#50 - MADAM en invitées

Episode 50 May 31, 2024 03:23:54
#50 - MADAM en invitées
Bang!Bang! RSTLSS
#50 - MADAM en invitées

May 31 2024 | 03:23:54

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Show Notes

Dans cet épisode, nous avons le plaisir de recevoir le trio féminin Toulousain MADAM ! Un 1 er album "Thanks For The Noise" d'une très grande qualité et surtout, un groupe a voir sur scène ! Mais d'ou vient toute cette passion et cette force ? Réponse dans le podcast.

Ben, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:15] Speaker A: Bye ! [00:00:16] Speaker B: Bye ! Bienvenue à vous toutes et tous les bangers, bienvenue dans le live Twitch du dimanche soir, le célébrissime Bang Bang que vous êtes désormais très très nombreux et nombreux à regarder avec beaucoup beaucoup beaucoup de précision et de partage puisque vous avez envie de nous dire que nous faisons parfois des erreurs, enfin surtout moi, c'est normal, au moins ça fait parler. Bonsoir Ben. [00:00:42] Speaker C: Bonsoir Pierre. [00:00:43] Speaker B: Comment vas-tu ? [00:00:44] Speaker C: Très bien et toi ? [00:00:45] Speaker B: Non, écoute, ça va bien. C'est surprenant, mais ça va bien. [00:00:49] Speaker C: Bah écoute... Ah oui, j'ai de l'ail, ça y est. [00:00:52] Speaker B: Ah, encore ? [00:00:53] Speaker C: Ah oui. [00:00:53] Speaker B: Punaise, ça fait plus de 24 heures. Mais il y en avait vraiment beaucoup. Même moi, j'avais du mal à manger les salades. [00:00:59] Speaker C: Après peut-être que tu peux regarder un peu la caméra quand tu parles, même à moi. [00:01:03] Speaker B: C'est vrai ? [00:01:05] Speaker C: Regardez comme il est beau. Mais ce n'est pas le seul qui est beau. [00:01:08] Speaker B: Non, puisqu'il est à Enjoy The Noise ! Enjoy The Noise, motherfuckers ! Bonsoir ! Notre reine. [00:01:16] Speaker D: Notre reine de beauté. [00:01:19] Speaker B: Quoi, ça va ? [00:01:20] Speaker D: Ça va bien. [00:01:20] Speaker B: La semaine s'est bien passée ? [00:01:21] Speaker D: Oui, semaine un petit peu épuisante, mais s'est bien passée. Ça va bien aussi. [00:01:25] Speaker B: Généralement, quand une semaine est épuisante, le week-end est délicieux et on le termine à merveille avec bing bing, c'est comme ça. C'est le meilleur moyen, en vrai, pour apprécier la semaine qui arrive. [00:01:36] Speaker D: Le petit rendez-vous du dimanche soir. Faire un truc qui vous plaît le dimanche soir, ça aide quand même à bien faire passer la pilule. [00:01:41] Speaker B: C'est ça. En tout cas, ça permet d'oublier un petit peu lundi matin. Bon, vous le savez, dans cette émission, nous allons recevoir un groupe, un trio féminin qui s'appelle Madame, un trio qui nous vient de Toulouse. Ah, madame ! [00:01:57] Speaker E: Oui. [00:01:57] Speaker B: Elle était cette semaine en concert à la Maroquinerie. C'était extraordinaire. On en reparlera bien sûr avec elle. Elles ont sorti un album aussi que je vous conseille. Je sais que tu l'as entendu puisqu'on l'a écouté quand même plusieurs fois ensemble. [00:02:08] Speaker C: Je l'ai même écouté sans toi. [00:02:09] Speaker B: Merci. Tu l'as entendu ? [00:02:14] Speaker D: J'avais écouté le morceau qu'on a passé la semaine dernière, je me souviens qu'il était le morceau « Dance » qui m'avait bien plu. L'album par contre, je n'ai pas écouté. [00:02:21] Speaker B: Eh bien, tu vas voir, c'est très très agréable, on aura une autre titre à diffuser. Puis de toute façon, je conseille à tout le monde d'aller sur les plateformes parce que vraiment, il est énorme. C'est leur tout premier album en plus, donc c'est quand même une sacrée réussite. Bon, il y avait des zoupées avant, mais bon, il faut se concentrer sur l'album. On aura aussi un bouquin à vous offrir, un bouquin qui parle de rock'n'roll, qui nous a été offert par FX. On en parlera un petit peu plus tard, bon pas très longtemps finalement. Et puis des places à gagner pour Chelsea Wolf, je me sens que c'est dans une semaine, deux semaines, bon bref, on dira les dates. Je ne les ai pas sous les yeux là, comme je fais mal mon travail. C'est comme ça, j'espère que vous aussi vous avez passé un bon moment, si vous avez vécu quelque chose d'extraordinaire, n'hésitez pas à en parler avec tous les autres via le ch'meule ou en commentaire si vous regardez bien sûr la VOD sur notre chaîne YouTube que vous pouvez rejoindre en tapant point d'exclamation. Bang ! Qu'est-ce que j'allais dire d'autre ? Cette semaine tu as vécu des choses toi. [00:03:14] Speaker C: Ah bah j'ai vécu plein de choses cette semaine, c'est incroyable. [00:03:17] Speaker B: Mon absence. [00:03:18] Speaker C: Alors déjà, le fait que t'étais pas là la semaine dernière, C'était agréable de. [00:03:23] Speaker B: Ne pas avoir quelqu'un qui gueule ? [00:03:24] Speaker C: C'était différent. Après, on a nos petits moyens de communication. Mais on était très heureux, on s'est bien marrés. [00:03:35] Speaker D: On s'est bien marrés, on s'est fait notre petite sortie du jeudi soir. [00:03:41] Speaker C: Cette semaine en plus, oui. Je parlais de l'émission de la semaine dernière. Mais oui, on est allés ensemble. On est allés voir un concert jeudi soir. [00:03:49] Speaker B: Je suis désolé. [00:03:51] Speaker C: On allait voir un petit concert au Point Éphémère jeudi soir, et du coup c'était une artiste danoise-féroésienne, qui s'appelle Brimheim, B-R-I-M-H-E-I-M, et en première partie il y avait les Parisiens de Belleville. [00:04:14] Speaker B: Ah oui, ça s'écrit Béalvel. [00:04:16] Speaker D: En toutes lettres. Je les avais jamais vues et j'avoue que j'aime bien aussi. C'est plutôt mon kiff. [00:04:23] Speaker C: Moi je pensais qu'il allait aimer, mais au bout du premier morceau, je me retourne et il était comme ça. Il envoyait toute la mèche. [00:04:33] Speaker D: Un groupe qui se la joue un petit peu, un petit peu goat, etc. Et puis avec de la reverb partout. Moi, tu vois, il m'en faut pas beaucoup plus pour me mettre dans l'ambiance. [00:04:43] Speaker B: En plus, il y a un jeu de scène, il y a un truc... [00:04:45] Speaker C: Ouais, ils ont des masques un peu miroirs, comme des boules à facettes un peu. Et puis, il y a un petit écran avec BLVL, du coup, les lettres. Et il y a des images projetées, des images de leurs clips qui sont plutôt cinématiques. [00:04:58] Speaker D: Projetées avec... en masque d'écrêtage, comme on. [00:05:02] Speaker C: Dit, avec la forme des lettres. [00:05:07] Speaker D: Avec les lettres en pochoir sur la vidéo. [00:05:08] Speaker C: Tout à fait. Et puis, du coup, Brimhime, le groupe que je voulais voir, et du coup, je lui avais dit d'écouter la semaine d'avant, je lui disais Ça passe la semaine prochaine, tu veux pas y aller ? [00:05:20] Speaker D: Il m'en parle dimanche soir, j'écoute ça sur le chemin du retour et je fais ok, c'est bon, je suis conquis. [00:05:27] Speaker C: C'est vraiment cool, du coup c'est une chanteuse, je sais pas comment on peut dire ça, moi je trouve que c'est un mélange de plein d'influences. [00:05:35] Speaker D: C'est difficile à définir, de donner une direction globale on va dire. [00:05:39] Speaker B: C'est pas métal. [00:05:40] Speaker D: C'est pas metal, c'est rock et ça peut être alternatif. [00:05:44] Speaker C: En live, ça envoie plus. Il y a des petits passages où ça tabanne quand même un petit peu. [00:05:52] Speaker D: Il y a un groupe avec elle, il y a un guitariste qui... Franchement je pense que le rêve de sa vie c'était de jouer avec Van Halen. [00:05:59] Speaker C: Il envoyait du petit solo. Mais en même temps, je pense qu'il était un petit peu fan de Linkin Park parce qu'il avait des petits écouteurs comme le mec de Linkin Park. Mais non, super ambiance, superbe concert. C'était vraiment un bon concert. Ça chante de ouf. Ça joue et ça chante de ouf. [00:06:17] Speaker B: Tu m'as montré des vidéos, donc j'ai vu que... [00:06:19] Speaker C: Pour le coup, il n'y a pas de triche. et elle y va. Et autant les trucs calmes que les trucs énervés, elle y va, ça part, il y a des envolées encore plus que sur l'album. [00:06:32] Speaker B: Elle a une voix magnifique, c'est vrai. [00:06:33] Speaker D: Et le tout en plus avec une gestuelle qui est parfois très atypique, on va dire, avec des trucs très désarticulés. [00:06:41] Speaker C: Il y a des trucs, c'est un peu choquant. Et en même temps, moi le premier truc que je t'ai dit en sortant du concert, c'est aussi chelou que cool. [00:06:51] Speaker B: Et voilà, c'est vraiment ça. Quand tu m'as montré les vidéos, ça m'a pas choqué. On s'est dit la même chose en plus. Je t'ai dit « Putain, on dirait Catherine Ringer ». [00:06:58] Speaker C: C'est vrai que quand j'ai regardé la vidéo, je me suis dit « Ah, c'est un peu Catherine Ringer ». En live, t'as moins l'impression quand même que c'est Catherine Ringer. [00:07:04] Speaker B: Je sais pas totalement Catherine Ringer. [00:07:05] Speaker C: Ah bah le chant est mieux et le... [00:07:07] Speaker B: On aime beaucoup Catherine Ringer. [00:07:08] Speaker C: Bah bien sûr. [00:07:09] Speaker B: C'est pas le sujet. [00:07:11] Speaker D: Niveau chant, c'est quand même plus spectaculaire là, du coup. [00:07:13] Speaker B: Voilà. [00:07:14] Speaker C: Non mais très bon concert, on peut remercier Voulez-vous danser ? [00:07:18] Speaker B: Tout à fait, qui est le tourneur qui s'occupait de cette date-là et que vous pouvez rejoindre sur les réseaux sociaux si vous avez envie de voir ce qu'ils font. [00:07:24] Speaker C: Ils font plein de belles choses d'ailleurs. [00:07:25] Speaker B: De très très bons groupes et il me semble que tu as vu que Brimheim repasse cette année ? [00:07:32] Speaker C: Oui, mais je ne sais pas, c'est un peu chelou que ce soit dans la même salle donc je ne suis pas sûr de l'information mais c'est au mois de novembre donc de toute façon. [00:07:39] Speaker B: On a le temps. [00:07:41] Speaker D: On en reparlera, ne vous inquiétez pas. [00:07:43] Speaker B: Et puis c'est l'occasion surtout dans cette émission, même si ce n'est pas métal, d'en diffuser parce que la chanson est magnifique et que je me dis que ça peut plaire à beaucoup de gens. [00:07:51] Speaker C: Oui, je pense que ça peut plaire. Il y a un esprit alternatif. [00:07:53] Speaker B: Après, c'est un fait que tout le monde connaît, mais il n'y avait que moi qui ne connaissais pas. [00:07:56] Speaker C: Non, je n'ai pas l'impression que ce soit très connu. Mais voilà, je trouve que c'est une artiste très intéressante. Et écoutez, faites-vous votre avis. On verra si vous aimez. [00:08:07] Speaker B: Voilà, on va ouvrir avec ça. Je pense qu'on est tous OK. [00:08:09] Speaker D: Allons-y. [00:08:10] Speaker B: C'est parti. [00:09:59] Speaker A: C'est parti ! J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur. J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! [00:14:32] Speaker B: C'est génial! [00:16:03] Speaker A: Et maintenant j'ai porté le poids, j'ai porté le poids, de ta peine longuement. [00:17:09] Speaker B: C'est quand même des sacrés ceux-là. [00:17:11] Speaker C: Ils font des pubs. Il y avait de la promo sur les stéroïdes ou quoi ? [00:17:17] Speaker B: Azalea is dying à l'instant donc dans Bang Bang avec des épaules et des bras. [00:17:21] Speaker D: Il n'y avait pas des promos sur les peines de prison. [00:17:23] Speaker B: Oups. Le titre qu'on vient de regarder et d'écouter s'appelle Burlou. [00:17:27] Speaker C: Et non pas Ref au magicien d'Oz. Je donne l'info à Marcel parce qu'il n'était pas trop au courant apparemment. [00:17:34] Speaker B: C'est parce qu'il aime beaucoup Héloïse qui est dans le chat, dans le chemelé, il a envie de mettre en avant ses positions. [00:17:40] Speaker C: C'est vrai qu'il nous en parle souvent quand même. [00:17:43] Speaker B: Il aime beaucoup Héloïse, vous le savez. [00:17:46] Speaker D: Vraiment, je ne sais pas, il faut développer ? [00:17:48] Speaker C: Non, non, il faut que tu nous. [00:17:49] Speaker B: Parles par contre d'un groupe. D'abord, je voudrais parler de ce livre-là. Oh my rock ! Voilà, c'est un livre... C'est un livre qu'a écrit François-Xavier Goodman qui nous les a amenés et qui a proposé de vous les offrir parce qu'en fait il aime beaucoup le rock, il aime beaucoup l'émission et il a dit que ce serait intéressant de voir si les gens aiment ou pas, donc s'ils jouent ou pas, parce que c'est comme ça qu'on va le savoir. C'est un bouquin qui rassemble des groupes de rock et de métal, il y a un peu de tout. Ce n'est pas que Alternative Rock, il y a du U2 mais il y a aussi du Sepultura, de Greta Van Fleet je tombe dessus. Des illustrations exclusives, extraordinaires. Et à chaque fois il associe ses trois titres préférés de chaque artiste. Donc vous avez une petite playlist disponible sur Spotify si vous avez votre petit téléphone pour scanner. Ah c'est YouTube, ouais mais je crois que c'est Spotify aussi, bon bref. [00:18:44] Speaker D: Il y a des playlists Spotify à la fin. [00:18:48] Speaker B: Et en fait, voilà, ça regroupe après l'ensemble de tout ce qu'il a choisi et je peux vous dire qu'il y a de quoi écouter. C'est-à-dire que si vous savez pas quoi écouter, voilà, vous allez tomber forcément sur quelque chose de bien. Il y a des petites anecdotes, il explique d'où vient le nom du groupe, d'où ils se sont formés, etc. C'est plutôt intéressant, c'est un peu comme une bible de rock'n'roll et du métal, mais très simple. Comme ça vous pouvez apprendre des choses simplement, c'est pas compliqué. [00:19:11] Speaker C: C'est didactique et ludique. [00:19:13] Speaker B: Exactement. Tu l'as lu un petit peu. [00:19:15] Speaker D: Je l'ai coïté un petit peu, oui. [00:19:17] Speaker B: Non parce que c'est Enjoy The Noise qui valide, parce que c'est l'intellectuel ici. [00:19:21] Speaker C: Donc... Bah moi je sais pas lire déjà, donc... Bah moi j'ai regardé la pochette. [00:19:25] Speaker B: J'étais là, oh c'est beau ça ! Y'a des taches rouges ! [00:19:29] Speaker D: Bon vous savez, je sais pas lire non plus, y'a des jolies images, ça me suffit. [00:19:33] Speaker B: Oui, des jolis dessins. [00:19:38] Speaker C: C'est un manga ! [00:19:39] Speaker D: Tu l'as ouvert dans le mauvais sens en plus. [00:19:45] Speaker B: En tout cas ce bouquin, il nous en a ramené quelques-uns pour vous les offrir parce qu'il est très très gentil, on le remercie énormément et comme le bouquin, eh bien on a accepté de le faire. Donc si vous voulez repartir avec votre livre, eh bien il suffit de m'envoyer un petit mail à pierre-restesnes.com. [00:20:03] Speaker C: Ça fait que deux ans. [00:20:03] Speaker B: Pierre-restesnes.com. Oh bah même dans 20 ans ce sera toujours pareil. [00:20:08] Speaker C: Je m'en remets à compte parce que ça fait 20 ans qu'on se connaît. [00:20:10] Speaker B: Et quand j'étais à WFM je savais toujours pas parler dans un micro en plus. [00:20:12] Speaker C: Ah ouais et puis tu montrais mal les pochettes aussi. Mais c'était pas bref cette radio. [00:20:19] Speaker B: Bref voilà, pierre-resles.com, vous écrivez juste en objet de mail « je veux gagner le bouquin » parce que sinon je ne saurais pas pourquoi vous jouez. Mais voilà, c'est super bien fait et si jamais vous avez envie de le soutenir, il suffit de l'acheter. Il est disponible absolument partout et ça coûte pas cher du tout. Voilà, c'est très bien et c'est pour aider les gens qui écrivent des bouquins. Faut écrire et faut lire, ok ? C'est important. C'est moi qui dis ça mais je le fais pas. Il a écrit d'autres bouquins aussi mais je ne vais pas rentrer dans les détails. Jouez donc pierre-resles.com. Alors il y a deux sujets. Soit on commence par parler du nouvel album de Bring Me The Horizon, soit on fonce directement sur ta chanson. [00:20:56] Speaker D: Je n'aurais pas grand chose à dire sur l'album de Bring Me The Horizon. [00:20:58] Speaker C: On peut en parler vite fait. Qui l'a écouté ? Qui a aimé ? [00:21:05] Speaker B: J'avoue que j'ai aimé. [00:21:06] Speaker C: Moi je trouve ça bien. Mais alors déjà, on peut le dire qu'il y a quand même beaucoup de chansons qu'on avait déjà entendues en fait. [00:21:13] Speaker B: Oui, oui, il y avait déjà beaucoup de chansons. [00:21:15] Speaker D: C'est-à-dire que la moitié de l'album était déjà sorti. [00:21:18] Speaker B: Il y a beaucoup de chansons dans l'album quand même. Oui, oui. [00:21:20] Speaker C: Par ailleurs, il y a des interludes et des trucs comme ça. Je ne sais pas pourquoi ils appellent ça OST. Moi, ce que j'ai remarqué... Moi, je dirais déjà, revival un peu émo... Enfin, gros retour émo-pop-punk. [00:21:36] Speaker B: Les mots, c'est vrai que je me. [00:21:39] Speaker C: Suis dit, putain, là, la mèche, qui pleure ? Et puis, les titres de chansons, il y a quand même un côté Skyblog, Instagram, Myspace. Avec des majuscules, minuscules, majuscules, majuscules, minuscules. [00:21:50] Speaker B: Tu sais que la mode est un Eternal Revival. [00:21:53] Speaker D: Est-ce qu'ils ont poussé le vice à faire les couleurs de texte en dégradé, tu sais, comme à l'époque sur Skyblog ? [00:21:59] Speaker C: Non, je crois pas. [00:21:59] Speaker B: C'est mon prochain album, s'il te plaît, ne grimpe pas, putain. Oh, je spoil. [00:22:05] Speaker C: Je trouve que musicalement, il y a quand même eu un gros retour dans la période émo... C'est très pop-punk, je trouve. [00:22:13] Speaker D: Ils ont bien senti la tendance. [00:22:15] Speaker C: Quand je dis pop-punk, c'est vraiment... On est tous d'accord que genre Sum 41, c'est pas vraiment punk. Non. C'est de la pop. [00:22:24] Speaker B: Oui, c'est pop-punk. [00:22:24] Speaker C: Mais inspiré de... C'est quand même plus... Moi, je l'ai trouvé... C'est plus Sum 41 que Michael Jackson. [00:22:32] Speaker B: Après... Contrairement à Conan Cumbria. J'ai trouvé qu'il était très néo-metal, je sais pas pourquoi. Je trouve pas ça néo du tout. Parce qu'en fait, quand je l'ai écouté, je me suis juste dit, tiens, c'est un super bon album de Linkin Park. [00:22:55] Speaker C: Pour le coup, j'ai pas trouvé le côté Linkin Park, moins que d'autres trucs avant. Par contre, j'ai trouvé plus le côté planche à roulettes. [00:23:03] Speaker B: Ah ouais, moi pas tant que ça. Bon après, je me suis juste dit c'est bien, là ils ont fait le petit produit finement bien préparé pour que les gens puissent le consommer partout sur cette planète. Mais je suis content, j'adore ça. Les trucs très commerciaux, j'adore. [00:23:15] Speaker D: Bien marketé, bien en accord avec son époque. [00:23:17] Speaker C: Parlez pas tous les deux en même temps. Là, chacun veut garder sa petite idée, excusez-moi, mais il y en a qui écoutent ici et c'est pas agréable. Donc toi tu termines, toi tu commences après. [00:23:27] Speaker B: Non, c'est bon, j'ai terminé. [00:23:28] Speaker C: Non, tu redis, parce qu'on n'a pas entendu ce que t'as dit. [00:23:30] Speaker D: On n'a pas entendu, il y avait une salade de moule. [00:23:32] Speaker B: Il n'y avait pas une salade de moule. C'est bon aussi. [00:23:36] Speaker C: Bah oui, avec de l'ail. [00:23:40] Speaker B: Je tiens à m'excuser d'ailleurs pour toutes les personnes que j'ai croisées cette nuit. Non, mais moi je disais que j'adore les trucs très très commerciaux et que voilà, c'est très bien fait. Et cet album, je trouve que ça va les emmener encore plus loin, que ça peut être consommé par tout le monde. Chaque pays de cette planète peut consommer cet album. [00:23:53] Speaker C: Ok, très bien. Je disais que ça avait l'air d'être. [00:23:56] Speaker D: Moi je ne l'ai pas écouté en entier, mais ça avait l'air d'être le produit parfaitement marketé, on va dire, pour marcher à notre époque où il y a justement ce revival, on en parle tout le temps, des années 2000, fin années 90 justement, les côtés émo, punk à roulettes, etc. C'est quand même vachement dans la tendance du moment. [00:24:14] Speaker C: D'accord, donc vous avez dit exactement la même chose, très bien. On va pouvoir passer à la suite de l'émission, en tout cas moi je. [00:24:18] Speaker B: Trouve très bien, voilà. [00:24:19] Speaker C: Non, non, mais il est bien. [00:24:21] Speaker B: C'est vrai que le brimi, ça m'emmerde un peu, mais j'aoule, je le trouve très bien. [00:24:25] Speaker C: Moi, je ne l'écouterais pas, mais je pense que ça ne me dérange pas. Justement. [00:24:29] Speaker D: J'ai juste écouté par curiosité le morceau Limousine, qui a comme featuring la chanteuse Aurora, qui est une chanteuse que j'aime bien, qu'on aime bien à la maison. Et j'ai trouvé très gravement sous-exploité, alors qu'elle a quand même des capacités vocales bien au-delà de ce qu'elles utilisent. Après, j'ai eu vent aussi du fait que ce même morceau était fait à la base pour être en featuring avec Billie Eilish, ce qui pourrait expliquer pourquoi il a été composé d'une certaine façon, enfin je sais pas. [00:24:56] Speaker B: Ok, je ne savais pas. Parce que je ne me suis absolument pas renseigné, je l'ai écouté, c'est déjà pas mal. Bon bah on va continuer à t'écouter puisque monsieur a la science parfaite. [00:25:04] Speaker D: Ah oui, en plus je vais parler de trucs chiants. [00:25:06] Speaker C: On va nous parler de Paul Becher. [00:25:08] Speaker D: Paul Becher, les fameux pianos. [00:25:10] Speaker B: Oui, peut-être, je ne sais pas de quoi vous parlez. [00:25:13] Speaker D: Non, de Paul Bearer. [00:25:14] Speaker C: Ah je suis désolé, la bourde. Je me suis trompé de nom. [00:25:22] Speaker B: La boulette. [00:25:23] Speaker C: On va me taper sur les doigts. [00:25:25] Speaker B: Sur le bout du doigt. Qui est Paul Behrer ? [00:25:34] Speaker D: Paul Behrer, c'est un groupe de doom metal américain qui vient d'Arkansas, qui est le genre de groupe qui mêle à la fois la lourdeur et les sentiments. Toujours beaucoup de mélancolie chez Paul Behrer. Et là, ils viennent de sortir un album. Ils l'ont sorti la semaine dernière. L'album s'appelle Mind Burns Alive et qui est un album qui met cette fois très l'en face sur les sentiments avec une utilisation très forte du timbre de voix du chanteur qui a un timbre très mélancolique lui aussi. C'est une constante d'ailleurs chez Paul Behrer que c'est un peu lui, c'est un peu sa voix qui mène le truc. Très mélancolique, beaucoup axé sur les émotions, très plus-plus, quitte à éventuellement perdre un petit peu de la lourdeur du doom metal pour s'aventurer sur des terrains un peu plus sentimentaux. Parfois ça m'a fait penser à des trucs limite gothique, genre du vieux anathéma, des choses comme ça. Et vraiment, c'est un album que j'ai trouvé extrêmement beau. Juste, faut éviter de l'écouter un dimanche soir d'orage à Saint-Nazaire, parce que bon, il y a de quoi se tirer une balle, on va dire. [00:26:43] Speaker B: On aime beaucoup Saint-Nazaire. [00:26:44] Speaker D: Bisous à tous les gens de Saint-Nazaire. C'est quoi le gentilet Saint-Nazaire-Roi, je ne sais pas. [00:26:50] Speaker B: Je ne m'aventurerai pas là-dedans. [00:26:52] Speaker D: Toutes nos excuses aux habitants de cette charmante commune. [00:26:55] Speaker B: — Non mais ça va bien, en fait. C'est sûr que ça donne envie de se pendre, mais je... — Ça donne. [00:26:59] Speaker D: Envie de se pendre, de pleurer en même temps, et en même temps, on trouve ça beau, donc on est contents. Voilà. Paul Behrer, c'est le... Du coup... —. [00:27:06] Speaker B: Ah non, j'ai une autre image. — Oula. — Non mais continue, continue. — Je crois que je vois où. [00:27:12] Speaker D: Tu veux en venir, et non, on va pas aller sur cette erreur-là. [00:27:15] Speaker B: — Enfin, on est contents à la fin, quoi. [00:27:16] Speaker D: — On est contents... Normalement. Normalement. Voilà donc j'ai choisi un single de cet album, single qui fait l'ouverture de l'album justement, qui a été clippé et qui est un morceau qui je trouve est très beau. [00:27:30] Speaker F: Voilà. [00:27:31] Speaker B: C'est vrai qu'il est très très beau et j'espère que tout le monde va l'apprécier. En tout cas, encore une fois, n'hésitez pas à laisser vos commentaires. On est là à lire pendant les clips. C'est pas parce qu'on n'en parle pas qu'on ne le lit pas. Voilà, tout simplement. Soyez en direct, en live Twitch tous les dimanche soir. C'est ça aussi l'intérêt de nous suivre et d'être présent. Ben, je pense qu'il est temps de balancer ce clip. [00:27:48] Speaker C: Maintenant ? [00:27:48] Speaker D: Le morceau s'appelle When the Light Fades, il me semble. [00:27:54] Speaker B: Where the light fades. C'est ça ? Bon bah de toute façon on y va. C'est bon là ? [00:28:00] Speaker C: C'est là ? [00:28:01] Speaker B: Ouais ouais c'est super. [00:28:01] Speaker C: Maintenant je peux le lancer. [00:28:02] Speaker B: Nickel. [00:28:04] Speaker C: Nan faut que tu montes vers la caméra. [00:28:43] Speaker A: We are frozen here Picking at wounds We will not let heal Cannot face mistakes Too many fears Of what might. [00:29:09] Speaker B: Be. [00:30:10] Speaker A: Où es-tu ? oh non. [00:37:48] Speaker C: Don't want you to praise. [00:37:49] Speaker E: Me Don't want you to stay. [00:39:39] Speaker B: Oh que c'était bien ça, j'ai bien aimé. Ça s'appelle donc Rendez-vous avec Downcast. Alors juste, j'ai dernièrement réécouté le premier album de Deftones, il y avait un petit truc qui me rappelait ça. Et j'ai eu l'impression d'avoir le clip, alors attention c'est très différent, mais dans l'idée. Alors non, j'ai pensé à Babylone Zoo. [00:39:59] Speaker D: Spaceman de Babylone Zoo. [00:40:03] Speaker B: Voilà, je vous conseille de re-regarder le clip. Alors attention, c'est juste pour les images qu'ils font comme ça. [00:40:09] Speaker D: Les images qu'ils font bleu bleu bleu. [00:40:11] Speaker B: Franchement j'ai kiffé, j'ai trouvé ça chouette. Très années 90 quand même. [00:40:14] Speaker D: Très années 90, c'est même un petit peu surprenant de la part de ce groupe parce que Rendez-vous c'est un groupe français, déjà. C'est un groupe qui fait du post-punk surtout en fait. Ils avaient sorti un premier album il me semble en 2018 qui était pour le coup très post-punk et là ils viennent de sortir un album qui s'appelle Downcast, comme le morceau du coup. qu'on vient d'écouter. Il est sorti ce vendredi. [00:40:39] Speaker B: C'est tout nouveau. [00:40:40] Speaker D: Et puis, cette fois-ci, quelque chose de beaucoup plus alternative rock. Forcément, ça fait penser aux années 90-2000, ne serait-ce que dans l'esthétique du clip qui accompagne bien. Ils ont poussé plus loin le potard de saturation des guitares, il y a un côté presque indus, je voyais, je crois que c'est Boulinosaur dans le chat qui parlait de Stabine Westward, pourquoi pas, on est un petit peu sur ce registre-là. Je trouvais ça plutôt surprenant de leur part, plaisant, surprenant mais plaisant. [00:41:12] Speaker B: Je sais pas pourquoi, j'ai vu une guitare avec un oreiller dessus. Voilà. [00:41:19] Speaker D: Pour l'étouffer. [00:41:20] Speaker B: Non, pour le son un peu étouffé, comme ça... On a oublié de dire quelque chose. Excusez-moi mesdames, mais bonne fête maman ! [00:41:30] Speaker C: Eh oui, bonne fête à toutes les mamans ! [00:41:34] Speaker B: Les mamans sont formidables parce que toutes les mamans subissent beaucoup de choses. [00:41:37] Speaker C: Et si vous n'êtes pas encore maman, allez-y ce soir. [00:41:42] Speaker B: Ou si vous n'avez pas envie d'être ma mort, vous avez raison aussi. [00:41:45] Speaker C: On a oublié autre chose. [00:41:46] Speaker B: On a oublié quoi ? [00:41:48] Speaker C: Holy Danger. C'est quoi ? [00:41:50] Speaker D: Sacré danger. [00:41:53] Speaker B: Sacré danger. [00:41:54] Speaker C: En rentrant du concert de Brimheim, jeudi, sur le quai à Jaurès, de l'autre côté du métro, il y a des gens qui m'ont fait... BING BING ! Et ils avaient la vidéo sur le téléphone. Il y a des gens qui regardent BANG BANG dans le métro ? Je ne sais pas s'il a pas juste lancé la vidéo pour vérifier que c'était bien moi. En tout cas il m'a montré l'écran et ça tournait. Et du coup voilà, alors ils ont un groupe, c'est deux jeunes garçons, ça s'appelle Holy Danger, tout attaché. Allez les écouter sur Spotify. Bon, c'est pas trop macabre, mais c'est bien fait. [00:42:42] Speaker B: Je vais l'écouter aussi, parce que je. [00:42:43] Speaker C: Sais pas à quoi ça ressemble. En tout cas, c'est très gentil. Comme quoi, malgré tous les gens qui nous insultent, qui disent qu'on est vraiment des vieux cons et tout, il y a des gens qui nous disent que c'est bien ce qu'on fait, qu'il faut continuer. C'est dingue, c'est dingue. [00:42:56] Speaker B: Je croyais que tout le monde nous. [00:42:57] Speaker C: Détestait, puis finalement, il y a des gens qui aiment bien l'émission. [00:42:59] Speaker D: Quand il s'agit de venir nous parler en face, là, c'est des gens qui aiment bien. [00:43:02] Speaker C: Ah ouais c'est ça. [00:43:02] Speaker B: Il y a pas mal ça aussi. Ou alors il te fixe. J'ai eu ça aussi quand je suis allé déjeuner la dernière fois, j'ai pas remarqué moi mais il y a une. [00:43:11] Speaker C: Copine qui m'a dit... Peut-être que t'avais un peu de patate sur la joue. [00:43:14] Speaker B: Ah c'est pas faux. [00:43:15] Speaker D: Un morceau de patate sur la joue. [00:43:16] Speaker C: Ou de la rillette sur le pif. [00:43:18] Speaker B: Peut-être aussi. Vous savez quoi ? Je tiens à faire juste une micropause. Parce que c'est quoi maintenant Ben ? [00:43:27] Speaker A: C'est l'heure du Flash Back News ! Oh yeah ! [00:43:31] Speaker B: Et ce soir encore une fois nous avons pas mal de belles choses. N'hésitez pas à réagir en direct ou en commentaire de la VOD des news qui est donnée tous les lundis. [00:43:39] Speaker C: On vous rappelle que Flash Back News c'est vraiment du divertissement. On est là pour faire des blagues sur l'actualité de la semaine passée. [00:43:46] Speaker D: Nous sommes le voici du métal avec plus de jeux de mots dedans. [00:43:48] Speaker B: De toute façon, c'est le principe de l'émission, c'est d'être là pour aussi s'amuser et passer du bon temps. C'est pas pour être des scientifiques et être là et dire oui alors moi j'ai la vérité. [00:43:55] Speaker C: Bien sûr, de toute façon on sait pas lire donc... [00:43:58] Speaker B: Je sais plus quels commentaires j'ai vus d'ailleurs sur nos réseaux sociaux qui disaient ah ouais bah regardez-moi ces mecs qui pensent tout savoir et qui en fait ne savent pas. Non je ne sais vraiment pas. Pour le coup c'est une vérité. [00:44:08] Speaker C: Et ils ont dit qu'on avait jamais rien fait de notre vie aussi. Ça c'est pas faux. [00:44:11] Speaker B: Putain c'est con, à mon vieillage. [00:44:14] Speaker C: Toutes ces années où j'ai travaillé, puis finalement ça n'existe pas. Ça compte pour rien. [00:44:23] Speaker B: Alors c'est bien le bon côté. On va commencer avec les Deftones. Oh j'ai pas bon. [00:44:31] Speaker D: Tu veux que j'aille te le chercher ? [00:44:33] Speaker C: C'est pas grave, c'est pas grave. [00:44:35] Speaker B: Alors vous le savez, quand ils sont en tournée, parce qu'ils font une date en fait en Espagne, ils vont être le 28 mai à Madrid pour un concert, les Deftones. Seul concert, je ne sais pas comment ça se fait... Oui, parce que Stephen Carpenter, vous le savez, a dit je n'ai plus envie de voyager à l'international. [00:45:01] Speaker C: Donc on ne le reverra plus jamais. [00:45:02] Speaker D: Il a peur de tomber de la terre, je crois. [00:45:04] Speaker B: Alors non, il a dit, alors là c'est complètement ouf, je vais essayer de résumer parce que j'ai pas noté la phrase exacte, mais il a quand même dit oui, quand j'étais en avion, je regardais d'un hublot à droite et au hublot à gauche, je n'ai pas vu que la terre était ronde parce que ça avait l'air d'aller très loin. Et là tu fais... Ah mais c'est lui qui est loin. C'est lui qui est très très loin. Il va falloir un ralenti. [00:45:29] Speaker C: En fait il veut surtout plus prendre l'avion parce que c'est-à-dire qu'il peut pas fumer pendant dix heures. [00:45:34] Speaker B: Tu sais quoi ? C'est exactement ce que je me suis dit. Il sait que c'est pas légal partout. Donc du coup le mec reste vraiment chez lui juste parce qu'il veut bédave quoi. [00:45:41] Speaker C: Ouais mais il y a des chances. Tu peux pas bédave dans l'avion. [00:45:44] Speaker B: Oui, bah, Dieu merci, mais... Bédave, putain... [00:45:52] Speaker D: Pour les jeunes éventuellement qui nous regardent, ça signifie... Ça signifie fumer un chichon ! [00:45:57] Speaker B: Putain, c'est vrai, chichon. Alors, du coup, c'est... Alors là où je me dis que c'est une bonne nouvelle, c'est que c'est Sean Lopez qui va le remplacer, enfin qui va le remplacer, qui va être là en plus, parce qu'il me semble qu'il y a quand même l'autre guitariste qui est là. [00:46:14] Speaker C: Alors maintenant il y a déjà toujours deux guitaristes, même quand Carpenter est là, il y en a un autre. Et là du coup, c'est Sean Lopez, donc guitariste de phare et co-crocise, qui va être sur la tournée, donc c'est des amis de longue date. [00:46:30] Speaker B: Et ça je me suis dit, en fait, ça se trouve, je me suis dit, putain c'est quand même bien fait la vie parce que l'autre comme ça il reste dans son coin, Au moins l'Europe, ça va être nickel pour moi. [00:46:37] Speaker C: Et l'autre truc qui est bien, c'est qu'il y a la tournée européenne de Cross-Ease qui se trouve qui commence dans la foulée, donc l'autre, ça lui paye son billet d'avion. Il se fait payer par Dave Towns pour venir jouer avec Cross-Ease. [00:46:48] Speaker D: C'est quand même le bon plan, l'optimisation. [00:46:51] Speaker B: En tout cas, c'est une bonne nouvelle. [00:46:53] Speaker C: Avec le bilan carbone aujourd'hui, il faut optimiser. [00:46:57] Speaker D: Je suis d'accord, c'est un bon bilan. [00:46:59] Speaker B: Ça va, les vieilles, là ? [00:47:01] Speaker D: Non, on n'a pas fini alors. [00:47:06] Speaker C: Sinon, des nouvelles de Bad Omens ? Pas de bonnes nouvelles, des mauvaises nouvelles. Des Bad Omens nouvelles, c'est un mauvais présage. [00:47:16] Speaker B: C'est chouette, c'est bien la vie ! [00:47:18] Speaker C: C'est drôle cassé la traduction ! [00:47:20] Speaker B: Mais voilà, la tournée européenne et britannique a été annulée pour un épuisement extrême du chanteur Noah. Amid Noah Sébastien. [00:47:32] Speaker C: Un des plus grands chanteurs de sa génération d'après les messages qu'on a eu. [00:47:35] Speaker D: Sur notre... D'après les réseaux sociaux. [00:47:38] Speaker B: Je comprends pas pourquoi d'ailleurs il appelle pas Amid et qu'il appelle tous Noah. [00:47:40] Speaker C: Moi j'ai ma petite idée mais bon... Je rappelle qu'il vient des Etats-Unis. [00:47:49] Speaker B: Alors ils disent que cette décision vise à préserver sa santé et assurer la durabilité à long terme du groupe. Donc là tu dis, attends, il doit vraiment être dans un mauvais état quoi. Parce que si le groupe est prêt à se pliter à cause de ça, c'est quand même dommage. Il cite, je cite une phrase, « Cela a mis mon esprit et mon corps en conflit, de manière à nuire à ma santé sur la route. » Alors, on appelle ça la drogue. le craquage et parfois peut-être des actions qui sont pas cool. [00:48:17] Speaker C: Non mais après, du coup, l'article que j'ai lu, ils disent oui, depuis le début de l'année, il y a déjà eu plus de 30 dates. J'ai fait un calcul rapide. [00:48:27] Speaker B: Ils sont jeunes quand même, ils ne sont pas mégadés. [00:48:30] Speaker C: 30 dates depuis la rentrée. On est en juin bientôt. [00:48:36] Speaker D: Ça fait un concert par semaine. [00:48:41] Speaker C: Il y a beaucoup de groupes qui le font. Après, je pense qu'ils ont tout enchaîné. Je pense aussi qu'ils ont explosé. et que je pense que gérer le succès, je pense qu'ils n'étaient peut-être pas prêts et peut-être qu'il y a un côté... un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. [00:49:12] Speaker B: Tout à fait. On n'en dira pas plus mais voilà, on espère bien sûr qu'il aille mieux et que tous les fans puissent être récompensés de merveilleux concerts. On remarquera que c'est souvent l'Europe qui part à la trappe. Ils voulaient Bédaveux aussi. Avec Stephen Carpenter. Ils vont faire un podcast. [00:49:30] Speaker C: Les Américains, quelle bande de Bédaveurs. [00:49:34] Speaker B: Sinon Metallica, James Hetfield plus précisément, il dit qu'il a profité de son temps libre après la tournée de 2023 pour écrire beaucoup beaucoup de musique et jouer quotidiennement de la guitare. Jusque là on se dit super, merci de l'info, c'est vraiment sympa. Il a apprécié avoir des activités de ski. J'ai des infos, excusez-moi. [00:49:55] Speaker C: On est voici ou on l'est pas ? [00:49:56] Speaker D: Est-ce qu'il s'est retrouvé trapped on the rice ? [00:49:58] Speaker B: J'espère pas pour lui. Sinon voilà, en fait, c'était juste pour dire qu'il y avait des morceaux qui avaient été écrits, que lui il était super content, qu'il a été super productif. Il dit « mon cerveau ne s'arrête jamais de marcher ». Je crois qu'il a lancé sa marque. [00:50:14] Speaker C: De snowboard aussi, non ? Et lightning ? [00:50:17] Speaker B: Comme ça il peut ride the lightning ? Et j'avais juste envie de vous lire une petite partie du texte de son discours. C'est que ce soit pour échapper au quotidien ou autre, j'adore ma petite salle de musique au sous-sol. Ma petite salle de musique, j'imagine un truc monstrueux. J'ai un ordinateur, bravo. [00:50:45] Speaker C: Ça c'est le futur. Et internet, je sais pas si vous connaissez mais c'est un cartonnet. [00:50:51] Speaker B: Quelques guitares, ça tombe bien, et une petite installation. Alors une petite installation, j'imagine aussi un pseudo de ouf, t'es vraiment le mec qui l'a pas fait, peut-être plus, mais on s'en fout. Mais voilà, en toute modestie. C'est l'endroit où je me nourris l'âme, où je vais pour jouer et écrire. Je ne m'entraîne pas tant que ça, je me contente d'écrire. [00:51:13] Speaker C: Le petit chat. Miaou ! [00:51:16] Speaker B: Miaou ! Miaou ! Aloha ! Miaoua ! Mouza ! J'aime beaucoup James Hetfield. Moi aussi. Juste là, il va être au Hellfest, ça c'est l'info quand même qu'il faut retenir. Mais surtout, ça veut dire qu'ils vont revenir assez rapidement. [00:51:32] Speaker C: Ils vont venir dans le bang bang quand on sera au Hellfest. [00:51:35] Speaker B: Tout à fait. Le Hellfest nous l'a promis. Vous regardez, maintenant tout le monde le sait. [00:51:42] Speaker D: On pourra faire une rencontre entre Gaël Mechtoub et Lars Ulrich, ils pourront s'expliquer. [00:51:49] Speaker B: Bah c'est con parce que tu vois, Bad Omens, l'annulation a été annoncée au moment où moi j'ai demandé Bad Omens en interview. [00:51:55] Speaker C: Peut-être qu'il y a un lien. [00:51:58] Speaker D: Ah non, pas lui. [00:51:59] Speaker C: Ah non, c'est le gros cochon. [00:52:02] Speaker B: Bon, autre news. Je sais pas si vous vous souvenez, dans les années 90, mais l'Imbiscuit avait explosé à un moment, début 2000, c'était devenu huge, massive. [00:52:10] Speaker C: Ils ont fait la BO de Mission Impossible 2. [00:52:15] Speaker B: C'est vrai que c'est symbolique. [00:52:16] Speaker C: C'est le moment où ils sont devenus multimillionnaires. [00:52:18] Speaker B: Et du coup, Fred Durst était rentré chez Interscope, etc. Bref, il participait au choix des groupes, comment développer des projets, etc. Il avait fait Cold, il avait fait d'autres groupes. Et il avait eu envie de développer Taproot. Je sais pas si vous connaissez celui-là. [00:52:34] Speaker D: C'est le meilleur nom du monde, c'est vrai. [00:52:36] Speaker C: T'as pété Taproot. [00:52:38] Speaker B: Evidemment tous les français adorent blaguer là-dessus. Moi j'aimais bien Tapout. [00:52:42] Speaker C: C'était particulier mais c'était bien fait quand même. La racine pivotante. [00:52:47] Speaker B: Et Freders était à fond mais le groupe avait fini par ne pas signer avec Freders parce que dans le contrat il y avait des trucs qui n'étaient. [00:52:53] Speaker C: Pas... Pas jolis jolis. [00:52:55] Speaker D: En gros c'était parti en nom d'oiseau quoi. [00:52:57] Speaker B: Si tout ce que vous avez enregistré avec nous et bien... [00:53:02] Speaker C: Bah c'est plus à vous. [00:53:03] Speaker B: C'est plus jamais à vous. De toute façon, ce sera jamais à vous. On le garde et même si on vous vire, c'est à nous. Donc ils ont dit bon c'est pas cool. [00:53:08] Speaker D: Ça s'appelle l'industrie musicale, non ? [00:53:10] Speaker B: Non, ils sont partis ailleurs, bon je vais pas noter le label parce qu'on s'en bat les couilles, mais juste ils sont partis ailleurs et Freders, il avait laissé un message vocal au chanteur de Tapout en disant tu sais quoi ? Mec, je vais te détruire, je vais te détruire, je vais dire que des merdes sur vous, et si vous faites le moindre truc, je peux vous dire que je ferai en sorte que ça se passe très mal. [00:53:27] Speaker C: J'aime bien les gens comme ça, qui vont au bout de leurs idées. [00:53:31] Speaker B: En gros, c'est vraiment le sale con Fred Durst, à ce moment-là, et ils ont dit que c'était cool parce qu'à l'époque, les radios, au moment où Limp Bizkit, ça recommençait à descendre, toutes les radios américaines avaient décidé de passer plus de tape-routes que de Limp Bizkit juste pour l'idée de chercher, ce que je trouve complètement ouf, parce que ça, ça existe. pas dans beaucoup d'endroits, c'est très américain de faire ce genre de truc, mais je trouve ça génial. Eh bien figurez-vous que ça y est, ils ont enterré la hache de guerre pendant un concert de l'Imbiscuit, le chanteur de Tapout était sur scène. Bon il a dit, il m'a quand même pas invité à chanter, il m'a regardé, mais je pense qu'il m'adore. Bon, ça reste Fred Durst, mais en tout cas... [00:54:09] Speaker C: Après, ça reste aussi Taproot. [00:54:10] Speaker B: Oui. [00:54:10] Speaker C: J'ai rien à te dire, moi. [00:54:13] Speaker B: Pas grand-chose. [00:54:13] Speaker C: Leur carrière n'a pas été non plus... [00:54:17] Speaker D: On n'est pas passé à côté de quelque chose d'absolument extraordinaire, je crois. [00:54:20] Speaker B: Moi, je crois que j'aime deux chansons, donc... [00:54:21] Speaker C: Je crois que je ne reconnais pas beaucoup plus. [00:54:24] Speaker B: En tout cas, si vous avez envie d'avoir d'autres infos de Limbiskit, notez que notre site internet a réouvert et que vous pouvez aller regarder ça, j'ai mis une petite vidéo. [00:54:32] Speaker D: Limbiskit.fr. [00:54:34] Speaker B: Non, restless.com, R-E-S-T-L-S-S.com, tout simplement, où vous avez des news et vous avez de magnifiques chroniques à album faites par Didier, comme toutes ces news qui me sont données par cet homme extraordinaire. [00:54:45] Speaker C: Didier, si tu nous regardes, d'ailleurs il. [00:54:48] Speaker B: Nous regarde, on t'aime, voilà, parce que c'est pas moi qui l'ai choisi, c'est lui qui l'ai choisi bien, c'est pour ça que c'est intéressant. On regarde un petit clip de Les Miskits du coup ? [00:54:56] Speaker C: Bah oui, parce qu'on m'a pas écouté ta proute ! [00:54:58] Speaker B: C'est exactement ce que je me suis dit ! [00:55:01] Speaker D: C'était une carrière en coup de vent. [00:55:02] Speaker B: De toute façon, allez hop ! Allez hop, on tire la chasse ! Allez Les Miskits ! [00:55:07] Speaker A: Où est le valet ? [00:55:19] Speaker B: Hey ! Hey yo ! [00:55:24] Speaker C: Yo, Redcap! [00:55:26] Speaker B: What up? Do me a favor. Watch it for me. Don't scratch it. [00:55:32] Speaker A: All right, partner. [00:55:38] Speaker B: Keep on rolling, baby. You know what time it is. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:56:17] Speaker A: C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:58:06] Speaker B: All the. [00:58:06] Speaker A: Lovers, all the haters And all the people, they call themselves players Hot mamas, pimp daddies And the people rollin' their bikinis They rockers, hip-hoppers And everybody, all around the world Hands up, now hands down Tell me what you gonna do. [00:58:26] Speaker B: Now Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin'. [00:58:40] Speaker A: Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin' Keep Rollin' Rollin' Rollin' Rollin'. [00:59:13] Speaker B: Roule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule. [00:59:24] Speaker C: L'Enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule. [00:59:31] Speaker B: L'Enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule, l'enroule On continue donc les news avec Falling in Reverse. [00:59:42] Speaker C: Il est tombé en arrière, il s'est. [00:59:43] Speaker B: Fait bobo la tête. Il s'est fait bobo au bras, le batteur de Falling in Reverse s'est fait bobo au bras. Alors il a dit tout va bien, il y a eu juste un dysfonctionnement pyrotechnique qui m'a brûlé le bras droit, mais je suis content que les gens aient apprécié le concert. [00:59:57] Speaker C: La vérité, on le sait très bien, c'est qu'il était à l'Atomic Cat hier. [01:00:04] Speaker B: Soir et qu'il y avait un cracheur de feu. C'est exactement ça. Non, alors après, je vous rassure, le mec n'a pas brûlé. C'est juste que ça a chauffé. Combustion spontanée. Tout va bien, on le voit, si vous allez sur ses réseaux, il y a des vidéos, vous pouvez vous rassurer en allant regarder bien sûr. Tout ce qui concerne Flingin' Rose, d'ailleurs j'ai vu les extraits live, ça a l'air plutôt pas mal quand même. [01:00:27] Speaker C: Ah ouais, moi j'ai vu le live où ils font avec la chanson, avec les featurings là. [01:00:32] Speaker B: Ça envoie du pâté. [01:00:34] Speaker C: It's a sand patooze. [01:00:37] Speaker B: Non mais c'est fou ce groupe, je vais finir par l'aimer, c'est ça qui me... Bah ouais. À force. Mais non, mais c'est bizarre parce que j'avais vraiment quelque chose contre ce groupe moi, mais pourquoi bon ? [01:00:45] Speaker C: Bah c'est à cause de la rate-queue. Toi tu préfères les queues de rats ? [01:00:50] Speaker B: Je préfère les queues d'éléphants. Ça fait comme ça, ça enlève les mouches. Qu'est-ce qu'on fait lorsqu'on se retrouve face à un ours ? [01:01:00] Speaker C: Alors on crie, il faut faire comme ça. [01:01:02] Speaker D: Il ne faut pas bouger. [01:01:04] Speaker B: Moi je fuis, je me casse encore. [01:01:05] Speaker C: Je sais que je suis mort. Il faut l'impressionner, il faut être plus grand que lui. [01:01:09] Speaker B: Alors oui, il faut effectivement l'impressionner, ce qui n'est pas facile à faire, mais il faut faire ce que tu as fait exactement. Mais que faut-il faire si on a un ours dans un arbre, chez soi ? [01:01:16] Speaker C: Il faut abattre l'arbre. [01:01:17] Speaker B: Oui, attention, pas abattre l'ours, ça ne se fait pas. [01:01:20] Speaker C: Non, bah après t'as des chances qu'il meure en tombant de l'arbre quand même. [01:01:23] Speaker D: Faut changer de maison. [01:01:24] Speaker B: Eh bien dans le Colorado, c'est arrivé, les gens ont trouvé un ours dans leur jardin, dans leur arbre, et ils ont appelé donc les gardes parce qu'il. [01:01:30] Speaker C: Faut... Ah je vois, je vois, j'étais en train de me dire quel est le rapport avec notre émission, je crois que j'ai compris. [01:01:36] Speaker B: Eh bien, ils ont appelé les gardes et les gardes étaient un peu déconcertés, ils se sont dit on a une idée et ils ont passé Iron Man de Black Sabbath à fond les ballons, le machin s'est barré. « Who the fuck is Benny Eilish ? [01:01:49] Speaker C: » D'abord l'ours a dit ça et. [01:01:51] Speaker B: Après il s'est barré. Mais c'était peut-être lui en fait. [01:01:53] Speaker C: Bah bien sûr, il avait des petites lunettes bleues. [01:02:00] Speaker B: Non mais le jour où c'est barré direct, ça a marché quoi. Ça a été radical. C'est formidable. Son force c'est les Américains quand même parce qu'ils passent du Britney Spears pour torturer des prisonniers de guerre. Ils passent du black ça va être pour éloigner les uns pour éloigner les autres. America, fuck yeah ! Sinon Toul, on va parler de Toul. [01:02:34] Speaker C: Tout le bonheur du monde ! [01:02:35] Speaker B: Ça fait longtemps qu'on n'en a pas parlé de Toul. [01:02:37] Speaker D: Notre marronnier numéro 2 dis donc. [01:02:39] Speaker C: C'est quoi le 1 ? [01:02:40] Speaker D: Slipknot ? [01:02:41] Speaker C: Ah je croyais que c'était Dave Townes. [01:02:44] Speaker D: Non les news là en ce moment c'est surtout Slipknot. [01:02:46] Speaker C: On est monomaniaque un peu. [01:02:47] Speaker B: Bon c'est pas grave. Toulon, on aime bien Toulon mais en même temps on a envie de l'enchier à la gueule. [01:02:50] Speaker C: Et la ville de Toulon aussi. On l'enchie pas à la gueule. [01:02:53] Speaker B: Non, la news en tout cas, c'est que le bassiste a annoncé qu'ils avaient enregistré déjà beaucoup, beaucoup de choses, que lui est super confiant à l'avenir, qu'il est très heureux, qu'ils ont des tonnes de disques durs remplis de riffs. [01:03:08] Speaker C: Bon là, oh ! [01:03:09] Speaker B: Oh dis donc les disques durs, ils sont tous prêts ! Ça tourne, ça fume ! Mais bon, le mec dit alors... Il dit qu'il risque d'aller plus rapidement. [01:03:20] Speaker C: Que d'habitude, mais... Parce qu'ils ont besoin d'argent ? [01:03:23] Speaker D: Non, ça c'est depuis que Paul Damour a parlé, en fait, maintenant ils se sentent obligés. [01:03:28] Speaker B: Je me suis dit, il a une communication, ils ont pris celui qui est le moins mis en avant, comme ça, si tu lui laisses, il ne se fait pas insulter. C'est le plus neutre. [01:03:36] Speaker C: Peut-être qu'il veut dire, lui, comme c'est le bassiste d'avant qui a dit ça, comme ça, lui il est là, il fait « Regardez-moi depuis que je suis là, nous on quille ». Alors là, moi je vais dire, je ne laisserai rien passer. [01:03:47] Speaker D: Les stacanovistes du prog, attention ! [01:03:49] Speaker C: Moi, Justin, je ne laisserai rien passer. [01:03:52] Speaker B: Et alors, je vais citer quand même ce qu'il raconte, parce qu'il faut quand même comprendre, parce que ça a l'air d'être important. Ça a l'air d'être un vrai grand moment, parce que des annonces comme ça, ça veut dire quelque chose. Alors, à chaque fois que nous nous réunissons, le groupe trouve tellement de nouvelles idées que nous passons la journée à les jouer. Nous introduisons constamment de nouvelles choses qui se mêlent parfois à d'autres idées plus anciennes. En fait, vous avez dû s'en répéter quoi ! C'est une annonce de merde ! [01:04:18] Speaker C: Ouais, il prépare des morceaux quoi ! Moi je serais rassuré s'il nous disait que Maynard commençait déjà à chercher des voix. [01:04:31] Speaker B: Alors Maynard a profité de cette occasion pour faire une petite déclaration qui est, il avoue que leur succès leur a permis de gagner tellement d'argent que ça lui a permis de moins sortir de morceaux ! En gros, c'est vrai qu'on s'est peut-être laissé un peu porter par le fait que les morceaux marchaient très bien et du coup, on avait un peu de temps. L'autre, il essaie de dire un truc qui est nul, bon, soit, mais l'autre, il arrive derrière. Ah, mais j'ai vu, il y a tout qui a disjoncté. [01:05:01] Speaker C: Non, mais c'est Bestel, il est branché. [01:05:03] Speaker D: À 6 billes, ça fait pfff. [01:05:06] Speaker B: Sinon, des nouvelles de Zach Delaroca ? Non, rien d'intéressant, je vous rassure. Zach Delaroche, il a eu un disque de platine ou je sais pas quoi, on s'en fout avec Ronda Jules, mais rien de nouveau. [01:05:24] Speaker C: Après, ça permet de dire pour ceux qui aiment Zach Delaroche et qui ne l'ont pas écouté, qui ne savent pas, que ses derniers enregistrements, c'est avec Ronda Jules. [01:05:34] Speaker B: Ce qui est très très bon. [01:05:34] Speaker C: C'est très très bien, si vous connaissez pas, c'est très hip-hop. Mais très bien. [01:05:40] Speaker B: Et on va terminer avec Slash. Slash, voilà, qui a fait sa petite tournée. [01:05:43] Speaker C: Alors, Slash ? [01:05:44] Speaker B: Ooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo Il a dit, oui, les Guns N'Roses travaillent sur un nouvel album. Ça c'est la bonne nouvelle. On sait que Chinese Democracy était sorti en 2008. Ça commence à dater. Et que la dernière fois que Slash a travaillé avec Axl Rose, c'était en 93. [01:06:24] Speaker C: C'est-à-dire ? [01:06:25] Speaker B: Combien de personnes qui regardent cette vidéo ? Il y a plus de 30 ans. Et tenez, plus de 30 ans. [01:06:29] Speaker C: C'est vrai. Putain, c'est ouf. [01:06:32] Speaker B: Mais il commence à avoir le visage. [01:06:34] Speaker C: Qui fusionne avec le corps aussi. [01:06:36] Speaker B: Non mais après, ils ont quand même. [01:06:37] Speaker D: Sorti deux titres quand même. [01:06:39] Speaker B: Oui, il y a eu des titres. [01:06:40] Speaker C: Il y a eu deux titres. [01:06:41] Speaker B: C'est ce qu'il dit en fait. Après il dit qu'il y a eu deux ou trois titres même, je sais plus. Bref, il y a eu des titres. De Sidelam, il a dit qu'il y a un vrai album qui est en préparation. Il explique que c'est pas forcément simple parce qu'ils ont envie d'avoir de bonnes idées. et qu'ils ont envie de faire des chansons, bon voilà, chacun son avis là-dessus, mais ils sont en studio et ils se préparent, il a dit c'est pour ça aussi que je fais pas grand chose à côté, c'est parce que j'aimerais bien qu'on fasse quelque chose de cool. [01:07:00] Speaker C: Ah bah c'est une bonne nouvelle quand même ! [01:07:02] Speaker B: C'est une bonne nouvelle, on donne des nouvelles pour se moquer des gens, mais en vrai on est contents. [01:07:06] Speaker C: Bah voilà, donc pleure pas Pierre ! [01:07:08] Speaker B: Dites-nous ce que vous en pensez. Est-ce que vous attendez le nouveau Guns N'Roses ? [01:07:12] Speaker C: Bah écoute... Je veux bien l'écouter. [01:07:15] Speaker B: Ok, moi je dirais que je le. [01:07:18] Speaker C: Prouve si je ne le prends pas. [01:07:20] Speaker B: Je ferai la pizza. Je sais pas pourquoi je dis ça. Quelque chose à ajouter les enfants ? [01:07:24] Speaker C: Non, non. [01:07:25] Speaker B: Ben voilà, c'est fini pour le Flash Bang News. On va regarder un clip ? Parce que du coup c'est l'occasion de regarder quand même un petit gazon. Bah tu veux dire que c'est... Attends. [01:07:34] Speaker C: Je vais le refaire parce que tu l'as pas eu tout à l'heure quand je l'ai fait. C'est quand même une bonne nouvelle Pierre. Alors ne pleure pas. Don't cry. Je lui offre... Regardez, vous allez comprendre. [01:07:45] Speaker B: Quelle est la chanson ? Don't cry. [01:07:47] Speaker C: Voilà, moi j'offre des transitions comme ça. [01:07:49] Speaker B: Les boys don't cry now, now ! Don't cry to cool. Bon allez les cunts and rouses, don't rest until bang bang, holy poulies poulies. Vas-y. [01:08:31] Speaker A: Tu es sombre, il y a quelque chose dans tes yeux N'abandonne pas la douleur Et s'il te plaît, ne pleure pas Je sais comment tu te sens à l'intérieur J'y ai déjà été Quelque chose change à l'intérieur de toi Et ne sais-tu pas C'est trop beau ! et le temps Non, tu n'as pas honte. Please remember that I never lied And please remember how I felt inside Now honey, you gotta make it your own way But you'll be alright now sugar Aïe Aïe Aïe Aïe. [01:13:08] Speaker F: Try not to shower in the dark You don't even fall in the night, do you? Try not to doubt that it's dark Or have you ever fallen in love? Dance till the end of the world Dance till the end of the world Dance till the end of the world Dance till the, dance till the, dance. [01:13:34] Speaker B: Till the. [01:14:01] Speaker F: Sous-titres réalisés para la communauté. [01:14:05] Speaker A: D'Amara.Org Is it the end of our world ? [01:15:20] Speaker F: She says or just the end of our road ? Is it the end of the world ? Maybe or just the end of the road ? [01:15:32] Speaker B: Then is it the end of the. [01:15:42] Speaker A: Danse, danse, danse ! GENIUS ! [01:16:34] Speaker B: Madame, à l'instant, dans Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, avec nos invités de ce soir, le groupe Madame, bonsoir ! Ah là là, ça fait plaisir de vous voir après vous avoir vu sur scène à la maroquinerie et après avoir essoré, trucidé, torturé ce premier album que vous avez sorti. Et il le mérite en même temps puisqu'il fait beaucoup de bruit et il nous intéresse. C'est pour ça que vous êtes ce soir avec nous dans les studios pour répondre à quelques petites questions puisque J'ai l'impression déjà dans un premier temps que Madame c'est un phénomène. Il se passe quelque chose autour de Madame. Les gens sont quand même assez positifs, dithyrambiques, il y a beaucoup de beaux commentaires. Vous le vivez comment ? [01:17:21] Speaker F: C'est très gentil ça. Nous on vit très bien ce qui se passe en ce moment. Je veux dire déjà on est très contentes de base d'avoir la chance de faire ce qu'on fait et c'est vrai que les gens sont là au concert, les gens viennent, reviennent, ça danse, ça chante beaucoup depuis la tournée de l'album. Et les gens connaissent les paroles, c'est assez marrant, donc on le vit plutôt très bien, tout va bien. [01:17:41] Speaker G: On hallucine un peu aussi. [01:17:42] Speaker F: Ouais, c'est un peu bizarre. C'est bizarre cool, mais c'est cool. [01:17:45] Speaker B: Ouais, c'est bizarre positif. Les paroles, ouais. C'est ça le plus impressionnant ? [01:17:52] Speaker F: Ouais c'est étrange, grave. On était à Toulouse pour la release party, il y avait une personne au premier rang qu'on n'avait jamais vue qui a chanté tout le concert, toutes les paroles. Et t'es là genre, mais qui es-tu ? [01:18:01] Speaker B: C'est génial ! Cette personne est dangereuse, attention ! [01:18:04] Speaker G: On lui a demandé, elle disait, qui es-tu ? [01:18:08] Speaker F: C'est bien, je vous aime bien, d'accord. [01:18:10] Speaker B: Bon madame évidemment c'est un groupe, un trio féminin français, vous venez de la région de Toulouse. Je ne me trompe pas, la campagne on m'a dit mais bon on va dire Toulouse. On va pas donner le nom du village précis ou des villages. Vous avez un tout petit accent mais il n'est pas totalement présent. [01:18:28] Speaker G: Ça dépend qui. [01:18:28] Speaker B: À part quand vous énervez peut-être. [01:18:29] Speaker F: Elle ça chante un peu quand même. [01:18:33] Speaker B: Oui mais ça va. Non parce que moi je viens du sud-est et l'accent revient quand je m'énerve. Je vais juste, pour les gens qui ne vous connaissent pas, vous allez vous présenter chacune, l'une après l'autre, nous dire à quel moment vous avez découvert le rock et à quel moment vous vous êtes rencontré, quel est votre prénom, etc. Juste une petite présentation rapide. Je te laisse que... Ah bah non, on va commencer par... Non non, c'est toi qui as l'honneur. [01:19:03] Speaker E: Moi du coup c'est Marine, je fais la basse dans Madame. Et après je dois dire quoi ? [01:19:12] Speaker B: Non, tu fais la basse, tu aides Bank beaucoup sur scène. [01:19:16] Speaker E: Je suis coincée du coup. [01:19:22] Speaker B: C'est à quel moment toi que t'as commencé à écouter du rock ? [01:19:25] Speaker E: C'est quand j'ai découvert les Beatles. J'ai découvert le rock vers le collège, je sais pas quel âge j'en ai au collège. [01:19:34] Speaker B: Voilà. Parce que là vous êtes jeunes, vous avez quel âge, excusez-moi, je sais que ça se dit pas, mais environ. [01:19:39] Speaker G: 16. [01:19:45] Speaker B: Vous êtes jeunes. Comparé à nous, en tout cas, c'est sûr, vous êtes jeunes. [01:19:50] Speaker C: Moi j'ai 19, donc... [01:19:52] Speaker B: Mais moi j'ai deux ans d'âge montage, donc à partir de là... Donc ouais, t'as commencé à écouter du rock. C'est qui qui t'a amené les Beatles ? C'est toi qui as écouté ça ? [01:20:01] Speaker E: Non, c'est mon meilleur pote du collège qui m'a fait découvrir. Alors lui, je sais pas comment il a découvert ça. Et du coup... [01:20:10] Speaker B: Les parents, non ? [01:20:12] Speaker E: Non. Alors mes parents, ils écoutaient beaucoup de trucs, surtout mon père, il écoutait plein de trucs. Du rock et aussi des trucs nuls. Il y a vraiment de tout. Et du coup, vraiment, il m'a quand même amenée vers la musique. En général, parce qu'il écoute beaucoup de musique tout le temps. Mais il n'y avait pas forcément que du rock. [01:20:37] Speaker B: En tout cas, je te l'ai déjà dit quand on était au concert, mais t'es mon instrument préféré et j'ai trop kiffé parce que la basse a vraiment une super grosse importance dans Madame. Il y a vraiment trois entités et trois présences très importantes. Je vais te laisser te présenter maintenant. [01:20:54] Speaker F: Moi c'est Gabi, je suis guitariste chanteuse du groupe et j'ai découvert le rock parce qu'en fait j'étais au collège et donc dans la campagne du côté de Montauban où personne n'écoutait du rock et où je me faisais harceler et en fait genre le rock c'est un peu la manière que j'ai trouvé de dire je ne veux pas être comme vous donc je vais me mettre à porter du noir et des têtes de mort et à écouter de la musique qui fait peur Et ça m'a aidé de de me sentir différente de ces gens. [01:21:26] Speaker B: Oui, ça t'a un petit peu, excuse-moi j'utilise des mots très forts, mais ça t'a un peu sauvée ? [01:21:32] Speaker F: Je sais pas en tout cas ça m'a fait une carapace tu vois. Et moi aussi je pense genre ça me rassurait de savoir que genre j'étais pas comme eux tu vois. Ne serait-ce que à cause de... Bah. [01:21:42] Speaker B: Pas des cons quoi. [01:21:44] Speaker F: Des gens avec des bons goûts. [01:21:47] Speaker B: Et puis pas méchant. Je vais te laisser te présenter. [01:21:51] Speaker G: Moi je suis Anaïs et je suis la batteuse de Madame. [01:21:55] Speaker B: Qui frappe fort. Ouais mais... On m'a beaucoup dit aussi que tu avais grave le rythme et que tu jouais très très bien. J'ai entendu beaucoup de personnes qui font de la Patricks m'en dire. [01:22:03] Speaker C: Parce que lui, il n'arrive pas à voir la différence. [01:22:05] Speaker B: Moi je suis vraiment une merde. Mais tout le monde m'a dit, putain, elle joue trop bien et tout, c'est trop bien. Tu étais un peu la meneuse d'après les gens qui sont batteurs, donc attention. [01:22:17] Speaker G: Des gens bien et très calés. Et moi, comment je suis venue au rock, j'en ai quasiment toujours écouté parce que mon père est genre un monomaniac de ACDC. D'où la batterie. Pas du tout. Et justement, je regardais des lives avec mon père d'ACDC quand j'étais gosse et je me disais il doit se faire chier lui au fond avec sa grosse batterie toute seule. Et je me disais moi si un jour je devais faire un instrument ce serait pas ça. [01:22:49] Speaker C: Surtout que dans ACDC quand même la batterie est assez droite. [01:22:55] Speaker B: C'est ce qui mène à ACDC aussi. [01:22:56] Speaker G: Mais après il écoutait plein de trucs. [01:22:57] Speaker C: J'Étais avec Metallica, ce genre de trucs. Donc t'as été sensibilisée assez tôt aux sons un peu saturés ? [01:23:09] Speaker G: Oui, en plus mon père étant une personne très fine, il écoutait ça très fort et j'adorais. [01:23:15] Speaker B: On fait des bisous. Donc du coup, il y a un espèce de panel qui parle du rock un peu alternatif au métal. Parce que bon, ACDC, c'est du hard rock, mais on va mettre ça dans le truc un peu plus violent, un peu plus agressif, les musiques extrêmes. Donc il y a un panel qui se développe et qui a fait Madame. Parce que quand on écoute Madame, c'est un petit peu ce gros mélange. C'est pas métal. [01:23:39] Speaker F: Non mais t'écoutes pas tant de métal, c'est plus... [01:23:44] Speaker C: C'est vrai que, au premier abord, quand on écoute Madame, on peut penser que c'est rock. Mais il y a quand même beaucoup d'influences, on sent des influences un peu plus heavy. Dans l'approche, c'est un peu moins simple. Il y a un peu plus de disto, un peu plus de texture. [01:24:03] Speaker F: Ce qui fait notre force, c'est qu'on écoute vraiment des choses très différentes. et même si ça reste du rock et du coup on arrive chacune avec nos influences à nous et l'avantage c'est que vu qu'on a une manière de composer qui est très fluide genre c'est pas forcément moi qui écris tous les riffs de guitare etc ça veut dire que même dans les riffs tu vois va y avoir des influences différentes ou des manières d'approcher le rythme je veux dire si Nana elle écrit un rythme de un riff de guitare genre il y a des rythmiques auxquels j'aurais pas du tout pensé parce que juste j'ai pas les clés d'y penser tu vois Et je trouve que c'est ça qui est intéressant aussi et qui fait qu'il se passe des trucs selon les morceaux. [01:24:38] Speaker G: Il y a un truc quand même qui nous rassemble, c'est qu'il y a une petite excitation commune pour la violence. [01:24:43] Speaker F: À un moment, tout droit. [01:24:47] Speaker G: Des fois on est là, il y a des morceaux, ouais c'est cool, est-ce. [01:24:48] Speaker B: Que là à un moment... Moi je définirais votre musique comme punk, parce que vous avez l'attitude punk. Je sais que c'est pas punk comme on l'entend, mais il y a cette attitude, cette agressivité et en même temps beaucoup de douceur, beaucoup de poésie, il y a quelque chose de mélangé là-dedans. [01:25:06] Speaker F: Nous, on dit qu'on fait du rock content. Et avant de monter sur scène, on se dit qu'on s'aime et qu'on leur pète la gueule. [01:25:14] Speaker B: C'est pas mal. [01:25:15] Speaker F: C'est un bon coup. En fait, c'est genre, tu viens faire la bagarre mais avec le sourire. C'est l'idée un peu de nos concerts, je crois. [01:25:21] Speaker B: Il y a ce cri de scène, il y a ce cri de ralliement que vous faites vraiment avant chaque concert ? [01:25:24] Speaker G: Tout le temps. On leur pète la gueule. Oui, on vous aime. [01:25:28] Speaker C: Enfin, soniquement parlant. [01:25:30] Speaker B: Oui, bien sûr, on a bien compris. [01:25:32] Speaker C: Non mais vous n'êtes pas du genre à donner des coups de pied dans le premier rang ? [01:25:34] Speaker F: Non, non, non, juste vraiment t'y vas et c'est la bagarre quoi, genre on a envie que les gens ils sautent et qu'ils se sautent dessus. [01:25:41] Speaker G: Des fois vous cognez entre vous. [01:25:42] Speaker F: Oui. Mon bleu est en train de partir, j'avais la trace de la base de. [01:25:46] Speaker B: Ma règle sur la promesse. Bon ça c'est musicalement mais dans les textes, est-ce qu'il y a justement avec ce premier album qui est sorti, est-ce qu'il y a un message global, un message principal, quelque chose que vous avez envie de transmettre ? [01:25:58] Speaker F: En fait c'est assez vaste ce dont ça parle. Nous on est en groupe de live, on trouve ça super important de tester les morceaux un moment avant de les enregistrer. Pour les voir en live, voir comment les gens réagissent, voir comment nous on les vit aussi. Et du coup l'avantage c'est qu'en fait l'album, l'écriture, elle est sur une durée assez longue. C'est un espèce de condensé de plein de trucs qu'on a vécu, qu'on a ressenti pendant notre vie commune en tant que groupe de rock. Des choses qui nous mettent en colère, des choses qui nous animent. Et ça peut être des trucs randoms, genre Falling Girl, qui parle du fait que je tombe tout le temps, comme de mauvaises personnes qu'on a rencontrées et sur qui on a envie de crasher. Tu vois, c'est... Oui, c'est la vie. [01:26:45] Speaker B: C'est vraiment condensé. [01:26:46] Speaker F: C'est ça, des années qu'on a passées ensemble. [01:26:50] Speaker C: Ce que je trouve hyper intéressant, c'est que malgré la diversité des sujets, du fait que ce soit établi dans le temps et que ce soit composé un peu par chacune d'entre vous, chacune amène une idée. L'album, quand on l'écoute, il est quand même très cohérent. Il n'y a pas ce côté un peu chanson où ça part vraiment dans un truc Je ne dis pas que les chansons se ressemblent, loin de là, mais par contre il y a une bonne continuité, ça s'écoute vraiment très facilement. [01:27:18] Speaker B: On peut l'écouter vraiment comme ça, ça coule. [01:27:21] Speaker F: C'est gentil. [01:27:22] Speaker B: C'est plutôt bien, c'est vrai que c'est surprenant pour des chansons qui sont faites vraiment séparément. [01:27:27] Speaker C: Vous ne l'auriez pas dit, on ne l'aurait pas su. [01:27:28] Speaker D: Tant mieux, tant mieux. [01:27:29] Speaker B: On s'est tellement pris la tête sur. [01:27:30] Speaker F: L'Ordre de l'album, c'est dur. [01:27:34] Speaker B: Ah bon, pourquoi ? [01:27:36] Speaker F: Parce que c'est compliqué de... Enfin, tu vois, on en parlait tout à l'heure, on aime, nous, l'énergie, à balle, et du coup c'est compliqué de trouver le juste milieu dans un album de 12 titres, tu vois, pour que les gens ne s'essoufflent pas, pour qu'il n'y ait pas trop de discos défilés, pour que ce ne soit pas les. [01:27:53] Speaker G: Mêmes notes tout le temps. [01:27:54] Speaker C: Il y a les plaisirs, quoi. [01:27:56] Speaker F: Mais du coup c'est cool de savoir que ça fluide. [01:28:00] Speaker B: Après on va revenir sur plein de sujets de l'album, plein d'éléments qui moi m'animent. Mais pourquoi aussi avoir choisi l'anglais ? On demande ça souvent aux groupes français parce que c'est quand même plus simple d'écrire en français normalement. [01:28:13] Speaker C: Je pense que c'est plus simple de... Tous les groupes que j'ai rencontrés disent que ce serait plus simple d'écrire en français mais ça sonne quand même un peu mieux en anglais. [01:28:24] Speaker F: Moi j'ai toujours chanté naturellement en anglais. Je trouve que, en fait, c'est vraiment une question d'esthétique, je trouve que tu chantes plus quand tu le fais en anglais que quand tu le fais en français. [01:28:35] Speaker B: C'est ce qu'on me dit assez régulièrement. [01:28:37] Speaker F: Sachant que moi j'adore les gens qui chantent en français, enfin je suis très fan de Bandi Bandi ou de Bilbao Kung Fu, tu vois des groupes français qui font ça très très bien sur du rock, ça démonte. Mais je veux dire, c'est pas quelque chose dans lequel je me sens particulièrement à l'aise. Et tu sais, je traduis pas. J'écris mes textes en anglais parce que c'est des mots qui me parlent, tu vois, ou des sons. Et du coup, c'est vrai que ça a toujours été l'anglais, mais on n'est pas abuté. Là, je veux dire, dans l'album, il y a la meute où il y a une phrase en français. Pour le coup, elle, elle est venue en français de suite. Et une fois qu'on a écrit le morceau, on était là, bon allez, on la traduit. Non, c'est ultra moche. Du coup, on l'a gardée en français. Et on n'est pas fermé, rien dit qu'un jour on n'écrira pas tout un texte en français. [01:29:17] Speaker B: C'est juste que je dis ça si j'ai pas un présentement. [01:29:20] Speaker C: Je pense que c'est un exercice qui est aussi très différent, faire sonner le français. Beaucoup de groupes avec qui j'ai travaillé qui chantaient en français disaient que c'est vrai que des groupes qui arrivent à faire sonner le français, parce qu'on a quand même beaucoup de consonnes qui sont un petit peu dures à dire en chantant, les trucs... Quand tu veux faire des notes, un truc un peu harmonieux, des fois c'est pas toujours facile à faire sonner, et du coup le choix des mots... Voilà, il y a quelques artistes qui arrivent super bien, mais... au mieux écrit. [01:29:49] Speaker B: En français qu'en anglais. En anglais, si t'écris pas forcément un beau texte, c'est plus un poussin, non ? Parce que si t'es en français, tu le comprends direct et puis les gens sont peut-être plus méchants aussi. À juger, je sais pas. [01:29:59] Speaker G: Tu peux imager plus facilement en anglais. [01:30:01] Speaker F: Ouais mais là, on se rend compte du coup que les gens lisent nos paroles, vu qu'ils chantent et qu'ils ont lu. Sur les EP, moi je me prenais vraiment pas la tête, j'en avais un peu rien à péter. en fait tu sais j'avais le sujet en tête et en fait je l'interprétais plus dans ma manière de le chanter que dans l'écriture des textes et là sur l'album j'ai vraiment mis un point d'honneur à genre prendre du temps pour écrire des choses qui me semblaient importantes tu vois et je suis pour le coup je suis très fière d'y être arrivée tu vois genre de me dire là j'ai écrit des trucs qui me plaisent et je suis contente que les gens lisent les paroles entre les mains et qu'ils puissent comprendre ce que j'ai voulu raconter tu vois Et qu'ils le vivent. [01:30:38] Speaker B: Du coup, puisque la musique l'accompagne, comme tu dis, vous êtes toutes les trois à le faire vivre aussi, que ce soit le texte ou musicalement. Moi, ça m'a fait penser à des trucs qui m'ont fait penser aux Arctic Monkeys, je sais pas pourquoi. J'ai senti une énergie un petit peu comme ça, cette acidité, ce truc qui envoie la batterie, qui envoie la basse, qui est très présente. Je sais pas si j'ai juste ou pas. [01:30:59] Speaker G: Oui, on a été un peu bercés, je pense. Les Monkeys, grave. Forcément. [01:31:05] Speaker E: Moi, non. [01:31:07] Speaker G: Parce que Marine, elle aime les Beatles. [01:31:12] Speaker F: Marine, c'est comme son cou, elle est restée bloquée sur les Beatles. [01:31:17] Speaker G: On a été versé par ça, tu vois, le début des Arctic Monkeys, je pense que c'est un peu le même délire. Ils étaient là, ils étaient jeunes, ils avaient juste envie de tout dégommer. Bon ben voilà, on est là, on a envie de tout dégommer. [01:31:28] Speaker F: Quand tu vois, il y a certains titres de l'album, on les entend aussi. D'un coup tu te dis, ça sonne en partie, que tu sens l'influence. [01:31:36] Speaker B: Oui, mais ça c'est normal. C'est chouette. [01:31:38] Speaker F: Oui, j'aime bien. [01:31:38] Speaker C: Tu comprends ça, il y a Pierre comme référence. [01:31:40] Speaker F: Oui, c'est clair. [01:31:42] Speaker B: Il y a des artistes qui ont été aussi vos exemples, qui vous ont fait dire, putain j'aimerais transmettre un message comme ça, ou faire de la musique comme lui, ou être cool comme lui, je sais pas, il y a des... [01:31:54] Speaker F: Ou pas. [01:31:56] Speaker C: Elles veulent pas te le dire Pierre mais c'est toi. Elles ont toujours voulu être aussi cool que toi. [01:32:01] Speaker F: Je le vois l'idole d'Anaïs qui nous regarde depuis tout à l'heure. [01:32:03] Speaker G: Est-ce que tu veux demander si on a des supérieurs ? [01:32:05] Speaker B: Ouais bien sûr. Enfin moi je sais que j'en ai mais bon. [01:32:08] Speaker F: Ouais bah. [01:32:11] Speaker G: Moi c'est Dave. Parce que j'adore Vanina. Non Dave Grohl ouais bien sûr j'adore. [01:32:18] Speaker C: Faut que Vanina et Nirvana c'est pas si loin. [01:32:21] Speaker G: Dave de Vanina. J'aime beaucoup. [01:32:25] Speaker B: C'est un retenir, c'est une bonne manoeuvre. [01:32:27] Speaker G: Non mais lui, c'est un peu un héros dans le sens de la carrière de fou qu'il a, tu vois, et tout ça. Aussi quand il a débarqué avec son jeu de batterie, personne ne faisait ça, tu vois, il est arrivé... Voilà. [01:32:42] Speaker B: Oui bon c'est justifié, débrouille, bon. [01:32:45] Speaker C: J'ai beau pas trop l'apprécier, il faut bien reconnaître... Il a un petit peu de talent, il a fait 2-3 trucs pas mal. Il rejoint des groupes souvent, c'est le meilleur album qu'ils aient fait. [01:32:56] Speaker B: Il est énervant quoi, c'est ça ? On est jaloux. [01:33:00] Speaker C: Non mais moi je pense, tu vois, je reconnaîtrais plus son talent s'il acceptait de ne pas vouloir être le mec. [01:33:06] Speaker B: Le plus cool tout le temps. [01:33:08] Speaker C: Je crois que c'est ça qui m'énerve un peu. [01:33:09] Speaker B: Qui soit pas omniprésent. [01:33:10] Speaker C: Ouais, un peu too much quoi. [01:33:12] Speaker F: Moi je veux bien être sa pote, quand il veut. [01:33:17] Speaker B: On est d'accord pour qu'il vienne en interview ici aussi. [01:33:18] Speaker C: Et vous voulez bien faire une tournée avec lui ? [01:33:20] Speaker F: Quand il veut on fait une tournée avec lui. [01:33:22] Speaker G: Moi on est d'accord. [01:33:25] Speaker F: On se met même sur le toit du tombus, y'a pas de soucis. [01:33:28] Speaker B: Ça serait le groupe par exemple où vous adoreriez faire le premier parti. Il doit en avoir plein d'autres j'imagine. [01:33:34] Speaker E: Moi pour faire plaisir à Nana oui. [01:33:37] Speaker C: Ah c'est mignon. Sinon tu préférais faire la première partie des Beatles ? [01:33:40] Speaker B: Ils sont morts là ! Ils sont morts là ! [01:33:46] Speaker E: En vrai un jour j'ai fait un rêve où on jouait avec eux et je menaçais Dave Grohl parce que je voulais pas qu'il parte avant qu'il nous ait vu jouer pour faire plaisir à Nana et je le menaçais je lui disais t'as pas intérêt à partir et tout. [01:33:58] Speaker C: Putain je sais pas ce que c'était rêve mais je voulais même. C'est incroyable. [01:34:01] Speaker B: Il y a du beau monde en tout cas. [01:34:03] Speaker G: Je crois que si c'était possible, si genre on était sur un festival de type Hellfest avec les Foo Fighters et que par exemple ils étaient dans le coin, ils seraient capables genre de l'attraper. Tu restes là, tu regardes ça. [01:34:18] Speaker B: Ok donc toi tu peux pas t'envergler. [01:34:21] Speaker C: J'espère que vous serez au Hellfest. [01:34:24] Speaker G: A priori, non. [01:34:26] Speaker C: C'est pas prévu. [01:34:27] Speaker G: C'est raté. [01:34:30] Speaker B: Et puis les Foo Fighters, c'est pas forcément en France qu'ils viennent le plus. [01:34:34] Speaker F: On va les voir à Wembley. [01:34:36] Speaker G: Non, à Glasgow. [01:34:37] Speaker B: Bon bah voilà, il y a quand même le petit plaisir qui va avoir lieu. [01:34:41] Speaker G: On va essayer de tenir Marine. [01:34:42] Speaker B: Elle va se ramener. C'est vrai, moi aussi je suis devant la scène, elle va monter. On rentre à la maison maintenant, c'est fini, allez on rentre ! On va lui dire bonjour ! Bon justement dans les clips que vous avez choisis, donc j'imagine que c'est toi qui as choisi Beatles avec A Hard Day's Night, il y a une raison pour d'avoir choisi cette chanson particulièrement ? [01:35:08] Speaker E: Au début j'avais pris Oh Darling, mais il n'y a pas de clip, donc j'ai changé. [01:35:14] Speaker B: Pour nous c'est compliqué sans clip. [01:35:18] Speaker E: Quand j'ai découvert les Beatles, j'ai découvert aussi les films qu'ils avaient faits. Le film c'est Help, je crois. Et c'est trop cool. Vraiment, c'est une grosse partie de mon adolescence où je les vois à faire n'importe quoi et faire du rock'n'roll, s'amuser. [01:35:38] Speaker B: Oui, c'est ça l'image que t'en as gardée, tu t'es dit c'est quand même cool, ça a l'air sympa à faire ça. [01:35:43] Speaker E: C'est quand même chouette. [01:35:45] Speaker B: Le côté psychédélique aussi les Beatles. [01:35:46] Speaker C: Il y a une grosse phase quand même. [01:35:50] Speaker E: Moi j'aime tout et il y a des trucs vraiment hyper différents. Genre les débuts c'est des débuts rock'n'roll avec des reprises et tout. Et après ça part un peu et c'est tout aussi cool mais différemment. [01:36:01] Speaker B: C'est vrai que vu la grandeur du groupe, avec ce qu'ils ont fait, on a l'impression qu'ils se prenaient pas trop à la tête quand même. Au début en tout cas, on sent plutôt des potes qui s'éclatent. Bon après avec le succès, c'est un peu... [01:36:10] Speaker C: Je pense qu'après avec le succès, ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient. Un peu comme Jared Leto, tu vois. [01:36:17] Speaker B: Sauf qu'il y en a qui ont été bons et d'autres qui ont la salle con. [01:36:20] Speaker C: C'est le point où je voulais venir, mais bon... [01:36:23] Speaker B: Oui, on le déteste. Oh non ! [01:36:26] Speaker C: Il veut venir en interview, il est bienvenu, mais bon... [01:36:28] Speaker G: Comment ça, il vous déteste ? [01:36:30] Speaker B: C'est une longue histoire, on ne vous. [01:36:32] Speaker C: Raconte pas ça hors antenne. [01:36:35] Speaker B: On va parler de ça hors antenne ? [01:36:37] Speaker C: Oui. Sinon, il faut vous regarder toutes les vidéos, à chaque fois on en parle un petit peu. On va en parler hors antenne, je pense que ce sera plus simple pour vous. [01:36:43] Speaker B: En attendant, nous allons regarder ce clip choisi par Madame, nos invités ce soir. N'hésitez pas à aller sur les réseaux sociaux pour les rejoindre, liker tout ce qui concerne Madame, aller voir les clips évidemment aussi, et écouter sur les plateformes d'écoute légale Madame. Et on se fait ce petit clip des Beatles. C'est parti ! [01:37:00] Speaker A: The. [01:37:04] Speaker B: Next song we'd like to sing. [01:37:18] Speaker A: It's been a hard day's night And I've been workin' like a dog It's been a hard day's night I've been sleepin' like a log But when I get over you I find the things that you do never feel alright So I work all day To get you ready to buy a thing C'est la fin de l'année. Oh non ! You can't deny you got that feeling in your bones Ready to go ? Are you ready to go ? From east to west, to LAX to Tokyo Don't you know ? No, no Falling like angels Out of the dark and into a dream Light up the sky for all to see We're falling like angels They try to. [01:41:08] Speaker B: Own us and control us So we don't get in the way. [01:41:14] Speaker A: One thing, no shit, won't be no bitch Not one more inch, not today We're not. [01:41:18] Speaker B: Going away. [01:41:20] Speaker A: Falling like angels Out of the dark and into a dream Come on you faithful Light up the sky for all to see Musique du générique. [01:42:59] Speaker B: Nothing more à l'instant donc dans Bang Bang avec Angel's Song et en featuring on aura reconnu... David Ramann je fais très mal. [01:43:07] Speaker C: Non non tu le fais exactement. J'ai pas vu la différence Pierre. [01:43:14] Speaker B: Nothing More, donc que apparemment vous ne connaissiez pas. Non, pas du tout. C'est pas un groupe ultra connu non plus, ils ont eu des Grammy quand même. Ah ouais ? Ils ont eu des Grammy à l'époque, dès le premier album je crois. [01:43:27] Speaker C: On peut dire que dans leur carrière, ils en auront moins que vous. [01:43:32] Speaker G: Plus les Grammy Awards. Of course ! Ah bah évidemment. [01:43:36] Speaker B: Non mais c'est le genre de musique qui vous plaît ça, ça reste quand même assez... Moi c'est plus le genre. [01:43:41] Speaker F: De truc que j'écouterais en concert plutôt que chez moi. [01:43:44] Speaker B: Sur scène c'est très bon, ils sont très forts techniquement aussi. Il me semble qu'il y a très peu de bandes en tout cas. [01:43:51] Speaker C: Et puis c'est bonne ambiance. [01:43:53] Speaker B: C'est très bonne ambiance, ils sont très très gentils. [01:43:55] Speaker C: Ça bastonne bien en live en fait, il y a de la bonne pression. [01:43:58] Speaker G: Tu sens que ça doit être bien lourd. [01:44:02] Speaker B: Il est beaucoup plus violent. [01:44:02] Speaker G: Ça on l'apprécie. [01:44:07] Speaker B: Et David Draymond, le chanteur de Disturbed, on en parlait, il a dit « Ah c'est le mec qui fait la réelle ! » C'est vrai, tu vis ça comment ? Tu le vois sur les réseaux sociaux, c'est ça ? [01:44:17] Speaker C: Du coup, est-ce que t'as envie de le gifler ou pas ? [01:44:20] Speaker G: Il est gentil, voilà ! [01:44:21] Speaker C: Ouais, mais il parle beaucoup quand même ! Je vois les genres de vidéos que t'as vues, il parle beaucoup, ça parle très longtemps. Je suis peut-être pas allée au bout à chaque fois. Saches que tu ne rates rien à ne pas aller au bout. [01:44:36] Speaker B: C'est quelqu'un qui aime beaucoup donner une image ultra positive de lui. Un peu comme si c'était Jésus ou un envoyé de Dieu. Il a un côté très religieux comme ça. [01:44:47] Speaker C: Un peu le Messie quoi. [01:44:50] Speaker B: Comme Lionel. Il regarde les gens comme ça. [01:44:52] Speaker F: C'est ça, c'est exactement ça. [01:44:54] Speaker B: Viens mon enfant, mais vous voyez il est là. Regardez comme c'est beau. [01:44:57] Speaker C: Pas trop les enfants. [01:45:01] Speaker G: Tu sens un peu la mise en scène américaine complètement. [01:45:06] Speaker C: Ah ouais bah ça on peut pas rater qu'il est américain. [01:45:10] Speaker B: C'est le genre de trucs qui vous gonflent ? Vous préférez le côté britannique ou le spectacle à l'américaine ? C'est quand même cool. [01:45:17] Speaker F: Il n'y a pas grand chose qui m'énerve. [01:45:20] Speaker G: Sauf les gens méchants. [01:45:21] Speaker F: Les gens méchants ça me rend dingue, mais le reste, à partir du moment où les gens font ce qu'ils ont envie, sans faire de mal aux autres, je m'en fous. [01:45:30] Speaker B: Donc les deux. Merci de bien répondre à cette question. [01:45:34] Speaker F: Si tu veux des réponses plus vastes encore, tu m'appelles. [01:45:39] Speaker G: Après les Américains, tu vois, il y a des trucs à prendre, des trucs à laisser. [01:45:43] Speaker F: Mais comme partout. [01:45:44] Speaker B: Oui, partout, bien sûr. [01:45:46] Speaker G: J'aime bien. [01:45:46] Speaker B: T'aimes bien le show quand même. [01:45:48] Speaker E: Enfin, j'aime bien le kitsch cool. [01:45:50] Speaker B: Ah voilà, ça c'est une école bac. [01:45:54] Speaker E: C'est kitsch cool et j'adore. [01:45:55] Speaker C: Et Nickelback ? [01:45:56] Speaker B: T'aimes bien quand la guitare elle tourne quoi. [01:45:57] Speaker E: Nickelback je connais pas assez. [01:45:59] Speaker G: Ah moi je connais, bah c'est kitsch cool. Ouais non moi j'aimerais pas. [01:46:02] Speaker B: C'est pas vraiment kitsch cool. [01:46:05] Speaker E: Non on fait pas ça. Ah ouais d'accord. [01:46:10] Speaker B: Ouais il faut que ce soit un peu excentrique, rigolo. [01:46:11] Speaker C: Ouais d'accord. [01:46:13] Speaker B: Qu'ils aient pas peur d'en faire trop. Ouais. Et toi tu te marres. [01:46:18] Speaker F: Ouais. [01:46:19] Speaker C: Est-ce que tu avais vu ce groupe qui faisait des reprises de ZZ Top avec le batteur qui s'appelle... que tout le monde appelle Yellow Torpedo là, ou qui fait des trucs avec ses bras. [01:46:30] Speaker G: Complètement pas... Mad Drummer. [01:46:31] Speaker C: Mad Drummer, avec la veste jaune à paillettes là ? [01:46:34] Speaker G: Oui, je vous l'ai montré. [01:46:35] Speaker C: Je pense que ça... [01:46:37] Speaker G: Je l'ai montré mille fois. On s'est roulés par terre les gars. Je vous ferai un update. [01:46:50] Speaker B: C'est revenu ! [01:46:52] Speaker F: Le robot ça m'a rappelé ! [01:46:53] Speaker C: Mais il est incroyable lui ! [01:46:55] Speaker G: Ah oui ! Et en plus il joue trop bien ! [01:46:58] Speaker B: Il faut que ça tombe ! Il y en a une qui nous a dit que la musique l'avait aidé pendant sa jeunesse. Vous, est-ce que la musique ça vous a amené des amis ? Est-ce que... bon c'est fait qui tout double à chaque fois, de toute façon soit on s'est fait des amis, soit on s'est retrouvé tout seul ! parce que le rock ou le métal isole un peu parfois, c'est-à-dire que tu peux dire, les autres ils vont te dire mais c'est quoi cette musique de barbare, moi j'écoute pas ça. [01:47:19] Speaker F: Moi j'aurais tendance à dire et tu me diras si t'es d'accord. Ça a fait le tri. [01:47:23] Speaker G: Ça a fait le tri. [01:47:24] Speaker B: Ouais, c'est une autre façon de voir, c'est intéressant effectivement. Dans votre vie ça a permis justement d'éliminer ceux qui vous intéressaient pas et de devenir professionnels. [01:47:32] Speaker C: Après la question c'est, est-ce qu'il y avait assez de gens pour qu'une fois que le tri soit fait, il reste des gens ? C'est un peu ça la question. [01:47:39] Speaker F: L'avantage de la musique c'est que tu rencontres quand même plein de gens. Tu vois on fait beaucoup de concerts, on rencontre plein de gens. [01:47:44] Speaker B: Oui mais ça c'est aujourd'hui. [01:47:46] Speaker F: Ah oui d'accord. [01:47:47] Speaker B: Avant quand vous étiez plus petite. [01:47:49] Speaker F: J'avais pas la question. [01:47:51] Speaker B: Moi ça m'a emmené moi. Genre lycée, collège lycée ? [01:47:53] Speaker G: Moi ça m'a emmené moi. Parce qu'avant de faire de la musique je pense que je n'existais pas. J'étais là. Tu vois, je savais pas trop qu'est-ce. [01:48:02] Speaker C: Que je foutais là, pourquoi... Ça donnait un but à ta vie, quoi. [01:48:05] Speaker G: Ouais. Et du coup, voilà quoi, tu sais, j'étais là. Et un jour, j'ai un prof de musique au collège qui nous fait une initiation en percussion. Et à la fin du cours, il me dit, toi, tu te fous un peu de ma gueule, tu fais déjà des percus. Et je dis, ah non, en plus moi, genre hyper timide et tout, un adulte qui me parle... [01:48:26] Speaker B: Il me dit un truc gentil, merde ! [01:48:28] Speaker F: En plus c'est un prof ! [01:48:29] Speaker G: Il veut me rentrer dedans mais gentiment quoi, je dis non non je vous jure et tout. Bon bah tu devrais et tout. Et après j'ai fait mon premier cours de batterie genre deux mois après et là j'ai fait ouah ! La révélation de ma vie et ça s'est senti dans tout, mon caractère, tout. [01:48:46] Speaker B: C'est fou ça ! C'est génial, c'est le truc qui donne envie d'en faire ! Au-delà de l'entendre, c'est de pratiquer quoi ! Une fois que t'avais frappé finalement tu es sorti mieux ! [01:48:56] Speaker G: Inarrêtable quoi ! [01:48:57] Speaker C: Moi j'ai fait de la batterie aussi et le premier cours que j'ai eu, le prof il m'a dit tu vois ce qui est bien avec une batterie c'est que tu peux taper aussi fort que tu veux. Et j'ai fait ça fait du bien. [01:49:09] Speaker G: Ça c'est cool. [01:49:10] Speaker B: Du coup ça t'a permis de t'exprimer, de devenir toi, mais en même temps de te défouler. [01:49:13] Speaker G: Ce que tu dis là, s'exprimer, je crois que j'avais aucun moyen d'expression. Moi je suis incapable de danser, j'étais avant incapable de chanter. [01:49:21] Speaker C: Juste que du reggae quoi. [01:49:26] Speaker B: On a trouvé ce qu'elle aime pas ! [01:49:29] Speaker G: Ouais en fait j'avais aucun moyen d'expression parce que j'étais hyper timide et que je suis arrivée en cours de batterie et je commence à jouer et puis j'avais un prof qui me dit mais tape ! Et plus je tapais, plus il faisait ouais ! Et voilà, mais du coup, merveille. [01:49:43] Speaker B: En même temps l'adolescence c'est quand même pas le moment le plus joyeux d'une vie. On peut vivre des belles choses, attention, je dis pas le contraire. C'est pas le plus facile. [01:49:53] Speaker C: Ça peut être joyeux mais c'est pas forcément facile. [01:49:56] Speaker B: Toi ça s'est passé comment ? Ça t'a isolée ou tu t'es fait plein de potes ? [01:50:03] Speaker E: Je pense qu'au lycée je me suis fait des potes. Et genre il y en a quelques-uns qui sont encore dans ma bande de potes proches actuelles. [01:50:12] Speaker B: C'est cool ça ? [01:50:12] Speaker E: Ouais. [01:50:13] Speaker B: Du coup vous avez fait les 400 coups ? [01:50:15] Speaker E: Ouais, 400 coups. Sages. [01:50:18] Speaker B: Sages, ok. [01:50:18] Speaker C: Bah ils ont beaucoup écouté les Beatles, déjà. [01:50:22] Speaker E: Non, en vrai... Attends, mais... Et c'est. [01:50:26] Speaker B: Eux qui t'ont amené cette volonté de vouloir faire d'un instrument ? Enfin, ce groupe d'amis ? [01:50:32] Speaker E: En fait au lycée on avait une salle pour faire de la musique et au collège j'avais acheté ma première basse et tout. Et du coup au lycée avec eux on jouait ensemble mais juste comme ça. [01:50:47] Speaker C: C'est bien ça te met le pied à l'étrier au moins. [01:50:49] Speaker B: Pour réussir à jouer ensemble aussi. [01:50:52] Speaker C: Non mais je trouve ce qui est dur en France, c'est qu'on n'a pas vraiment ce truc, enfin à part si c'est une initiative familiale ou personnelle, on n'a pas trop de mise à l'étrier, pied à l'étrier dans l'univers de la musique et le fait de jouer, de s'exprimer comme ça. C'est vrai que c'est pas un truc, enfin en général les expressions artistiques sont pas trop soutenues à l'école en France. Plus maintenant j'ai l'impression quand même. [01:51:13] Speaker G: Je disais souvent quand j'en parlais avec mes parents, je leur disais mais tous les ans vous nous demandiez mais alors l'année prochaine tu veux faire quoi comme sport ? Tu veux faire quoi comme sport ? Et le jour où je suis arrivée j'ai dit oh je vais essayer la batterie, ils ont fait oh ouais ! [01:51:25] Speaker C: Moi j'y avais pas pensé ! [01:51:26] Speaker G: Mais vraiment, ah ouais l'instrument ! [01:51:28] Speaker C: En plus tu pourras jouer les morceaux d'ACDC ! [01:51:30] Speaker B: Ouais c'est ça ! Mon père il est comme un ouf ! [01:51:33] Speaker G: Vas-y fais-moi ACDC ! [01:51:37] Speaker C: C'est vraiment le truc, tu joues que la batterie, c'est relativement chiant quand même. [01:51:42] Speaker G: Du coup il réalise, bon si tu veux. Ouais non c'est chiant. [01:51:47] Speaker B: Mets-toi la guitare ! Oui c'est vrai que comme tu dis ça c'est une vérité, on n'avait jamais parlé mais c'est le sport qui est mis en avant. En France c'est vrai que le sport est mis en avant quand même. Mais la musique moyennement. [01:52:00] Speaker E: Du coup, je voulais rajouter que... Du. [01:52:03] Speaker B: Coup, il n'y a pas de soucis. [01:52:06] Speaker E: C'est que du coup, au lycée, je suis rentrée dans une école de musique qui était vraiment en mode loisir, on se fait plaisir et tout ça. Et c'était une école de musique qui s'appelait Musique Addict, ça existe toujours derrière. Et c'est très axé, eux ils sont très métal à la base. On y allait et à la fin de l'année on faisait un gros concert où les élèves se réunissent en groupe pour jouer des morceaux qui leur plaisent. J'ai rencontré plein de gens, j'ai fait mes premiers débuts sur scène. C'était vraiment trop cool. [01:52:39] Speaker C: Et du coup la scène ça t'a tout de suite un peu grisé ? C'est un truc qui t'a donné envie d'en faire plus ou est-ce que c'était vraiment au début c'était juste vraiment un peu la punition c'était trop dur ? [01:52:50] Speaker E: J'avais très très peur quand même. J'ai fait la toute première au chant, je sais pas pourquoi. Et je suis arrivée genre la première fois sur scène avec mon micro et j'ai rien réussi à chanter. Je suis restée comme ça devant les gens. [01:53:03] Speaker C: En plus je pense que le chant c'est vraiment le... Ah bah t'es à poil quoi ! T'es à poil quoi, c'est-à-dire que... Quand t'as un instrument à la limite t'as un truc qui te cache un peu et puis c'est pas toi directement mais la voix c'est vrai que... Et. [01:53:17] Speaker E: Du coup après quand j'ai fait les concerts à la basse je dis ah ouais... [01:53:20] Speaker B: C'est mieux. Je préfère ça. [01:53:23] Speaker C: Je veux bien crier un petit peu de temps en temps s'il faut. [01:53:26] Speaker B: Oui parce qu'elle crie beaucoup sur scène. Elle se retourne, elle me dit « vas-y ». Je sais pas ce qu'il y a vraiment d'une complicité, c'est ça elle maintenant. Elle se tourne avec la natte qui bouge. Ça fait partie de la scène aussi cette natte. [01:53:43] Speaker E: Je la fais pas tout le temps mais hier je l'avais et c'est vrai que c'est un peu gênant en fait. Hier je me suis rendue compte qu'elle me dégommait la gueule. [01:53:54] Speaker B: C'est-à-dire que ça toigne beaucoup. [01:53:55] Speaker C: Ça devient un fouet quoi. [01:53:56] Speaker E: Alors que je la fais vraiment pas souvent. [01:54:00] Speaker G: On le regrette. [01:54:02] Speaker B: Entre une leçon de plus. Pour vous ça représente quoi le rock ? Dans l'état d'esprit, dans la possibilité, je sais pas si vous avez un mot, quelque chose à expliquer. Qu'est-ce que le rock ? vous amène ou qu'est-ce que ça représente ? C'est très très difficile comme question, je suis d'accord, mais ça peut être un message, ça peut être une liberté, ça. [01:54:23] Speaker C: Peut être... Qu'est-ce que vous associez comme état d'esprit au rock aussi peut-être ? Moi je dirais l'intensité, pardon. [01:54:27] Speaker G: Non, vas-y, vas-y. Moi je dirais l'intensité. J'écoute du rock fort, quand j'écoute du rock j'ai roulé un peu trop vite. Tu vois, je suis plus intense quoi. [01:54:38] Speaker B: Donc c'est quelque chose qui est pour toi basé sur l'énergie vraiment, plus que sur un autre message ou une qualité de vie ou je ne sais quoi. [01:54:47] Speaker G: Ouais, je crois bien. [01:54:48] Speaker B: Bon, ça se tient. Je pense que c'est le cas pour beaucoup de gens. C'est pas mal. [01:54:53] Speaker F: Il y a plusieurs trucs. Il y a le fait que ça réunisse vachement. C'est assez intemporel et du coup, il y a des périodes où il y en a moins, tu vois. Mais là, par exemple, il y a quelques années, il y a Maneskin qui a gagné l'Eurovision. Et en fait, ça a donné un espèce de coup de projecteur. Je suis assez fascinée par les réseaux sociaux et tout. Et du coup, je suis sur TikTok pour observer comment les gens font de la vidéo. et en fait d'un coup je l'ai vu TikTok se transformer à partir de ce moment là, genre les gamins de 14 ans ils mettaient du rock tu vois derrière leurs vidéos et sur nos concerts à nous on le sent vachement en fait tu vois qu'il y a autant d'arons ou de vieux ou d'ados ou d'enfants tu vois et ça je trouve ça assez incroyable je pense que c'est le côté cyclique tu vois qui fait que ça rassemble des gens très différents et je trouve ça trop bien. Et il y a aussi le côté libre, moi j'aime beaucoup tout ce qui est vraiment scène underground, le garage et tout. Et je suis assez fascinée de la manière dont des Diocese, des Tice Eagle ou des Jack White sont des artistes incroyables, incontestés, qui sont trop forts et tout. Et si les mecs décident demain de sortir un album acoustique ou de sortir un album avec que des bruits de jouets, ils vont le faire. La première fois que tu vas l'écouter, t'es là genre Et la deuxième fois, tu vas dire, ah merde, c'est bien en fait, tu vois. Et je veux dire, et même si ça te plaît pas, bah lui, il avait envie de le faire. Et du coup, il l'a fait. Et il y a personne pour... Tu suis, tu suis pas, c'est pas grave, tu préféreras l'album d'après, tu vois. Mais je trouve ça cool, cette espèce de liberté de... T'as envie de faire quelque chose, fais-le, tu vois. J'aime bien. Je sais pas si c'est pareil ailleurs, mais en tout cas, c'est un truc que j'aime bien. [01:56:31] Speaker B: Si t'as pas envie de répondre, tu peux dire, je m'en fous. [01:56:33] Speaker E: Non, je m'en fous pas, mais je saurais pas dire. Je pense que je me partage un peu entre leurs avis côté libre et intense. [01:56:49] Speaker B: Parce qu'on parle beaucoup de communauté en fait. Plus dans le métal que dans le rock, en France en tout cas, on parle beaucoup de cette communauté. Les gens qui se reconnaissent dans la rue aussi, de ce moment où on se sent bien parce qu'on voit quelqu'un qui porte un t-shirt d'un groupe ou un truc comme ça et quand même on ne les connaît pas. Si on est dans un endroit où on n'a pas vu beaucoup de rockers, on a quand même un truc où on se sent mieux. peut-être accepter une communauté. Comme tu disais, toi c'était le fait d'être ensemble. C'est vrai que quand on voit le public qu'il y avait à la maroquinerie, je regardais beaucoup et je me disais, waouh, mais il y a vraiment tout le genre de population qui est représentée. Et c'était cool parce que tout le monde se mariait ensemble. Tout le monde ne se gueulait pas dessus, justement, comme on pourrait le voir dans la rue. Là, les gens étaient en train de s'amuser ensemble. Et c'était cool parce que ça se bousculait, mais c'était poli. Puis il y avait vraiment des vieux et des très jeunes. et de toutes les communautés. Donc c'est vrai que le rock a peut-être plus cette facilité là que le métal, je ne sais pas. Je ne sais pas. [01:57:43] Speaker F: Je ne me rends pas compte en tout cas. Nous, c'est ce qu'on vit en tant que groupe, tu vois. Et en tant que public aussi. [01:57:50] Speaker B: Ça vous fait plaisir aussi de pouvoir toucher un peu une multiplicité de personnalités. [01:57:56] Speaker F: Mais déjà, tu pouvais arrêter de ne serait-ce que toucher des gens, tu vois. C'est un truc de malade. Il y a 6 ans, on ne se connaissait pas, on s'est mis dans un garage pourri, on a fait de la musique. et genre maintenant il y a des gens qui chantent les chansons qu'on écrit, t'es là genre à quel moment ça a switché tu vois ? [01:58:10] Speaker C: Ah bah t'inquiètes, à la prochaine étape t'as des gens qui vont se faire tatouer les paroles C'est déjà fait. [01:58:18] Speaker B: Ah oui ? [01:58:19] Speaker F: Pas nous. [01:58:20] Speaker C: Ouais si c'est toi qui te les tatoues ça compte pas. [01:58:21] Speaker G: C'est un peu bizarre. [01:58:23] Speaker C: Oh bah si t'es très fière d'une phrase. [01:58:25] Speaker B: Oui et puis c'est pour le souvenir, le tatouage ça marque une période. Mais ok, ok. Et vous, j'avais posé une question que j'ai déjà posée. Vous avez choisi un autre groupe. BRNS Brains. Oui, c'est moi. C'est le côté noise, c'est le côté punk, c'est le côté... [01:58:45] Speaker F: C'est assez particulier, juste là d'en parler, ça m'a aimé un peu, j'aime trop ce groupe. C'est un groupe que j'avais découvert par un pote quand j'étais au lycée. et ce clip est incroyable et en fait je l'avais perdu de vue parce que assimilé à des situations pas cool et tout j'avais complètement laissé de tomber et il n'y a pas longtemps là je me suis remise dedans je chialais toutes les larmes de mon corps parce que l'album est incroyable vraiment c'est magnifique c'est très mélancolique j'aime beaucoup et en fait ils ont fait leur tournée d'adieu l'année dernière et je me suis chauffée pour venir à Paris c'était au Supersonic pour voir l'avant-dernière de la tournée Et c'était un moment incroyable et c'est vraiment le genre de truc où je suis tellement reconnaissante d'avoir pu vivre ça en live, tu vois, et d'avoir pu ne serait-ce que rencontrer cette musique-là. Et ce titre, je l'aime d'amour, quoi. Il est trop bien. [01:59:32] Speaker B: Donc le rock, en fait, on pourrait dire aussi que ça vous prend aux tripes. [01:59:36] Speaker F: Ah oui, clairement. [01:59:38] Speaker B: Ça peut autant t'amener du plaisir, du rire, que de la grosse chialade. [01:59:43] Speaker F: Mais des fois, si je suis très très contente, je pleure aussi. [01:59:46] Speaker B: Oui, on connaît bien. Quand je suis content, je vomis. [01:59:48] Speaker C: Quand je suis contente, je vomis. [01:59:54] Speaker B: On va regarder ce clip de Brains qui s'appelle « Orlight ». Cette chanson en particulier. [01:59:58] Speaker F: C'était sur cette chanson que je les ai découverts et vraiment le clip est incroyable. [02:00:03] Speaker B: On regarde ça tout de suite. Je vous rappelle que nos invités, c'est le groupe MADAM. [02:00:15] Speaker A: Crèles of light, je suis alptite Crèles of light, je suis alptite. [02:01:35] Speaker B: J'Ai su. [02:06:04] Speaker F: Bienvenue dans l'amour Bienvenue dans la mer. [02:08:40] Speaker C: Franchement, c'est tarpa-lourd ! [02:08:45] Speaker B: Madame, donc, nos invités ce soir, c'est Ryo Tumuzeng, qu'on a le plaisir de recevoir ce soir. Le titre qu'on vient de voir en clip s'appelle La Meute, je vous rappelle qu'elles viennent de sortir leur tout premier album, qu'il faut absolument que vous l'écoutiez, vous allez avoir envie de beaucoup de choses. Vous l'achetez bien sûr, du merch aussi, il faut aller au concert, puisque c'est aussi là qu'on vit clairement leur art. Je le disais tout à l'heure, elles sont trois, et c'est trois personnages très très différents. On la voit en train de faire des grimaces, mais elle tape et en mode, je peux vous dire un truc, si y'en a un qui s'approche, t'es mort ! Y'a le côté un peu folle. [02:09:32] Speaker C: Elles l'ont dit avant de monter sur scène, c'est casser la gueule. [02:09:36] Speaker B: Elle a l'air possédée sur scène et les yeux des fois un peu révulsés. Y'a quelque chose qui se passe, non mais c'est vraiment très intéressant. Et toi par contre, c'est un peu la toupie, c'est un peu la joie. T'as vraiment le smile, on est là, on se dit ah oui ! Il y a trois personnages comme ça, mais tout va très bien ensemble. C'est une belle histoire qui se passe et je vous la souhaite très très longue cette histoire bien évidemment avec madame... [02:09:57] Speaker F: On sait pas faire autre chose. [02:10:02] Speaker G: Pas d'autres idées. [02:10:03] Speaker C: Moi j'ai une petite question par rapport à ce que tu viens de dire parce que du coup j'ai pas eu la chance de vous voir hier. [02:10:09] Speaker B: Oui, vas-y continue. [02:10:14] Speaker C: Mais le fait que quand on est sur scène on devient un peu habité, enfin parce que je pense qu'on laisse un moment si on veut faire un bon concert il faut laisser libre cours à son interprétation et ça implique un peu de s'oublier soi et de juste laisser sortir un peu les choses du coup on contrôle un peu moins ce qu'on fait donc déjà bravo de réussir à bien jouer en faisant ça parce que c'est vrai que souvent les groupes qui jouent bien manquent un peu d'interprétation et il y a des groupes qui sont trop dans l'interprétation mais qui du coup ne jouent plus très bien. [02:10:50] Speaker B: Est-ce que quand vous vous voyez les unes. [02:10:52] Speaker C: Les autres, possédé comme ça, ça vous galvanise ? Est-ce que vous trouvez ça bizarre ? Quelle réaction vous avez ? [02:11:06] Speaker F: J'ai vraiment une anecdote très bien par rapport à cette question. On a fait notre sortie d'album au Métronome à Toulouse aussi et il y a un moment donné du set où d'habitude il ne me retourne pas et là je me suis retournée et j'ai vu Marine qui était dos à la batterie et qui regardait les gens avec un espèce de regard et tu sais c'est un moment badass et tout et genre vraiment j'ai juste fondu en me disant. [02:11:28] Speaker B: Elle est trop badass. [02:11:32] Speaker C: Elle est avec moi alors. [02:11:34] Speaker F: Elle est dans mon bed. C'est à moi. [02:11:37] Speaker G: On s'auto-enjaille. [02:11:41] Speaker F: Moi j'ai un truc que j'ai l'habitude de dire c'est que des fois il y a des concerts où les gens ils adorent mais ils sont timides. Ça arrive. Sauf qu'en fait j'ai du mal moi à donner une énergie différente de celle que je reçois. Donc par exemple si les gens sont calmes, c'est pas que je me fais chier, c'est juste que je suis dans. [02:11:59] Speaker C: Autre chose, tu vois, en termes d'énergie. [02:12:01] Speaker F: Et en même temps ça me frustre, parce que moi j'aime bien sauter dans tous les sens, tu vois. Et du coup genre j'envoie des appels de phare à Marine, qui vient en premier temps essayer de me rentrer dedans pour que je me mette dedans, et si jamais elle voit que ça marche pas, elle prend le lead de la meuf qui tape. Et ça t'imagines à quel point c'est... [02:12:20] Speaker C: Elle descend dans la fosse, elle tabasse tout le monde. [02:12:24] Speaker G: Limite, ouais. [02:12:25] Speaker B: Ça y est, c'est stable, là, c'est bon ! [02:12:27] Speaker F: Mais t'sais, elle se met devant, et après... La provoque, tu vois, de se mettre devant... Y a quoi ? Vous faites quoi, là ? Vous dormez ou quoi, tu vois ? Et du coup, ça met en sécurité, parce qu'en fait, tu sais que quoi qu'il arrive, t'es avec tes deux potes qui sont autant barrés que toi, tu vois ? Et qu'on est là, tu vois, on se tire la bourre et... Ça voulait dire quoi, ça ? [02:12:46] Speaker C: Non mais ce qui est bien, c'est que quelque part, y a une espèce de synergie quand vous êtes tout ensemble, parce que vous semblez quand même toutes les trois assez... assez réservée j'ai envie de dire enfin pas très pas forcément hyper expansive. Vous n'avez pas l'air timide non plus mais je veux dire pas forcément. [02:13:03] Speaker G: On fait semblant de ne pas être timide. [02:13:08] Speaker C: Mais du coup toutes les trois ensemble il y a une espèce de synergie qui fait que la somme de vous trois est supérieure à la somme des individus quoi. [02:13:15] Speaker G: Absolument j'ai réussi à tout suivre ce que tu viens de dire. [02:13:21] Speaker E: Je suis d'accord. [02:13:23] Speaker B: Par contre, quand elle est contente, elle se retourne, elle fait... Je l'ai vue sur scène, j'ai regardé, je me disais, c'est bien, regarde les rôles, essaye de voir. Et j'ai vu tourner, et elle s'est tournée un peu sur ton côté droit, quand tu joues. Elle a fait... Ah ouais on l'entend bien quand même. [02:13:42] Speaker F: Mais ça tu vois des fois c'est qu'en fait il y a tellement d'énergie et d'excitation qu'il faut que ça sorte. [02:13:48] Speaker C: C'est un peu comme les chats qui n'ont pas assez d'activité et qui d'un. [02:13:51] Speaker B: Seul coup se mettent à sauter et. [02:13:53] Speaker C: À faire la toupie. [02:13:54] Speaker F: C'est vraiment exactement ça. [02:13:56] Speaker B: Mais je trouvais ça génial parce qu'en fait tu te prends le coup aussi. C'est très bien mais c'est marrant parce que t'as quand même la décence de dire bon tu sais quoi je vais quand même me tourner, faut pas qu'ils voient. Ils l'entendront, mais bon... T'es comme ça, t'as vu le truc, t'as pris ta guitare, t'as fait comme ça, t'es chantant, tu hurles, et tous les gens ont fait... Et t'sais, c'est la délicité en même temps... Et t'as fait, ok, ok... Et encore ! Encore ! Allez ! Allez ! C'est à partir de ce moment-là, t'avais tous les mecs qui étaient au milieu, qui t'avaient... J'avais pas entendu qu'il y avait autant d'hommes dans l'étage. [02:14:29] Speaker C: À l'étage, y'a des mecs qui ont pété des tables et tout. Y'a un mec, il était dans la salle, il a fait « Quoi ? [02:14:34] Speaker G: Quoi ? [02:14:34] Speaker C: » Il est sorti, il a défoncé. [02:14:35] Speaker B: Tout dans la rue. [02:14:36] Speaker F: Alors figure-toi qu'apparemment y'a un mec qui s'est cassé une dent hier soir. [02:14:39] Speaker G: Vous aimerions prendre de ses nouvelles ? [02:14:42] Speaker F: On aimerait savoir s'il va bien. [02:14:44] Speaker B: C'est pas sympa ça. On espère qu'il va bien, qu'il n'hésite pas à envoyer des messages privés. [02:14:49] Speaker C: Mais qu'il n'envoie pas la facture du dentiste. [02:14:51] Speaker B: Non, ça ne marche pas. Ça ne sera pas pris en compte en tout cas. Ça veut dire que le concert s'est bien passé aussi. On ne souhaite à personne que ça arrive bien sûr. ça montre que les gens se sont éclatés. [02:15:02] Speaker C: Après moi je connais des gens qui se sont pétés des dents à des concerts, ils se sont dit ah ouais ça je m'étais pété au concert, alors on se l'est bien donné. Ça c'est le moment, elle s'est retournée. [02:15:15] Speaker B: Elle a fait ouah ! Moi ni de pas je me suis pété la dent quoi ! Dans cette chanson, je voulais reparler un petit peu de la meute aussi. Tout à l'heure, vous avez dit que vous avez gardé ce passage en français. [02:15:30] Speaker G: Ça t'arrive à changer du beurre hyper vite. [02:15:33] Speaker B: À nous, on va m'embêter. Si je continue à crier pour de drôles d'autres, je vais essayer de construire quelque chose quand même. [02:15:43] Speaker C: Si tu veux, je peux refaire un ou deux petits cris au fur et à mesure de ta question pour que ça redescende doucement. [02:15:47] Speaker G: Est-ce qu'on peut faire un décrétion d'eau s'il vous plaît ? [02:15:50] Speaker B: Mais justement, quelque part, il y a ce côté meute où vous êtes entre vous, je sais pas s'il y a un message particulier là-dedans, mais il y a quelque chose d'animal aussi sur cette scène. Et cette meute, est-ce que vous invitez ces gens à venir ? Quelque part, indirectement, même si c'est pas les paroles. Mais j'aimerais une explication, c'est tout, voilà. pour faire plus simple. [02:16:09] Speaker F: J'essaye de me souvenir en fait c'était un truc un peu une période de ma vie où je me suis fait rejeter par un groupe de gens et je me suis sentie un peu comme éjectée d'une meute en fait tu vois genre vraiment ce truc de y'a une personne avec qui ça marche pas tout le monde te dégage tu vois et genre tu te retrouves où toutes les personnes qui rythmaient ta vie quasiment d'un coup y'a plus personne Et du coup, il y avait ce truc... Ok, jette-moi au loup, ben maintenant, tu vois, c'est moi la chef de meute, en fait, tu vois. Et c'est un peu ce truc, tu vois, c'est nous, tu vois, c'est nous trois, et c'est le fait que... On est partis de rien, tu vois, et aujourd'hui, on va à des concerts et... et on fait une maro, on fait un métronome à 600 personnes, enfin tu vois c'est... [02:16:54] Speaker C: Un petit côté pep talk quoi. C'est quoi ? Le pep talk, tu sais, c'est quand tu te regardes dans le miroir et que tu t'automotive... Ah mais clairement, ouais. [02:17:01] Speaker F: C'Est un peu ça. [02:17:02] Speaker B: Non puis c'est un beau message, c'est-à-dire que quand bien même on a des moments difficiles, il faut pas perdre espoir. [02:17:07] Speaker C: Comme, bien même, Pierre. C'est ce que j'ai dit ? [02:17:10] Speaker B: Non, mais... Ah, c'est un petit clin d'œil à Louise ? Entre autres. Amiens à nous qui nous dit... Bon bref. Comme même. [02:17:17] Speaker C: Comme bien même. [02:17:18] Speaker B: Comme même. [02:17:19] Speaker C: Comme même. [02:17:19] Speaker F: Comme même. [02:17:20] Speaker B: Et comme on l'aime beaucoup, évidemment. [02:17:21] Speaker C: Oui, bien sûr. [02:17:22] Speaker B: Si on se moque, c'est parce qu'on s'aime beaucoup. Oui, il y a ce... [02:17:25] Speaker C: Il est extrêmement aimé. [02:17:26] Speaker B: Il est extrêmement aimé. Je m'en fous de toi. T'es un enculé. [02:17:30] Speaker C: C'est pas moi. [02:17:31] Speaker B: Oui c'est moi, on va pas rentrer dans les détails. Qu'est-ce que je voulais dire ? Mais du coup c'est bien aussi, il y a ce côté, grâce à madame, il y a ce côté si vous êtes, attention mes mots sont très forts, mais si vous êtes faibles, ne perdez pas espoir, on est ensemble, viens avec nous, nous on t'accepte comme tu es, et c'est cool en fait. [02:17:49] Speaker F: Parce qu'en fait c'est la vie, genre tout le monde, on se retrouve tous à un moment, tous et toutes à un moment donné dans des situations de faiblesse qui durent plus ou moins longtemps, Et c'est pas une honte, c'est comme ça. Genre tout le monde est passé par là. Et nous on aime tout le monde, sauf les gens méchants. Si t'es méchant on va te faire voir. Mais sinon t'es bienvenue. [02:18:05] Speaker B: C'est très bien, le message est passé, donc il faut absolument aller les voir en concert encore une fois. [02:18:08] Speaker G: Et être gentil. [02:18:09] Speaker B: Et être gentil. Si vous êtes méchant, c'est pas compliqué d'être gentil. [02:18:13] Speaker C: Si vous êtes méchant, n'y allez pas, elles vont vous casser la gueule. Oui. [02:18:16] Speaker B: Et les autres sûrement avec, parce que si elles commencent, il y a toute la tribu, justement la meute qui va se jeter. Ça va mordre. Vous avez d'autres activités dans votre vie ? Bon, on connaît la réponse de l'une d'entre vous, mais on va commencer par les deux autres. Moi, je répare des voitures. Ben oui, c'est bien. [02:18:37] Speaker F: Elle est très forte. [02:18:38] Speaker C: C'est pour ça qu'il y a toujours des voitures dans vos clips ? [02:18:40] Speaker G: Oui. [02:18:41] Speaker C: C'est pas cher. Parce que c'est un truc qui quand même, quand on n'est pas du milieu, c'est un truc qui est très vite coûteux à avoir sur un set. [02:18:50] Speaker B: Pas pour nous. [02:18:51] Speaker C: Du coup là apparemment non. Mortel. [02:18:54] Speaker G: C'est parti un peu d'une blague, l'histoire des bagnoles. C'est on cherchait une idée pour The Ride et donc Gab qui est très créative a cherché plein de trucs. Puis il y a Marine qui est arrivée et dit moi si vous voulez je vous ramène une bagnole en défense. Et puis là on a fait « aaaah ». Au début on a fait « heu ouais ». [02:19:13] Speaker F: Et après ça du coup on a fait la session, quand on est revenu en trio, on a fait une session live à l'arrière du garage, donc au milieu des carcasses de voitures. Et on s'est dit « heu les. [02:19:21] Speaker G: Voitures et tout ». [02:19:22] Speaker F: Et du coup le premier single qu'on a sorti pour l'album c'est un clip où on est dans une voiture à l'envers, et la pochette de l'album il y a une voiture à l'envers. Est-ce qu'il y a des gens qui ont quelque chose à dire ? Non. [02:19:31] Speaker G: Oui, nous aimons les voitures. [02:19:36] Speaker B: C'est mieux si t'aimes les voitures, effectivement. Donc vous n'êtes pas encore arrivé au niveau, vous avez votre intermittence pour vous permettre de... [02:19:42] Speaker G: Si, mais c'est la passion. [02:19:43] Speaker B: Ah c'est bien, donc c'est vraiment une passion forte. Mais non, mais c'est intéressant. Mais non, mais quand t'es intermittent, généralement t'arrêtes tout le reste. Les gens, c'est ce qu'ils font. Là, ça veut dire que c'est hyper important aussi pour toi. [02:19:57] Speaker E: En fait je travaille avec mon papa. [02:19:58] Speaker B: Oui mais c'est bien. [02:20:01] Speaker G: Elle veut pas abandonner son père. [02:20:03] Speaker C: T'aimes bien quand même ? [02:20:04] Speaker B: Oui, j'aime pas tout mais il y. [02:20:07] Speaker E: A des trucs que j'aime beaucoup. [02:20:10] Speaker B: Ok. On va pas t'enviter plus longtemps. [02:20:16] Speaker G: Moi je donne des cours de batterie. Encore. Mais parce que je veux pas abandonner mes élèves. Et que des fois je rentre de tournée, je suis dégommée, je suis là moi j'y vais pour eux. [02:20:26] Speaker F: Tu peux faire une correction ou pas ? Oui. Tu donnes pas des cours de batterie, elle a son école de batterie. Dans laquelle elle est ancienne. [02:20:32] Speaker B: Ah oui c'est quand même... C'est un autre level. [02:20:34] Speaker G: C'est quand même notre directrice, vous voyez ? Mais je pense que j'aurai plus trop le temps bientôt. Et sinon j'ai aussi une petite fille qui a bientôt 5 ans. [02:20:46] Speaker F: Donc ça c'est du travail. [02:20:47] Speaker C: C'est vrai que ça peut prendre du temps. Moi-même je m'occupe d'un enfant et ça me prend beaucoup de temps. J'espère que bientôt il pourra aller au pot tout seul. [02:20:57] Speaker B: Il y a ça dans ma tête, je sais pas pourquoi, c'est avoir un seul enfant de toi. Je sais pas ce qui s'est passé. Non mais c'est compliqué là-dedans. ça va vite. Et tu dis, je le fais aussi parce que je veux pas laisser tomber mes élèves, c'est un truc qui est donc aussi important, de part ton boulot à côté, de venir là aider ces gamins qui ont envie de... Ouais, alors. [02:21:18] Speaker G: J'Ai des gamins, ils ont 50 ans, mais... Non mais si tu veux, je me suis tellement éclatée en apprenant la batterie et je les vois qui s'éclatent tellement que tu vois je peux pas dire bon les gars je donne plus de cours c'est bon, tu vois j'ai pas le temps. Et voilà ils se régalent tellement que je peux pas les abandonner. [02:21:40] Speaker B: Bon c'est cool, c'est cool. On va terminer par toi évidemment parce que c'est vrai que c'est toi qui l'avais remarqué, moi j'avais pas fait attention. [02:21:48] Speaker C: Moi j'avais remarqué qu'on avait déjà rencontré la personne qui réalisait les clips et je ne savais pas que c'était elle, qui était dans le groupe. Et là ? [02:21:57] Speaker F: Et là, là ça fait le chemin. [02:21:58] Speaker B: Bah là c'est en arrivant ? Ah bah oui d'accord ok. [02:22:02] Speaker F: Bah moi en fait à la base, de base, je me suis mise à... Quand j'ai commencé mes études à Toulouse, en fait je suis devenue un rat de concert. Genre je faisais tous les concerts et je faisais tous les concerts en photographe. Genre c'est comme ça vraiment que j'ai appris la photo. J'avais toujours fait un peu mais c'est comme ça que je me suis mise à geeker quoi. Et en gros j'allais au concert, dans la nuit je retouchais les photos, le lendemain matin les gens se réveillaient, il y avait les photos des concerts en ligne. Et j'aimais bien, tu vois, je me disais les musiciens, les musiciennes et les publics, tu vois, ils se réveillent et genre il y a le souvenir de la veille, tu vois. Et je trouvais ça... Et j'ai fait beaucoup, beaucoup de concerts et du coup j'ai commencé à faire mes premières photos de groupe et je me suis rendu compte que c'était vraiment quelque chose qui me faisait kiffer, quoi. Et au fur et à mesure, photos, pochettes, illustrations, sessions live, clips, tu vois. Et en fait c'est quelque chose que je fais toujours parce que j'adore ce truc d'un groupe de musique qui vient et qui te dit ça c'est nos têtes, ça c'est notre musique, démerde-toi tu vois. Et en plus c'est marrant parce que c'est une bonne école faire des photos de groupes de musique parce que la plupart des musiciens et musiciennes ils aiment pas faire des photos, la plupart ils aiment pas poser. et la plupart ils s'aiment pas en photo non plus tu vois. Et du coup c'est cool parce qu'en fait tu t'apprends à mettre en confiance, à driver, à discuter tu vois et aujourd'hui je me retrouve à shooter des groupes comme C.D. Larson qui sont des filles de la vieille tu vois et qui ont tourné beaucoup et qui ont bossé avec beaucoup de photographes et toi t'es là avec ton petit appareil photo en mode genre Bon maintenant vous m'écoutez ! [02:23:29] Speaker C: C'est moi qui l'applique et qui fait ce qu'il faut faire ! [02:23:31] Speaker F: Mais tu vois, ils étaient ravis de la manière dont ça s'est passé, dont je les ai dirigés et tout et c'est un truc qui me fait vraiment kiffer, que je continue à faire quand j'ai le temps et que je fais du coup principalement maintenant aussi pour le groupe quoi. Enfin depuis le début du groupe en fait, c'est moi qui gère la com. [02:23:48] Speaker B: C'est marrant quand même que tu... Excuse-moi je te coupe la parole mais c'est marrant quand même que t'aimes bien diriger les gens en disant vous savez pas poser etc. Vous aimez pas vous voir en photo. On t'aime pas de voir en vidéo. [02:23:57] Speaker F: Alors c'est pas que j'aime pas, c'est que ça me déconcentre. Genre si je me vois, j'ai tellement envie de faire des grimaces. [02:24:01] Speaker B: Ah tu veux maîtriser, tu veux maîtriser. Ça peut faire partie du show, ne te prive pas. [02:24:06] Speaker G: Elle est facilement distraite. [02:24:11] Speaker B: Ok, je me suis trompé alors sur la valeur de mon son. [02:24:15] Speaker F: C'est juste une question de concentration. Du coup pour le groupe, c'est super pratique parce que ça veut dire qu'on est en tournée à 8h de la maison et il y a un endroit sympa, on s'arrête, on fait une photo, on repart. Et c'est trop bien. Et ça veut dire aussi qu'en termes de délai et de spontanéité, on est super autonome, il y a besoin d'un truc, la journée c'est prêt. [02:24:38] Speaker B: Et puis c'est vos idées, c'est-à-dire que comme tu vis ta musique, etc. Et puis vous vous parlez facilement, donc c'est plus facile. [02:24:44] Speaker C: J'ai de la chance que ce soit cohérent avec... Ouais c'est ça en fait. [02:24:46] Speaker F: Du coup il y a une continuité tu vois, genre entre les clips, les pochettes, les photos, même les visus dessinés, les trucs comme ça. Genre l'avantage c'est que vu que c'est tout le temps fait par la même personne, mais il y a une espèce d'identité. [02:24:59] Speaker C: Et est-ce que du coup, Est-ce qu'avec le temps, parce que du coup je pense que tu mets énormément de toi dans le groupe, est-ce qu'avec le temps ça devient plus dur de travailler avec d'autres groupes parce que du coup tu veux faire attention à ne pas donner la même... Il y a des choses que tu veux réserver pour ton groupe peut-être ? [02:25:17] Speaker F: Non. Non, je dirais qu'au contraire, en fait, de poser aussi, tu vois, enfin genre quand on fait des photos, je pose autant que je fais la photo et c'est quelque chose qui m'a beaucoup appris aussi, tu vois, d'être autant devant que derrière la caméra, tu vois, pour comprendre aussi ce qui se passe. [02:25:38] Speaker B: Ça facilite la communication avec les gens qui sont un peu plus timides, tu sais comment leur parler du coup. [02:25:43] Speaker F: Et sur les idées, je ne me prends pas la date. En plus, je travaille pour des artistes qui ont des styles complètement différents. Si jamais j'ai un code couleur avec un pote qui fait du rap et qu'on veut utiliser le même code couleur pour nous... [02:25:56] Speaker B: J'en tape quoi, tu vois ? Oui, c'est sûr. [02:25:59] Speaker C: Tout à fait. Et du coup pour les clips aussi c'est pratique. [02:26:02] Speaker F: Ouais. [02:26:02] Speaker C: Je perds des points de vue de ouf, c'est l'enfer. [02:26:03] Speaker B: Les clips, à chaque fois ça se. [02:26:04] Speaker F: Fait dans la souffrance. Ah bah toujours ! [02:26:10] Speaker B: Pour commencer dans la souffrance. [02:26:11] Speaker C: Un clip c'est toujours dans la souffrance. Il n'y a jamais assez d'argent, il n'y a jamais assez de moyens, il n'y a jamais assez de temps, il y a toujours des contraintes, il y a toujours... [02:26:20] Speaker F: En plus, au-delà de ça, genre tu vois le fait de genre, bon là l'album il sort dans un mois, il faut un clip pour dans deux semaines. Comment on fait ? Je sais, ça fait six mois que je sais qu'il faut un clip sur tel morceau. Et en fait l'idée vient pas, toutes les idées qu'on a, ça marche pas et tout. Je me rends malade, ça me stresse, j'en parle tout le temps aux filles. [02:26:38] Speaker G: Ça va pas du tout. [02:26:39] Speaker F: Ça va pas du tout, c'est ma phrase. J'ai deux mots, c'est ça va pas du tout ou c'est super cool, non ? Et du coup, il y a un moment donné où c'est vraiment là, c'est le dernier moment quoi. [02:26:50] Speaker C: Du coup tu fais « Allô, est-ce qu'on aurait pas une voiture ? [02:26:53] Speaker B: » Ah c'est clair ! Ok, ça va, j'en ai gardé une encore, t'inquiète. [02:26:57] Speaker F: Tu sais, je m'enferme devant l'ordi et genre en 5 heures je prends le script. Et je me mets dans des états psychologiques, faut pas faire ça, c'est débile. [02:27:04] Speaker B: C'est dans l'urgence. [02:27:05] Speaker F: Ah ouais c'est dans l'urgence. [02:27:06] Speaker C: Et c'est dans la souffrance du coup. [02:27:07] Speaker G: C'est dans la réanimation. [02:27:09] Speaker C: À une époque, j'avais un peu le même problème de pas réussir à faire des trucs jusqu'à ce que... Et à un moment il y avait un groupe Facebook qui s'appelait... J'ai un problème de... Attends c'est quoi ? J'ai un problème d'idée jusqu'à ce que j'ai un problème de temps. Et c'est vraiment quand à la fin. [02:27:26] Speaker B: T'As le... Et ça se corrige ? [02:27:28] Speaker C: Avec le temps. Alors avec le temps je trouve que tu t'apprends à provoquer ta concentration. [02:27:35] Speaker B: Est-ce que c'est parce que t'en as fait plusieurs ou c'est juste parce que t'as vieilli que t'es un peu plus bon ? [02:27:40] Speaker C: Je pense que c'est parce qu'avec le temps tu finis par comprendre comment tu marches et comprendre les mécanismes qui peuvent trigger un peu ta créativité. T'en as marre de souffrir ? [02:27:50] Speaker G: Ouais. [02:27:51] Speaker B: Alors ça je ne sais pas si ça aide. [02:27:55] Speaker C: Ça dépend des gens, il y en a qui aiment bien souffrir. [02:28:04] Speaker B: Bon on va passer à un petit clip, les Foo Fighters justement. Ah bah tiens ! Non mais attends, tu sais ce qu'elles ont choisi ? Elles ont choisi The Pretender, c'est-à-dire que c'est la 15 millionième fois que les artistes nous choisissent ce putain de clip. [02:28:15] Speaker C: En même temps, c'est une des meilleures chansons. [02:28:16] Speaker G: Mais c'est à cause de votre question, parce que la question c'était, je veux dire, c'est un clip qui a genre... [02:28:20] Speaker F: Marqué votre... [02:28:21] Speaker G: Marqué, tu vois. Et c'est le premier clip... [02:28:22] Speaker B: Il faut pas que ça marque quand même énormément de gens dans la vie. [02:28:24] Speaker G: Ouais, c'est le premier que j'ai vu d'eux, tu vois. Et j'ai vu Taylor O'Keefe qui fait juste... Et j'étais, oh, je veux faire ça ! Et voilà, du coup je fais ça. [02:28:33] Speaker C: Ah bah ça se comprend. [02:28:35] Speaker B: T'as été attristée quand même quand il nous a quitté ? [02:28:37] Speaker G: Tu m'étonnes ! [02:28:37] Speaker B: Je suis désolé de cette question horrible, mais... [02:28:39] Speaker G: J'ai chialé ! C'était le lendemain de notre boule noire. Je rentrais toute seule dans le métro. Et après on est allées à Wembley. [02:28:46] Speaker F: Pour voir le... Ouais, on est allées à Wembley pour voir le concert hommage. On a passé 6 heures à chialer comme des merdes. [02:28:51] Speaker G: C'était merveilleux. [02:28:52] Speaker F: Je pense qu'on a vu un truc genre vraiment... qui se reproduit. [02:28:56] Speaker C: Enfin c'était un... Ah oui, je te confirme que ça se reproduira pas parce qu'il est... Ah non, il est mort du coup. [02:29:00] Speaker F: Non mais non, il était pas là du tout. Il n'était pas là donc... Il n'était pas là. [02:29:06] Speaker C: Il n'est même pas venu. Il faisait un concert juste pour lui. Il n'est même pas venu. [02:29:10] Speaker G: Ils ont invité tous ses copains. [02:29:12] Speaker B: Melon, le melon du camp. [02:29:14] Speaker G: Tous ses copains étaient là, pas lui. [02:29:16] Speaker B: Non mais ouais c'était juste ultra touchant. [02:29:19] Speaker C: Je vais te dire Freddie Mercury avait fait exactement la même chose donc il. [02:29:23] Speaker G: N'Était pas venu non plus. [02:29:28] Speaker B: Je n'ose pas imaginer ce que ça devait faire effectivement émotionnellement. [02:29:31] Speaker G: Ouais c'était incroyable. Mais déjà tu revois pour la première fois les Foo Fighters depuis tu vois donc déjà... Et vraiment, quand on est reparti de Wembley, tu sais dans le métro, les gens ils font la queue, et t'entends les conversations, les gens étaient choqués. Ils étaient là, non mais je crois que vous vous rendez pas compte de. [02:29:45] Speaker F: Ce qu'on vient de vivre. [02:29:47] Speaker G: Ça se reproduira jamais. [02:29:48] Speaker F: Le nombre de légendes qu'on a vues sur scène, ce sera la fin de ces légendes. C'était juste un gigantesque buff de gens qui ont écrit... [02:29:55] Speaker G: Le rock'n'roll mondial. [02:29:57] Speaker F: C'est un truc de malade. [02:29:59] Speaker B: C'est sûr, c'est sûr. Bon bah on va regarder quand même ce clip. J'imagine que le clip a été choisi aussi pour... La qualité de l'image, c'est ce qu'on nous a souvent dit. [02:30:05] Speaker C: Moi j'adore ce clip, je le trouve très parfait. [02:30:12] Speaker B: Moi j'adore les CRS, c'est pour les CRS. On gardera juste cette phrase. Écoutez très bien, pour les CRS, c'est les Foo Fighters. [02:30:18] Speaker G: Vous avez vu le clip cent mille fois, vous n'avez jamais eu ce... Non. [02:30:22] Speaker B: On n'a pas eu ce commentaire là, effectivement, mais c'est un bon commentaire quand même. Tout le monde a le droit de dire ce qu'il veut. [02:30:28] Speaker A: On va regarder les Foo Fighters, allez c'est parti ! non non I need you buried deep The secrets that you keep forever Ready ? Are you ready ? I'm finished making sense Done pleading ignorance at home Defense Spending eternity but The wheel is spinning, meaning it's never. [02:32:21] Speaker B: En. [02:32:22] Speaker A: Même temps, je me suis dit que je n'étais qu'un autre soldat pour vendre. Oh bien... La page est hors de presse, nous ne sommes pas de la même famille. Le temple de la rédemption. C'est génial ! Je suis le visage que tu dois rencontrer, miré dans tes yeux Je suis ce qu'il reste, je suis ce qui est bien Je suis l'ennemi, je suis. [02:33:34] Speaker B: L'Ennemi. [02:33:57] Speaker A: À la prochaine C'est parti pour le tournage ! C'est incroyable. [02:38:12] Speaker B: Eh ben voilà, c'est le groupe qu'on vient de voir, il s'appelle Zetra. [02:38:16] Speaker C: Il s'est passé plein de choses. [02:38:17] Speaker B: Mais il n'y a pas eu plein de jingle, c'est pas ce qu'on aime bien, dire bing bing. [02:38:19] Speaker C: Surtout que je me suis trompé de bouton. [02:38:22] Speaker B: C'est pas grave, on a entendu bing bing, les gens ont identifié l'émission. [02:38:25] Speaker C: Et c'est pas ce qu'il y a de plus important ? [02:38:27] Speaker B: Si, c'est bien sûr le plus important. Le plus important c'est que ce soir nos invités c'est Madame, je vous rappelle. Elles viennent de sortir un premier album qu'il faut absolument écouter. Ainsi que le reste, ça va de soi, mais c'est le principal, ce premier album. Si vous plaisez, on y plaît. Et bien sûr aller les voir en concert, ce qui a eu lieu bien sûr cette semaine puisque vous étiez à la maroquinerie. Les gens étaient hystériques, ça dansait, ça chantait. C'était une communion parfaite, on en parlait tout à l'heure de justement ces valeurs du rock et du métal où on est ensemble et on arrive à rassembler et à foutre une putain de belle énergie. Les gens peuvent se lâcher, se faire plaisir. [02:39:01] Speaker C: Foutre le sou Caripa ! [02:39:03] Speaker B: Zetra qu'on vient de regarder donc moi j'aime bien parce qu'il y avait du clavier tout ça puis bon je voulais juste poser la question parce que ça me plaît de poser des questions un peu chelou comme ça mais le maquillage en métal il y a quand même un truc c'est à dire que là c'est kitsch tu parlais du kitsch. Mais pourquoi ils font moins ça dans le rap ? Enfin ça commence un petit peu mais... [02:39:21] Speaker F: C'est vrai que ça commence. [02:39:22] Speaker B: C'est plus dans le rap à tendance homosexuelle ou des trucs comme ça qui osent faire du maquillage que les gros rappeurs je trouve, non ? [02:39:28] Speaker F: Mais je sais pas s'il n'y a pas un truc qui se libère même par rapport au côté androgyne, aux tenues, tout ça, tu vois. J'ai l'impression qu'il y a plus de fluidité, il y a des trucs qui s'ouvrent un peu, je trouve ça chouette. Je n'essaierai pas à approfondir un peu plus. Et l'idée là ! [02:39:45] Speaker C: Il y a peut-être moins de shame à s'ouvrir, à accepter une part de féminité. Je pense que ça dépend aussi de toi. [02:39:53] Speaker F: Même kitsch tu vois, genre aller faire quelque chose de kitsch alors que tu fais pas de musique kitsch. [02:39:56] Speaker C: Ah bah y'a aussi ce retour du 2000 kitsch là, les logos chromés, tous les trucs comme ça là. [02:40:02] Speaker B: Je trouve ça dégueulasse. [02:40:03] Speaker C: Limite à mettre un logo DVD au début de ton clip, des trucs comme ça ouais. [02:40:10] Speaker B: Mais le maquillage voilà bon bah il est mal fait mais la chanson était belle quand même. [02:40:15] Speaker C: Il est pas si mal fait. Il est de mauvais goût mais il est pas mal fait. [02:40:19] Speaker B: Autant pour moi je présente mes excuses. La communauté qui se maquille. [02:40:22] Speaker G: Nous on est très très calés en maquillage. [02:40:24] Speaker C: Par rapport au corps Spain de Jojo Siwa dont on parlait l'autre fois là, ça c'est bien. L'autre, elle a un truc, c'est vraiment... T'as l'impression que c'est un enfant de 5 ans devant un miroir, tu lui as laissé un crayon quoi. [02:40:37] Speaker B: C'est un style. Je veux dire, on a tous aimé The Cure, on a tous aimé notre ami Bobby. Il avait des pulls troués aussi. Ah mais ça c'est parce que c'était les mythes. Bon, la scène française. [02:40:56] Speaker C: Limits Kill Mister ? [02:40:57] Speaker B: Oh putain. Ça y est, j'ai envie de m'enfoncer un peu entre les deux yeux. La scène française aujourd'hui, elle est quand même beaucoup plus vivante, je trouve. Encore une fois, je vous le dis à chaque fois, mais c'est parce que c'est mon sentiment qu'avant, moi j'ai vécu les années 90 et j'étais ado, on était contre la scène française, limite même des fois je faisais partie de ces gens-là. Et aujourd'hui, j'ai pas honte à le dire parce qu'aujourd'hui j'ai changé donc tant mieux, mais aujourd'hui il y a beaucoup plus de groupes qui se permettent, il y a beaucoup plus de groupes qui le font bien aussi, peut-être que les outils le permettent, vous voyez ça comment vous ? [02:41:36] Speaker F: Moi je trouve ça incroyable. On s'en rend compte en bougeant, tu vois, en France qu'il y a beaucoup de groupes de qualité qui font des choses incroyables. Et même, tu vois, moi j'habite à Toulouse, et il y a une quantité d'artistes d'un style totalement différent. Mais tu sais, des gens qui font ça avec les tripes et qui bossent comme des bœufs pour essayer de faire quelque chose avec genre la musique qui sort de leur cœur, tu vois, et je trouve ça trop bien. Et c'est vrai qu'en France il y a Il y a une scène, pour le coup au National je connais un peu moins le reste par rapport aux scènes rock, tu vois, mais la scène rock elle est... Oui, donc la France. [02:42:15] Speaker B: Elle est rock quand même ! [02:42:16] Speaker F: Ah ouais ! Mais grave ! La quantité de groupes cools, je pense aux Dynamite Shakers, à Johnny Carwash, ils sont tellement... de gens qui font des trucs cool, tu vois, enfin, je sais pas, moi j'adore, de gens qui sortent les doigts, tu vois, pour essayer de faire des trucs... Oui, et puis qui. [02:42:31] Speaker B: Vont jusqu'au bout aussi, enfin, je suis pas en train de dire que les autres ne se donnaient pas la possibilité, mais peut-être qu'ils abandonnaient plus facilement à l'époque parce que c'était moins nombreux. [02:42:38] Speaker F: Mais je pense qu'il y a aussi, tu vois, une popularisation dans le sens où ça devient populaire, tu sais, c'est accessible à tout le monde, la musique, la photo à l'époque d'Instagram, la vidéo maintenant avec TikTok, tu vois. Je trouve que genre aujourd'hui, n'importe qui qui veut se lancer dans une forme d'art, que ce soit la photo, la vidéo ou la musique, c'est plus accessible parce qu'en fait t'as des outils qui te permettent de le faire et t'as des outils qui te permettent de montrer que tu le fais et du coup ça rend tout ça beaucoup moins élitiste, t'as moins besoin d'avoir de la thune, t'as moins besoin d'avoir de l'entourage ou une famille qui est dans quelque chose tu vois. Et je trouve ça cool parce qu'en fait aujourd'hui l'art c'est à la portée de tous et je pense que ça fait du bien à tout le monde tu vois. [02:43:21] Speaker B: Ce qui me fait du bien c'est de savoir aussi que la France c'est quand même rock, c'est un qu'on dit souvent, c'est quand même une mauvaise élève de l'Europe peut-être, mais on se rattrape bien je trouve, et puis il y a des groupes comme vous, et puis on a des tonnes, des noms, on va pas tous les sortir sinon on va pas s'arrêter. Tiens, vous félicitez. En tout cas, bravo d'être cette génération qui porte le rock. Parce que c'est pas facile, on va pas s'en dire, c'est pas non plus le truc le plus simple. Tout ne tombe pas du ciel, mais en tout cas, voilà, c'est vous qui faites bouger les choses. Et c'est vous qui êtes des exemples aussi pour les nouvelles générations, je pense. Je pense aussi aux nanas, excusez-moi, je serais masculin de dire ça. Quand elle voit plus de filles faire du rock, elle se dit « putain, c'est cool, moi aussi je veux en faire ». [02:44:01] Speaker F: Mais évidemment, parce que nous, typiquement, si on avait écouté certaines personnes qui nous mettaient le bâton dans les roues, surtout à la batterie, on serait pas là, on ferait du piano, tu vois. C'est très bien le piano, mais je veux dire, quand tu veux faire de. [02:44:12] Speaker B: La batterie, le piano c'est pas de. [02:44:13] Speaker F: La batterie. [02:44:16] Speaker C: Tu vois. C'est vrai. C'est pour notre information précise. C'est vrai, mais je crois que c'est vrai. Après, il y a quand même un côté percussion dans le piano. [02:44:24] Speaker B: Si on veut chipoter, c'est plus délicat. Ça, ça existe aussi. Et vous sentez qu'il y a cette possibilité que la France prenne une bonne place en rock en tout cas ? sur cette planète ? [02:44:38] Speaker F: En vrai je pense, regarde typiquement Slift qui là avec les sessions KXP et l'évitation qu'ils ont fait pendant la période Covid là, qui ont juste littéralement explosé, qui font des sold-out aux US et tout, et qui sont... Pour moi Slift c'est incroyable, genre musicalement c'est dingue, à chaque fois que je les vois en concert je prends une espèce de branlée monumentale. Ouais je pense qu'on va à l'étranger évidemment. [02:45:04] Speaker B: On va vous voir à l'étranger ? [02:45:05] Speaker F: Ouais, nous on commence gentiment, on a fait quelques pays d'Europe, tranquille, tu vois. Là on annonce en décembre on partira en Angleterre pour la première fois, j'ai l'ado en moi qui est en mode genre, oh waouh, je vais à Londres ! [02:45:18] Speaker B: T'allais découvrir les conditions de jeu ? Ouais, mais on s'en fout, c'est clair. [02:45:23] Speaker F: Mais ça fait du bien tu vois, aussi là tu vois on commence à jouer dans des conditions qui sont... ça pète dans la soie quoi tu vois. [02:45:31] Speaker G: Et de revenir à du petit bar. [02:45:34] Speaker F: Où t'es là en mode genre tu te prends une goutte de bière dans la gueule et il n'y a pas de scène. [02:45:41] Speaker B: L'envie de séduire la population britannique aussi, c'est pas forcément facile pour un français. [02:45:46] Speaker F: T'arrives, tu connais personne, personne te connaît, vas-y t'as quoi donner. C'est normal, les mecs, Londres en plus, tu vois typiquement genre t'as 1000 concerts par soir, Vas-y, montre-moi ce qui fait la différence entre toi et l'autre concert que j'aurais pu aller voir, tu vois. Je trouve ça challengeant, j'aime bien. [02:46:00] Speaker B: Ouais, donc là, ça va tout donner. Attention ! Il va falloir prendre des médicaments, des crèmes et des minerves, s'il vous plaît. Je pense à toi comme tu vas beaucoup être manguée, bon bah là on va dire que ça va mieux là quand même. Et après le reste... L'Europe continentale, bon je sais que c'est quand même plus simple, bon la Belgique ça va de soi, la Suisse... Mais l'Italie, l'Espagne c'est très très rock, l'Allemagne... [02:46:29] Speaker F: On a fait l'Italie, l'Allemagne, Belgique, Suisse et c'est cool quoi. [02:46:32] Speaker B: Et les Etats-Unis ? [02:46:34] Speaker F: US, Canada, Japon, Corée... Il paraît que genre vraiment le rock là-bas c'est un truc de dingue quoi. [02:46:40] Speaker C: C'est vrai. [02:46:41] Speaker F: Et ça me ferait vraiment kiffer d'aller un peu par là-bas quoi. [02:46:46] Speaker C: Piste de voyage sympa. [02:46:47] Speaker F: Tant qu'à faire, d'une pierre deux coups. [02:46:51] Speaker B: On vous le souhaite, évidemment. Et ce que je voulais dire aussi, et que les gens ont dû comprendre, c'est ce côté festif. Vous êtes, quelque part, un peu... Vous amenez la fête. Ok, c'est la bagarre, mais c'est la fête. C'est-à-dire qu'il y a quand même tout ce côté positif, ce côté souriant. On a envie de danser, putain ! Moi, je sais que j'étais là dans la tête, je me disais, ça me fait penser à quoi ? Je danse là-dessus. Quand j'ai dansé comme ça sur Casablanca, j'ai dansé comme ça sur les Hives. dans l'énergie, c'est deux groupes très différents, mais il y a quand même quelque chose, on saute, on est là, tout le monde, on a envie de faire des petites figures bizarroïdes. J'aime bien se lever une jambe après l'autre comme ça. C'est un peu kitsch, ça devrait te plaire. Mais je sais pas, il y a ce truc de, c'est une règle chez madame, Ok, la vie peut être chiante et dure, mais, on peut le raconter, mais par contre, musicalement, on va vous faire danser. [02:47:43] Speaker F: En fait, ce qui est marrant, c'est que ça s'est imposé tout seul. En gros, nous, c'est notre manière d'être, tu vois. Enfin, genre, en vrai, c'est un métier super compliqué. On le fait pas pour se faire chier, quoi, tu vois. [02:47:51] Speaker B: C'est une bonne phrase. [02:47:53] Speaker F: On peut monter sur scène et être heureuse. Après, ça fait partie de nos personnalités aussi, tu vois. Mais je veux dire, nous, on est là pour s'éclater, on s'éclate. Et en fait, ce qui est super cool, c'est qu'apparemment, il y a quelque chose de contagieux, tu vois, parce qu'en fait, les gens ressentent ça et tu vois ils le vivent avec nous et c'est assez incroyable mais c'est vrai que. [02:48:14] Speaker B: On aime bien être contente quoi tu vois. Non parce que des groupes qui sont festifs, rock, métal, bon bref on va mettre le tout dans le même lot et il n'y en a plus, il n'y en a pas tant que ça finalement. Enfin il y en a, attention on sait pas que y'en a pas. [02:48:24] Speaker C: Non mais je pense qu'il y a deux choses en fait, il y a des groupes qui sont, qui transmettent le côté un peu festif par la musique et t'as des groupes où c'est par l'énergie et vous je pense qu'il y a une grosse partie de ça parce que je pense que vous êtes Encore une fois, je n'ai pas eu la chance de le voir, mais il y a ce truc d'interprétation qui est fort et qui, du coup, est très communicatif. Généralement, il n'y a pas de secret à un bon concert, c'est quand le public est emmené par les artistes. Alors, soit on a des gros tubes que tout le monde connaît et tout le monde a entendu un million de fois et t'as juste à le balancer et ça part. Soit il faut y aller, il faut donner à fond et les gens le reçoivent. Et là je pense que c'est ça. Parce que quand on écoute la musique comme ça, on se dit pas forcément que c'est le truc le plus dansant de l'univers, mais je pense que c'est le mood. Non, non, j'ai pas dit que ça l'était pas. Je veux dire, c'est pas tourner les serviettes quoi. [02:49:16] Speaker B: Non, bien sûr que non, c'est pas ça. [02:49:17] Speaker F: Il y a une partie du côté live, forcément. [02:49:22] Speaker B: Quand je faisais référence à Arctic Monkeys... La basse, je l'ai encore... Je te l'ai dit, j'ai fait... Trop bien la basse, je suis trop content ! [02:49:31] Speaker C: Il adore la basse. [02:49:32] Speaker B: Dès qu'il y a un groupe qui met la basse en avant, t'es sûr que je suis ton fan. [02:49:36] Speaker C: C'est le côté gros manche, tout ça, ça stimule énormément. [02:49:38] Speaker B: Excuse-moi, je suis très gourmand. [02:49:39] Speaker G: Le gros mime qui vibre partout... [02:49:43] Speaker B: J'ai un gros estomac. Bon, on va arrêter sinon ça va devenir très sale. Donc voilà, vous exorcisez, vous aidez les gens à se libérer, à être heureux, à aussi se défouler, oubliez les tracas, quand bien même on peut en discuter, c'est un petit peu le rôle de madame, donc je vous félicite encore une fois, je vous remercie d'être venu, répondre à ces questions. [02:50:04] Speaker C: Moi j'ai une petite question, qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter ? En vrai, enfin... Juste que ça continue comme ça, que ça aille plus loin. [02:50:14] Speaker B: C'est que le début. [02:50:15] Speaker C: Plus fort, plus vite. [02:50:16] Speaker F: En fait, vraiment c'est ça, on n'a pas de plan B, nous ce qu'on aime c'est faire ça ensemble. On me dirait, demain tu fais des stades mais avec un autre groupe, c'est mort, je m'en bats les reins, moi je veux faire ça avec les filles. Et ce qu'on peut nous souhaiter, c'est de continuer à faire ça, tu vois. Déjà, si en commençant on s'était dit qu'on ferait un Rex et une Maro au bout de 6 ans d'existence du groupe, on aurait été là genre, ok je signe. Enfin tu vois, limite ça pourrait s'arrêter en janvier après la tournée en Angleterre. Tu vois j'aurais coché beaucoup de choses que j'avais envie de faire dans ma vie mais par contre Go elle est mille fois plus loin tu vois genre c'est ça. [02:50:54] Speaker C: Donc juste que les gens ils continuent à venir au concert à vous soutenir et madame est servie. [02:51:01] Speaker B: Voilà les références de nos âges. Ravie que vous connaissiez quand même, parce que c'est quand même très très vieux. Un groupe qui a dû vous... Alssa. [02:51:09] Speaker C: Milano si tu nous regardes. [02:51:11] Speaker B: D'ailleurs je tiens à dire aussi pour tous les professionnels qui travaillent, qui s'occupent de rock ou de vouloir développer des artistes encore plus, je sais que vous êtes bien entourés mais... n'hésitez pas à contacter les bonnes personnes et Madame en l'occurrence pour les faire jouer. [02:51:25] Speaker C: Si vous voulez les faire jouer aux Etats-Unis par exemple, une grosse tournée en première partie de Foo Fighters ou avec Foo Fighters en première partie, au choix, elles sont dispo. [02:51:35] Speaker F: On peut les dépanner. [02:51:39] Speaker B: C'est important voilà c'est vrai qu'il y en a qui regardent donc c'est l'occasion. Je tenais aussi avant de parler des White Stripes parce que c'est votre dernier choix qui semble quand même être extrêmement évident. Quand j'ai lu ça je me suis dit bah voilà ça me semblait un peu évident la rythmique, le côté fête aussi et tac tac très macho. [02:52:00] Speaker G: En hommage à l'enfant premier. [02:52:03] Speaker F: En fait c'est symbolique en gros la première fois qu'on a répété ensemble on s'est dit nous ce qu'on veut faire c'est de la compo mais c'est vrai on sent comme des cons et qu'on n'arrive à rien faire histoire qu'on n'ait pas réservé le studio deux heures pour rien. Révisé sept reprises et sept reprises c'était toujours ensemble des White Stripes. [02:52:19] Speaker G: Qu'on n'a jamais joué. [02:52:22] Speaker C: C'était au cas où il n'y aurait pas d'inspiration. [02:52:26] Speaker B: Bon bah c'est bien, ça veut dire que tout se passe bien alors. [02:52:27] Speaker F: Tout se passe bien. [02:52:28] Speaker E: Le jour où on l'a fait en. [02:52:29] Speaker F: Live, posez-vous des questions. [02:52:31] Speaker B: Il y aura des films. Ça sera gravé là. [02:52:34] Speaker C: Voilà c'est pour le tribute to Jack White. [02:52:36] Speaker F: Je suis ultra fan. [02:52:38] Speaker B: Ou alors rentrez dans son écurie. [02:52:41] Speaker C: Oh mais moi j'aurais posé l'affaire ça. C'était très très bien. [02:52:47] Speaker B: C'était très bien, d'ailleurs je tiens à applaudir. On vous applaudit globalement pour tout ce que vous faites, merci encore. Vous allez régaler le monde entier, j'en suis persuadé. Et puis j'ai hâte de vous revoir surtout parce que j'ai envie de m'amuser. Allez, on se quitte. Un mot aux gens peut-être ? [02:53:05] Speaker F: Venez nous voir en concert, soyez contents, soyez gentils. Bisous. [02:53:10] Speaker G: Avec un sourire. [02:53:12] Speaker B: Comme ça, voilà. [02:53:16] Speaker C: Oh shit. [02:53:18] Speaker B: Bon, c'est démoniaque. C'est un truc très démoniaque. On regarde le clip des Wild Stripes qui a été choisi par Madame. Encore une fois, c'était nos invités ce soir. N'hésitez pas à les rejoindre sur les réseaux sociaux ou alors tout simplement écouter sur les plateformes d'écoute légale. Ça va de soi. Les clips aussi sur YouTube. [02:53:33] Speaker F: Merci. [02:53:58] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:54:30] Speaker B: How. [02:54:30] Speaker A: Are you now anyway ? How dare you ? How are you now anyway ? C'est juste no place in you You look like someone Don't you think that it's just me teasing you You got a reaction You got a reaction dead in you You took on my heart again You took on my heart again and turned it blue Get behind me Get behind me now anyway Get behind. [02:55:23] Speaker B: Me. [02:55:32] Speaker A: Get behind me now anyway Get behind me Get behind me now anyway Get a good reaction. [02:56:02] Speaker B: C'Est. [02:56:43] Speaker A: C'est. [02:56:45] Speaker B: La. [02:56:49] Speaker A: Fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! C'est la fin de cette vidéo. C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:59:34] Speaker B: Attaque ! Attaque ! Attaque ! [02:59:35] Speaker C: Oh bah dis donc ! Enfin un groupe qui sonne un peu différent de tous les trucs en ce moment. [02:59:41] Speaker B: Moi j'aime bien, j'aime bien les mecs. Par contre, tu sais ce que je me suis dit ? Je me suis dit, j'ai toujours pas compris la différence entre attaque, attaque et attaque, attaque. Y'en a un avec des points d'exclamations, l'autre pas. [02:59:49] Speaker C: Bah oui, y'en a un c'est de la pop anglaise. [02:59:52] Speaker B: C'est ça hein. [02:59:52] Speaker C: Et l'autre c'est ça, qui était avant du crapcore et qui maintenant fait ça. Crab Corps c'est parce que, alors pour les jeunes qui ne savent pas, Crab Corps c'est parce que sur scène ils jouaient comme des petits trabes, un peu les jambes pliées et puis ils faisaient des petites pinces. [03:00:06] Speaker B: Oui, c'est un joli nom, voilà le Crab Corps. Attaque, attaque, donc à l'instant avec le titre concrete, j'espère que ça vous a quand même plu. On va faire un petit point sur les concerts quand même qui arrivent, parce qu'on fait ça systématiquement dans l'émission, c'est assez rapide, il faut bien tout noter ou regarder le replay tout simplement vendredi. [03:00:21] Speaker C: Et peut-être qu'il y aura des places à gagner cachées pendant ce... Je dis ça, c'est un indice. [03:00:29] Speaker B: Allez, on commence avec le lundi 3 juin, donc il va y avoir Bikini Kill à l'Elysée Montmartre. Voilà, j'ai été surpris que... Mais j'adore ! Le 4 juin, nous avons Nouvelle Vague au Trianon, nous avons Mannequin Poussy à Petit Bain, j'adore. Il y aura aussi les Tropical Fuckstorms à la Maroquinerie, j'aimerais bien y aller aussi. Mest au Backstage by 2000, pas mal aussi. Shooting Daggers à la Boule Noire et il va y avoir, ça va très vite, Chelsea Wolf du côté de l'Elysée Montmartre. Non, Pierre. Écoute. Écoute-moi bien. J'ai un petit cadeau pour toi. Mon petit cœur. [03:01:09] Speaker C: C'est à vous qu'il parle, pas à moi. [03:01:14] Speaker B: Bon, j'ai un cadeau évidemment, enfin nous avons un cadeau parce qu'en fait c'est Restless qui vous offre ça, c'est pas moi. Eh bien, c'est des places de concert pour aller voir Chelsea Wolf. Incroyable révélation, succès, magnifique, incroyable, à voir sur scène apparemment, j'ai jamais vu. [03:01:29] Speaker C: J'aimerais beaucoup y aller mais je serais pas là. [03:01:30] Speaker B: Eh bien voilà, bah tant pis, tu offres tes places. C'est donc toi qui offres ces tickets pour deux personnes. Vous pourrez aller voir Chelsea Wolf à l'Elysée Montmartre. N'hésitez pas à jouer immédiatement par email pierre-restless.com pierre-rstlss.com Vous mettez je veux des places pour le concert de Chelsea Wolf, non prénom parce que c'est sur liste, donc comme ça je vais pas vous le demander. Et puis il y aura un tirage au sort bien sûr parmi tous les... A vous ! C'est monté un petit peu tardivement, mais c'est monté. Je continue dans les concerts, en attendant que vous puissiez jouer. Mercredi 5 juin, il y a Toul à l'Accor Arena. [03:02:08] Speaker C: Et non pas à Toul. [03:02:09] Speaker B: Il y aura The National, ils existent encore, c'est toujours si chiant. Au Zénith de Paris. Non mais j'aime bien en plus. [03:02:14] Speaker C: Bah en tout cas ça fait le Zénith. [03:02:16] Speaker B: Danny Brown au Tramendo. [03:02:17] Speaker C: Danny Bryan ? [03:02:18] Speaker B: Non, Danny Brown. Je sais, c'est pas métal, mais j'adore tellement que j'ai voulu le dire. Voilà, c'est tout. [03:02:23] Speaker C: Il y a Danny Brion ou pas ? [03:02:25] Speaker B: Je ne sais pas. Mais je crois qu'il ne fait pas de concert en ce moment, Danny Brion. [03:02:27] Speaker C: C'est dommage. [03:02:28] Speaker B: Je crois qu'il est en train de faire de la gomina. [03:02:29] Speaker C: Moi, j'ai perdu la tête depuis que j'ai eu Suzette. [03:02:33] Speaker B: Il va y avoir Slow Pulp au Point Infémère. Ça, c'est très, très bien aussi. Jeudi 6 juin, Yodelice au Grand Rex. Superbus au Casino de Paris. Il va y avoir le vendredi 7 juin, Lizzy Strata au Cuisine à Shell. Je vous conseille vraiment d'aller le voir. Ça va envoyer sévère. Il va y avoir aussi Howard, très très bon groupe français, à l'empreinte de Savigny le Temple. Le samedi 8 juin, il y a le More Women On Stage. On en a entendu assez peu parler, mais c'est un festival à vivre. D'autant plus qu'il va y avoir Dream Wife, ça sera du côté du Petit Bain, enfin de Petit Bain. Et le même soir, il y a The Arm, pour ceux qui aiment les choses un peu particulières, au Trabendo. Et je termine sur le dimanche 9 juin, il y a, et là c'est bien parce que j'aime bien... Et bah. [03:03:16] Speaker C: Là, le pliage a été fait correctement. [03:03:18] Speaker B: Cathy Kirby, j'aime beaucoup, voilà. Je dirais pas parce que c'est un dimanche mais... Aucun rapport avec Kirby, le. [03:03:23] Speaker C: Petit personnage en fourrure rose qui avale des choses comme ça. [03:03:29] Speaker B: Je me souviens plus mais... Carbis Dreamland. [03:03:31] Speaker C: C'Était un très bon jeu. [03:03:33] Speaker B: Ah bah voilà, c'est pas pareil. Donc voilà, des places pour Chelsea Wolf, en tout cas si vous avez envie d'y aller, n'hésitez pas, j'ai eu du mal, n'hésitez pas à participer, pierre-rstlss.com, vous mettez Chelsea Wolf et votre nom, prénom. Alors c'est pas du tout Chelsea Wolf que j'ai choisi comme clip. [03:03:47] Speaker C: Bah non bien sûr, je te connais. [03:03:49] Speaker B: Je me suis dit, j'ai quand même envie de regarder un clip de Tool parce qu'ils sont cools. [03:03:52] Speaker C: Bah ouais, c'est vraiment des mecs super sympas. [03:03:57] Speaker B: Oui bon c'est vrai que c'est du foutage de gueule mais... [03:03:59] Speaker C: Ils ont besoin d'argent. [03:04:00] Speaker B: Ben les pauvres. Mais j'ai choisi un vieux morceau, Prison Sex. [03:04:03] Speaker C: Prisons du cul. [03:04:05] Speaker B: Bon allez, on lance le clip. [03:04:08] Speaker C: Vas-y. [03:04:08] Speaker F: Hein ? [03:04:08] Speaker B: Oui, vas-y, vas-y. [03:04:09] Speaker C: Je comprends pas moi. [03:04:10] Speaker B: S'il te plaît Ben, j'aimerais voir vraiment ce... J'aimerais vraiment aller dans la salle de prison. Quelle prison ? O-S-I-X. [03:05:01] Speaker A: I don't know what I remember but I'm breathing so I guess I'm still alive Even the signs seem to tell me I'm worth your life Hands up, my head down My eyes closed, my throat's wide open I do unto others what has been done to me I do unto others C'est pas vrai ! Et soudain, un moment incroyable ... ... ... ... ... ... ... Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est très chouette ! C'est parti ! C'est parti ! [03:13:00] Speaker B: Bang bang avec à l'instant Zyl & Ardor. J'aime beaucoup Zyl & Ardor avec ce tout nouveau single, un nouveau clip d'ailleurs aussi qui s'appelle donc « Clowing Out ». Nouvel album qui va paraître et Zyl & Ardor qui je suppose passera dans nos studios pour pouvoir en discuter. Donc j'y compte beaucoup et je peux vous dire que Zyl & Ardor Suis Bang Bang. Mais non. Il a avec des trucs de temps en temps. Donc c'est cool mec, on t'adore donc n'hésite pas vraiment. Puis ton attaché de presse on l'aime beaucoup aussi donc tant qu'à faire voilà. [03:13:34] Speaker C: C'est la famille quoi. [03:13:36] Speaker B: Non mais ce serait cool parce que ça doit être quelqu'un de passionnant. [03:13:39] Speaker C: Ah bah je pense, moi j'aimerais beaucoup le rencontrer en tout cas. [03:13:42] Speaker B: Et ce nouveau son, si vous avez écouté aussi le single d'avant, je crois qu'il y a quelques morceaux qui sont sortis, soit un, peut-être deux ou trois. C'est encore moins accessible, je trouve, qu'avant. [03:13:54] Speaker C: Mais j'aime bien le goût de la... Je trouve que c'est bien, c'est beaucoup de texture de son et tout ça, c'est hyper intéressant. [03:14:02] Speaker B: C'est très très intéressant et le clip m'a surpris aussi au début je me suis dit mais attends mais c'est vraiment... [03:14:05] Speaker C: Et bah je trouve ça super bien ! [03:14:07] Speaker B: Bah ça pour le coup c'est très différent de tout ce qu'il fait. [03:14:09] Speaker C: Et il y a des gens qui pourraient penser que c'est une lyrics vidéo mais non car il n'y a pas les paroles. [03:14:14] Speaker B: Putain c'est vraiment les gens qui pensent ça je suis... [03:14:18] Speaker C: Bon tu sais Pierre de nos jours on peut plus... Non. [03:14:22] Speaker B: Mais voilà, Zilan Ardor, surtout suivez bien l'actualité et allez les voir en concert parce que sur scène c'est monstrueux en plus, c'est vraiment mais très très très très bon. Ça envoie du pâté, enfin quand ils sont en tout cas tous, c'est bien plus intéressant que quand ils en manquent un. [03:14:34] Speaker C: Mais sachez que même si vous êtes vegan, vous pouvez aller au concert. Ils envoient du pâté mais pas au sens... Ah oui non, ils envoient pas. [03:14:40] Speaker B: Des pots de terrine, ça n'existe pas. [03:14:43] Speaker C: Je me permets, Pierre, de dire que notre petit Enjoy a dû partir, mais on lui fait un gros bisou. Voilà, il vous fait des gros bisous aussi. Et pendant qu'on en est au bisou, je voudrais faire un bisou à The Good Yellow Dog et Fub Bastard qui ont repris des subs. [03:15:01] Speaker B: Merci infiniment à toutes les personnes qui le font d'ailleurs, parce que ça nous aide. Bien évidemment, payez quelques factures, dont celle de la diffusion de la radio que vous retrouvez sur notre site internet resles.com. Je tenais encore une fois à vous rappeler aussi qu'il suffit de taper point ! bang pour rejoindre notre page YouTube s'il vous plaît. C'est grâce à ça aussi et à vos abonnements qu'on avance et qu'on pourra vous offrir de plus en plus de choses. C'est ça l'intérêt, c'est de vous faire plaisir. Et si vous avez envie de discuter, d'échanger ou si vous avez un groupe, n'hésitez pas à taper !discord comme ça a été fait par notre ami Moonlight pour proposer vos clips. C'est un espace, donc vous avez le droit de faire votre promo. Il y a des endroits spécifiques qui vous permettent de le faire. Donc n'hésitez surtout pas. Et d'ailleurs, je tiens à dire que j'aime bien maintenant, par Instagram, des fois, il y a des groupes qui m'envoient des clips. par TikTok aussi on l'a fait une fois. Je préfère par Instagram, c'est plus facile pour moi. Je suis vieux, s'il vous plaît, je suis juste vieux. Mais vous m'envoyez des clips et je me suis dit que c'était l'occasion pour des groupes que je ne connais pas forcément, des groupes français de préférence, mais de passer en fin d'émission un clip que je ne choisis pas, c'est celui qui tombe en premier ou celui que je vois en premier. [03:16:13] Speaker C: C'est un peu au hasard. [03:16:14] Speaker B: Un peu au hasard, voilà. Et je le mets parce que je me dis que c'est intéressant, ça me permet aussi de ne pas être le seul à choisir. Et là, c'est un groupe qui s'appelle Alphasia. J'espère que je le dis bien. Alphasia, peut-être. Avec Dissociative Identity Disorder. Alors vous allez voir, c'est très original. Quand j'ai vu ça, je me suis dit, putain, je ne m'attendais pas du tout à ça. Je ne vais pas plus le décrire parce que j'ai envie que les gens le découvrent. N'hésitez pas à les rejoindre sur les réseaux sociaux, sur le ch'meule, vous allez avoir le nom du groupe qui va être affiché correctement, normalement par Marcel. s'il copie pas le mauvais message. Je rigole, je t'aime beaucoup Marcel. Sauf quand tu te colles à moi quand t'as rien à faire. [03:16:58] Speaker C: Il fait des petits bruits aussi. Arrêtons-nous là, les gens vont partir. Si les gens sont misophones... Ah oui. [03:17:08] Speaker B: Pardon, temps pour moi. Et je tenais juste à vous souhaiter une bonne semaine. [03:17:13] Speaker C: On remercie encore madame qui sont venus nous faire l'honneur de venir dans l'émission. [03:17:19] Speaker B: On les aime fort, elles sont hyper cool. [03:17:21] Speaker C: Merci à Enjoy qui nous a éclairé de sa connaissance. Merci à Didier qui nous aide à préparer l'émission chaque semaine, il faut le dire. Merci à toi Pierre d'être aussi merveilleux. [03:17:32] Speaker B: Merci à moi d'être en retard et de donner tout mon boulot. [03:17:35] Speaker C: Tu te poses en retard ce matin, t'es arrivé à 6h du matin. [03:17:40] Speaker B: Mon travail n'a pas été trop effectif au début. Mais c'était la réflexion. [03:17:43] Speaker C: Mais on peut dire que sur la dernière demi-heure t'as tout donné. [03:17:47] Speaker B: C'est ça, toujours dans l'urgence, j'ai tout qui est là et hop c'est au dernier moment. [03:17:51] Speaker C: C'est ça la magie. [03:17:52] Speaker B: C'est ça. [03:17:53] Speaker C: Il amène les éléments et à la fin blablabla. [03:17:56] Speaker B: L'œuvre. Merci infiniment, passez une excellente semaine, bon courage à vous. N'hésitez pas à partager les replays et à laisser des commentaires positifs, négatifs mais constructifs. On vous aime fort, vive le métal, vive le rock. Sans vous, la musique n'est rien et tout ça ne peut pas exister. Early days, not a word, nor a gesture. I must say, in a straitjacket, it doesn't help. So on the slide we took it off. First reaction, slow to come. Lots of surprises, but her voice still wasn't there. Nothing worked. Until he let her dices. She moved on and tried to read again and again. [03:18:59] Speaker F: Oh oh oh. [03:19:32] Speaker A: C'est la Russie qui a le plus de progrès Elle peut être réceptive à la réduction dans le. [03:19:51] Speaker F: Démoniaque Avec des aléas, des changements, des. [03:19:53] Speaker B: Coups d'état, des millimètres et plusieurs opérations. [03:20:06] Speaker A: J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur Un symbole, une réalité, une surprise ou peut-être un faible désordre. Beaucoup d'hallucinations, d'emblématiques, de mémoires impropres. [03:23:21] Speaker B: Un pour le caillou. Deux pour le spectacle. [03:23:28] Speaker C: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:23:43] Speaker F: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon... N'hésitez pas à vous abonner !

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