#68 - Simon des POGO CAR CRASH CONTROL en invité

Episode 68 November 15, 2024 03:10:30
#68 - Simon des POGO CAR CRASH CONTROL en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#68 - Simon des POGO CAR CRASH CONTROL en invité

Nov 15 2024 | 03:10:30

/

Show Notes

Avant la sortie d'un prochain album, il était du devoir de Pierre d'inviter Simon, le guitariste des POGO CAR CRASH CONTROL, personnage important de la scène française, qui a toujours le sourire, qui est toujours créatif et qui a toujours une petite blague bien placée. Bref, c'est un honneur de l'avoir reçu et on en apprend beaucoup sur ses autres passions et ses envies, son enfance, c'était un excellent moment en sa compagnie.

Ben, Didier & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:14] Speaker A: BANG ! [00:00:17] Speaker B: BANG ! BANG ! BANG ! [00:00:18] Speaker C: BANG ! BANG ! [00:00:19] Speaker B: BANG ! [00:00:20] Speaker C: BANG ! BANG ! BANG ! [00:00:20] Speaker D: BANG ! [00:00:20] Speaker C: BANG ! BANG ! BANG ! [00:00:21] Speaker D: BANG ! [00:00:21] Speaker C: BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! [00:00:22] Speaker B: BANG ! [00:00:22] Speaker E: BANG ! [00:00:22] Speaker B: BANG ! BANG ! [00:00:23] Speaker C: BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! [00:00:25] Speaker B: BANG ! [00:00:25] Speaker C: BANG ! BANG ! [00:00:26] Speaker D: BANG ! [00:00:26] Speaker C: BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! [00:00:29] Speaker D: BANG ! [00:00:29] Speaker C: BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! BANG ! [00:00:36] Speaker B: BANG On vient d'arriver avec le studio recouvert de flotte et de l'eau qui coulait du plafond. [00:00:43] Speaker C: Voilà, une petite inondation. Alors bon, la situation est déjà pas au beau fixe. Une petite inondation, il fallait bien que ça s'ajoute. [00:00:49] Speaker B: Ça fait des petits trucs à gérer en plus. C'est trop facile si c'est facile. [00:00:53] Speaker C: Alors on sait qu'au début, alors moi quand je suis arrivé, je suis arrivé déjà en plus en me disant, allez t'sais quoi, pas trop tôt, c'est cool, t'es pépère. Puis quand je t'ai vu sur l'escabeau, j'ai fait, aïe aïe aïe, je sens qu'il y a quelque chose qui va pas. [00:01:05] Speaker B: Je t'ai vu arriver avec un sourire. [00:01:07] Speaker C: Et ben, qu'est-ce qu'il se passe ? [00:01:10] Speaker B: J'ai vu le moment où ses yeux ont réalisé. [00:01:12] Speaker C: C'est dans l'immeuble, l'eau chaude a explosé. On l'entendait depuis un petit moment, mais bon bah là elle s'est exprimée totalement. [00:01:18] Speaker B: Et les gens n'ont pas pensé bon nous prévenir surtout. [00:01:21] Speaker C: Oui, parce que c'était hier. [00:01:22] Speaker B: C'était hier, voilà. Mais nous, généralement le samedi, on n'est pas trop là le samedi soir. [00:01:26] Speaker C: Et puis quand on est arrivé, ça faisait plic-ploc, plic-ploc, plic-ploc, très rapidement. Plic-ploc, plic-ploc, plic-ploc. Donc voilà, je lance un appel encore une fois, n'hésitez pas à faire un don, ça pourra nous aider peut-être à changer la moquette, je sais pas. [00:01:40] Speaker B: Peut-être que l'assurance pourra nous payer de la moquette, j'espère quand même. [00:01:44] Speaker C: J'ai beaucoup de respect pour les assureurs, mais je sais bien comment ça marche parce que j'ai travaillé avec des assureurs et qu'ils m'ont expliqué 2-3 petits trucs. [00:01:51] Speaker B: Pierre, pendant qu'on est dans l'appel aux choses, je voudrais en profiter, si vous êtes une personne féminine, Et que vous aimez le métal et que vous voulez en parler avec nous. Pas en tant qu'invité, mais en tant que chroniqueur ou chroniqueuse. On cherche des gens un peu différents de nous. On est que des mecs. [00:02:14] Speaker C: Moi je suis un demi-mec. [00:02:18] Speaker B: Bah bref, du coup, si vous aimez le... Quoi t'es gay ? [00:02:23] Speaker C: Ah bah je vais dire qu'avec tout ce que j'ai bouffé de kilomètres, j'en ai déroulé du câble. [00:02:29] Speaker B: Bon voilà, si vous aussi, vous n'aimez pas les gays, non, c'est pas ça. [00:02:33] Speaker C: Que je voulais dire. [00:02:35] Speaker B: Non mais si vous voulez venir parler de faire partie de l'équipe, en fait, tout simplement. Voilà, contactez-nous pierre-rstlss.com et puis comme ça vous pourrez participer aux émissions avec nous. Nous on veut de la diversité. [00:02:51] Speaker C: Bah c'est ça. [00:02:52] Speaker B: Alors qu'on nous dise pas qu'on en veut pas, nous on la cherche. C'est un moment qu'on la cherche. On met des annonces, on demande à plein de gens. Et s'il y a des choses qui ne vous plaisent pas chez nous, Dites-le nous, comme ça on les réglera ensemble. [00:03:05] Speaker C: Voilà. Alors physiquement on pourrait faire un... Ouais. [00:03:08] Speaker B: Ça par contre, désolé. Mais voilà, comme ça apprenez-nous et puis faisons ensemble. [00:03:14] Speaker C: Mais oui, mais... Le construire ensemble... Aujourd'hui c'est vrai qu'il y en a assez peu qui le respectent, bon bah on essaye en tout cas... [00:03:21] Speaker B: Il y a beaucoup de gens qui essayent de déconstruire ensemble. mais pas trop de construire, et je pense qu'il faut qu'on y arrive. [00:03:27] Speaker C: Non mais voilà, t'as bien fait de faire cet appel, et on l'a fait auprès de tous nos amis, de toutes nos connaissances, et il y a beaucoup de gens qui disent oui, mais qui ne donnent pas d'autres nouvelles que vous leur donnez une fois. [00:03:38] Speaker B: Alors après les gens qui se plaignent que c'est toujours nos sales gueules, ben désolé mais nous au moins on veut bien vous faire du contenu gratos, voilà ! [00:03:46] Speaker C: Donc voilà, si vous vous êtes intéressés, pierre-restless.com, c'est dans le ch'meule. Et si vous regardez l'AVOD ou que vous écoutez le podcast, pierre-rstlss.com, c'est pas compliqué, c'est le nom de la radio. [00:03:57] Speaker B: Voilà. Et puis Pierre, c'est ton nom à toi. Et où les petits cailloux ? [00:04:01] Speaker C: Je me suis toujours dit que c'était vraiment un prénom de merde. [00:04:04] Speaker B: Mais c'est parfait pour le rock. [00:04:06] Speaker C: Solide comme un rock ! En tout cas j'espère que vous allez bien, j'espère que votre semaine s'est bien passée, que vous avez acheté une petite veste parce que la semaine prochaine il va faire extrêmement froid puisqu'il va faire entre 0 et 5 degrés tous les jours, on va se régaler ! [00:04:18] Speaker B: Oh bah dis donc Madame Soleil ! [00:04:20] Speaker C: Ah bah oui un petit point météo au début d'émission c'est important ! [00:04:23] Speaker B: Ah Edwin Delia d'un camion Sony ! [00:04:25] Speaker C: Si je pouvais faire la météo ça paierait amplement ! [00:04:27] Speaker B: Toi t'es à l'angelo-pétré toi ! Avec le petit gâteau-gants. [00:04:32] Speaker C: C'était mon héros quand j'étais enfant. [00:04:33] Speaker B: J'imagine. [00:04:34] Speaker C: Quand il est mort, j'ai pleuré. [00:04:35] Speaker B: Il est mort ? [00:04:36] Speaker C: Ça fait longtemps. Je n'ai jamais appris ! Petite référence cinématographique. Voilà. C'est pas une joke, c'est vraiment une référence cinématographique. Donc voilà, n'hésitez pas à nous envoyer un petit mail et n'hésitez pas à passer par Payaso, Like Crédit Mutuel ou autre, vous avez plein de façons. En partageant aussi, attention, en donnant de l'argent c'est une chose, mais partager nos contenus et les commenter c'est déjà énormissime. Ce soir nous allons avoir un invité que je suis très content. Parce que je l'ai quand même fait chier. [00:05:07] Speaker B: Tu l'as travaillé ? [00:05:09] Speaker C: Je suis sorti en soirée, j'ai traîné partout. J'ai fait des grandes écarfations, des toupies sur le derrière parce qu'on m'a dit que je disais trop le moinus à un anniversaire. Ah bon ? Ouais ouais. Il y a quelqu'un qui m'a dit « tu dis trop souvent » et je lui ai dit « toi t'es trop bourgeoise ». [00:05:27] Speaker B: Il y a quelqu'un qui m'a dit « tu parles très fort ». [00:05:29] Speaker C: A moi ? [00:05:29] Speaker B: Non, à moi. [00:05:30] Speaker C: Ah bon, toi ? Ouais. Ah ouais. [00:05:32] Speaker B: J'ai dit Bah toi t'es pas drôle. [00:05:35] Speaker C: C'était un très bon l'un des deux. Et on fait des bisous à Pascal, c'était le sien. Mais Je sais plus ce que je voulais dire. Mais cet invité, si cet invi... Non ! Cet invité, c'est Simon, le guitariste. Alors je dis guitariste, évidemment il fait du chant, il fait plein de choses dans les Pogo Car Crash Control, mais voilà, il sera là avec nous, il va nous parler un petit peu de comment lui s'est mis à écouter cette musique, pourquoi, et à quel moment il a eu le déclic de faire un groupe aussi. Moi ça m'a toujours fasciné parce que j'ai toujours rêvé de faire ça, mais comme j'ai toujours été très mauvais et que j'aime pas travailler, forcément c'est pas possible. Et enfin déjà je fais des trucs comme ça, alors merci Ben, ça l'a détruit psychologiquement mais... Mais voilà, il sera là avec nous tout à l'heure et peut-être il nous parlera de certains projets solos. Parce que je sais que c'est un gars qui adore bidouiller, adore créer, adore faire plein de choses et il adore plein de musiques très différentes. Et c'est quelqu'un de très intéressant. Il est toujours très intéressant, très souriant. Une personne très agréable, vous allez pouvoir le constater. Et puis les Pogos, on est fan. Donc on pouvait pas passer à côté. Il y aura aussi également Didier qui va venir nous faire les informations. Et ce soir il n'y aura pas Enjoy The Noise, non je suis désolé. On lui fait aussi des gros bisous. Mais il a énormément de travail parce que quand on gagne pas d'argent ici, faut bien qu'il mange. Donc voilà. Donc n'hésitez pas. [00:06:47] Speaker B: Mais il vous fait des bisous. [00:06:48] Speaker C: Ah oui il fait des bisous, il en fait partout. [00:06:49] Speaker B: Des toutous. Pierre t'as fait quoi cette semaine ? [00:06:54] Speaker C: Je sais pas. [00:06:55] Speaker B: T'as fait quoi ? [00:06:56] Speaker C: Il y a une semaine précisément ? Ah si, il y a une semaine sur les dimanches. Je suis allé voir Linkin Park. Je suis allé voir Linkin Park, c'était magnifique. Alors je vais essayer de faire un résumé assez court, qui dure dix minutes. [00:07:12] Speaker B: Je m'installais comme ça. N'hésitez pas à me réveiller quand c'est fini. [00:07:16] Speaker C: Juste, tout est extraordinaire. Émilie a une voix vraiment de ouf et quand elle gueule, elle gueule très longtemps. En fait, c'est pas qu'elle gueule fort juste, elle gueule fort et très longtemps. Je vais me permettre de dire quelque chose que tous les fans de Linkin Park vont vouloir me tuer. [00:07:31] Speaker B: Ils ne sont pas prêts à entendre. [00:07:33] Speaker C: Mais c'est vrai que ça chante plus juste que Chester Bennington, mais il y a moins d'émotion. Donc est-ce que ça a un rapport ? Je ne sais pas. Je vous laisserai à chacun l'occasion de donner son avis. [00:07:42] Speaker B: Moi, c'est un peu ce que je m'étais dit quand j'avais vu le live stream à la sortie du... Enfin, quand ils ont annoncé. Et c'est ce que je m'étais dit, je m'étais dit que je trouve que, enfin, tout le monde se rappelle de Chester des Albums et de quelques lives qui ont été filmées, peut-être parfois réenregistrées, comme beaucoup de lives parce qu'il faut le dire. [00:08:04] Speaker C: Tout le monde fait quasiment ça, donc. Tout le monde le fait. [00:08:06] Speaker B: C'est pas un secret. Mais du coup c'est vrai que Je pense que les gens ont fini un peu par idéaliser ce que faisait Chester en live, même s'il a une émotion qui est en effet... Je pense qu'elle, techniquement, je pense qu'elle est meilleure, enfin en live en tout cas, elle tient mieux. Je pense qu'il faut juste qu'elle arrive à s'approprier les chansons. Bon, c'est pas facile. Heavy is the crown, comme me dit la chanson. [00:08:32] Speaker C: Evidemment, mais bon, et puis qu'elle trouve un peu sa place, parce qu'elle bouge un peu. Sur scène, c'est vrai qu'il y a des moments où on dit On dirait qu'elle fait un peu potiche des fois. Mais elle laisse quand même sa place au reste du groupe. Ce qui fait que je trouve ça respectueux aussi. Il faudrait connaître ta vérité. [00:08:47] Speaker B: Non mais je pense qu'il faut qu'elle trouve sa place. Je pense que c'est ce qui est en train d'arriver. Les fans sont en train de quand même l'apprécier. [00:08:58] Speaker C: Complètement. [00:08:59] Speaker B: Et je pense qu'une fois qu'ils auront fini cette tournée avec cet album et qu'elle aura Elle aura pas le syndrome de l'impostrice ? Ou plus le syndrome de l'impostrice ? Peut-être qu'elle pourra être un peu plus vivante sur scène ? [00:09:15] Speaker C: Déjà on va découvrir l'album qui sort ce vendredi. Toi t'étais à l'écoute, non ? Non, je l'ai loupé. Mais par contre Marcel y est allé, il m'a dit c'est extraordinaire, il y a même une chanson méga violente, je vous fais juste un résumé en deux mots et voilà. Tout est bon dans le cochon mais tout est bon dans l'album de Linkin Park aussi. Non mais pour en revenir au live, le public incroyable. Tout le monde chantait tout le temps. Mais tout le temps, tout le temps, tout le temps. [00:09:36] Speaker B: Ah mais ils ont le temps d'apprendre les paroles. [00:09:40] Speaker C: Je ne m'attendais pas à celle-là. Mais à chaque chanson, c'est vrai qu'on avait cette sensation de Chester. On était obligé d'y penser. Alors j'ai chialé tout du long. Je sais qu'il y a une personne à côté de moi qui m'a dit « Non mais ça va ? » Et j'ai dit « Non mais je suis désolé, c'est juste... » Enfin je ne vais pas l'expliquer, c'est trop long. Et en fait... Et puis c'est surtout. [00:10:00] Speaker B: En rapport avec le truc de début d'émission que tu nous as dit surtout. De quoi ? [00:10:09] Speaker C: Il y a probablement un peu de sexe ! C'est ça la masculinité toxique ! C'est bon ça ! Entre nous on a le droit, on s'est donné l'autorisation. Mais comme vous n'êtes pas du public, vous ne l'avez pas entendu ! Non mais j'étais hyper ému, et j'avoue qu'il y a plein de fois où je pensais à lui, alors j'ai peut-être un côté encore un peu trop religieux dans ma façon de vivre, mais je me tournais beaucoup vers le haut, ce qui ne sert pas à grand chose en vrai, à part voir le plafond, mais j'avais l'impression que je pouvais communiquer. [00:10:34] Speaker B: Avec lui, et je l'appelle pas près drogue. Moi il m'envoyait un petit SMS pour me dire... Dis-lui de fermer sa gueule ! Non mais tu sais, Pierre vraiment il est plein de belles émotions comme il m'a dit. [00:10:44] Speaker C: Non, non, mais voilà, puis j'ai vu des 2-3 personnes qui étaient autour aussi, qui me regardaient, qui me faisaient... qui pleuraient aussi, donc je me suis dit, bon ça va, je suis pas tout seul. Et le public aussi, à un moment, c'est mis à hurler en chœur, Émilie, Émilie, donc il y a eu vraiment genre une validation de 40 000 personnes présentes dans la salle. [00:11:02] Speaker B: Par contre, et Image n'a rien eu... [00:11:05] Speaker C: Non, bah de toute façon, il n'est pas venu, donc... Émilie ! Hé, Image ! [00:11:09] Speaker B: Émilie ! [00:11:10] Speaker C: Non mais c'était très très bien et tout le monde était ému. Qualité du son très très bonne. Après bon la salle ça résonne un peu évidemment parce que c'est très grand. Mais c'était quand même très bien fait parce qu'il y avait des retours de son de partout donc pour une fois c'était bien organisé. Que dire de plus ? Les lumières, alors beaucoup de gens ont dit que les lumières étaient décevantes. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de choses très très bien. [00:11:32] Speaker B: Il y a beaucoup de gens qui m'ont dit que la lumière c'était ouf, mais la Senno n'était pas à la hauteur du prix du groupe. [00:11:42] Speaker C: Ouais, ça m'a pas trop gêné, j'ai trouvé ça assez simple. Il y avait plein de petits clins d'œil visuels qui faisaient penser à des âmes et une présence... [00:11:50] Speaker B: C'était beaucoup de lumières et de vidéos ? [00:11:52] Speaker C: Oui. [00:11:53] Speaker B: Il n'y avait pas trop de décors ? [00:11:56] Speaker C: Non, il y en a rarement. [00:11:57] Speaker B: Il y a des groupes petits, mais... [00:11:58] Speaker C: Oui, mais Linkin Park, c'est toujours peut-être un... De toute façon, c'est toujours la. [00:12:02] Speaker B: Même personne qui fait les lumières, d'ailleurs, on lui fait un petit coucou, puisqu'elle est française ! Oui ! [00:12:06] Speaker C: Et bravo à elle, parce que franchement, ça envoie vénère. Bref, voilà, une belle communion. C'était très émouvant, puis très... Oui, il y avait un petit côté religieux quand même, puisque quand tu penses à quelqu'un qui est mort, il y a toujours un petit côté religieux, évidemment. [00:12:18] Speaker B: Oui, enfin, spirituel. [00:12:19] Speaker C: Spirituel, pardon. Autant pour moi. Bon, je mets ça sur le même niveau. [00:12:23] Speaker B: Oui, oui, mais parce que t'es... T'es un fervent catholique, mais... Mais pour les gens qui sont pas catholiques, on dit spirituel. [00:12:33] Speaker C: C'est vrai. Coucou le prêtre. C'est toujours bien entendu. Bon, en tout cas, c'était très très bien. Et ils vont faire, entre guillemets, un Stade de France. Et l'album sort vendredi, l'occasion de réviser, etc. Et le Stade de France, je pense que ça va être huge and massive, comme on dit, si bien dans ma communauté. Et donc du coup, ce sera délicieux et très agréable à déguster. [00:12:55] Speaker B: Au final, c'était bien ? [00:12:56] Speaker C: Non, c'était super bien. [00:12:57] Speaker B: À la fin de la fin ? [00:12:58] Speaker C: Non mais à la fin, c'était méga giga bien et tout le monde était d'accord. Et je me sentais quand même un peu seul en sortant, à toujours pleurer dehors. Parce que les gens ne pleuraient plus sans l'avoir ! [00:13:06] Speaker B: Bah oui, au bout d'un moment ils étaient là « Oh bah disons, on va se faire un McDo ! [00:13:09] Speaker C: » Et toi t'étais là « Heuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheuheu Il m'avait gardé, mais je l'ai déjà raconté mille fois, je vais pas revenir là-dessus, mais c'était quelqu'un de très sensible. Et voilà. Et donc ça me donne envie de pleurer encore une fois. Donc avant de me mettre à pleurer, parce que je me suis promis de tenir au moins jusqu'à l'interview de Malvina parce que là je pourrais pas m'en empêcher. Donc je vais me tenir et on va regarder un petit clip de Linkin Park. Je sais plus, je crois que j'ai choisi « Indian ». [00:13:50] Speaker B: Oui, c'est ça. C'est ce que j'essayais de dire à la fin de la fin. [00:13:52] Speaker C: Ah pardon, je n'avais pas compris. [00:13:53] Speaker B: C'est vrai que moi j'essaye de faire mon travail. Il y en a au moins un sur deux qui essayent quoi. [00:14:01] Speaker C: Non mais voilà, ça fait partie des grands morceaux que tout le monde connaît et que tout le monde chante en chœur. Donc voilà, si vous avez des commentaires, si vous avez été au concert, si vous avez des photos, si vous avez des choses, rejoignez-nous sur Discord pour en discuter avec nous. C'est très simple, point d'exclamation Discord. Et puis sinon, vous retrouvez tous les liens sur notre page YouTube, notre chaîne YouTube et puis sur notre site Internet. Et puis voilà, qu'on en discute, qu'on partage. C'est ça qui est beau. C'est à ça qu'on sert aussi. Linkin Park, c'est parti ! [00:14:33] Speaker A: Oh putain ! I don't know why, it doesn't even matter how hard you try Keep that in mind, I'll resign this rhyme to explain in due time All I know, time is a valuable thing Watch it fly by as the pendulum swings Watch it count down to the end of the day The clock ticks, life awaits, so unreal Didn't look out below, watch the time go right out the window C'est parti pour le tournage ! Une chose, je ne sais pas pourquoi, ça n'a pas l'air d'important combien de temps tu as essayé, gardes ça en tête, j'ai conçu ce rythme pour me rappeler de comment j'ai essayé. Donc, malgré la façon dont tu m'as moqué, actant comme si j'étais une partie de ta propriété, te souvenir de toutes les fois que tu t'es battu avec moi, je suis surpris qu'elles n'aient pas. Donc, les choses ne sont pas comme elles l'étaient auparavant, tu ne me reconnaisrais même plus, pas que tu me connaissais à l'époque, mais tout revient à moi. Au final, tu as gardé tout à côté, J'ai essayé, tout s'est séparé Ce que ça m'a apporté sera éventuellement une mémoire d'une époque où j'ai essayé si fort et je suis arrivé si loin Mais au final, ça n'a même pas de sens J'ai été trop loin pour tout perdre Mais au final, ça n'a même pas de sens J'ai mis mon confiance J'ai poussé jusqu'à ce que je puisse y aller Pour tout ça, il n'y a qu'une chose que tu devrais savoir J'ai mis mon confiance en toi C'est la fin de cette vidéo. J'ai pris des risques, tu n'es qu'un seul héros Un pas en avant, deux pas en arrière, c'est insommale, c'est la merde Un pas en avant, deux pas en arrière, c'est insommale, c'est la merde. [00:21:11] Speaker B: Mais dis donc, ce serait pas un beau coq ? [00:21:16] Speaker C: Exactement, un très beau coq et il est français, il est même de Lyon. [00:21:22] Speaker B: Le coq français ! [00:21:24] Speaker C: C'est The Amsterdam Red Light District que nous venons de voir. Le tout dernier clip qui s'appelle Insomnia et j'aime beaucoup leur univers et j'aime beaucoup ce groupe et c'est des gens qui sur scène sont Incroyable. Encore une fois, si vous voulez voir un guitariste sauter à plus de 4 mètres de haut, c'est vraiment le guitariste qu'il faut voir. Ouais, qu'il vous faut. C'est exactement ça. J'adore ce groupe Lyonnais, encore une fois, à voir absolument sur scène. Et puis n'hésitez pas à vous inscrire sur leurs réseaux sociaux pour les soutenir. Et quand je regarde ma montre imaginaire super-pouvoir, oh my gosh, I'm in like it, aïe, malentie ! [00:21:59] Speaker A: C'est l'heure du Flash-Blazing ! [00:22:06] Speaker C: Et c'est présenté par Didi ! Oh Didi, si tu le savais, tous. [00:22:12] Speaker E: Les choucroutes que tu me fais ! Gilles Debray, ça va ta lentille ? [00:22:18] Speaker C: C'est bon, elle s'est pincée. [00:22:20] Speaker E: Elle a peint un tour complet, elle est revenue. [00:22:21] Speaker C: Comme le guitariste, mais dans mes yeux. De toute façon, je vois rien, donc avec ou sans lentille, je suis aveugle. C'est pour faire semblant. Comment ça va mon Titi ? [00:22:29] Speaker E: Ça va, ça va. [00:22:30] Speaker C: Il est beau. Didi fait des efforts, toutes les semaines il nous sort un beau t-shirt et cette fois-ci c'est Britney Spears. Et parce qu'on a beaucoup de respect pour Britney Spears, bon, on regarde moins son Instagram parce qu'il est très gênant. [00:22:42] Speaker E: Mais sinon... Moi j'adore la danse des couteaux. [00:22:43] Speaker C: La danse des couteaux, c'est très gênant justement. [00:22:48] Speaker E: C'est qu'elle danse et des fois elle danse avec un couteau et du coup les gens disent mais elle est folle elle danse avec un couteau et du coup elle a dû s'expliquer, faire non mais c'était pas un vrai couteau c'était un faux couteau. [00:22:56] Speaker B: Je croyais que c'était la scène dans Adam's Family. [00:23:00] Speaker C: Ah non, je vois pas. Non, c'est pas aussi recherché. Mais en tout cas, on aime quand même beaucoup Britney Spears. Et puis dans ses dessus, c'est toujours très bien. [00:23:11] Speaker E: Et puis en plus, on sait que c'est Jonathan Davis. [00:23:15] Speaker C: Le physique, c'est d'abord ça. Est-ce qu'il s'est passé beaucoup de choses cette semaine ? [00:23:19] Speaker E: Il s'est passé plein de choses. Il y a même des trucs qui se sont passés que je n'avais pas noté. C'est que là, entre le moment où j'ai terminé d'écrire les news et aujourd'hui, le moment où on fait l'émission, du coup, il y a eu les nominations en grammise. Et notamment Gojira qui a été nominé pour la chanson, le titre qu'ils ont fait à l'ouverture des Jeux Olympiques. On est fiers d'eux. [00:23:44] Speaker B: Et Poppy aussi qui a été nommée en tout métal. [00:23:47] Speaker E: Après il y a plein d'autres nominations. Il y a Pearl Jam qui est pour leur dernier album alors que c'est une merde infâme. [00:23:55] Speaker C: C'est pas le pire. [00:23:55] Speaker B: Non mais je crois que c'est pas... Ils sont pas nommés pour l'album, ils sont nommés pour... [00:23:59] Speaker C: Pour le nombre d'années de carrière ? [00:24:00] Speaker B: Non, pour les places de concert trop chères pour ceux qui se sont battus. [00:24:06] Speaker E: Pendant des années pour un truc et puis qui ont fini par baisser leur froc. [00:24:08] Speaker B: Meilleur retournage de West ! Charlotte... On t'attend ! [00:24:15] Speaker C: Tu peux venir tout de suite. [00:24:17] Speaker E: Merde, elle a notre adresse, faites gaffe. [00:24:19] Speaker C: Bah oui, et puis elle est capable de venir nous frapper, mais je crois qu'elle n'est pas sur Paris. [00:24:25] Speaker E: Alors sinon, il y a le Hellfest qui a annoncé les dates et la. [00:24:28] Speaker C: Programmation, ils sont en warm-up. Mais c'est très tôt. [00:24:32] Speaker E: Et là, du coup, on sait les groupes qui seront là, donc c'est Nobelliste et Nervosa. Pour l'intégralité de la tournée et comme ils font depuis quelques années déjà, pour la date parisienne et la date nantaise, il y a un plus gros groupe et ça sera cette année Skindread. [00:24:49] Speaker C: Ah moi j'adore Skindread ! [00:24:52] Speaker E: Sachant que c'est pas le cas chaque année mais là ces trois groupes seront aussi au Hellfest. [00:24:57] Speaker B: Parce qu'à l'habitude c'est pas forcément des. [00:24:59] Speaker E: Groupes qui jouent souvent, d'ailleurs il y. [00:25:00] Speaker B: A même des groupes qui jouent pas à Welfest. [00:25:02] Speaker E: C'est que justement, c'est que souvent les groupes ils jouent une année sur deux à Welfest, et puis des fois, ben voilà. [00:25:06] Speaker C: Alors Novelist et ? [00:25:08] Speaker E: Et Nervosa. [00:25:09] Speaker C: Nervosa, oui on en avait déjà diffusé. [00:25:10] Speaker B: Ils sont des groupes, alors... Et surtout que Nervosa je crois que c'est entièrement féminin, et Novelist avec une chanteuse. C'est vrai. C'est une grande part féminine. Voilà, donc c'est bien. [00:25:25] Speaker C: C'est très bien. [00:25:27] Speaker B: Les gens vont encore dire oui, mais alors ils font ça pour se faire bien voir, puisqu'il n'y a pas d'erreur. En même temps, si on ne fait jamais rien, il n'y a jamais rien qui se fait. [00:25:36] Speaker C: Ça, c'est bien dit. [00:25:38] Speaker B: Ça, on le dit qu'ici. Les deux pieds dans le plat. [00:25:43] Speaker C: Jusqu'aux genoux. [00:25:45] Speaker E: Sinon, il y a Slipknot qui annonce une tournée européenne pour l'été 2025. [00:25:49] Speaker C: Ah oui, alors j'ai pas... [00:25:51] Speaker E: Dont Lion et Nancy. Mais étrangement, moi j'ai entendu trois dates en France, mais il y en a que deux qui sont annoncées pour le moment, et sur le week-end du Hellfest, il n'y a rien d'annoncé. Donc je parierais pas une couille qui joue au Hellfest, mais presque quand même. [00:26:07] Speaker C: Mais du coup, c'est toujours cette tournée anniversaire ou c'est une autre tournée ? [00:26:09] Speaker E: Aucune idée. Non, je crois pas, donc là c'est vraiment une tournée... J'avoue que j'ai pas... Non, parce qu'il. [00:26:14] Speaker C: Y a la tournée anniversaire... Non mais. [00:26:15] Speaker B: Ils auront peut-être un nouvel album. [00:26:16] Speaker C: Oui, les 25 ans. [00:26:17] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:26:19] Speaker E: Entre... Il y a peut-être un nouvel album, parce qu'ils ont enregistré des trucs avec le gros batteur, entre l'album qu'ils ont enregistré il y a 20 ans, leur album qui est du slipknot mais qui n'est pas du slipknot, qui peut sortir aussi à tout moment, donc on verra. [00:26:34] Speaker B: Non mais je pense que la tournée elle est loin. Donc il y a un album qui va sortir d'ici là. [00:26:39] Speaker E: Ok voilà, moi pronostic, clairement ils seront au Hellfest. Alors il y a aussi un petit truc, c'est que tant qu'on est dans les pronostics pour le Hellfest, c'est qu'il y a Deftone qui va jouer un concert à Londres fin juin avec Weezer. Le concert est sold out, genre Deftone Weezer. [00:26:56] Speaker C: Attends mais j'ai même pas vu que. [00:26:57] Speaker E: C'Était pas un souci. [00:26:59] Speaker B: Ça a été annoncé et vendu en deux jours. C'est-à-dire que ça a été annoncé, les blindes s'étaient en vente le lendemain et c'était complet le lendemain. [00:27:05] Speaker E: Donc je me dis, clairement la Deftones ils seront aussi au Hellfest, il n'y a pas trop de... Est-ce que tu. [00:27:11] Speaker C: Crois qu'ils feront quand même une date ? [00:27:12] Speaker E: J'aimerais bien, parce que moi j'en ai marre là d'en ce moment. Il y a beaucoup de groupes qui font... Ça fait longtemps qu'ils n'ont pas fait de date en salle quoi. En plus ça remplit Deftones, ils pourraient venir quoi. Ça c'est même plus que ça remplit, c'est qu'en général ils annoncent une date ça se vend en 20 minutes, et du coup, deux heures après, ils annoncent une deuxième date le lendemain. [00:27:30] Speaker C: Oui, c'est vrai. [00:27:31] Speaker B: On l'avait déjà prévu avant, mais ils ne le disent pas. [00:27:33] Speaker D: Oui. [00:27:33] Speaker B: Comme ça, les gens, ils rachètent pour tous les jours. [00:27:36] Speaker E: Même s'ils annonçaient tout d'un coup, moi je le ferais. [00:27:38] Speaker B: Oui, toi, oui. Ça marche comme pour Milan Farmer. [00:27:41] Speaker E: Tout est chaos. [00:27:42] Speaker C: Exactement. Qui a déjà vu Milan Farmer ? [00:27:48] Speaker B: Il n'y a qu'un autre indice que là. [00:27:50] Speaker E: Il doit avoir un sac récorsé alors. [00:27:54] Speaker C: Bref. [00:27:55] Speaker E: Alors sinon, dans une note un peu plus légère, dans une interview avec un... j'ai pas noté le nom, l'équipe de rédaction n'a pas noté le nom du podcast, mais Meniar James Keenan, il a participé à un podcast un peu rigolo et on lui a demandé quel était son outil préféré. [00:28:13] Speaker B: What's your favorite tool ? [00:28:16] Speaker E: Il a répondu le pistolet à clous pneumatique. [00:28:19] Speaker B: C'est vrai que c'est pas mal. J'ai pas envie de le manier parce qu'il a raison. [00:28:26] Speaker C: Ouais, mais c'est pratique, c'est super efficace. C'est une bonne question. Il faut très bien l'utiliser, mais c'est dangereux quand même. [00:28:31] Speaker E: C'est pour ça que je me suis dit qu'il fallait que je le relâte dans les news, c'était très important. [00:28:36] Speaker C: Et puis il a participé à un podcast, c'est déjà pas mal aussi, vu qu'il parle à personne. Ça devait être un podcast d'un pote, cette merde. [00:28:41] Speaker B: C'est un podcast sur le temps. [00:28:43] Speaker E: Tu dis ça parce qu'il répond pas à tes mails pour venir ici. [00:28:45] Speaker C: Bah oui, mes petits messages, pourtant ils sont doux, ils sont mignons. [00:28:48] Speaker B: Coucou chéri ! [00:28:49] Speaker C: Je fais toujours un bisou de rouge à lèvres pour qu'ils viennent et puis ça marche pas. [00:28:52] Speaker B: C'est parce que tu le fais sur l'écran, Pierre. Ça marche pas comme ça les mecs. [00:28:58] Speaker E: Dans une interview récente avec Playboy, il y a Courtney Laplante, la chanteuse de Spiritbox, qui a répondu aux critiques qu'elle se prend dans la gueule en ce moment. Il y a beaucoup de mecs qui disent que c'est une mauvaise chanteuse parce qu'elle a toujours un visage doux et pas expressif quand elle chante. Alors qu'elle chante du mental, elle devrait faire des grimaces. [00:29:20] Speaker C: C'est vraiment ça les critiques ? [00:29:21] Speaker E: Ouais, vraiment. Et donc elle a eu du rire. [00:29:24] Speaker B: C'Est dans des moments comme ça que je me dis c'est bien qu'on se prenne des critiques parce que c'est la même valeur quoi. [00:29:34] Speaker E: Elle a pris le temps d'y répondre alors qu'effectivement on aurait pu en avoir rien à foutre mais elle a dit voilà... Les gens s'attendent à ce qu'on grimace en criant, mais en réalité, ça peut gêner la performance, détendre son visage et bien plus efficace. On n'est pas obligé de faire des grimaces comme le batteur de Metallica. [00:29:53] Speaker B: Mais attends, mais c'est surtout... [00:29:55] Speaker C: On a bien vu que les grimaces n'aidaient pas à être bon batteur, donc... [00:29:57] Speaker B: C'est surtout que... [00:29:59] Speaker E: Voilà, s'il avait un visage plus détendu, peut-être qu'il serait meilleur. [00:30:02] Speaker B: Ce qu'on ne dit pas, c'est que Corey Taylor, c'est pour ça qu'il a mis un masque dans Slipknot. Parce que les gens trouvaient la voie mortelle, ils faisaient « Attends, tu fais pas cette grimace ? [00:30:09] Speaker C: ». [00:30:09] Speaker B: Et il n'y arrivait pas, du coup je lui ai dit « Je vais mettre un masque ». [00:30:10] Speaker E: « Je vais mettre un masque qui fait peur, comme ça ils me foutront la paix ». [00:30:13] Speaker C: Ah mais c'est fou cette histoire quand même. [00:30:14] Speaker B: Les gens sont cons. [00:30:16] Speaker C: Bah ouais, les critiques là c'est vraiment de bas étage, mais alors vraiment, ça. [00:30:20] Speaker E: Sent le sous-sol qui a pris l'eau. On dit tout. On dit souvent que la communauté métal, elle est quand même cool, mais bon, on a aussi des bons gogoles. [00:30:28] Speaker C: Il y en a partout, c'est pas réservé à une seule partie de la population. [00:30:33] Speaker E: Il faut le reconnaître. [00:30:34] Speaker B: Ah oui, on le reconnaît bien. [00:30:39] Speaker E: Et du coup, pour finir ce petit speak, alors il n'y a pas grand chose à dire, c'est Sergio Vega, le bon Serge, donc de Quicksand, anciennement, enfin qui s'est fait salement virer de chez Deftone, rappelons-le, avec sa femme Azur Rodriguez, ils lancent leur propre groupe, un groupe qui s'appelle Strict. Voilà, une espèce d'électro métal, électro rock. [00:31:00] Speaker C: Strict, c'est la Strict vérité. [00:31:03] Speaker E: Voilà, et je me suis dit, bah comment... On a souvent parlé de lui et on s'est souvent foutu de sa gueule quand il s'est fait virer de Deftone. On a quand même fait 30 minutes d'impro avec Ben et une interview de lui. Après c'est un peu dans la veine d'un wargasm électro-rock comme ça. [00:31:24] Speaker B: Écoutons ça, moi je propose. [00:31:27] Speaker E: On en profite, je me dis, tiens j'en profite de pouvoir passer un clip. [00:31:31] Speaker B: Pendant qu'on parle de Sergio Vega, Quicksand, qui sont en tournée en ce moment d'ailleurs, pas par la France bien sûr, ils ont enregistré une reprise de Refused pour l'album, c'est l'anniversaire de... de The Shape of the Punk to Come de Refuse. Il y a plein de groupes qui ont enregistré des titres, dont JL, dont Cult of Luna, enfin c'est très varié. Et Quicksand a fait une reprise de Liberation Transmission. Voilà, vous pouvez écouter elle, elle est très sympa. [00:31:58] Speaker C: Et c'est la dernière fois que vous aurez des sons de Refused puisqu'ils arrêtent. [00:32:03] Speaker B: Oui bah voilà, enfin là du coup. [00:32:04] Speaker C: C'Est pas... Ouais mais c'est pas grave, c'est quand même leur chanson, c'est cool. C'est quand même bien. [00:32:08] Speaker B: Et d'ailleurs ils font la tournée ensemble aux Etats-Unis, Quicksand, Refused. Ça va être un bon plateau quand même. [00:32:13] Speaker C: Ça va envoyer le paté. [00:32:14] Speaker B: On n'y sera pas. [00:32:17] Speaker C: Bon on regarde ce petit clip justement, petite découverte pour moi et merci Didi pour ce choix. Strict avec Say It. Belle découverte, belle découverte, merci encore une fois Didi dans Bang Bang, voilà de quoi se rassasier en petites nouveautés que peut-être on n'était pas assez à côté. [00:34:42] Speaker E: D'habitude je mets que des vieux trucs, là j'en profite à aller une petite nouveauté. [00:34:46] Speaker C: C'était pas mal, plus sombre que Wargasm. [00:34:49] Speaker B: Plus doux peut-être aussi, plus ambiante. C'est un peu plus cryptique. [00:34:53] Speaker C: Mais ça s'appelle strict, voilà. Si vous avez envie de retrouver ça, il suffit d'aller sur notre chaîne YouTube, vous avez l'ensemble des clips que nous diffusons rassemblés en playlist. Bon, que s'est-il passé d'autre ? [00:35:07] Speaker E: Alors là j'espère que ce sera la dernière fois qu'on en parle mais bon on va clôturer le As I Lay Dying. On parle quand même beaucoup d'un groupe. [00:35:17] Speaker B: Dont on a rien à foutre. [00:35:18] Speaker E: Oui mais bon ça fait l'actu et puis c'est bien de se moquer d'un groupe l'héros. Parce qu'enfin Tim Lambethis s'est enfin exprimé sur l'exode des membres de son groupe. [00:35:30] Speaker B: Et alors finalement c'est de leur faute. [00:35:35] Speaker E: Alors, sur l'environnement malsain, en fait, il reconnaît qu'il existait des problèmes au sein du groupe, notamment au niveau des relations personnelles, de la communication et de la vision artistique. [00:35:44] Speaker B: Ça commence à faire beaucoup. [00:35:48] Speaker E: Sur les désaccords avec Phil, donc le guitariste là, le dernier qui est parti, qui était du coup un des seuls, enfin qui était l'originel. [00:35:56] Speaker C: Et puis c'est pas Phil Barney. [00:35:57] Speaker E: Ouais, non. Les désaccords entre Tim et Phil Barney, le guitariste, notamment sur la gestion de la moula, ont été particulièrement importants et ont finalement conduit au départ de ce dernier. [00:36:07] Speaker C: Parce qu'il était toujours pas payé. [00:36:09] Speaker E: Et au sujet des départs en cascade, en fait c'est Phil Donc c'est les autres membres du groupe et aussi ceux qui s'occupaient de la tournée ont décidé de se barrer quand Phil s'est barré. Sauf que lui il leur a dit qu'il se barrait mais il n'avait pas encore annoncé publiquement parce qu'il était encore en train de régler justement toutes les choses pour que la moula rentre, qu'il continue à toucher ce qui lui est venu. Et donc tout le monde s'est dit si c'est ça je me barre. Alors que lui, il fait non mais putain, je suis en train de régler les trucs. Et donc des communications qui ont été un peu précipitées, qui est un peu hâtive et parfois contradictoire selon Tim Limbezis. Mais le truc le plus important pour lui, c'est qu'il compte bien continuer à recruter une nouvelle équipe et défendre ce nouvel album qui sort bientôt. Bonne chance, pas à lui, mais plutôt aux gens qui l'ont écouté. [00:37:01] Speaker C: Bonne chance. Ils vont vivre une expérience à part, voilà. Bon, on va passer à Zahid El Haïm. [00:37:08] Speaker E: Je pense que c'est bon, on n'en parlera plus. [00:37:10] Speaker C: Alors maintenant, Jones Addiction. [00:37:14] Speaker E: Non, Oasis. En fait, il va peut-être avoir un nouvel album. [00:37:18] Speaker C: Non. [00:37:19] Speaker E: C'Est l'idée d'un nouvel album d'Oasis pourrait bien se concrétiser parce qu'il y a Liam Gallagher qui a récemment surpris ses fans en affirmant qu'il était impressionné par les nouvelles chansons écrites par son frère Noël. Alors que c'est pas trop son genre de faire des compliments. [00:37:34] Speaker C: C'est ça, qu'est-ce qu'il lui prend maintenant ? Il lèche les boules ? [00:37:37] Speaker E: C'est vraiment, c'est sur Twitter, c'est quelqu'un qui dit « Et du coup tu penses quoi des nouvelles compositions ? » Et Jean il a fait « Amazing ! » Après peut-être qu'il était ironique et que ça se voit pas, il avait pas mis Smiley ou je ne sais. [00:37:48] Speaker C: Quoi mais... Ouais bon après, vu que la tournée leur apporte un peu plus d'un milliard d'euros, bon peut-être qu'ils se sont dit un peu gomme. [00:37:54] Speaker E: Ouais c'est ça, après Gamoula qu'ils vont se prendre sur la tournée, peut-être qu'ils se disent, on pourrait prendre encore plus quand même. [00:37:58] Speaker C: Bah c'est ça, après ils auraient tort de s'en plaider. [00:38:00] Speaker E: Et ça coûte cher les anoraks verts. [00:38:04] Speaker C: Il y a sa loge, sa loge au stade elle est plus bonne donc il va falloir tout rénover quoi. Bon très bien, ça peut être pas mal, Oasis pourquoi pas, il faut que ce soit de bonnes chansons par contre. [00:38:14] Speaker B: Oasis is good, je la fais à chaque fois maintenant. Comme ça ils nous envoient de l'argent. [00:38:20] Speaker E: C'est faux ! Sponsorisez-nous Oasis Tropical ! Retour sur un vieil des vieux épisodes, c'est Dino Casares qui est revenu. sur le passé tumultueux de Fear Factor et enfin, il a enfin donné sa version à lui et il explique pourquoi il n'y aura jamais de reformation classique du groupe. [00:38:39] Speaker C: Donc avec Burton, Cybèle. [00:38:40] Speaker E: Avec Burton et puis même du coup les autres qui ne sont pas connus. C'est qu'en gros il explique que Burton et lui ils ont été confronter des actions en justice séparées initiées par les anciens membres, donc c'est Christian Wolbers à la basse et Raymond Herrera à la batterie. Ils ont fait des actions séparées, c'est-à-dire qu'ils n'ont pas fait une action contre Fear Factory, ils ont fait une action contre Dino et une autre contre Burton. [00:39:03] Speaker B: Ah ouais ? [00:39:04] Speaker C: Ah bon ? [00:39:04] Speaker E: Histoire d'avoir La moula, plus de moula ! [00:39:08] Speaker C: Parce que dans le groupe, ils se sont fait baiser, c'est tout. [00:39:10] Speaker E: Parce qu'ils se sont fait baiser et qu'ils n'avaient pas de part dans le groupe et que... Ouais, mais ils auraient pu faire une action contre l'entité Third Factory. Et le truc, c'est que Dino, c'est un malin, donc lui s'est bien défendu, il a gagné son procès. Mais Burton, il y a été un peu les mains dans les poches et du coup, il a perdu et il leur devait un million de dollars. Sauf qu'il n'avait pas un million de dollars parce que ça reste Fair Factory. Et le truc qui pue du cul, c'est qu'il s'est dit je vais me déclarer en banqueroute. Et quand il l'a fait, il l'a mal fait ou il a mal rempli des trucs ou il a fait des fausses déclarations. Ce qui fait qu'au tribunal, ils lui ont dit bah non, du coup, ça ne marche pas. Ça ne marche pas comme ça. Donc non, vous n'êtes pas en banqueroute. [00:39:55] Speaker C: T'es obligé de payer quand même. [00:39:56] Speaker E: Donc obligé de payer. Et comme il n'avait pas un million sur lui, on prend toutes vos affaires. Et que tout le reste de sa life, tant qu'ils n'ont pas atteint le million, en gros, s'il continue à faire de la thune avec Fear Factory, parce que s'il fait d'autres trucs, ils ne vont pas non plus l'empêcher de vivre. Mais s'il refait de la thune avec Fear Factory, sa thune est directement prise et reversée aux deux autres. Donc lui c'est aussi pour ça qu'il a quitté Fear Factory, il dit mais pourquoi je me... [00:40:22] Speaker B: Je ne veux pas travailler pour les autres quoi. [00:40:24] Speaker E: J'aime pas ce groupe, j'en peux plus, je suis pas libre de faire ce que je veux dedans. Et si en plus quand j'y vais c'est pour payer les deux autres, ben non j'y vais plus. [00:40:33] Speaker B: Oh l'histoire. [00:40:34] Speaker E: Et ce qui est drôle c'est que du coup ces affaires ont été saisies. est vendu au tribunal et sauf que du coup Dino en a profité et son avocat a appelé le tribunal de commerce, le tribunal qui gère les trucs pour faire... Moi je serais bien intéressé pour racheter sa part de Fear Factory. Et c'est ce qui fait que Dino Casares a 100% de Fear Factory. Et au lieu de le dire en plus à Burton, non, c'est qu'il l'a vraiment acheté dans son dos pour en plus, parce qu'il aurait pu lui payer plus en le donnant directement à lui, mais non, il l'a acheté à bas prix. [00:41:10] Speaker C: C'est vraiment une bonne personne. [00:41:14] Speaker E: C'est vraiment un malin. [00:41:16] Speaker C: Taaalaaas, ton univers impitoyable. [00:41:22] Speaker E: Et en tout cas voilà, si vous écoutez Replica sur Spotify, ça va donner de l'argent aux deux anciens, mais pas à Burton. [00:41:29] Speaker B: Si les écoutes sur Spotify rapportaient de l'argent aux groupes. [00:41:34] Speaker E: Si vous l'écoutez un million de fois, ça rapportera 6 centimes aux batteurs et aux bassistes. [00:41:38] Speaker D: Donc 3 centimes chacun. [00:41:39] Speaker B: C'est un début, c'est un bon début. [00:41:42] Speaker C: Faut pas cracher sur le petit sou. [00:41:45] Speaker E: Et on va finir avec une news un peu... une news what the fuck, une news rigolote parce que je sais que ça vous fait rire. Alors il y a Morbid Angel qui était censé faire une tournée et sur certaines dates, ils pourront pas la... je crois que sur la tournée, la partie américaine, ils pourront pas la faire et donc ils ont été remplacés par un groupe de reprise de Morbid Angel. [00:42:03] Speaker B: Trop bien. [00:42:04] Speaker E: Alors après, ce qui est drôle, c'est que ce groupe de reprise, dedans, il y a deux anciens groupes de Morbid Angel. [00:42:11] Speaker C: Ah bon ? [00:42:13] Speaker B: Du coup c'est un demi-Morbid Angel. [00:42:15] Speaker C: Et puis il y a les deux mecs de Fear Factory. [00:42:17] Speaker E: En fait ça s'appelle I Am Morbid et c'était pour le Devastation On The Nation Tour. Mais c'est quand même drôle, c'est n'importe quoi. Morbid Angel est remplacé par un groupe de reprises de Morbid Angel. [00:42:29] Speaker C: Peut-être que ça sera meilleur. Non, attention, je respecte beaucoup Morbid Angel. [00:42:32] Speaker E: Mais en même temps, c'est un peu comme Dee Snider qui... Qui joue dans un groupe de reprises de Twisted Sister. [00:42:40] Speaker C: Ouais, c'est ça. [00:42:42] Speaker B: En tout cas, il imite super bien le chanteur original. [00:42:44] Speaker C: Mais il a moins de cheveux, c'est bizarre. Ils sont plaqués. [00:42:47] Speaker E: Ce mec est moins vulgaire aussi. [00:42:50] Speaker C: Y'a plus des ronrons roses sur les joues. [00:42:52] Speaker E: Bon bah du coup je propose qu'on écoute un petit Morbid Angel à défaut d'avoir un I am Morbid. [00:43:00] Speaker B: Moi je propose autre chose. [00:43:01] Speaker C: Bah tu proposes quoi, qu'on fasse l'amour ? [00:43:02] Speaker D: Non. [00:43:02] Speaker C: Bah qu'on chante ! [00:43:04] Speaker B: On chante ? [00:43:05] Speaker C: Joyeux anniversaire ! [00:43:09] Speaker B: Joyeux anniversaire ! [00:43:13] Speaker C: Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire Didier ! Joyeux anniversaire ! Fais un vœu, fais. [00:43:29] Speaker B: Un vœu. Fais le bon. [00:43:37] Speaker C: Bon bah, joyeux anniversaire ! [00:43:40] Speaker B: Je veux que tout le monde dans le ch'meule souhaite un joyeux anniversaire à Dix ! [00:43:43] Speaker C: Et puis d'ailleurs, pareil, sur YouTube, n'hésitez pas en commentaire à lui dire joyeux anniversaire ! [00:43:47] Speaker E: Mettez-le plutôt sur YouTube et sur Instagram, dans nos commentaires ! C'est ça qui me fera le plus plaisir ! [00:43:52] Speaker C: Mais voilà, ça sent la bougie, hein ? [00:43:54] Speaker B: Ouais, c'est mieux que la cave ! [00:43:55] Speaker C: Après l'eau, le feu ! Bon bah, ça te fait quoi, 37 ans ? [00:44:02] Speaker E: 30 ans depuis 16 ans ! [00:44:05] Speaker B: On n'a pas tous les ans 30 ans. [00:44:07] Speaker C: Alors bon, c'est un petit gâteau, mais il est beau. [00:44:11] Speaker B: Il est magnifique. [00:44:12] Speaker C: J'espère que t'aimes ça parce que tu sais qu'il disait qu'est-ce qu'il aime ? [00:44:16] Speaker E: Tu connais mon amour des musclés et du coup t'as pris un framboisier quoi, très bien. [00:44:19] Speaker C: Super, elle est bonne. Encore une fois, bon anniversaire. J'espère que tu as pu apprécier ce petit moment qui est très gênant. Et très aimant aussi. Parce qu'on te love. [00:44:31] Speaker B: De toute façon, on se fait une raclette bientôt. [00:44:34] Speaker C: Ouais, on pouvait pas parce que... Ça marche. [00:44:36] Speaker E: À cause de la chute. [00:44:37] Speaker C: Allez ! [00:44:39] Speaker E: Les bisous ! [00:44:39] Speaker B: Morbi d'Angèle ! [00:44:40] Speaker A: Morbi d'Angèle ! C'est la première fois que j'entends ça. C'est incroyable. Et les enfants viennent à moi La mère m'aime tellement, tellement, tellement La femme pleure dans mes poignets Et je me couche derrière Comme un fantôme, je plonge Dans mon monde divin Et comme un chien, je ne s'arrête pas J'abandonne votre âme et vos peurs Et vous ressentez la chaleur Avec tous les effets de ce monde Et pour la vie, vous êtes là Alors qu'est-ce qui vous fait mourir ? So let the children come to me Their mother loves me so so dear Woman bleeding in my kiss Man was close behind Just like a snake I'm slithering You are world divine And like a cat I'm stalking I'll take your soul when you're fleeing Vow to me faithfully Vow to me splendidly c'est bon. [00:51:59] Speaker C: Une petite nouveauté dans les oreilles et dans les yeux, grâce à Bang Bang, comme tous les dimanche soir, le meilleur du métal est de l'alternative rock, c'est en live Twitch, ici même. Invitez vos amis, dites-leur de venir de nous rejoindre, on s'amuse, on rigole, on dit des bêtises, oui c'est vrai, mais on est sérieux aussi, puisqu'on donne de l'information et on reçoit de très bons invités. Alors c'est toi qui as fait ce petit choix Ben ? [00:52:17] Speaker B: Ouais, ça m'a été proposé cette semaine, c'est un petit groupe de Los Angeles. Donc ça s'écrit N-I-S, N-I-I-S. Mais apparemment ça se dit nice. Enfin sur leur bio il y a écrit ça se prononce N-I-C-E. Bon alors du coup moi j'ai envie de dire Nice. Mais ils n'ont pas la tête des Niçois. Donc j'imagine que c'est nice. [00:52:38] Speaker C: Très bien. Et la chanson s'appelle Love Sick. C'est écrit de toute façon. [00:52:43] Speaker B: Et puis elle court la maladie d'amour. [00:52:45] Speaker C: Non, c'est cool. Je ne connaissais pas. [00:52:47] Speaker B: C'est pas mal. [00:52:48] Speaker C: Ils n'ont pas inventé grand-chose, mais ça faisait longtemps qu'on n'avait pas eu ce genre-là. [00:52:51] Speaker B: Voilà, il y a ce petit revival 90's, un peu garage, grunge, punk, un peu tout. [00:53:03] Speaker C: Bon voilà, Nice, N-I-E-S, Nice. On redira ça plus tard parce que j'en pense qu'on en passera encore. Mais il ne serait-il pas l'heure de recevoir notre invité ? [00:53:12] Speaker B: Ah ben j'aimerais beaucoup oui ! [00:53:14] Speaker C: Et qui est donc notre invité ? [00:53:15] Speaker B: Ah ben je te laisse le dire ! [00:53:16] Speaker C: C'est Simon Despogo ! On aime bien recevoir les gens correctement. [00:53:24] Speaker D: C'est sympa, j'aime beaucoup. [00:53:27] Speaker C: Bon, welcome, merci d'avoir accepté cette invitation. [00:53:29] Speaker D: Bah merci à vous, c'est trop cool. [00:53:31] Speaker C: Je sais que ça fait très longtemps que je te fais chier à chaque fois que je te crois. Tu viens ? Tu viens ? Je me disais oui mais laisse-moi un peu de temps, j'arrive. [00:53:37] Speaker B: Il a fallu 8 mois. [00:53:43] Speaker D: Tu trouvais pas le bon pantalon en fait pour l'émission ? Là c'est bon. [00:53:47] Speaker C: T'attendais le bon achat. [00:53:50] Speaker B: C'est une bonne excuse. [00:53:51] Speaker C: C'est vrai, ça se tient, c'est pas mal. Bon, tu es ici, alors on l'a dit en rentaine mais on va le dire en gens, pas forcément pour parler du futur de Pogo parce qu'il y. [00:54:01] Speaker D: Aura un moment où on en parlera. [00:54:03] Speaker C: On trouvera le bon moment où il se passera des choses. Et là tu es là parce qu'on avait très envie, parce que c'est même Ben qui m'a dit ce serait cool d'avoir Simon pour parler de tes goûts musicaux, comment tu es arrivé au métal et qu'est-ce que ça peut provoquer chez toi. Donc à quel moment, ma première question sera celle la plus simple, à quel moment tu as rencontré les musiques alternatives, les musiques un peu plus violentes ? [00:54:28] Speaker D: Assez tôt au final, mais après en fait j'ai commencé plutôt par du hard rock etc. Donc c'est quand même déjà. [00:54:35] Speaker C: Violent pour beaucoup de français ? [00:54:36] Speaker D: Voilà ! [00:54:36] Speaker C: Donc peut-être à quel moment t'as découvert le hard rock ? [00:54:40] Speaker D: Mais très tôt, via mon père, on mettait du ACDC dans la bagnole etc. Donc j'ai baigné un peu dans cette culture. Mais surtout je suis le... Louis du coup qui est le batteur de Pogo, c'est mon grand frère, donc en primaire moi j'écoutais du Système of a Down, tout ça, donc j'ai vite baigné un peu dans tout le néo-métal. [00:55:05] Speaker C: Assez vite. [00:55:07] Speaker D: Donc j'ai eu de la chance sur ça, c'est qu'en CM2 j'écoutais du Système... [00:55:11] Speaker C: C'est vrai que c'est pratique. Non mais bien sûr, Laurie. Est-ce qu'on n'a pas écouté Laurie ? On remercie d'ailleurs Sébastien Paquet de nous avoir aidé à avoir autant de collecteurs de Laurie. Il me ramenait chez Sony, à chaque fois il me ramenait, il me disait « Tiens, c'est pour toi le CD dédicacé de Laurie ». Peut-être que je vais aller en prison du coup. [00:55:43] Speaker B: Au moins maintenant ils savent où sont passés les CD dédicacés de Laurie. [00:55:48] Speaker C: Je sais même pas où c'est chez moi. [00:55:50] Speaker D: Du coup je dirais quand même c'est avec System. Tu vois, le premier truc où j'ai l'impression d'écouter un truc un peu agressif. Parce qu'à CDC pour moi c'était... Ouais. [00:56:01] Speaker B: Du coup tu as la base quoi. [00:56:03] Speaker D: Ouais, puis c'est fun, c'est... Mais j'adore hein, attention. Je suis super fan, c'est pour ça que je me suis mis dans Star. [00:56:09] Speaker B: Il y a un côté rock. [00:56:12] Speaker D: Bonne ambiance quoi. [00:56:13] Speaker C: Putain c'est cool quand même dans la famille que ce soit rock comme ça parce que c'est pas si fréquent. Dans ton entourage t'étais le seul un peu de cet âge à... Ouais, bah. [00:56:23] Speaker D: Ça complètement par contre c'était aussi le problème c'est que voilà quoi moi j'ai commencé la guitare du coup à 10 ans j'ai voulu monter mon groupe de rock tout de suite et tout. mais je galérais à trouver des gens qu'on ait quelque chose à foutre. [00:56:37] Speaker B: Ton frère jouait déjà de la musique aussi ? [00:56:41] Speaker D: Ouais. Mais on jouait pas ensemble. Au début c'était pas... [00:56:45] Speaker B: Quand ils ont vu qu'ils trouvaient personne... [00:56:53] Speaker D: C'était un peu chacun son groupe et moi du coup j'ai eu un plan un groupe de bébés rockers à 12 ans. Influenceurs de rock du coup. Et le batteur, son père était producteur. Donc on a eu deux albums tout de suite produits. C'était très cool. C'est très nul, je dirais pas le nom parce qu'on peut le retrouver très facilement. Non mais c'est super. [00:57:19] Speaker C: C'est parce que tu le vois nul maintenant mais c'était hyper cool. [00:57:23] Speaker D: Mon accent anglais il est éclaté dans les albums. [00:57:27] Speaker B: Tu chantais aussi ? [00:57:28] Speaker D: Ouais, je chantais et je faisais de la guitare. Je chantais en français et il y avait des morceaux en anglais. [00:57:34] Speaker B: Vous avez plein d'indices pour retrouver. [00:57:37] Speaker C: Non mais en même temps, je suis en train de me dire, c'est quand même à 12 ans, c'est là à 12 ans que tu faisais ça ? [00:57:42] Speaker D: Ouais ouais. [00:57:42] Speaker C: Non mais t'imagines le délire dans ta tête, ça devait être un feu d'artifice, tu devais pas y croire, enfin ça t'est fondé dans tous les sens. C'était quoi comme émotion ? Tu pourrais décrire ça comment ? [00:57:54] Speaker D: Bah en fait du coup c'est vrai. [00:57:56] Speaker B: Que... Ça te semble assez naturel peut-être ? [00:57:58] Speaker C: Bah je suis... En fait c'était nul... T'as pas connu. [00:58:01] Speaker B: Les choses avant ? [00:58:02] Speaker D: Toute ma vie tout m'est tombé dessus comme ça... Le mec est insupportable tu sais... Bah. [00:58:08] Speaker B: C'Est pas facile tous les jours quand même ! [00:58:10] Speaker D: En fait c'est vrai que je m'étais mis une pression du coup dingue très très tôt parce que... En plus mes parents s'étaient rencontrés dans un groupe et ça n'avait pas forcément fonctionné pour eux donc... Il me disait, ouais bah faut que tu taffes si tu veux... Bah ouais. [00:58:24] Speaker C: C'Est le ski-free ! [00:58:26] Speaker D: J'avais 12 ou 13 ans ! [00:58:27] Speaker C: Ouais, bon, c'est tôt, mais c'est vrai ! [00:58:31] Speaker B: La nuit, je le réveillais pour lui dire, non, travaille encore, dors pas ! [00:58:34] Speaker D: Non, c'est vrai que j'avais une déter, par contre, je bossais comme un ouf, je pensais qu'à ça, quoi. [00:58:40] Speaker C: C'est cool, en même temps c'est ce qu'a donné... [00:58:42] Speaker D: Mais c'était trop bien et du coup le fait d'aller dans un vrai studio entre guillemets et puis être dans un cadre assez pro... Ouais ça t'a permis. [00:58:51] Speaker C: Aussi d'apprendre ton cheminement quoi. [00:58:53] Speaker B: C'est surtout que t'apprends bien je pense. Enfin t'apprends avec les vraies méthodes qui sont faites professionnellement. [00:59:00] Speaker D: Ouais bah c'est ça. Et du coup c'est ce qui permettait que dans Pogo du coup j'avais déjà connu le studio avant. [00:59:07] Speaker C: Tu connaissais le fonctionnement. [00:59:09] Speaker D: Mais Lola, elle a le même parcours que moi en fait. Elle avait un groupe avant aussi. [00:59:13] Speaker B: Pas que pas, si elle vient un. [00:59:13] Speaker D: Jour, faut qu'elle puisse se raconter. J'en dirais pas plus. [00:59:16] Speaker C: Par contre, tu lui as donné le nom de son groupe parce que... Parce. [00:59:19] Speaker D: Que voilà, bon, je peux me lâcher sur les yeux. Vu qu'elle dirait le nom de son. [00:59:22] Speaker C: Groupe avant, donc bon bah... Non mais. [00:59:25] Speaker D: Donc j'avais ce groupe-là et du coup Louis, mon frère, il avait un groupe d'oscas en parallèle et puis on se suivait, tu vois, c'était cool. Mais on n'arrivait pas à... On essayait de faire un groupe ensemble mais ça donnait rien à chaque fois. Je pense que c'était pas le moment. Non, c'était pas le moment. [00:59:42] Speaker B: Faut pas insister les gars. [00:59:43] Speaker D: Bah non, ça sert à rien. [00:59:46] Speaker B: Et du coup System, ouais, c'est ton premier souvenir un peu de truc... Dans la scène Néo, c'est vraiment le truc... Parce que moi je mets System dans le Néo, je sais pas si. [00:59:53] Speaker D: C'Est vraiment ça, mais... Ouais, bah c'est vraiment le premier groupe pour moi... Ouais. [01:00:02] Speaker B: Et c'était ça, ce groupe là plus que les autres ? Enfin on a tous un groupe qu'on a plus écouté que les autres ? [01:00:09] Speaker D: Bah c'était vraiment System et après j'ai écouté évidemment tout ce qui est Blinks, Unforty One, tout ça donc un peu plus poppy quoi tu vois. Mais par contre tu vois Slipknot, c'était le groupe de mon grand frère tu vois. Et moi j'étais en mode... Du coup il faisait du ska après quoi. [01:00:26] Speaker C: Finalement il a volé le truc de System, enfin non je me mouais lentement les yeux dans le style. [01:00:31] Speaker D: Mais Slipknot ouais ça me faisait peur tu vois par exemple. J'étais en mode je pense les gens sont... parce qu'on avait le dvd. [01:00:44] Speaker B: Ah ouais, Disaster Peach là ? [01:00:45] Speaker D: Ouais. Putain, il fait flipper ce... [01:00:48] Speaker C: Il est très dur à regarder. À 12 ans, ça doit pas être facile, c'est sûr. [01:00:51] Speaker D: Ouais, ouais, ouais. Et je me disais, mais ils sont malsains, c'est pas possible. [01:00:55] Speaker C: Mais ils le sont en plus. Oui, en plus ! Pas tous, mais... [01:00:58] Speaker B: Dans le DVD, avant de monter sur scène, ils se crachent dessus et tout, c'est vraiment... Ouais, je pense qu'ils en rajoutent un peu pour le DVD. [01:01:03] Speaker D: Évidemment. [01:01:04] Speaker B: Mais bon, quand t'es jeune, tu t'en. [01:01:07] Speaker D: Rends pas forcément compte. Tu vois, je m'en rappelle bien aussi, tu vois, de cette vision que j'avais de Slipknot où je comprenais pas parce qu'ils étaient masqués et j'étais en mode... [01:01:15] Speaker C: C'est quoi ce truc, tu vois ? T'as le trauma. [01:01:19] Speaker D: Non, et après je me suis pris tous les albums plus tard, tu vois, j'ai écouté et j'étais en mode, c'est incroyable, mais... [01:01:25] Speaker B: Il fallait que tu sois un peu plus près, quoi. [01:01:27] Speaker C: Moi, j'écoutais Aerosmith, tout ça. [01:01:30] Speaker B: Très bien. [01:01:31] Speaker C: Une progression, c'est normal, il faut commencer par quelque chose. Commencer directement par Slipknot, c'est quand même... Pas fréquent. [01:01:37] Speaker B: Je doute. [01:01:38] Speaker C: À 12 ans. [01:01:39] Speaker D: C'est vrai que mon guilty pleasure aussi, c'est que j'écoutais vachement l'album de Nickelback avec la bagnole, là. [01:01:45] Speaker C: Alors on connaît pas assez les... [01:01:47] Speaker D: On connaît pas assez Nickelback mais... Follow your home ou un truc du genre. [01:01:50] Speaker C: Mais le fait que tu oses le. [01:01:51] Speaker B: Dire et que tu ne veuilles pas dire le nom de ton groupe me fait assez halluciner. [01:01:56] Speaker C: Alors en live, tu les as déjà vus en live Nickelback ? [01:01:58] Speaker D: Ouais. [01:01:59] Speaker C: C'est quand même très bon. Non mais ça envoie, je veux dire c'est pas pareil, c'est pas How You Remind Me quoi, y'a pas que ça. [01:02:05] Speaker D: Non mais l'album il est bien ! [01:02:06] Speaker C: J'adore cette chanson. [01:02:08] Speaker D: Non mais je dis ça parce que je passe toutes mes soirées à défendre ce groupe. Mais franchement le son il est incroyable, je sais plus quel producteur a bossé sur cet album là dont je vous parle. [01:02:18] Speaker B: Non mais c'est des tubes. [01:02:20] Speaker C: C'est du rock'n'roll, c'est du radio... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... [01:02:22] Speaker B: C'est du... [01:02:22] Speaker D: C'est du... [01:02:22] Speaker B: C'est du... [01:02:22] Speaker D: C'est du... [01:02:23] Speaker C: C'est du... C'est du... C'est du... [01:02:24] Speaker B: C'est du... C'est du... [01:02:24] Speaker A: C'est du... [01:02:25] Speaker B: C'est du... [01:02:25] Speaker C: C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... [01:02:29] Speaker B: C'est du... [01:02:29] Speaker E: C'est du... [01:02:29] Speaker C: C'est du... [01:02:29] Speaker B: C'est du... [01:02:30] Speaker D: C'est du... C'est du... C'est du... C'est du... [01:02:31] Speaker B: C'est du... C'est du... [01:02:32] Speaker D: C'est du... [01:02:32] Speaker B: C'est du... [01:02:33] Speaker C: C'est du... C'est Tu me diras, il y avait Aerosmith, tu l'as dû aussi. T'as fait une niçoise, un Canadien. [01:02:40] Speaker B: Ce qui est bien, c'est qu'il ait continué derrière. C'est bien qu'il soit pas à ce niveau-là. [01:02:44] Speaker C: Ça a aidé quand même. Après, t'es très jeune. [01:02:48] Speaker B: Il n'y a pas d'excuses. [01:02:49] Speaker D: Tu parles de ça pour le coup. [01:02:50] Speaker C: Mais du coup, comme t'avais ton groupe et tout, pour l'école, ça se passait comment ? T'avais quand même à l'école ? Ah oui, t'avais un cursus normal ? [01:02:57] Speaker D: Oui, oui, pour le coup. [01:02:58] Speaker C: Non, parce qu'on sait jamais si tu essaies de te professionnaliser. [01:03:01] Speaker B: Après, je pense que quand t'es aux Etats-Unis, t'as un groupe à 12 ans, tu peux faire des tournées et tout. En France, je pense que quand t'as un groupe de rock à 12 ans, tu peux pas non plus arrêter l'école pour faire ta carrière. [01:03:11] Speaker D: Ouais, puis nous, tu sais, en fait, on habitait dans le 77, mais tu sais quand même... là où il n'y a pas de transport en commun, tu sais, aller à Paris c'était un exploit. Alors tu vois, ouais. [01:03:24] Speaker C: Ouais, non, c'était bien. [01:03:25] Speaker B: Ouais, voilà, ça restait un loisir. C'est surtout le fait qu'il y ait un producteur. [01:03:30] Speaker D: Bonjour à la fête communale du musulman. [01:03:33] Speaker C: C'est déjà bien. [01:03:34] Speaker D: Mais c'était cool et après voilà, on a fait quand même une boule noire à Paris. [01:03:38] Speaker B: Produites... [01:03:40] Speaker C: Encore plus d'éléments pour trouver le groupe ! J'ai l'impression que ça se trouve, on en avait parlé, je sais pas... [01:03:48] Speaker D: Mais en même temps, c'était un autre monde. Même Paris pour nous, c'était un autre monde. [01:03:52] Speaker B: C'était quelle époque ? C'était l'époque Bébé Brune, tout ça ? [01:03:57] Speaker D: C'était un peu pendant la même époque. Mais sauf que nous, on n'était pas dedans. [01:04:03] Speaker B: Vous avez moins passé à la radio. [01:04:04] Speaker D: On n'habitait pas à Paris, tu vois. [01:04:05] Speaker C: Et Bébé Brune, ils avaient plus de douze ans quand même. [01:04:08] Speaker B: Ah oui, bien sûr. [01:04:08] Speaker C: Ils étaient adolescents. [01:04:09] Speaker B: Non, mais c'est pour savoir un peu le... Et c'était plus Hard Rock, ouais. [01:04:13] Speaker C: Ouais, c'est ça. [01:04:16] Speaker B: Je suis en train de faire un quies. Depuis tout à l'heure, dans ma tête, je baisse des petites pancartes. [01:04:25] Speaker C: Et donc à l'école personne n'écoutait cette musique ? [01:04:28] Speaker D: Bah ouais pas grand monde. Et au lycée c'était encore pire quoi. Parce que moi j'ai connu en fait un peu la fin du Néo. [01:04:40] Speaker B: Ouais c'est le moment où il y avait... parce qu'en fait il y a eu un pic avec Grunge Néo. [01:04:46] Speaker C: Ah mais j'oublie qu'il est jeune. [01:04:47] Speaker B: Et après c'est vrai que c'est redescendu un petit peu la mode, il y a eu la vague un peu émo quoi. [01:04:52] Speaker C: Oui émo, avec My Chemical Romance et tout ça dans les années 2000. [01:04:55] Speaker D: Ouais c'est ça et après bon il y a toujours... Dans tous les collèges et tous les lycées de France il y a des fans de Nirvana, j'ai l'impression que ça ne partira jamais mais... [01:05:04] Speaker C: C'est une bonne phrase ! Contrairement aux chanteurs ! Non mais c'est vrai ! [01:05:07] Speaker D: Tu as dit quoi ? [01:05:08] Speaker C: Contrairement aux chanteurs ! Oui on fait des blagues horribles ! [01:05:12] Speaker B: Ah oui bah écoutez... C'est bon on s'occupe comme on peut ! [01:05:17] Speaker C: Mais oui, il y a toujours un fan de Nirvana. Mais oui, donc il n'y avait que des fans de Nirvana. Tu ne trouvais pas de vrais fans de musiques un peu plus alternatives, un peu plus agressives ? [01:05:26] Speaker D: Bah moi, c'est vrai que moi, du coup, parce que j'étais beaucoup pote avec les potes de mon frère, etc. Et c'est vrai qu'il y avait une vraie différence quand même, je sais pas, pour tous les 95 qui me regardent. Il y avait quand même un trou... [01:05:40] Speaker C: Ouais, il y avait au-dessus pour... 95... Ouais, non, mais quand il a dit ça, j'ai eu envie de chialer. [01:05:49] Speaker D: Mais voilà, en fait soit les gens écoutaient des classiques, mais après au lycée évidemment... Bon il y avait tout ce. [01:05:56] Speaker C: Qui était pop, il y avait le rap... [01:05:57] Speaker D: On a écouté tout ce qui était hip-hop à fond et puis voilà quoi. [01:06:02] Speaker C: T'en écoutais du coup aussi parce que t'aimais bien ça et que... Ouais ouais. [01:06:06] Speaker D: Ouais, j'écoutais énormément tout ce qui se passe en rap même maintenant pour le coup. [01:06:12] Speaker C: J'écoute de tout même. Je sais que toutes les discussions qu'on a déjà eues, c'était... Je me souviens pas des noms de groupe évidemment parce que la soirée m'a été très longue, mais quand on jouait en début de soirée, on parlait de beaucoup de styles très différents, t'as pas de... T'es curieux. [01:06:28] Speaker D: Ouais, ouais de ouf. Bah pour moi quand t'aimes la musique, tu peux pas aimer qu'un style de musique, tu vois, je trouve ça... Et puis d'autant plus je trouve quand t'as un groupe, et que tu te rends compte que tu fais peut-être un style de musique qui est un peu vieillissant, entre guillemets, ou... Tu vois, enfin... Ouais, complètement. Tu dois forcément t'intéresser à pourquoi ça touche pas les gens, pourquoi machin, tu vois. Si tu restes vraiment bloqué dans les vieux clichés et tout ça, bah en fait... T'avances pas, quoi. Tu butes la musique, en fait, tu vois. Tu butes le rock'n'roll. [01:07:02] Speaker C: C'est beau ça. [01:07:02] Speaker B: Il a tué le rock'n'roll. [01:07:04] Speaker D: Moi je dis ça mais j'ai un. [01:07:06] Speaker B: Fût en cuir aujourd'hui. [01:07:08] Speaker C: Bah t'es très rock'n'roll. [01:07:10] Speaker B: En même temps les rappeurs mettent des fûts en cuir aujourd'hui donc j'ai envie de dire bon. [01:07:13] Speaker C: C'est pas faux. [01:07:14] Speaker D: Mais non non mais ce que je veux dire en fait c'est que même dans l'imagerie et dans Puis même en France, moi j'étais grave curieux de... de tiens, pourquoi on voyait beaucoup moins de groupes... [01:07:24] Speaker C: Tu vois... Oui, français. [01:07:27] Speaker D: Ouais, c'est ça. [01:07:28] Speaker C: Que des groupes ricains, pourquoi il y avait une si petite présence française ? [01:07:31] Speaker D: Ouais. [01:07:32] Speaker C: C'est vrai qu'en plus à cette période-là, il y avait plus grand monde en vrai. Parce que tout s'est passé mi-90 jusqu'à fin 90. [01:07:38] Speaker B: Il y avait des petites scènes, à cette période-là, il y avait des petites scènes locales, enfin il y avait une scène à Paris, à Toulouse, à Lyon, mais il n'y avait pas de gros engouements nationals quoi. [01:07:50] Speaker C: Ouais. C'était pas... Moi j'étais au Marseille, il y avait Hetz. [01:07:54] Speaker B: Non mais là ils parlent d'après. [01:07:55] Speaker C: Ah encore après. Mais ils existent encore là sinon ? [01:07:58] Speaker B: Je sais pas. [01:07:58] Speaker C: Pas sous la même forme mais ça a changé mille fois. Bon bref. [01:08:01] Speaker D: Mais du coup il y avait ça et c'est vrai que... le second souffle un peu qu'on a eu nous, finalement c'était pas forcément dans le métal, je parle pour Pogo hein, mais c'était plutôt toute la période avec Metz, Fiddler, Bastard of Death, il y avait Jerry Tardavant, tout ça, et c'est vrai que nous, là je voyais qu'il y avait de l'engouement sur Paris, il y avait plein de jeunes qui étaient au concert, ça touchait tout le monde, et voilà. Truc garage hardcore. Et je pense qu'on a foncé. [01:08:39] Speaker C: Plein. [01:08:39] Speaker D: De balles là-dedans et c'était vraiment notre inspi. [01:08:42] Speaker B: Du coup t'avais quel âge au moment où vous avez commencé Pogo ? [01:08:45] Speaker D: J'avais 17. J'étais en intermédiale en gros. J'étais à la basse. [01:08:51] Speaker C: Moi 17 ans j'étais au collège. [01:08:54] Speaker B: Et t'étais à la basse ? [01:08:55] Speaker D: Et j'étais à la basse dans Pogo Ouais parce que en fait le premier bassiste du coup il s'est barré pour faire des études de médecine Donc moi j'entendais les maquettes de Pogo Du coup. [01:09:07] Speaker B: Ton frère était déjà dans le... Ouais. [01:09:09] Speaker D: Ça faisait un an tu vois qu'il répétait un peu tout ça Et moi j'étonnais mon frère en mode vas-y faut me prendre à la basse Je vais tout déchirer et tout et du coup au final ils m'ont pris et un an après le bassiste il a raté Métine donc il a voulu revenir et moi j'étais guitariste donc j'étais en mode bon bah vas-y je reprends la guitare. [01:09:33] Speaker B: Vas-y je peux rester quand même chez la guitare t'inquiètes. [01:09:37] Speaker D: Non en fait on l'a repris parce que c'était aussi le pote et tout. [01:09:40] Speaker C: Et que... Oui et puis c'était au. [01:09:41] Speaker D: Tout début donc... Oui voilà. [01:09:43] Speaker C: Ça c'est encore le moment où tu te places. [01:09:45] Speaker B: Et toi ça te déplaisait pas de jouer de la guitare ? [01:09:47] Speaker D: Non non ouais. Ouais bah au début ça servait à rien d'avoir deux guitares pour continuer, fallait re-réfléchir. [01:09:54] Speaker B: Ça fait tous sonner plus gros. Parce qu'on joue ensemble mais ça fait tous... c'est un peu plus... ça double. [01:10:01] Speaker C: C'est toujours sympa aussi quand ton frère, ton grand frère finalement t'embarque dans l'histoire. [01:10:06] Speaker B: Apparemment il l'a tanné. [01:10:07] Speaker C: Ouais mais justement il aurait pu te dire il va te faire foutre quoi. La famille c'est cool parce que tu peux t'entendre mais très rapidement ça peut partir en cacahuète aussi. C'est quand même une belle histoire. Ou que c'est une très belle histoire. Bah oui. Par contre, ce qui me traumatise, c'est qu'il dit quand même qu'à l'école, il n'y avait que lui qui écoutait ça. Et du coup, tu avais quand même des potes, mais qui étaient plus... Des. [01:10:29] Speaker B: Potes de ton frère. [01:10:30] Speaker C: Non, mais il y avait des potes de son frère, mais en cours. J'espère qu'il n'y avait pas des potes de son frère dans ses cours. Ouais, non, mais en cours... Parce que, tu sais, souvent, on a remarqué... [01:10:42] Speaker D: J'avais quelques potes où on était dans le même délire et on commençait à écouter justement... les mêmes trucs tu vois, la nouvelle scène garage, tout ça. Bon après il y a toujours les Slayers, les machins... Ah il y avait. [01:10:57] Speaker C: Quand même des fans de musique extreme mais de vieux quoi ! Ouais c'est ça ! [01:11:03] Speaker D: Non mais il y a toujours les basses tu vois, mais des gens qui suivaient, on se côtoyait pas forcément en tout cas. Je crois que je côtoyais pas forcément les gens par rapport à leurs intérêts musicaux au final. Surtout au lycée, tu vois. Je me rappelais, je collais des affiches... dans mon lycée pour les concerts et tout parce que toujours avec mon premier groupe et j'étais là putain mais tout le monde s'en tape c'est genre ça s'est vraiment vu au collège les gens ils étaient en mode trop cool et. [01:11:29] Speaker B: Tout ouais parce que c'était un peu. [01:11:30] Speaker C: Original bah ouais et puis parce que oui t'es content puis quand je jouais. [01:11:34] Speaker D: Sur Paris il y avait un bus tu vois la mairie nous louait trop bien on nous a loué un bus attends c'est trop bien sortie du collège tout le monde rentrait dans le bus et tout le monde allait sur Paris et c'était un truc de fou d'aller à Paris tu vois pour nous donc. [01:11:48] Speaker B: Au lycée c'était fini, la fierté de la ville quoi. [01:11:50] Speaker C: Ouais c'est génial. C'est pas à Malmore de Provence qu'ils ont mis un bus. [01:11:54] Speaker B: Non mais en même temps t'avais pas de groupe. [01:11:56] Speaker C: Non c'est vrai. C'est peut-être mieux comme ça. Je t'ai demandé de choisir des clips, des chansons qui devraient avoir marqué un moment de ta vie. Je les ai gardés dans l'ordre dans lequel tu me les as donnés, je me suis pas touché. [01:12:07] Speaker D: Très bien, je me rappelle plus trop de ce que je t'ai dit. [01:12:08] Speaker C: Et donc je vais te les donner comme ça. Ne t'inquiète pas. Le premier que tu as noté c'était Violent So, qu'on avait beaucoup aussi ici dans Bang Bang, avec Sarah Monacid. Pourquoi Violent So ? [01:12:21] Speaker D: Parce que très très fan pour le coup de Violent So. Je pense que c'est vraiment le style de musique qui me touche le plus. C'est un peu du neo grunge australien. et j'ai toujours adoré les clips de Valenço donc là ce clip c'est un plan séquence où tu les suis dans une je crois que c'est des potes qui sont dans une bagnole et en fait tu suis la bagnole et ils récupèrent les gens progressivement et ils boivent des bières cul sec machin truc et à la fin ils finissent par aller au concert de Valenço mais le truc est super bien réalisé c'est hyper beau Ça sent l'Australie. [01:13:02] Speaker B: Et puis la musique est cool. [01:13:03] Speaker D: Ouais. [01:13:03] Speaker C: Et la musique est cool. [01:13:04] Speaker B: Il a une pure attitude en fait. [01:13:05] Speaker D: Mais j'ai édité avec un autre clip qui s'appelle Covered in Chrome de Valen Soho. Où c'est pareil, c'est un plan séquence où il joue et il change de lieu à chaque fois. Mais en tout cas, le choix du clip, l'imagerie m'a toujours impressionné dans ce groupe. Et je sais pas, j'ai toujours trouvé que c'était un groupe hyper classe. [01:13:26] Speaker C: Classe et cool. Classe, cool. [01:13:29] Speaker D: Cool parce que ça chante pas très juste aussi. Ouais, y'a un côté punk, tu vois ? [01:13:34] Speaker B: Y'a un côté punk un peu, je trouve, dans l'attitude. [01:13:38] Speaker D: Et ils n'ont jamais joué en France ? Non. [01:13:41] Speaker C: Ils n'ont jamais joué en France ? [01:13:42] Speaker D: Non. [01:13:42] Speaker B: Je crois pas. [01:13:45] Speaker D: Tous leurs potes, les DZ Death Race, Dune Rat c'est tout. Ouais, mais eux, jamais. Et franchement... Bah ça existe plus maintenant ! [01:13:52] Speaker B: Bah oui ! Non, ils feront un concert pour les 20 ans ! Peut-être qu'ils reviendront, mais ce sera des vieillards ! Ils ont fait ça jeune, donc normalement ils seront pas si vieux à 20 ans. [01:14:04] Speaker C: Non mais c'est vrai que c'est un très très très bon groupe. [01:14:06] Speaker D: Mais ils sont plus tout jeunes quand même là, je crois. [01:14:08] Speaker B: Ah bah attention, je vais pas vous menacer. Je sais pas quand ça va être, mais ça a 10 ans maintenant. Les premiers trucs de Violence House, moins. [01:14:18] Speaker C: 10 ou... 12 ans même. Ouais, c'est ça. [01:14:21] Speaker D: Je pense. [01:14:23] Speaker B: Oui, forcément, ils sont plus jeunes. [01:14:25] Speaker C: Ils se rapprochent des 30 ans. [01:14:26] Speaker B: Oui, peut-être plus. [01:14:28] Speaker C: Ouais, peut-être plus, mais enfin c'est très jeune, jusqu'à 50 c'est jeune, non ? Non. Mais j'essaye ! On s'entend bien, j'ai pas envie qu'on s'engueule maintenant ! [01:14:36] Speaker B: C'est toi le problème ! T'as qu'à passer à la chanson, puis on s'engueulera pas. [01:14:40] Speaker C: Voilà, c'est ce que je vais faire. T'as tout gagné. [01:14:42] Speaker B: Eh ben, bingo ! [01:14:43] Speaker C: Allez, Violenzo, choix donc de 6 mots, avec Sarah Manassed. [01:16:25] Speaker A: It makes me anxious I want a dictator Someone to say Let free desire Be unconnected Let's start a fire. [01:19:03] Speaker C: Au fond d'elle, elle a la haine Elle. [01:19:08] Speaker D: Suit le chemin noir de la dentelle Elle y reste en rêvant d'un voyage montale Où deux grands centaures. [01:19:41] Speaker C: Elle a trouvé sa croix La vengeance en prise de foi Entourée de cadavres au bord de l'autoroute Elle commence à tuer lui d'autour C'est pas mal, c'est pas mal Évidemment les Pogos au Car Crash Control dans Bang Bang sur SLS tous les dimanche soir encore une fois je le rappelle c'est le meilleur du métal de l'alternative rock on parle des musiques qui font du bruit mais qui nous font plaisir vous êtes passionnés et bien c'est normal vous êtes ici vous êtes avec nous parce que nous aussi on est des passionnés. Vieux mais on est des passionnés quand même. Et Simon aussi est un passionné puisque les Pogos tu en fais partie bien évidemment. Moi ça m'a toujours fasciné ces histoires de groupe. [01:22:05] Speaker D: Non mais moi je m'en fous en fait. [01:22:08] Speaker B: Lui il fait ça que pour la thune. [01:22:13] Speaker C: On imagine bien. [01:22:14] Speaker D: L'intermittence. [01:22:15] Speaker C: C'est incroyable. Oui voilà c'est ça, c'est que l'intermittence. [01:22:18] Speaker B: Je sais pas, je viens de la perdre. [01:22:21] Speaker D: Il me manquait 9 heures cette année. Voilà, enfin bref, on en parlera plus tard. [01:22:25] Speaker B: Si vous voulez faire des cachets, n'hésitez pas. [01:22:31] Speaker C: Il faut rattraper le retard. Tout d'un coup, ce serait pas mal. Il y a des systèmes pour ça, mais on ne va pas le dire devant tout le monde. [01:22:36] Speaker B: On se contacte à nouveau en privé. [01:22:39] Speaker C: Pierre ou Ben, au base restless.com, on peut passer les messages aussi, si vous avez des plans. Mais la vie de groupe, donc on parlait des pogos, bon maintenant voilà, tu rentres dans les pogos, on s'est arrêté plus ou moins à ça. Basse, guitare. La vie de groupe c'est facile, en vrai. Je me pose la question, est-ce que d'être en groupe, d'être 5, 4, 5, 6, des fois plus, dans Sleep Toil, ils sont combien, 12 ? 9. [01:23:05] Speaker D: Non mais l'enfer ! [01:23:06] Speaker C: Neuf ! [01:23:06] Speaker B: Bah déjà il faut que ça marche ! Neuf il faut que ça marche si. [01:23:10] Speaker C: Tu peux pas tourner ! Oui, parce que c'est un coup aussi. [01:23:13] Speaker D: Mais... Non mais c'est dur, c'est dur en vrai parce que déjà... Bah nous là ça fait du coup dix ans que je suis dans... Dix ans ? [01:23:23] Speaker C: T'as dit 17 ans, donc selon ton. [01:23:25] Speaker D: Âge... 12 ans, voilà ! Ça fait 12 ans que je suis dans Bruxelles. Et forcément, tu grandis et tout le monde évolue, c'est ça. Et ce qui est cool, c'est qu'on a de la chance, c'est qu'on a toujours évolué un peu dans la même direction artistique. On a baigné dans le hardcore en même temps après, du coup, donc il y a eu un... d'un coup on a voulu faire des breaks avec des riffs et c'était cool parce qu'on a toujours été d'accord naturellement sur l'évolution du groupe parce qu'on n'a jamais voulu faire dix fois le même album pour le coup sinon on se fait chier quoi. [01:24:04] Speaker B: C'est vrai parce que du coup Pogo je vous vois depuis quand même un petit moment maintenant et en fait je trouve que c'est la perception que j'en ai c'est que vous vous laissez vachement de liberté aussi les uns les autres C'est-à-dire que chacun peut amener un peu ce qu'il veut et c'est assez bienvenu dans le mix global. Et je trouve que même vous, en tant qu'individu chacun, vous vous épanouissez chacun. [01:24:31] Speaker C: Oui, on vous voit et on vous entend. [01:24:35] Speaker B: Au début, il y avait un truc où vous étiez plus tous ensemble assez commun. Et je trouve que vos individualités apparaissent au fil des années, mais que la cohésion est toujours efficace parce qu'il y a une entente... Enfin, tout le monde laisse les influences de tout le monde rentrer. [01:24:55] Speaker D: Ouais, c'est vrai, c'est vrai. Ouais, c'est vraiment... Effectivement, c'est le côté tout le monde évolue, mais t'es dans le même groupe, mais en fait, chacun a sa vie à côté. chacun en faisant de s'épanouir aussi en dehors du groupe donc faire d'autres trucs tu vois Louis il a un groupe qui s'appelle Louis La Flemme à côté moi je fais beaucoup de peinture tout ça et Et c'est important. En fait, ça nourrit même le groupe finalement. Parce que quand on se retrouve, on est trop content. On bosse à fond sur la musique. C'est vrai que... [01:25:40] Speaker C: C'est peut-être juste parce que c'est une très très grosse amitié finalement pour Go Carto Central. [01:25:45] Speaker D: En fait je dis que c'est dur mais en même temps par exemple moi le fait d'avoir mon frère dans le groupe c'est super simple. Enfin tu vois je peux pas vraiment m'embrouiller avec mon frère et ça soit... ça soit une galère. [01:25:56] Speaker C: Enfin vas-y s'ils s'embrouillent. [01:26:01] Speaker D: Ça dépend de ta relation, tu vois, entre frangins. Mais en tout cas, moi, je trouve ça plus simple. Je sais que si je m'embrouille vraiment avec mon frère, le lendemain, c'est oublié. Mais après, voilà, c'est... [01:26:14] Speaker C: C'est une simplicité là. [01:26:16] Speaker D: Ouais, mais c'est vrai que par contre, quand t'es... Par contre, avec les deux autres... Je les supporte pas, putain ! Non mais c'est vrai que c'est bizarre un groupe en fait. [01:26:29] Speaker C: Bah oui, c'est ça moi qui m'intrigue. C'est juste que comme je n'ai jamais eu de groupe, je me comprends parce. [01:26:33] Speaker D: Que... T'es en relation avec quatre personnes, tu vois, comme quand t'es en couple quoi. [01:26:38] Speaker C: C'est vraiment... [01:26:39] Speaker D: C'est aussi intense qu'un couple. Tu dois accepter les défauts de tout le monde, prendre sur toi, voilà. Faut pas que t'aies envie de changer. [01:26:50] Speaker C: Faut pas que les gens... Finalement ce qui est mauvais dans un groupe c'est lorsqu'il y en a un qui a un gros ego. [01:26:57] Speaker D: Bah oui, c'est lorsque du coup il. [01:26:58] Speaker C: Veut imposer ses choses et c'est là que ça commence un peu à devenir un peu plus électrique entre les membres. [01:27:02] Speaker B: Où il faut que tout le monde accepte de faire des efforts aussi. [01:27:05] Speaker C: Ouais, exactement. [01:27:07] Speaker D: Mais le concours d'ego, ça détruit plein de groupes, on en a vu plein. Même on en a connu plein, moi j'en ai connu. Ils ont pété d'un coup et après ils ont splité. Ils ont pété deux fois. [01:27:24] Speaker B: C'est le truc qui choque souvent, mais tous les groupes ricains, les gros groupes ricains qui existent depuis les années 90, les mecs, ils se parlent pas en dehors de... Ils ont une loge chacun. Des fois, ils ont un tourbus chacun. Et puis ils se parlent au moment de monter sur scène, des fois ils se checkent même pas. [01:27:47] Speaker C: Non mais ça c'est fou, c'est du boulot quoi. [01:27:50] Speaker B: Ils se voient même pas avant de monter sur scène, ils montent de côtés différents, ils se sont même pas checkés avant. [01:27:55] Speaker D: Après je pense que c'est la même chose. 4 sprinters tu vois. [01:28:05] Speaker B: Quatre hôtels différents parce qu'on supporte pas d'être dans le même hôtel. [01:28:10] Speaker D: Non c'est cool, nous franchement on est super content parce que je pense que les épreuves un peu chiantes on les a déjà vécues en fait parce que c'est vrai que c'est être en maison de disque quand t'as 20 ans je sais pas, on te fout la pression tout ça, soit tu tiens le coup en tant que groupe, soit... Oui, il. [01:28:31] Speaker C: Y a ça comme épreuve. [01:28:32] Speaker D: Mais maintenant c'est bon, on est des vieux cons. [01:28:37] Speaker B: En temps de carrière c'est pas mal ouais. [01:28:41] Speaker D: Non mais ce qui est cool c'est que maintenant en vrai on s'est dit bon bah c'est bon enfin tu sais même t'as un peu un truc à prouver en fait quand même quand tu viens de signer en maison disque moi je sais qu'on avait tellement fantasmé le le fait de dire mais si moi j'aurais pas fait comme ça si j'étais un groupe signé tu vois et là c'est ton tour de alors qu'est ce tu fais est ce que tu fais un truc dégueulasse, tu vois, c'est ton fantasme. Est-ce que tu as envie, je sais pas, de t'ouvrir à un plus large public ? T'as plein de choix en fait qui sont à toi, et nous on est voilà, on est tous les quatre très différents. Faut trouver l'équilibre là-dedans. [01:29:22] Speaker C: Et puis vous avez juste respecté ce que vous aviez envie de faire. [01:29:26] Speaker D: Exactement. [01:29:27] Speaker C: Donc au final le fantasme. [01:29:29] Speaker D: Ouais c'est clair. [01:29:30] Speaker C: Et puis quand on arrive dans une maison de disques aussi, on réalise que les maisons de disques c'est bien parce que ça permet d'ouvrir des portes mais c'est quand même difficile aussi. Il y a des choses à prouver. [01:29:40] Speaker D: Il faut bien tomber mais nous on est quand même super content du coup de notre label parce qu'on continue de taffer avec eux depuis le début. [01:29:48] Speaker B: Du coup, on sait qu'il y a beaucoup de groupes qui nous regardent. D'ailleurs, merci à One Wave Collide pour le sub. Il y a beaucoup de groupes qui nous regardent et il y a des gens qui profitent de ces interviews justement pour voir ce que d'autres groupes ont fait. Pour vous, ça a été long le trajet d'arriver à signer ? [01:30:16] Speaker D: Ça va en vrai, franchement on n'est pas à plaindre. Parce que bon, création du groupe du coup c'est 2012, mais c'était vraiment, il n'y avait même pas vraiment de chant. Moi je suis arrivé en 2013, et ensuite, 2014 on était quatre du coup, donc on a refait des compos pour quatre instruments. Et c'est en 2016 je crois qu'on a signé. Oui, ça allait assez vite quoi. [01:30:47] Speaker B: Ça allait assez vite, au final. [01:30:48] Speaker D: Après, tous les signaux étaient au rouge pour nous, parce que du coup on jouait que dans le 7-7, on galérait un peu à sortir de là, et surtout on a quand même fait nos premières compos par rapport à notre entourage, genre personne ne chantait vraiment trop en français, on connaissait plus trop de groupes qui faisaient ça, et on s'était dit vas-y ce serait cool de faire, je sais pas moi, des refrains vraiment cons, ou en anglais ça passe, faisons-le en français. C'est pour ça que ça donnait des « Ta gueule et crève », des « Casse-toi et laisse-moi tout seul », c'était des trucs méchants, mais juste pour les 13 personnes qui nous regardaient tous les soirs dans le 7-7, sur qui on gueulait. [01:31:35] Speaker B: Y'a un côté un peu débile cool quoi. [01:31:37] Speaker C: Ouais ! [01:31:38] Speaker D: Bah nous on se disait, putain ça marche bien ! [01:31:40] Speaker B: Franchement t'entends les trucs, c'est facile à scander, c'est rigolo, et il y a ce côté inattendu, surtout que comme tu le disais, on était dans une période où il n'y avait plus de... Enfin, année 90, il y a eu avec le néo métal des groupes, enfin la Team Nowhere tout ça, qui ont un peu remis le français sur... à. [01:32:00] Speaker D: La mode, et du coup il y. [01:32:01] Speaker B: Avait énormément de groupes qui faisaient du français. C'est vrai que dès qu'on est reparti un peu émo, la période plus émo, metalcore, hardcore, machin, le français a vite reparti quoi. C'était plus à la mode quoi. C'est vrai qu'on injectait avec des trucs un peu drôles comme ça parce que du coup ça devient drôle. Ça fait des refrains, moi les premières fois que j'ai entendu j'ai trouvé ça fun quoi. [01:32:28] Speaker D: On nous disait ça ressemble à du bébé brune mélangé à du Slayer tu vois. Du coup on l'a gardé et on s'était dit vas-y. Du coup on mettait ça dans notre description d'événement. [01:32:38] Speaker B: Il y a quand même deux trucs qui ressortent au final de ça, c'est que un, quel que soit l'endroit où t'es et si t'en veux tu peux y arriver, mais il y a aussi le truc qu'il faut trouver la bonne idée quoi. Ça vous a rendu original quoi. [01:32:54] Speaker D: Après je pense qu'on a eu du pot quand même. [01:32:56] Speaker C: Il y a un facteur de chance, il est toujours là. Et sans travail, la chance ça ne sert à rien. [01:33:01] Speaker D: Des fois, il y a des groupes qui me demandent des conseils et je ne sais pas si on est franchement le bon exemple, parce que nous, le début du coup, on foutait, par exemple, les amplis à fond. Je ne sais pas, on avait chacun... Moi, j'avais acheté une pédale pour brancher deux amplis en même temps, j'étais super content, donc je foutais les deux à dix, tu vois. Olive, pareil. Mais en fait, à chaque fois qu'on sortait de scène, on se faisait engueuler, tu vois, c'était un mode... Pareil, on avait compris que les ingé-sons locales c'était... On savait que le son ça allait pas nous plaire donc on faisait semblant de jouer pour les balances ou on venait pas, on rebalance. Après bah on foutait tout à fond et... Ouais on était les... Ouais mais. [01:33:42] Speaker B: Ça c'est votre côté de punk. [01:33:44] Speaker D: Bah nous on était super content, mais. [01:33:45] Speaker C: Après c'était peut-être... T'es jeune donc... [01:33:47] Speaker D: C'était peut-être complètement con de faire ça tu vois. [01:33:50] Speaker C: Mais ça l'est sûrement, mais c'est juste que t'es jeune et puis c'est... [01:33:54] Speaker D: En fait on voulait marquer les gens tu vois, et du coup on s'était dit coûte que coûte... Voilà. [01:34:01] Speaker C: Et puis le fait d'avoir choisi effectivement de chanter en français en construisant les paroles comme des paroles en anglais. [01:34:07] Speaker D: Ouais. [01:34:08] Speaker C: Et bah là c'est ce que tu disais, c'est disons trouver un truc qui est le gros son et ça, ça fait le gimmick. Et là vous avez trouvé un truc. [01:34:16] Speaker B: Un gimmick, une phrase choc quoi. [01:34:17] Speaker C: Non mais c'est ce que tu disais. [01:34:18] Speaker B: Oui tout à fait Pierre. [01:34:19] Speaker C: C'est quand tu trouves ce genre de choses aussi que tu peux te démarquer, c'est peut-être ce qui a aidé à la signature. [01:34:23] Speaker B: Après, c'est drôle, ce que tu disais, tu disais, ouais, j'ai pas l'impression qu'on ait fait grand... Enfin, tu disais ça un peu, genre on bossait pas de ouf, machin. Si, si, pour le coup... Non, mais quand tu dis... Enfin, oui, c'est pas ça que je veux dire. Tu disais, quand on me demande ce qu'on a fait... Ouais. Je sais pas trop ce... Tu vois, c'est venu naturellement. [01:34:43] Speaker D: En fait, ça me stresse toujours de dire, écoutez... Non, mais c'est le... Ce que je veux dire... J'ai peur de dire aux gens... faites à fond ce que vous avez en tête et si vous l'avez bien réfléchi, ça va forcément marcher. Parce que des gens où ça marche. [01:35:01] Speaker B: Pas, ils font quelque chose de super. Non mais forcément il y a un moment où il faut que ça rencontre les trucs. Mais il y a ce truc, moi c'est un truc que j'ai fini par comprendre avec le temps, c'est que des fois il y a des trucs où toi tu as l'impression que tu le En fait c'est pas parce que ça t'a semblé facile, ou que ça te semble facile ce que tu fais, que c'est facile pour tout le monde. [01:35:29] Speaker D: Ouais, mais ça me semble pas facile, je comprends pas ce qu'on a fait. [01:35:32] Speaker B: Mais... Non, mais ce que je veux dire, c'est quand tu dis, ouais, je sais pas, tu l'as un peu fait comme tu l'as senti, tu l'as pas forcément... [01:35:39] Speaker D: Les trucs te tombent dessus, et puis voilà. [01:35:41] Speaker B: Et en fait, souvent, le génie, entre guillemets, ça peut être de savoir bien agir quand les choses arrivent. [01:35:49] Speaker D: Non, mais bien sûr. [01:35:52] Speaker C: Tout le monde n'a pas ça. Exactement. Tu parles de moi ? [01:35:57] Speaker E: Non. [01:35:58] Speaker D: Mais c'est vrai que par contre on bossait énormément, on répète, et en fait on bossait énormément pour avoir un espèce de chaos hyper organisé, hyper tight. [01:36:09] Speaker B: Parce que moi j'ai jamais vu un concert de vous où c'était pas carré quoi. [01:36:15] Speaker D: Ouais mais on charbonnait dur pour avoir ce plaisir, cette petite subtilité de pouvoir un peu tout niquer quand on voulait tout en contrôlant le show en gros. C'était un peu ça l'idée de base je pense. [01:36:31] Speaker B: Parce que c'est vrai que pour se prendre une gifle en live, il faut que le groupe soit carré, quoi. Parce que si t'as pas les pêches bien calées, tout en même temps, tu te prends pas la déflagration dans la gueule. Et du coup, c'est vrai que, comme tu dis, si les gens font un peu le show, mais que ça joue pas assez derrière, bah oui, du coup. [01:36:54] Speaker C: C'Est des... Bon et puis c'est un petit peu sur scène aussi que tout le monde a kiffé les Pogos quoi. Moi je me souviens, la première fois où j'en ai entendu parler, tout le monde me disait mais tu les as toujours pas vus en concert ? C'était d'abord Paris évidemment mais c'est très rapidement étendu à toute la France où les gens disaient mais tu ne les as pas encore vus en concert ? Genre en mode mais mec tu fais quoi ? Il y a tout le monde qui veut les voir en concert. Et ça, c'est ce travail-là qui paye aussi ce genre de choses. Et le mot est passé. Après, je veux dire, à un moment, il y a un déclic. Et les gens, ils en parlent tous. Et il y a eu cette montée... Pourquoi vous avez pris une place... Enfin, c'est marrant parce que c'est un nom... Je ne sais pas comment toi tu le vis, mais les Pogo Car Crash Control, ça fait partie d'un petit peu les têtes de votre genre musical en France. et des bons concerts. On parle souvent de Massive Stereo parce que nous on est vieux, mais il y a les Pogos directement, tu vois ce que je veux dire, c'est juste une évidence. Personne n'a jamais dit, sur scène c'est nul quoi. Même les gens qui vous aiment pas quand ils voient, ils font bon ok... On pourrait pas dire chose, mais quand même c'est putain de bon. Donc c'est qu'il y a du boulot. Et ça aussi, c'est une espèce d'ambiance que vous avez entre vous, d'amitié, parce qu'on voit aussi sur scène que vous éclatez. Donc c'est bien travaillé, il n'y a pas de... La réflexion est peut-être moins... Et ils. [01:38:09] Speaker B: Mentent bien, ils mentent bien. [01:38:11] Speaker D: Non mais c'est ça, je fais ça pour la thune depuis le début. [01:38:15] Speaker C: On sait bien que le rock ça rapporte un fric inimaginable. [01:38:18] Speaker D: Je suis venu en Uber, là. Parce que j'étais en retard, donc je. [01:38:23] Speaker C: Me suis dit, bref. [01:38:26] Speaker B: Tant pis, j'achèterais qu'une Ferraris, moi aussi. [01:38:30] Speaker C: Non mais c'est ça aussi qui est impressionnant et quand je parlais de vie de groupe, c'est avec toutes ces années qui passent, il y a toujours des tensions qui arrivent à un moment ou à un autre. Forcément, comme tu l'as dit, dans un couple ça arrive. Mais ça se rectifie, ça se remet et vous avez pris chacun votre place avec vos particularités, vos sons, vos personnalités aussi que vous développez autant dans le son que même dans l'attitude vestimentaire parce que quand on regardait le clip tout à l'heure, vous avez beaucoup changé. Est-ce que justement, avec toutes ces années, le fait que l'entente est bonne, on s'assume ? On s'assume avec nos goûts, on s'assume avec nos envies, puis en fait, comme on nous donne cette liberté dans ce groupe, il n'y a pas la question. [01:39:09] Speaker D: Et on y va. Complètement, c'est même venu progressivement. En fait, je pense qu'au début, on gérait très bien notre image sur scène, les clips et les pochettes. mais juste, on était nuls pour les photos de presse et tout. Parce qu'en fait, ce qu'on voulait dégager avec le groupe, on ne savait pas comment le dégager visuellement. Et je pense qu'au début, c'était très important pour nous de ne pas nous mettre au-dessus des autres, tu vois. Il y avait un truc un peu de pudeur. Mais non, mais ce qu'on fait... Que. [01:39:45] Speaker C: Ce ne soit pas trop déjà en image. [01:39:47] Speaker D: De quoi ? [01:39:48] Speaker C: Que ce ne soit pas trop comme ceux qui sont au-dessus en image. [01:39:50] Speaker D: Ouais, c'est ça. Et puis c'est pareil, tu vois, en 2015, 2016... On était un peu dans... Il n'y avait plus beaucoup de groupes trop lookés, etc. C'était un peu... C'était un peu... Non, encore à fond, c'était plutôt la mode, quoi. T'arrivais... T'avais l'air d'un connard, en fait. On va pas se mentir ! [01:40:15] Speaker C: Après, très français, aussi. [01:40:17] Speaker B: C'est très français, ce truc. Moi, j'ai beaucoup travaillé avec un groupe qui s'appelle Rise of the North Star. Où, pour le coup, eux, c'est... Pas lookés du tout. C'est vraiment... [01:40:28] Speaker D: On les remarque pas du tout. [01:40:30] Speaker B: Après, ils sont comme ça dans la vie aussi. Mais ouais, il y a un côté assumé. Souvent, il dit un truc, on est pas là pour s'excuser d'être là. [01:40:44] Speaker D: Exactement, mais t'as tout dit parce que. [01:40:46] Speaker B: C'Est lui qui l'a dit. En fait, en France, il y a ce truc là où dès que t'essayes un peu de sortir du lot, les gens te pointent un peu du doigt. Mais au final, les gens, ils aiment bien parce qu'il y a des gens qui vont critiquer, mais qui sont une minorité. Et au final, il y a beaucoup de gens qui vont apprécier. [01:41:02] Speaker D: Ouais, c'est ça. [01:41:03] Speaker B: Ça fait un peu rêver. [01:41:06] Speaker D: Ouais, c'est ça. [01:41:08] Speaker B: Dans l'œil, ça fait un truc agréable. [01:41:10] Speaker D: Du coup, je pense que c'était un truc qui a émergé au fil des années. Effectivement, je pense que le Covid, pour moi, c'était une grosse introspection. Moi-même, je suis sorti de là, je me suis dit, je vais arrêter de m'excuser. genre j'ai un groupe de rock et tout, si moi je m'assume pas, si moi je fais pas les trucs que j'ai envie de faire, mais genre c'est horrible pour les gens qui viennent nous voir en concert en fait, parce que ça leur laisse zéro zéro rêve tu vois, et du coup du coup voilà c'est parti en couille. [01:41:45] Speaker B: C'était fini. [01:41:46] Speaker C: Mais non mais c'est intéressant. [01:41:47] Speaker B: Traquer le PL, les tattoos, c'est parti. [01:41:51] Speaker C: Ah oui, c'est à partir de ce moment-là qu'il y a eu un excès de style. [01:41:56] Speaker B: Ouais ! [01:41:57] Speaker C: Non mais sérieux, on se connait, c'est. [01:41:59] Speaker B: Pour ça qu'il nous permet. [01:42:01] Speaker D: Non, non, mais bien sûr, il y avait un peu avant le confinement, mais je pense qu'effectivement, c'est ça, c'est qu'au début, les photos, c'était un calvaire, en fait. C'était un mode, on ne sait pas comment se représenter en tant que personne. en dehors de la scène même, devant un objectif. Et c'était terrible parce qu'on se disait on gère bien le reste, mais ça, nul, tu vois. [01:42:30] Speaker C: Bon, c'est déjà bien de gérer le reste, parce qu'il y en a qui gèrent le test d'image et qui ne gèrent pas du reste. [01:42:34] Speaker B: Au moins, clips et pochettes, c'était aussi en place. [01:42:37] Speaker D: Ouais, ouais, bien sûr. [01:42:38] Speaker B: Je trouve que c'est plus gênant, un groupe qui a des clips où tu ressens pas le groupe, qu'une photo de presse. Parce qu'une photo de presse, bon, déjà. [01:42:48] Speaker D: Tu les... Non, non, mais bien sûr. Mais c'est par rapport à nous, c'est par rapport au calcul, parce qu'on est quand même des gros bosseurs. Et ce petit truc de se dire... C'est pas encore ça, c'est pas encore... [01:42:58] Speaker B: T'as l'impression de pas finir le... [01:43:01] Speaker D: C'est pas que c'était raté, parce que finalement c'est l'évolution normale du groupe. [01:43:06] Speaker B: Apparemment ça vous a pas non plus porté trop de préjudice. [01:43:09] Speaker D: Non, non, pas du tout, pas du tout, c'est clair. [01:43:12] Speaker C: Et on va continuer avec un clip, parce qu'il y en a des choix. Dans les choix justement tu parlais du hardcore tout à l'heure aussi en antenne, tu m'as dit j'ai pas choisi les trucs de hardcore exactement que je voulais, j'aurais pu on aurait pu remettre des tonnes de chansons. Ouais, j'ai pris Turnstyle quand même. C'est Turnstyle le classique, on s'en moque souvent nous ici. On aime beaucoup en vrai, c'est juste qu'on s'en moque parce que c'est devenu grand public. [01:43:34] Speaker B: Non mais c'est un peu trop, c'est un peu trop. [01:43:35] Speaker D: En fait je me suis dit putain je vais être le connard qui arrive avec un clip de Turnstyle. [01:43:38] Speaker B: Oh il y en a eu plein. [01:43:40] Speaker D: Mais c'est pour ça, je me suis dit, j'arrive avec un truc genre, vous connaissez Townstyle ? [01:43:44] Speaker B: Pas mal, pas négueux. Ça peut marcher. [01:43:46] Speaker C: Mais tout le monde est d'accord que sur scène aussi ça tue. C'est juste que quand ils mettent des pâteaux gaz avec un béret au milieu d'un stade désaffecté et qu'il tourne en façon comme ça, bon... Et qu'il chante comme ça ? C'est vrai qu'on s'est dit, bon merde ! Mais oui, qui est cadré, oui. [01:44:02] Speaker B: Cadré un peu comme ça, chelou. [01:44:04] Speaker C: Un côté artistique. [01:44:05] Speaker D: Non mais cela dit, c'est vrai que Townside c'est un groupe que je suis depuis longtemps et quand j'ai vu leur nouvel album, je pense qu'on a tous compris ce qui se passait. C'est vrai que maintenant on en parle. [01:44:16] Speaker B: Beaucoup mais... Ah bah à l'époque on en parlait moins. [01:44:19] Speaker D: Ah bah ça ! [01:44:20] Speaker C: Hein ? [01:44:21] Speaker B: Hein que c'était un petit peu plus musclé, on en parlait moins comme ça ? [01:44:25] Speaker D: Mais je trouve que c'est un groupe incroyable quand même, je voulais mettre un clip de title fight de base parce que c'est un groupe qui m'a énormément inspiré et pour moi c'est ils ont un peu fait le même parcours que Townstyle mais dix ans avant genre ils ont fait des vraiment des des morceaux punk hardcore à roulettes, mais c'était dans la scène hardcore. Et le dernier album, hyper calme, hyper posé, et je trouvais ça hyper classe, mais j'ai pas trouvé de vraiment bon clip de Fight or Fight, y'a que des trucs de live. [01:44:56] Speaker B: C'est un peu moins bien marché que Town Style aussi. [01:44:59] Speaker D: Mais là, s'il revenait, je pense que ça marcherait bien. [01:45:01] Speaker B: Ouais c'est vrai, pour la tournée des 20 ans. [01:45:07] Speaker D: Mais du coup j'ai choisi Town Style parce que voilà, Reste pas à ce groupe quand même, on peut pas dire que c'est un mauvais groupe. J'ai hâte de voir ce qu'ils vont faire. [01:45:18] Speaker C: C'est ça, qu'est-ce qui va se passer après, c'est surtout ça. [01:45:20] Speaker D: Ce qui va se passer après. Et les clips de Time's Night, je les trouve quand même assez ouf. [01:45:27] Speaker B: Souvent c'est le chanteur qui réalise aussi je crois. Ou il co-réalise. De toute façon, il fait aussi les clips de tout le monde pareil. [01:45:36] Speaker C: Bah oui, parce qu'on reconnaît sa patte. [01:45:37] Speaker B: On reconnaît bien sa patte. [01:45:38] Speaker C: Il y a toujours une salle désaffectée. [01:45:43] Speaker D: Il n'y a pas de stade désaffecté. [01:45:45] Speaker C: Non mais bon, les gens comprennent. Non mais par contre, tu les as vus à l'Elysée et ils ont fait. [01:45:51] Speaker D: Quoi à l'Olympia, c'est ça ? Je les ai vus à l'Olympia, je crois. L'Elysée je devais les voir mais finalement j'avais une date donc j'ai dû prendre ma place. Je devais les voir au Hellfest mais ils n'ont pas joué donc voilà. [01:46:05] Speaker C: Et l'Olympia alors ? [01:46:07] Speaker D: J'ai kiffé franchement. En fait ce que j'ai aimé c'est l'ambiance. J'ai aimé dans le public la mixité entre des hardcoreux, des gens où tu sais pas trop ce qu'ils foutent là mais c'est trop bien tu vois genre... Et je me suis dit ah putain c'est cool ça veut dire que ça marche tu vois il y a de l'engouement autour de... ça touche beaucoup de gens et je trouve que c'est plutôt bon signe en général. Enfin j'ai tendance à... [01:46:32] Speaker B: Après moi le seul truc qu'on m'a dit c'est que du coup l'ambiance était moins... Moi j'ai trouvé l'ambiance ouf quoi. [01:46:38] Speaker D: Mais après l'ambiance c'était pas ambiance genre trop hardcore mouliné où tu protèges ton. [01:46:43] Speaker B: Nez pendant tout le concert. [01:46:44] Speaker D: Franchement l'ambiance était assez ouf. le seul problème c'est pas de rappel, alors en général j'aime pas trop quand il y a trop de rappel ça me fait chier mais là vraiment ils. [01:46:57] Speaker B: Ont joué ils ont joué 30 minutes. [01:46:59] Speaker D: Ils prenaient leur temps entre les morceaux donc je me suis dit ah c'est cool ils vont jouer genre 1h30 tu vois et non en fait ils se sont barrés au bout de 55 minutes je pense et ils sont pas revenus. [01:47:10] Speaker B: Mais bon en tout cas s'ils sont revenus t'étais plus dans la... le public. [01:47:15] Speaker C: Était sorti. [01:47:17] Speaker B: Ils sont peut-être revenus, mais le public n'était plus là. [01:47:20] Speaker C: Pas tous les secrets pour savoir où te trouver. [01:47:22] Speaker D: Oh, ils sont chiés, bon allez. [01:47:26] Speaker C: Allez vous faire foutre. Bon allez, on va regarder ce clip justement choisi par Simon. T'as choisi « Bomb, I don't want to be blind », c'est ça ? Ouais. Bah voilà, c'est parti. Turnstile, tout simplement. [01:47:37] Speaker A: ... ... ... C'est parti ! Les signaux sans distance me font peur Me font peur Et si j'étais filmé Depuis ma temps profonde J'ai comme devant lequel j'habite Un besoin de substance Mais si je veux chuiser En gourmant des produits Oh dis donc c'est pas mal. [01:54:00] Speaker B: Ça c'est quoi ? [01:54:00] Speaker C: C'est des Pogo Car Crash Control ! Voilà ce petit côte américain, seul moment dans l'émission qui sera un petit peu américain. J'ai kiffé. [01:54:11] Speaker D: J'ai voyagé là, franchement. [01:54:15] Speaker C: Écoute, on fait ce qu'on peut, mais il faut dire que c'est un peu plus récent comme morceau. Le Pogo Carcasse Contrôle, c'est quand même juste encore une fois une merveilleuse référence. J'ai oublié de te dire toutes mes félicitations à toi et au groupe. Et bah merci, à la belle équipe. À la belle équipe, parce que c'est une belle équipe. C'est ça aussi qui est cool, c'est que comme tu le disais, On voit dans les clips qu'il y a une espèce de sincérité, on a envie de faire la fête avec vous en fait, on a envie de partager ce moment avec nous et on a l'impression que franchement ça peut être que simple et cool, que le moment sera forcément bon. Donc ça ne peut qu'encourager les gens. [01:54:50] Speaker B: D'ailleurs en live c'est le cas. C'est une belle fête. [01:54:53] Speaker C: Les gens sont à la fête. [01:54:56] Speaker D: C'est cool. Ça c'était l'objectif aussi. D'ailleurs l'objectif du groupe aussi c'était quand même de pouvoir faire la fête. [01:55:09] Speaker C: Est-ce que c'est pas un peu l'objectif de tous les groupes, au début ? [01:55:14] Speaker D: Bah ça dépend les groupes, mais voilà, il y avait vraiment ce truc... Bah ça fait plaisir franchement, je sais pas quoi dire d'autre. [01:55:20] Speaker C: Non mais y'a pas forcément à parler plus de ça. Justement, non non mais... [01:55:26] Speaker B: Fais pas d'efforts en tout cas. Prenez pas bien exigeant. [01:55:31] Speaker D: Merci. [01:55:32] Speaker B: Déjà t'es venu, bon, nous on est contents. Ah bon, si tu veux répondre aux questions, bon, ça nous arrange. [01:55:38] Speaker C: Non, mais on a parlé des progos. [01:55:39] Speaker D: Mais c'est vrai que... Qui peut, j'envoie la facture à qui pour le Uber ? Ok. [01:55:46] Speaker C: Elle est sur moi la carte bleue, je peux. On parlait justement, t'as utilisé, t'as dit quelques petits trucs comme je fais de la peinture. [01:55:54] Speaker D: Ouais. [01:55:55] Speaker C: Donc t'as des projets parallèles. [01:55:56] Speaker B: C'est drôle, je voulais poser des questions. Je voulais savoir quand est-ce que tu t'étais mis à la peinture ? Est-ce que cette phase Covid t'a aussi aidé ? [01:56:07] Speaker D: Complètement ça. En fait je me suis mis au dessin à fond et c'était hyper intéressant parce que je n'avais pas dessiné du tout donc je partais de zéro un peu avant le confinement mais la même année et je m'étais dit vas-y la musique j'ai commencé très jeune donc je me rappelle plus ce que c'est d'attaquer un apprentissage artistique et voir voir si je peux y arriver en ayant compris un peu en prenant comme modèle comment j'ai appris la guitare et en fait de base je voulais faire du tattoo et donc j'ai appris à dessiner pour tatouer, j'ai tatoué un peu et j'avais un prof de dessin qui faisait de la peinture à l'huile, qui faisait de la copie et du coup il m'a dit bah tu devrais tester la peinture je pense que ça va te plaire et pour moi c'était un milieu que je connaissais pas du tout enfin j'étais dit d'aller au musée un petit peu mais tu vois la peinture à l'huile ça fait quand même peur l'homo Bon. [01:57:09] Speaker C: Plein de raisons, mais... Non mais c'est. [01:57:11] Speaker D: Vrai, on dirait que c'est... [01:57:12] Speaker B: C'est très technique. Enfin, ça semble très technique. Ça sent. En plus, ça sent. [01:57:18] Speaker C: Ça dépend ce que tu... D'ailleurs, je plane pendant que je t'entends. [01:57:21] Speaker D: Ah bah t'es réventi, je peux te dire. 6 heures de ça, t'es bien après. [01:57:27] Speaker B: Y'a d'autres produits, je vais te... Je connais un peintre à l'huile très connu. Et je connais toutes ses techniques, si tu veux, je te donne des tuyaux. [01:57:35] Speaker C: Bon alors, pour parler plus sérieusement de la peinture... Donc tu t'es mis à ce prof, t'as dit vas-y essaye la peinture ? [01:57:41] Speaker B: Tu t'es mis à ce prof ? [01:57:42] Speaker C: Tu t'es mis à la peinture ? C'est vrai, c'est parce que je me suis intéressé au prof. Mes pensées se sont perdues. [01:57:48] Speaker B: Il était comment ? [01:57:49] Speaker C: Ecoute, je suis frustré sexuellement en ce moment. D'ailleurs, tu devais venir. Je compte sur toi. Je suis prêt depuis trois jours. Bon là je vais manger du riz. Bon allez, passons à la suite, revenons aux choses sérieuses. Donc ce prof t'as réussi à te convaincre à faire de la peinture ? [01:58:08] Speaker D: Ouais c'est ça, parce qu'en fait j'ai fait un peu de tatouage mais c'était à la reprise des concerts et en fait en concert t'es avec tout le temps des humains et quand tu tatoues aussi quoi, donc la peinture c'était un peu plus introspectif et j'ai testé ça et j'ai adoré. Puis je me suis mis à faire que ça. [01:58:29] Speaker C: T'as senti que c'était un moyen, comme la musique, de t'évader, de t'exprimer, d'être encore plus toi ? [01:58:36] Speaker D: Ouais, complètement. Mais d'une manière différente, mais hyper sincère aussi, tu vois. Je me suis même dit, putain, il y a des trucs où j'arrive plus à... à être dedans en peinture qu'en musique comme ça tu vois enfin il y a un côté très spontané dans la peinture et puis surtout ce qui m'intéressait c'est que quand tu fais des choses genre quand je me suis mis à la peinture quand j'allais voir des expos après je comprenais mieux comment regarder parce que du coup j'avais tout à apprendre un peu tu vois j'avais pas une très très bonne culture non plus. [01:59:11] Speaker C: Encore une fois, comme tu disais Ben, il y a de la technique. Il y a de la technique. Et il y a plusieurs techniques. [01:59:18] Speaker B: Ce qui est drôle avec la peinture, c'est qu'il y a une immédiateté par rapport à la musique. Quand tu joues de la musique, tu joues et elle existe instantanément. Mais avant d'être un produit fini, d'être une chanson, tu as toute la phase de studio. Déjà faire la compo avec les autres pour amener les autres instruments. il y a un côté aussi de dealer avec tout le monde sur ouais mais là je pense que le break il serait plus machin truc. [01:59:46] Speaker D: C'était la première fois que je pouvais faire un truc et j'étais en mode il y a que moi qui peut dire si ça me plaît ou pas. [01:59:53] Speaker B: Et limite le seul frein que tu as à réaliser ce que tu as en tête c'est toi aussi c'est ta technique. ton expérience, voilà. [02:00:03] Speaker D: Ton autocritique. [02:00:05] Speaker B: Du coup, c'est ça qui te plaît aussi, c'est ce côté plus immédiat que... [02:00:09] Speaker D: Ouais, c'est ça, quelque part. Puis c'était aussi, je pense, mélangé au... Au Covid, machin... On avait un album, du coup, l'album Tête bleue, mais sorti pendant le confinement. On est sorti de là, fallait faire un autre album. Et il y a des attentes, du coup, maintenant, aussi en musique. Alors qu'en peinture, personne n'attend rien de moi. Et du coup, c'est aussi différent. Et bref, j'ai adoré et au final maintenant c'est une discipline que je me repose, je peins tous les jours. Dès que je peux, je peins. [02:00:43] Speaker C: Tu sens que c'est un truc qui t'est nécessaire ? Ouais. Psychologiquement ? [02:00:48] Speaker D: Ah ouais, ouais, complètement. Bah oui, oui, puis... Au lieu d'aller. [02:00:52] Speaker C: Voir le psy, je peux jeter de la peinture noire sur mon truc. Tiens ! [02:00:57] Speaker D: J'ai peint mon psy d'ailleurs. J'ai vu un petit, pas très longtemps tu vois, et puis... [02:01:06] Speaker B: Le temps de le peindre, et puis. [02:01:07] Speaker C: Une fois je l'avais peint, j'arrivais avec. [02:01:10] Speaker D: Ma croûte, je fréquente les gens juste. [02:01:13] Speaker C: Pour les peindre, après ça ne m'intéresse plus. [02:01:17] Speaker D: Non mais je vous montrerai la peinture, elle est marrante. [02:01:20] Speaker C: On peut voir ses peintures quelque part ? [02:01:22] Speaker D: Ouais bah sur mon Insta, donc Simon Pogo, Carcrasher, je mets... En fait c'est un mix de tout. [02:01:28] Speaker C: Il y a la musique... T'as vie quoi ! [02:01:29] Speaker B: T'as vie ton oeuvre ! [02:01:31] Speaker D: Tu peux me regarder Emilie Sainte-Paris, ou alors je t'envoye, c'est très intéressant ! [02:01:35] Speaker B: T'en sais rien, quelle est ta saison préférée ? [02:01:38] Speaker C: Parle de choses sérieuses ! [02:01:40] Speaker D: Non mais du coup je mets mes peintures et je fais de la copie aussi du coup en parallèle. Donc voilà. [02:01:48] Speaker B: Alors ça souvent il y a des gens qui ne comprennent pas. [02:01:50] Speaker C: C'est chaud la copie non ? [02:01:51] Speaker B: En fait c'est un très très bon exercice parce que tu es obligé d'apprendre. Déjà tu fais des choses que tu ne ferais pas forcément de toi-même. [02:01:58] Speaker D: Ouais. [02:01:58] Speaker B: Enfin des sujets. Et après il y a aussi comprendre pourquoi, enfin en refaisant tu comprends la technique mais aussi la composition. La démarche. [02:02:08] Speaker C: Ouais. [02:02:09] Speaker B: C'est assez intéressant. [02:02:09] Speaker D: Ouais en fait c'est fou. En fait... Et puis du coup c'est pareil, du coup t'analyses les tableaux différemment, c'est-à-dire en général tu regardes maintenant, si tu regardes un tableau, tu regardes dans les coins et tu peux voir souvent c'est moins bien peint dans les coins, tu vois. Du coup tu peux voir, ah peut-être que derrière il y avait de l'orange vif, tu vois. Parce que toi t'es censé refaire le même ordre de couche. [02:02:34] Speaker C: Ah ouais ? Donc s'il y avait une erreur ou un truc qui a été changé après, t'es obligé de faire le même truc ? [02:02:40] Speaker B: Une erreur ou aussi, parce que, enfin, si je me trompe, mais généralement, comme un lavis ou un truc comme ça, tu fais une première couche avec une teinte unique, mais avec des densités différentes. [02:02:56] Speaker C: En gros, des graines de gaz. [02:02:57] Speaker D: En fait tu pars d'un tableau qui est blanc et en général souvent ça dépend le siècle tu vois mais avant ils utilisaient par exemple beaucoup d'orange vif donc tu tartines la toile d'orange et en fait quand tu vas rajouter l'aventure à l'huile par dessus ça sèche et enfin et ça t'as le jeu de transparence Et du coup, d'ailleurs ça ne sèche pas l'huile, ça durcit. Et en fait tu peux voir toutes les couches, elles sont importantes. Et en général, par-dessus tu as trois couches de peinture que tu mets. [02:03:38] Speaker B: Deux à trois couches. Comme pour un mûre, comme pour un mûre finalement. [02:03:43] Speaker C: Donc il y a des petites astuces. [02:03:45] Speaker D: Comme pour une niçoise. Non mais il y a des petites astuces à connaître, tu mets vraiment la lumière à la fin, etc. Et bah du coup j'ai fait un an de copie avec mon prof et après j'ai fait la copie tout seul pour continuer d'apprendre. [02:04:02] Speaker C: Non mais t'as appris super vite, ça me parait court un an en fait pour... C'est pas pour te flatter mais du coup c'est quand même un an, ça me parait court. [02:04:09] Speaker D: Bah en fait j'ai fait une reproduction avec lui. J'en ai fait deux pardon. Et en parallèle, j'ai attaqué du coup la pochette de Pogo... Qu'est-ce que c'est que le nom de la pochette ? Le nom de l'album ? [02:04:26] Speaker C: Le dernier, c'est pas... Fréquences violences ? [02:04:27] Speaker D: Fréquences violences, voilà. [02:04:28] Speaker C: Merci. Le mec est vachement concerné. [02:04:35] Speaker B: Vous voyez les enfants, l'alcool ? [02:04:36] Speaker D: Vous voyez ? [02:04:36] Speaker C: Non mais là, on est dans la peinture, donc il est dans notre contexte. [02:04:39] Speaker D: C'est du café, c'est du café. [02:04:40] Speaker B: Bien sûr, dans un mug, on peut pas boire de l'alcool. [02:04:43] Speaker C: Bah non. Ce serait mal poli. [02:04:46] Speaker B: Quel manque de respect pour les tasses ! [02:04:50] Speaker D: Du coup ma première création c'était la peinture... La pochette de Pogo. Et depuis j'ai continué. J'ai envie de faire une expo l'année prochaine. [02:05:02] Speaker C: Voilà ce que j'allais dire. Et puis du coup ça expose quand ? Parce que c'est ça aussi qui est intéressant. [02:05:05] Speaker D: Pour l'instant j'ai rien montré mais parce que j'essaie de préparer le truc bien pour avoir une petite histoire aussi. [02:05:12] Speaker C: Et c'est une école, c'est l'école où t'es allé, enfin ton prof, c'est dans une école où t'as appris la peinture ? [02:05:17] Speaker D: Non, c'était chez lui, ouais. [02:05:19] Speaker C: Tu conseillerais aux gens de plus faire ça que d'aller dans une école ? Parce que bon, après tu as pas. [02:05:22] Speaker D: Fait d'école, tu sais peut-être pas... Bah non, j'ai pas fait d'école, donc j'en sais rien. [02:05:25] Speaker C: Non mais c'est intéressant, c'est bien le genre de se lancer dans la peinture. Je pense que c'est mieux de faire. [02:05:33] Speaker B: Des cours, parce qu'en école tu vas faire une école d'art. Moi le seul truc qu'on m'a dit. [02:05:41] Speaker D: Sur les écoles d'art c'est que ça fallait bien choisir, t'as aussi beaucoup de gens, ils peuvent se permettre de faire ça parce qu'ils ont de la thune et ils font ça pour s'occuper. Et en fait le truc c'est Tu. [02:05:53] Speaker C: Sais, y'a des gens... Bah moi non plus j'ai pas de thunes. Et puis tu sais bien ce que. [02:05:57] Speaker B: C'Est d'aller dans une filière juste pour dire qu'on fait quelque chose. [02:06:02] Speaker D: Mais... [02:06:03] Speaker C: Alors ouais mais justement... Toi ça coûtait rien ! Moi ça coûtait rien et puis en plus c'est pas glorieux. Quand tu dis je suis allé en fac de géo pour faire climatologie tout le monde s'en bat les couilles. [02:06:13] Speaker B: C'est vrai. [02:06:13] Speaker C: Et tu vois, regarde... Maintenant quand je vais aller dans certains bars qui sont rue de la roquette je vais bien me faire moquer. [02:06:23] Speaker D: Non mais cela dit pour répondre à l'école je continue de... j'ai regardé une école à Florence là tu vois machin, je continue de réfléchir. Mais même des petites formations tu vois d'un mois où je me barre là bas pour upgrader vraiment la technique pure quoi. Après tu t'apprends énormément par toi même, même moi ma palette Bah c'est con, maintenant j'achète des couleurs, j'essaye mes trucs à moi, je regarde des vidéos sur Youtube... Et je galère, franchement je galère, je me dis je vais plus jamais y arriver, j'essaie jusqu'à... [02:06:52] Speaker E: Voilà. [02:06:52] Speaker C: Ah mais t'es un bosseur. Comme tout amtulé dans la musique. [02:06:55] Speaker B: Oui, je suis passionné. [02:06:56] Speaker D: Oui, c'est ça. Mais par contre, ce qui me manque, tu vois, c'est l'histoire de l'art, tout ça, donc je réfléchis quand même, même là, si je peux reprendre un cursus, aller au Beaux-Arts ou je sais pas, tu vois, je trouverais ça... [02:07:09] Speaker C: En plus maintenant que tu connais comment c'est la technique, tu seras plus intéressé ? [02:07:13] Speaker D: Ouais parce qu'au bossard ils t'apprennent pas la technique. Mais par contre t'apprends, c'est comme déchiffrer un morceau. Et je pense que c'est quand même intéressant de savoir pourquoi les gens... Et. [02:07:24] Speaker B: Puis c'est épanouissant, enfin c'est... Ça t'ouvre l'esprit quoi. [02:07:27] Speaker D: Ouais. Ouais c'est ça. [02:07:28] Speaker B: Et ça peut... [02:07:30] Speaker C: Tu te trouves des maîtres après. [02:07:31] Speaker B: Non mais ça se répercute sur plein de choses. En fait c'est une façon de voir. [02:07:34] Speaker C: Les... Oui, j'imagine, je ne sais pas. [02:07:36] Speaker B: Un nouveau cadre de lecture. [02:07:37] Speaker D: Mais ça a dit, la peinture m'a beaucoup aidé pour la musique après, tu vois. Parce que je trouve qu'il y a beaucoup de choses qui sont en lien finalement. [02:07:46] Speaker C: Je veux bien savoir parce que du coup moi je suis un peu déconnecté. [02:07:49] Speaker D: Alors là, un exemple concret, je ne sais pas, mais c'est... c'est dans l'ouverture d'esprit, enfin même ton cerveau, comment... Par exemple, tu vois... [02:08:03] Speaker B: La façon d'aborder les choses, ou la manière de réfléchir. [02:08:07] Speaker D: Ça c'est pas en peinture, mais un truc qui m'a vraiment fait me dire, ah putain, même alors que je fais de la musique et que normalement je suis censé... Si tu te dessines un peu ou pas ? Bah si je te demande... [02:08:19] Speaker B: J'ai pas grand chose à... [02:08:21] Speaker C: A part la pète. [02:08:22] Speaker D: C'est une bonne activité. [02:08:24] Speaker C: Ah bah il est professionnel. J'ai été gradé plusieurs fois. [02:08:30] Speaker D: Non mais si je te donne tu vois une feuille comme ça et je te demande de dessiner une maison. [02:08:34] Speaker C: Oui. [02:08:35] Speaker D: Je pense que tu vas me dessiner une maison grande comme ça tu vois. [02:08:38] Speaker B: Oui. [02:08:39] Speaker D: Et ça c'est un truc très révélateur des adultes par rapport aux enfants qui vont prendre toute la feuille pour dessiner la maison. On t'a pas demandé de prendre que cet espace là, on te donne ça tu vois. [02:08:51] Speaker C: Oui on a moins d'expression donc autant l'utiliser en entier. [02:08:53] Speaker D: Et ça ça montre à quel point en fait malheureusement quand tu grandis tu te fermes dans des... [02:08:58] Speaker C: On se bride. [02:08:59] Speaker D: On se bride et on a du mal à lâcher le trait tu vois. [02:09:01] Speaker C: C'est vrai, c'est intéressant, très intéressant. [02:09:04] Speaker D: Et je me suis dit lâche le trait. [02:09:09] Speaker B: Il l'a bien lâché, j'ai bien voulu dire ! [02:09:11] Speaker C: C'est un très grand trait ! Non mais c'est vrai que c'est intéressant, c'est très intéressant. [02:09:18] Speaker B: Après si tu veux pas faire un très grand trait, tu peux faire plusieurs traits plus petits. [02:09:22] Speaker C: Ouais mais l'effet n'est pas le même. T'as une satisfaction immédiate qui est très très puissante, après du coup tu peux voir aller plus dans le détail. Mais bon, en dehors de la peinture, t'as déjà eu envie de faire... de prendre un... Du macramé ? T'es con putain ! Non mais de faire un projet solo musical ? Parce que j'ai l'impression que ça arrive toujours dans un groupe au bout d'un certain nombre d'années. Là t'as fait de la peinture donc je peux comprendre que tu t'es peut-être pas dit ça musicalement parce que t'as trouvé quelque chose pour te retrouver toi. [02:10:00] Speaker D: En fait le seul truc c'est qu'à chaque fois que je compose un truc en me disant c'est peut-être pas pour Pogo tout ça... Bah ils le prennent ! [02:10:08] Speaker C: Ouais ils le prennent ! [02:10:10] Speaker D: Non mais c'est vrai en plus. C'est plutôt cool. Si je suis tout le temps en mode bon j'ai ce truc là au cas où, si ça vous plaît pas j'en ferai un truc. Mais ouais non mais franchement Pogo moi je suis trop bien dedans parce que c'est vraiment ce truc de cette liberté cristo liquide. J'étais arrivé c'était une balade acoustique j'étais en mode ouais ils vont dire non tu vois. Et en fait non ça a plu. [02:10:38] Speaker C: Ouais donc comme t'as cet espace d'expression... [02:10:40] Speaker D: En fait je m'épanouis grave du coup dans Pogo et tout ce que je pense, enfin tout ce que je pourrais faire solo ça pourrait potentiellement être un morceau de Pogo et du coup c'est compliqué... C'est compliqué de faire un projet... Peut-être. [02:10:54] Speaker B: Que dans le fond t'es tellement Pogo que tout ce que tu fais c'est Pogo en fait. [02:11:03] Speaker D: Je suis en train de réfléchir. [02:11:05] Speaker C: Mais ce sera très court. Non mais c'est cool. [02:11:10] Speaker D: En fait du coup je trouve ça compliqué de faire un projet solo où tu trouves des bonnes idées de compo et potentiellement ça pourrait nourrir un album de Pogo, tu vois. Je veux pas tomber dans... Non mais. [02:11:21] Speaker C: On en revient toujours à cette idée que vous êtes un groupe super uni, moi je pense qu'à chaque fois qu'on parle d'un truc pour essayer de voir si tu veux pas aller ailleurs, enfin pas dans l'idée de partir mais d'essayer des choses seul, il y a toujours cette notion, même si tu le dis pas, il y a toujours cette notion d'amitié, de lien que vous avez qui a l'air hyper fort. [02:11:37] Speaker D: Ah mais je le dis, je le dis ! [02:11:38] Speaker C: Oui, oui ! [02:11:39] Speaker B: Tu nous disais quand même, vous voyez. [02:11:42] Speaker D: Bon... Non mais bien sûr, on est super proches. Mais justement voilà, parce que quand j'y réfléchis, parce que moi en vrai souvent je fais des chansons pop tu vois. Et je me dis mais c'est compliqué de planifier un album où t'as l'impression de... de tromper Pogo si tu te dis c'est vraiment un morceau avec un potentiel autant le filer à ton groupe tu vois ce serait bizarre de le garder pour moi. [02:12:14] Speaker C: C'est pour ça que vous n'êtes pas Oasis quoi. [02:12:17] Speaker D: Ouais mais peut-être qu'un jour on va se péter une guitare sur la gueule. [02:12:22] Speaker B: Ça a déjà failli arriver j'imagine vu comment vous sautez comme des petits cabris là. [02:12:28] Speaker C: Pourquoi j'ai une image avec leur tête et juste le corps du cabaret ? [02:12:31] Speaker B: Avec une guitare en modulière. [02:12:34] Speaker C: C'est étrange mais bon, ça a fait son petit effet quand même. [02:12:37] Speaker D: Mais après, je ne suis pas... Par contre, tu vas faire un autre groupe plus extrême, par exemple ? Un truc un peu différent, je serais chaud. [02:12:45] Speaker C: Ah ! Ouvert aux propositions, donc, si vous nous. [02:12:48] Speaker D: Regardez... Contactez-moi, allez, c'est parti ! [02:12:49] Speaker C: Non mais... Non mais bien sûr, ça... [02:12:51] Speaker D: Ça ne veut pas dire que tu. [02:12:52] Speaker C: Diras oui, mais juste... Non mais c'est. [02:12:53] Speaker B: Un peu comme ce qu'a fait le chanteur de Biffy Clairo. où il a Biffy Clyro et il a sorti Empire State Bastard, je sais pas si t'as entendu, où c'est du grind, alors que Biffy Clyro c'est quand même beaucoup plus pop, enfin rock-pop. [02:13:09] Speaker C: Et Valéky Slash il avait besoin de pouvoir cracher du... Bah de crier. [02:13:14] Speaker D: Bah voilà, je ferais bien un projet où je fais que crier, comme un con. [02:13:20] Speaker C: Bon, je pense qu'il y a plein de gens que tu connais déjà qui seraient prêts à... Bah c'est ça, c'est ça ! Bon, il a pas envie de nous le cracher la val d'or. Le mec, il a un truc, mais il nous le dira pas, quoi. Vous sentez bien le délire. Non, mais si jamais vous avez envie... Tu vois, par exemple, un ami que je vois fréquemment... [02:13:35] Speaker B: En off, il nous a dit que l'album était déjà enregistré. [02:13:40] Speaker C: Allez, hop, on s'est désigné comme ça ! Non mais ok, on va passer à la chanson suivante alors ! [02:13:46] Speaker B: Ah ouais bah d'accord on a bien compris ! [02:13:49] Speaker D: Ce que je veux dire c'est que c'est cool aussi de jouer avec d'autres gens, évidemment. [02:13:52] Speaker B: Et puis ouais, à partir du moment où c'est pas un truc où t'as l'impression de trahir tes potes en faisant tout autre chose. Du coup ça devient enrichissant. [02:14:00] Speaker D: Faut que les choix artistiques soient bons et que ça soit pas... Moi je trouve ça bizarre tu vois quand il y a quelqu'un qui a un groupe et il a un autre groupe et ça ressemble exactement à son groupe. Et je me dis mais comment il dispatche ses compos ? [02:14:09] Speaker C: Ouais et puis ça fait un peu bâtard. Voilà. [02:14:13] Speaker D: C'est mon projet, c'est Simon Péchineau, tu vois. [02:14:18] Speaker C: Et c'est pas votre musique, ok ? Non mais oui, du hardcore, des trucs de la musique classique, pourquoi pas. Plus pop aussi ? [02:14:26] Speaker D: Ouais, pourquoi pas. [02:14:27] Speaker C: Tu composes des trucs pop, ça peut être cool. C'est une autre expérience. [02:14:30] Speaker D: Mais c'est toujours le problème, c'est que... [02:14:34] Speaker B: Pourquoi Pogo pourrait pas faire de la pop ? [02:14:36] Speaker C: C'est ça. Après il va le faire, ouais, c'est ça en fait. Chaque fois que tu prends une chanson, même si t'es avec un autre groupe... Tu sais, tu sais. En fait j'ai pas l'air donné parce que c'est avec les Pogo. [02:14:43] Speaker B: Mais c'est surtout que, tu sais, à un moment ils vont vouloir gagner plus d'argent. T'as vu déjà comme ils sont... Comme. [02:14:48] Speaker C: Ils sont milliardaires, bien sûr, tout le monde le sait. [02:14:50] Speaker B: Donc là, le prochain album, de toute façon, c'est de la pop. On le sait. [02:14:54] Speaker D: Bah ça sent le fric en tout cas. [02:14:56] Speaker B: Ça pue le fric. Il y a du voyage. On a bien compris. [02:14:59] Speaker D: Je sais pas si vous avez vu le teaser mais bon. [02:15:01] Speaker C: On va en parler après parce qu'il faut quand même qu'on ait encore des trucs à dire. Je voulais parler des idées mais t'en as un petit peu parlé donc je vais pas revenir là-dessus. Limbiscuit. Roll in. [02:15:11] Speaker D: Je sais pas pourquoi j'ai mis ça. [02:15:12] Speaker C: Bah tu dis depuis tout à l'heure que t'aimes bien la pop donc bon bah c'était un titre puissant. [02:15:15] Speaker D: Non c'était un peu provocateur. Je sais que Limbiscuit c'est un grand débat chez les gens. [02:15:21] Speaker C: Encore aujourd'hui ? Non. [02:15:23] Speaker B: Il y a quand même plein de. [02:15:25] Speaker D: Gens qui aiment pas. Mais en fait quand tu m'as demandé 4 clips j'ai réfléchi genre qu'est ce qui m'a vraiment marqué et bah pareil j'ai 10 ans je vois ce clip et je me prends Je vois un mec avec une casquette hip-hop machin, c'est... Y'a... Ça groove. De quoi ? [02:15:44] Speaker B: Ça groove. [02:15:45] Speaker D: Ça groove de ouf, ils sont sur des toits là, le clip il est fou. [02:15:49] Speaker C: Ils existent plus c'est toi. Non. [02:15:52] Speaker D: Non mais c'est... Non mais c'est un clip très MTV tu vois. [02:15:57] Speaker C: Et c'est pour ça... C'est huge. [02:15:59] Speaker D: Et on a quand même grandi avec ce genre de clip et c'est pour ça que je me suis dit bah ça fait partie forcément de mon ADN. dans tous les cas. Et puis je crois, t'as des clips où il y a Snoop Dogg, Eminem, tout ça, c'était fou quoi. [02:16:11] Speaker C: C'est la grande famille US. [02:16:12] Speaker D: Là c'est Ben Stiller je crois. [02:16:14] Speaker C: Ouais, tout à fait. Ils conduisent une voiture qui coûte assez cher. [02:16:20] Speaker D: On en revient au rapport à l'argent. [02:16:22] Speaker C: Les biscuits, ça, ils s'en sont jamais cachés. Pour le coup, tout le monde peut être contre les biscuits, mais ils n'ont jamais dit qu'ils n'aimaient pas l'argent. [02:16:28] Speaker B: Dans le néo-metal, c'est ceux qu'on a le plus croqué. [02:16:32] Speaker C: C'est fort possible. [02:16:34] Speaker B: Mission impossible. [02:16:36] Speaker C: Entre ça et The Crow, c'est sûr que c'est pas le même budget. [02:16:42] Speaker B: On parlera pas des groupes qui n'ont fait aucune BO. [02:16:59] Speaker C: Tu viendras avec nous, nous nous rendrons gratos. [02:17:01] Speaker D: Vous aimez bien l'Imbiscuit ? [02:17:03] Speaker C: Je suis hyper fan de l'Imbiscuit, j'en ai vu des tonnes de concerts. J'avais même créé des frais de dollars, j'avais imprimé. Mes parents m'avaient détesté parce que du coup j'avais visé toutes les cartouches d'encre. J'en avais fait vraiment énormément parce que j'en avais un petit sac. et je l'ai jeté, c'est comme ça que j'avais pu rentrer gratuitement au concert. La mutualité, il me semble que c'était ce concert. [02:17:23] Speaker B: Avec Plément en première partie ? [02:17:24] Speaker C: Ah oui, c'était ça. Avec Plément en première partie, parce que j'avais oublié ma place chez moi. Comme j'habitais dans le sud, je n'allais pas redescendre dans l'après-midi pour pouvoir la récupérer. Donc les frais de dollars m'ont aidé à... [02:17:32] Speaker B: C'était pour la sortie de Significant Other. [02:17:36] Speaker C: Ah ouais ? C'est si vieux que ça ? C'était il y a dix ans, non ? Bon allez, on va regarder Rollin et pendant ce temps on va s'étouffer. C'est un choix de Simon. All right, partner. Keep on rolling baby. You know what to do. [02:18:44] Speaker A: C'est parti ! Keep rollin', rollin', rollin', rollin' Keep rollin', rollin', rollin', rollin' Now I know y'all be lovin' this s*** right here L-I-M-P, Biscuit is right here People in the house, put them hands in the air Cause if you don't care, then we don't care One, two, three, times two, to the six Chosen for your fix, other than Biscuit Mix So where the f*** you at, punk? Shut the f*** up and pack the. [02:19:18] Speaker D: F*** up. [02:19:34] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté. [02:19:36] Speaker C: D'Amara.Org. [02:19:49] Speaker A: C'est parti pour le tournage ! All the lovers, all the haters And all the people that call themselves players Hot mamas, pimp daddies And the people rollin' up in caddies Hey rockers, hip hoppers And everybody all around the world Hands up now, hands down Back up, back up Tell me what you gonna do now Breathe in now, breathe out Hands up now, hands down Tell me what you gonna do now Keep rollin' rollin' rollin' rollin' Keep rollin' rollin' rollin' rollin' Keep rollin' rollin' rollin' rollin' Keep rollin' rollin' rollin' rollin' Move and I move back Hands on my head now Back up, back up Tell me what you gonna do now Breathe in now, breathe out Hands on my head now Back up, back up Tell me what you gonna do now Keep rollin' rollin' rollin' rollin' Keep rollin' rollin' rollin' rollin' Tu t'avais dit de faire le plein. [02:21:59] Speaker D: Oui, je sais. [02:22:00] Speaker C: Tu sais mais tu fais jamais rien. [02:22:01] Speaker B: Oui, bon ça sert à quelque chose. [02:22:02] Speaker D: Ce que tu dis. Peut-être que la prochaine fois on aura de l'essence dans la caisse. [02:22:08] Speaker B: C'est quoi ? Hop. [02:22:11] Speaker D: Tu fais quoi là ? [02:22:12] Speaker C: Je vais mettre de la musique. [02:22:14] Speaker D: Putain mec, tu vas pas nous mettre ta musique dénervée là. [02:22:16] Speaker B: C'est pas de la musique énervée, c'est. [02:22:17] Speaker C: Hyper calme, tu vois. Le frein à temps, le frêne Fonctionne. [02:22:41] Speaker A: La folie tend les chaînes Surtout ne. [02:22:45] Speaker C: Me dites pas que c'est seulement de toi d'aimer Ce n'est pas le débat. [02:22:49] Speaker A: Tu l'as dit Et t'as tué l'armée ! Tiens une plume, dans ta voie, pourquoi ? Problème, c'est pire que ce qu'on voit Tiens une plume, dans ta voie, pourquoi ? Problème, tout le monde. [02:23:08] Speaker D: Cette putain de. [02:23:09] Speaker C: Vie, ça me noie, c'est tordu Je m'emmerde et je me déçois J'essaie de. [02:23:15] Speaker A: Mentir, toutes ces merdes commencent à bouffer Je reviens, merci, avec un sourire forcé Y'a une pleure, sans savoir pourquoi, problème. [02:23:59] Speaker C: Le velin dans les veines Antiogènes La folie dans mes chaînes Tiens l'implème Sans. [02:24:07] Speaker A: Savoir pourquoi Problème Qu'est-ce que tu crois ? Tiens l'implème Sans savoir pourquoi Problème nous sommes aimés, que ce n'est pas dément, que je l'admire. [02:24:58] Speaker B: Par contre apparemment le catering il était pas ouf sur le tournage du clip. [02:25:01] Speaker C: Parce que ça leur a tourné. [02:25:02] Speaker B: Ils avaient pas l'air bien à la fin. [02:25:05] Speaker D: C'était un ramen mal digéré quoi. [02:25:09] Speaker C: Bon les Pogos car crash contrôle bien sûr c'est ce qu'on vient de regarder, d'écouter si vous êtes en podcast bien sûr merci d'ailleurs de vous être abonné. Si vous nous suivez sur Spotify vous pouvez laisser des petits messages d'ailleurs n'hésitez pas ça fait toujours plaisir et ça nous soutient. Ce titre tête blême avec l'ami Gaël évidemment à qui on fait d'énormes bisous qui est toujours là pour nous soutenir aussi donc très très gentil. [02:25:31] Speaker D: Comme dirait Tarkan On le connaissait pas vraiment d'ailleurs quand on l'avait invité sur le clip, juste il nous soutenait et tout, donc on lui a envoyé un message et il est venu direct, donc. [02:25:42] Speaker C: Trop cool quoi ! Gros bisous ! Bon, on va quand même juste, avant de parler de, entre guillemets, du futur, je vais quand même juste te faire chier, on va quand même, je voulais juste, les périodes de créativité, c'était déjà arrivé d'avoir ce problème de page blanche, comme on dit ? [02:26:02] Speaker D: Oui, oui, complètement. Bah ouais, genre... [02:26:08] Speaker B: Genre là par exemple, pour trouver une. [02:26:10] Speaker D: Grosse phase blanche là. [02:26:13] Speaker C: Ça arrive peut-être plus souvent quand on te pousse un petit peu en disant tu sais que là il va falloir... là il faut quelque chose et tu. [02:26:17] Speaker D: Fais... Bah en fait c'est très compliqué, ouais. En fait quand t'essaies vraiment de dire bah là faut envoyer de la compo et que... T'as rien quoi, tu vois. Et en fait plus tu te forces, moins ça marche. Donc après voilà tu prends des cours. Et après t'es un peu fatigué. [02:26:31] Speaker C: Les fruits se libèrent. [02:26:35] Speaker D: Et après c'est bon. Non mais oui ça peut arriver et c'est stressant quoi mais... [02:26:42] Speaker C: Mais ça va c'est quelque chose que t'as appris aussi tu sais très bien que ça arrive donc... Ça m'a arrivé. [02:26:46] Speaker D: Vraiment une fois où vraiment dans ma vie j'étais un peu en galère pendant genre... 3-4 mois où vraiment... Pas envie quoi. Rien. Tu vois j'avais aucune idée, zéro... Alors normalement j'ai toujours 2-3... T'as toujours. [02:27:01] Speaker C: 2-3 trucs qui te viennent chaque jour. [02:27:03] Speaker D: Mais la musique là ça me parait plus du tout quoi. Et c'est revenu après quoi. [02:27:08] Speaker C: C'est une période un peu aussi... Des périodes de troubles aussi où on a. [02:27:12] Speaker D: Moins de... Ouais c'est ça, c'est ça. [02:27:14] Speaker B: Est-ce qu'avec le temps t'arrives à... Forcer un peu ta créativité ou... Il y a des gens, tu sais, avec le temps, tu finis par comprendre des trucs qui t'aident à te débloquer ou des activités qui... Est-ce qu'avec le temps, tu finis par trouver des trucs ou... Est-ce que ça reste toujours un peu mystérieux et magique ? [02:27:33] Speaker D: Non, non, le truc, c'est que souvent, des fois, je prends ma guitare et je cherche des arpèges ou des machins, une suite. et des fois je la cherche mais dans le vide, mais il n'y a aucune logique où je peux te donner vraiment un exemple précis. C'est n'importe quoi, personne ne compose, il n'y a plus grand monde qui compose comme ça par exemple. Et moi je suis très guitare en mode je cherche, après je maquette sur l'ordi. Mais sinon, je vais toujours déchiffrer des morceaux que j'aime bien. Ou je vais écouter des gros morceaux, je vais réfléchir à quel espace il y a dans le morceau. Mais je vais écouter de tout par contre. Et ça, ça peut m'inspirer pour me dire ok, il n'y a pas besoin d'en mettre des tonnes, des caisses. [02:28:26] Speaker C: Il y a ça aussi, oui. C'est juste de savoir... [02:28:29] Speaker B: L'assisement. [02:28:30] Speaker C: Voilà. [02:28:33] Speaker B: C'est très drôle que tu parles de ça. Ça peut peut-être intéresser des gens qui regardent l'émission. J'ai vu une interview de Dirk Lentz, qui était le premier bassiste d'Incubus, jusqu'à Morning View. Et le mec, je n'ai jamais vraiment su ce qui s'était passé, pourquoi il était parti, parce qu'il a été remplacé par un bassiste qui n'a pas du tout le même jeu, c'est Ben Kenny de The Roots. Et du coup, lui, il faisait vachement de slap et de trucs comme ça. Et le mec, il l'a remplacé, il jouait au Mediator. Et du coup, même les morceaux ont été changés et tout ça. Et dans l'interview, Il fait des blagues souvent parce que l'intervieweur est aussi bassiste et du coup il lui pose des questions sur les trucs et il fait alors dans ce morceau là comment tu fais ? Il fait ah c'est le moment où j'avais pas encore compris qu'on n'était pas obligé d'en remettre tout le temps. [02:29:29] Speaker D: Mais c'est vrai. Et bah d'ailleurs même dans Pogo on en met de moins en moins en fait parce que faut se calmer. [02:29:39] Speaker C: Et que c'est bien. [02:29:40] Speaker B: Et puis c'est ça qui rapporte la thune, c'est le grand public, la pop, tout ça. [02:29:45] Speaker D: C'est clair. Non mais en fait il y a vraiment ce truc de malheureusement, t'as toujours envie de rajouter deux trois notes, tu sais un truc un peu technique, un peu où tu le fais, t'es en mode c'est bien pensé ça et finalement... finalement pas fort. [02:30:00] Speaker C: Tu fais ça et tu fais ah ouais c'est bien quand même aussi. [02:30:02] Speaker B: Des fois ça perd de l'efficacité quoi. [02:30:03] Speaker D: Mais non mais t'as des trucs hyper efficaces parce que c'est tellement simple et finalement nous progressivement on apprend à composer simple et c'est hyper dur quoi. [02:30:13] Speaker C: Ah il y a toujours Gary qui dit non moi je... Calme toi ! [02:30:17] Speaker D: Non mais bah même dans les nouvelles compos tout ça qu'on taffe c'est vraiment le... le truc de, mais non, mais il faut que ça soit efficace et qu'est-ce qui va pas dans ce qu'on a déjà fait, tu vois. Pourquoi c'est pas efficace comme ça, pourquoi... [02:30:33] Speaker C: Ah ouais, à la fin, quand vous avez déjà réussi à créer un morceau, vous revenez dessus pour... Ouais, ou alors. [02:30:38] Speaker D: On compare à nos débuts et quand on les réécoute, des fois on est en mode, ah ouais, mais ça c'est trop chargé, tu vois. Je pense que si on avait fait plus comme ça, ça aurait pu se péter à ce moment-là ou tout ça. [02:30:50] Speaker B: Est-ce que ça vous donne envie de les changer pour le live, les vieux morceaux ? Parce qu'en live tu peux un peu. [02:30:56] Speaker D: Te permettre... Bah on a déjà fait un gros changement de son sur les anciens morceaux, tu vois. Donc des Primo Steel, tout ça, maintenant on le joue avec des gros amplis. Avant on jouait vraiment sur du Deluxe Reverb. Et on était en mode, putain c'est con, ça donne envie de les réenregistrer avec un nouveau son. Mais en même temps j'aime bien le son du début. Mais il y a du réarrangement forcément sur scène pour que le show soit cohérent. Si on sort les Thunder juste pour les premiers morceaux, ça va arracher les. [02:31:32] Speaker B: Oreilles de tout le monde. Et aussi j'ai l'impression que tu chantes de plus en plus. Est-ce que c'est une impression ? [02:31:44] Speaker D: En vrai, j'ai toujours chanté. [02:31:46] Speaker B: J'ai l'impression que ça prend de plus en plus de place. Je ne sais pas si c'est une impression ou si c'est une envie que t'as. [02:31:52] Speaker D: Il y a toujours un post-ratio, mais... Ouais. Je réfléchis en même temps. [02:31:58] Speaker B: Toi, tu vas peut-être sur les nouveaux morceaux. [02:32:01] Speaker D: Attends, je me casse. En fait, j'ai toujours pas mal chanté, mais effectivement, pas forcément sur des morceaux qu'on a gardés, etc. Mais oui, il y a... Est-ce que. [02:32:15] Speaker B: Ça a un rapport ? [02:32:19] Speaker D: J'ai une voix horrible en fait. [02:32:21] Speaker B: Du coup on s'est dit, je vais moins chanter. [02:32:23] Speaker C: Quand les enregistrements se lui fait plaisir, on lui dit qu'on ne les prend pas la farce. C'est tout le process pour elle. [02:32:29] Speaker D: On essaie toujours de se faire un dispatch de voix, mais j'avoue que c'est assez aléatoire. [02:32:32] Speaker B: Oui, c'est en fonction de ce qui marche le mieux. [02:32:34] Speaker D: On essaie de ne pas avoir trop ce truc d'égo de j'aimerais bien chanter ça, ou j'aimerais bien chanter ça. [02:32:38] Speaker B: Et qui écrit les textes ? [02:32:41] Speaker D: Principalement Olivier, Louis aussi un peu, et moi j'écris un petit peu aussi. mais principalement Olive quand même. Il bosse beaucoup aussi, il fait un taf énorme sur des pré-prods avant de rentrer en studio. Il passe un an et demi quoi. C'est vraiment... C'est vraiment quelque chose. [02:33:08] Speaker C: Il y a une histoire, il y a quelque chose à filmer. Bon sur un an et demi c'est. [02:33:11] Speaker D: Long mais... Non mais pour le coup c'est assez ouf parce que Olive guide vraiment quand on est en studio, il sait déjà où vont les guitares et machin, il a déjà des FX qu'il envoie en stem, le producteur va mettre directement dans les pistes, voilà. Donc il y a vraiment ce truc... [02:33:28] Speaker C: Ok, ok. [02:33:30] Speaker D: Vous n'aurez rien à foutre, mais je... [02:33:32] Speaker E: Non, non, si, si. [02:33:33] Speaker B: J'ai beaucoup de questions, mais je sais que, bon, apparemment on n'a pas le droit de poser certaines questions. [02:33:37] Speaker C: Non, alors moi j'ai envie de faire une boucle avec le début de cette émission, de ton intervention, c'est que t'as quand même été élevé par la musique qui est plus anglophone, je dirais, que française, en termes de métal. Est-ce qu'aujourd'hui, Alors on va parler d'abord de la scène française, tu sens que la scène française elle est plus intéressante, elle se lâche plus, même si elle n'est pas francophone mais qu'elle est française. [02:34:01] Speaker D: Bah il se passe plein de trucs, franchement forcément on peut, on est obligé de citer genre Landmarks, quand tu regardes leur carrière c'est fou, les 1056, Mais après il y a aussi les Johnny Mafia, les Madame, il y a plein de groupes en fait où ça bouge bien et c'est cool. [02:34:23] Speaker C: Et il y a le choix de la langue de ces groupes là. Parce qu'il y en a quand même quelques-uns qui chantent, ceux qui marchent beaucoup chantent en anglais quand même. Mais pas en français. [02:34:33] Speaker D: Bah ouais mais c'est vrai. Non en fait, nous, ce que je peux te dire c'est que c'est vrai que de base on a chanté en français parce qu'on voulait vraiment parler aux 13 pélos qui étaient devant nous tu vois, c'était vraiment un truc... Oui c'était. [02:34:47] Speaker C: Pour le début ! [02:34:48] Speaker D: Mais non mais il y avait vraiment ce truc de spontanéité et de... Bah. [02:34:51] Speaker C: Que vous soyez compris ! [02:34:53] Speaker D: Ouais, et puis en fait quand tu joues devant douze personnes, ça a plus d'impact de leur gueuler dessus directement en français. C'était un peu la logique. [02:35:02] Speaker B: Surtout les mots que vous gueuliez à l'époque. [02:35:03] Speaker D: Voilà, exactement. Et progressivement les textes ont un peu changé, on n'écrit plus de la même manière qu'au début parce que on n'a plus les mêmes attentes aussi tout ça. Et donc pour la suite, suspense. Mais ce qu'il y a de sûr. [02:35:17] Speaker C: C'Est que... Non parce que des refrains par exemple en anglais puis le reste en français ou l'inversement d'ailleurs, il y en a qui le font, c'est super intéressant. C'est une recette qui peut être intéressante. Après je sais pas, je ne veux pas que tu me dises pour la suite. Mais dans les idées, je veux dire, c'est des choses que vous avez déjà dû essayer, j'en suis persuadé. [02:35:34] Speaker D: C'est des choses qui sont intéressantes et c'est des choses qui sont à tenter, c'est clair. [02:35:39] Speaker B: Est-ce que vous avez aussi envie par exemple d'aller enregistrer à l'étranger ? [02:35:46] Speaker D: Peut-être. [02:35:47] Speaker C: Non mais dans ma question, il y avait ça, on a vu le teasing, bon... Ordor, excusez-moi. Ordor, vous étiez à la coupe des cheveux d'Olivier, on a bien compris qu'il y avait un problème quelque part. [02:35:58] Speaker D: On sent qu'il a voyagé. [02:36:01] Speaker B: Dans les époques et dans les pays où on accepte ce genre de choses. [02:36:05] Speaker C: Non mais on a bien vu que. [02:36:09] Speaker B: Vous étiez dans le teaser. [02:36:09] Speaker D: Il serait là il dirait mais je l'ai payé 150 balles ma coupe. C'est un beau mulet. [02:36:15] Speaker B: Donc c'est qu'il l'a pas fait en France. Parce qu'en France ça coûte pas 150 balles. [02:36:20] Speaker C: Ça dépend, ça dépend. [02:36:22] Speaker B: Parce que moi, le teaser, je crois que c'était à la gare du Nord. Avec les rails et tout. [02:36:27] Speaker C: J'ai vu plein de photos avant, donc ça, je veux dire, c'est pas un secret. [02:36:31] Speaker D: Non, non, c'est le gros truc du teaser. [02:36:34] Speaker B: C'est la grosse pomme. [02:36:36] Speaker D: C'est la grosse pomme, ouais. [02:36:38] Speaker C: Je t'ai vu en photo avec un cheval aussi donc il n'y a pas eu que la grosse pomme non ? [02:36:42] Speaker D: Oui on était dans une ferme aussi. [02:36:43] Speaker C: Vous êtes parti un peu faire les. [02:36:46] Speaker D: Malins entre copains là-bas ? On est parti un mois et demi je crois. Un mois et demi. [02:36:52] Speaker C: Ce qui est bien. [02:36:53] Speaker D: Ce qui est cool. pour faire du cheval, de petites vacances, lancer des teasers comme ça. Non mais en vrai, voilà on... Ça. [02:37:01] Speaker C: Vous aide à avoir un peu d'aspiration ? [02:37:02] Speaker D: On prépare quelque chose, ça c'est sûr. [02:37:05] Speaker C: Oui bah forcément il y a un bel moment où ça va arriver. [02:37:08] Speaker D: Et effectivement à la fin du teaser, tant que c'est pas en français, voilà. Mais ça veut pas dire que ce sera pas en français. [02:37:15] Speaker C: Oui, oui, oui, mais de toute façon, ce qui est intéressant, c'est aussi que quand vous étiez là-bas, vous voyiez aussi l'énergie qu'il y a aux Etats-Unis. Enfin, moi, je te connais mal, mais toi qui connais bien, quand t'es là-bas... [02:37:25] Speaker B: Je sais pas, je suis allé une ou deux fois. [02:37:28] Speaker C: Tu sortes un peu le truc des Américains. [02:37:30] Speaker D: On est même allé justement voir GEL en concert là-bas. [02:37:34] Speaker C: En GEL ? [02:37:34] Speaker D: Al joue là-bas. [02:37:35] Speaker B: En GEL, ouais. [02:37:37] Speaker D: Dans une église là-bas, gros concert de hardcore, c'était incroyable. Bah oui, forcément, ça t'inspire, tu vois. C'est la terre du rock ! [02:37:47] Speaker C: Oh mon dieu ! C'est wrong ! [02:37:54] Speaker D: Dans le hardcore, il se passe quelque chose là-bas. Franchement, c'est fou. [02:37:57] Speaker B: Il y a un gros comeback. [02:37:58] Speaker D: Et même le public... Et puis en fait, ils se connaissent tous. C'est hyper... Ça peut être grand, ils se connaissent tous. [02:38:06] Speaker C: Ouais. [02:38:07] Speaker D: Non mais il y a vraiment ce truc-là. [02:38:08] Speaker C: Après, ils sont peu à gagner de l'argent. [02:38:09] Speaker B: Mais en fait, on parlait à des. [02:38:10] Speaker C: Gens, ils disaient « Ah mais ouais. [02:38:11] Speaker D: C'Est mon pote, guitariste de Power Trip ». Et t'es en mode « Ah ouais, putain, d'accord ». [02:38:15] Speaker B: Mais en même temps, à Paris, on se connaît tous. Non mais en fait... En fait c'est un peu le truc. [02:38:23] Speaker C: C'Est un peu le truc qui me sort cette connerie. [02:38:30] Speaker B: Je vais dire quoi ? Non mais je vais dire en fait à Paris quand tu connais un peu là où les gens sortent et tout tu finis toujours par croiser un peu des gens. [02:38:37] Speaker E: Bien sûr. [02:38:38] Speaker B: Et en fait aux Etats-Unis c'est un peu la même chose sauf que nous ça nous semble tellement... Bah c'est plus grand. [02:38:42] Speaker D: Parce que c'est... [02:38:44] Speaker C: C'est à dire qu'on n'est pas super amis avec tous les groupes allemands quoi. [02:38:48] Speaker B: Non mais c'est normal. Parce qu'ils sont allemands. Eux, ils sont du même pays. [02:38:53] Speaker C: Ah oui, c'est ça, pardon. [02:38:56] Speaker B: Non, mais puis la scène hardcore, c'est quand même une... Ça reste une scène assez... Oui, c'est assez petit. [02:39:02] Speaker C: Oui, c'est vrai. [02:39:03] Speaker B: Assez conviviale. [02:39:04] Speaker D: Ouais, complètement. [02:39:05] Speaker B: Dans chaque pays, la scène hardcore... C'est convivial. Ouais, non, mais je ne sais pas comment dire, mais ce que je veux. [02:39:09] Speaker D: Dire, c'est que c'est des... Bah, ça danse beaucoup, d'ailleurs, sur scène. [02:39:12] Speaker B: Ça guinche. [02:39:13] Speaker C: C'est ça ? Ah papy a un petit bourpif encore une fois dans la gueule. [02:39:16] Speaker B: Oui bon ça va. [02:39:17] Speaker C: Oups ! Oups désolé, je voulais faire une petite acrobatie. J'ai fait de la capera pendant deux ans mais apparemment je maîtrise pas encore totalement mes pieds. Avec les doigts de pied comme ça. [02:39:27] Speaker D: Non mais il y a un truc en tout cas inspirant là-bas parce que nous forcément on est hyper influencés par la scène américaine aussi tu vois. [02:39:39] Speaker B: Dans cette musique c'est un peu... Ouais. [02:39:41] Speaker C: Tu peux pas faire trop autrement. Et ce que je veux dire c'est qu'en plus quand tu vas à New York, il y a quand même dans cette ville un truc qui veut t'emmener plus loin. [02:39:47] Speaker B: Ouais. A même la cuisse. [02:39:50] Speaker C: C'est un restaurant que j'ai traîné tout le temps quand j'étais à New York. [02:39:54] Speaker B: Il allait dans un restaurant français. [02:39:55] Speaker C: Il s'appelait Lollocus mais il y avait un portrait de vieux Funès alors moi je ne pouvais pas m'empêcher d'y aller. Je prenais des haricots verts, je peux te dire qu'ils étaient bons. [02:40:02] Speaker D: Écoute, là-bas on dormait dans une ville qui s'appelait Bayonne. Ça se trouve on a mangé sur le teaser en fait, on était juste à Bayonne. [02:40:11] Speaker C: Putain, c'est balèze ça, c'est intelligent. Regardez, il y a des cheveux aux Etats-Unis. Puis bon, il y a des mecs qui font des fêtes... Comme quoi un. [02:40:20] Speaker B: Mulet, ça fait voyager. [02:40:23] Speaker D: C'est ça, franchement. Bon en tout cas... Je peux pas en dire plus là. [02:40:27] Speaker B: Mais vous reviendrez quand ça sort. [02:40:29] Speaker D: Ce mois-ci, il va se passer des trucs. [02:40:33] Speaker C: En tout cas, ce qu'on peut dire, c'est que vous avez travaillé vos looks. Ce qu'on peut dire, c'est que vous avez travaillé vos looks sur cette image. Quand on vous voit... Tu sais que j'ai fait des zooms plein de fois. C'est vrai ? [02:40:47] Speaker B: Mais moi, je n'étais pas sûr au début. C'est pas épogo ça ! Mais c'est qui ces cons là ? [02:40:57] Speaker C: C'est quand même votre univers et votre identité, on n'en sort pas. Mais c'est juste que là on a bien compris qu'il y a eu un tu sais quoi là j'y vais, là c'est bon j'y vais et c'est cool. [02:41:06] Speaker D: Ah c'est marrant. [02:41:07] Speaker C: Je te jure j'étais sur la photo, putain de truc ça s'agrandit pas. [02:41:10] Speaker B: Ouais parce que c'est une vidéo. [02:41:13] Speaker D: Ah mais sur les looks aussi t'as trouvé ? [02:41:14] Speaker C: Ouais j'ai fait des copies d'écran pendant que ça... Moi j'ai trouvé que c'était. [02:41:17] Speaker B: Plus assumé que jamais. Mais après c'est l'effet de partir aussi. En fait je trouve que quand tu pars loin de chez toi, c'est toujours plus facile de... Parce qu'il n'y a pas le regard... Déjà le regard de la France, parce qu'en France c'est quand même toujours un peu compliqué. [02:41:36] Speaker D: C'est vrai que là-bas, pour le coup, on était le Frenchie Group et tout le monde était hyper encourageant, ils sont tous allés, on était dans les bars là-bas, ils foutaient du pogo dans le bar, tout le monde disait « Oh j'adore ! » et tout, c'était trop bien et il y avait un truc très déculpabilisant, déjà de la langue, de l'accent aussi, parce que bon, quand t'es français t'as quand même un accent. [02:41:59] Speaker B: Pas tout le monde. [02:42:00] Speaker D: Pas tout le monde, faut le bosser. [02:42:01] Speaker C: Y'a même The Milouk. [02:42:03] Speaker D: Faut le bosser mais en tout cas c'est pas un problème, ils vont pas te... Alors qu'en France, on va dire regarde, putain tu parles trop mal, c'est horrible. Et du coup c'est... Il y a ça, ils sont très accueillants. [02:42:18] Speaker C: Ils sont hypocrites mais après... [02:42:20] Speaker B: Alors, non mais c'est pas faux, il y a une grande partie des faux. [02:42:24] Speaker D: Crédits, mais à New York ça va, à New York ils sont européens donc ils sont mal vus par rapport... Ouais. [02:42:30] Speaker B: Mais bon c'est quand même toujours un. [02:42:31] Speaker C: Petit peu... Moi j'avais beaucoup d'amis, le lendemain ils étaient plus là quand même. [02:42:34] Speaker B: Mais ça ça arrive assez souvent. [02:42:36] Speaker C: Après c'est des amis de 6h du matin... [02:42:37] Speaker B: Mais par contre il y a un truc qui est très vrai, c'est que quand tu... En fait, souvent, on dit que c'est plus facile d'entreprendre aux États-Unis. Et c'est vrai dans tous les aspects d'entreprendre, c'est-à-dire aussi faire un projet artistique ou un truc comme ça. C'est que les gens sont beaucoup plus... En fait, en France, dès que tu vas dire une idée, les gens sont enthousiastes. Ils sont enthousiastes et supportifs. C'est-à-dire qu'ils vont te dire oui, ouais, c'est trop bien, machin, même si c'est pas vrai. Ils sont à fond. Et en fait, je trouve que ça permet d'être beaucoup plus libre créativement parlant. Parce qu'en fait, t'as moins ce truc de, ah non mais c'est vrai, je vais peut-être pas y arriver, c'est peut-être pas une bonne idée. Ou tu te retrouves avec des mulets, bon bah après ça c'est... Non, je. [02:43:26] Speaker D: Trouve que tout le monde va l'idère, le mulet là-bas. Bah oui, oui. [02:43:29] Speaker B: Depuis qu'il est rentré, c'est plus compliqué. [02:43:32] Speaker C: Et à Berlin aussi c'est assumé le mulet. [02:43:34] Speaker D: Ouais mais c'est le mulet un peu plus rasé sur les côtés, là c'est... C'est ce trou mulette là. [02:43:40] Speaker B: Il y a le mulet techno tu. [02:43:43] Speaker D: Vois, il y a le mulet années 80. [02:43:44] Speaker C: Ouais mais il y a aussi l'attitude vestimentaire. C'est marrant parce que c'est vraiment sur Olive que j'ai fait putain mais c'est... Tous les autres ça j'ai trouvé que ça allait. [02:43:56] Speaker B: Je trouve que c'est sur lui qu'il y a le plus de changements. [02:43:59] Speaker C: Ah ouais, j'ai fait waouh, c'est coloré, c'est court, c'est long, c'est court, je sais pas. [02:44:04] Speaker B: Tout a changé. Toi tu le vois régulièrement mais moi. [02:44:07] Speaker D: Je l'avais pas vu de manière générale. Ouais c'est vrai, c'est vrai. [02:44:08] Speaker C: Et puis ici ça fait depuis un mois et demi qu'il a les oeufs de mule. Du coup tu t'y as eu le temps de t'y habituer. [02:44:13] Speaker D: Moi je me suis habitué, il m'a prévu qu'il allait faire mule. Il m'a dit demain je vais me faire muler. [02:44:17] Speaker C: Non mais du coup ça donne envie de savoir quelle est son idée dans sa tête. Pourquoi ce mulet ? Il y a bien forcément quelque chose. [02:44:24] Speaker B: Bah je me demande bien. [02:44:25] Speaker C: Moi je me rappelle une époque où il y avait des mulets dans les vidéoclips et c'est un ami à moi qui était parti à Los Angeles filmer des gens. Bah c'était dans le Plémo, il y avait des gens avec des mulets. [02:44:34] Speaker D: C'est vrai. [02:44:34] Speaker B: Ah ouais ? [02:44:37] Speaker C: Un peu les mêmes, mais des gens qui étaient dans le clip. Des comédiens, des acteurs, je sais pas. [02:44:44] Speaker D: En Australie, il y a beaucoup de mulets pour le coup. [02:44:47] Speaker B: Après c'est des gens qui sont issus de gens qui viennent de prison. [02:44:50] Speaker C: C'est vrai. [02:44:52] Speaker D: C'est vrai en plus. [02:44:54] Speaker C: Par contre c'est complètement vrai. Un petit mélange aujourd'hui un peu plus varié. [02:44:59] Speaker B: Pas tant, pas tant. [02:45:02] Speaker C: Non mais voilà bon ok, on reviendra aux nouvelles prochainement alors. [02:45:06] Speaker D: Ouais mais grave, mais restez connectés sur les ondes. [02:45:10] Speaker C: Sur les réseaux, suivez-nous sur Twitter, Instagram. [02:45:19] Speaker D: C'est X. Ah merde. [02:45:21] Speaker B: Il est vieux ! Sérieux en fait. [02:45:23] Speaker C: C'est pour ça que j'arrive à parler avec lui. Parce qu'il y a des fois je lui dis que je suis désolé, je suis ringard et il fait... T'sais, c'est tard le soir quand je lui dis ça, j'ai l'impression que c'est... [02:45:30] Speaker B: C'est donc ça votre point commun ? [02:45:30] Speaker C: Par contre j'ai un oeil fermé, un oeil ouvert et j'ai le joie qu'il m'a regardé. [02:45:33] Speaker D: Mais moi je suis hyper ringardos, moi je flirte avec le kitsch. [02:45:37] Speaker C: Mais c'est ça qui est bon. [02:45:38] Speaker B: C'est pour ça que tu viens dans cette émission. [02:45:41] Speaker D: J'ai autre chose à foutre en fait. [02:45:45] Speaker C: Allez, on va quand même passer au dernier clip parce qu'il y a bien un moment où il va falloir qu'on s'arrête aussi. Et pour une fois qu'on est quasiment dans l'étang, c'est pas mal. Le dernier, Fidelar évidemment, avec West Coast. [02:45:56] Speaker D: Si je ne dis pas de bêtises. Je me suis spoilé du coup, mais j'ai choisi ce clip-là parce que du coup à l'époque, Fidelar c'était vraiment un groupe d'inspiration. Il y a deux frères aussi dans le groupe, on joue sur les mêmes guitares tout ça, et au début de Pogo, On avait vu ce clip là et c'est un clip live je crois. [02:46:14] Speaker C: Alors là je ne sais pas, je l'ai mis. [02:46:16] Speaker D: En fait, tu les vois en tournée, ils s'éclatent de ouf, ils se font des tattoos Fiddler, ils tattouent, tu sais, Owen Poke, leur public et tout. Et j'étais en mode, wouah putain c'est incroyable. Genre, j'ai envie que ma vie ce soit ça quoi. [02:46:30] Speaker B: Avec des règles d'hygiène douteuses. [02:46:33] Speaker D: Il n'y a pas de gants, il. [02:46:34] Speaker B: N'Y a pas de désinfection. [02:46:36] Speaker C: C'est l'image qu'on a un peu du rock'n'roll quand même, le côté petit con et qui fait sa live comme il l'entend quoi. [02:46:42] Speaker D: En claquant les portes, c'est ça. Et pour le coup je me suis dit vas-y c'est un clip qui est genre pas, il n'y a pas une réale de dingue mais ça m'a quand même marqué. Et du coup voilà c'est pour ça que j'ai choisi ce clip là. [02:46:57] Speaker C: Tout est bon ? [02:46:59] Speaker D: Non, j'ai encore envie de parler en fait. [02:47:02] Speaker C: De toute façon, c'est pas la fin de l'émission, mais... Allez, c'est parti, feed là ! Hey, Westrock ! Hey, Westrock ! [02:47:06] Speaker A: Hey, Westrock ! Contrôle qui passe dans ma tête. [02:50:33] Speaker D: Et il porte quelques morceaux de la L.A. Weekly. [02:50:36] Speaker A: C'est un désastre. À l'excitante nouvelle locale ce soir, dix invités chanceux ont été invités à Mr. Hawthorne's extravagant estate, Billionaire Tycoon, demain soir pour dîner. [02:51:00] Speaker C: Beaucoup d'entre vous savent que Mr. [02:51:01] Speaker A: Hawthorne est un personnage sombre et très rarement permet aux gens d'être vus sur sa propriété de Whispering Heights. Félicitations aux dix d'entre vous qui ont eu la chance d'obtenir l'invitation. Je suis sûr que vous êtes là pour un vrai déjeuner. [02:51:14] Speaker D: Dessert à côté. Je ne pouvais pas être plus jaloux de moi-même. [02:51:17] Speaker A: Et de retour à vous. You know it's sad but true and you're barely sorry Cause you're a bad excuse for a safe fake story C'est la fin de cette vidéo, merci d'avoir regardé ! c'est bon It's on me, I made it seem That even now I'm wanting you more I'm sorry, apparently It's never gonna be like before But I still get lost in the feeling Of us both eyes up at the ceiling And what kills me the most is we've always known It was all just make-believe Because you're a bad excuse for a safe face story I play the conversation back in my mind Falling for the same shit every time I'm begging to the truth when you're tumbling with your. [02:53:19] Speaker D: Face The right fix for the wrong. [02:53:20] Speaker A: Mistake Make it fall, got the wrong Shut the door, I don't know What the fuck are we even fighting for? Stack it up, and you'll make it. [02:53:28] Speaker D: Hard to leave. [02:53:47] Speaker A: C'est pas vrai ! C'est pas vrai ! Bang Bang ! [02:54:44] Speaker C: Pour notre ami Laurent. C'était bien, j'ai bien aimé. [02:54:47] Speaker D: Ah ouais, c'est vrai ? [02:54:49] Speaker C: C'est vrai, t'as bien aimé ? Ben oui, voilà. Si t'as besoin de temps en temps d'intervenant au niveau des chœurs, si vous enregistrez un jour des chansons, on veut bien participer. Vous mettrez juste nos noms en disant les deux débilos de bing bing. [02:55:03] Speaker B: Je me suis dit, on devrait demander à plein d'artistes de faire des bing bing et on les utiliserait pour des transitions. [02:55:09] Speaker C: Oui, pourquoi pas. [02:55:10] Speaker B: Alors on en a un, il nous l'a fait gratos. Il s'est bien fait avoir. [02:55:14] Speaker D: C'est bon vous l'avez enregistré j'espère ? [02:55:15] Speaker B: Bah bien sûr. [02:55:16] Speaker C: Oh merde on avait oublié d'allumer les caméras ! [02:55:24] Speaker B: Les mecs parlent comme des cons depuis. [02:55:27] Speaker C: En tout cas, voilà, c'était State Chums qu'on vient de regarder. J'aime beaucoup ce groupe parce que c'est mignon, c'est rigolo, c'est du pop-punk, on aime bien. Et voilà, est-ce que tu as envie de dire quelque chose ? Parce qu'on va quand même se quitter un moment. Non, c'est bon, t'en as assez parlé. J'allais dire que t'en as plein la pachole, mais ça se dit pas, donc je le dis pas. [02:55:45] Speaker D: Tu m'as dit jusqu'à 22h, il est 21h57. Bah oui, ça fait 22, quoi. [02:55:52] Speaker B: Parce qu'après il faut aller au Morito. [02:55:53] Speaker C: Donc... Ouais, alors, même si c'est un peu loin, désolé. À moins que vous nous envoyez le taxi. Si vous payez le taxi aller-retour, on est chaud. Et que tout le reste est gratos. Quand je dis tout le reste, attention, je demande beaucoup de choses. [02:56:05] Speaker B: Par contre, ne vous inquiétez pas, vous avez un spectacle en échange. Et pas n'importe lequel ! [02:56:10] Speaker D: Il faut regarder les réponses. Ça se trouve, ils vont répondre. [02:56:14] Speaker C: Non, mais personne ne paiera jamais 100 balles de taxi jusque là-bas. En plus, pour nous payer un coup à boire et... [02:56:21] Speaker D: Un mojito, en plus. [02:56:21] Speaker C: Et puis revenir. [02:56:23] Speaker D: Ah bah voilà. [02:56:26] Speaker C: Parce que je commençais à me dire, putain, ça se trouve, il va dire oui et là je vais être dans la merde. Bah tu peux y aller ! [02:56:32] Speaker D: Bon bah merci beaucoup pour l'invite. [02:56:35] Speaker C: Non mais merci en tout cas d'être venu, on espère bien évidemment te revoir ainsi que tes collègues. [02:56:41] Speaker D: Grave. [02:56:43] Speaker C: J'allais dire soon. Bientôt. [02:56:46] Speaker B: Pardon, j'ai parlé français. [02:56:48] Speaker D: On a parlé de la grosse pomme. [02:56:51] Speaker C: J'adore New York. [02:56:52] Speaker B: J'adore ! [02:56:53] Speaker C: Non mais j'adore, oui, alors je sais que je vis souvent dans un restaurant français là-bas, mais bon, la bouffe est très bonne dans ce restaurant. L'ail ou la cuisse, je ne sais pas si ça existe encore mais... [02:57:04] Speaker B: J'en doute pas une seule seule fois. [02:57:04] Speaker C: Et puis il y a des portraits de Louis Finesse, ça donne toujours envie. Mais cette ville, moi, me donnait une patate d'enfer. Je remercie d'ailleurs mon ami Christy qui me donnait toute cette énergie. [02:57:17] Speaker B: Une pro de la patate. [02:57:18] Speaker C: La frite ! Et là c'est son petit côté belge. Donc oui, plus en a dire, on peut te suivre sur ton Instagram perso donc, pour voir tes peintures. [02:57:34] Speaker D: Simon, Pogo, Carcrasher. Et puis voilà, puis pour l'avenir de Pogo. [02:57:40] Speaker C: Bon, de toute façon ça va venir. [02:57:41] Speaker D: Ça va venir ce mois-ci de toute façon. [02:57:43] Speaker B: Ah ouais, comme on a des précisions. [02:57:47] Speaker D: L'avenir, ce sera ce mois-ci. [02:57:52] Speaker B: L'avenir est proche finalement. [02:57:55] Speaker C: On m'a dit tu sais Pierre quand on vit le temps passe de plus en plus vite j'ai fait ouais ça va t'es plus jeune que moi donc ta gueule donc moi si ça veut dire que dans quelques secondes hop ce. [02:58:04] Speaker B: Sera l'avenir comme ça mon gars. Vous avez pas besoin d'un snapper ? [02:58:12] Speaker D: Bah viens ! Franchement viens en live ! [02:58:15] Speaker C: « Ferme ta gueule Pierre ! » « Ah ouais, t'entends, je claque bien des doigts ! » « Non, mais parle pas pendant. [02:58:23] Speaker B: Que tu joues ! [02:58:26] Speaker C: » « Hop là là ! » « Alors, il m'a dit ! » Juste pour vous redire cette émission, bien sûr, si vous avez loupé le début ou la fin, pas de panique, vous aurez le podcast sur Spotify ou toutes les autres plateformes, bien évidemment. Mais Spotify, vous pouvez vous abonner, c'est facile. Et puis en plus, ça nous fait des stats, donc ça nous soutient. Si vous avez envie de nous soutenir, mais que vous n'avez pas le sou, ce n'est pas grave. Vous pouvez laisser des commentaires, vous pouvez vous abonner à notre chaîne YouTube. Vous êtes quand même genre 50 000 à regarder les trucs et on a 4000 abonnés, ce qui est très bien. Je vous remercie les 4000. Mais il y a les autres. Vous pouvez juste cliquer sur vos abonnés. C'est gratuit. Ça ne va pas vous envahir parce que vous n'allez pas avoir des notifs tous les quatre matins. Tout va bien. Mais nous, ça nous soutient. Ça nous permet de démarcher des sponsors qui, du coup, se diront ah bah oui, ils ont quand même des abonnés, des gens qui les suivent. C'est juste ça. C'est important. Ce ne sont que des chiffres, je sais. Mais pour eux, c'est beaucoup. Et puis nous, ça nous permettra de continuer à exister puisque pour l'instant, L'argent que vous avez versé a déjà servi, je tiens à le dire quand même, pour le montage. Toutes les vidéos que vous avez vues sur YouTube, justement les shorts, ont pu être payées par vos dons et continueront à l'être le mois prochain. Le mois d'après, par contre, ça va commencer à devenir un peu plus compliqué. [02:59:28] Speaker B: Ouais, on verra. [02:59:29] Speaker C: Mais non. Juste, si vous avez envie de nous aider, on peut toujours le faire. On verra. [02:59:32] Speaker B: De toute façon, les gens, ils s'en foutent. Toi, ça te dérange pas si l'émission, elle s'arrête ? [02:59:37] Speaker D: Moi, je serais triste. [02:59:38] Speaker B: Ouais, voilà. [02:59:38] Speaker D: Quand même, je serais triste. [02:59:40] Speaker B: C'est pas si grave. [02:59:40] Speaker C: En plus, la bière, elle gratte aussi, sinon. [02:59:44] Speaker B: Ouais, alors voilà pourquoi il nous faut de l'argent ? [02:59:47] Speaker C: Parce qu'on a que des pochasses qui viennent. [02:59:54] Speaker B: C'est avec la bière, bon. [02:59:56] Speaker C: Qu'est-ce qu'il se passe ? [02:59:58] Speaker D: Ah, ce sera incroyable. [03:00:02] Speaker C: Mais ça c'est dangereux parce qu'il y a beaucoup de gens qui ne jouent pas quand même. [03:00:05] Speaker B: Alors, il y a un autre truc qu'on peut dire, c'est qu'on va... Normalement on refait les Restless Awards cette année ? [03:00:10] Speaker C: Oui. [03:00:11] Speaker B: Et du coup... [03:00:11] Speaker C: Je travaille dessus, bon je suis pas. [03:00:13] Speaker B: Fan de... Donc voilà, normalement ça sera un peu simplifié pour eux. Mais je réfléchissais, est-ce qu'en janvier on pourrait pas faire les Restless Awards avec du public ? C'est-à-dire pas ici. Combien de public ? [03:00:24] Speaker D: Parce que si tu mets deux personnes. [03:00:25] Speaker B: Derrière... Non mais pas ici, ça fait. [03:00:27] Speaker D: Un peu de public. [03:00:29] Speaker C: Ce serait un peu chelou, tu vois. [03:00:32] Speaker B: Est-ce que tu veux venir faire le public ? Je suis. [03:00:40] Speaker C: Chaud, moi. BANG BANG ! Tu vois, je l'apprends en t'écoutant. [03:00:44] Speaker B: Je réfléchis beaucoup, Pierre, je te dis pas tout. [03:00:47] Speaker C: Oui, j'espère. [03:00:47] Speaker B: Parce qu'on se parle pas, c'est tu dors trop. [03:00:51] Speaker C: C'est vrai que je dors énormément. Le mois de novembre c'est un mois où je dors beaucoup. Petite marmotte. Au mois de décembre après je suis un phénix. Non mais voilà, si vous avez envie de nous aider, de toute façon tout est sur le site restless.com et restlss.com et puis suivez-nous sur les réseaux. N'hésitez pas à nous dire aussi les choses qu'on a à corriger parce qu'on est preneurs, on n'est pas non plus contre des conseils, des idées, des tâchos. [03:01:12] Speaker B: Tant que c'est dit gentiment. Les gens qu'on dit qui ferment leur gueule les vieux cons, bon... [03:01:18] Speaker C: Alors il y a eu ce week-end... [03:01:20] Speaker D: Il y a des haters un peu ? Bien sûr, vous avez vos top... Moi. [03:01:24] Speaker B: J'En ai eu un excellent, qui quand Pierre a fait l'appel au don, a dit ouais, quand on voit Ben à New York avec Marc Maggiore, il n'y a pas de raison qu'on lui donne de l'argent. [03:01:36] Speaker C: Ah wow. [03:01:38] Speaker B: Sans savoir pourquoi j'étais là-bas, ni comment, ni pourquoi. [03:01:40] Speaker D: Ils regardent si t'as des nouvelles pompes et tu dis ah putain les dons ils sont allés dans ces pompes là, let's go. [03:01:45] Speaker B: Alors que pas du tout. Alors sachez, on peut dire que je ne suis même pas dans l'association Restless, donc je n'ai rien à voir avec... [03:01:54] Speaker C: Dans cette salle il n'y a que moi. Il y a Didier ! [03:01:57] Speaker B: Il y a Didier qui est le. [03:01:58] Speaker C: Secrétaire et puis il y a Béat qui est la trésorerie. On est trois. Vous avez tous les statuts sur internet. [03:02:04] Speaker B: Je ne peux pas profiter de cet argent. [03:02:06] Speaker C: Ah bah nous non plus. C'est juste qu'on peut payer les factures mais on ne peut pas en profiter nous personnellement. Parce qu'il faut qu'on donne à l'État aussi nos dépenses. [03:02:14] Speaker B: C'est une association loi 1900. [03:02:16] Speaker C: Voilà exactement. [03:02:17] Speaker B: Ça c'est clair. C'est à but non lucratif. [03:02:19] Speaker C: Exactement. Ça veut dire que nous on ne peut pas se payer. C'est tout. Non mais voilà et qu'est-ce que je voulais dire d'autre je ne sais plus. Oui les haters, si on a eu des trucs, on a eu des petites perles quand même. Généralement je les laisse sur les réseaux parce que moi je trouve ça bien, parce que je vois qu'il y a des gens et je vois aussi les autres parce qu'il y a des trucs qui sont quand même très amusants parce que je me dis ah ouais ça va loin quand même. [03:02:53] Speaker D: Tu peux toujours supprimer mais... Ouais, j'en. [03:02:55] Speaker C: Ai supprimé dernièrement parce qu'il y a une personne qu'on aime beaucoup qui a été insultée mais vraiment de façon assez horrible sur des choses qui ne sont pas... Enfin, tu sais pas. Genre des gens qui commencent à te dire va te laver, t'es une dégueulasse, connasse. [03:03:12] Speaker D: Si vous mettez des commentaires comme ça sur moi, ce sera supprimé, voilà. [03:03:17] Speaker C: Alors voilà, les artistes qui sont déjà venus ici, quand vous avez des commentaires comme ça, comme je ne regarde vraiment plus, juste envoyez-moi un message privé, ne taggez pas Juste Rustem, je ne le verrai pas quand même. Donc voilà, mais c'est amusant, ça fait partie du jeu. Merci en tout cas à vous toutes, à vous tous d'avoir été là, merci encore une fois à toi. [03:03:34] Speaker D: Merci, c'était trop cool, et puis on reviendra avec les Pogos du coup. Bientôt, prochainement. [03:03:39] Speaker C: On s'organisera correctement, voilà, on va laisser le temps faire son travail. [03:03:43] Speaker B: On fera le plein de bière. On a bien compris. [03:03:49] Speaker C: Et que dire d'autre ? Passez une bonne semaine, bon courage, demain c'est lundi... Ah non, c'est férié demain ! Ah, c'est l'armistice, c'est férié pour tout. [03:03:56] Speaker D: Le monde ou ? [03:03:57] Speaker B: Je sais jamais quand est-ce que c'est... De toute façon, les jours fériés, j'en ai pas eu depuis des années, moi. [03:04:03] Speaker C: Bah moi c'est tous les jours, donc je sais plus où... Non mais voilà, bon courage, en tout cas, quand vous allez reprendre le boulot, si demain c'est férié pour vous, profitez bien de ce jour off pour écouter de la musique, faire vivre le rock'n'roll, et puis, qu'est-ce qu'il y a Marcel ? C'est férié. Oui, je sais, c'est l'armistice, mais est-ce que c'est férié pour tout le monde ? Et bah voilà, bah dormez. [03:04:22] Speaker B: Vous avez vu, on a un assistant qui parle avec une voix de robot. Selon Google, oui. [03:04:28] Speaker C: Je m'appelle Marcel, je suis un robot. Les machines, ça coûte cher. Bon allez, je dois vous quitter avec un clip qu'on m'a conseillé. Vous savez, je vous demande assez fréquemment de m'envoyer vos clips, alors il y en a plein en attente, donc voilà, ne vous inquiétez pas si vous l'avez envoyé et que ce n'est pas encore diffusé. J'ai fait un listing pour ne pas oublier parce que je sais que sinon ça passe la trappe. Mais j'en suis à Jim, J-I-2M, avec le nouvel Inquisiteur. Alors on m'a demandé de passer ce clip et c'est vrai que c'est plutôt bien et que je me suis dit, il faut partager un petit peu vos créations. Alors je rappelle un truc, là c'est bien. Ne prenez pas à ce que je vais dire pour ça. Mais que ce soit bon ou mauvais, je le passerai. Donc ne vous gênez pas, c'est le titre de fin. Donc faites-vous plaisir si vous avez un petit groupe, que vous avez fait un petit clip, etc. Vous me l'envoyez et normalement, ça devrait passer au bout d'un moment. Voilà. [03:05:14] Speaker B: Profitez-en parce que bientôt, peut-être qu'on fera voter pour ça. [03:05:18] Speaker C: Oui, c'est vrai. [03:05:19] Speaker B: Non mais je préfère le dire, donc allez-y. [03:05:21] Speaker C: Faut le faire vite quand même parce que ce sera assez bientôt. Bon des gros bisous, passez une bonne nuit, vive le rock'n'roll, sans vous la musique n'est rien, vous savez que c'est vous qui décidez de tout, notre existence, l'existence des groupes et les concerts. Bisous, au revoir. [03:06:17] Speaker A: Je jouis à des renseignements, je suis au service des systèmes Soldat de 1er rang, partisan PHL, FM, je combats sur les écrans Mon âme est la bande. [03:06:25] Speaker C: À l'ascenseur, mes munitions Je suis la justice sociale, prophète de la soumission Pour. [03:06:30] Speaker A: Draguer l'oppresseur à tout ce qui pose problème À coups de tweets d'acquisiteurs, je condamne et cancelle Personne, je suis le. [03:06:40] Speaker C: Garde-Fou. [03:06:49] Speaker A: Je condamne et j'absouve ! Non, personne ! Oui ou non, du bien ! Envers et contre vous ! Je suis le procureur du délit d'opinion J'étouffe le débat, la liberté d'expression Je suis l'amour, un supérieur leader Je suis dans tous les médias, je suis des services publics, genre on est là pour ça, tribunal hystérique ! Personne, je suis le gars ! [03:09:54] Speaker C: Un pour le caillou. Deux pour le spectacle. [03:10:01] Speaker B: Et voilà, c'était mon souvenir. Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant. [03:10:20] Speaker C: Disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. [03:10:23] Speaker D: Spotify, Deezer, Apple, Amazon. [03:10:26] Speaker C: N'hésitez pas à vous abonner.

Other Episodes

Episode 74

December 27, 2024 03:46:29
Episode Cover

#74 - AMELIE & GLADYCE en invitées

On termine l'année 2024 en beauté avec une superbe nouvelle, nous serons désormais 7 dans l'équipe de BANG! BANG! Eh oui, le petit plus...

Listen

Episode 65

October 25, 2024 03:36:35
Episode Cover

#65 - TIM BICKFORD (Ingénieur du son) en invité

Ne vous êtes vous pas déjà posé la question de savoir comment devenir ingénieur du son ? Comment réussir à partir en tournée avec...

Listen

Episode 33

February 02, 2024 03:36:09
Episode Cover

#33 - PAERISH en invités

Dans cet épisode, Matthias et Loïc du groupe français PAERISH viennent nous raconter s'ils sont vraiment Shoegaze, nous expliquer leur parcours, nous raconter des...

Listen