Episode Transcript
[00:00:21] Speaker A: Wow, c'est beau. Je t'aime. Moi non.
[00:00:31] Speaker B: Je t'aime à l'italienne. C'est comme une glace comme ça, comme un caca.
[00:00:36] Speaker A: Très bien, c'est un bon début d'émission. Bonsoir tout le monde, bienvenue à vous toutes et à vous tous, j'espère que le week-end s'est très bien déroulé, que vous n'êtes pas trop tristes, que demain ce soit lundi, on est là pour vous remonter le moral et vous envoyer du bon gros son, des petites nouveautés, des choses qui vont vous faire rire normalement, en tout cas on essaye d'être amusant. On va essayer d'être peut-être un peu moins potache, un peu moins sexuel ?
[00:00:59] Speaker B: Moi je suis jamais, après c'est à toi de faire ce que tu veux.
[00:01:03] Speaker A: Non mais voilà, ce soir bien sûr vous aurez le droit aux news avec Didier, le grand retour aussi d'Enjoy The Noise.
[00:01:09] Speaker B: Et oui ! Finalement il nous aime bien, il est revenu.
[00:01:13] Speaker A: Il a dit, allez c'est bon je vous pardonne.
[00:01:14] Speaker B: J'arrête de bouder.
On mettra ça au clair avec lui j'espère.
[00:01:19] Speaker A: On va s'expliquer tout à l'heure bien sûr ça va de soi. Et bien sûr nous aurons une invitée qu'on a hâte de recevoir parce que je sens qu'on va beaucoup beaucoup beaucoup s'amuser c'est Sarah Lechaprice. Alors bon déjà moi le nom j'ai beaucoup de questions.
[00:01:34] Speaker B: J'imagine bien, je te connais.
[00:01:36] Speaker A: Et donc on va parler bien sûr de comment elle a rencontré le métal, etc. Vous connaissez le principe de l'émission désormais.
[00:01:43] Speaker B: Non mais c'est juste pour qu'on t'entende bien.
[00:01:46] Speaker A: C'est mieux. Comment ça va mon petit Ben ?
[00:01:49] Speaker B: Ça va très bien et toi Pierre ?
[00:01:51] Speaker A: Moi c'est très difficile. J'ai un problème au rein. J'arrive pas à me lever de la chaise. Je crois qu'hier quand je suis allé au Feel Good, un bar qui est Bastille, à qui on fait des gros bisous parce qu'ils sont vraiment très très bienveillants, c'est vraiment des gentilles personnes. Je ne me souviens pas d'une partie de la soirée, mais quand je me suis réveillé aux alentours de 8 heures sur le canapé au fond du bar, j'allais vachement mieux.
[00:02:14] Speaker B: 8H du soir, bien sûr !
[00:02:16] Speaker A: Oui, ça va de soi, 8h du soir. En tout cas, voilà, j'ai rencontré plein de gens aussi. J'ai été voir Stick To Your Guns.
[00:02:24] Speaker B: Du côté du Tremendo.
[00:02:25] Speaker A: Et c'était hyper bien ! Vraiment un concert de fou, les gens étaient hystériques. Et ça faisait longtemps que je n'avais pas entendu un groupe dire, en fait, faites ce que vous voulez, vous pouvez monter sur scène, vous pouvez vous jeter dans tous les sens.
[00:02:37] Speaker B: C'est un peu la tradition hardcore, ça.
[00:02:39] Speaker A: Voilà, et j'ai vu le beau monde aussi qui faisait des acrobaties. Je voyais des vieux aussi dans le public qui disaient « Oh ouais, ça se passe comme ça ? » C'était vachement... C'était très fou. C'était vachement bien.
[00:02:50] Speaker B: C'était toi le vieux qui disait « Ah ouais, ça se passe comme ça ?
[00:02:52] Speaker A: » J'ai vu des gens plus vieux que moi.
Genre la 480 je pense. Je me suis dit qu'est-ce qu'ils font là ? Sûrement des gens qui ont été invités par la salle, je sais pas. Après ils ont le droit d'aimer le hardcore, ça se trouve c'était des fans de hardcore, je ne sais pas. Mais une grosse grosse ambiance et puis j'ai croisé plein de merveilleuses personnes qui te passent le bonjour. Parce qu'en fait ils sont venus me dire Ah l'émission elle est trop bien, merci, franchement grâce à vous, je passe des bons moments, j'ai le sourire. On rend les gens heureux, a priori ?
[00:03:22] Speaker B: Eh ben écoutez, vous nous voyez ravis.
[00:03:24] Speaker A: Il y en a probablement d'autres qui sont malheureux à cause de nous. Mais ça ils nous le disent sur les réseaux sociaux.
[00:03:29] Speaker B: Après si vous êtes malheureux, ne regardez pas, c'est plus simple.
[00:03:32] Speaker A: Oui, ne vous faites pas de mal, c'est pas très grave. Et puis voilà, sinon qu'est-ce qu'il s'est passé d'autre cette semaine ? Ben pas grand-chose. Je suis déjà pas venu travailler. J'ai essayé de dormir.
[00:03:43] Speaker B: Tu m'as aidé quand même un peu.
[00:03:44] Speaker A: Ah ouais, c'était une aide très rapide.
[00:03:46] Speaker B: Bah ouais, mais c'est efficace.
[00:03:49] Speaker A: Moi, quand je rencontre les gens, tu sais ce qui se passe Ben, je les regarde dans les yeux. Et cette semaine, quand je regardais les gens dans les yeux, j'ai vu plein de belles histoires.
[00:03:58] Speaker B: Ah ouais.
Moi j'ai emmené Pierre, juste pour vous dire, j'étais sur un job, j'ai emmené Pierre parce que tout le monde m'a fait faux-bon et il fallait quelqu'un pour m'aider, du coup Pierre est venu avec moi, et bah il a tapé dans l'œil de la cliente. J'aime mieux vous le dire, il est parti une fois qu'il avait fini de m'aider, et la cliente elle a fait « Mais la personne qui vous a aidé là, c'était qui ?
[00:04:22] Speaker A: » Apparemment, j'attire les cougars.
Elle avait sûrement le même âge que moi.
[00:04:26] Speaker B: Je pense qu'elle était même plus jeune que toi.
[00:04:29] Speaker A: Oups, pardon. Elle était très charmante. Très, très gentille dame. Comme toutes les personnes qui étaient là, d'ailleurs. Je me suis dit, dis donc, toutes ces personnes sont très gentilles. Voilà. C'est vrai.
[00:04:41] Speaker B: T'es pas obligé de justifier de quoi que ce soit, Pierre. T'es un dragueur, t'es un dragueur.
[00:04:45] Speaker A: Ça me gêne un peu. Par contre, hier, on m'a appris aussi comment mettre sa main...
Quel était le plaisir procuré par, mais je n'en dirai pas plus parce qu'on m'a dit, pas de sexualité. Du coup j'ai envie de commencer cette émission avec du Stick to Your Guns parce qu'ils ont sorti un album qui porte le nom de cette chanson qui est donc Keep Planting Flowers, si je ne dis pas de bêtises, non c'est pas ça ? Je n'ai pas noté le bon titre.
[00:05:08] Speaker B: Keep Planting Flowers.
[00:05:10] Speaker A: Et voilà j'avais juste envie de leur dire merci parce que c'est des gens très gentils. Bon il s'est quand même plaint deux trois fois en disant après il y a du clubbing alors on peut pas jouer trop longtemps ok mais on est content qu'il y ait du clubbing mais quand même il y a du clubbing après donc c'est un peu chiant parce que... mais c'est quand même cool donc je n'ai pas compris s'il était pas content ou content.
[00:05:25] Speaker B: Bah un peu des deux.
[00:05:26] Speaker A: Il a dit je secourais mes fesses toute la nuit ici. J'ai trouvé ça très rigolo. Bon peut-être que bon. On y va ? On peut lancer la sauce là ?
[00:05:36] Speaker B: Non normalement ça doit marcher.
[00:05:38] Speaker A: Ça marchera toujours ! Allez, stick to your guns, bienvenue encore.
[00:05:40] Speaker C: Une fois, vous toutes à vous tous ! I wish that I knew what it took To walk through that door You could never come back from And I wish I knew you were in pain Cause if it's all the same You weren't always invincible to me You said you just needed some space Et tu m'as dit qu'il fallait juste que je te lève la tête J'aimerais que je n'aie pas été tellement effrayé J'aimerais juste pouvoir te dire que tu n'étais jamais invisible à moi C'est parti pour le tour du monde ! YOU WERE NEVER INVISIBLE TO ME ! I'm not afraid of monsters But I'm afraid of myself.
[00:09:23] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Pour moi-même, je suis libre.
[00:12:24] Speaker A: Le tout nouveau Nova Twins dans Bang Bang avec ce morceau que moi je trouve très très bien voilà qui s'appelle Monsters alors c'est vrai que c'est un peu différent de tout ce qu'on a pu avoir de leur part mais tu en penses quoi toi Ben ?
[00:12:40] Speaker B: Eh bien écoute, je trouve ça, c'est sympa, mais je crois que je préfère les trucs un peu plus bruts, moi.
[00:12:48] Speaker A: Oui, alors là c'est un peu plus pop effectivement.
[00:12:50] Speaker B: Espérons, espérons que... Non mais bruts dans les sonorités mais aussi dans l'approche du truc. Je pense qu'en live, c'est compliqué de faire ça en live. Donc après peut-être que du coup en live, elle revisite complètement le truc et du coup c'est bien quoi.
[00:13:06] Speaker A: On verra ça. De toute façon, il y a une tournée qui arrive, donc on va pouvoir aller voir ce que ça donne sur scène. Je tiens à dire merci à Trinity et à toutes les personnes qui viennent de nous rejoindre. Bienvenue à vous toutes et à vous tous. Merci pour tous ces petits messages. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne. Et Trinity, des petits cœurs ! Voilà ! En plus, je suppose que tu vas regarder jusqu'au bout Trinity, puisque ta copine est en train d'arriver. Voilà, Sarah Lechaprice sera notre invitée juste après… Juste après quoi ? Juste après le Flashbang News ! Et c'est présenté par Didi Mansour !
[00:13:48] Speaker D: Ah oui, Enjoy, il est là !
[00:13:48] Speaker A: Regardez, il est là !
[00:13:49] Speaker B: Il est là !
[00:13:49] Speaker A: Il est là !
[00:13:49] Speaker B: Il est là !
[00:13:50] Speaker A: Il est là ! Il est là !
[00:13:50] Speaker B: Il est là !
[00:13:51] Speaker A: Il est là !
[00:13:51] Speaker C: Il est là !
[00:13:51] Speaker B: Il est là !
[00:13:52] Speaker A: Il est là ! Il est là !
[00:13:52] Speaker B: Il est là !
[00:13:52] Speaker D: Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là !
[00:13:54] Speaker B: Il est là !
[00:13:54] Speaker A: Il est là !
[00:13:54] Speaker B: Il est là !
[00:13:55] Speaker E: Il est là !
[00:13:55] Speaker F: Il est là ! Il est là !
[00:13:56] Speaker B: Il est là !
[00:13:56] Speaker A: Il est là ! Il est là !
[00:13:56] Speaker D: Il est là !
[00:13:57] Speaker B: Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là !
[00:13:59] Speaker F: Il est là !
[00:13:59] Speaker A: Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là !
[00:14:02] Speaker E: Il est là !
[00:14:03] Speaker A: Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là ! Il est là !
[00:14:06] Speaker E: Il n'y a pas eu tant de news que ça, mais je me suis démené avec toute la rédaction de Restless pour vous dégoter quand même de...
[00:14:13] Speaker A: Encore OK du monde, hein ?
[00:14:15] Speaker E: On a dû se mettre à plusieurs pour trouver tout ça.
Même s'il y en a qui vont vous faire râler, mais on est ravis de faire celle-là.
[00:14:21] Speaker B: Je te dirais d'aller te faire foutre et puis voilà. Alors.
[00:14:25] Speaker E: On commence avec Scorpion, les légendes du rock allemand.
[00:14:28] Speaker A: Ils sont toujours là.
[00:14:29] Speaker E: Qui ont décidé de reporter leur résidence prévue à Las Vegas.
afin de permettre à leur batteur, Mikey D, l'ancien batteur de Motorhead, de se rétablir pleinement parce qu'il avait chopé une grave infection. C'était en décembre, il s'est fait une entorse.
et ça a viré en septicémie.
[00:14:47] Speaker B: Ah ouais, mais une entorse, normalement, c'est.
[00:14:49] Speaker E: Pas... Bah, c'est qu'à mon avis, il y avait une déchirure et puis il a pas soigné et il a fait « Putain, ça fait vraiment mal, c'est bizarre que mon pied soit violet, je vais aller à l'hôpital. » Et là, ils ont fait « Ah non, mais là, en fait, il faut vous opérer, sinon on va devoir vous couper la jambe.
[00:15:03] Speaker B: » Ah oui bah c'est mieux de s'inquiéter un moment.
[00:15:08] Speaker F: Pour un batteur déjà c'est un peu ballot, puis en plus à son âge, il faudrait peut-être réagir au bout d'un moment quand tu commences à avoir ce genre de trucs.
[00:15:14] Speaker E: En tout cas voilà, la résidence à Las Vegas va être reportée un petit peu.
[00:15:19] Speaker A: Bah c'est dommage.
[00:15:20] Speaker E: Oui c'est dommage.
[00:15:21] Speaker A: Nous comme on comptait y aller, bah du coup...
[00:15:23] Speaker E: C'est vrai, on a déjà raté celle de Céline Dion quand ça a duré des années.
[00:15:28] Speaker A: C'est vrai.
[00:15:29] Speaker B: Espérons juste qu'il soit rétabli pour le Hellfest.
[00:15:32] Speaker A: C'est vrai. C'est vrai puisqu'ils sont là. Encore et toujours.
[00:15:35] Speaker B: C'est dommage de ne pas les voir.
[00:15:36] Speaker A: Oh, puis Micky D, c'est toujours un bon invité à voir aussi. Ah, lui, il est... Des petites anecdotes croustillantes, des petites choses à raconter... Paul Dernier sur la Fiesta, celui-là ! Et je parle pas de la Ford ! Wow !
[00:15:52] Speaker B: Ford Fiesta, bien sûr.
[00:15:53] Speaker E: Alors, on enchaîne avec la news que, en fait, on se compte trop fou, c'est le chanteur d'Azaïlé Dying.
[00:15:59] Speaker B: Oh non !
[00:15:59] Speaker E: Mais ça suffit ! qui a refait parler de lui cette semaine parce qu'il y a des nouvelles vidéos qui ont fuité.
Alors je me suis dit, je vais quand même en parler parce que autant sur les réseaux sociaux maintenant comme on a le droit de s'en prendre aux femmes et aux gays en toute impunité et que les gens ne comprennent pas, là c'est juste que c'est des vidéos qui ont fuité de lui maltraitant son chien. Donc lui c'est peut-être l'occasion aux derniers gens qui lui avaient pas encore craché dessus, s'il vous plaît faites-le.
[00:16:28] Speaker A: Ne lui donnez pas d'importance. Laissez-le mourir dans son coin. Désolé pour lui, je ne lui veux pas de mal.
[00:16:34] Speaker B: Mais laissez-le tranquille. Dans son caca.
[00:16:37] Speaker A: Laissez-le chanter.
[00:16:38] Speaker F: Laissez-le seul.
[00:16:40] Speaker A: Non, pas chanter.
[00:16:41] Speaker E: On enchaîne avec Snott qui ont enfin présenté leur nouveau chanteur. Ça faisait un bout de temps qu'il teasait.
[00:16:49] Speaker B: L'autre il avait eu une septicémie.
[00:16:52] Speaker E: A cause du entorse. L'accident de voiture a fait une grosse entorse qui a fait que le septicémie a été direct et total.
[00:17:00] Speaker A: Putain c'est horrible.
[00:17:02] Speaker B: Jusqu'à son chien ça, le septicémie.
[00:17:04] Speaker E: En tout cas c'est Andy Knapp, un chanteur pas très connu. Andy Knapp, qui est du coup le nouveau chanteur de Snott.
[00:17:12] Speaker B: Andy Knappé ?
[00:17:14] Speaker A: Oh putain ! Je l'avais passé là, moi j'étais parti sur les knacky.
[00:17:19] Speaker B: Moi aussi j'étais parti sur les knacky. En fait, en repensant toutes les blagues, il n'y en a aucune qui marchait vraiment. Alors que Andy Knappé, elle marche.
[00:17:28] Speaker A: C'est à dire sans réfléchir. Je souffre.
[00:17:35] Speaker E: Alors je me suis dit que ce serait l'occasion de se mater un petit snot. Mais leurs clips n'ont pas été remis sur YouTube depuis les années 90. On n'a vraiment que des vieilles qualités VHS. Du coup, je me dis tant pis, on va faire une autre news. Et on va parler de Jamie Jasta de Headbreed qui a été interrogé sur ses goûts. Ses goûts de quoi ?
[00:17:57] Speaker F: Par la police ?
[00:17:58] Speaker E: Non, sur la musique et notamment sur son incapacité à rentrer dans l'univers de Tool.
En fait, il explique lui-même qu'il doit être un homme des cavernes, car ça ne me touche pas.
[00:18:14] Speaker A: C'est notre invité qui sonne.
[00:18:16] Speaker E: Ça ne me fait rien du tout. Et il reconnaît le talent du groupe. Le jeu musical, la production, la voix de Meniard, tout est mortel.
Et ponctuellement, en fait, les gens me disent « tu devrais écouter ce titre, tu vas voir, ça va te faire rentrer dedans ». J'apprécie le morceau, mais j'éprouve pas le besoin de le réécouter une deuxième fois. Ça me fait chier, il dit « mec, j'ai essayé d'écouter une chanson du dernier album, j'avais l'impression d'être dans un spa à Sedona en train d'attendre un massage ».
[00:18:49] Speaker B: Sedona, c'est connu pour son eau et ses termes.
[00:18:52] Speaker E: Donc voilà, ça m'a fait... Alors le truc, c'est qu'il dit que ça fait vraiment tous les 2-3 ans, il se dit, allez, il faut que je ne peux pas être le seul à ne pas comprendre pourquoi c'est bien.
[00:19:02] Speaker A: Je retente un truc...
Et pourquoi il s'acharne ? S'il n'y arrive pas, il n'y arrive pas.
[00:19:07] Speaker B: Bah non, mais des fois tu te dis peut-être... C'est comme les albums de Radiohead, tu les écoutes quand ils sortent et tu fais, c'est bof, et tu les réécoutes un petit peu après, tu fais, ah ouais, en fait c'est bien.
[00:19:18] Speaker A: Ah non, pardon.
[00:19:21] Speaker E: Ah la voix de canard c'est vraiment pas mal ! Bon en tout cas je propose qu'on écoute un petit Headbreed et du coup pour s'exciter un peu on le sauna quoi ! Avant le massage voilà !
[00:19:32] Speaker A: Ah bah ouais comme ça on détruit tout c'est ça ? Exactement !
[00:19:37] Speaker C: Et bah c'est parti ! DESTROY EVERYTHING! DESTROY EVERYTHING! OBLITERATE WHAT MAKES US WIN! DESTROY EVERYTHING! DESTROY EVERYTHING! DESTROY EVERYTHING! DECIMATE WHAT THREATENS ME!
Et c'est ce qui fait la destruction. Et c'est ce qui fait la nouvelle vie. Même une menace vide a une réponse que l'on ne oublie jamais. Je dois détruire tout ce qui essaie d'inventer. Même une menace vide a une réponse que l'on ne oublie jamais. Je dois détruire tout ce qui essaie d'inventer.
Détruis tout ! Détruis tout ! Abrutis ce qui nous fait vivre ! Détruis tout ! Détruis tout ! Détruis tout ! Détruis ce qui me fait peur ! Et c'est ce qui fait la destruction ! Et c'est ce qui fait la nouvelle vie ! Même une menace insuffisante a la responsabilité de tout oublier ! Je dois détruire tout ce qui essaie d'inventer ! Même une menace insuffisante a la responsabilité de tout oublier ! Je dois détruire tout ce qui essaie d'inventer ! DESTROY EVERYTHING ABRITTERATE WHAT MAKES US WORK DESTROY EVERYTHING DESTROY EVERYTHING DESTROY EVERYTHING DECIMATE WHAT THREATENS ME DESTROY EVERYTHING DESTROY EVERYTHING DESTROY EVERYTHING SO A NEW LIFE CAN BEGIN BOUM !
[00:23:11] Speaker A: Ouh les méchants messieurs !
[00:23:13] Speaker B: Ça crie fort ça !
[00:23:15] Speaker A: Ça marche toujours le petit 8brid qui fait du bien.
[00:23:21] Speaker E: C'était sûrement un petit rouquin bouboule quand il était enfant et qu'il s'est fait bully et du coup il a besoin de se prendre sa revanche.
[00:23:28] Speaker A: Ça sert aussi à sale métal, effectivement. Prendre sa revanche. Bon, en dehors de 8brid et de tout ce que tu nous as déjà dit, s'est passé autre chose ?
[00:23:35] Speaker E: Alors, il y a une news que tu as mis sur le site de Restless. C'est notre bon vieux Bruce Dickinson, d'Iron Maiden, qui était, qui vit en France de toute manière, mais qui a représenté la Grande-Bretagne dans la catégorie vétérans lors du circuit européen d'escrime à Fâches-Tumenil en France.
[00:23:54] Speaker B: Wow, c'est précis.
[00:23:56] Speaker E: Les gens étaient surpris de le voir. Ils étaient à une compète d'escrime en province et puis du coup, tu as le chanteur d'Iron Maiden qui était là.
et qui s'est fait éliminer au deuxième tour. Alors il a quand même impressionné par sa passion et sa détermination pendant le premier combat, mais après il s'est fait latter la gueule et voilà il est terminé 13e sur 31.
[00:24:16] Speaker A: C'est pas mal. Mais oui, c'est pas mal. Après, je trouve que les critiques ont été vraiment très, très gentilles parce que c'était le chanteur d'Iron Maiden. Je sens que c'était vraiment... Non, mais c'est formidable. Vous pouvez revenir. Vous savez que vous pouvez revenir. La prochaine fois, on annoncera.
Ça serait bien.
[00:24:31] Speaker E: En même temps, je ne suis pas sûr qu'il y aurait eu beaucoup d'articles sur cette compétition d'escrime sans ça.
[00:24:38] Speaker B: Oui, oui, surtout.
Flash...
[00:24:41] Speaker E: Flash Tumenil.
[00:24:43] Speaker B: Flash Tumenil, ouais.
[00:24:44] Speaker A: C'est une belle ville du nord de la France. Ah oui ? Très connue pour...
[00:24:48] Speaker B: C'est Tulip, toi.
[00:24:48] Speaker E: Pour ses combats d'épée.
[00:24:52] Speaker A: Mais bon, bravo à lui. Bientôt Iron Maiden en conserve, d'ailleurs.
[00:24:56] Speaker E: Sinon, il y a plusieurs fans qui ont été blessés par la chute de dalles au plafond sur le public lors du concert de Bad Omens à Melbourne.
[00:25:03] Speaker A: Non.
[00:25:04] Speaker E: En fait, lors de leur... Dalles au.
[00:25:05] Speaker B: Plafond, c'est pas quelqu'un, Pierre. Dalles au plafond, c'était des dalles qui étaient au plafond.
[00:25:10] Speaker A: Mais qu'est-ce qu'elle faisait là-bas ? Ah bah... Spiderman ! Je pense qu'il faut faire une enquête Spider-Cochon !
[00:25:16] Speaker E: En gros, lors de leur tube Just Pretend, il y a des canons à confetti qui ont tiré dans les airs et ils étaient mal réglés et du coup, ça a tapé sur les plaques au plafond et il y a vraiment des vidéos là, peut-être que Marcel les mettra sur la miniature, enfin sur la vidéo YouTube. On voit vraiment des plaques vraiment qui tombent sur la gueule du public.
[00:25:35] Speaker A: Quel enfer !
[00:25:36] Speaker E: Ils jouaient, je crois que c'était le lendemain ou le surlendemain. Et vraiment, le chanteur, à un moment donné, il a fait « Là, j'aimerais qu'on fasse une minute de silence. Il n'y a pas eu de mort, tous les gens vont bien, mais il y a d'autres dans le public qui vous aidera. » C'est ultra sérieux. Nous, on a flippé, on n'aurait pas voulu qu'il y ait des morts pendant notre concert. On m'a dit que les gens qui se sont pris le truc sur la gueule étaient là ce soir. Donc, les gars, montrez-vous, est-ce que ça va et tout ? Vraiment... Non, il y en a qui sont...
Ils sont évanouis mais apparemment pas plus de peur que de mal.
[00:26:10] Speaker A: Ils sont venus avec la dalle qui était toujours avec eux. Bon bref, ils l'ont traversée. La suite !
[00:26:16] Speaker B: Ça rigole pas ! Le métal, ça fait mal !
[00:26:19] Speaker A: Ah bah les confettis, paf ! Non mais c'est horrible, c'est vrai que ça doit faire flipper.
[00:26:22] Speaker E: Alors la suite, c'est une news bagarre, du coup je vais mettre ma casquette bagarre.
[00:26:28] Speaker F: Ça c'est la bagarre.
[00:26:29] Speaker E: Si jamais mon patron veut nous sponsoriser, voilà.
[00:26:33] Speaker B: Restez un peu la tête qu'on voit bien le logo.
[00:26:35] Speaker E: Voilà, c'est Alex Terrible, chanteur du groupe de Deathcore Slother to Prevail. Il n'a fait qu'une bouchée de son adversaire lors d'un combat professionnel à mains nues dans le cadre du tournoi russe RCC en Russie. Terrible a décroché une victoire par KO en moins d'une minute.
son adversaire avait lui un palmarès d'une victoire pour trois défaites. Mais c'est vraiment, le combat il a commencé et il l'a chopé dans les cordes et il lui a mis vraiment un enchaînement de flancs de patates.
[00:27:02] Speaker B: Ce qu'on appelle des patates, la fameuse patate russe.
[00:27:05] Speaker E: Après, comme je disais, son adversaire, il avait fait quatre combats pro, il en avait perdu trois. Est-ce qu'il lui aurait pas mis ce que c'était dans la ville de Slaughter to Prevail ? Est-ce que c'était pas genre, Vu que t'es connu, on te met un mec pas hyper fort pour que tu puisses...
[00:27:23] Speaker F: On te met un bout de chair à canon un peu là... Vas-y défends-toi !
[00:27:29] Speaker E: Des trucs comme ça, dans le milieu de la bagarre, il y en a même en France, il y a certains combattants, ou certaines personnes un peu médiatiques, qui pourraient s'appeler Ragnard... Le Breton ? Je sais pas, l'Ardècheois ou Ragnard le Clermontois, qui voudraient faire du MMA et qui du coup, pour pouvoir...
faire du combat dans la fédération ARES. Normalement, il faut faire des combats pro. Du coup, il va faire un combat pro en Suisse, qui est en fait juste un sparring où il s'est fait éclater la gueule. Mais au moins, il a un combat pro et du coup, des fois, il y a un peu des magouilles comme ça. Et je pense que là, c'était peut-être... Allez, le mec, il est connu, il a un groupe de métal connu. On va le faire éclater la gueule d'un type et voilà.
[00:28:10] Speaker B: Alors je croyais qu'il avait quitté la Russie, qu'il pouvait pas y retourner.
[00:28:13] Speaker F: Bah oui, je croyais aussi.
[00:28:14] Speaker A: Tu sais, on peut y aller facilement finalement en Russie.
[00:28:16] Speaker B: Bah oui, non mais... Il a un peu les vivres aux Etats-Unis, lui.
[00:28:22] Speaker A: Chez les cow-boys ! Il se battait plus avec les cow-boys en cuillère.
[00:28:27] Speaker B: En tout cas, alors moi j'ai une autre news, et apparemment tu ne l'as pas eue, mais il compte, une fois de retour aux Etats-Unis, il a pour projet d'ouvrir un restaurant de la chaîne La Pataterie.
[00:28:39] Speaker A: Voilà.
J'adore cette satisfaction !
[00:28:47] Speaker B: C'est parce qu'il met des grosses patates, exactement.
[00:28:50] Speaker A: Et puis on sait que dans l'Est.
[00:28:51] Speaker E: De l'Europe, on mange beaucoup de patates. T'avais vu cet Américain qui justement était à la pataterie et il fait genre des photos, il les a mis sur Internet. C'est génial, regardez ! Ils font que des patates, mais de plein de recettes différentes. Il était comme un ouf et ça a fait un buzz sur les réseaux sociaux.
[00:29:11] Speaker B: Moi, c'est mon plan d'ouvrir une pataterie aux Etats-Unis dès qu'on a fini Bang Bang.
[00:29:17] Speaker E: Sur le coup de 22h, 23h... Je prends mon sac à patates et je vais dire que c'est fini.
[00:29:25] Speaker A: Allez-y !
[00:29:26] Speaker E: Alors du coup, on va terminer sur une dernière petite news. Rajeegan Zamashin, en gros, c'est le militant des droits des autochtones au sein de l'American Indian Movement, Léonard Pelletier.
qui avait été condamné à deux peines de prison en vie consécutive pour un crime qu'il n'y avoir commis. Son combat avait été mis en lumière, en tout cas chez nous en France, par Jagan The Machine qui lui avait dédié le titre Freedom. Et du coup, ça parlait un peu de son histoire dans le clip. Et là, Joe Biden, un dernier truc qu'il a fait avant de donner les clés de la maison à Trump, C'était de le gracier. Et les membres de sa famille aussi.
[00:30:08] Speaker B: La famille de Biden.
[00:30:11] Speaker E: Dans ça, il l'avait déjà fait avant. Mais du coup, les membres de Rajag The Machine se sont réjouis sur les réseaux sociaux pour dire voilà, ça fait 30 piches qu'on a sorti le morceau.
[00:30:21] Speaker A: Est-ce que ça leur donne envie d'en lire ? Il y a d'autres combats, il y en a plein.
[00:30:25] Speaker E: Ouais, mais je pense que c'est mort.
[00:30:28] Speaker A: Putain, mais y'a Trump, je sais pas, ça devrait le motiver un peu, Zach. Zachounet ! Tu comprends, il faut que tu reviennes, mon p'tit Zachounet ! Tu peux plus laisser les gens comme ça, ils pleurent, ils ont des larmes de sang et pas que de sang !
[00:30:37] Speaker E: J'suis pas sûr que Zach ait envie de faire des titres avec Babymetal... Bah.
[00:30:41] Speaker A: Il est là-bas, il est en train de nettoyer les toilettes, mais bon... Bref. Quoi ? Bah on l'a engagé ! N'importe quoi ! Je comprends même pas la blague !
[00:30:50] Speaker B: Il n'y a pas de blague en fait.
[00:30:51] Speaker A: Non, il n'y a pas de blagueuse.
[00:30:53] Speaker E: Bon bah du coup je propose pour clôturer cette blague et ces news de s'écouter Freedom de Raging on the Machine.
[00:31:00] Speaker A: Mais moi je te remercie de nous avoir apporté toutes ces bonnes nouvelles.
[00:31:04] Speaker B: Merci beaucoup.
[00:31:36] Speaker C: J'suis un soloïste sur une liste de solo Tout le temps, jamais sur un.
[00:31:40] Speaker D: Disque floppy Une bouteille de liquide Des.
[00:31:43] Speaker C: Rebelles en train de trouver les fausses.
[00:31:46] Speaker D: Idées.
[00:32:11] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[00:32:32] Speaker A: Musique rap.
[00:34:12] Speaker C: C'est pas un jeu, c'est un jeu ! Freedom Yeah Freedom Yeah, right Freedom.
[00:37:50] Speaker A: Le.
[00:37:50] Speaker C: Rythme, la force, le threat. La vie, l'histoire, c'est le coup de main ! I think I sold my soul for real I feel the flames that slowly poison my skin I heal the burned and the sea of excuses And I shake my head but it's time to say goodbye Contact the scars and contact the bruises All the monsters in my head are falling to escape I've lied to myself, I'm spinning round again I'm talking to the devil, but it's just killing the friends J'ai été sauvé pour tellement de temps Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[00:41:29] Speaker A: C'était compliqué celle-là. Mais parce que Landmarks, tout le monde a dit non, je veux encore de Landmarks. Les gens ont envie de découvrir tout ce nouvel album qui arrive le 25 avril, si je dis pas de bêtises, laisse-moi regarder, oui 25 avril, qui s'appelle « The Darkest Place I've Ever Been ». Et moi je l'ai là, regarde il est là, il est là l'album.
[00:41:51] Speaker F: Je me suis assez entré.
[00:41:52] Speaker A: Et je peux te dire que les gens vont être contents.
C'est-à-dire que si vous trouviez qu'ils avaient des petits moments... Alors ça là, c'est la chanson la plus calme. C'est la chanson qui est faite pour la radio, pour être diffusée, pour que les gens puissent découvrir.
[00:42:03] Speaker B: C'est le tube.
[00:42:04] Speaker A: C'est un peu le tube. Et derrière, c'est que des trucs qui bassonnent. C'est l'enfer de la violence.
Donc je pense que les gens vont être très très heureux, voilà, parce que c'est ce que les gens demandent en ce moment. Les gens sont un peu énervés, donc il leur faut des choses pour se défouler, et Landmarks le fait très bien. Et dans ce titre-là, vous aurez pu voir un featuring, celui du chanteur de White She Sleeps, voilà, qui est donc venu faire la pause au téléphone comme ça. « Oui, moi j'ai une cabine téléphonique, ah ché ! » « D'accord. » C'est... non ? « Bah non ! » Le ridicule ne tue pas, regarde, je suis encore vivant ! Bon, enfin, on partiche. Oui, j'ai commencé à perdre un rein et je ne sais pas ce qui est... Bon bref. D'ailleurs, tiens, j'y pense, peut-être qu'elle m'a mis... Non, bref. Il est l'heure, bien sûr, de recevoir notre invitée qui détoque Sarah de Surprise ! Bonsoir. Merci d'être là. J'espère que tu es bien installée ?
[00:42:59] Speaker D: Je suis très, très bien installée. Merci beaucoup et merci de m'accueillir, surtout.
[00:43:04] Speaker A: On en a fait une, il fallait faire la seconde !
[00:43:06] Speaker D: Ah oui, le duo, les ventes de Twitch ! Comment on est en sûr, le duo infernal !
[00:43:13] Speaker B: La prochaine étape, c'est d'avoir les deux en même temps, comme ça on n'a plus rien à faire !
[00:43:17] Speaker D: Je pense que, vraiment, là on explose ! On explose les stats et on explose l'émission ! L'enfer quoi !
[00:43:25] Speaker A: Non mais c'est ça qu'on aime, l'enfer, l'enfer de la musique. Tu es là pour nous parler de ton amour pour le métal et bien sûr de tout ce que tu fais parce que moi je ne te connais pas tant que ça, j'avoue.
[00:43:35] Speaker D: Ah super, bravo, merci, ça fait plaisir.
C'est un mythe mais voilà.
[00:43:40] Speaker B: Pierre il aime bien rencontrer les gens pour apprendre à les connaître.
[00:43:43] Speaker A: Bah oui c'est mieux.
[00:43:44] Speaker D: Il m'a raconté apparemment hier soir une histoire en background mais on va s'arrêter là.
[00:43:49] Speaker A: Oui tout n'est pas bon à dire, j'ai encore mal aux reins.
Mais je me demande si c'est vraiment pas elle. Coucou d'ailleurs si elle regarde. Maman je t'aime aussi.
[00:44:00] Speaker D: Il y a ma mère qui regarde d'ailleurs.
[00:44:02] Speaker A: Coucou maman. Bon déjà, qui es-tu en gros ? Qu'est-ce que tu fais dans la vie ?
[00:44:09] Speaker D: Oula, beaucoup de choses, déjà je ne sais pas ouvrir une porte apparemment, parce que j'ai pas réussi à descendre. Voilà, je fais plein de choses, mais ça je ne sais pas ouvrir une porte, donc voilà. Non bah écoutez, je suis Sarah Lechaprice, voilà, dernière nouvelle. Je suis actuellement toujours tatoueuse, donc bientôt 10 ans de carrière. J'en ai déroulé du câble, si je peux dire.
Et je sais, ça ne se voit pas, mais... Mais oui, c'est vrai que depuis bientôt trois ans, je suis sur Twitch et je fais plein de choses.
[00:44:44] Speaker A: Oui, j'ai quand même bu, mais tu fais quoi ?
[00:44:46] Speaker D: Ah bien écoute, ça passe par l'art, le craft, une émission que j'ai créée qui s'appelle Craft également. Comme ça c'est pas trop compliqué, on reste dans le même one way tu vois. Et je fais de la cuisine depuis peu aussi et puis un peu de gaming. Surtout beaucoup de blagues de merde.
[00:45:03] Speaker A: C'est un peu le but. Tu fais tout ça tout le temps sur le ton de la bonne humeur, de l'échange, de la discussion.
[00:45:09] Speaker D: Oui, on est là parce qu'on est là pour faire plaisir aux gens, pour se faire plaisir à soi aussi et pour changer les idées. C'est du divertissement.
[00:45:18] Speaker A: Oui, c'est le principe. Tu dis que ça te fait du bien. Tu penses que ça t'a aidé à quelque chose de faire du live Twitch ?
[00:45:26] Speaker D: Ah oui, de ouf, ouais. Franchement, c'est ce que je dis beaucoup, c'est ce que je dis à ma communauté depuis... Mes fervents viewers, coucou, je vous vois, vous êtes là. C'est vrai que le fait d'être sur Twitch, c'est une façon d'être soi-même à 100%, c'est comme ça que moi je le vois personnellement, et les gens me suivent pour moi.
Du coup c'est trop cool parce qu'en fait juste les gens ils viennent parce que c'est toi. Donc peu importe ce que tu veux faire les gens ils te suivent et le fait c'est une super commu qu'on a réussi à créer et du coup bah ouais grave ça fait du bien quoi. Tu viens sur Twitch, tu discutes de tout, de rien. Des fois je leur raconte des anecdotes et je suis là genre pourquoi j'ai dit ça sur internet.
[00:46:03] Speaker A: Ça va rester sur internet.
[00:46:04] Speaker D: Ouais t'inquiète on a... Oui mais j'ai.
[00:46:08] Speaker B: Cru comprendre que... Notre public est habitué aussi.
[00:46:10] Speaker D: Ok ok d'accord ok.
[00:46:12] Speaker A: Tout le monde n'aime pas ça mais.
[00:46:14] Speaker D: Bon... Oui mais bon après on n'est pas là pour plaire à tout le monde. On est là pour se faire plaisir à soi et puis du coup on attire les gens qui nous ressemblent.
Après, les viewers, ils savent qu'on est un peu débiles. Désolée, mais vous le savez, on en a déjà parlé, mais on est des bons débiles.
[00:46:34] Speaker A: Oui, on est gentils au moins.
[00:46:36] Speaker D: Voilà, c'est ça, ils sont gentils.
[00:46:37] Speaker A: Ils sont braves, ils sont braves.
[00:46:39] Speaker B: Ils ont le mérite d'exister, voilà.
[00:46:40] Speaker D: C'est ça, voilà, voilà.
[00:46:42] Speaker A: Et tu trouves que quand on est sur Twitch comme ça, enfin t'es seul, mais tu trouves qu'on est plus naturel, enfin qu'on est très naturel que si on faisait une émission radio ou autre chose ? Parce que j'ai toujours l'impression qu'il y a quand même un personnage quand on est quand même... C'est nous, mais il y a un petit jeu, non ?
[00:46:57] Speaker D: Bah, personnellement, moi derrière mon bureau, même quand je suis en live cuisine, non en fait je suis moi-même. Enfin je veux dire la plupart de tous mes potes vont me dire en fait non mais Sarah c'est la même personne en live parce qu'en fait je mets pas de barrière. Mais après je pense qu'effectivement dans le cadre d'une émission un peu plus prodée comme ici, ce magnifique plateau, forcément tu vas pas faire... parce qu'il y a quand même du temps, enfin je veux.
[00:47:20] Speaker B: Dire il y a...
Non mais je pense qu'un truc qui est vraiment différent entre une émission qui est formatée et quand tu fais du live, c'est que quand tu fais du live, ça peut durer 2, 3, 4, 5 heures, même plus, et t'es tout le temps là. Donc en fait, même si t'essayes d'avoir un personnage au début, je pense que très vite, tu peux pas tenir un personnage non-stop.
Parce que tu réfléchis un peu à... Enfin, pour entretenir les gens, il faut que tu réfléchisses un peu à voix haute, il faut que tu dises un peu...
Tu t'avances avec eux et du coup, au bout d'un moment, c'est comme si t'étais avec des potes.
[00:47:59] Speaker D: C'est exactement ça. Moi des fois je leur dis bah écoutez c'est comme si on était dans mon salon puis vous me regardez jouer à un jeu quoi. T'sais genre la meuf qui veut jamais passer la manette en fait. Non mais regardez-moi s'il vous plaît là allez. Par contre soyez sympa, racontez des trucs tu vois. Le pire moment c'est quand je commence à faire de la peinture.
concentré en fait, ou du craft, et les gens ils arrêtent de parler dans le chat parce qu'eux aussi sont concentrés, ils regardent. Par contre en fait là, il faut parler parce que sinon c'est chiant. Allez-y, dites des trucs.
[00:48:29] Speaker A: Je vous fais pas venir chez moi pour que vous dites rien. C'est pour échanger les amis.
[00:48:34] Speaker D: Après ils sont là genre « ouais mais tu vois t'avances pas sur ce que tu fais en live ». En fait parce que je peux pas animer et faire des trucs incroyables en fait. À un moment je peux pas tout faire, je sais que je suis géniale. Horrible.
On a dit avec Trinity qu'en 2025 on ne disait plus que c'était une blague.
[00:48:51] Speaker B: Que vous êtes géniales ?
[00:48:52] Speaker D: Non mais tu sais qu'on dit c'est horrible et puis c'est une blague, genre ça va.
[00:48:59] Speaker B: Moi dans l'absolu je suis d'accord avec toi, je trouve ça très drôle et je pense qu'il faut réhabituer les gens au second degré, à l'ironie et au sarcasme. Mais nous on se rend compte que.
[00:49:12] Speaker A: Les gens ne comprennent pas. Bon après moi mes blagues sont nulles.
[00:49:16] Speaker B: Mais... Non mais on en fait quand même souvent ce genre de... Moi c'est mon humour préféré et c'est vrai qu'il y a plein de gens, tu te rends compte, dans les commentaires ils comprennent pas du tout.
[00:49:24] Speaker D: Ah non, mais en fait j'ai envie de te dire ces gens-là, bah au revoir en fait ! Ils sont de l'église, enfin à un moment !
[00:49:32] Speaker F: Mais aussi parce que dans les commentaires, tu touches pas que les gens qui te ressentent, justement comme on disait, c'est un peu le tout venant qui peut y être opposé, qui peut y être exposé.
[00:49:40] Speaker B: Il a jeté comme pour l'algo, donc c'est pas mal finalement.
[00:49:44] Speaker D: Les haters, commentez, allez-y, ça fait plaisir !
[00:49:47] Speaker A: Allez-y, c'est gratuit ! Allez-y, allez-y ! Non, puis ça reste de la publicité, on dit toujours que mauvaise publicité reste une publicité et ça te fait connaître.
[00:49:55] Speaker D: Malgré tout, donc... Oui, oui, bon, après ça dépend sur... Oui, non, bien sûr.
[00:49:59] Speaker A: Que je... Evidemment, si t'assassines quelqu'un, ça ne marche pas !
[00:50:03] Speaker B: Alors ça dépend, mais le plus souvent non.
[00:50:07] Speaker A: Ça ne se fait pas attention.
[00:50:08] Speaker D: D'ailleurs, tout à l'heure en arrivant, j'ai vu quelqu'un, je pense que c'est le meilleur moyen de cacher un cadavre, dans le livre du sujet. Il y avait quelqu'un qui se baladait avec un diable et une contrebasse, tu sais, genre un truc de contrebasse. C'est le meilleur moyen.
[00:50:21] Speaker A: C'est discret.
[00:50:23] Speaker D: 19H, tu te balades, genre.
J'ai trouvé que c'était très marrant, très pertinent à dire.
[00:50:28] Speaker B: J'ai une énorme caisse pour transporter mon matos, ça fait 1m40, j'appelle ça un cercueil. Même ma taille à peu près. Les gens à chaque fois disent « mais c'est lourd en plus, non ?
[00:50:40] Speaker D: ».
[00:50:40] Speaker A: Oui, oui.
[00:50:41] Speaker B: Il y a quoi dedans ?
[00:50:42] Speaker A: Oui, oui.
[00:50:43] Speaker D: Aïe !
[00:50:44] Speaker A: Ça va, c'est parce qu'il y a du son.
[00:50:46] Speaker F: À peu près le poids d'une personne. Pourquoi j'ai dit ça ?
[00:50:48] Speaker E: C'est une blague.
[00:50:52] Speaker A: Et la communauté Twitch est toujours bienveillante avec toi ou c'est difficile parfois les critiques si tu parles par exemple...
Ouais.
[00:51:00] Speaker D: Oh non ça va, puis après bon alors déjà effectivement il y a des gens qui ont beaucoup de mal à se projeter sur le fait que tu puisses faire des choses qui sortent de la norme, tu vois genre changer des couleurs, dessiner des choses différemment, mais ça oui mais bon ça après c'est le côté artistique tu vois, pourquoi après t'es obligé d'expliquer aux gens, dire écoutez il faut arrêter de toujours penser dans la boîte, think out of the box, tu vois genre le classique.
[00:51:26] Speaker A: Bilingue aussi.
[00:51:28] Speaker D: Mais bon après je veux dire, tout ne peut pas plaire. J'ai bien conscience, c'est comme ce que je fais dans le tatou, tout ne peut pas plaire.
Surtout quand t'as un style assez dark.
Mais en général les gens sont assez gentils. Et puis en vrai j'ai des modos qui sont ultra bien formés. Genre le premier, j'ai même pas le temps de lire les commentaires en général. Non en vrai c'est cool. Franchement j'ai de la chance.
[00:51:53] Speaker A: Et alors, et ce nom ? Parce que je ne sais pas pourquoi tu t'appelles Sarah Lechaprice ?
[00:51:57] Speaker D: Eh bien écoute, tu peux faire la commande dans mon chat pseudo.
Ah d'accord, ok. Ça viendra.
[00:52:03] Speaker F: Comme quoi t'es pas le premier.
[00:52:04] Speaker D: Voilà, exactement.
[00:52:06] Speaker A: C'est la question qui t'a gonflée donc. Je suis ravi de te la poser.
[00:52:10] Speaker D: Alors ce n'est pas Sarah le caprice, déjà ce n'est pas un jeu de mots parce que tout le monde pensait que c'était un jeu de mots mais pas du tout.
[00:52:16] Speaker A: J'étais pas jusque là, mon cerveau ne me permet pas. Hypothèse rayée.
[00:52:20] Speaker D: La soirée d'hier soir, il te manque des bouts apparemment.
[00:52:25] Speaker B: Ou alors ils sont bien à l'intérieur.
[00:52:27] Speaker D: Ils sont bien rangés, bien tassés vers le haut.
[00:52:31] Speaker A: Les gants de Pierre.
[00:52:33] Speaker D: Pierre si tu nous regardes, coucou. Ça fait combien de temps ? 11 minutes. Parfait. Ça fait 11 minutes, c'est parti en live. C'est ce pseudo, pourquoi ? Déjà Sarah c'est mon prénom, aucune originalité.
[00:52:48] Speaker A: C'est pratique aussi.
[00:52:49] Speaker D: Oui voilà c'est vrai, au moins je me reconnais quand on m'appelle.
Mais alors le chat c'est une histoire de merde en plus tu vois, genre le chat parce qu'en fait j'étais en école d'art et j'avais une capuche avec des oreilles de chat.
[00:53:00] Speaker A: Oh trop mignon !
[00:53:01] Speaker D: Ouais voilà, kawaii tu vois. Bah ouais c'est trop mignon moi j'adore ! Et en fait on m'appelait bébé chat mais même les profs m'appelaient comme ça, c'était un pseudo tu vois. Ouais en école d'art on était 10 dans ma classe.
Et les artistes !
[00:53:14] Speaker B: Est-ce que vous ameniez des gâteaux pour votre anniversaire et vous faisiez des goûters ou pas ?
[00:53:19] Speaker D: On avait des gars...
[00:53:20] Speaker B: Franchement ouais, des gens...
[00:53:25] Speaker A: C'est hyper important !
[00:53:26] Speaker B: J'ai toujours trouvé ça trop cool, parce que... Alors moi c'était au lycée, mais c'est vrai qu'au lycée il y avait... Tu sais les littéraires ils étaient très peu dans le truc et du coup ils faisaient des goûters.
Alors que tout le monde était en scientifique dans mon lycée.
[00:53:39] Speaker D: Mec, on était dix. Tu te doutes bien que les goûters étaient tout le temps ? Quand on venait tous en classe, donc.
[00:53:46] Speaker B: On était dix dans la classe.
[00:53:47] Speaker A: Parce que ça, c'est le côté artistique aussi.
[00:53:48] Speaker D: Voilà, tu vois, c'est genre, mais non, mais voilà, je t'ai pris d'un élan créatif.
[00:53:53] Speaker A: Cette nuit, j'étais très créatif, du coup, je ne viendrai pas au cours.
[00:53:56] Speaker D: Voilà, exactement. Je me faisais des mots moi-même. D'ailleurs, j'appelais moi-même le CPE pour dire, écoutez, je ne serai pas là aujourd'hui. C'est que dans les lycées d'Ark, que ça passe.
C'est toute une école semi-privée, ma mère payait tous les mois. C'est peut-être ça en fait.
[00:54:10] Speaker A: Ma mère est au courant de tout.
[00:54:16] Speaker D: C'est tout. Du coup, c'est juste qu'à partir de 18 ans, quand on t'appelle bébé chat, toi t'es une sugar baby foie, ça devient bizarre. Je me suis dit pourquoi pas le chat, histoire d'évoluer un petit peu. Et puis Price, pour Vincent Price, Voilà, qui est toute une histoire dans l'évolution de mon gottisme, si je puis dire. Qui est juste là, d'ailleurs, je sais pas si on le voit, mais...
[00:54:39] Speaker B: On voit rien de particulier, on voit là ?
[00:54:43] Speaker D: Alors ce n'est pas Charlie Cha... Vous avez compris ? Ou l'autre gars, voilà, qu'on va pas citer le nom. Parce qu'on a déjà sorti ça, tu vois ? C'est là genre, non mais en fait, à quel moment ? À quelle heure ?
[00:54:54] Speaker A: Genre, à quelle heure, enfin ? Oui, il y en a qui le font. Après, normalement, ils ne le montrent pas.
[00:55:02] Speaker D: Ou sinon, je l'aurais mis dans mon pseudo.
[00:55:11] Speaker F: Tu sélectionnes ton public, là t'es sûre c'est les gens qui te ressemblent.
[00:55:14] Speaker D: Exactement, au moins.
[00:55:17] Speaker A: Et cette école tu l'as faite avant de devenir tatoueuse ?
[00:55:19] Speaker D: Oui. Moi je voulais faire du tatouage depuis que j'ai l'âge de 13 ans. Moi c'était vraiment mon rêve ultime dans la vie et donc du coup j'ai fait collège, lycée, puis j'ai fini en lycée d'art parce que de toute façon...
[00:55:38] Speaker A: Ils m'ont permis d'y aller, voilà.
[00:55:43] Speaker D: C'est surtout que j'ai fait une première année en seconde normale. J'ai à peu près, je pense, fait en jours de présence deux mois cumulés. Sur toute une année !
[00:55:51] Speaker A: C'est mieux que zéro !
[00:55:53] Speaker D: Je n'ai jamais été collée de ma vie. J'étais en conseil de discipline pour absentéisme. Genre 100 heures de colle ! Je n'aimais pas l'école, je n'aimais pas l'école. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?
[00:56:09] Speaker A: Les artistes. C'est comme ça, les psys disent oui c'est un artiste.
[00:56:14] Speaker D: Merde !
[00:56:14] Speaker F: Du coup tu voulais être tatoueuse à 13 ans mais le premier tatouage du coup c'était à ?
[00:56:18] Speaker D: Beaucoup trop jeune.
Beaucoup trop jeune, 16 ans et demi avec la corps de ma mère.
Elle était au courant ? Elle était au courant, oui. Ma mère était anti-piercing. Je me faisais percer dans son dos. Maman, elle le sait, ça a été... Ecoutez, c'est une confession avec ma mère ce soir ! Mais c'est vrai que le tattoo, elle était d'accord. J'avoue, je n'ai jamais compris. Parce que bon, un tattoo, ça ne part pas.
[00:56:45] Speaker B: C'est un peu moins réversible qu'un piercing.
[00:56:48] Speaker D: Mais bon, j'ai fait les deux. Voilà.
[00:56:51] Speaker A: C'était cadeau !
[00:56:52] Speaker D: Voilà, mais écoutez, par contre c'est beaucoup trop jeune, 16 ans, ne faites pas ça à 16 ans.
[00:56:55] Speaker A: Ouais, alors on nous a déjà dit effectivement qu'il valait mieux attendre, un petit peu réfléchir peut-être un peu plus.
[00:57:00] Speaker D: Oui, voilà, parce qu'en soi, bon, la peau, à part si tu prends 50 centimètres d'un coup, bon, voilà, mais...
Mais non, mais c'est les idées quoi ! Tu vois, moi j'étais très fan à l'époque, le New Metal, le Crazy Town, tu vois, genre les fameuses étoiles dans le dos. Voilà, bah j'ai les mêmes !
[00:57:17] Speaker B: J'ai bien là ! Bah j'avais deux questions, tu les as encore ? Oui, bien sûr ! Tu les as pas fait couvrir ?
[00:57:23] Speaker D: Bah ça va arriver, incessamment si on peut, mais c'est vu que c'est tout le dos, tu vois, enfin pas tout le dos, mais je vais faire une grosse pièce dans le dos. Voilà, psychologiquement là je suis pas encore prête à me faire retatouer, enfin bon bref, c'est tout un process, quoi.
[00:57:37] Speaker A: Bon, c'est pas si grave, vous avez fait ça quand même comme tatouage, c'est pas la pire chose que... Enfin, je veux dire, y'a pas vraiment honte ?
[00:57:43] Speaker D: Non, non, non, mais j'ai d'autres tatouages de merde ! Si c'était ça ta question, y'a pas de soucis ! Et j'assume !
[00:57:50] Speaker B: Est-ce que vous avez vu le mec d'un cartel brésilien, je crois, qui s'est fait tatouer, il devait se faire tatouer tout le dos, il a fait une anesthésie générale ? pour se faire tatouer et il est mort à cause de l'anesthésie.
[00:58:06] Speaker D: Pourquoi tu rigoles quand tu dis ça ?
[00:58:08] Speaker A: Parce que c'est une émission étrange.
[00:58:12] Speaker B: J'adore le concept du mec qui a un gros dur. Je crois qu'il faisait aussi... Ou c'est un youtubeur, je sais plus. Le mec il avait plein de photos avec des grosses bagnoles et tout, il se la jouait un peu macho machin.
Et du coup, pour ne pas avoir mal, il s'est fait tatouer sous anesthésie générale.
[00:58:30] Speaker D: Le dos, il s'est fait tatouer ?
[00:58:32] Speaker B: Il en avait déjà d'autres d'avant, mais je ne sais pas comment il les a fait. En tout cas, il est mort pendant qu'il se faisait tatouer le dos.
[00:58:38] Speaker F: C'est ça pour claquer d'une allergie à l'anesthésie peut-être ?
[00:58:45] Speaker B: C'est long de faire un dos, donc l'anesthésie elle est longue. Plus c'est long, plus c'est dangereux.
[00:58:50] Speaker D: Mais il y a une clinique slash shop de tattoos aux Etats-Unis justement qui anesthésie, il y a un mec qui s'est fait anesthésier complètement, tu vois, genre anesthésie générale, en même temps une anesthésie générale c'est complète on va te dire.
C'était très logique, c'était dans ma phrase. C'est un peu le concept. Et en fait le mec il s'est fait tatouer full body par plusieurs tatoueurs en une séance.
Alors c'est bien beau, tu sens rien sur le moment, mais le réveil je t'explique, t'es là genre...
Tuez-moi ! Mais écoutez, moi personnellement, je trouve que c'est une hérésie de faire ça.
[00:59:26] Speaker A: C'est surtout qu'après, le corps il réagit quand même quand tu te fais tatouer. Moi je n'ai aucun tatouage, donc je ne sais pas vraiment.
[00:59:34] Speaker D: Non, je rigole, on s'en fout.
[00:59:38] Speaker A: Mais du coup, si le mec il a fait tout son corps, il était une croûte géante à la fin ?
[00:59:41] Speaker D: Ah bah je pense, ouais. Je pense que le mec c'était Crustman quoi, tu vois. Et puis même, je veux dire, je sais pas, je comprends pas le principe, tu vois, parce que juste...
entre la douleur du réveil, la cicatrisation, tu ne peux plus bouger.
[00:59:58] Speaker B: C'était une performance.
[00:59:59] Speaker A: Ça c'est fait, voilà, je peux avancer.
[01:00:01] Speaker B: Dans mes autres plans d'avenir.
[01:00:03] Speaker A: Dans deux semaines, je vais tout enlever.
[01:00:05] Speaker D: Non mais t'imagines, puis même, t'es là genre, oh waouh, mais qui suis-je ? Voilà, il y a tout ça aussi. Enfin bref, ne faites pas ça. L'anesthésie, c'est réservé aux opérations.
[01:00:16] Speaker A: Voilà, et puis si vous êtes jeunes, attendez un petit peu avant de vous faire tatouer.
[01:00:19] Speaker D: Que des conseils ce soir !
[01:00:22] Speaker A: C'est très bien.
[01:00:23] Speaker B: C'est pas parce que ça vous semble être la bonne idée que c'est la bonne idée.
[01:00:27] Speaker D: Exactement. Souvent, des fois, il faut réfléchir un tout petit peu, mais pas trop. Parce que bon, à un moment, c'est un peu rigolo, tu vois. Toujours des bonnes histoires.
[01:00:35] Speaker B: On en rigole bien après.
[01:00:37] Speaker D: Il faut assumer. Le maître mot, c'est assumer. Assumer.
[01:00:41] Speaker B: Après, je pense qu'il y a des trucs plus faciles à assumer que d'autres.
[01:00:43] Speaker A: J'ai bien fait de ne pas faire cette flèche qui va vers mon... Ou.
[01:00:48] Speaker D: Le canard avec le...
[01:00:50] Speaker A: Le chal, le cul du chal. Bon bref. Très bien, on va parler, on va passer un clip parce que tu as choisi des clips aussi. Le but c'est de parler aussi un peu de musique.
C'est bien, on aime beaucoup dire des conneries. Et ton premier choix, alors voilà...
[01:01:06] Speaker D: C'est très cliché.
[01:01:08] Speaker A: Non, mais je suis content que quelqu'un choisisse Marilyn Manson, parce que c'est ton premier clip. Je vois qu'il est sur ton bras aussi. Qu'a été relaxé, si je ne dis pas de bêtises ?
[01:01:18] Speaker B: Alors apparemment, là, il aurait été relaxé de toutes les choses sur lesquelles il était accusé. Donc c'est pas que les gens ont annulé leur truc, c'est que la justice a dit non, et il est innocent. Voilà.
[01:01:30] Speaker D: Ok.
[01:01:31] Speaker A: Est-ce que t'es fan de Mary Manson du coup ?
[01:01:33] Speaker D: Non, je déteste. On m'a forcée. Je n'ai pas eu le choix.
[01:01:39] Speaker B: Je fais ce tatouage quand j'étais petite et je me rendais pas compte.
[01:01:42] Speaker A: J'avais 8 ans, du coup je me savais pas.
[01:01:45] Speaker D: On m'a déjà dit c'est toi là ? Je fais oui bien sûr, merci.
[01:01:48] Speaker A: Ouais c'est pas sympa.
[01:01:50] Speaker D: Décidément mon bras c'est terrible.
[01:01:52] Speaker B: Après il vaut mieux lui ressembler à cette époque que maintenant.
[01:01:55] Speaker A: Oh ça va mieux maintenant !
[01:01:57] Speaker B: Ouais alors qu'il y a quelques années.
[01:01:59] Speaker D: Il y a deux ans c'était grand-ma je sais pas trop quoi, parce qu'il y avait quelques photos, c'était terrible. Mais là écoute, je sais pas, il y a apparemment la justice, la relaxation à l'air de te dire. Il est sauveur.
[01:02:12] Speaker A: Ouais c'est exactement ça.
[01:02:14] Speaker B: Peut-être qu'il a aussi un meilleur budget maquillage maintenant.
[01:02:18] Speaker D: Qu'est-ce qu'on partirait pas sur un autre conseil ? Attention, l'alcool avec modération !
[01:02:23] Speaker B: Et les drogues aussi !
[01:02:25] Speaker A: C'est pas bien !
[01:02:28] Speaker D: C'est.
[01:02:31] Speaker A: Mal !
[01:02:32] Speaker D: C'est très mal ! Regardez !
[01:02:36] Speaker A: Mais du coup Marine Manson, grand amour ou adolescence ?
[01:02:41] Speaker D: En fait, pourquoi j'ai choisi ce clip là, c'est parce que moi c'est le premier clip de métal, enfin métal, oui c'est du métal, clairement, que j'ai vu de ma vie. MTV, je devais avoir 11-12 ans, en pleine après-midi, vacances d'été, rentrée cinquième, donc tu vois genre je vois ce clip, je vois ces gens, ces gothiques là, j'avais jamais vu ça moi de ma vie ! Alors mais qu'est-ce que c'est que ça ? Moi je veux être comme ça ! Et j'ai dit à ma mère, maman je m'habille en noir. Elle m'a dit d'accord.
[01:03:11] Speaker A: C'est une belle histoire.
[01:03:14] Speaker D: Et en fait ça m'a matrixée, genre j'étais genre mais c'est quoi ces gens en fait ? Mais quoi ? Mais ça existe, mais c'est génial ! Parce qu'en fait avant ça, la musique c'était pas...
[01:03:22] Speaker A: Après c'est jeune, pour se trouver un look et puis se choisir, c'est généralement dans ces âges-là qu'on commence un petit.
[01:03:30] Speaker B: Peu à... Oui mais de là à décider que jusqu'à la fin de ta vie tu ne porteras plus que du noir.
[01:03:34] Speaker D: C'est vrai qu'on peut avoir peur, quand.
[01:03:37] Speaker A: T'Es pas heureux tu peux peut-être dire, j'ai l'impression qu'elle n'est pas très heureuse.
[01:03:42] Speaker D: Ma mère, au contraire, a toujours kiffé ce côté goth et le fait que je sois en dehors du système. Bon, pas tout le temps, parce que quand j'allais en latex vinyle à l'école, elle me disait « bon là t'abuses, faut se calmer trois minutes.
[01:03:57] Speaker A: En fait ».
[01:03:57] Speaker D: Ok, d'accord, mais par contre elle m'a toujours encouragée, même si elle trouvait que la musique c'était un peu...
À côté de ça, j'adore des pêche-mode, j'adore les années 80.
[01:04:06] Speaker A: Ah voilà, tu te rattrapes là-dessus.
[01:04:08] Speaker D: Voilà, je me rattrape là-dessus, tout le côté goth, bad cave. Peut-être que le bad cave, c'était peut-être un peu trop extrême pour ma mère, mais voilà, bon bref, maman, si tu me regardes...
[01:04:18] Speaker A: La new wave, c'est plus facile à comprendre pour les parents.
[01:04:20] Speaker D: Oui, oui, j'ai adoré aussi. Donc du coup Manson, Tended Love, quoi.
[01:04:24] Speaker A: Eh ben, on va regarder ça tout de suite. Un clip sexy, puis une belle reprise, je trouve.
[01:04:28] Speaker D: Oui, c'est vrai. Années 80 en plus, on en parlait il y a deux secondes. Exactement. Bouquet bouquet.
[01:04:32] Speaker A: Et c'est parti.
[01:04:35] Speaker C: C'est pas vrai ! Sometimes I feel I've got to run away I've got to get away from the pain you drive in the heart of me The love we share seems to go nowhere And I've lost my light for our time C'est la fin de cette vidéo.
I know I've got to run away I've got to get away Don't really want anymore from me To make things right You need someone to hold you tight You think you love to play I'm sorry I don't run away Once I ran to you Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Je t'aime, je t'aime Je t'aime, je t'aime Je t'aime, je t'aime Je t'aime, je t'aime Je t'aime, je t'aime Je t'aime, je t'aime.
[01:08:08] Speaker D: Tu as entendu parler d'un homme, le contrôleur de l'escalier, le roi de l'escalier, je t'ai dit, entrez et laissez la voyage commencer.
[01:08:15] Speaker C: Traite, un visage étrange, comme quelqu'un pour son espace, si plein d'espace, je veux juste le garder. En haut et en bas, nous bougeons sur la route. En haut et en bas, nous bougeons sur la route. Je veux te montrer mon monde, où les piques s'arrêtent et s'arrêtent.
C'est parti pour le tour du monde !
[01:11:15] Speaker A: Oh là là, le nouveau clip ! Ça va trop vite, j'ai la langue qui bourdonne ! Il faut invoter des choses. Electric Callboy, donc le tout dernier Electric Callboy, on était en train de regarder, j'ai découvert le clip là avec tout le monde, parce que je n'ai pas osé le regarder avant, bon parce que j'ai pas fait mon travail non plus mais...
[01:11:37] Speaker B: Tout l'est gardé ta réaction à chaud.
[01:11:39] Speaker A: Exactement. Et ça va, c'est un bon morceau, on en pense quoi ? Messieurs, dames ?
[01:11:45] Speaker D: C'est...
[01:11:48] Speaker F: Que dire ?
[01:11:48] Speaker A: C'est l'électrique Callboy.
[01:11:51] Speaker D: Ça faisait un peu « We got the move, we got the move ». Fidèles à eux-mêmes, quoi.
[01:11:58] Speaker A: La recette est bonne, elle est là.
[01:11:59] Speaker D: Voilà, c'est ça, on change pas les ingrédients.
[01:12:01] Speaker B: En même temps, Rammstein, ça leur a bien réussi de trouver une recette et de continuer à la poncer.
[01:12:07] Speaker F: De savoir faire allemand, comme on dit.
[01:12:09] Speaker D: Voilà, comme on dit, bien sûr, chips.
[01:12:14] Speaker F: Strilingue du coup.
[01:12:17] Speaker A: Mais du coup ouais, on parlait de cette musique qui revient, de cette recette, moi ça commence un peu à me passer. Je sais que je disais, Antenne, que je les ai vues en concert en salle, je laisse ma place aux autres maintenant pour qu'ils en profitent. C'est vrai que c'est festif, on s'amuse.
[01:12:30] Speaker B: En plus toi t'as eu la chance de les voir dans une salle un peu intimiste.
[01:12:32] Speaker A: À l'Olympia, c'était à l'Olympia que je les ai vues ? J'en sais plus.
[01:12:36] Speaker B: C'était avant. C'était au...
C'est pas l'Olympia, c'est moi qui fais l'Olympia je crois.
[01:12:41] Speaker A: Je sais plus, voilà.
[01:12:42] Speaker D: Ah vous échangez même les vies comme ça, les souvenirs et tout ?
[01:12:45] Speaker B: Bah non mais on n'a pas assez de place pour aller... Du coup on se répartit.
[01:12:51] Speaker D: Ok d'accord.
[01:12:52] Speaker A: Faut que tout le monde puisse avoir son petit cadeau, voilà, qu'on puisse profiter.
Alors on y va l'un après l'autre et puis quand on peut y aller en couple on est content. Main dans la gueule ! Et pas ailleurs la main.
[01:13:06] Speaker B: Ah non, certainement pas.
[01:13:08] Speaker A: Clientes d'Electrical Boy, t'as vu en festival ?
[01:13:10] Speaker D: Ouais, je les ai vus, Motok, Hellfest, c'est cool. Après, bah oui c'est cool quoi, pour faire la teuf c'est bien. On a bien rigolé, on a passé un bon moment.
[01:13:21] Speaker A: Bah merci !
[01:13:22] Speaker D: Non mais merci beaucoup, j'adore ce que vous faites, c'est super, continuez comme ça, allez. Non mais après en vrai... Bisous, ciao.
Après j'avoue que la reprise de Cascada, perso, j'ai beaucoup aimé. C'était spécial. En vrai c'est bien, mais c'est pas ce que j'écouterais tous les jours non plus.
[01:13:40] Speaker A: Bon, on va quand même revenir un petit peu au côté gothique.
[01:13:43] Speaker D: À Marilyn Manson ?
[01:13:44] Speaker A: Bah non, Marilyn Manson, c'est bon, c'est passé. Enfin, si, on va en revenir parce qu'on va parler un petit peu de ta vie. Tu nous as déjà donné quelques indices. De ton parcours. Un Tolkien au moins.
[01:13:55] Speaker D: Un Tolkien au moins. On est parti pour 7 heures. Je peux m'allonger ?
[01:14:00] Speaker A: Ce canapé sert un petit peu à ça, effectivement. Enfin, il n'a pas servi qu'à ça. Mais bon, on ne va pas rentrer dans les détails non plus.
Je ne trouve pas qu'il colle un peu.
[01:14:08] Speaker D: Justement, c'est pour ça que je vais enlever mes mains.
[01:14:10] Speaker B: C'était une autre époque. T'as vu comme ces accoudoirs font des cuvettes un petit peu ?
[01:14:15] Speaker A: Alors ça, c'est pas moi par contre. Je ne sais pas qui a fait ça.
[01:14:19] Speaker B: C'est tous les gens qui s'asseyaient sur les accoudoirs.
[01:14:22] Speaker A: Bande de salauds.
Ils étaient habillés, je te rassure. Enfin, pas tous.
[01:14:33] Speaker B: B.A.
[01:14:33] Speaker D: Elle va me détester !
[01:14:34] Speaker A: Il est inarrêtable ! Moi j'attends !
[01:14:39] Speaker B: La comère, là ! Tu mets une pièce dedans, c'est parti !
[01:14:44] Speaker A: Pardon, on arrête cette histoire ! J'ai dit que j'ai voulu plus en.
[01:14:47] Speaker D: Parler, c'est un traumatisme ! La taille, oui, je peux comprendre.
[01:14:51] Speaker A: C'était une grande dame ! J'ai très chaud.
[01:14:57] Speaker B: C'est bizarre.
[01:14:58] Speaker A: Je recrache tout l'alcool de cette nuit.
[01:15:00] Speaker D: C'est pas bon l'alcool.
[01:15:03] Speaker A: C'est pas bon, c'est pas bon.
[01:15:07] Speaker B: C'est pas bon après surtout.
[01:15:09] Speaker A: Qu'est-ce que tu écoutais avant d'écouter de la musique gothique ou du métal ou de la musique un peu extrême ?
[01:15:17] Speaker D: J'ai commencé jeune du coup. Alors si, le premier album un peu alternatif que j'ai eu entre les mains, c'était l'album de The Offspring, Americana, en gravé.
Ça s'appelait comment encore ? Il y avait ce fameux logiciel... Néron ?
[01:15:41] Speaker F: Néron, c'est un empereur.
[01:15:44] Speaker A: Après je crois que le nom du.
[01:15:47] Speaker F: Logiciel c'est une référence justement parce que.
[01:15:48] Speaker B: Nero burning Rome, Néron brûle Rome.
[01:15:54] Speaker D: Et je me souviens que c'était à mon beau-père dans sa discographie et en fait la pochette, parce qu'il avait imprimé la pochette tu vois.
Pour faire vivre, pour s'affaire jusqu'au bout quoi. Et la pochette me terrorisait. Mais en même temps j'avais... Bah tu sais c'est l'enfant avec la jambe, l'espèce de scolopendre qui est sur la balançoire. Et j'étais... Ça me fait trop peur, faut que j'écoute ! Et j'ai commencé par Ospring, ouais voilà. Bon après il y a eu Indochine tout ça mais est-ce qu'on en parle vraiment ?
[01:16:22] Speaker A: Non mais après... C'est vrai, c'est bon ? Faut lui faire des bisous face à elle.
[01:16:30] Speaker B: Ah bah il suffit d'avoir vu en live.
[01:16:33] Speaker D: J'en ai vu beaucoup d'ailleurs, effectivement. Je sais pas, c'est pour entraîner le public.
[01:16:41] Speaker B: Ou peut-être qu'il fait des...
[01:16:43] Speaker A: C'est sa façon de jouir ?
[01:16:44] Speaker B: Il a des attaques ? Ah bah j'espère pas parce que sinon...
[01:16:47] Speaker D: Il m'a fait peur de toi ! Arrête de faire ça ! Vraiment que ça arrive qu'une fois !
[01:16:54] Speaker A: D'ailleurs t'aurais pas dû crier si vite !
[01:16:57] Speaker D: Oh mon dieu !
[01:16:58] Speaker A: Oh God ! Tu m'as trouvée !
[01:17:07] Speaker D: C'est bien parce qu'on va jamais... Bon, vous êtes prêts les viewers ? Parce que ça va durer jusqu'à demain, 22h. Voilà, c'est une... Allez, marathon !
[01:17:15] Speaker A: Donc oui, il y a eu Indochine après cette découverte d'Amérique canadienne.
[01:17:19] Speaker D: Ouais, ouais. En fait, le tout premier concert ever que j'ai fait, c'était avec ma tante. C'était Indochine.
[01:17:24] Speaker A: Oh, c'est cool !
[01:17:25] Speaker D: Ouais, c'était cool. Mais j'avais 8 ans. Tu vois, donc vraiment, j'avais 8 ans. Et bon, après, il y a eu Kyo.
[01:17:35] Speaker A: Benoît qui est venu ici, on les connait très bien.
[01:17:36] Speaker D: Il y a eu Kyo, mais j'ai adoré Kyo en même temps. Et puis après il y a eu Manson.
[01:17:42] Speaker A: Ah oui, c'est passé de Kyo à Manson.
[01:17:44] Speaker D: J'ai fait genre, je déchire mon t-shirt et je suis trop énervée, tu vois. Hulk. En noir, pas en vert.
[01:17:50] Speaker A: Exactement.
[01:17:51] Speaker D: C'aurait pu, mais bon. Couleur de l'espoir.
[01:17:57] Speaker A: Cette chose que je ne connais pas.
[01:17:59] Speaker D: On en parlait tout à l'heure, c'est vrai.
[01:18:01] Speaker A: Donc ouais, t'as été fascinée par Manson, donc avec cette image gothique. C'est à partir de ce moment-là vraiment que t'es devenue gothique, c'est ça ?
[01:18:10] Speaker D: Ouais, après gothique c'est un grand mot, tu vois. Oui, c'est clairement... Quand j'étais ado, oui, clairement, c'était one way, straight to the hell, tu vois. Je veux être habillée en noir.
J'avais pas conscience du côté provoque, tu vois, être rebelle. Moi c'était genre, ça me plaisait vraiment en fait. C'était tout ce que... Ouais, c'était juste.
[01:18:31] Speaker A: Le style te plaisait.
[01:18:32] Speaker D: Ouais, c'est vraiment l'univers, le style me plaisait. Et c'est après que j'ai compris qu'effectivement, quand tu vas habiller en gothique avec un manteau long à la Matrix, des New Rock jusque là, dans un collège de cités, eh bien tu vis, tu vois, l'expérience à fond, tu vois.
T'es là genre ouais d'accord, mais tout le monde me déteste en fait, mais en fait du coup ça fait que... Ça nourrit le truc, du coup plus t'écoutes du métal et plus t'as la haine, genre ah ouais vous me détestez, mais moi je vous déteste encore plus, je vais écouter encore plus fort et je vais mettre encore plus dark et tout, tu vois bref.
[01:19:08] Speaker A: Mais soyons quand même amis.
[01:19:10] Speaker F: En toute amitié.
[01:19:11] Speaker D: En toute amitié, je vous hais mais je vous adore en même temps. De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas en final.
[01:19:18] Speaker B: Je me dis souvent quand je vois Pierre.
[01:19:22] Speaker D: Il n'y a qu'une main.
[01:19:24] Speaker A: Ou deux, à quelques doigts en tout cas. Ok, ok, mais du coup c'était rude l'école alors ? Ou pareil, tu sentais que t'étais à part être dévisagé mais t'en avais un peu rien à foutre ?
[01:19:38] Speaker D: En fait, un peu, ouais. En fait, c'était dur. En fait, je pense que j'ai fait des phobies scolaires suite à ça. Mais en fait, je pense que je ne me sentais pas à ma place. Je ne me sentais pas à ma place parce que, en fait, suite à l'invitation de l'émission, j'ai un peu réfléchi, tu vois, à me dire j'ai fait mes devoirs. Mais je me suis dit, c'est vrai, comment le métal... En fait, je pense que ça a toujours été là. C'est même pas... J'ai choisi... Ah ouais, en fait, Christophe Maé, Star Academy. Non, ça n'existait pas Christophe Maé à l'époque, d'ailleurs. Je suis de cette époque-là.
Mais tu vois, c'était genre, je n'aimais juste pas, en fait. Je ne prenais aucun plaisir quand toutes mes copines de primaire, genre « Ah, elle a ce tarac », j'étais genre « Mais c'est de la merde ! », en fait. Même si je ne le formulais pas comme ça. Et c'est vrai que quand j'ai commencé à écouter du métal, et que, tu sais, il y avait 2-3 métalleux dans mon lycée, dans mon collège. Donc du coup, forcément, on était amis, on n'avait pas le choix, tu vois, parce qu'on était 3, littéralement. Et en fait, on se passait les CD gravés, etc. Ouais, c'était cool. Et en fait, j'ai découvert Slipknot, Korn, Linkin Park. Mais je ne savais même pas que c'était ces groupes-là. Parce qu'en fait, j'avais un CD, je le mettais, j'étais là genre WOUAAAH, tu vois, Blind, Korn, t'es là genre, mais qu'est-ce que c'est ? Je ne savais même pas le nom du groupe. Voilà, ça a commencé comme ça.
[01:20:55] Speaker F: Il n'y avait pas la pochette imprimée, même pas les petits noms sur le...
[01:20:58] Speaker D: Non, même pas, c'était juste marqué METAL.
[01:21:00] Speaker A: Des merdoirs sur la boucle du terme à Tim.
[01:21:04] Speaker D: Voilà quoi, c'était rebelle quoi, enfin rebelle, même pas, j'avais même pas envie de choquer en fait, juste je me sentais à ma place, droit dans mes New Rocks.
[01:21:13] Speaker A: Ah bah ça permet de tenir en place les New Rocks.
[01:21:16] Speaker D: Ah oui bah là y'a du vent tu tombes pas. Comme les parasols tu vois. En vrai maintenant j'utilise ça pour mes parasols pour pas que ça...
[01:21:24] Speaker A: C'est bon, ça fait le taf. Ok, donc trois amis au collège... Non mais c'est déjà mieux que rien, parce qu'il y a certaines personnes qui sont dans des collèges justement où ils aiment le métal aussi, comme tu dis, c'est pas pour être rebelles, mais ils se sentent compris en fait par cette musique.
[01:21:40] Speaker D: Oui c'est ça, c'est surtout que c'est vraiment du ressenti en fait, tu sais quand vraiment il y a un truc qui te parle et en fait tu sais même pas l'expliquer pourquoi, c'est juste, c'était obvious.
Franchement quand je revois le clip de Marilyn Manson, je dis genre mais attends mais quand même j'avais 12 ans s'il te plaît, à 12 ans mais genre qu'est-ce qu'il m'est passé par la tête ? La pole dance ! La piscine, le jacuzzi !
[01:22:05] Speaker A: Je veux ça aussi ! Et toutes tes petites bagues d'ailleurs parce qu'elles sont très jolies !
[01:22:09] Speaker D: C'est vrai, c'est vrai, c'est vrai...
Et.
[01:22:13] Speaker A: Alors ouais, c'est quoi qui t'a inspiré, à part Marilyn Manson, parce que t'as appris après le gothique, tu t'es renseignée, c'est quelque chose que t'as creusé un peu plus.
[01:22:20] Speaker D: Oui voilà, j'ai creusé un peu le sujet. Et c'est vrai qu'à l'époque, j'avais la chance d'avoir un ordinateur dans ma chambre.
Ah c'est pas mal !
[01:22:28] Speaker F: La fenêtre ouverte sur le monde.
[01:22:30] Speaker D: Exactement, et vu qu'on n'était que trois à aimer le métal, internet a été mon meilleur ami pendant toutes ces années, notamment Myspace.
À l'époque de MySpace. Qui s'en souvient ? Quelle belle époque ! C'est vrai que ça m'a permis de commencer à faire des recherches. J'étais fan de Tim Burton, un bon cliché de gothique.
[01:23:02] Speaker A: Après ça reste un classique, donc... Oui.
[01:23:04] Speaker D: Mais ça reste, quand t'égotes, en général, ça reste un cliché. Mais c'est pas grave, j'assume à 300%, tu vois, y'a pas de problème. Et effectivement, notamment le court-métrage Vincent, Vincent Price, et tu sais, j'ai commencé à m'intéresser, Vincent Price, je cherche et tout, et là, je vois qu'il y a un groupe, donc notamment, y'a Joey Jordison, le nom de Joey Jordison qui apparaît, je vois Murderdolls, qui sont fans de Vincent Price, et là, en fait, je tombe...
Tu vois genre sur Murderdolls, et là, mon cerveau il a fait genre... T'es.
[01:23:36] Speaker A: La première qui nous en parle. Non mais c'est bien parce que généralement...
Non mais Murderdolls, c'est vrai que, alors nous on connaît bien Aurélie de WeFM qui était fan de Murderdolls aussi, à l'époque où ça existait. Bon, ça n'a pas duré longtemps Murderdolls, non ?
[01:23:55] Speaker D: Non, ça n'a pas duré longtemps, surtout qu'il y a eu un groupe avant, c'est toujours Wednesday 13 qui a l'initiative, qui était The Frankenstein Drag Queen From The Planet 13. En même temps, t'as vu le truc à rallonge là, voilà, je sais pas dire.
Mais ça n'a pas duré très longtemps et maintenant c'est toujours Romance des 13. Le mec il a dit, écoute c'est mon blaze, c'est mon groupe, c'est WAM.
C'est WAM, vous avez compris ou pas ? D'ailleurs Falling in reverse c'est revenir adquis, le groupe ça s'appelle.
[01:24:25] Speaker F: Ah bon il va tout droit.
[01:24:26] Speaker D: Exactement, écoutez on va pas se faire chier.
Je ne sais plus ce que je disais.
[01:24:46] Speaker A: Parle-moi de Murder Dolls alors !
[01:24:47] Speaker D: Non, non, vas-y, vas-y, en profitez-le.
[01:24:49] Speaker A: Mais du coup, t'as développé après, t'as été cherché encore plus loin, tu t'es intéressée au cinéma, tu t'es intéressée à tout ce qui est gothique, au-delà de la musique.
[01:24:57] Speaker D: Clairement, clairement. Après, j'étais toujours dans le métal New Metal. Un des premiers albums physiques que j'ai eus de métal qu'on m'a offert, c'était Météora de Linkin Park.
Voilà, en deluxe en plus.
En même temps, tu vois, j'adorais en fait tout ce qui était cornes, slipknot, mais en même temps, en fait, Murder Dolls, ça a vraiment fait un déclic.
[01:25:31] Speaker A: C'était le lien entre le néo et le côté gothique.
[01:25:34] Speaker D: Ouais, voilà, exactement. Et puis ça m'a fait péter un câble. Et puis oui, forcément, après t'as tout le cinéma, Vincent Price, parce que Vincent Price, c'est quand même un acteur des années 50 de films d'horreur.
[01:25:47] Speaker A: Quand on est jeune...
[01:25:49] Speaker D: En plus c'est pas très facile non plus à l'époque de trouver des films, même s'il y avait les ludothèques...
[01:25:58] Speaker A: Et avant internet... La médiathèque aussi, ça sent pas mal.
[01:26:02] Speaker D: C'est vrai, exactement.
[01:26:03] Speaker F: Et plus tard, le pire tout pire.
[01:26:05] Speaker D: Voilà, c'est ça. Et maintenant, Netflix. Mais c'est moins drôle.
[01:26:11] Speaker A: Oui, puis on paye. C'est moins le goût de l'aventure, quand même.
[01:26:12] Speaker F: C'est ça, oui, c'est vrai.
[01:26:14] Speaker D: Bon bref, pardon, désolé.
[01:26:17] Speaker A: Non, non, mais donc t'as découvert ça. C'est à quel moment que t'as commencé à te dire que t'allais dessiner ? Parce que bon, tu fais du tatouage, donc forcément, avant d'aller en école d'art, il y a bien un moment où tu t'es mis à dessiner, non ?
[01:26:30] Speaker D: J'ai toujours dessiné depuis toute petite.
Depuis toute petite, c'est ma grand-mère qui m'a donné le goût à la peinture. Ma grand-mère fait de la peinture à l'huile, elle fait des fleurs. Clairement, ma grand-mère, c'est le genre de personne, quand je lui montre ce que je dessine, elle me dit « C'est bien fait, c'est bien réalisé, mais qu'est-ce que c'est ? » Elle n'arrive pas à se détacher qu'à un moment la peinture ce n'est pas que des fleurs et des paysages. Mais c'est vrai que j'ai toujours aimé la peinture, le dessin et ça a toujours été...
[01:27:08] Speaker A: C'est cool que la famille était entraînée aussi là-dedans.
[01:27:11] Speaker D: Oui, clairement. De toute façon, j'ai eu de la chance, ma famille m'a toujours soutenue dans toutes mes conneries. Des fois, j'ai dit à ma mère, notamment quand je me suis rasé les sourcils, à cause de Murderdolls, tu vois, quelle bonne idée ! Je regrette que ma mère n'ait pas été plus véhémente sur le fait de ne pas faire ça.
[01:27:28] Speaker A: Tu vois, genre... Peut-être que maintenant tu payes !
[01:27:32] Speaker F: Le meilleur apprentissage, c'est l'expérience.
[01:27:34] Speaker D: Bah là, clairement, tu sais le matin quand t'es en retard pour l'école, quand t'aimes pas ça, tu dois te lever très tôt pour prendre un bus et que tu dois faire tes sourcils à l'eyeliner et que tu n'y arrives pas parce que tu es... Non, tu pars sans sourcils !
[01:27:50] Speaker A: Voilà !
[01:27:51] Speaker D: Et que les gens te regardent comme ça, genre... C'est là... Écoutez...
C'est des problèmes de santé, ça vous.
[01:27:57] Speaker A: Va ou pas ? Ça vous rassure ? Ah, pardon !
[01:28:00] Speaker D: Voilà, non, j'aurais peut-être pas dû dire ça... Ne faites pas ça !
[01:28:03] Speaker F: Vous avez laissé les sourcils dans le bus ?
[01:28:05] Speaker D: Oui, c'est ça, ils sont tombés... J'en ai perdu mes sourcils, voilà... Oh mon Dieu...
[01:28:11] Speaker A: Non mais c'est quand on est ado qu'on est différent aussi de par son attitude, sa musique, le métal c'est souvent le cas quand même. On passe pas inaperçu.
[01:28:22] Speaker B: Mais je pense que ça rejoint un peu ce que tu disais tout à l'heure en fait, il y a ce truc où de toute façon on te met un peu à l'écart, enfin parce que tu rentres moins dans le moule et je pense que du coup tu cultives plus facilement ta différence que...
De toute façon, on me prend déjà pour un ch'tardé.
[01:28:39] Speaker D: Ouais voilà, autant y aller jusqu'au bout. Autant tu finis genre German Souplex, c'est bon, c'est parti quoi. Non mais en fait le truc c'est que je pense qu'effectivement le no limit, comme j'avais la chance d'avoir cet ordinateur dans ma chambre, donc en fait j'ai pu avoir accès à des images que... Non mais voilà, j'aurais jamais dû dire ça !
[01:29:00] Speaker B: Rotten.com !
[01:29:01] Speaker D: Non mais tu vois, les sourcils rasés, ça me serait jamais venu toute seule ! Oui, oui, oui.
[01:29:08] Speaker A: Encore qu'il y a des exemples sur internet pour pouvoir faire de belles choses.
[01:29:11] Speaker D: Heureusement, c'est ça, heureusement. Mais c'est vrai que j'avais ce truc où déjà ma mère en plus, elle cultivait vachement ce truc de se dire je suis fière de ma fille, elle n'est pas comme tout le monde. Tu vois, je sais que c'est dur pour elle au collège, je sais que c'est dur pour elle au lycée, mais en fait, au contraire, elle y va de plus en plus. Elle m'a acheté mes New Rock, les Doc Martens, les Demonia. Enfin, à un moment, il faut quand même qu'elle soit un peu d'accord, tu vois, parce que c'est quand même voyant.
[01:29:38] Speaker A: C'est pas discret.
[01:29:39] Speaker D: C'est pas discret. Voilà, la discrétion, c'est pas... Et puis.
[01:29:43] Speaker B: Tu peux pas dire je les ai achetés pour le sport.
[01:29:46] Speaker A: Ben ceci dit, les New Yorks c'est tellement lourd que tu fais du sport.
[01:29:50] Speaker D: J'avais les mollies, on dirait que je faisais du vélo quoi. Pas du tout, jamais fait de sport de ma vie. Un petit peu aussi quand même.
[01:29:58] Speaker A: Allez ça va, j'avoue.
[01:29:59] Speaker D: J'avoue un petit peu mais c'était surtout les New Yorks quoi.
[01:30:02] Speaker A: C'est déjà pas mal.
[01:30:03] Speaker D: Que les mollets.
[01:30:04] Speaker A: Tant de semelles. J'ai toujours rêvé d'en essayer, mais j'ai jamais osé. J'allais à Châtelet, il y avait un magasin qui vendait... Oui, bien sûr, toujours.
[01:30:12] Speaker B: C'est quoi, le Grooft ?
[01:30:13] Speaker A: Je sais plus, mais c'est dans un coin...
[01:30:15] Speaker D: À côté du Feel Good, pas loin.
[01:30:17] Speaker B: Ah, à Bastille, rue quelle heure ? Ah oui, Châtelet, mais pas parisienne ! À Châtelet, il y en avait près de la rue de la Grande Truandrie.
[01:30:27] Speaker A: Oui, tout à fait.
[01:30:28] Speaker B: Et je crois que ça s'appelait le Grooft.
[01:30:30] Speaker A: Ah oui ?
[01:30:30] Speaker B: Je ne sais pas si ça existe encore. Ils vendaient des trucs de gothique et des trucs de reggae.
[01:30:34] Speaker A: Oui, oui, c'était... Deux univers complètement ! C'était très surprenant dedans.
[01:30:41] Speaker F: Choisis ton camp, camarade.
[01:30:42] Speaker A: C'était un magasin où les gens allaient juste pour voir. Il y avait plus de gens qui étaient intrigués que de clients.
[01:30:48] Speaker D: Ouais, bah tu vois, moi j'étais le genre de personne... Alors je veux ça, je veux ça, je veux ça, et puis je repartais avec un sac et... Et puis 8000 euros en moins. Oui, parce que c'est vrai que c'est cher.
[01:30:59] Speaker A: Ça coûte très cher, toute la mode boutique.
[01:31:00] Speaker D: C'est très très cher, ouais. D'où pourquoi le do-it-yourself, il y a un moment... Oui, c'est vrai. Voilà, l'hérésie, les déchirures...
Et ça c'est... Voilà.
ça coule belle, enfin voilà quoi, t'improvises quoi, ça permet d'être créatif.
[01:31:19] Speaker A: La création passe par des erreurs.
[01:31:20] Speaker D: Ah oui, oui, j'en ai fait beaucoup au niveau du style.
[01:31:23] Speaker F: C'est ce qu'on appelle être très créatif.
[01:31:25] Speaker D: Exactement, c'est ça.
[01:31:27] Speaker A: C'est très créatif pour les autres. Murder Dolls, donc là on y vient. C'est quand même le moment de passer un petit clip, donc cet amour de Murder Dolls. Encore une fois, je dis que c'est un groupe que j'ai jamais vraiment compris. J'ai jamais trop aimé Murder Dolls, j'ai toujours trouvé ça...
Je sais pas, j'ai pas compris le... Autant visuellement j'ai compris le concept, autant musicalement j'ai pas forcément tout compris.
[01:31:50] Speaker D: Tu vois, regarde, dans le métal, déjà quand t'es dans le métal, t'arrives déjà à scinder les gens. Mais alors en plus, quand t'écoutes Murder Doll, t'es encore plus seul, tu vois. Moi j'ai réussi à faire ça, tu vois, cette histoire. Je comprends, je sais, il y a très peu de personnes qui aiment ce groupe, mais écoutez, les goûts et les couleurs, qu'est-ce que vous voulez vous dire ? Qu'est-ce que vous voulez vous dire ? Je sais pas.
[01:32:08] Speaker A: Oui, on a compris la voix.
On a le droit aussi aux erreurs, ok ?
[01:32:11] Speaker D: Exactement, voilà. Donc, ouais, Murder Dolls.
[01:32:15] Speaker A: C'est tout ce que tu veux ?
[01:32:16] Speaker D: Je sais pas, je peux parler.
[01:32:19] Speaker A: Non mais cette chanson peut-être en particulier, elle a quelque chose de spécial ce titre ? Les films d'horreur ?
[01:32:24] Speaker D: Déjà, il y a Manson qui fait un feat dessus.
[01:32:26] Speaker A: Ah, voilà, bon ben on y revient.
[01:32:27] Speaker D: On y revient, tu vois, la boucle reste, il y a les films d'horreur en plus, effectivement, il parle de Vincent Price.
Et puis c'est surtout que Murderdolls jouait Joe Ardison. J'étais grande fan de Slipknot, j'ai adoré Slipknot, mais je l'aimais encore plus en guitariste qui jouait moins bien qu'à la batterie, mais dans Murderdolls, je le préférais. J'étais très amoureuse de Joe Ardison aussi, on a la même taille, enfin on avait la même taille.
Tout soon, c'est ça ? Non, ça va. Non, c'est bon, pardon.
[01:33:04] Speaker A: Ah non, non, y'a pas de problème.
[01:33:05] Speaker B: Bah ici, en tout cas, on y va.
[01:33:06] Speaker A: Ouais, ouais, c'est parti, let's go. Nous, on avait eu la chance de l'interviewer, Joey Jordison, plusieurs fois, je crois.
[01:33:13] Speaker B: Moi, j'étais pas là, mais...
[01:33:14] Speaker A: Mais une personne très, très gentille. À la fin, c'était... Ça faisait beaucoup de mal quand on le voyait. Parce qu'il y avait toujours sa compagne qui était là pour le tenir, le porter. Et on sentait qu'il voulait encore continuer. Il voulait mourir sur scène. C'est un peu la Dalida.
[01:33:30] Speaker D: Dans Dalida en plus, un Rex, j'adore. C'est vrai ?
[01:33:34] Speaker A: On les a jamais vus dans la même pièce. Peut-être pas pour les mêmes raisons.
[01:33:37] Speaker B: On les a jamais vus dans la même pièce.
[01:33:38] Speaker F: Je veux ma shop, hein, Dalidolls.
[01:33:42] Speaker E: Je propose.
[01:33:43] Speaker D: Ou Murder Lida, je ne sais pas.
[01:33:45] Speaker A: Murderda.
[01:33:47] Speaker D: Voilà.
Ça va être dur ce soir !
[01:33:51] Speaker A: Non mais les gens, notez, tout ça c'est des concepts ! On vous donne plein d'idées, vous en faites ce que vous voulez !
[01:33:56] Speaker B: C'est un brainstorm !
[01:33:57] Speaker D: Par contre les bonnes idées on les garde ! Genre on se baie ! Genre je sais pas, mais faut faire un truc tu vois !
[01:34:04] Speaker A: Envoyez du pognon !
[01:34:06] Speaker D: Ce n'est pas moi qui l'ai dit !
[01:34:09] Speaker A: Bon bah on va regarder ce clip du coup parce que je suis intrigué, c'est vrai que je ne le connais pas et c'est l'occasion pour peut-être pour des gens de découvrir Murder Dolls aussi. J'avais trop tard !
[01:34:17] Speaker D: De toute façon si vous aimez pas, je vous déteste. Non c'est pas vrai, cœur sur vous.
[01:34:21] Speaker C: Allez, Murder Dolls ! A plus ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org je.
[01:36:05] Speaker A: Suis.
[01:37:17] Speaker D: I've ever felt like a candle too stiff Melted one time too long Wobbly for no reason Still boiling in that weeping wrath You laugh at yourself, frustrated Anger remains in your reverse pride All it sends, the anger on such a body You clench the art on the pages Crackle, feudy fire Burn up the world, burn up the world The melodies are brown and white C'est la fin de cette vidéo ! Merci à mes Tipeurs et abonnés ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Mince.
[01:38:58] Speaker C: J'En ai eu un !
[01:41:22] Speaker A: Point mort à l'instant dans BANG BANG BANG BONG BONG ! On fait un coucou d'ailleurs à Laurent Carré là, BANG BANG ! On a eu un petit mail de Laurent et il a signé BANG BANG ! C'est étonnant. Oui, il est génial, on l'adore. C'est un titre que tu as choisi, un clip que tu as choisi, mon petit Enjoy The Noise.
[01:41:42] Speaker F: Une toute nouveauté en plus.
[01:41:43] Speaker A: Une toute beauté aussi. Je te laisse parler.
[01:41:48] Speaker F: Du coup, point mort d'un groupe français, un groupe parisien de post-hardcore qui tourne depuis quelques années déjà.
groupe qui sait varier les styles, alors là on est sur quelque chose d'assez nuancé, parfois c'est beaucoup plus vénère, parfois ça va même parfois tirer un petit peu sur l'énergie du black metal, d'autres fois ça va dans des choses plus calmes, plus post-rock, plus pop même parfois.
Et dans ce morceau-là, même, il y a quelques petites expérimentations qui vont aller un petit peu du côté du rap, dans la façon de poser la voix. La chanteuse Sam est toujours d'ailleurs très impressionnante. Pour les avoir vues en live au Post in Paris 2022, je pense que ceux et celles qui l'ont vue s'en rappellent parce que c'était une performance assez impressionnante, assez poignante même par moment.
Et donc un groupe que j'aime bien, que je respecte beaucoup, qui tourne pas mal. Et donc ça c'est leur nouveau morceau qui s'appelle Le Point de Non Retour, qui annonce un nouvel album qui va s'appeler Le Point de Non Retour.
[01:42:46] Speaker A: Voilà, bien vu.
[01:42:47] Speaker F: Et qui va sortir du coup le 25 avril, si je ne me trompe pas, qui est mixé et enregistré par Amaury Sauvé, donc la famille. Et donc ouais, excellent groupe à voir sur scène. Ils ont publié il n'y a pas longtemps Ils ont publié il y a quelques jours sur les réseaux sociaux leur prochaine date de concert, donc ils ont été annoncés au We Metal Festival qui est à Rissorangis, je crois, et quelques dates en avril et mai, et ils ont publié aussi quelques dates auxquelles ils sont disponibles pour des oeuvres de concert, donc bouquez-les, allez-y, sautez sur l'occasion si vous êtes organisateur de concert.
[01:43:24] Speaker A: Et si vous avez bien aimé, n'hésitez pas à acheter vos places, je le répète tout le temps mais c'est important, comme ça au moins ça les aide et ça leur permet de faire des concerts encore plus à l'avenir.
[01:43:34] Speaker D: Voilà. De ouf !
[01:43:39] Speaker A: Ouais ! Et puis je crois que sur notre Instagram, effectivement, il y a un extrait du live, mais il faut remonter jusqu'en 2022, on vous laissera regarder ce qu'on faisait à ce moment-là.
[01:43:48] Speaker D: C'est bon pour l'algo.
[01:43:49] Speaker A: Mais voilà, n'hésitez pas à liker cette petite vidéo, à mon avis, qui n'était pas trop vue, mais qui était sûrement délicieuse. Filmée par moi, donc sûrement de qualité, puisque je suis vraiment quelqu'un qui filme très bien les concerts.
[01:43:59] Speaker F: Un cadreur d'exception.
[01:44:02] Speaker D: Mais tu filmes les chiottes là ! Je pensais que c'était du guttalax.
[01:44:11] Speaker B: D'ailleurs il y a aussi une vidéo de guttalax en live disponible sur notre Instagram. J'étais en concert au Glazart cette semaine ?
[01:44:21] Speaker A: Oui c'était lundi, non mardi.
Voilà, Marcel y était, on fait un coucou à Marcel aussi, on l'embrasse fort. Pas Marcel Béliveau, je l'affirme parce que j'aime cette blague, désolé.
[01:44:35] Speaker B: Mais t'aimes aussi Marcel Béliveau ?
[01:44:38] Speaker A: Ben, un bel homme. Toute la représentation pour moi du Québec.
[01:44:44] Speaker B: Le Québec libre.
[01:44:45] Speaker A: C'était mardi. Ça n'a aucun sens.
[01:44:49] Speaker B: Pas pour les Québécois.
[01:44:51] Speaker D: Le Québécois, vous êtes là !
[01:44:59] Speaker A: Bonjour ! Coucou ! Ne m'en voulez pas !
[01:45:01] Speaker F: Après Point Mort, j'ai choisi un morceau de Audrey Horn. Alors, c'est pas une actualité, si ce n'est qu'Audrey Horn, c'est le nom d'un personnage de Twin Peaks, donc forcément le décès de David Lynch s'y a fait penser. Twin Peaks, qui est une série qu'il faut que je regarde depuis pas mal de temps.
[01:45:19] Speaker A: Tu l'as jamais vue ? Je compatisse.
[01:45:23] Speaker B: J'ai eu le même problème et du coup un jour j'ai décidé de regarder Twin Peaks. J'ai tout regardé. J'ai tout regardé et il est sorti.
[01:45:32] Speaker A: De chez lui pendant deux mois.
[01:45:34] Speaker B: Et du coup je peux pas vraiment dire ce que j'en ai pensé parce que ça apparemment on n'a pas le droit de pas aimer mais du coup.
[01:45:41] Speaker A: Je ne dirai pas ce que j'en ai pensé. Mais en tout cas je l'ai pas aimé.
[01:45:45] Speaker D: J'en ai pas pensé.
[01:45:47] Speaker A: Non mais c'est dur, c'est pas facile.
[01:45:51] Speaker D: Ça a l'air.
[01:45:51] Speaker B: C'est très spécial. Et je pense que le problème c'est que maintenant il y a eu tellement de gens qui disent que c'est incroyable que quand tu le regardes du coup t'es un petit peu déçu quoi.
[01:46:02] Speaker D: Surtout que c'est très long quoi.
[01:46:04] Speaker B: C'est très très long.
[01:46:06] Speaker D: C'est lent.
[01:46:06] Speaker B: C'est très très très très lent.
[01:46:09] Speaker D: C'est ça. Moi je sais que je ne passe jamais le premier épisode. C'est-à-dire que je m'endors à chaque fois. Et puis à chaque fois je re-regarde et je fais ouais c'est bon vas-y t'sais quoi tant pis. C'est pas grave je lirai sur Wikipédia.
[01:46:21] Speaker B: Mais le pire c'est qu'après le premier épisode il se passe pas beaucoup plus de choses.
[01:46:25] Speaker A: Si des fois ils vont jusqu'au garage.
Après il y a des branches qui craquent et sinon il y a la cheminée qui est alimentée assez régulièrement dans l'hôtel. Mais il se passe aussi d'autres choses.
[01:46:37] Speaker F: J'ai regardé l'épisode pilote pour le moment, ça va, j'aime beaucoup l'esthétique.
[01:46:43] Speaker A: Excuse-moi, on a un mur Twin Peaks ici.
[01:46:48] Speaker B: Visuellement, c'est ça qui est intéressant.
[01:46:50] Speaker F: Déjà ça j'accroche, il n'y a aucun souci. Pour en revenir à Audrey Horn, groupe de hard rock norvégien qui a été fondé à la base par des mecs qui venaient du milieu de black metal.
Donc c'était des gens qui venaient de Enslaved, de groupes comme ça, donc vraiment des types qui n'étaient pas destinés à la base pour faire du hard rock très mélodique, parfois assez guiré, même parfois. Et puis Audrey Horn, c'est un groupe que j'ai toujours gardé un petit peu dans un coin de la tête parce que j'aime bien, je ne connais pas énormément de leur oeuvre, mais généralement ça passe toujours super bien.
Ça met une bonne énergie, voilà.
[01:47:30] Speaker A: Y'a eu des moments où y'a eu du soleil dans leur pays, ils se sont dit « Ah vite, il faut faire ce genre de musique, ça c'est maintenant ».
[01:47:35] Speaker F: C'est plutôt lumineux comme hard rock. En plus j'ai choisi un morceau avec un clip un peu rigolo où le groupe est représenté par des marionnettes, avec un superbe featuring du chanteur d'Amon Amarth qui va à l'encontre de son image de viking de Disneyland, donc c'est plutôt pas mal.
[01:47:53] Speaker C: Bam !
[01:47:53] Speaker A: Dans tes dents Amon ! Je reste en voix, je suis abasourdie. Abasourdie.
[01:48:02] Speaker B: Abasourdie.
[01:48:02] Speaker A: Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:05] Speaker D: Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:06] Speaker A: Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:07] Speaker D: Abasourdie.
[01:48:08] Speaker A: Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:09] Speaker B: Abasourdie.
[01:48:10] Speaker D: Abasourdie.
[01:48:10] Speaker F: Abasourdie.
[01:48:11] Speaker D: Abasourdie.
[01:48:12] Speaker A: Abasourdie.
[01:48:13] Speaker E: Abasourdie.
[01:48:13] Speaker D: Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:16] Speaker A: Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:19] Speaker C: Abasourdie.
[01:48:20] Speaker A: Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:24] Speaker C: Abasourdie.
[01:48:24] Speaker D: Abasourdie. Abasourdie.
[01:48:25] Speaker C: Abas.
[01:48:27] Speaker F: Ça pour écouter l'autre parler.
[01:48:29] Speaker A: Mais si, mais on adore, on adore et puis c'est ton retour en plus donc c'était bien. Donc on y va sur le... Ouais.
[01:48:34] Speaker F: Ouais, donc Audrey Horn, le morceau s'appelle Out of the City et... viens maintenant.
[01:48:59] Speaker A: Musique rock.
[01:49:57] Speaker C: Oh my god I've been.
[01:50:01] Speaker A: Here before I've seen this room yeah.
[01:50:08] Speaker C: I've walked through this door I know I promised you a better one.
[01:52:15] Speaker A: Quand je pense à qui est dans la musique de Hot Water, c'est tellement plus grand que juste les gars que l'on voit sur scène. C'est notre équipe de route. C'est tout le monde qui nous a jamais conduits, qui nous a laissés dormir sur leur sol, qui nous a nourris.
[01:52:33] Speaker D: Qui nous a mis sur scène.
[01:52:34] Speaker A: J'ai travaillé sur les marques. C'est un grand, grand enjeu. Juste penser un instant à l'heure et à l'énergie qui ont été utilisées pour que la bande puisse durer, vivre et continuer à survivre.
pour plus de 30 ans. C'est étonnant. C'est tellement loin de ce que l'on voit sur scène et de ce que l'on voit sous les lumières. On est juste un morceau de la puzzle.
[01:53:06] Speaker C: Je me réveille à un chorus Crie à tout le monde avec 30 ans de vie Mes voix sont écoutées We're gonna be family With the healing song we sing I hope you're mine And you're all still here So much in life won't stay the same But this right here will never change We'll raise a glass to you and sing Much love, much love N'est-ce pas ? C'est parti ! C'est parti !
[01:56:13] Speaker B: Je suis désolé, ces boutons ont changé de place, je me perds, voilà.
[01:56:17] Speaker A: Mais ça donne du style.
Moi je suis pour les changements, je suis pour l'originalité. On parlait de création, bon bah vous voyez, deux fois un jingle, ça reste créatif. Moi je suis pour. Et je te félicite d'ailleurs.
Je t'encourage.
[01:56:29] Speaker B: Eh ben super Pierre.
[01:56:31] Speaker A: Bon, la chanson que nous venons d'écouter, de voir en clip bien évidemment, puisque c'est le principe de cette émission, si vous venez d'arriver, bienvenue, vous avez fait le bon choix, ici on parle métal, on rigole, on est léger, nous n'avons aucune science sur quoi que ce soit, on est juste des gens qui aimons une musique, et voilà, on la consomme comme vous, et puis on a le droit d'en dire ce qu'on veut, c'est tout, voilà ! Et vous avez le droit d'en dire ce que vous voulez sur le chat, ou si vous êtes sur la VOD, en commentaire YouTube, voilà. Point d'exclamation, bang, pour ceux qui ne sont pas encore inscrits à notre page YouTube.
[01:56:59] Speaker F: Vogue dans le chat, ça redemande le titre de la chanson d'André Orne, c'était Out of the City.
[01:57:04] Speaker A: Oui, tout à fait. Sachant ça, vous avez la playlist aussi qui sera mise sur YouTube.
Alors, ma petite Sarah, on dit beaucoup de bêtises à l'antenne, qu'on ne peut pas dire à l'antenne non plus, parce qu'il faut qu'on en garde pour la suite. Et puis tous ces lives que tu vas encore faire, il faut les nourrir aussi.
[01:57:27] Speaker D: Ça, maman, on tourne en boucle. Il y a un peu le côté amnésique, tout le monde oublie. C'est vrai ou pas, les viewers, en vrai ?
[01:57:35] Speaker A: Qui, quoi ?
[01:57:35] Speaker D: Qui ?
[01:57:36] Speaker A: Attends, mais où suis-je ? Tu nous disais que tu n'es pas célibataire.
[01:57:43] Speaker D: J'ai bouffé la transition ! Oui, bah non !
[01:57:45] Speaker A: Oh non, je suis vraiment dégoûté ! On avait invité pour ça !
[01:57:53] Speaker D: Mais quoi, c'est pas comme ça qu'on fait les femmes dans le métal, non ?
[01:57:57] Speaker A: C'est une mise en scène, bien sûr !
[01:58:02] Speaker D: C'est une blague ! Une blague, d'accord. Non, mon cœur n'est pas à prendre. Je suis avec Raph Pénère. Vous connaissez pas ce jeune homme ? Non, mais qui est-il ? Incroyable ! Chanteur de Tank, Think of a New Kind...
Et guitariste de Drop Dead Chaos, vous connaissez ce groupe ? Vous connaissez le discours baron ?
[01:58:23] Speaker B: On l'a reçu.
[01:58:24] Speaker D: Mais je sais, mais c'était de la blague en fait.
[01:58:26] Speaker A: Faut savoir avec qui ça ? Non, c'est qui ? Quoi ?
[01:58:29] Speaker D: Je ne sais pas, tout le monde en parle, mais je ne connais pas ce type. C'est fou.
[01:58:32] Speaker A: Il ne souvient jamais nos invités.
[01:58:35] Speaker D: D'ailleurs, juste avant de parler de mon chéri, on va parler de Nils, parce qu'il faut savoir que Nils, je l'ai rencontré sur Myspace. Donc Nils, c'est le meilleur ami de mon chéri, de Raph. Donc ça fait des années qu'ils ont joué ensemble dans Tank, plus Drop Dead. Et en fait, Nils, je l'ai rencontré avant Raph. Mais avant que Raph rencontre Nils. On parle de ça il y a 15 ans en arrière.
[01:58:57] Speaker A: Je vais prendre un stylo, il faut que je note.
[01:58:59] Speaker D: Non mais genre à l'époque de MySpace c'est ouf, c'est-à-dire que moi j'habitais Metz, lui il habitait Paris et on était potes sur MySpace et maintenant bah en fait c'est le meilleur pote de mon mec quoi.
[01:59:08] Speaker B: Un meilleur pote, on sait bien ce qu'ils font.
[01:59:11] Speaker D: Oh tu sais les garçons entre eux, la bromance. Je sais, je sais.
[01:59:17] Speaker B: Je suis bien au courant.
[01:59:18] Speaker A: Aïe, j'ai encore mal.
[01:59:20] Speaker D: C'est pas moi qui l'ai dit.
Tout ça pour dire que oui, effectivement, Baby, qui est là, est l'ORAF. Tout le monde le connaît de toute façon sur le tchat en général. Et il m'apprend à jouer à Dark Souls.
Voilà. Et alors, t'y arrives ou pas ? Ah non.
[01:59:38] Speaker B: Mais personne n'y arrive, non ?
[01:59:39] Speaker D: Ah bah si, lui !
[01:59:40] Speaker B: Ah d'accord.
[01:59:40] Speaker D: Voilà, il a des problèmes, écoute. Ça se soigne apparemment, je ne sais pas, mais ça fait 4 ans qu'on est ensemble. Bien de 4 ans et demi, voilà.
[01:59:47] Speaker A: C'est une thérapie ?
[01:59:48] Speaker D: Oui, je pense, oui, les médicaments ça marche.
C'est moi qui en prends.
Mais voilà, donc voilà. Drop Dead Chaos, Raph Penner. T'es là, je t'aime.
[02:00:01] Speaker A: On le voit apparaître de temps en temps dans tes lives ?
[02:00:04] Speaker D: Oui, oui, oui, les vieweurs le connaissent bien, vraiment, il n'y a pas de secret. Et puis en vrai c'est très pratique d'être en couple quand tu es une femme sur internet.
[02:00:14] Speaker A: Oui, c'est un grand sujet effectivement.
[02:00:16] Speaker D: Ça désamorce beaucoup de choses, vraiment. Moi j'ai très rarement des relous.
ou des viewers en fait qui sont là entre guillemets pour ça parce qu'en fait vu que tout le monde connaît Raph, vu qu'il fait de la musique, il a de l'actu régulièrement donc je partage régulièrement aussi sur insta donc ça coupe un peu dans l'oeuf et c'est plutôt pas mal tu vois.
[02:00:38] Speaker A: Ouais parce que internet c'est difficile ?
[02:00:41] Speaker D: Ou être une femme en général c'est difficile, et une femme sur internet c'est genre jouer en mode difficile, très difficile, tu vois, genre en mode hardcore. C'est ça, tu es en run de faim à chaque fois. Non mais après ça va, pour le coup je touche du bois, j'ai de la chance, ça va.
[02:00:58] Speaker A: Bon, parce que c'est vrai que c'est un sujet qu'on n'a jamais entamé, mais on parlait de...
[02:01:01] Speaker B: Enfin, un petit peu, mais... Oui, mais.
[02:01:04] Speaker A: Souvent on parle du métier. On m'a demandé, la dernière fois, quand on a reçu Thomas Lamiral pour parler de tatouage, il disait que c'était un milieu qui était assez rude. En tant que femme, tu le vis comment ?
[02:01:14] Speaker D: Moi très honnêtement, le tatouage, c'est un des seuls métiers que je connais qui soit 100% égalitaire. Tu vois ce que je veux dire ? En fait, le salaire, il n'y a pas d'histoire de salaire parce que c'est toi qui fais tes prix. Donc ça, c'est plutôt cool. Après, oui, c'est vrai que quand tu es une femme dans le milieu du tatou, il faut quand même réussir à en imposer. Il faut vraiment que tu travailles. C'est toujours pareil, il faut toujours travailler.
plus durs, tu vois, pour avoir à prouver toujours plus. Mais je pense que les mentalités évoluent. Après, moi, je suis très mal placée pour parler de tout ça, parce qu'actuellement, moi, le tattoo, j'en ai eu un peu genre jusque là.
[02:01:55] Speaker B: Je vais te poser cette question, justement.
[02:01:57] Speaker D: Pour plein de raisons tu vois donc là c'est vrai qu'aujourd'hui il y a des problèmes de santé aussi qui font que c'est un peu un tout tu vois genre le tatouage là j'ai besoin de faire une pause donc là je suis en pause depuis septembre je ne sais pas si je reprendrai officiellement pour les clients clientes mais de toute façon je dois finir le bras de mon mec donc déjà ça j'ai pas le choix tu vois parce que le pauvre il est en construction actuellement Mais c'est vrai que c'est pour ça que je disais tout à l'heure aussi le fait de liver et tout ça me fait du bien parce que autant dans le tattoo il y a beaucoup de codes à respecter et tu vois il y a beaucoup de choses où il y a beaucoup de paraître, les conventions, c'est cool mais c'est pas si cool que ça en fait tu vois et je pense que moi aujourd'hui j'ai un regard qui est très biaisé donc j'ai pas envie de décourager certains mais c'est vrai que moi je suis vraiment...
[02:02:51] Speaker A: Oui, mais.
[02:02:53] Speaker B: Le mot est lâché. Ça a aussi été dit un petit peu par Thomas quand on l'avait reçu. Mais c'est vrai qu'en fait, il y a aussi le fait que quand tu es longtemps dans un univers, tu vois tous les rouages, tu vois tout ce que tout sous-entend. Et au bout d'un moment, ça peut te gaver un peu. Et puis il y a aussi ce côté, je pense que ce qui est dur, c'est que tu es un des...
quand t'es tatoueur, même si tu t'es dans un salon ou quoi, tu es indépendant, c'est-à-dire que c'est à toi de faire ta promo, c'est à toi d'aller démarcher tes clients. Et du coup, il y a tout ce côté branding qui est un peu ce que je pense, c'est ce que tu sous-entends quand tu dis de paraître, de faux semblants, tout ça. C'est que t'es obligé de te vendre et d'en faire un peu des caisses pour ressortir face aux autres, et surtout dans un milieu où maintenant, il y a quand même beaucoup de compétitions, il y a beaucoup de gens sur le marché.
Du coup il y a ce côté un peu... Je pense que toi t'as connu la période avant et la période maintenant où il y a beaucoup de gens et peut-être que ce côté un peu... Moi.
[02:03:54] Speaker D: J'Ai été dans l'entre-deux en fait, c'est-à-dire que je suis pas de l'ancienne génération et je suis pas de la nouvelle, je suis vraiment... Les enfants des années 90, c'est...
[02:04:02] Speaker B: Je veux dire, t'as vu le truc arriver quoi !
[02:04:06] Speaker D: Oui, en fait il y avait déjà Instagram quand j'ai commencé à tatouer mais c'était pas la vitrine que c'est aujourd'hui et c'est vrai qu'aujourd'hui on est face à un...
à une sur-productivité où t'as l'impression qu'en fait si tu sur-produis pas tout le temps, on l'a vu pendant le Covid en fait, tu vois, genre le fait qu'il y ait des gens qui étaient à la poster tous les jours des dessins alors que c'était quand même hyper déprimant, alors il y en a qui se sont nourris de ça. Moi je suis, je vais dire une phrase un peu cliché, mais j'ai plutôt envie de créer dans la lumière que dans la dépression, tu vois, ce qui a beaucoup... Ouais bah en fait c'est ça parce que souvent on me dit ouais les gothiques et tout on en rigole mais les gothiques à paillettes c'est qu'en fait moi j'ai envie de, j'ai plus envie d'être dans ce truc là du cliché du ouais t'écoutes du métal donc t'es forcément triste, t'es forcément enragée, t'as des problèmes de mentaux enfin tu vois genre t'es quelqu'un outsider bah non en fait je suis juste quelqu'un qui a envie d'être moi à 100% moi je suis dans un univers alternatif mais ça fait pas de moi quelqu'un de Oui de sombre en fait, de brosson comme disent les gens. C'était terrible, j'aurais jamais dû dire ça !
[02:05:09] Speaker B: Est-ce que quand tu dis des problèmes de manteau c'est parce que t'as des longs impairs qui se coincent dans les portes automatiques ?
[02:05:16] Speaker D: Exactement ! C'est très très chiant surtout quand tu t'habilles comme Matrix, ça c'était la mode gothique d'avant. J'adore ce genre d'humour, c'est mon préféré en fait.
Vraiment, pitié, s'il vous plaît, venez on fait un truc ensemble, genre on fait une émission, genre on l'appelle ça « Humour et tracas », genre « Humour et compagnie », mais genre, bon on n'aura plus aucun viewer, mais c'est pas grave, on sera entre nous, on sera heureux.
[02:05:36] Speaker B: Est-ce que c'est pas l'essentiel ?
[02:05:38] Speaker D: Exactement, exactement, voilà, bon bah fin de l'émission.
On change à partir de maintenant. On fait le décor et tout ça.
[02:05:47] Speaker A: Ça t'a épuisé le tatouage, le monde du tatouage t'a épuisé ?
[02:05:50] Speaker D: Franchement, vraiment. De part des expériences personnelles et puis... Et en fait, t'es toujours obligé de respecter un espèce de...
de diktat en fait, alors que c'est quand même un milieu qui est alternatif. Mais t'sais c'est un peu comme tous les milieux, dans le métal c'est pareil en fait, y'a toujours le côté hyper élitiste du truc où t'as toujours le mec qui dit « ouais mais en fait faut être comme ci » alors que t'es là genre « bah non en fait justement vas-y fais ce que t'as envie tant que t'es dans le respect de tes clients, de tes clientes ». et ça c'est quelque chose aussi qui me saoule aussi parce qu'il y a beaucoup de personnes qui sont très connues dans le milieu du tatouage et non mais à un moment faut le dire tu vois je veux dire ils sont très connus dans le milieu du tatouage et en fait ils ont une renommée qui est ouf ils ont une clientèle tant mieux pour eux il n'y a pas de jalousie là dedans mais en fait quand tu sais que c'est des sombres Merde ! Voilà. Et ils ont des égos surdimensionnés et je trouve qu'il y a tellement de personnes qui sont très talentueuses dans ce milieu et qui n'ont pas la visibilité qu'ils méritent. Mais c'est comme dans la musique en fait au final, tu vois. En fait c'est comme dans tous les milieux artistiques et...
Et du coup, en fait, juste ça m'épuise de devoir me taire sur certaines choses.
Et du coup, c'est vrai que le pan du streaming, Trinity m'a beaucoup aidé aussi à grandir dans le milieu du stream. Clairement, si elle n'avait pas été là, tout ça ne serait pas été possible non plus. Mais le fait d'avoir eu l'expérience du tattoo avant, d'avoir compris comment ça fonctionnait un peu les machins, de pas se faire copain avec tout le monde parce qu'en fait tu te rends compte que tu n'as pas d'amis, tu vois, il y a beaucoup de gens qui sont.
[02:07:25] Speaker B: Soit intéressés... Comme dans beaucoup de milieux...
[02:07:27] Speaker D: Exactement, bien sûr, en fait c'est très généraliste au final, c'est juste que moi je le prends personnellement par rapport aux tatous et c'est vrai qu'aujourd'hui j'ai passé ça sur Twitch, alors déjà c'est un peu différent parce que Twitch t'es tout seul dans ta chambre, quoi, entre guillemets, dans ton bureau. Et tu n'as pas d'interaction directe avec la personne, avec les viewers ou quoi que ce soit, même si au final, il y a quand même cet échange de discussion.
Mais dans le tatou, moi, j'adorais discuter avec les gens. C'est vrai que moi, souvent, les gens, ils venaient pour le tatouage, mais pour passer un moment. Souvent c'est genre « Oh le tatouage j'adore, mais qu'est-ce qu'on a rigolé ! » Tu vois genre, au final tu finis à 22h parce que t'as passé ta journée à faire « hé hé hé » et t'as pas avancé sur le tatou, tu sais. Terrible. Bref, la tatouise la moins rentable du monde.
A l'heure, je suis vraiment pas chère.
[02:08:14] Speaker B: Tu fais pas payer les heures où.
[02:08:16] Speaker A: Tu fais des blagues ?
[02:08:16] Speaker D: Non mais c'est pour ça en fait, j'ai dit j'arrête, je vais faire un one woman show, qu'est-ce que je fais derrière des aiguilles là ? Vas-y, je vais monter sur scène, donnez-moi un micro, c'est bon c'est parti quoi.
Voilà, mais c'est vrai qu'il y a tout ce côté humain que j'aimais beaucoup, mais par contre après c'est... Bref, le tatou quoi.
[02:08:33] Speaker A: C'est quoi les codes ? Je suis désolé, tu as le droit de ne pas répondre à ma question. C'est quoi les codes du tatou ? Parce que tu parles de ces codes, c'est l'attitude ?
[02:08:41] Speaker B: C'est déjà que tu peux pas parler des autres en mal, que tu es obligé de faire un peu comme si...
[02:08:49] Speaker D: En fait, il y a tout le côté, oui, c'est beaucoup de caressages dans le sens du poil.
[02:08:54] Speaker A: Il y a des grands manitous et puis il y a des gens qui.
[02:08:56] Speaker B: Ne se comportent pas très bien mais qui font des gros événements. Du coup, t'es un peu obligé.
[02:09:04] Speaker A: Thomas, on a parlé, donc... Oui, ben.
[02:09:06] Speaker D: Voilà, ça fait partie du truc. Après, t'adhères ou t'adhères pas. Moi, sans citer l'événement en question, j'y ai participé. C'était d'ailleurs ma dernière convention. C'était un peu un truc sur ma checklist, c'est-à-dire, OK, en tant que tatoueuse, je l'ai fait. Et j'en ai fait un ulcère. Genre véridique. Je le sentais plus en face, en fait, avec ce qui était en train de se passer.
[02:09:29] Speaker A: L'enfer.
[02:09:29] Speaker D: C'est ça. Et en fait, il y a un moment quand tu tatoues quelqu'un, il y a ce côté d'honnêteté. En fait, la personne, elle vient, elle va avoir une partie de toi, à vie, sur elle, tu vois. À un moment, si toi, t'es même plus en phase avec ce que tu fais, Je trouve que c'est vraiment mentir et ne pas te respecter déjà toi-même et ne pas respecter la personne qui te paye pour faire un truc qu'elle a économisé depuis peut-être très longtemps. Et j'avais pas envie de mentir à moi-même. Alors c'est très dur parce que je me dis mais attends mais moi je suis tatouée ça fait dix ans...
C'est Sarah Lechaprice, tu vois, c'est mon image, c'est ce que je suis. Et en fait, bah non, je ne suis pas que ça. Et c'est pour ça que je reviens sur ce que je disais, Twitch me fait beaucoup de bien parce qu'en fait, les viewers me font ressentir que, bah non, en fait, je suis... Je peux faire plein de choses, en fait, et c'est cool.
[02:10:17] Speaker A: Et c'est pas parce que t'es plus tatoueuse qu'on t'apprécie quand même.
[02:10:21] Speaker D: Après, voilà, je pense que je serai toujours tatoueuse parce que c'est un skill que t'oublies pas. C'est comme le vélo, ça s'oublie pas.
Ah mais c'est pas du tout comme ça ! Mais ça a été, tu vois on en parlait tout à l'heure, le rêve et souvent le rêve peut facilement, l'amour, la haine, il n'y a qu'à pas, le cauchemar. Je dirais pas que j'ai vécu un cauchemar parce que c'est un peu exagéré de dire ça mais je pense qu'à un moment il faut savoir s'arrêter, savoir prendre du recul aussi sur les choses et je pense que le fait de mettre focus pendant des années jusque sur le tattoo Parce qu'en fait on te dit, quand tu fais du tatou, c'est ça un peu les codes, tu n'es que tatoueur ou tatoueuse. Et tu manges tatou, tu te lèves tatou, tu dors tatou, tu parles que tatou.
[02:11:14] Speaker A: C'est prochain clip.
[02:11:17] Speaker D: D'ailleurs tu fais qu'embrasser des meufs, j'ai jamais compris pourquoi c'était une routine. Blague de merde, t'es bon tu l'as ?
[02:11:25] Speaker B: Il est aussi de la maison, t'inquiètes.
[02:11:28] Speaker D: Il fait d'autres choses dans des bars, mais ça c'est une autre histoire.
[02:11:30] Speaker A: Je voulais pas, c'était pas consentant, mais je dormais.
[02:11:35] Speaker D: Qui dit rien consent, non ?
[02:11:37] Speaker A: Attention tout ça, c'est des blagues.
[02:11:39] Speaker D: Oui, j'ai le droit de le dire, je suis une meuf. Moi on me le dit tout le temps.
[02:11:44] Speaker A: Je sais plus, je suis perdu. Je sais pas ce que je dois dire.
[02:11:47] Speaker D: Ça va, c'est une blague.
[02:11:52] Speaker A: Ne soyez jamais méchants, par pitié.
[02:11:55] Speaker D: Voilà, bref, tout ça, je sais plus ce qu'on te disait.
[02:11:57] Speaker B: Non mais je pense qu'en fait il y a ce truc où t'as toujours voulu tatouer, enfin c'est quelque chose qui te tenait vraiment à cœur, c'était une passion et je pense que...
le problème de quand on fait un job qui est aussi notre passion, c'est qu'on a envie de le faire. Je parle en connaissance de cause. C'est qu'on a envie de le faire, on veut que ça reste une passion. Et du coup, on s'implique sûrement plus que ce qu'on devrait s'impliquer. Ah oui, émotionnellement, de ouf. C'est-à-dire que tu prends tout, même si c'est un truc de merde, même si on vient de te demander de tatouer un truc qui n'est pas forcément le truc qui te représente le plus. Tu vas vouloir donner le meilleur de toi dans ce que tu mets, dans ce que tu fais. Et je pense que c'est ça qui est dur, c'est de ne pas...
[02:12:49] Speaker A: De.
[02:12:49] Speaker B: Te rendre compte qu'au bout d'un moment, tu ne peux plus faire ce que tu as envie de faire bien aussi bien que tu voudrais le faire et que du coup, ça te dégoûte. Moi, j'avais un ami qui était directeur photo, donc celui qui fait la lumière sur un plateau et tout ça. Il a été embauché pour faire une série sur France 2 ou je ne sais plus France 3, enfin un truc comme ça.
et du coup il s'est engagé pour faire la série et du coup il a bossé, il tournait tous les épisodes d'affilée donc je crois qu'il a tourné genre pendant trois mois et au bout d'un moment ça s'arrête et ils font bon alors on va enchaîner avec la nouvelle saison est-ce que tu veux nous suivre dans l'aventure et il a dit non je crois que j'aime trop mon métier pour faire ce que je fais là donc je vais arrêter. Parce que c'est vraiment, je trouve cette formulation incroyable. C'est le moment où tu peux pas faire les choses aussi bien que ce que tu voudrais faire. Et du coup, vaut mieux pas le faire que de le faire pas de la bonne façon. Et c'est un peu... C'est ce que je retrouve dans ce que tu dis.
[02:13:49] Speaker D: En fait, c'est surtout le côté émotionnel aussi, parce que forcément, j'ai toujours l'impression que j'ai toujours plus à prouver parce que je fais partie de cette vague qui n'a pas eu d'apprentissage parce que sur la transition d'après. Tu te niques toutes tes transitions. Mais c'est vrai que du coup, moi, j'ai toujours voulu faire du tatouage, ça a toujours été très compliqué. Je sors d'école d'art à 18 ans. Trop jeune, trop jeune, 18 ans. Franchement, meilleur conseil, c'est de travailler avant parce que quand tu gagnes beaucoup d'argent dans le tatouage et que t'es là genre waouh et que t'as pas travaillé avant, je pense que tu te rends pas compte de ce que c'est le travail.
Mais c'est comme sur Twitch en fait, genre quand t'as des jeunes streamers qui explosent et qui ont des contrats de ouf et qu'en fait ils se rendent juste pas compte de ce que c'est la valeur de l'argent et la valeur du travail parce qu'ils jouent à des jeux vidéo, ils font l'autre truc, j'allais dire des noms mais je le dis pas. Je n'aime...
[02:14:46] Speaker B: On le dira entre deux radis... Entre.
[02:14:51] Speaker D: Deux tomates et deux tranches de comté, voilà.
[02:14:53] Speaker A: Mais le.
[02:14:56] Speaker D: Fait de... C'est très... Bonjour, bienvenue dans la matrice. Je regarde la caméra, mais tu vois, genre... Mais c'est vrai qu'il y a tout ce côté où effectivement, travailler avant, avoir une vraie expérience professionnelle, ça...
ça t'apporte les choses différemment, et le goût du travail bien fait aussi. Et moi je pense que j'ai toujours été très très dure avec moi-même, et aujourd'hui, on va pas se mentir, quand je regarde mes anciens tattoos, j'ai du mal à avoir de la nostalgie, je suis là genre « Oh mon dieu, les pauvres clients, j'espère qu'ils sont immolés ! » Mais parce qu'en fait, forcément, l'évolution, c'est un métier où tu commences pas avec un skill de ouf comme ça.
t'apprends, t'apprends tout le temps en fait, ça vient, plus tu t'attoues et plus tu évolues et tu changes de machine, tu trouves une nouvelle technique et tiens il y a une nouvelle encre, il y a ci, il y a ça, et en fait c'est un métier qui est en constante évolution alors que c'est un des plus vieux métiers du monde quand même, on va pas se mentir, et c'est vrai que je suis un peu là à me dire Ouais, il y a quand même le comté responsabilité, je pense que ça, ça m'a vraiment lavé le cerveau. Tu vois, il y a un moment où ça m'a mise dans une espèce de scaphandre, je n'arrivais plus à bouger. J'étais vraiment à me dire, mais attends, mais là, non, mais... Tu sais, à te mettre une surpression. Et en fait, juste, tu fais plus rien. Je dessinais plus pour mon plaisir. Il y avait des projets que je refusais alors qu'on me disait, mais pourquoi tu refuses ça ? Non, mais je ne vais pas réussir. Tu vois, en fait, c'est...
Tu intellectualises beaucoup trop, alors que des fois, c'est comme ça. Oui, on est des humains, on n'est pas des robots. Oui, c'est pas parfait. Oui, les concerts, des fois, tu vas voir des musiciens sur scène, ils font des pins. Bah oui, c'est des musiciens. Ce sont des humains, ce ne sont pas des robots. Donc en fait... Au moins, tu sais.
[02:16:40] Speaker F: Que c'est pas une bande à ce moment-là.
[02:16:41] Speaker D: Voilà, exactement. C'est même rassurant. Bon, alors après, quand le mec, il a un truc horrible sur sa cuisse, t'es là genre... Au moins, je ne suis pas une bande.
Ça ne marche pas.
[02:16:50] Speaker B: Après tu peux toi ne pas être satisfaite de ton travail et la personne sait exactement ce qu'il voulait.
[02:16:56] Speaker D: Mais oui c'est ça mais sauf que toi des fois t'es là genre quand ils font mais j'adorais le flash que t'as fait là même en dessin et ben tu as des goûts de merde.
[02:17:06] Speaker B: Mais ça c'est assez courant que les gens aient des mauvais goûts.
[02:17:09] Speaker D: C'est vrai que le bon goût, ça ne s'apprend pas.
[02:17:11] Speaker A: Je le dis tout le temps, tout.
[02:17:13] Speaker D: Le temps, tout le temps. Mais désolée. Désolée. Mais c'est vrai que... Mais je pense que c'était moi la relation que j'avais avec ce métier. Et c'est bête, mais depuis que j'ai pris de la distance avec ce boulot, je sens que...
[02:17:28] Speaker A: Tu vois genre... Ah bah tu respires, oui.
[02:17:30] Speaker D: Ouais, je respire quoi.
[02:17:30] Speaker A: T'as le droit d'être toi.
[02:17:31] Speaker D: Voilà, exactement, exactement.
[02:17:33] Speaker A: C'est un peu la spirale effectivement, tu t'enfermes et ça devient la folie là-dedans, et puis du coup tu te perds totalement.
[02:17:40] Speaker D: Exactement, exactement.
[02:17:41] Speaker B: Je crois qu'il y avait... Tu connais Ian Black, le tatoueur ? Je crois que lui, il a eu une phase un peu comme ça, et il est parti vivre au Canada.
Et il a décidé qu'il ne ferait plus que quelques projets par an. Il allait faire... Je dis peut-être des conneries, mais il faisait ses encres lui-même, tout ça, parce qu'il ne voulait plus que... En fait, il voulait sortir en le truc complètement indépendant de ce qui se passe et se détacher complètement de toute la machine que ça devient. Après, je ne sais pas si ça a marché pour lui, mais je pense que...
[02:18:17] Speaker D: Enfin, Ian Black, il est très connu dans son style très abstrait. Quand tu veux un Ian Black, en général, tu sais ce que tu veux.
[02:18:27] Speaker B: Mais du coup, je pense peut-être que toi, ça fera aussi la même chose de revenir à un moment quand tu seras plus...
détendu par rapport à ça et de refaire ton truc à ta manière ?
[02:18:35] Speaker D: Je ne me ferme pas la porte, effectivement. Et du coup, moi, ça me fait beaucoup penser à Jean-Luc Navet. Je ne sais pas si vous connaissez... En plus, Jean-Luc Navet qui a fait beaucoup de design pour des groupes, que ce soit Manson, Zylén Ardor, enfin bon bref, il a fait plein de trucs. Il bosse avec l'atelier du Grand Chic.
Et Jean-Luc, si tu nous regardes...
C'est un copain du coup. Jean-Luc, moi, c'est un des gars qui m'a donné envie de faire du tatou à l'époque en mode blackwork. C'est vraiment incroyable. Son univers est très poétique, très dark poétique dans le milieu du tatou à l'époque et de l'illustration. Et le fait d'avoir rencontré cette personne, d'avoir dit, on en parlait tout à l'heure, les gens que tu rencontres et tout. Jean-Luc Navette m'a vraiment fait un espèce de déclic aussi parce que lui aussi, il arrêtait de tatouer. Ça fait quasiment...
On veut pas Jean-Luc. Peut-être dix ans qu'il a arrêté de tatouer, je sais plus, un truc comme ça, dans cinq ans. Ça fait un bouton. Ça fait un moment, voilà.
Et c'est vrai qu'il a arrêté parce que juste, il n'en pouvait plus, en fait, du milieu du tatou. Et quand il parle de ses œuvres de tatou, il a un peu ce truc, il fait beaucoup de blagues et tout par rapport à ça. Et je me dis, putain, mais alors que ce mec, c'est trop bien ce qu'il fait. Même lui, tu vois, il en arrive à être dans cette spirale-là. Mais en fait, c'est...
c'est peut-être que juste le milieu du tatou n'est pas fait pour tout le monde en fait, il y a certaines sensibilités...
[02:20:04] Speaker A: Encore une fois la passion, quand t'es dedans, il y a un moment ou un autre, ça craque. Je pense qu'il y a vraiment ce truc parce qu'effectivement tu ne le vis pas, tu ne l'imaginais pas comme ça, et quand tu vois la vérité évidemment, et comment faire pour réussir, c'est souvent pas vraiment ce que tu veux faire.
[02:20:17] Speaker D: La désillusion un petit peu de ce.
[02:20:19] Speaker A: Truc où... Du coup, il y a un moment où ça craque.
[02:20:22] Speaker B: Je pense que oui, il y a tout ce côté commercial, en fait. Il y a tout le côté un peu commercial. Enfin, il y a le côté artistique et le côté commercial. Et c'est vrai qu'allier les deux, c'est pas facile. Et il y a des gens qui sont faits plus pour l'un que pour l'autre.
[02:20:35] Speaker D: En fait, honnêtement, ça ne m'a jamais dérangé la casquette, la double casquette de genre le tatouage, t'es tatoueuse, c'est un métier de service aussi, il y a des gens qui viennent pour se faire des petits tatous et en vrai c'est des gens qui sont très contents parce qu'en fait ils veulent ça, c'est très facile à faire parce que t'as même pas besoin de réfléchir, la personne elle fait, je veux ça, tu vois, genre bon bah tu fais, ça prend trois secondes une écriture, Et puis les gens sont contents, t'échanges un petit peu avec eux. En vrai, c'est pas tant ça qui me dérange, c'est surtout, je pense, tout le côté Instagram derrière, production. Tu sais, en fait, à un moment, quand tu dessines plus pour ton plaisir...
Aujourd'hui, je ne dessine plus. Je ne dessine plus, c'est-à-dire que je ne dessine plus, je vais peindre, je vais faire de la sculpture, mais je ne dessine plus. Genre, je suis passée à un stade où...
Ouais, un espèce de rejet en fait.
[02:21:26] Speaker F: Et volonté de se renouveler en même temps.
[02:21:27] Speaker D: Exactement. Et du coup, je ne dessine plus parce que je pense qu'il y a eu le côté où il y a eu un peu d'égout, c'est peut-être un peu fort.
[02:21:38] Speaker A: Dans l'instant, oui. Après, il y a la réflexion, et puis quand les années passent, tu as autre chose qui vient, tu réfléchis, c'est là que ça revient. Moi j'ai quitté WeFM, je reviens sur mon histoire, mais j'ai fait un Burnout en 2014, et j'ai pu retravailler en radio que là. Ça m'a pris 10 ans. C'est quelque chose que j'aime bien. J'ai un autre regard dessus maintenant, donc je me surprotège, mais c'est vrai qu'on part vite.
Il y a quelque chose, il y a une douleur qui s'installe, il y a quelque chose qui fait que... Mais tu y reviens. Je pense que le dessin, ça va revenir. De toute façon, t'as utilisé le mot rêve tout à l'heure.
Donc c'est toujours en toi. Je pense que ça s'en ira jamais.
C'est juste qu'il faudra le temps et puis de toute façon, t'as plein d'autres trucs à explorer.
[02:22:18] Speaker D: C'est ça. Là, par exemple, sans parler de Twitch, parce qu'évidemment Twitch, même si moi je le considère comme un taf parce que j'ai envie que ça soit bien pour les viewers et j'ai envie que Quand j'y vais, j'ai pas envie d'être genre pas bien, genre c'est comme tu vas au taf, tu laisses tes problèmes de côté, parce qu'on me dit c'est du divertissement et j'ai envie que les viewers soient contents, que tout le monde passe un bon moment, donc je le considère vraiment comme un taf. Et...
Taf, plaisir. Trop bizarre, faut pas dire ça. Fallait pas dire ça, c'était trop bizarre. Mais tu vois, par exemple... Et en même temps ! Et en même temps, au final ! Est-ce qu'on n'aurait pas qu'une vie, hein ? Genre, en vrai. Mais en même temps, il y a ce que... Enfin, en même temps...
Là je suis en train de regarder pour me faire une formation, pour me former dans la sculpture 3D. Et parce que j'ai déjà un univers qui est déjà très affirmé, enfin je pense, voilà, un petit peu. Et j'adore la sculpture, j'en fais en live. Et là je me dis, je peux rester chez moi, en même temps je peux streamer mon portfolio, je peux le streamer, je peux le faire avec les viewers.
aller l'utile à l'agréable, tu vois. Et en vrai, ça me permettrait d'avoir des contrats aussi, rester en freelance. C'est une forme de tatou, tu vois, au final. Et au moins, bon, les clients n'ont pas mal. Y'a pas de flippant que t'es mini ! Enfin on espère, peut-être qu'avec l'IA. Arrêtez, j'ai très mal. Oh non, bordel ! Je pensais que c'était fini, moi ! J'en ai marre ! Saloperie !
[02:23:48] Speaker A: Bon on va passer à un clip, on va regarder Carnifex. Très vieux clip parce que je me suis dit tiens c'est celui-là, ah non c'est pas celui-là, ah c'est celui-là, ah non c'est pas celui-là, et puis je suis tombé sur le clip d'il y a 15 ans.
Dark Days, ça colle bien avec tout ce qu'on était en train de dire.
[02:24:06] Speaker D: Et ben en fait ça c'était justement la transition au moment où justement j'ai pété un câble. Avant de faire du tatou, c'est le moment où je bossais dans une institution européenne. Donc j'ai bossé ce que j'habitais à côté du Luxembourg, donc commission, parlement, tout ça tout ça.
et je me souviens que cette chanson je l'écoutais en boucle dans les transports en commun et tu sais habillé type commission européenne donc très classique et puis tu sais je regardais les gens j'avais Dark Days en fond dans les oreilles et je regardais si ils savaient ce que j'étais en train de dire et ce que j'aimerais leur faire actuellement à tous ces cons Et puis oui, l'institution européenne, genre je me sentais pas du tout à ma place encore une fois, tu vois, et j'ai jusqu'au jour où j'ai dit bon vas-y, c'est quoi Sarah, stop, arrête tout, hein, tu vas faire du tatou. Du coup on a refait huuuup, rewind, parce que là on a parlé de mon breakdown dans le tatou, mais ça a été ça aussi avant.
[02:25:06] Speaker A: La musique aide.
[02:25:07] Speaker D: Ah oui, clairement, là on y est.
[02:25:09] Speaker A: Ça permet de ne pas passer à l'acte ?
[02:25:11] Speaker D: Oui, oui.
[02:25:12] Speaker A: Parce que tuer, c'est pas bien.
[02:25:14] Speaker D: Ou il faut avoir un étui à contrebasse. Ça c'est une autre histoire.
[02:25:17] Speaker F: Pour avoir un joli fly kiss.
[02:25:19] Speaker A: Bon, et du coup, on balance le clip et tout, c'est nickel ? Ou tu veux dire quelque chose de plus dessus ?
[02:25:28] Speaker D: Alors à l'époque j'adorais Carnifex, c'était la fameuse époque du Never Say Die, tout ça, tout ça. Quelle belle époque, Suicide Silence, tout ça. Un peu plus énervé que Marilyn Manson, et encore, quoi que. Aussi, un petit peu plus.
[02:25:42] Speaker A: Un peu plus, oui.
[02:25:43] Speaker D: Que Murderdolls, pareil. Un peu plus, tu vois. Mais en même temps c'est difficile votre exercice de choisir quatre clips.
[02:25:49] Speaker A: Ah c'est pas beaucoup et en même temps c'est déjà beaucoup.
[02:25:52] Speaker D: Non mais vraiment, c'est très difficile parce que là, à ce slot-là, il y a eu Amenra, Zléan Ardor, il y a eu plein de trucs, tu vois, et j'étais genre mais non mais attends...
[02:26:01] Speaker A: Oui, ça ne représente pas tous tes goûts.
[02:26:02] Speaker D: Non voilà, c'est ça, c'était genre mais... Ah ! Bon bah Carnifex, allez !
[02:26:07] Speaker A: Faut se lancer un moment.
[02:26:08] Speaker D: Marqueur de temps, Carnifex, Commission Européenne.
[02:26:11] Speaker F: Du break-down au travail au break-down dans le pits, voilà.
[02:26:13] Speaker D: Voilà, exactement, c'est vraiment...
[02:26:15] Speaker A: Tiens, tu prendras pour lui, paf ! Camoulox ! Allez, on lance Carnifex.
[02:27:20] Speaker C: Réveille-toi ! Oh, putain ! Attends, attendez un peu.
J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur.
[02:32:24] Speaker A: Oh que j'aime, oh que j'aime beaucoup ce groupe. Alors, il y a effectivement, Dave Jones, évidemment, on le sent un petit peu dans la musique, la tête du chanteur, un petit peu...
[02:32:34] Speaker B: C'est Daniel Jones qui n'a pas beaucoup dormi.
[02:32:36] Speaker A: C'est quand il traînait dans les caniveaux. J'aime beaucoup Daniel Jones, mais c'est horrible de dire ça. Mais c'est une personne qui, malheureusement, a eu beaucoup de soucis mentaux et qui est quelqu'un de très fragile. On en parlait, c'est Matrix. Bon, il n'a pas super bien terminé.
Mais on espère toujours que Silverchairs se reforme. En attendant, il y a Black Swan qu'on vient de regarder avec... Black Swan, pardon.
[02:33:00] Speaker B: Black Swan, yeah ! Je l'ai dit un peu à l'allemand.
[02:33:02] Speaker A: Donc... Écoutez, je viens de l'Est, je mange des patates et du chou...
[02:33:05] Speaker B: C'est faux.
[02:33:06] Speaker D: Mais d'où tu viens de l'Est ?
[02:33:08] Speaker A: J'ai d'origine polonaise mais je viens du sud de la France sinon.
[02:33:10] Speaker D: Ah oui oui, je pensais que tu me parlais de la Lorraine moi, la Moselle, tout ça. Lorraine Cardassier, non rien à voir.
[02:33:17] Speaker A: C'est métal.
[02:33:18] Speaker D: C'est métallurgie, tout ça, tout ça.
[02:33:21] Speaker A: C'est bien, c'est créatif.
[02:33:23] Speaker D: Ah oui, c'est un humour très bien.
[02:33:24] Speaker A: Mais du coup tu vois, je suis polonais du sud, on peut parler du gothic summer, c'est une chanson qui m'est arrivée.
[02:33:30] Speaker D: Evidemment !
[02:33:32] Speaker A: Mais j'ai aimé tout à l'heure quand Antenne t'as dit, bon tu l'as dit aussi à l'antenne, gothique à paillettes. Alors c'est vrai qu'on a cette image du gothique qui est très blanc de visage.
[02:33:42] Speaker D: Faut pas que je lui parle ! Derrière le mur blanc, on me voit plus.
[02:33:46] Speaker A: Ton rouge à lèvres n'est pas rouge rouge.
[02:33:48] Speaker D: Non il est corail, s'il vous plaît. C'est pas avec mes yeux.
[02:33:52] Speaker A: C'est le côté flash. Mais oui, c'est quoi donc gothique à paillettes ? C'est juste pour dire que t'es gothique mais sans en faire des kilos ?
[02:34:00] Speaker D: Des kilos de paillettes, si. Des kilos au moins.
En fait, c'est juste que c'est un peu cassé le cliché aussi du, comme tu disais, du goth, voilà, t'es déprimé, tout ça, tout ça. En fait non, tu peux aimer t'habiller en noir, tu peux aimer les trucs dark. En vrai, moi j'adore le rose, par exemple. Ça ne se voit pas, mais le violet et le rose sont mes couleurs préférées.
[02:34:21] Speaker B: Ça se voit sur tes yeux.
[02:34:22] Speaker D: Exactement. Mais en fait, tu vois, pour ce qu'on disait tout à l'heure, le fait, quand t'es ado, machin, trouver un style. J'ai essayé de m'habiller comme les gens normaux. Non offense pour personne, mais tu vois, avoir un style plus classique. J'avais l'impression d'être déguisée. Qui est cette personne ? Tu te regardes dans le miroir et t'es là.
[02:34:41] Speaker A: Je n'aime pas.
[02:34:42] Speaker D: Mais c'est horrible, mais ça ne me va pas du tout. Et pourtant, il y a des trucs que je trouve très beaux, mais sur les autres. Tu vois, j'adore la couleur, mais sur les autres. Mais c'est vrai que le rose, le violet, c'est mes couleurs préférées. Mais du coup, je suis gotte à l'extérieur et full paillettes pink à l'intérieur. Les chauves-souris à paillettes, tu vois.
[02:34:58] Speaker A: C'est beau ! On n'en voit pas assez des chaussures à paillettes.
[02:35:02] Speaker D: Non mais oui, ça va changer. Le Got Club arrive, regardez.
[02:35:05] Speaker A: Alors c'est quoi le Got Club ?
[02:35:07] Speaker D: C'est le nom de ma commu, voilà. Enfin, ma commu. Du Got Club en fait, parce que qui veut peut devenir, faire partie du Got Club, il n'y a pas besoin d'être got. Je pense que c'est surtout le côté mentalité, tu vois Jean-Luc.
En fait, c'est... Venez comme vous êtes. C'est un peu McDo, mais en mieux.
[02:35:24] Speaker A: Tu vois ?
[02:35:24] Speaker D: Ouais, c'est McDo, mais en mieux, en fait.
[02:35:27] Speaker B: En noir avec des paillettes.
[02:35:28] Speaker D: C'est ça. Non, mais c'est vraiment parce que y'a pas de jugement. En fait, on peut discuter de tout. On est des gens créatifs ou juste simplement qui aiment regarder des choses créatives. C'est un échange, en fait. Alors, quand je dis bienveillance, j'aime pas ce mot parce que ça fait très genre, oui, la bienveillance. Mais en fait, c'est...
[02:35:48] Speaker A: C'est important, quand même.
[02:35:52] Speaker D: C'est le mot bienveillance, genre comme ça peut être utilisé aujourd'hui, mais moi je dis toujours à ma commu, en fait, soyez vous-même tant que vous ne nuisez à personne. Et c'est vraiment un principe Très simple. On ne va pas avoir besoin de préciser. Mais j'ai l'impression qu'aujourd'hui avec Internet, je ne dis pas X, je dis Twitter.
J'ai décidé que ça sera toujours Twitter. Voilà, parce que X c'est horrible. On ne va pas se mentir. Mais je trouve que c'est vraiment des choses que les gens oublient sur Internet. Il y a des humains derrière les caméras, les commentaires, les pseudos.
Donc je sais pas, juste c'est ça en fait pour moi le goth club. Alors oui, moi j'ai envie de dire que toute ma communauté est gothique parce que j'ai l'impression que je suis en train de monter une armée. La goth armée. C'est ça, la gothique dominant le monde. Mais bon après je sais très bien que j'ai des vues verts qui sont absolument pas goth et en fait juste ça n'empêche que ça reste une communauté et j'ai envie que les gens se sentent bien dans la disco crypte. Donc tirez-vous un cercueil, dépoussiérez une chauve-souris et installez-vous.
[02:36:59] Speaker A: C'est beau.
[02:37:00] Speaker D: Voilà.
[02:37:01] Speaker A: Et coucou !
[02:37:02] Speaker D: D'ailleurs j'ai vu qu'il y avait Trinity, je vais en profiter parce que... Et les autres viewers aussi, vous êtes là, je sais, vous serez pas punis ceux qui sont là, c'est bien.
[02:37:12] Speaker A: J'ai noté tous les noms. Ils ont fait un listing. C'est ça. Et du coup, est-ce que tu arrives à encourager les gens à s'habiller en noir même en étant heureux du coup ?
[02:37:21] Speaker D: Mais en vrai, les gens font ce qu'ils veulent. Moi je m'en fous. Je pars du principe que si vous soyez juste heureux, c'est déjà assez difficile de vivre.
[02:37:30] Speaker A: C'est très difficile d'être heureux.
[02:37:32] Speaker D: Exactement.
[02:37:32] Speaker A: D'ailleurs c'est quoi d'être heureux ?
[02:37:34] Speaker D: Ça y est, on est parti pour 7h.
[02:37:36] Speaker A: Je te laisse 5 minutes.
[02:37:38] Speaker F: Vous avez 4h, calculatrice interdite.
[02:37:40] Speaker D: Ok, je pense qu'être heureux, c'est déjà... C'est pas d'être heureux, c'est d'essayer que sa vie soit le moins pire que les... les... les... les... les... les cascades, les rafts de ta vie, tu vois, je veux dire, soit moins difficile à passer. Et souvent, quand tu es bien entouré, notamment quand tu choisis bien tes proches, alors... Ta famille, malheureusement, des fois, t'as pas le choix, mais tu peux choisir de t'en éloigner. Mais choisir d'être bien entouré, et notamment avoir, que ce soit un chéri, une chérie, peu importe, comme vous voulez, ou des amis. Genre moi, j'ai de la chance d'être très... Oh, il se regarde, il se sent trop mignon !
[02:38:18] Speaker A: J'ai détruit sa vie ! Il aurait pu avoir une vie super bonne, mais malheureusement, j'ai détruit sa vie.
[02:38:24] Speaker D: Et au final, regarde, il est là, il parle pas.
[02:38:27] Speaker A: Et j'ai commencé à longtemps !
[02:38:28] Speaker D: Vous voulez qu'on en discute ? Ça fera 70 balles par contre. Par contre on va pouvoir exorciser tout ça, je sens qu'il y a des.
[02:38:38] Speaker A: Choses... Moi je fais des bits. C'est bien vous ça. Ça vous ressemble ? C'est dégueulasse.
[02:38:49] Speaker D: C'est ça, vous avez vu les viewers, vous avez vu, on est en train de... On va ralasse. Mais j'ai vu ce qu'on disait...
[02:38:56] Speaker B: Le bonheur, le bien s'entourer.
[02:38:59] Speaker D: Voilà, c'est bien s'entourer, je pense que c'est surtout ça, parce que ben en fait, la vie c'est pas facile. Moi, si on m'avait dit à l'époque, être adulte, c'est payer ses factures, aller travailler...
[02:39:10] Speaker A: C'est encore plus chiant que l'école.
[02:39:12] Speaker D: Alors moi j'ai pas signé pour être là, alors laissez-moi, je sais pas où, mais je veux pas. Donc en fait, ne prenons rien au sérieux, on rigole, on se fait des blagues de merde et on essaye de faire passer la pilule le moins difficilement possible, un peu de paillettes quoi. La vasine à paillettes du coup, c'est ça qu'on va créer pour le gosseux.
[02:39:34] Speaker A: Tu vois, au final, on revient toujours autour du mal.
[02:39:40] Speaker D: Comme Julien Méniel en fait. Julien, si tu nous regardes d'ailleurs, très bon copain.
[02:39:47] Speaker A: Il nous a envoyé un message, il a fait une pièce.
[02:39:48] Speaker D: Non, c'est pas vrai ! Il m'adore.
[02:39:51] Speaker B: Vous avez fait une vidéo, je crois.
[02:39:53] Speaker D: Où il se faisait tatouer... Tatouage et hypnose, ouais. Quel plaisir de lui faire du mal.
C'est comme ça on n'en parle pas, mais le sadisme un petit peu. J'aime pas faire du mal aux clients que j'aime bien, mais aux potes que j'aime bien, y'a un petit truc tu vois. Le sel, tu vois, une petite saveur en plus. Je sais que Trinity elle a pas eu mal, enfin un petit peu, mais j'ai pris aucun plaisir.
Non c'est pas vrai, c'est pas vrai, c'est pas vrai, c'est pas vrai.
[02:40:28] Speaker A: On recommence, alors la thérapie numéro 2.
[02:40:30] Speaker D: Attends mon étiquette !
[02:40:34] Speaker A: Donc on revient aux amis. Parce que choisir ses amis, ce n'est pas si simple non plus. Ce que je veux dire c'est que tes amis peuvent être de bonnes personnes et les bonnes personnes à rencontrer à un moment X, T. T'as tenté ?
[02:40:44] Speaker D: T'as tenté.
[02:40:45] Speaker A: Vous comprenez, vous choisissez le mot que vous voulez.
[02:40:47] Speaker B: Tant X, c'est seulement si vous êtes fan de... Des Bogdanoff.
[02:40:53] Speaker A: Ouais, je m'en souvenais plus de ça.
[02:40:54] Speaker B: Alors que leurs mentons, on s'en souvient.
[02:40:56] Speaker D: D'ailleurs, ils sont toujours là, les mentons.
[02:40:58] Speaker A: Ils sont coincés dans une porte. Mais j'ai trop d'images, je peux plus parler.
[02:41:06] Speaker D: Erreur 404, regardez.
[02:41:11] Speaker A: Beaucoup d'erreurs 404. Écran bleu. Mais oui, les amis, à un moment, ils peuvent devenir... Ça peut devenir de mauvais amis. C'est-à-dire qu'ils se transforment aussi, ils ont une évolution selon leur fréquentation. C'est pas facile de bien s'entourer, c'est pas facile de savoir aussi ce qui nous rend... Non mais en fait je.
[02:41:27] Speaker D: Pense qu'il faut accepter, pardon je te coupe, mais que les gens évoluent et que toi aussi t'évolues en fait, je veux dire tes potes que t'avais au lycée c'est pas forcément les mêmes potes que tu vas garder toute ta vie parce que chacun prend une voie différente, il y a des gens qui...
qui peut être très extrême dans le métal et en fait tu les revois à 30 ans, c'est plus du tout les mêmes personnes parce qu'ils se sont rangés, rangés dans quoi ? Je ne sais pas, mais ils se sont rangés, voilà, apparemment ils se sont rangés.
[02:41:54] Speaker A: Ils ont pressé la porte.
[02:41:55] Speaker D: Voilà, ils se sont rangés dans le placard peut-être, je ne sais pas.
[02:41:59] Speaker A: Dans la contrebasse.
[02:42:00] Speaker D: Oui voilà, l'étui, c'est important. Mais je pense qu'en fait, il y a un moment où... Déjà, il faut accepter que les gens peuvent avoir des défauts.
Ça, c'est très difficile. C'est très difficile parce que souvent, quand toi, t'es très exigeant avec toi-même, exigeante, exigeant, t'attends que les gens soient pareils avec toi, en fait, et qu'ils agissent pareil. Sauf que ça marche pas comme ça. Et ça, c'est quelque chose que j'ai mis du temps à comprendre.
[02:42:24] Speaker B: Et ça provoque beaucoup de déception. Parce qu'en fait, tu vis le truc comme les gens, ils en ont rien à foutre de toi, alors que c'est juste qu'ils marchent pas pareil.
[02:42:32] Speaker D: Oui c'est ça exactement et en fait c'est pour ça que lâcher un peu du lest et des fois se dire bon bah en fait pourquoi pourquoi s'éteindre si sérieux ? Film ! Mais au final c'est vrai tu vois je veux dire bon bah la vie de toute façon t'es là, oh punaise ça part en podcast philosophique là c'est terrible.
[02:42:50] Speaker A: Non mais c'est intéressant, je suis sûr qu'il y a plein de gens qui vont réfléchir et qui vont en discuter avec leurs proches.
[02:42:55] Speaker D: Je pense que la vie, en fait, t'es là un certain temps, tu vois, et évidemment tu peux pas tout prendre à la rigolote parce qu'il y a effectivement des moments... Non, mais par contre, s'il y a un moment, bah oui, un enterrement, pourquoi c'est triste ? Oui, bah oui, la personne est partie, bah oui, mais en même temps c'est le truc le plus sûr dans ta vie, c'est qu'on va tous mourir ! Partir de ce principe là, tu vois en fait...
[02:43:22] Speaker B: Je vais pas mourir.
[02:43:25] Speaker A: Je vais être dans la fusée avec Trump.
[02:43:28] Speaker D: Je sais pas, j'ai pas compris. Non, je rigole, c'est une blague. J'avais dit que je le disais plus. Mais on va tous mourir en fait, donc en fait à partir de ce principe-là, de ce principe-là, je sais pas pourquoi j'ai pris l'accent de Dalida, mais voilà. Pourquoi se prendre, pourquoi, enfin juste, ben venez on rigole, venez on essaye d'être les plus gentils les uns avec les autres. Alors il y a des fois, il y a des gens que tu vas pas aimer, bon ben tu sais quoi, va pas leur chercher la merde, on s'en fout.
[02:43:51] Speaker A: Ah oui, tu passes à côté.
[02:43:52] Speaker D: Passes à côté, on s'en fout. T'as pas le temps. La dernière fois que j'ai eu cinq minutes, c'est quand j'avais huit ans. Tu vois, donc en fait, c'était une blague, ça fait un bide. C'est fou, hein ? Bon, c'est pas grave. D'habitude, je sais pas si les publics.
[02:44:05] Speaker A: Ils rigolent ou pas.
[02:44:06] Speaker B: Je croyais que c'était une expression que je connaissais pas, mais je la trouvais bien.
[02:44:09] Speaker D: Tu peux l'utiliser ?
[02:44:11] Speaker B: Bah je vais.
[02:44:11] Speaker F: Je l'ai trouvé beaucoup trop vrai pour une blague.
[02:44:14] Speaker D: Mais c'est vrai, en bus c'est vrai, on est à Paris, c'est vrai. Moi je disais ça quand on était en province, tu vois, genre on avait le temps, il y avait un bus le matin, un bus le soir.
[02:44:21] Speaker B: Entre les deux, on attendait.
[02:44:24] Speaker D: Voilà, on attendait. 8h. Voilà, 8h au moins.
Tu loupes mon bref. Mais bon bref, tout ça pour dire que vivez, voilà, faut pas attendre pour vivre. Et que ça soit à travers le tatouage, tu sais, les gens qui hésitent... T'as le droit de pas envie de te faire tatouer, ça c'est dessus. Ça, chacun fait ce qu'il veut, y'a pas de soucis, y'a pas d'injonction à se faire tatouer. Surtout même quand t'es dans le métal ou quoi que ce soit, y'a pas de problème à être vierge, si je puis dire. Tout ou moins. Tout ou moins. Nous sachons, nous sachâtes même, bien sûr. Voilà, nous sachâtes exactement.
[02:44:53] Speaker A: Oh merde !
[02:44:56] Speaker D: Voilà, voilà, voilà. Mais juste en fait, faites ce que vous avez envie tant que ça nuit à personne. C'est un peu la philosophie du God Club et enfin de ma philosophie à moi et je me dis en fait des fois on se prend beaucoup trop au sérieux.
[02:45:09] Speaker A: Oui, oui.
[02:45:10] Speaker D: C'est pour ça il faut arrêter.
[02:45:11] Speaker A: Oubliez la légèreté.
[02:45:12] Speaker D: C'est ça, on arrête de dire que c'est des blagues, le second degré, bordel, arrêtez de tout prendre au sérieux. Internet, s'il vous plaît !
[02:45:19] Speaker A: Rigolez un peu ! Oui, faites des blagues entre vous, ça peut marcher, c'est pas mal ! Vous allez voir, ça peut créer des liens !
[02:45:24] Speaker D: Non mais de ouf, ça détend de ouf !
[02:45:25] Speaker A: Ça fait du bien !
[02:45:26] Speaker D: Mais de ouf, de rigoler ! Bonne petite marade !
[02:45:30] Speaker A: Moi je rigole tout le temps ! Une bonne petite pipe et on est tous détendus !
[02:45:33] Speaker D: Qu'est-ce que j'ai dit ? Je vais pas dire ça ! J'adore la beaufessie, c'est vraiment ma passion dans la vie. Bonjour ! C'est terrible, le glamour est mort !
[02:45:47] Speaker A: On peut te retrouver tous les jours, c'est quoi les fréquences de streaming ?
[02:45:54] Speaker D: Pas de planning ! Pas de planning parce que ça fout la pression. C'est Trinity qui m'a dit le meilleur conseil, ne fais pas de planning. Tu vas te matrixer le cerveau et en plus ça va créer des attentes et du coup quand tu peux pas les gens vont être déçus. En général je leur dis venez sur Instagram, venez sur Discord et j'annonce dans la journée. En général j'essaie de liver entre 3 à 4 fois par semaine. 5 vraiment c'est quand je suis vraiment en forme.
Déjà, 4 c'est pas mal, tu vois, donc voilà. Mais c'est Instagram, Discord...
[02:46:27] Speaker A: On te retrouve partout.
[02:46:29] Speaker D: Oui, ouais, bon après...
[02:46:30] Speaker A: On peut rejoindre le God Club.
[02:46:31] Speaker D: On peut rejoindre le God Club, par contre il faut bien valider les règles et mettre son pseudo Twitch au moins. Voilà, ou linker, c'est parce que sinon on veut que ça reste une safe place pour tout le monde, donc voilà. Il me regarde, il fait genre avec tes blagues de merde, toi on t'a... Non, t'sais je vois son oeil qui pétille là, il fait genre ouais ouais toi safe place... Non, je suis en.
[02:46:49] Speaker A: Train de me dire, je sais pas quand est-ce que j'ai été dans un safe place dans ma vie.
[02:46:53] Speaker D: Un sex-place vers moi ! C'est un running gag, c'est pas possible !
[02:46:59] Speaker A: Désolé, je suis un pervers, je l'admets.
[02:47:02] Speaker D: Waouh, sur internet comme ça ?
[02:47:03] Speaker A: Il a peur de rien.
[02:47:06] Speaker D: Tu vois, c'est ça qu'il faut, ne pas avoir peur de vivre. Pardon, désolé.
[02:47:09] Speaker A: Oui, attention, je suis un pervers sain. Peut-être pas d'esprit alors. Comme au Vatican !
[02:47:15] Speaker D: Comme le Vatican.
[02:47:17] Speaker A: Je sais pas trop ce que tu veux dire par là.
[02:47:19] Speaker D: Bon, je vous laisse réfléchir.
[02:47:21] Speaker A: Un message aux vaticans. Tous des reptiliens de toute façon. Alors, on va regarder un petit clip, ça te va ?
[02:47:29] Speaker D: Oui, on peut en parler ou pas ?
[02:47:31] Speaker A: Ah bah oui, bien sûr, c'est le moment d'en parler.
[02:47:33] Speaker D: C'est Prayers.
[02:47:35] Speaker A: Tu n'es pas la première personne à nous parler de Prayers. Je ne connaissais pas avant. Dans cette émission ? Tout à fait.
[02:47:41] Speaker D: Mais quoi ? Ah, je pensais que j'étais la OG de Prayers dans cette émission, moi.
[02:47:45] Speaker A: Désolé, bah on recommence. Alors, tu es la première ! Elle nous parle de Prayers, vas-y, dis-nous tout !
[02:47:52] Speaker D: Non mais Prayers, c'est pas incroyable, c'est des Cholo Goths quoi ! C'est des gothiques mexicains de la plage ! Des palmiers ! Genre c'est trop bien vendu ! Et bordel, ils sont au Hellfest cette année ! J'ai envoyé un message à Riku, je lui ai dit mais il y a Prayers ! Voilà. Genre j'étais beaucoup trop excitée, mais...
[02:48:10] Speaker A: Alors, gothique à la plage, ça donne quoi ? On a le droit de bronzer ?
[02:48:15] Speaker D: J'essaye moi, mais ça marche pas. C'est pour ça que je suis tatouée. Je ne suis pas tatouée parce que j'aime, parce que je n'ai pas le choix. Sinon je ressemble à un doliprane en fait. Ah mon dieu, qu'est-ce que c'est que ce truc ? C'est un doliprane qui marche sur la plage. Voilà, j'adore.
[02:48:30] Speaker A: J'ai une image, je vois le soleil qui te reflète et puis toi qui brille et puis les gens qui sont...
[02:48:35] Speaker D: Les yeux qui brûlent.
[02:48:36] Speaker F: Quel est cet être de lumière ?
[02:48:37] Speaker D: C'est moi. Sarah Luchaprice, créatrice d'images.
[02:48:40] Speaker A: T'es très facile chez moi.
[02:48:44] Speaker D: Si y'avait que ça qui était facile chez toi.
[02:48:47] Speaker B: Elle t'a cernée si vite !
[02:48:51] Speaker A: Bah les psy un peu aussi ! J'ai des années de théopratie de tatouage.
[02:48:55] Speaker D: Tu sais quand les gens ils arrivent sur le banc et qu'ils sont là au bout de deux minutes de pic. Alors tu sais, moi mon frère... Oula !
[02:49:01] Speaker A: Oula !
[02:49:02] Speaker D: Je ne suis pas armée pour entendre, je ne suis pas... Arrêtez, arrêtez, je ne veux rien entendre, mon dieu, mes oreilles coulent !
[02:49:10] Speaker A: Comment t'as découvert Prayers ?
[02:49:11] Speaker D: Eh bien c'est un très très bon ami à moi, Mathias, qui me dit écoute faut que je te fasse écouter un groupe, c'est incroyable, c'est des Tchologotes, c'est des Mexicains gothiques. J'ai dit je veux écouter ça et effectivement, depuis ça fait plus de dix ans que j'écoute Prayers et tout le monde déteste autour de moi.
Ah bon ? Ouais ouais, genre mon mec il est là genre Vraiment, mais écoute ça quand t'es toute seule dans la voiture ! M-T-A-V ! Les gothiques à la plage, les gothiques ! Mais moi j'adore et je sais qu'il y a beaucoup de gens qui détestent, mais ma commu adore apparemment, c'est vrai ou pas ? Dites-le dans le chat.
[02:49:50] Speaker B: Apparemment on me dit à l'oreillette qu'ils n'ont pas le choix.
[02:49:53] Speaker D: Mais ça, ça reste entre nous.
Ça reste dans le God Club, tu vois.
[02:49:57] Speaker A: C'est ce qu'on appelle la démocratie.
[02:49:58] Speaker D: C'est ce qu'on appelle une secte.
[02:50:00] Speaker B: Première règle du God Club, personne ne.
[02:50:02] Speaker A: Parle du God Club.
[02:50:04] Speaker D: Personne ne critique Prayer surtout. Mais enfin c'est juste... Bon après est-ce que c'est aussi le mec de Kate Von D ? Peut-être.
Est-ce qu'il n'y a pas un lien ? Bon après Kate Von D on aime ou on n'aime pas. Elle fait de la musique d'ailleurs.
Oui j'aime bien, je sais, ne me jugez pas, j'aime beaucoup. Non mais je sais, je sais, mais des fois je peux avoir des goûts un peu...
[02:50:24] Speaker A: Tout le monde a le droit à avoir des goûts un peu... Eclectique ! C'est joliment dit, c'est bien.
[02:50:31] Speaker D: Oui voilà, des fois j'assume, des fois j'ai des goûts de merde et j'ai pas de soucis avec ça.
[02:50:36] Speaker A: Eclectique !
[02:50:39] Speaker D: Ça marche. Deux, trois lettres, prêt, c'est pareil.
[02:50:43] Speaker A: Faut réfléchir. T'as déjà voulu faire de la musique ? Pardon.
[02:50:48] Speaker D: En vrai, j'adorerais. J'ai appris... Enfin, j'ai pris quelques cours de chant parce que j'adore chanter. J'ai, avec Jessie Christ, je sais pas si vous... Jessie Vignolle. Qui est prof de chant. Du coup, elle m'a fait faire quelques cours de chant saturés. D'ailleurs, on m'a dit que j'avais un scream qui était assez convaincant.
[02:51:07] Speaker A: T'avais un bel organe.
[02:51:08] Speaker D: J'avais un bel organe, merci.
Mais en fait le truc c'est que je n'ai pas le sens du rythme. Voilà. Donc pour faire de la musique, c'est un peu compliqué.
[02:51:16] Speaker A: Ça a l'air fait différemment.
[02:51:17] Speaker B: Faut faire du a cappella sans musique quoi.
[02:51:20] Speaker D: Ouais.
[02:51:20] Speaker B: A cappella c'est forcément sans musique. Oui.
[02:51:22] Speaker D: C'est pas un chapeau a cappella ? Ça se met pas sur la tête.
[02:51:26] Speaker F: Maître a cappella.
[02:51:27] Speaker D: Maître a cappella.
[02:51:29] Speaker B: La capella, c'est pas cette espèce de danse brésilienne ?
[02:51:33] Speaker D: Ouais c'est ça, avec une capella dans le dos. C'est des pattes aussi.
[02:51:37] Speaker A: C'est ce que j'allais dire, c'est pas une recette italienne.
[02:51:40] Speaker D: Oh regardez !
[02:51:40] Speaker B: Regardez !
[02:51:41] Speaker A: La capella ! Vous l'aviez perdue, elle est là.
[02:51:45] Speaker B: Allez, on les a toutes faites.
[02:51:46] Speaker A: Bon bah on peut regarder le clip du coup.
[02:51:48] Speaker C: Ouais !
[02:51:48] Speaker A: Allez, cheers !
[02:51:50] Speaker C: Les gothiques à paillettes, ouais ! Merci d'avoir regardé cette vidéo ! je suis et il les a mis dans leur grave.
[02:53:38] Speaker A: C'Est.
[02:54:09] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Ain't gothic is the summer.
[02:55:35] Speaker D: I will tear out my limbs for your feet I promise the bleeding is fine Let my body fill bottles of wine Dying, I'm wasting my youth.
[02:55:48] Speaker C: Laying down like the child I knew Aïe ! C'est la fin de cette vidéo !
[02:58:20] Speaker A: Violent Vira, à l'instant, donc, dans Bang Bang, le meilleur de l'alternative rock et du métal, c'est comme ça tous les dimanche soir, si vous venez de nous rejoindre, que vous ne connaissiez pas avant, j'essaie de faire de bonnes conjugaisons, n'hésitez pas à vous abonner à la chaîne et à nous suivre sur les réseaux sociaux. Vous verrez, on est des sacrés petits... On est des coquins ! Des joyeux lurons ! Des joyeux coquins !
[02:58:44] Speaker B: Des joyeux lurons et un gué luron !
[02:58:47] Speaker D: Alors ça c'est chacun fait ce qu'il veut, on n'est pas dans le jugement.
[02:58:51] Speaker B: Moi je me fais un problème avec les pédés.
[02:58:56] Speaker A: C'est moi donc je suis la caution.
[02:59:00] Speaker B: Je ne suis pas ami avec lui pour rien.
[02:59:02] Speaker D: C'est pas ma chaîne, ça va ! Pourquoi c'était un piège ?
[02:59:05] Speaker A: Pourquoi j'ai host ?
[02:59:13] Speaker B: Non, je voulais juste dire, du coup, Valon, Vira, c'est le groupe de... Donc Vira, c'est la chanteuse. Voilà. Katie Korn. Attends, je te remets pour que tu puisses...
[02:59:24] Speaker D: J'y étais, hein.
[02:59:25] Speaker B: Je revois le clip. Non, ils viennent de... Je crois qu'ils viennent du Texas.
[02:59:31] Speaker A: Du Texas ?
[02:59:31] Speaker B: Du Texas. Et apparemment, elle est très en colère contre le faux sucre.
Parce que la chanson s'appelle Saccharine, et Saccharine c'était le faux sucre avant l'aspartame, avant tout ça. Ça a arrêté d'être utilisé parce que c'était apparemment un peu quand ça... Et.
[02:59:50] Speaker D: Bonsoir et bienvenue sur le podcast L'histoire du sucre et vous.
[02:59:54] Speaker B: L'histoire des idulcores.
[02:59:55] Speaker F: Le nom c'était le nom d'un méchant dans Tintin. Ah ouais ?
[03:00:01] Speaker A: Oui, Zacharine, oui. Il y a des épisodes de Tintin dont on n'a pas le droit de parler, tu sais.
[03:00:05] Speaker F: Oui, non mais c'est un épisode, ça va, on peut en parler. Je crois que c'est dans le... Le secret de la licorne.
[03:00:12] Speaker B: Ah !
[03:00:12] Speaker A: On y revient, on y revient ! Tintin est une amie à moi. C'est une bonne copine.
[03:00:20] Speaker B: Ça me fait penser à cette fresque qui est près de la station... T'es peur ? à Sentier vers rue d'Aboukir, au croisement de la rue d'Aboukir et de la rue des Petits Champs, si je ne m'abuse, il y a une fresque murale avec Tintin et Capitaine Haddock qui se roulent une pelle.
[03:00:36] Speaker F: Ah oui, je crois que j'aurais...
[03:00:38] Speaker B: Métro Sentier, voilà, Paris.
[03:00:40] Speaker D: Super.
[03:00:41] Speaker A: Sentier, mais pas les pieds.
[03:00:43] Speaker D: Allez, bisous. C'était sûr.
[03:00:48] Speaker B: Non mais voilà, c'était sûr aussi.
[03:00:51] Speaker A: Non mais on est des ringards, mais on aime bien. Bah oui. C'est bien d'être ringard.
[03:00:55] Speaker D: Non mais moi j'adore.
Non mais en vrai.
[03:00:58] Speaker A: Si t'es pas un peu ringard...
[03:00:59] Speaker D: C'est bien le truc qui ne passe jamais de mode.
[03:01:01] Speaker F: De toute manière on est toujours le ringard de quelqu'un d'autre.
[03:01:05] Speaker D: Exactement. Exactement, voilà.
[03:01:08] Speaker B: Alors aux toilettes de tout le monde.
[03:01:12] Speaker D: Je pense qu'on est tous en train de réfléchir.
[03:01:16] Speaker A: Mais toute cette philosophie, toute cette psychanalyse qu'on a pu avoir tout au long de cette émission, moi ça m'a nourri. Quand j'irai me coucher, je me sentirai bien. Je vais me dire, cette expérience... Bon demain...
Si cette personne regarde, elle va me tuer parce qu'elle m'a dit « tu n'en parles pas ».
[03:01:38] Speaker D: En même temps, on est en comité.
[03:01:40] Speaker A: Restreint, on n'est qu'au 4.
[03:01:44] Speaker B: Et puis une expérience aussi profonde, quelque part, c'est quelque chose qui doit être partagé. Forcément, ça fait bouger des choses à l'intérieur de toi.
[03:01:53] Speaker A: Ça m'a chamboulé, je peux te le dire.
Je me suis tout vidé, toutes mes émotions.
[03:01:57] Speaker D: Du coup on est d'accord, le bypass c'est plus besoin.
Genre là t'as l'intestin qui est directement relié au LEVH quoi. Genre je sais pas, on peut pas...
[03:02:05] Speaker A: On va s'arrêter là. Non parce que moi y'a plein de trucs qui vont... Et puis en fait on aura plus de chaîne Twitch après.
[03:02:10] Speaker D: Oui mais de toute façon déjà c'est mort. Là tu sais, à un moment, quand on a tout cramé, il faut y aller. Quand on a brûlé tout le paquet de cartes, autant brûler l'emballage.
[03:02:22] Speaker A: C'est gris plus que ça.
[03:02:23] Speaker D: Voilà, faut pas rester dans la nostalgie.
Non mais c'est pas bien d'être nostalgique, ça sert à rien.
[03:02:28] Speaker B: Toutes ces choses qui te retiennent.
[03:02:30] Speaker D: Exactement !
[03:02:31] Speaker A: On dit 10 fois ! Finalement c'est une mauvaise expérience.
[03:02:33] Speaker D: Ah tu me sens mal !
[03:02:36] Speaker A: Tu me sens sali alors qu'il y a... Bon. Tu veux nous parler de quelque chose mon petit Enjoy ?
[03:02:41] Speaker F: Ah oui peut-être.
[03:02:42] Speaker A: Profitons-en.
[03:02:43] Speaker B: Le meilleur enchaînement.
[03:02:46] Speaker A: J'avoue là je vais...
[03:02:47] Speaker F: Alors que ça n'a strictement rien à voir.
[03:02:49] Speaker A: Moi je ne sais pas ce qui s'y passe après, tu vas nous raconter.
[03:02:52] Speaker F: Oui oui bah... Pour petite...
[03:02:55] Speaker A: Le pauvre !
[03:02:56] Speaker F: C'est une grande patine mais rien à.
[03:02:58] Speaker A: Voir donc du coup c'est très... Oui oui oui.
[03:03:01] Speaker F: Donc c'est très difficile d'enchaîner après ça. Oui parce qu'il se trouve que j'ai composé de la musique pour une exposition d'origami qui a lieu actuellement pour les gens en région parisienne et au-delà à Saint-Ouen. Donc à l'ancienne patinoire de Saint-Ouen qui était désaffectée depuis des années puis qui est reconvertie en hall d'exposition. Donc pour une exposition d'origami géante sur toute la patinoire à la fois surface et en hauteur. Et j'ai composé de la musique pour accompagner cette exposition. 26 minutes de musique ambiante et orchestrale et l'exposition s'appelle « L'Océan de Léa » par l'artiste Junior Fritz Jacquet et si ça vous branche, je vous souhaite, enfin je vous recommande de vous renseigner sur cette exposition puis de venir la voir.
[03:03:43] Speaker B: C'est l'écouter. C'est jusqu'à quand ?
[03:03:45] Speaker F: C'est jusqu'à... alors elle a été prolongée, ce sera jusqu'à fin mars.
[03:03:49] Speaker B: Ok, vous avez le temps. Mais dépêchez-vous !
[03:03:52] Speaker D: Mais du coup, c'est où l'origami ? Je sais pas, c'est un pays ? Non pardon, c'était... Moi je croyais que.
[03:03:57] Speaker A: C'Était un truc avec du riz.
[03:03:59] Speaker B: Non, l'origami, c'est l'herbe qu'on met sur les pizzas.
[03:04:02] Speaker D: Il y a Thierry Henry aussi.
[03:04:04] Speaker B: Qu'on met sur les pizzas ?
[03:04:06] Speaker F: Oh, ça va loin.
[03:04:07] Speaker A: Thierry Henry, moi je veux bien te voir.
[03:04:11] Speaker D: Mais Henry ! Non mais c'est un délire avec Trinity. Regardez les vlogs de Trinity, vous connaissez pas, elle fait des vlogs maintenant. On a deux épisodes qui sont absolument incroyables, on le dit oui.
[03:04:24] Speaker A: Alors on invite tout le monde à s'y rendre et puis à regarder. Un bon moment de rigolade ?
[03:04:29] Speaker D: Ah oui !
[03:04:29] Speaker A: C'est là où vous faites la cuisine ?
[03:04:31] Speaker D: Pas que ! Écoutez, si vous aimez vous faire pipi dessus, c'est le bon moment. Voilà, c'est le bon vlog.
[03:04:39] Speaker A: C'est une partie de soirée.
[03:04:40] Speaker D: Voilà, écoutez, golden shower, ouh ! Mais pourquoi ça sort comme ça tout seul ?
[03:04:44] Speaker A: Les gens font ça du moment que les autres sont ok.
[03:04:46] Speaker D: Exactement.
[03:04:48] Speaker A: Ne faites pas aux autres ce que vous ne nous feriez pas annoncer. C'est à quel moment que je peux y aller ?
[03:04:55] Speaker B: Je suis pas très à l'aise.
[03:04:59] Speaker A: Cette émission elle finit en queue de boudin. Ah non, pas en noeud de boudin.
[03:05:02] Speaker B: En noeud de boudin. Et pas en os de boudin, attention.
[03:05:05] Speaker F: En noeud de boudin.
[03:05:06] Speaker B: En noeud ?
[03:05:06] Speaker D: En noeud ? En oeuf ? Ouais mais qu'est-ce qui se passe ?
[03:05:10] Speaker A: Moi je peux pas parler, moi je sais plus, je sais pas comment, là je sais pas ce que je dois faire.
[03:05:13] Speaker B: Bah on va, je sais pas, je suis perdu.
[03:05:16] Speaker D: On a cassé Twitch.
[03:05:19] Speaker B: Non nous en tout cas on a cassé là mais...
[03:05:21] Speaker A: CASSÉ ! Il est un peu tard quand même.
[03:05:25] Speaker B: Quelle heure il est ?
[03:05:26] Speaker A: Oh ça va ! Il est 22h09. Ouais bah ça se voit que tu t'es pas arrivé à 8h30 au fond d'un bar.
[03:05:29] Speaker D: Alors ?
[03:05:30] Speaker A: Avec un mal au cul !
[03:05:31] Speaker D: Oui mais à un moment, on choisit ses soirées.
[03:05:38] Speaker A: C'est vrai.
[03:05:39] Speaker B: Alors j'ai envie de te dire oui et non.
[03:05:41] Speaker D: Oui, c'est vrai.
[03:05:42] Speaker B: Comme on a dit tout à l'heure, à cause de l'alcool, des fois tu choisis le début de ta soirée, mais tu n'en choisis pas la fin.
[03:05:48] Speaker D: Voilà, donc on en revient. Attention avec l'alcool.
[03:05:50] Speaker A: Je suis ravi que les gens ne prennent pas de photo en tout cas. Je remercie toutes les personnes qui sont autour de moi et qui n'en ont pas.
[03:05:55] Speaker D: Attends, je veux seulement en en parler.
[03:05:57] Speaker A: Mais regarde, ils viennent me reposter.
[03:05:59] Speaker B: Ils n'ont pas pris de photo.
[03:06:00] Speaker A: Attention à la marionnette ! Tu ne sais pas encore.
[03:06:04] Speaker B: Peut-être c'est juste que tu ne les as pas vues.
Ça, il y a des gens, je vais pas dire qui, mais il y a des gens, ils ont pensé passer leur réveillon du nouvel an de manière tranquille jusqu'à ce qu'ils découvrent la photo de la tête dans les toilettes, si tu vois ce que je veux dire.
[03:06:17] Speaker D: Oh, c'était une soirée sympa !
[03:06:20] Speaker A: Elle n'a pas fait Nouvel An du coup, mais l'essentiel c'est qu'aujourd'hui elle va bien. Ça reste le seul principal. Et puis elle a fait une grosse fête avant, donc elle a célébré ça à l'heure australienne.
[03:06:33] Speaker D: Est-ce qu'il y a vraiment une heure pour fêter Nouvel An ? C'est comme l'apéro au final.
[03:06:37] Speaker A: Attention, l'alcool c'est mauvais.
[03:06:40] Speaker D: Je sais pas où les regarder. Là, là, là ! Là, là, là ! Vous êtes où, les viewers ? Arrêtez de bouger ! Ils courent vite ! Ils sont si petits ! Je pensais pas qu'ils rentraient tous dans une poche. Je vous jure qu'on est normal, vous le savez.
[03:07:01] Speaker B: On n'a rien bu.
[03:07:02] Speaker D: Que du...
[03:07:04] Speaker A: C'est des softs. C'est vrai, c'est vrai.
[03:07:06] Speaker B: J'ai soif d'ailleurs.
[03:07:08] Speaker A: Pas d'alcool.
[03:07:10] Speaker D: Non. On n'en a pas besoin.
[03:07:11] Speaker A: Moi j'en veux plus.
Là où tu me montres une bière, je pense que je peux faire un vomito tout de suite.
[03:07:18] Speaker B: Il ne va pas boire au moins jusqu'à demain.
[03:07:20] Speaker A: Du coup c'est mon happening, c'est le jeu.
[03:07:26] Speaker D: C'était mon happening, c'est mon jeu de ce soir. On va aller chercher une bière et on va voir à combien de temps tu mets...
[03:07:32] Speaker A: On fait ça en direct ?
[03:07:33] Speaker D: Ouais, allez. Non, c'est une blague. Non, mais non !
[03:07:36] Speaker A: D'accord, mais du coup, tu la bois comment, en gorge profonde ?
[03:07:39] Speaker D: Bah, tu peux t'asseoir dessus parce qu'autrement ça passe par les muqueuses.
[03:07:43] Speaker A: Je peux la boire par le cul. Le problème, c'est que si... Ça va taper, ça va mousser.
[03:07:49] Speaker B: Si il se relève, la bouteille reste intacte.
[03:07:53] Speaker A: Ah mais ça c'est un challenge que je demande...
[03:07:55] Speaker B: On l'appelle la cloche dans le milieu !
[03:07:56] Speaker D: D'ailleurs tu feras gaffe parce que le tabouret il n'est pas sorti.
[03:08:00] Speaker B: Et le tabouret non plus !
[03:08:04] Speaker D: Depuis qu'il s'institue...
[03:08:04] Speaker A: Il a disparu ! Mais là il a été mangé d'un coup !
[03:08:09] Speaker D: Aspiration ! Mais c'est pas possible on parlait de métal ou de...
[03:08:13] Speaker A: C'est une émission éclectique !
[03:08:16] Speaker D: Mais moi j'adore, personnellement je signe pour toutes mille saisons, au moins. Mille saisons.
[03:08:23] Speaker A: Merci, mille saisons, ça va faire beaucoup mais...
[03:08:26] Speaker D: Après la quatre saisons, la mille saisons.
[03:08:28] Speaker A: C'est une grosse pizza donc. Ça fait beaucoup de choses.
Il doit y avoir un sacré paquet de choses dessus. J'ai envie de dire... Est-ce que t'as.
[03:08:38] Speaker B: Des choses à nous conseiller, à nous dire avant la fin de cette émission ?
[03:08:43] Speaker A: Qu'on peut acheter ses vêtements.
[03:08:44] Speaker D: Bien sûr ! Bien sûr, sur mon big cartel Sarah Lechaprice.
Et il y a même d'autres t-shirts avec d'autres designs que j'ai fait moi, du coup. Je disais que je dessinais pas, mais au final j'ai fait quelques... Non mais voilà, j'ai quand même fait... Quand je suis inspirée, je m'interdis rien. Je suis comme ça, moi. J'ai dépensé sans compter.
C'est vrai que j'ai pas parlé d'une chose et c'est l'émission Craft que j'en parlais en début d'émission. C'est une émission que j'ai complètement autoproduite avec mon chéri.
On n'a pas des moyens de ouf mais en fait le concept de cette émission c'est d'aller à la rencontre d'artisans.
et notamment des artisans qui sont... des artisans manuels mais en même temps qui sont que portugais. Voilà, pardon, c'était pas drôle du tout, je suis fatiguée.
[03:09:33] Speaker B: Oui, il y a des joseux aussi.
[03:09:34] Speaker D: Oui, pardon, excusez-moi, pardon. Mais en fait c'est vraiment d'aller rencontrer ces artisans et d'aller crafter en live avec eux, donc en fait parler de leur métier, de leur savoir-faire. c'est de remettre un peu l'artisanat un peu au goût du jour parce que moi c'est vraiment un truc qui me plaît énormément et justement je trouve que dans la communauté métal, ça on en parle peu parce qu'on parle beaucoup de musique mais notamment un endroit comme le Hellfest ou l'Extrême Marquette, j'ai fait un petit docu, enfin un petit riz là-dessus notamment sur les artisans de l'Extrême Marquette On a une communauté de personnes qui sont passionnées et qui font des choses passionnantes aussi et qui créent en fait des objets, des vêtements pour les gens comme nous qui sommes alternatifs et ça je trouve qu'il y a peu de communautés style de musique en fait qui a tout un microcosme autour.
et notamment le premier artisan que j'ai été voir c'est Thomas Segoche, peut-être que vous le connaissez, Glace Sabat. Voilà, on reste dans l'univers du métal et c'était hyper cool de faire ça en live et j'aimerais... Le problème c'est qu'on cherche des sponsors, c'est toujours pareil, vous-même vous savez. Mais j'aimerais que Kraft Parce qu'en fait c'est vraiment ce que j'aime, c'est le partage et montrer à des gens qu'il n'y a pas d'égos. Ça peut faire découvrir des métiers aussi. Mais de ouf, il y a des plus jeunes qui vont se dire qu'il faut revaloriser le métier de la main. Ça a pris tant de temps à éditer ! Arrête, t'es con !
[03:11:00] Speaker A: Mais non, mais moi je me suis dit ne ris pas, parce que c'est un métier que j'ai pratiqué quelques années. Ça ne m'a pas rapporté beaucoup d'argent.
[03:11:09] Speaker D: Et pourtant j'ai mal loupé ton coche !
[03:11:12] Speaker A: J'ai la tête qui tourne ! Et je sais pas pourquoi ! Le LSD commence à faire effet, c'est très mauvais ça par contre.
[03:11:27] Speaker D: Parce que le reste ça va, le crack c'est ok. Le LSD non, le crack ouais.
[03:11:34] Speaker B: C'est bien sûr faux, c'est une blague.
[03:11:37] Speaker D: C'est une blague, insert sur Youtube.
[03:11:39] Speaker A: Ne prenez que de l'héroïne. Rater. Buvez de l'eau, c'est bien. Pas l'eau des autres. Gardez votre bouchon.
[03:11:47] Speaker D: Le bouchon t'es sûre ? Toi il a sauté.
[03:11:51] Speaker A: Ça fait bien longtemps, même pas au plus tard ! La capsule est partie il y a très longtemps ! C'est parti loin, loin, loin, loin... Donc.
[03:11:59] Speaker B: Les métiers de la main.
[03:12:00] Speaker D: Voilà, les métiers manuels, on revient !
[03:12:03] Speaker A: Non, mais c'est bien de mettre ça en avant, effectivement, de pouvoir montrer ça aux plus jeunes qui découvrent éventuellement un métier qui pourrait leur plaire.
[03:12:09] Speaker D: Exactement.
[03:12:10] Speaker A: C'est pas parce qu'il y a une nouvelle génération qu'ils ne veulent pas faire un travail manuel. Parce que c'est vrai que ça a l'image de quelque chose qui est un peu moins glorieux que d'être ingénieur ou je ne sais quelle connerie. Peut-être plus en 2025.
[03:12:24] Speaker D: Bah c'est surtout qu'en fait ça c'est des métiers, t'as beau dire ce que tu veux, ça y est je parle comme une vieille conne mais c'est...
L'IA ne pourra jamais remplacer un souffleur de verre. Alors certes, il y a des machineries, etc. Ça se fait en Chine, pas de soucis. En Chine ou ailleurs, peu importe, nous sommes des personnes du monde, bien sûr !
[03:12:44] Speaker A: Ça va vite !
[03:12:46] Speaker D: Superbise, là je vous enchaîne, genre allez bam bam dans tous les sens.
[03:12:49] Speaker A: Moi je suis pas si mariée.
[03:12:54] Speaker D: Oui non elle est mariée quand même hein, mais... Elle fait ce qu'elle veut. Mais c'est vrai qu'il y a quand même la satisfaction de se dire bah on peut plus parler sérieusement, de toute façon tout ce que je dis c'est terrible maintenant.
[03:13:05] Speaker A: Mais non mais on a les fruits mal placés désolé.
[03:13:07] Speaker D: Oui mais moi aussi ! Du coup c'est mort, on peut rien dire, bon bref écoutez...
[03:13:12] Speaker B: On peut plus rien dire.
[03:13:12] Speaker D: On peut plus rien dire, c'est fou hein ! Mais bon, bref, tout ça pour dire que Craft, c'est vraiment une émission que j'aimerais vraiment développer de plus en plus. On a été voir le musée du cinéma aussi à Lyon, donc les coulisses, on a vu la griffe du vélociraptor. De quoi ?
[03:13:28] Speaker A: De la dernière soirée !
[03:13:29] Speaker D: Elle avait une griffe ? Ça devait être...
[03:13:34] Speaker A: Elle n'est pas sourde, c'est une sous-dongle.
[03:13:36] Speaker D: Ah oui, toi tu joues en mode hardcore du coup.
[03:13:39] Speaker A: Les gens vont imaginer des choses...
Chut.
[03:13:42] Speaker B: On ne parle plus, tu n'as plus le droit de parler.
[03:13:44] Speaker D: Moi non plus d'ailleurs, j'arrête.
[03:13:45] Speaker B: Bon bah alors c'est la fin de l'émission.
[03:13:47] Speaker A: Ben déjà c'est à toi de terminer. Mais il t'en a déjà parlé ! Il va te faire pleurer.
[03:13:58] Speaker F: Je suis perdu.
[03:13:59] Speaker D: Vous voulez un Xanax ? Oui. Crac ?
[03:14:01] Speaker A: Non.
Tu vas voir, ça va beaucoup t'aider ! C'est faux ! C'est une blague ! Bon en tout cas il faut suivre et puis il faut te soutenir dans ce projet là et donc aller voir déjà.
[03:14:17] Speaker B: Où est-ce qu'on peut retrouver les premiers épisodes que tu as fait ?
[03:14:21] Speaker D: Sur Twitch. Et d'ailleurs bientôt chaîne YouTube, je vais commencer les vlogs. D'ailleurs mon premier vlog sera le vlog déménagement parce que la Commu m'a gentiment offert une DJI Osmo 3 Pocket. Merci encore, merci beaucoup.
Donc du coup je leur ai dit bon bah du coup vlog déménagement, oui parce que je déménage dans deux semaines et je suis là à raconter des blagues, c'est pas comme si j'avais des cartons à faire.
[03:14:45] Speaker A: Puis tu vas à côté, on va peut-être pas dire où tu vas mais...
[03:14:47] Speaker D: Non mais de toute façon les filles, moi j'ai tout leaké à 7, à 8, entre 6 et 8. Montpellier, voilà, je vais parler avec l'accent du sud. Si un jour je reviens dans l'émission, je parle comme ça. Tu connais Dimmu Bordi ? Ça c'est avec Trinity, ça.
[03:15:05] Speaker A: On le dit aussi.
[03:15:10] Speaker D: Dimmu Bordi ?
[03:15:11] Speaker A: Bordi.
[03:15:12] Speaker D: Ah, Dimmu Bordi. Dimmu Bordi. Nous on voulait s'appeler Dimmu Bordi et Johnny Starfoula.
J'ai plus rien à dire, j'ai tout balancé.
[03:15:25] Speaker A: C'était très bien. En tout cas, mille merci d'être venu, d'avoir fait de ce moment un moment extraordinaire. J'ai ri. Moi quand je ris, je suis heureux.
[03:15:35] Speaker D: Moi ça me fait plaisir de rendre les gens heureux, c'est mon travail.
Merci beaucoup à vous, en vrai ça fait longtemps que du coup je vous connais de l'émission. J'avais vu Nils Sou, oui c'est Nils Sou. Nils se passer dans l'émission et puis effectivement Trini et c'est un vrai plaisir. Julien aussi il me semble ?
[03:15:53] Speaker A: Oui Julien est passé aussi.
[03:15:55] Speaker D: Julien, sacré Julien.
[03:15:57] Speaker A: Il est partout.
[03:15:57] Speaker D: Sur quoi il n'est pas passé j'ai envie de te le dire.
Mais oui voilà, écoute on reste dans le même thème, on glisse, on glisse, on glisse.
[03:16:08] Speaker A: Ah bah il y a les blagues potaches aussi.
[03:16:10] Speaker D: Exactement, c'est pour ça qu'on s'entend bien.
[03:16:12] Speaker B: L'autoroute est ouverte, les péages sont gratuits.
[03:16:15] Speaker D: Exactement, voilà.
[03:16:17] Speaker B: À fond, au fond.
[03:16:18] Speaker D: Et à l'époque. Mais non mais vraiment merci beaucoup, c'était vraiment très très cool, j'ai passé un excellent moment, vraiment. Même si la porte n'a jamais réussi à ouvrir la porte.
[03:16:27] Speaker A: Enfin maintenant tu sais où aller.
[03:16:28] Speaker D: Maintenant je sais où aller la porte.
[03:16:29] Speaker A: Et tu sais comment elle fonctionne.
[03:16:30] Speaker D: Oui c'est très classique comme une vraie porte. C'est une porte. C'est vraiment ce qu'il y a de plus classique. Merci beaucoup, merci infiniment et j'espère vous revoir.
Que ce soit dans un concert, au Hellfest, sur la plage... En vrai on fait une émission, quand vous voulez, on délocalise les gothiques à la plage.
[03:16:56] Speaker A: Avec un petit coquillage.
[03:16:58] Speaker D: Non mais par contre, il y aura vraiment une soirée God Club qui va arriver, parce qu'en fait c'était un donation goal du Téléthon Gaming de cette année. 2024. Et la Commu a pété le score et du coup on a une soirée God Club à organiser donc je vous inviterai. Par contre c'est latex obligatoire.
[03:17:19] Speaker A: Ça va.
[03:17:20] Speaker B: En full latex ?
[03:17:21] Speaker D: Comme tu veux, tu peux mettre un bonnet de bain si tu veux. Tant que tu viens pas déguisé en banane, ça va.
[03:17:28] Speaker A: Banane latex ?
[03:17:29] Speaker D: Non mais parce que véridique, les soirées gothes, il y a beaucoup de gens qui viennent en mode soirée déguisée. Toi t'es là, mec, moi j'ai joué, mon look c'est ma vie ça ! Toi tu viens déguisé en banane de Gifi, genre vraiment ? Mec, tu vas m'a respecter là ! On devait finir, mais on va jamais finir.
[03:17:47] Speaker A: Non mais ça m'intrigue, la banane en soirée gothique, mais qui fait ça ? Mais tu ne rentres même pas, t'as même pas le droit de rentrer.
[03:17:52] Speaker D: Torture Gardenne.
Voilà, Torture Gardenne.
[03:17:55] Speaker B: Visuellement c'est un peu une torture.
[03:17:58] Speaker D: Ah oui, mais bon, là, genre banane, non. En fait, il n'y a pas de latex. Encore banane à latex, oui. Banane en feutrine, non. Et oui, choisissez bien vos bananes. Voilà, exactement. Bref, traînez bien avec les bananes que vous avez choisies. Quoi ?
[03:18:19] Speaker A: Demandez-leur avant.
[03:18:20] Speaker D: Ouais, surtout.
Et faites du stop.
[03:18:23] Speaker A: J'ai un joint, il est perdu ! Regardez ce lapin avec un plein phare sur lui ! Mon âme, elle est partie depuis longtemps, je crois.
[03:18:35] Speaker F: Sans voler, elle est quelque part dans la pièce, si vous la captez.
[03:18:38] Speaker D: Bienvenue au club.
[03:18:40] Speaker A: Tu veux faire un t-shirt ? C'est 40 balles.
[03:18:44] Speaker D: Non, elles sont moins chères, 25.
[03:18:45] Speaker A: Ah bon, tu vois. Fais un effort.
Bon, merci beaucoup Enjoy The Noise aussi, ravi de t'avoir revu après ces moult semaines sans que tu sois là.
[03:18:59] Speaker F: Ça m'a manqué.
[03:19:00] Speaker A: Enfin plus maintenant, mais ça m'a manqué.
[03:19:03] Speaker B: Jusqu'À ce qu'il revive le truc et là il fait...
[03:19:05] Speaker F: J'ai envie de me mettre en position fétale dans un coin, voilà.
[03:19:09] Speaker A: Et c'est ce que nous allons faire juste après le dernier clip de cette émission. Mais pardon, merci beaucoup Ben pour tout.
[03:19:14] Speaker B: Merci à toi Pierre, pour tout.
[03:19:16] Speaker A: Ah bah, magnifique. Autant, on est tous merveilleux.
C'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est.
[03:19:22] Speaker D: Vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai.
[03:19:23] Speaker B: C'Est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est.
[03:19:25] Speaker A: Vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est.
[03:19:29] Speaker B: Vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, c'est.
[03:19:36] Speaker A: Vrai, c'est vrai, c'est vrai, c Eh.
[03:19:38] Speaker D: Bien, c'est une fin d'émission.
[03:19:40] Speaker A: Famous last words. Mais je change mes slips tous les jours quand même. À part quand je dors tout habillé.
[03:19:47] Speaker D: C'est dommage parce que ça, ça peut se vendre très cher. Tu sais qu'il y a un vrai business.
[03:19:50] Speaker A: Ils seront bien contents.
[03:19:52] Speaker D: En vrai, vente à culottes, let's go.
[03:19:55] Speaker A: Il y a venteaculottes.com ? Mais bien sûr.
[03:19:58] Speaker B: Mais si, VTC.
[03:20:00] Speaker A: Ah oui, c'est vrai. Ça existe encore ça ? C'est pas un vieux vieux truc ça ?
[03:20:04] Speaker B: Bah c'est vieux mais ça existe toujours.
[03:20:05] Speaker D: Il y a OnlyFans mais bon, c'est presque pareil quoi.
[03:20:08] Speaker A: C'Est celui qui va me permettre de rencontrer Azoulay et de jouer dans les mystères de l'amour. Oui, OnlyFan, je vais faire un OnlyFan sur Pépi.
[03:20:16] Speaker D: Tu fais ce que tu veux, tant que t'es heureux et que tu fais de mal à personne.
[03:20:20] Speaker A: Je peux essayer de parler avec mon cul aussi.
[03:20:24] Speaker B: Suivez OnlyFan slash LambouKanner.
[03:20:32] Speaker A: Ça lit deux choses, on vous l'a fait deviner.
[03:20:34] Speaker B: C'est plutôt l'embout quenné lui.
[03:20:35] Speaker D: Ouais l'embout quenné. L'embout en train, l'embout traîné.
[03:20:39] Speaker B: L'embout traîné ça lui va bien.
[03:20:41] Speaker A: L'embout traîné ça lui va pas mal.
[03:20:44] Speaker D: Je sais pas, on va jamais finir.
[03:20:45] Speaker A: D'ailleurs, je suis célibataire, je fais un appel si tu es grand, mais pas blond. Tu peux m'envoyer des photos, mais d'abord de ton visage, je préfère.
Même si le reste est très important. On y va, parce que là, j'en peux plus. Vous savez que chaque fin d'émission, on diffuse des clips de groupes français pour soutenir la scène française, la scène locale. Et cette fois-ci, alors, je voulais passer « Pledge Of » et j'ai « Hate ». Mais il n'y a pas de clip, je leur fais juste un bisou et je vous conseille d'aller écouter ce que font Pledge of Hate. Voilà comme ça j'ai fait un petit clin d'œil à ce groupe qui se donne beaucoup pour faire de la bonne musique et partager ça avec vous. Donc j'ai choisi un qui a un clip qui s'appelle Pledge of Silence. Voilà c'est du hardcore donc c'est pour finir avec une bonne patate dans la gueule, ça fait du bien. Pour vous réveiller juste avant d'aller dormir.
[03:21:34] Speaker B: J'ai l'impression qu'elle est à l'aise !
[03:21:37] Speaker A: Je ne sais pas s'ils seront contents d'avoir vendu le groupe comme ça, mais c'est vraiment très très bien. Pledge of silence. Non mais c'est vraiment excellent. Et le titre c'est Dreadful Horizon. Voilà, je vous le dis à la française parce que j'ai pas envie de faire des formes. Merci mille fois, bon courage à vous toutes et à vous tous. Demain c'est lundi, on sait c'est rude, c'est chiant de se lever, mais vous verrez, dimanche prochain ce sera merveilleux. Voilà tout simplement. Et puis suivez bien sûr notre ami. Tous les liens sont dans la description aussi de la vidéo pour ceux qui regardent en VOD. On applaudit, merci, au revoir !
[03:22:05] Speaker C: Au revoir ! J'en peux plus ! C'est parti ! C'est bon, c'est bon.
C'est parti !
[03:25:46] Speaker A: Un.
[03:25:51] Speaker F: Pour le caillou.
[03:25:55] Speaker B: Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir.
[03:26:15] Speaker D: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon... N'hésitez pas à vous abonner !