] Speaker A: Ok, donc comme quoi il y a un truc quand même... Bah ça aide. [02:48:47] Speaker B: À faire des jolies choses quand on le fait quand même. [02:48:50] Speaker C: J'ai toujours trouvé que la création vidéo de toute façon allait de pair avec le visuel et un peu la déa que tu veux apporter parce qu'il faut que ça match de toute façon je pense que quand on écoute de la musique on a toujours des images en tête mais quand tu veux créer quelque chose et c'est d'amener un univers surtout quand t'as rien sorti Il faut essayer d'amener dans le premier morceau déjà une bonne part de cet univers. [02:49:09] Speaker A: C'est ce morceau-là qui marque le début de notre aventure. On te le souhaite. Et il y a des choses qui vont arriver autour de « Sans d'encre ». Vous avez une visibilité un petit peu ? [02:49:21] Speaker C: Bah là, ce premier morceau du coup qui est sorti hier, mais on va sortir d'autres morceaux par la suite, etc. On n'est pas dans un délire où on veut vraiment devenir un groupe qui tourne, etc. On est plus vraiment des gros geeks où on veut sortir des bons morceaux avec quelque chose un petit peu travaillé au niveau des lyriques, c'est de l'histoire, etc. [02:49:37] Speaker B: C'est plus le côté création que le côté rockstar qui nous intéresse quoi. Après si vous pouvez devenir des rockstars qui tournent à travers le monde, vous direz pas non quoi. [02:49:45] Speaker C: Ah, je sais pas. C'est pour ça que je suis content que les autres aient la fun pincher aussi parce qu'eux ils ont plus envie de tourner blindé et nous peut-être un peu moins et donc voilà. Le plus c'est en fait quand j'ai commencé YouTube c'était aussi de pouvoir essayer d'amener, de vouloir faire de la musique etc avec d'autres projets c'est pour ça qu'il y a eu que ce soit le challenge des 24 heures ou le challenge de faire ça avec 30 musiciens pendant trois mois mais je voulais quand même avoir un truc perso avec quand même essayer d'avoir, de construire un petit peu un univers qui a un fil conducteur et un peu narratif parce que les trucs que je fais sur la chaîne YouTube ce sera plus spontané dans un délire ou un concept ou quoi et ce projet là en fait traîne depuis deux ans parce que justement YouTube bouffe tout mon temps donc je suis content qu'enfin le morceau sort maintenant et qu'on puisse dire c'est le début de l'aventure ok maintenant c'est lancé on va pouvoir un petit peu se trouver du temps et un peu voir les choses sortir quoi. [02:50:34] Speaker A: Et en connaissant tout ça, même si le but c'est de se faire plaisir et de geeker, t'es content des résultats ? T'es content de ce que ça donne là aujourd'hui ? T'as mis ça sur YouTube, c'est quoi ? T'as eu peur ? T'as quand même... Oui, non, en fait. [02:50:48] Speaker C: Moi j'ai eu un... on va dire... pas de challenge, je vous dirais juste un truc qui m'avait travaillé, c'était de me dire est-ce que je le sors sur ma chaîne YouTube ? Ah bah, éternelle question ! Ou est-ce que je le fais sur le côté... c'est, allez, je vois Dealer par exemple a sorti les trucs de Bad Situation sur sa chaîne et du coup on le met directement dans le même bain que son travail sur YouTube et moi je voulais un peu dissocier le truc parce que j'ai pas envie qu'en fait on si on cherche le groupe on se dit ah bah en fait c'est le youtubeur et c'est dans le truc du youtubeur je voulais que ce soit vraiment le groupe à part on va dire de la personne YouTube. [02:51:22] Speaker A: Quoi C'est aussi pour savoir ce que les gens en pensent vraiment directement ? Que ce ne soit pas les fans, les gens qui t'adorent ? [02:51:28] Speaker C: Exact, et que les gens qui ont envie d'écouter Groupe Aillent sur là-dessus et que ce ne soit pas des gens qui pensaient tomber sur une vidéo d'un groupe et qui tombent sur le clip et qui se disent « Ah, c'est quoi ça ? [02:51:37] Speaker B: » Moi j'ai bien compris, c'est surtout qu'il ne veut pas que les gens qui le détestent à cause de ce qu'il dit dans la vidéo, ça ait des répercussions sur son groupe. [02:51:44] Speaker C: Pour un hater, ça fait des vues hein ! C'est la stratégie Ronny Radke ! [02:51:48] Speaker A: Exact ! [02:51:48] Speaker D: Ils en merdent ! [02:51:53] Speaker C: Non mais c'était juste pour essayer de distinguer le truc. J'ai beaucoup de... J'ai à coeur en fait que ce projet reste un petit peu dans son cocon musical et j'ai pas envie de le mélanger en fait avec un truc promotionnel ou quoi. [02:52:09] Speaker B: Et c'est aussi, je pense que, vu que ton ambition c'est de faire un truc qui est purement artistique, c'est aussi que ce soit pas mélangé avec d'autres trucs, que ce soit bien... Ouais, c'est ça. [02:52:19] Speaker A: Que l'identité soit bien là. [02:52:20] Speaker B: En tout cas, c'est un bon début. [02:52:23] Speaker A: C'est un bon début, un bon premier morceau. Je crois que le monsieur connaît un petit peu ce qu'il fait. Que ce soit musicalement ou visuellement. [02:52:30] Speaker B: Tout à fait. [02:52:30] Speaker A: Moi j'y connais rien visuellement, mais j'ai trouvé le style très joli, donc... Quand je les entendais parler, je disais. [02:52:35] Speaker B: Ouais, de toute façon, toi tu vois rien. [02:52:37] Speaker A: Bon c'est vrai que je suis à moitié aveugle en même temps donc... Et sourd. [02:52:42] Speaker B: Et bon y'a d'autres choses... On va pas reparler de ton herpès qui est... Je suis pas sûr que les gens aient envie d'être au courant. [02:52:51] Speaker A: Oups ! Comme il vient de me détruire ! J'ai très chaud. Je me sens très mal à banc. Ça arrive. Même aux plus belles personnes du monde. [02:53:05] Speaker B: C'est le chanteur de Godsmack qui m'a parlé de ça. [02:53:10] Speaker A: Le pauvre, il faut qu'on l'arrête ! Enfin, tu me diras, il s'en fout de nous. [02:53:14] Speaker B: Non, je pense pas qu'il regarde l'émission, Pierre. Je peux te rassurer tout de suite. [02:53:18] Speaker A: Et oui, je voulais rebondir juste là-dessus. Comme il dit, les haters, c'est ça qui fait que ça marche. Donc, en fait, quand les gens, vous êtes méchants, pour être vraiment méchants, parce que vous pensez nous faire du mal, en fait, vous faites en sorte qu'on marche. Donc, trouvez d'autres solutions pour venger. Pas nous tuer non plus. Je tiens à la vie encore pendant au moins 2-3 semaines. [02:53:33] Speaker C: Le public francophone, en tout cas tout ce qui est YouTube Metal, j'ai l'impression qu'ils ont très vite envie de donner leur avis et on a remarqué un truc il y a passé longtemps, c'est que vraiment les gens réagissent plus parfois sur la vignette et le titre que vraiment le contenu. T'auras beau dire je vais parler de ce sujet, les gens vont dire non je suis pas d'accord avec toi alors qu'en fait tu vas juste dire peut-être exactement leur argument pendant la vidéo. [02:53:55] Speaker D: C'est le même phénomène que les articles qui sont partagés sur les réseaux sociaux et les gens commandent juste le titre. [02:54:03] Speaker C: Exact. Le ragebait quoi. [02:54:05] Speaker B: Il y en a un dans la sphère YouTube francophone métal, un qui exploite vraiment très bien ça, c'est quand même dealer de métal, qui met les titres les plus scandaleux à chaque fois. J'adore. [02:54:20] Speaker A: Je me marre d'ailleurs, on se marre, on attend ça. [02:54:22] Speaker C: C'est un risque parce que tu sais très bien que du coup tu vas pas payer une tonne de commentaires négatifs. [02:54:27] Speaker B: En même temps, ça marche aussi. Globalement, c'est rarement des commentaires très positifs. Enfin je veux dire, c'est plus les gens qui veulent dire du négatif qui vont commenter que des gens qui vont dire du positif. [02:54:41] Speaker A: Non. [02:54:43] Speaker B: Mais tu peux avoir des positifs, ce que je veux dire c'est que le ratio entre... je pense que même si tu as le ratio personnes qui regardent, qui aiment ou qui n'aiment pas et qui laissent des commentaires est plus grand chez... Vous avez compris ce que je voulais dire ? [02:54:57] Speaker A: Oui, on a compris. [02:54:58] Speaker B: Proportionnellement, il y a plus de commentaires négatifs que de positifs. [02:55:01] Speaker C: De toute façon, en tant que créateur, tu vas toujours retenir que les commentaires négatifs parce que c'est ceux qui vont te percuter plus. et que de la gentillesse, généralement, c'est pas que tu t'en fous, mais tu vas un peu vite l'oublier. Notre cerveau est fait comme ça, quoi. Tout ce qui est négatif nous marque. [02:55:14] Speaker D: Moins, parce que... T'as tendance à dire même avec la majorité silencieuse qui, globalement, aime ce que tu fais, en fait, tu vas pas en tenir compte, et c'est négatif et tu le retiens. [02:55:22] Speaker C: C'est très dommage que notre cerveau fonctionne comme ça, parce que du coup, on oublie la majorité des commentaires qui sont là pour pas te saucer, mais juste pour t'encourager à continuer là-dessus, parce que tu leur as fait découvrir quelque chose, ou quoi. [02:55:32] Speaker B: C'est vrai que je trouve souvent les gens qui aiment, ils vont plus laisser un like qu'un commentaire. Tu vois ce que je veux dire ? Souvent tu vois qu'il y a beaucoup de likes et trois commentaires qui sont méchants. [02:55:43] Speaker C: On oublie aussi que la grande majorité des gens ne font rien. [02:55:45] Speaker B: Ils regardent. Et moi je fais rien non plus. [02:55:47] Speaker C: Moi non plus, je commande et je mets jamais de pouces nulle part. [02:55:50] Speaker B: Non, je regarde et je fais «. [02:55:53] Speaker D: Ah c'était bien ». En tant que spectateur, tu te dis « mon appréciation elle est déjà acquise », alors qu'en fait non, le créateur ne le sait pas. [02:56:01] Speaker C: C'est toujours la petite phrase que je mets à la fin des vidéos, j'ai toujours une petite voix sur la fin où il y a les petits clics à la fin, je dis juste, n'oubliez pas de mettre un commentaire parce que sinon je ne sais pas ce que vous avez aimé en fait. [02:56:11] Speaker B: Les gens ils ont déjà coupé la vidéo. [02:56:12] Speaker C: Oui ils ont déjà coupé, mais bon, je vais pas faire des coupures en plein milieu de vidéo en mode, met. [02:56:17] Speaker A: Un commentaire, donne-moi ton avis ! [02:56:19] Speaker B: Je trouve ça insupportable quand ça fait ça, quand je le regarde ça m'énerve et en même temps je sais que c'est le truc qu'il faudrait faire. [02:56:25] Speaker A: De quoi ? [02:56:26] Speaker B: Que quand ça s'arrête et que t'sais le mec il est en train de te raconter le truc et il fait et d'ailleurs n'oubliez pas de laisser un commentaire c'est insupportable. Excusez-moi Pierre d'avoir donné un avis, pardon. [02:56:39] Speaker C: Moi je le fais pas, je comprends ceux qui le font. [02:56:40] Speaker A: Oh putain j'ai une double. J'ai pas envie que c'est un geste que je fais souvent quand j'anticipe. C'est parce que j'aime beaucoup boire. [02:56:50] Speaker C: Je commence à comprendre. [02:56:52] Speaker B: Un petit coup là, un petit coup là, un petit coup là, un petit coup là. [02:56:56] Speaker A: Ton dernier choix parmi tous les choix de cette émission c'est, ça aussi je ne saurais pas le dire, Alumnophie. [02:57:04] Speaker C: Atoum. [02:57:05] Speaker A: Atoum, ah merde j'ai mis un L, j'ai même pas écrit correctement le truc. Je ne connais pas non plus du tout. [02:57:10] Speaker C: C'est aussi un groupe belge, deux potes. Et le chanteur est le gars qui a masterisé le morceau. Et qui est un très bon pote que je connais depuis des années aussi. Et c'est aussi représentatif d'une autre scène qui est plus rock grunge de Bruxelles. Et c'était là aussi un moment pour faire découvrir cette scène belge qui est quand même pas très connue. Et ça fait partie aussi de cette scène francophone qui est encore moins connue. Parce que c'est vrai que quand on parle de scène belge, on pense tout le temps à Brutus, des trucs qui ont fait leur preuve vraiment en Europe. Et à Toobneufi, j'espère vraiment qu'ils vont commencer à un peu plus tourner parce qu'ils le méritent vraiment. Et puis voilà. [02:57:50] Speaker B: C'est un bel ambassadeur de la musique belge. [02:57:54] Speaker A: On nous a déjà demandé de faire. [02:57:56] Speaker C: Une émission spéciale Belgique. [02:57:58] Speaker A: On va devoir t'inviter. [02:58:02] Speaker C: Pas de soucis, moi je peux en parler pendant deux heures, je l'ai déjà dit ! [02:58:05] Speaker A: Non mais c'est vrai que c'est intéressant parce que du coup on passe à côté de choses comme ça. Après j'imagine que vous connaissez pas non plus tous les groupes français. Bon ! [02:58:15] Speaker E: Sur ce, on regarde et ça s'appelle Oscillate ! C'est un peu comme ça. I find it pleasing to be alone and gone away I desperately need someone with me along the way Never have. [03:00:16] Speaker C: I felt quite sure about anything, not. [03:00:19] Speaker E: Really I often feel so thin and soon I've done the opposite I swear I'm a believer when I'm out and C'est la fin de cette vidéo. Ok ! I guess that some of us Are just born with tragedy In our blood It's just basic chemistry C'est parti ! Il n'y a pas de monde qui nous détruise Peut-être qu'une fois qu'on a déchiré nos armes Nous pouvons nous replacer Et j'ai commencé à me sentir bien Je sais qu'il y a eu des commentaires SAUVEZ-MOI J'ai dormi dans mon sommeil Les nuages sont devenus trop profonds Et je ne sais pas si l'amour pouvait te libérer C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [03:05:43] Speaker C: J'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui. [03:05:44] Speaker D: M'Amuse et qui m'amuse en même temps. [03:05:45] Speaker C: J'ai l'impression qu'il y a quelque chose. [03:05:46] Speaker D: Qui m'amuse et qui m'amuse en même temps. [03:06:12] Speaker A: Ah, il y a quelqu'un qui a lâché une caisse dans l'hiver. [03:06:14] Speaker B: Je crois que c'est le mec là-bas. J'ai entendu juste après, il y a eu des gens qui ont craqué. [03:06:24] Speaker A: Bon, Bring Me The Horizon, évidemment, dans Bang Bang, sur SNES. Je ne pouvais pas ne pas le passer. [03:06:30] Speaker B: Non mais tu as bien fait. [03:06:31] Speaker A: Parce que le clip, bon, il est joli. [03:06:33] Speaker B: Mais je ne l'avais pas vu du coup, c'est bien. [03:06:34] Speaker A: Et puis moi, encore une fois, j'aime bien l'album. Il est long, mais j'ai rien à dire. [03:06:42] Speaker B: Après... Moi je trouve que ce morceau quand même, tu retires un peu tout l'habillage japonais, japonaisisant au glitch. On va dire ça comme ça. [03:06:50] Speaker C: C'est pas pour rien parce que c'est Day Day de Peldusk qui a produit. [03:06:53] Speaker B: Ah bah voilà, c'est ça. Mais en fait le morceau c'est quand même un morceau un peu The Used, voire... Je vais utiliser le L Word. [03:07:05] Speaker A: Qui ça ? [03:07:06] Speaker B: Le L Word. [03:07:07] Speaker A: Non, non, l'autre ! [03:07:11] Speaker B: Celui dont on ne peut pas dire le nom ! [03:07:12] Speaker D: Celui qui est en prison ! [03:07:15] Speaker B: Oh putain ! En fait, il y a quand même des gros passages du morceau, on dirait un truc de Lost Prophets quoi. [03:07:19] Speaker D: Ah ouais, ok ! Autant The Used, je comprends, Lost Prophets. [03:07:23] Speaker C: J'Ai plus de mal à voir. [03:07:26] Speaker B: Parce que ça fait longtemps que t'as pas écouté Lost Prophets. [03:07:28] Speaker C: T'as envie d'écouter Lost Prophets en même temps ? [03:07:32] Speaker A: Non. [03:07:33] Speaker B: Non mais de toute façon, alors j'ai réécouté une fois, ça a très mal vieilli. Donc c'est l'avantage, j'ai fait pour vous. Mais on sait que tout ce qu'ils. [03:07:39] Speaker C: Vivent, ils n'aiment pas non plus. [03:07:40] Speaker A: Oh putain ! Ils ont grandi. Franchement, désolé, on essayait juste d'être mégaloles. Bon, ça ne marche pas tout le temps. [03:07:53] Speaker C: Ce n'est pas moi qui ai mis le premier pied dans ce sujet, désolé. [03:07:55] Speaker B: Non, non, mais complètement, mais moi j'assume. Je veux dire, quelque part, les Anglais restent... Enfin, les Anglo-Saxons... Les UK restent UK, quoi. [03:08:06] Speaker A: Bref, toujours-t-il que Bring Me The Horizon, moi je reste quand même scotché sur juste ce truc qu'il a là, son masque, la reine des damnés là. [03:08:16] Speaker C: Je pense que c'est du Props en plus, je pense qu'ils l'ont fait vraiment en... [03:08:19] Speaker B: Je crois pas que ce soit ce. [03:08:20] Speaker C: Que j'ai vu en Making Of. [03:08:23] Speaker B: Je pense que c'est un espèce de truc un peu en latex collé je crois. [03:08:26] Speaker C: Il y a une bonne partie, je pense, de l'habillage qu'ils ont facial et tout. [03:08:29] Speaker A: Après, c'est quelque chose qu'il va sûrement avoir sur scène, ce genre de tournée. [03:08:32] Speaker B: Non, je pense que sur une tournée, c'est trop coûteux de faire ça à chaque fois. [03:08:36] Speaker A: C'est dommage. [03:08:37] Speaker C: Mon dernier album de Bring Me, j'ai adoré, il y a juste un problème. C'est qu'il y a le morceau Limousine, qui est un copier-coller d'un groupe qui s'appelle Mood Ring. et ils ont un morceau qui s'appelle Sink Wave, vous allez écouter, c'est la même chose. C'est exactement le même tempo, la même batterie, la même guitare, il y a juste le placement de chant qui est un petit peu différent. [03:08:58] Speaker A: Mais du coup c'est du Deftones ? [03:08:59] Speaker C: Bah Moonring font exactement du Deftones aussi, sauf que là en fait le problème c'est que c'est quasi la même chose. [03:09:04] Speaker B: C'est-à-dire que Moonring, ils sont tellement forts en copie de groupe qu'ils ont réussi à copier Bring Me avant la nouvelle chanson. [03:09:12] Speaker C: Ils vont récolter les royalties à la place des Deftones. [03:09:17] Speaker A: Non mais c'est très bien d'ailleurs comme groupe, on en a déjà pensé ici. Une émission à suivre si vous aimez les Deftones. Mais sinon pour Bring Me, rien d'autre à ajouter ? [03:09:26] Speaker B: Rien d'autre. [03:09:27] Speaker C: Incroyable, franchement cet album est parfait. [03:09:30] Speaker A: Je pense que ça ne peut que les faire en devenir encore plus grands. C'est rarement où il y a tout ce qu'il faut de recette pour que ça soit repris. Moi je trouve ça très bien. [03:09:38] Speaker B: Moi je me demande quelle va être la suite après le... Parce qu'il y. [03:09:43] Speaker D: A eu le départ de... Jordan Fish. [03:09:45] Speaker B: Jordan Fish qui a travaillé sur cet album. Mais du coup c'est le dernier album où il a travaillé. [03:09:51] Speaker C: Bah ils ont die die maintenant. qui n'a pas rentré dans le groupe. [03:09:55] Speaker B: Est-ce que ça va réussir à rester toujours un peu à l'avant-garde ? [03:09:59] Speaker D: Ils vont refaire du Def Corp. [03:10:01] Speaker C: Je pense que le truc c'est que Olly a peut-être envie de travailler avec des producteurs qui ont d'autres personnalités. Peut-être qu'il tournait en rond avec Jordan Fish, c'est peut-être quelque chose qu'il a mal pris s'ils ont voulu bosser avec d'autres producteurs comme Day Day et de vouloir justement aller chercher une autre identité parce que là du coup ils sont partis vraiment dans le délire de Peldusk, avoir un truc très glitchy, très technique, épileptique dans plein de sens. Et ça marche très bien vu les morceaux qu'ils ont fait avec lui. Mais à voir dans le futur s'ils n'ont pas envie de changer totalement d'univers parce qu'ils ont l'air de bien aimer aussi changer totalement d'univers d'un album à l'autre. [03:10:33] Speaker B: Et puis il y a aussi ce truc où on voit maintenant, enfin je vais vous prendre l'exemple de Poppy mais c'est pas forcément... Mais il y a ce truc d'aller d'une chanson à l'autre sur des directions complètement différentes. Peut-être qu'ils vont aussi... Déjà cet album-là est plus... [03:10:48] Speaker C: Là, ils ont surfé grand sur des trucs que tout le monde connaissait, genre de l'emo, du revival, etc. Et en plus, ils ont fait un morceau avec Thunder Rose qui sonne à Thunder Rose. Et je pense qu'ils veulent peut-être à chaque fois jouer sur de la nostalgie, mais amener des trucs vraiment ultra expérimentaux parce qu'on n'avait jamais entendu de truc comme ça hyper pop avec beaucoup de production digitale comme ça sur un morceau, comme tu dis, très used et tout. [03:11:16] Speaker B: Après, c'est la discussion qu'on avait au tout début, mais sur le truc hyper produit, là, je me dis, toute la première partie du morceau, bon, t'as des petits sons au début, un peu en intro, machin. Après, le morceau devient plus classique. À la fin, à partir du Enfin du break de fin là, il y a un milliard de sons en plus. [03:11:37] Speaker D: Là ça devient vraiment un grand cyber-pop quoi. [03:11:40] Speaker B: Ouais, carrément le son de batterie qui change complètement des trucs. Et ça pareil, du coup en live, du coup c'est vraiment... Je pense que ça va sonner pareil, mais du coup c'est quand même... C'est quand même chelou quoi. Après le show de Bring Me fait que je pense qu'il y a une distance avec les musiciens qui fait que je trouve à la limite c'est peut-être moins gênant quoi, mais... Peut-être. [03:12:04] Speaker A: Peut-être. Bon tout ce que je souhaite c'est qu'il arrête de s'habiller en tour héros parce que ça j'ai pas à supporter. [03:12:09] Speaker B: Alors sache Pierre que cette mode n'est pas en train de passer donc c'est pas... Les pantalons restent serrés taille haute. T'aimes pas les pattes d'eff ? [03:12:16] Speaker C: Les pattes d'eff en cuir ? [03:12:17] Speaker A: Là il y avait plus que ça. [03:12:18] Speaker B: Non mais c'est plus le côté taille haute qui le dérange. Taille haute un peu boulant. [03:12:21] Speaker A: C'est plus que tu lui serres le paquet et tout. Ou alors malheureusement pour lui. [03:12:26] Speaker B: Essaye pas de le dénigrer. Regarde il porte des t-shirts et tout. Il est trop fun. [03:12:30] Speaker C: T'aimes pas Holy Sext ? [03:12:32] Speaker B: Oli est un des plus grands chanteurs de sa génération ! [03:12:36] Speaker C: J'aime juste les fringues, je suis pas un défenseur de Bring Me à tout prix. [03:12:39] Speaker A: J'en ai rien à foutre, t'as le droit d'être défenseur de Bring Me en fait. T'as le droit. On a tous les problèmes avec les gens qui aiment les choses qu'on aime pas. [03:12:45] Speaker B: C'est pas parce qu'il a dit que Pierre avait une tête de bite que... On peut encore revenir là-dessus. [03:12:50] Speaker A: Il faut que je retrouve ce putain de dessin, franchement. Depuis le temps qu'on parle. Il doit être dans mes trucs. Mais ce dessin est formidable. On pourra pas le montrer mais les gens qui viendront ici en studio pourront le voir. Parce que c'est quand même bien dessiné. [03:13:04] Speaker C: Bring Me, c'est un groupe vraiment... Et. [03:13:05] Speaker A: Oui, je suis un pervers, mais je suis très gentil quand même. C'est vrai. [03:13:10] Speaker C: Bring Me, c'est vraiment un groupe que je respecte de ouf. Et surtout, on avait été à le festival qu'ils organisaient à Malte et qui était incroyable. C'était juste après la fin des confinements. Et c'est eux qui organisaient tout, en fait, au niveau, que ce soit install, DA, etc. C'était incroyable, quoi. Et tous les groupes... [03:13:28] Speaker A: Mais incroyable à quel niveau l'ambiance globale... [03:13:29] Speaker C: En fait parce qu'il y avait de l'organisation de soirée qui était faite avec les membres des groupes, donc t'avais des DJ sets de Why She Sleeps, t'avais les Nova Twins qui étaient aux platines, etc. Genre tous mélangés en fait sur scène. Et t'avais un des sets de Bring Me, je pense qu'ils l'ont refait depuis. mais ils faisaient un set vraiment avec beaucoup de morceaux des anciens albums, et ils invitaient sur scène en fait, je pense qu'ils ont fait 7 ou 8 featurings sur scène ce soir-là, et c'était tout le monde quoi, c'était Cournett, Spiritboxx, c'était le chanteur de Malevolence, c'était vraiment... [03:13:58] Speaker A: Ouais, c'était la fête. [03:13:59] Speaker C: C'était juste la fête quoi. Et tu sentais dans un public vraiment anglais, parce que moi j'avais jamais vu Bring Me autrement qu'avec des gens d'Europe, mais du coup avec vraiment les fans hardcore de Bring Me, C'était une ambiance vraiment juste... Je sentais que tout le monde était là pour eux, et c'était vraiment incroyable. [03:14:17] Speaker A: L'hystérie. [03:14:17] Speaker C: Ouais. [03:14:18] Speaker A: Non. Bon après, ça marche, on est contents pour eux. [03:14:21] Speaker B: Bah c'est sûr, surtout après, enfin moi je me suis rendu une période où c'était vraiment pas la fofo, et du coup voilà, voir que maintenant ça va mieux, que ça se passe bien et que... Enfin c'est bien, c'est cool d'avoir un groupe comme ça un peu... Et d'avoir. [03:14:34] Speaker C: Des messages aussi positifs quoi, sur cette scène là, ça fait toujours plaisir aussi quoi. Parce que ça arrive peu souvent quoi. [03:14:41] Speaker A: J'ai un morceau à jouer, qui est un groupe français, qui s'appelle Djinn, je ne sais pas si vous connaissez. [03:14:48] Speaker D: J'aime bien le truc. [03:14:49] Speaker B: D-j-i-i-n. [03:14:51] Speaker A: Comme les esprits du désert. Le titre s'appelle Mirror, c'est juste le titre de fin d'émission pour la découverte et pour partager des groupes que je n'aurais pas forcément choisis. N'hésitez pas à m'envoyer vos clips via notre Instagram. Ce n'est pas moi qui sélectionne, c'est un tirage au sort. Donc, au petit bonheur la chance, vous tentez et vous pouvez diffuser. Sinon, rejoignez-nous sur notre Discord, pour l'exclamation Discord. Vous avez un espace où vous pouvez faire la promo de tout ce que vous voulez en musique, partager des groupes que vous découvrez ou votre groupe. Il n'y a aucun souci, on est vraiment là pour partager. C'est aussi ça le rock, c'est ça le métal. C'est une belle famille et on est là juste pour être ensemble et défendre. Voilà, un son qui nous a fait du bien. Merci énormément d'être venu depuis la Belgique. En tout cas ça fait super plaisir de t'avoir vu et merci pour tout ce que tu fais. Une vidéo arrive dans très peu de temps sur un groupe qui est dans pas longtemps au concert. [03:15:46] Speaker C: Et qui n'est pas grindé. Merci à tous les gens du chat, j'ai lu de temps en temps les messages et venez en live c'est vraiment très cool. [03:15:55] Speaker A: Et un petit message, c'est bon on y va ? On peut aller boire un verre ? [03:15:59] Speaker C: Je serai au K-Fest avec Baccaret, qui est caché derrière les caméras, mais donc si jamais vous êtes au K-Fest et que vous voulez taper Disque, n'hésitez surtout pas, on sera là les trois jours. K-A-V-E. K-A-V-E, c'est au château de Gisors, si je dis pas de conneries. Tout à fait. Et donc voilà. [03:16:15] Speaker A: Le rendez-vous est donné, merci Ben, merci Enjoy The Noise, bon courage à vous pour la semaine, oui le travail ça reprend demain, la soirée n'a pas été formidable dehors mais ici dans Bang Bang c'était juste du bon temps. [03:16:27] Speaker E: Bon courage à vous ! [03:17:10] Speaker A: Oh non. [03:18:25] Speaker E: I can feel it in my bones As my heart is sinking down I feel like dying. [03:19:21] Speaker A: Oh! [03:20:46] Speaker E: A plus. c'est pas moi c'est. [03:25:12] Speaker C: Un pour le caillou. [03:25:16] Speaker B: Deux pour le spectacle. [03:25:18] Speaker C: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:25:35] Speaker A: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon... N'hésitez pas à vous abonner !

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