#43 - JUNON & Pascal Jaubert en invités

Episode 43 April 12, 2024 03:39:00
#43 - JUNON & Pascal Jaubert en invités
Bang!Bang! RSTLSS
#43 - JUNON & Pascal Jaubert en invités

Apr 12 2024 | 03:39:00

/

Show Notes

Dans cet épisode, on va multiplier les invités avec dans un 1er temps notre ai Pascal Jaubert qui viendra nous accompagner dans nos conneries et nous faire écouter des sons peu habituels le concernant. Viendra ensuite Arnaud et Florian du groupe JUNON qui au passage viennent de sortir un 1er album d'une qualité exceptionnelle : Dragging Bodies To The Fall. Entre nous, ce groupe est à voir absolument en live.

Ben, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:14] Speaker A: Ah, je vais le dire calmement. [00:00:16] Speaker B: BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG. [00:00:20] Speaker A: BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG. [00:00:23] Speaker C: BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG. [00:00:25] Speaker A: BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG. [00:00:29] Speaker C: BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG. [00:00:30] Speaker A: BANG BANG B C'est aussi ça le métal, c'est être bête, mais c'est aussi apprécier. Passez de la bonne musique, bienvenue à vous toutes, à vous tous, les bangers, vous êtes les meilleurs. Merci de nous rejoindre d'être de plus en plus nombreux et nombreux sur Youtube, on a dépassé les 2500. Oh là là, mais dis-donc, c'est plutôt pas mal. [00:00:49] Speaker C: Mais attention, qu'est-ce qu'on va devenir ? Des stars ? De toute façon, on est déjà des stars. On est des petites étoiles dans le firmament du fion. [00:00:59] Speaker A: Pour une fois, c'est pas moi. Je suis très content parce que pour une fois, c'est pas moi. [00:01:04] Speaker C: Toi, tu es calme aujourd'hui. [00:01:07] Speaker A: On va attendre un petit peu. Des fois, c'est les cheveux qui se redressent tout seuls. Il y a des effets, je sais pas. Le petit cœur rose que j'ai avalé par mes gardes fait que je vole un peu ! Ton cœur de haut-cœur ! En tout cas j'espère que la semaine s'est bien passée et que le week-end a été délicieux ! Ça c'est dans une autre langue mais je vous le dis pas à la gueule. [00:01:40] Speaker C: Ouais c'est vrai, ça peut se dire comme ça. En Finlande par exemple ? [00:01:44] Speaker B: Non. [00:01:44] Speaker C: En Islande par contre, on dit Jönön. [00:01:46] Speaker A: Ah ouais ? [00:01:47] Speaker C: Bah oui, le J c'est comme Björk. Tu dis pas Björk. Je crois que c'est clair, non ? [00:01:54] Speaker A: Quand ils font des phrases, par contre, ça n'a aucun sens. Déjà, il n'y a que des déconsonnes, ils font grrrr, et puis ils mangent des rochers qui viennent de la lave. On va être intelligents ce soir puisque le premier invité n'est autre qu'une personne de qualité qu'on a souvent reçue et qui aime dire des trucs méchants. [00:02:13] Speaker C: Là, il croit qu'on ne parle pas de lui, mais si. [00:02:16] Speaker A: Il a bien compris qu'on parlait de lui. C'est Pascal, bien sûr. [00:02:22] Speaker C: Je dois dire des trucs méchants ? [00:02:23] Speaker A: Non. Je ne suis qu'amour moi, je suis gentillesse. Ce qui est toujours intéressant c'est que tu dis que des trucs gentils hors antenne, par contre tu dis que des trucs méchants à l'entendre. C'est vrai, j'ai gardé cette image de dur alors qu'en vrai je suis... C'est l'image de dur et le mec a quand même un super t-shirt, j'espère que tout le monde sera ravi. C'est l'image de dur. Ah bah là c'est bien dur. En plus ça s'envole t'as mon gars. Et elle s'envole. La puissance. [00:02:46] Speaker C: Il donne des ailes. [00:02:48] Speaker A: Il y a bien sûr Enjoy The Noise avec nous, merci encore une fois d'être là et de nous supporter. [00:02:52] Speaker C: Merci, mes tympans disent moi merci, d'ailleurs mon audition baisse chaque semaine et donc. [00:02:56] Speaker A: Du coup il faut parfois que… Mais ça va toi aussi tu vas me dire que je gueule tout le temps ! Non mais sans déconner ! [00:03:01] Speaker C: J'étais pas là la semaine dernière parce que des fois il faut que je prenne un petit peu des vacances pour essayer de reconstituer la petite mécanique interne. Tu sais pourquoi je gueule ? [00:03:09] Speaker A: C'est pour t'habituer justement à l'été. Quand t'auras des cigales qui seront à côté de ta chambre, tu pourras dormir calmement. Ah oui mais... Parce que je suis ces cigales. Quoi ? [00:03:17] Speaker C: T'es suis des cigales ? [00:03:18] Speaker A: Ouais enfin bon bref, c'est une vague histoire. [00:03:20] Speaker C: J'espère pour toi que ce sera Steven. Oh là là ! [00:03:24] Speaker A: La plus belle description de l'émission, elle a l'air nulle. T'es jaloux ? Bon, cette semaine évidemment il s'est passé des tas de choses, on va en parler. Les news sont plutôt pas mal, donc vous allez peut-être vous régaler, il y aura de quoi dire. Mais il y a une exposition qui a commencé et ça il faut en parler tout de suite, c'est justement du côté de la philharmonie. Et c'est une exposition qui est exceptionnelle puisque personne n'attendait à ce que le métal soit défendu dans cet endroit et surtout en France. Il y a beaucoup d'éléments qui ont été récupérés d'une exposition de New York qui avait eu lieu il y a cinq ans et qui est assez folle avec des guitares, des trucs, enfin il y a quand même des objets de collection. [00:04:08] Speaker C: Bah oui, de toute façon toi t'as bien vu quand il y a eu ça. [00:04:10] Speaker A: Alors moi ce que j'ai préféré c'est le micro. Le beau pied. J'y suis pas du tout allé, mais ce que je vous raconte c'est tout ce que j'ai lu, tout ce qu'on m'a raconté. Je remercie les gens du feel good, je remercie les gens. Enfin ce qu'ils m'ont raconté après, je sais pas s'ils avaient raison. [00:04:26] Speaker C: En gros, moi je peux le dire parce que moi j'y suis allé, et du coup il y a pas mal de guitares de différents artistes. Il y a des tenues de scène, des accessoires de scène, il y a des masques, des casques, des chapeaux, des... [00:04:42] Speaker A: Voilà, par exemple, des sandales. [00:04:43] Speaker C: Non, non, t'as Buckethead, par exemple. [00:04:47] Speaker A: D'accord, ok. Ça c'est parce qu'il a confondu, il y avait des popcorns avant. [00:04:49] Speaker B: C'est un pot de KFC. [00:04:50] Speaker A: Ah, c'est des KFC ? Bah, c'est Buckethead, c'est KFC. Ah ouais, Buckethead, putain. Bah oui. [00:04:55] Speaker C: T'avais des guitares de qui ? [00:04:57] Speaker A: Y'a Steve Vai je crois, guitare de Steve Vai. [00:04:58] Speaker C: Steve Vai, Satriani... Y'a Libanèse... [00:05:04] Speaker A: Je sais pas où... Y'a Libanèse, c'est quoi ça ? J'ai pas dit LA Libanèse. [00:05:08] Speaker C: Excuse-moi mais déjà c'était plutôt en confusion apparemment. Le mien est confusant. Il y a des accessoires pour les artifices de Rammstein, par exemple. Il y a des tenues de scène. On peut voir le pied de micro de Johnathan Davis, designé par Guiguerre. Le pied de micro de Johnathan Davis de Guiguerre ? Ah oui, d'accord. [00:05:28] Speaker A: Ok, génial. Il m'a envoyé des photos, c'est pour. [00:05:31] Speaker C: Ça que je le sais. Apparemment, pour la petite histoire, il y a un CD de Fruits de l'Arbéliole, l'album de Limp Bizkit. Apparemment, il devait avoir la casquette et finalement, la casquette rouge n'est pas arrivée. Et du coup, ils ont mis un CD et j'ai trouvé ça un peu triste. Mais sinon, t'as une platine de Linkin Park, t'as des trucs de scène, t'as des masques des mecs de goare. Enfin, il y a vraiment plein de choses. [00:06:00] Speaker A: Il n'y a pas des... J'allais poser la question. On en parlera en montagne, on reviendra dessus. [00:06:05] Speaker C: Non mais si, il y a des trucs de Limy. [00:06:07] Speaker A: Non mais il y a aussi... C'est marqué, le nom de l'exposition, putain je l'ai oublié. [00:06:12] Speaker C: Diabolos in Musica. Diabolos in Musica, c'est ça. [00:06:14] Speaker A: Non, c'est pas ça que je voulais dire. C'est pas ça que tu voulais dire, pardon. Mais c'est pas grave. [00:06:18] Speaker C: En tout cas, c'est bien. En fait, en gros, voilà, ça retrace un peu l'histoire du métal. Ça explique un peu... Il y a un côté un peu sociologique du métal et ça explique aussi les choses importantes. [00:06:30] Speaker A: Les rituels et les mythes, c'est ça. [00:06:31] Speaker C: Voilà. D'accord, oui. C'est pas juste un hors-droit de café sans les burgers, quoi. Voilà. Non, non, non, non. [00:06:36] Speaker B: Ok. [00:06:37] Speaker C: Et il n'y a pas de café non plus d'ailleurs. Non mais voilà, il y a des expériences de commencer quand on est dans un pit avec de la vidéo. [00:06:44] Speaker A: Ah alors t'as des vidéos ? T'as pas genre, c'est un gars qui. [00:06:47] Speaker C: Se met dans la pièce, ils viennent. [00:06:48] Speaker A: Ils te rendent de l'argent. Merci, merci. [00:06:53] Speaker C: Gratos. [00:06:54] Speaker A: C'est en 4D. [00:06:57] Speaker C: Cinq avec les odeurs, on va génial ! Non, il n'y a pas ça. T'as même un jet de sueur et tout. Non mais franchement, c'est très sympa et je pense que c'est aussi intéressant pour des gens qui sont curieux mais qui ne sont pas... Oui, ça peut être. [00:07:11] Speaker A: Vu par des gens qui n'écoutent pas du métal. [00:07:13] Speaker C: Exactement, voilà. S'ils veulent s'intéresser, un peu comprendre pourquoi on aime le métal, voilà. [00:07:19] Speaker A: Ça marche quand tu sors de l'expo, tu trouves que toi qui l'as vu, ça représente assez bien pourquoi, par exemple, toi, t'aimes le métal. [00:07:24] Speaker C: Franchement, j'ai trouvé ça moins... Ce qui est bien, c'est qu'ils abordent le truc de manière très générale. On n'est pas dans les clichés, donc il y a forcément des trucs, mais t'as vraiment l'impression d'être dans un musée quoi. Ça fait pas truc cheap, c'est pas caricatural. C'est comme l'exposition qu'ils avaient faite il y a quelques années sur la musique électronique qui était justement très riche, c'était vraiment de la belle mise en avant, donc là ça a l'air d'être J'avais pas vu celle-là, mais elle était très bien. Après, je trouve qu'on connaît beaucoup la musique et puis nous, en plus, on a eu l'occasion d'aller parfois en backstage et tout ça. Bon, t'as moins d'étoiles dans les yeux, mais je pense que quand on est fan et qu'on connaît pas trop l'envers du décor, c'est intéressant de voir des trucs comme ça. [00:08:21] Speaker A: Et de pouvoir s'approcher de ce genre d'objet aussi. [00:08:24] Speaker C: Typiquement, les bas de Ramstein, t'as l'arc où il y a des artifices, t'as le canon avec lequel ils tirent, et du coup tu vois comment c'est fait ces trucs moulés en aluminium. et tu vois qu'il y a toutes les arrivées pour les câbles électriques. Enfin, tu as toutes les arrivées électriques pour où tu branches les pétards. Donc tu vois que c'est le vrai truc. Il y a aussi des très jolies photos, des artworks et des trucs comme ça. Franchement, c'est très, très sympa à voir. [00:08:53] Speaker A: Et pour la première journée, il y avait un monde de pas possible. [00:08:56] Speaker C: Pour l'inauguration, c'était blindé. Après, il y avait de l'alcool gratuit. [00:09:00] Speaker A: Alors ça, on ne va pas se forcer. [00:09:03] Speaker C: C'est quand même le style de musique où on dit qu'il y a de. [00:09:06] Speaker A: L'Alcool gratuit alors là, c'est vraiment bien. [00:09:09] Speaker C: Il y avait un bar bière, un bar whisky, un bar soft. Je peux dire que les softs, il n'y avait pas la queue. [00:09:14] Speaker A: C'est vraiment le truc... Pourquoi le bar il marche pas là-bas ? Du coup à la fin ils ont. [00:09:21] Speaker C: Mis la bouffe à côté des softs, ils ont dit bon, quitte à ce que... Faut pouvoir utiliser tous les stations. Bah voilà, ils ont dit bah là au moins les gens pourront y aller. [00:09:27] Speaker A: Ouais ouais, bon après ça, ça marche pour tous les journalistes. [00:09:33] Speaker C: Là il n'y a pas beaucoup de journalistes. [00:09:37] Speaker A: Il y avait Benoît qui était là. C'est un journaliste sérieux qui fait bien son travail. [00:09:43] Speaker C: Il était là avec sa fille donc bon. [00:09:48] Speaker A: Bah c'est bien. [00:09:48] Speaker C: Oui bah c'est bien. Je pense qu'elle a bien aimé découvrir le whisky. [00:09:53] Speaker B: Ok. [00:09:54] Speaker A: J'allais dire le nom de son média mais du coup j'ai peut-être regardé son média. [00:09:58] Speaker B: C'est faux. [00:09:59] Speaker C: C'est faux. Il s'en est très bien occupé. Après il l'a emmené manger je sais pas où. [00:10:04] Speaker A: Est-ce que vous avez fait des concerts cette semaine ? [00:10:07] Speaker C: Alors moi j'ai fait un concert mais je suis allé à la dernière de Marie-Flore à Noisy-le-Grand. Marie-Flore, une artiste de pop française, qui écrit des textes qui sont vraiment acerbes. Et ce qui est très drôle, c'est qu'elle est hyper dépressive, c'est quand même une musique de dépressive 10 000, mais sur scène elle est très drôle. C'est limite, quand elle présente ses chansons, on est proche du stand-up. Et c'est vraiment... Enfin c'est pas... Et après la chanson. [00:10:38] Speaker A: Derrière est déprimante quoi. [00:10:39] Speaker C: Ah ouais ouais. Mais après c'est... [00:10:42] Speaker A: Il y a un peu d'humour quand même non ? Ah oui. [00:10:43] Speaker C: Enfin d'humour c'est... Non mais après les musiques, il y a des musiques qui sont assez entraînantes mais c'est toujours un peu sur la tristesse quoi. Je peux pas vous dire... [00:10:52] Speaker A: Je sais pas, probablement que tous les comics sont un peu comme ça, c'est un peu des dépressifs. [00:10:56] Speaker C: Non mais elle est pas comique à la base. [00:10:57] Speaker A: Mais ce qui est drôle c'est que du coup... Allez je me tourne vers lui là. Non mais ce qui est drôle c'est. [00:11:01] Speaker C: Quand du coup en live tu découvres une autre facette de la personne parce que quand t'écoutes que les albums tu fais ah ouais c'est vraiment des pressos et en fait en live... [00:11:09] Speaker A: En live tu te dis ah maintenant ça va en fait ça la fait Marie c'est bon, moi je peux rire. [00:11:11] Speaker C: De la dépression moi aussi allez quoi. Ouais exactement. Non mais il y a vraiment un truc très décomplexé et la fin le dernier morceau... [00:11:19] Speaker A: Elle achut une caisse. [00:11:20] Speaker C: Non non ! Non non mais ça part en trans... [00:11:22] Speaker A: Ça s'appelle tirer sur mon doigt. [00:11:24] Speaker C: Ça part en trans Goa Jean-Michel Jarre machin. Et t'es là tu fais ouah ! Et tu vois que sur scène ils font ça pour se marrer et du coup ça marche vraiment quoi. Voilà. C'était le dernier donc vous pouvez pas aller la voir mais voilà. Ah bah c'est con. Merci Marie-Flore. Y'a un nouvel album qui arrive, elle leur offrait une tournée. Elle a fait l'Olympia l'année dernière, donc. [00:11:47] Speaker A: Je pense que... Ah oui, ça tourne bien. [00:11:50] Speaker C: Ah oui, elle a fait 90 dates en deux ans, c'est pas mal. [00:11:54] Speaker A: Vous avez vu un concert ? [00:11:54] Speaker B: Non. [00:11:55] Speaker C: Pas cette semaine, non. [00:11:56] Speaker A: D'accord, parce que lui il fait plein de concerts. Tant que c'est pas gratuit, t'y vas pas. Non, le dernier c'était il y a 15 jours, je suis allé voir Meshuggah à Varsovie, Krakow. Est-ce que le public local est un peu plus violent que le public français ? Alors il n'est pas plus violent, mais comme il est beaucoup plus solide sur ses appuis, quand il est devant toi, tu peux pas... [00:12:17] Speaker C: C'est très difficile de rejoindre le... [00:12:21] Speaker A: C'est vrai que la diversité c'est pas leur fort. [00:12:23] Speaker D: Vraiment. [00:12:24] Speaker A: C'était pas du tout... Ça change par rapport à ici où finalement les salles sont très diverses. Non là-bas vraiment il n'y avait pas de représentants d'autres communautés que les blancs-chauves avec pas de cou. Et vraiment, non mais très difficile, à Varsovie j'étais coincé devant des gars et j'ai pas pu le passer, moi j'aime bien aller devant, là j'ai pas pu. [00:12:51] Speaker C: C'était pas possible. Est-ce qu'ils t'ont demandé si tu travaillais au Point Soleil ? [00:12:57] Speaker A: Non, je n'ai pas compris, tu sais. [00:12:58] Speaker C: Je ne parle pas la langue, donc. [00:13:00] Speaker A: J'Ai mis Gine Dobré et puis c'est tout quoi, le reste je n'ai pas trop bien su. Non, juste Gine Dobré, juste. [00:13:08] Speaker C: Mais c'était très sympa, c'était très sympa. [00:13:09] Speaker A: Par contre, c'était vraiment, comme d'habitude, aucune finesse, voilà, très... Dans ta gueule, son et lumière, et voilà. [00:13:16] Speaker C: Ah puis ce qui est bien, c'est la chaleur, vraiment, c'est vraiment ce truc. Meshuggah, c'est vraiment ça. [00:13:20] Speaker A: Ouais, c'est chaleureux. C'est de l'amour. Ouais, vraiment beaucoup d'amour. Non mais c'était très bien, vraiment, très très bon concert. Alors moi j'ai été voir un truc qui n'est pas métal non plus, mais qui est post-punk. Je suis ravi de pouvoir passer un clip de ce groupe-là parce que je me suis dit, tu sais c'est le moment ou jamais de passer du post-punk dans cette émission et de faire chier l'intégralité des gens sur la planète. [00:13:38] Speaker C: De toute façon, tu sais Pierre, le post-punk ça y est, là maintenant j'ai entendu le dernier titre de Gesaffelstein. [00:13:42] Speaker A: Ah c'est du post-punk aussi ? C'est du post-punk. Non c'est pas possible. [00:13:45] Speaker C: Si si, je vais te faire écouter, tu verras. C'est hallucinant. [00:13:48] Speaker A: Bon là c'est du post-punk joyeux, ça s'appelle Yard Act, c'est au cabaret sauvage, post-punk gay du coup. Un petit peu, c'est très coloré aussi, je propose aux gens d'aller voir, mais cette fois-ci ils étaient pas si drogués que ça, donc du coup c'était plutôt pas mal, ça a vraiment bien joué, les gens étaient très très heureux, c'était très varié le public aussi parce qu'il y avait des métalleux, des gros métalleux, et il y avait des gens, tu sais ceux qui portent des cervelles, j'ai pas trop de mots. [00:14:17] Speaker C: Je vois pas. [00:14:17] Speaker A: On regarde le clip, c'est ça ? Mais du coup, je suis un peu gêné. Non, non, c'était très très bien et je conseille à tout le monde, si vous aimez ce clip, de le regarder. C'est très festif aussi. Vraiment, on a envie de s'amuser. Et on regarde donc un clip de la chanson qui s'appelle « When the Loafter Stops », si je le dis correctement. [00:14:32] Speaker C: « Loafter ». [00:14:32] Speaker A: « Loafter ». Avec Katie Jeperson, que j'aime aussi beaucoup. Donc voilà, Yard, Act. [00:14:37] Speaker B: Bienvenue dans « Bang Bang ». J'ai une délivery pour toi, boss. Je vais laisser ces clowns pour que tu saches comment ils sont arrivés ici. [00:15:08] Speaker A: C'était la chance de ma vie. J'ai dit, s'il y avait des conditions pour que ce rôle arrive, je n'allais jamais travailler un autre jour dans ma vie. [00:15:35] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org So if you can replicate my past success With casting from the same subset Of. [00:16:24] Speaker A: Men whose fleeting failures are all they ever knew With a straight face beyond. [00:16:29] Speaker B: Repair Digging a grave of nil despair. [00:16:31] Speaker A: Between the crosshairs of a crop that never grew We pay no respect to. [00:16:37] Speaker B: Common intellect And watch the insects suck. [00:16:40] Speaker A: The marrow from the bone For when we go back to our proper jobs. [00:16:45] Speaker B: And realize the laughter stops I need to know my chance was fully blown You dry your eyes at the gates I hear they're struggling The story's that you're juggling The fear must be funneling Buried till you pour away Pain is such a funny thing Time's up, don't be scared Head down, no comment It's just a matter of opinion To the last syllable of recorded time And all our yesterdays have like fools the way to dust and death. Out, out brief candle! [00:18:10] Speaker A: Full of sound and fury, signifying nothing. Ben ça me rappelle ma soirée ça, j'ai fait la même tête à un moment, j'avais ma cheveux un peu plus serrés. Il n'y avait pas de flammes. Dans mes yeux oui, mais en danger non. [00:23:22] Speaker C: Moi ça me ferait rire si ça m'était pas en danger de ta santé Pierre. [00:23:25] Speaker A: Ben c'était pas ma santé qui était en danger, c'était mon imagination. [00:23:28] Speaker C: Ah oui d'accord. Je reconnais, il va encore falloir leur tirer des dents dans pas longtemps. [00:23:35] Speaker A: En tout cas, elles sont bien lisses. [00:23:41] Speaker C: Une fois t'es allé chez le dentiste et il t'a dit, je me souviens, tu m'as raconté, il m'a fait « Ah mais vous êtes pas Aztèques ? » Parce que c'est vraiment l'alignement des dents, c'est comme les pyramides Aztèques là, on peut pas y glisser une feuille, on voit pas l'espace entre les. [00:23:58] Speaker A: Dents. Ce qu'on vient de regarder et de découvrir, parce que je ne connaissais pas ce groupe là, c'est Rzn. [00:24:11] Speaker C: C'est un groupe qui fait pas mal sensation dans la scène Doom depuis 2017, depuis leur premier album, donc c'est un groupe américain, ils sont de Chicago. Donc bon gros riff qui tronçonne avec pas mal de psychédélisme mais bon vous aurez vu c'est pas le psychédélisme rigolard à la weed et tout, non c'est plutôt le psychédélisme de rites aux grands anciens, enfin les trucs chelous quoi. Avec des vieux acides un peu frelatés. Comme dirait Zao, c'est chelou. Mais ouais, groupe qui tourne pas mal et qui va sortir un album, je crois que c'est le 14 juin, un album qui va s'appeler Burden et qui a été enregistré en même temps qu'un autre album qui est sorti l'an dernier qui s'appelait Solace. Alors Solace, c'était censé être l'album un petit peu plus léger, on va dire. Léger, on s'entend hein, ça reste le... Voilà, et donc Burden, donc celui qui va sortir, apparemment c'est les morceaux les plus lourds de toute la session. Donc voilà, un petit aperçu... Et ça c'est de l'album qui va sortir ? Voilà, ça c'est de l'album qui va sortir, ce sera le... Si je me souviens bien, j'ai regardé un peu la tracklist, ce sera le morceau de clôture celui-là. Ça va se terminer avec ça. [00:25:26] Speaker A: Ah bah on voit bien que le monsieur là à la fin c'est la femme. C'est la femme. C'est Dodo. Il est brûlant. C'est un peu trop de notion. Non mais c'était très bien, moi j'ai bien aimé. Pourtant c'est pas mon genre musical. [00:25:38] Speaker C: C'est vrai. C'est quoi ton genre ? Tu peux nous expliquer ? [00:25:41] Speaker A: Mon genre sexuel ou mon genre musical ? Bon on va enchaîner. Parce que les deux c'est compliqué. Tu sais même moi je m'y suis perdu. [00:25:49] Speaker C: Je me souviens. [00:25:54] Speaker A: Ce soir il y a Pascal et donc Pascal comme d'habitude je te demande de choisir des chansons parce que normalement tu passes des choses aussi que moi je ne choisis pas parce qu'on n'a pas les mêmes goûts musicaux à part Death Note, Korn, on a une partie quand même mais c'est vrai qu'il y. [00:26:07] Speaker C: A un tronc commun. [00:26:09] Speaker A: Mais après j'aime bien, comme toi, aller dans des contrées parfois inexplorées. Ah oui ? Je les ai trop communs. Je suis désolé, il fallait que ça passe. Merci, tu m'as entendu. [00:26:20] Speaker C: Elle est sortie comme ça. Après au niveau des contrées inexplorées, toi t'en as exploré quand même pas mal des contrées. [00:26:27] Speaker A: J'ai beaucoup voyagé au Maroc. Dans l'Atlas on rencontre plein de gens. [00:26:32] Speaker C: Choukran le roi du Maroc. [00:26:35] Speaker A: Mais d'ailleurs on lui a dit. [00:26:36] Speaker C: Bah on l'a dit plusieurs fois. On lui a pas payé le rosé mais... [00:26:42] Speaker A: C'était pas loin. Bah oui, c'est vrai. Mais on ne rentrera pas dans les détails bien sûr. Ce qui est vrai c'est que tu as choisi Igor. Igor. Avec le titre parpaing. Je lui ai aussi dit un truc tout en finesse. [00:26:57] Speaker C: Alors Pierre, s'il te plaît, dis-le bien. [00:26:58] Speaker A: Parpaing. Je connais très peu Igor, mais dans ce titre, il y a Georges de Cannibal Corpse et moi je suis un très très grand amateur de Cannibal Corpse. Ce titre-là, quand je l'ai entendu, parce que j'ai quand même écouté un petit peu, fait comme semblant de travailler, c'est marrant parce que Igor, je ne voyais pas ça du tout comme ça. Pour moi, ce n'était pas comme ce titre. Bah ouais moi non plus et c'est pour ça que quand j'ai découvert ce. [00:27:20] Speaker C: Titre j'ai fait ah c'est bien et du coup j'ai écouté Igor que je. [00:27:22] Speaker A: Trouve assez sympathique, enfin c'est des expérimentations, c'est vraiment très très cool, c'est hyper original, hyper varié et du coup j'ai choisi un titre pas du tout varié avec Georges de Cannibal Corpse à la voix donc quelque chose de parpaing quoi. [00:27:35] Speaker C: Le titre correspond à ce qu'on entend. [00:27:36] Speaker A: C'est vraiment pan quoi. C'est-à-dire qu'il faut choisir un nom valable ? [00:27:42] Speaker C: Ouais c'est assez chouette. Ça me rappelle le groupe qui s'appelait les Pus du Cul. C'est pas une blague de moi, c'est Wayne Swirl. [00:27:53] Speaker A: C'est drôle quand même. Il y a plein de groupes français qui ont des noms magnifiques. [00:27:55] Speaker C: C'est vrai. [00:27:56] Speaker A: On ne va pas les citer. [00:27:57] Speaker C: Psycho of Death ? [00:27:59] Speaker A: Par exemple. Hier soir j'ai croisé un brésilien qui m'a dit « je ne connais pas trop les groupes français mais je connais Igor ». Il te l'a dit comme ça ? Non, il a dit « ». Je ne suis pas trop sûr que ça fasse. [00:28:12] Speaker C: T'es sûr qu'il connaissait pas Igor Cavallera des fois, non ? [00:28:15] Speaker A: Non, je lui ai dit, moi quand tu me dis Igor, j'ai cru qu'il parlait d'Igor Cavallera, mais après il était très fier d'Igor Cavallera. Par contre, on a parlé, il m'a dit, tu connais ce reportage sur le foot ? Je lui ai dit stop. [00:28:25] Speaker C: Ça suffit. [00:28:25] Speaker A: Et il s'appelle Carlos, donc big bisous. C'est excellent en fait. Je me suis dit hier soir, oh. [00:28:36] Speaker C: Putain, garde-la en tête ! Parce que c'est ça qui me fascine. [00:28:38] Speaker A: Aussi, c'est quand il parle des groupes qu'il connaît, lui, tu vois, il regarde pas trop ses notes, il sait. Et je me dis, mais comment il fait ? Parce que moi, il faut que j'écris tout et en plus j'écris mal. [00:28:47] Speaker C: C'est surtout que généralement t'écris des blagues. [00:28:49] Speaker A: Et après tu fais « Ah j'ai. [00:28:51] Speaker C: Oublié de la faire ! [00:28:52] Speaker A: » Et puis d'un seul coup je la sors et ça n'a plus aucun sens. [00:28:54] Speaker C: Et puis faut pas la sortir n'importe où non plus. [00:28:57] Speaker A: On est à Paris. [00:28:59] Speaker C: Ni devant n'importe qui. C'est surtout ça. [00:29:01] Speaker A: Ah ça c'est vrai que je l'ai appris. [00:29:05] Speaker B: Bye bye Facebook ! [00:29:09] Speaker A: Trop de private jokes, bon je peux pas expliquer là, c'est trop long. On va regarder les anciennes émissions. Et puis si vous tapez Bring the noise... Non, pas ça. Ok, ben on va regarder ça. T'as rien d'autre à dire là-dessus ? Non, malheureusement non, je suis pas calé en anecdotes. C'est un groupe que je n'ai jamais vu en live, Igor. Et je me demande, enfin, si DJ est belge. [00:29:29] Speaker C: Je suis très curieux parce que j'ai. [00:29:30] Speaker A: Vu 2-3 vidéos YouTube, il est quand même avec des machines et tout. Il y avait genre un batteur, un guitariste. Et je me dis, mais c'est bizarre, qu'est-ce que... Enfin tu vois, quelle est la part de sample, quelle est la part de... Il y a un certain nombre d'années. Il y a peut-être une évolution, je ne sais pas, je ne connais pas assez. [00:29:47] Speaker C: Il y a aussi pas mal de featuring. Du coup, selon les feats, ça les emmène dans des nouvelles contrées sonores. Et puis en live, généralement, c'est machine, batterie, et puis chanteur, chanteuse aussi, pour tous les registres. [00:30:03] Speaker A: Ok, bah très bien, on va regarder ça tout de suite. Alors le clip, bon... Il y a plus intéressant. Ils ont enregistré la batterie, ils ont filmé et puis c'est tout. Il n'y a pas de plus, c'est sympa. [00:30:16] Speaker C: Il y a un petit passage jeu vidéo aussi je crois, je ne sais plus. Le rappellement du clip je crois. [00:30:20] Speaker A: Le clip m'a tellement plu. Mais vous allez sûrement vous régaler. [00:30:23] Speaker C: C'est bien vendu. [00:30:26] Speaker A: Non, ce soir elle a fait que des choix merveilleux. Je me suis dit, tu sais quoi, je vais bien les laisser pour bien lui péter la gueule. [00:30:31] Speaker C: Bon bah on va y aller, pendant. [00:30:34] Speaker B: Que vous vous battez ! La guerre, c'est quoi vos choix ? Et la mort, c'est ce que j'ai besoin maintenant, pour que je puisse te rencontrer en vie ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org The. [00:35:25] Speaker A: Wait is over We send things in. [00:35:27] Speaker B: Motion Ten decades of failure Resilience and twisted emotion Musique d'ambiance Musique de générique de fin On force, l'entraînement ! [00:39:20] Speaker A: Oh que c'était beau, oh que c'était beau ! C'était mignonné ! Los disidentes de fusión motel ! [00:39:27] Speaker C: Il faut dire qu'à l'époque de Bring the Noise, tu faisais ça à chaque fois parce qu'on les a beaucoup beaucoup passés dans Bring the Noise. [00:39:33] Speaker A: Ben oui, parce qu'on aime beaucoup ce qu'ils font. [00:39:35] Speaker C: Et ça t'avait manqué de pouvoir le faire ! [00:39:40] Speaker A: Ah putain j'ai pu faire mon accent là, super ! [00:39:45] Speaker C: Ah mais t'étais magnifique ! [00:39:47] Speaker A: Ah non mais impeccable, vraiment ! [00:39:48] Speaker C: Comme toujours Pierre, t'es merveilleux ! [00:39:51] Speaker A: Chapeau ! C'était flawless ! [00:39:52] Speaker C: Hats ! Hats, comme on dit en anglais ! La chanson s'appelle « Buōshi » en japonais. [00:40:00] Speaker A: Non parce que j'ai plein de choses qui me viennent à l'esprit, plein de choses que je ne peux pas dire. [00:40:04] Speaker C: « Buōshi » ? [00:40:05] Speaker A: Non, non, non, c'est pour... Non mais arrête ! C'est hyper chaud, je crois que j'ai une remontée. Blood Planet donc en acoustique, version acoustique. [00:40:16] Speaker C: Blood Planet Child même si. [00:40:17] Speaker A: Ah bah j'ai mis que Blood Planet. Blood Planet Child, voilà. [00:40:21] Speaker C: Eh Sénard, d'habitude t'as fait que la moitié du boulot, là t'as fait les deux tiers. [00:40:23] Speaker A: Il y a une belle avancée. Si on regarde, ça fait un sacré grand pourcentage de... [00:40:29] Speaker C: Un sacré grand brut de travail en plus fait. [00:40:32] Speaker A: Tu te moques de ça parce que je suis polonais ? Non. Non mais on disait qu'on n'avait jamais entendu ce groupe en acoustique. [00:40:41] Speaker C: Tout à fait. [00:40:42] Speaker A: Alors c'est vrai que ce que t'as dit, bon... Moi je trouve qu'il y. [00:40:45] Speaker C: A un petit côté Stone Sour dans cette chanson un peu... [00:40:48] Speaker A: Alors c'est vrai que quand tu l'as mis, effectivement, quand on l'entend après on se dit « Ah oui, t'as complètement raison ». [00:40:52] Speaker C: Enfin Stone Sour ou Slipknot. Mais d'ailleurs c'est sur le dernier Slipknot. [00:40:56] Speaker A: Où il y a un titre magnifique. Il y a Vermilion. [00:40:58] Speaker C: Non mais il y a un titre acoustique sur le dernier Slipknot. [00:41:01] Speaker A: Mais le dernier Slipknot c'est un album acoustique, non ? Le dernier, c'est un chauffard. [00:41:06] Speaker C: Le bourrin, c'est juste parce que comme c'est moins bourrin qu'avant... C'est pas moins bourrin, c'est... [00:41:11] Speaker A: Enfin, c'est pas bourrin, c'est... C'est éteint. Mais ils font des titres, quand même. Mais ceci dit, ils font des titres acoustiques, et six, Vermillion, c'est sur le troisième album. Donc ça fait longtemps. Ils en font plus longtemps. [00:41:20] Speaker C: Ça fait tout plus titre de... Acoustique de Slipknot. [00:41:24] Speaker A: Ah, tu trouves ? [00:41:24] Speaker C: Ouais, je vois ce que tu veux dire. C'est aussi les arrangements, je pense, la manière dont c'est un peu fait. [00:41:29] Speaker A: Bon et puis il y avait le côté, moi le côté... Violoncelle ? Ouais, ça m'a fait penser à Apocalyptica aussi. Au début je regardais pas qui mais j'ai fait... [00:41:39] Speaker C: C'est parce que t'as pas de rêve de violoncelle. [00:41:40] Speaker A: Bah non. Ça m'a quand même fait penser à Apocalyptica. [00:41:45] Speaker C: Le violoncelle ça me fait penser à Rostropovich... Qui ? C'est quoi ces noms là ? [00:41:50] Speaker A: J'ai bien l'impression qu'ils viennent de chez moi tous ces gens-là. Mais non, c'est très joli, ça fait partie de quoi ? Ils ont sorti quelque chose ? [00:41:59] Speaker C: Bah ouais, parce que du coup, Los Dissidentes del Sociomotel, groupe strasbourgeois, c'est du stoner à la base. Et en fait, ils ont sorti en décembre dernier un EP tout acoustique de reprises de morceaux qu'ils avaient déjà sortis, donc c'est des réadaptations. Là, par exemple, Blood Planet Child, c'est un morceau qu'ils avaient sorti en 2021 dans leur album Polaris. Donc, aperçu de ce que donne cet EP qui est disponible depuis quatre mois maintenant. [00:42:23] Speaker A: Par contre, il faut qu'il fasse attention, il n'y avait pas de sécurité sur ce tour. [00:42:26] Speaker C: Oui, mais le risque de chute... Attention à la marche, comme dirait Jean-Luc Reichmann. [00:42:33] Speaker A: Faut perdre le zizipote ! [00:42:41] Speaker C: J'adore parce qu'il a les petites rêves. Moi je connais le nom de l'émission, mais après je sais pas le truc des zizipotes. [00:42:48] Speaker D: Le zizipote ? [00:42:50] Speaker C: Ah oui, les potes qui sont les points en fait. Je connais pas ça moi. [00:42:53] Speaker A: Mais par contre j'adore l'implicité. [00:42:57] Speaker C: Toi t'as des zizipotes ? [00:42:59] Speaker A: J'ai plein de zizipotes. [00:43:02] Speaker C: Par contre, il pose des questions coquines. [00:43:06] Speaker A: C'est toujours des moments agréables. C'est pour ça qu'ils sont agréables. C'est tout ce que tu voulais dire sur la fin. Gros bisous. Merci d'avoir choisi ça. Et maintenant c'est les news ! [00:43:17] Speaker B: C'est l'heure du Flash Back News ! [00:43:23] Speaker A: Ok, on commence avec... C'est vraiment le meilleur. [00:43:28] Speaker C: Le jingle est vraiment... Oh, je suis médusé. [00:43:33] Speaker A: On va commencer avec Ghost pour te faire plaisir Ben. Je sais que c'est un groupe qui est au top de l'ordre. [00:43:38] Speaker C: Ah, Ghost, j'adore. S'ils pouvaient disparaître comme des petits fantômes. [00:43:40] Speaker A: Eh bien écoute, ça tombe bien parce qu'ils vont sortir un film. Ça va sortir dans pas très longtemps. [00:43:44] Speaker C: Attends, est-ce que c'est réalisé par le. [00:43:47] Speaker A: Chanteur de Townstyle ou pas ? Non, mais dès que t'as dit ça, j'ai compris la blague. [00:43:54] Speaker C: On en parle toutes les semaines de cette histoire sanglueuse. On va voir si ça sera réalisé par Fred Dorst en fait. Ah bah là par contre j'achète. Je prends deux places directes. [00:44:04] Speaker A: Alors ça va sortir dans tous les cinémas, je croyais que c'était encore un concert. Souvent maintenant les groupes ils passent des concerts dans des cinémas, ce que je trouve être un concept de merde. Non mais t'as le droit, vous en pensez ? Non mais c'est... Ah totalement, totalement, aucun intérêt. [00:44:15] Speaker C: Surtout que dans 95% des cas, je pense que le son est réenregistré pour que ce soit vraiment parfait et qu'il n'y ait pas le moindre... Ah oui. [00:44:23] Speaker A: Oui, donc le fait qu'il n'y a plus aucun intérêt. Ah non, non, on connaît un peu le business de toute façon. [00:44:28] Speaker C: On peut dire, sans se mouiller, que 95% des DVD live que vous achetez, ce n'est pas le son du concert. Ça repasse au studio, heureusement. [00:44:40] Speaker A: Mais bon c'est quand même gentil d'en parler pour les images. [00:44:43] Speaker C: Ou heureux en français. [00:44:45] Speaker A: En tout cas voilà ça va être un vrai film, il y aura des extraits de deux concerts qu'ils ont fait à Inglewood. J'ai pas trop compris le concept, y'a pas vraiment d'explication, y'a juste un teasing qui est sorti là il y a 2-3 jours. Le concept c'est gagner de l'argent quoi. C'est toujours été le concept de Ghost. [00:45:03] Speaker C: À un moment donné, oui. [00:45:04] Speaker A: La musique, parce qu'il aime ça, il n'en aura pas fait. Là, il fait de la musique pour s'en mettre plein les poches. [00:45:08] Speaker C: Mais du coup, il y a des nouvelles reprises des années 80 ? [00:45:09] Speaker A: Non, pour l'instant, il y a juste un truc, une mise en scène assez... [00:45:14] Speaker C: Non, il n'y a que des chansons à eux, parce que ça rapporte plus d'argent. [00:45:19] Speaker A: You know... Belle transition. Vous savez que Nine Inch Nails est censé sortir de nouveaux morceaux. Ils vont sortir un nouvel album. Ils ont essayé, ils voulaient le faire. Et puis ils se sont dit on va faire deux choses. On va sortir un album, mais pour utiliser la promotion de cet album pour plein d'autres choses, on va créer une entreprise qui s'appelle With Teeth. [00:45:57] Speaker C: Avec les dents. [00:45:58] Speaker A: Ce qui n'est pas globalement pas un bon conseil. [00:46:03] Speaker C: Sauf pour manger. [00:46:07] Speaker A: Après y'a des gens qui aiment ça. [00:46:09] Speaker C: Ma chouïe, ma chouïa. [00:46:15] Speaker A: Il faut que j'essaye de continuer. Donc ils vont faire des films, ça va parler de cinéma, ils vont créer des films, ils vont aider des gens à faire des films, ils vont se lancer dans la mode, ils vont lancer une marque de fringues en même temps, et ils vont aussi faire des jeux vidéo, des musiques de jeux vidéo, et ils vont participer à des tonnes de trucs. J'en ai eu, c'est le moment ou jamais, on va faire un vrai album de Nine Inch Nails et tout le monde va croire que c'est pour la musique, mais en fait on va leur balancer tout le reste et puis ça va nous faire plein de thunes. [00:46:38] Speaker C: J'ai rien compris au concept, mais bon, j'imagine qu'ils sont bien entourés. [00:46:43] Speaker A: Oui, non, c'est ce qu'ils font généralement. Trin-trin-trin. [00:46:47] Speaker C: Trin-trin-trin. [00:46:48] Speaker A: Bon, par contre, je ne sais pas si vous avez regardé les photos de presse ? Non, vous n'avez pas vu ? [00:46:52] Speaker C: Non, j'ai pas vu. [00:46:53] Speaker A: Il a arrêté d'aller à la salle. Apparemment, oui, il y va plus beaucoup, enfin moins fréquemment apparemment. Et en plus à côté d'Atticus, il est un peu moins grand. Sur la photo, ça se voit. Il s'est ratatiné quoi. Et j'ai l'impression... Elles sont dégueulasses, tout est moche. Tout est moche, ils ont mis des trucs noirs qui coulent les yeux. Peut-être que t'es pas sensible à... Peut-être, mais je pense qu'il a déjà fait mieux. Et puis il y a Titus Rose avec du maquillage noir, j'ai l'impression de voir un frère Madden qui aurait pris 50 kilos. Du coup c'est un peu féti d'Adams ? Du coup c'est un peu féti d'Adams ? Bah, avec des cheveux. C'est pas mal, il a toujours des cheveux, il a pas pris si cher que ça s'il a encore des cheveux. Je vous laisse regarder. [00:47:44] Speaker C: Je crois qu'il s'adressait aux gens qui sont obligés de porter des casquettes pierres. [00:47:48] Speaker A: Je n'en connais pas. En tout cas, quand il enlève, c'est toujours un spectacle. [00:47:56] Speaker C: C'est toujours un succès. [00:47:57] Speaker A: Bon, des nouvelles de Kiss aussi, je ne sais pas si vous avez vu la news, mais ils ont fait un duo avec Tarkan. [00:48:02] Speaker C: Non ? [00:48:04] Speaker A: Non, c'est pas ça. Avec Carlos ! [00:48:06] Speaker C: Ils ont fait un truc qui rapporte plus. [00:48:22] Speaker A: Tout, tout ce qui leur appartenait. Toute l'IP Kiss. Voilà, l'image, la musique, le catalogue, tout ce qui appartenait à Kiss a été vendu pour 300 millions de... Tout. Il y a des Babouchkisses. [00:48:32] Speaker C: Bah ouais, les Babouchkisses. [00:48:33] Speaker A: Ils ont vendu ça à qui ? [00:48:34] Speaker C: Le manque de race. [00:48:34] Speaker A: C'est une boîte, je vais pas te donner le nom parce qu'on s'en bat royalement les couilles. Si tu veux le nom, je l'ai noté, ça s'appelle Pop House Entertainment Group AB. T'es content ? Ouais. Super. En tout cas, voilà. [00:48:46] Speaker C: En fait, c'est le truc de Train 13 Nord et Atticus Cross. [00:48:48] Speaker A: La bonne opération. Good news ! C'est vrai que c'est possible. Tout s'est passé très rapidement. Du coup, le groupe qui a racheté FSA dit qu'on est heureux de pouvoir s'occuper d'eux. Ils vont faire la réincarnation numérique de Kiss. On est heureux de pouvoir s'occuper d'eux. Et ils ont plein de projets de développement de produits annexes en plus de ce qui existe. Je ne sais pas quoi parce qu'il y a déjà tout. [00:49:14] Speaker C: Avec ce que tu dis, je comprends bien qui est ce groupe. Le groupe AB. Non mais c'est les mecs de Statitix. Non mais c'est les mecs de Static X, c'est le même concept que Static X. [00:49:36] Speaker A: C'est la version digitale de... Ils disent digital mais ils sont quand même sur scène. [00:49:41] Speaker C: Oui mais le chanteur il est digital. [00:49:43] Speaker A: Je te rappelle ça. [00:49:44] Speaker C: C'est vrai qu'ils rêvent en digital aussi. Par contre j'aime bien leur déclaration, on est heureux de pouvoir s'occuper d'eux, on dirait qu'on a refilé les petits vieux... C'est les pads. On est heureux de pouvoir s'en occuper. [00:49:55] Speaker A: C'est très heureux de se débarrasser de tout ça pour 300 millions. 300 millions ? [00:49:59] Speaker C: Franchement ils auraient pu négocier plus. [00:50:02] Speaker A: Je pense qu'on leur avait proposé moins à la base. [00:50:05] Speaker C: Après, 300 millions, même divisé par... Ils sont combien ? 4 ? [00:50:08] Speaker A: Ils sont 3 et un chat. [00:50:14] Speaker C: Le chat, je pense qu'il a pris moins. [00:50:15] Speaker A: Est-ce que ça va vraiment être équitable ? Si ça se trouve, c'est tout pour un et les autres, ils ont les miettes. [00:50:20] Speaker C: Je pense que dans tous les cas, ils n'auront pas assez d'années pour tout dépenser. [00:50:33] Speaker A: Ils ont dû faire le calcul de ça. Vu le nombre d'années qui restent à vivre, c'est rentable. [00:50:37] Speaker C: Un million par an. Si tu places, en plus, il peut vivre un peu plus long, tranquille. [00:50:42] Speaker A: Je pense que c'est plus. Bon, bref, Sébastien Bach, vous savez, il est encore vivant. Ça, c'est déjà une bonne nouvelle, parce que je ne le savais pas. [00:50:48] Speaker C: Jean-Sébastien Bach ? Ah non, je ne pense pas. Ça fait un moment. [00:50:52] Speaker A: Pardon. [00:50:53] Speaker C: Ses musiques, elles sont tombées dans le domaine public, donc je pense que ça fait plus que 70 ans. Là, tu te mets le doigt dans. [00:50:58] Speaker A: L'Œil, mon petit gars. [00:51:02] Speaker C: Attention, ça fait mal. [00:51:04] Speaker A: Je vais te faire tirer ta boutille. Vos mots sont à l'impé qui vient... [00:51:08] Speaker C: C'était nul ça. [00:51:10] Speaker A: J'essaie de faire une transition. [00:51:12] Speaker C: En tout cas il a décidé... Telle l'eau sur les plumes du proverbial canard, c'est ça ? [00:51:17] Speaker A: Putain, j'ai joui. Tu pourras le dire à Philippe Manoeuvre, c'est joui. Bah lui jouer, c'est pas ton parti. [00:51:26] Speaker C: On pourrait faire une imitation de Philippe Manoeuvre un jour. C'est bien, personne ne l'a jamais fait. [00:51:32] Speaker A: En tout cas, il a dit qu'il était prêt à réintégrer Skid Row. [00:51:35] Speaker C: Qui ça ? [00:51:35] Speaker A: Sébastien Bach ! Ah ! [00:51:38] Speaker C: Sauf que je pense que Skid Row n'est pas prête à le réintégrer en fait. [00:51:42] Speaker A: Alors il dit que financièrement il peut y avoir quelques soucis. [00:51:46] Speaker C: La semaine dernière on a dit que c'était la chanteuse de... Oui mais ça. [00:51:49] Speaker A: C'Est pour la tournée. Lui tu vois il dit je suis prêt. [00:51:53] Speaker C: Je pense que quand ils vont découvrir ce que ça fait d'avoir une meuf frontman ils vont faire oh on va garder ça peut-être. Parce que je suis désolé mais pour ramener des gens... [00:52:01] Speaker A: En même temps Sébastien Bach on pourrait... On peut se tromper non ? À quoi ils ressemblent les photos de presse de Sébastien Debac aujourd'hui ? [00:52:12] Speaker C: S'il a pris cher comme Atticus Ross. [00:52:14] Speaker A: C'Est chaud quoi ! Bref, en tout cas, il a dit c'est compliqué, il faut qu'on réfléchisse parce qu'il y a les forces émotionnelles, etc. Bref, c'est juste qu'il est en train de préparer son retour et que je pense qu'il y a un beau chèque. [00:52:33] Speaker C: Il a envie de prendre un beau chèque. Je ne suis pas sûr que les autres soient OK pour le partager. [00:52:37] Speaker A: Alors peut-être qu'ils en ont besoin. C'est-à-dire que même en lui donnant beaucoup, peut-être qu'ils gagneront quand même plus qu'aujourd'hui. Parce que qui se fout de ce qu'il doit aujourd'hui ? Sinon Igor, tout à l'heure on a regardé un clip, il change de batteur, je sais pas si t'es au courant. Au revoir Bouvier parce qu'il a fait son point. Et maintenant c'est Rémi Serafino. C'est donc pas Eloï Casagrande ? Non, non. Alors, est-ce que vous connaissez Rémi Serafino ? [00:53:01] Speaker C: Je suis désolé pour ça du tout. Non, par contre, je sais ce que c'est un séraphin. [00:53:03] Speaker A: Et alors ? [00:53:04] Speaker C: Les séraphins, c'est les anges les plus prestigieux. C'est les premiers anges. [00:53:09] Speaker A: Il va l'apprécier ça. [00:53:09] Speaker C: 1000 anges divins, 1000 séraphins. [00:53:11] Speaker A: On va être contents. Entre gens de culture, on se contente. Il y a les gueux, on reste là, vas-y, continue. Moi, j'aime les bites sur les t-shirts. On croit que sur les t-shirts. Il est bien au chaud ! Non mais voilà, il est de Nice. Ecoute-moi bien Rémi. [00:53:28] Speaker C: Du coup il va jouer la Soca Dance ? [00:53:31] Speaker A: Mais putain mais... Ça ne s'arrêtera jamais, non mais... Parce que la soka c'est. [00:53:35] Speaker C: Une spécialité niçoise, c'est une galette de farine de pois chiche, voilà. Dance, soka dance, c'est une galette de farine de pois chiche ? Bah non, du coup la chanson non, mais la soka oui. Ah ok, très bien. D'accord. [00:53:45] Speaker A: Donc vas-y, Brice Denis il va être. [00:53:46] Speaker C: Le batteur de Rigor. [00:53:47] Speaker A: Non mais je vais juste lui dire bravo et ne te mets pas d'huile d'olive sur le visage s'il te plaît même si tu es niçois. Il est joué entre autres dans Svartkrona. Dans quoi ? [00:53:55] Speaker C: C'est un peu comme une brandade de morue mais différent quoi. [00:53:59] Speaker A: Non et donc il a joué dans Svart Kron, tu te souviens de ce groupe ? [00:54:02] Speaker C: Oh oui, le nom me dit quelque chose. [00:54:04] Speaker A: Il a joué dans... Il me semble que Marjorie était très fan de Brutus. [00:54:08] Speaker C: Ah non c'est pas ça, c'était du black metal ça Svart Kron. [00:54:12] Speaker A: Bon, peu importe, en tout cas voilà. [00:54:13] Speaker C: Tout ce que j'ai remarqué c'est qu'il. [00:54:14] Speaker A: Était hyper beau gosse. J'ai pas trop entendu ce qu'il racontait. J'étais très occupé à regarder la photo presse. Ah non, c'était une vidéo. [00:54:24] Speaker C: Une vidéo, encore mieux. [00:54:25] Speaker A: Quand c'est animé tu peux t'imaginer plus de choses. Voilà maintenant j'ai plus d'amis. Non mais du coup je me suis dit qu'est-ce que je peux passer parmi ces news. Et je me souviens de dire un petit Nine Inch Nails ça fera plaisir à tout le monde. Mais celui-ci on l'a jamais passé. [00:54:39] Speaker C: La main qui nourrit. [00:54:40] Speaker A: Voilà parce que je me suis dit que c'est vraiment le côté la main qui nourrit. Il a coupé la main de tous ses fans. [00:54:45] Speaker C: Moi j'adore. [00:54:46] Speaker A: Les clients ils leur bouffent leur thune et c'est drôle. [00:54:48] Speaker C: J'adore cette chanson. [00:54:49] Speaker A: Elle est très bien. Très très bien. Donc on espère que l'album de Nine Inch Nails sera bon. Ce ne sera pas une merde avec des nappes et des trucs comme ça. Parce que je suis vieux maintenant, je peux plus faire des trucs violents. [00:57:34] Speaker B: C'est parti ! [00:58:38] Speaker C: Oh bah il a tout cassé ! [00:58:38] Speaker B: Il a tapé la perche. [00:58:42] Speaker A: Un bon morceau. [00:58:43] Speaker C: Ouais, French May. [00:58:45] Speaker A: French May. Très bien. Très bon morceau. Bien bien. Autre news, autre news... Dans un autre monde ! Est-ce que tu peux lancer un son s'il te plaît ? Ah oui, alors. Juste, est-ce que c'est possible ? [00:58:58] Speaker C: Alors oui, mais est-ce que tu veux que les gens sur le plateau l'entendent ? [00:59:01] Speaker A: Non, non, eux on s'en fout. [00:59:04] Speaker C: On est sacrifiés. Ça y est, c'est parti Pierre. Attends, je vais vous écouter un petit peu. Donc Pierre ? [00:59:19] Speaker A: Bon, je pense que si vous êtes fan de Rammstein, vous allez avoir connu la chanson. Ça ressemble vraiment beaucoup à Deutschland, la chanson Deutschland de Rammstein. Et sachez que ça, c'est une chanson d'un groupe français, d'un duo, trio, je sais plus, français. Et Rammstein est poursuivi en justice pour plagiat, puisque la cour de justice française a dit, c'est quand même juste hallucinant, tout le morceau est exactement le même. Alors, le groupe s'appelle Ninja Cyborg. C'est de la Saint Wave, ça fera plaisir à Marcel. Je connaissais pas du tout pour le groupe. C'est un super bon groupe, Ninja Cyborg, c'est cool. Ils sont pas si connus que ça. Ils ont quand même écrit une chanson de Rammstein. [00:59:58] Speaker C: Du coup c'est bien qu'ils arrangent les. [00:59:59] Speaker A: Félicites d'attaquer Rammstein en juste parce que là du coup ça va leur faire un peu d'argent je pense. C'est juste ouf, le morceau est très long mais je vous laisserai checker Ninja Cyborg. Mais c'est bien parti pour qu'ils gagnent et, si ce n'est déjà fait, qu'ils gagnent de l'argent. [01:00:14] Speaker C: Alors rétroactivement, les droits, ça dote pas mal. [01:00:16] Speaker A: Je pense que là, du coup, même si c'est quelques dizaines de milliers d'euros. [01:00:19] Speaker C: C'Est plus que ce qu'ils ont gagné toute leur vie. [01:00:22] Speaker A: Je pense. Parce qu'effectivement, sur la chaîne YouTube, il y a 300 vues. Sur les chansons. Attention, je ne dis pas que ce n'est pas bien. [01:00:30] Speaker C: Par contre, si tu regardes les streams de Deutschland, les vues sur YouTube, parce que le morceau date de 2019, je crois. [01:00:36] Speaker A: Oui, et puis ils l'ont fait en tournée et tout. Il y a de l'assassinat. Tous les Français vont adorer cette chanson. Bah oui, il y a un truc. Bah oui, il y a un truc. [01:00:48] Speaker C: La société française. [01:00:49] Speaker A: Exactement. [01:00:50] Speaker C: La touche française. [01:00:53] Speaker A: On va changer de style, on va partir dans le glam. Par ici le gloss. Steel Panther, il n'y a pas de nouvelles chansons, rien du tout, ne vous inquiétez pas, il y a juste sur leur site internet une petite application qui est amusante qui s'appelle 1987 Me, c'est donc pour ressembler à quelqu'un de l'année 87. Et vous mettez une petite photo, vous téléchargez une photo, qu'elle soit bien ou pas bien, parce que moi j'ai mis une photo de moi, elle est dégueulasse, et franchement le résultat est vraiment ouf. T'as transformé en quelqu'un de 87 quoi. Au lieu de regarder tout droit, j'ai vraiment pas été… Mais t'as vu les photos ? [01:01:30] Speaker C: Moi j'ai vu les photos qui s'affichent là, dans le replay. Et du coup, Pierre s'est transformé en Axel Rose. [01:01:39] Speaker A: Et ça marche hyper bien. J'étais sur eux parce que je pensais que ça allait être vraiment de la merde. Mais non, t'as vu Axel Rose, t'as dit « Yeah, c'est bien fait ». Comme quoi, des fois, ils font des trucs bien aussi. [01:01:46] Speaker C: Bah oui, bah… Ça faisait longtemps qu'ils avaient rien fait de bien. [01:01:50] Speaker A: Bon sinon, des rumeurs, des rumeurs autour de Linkin Park. La rumeur ! Parait-il que j'ai des dreads ? [01:01:56] Speaker C: Watcha. [01:01:56] Speaker A: Oui, oui, Watcha, oui c'est ça, je me disais quelque chose. [01:01:59] Speaker C: T'as été aussi à la connaître toi. [01:02:00] Speaker A: Oui, oui, oui, bah oui, oui, je connais. [01:02:02] Speaker C: Période Néo-Métal, t'étais là. [01:02:03] Speaker A: Absolument, j'étais là pour cet album et c'est lequel ? C'est le deuxième, c'est Veliki ? [01:02:07] Speaker C: Non ? La rumeur, c'est le troisième ? [01:02:09] Speaker A: Le troisième, c'est le troisième. [01:02:11] Speaker C: Ah ouais, il y a quelqu'un qui est bien informé là-bas. [01:02:14] Speaker A: Il va y avoir des informateurs, des rabatteurs. Personne ne joue, non, en tout cas. Donc, la rumeur de Linkin Park. Apparemment, ça y est, ils vont revenir. Ils vont faire une tournée. [01:02:25] Speaker C: Les gars, j'en profite. Votre chanteur est mort. [01:02:30] Speaker A: Justement. Il y a une nouvelle personne qui va venir. [01:02:34] Speaker C: C'est un robot dans lequel ils ont téléchargé. [01:02:37] Speaker A: Les gars, stop ! [01:02:40] Speaker C: Vous n'avez pas pu nous le faire ! [01:02:42] Speaker A: Statik X qui c'est maintenant ? En fait, il faut baptiser Linkin Park X ? Non. Il y a une personne qui a lancé la rumeur. C'est Jay Gordon. J. Gordon Jorjie. Il cherche toujours des moyens je pense de se faire un peu de pub, je suppose. Après il est très proche de Linkin Park donc il doit savoir quelques trucs. Il a dit je suis désolé j'ai peut-être lancé un truc un peu trop rapidement et il dit le seul truc que je peux vous dire c'est que rien n'est fait mais que ce sera une femme. Il a quand même balancé un truc, il a dit, en gros, ils vont remplacer... [01:03:19] Speaker C: Il a admis que c'était pas lui. [01:03:23] Speaker A: Il a dit un nom et c'est pas moi. Je l'ai pas mis dans le truc, c'est celui-ci. Mais si c'était une femme, ce serait peut-être pas Eloï Casagrande sinon. Ah chérie, shit man ! [01:03:32] Speaker C: Ça serait si drôle. [01:03:33] Speaker A: Ça serait pas mal. Il vient de découvrir le pot au rose, si je peux me permettre l'expression. Enfin il va le perdre. [01:03:39] Speaker C: Non mais peut-être que dans une semaine il annonce qu'il fait une transition et que du coup c'est lui. [01:03:44] Speaker A: C'est possible. Putain, ce sera un énorme coup de com. Ah bah là, ce serait balèze. [01:03:48] Speaker C: Ce serait grandiose. [01:03:48] Speaker A: Putain, t'es vraiment incroyable. [01:03:50] Speaker C: Écoute, réponse dans une seconde. Alors, je suis moins sûr de ça que de Eloï Casagrande dans Slipknot. [01:03:55] Speaker A: Oui, mais évidemment, si on n'a plus le droit de dire des conneries, ça va être dur. Ménard, James Kinnan, Toul, des nouvelles ? [01:04:06] Speaker C: Non, on a dit pas de conneries, c'est bon. [01:04:09] Speaker A: Il dit j'ai espoir, j'ai espoir pour les fans que le prochain album ne sorte pas dans 14 ans. Bon bah c'est super mec ! Après, faut voir aussi les choses en face, c'est qu'en 14 ans, les fans ont le temps d'économiser. [01:04:22] Speaker C: Quand même, leurs concerts, même leurs albums sont très très chers. Qu'ils espèrent que ce ne soit pas dans 14 ans, c'est une chose. Après, s'ils pouvaient espérer que l'album soit bien, ça m'arrangerait. [01:04:35] Speaker A: Parce que le dernier, c'est quand même... Moi je ne l'aime pas trop non plus. Il y a des chansons qui sont pas mal, mais c'est déçu. [01:04:43] Speaker C: Est-ce qu'on n'est pas un peu tous d'accord quand même sur le fait que sur cet album, le chant, il n'est pas vraiment en accord avec la musique ? Il n'y a pas tant d'efforts. [01:04:54] Speaker A: 14 ans travaillé pour ça, merci quoi. [01:04:55] Speaker C: Oui voilà. Lui, il a dû bosser une semaine et demie avant le pressage. [01:05:00] Speaker A: Il y avait eu un communiqué de presse qui disait qu'on attendait qu'il enregistre ses voix et ça a duré un mois. En tout cas, j'ai noté la phrase d'Ilhani. Pour le nouveau matériel, je suis reconnaissant des défis liés à la dynamique complexe du groupe. L'importance de surmonter les conflits pour éviter de prolonger l'attente des fans. Ça s'appelle la branlette. [01:05:31] Speaker C: Ça veut dire qu'ils ne peuvent plus se blairer, mais qu'ils prennent sur eux parce que l'argent... Parce que quand même, faut faire tourner la petite entreprise. [01:05:42] Speaker A: C'est peut-être pour ça que les concerts sont si chers aussi. Ils ont bien compris qu'ils pouvaient en baiser les deux. Ils ont bien compris leur public, c'est pas plus compliqué. [01:05:49] Speaker C: En fait, ils sont revenus, ils ont fait « Attends, mais tu te rends compte que... Attends, regarde, si on vend les places, regarde, rajoute un zéro. [01:05:55] Speaker A: Ah ça se vend quand même ! Ah ça se vend quand même ! [01:05:59] Speaker C: C'est vraiment des pigeons quoi ! [01:06:02] Speaker A: Ils ont découvert le poteau rose ! Encore ! Niki Sixx ! Je sais pas si vous avez vu... Bon vous connaissez Niki Sixx ? [01:06:09] Speaker C: C'est Motley Crue ! Et bah Niki Sixx arrête et maintenant ça va être un truc digital et. [01:06:14] Speaker A: Il s'appelle Niki Sixx ! Il avait fait un tweet ou je ne sais quoi sur Instagram, bref il a fait un post quelque part sur les réseaux sociaux où il avait dit que le groupe allait revenir, ils allaient sortir de nouveaux morceaux. [01:06:30] Speaker C: Mais non, ils avaient dit que c'était fini. [01:06:31] Speaker A: Oui, tu sais très bien qu'ils auront fait une tournée. Moi je ne suis pas d'accord, il. [01:06:35] Speaker C: Y a plein de groupes qui regardent Slayer. [01:06:37] Speaker A: Ouais ça c'est des vrais. Ça c'est des vrais franchement, eux ils sont vraiment arrêtés, on peut les respecter, pas comme Motley Crue. Et donc il a refait un post où il dit, qu'il a clarifié donc ses commentaires sur le nouveau matériel de Motley Crue, je vous lis exactement le truc, indiquant qu'ils étaient sarcastiques et critiquant les médias pour avoir pris ses paroles au sérieux. Il ajoute aussi, c'est vraiment des cons pour faire du clic et que les pubs soient vues, ils ont récupéré notre truc parce que c'est nous qui faisons l'argent de tous les médias. [01:07:00] Speaker C: Oh bah c'est pas faux. [01:07:02] Speaker A: Peut-être aux Etats-Unis. [01:07:04] Speaker C: Ah non, moi je pense que TF1. [01:07:05] Speaker A: Ils ont vachement pas le temps. Ensuite il a dit que c'était une plaisanterie et que leur nouvelle musique n'était pas en réalité de la country mais du reggae EDM avec une touche de Dylan. [01:07:16] Speaker C: Ah ouais, ça aussi ça doit être une blague. [01:07:23] Speaker A: On espère, on espère. Ils sont capables de tout, mais la country, je pense qu'ils sont capables. C'est possible, ils sont américains. Et puis l'autre, il ne peut plus bouger. Et puis forcément, ils doivent avoir des. [01:07:37] Speaker C: Trucs à raconter sur leur camion et du ragoût de haricots. [01:07:42] Speaker A: Les paroles de country. Sinon, où est passé Jordan Fish ? [01:07:46] Speaker C: Eh ben, il fait... Qui est Jordan Fish ? C'est le claviériste. [01:07:54] Speaker A: De Bring Me The Horizon. [01:07:56] Speaker C: En gros, celui qui a fait Éminence Grise. Celui qui a fait le développement de Bring Me The Horizon ces dernières années. [01:08:02] Speaker A: D'accord. [01:08:03] Speaker C: Eh ben, à un moment, il était parti faire Spiritbox. [01:08:07] Speaker A: Oui, il a travaillé sur les derniers morceaux de Spiritbox. Et on m'a dit... Y'a quelqu'un qui m'a dit. [01:08:12] Speaker C: Y'a quelqu'un qui m'a dit. Qu'il rejoignait Linkin Park. [01:08:14] Speaker A: Non. [01:08:16] Speaker C: Non, Slipknot. [01:08:16] Speaker A: Mais il a changé de sexe ? Non, un autre groupe. [01:08:21] Speaker C: Un autre groupe anglais de Metalcore, si je ne m'abuse. [01:08:24] Speaker A: Effectivement. Alors, on sait pas trop. Y'a des jeux parisiens sur internet. [01:08:28] Speaker C: La personne qui nous l'a dit, nous l'a dit il y a quelques mois déjà. [01:08:31] Speaker A: Oui, bon, oui. Bon, en tout cas, Artutel. Je te rappelle. Oui, oui. Architects, en tout cas il est censé rejoindre Architects. Alors c'est un choix particulier. Parce qu'il gagnait sûrement beaucoup plus d'argent avec Moïmi que... Mais je pense qu'il s'est fait jeter en fait. [01:08:47] Speaker C: Je pense qu'il a peut-être une divergence artistique. Une divergence artistique. Il a fini par écouter et puis. [01:08:55] Speaker A: Il fait une merde. Il s'est dit il faut que j'arrête. [01:08:59] Speaker C: Peut-être il s'est dit je voudrais jouer dans un groupe où les mecs ils savent jouer en live. [01:09:05] Speaker A: Attends, Architects, c'est lui qui était au Hellfest, là, avec... où il s'est retrouvé. [01:09:08] Speaker C: Au milieu de la foule et tout ça, non ? [01:09:09] Speaker A: C'est ça ? Je connais pas trop moi, tu sais... C'est ceux qui ont fait une tournée il y a pas longtemps avec Spiritbox, justement... Spiritbox, je connais, mais... mais parce qu'il y avait un groupe qui s'appelait Architects au Hellfest l'année dernière, non ? C'était l'année dernière, mais ils sont tous les ans, non, Architects ? Ah, ils sont tous les ans, ouais, c'est ça. Ils sont souvent au Hellfest, Architects. [01:09:21] Speaker C: Après, je suis pas sûr que ce. [01:09:22] Speaker A: Soit vraiment ton genre. C'est ce que j'ai pensé. [01:09:24] Speaker C: Peu que j'ai entendu, je me stime. [01:09:26] Speaker A: Ça ressemble pas à Cannibal Corpse. [01:09:29] Speaker C: Lili et Suga, mais plus mes Suga quand même, mais pas trop. [01:09:33] Speaker A: Non. Pas du tout. [01:09:35] Speaker C: Des fois, ça tape un peu vite. C'est vrai qu'ils les jouent plus. Ils jouent plus les vieilles chansons où ça envoyait. Donc c'est devenu un gros groupe. Devenu un groupe à Zenith. Ça va, vous allez bien ? Pardon, nous on commente, Pierre. [01:09:51] Speaker A: Moi j'aime quand il y a du public, quand il y a beaucoup de public, ça met plus d'ambiance. [01:09:54] Speaker C: Et tu préfères les salles intimistes ? Qu'est-ce qui serait bien ? C'est un trabendo avec une capacité de... De soixante mille personnes. [01:10:03] Speaker A: Bon allez Pierre ! Non mais en gros voilà, c'est censé être le cas mais il a dit aussi, il a déjà annoncé que ce qu'il voulait c'était faire de la production et donc travailler avec tout le monde parce qu'il aime l'argent. [01:10:12] Speaker C: Ah oui mais donc là c'est en tant que producteur ? [01:10:15] Speaker A: Je pense que ce sera en tant que producteur. Il n'y a pas vraiment d'informations plus que ça, c'est juste qu'il joue avec des potes sur internet, des trucs comme ça et puis les fans imaginent plein de choses. [01:10:23] Speaker C: Poker en ligne ? [01:10:23] Speaker A: Non mais ça c'est beau, il n'y. [01:10:24] Speaker C: A pas vraiment d'informations plus que ça. [01:10:26] Speaker A: Mais t'en fais une news quand même quoi, bravo. Non mais ça, c'est scandaleux. Je pense que ce serait une bonne. [01:10:35] Speaker C: Raison d'arrêter les news maintenant. [01:10:36] Speaker A: Tu as raison, j'arrête tout de suite. Quelle transition. Que les news ! C'était pas mal. Et ben on va pas écouter du Architects. J'avais juste envie de passer du Linkin Park. [01:10:44] Speaker C: Ben c'est bien. Toi t'aimes pas non plus. [01:10:46] Speaker A: Et moi Linkin Park j'adore. [01:10:48] Speaker C: Et moi ça me court sous la peau. [01:10:50] Speaker A: Crawling. [01:10:51] Speaker E: C'est parti. [01:11:50] Speaker B: Musique. Je n'arrive pas à me trouver de nouveau Mes murs s'enclenchent Je n'ai pas de sens, de confiance Je suis convaincu que c'est juste trop de pression pour m'en prendre J'ai senti ça auparavant Tellement insecure Trouillé dans ma peau Ces rues, elles vont m'abandonner C'est parti ! C'est tentant, comme je ne peux pas le voir, de me retrouver à nouveau. Mes murs se ferment. Pas un sens de confiance, je suis convaincu qu'il y a juste trop de pression à prendre. J'ai senti ça auparavant, tellement insécurité. Crawling in my skin These wounds they will not heal Fear is how I fall Confusing, confusing what is real Confusing what is real Votre rêve est mon chemin dans la direction de l'enfer Jusqu'à ce que votre rêve m'embrasse Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je n'ai pas besoin de vous Je C'est la fin du monde ! C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! Oh non ! [01:18:07] Speaker A: Ben voilà, ça décoiffe, c'est sûr que Linkin Park, ça tabasse. Benighted, on le connaît maintenant. Benighted avec Métastasis, c'est un choix de Enjoy. [01:18:20] Speaker C: Benighted, toujours Brutal Death à tendance grind, avec ce que j'appelle moi les 3G, c'est-à-dire gros riff, c'est-à-dire gros riff, du groove et des grue-gruek. Il y a une variante avec du growl aussi, ça marche aussi. [01:18:38] Speaker A: C'est le greek metal donc. [01:18:45] Speaker C: Donc ouais, mine de rien, bientôt 30 ans ce groupe, ils sont bientôt en trois décennies. [01:18:52] Speaker A: Ah ouais, ils sont vieux comme ça ! Ah ouais, c'est dingue ! Ça concerne le métal, hein ! [01:18:57] Speaker C: Ça date de 98, quelque chose comme ça, c'est pas... Parlez tous en même temps ! Vraiment, surtout... Et moi j'ai du polémique radiophonique ! Donc il y a un peu de turnover, les musiciens ont changé avec le temps aussi, ils sont pas tous là depuis le début du jeu quoi. Il y a eu des sacrées pointures en plus dans le groupe tout au long de leur histoire, ça a bien tourné quoi. [01:19:20] Speaker A: Est-ce que je me trompe ? Je connais très mal Binet. [01:19:21] Speaker C: Alors oui tu te trompes Pierre, ça n'a aucun rapport avec la taille des chaussures quand ils disent des sacrées pointures, je te le dis tout de suite. [01:19:27] Speaker A: Je l'ai pas vu venir. Bravo. [01:19:30] Speaker C: Pourtant des gros pavards comme ça... Et. [01:19:34] Speaker A: Donc, dis-moi si je me trompe, Benighted n'a jamais été un groupe qui a explosé autant qu'aujourd'hui. [01:19:41] Speaker C: Sinon ils seraient pas là. [01:19:42] Speaker A: Non mais aujourd'hui ils ont vraiment, enfin je veux dire au niveau international, ils ont un rayonnement international puisqu'ils font le tournoi au Canada. [01:19:47] Speaker C: Oui j'ai l'impression, ça tourne bien mais Benighted là, ils vont sortir un album, qui va sortir je crois la semaine prochaine. Et puis voilà, pour ce qui est de tourner, ils vont faire la tournée Warm-up du Hellfest, qui a commencé ce mois-ci. Et après pour le reste, j'imagine qu'il doit y avoir pas mal de festivals, de choses comme ça. [01:20:08] Speaker A: Ouais, moi j'ai lu qu'ils faisaient le Canada. [01:20:09] Speaker C: Ils seront à Paris le 2 mai d'ailleurs, pour le Warm-up. [01:20:14] Speaker A: Du côté de la ville latine sûrement. [01:20:15] Speaker C: C'est ça, la cité de la musique normalement. [01:20:17] Speaker A: C'est un bon moment avec des tas de groupes qu'on adore, dont Bryce si j'ai pas de bêtise. [01:20:22] Speaker C: Tout à fait. Une soirée de douceur et de tendresse. [01:20:28] Speaker A: En même temps c'est le principe de ce warm-up qui est très très bon. [01:20:30] Speaker C: Sponsorisé par Cajolin. [01:20:31] Speaker A: Où que vous soyez, il faut vraiment y aller, c'est un moment comme ça. Si vous n'avez pas de place pour l'Hellfest, franchement pour le coup c'est très bien. C'est un gros gros moment et puis qui sait peut-être que vous pouvez gagner des places lors des soirs, c'est une possibilité. Ok, donc merci B-19, ça décrasse la cage à bière. [01:20:47] Speaker C: Toujours plaisir par là où ça passe. [01:20:50] Speaker A: Par contre ne prenez rien parce que si ça tremble un peu dans la tête, ça peut être dangereux. Par contre, tu vois, là B-19, je me suis dit c'est cool, je suis bien content et il y a un mec qu'on a invité ce soir et là je regarde ses choix et je me dis mais c'est de la merde. [01:21:04] Speaker B: Il. [01:21:06] Speaker A: A choisi ça vraiment parce qu'il cherche vraiment la merde ce gars-là. Alors c'est toi bien sûr ! Justice ? Ouais ! [01:21:15] Speaker C: Bah attends, je vous l'ai dit la. [01:21:17] Speaker A: Dernière fois, à chaque fois vous m'invitez, je mets des clips bourrins et tout. La dernière fois il y avait des trucs hyper soft et tout. Elle est bien la dernière, elle est bien. [01:21:29] Speaker C: Je me suis dit elle est bien, elle est mielleuse et tout, je me suis dit ça va vous plaire. Il est nul ! [01:21:36] Speaker A: C'est vrai, non moi j'aime bien, vraiment j'aime bien. Et je trouve que les albums d'avant de Justy c'était vraiment en plus pas ouf, très loin de là, en disque, et là je me suis dit putain c'est cool quoi, non non j'ai kiffé ouais. J'aime bien Justy, j'aime bien, t'es mime pas. Ah non vraiment vous les aimez pas ? [01:21:49] Speaker D: Non non ! [01:21:49] Speaker C: Merde, putain. [01:21:51] Speaker A: Moi je sais pas, je crois que. [01:21:53] Speaker C: Je l'avais écouté mais je m'en souviens plus. [01:21:54] Speaker A: Elle est bien, elle est bien ! [01:21:56] Speaker C: C'est un petit truc que tu chantes. [01:21:57] Speaker A: Sous la douche quoi, tu vois. Est-ce que tu te souviens de la chanson de toi sous la douche ? Bien sûr ! Vas-y chante-la ! Elle est pas créative. Attends, attends, attends, regarde. [01:22:05] Speaker B: Chante-la. [01:22:06] Speaker A: Mais je suis un très mauvais chanteur. [01:22:07] Speaker C: Tout le monde le sait. Pour chanter du Kevin Parker, t'as plutôt intérêt à être sous la douche. [01:22:10] Speaker A: Ouais, voilà. Non mais c'est pas... Tu vois, moi j'ai trouvé ça bien. [01:22:14] Speaker D: C'Est pour ça que je me suis. [01:22:14] Speaker A: Dit, putain, je vais venir avec autre. [01:22:15] Speaker C: Chose qu'un truc de gros bourrin, tu vois, un truc un peu sensible, qui. [01:22:18] Speaker A: Chantonne, avec un clip un peu joli et tout. Voilà, j'ai fait le mec gentil, dansant et tout. Et bah écoute, tant pis, écoute, je reviendrai avec du Cannibal Corp, c'est des. [01:22:28] Speaker C: Groupes improbables où quand je vous donne. [01:22:29] Speaker A: Des clips où on peut pas et après vous vous retrouvez dénoncés sur Facebook parce que vous avez fait des recherches salous, quoi. Pierre, il est vrai, Pierre. Il a même été banni pendant un petit moment. [01:22:40] Speaker C: Je propose qu'on en finisse vite avec. [01:22:42] Speaker A: Cette purge et qu'on la passe. [01:22:44] Speaker C: Comme ça après on revient à des trucs intéressants, notamment... Non, moi je défends. [01:22:49] Speaker A: Je trouve ça chouette. Moi je trouve qu'il est chouette. Je trouve qu'il est chouette. [01:22:53] Speaker C: Notamment les défenseurs, les défendeurs du LOSC. [01:22:58] Speaker A: Bon, allez, on passe Justice, n'hésitez pas d'ailleurs en commentaire à nous dire sur le shmul ce que vous en pensez, mais réellement, c'est très méchant de ma part, mais c'est vrai que je la trouve nulle à chier cette chanson. J'aime bien, c'est marrant. [01:23:07] Speaker C: Allez, on met, je propose, Marcel, on. [01:23:11] Speaker A: Fait les votes là. C'est du pâté quoi, c'est du pâté qui sent pas bon. Marcel, si tu peux mettre un petit. [01:23:15] Speaker C: Pôle pour voter là, voir si, je sais pas si les mods peuvent le faire, ils peuvent le faire ? [01:23:20] Speaker A: Un petit pot-pôle ? [01:23:21] Speaker C: Pour faire un vote, un vote dans le schmuel. Un vote pour dire si vraiment... Si il peut le faire. Bon alors vous dites si c'est bien ou si c'est de la merde et puis on y va. Le problème c'est que Marcel lui il est pour. Non je crois pas. Pour le pôle ou pour la chanson ? Ah ouais bon allez on y va. [01:23:34] Speaker A: Marcel il est avec moi tu vois. [01:29:08] Speaker C: On vous a peut-être un peu spoilé le prochain clip. [01:29:10] Speaker A: Oui, mais comme ça, ça fait rêver. Qu'est-ce que c'est qu'on vient de regarder et d'écouter ? Est-ce que ça vous a plu déjà ? Oui, carrément. [01:29:17] Speaker C: Très très bien. [01:29:17] Speaker A: C'était plutôt sympa. C'est un groupe qui revient un petit peu, qui revient avec du bon son, qui avait fait peut-être un peu des choses plus légères avant. Certains diront que c'était de la merde. Bon là, c'est un peu mieux. C'est pas menti de dire. Fauria Strong, qu'on vient de regarder avec Daddy of Mine. Le papa de moi ! Il le dit un peu plus violemment, mais mon papa à moi est un gangster. Juste très très bon son, ça m'a fait plaisir. Vous avez qu'à checker, on va pas se traîner là-dessus. C'est une bonne musique. Northlane, qui voulait parler de Northlane ? Vous monsieur, vous êtes le coupable. Enjoy the noise. [01:29:54] Speaker C: Attention parce que oh là là, il. [01:29:55] Speaker A: Y a du Metalcore. C'est fou parce qu'on n'en passe jamais. [01:30:00] Speaker C: On n'en passe jamais et en plus on ne dit jamais du bien. [01:30:05] Speaker A: Bref. [01:30:07] Speaker C: Pour le coup, du metalcore que j'aime bien. Northlane, groupe australien qui avait commencé un peu metal-prog, très moderne, djent, etc. qui est ensuite devenu un petit peu plus metalcore, électro, limite néo par moment, depuis. [01:30:20] Speaker A: Leur album de 2019, Alien. [01:30:22] Speaker C: Et là ils préparent la sortie d'un EP qui va s'appeler The Mirror's Edge et qui est produit par Will Putney de Feed For An Autopsy et avec lequel ils ont préparé des featurings avec d'autres musiciens australiens dont Winston McCall de Parkway Drive et Ian Kenny de Carnival La petite australian connection entre Northlane et les groupes qui les ont influencés, etc. Moi Northlane j'aime bien, notamment pour un plaisir presque coupable, pour les petits moments un peu dancefloor. Et le morceau que j'ai choisi, Dante, qui sera sur cette EP, il a un refrain très dancefloor et moi ça me plaît bien. [01:31:08] Speaker A: Et puis il a une très belle veste. Très très bon choix. Juste avant de passer le clip, je tiens à remercier... notre ami d'être venu. Je cherchais comment tourner mon truc pour dire est-ce que t'as de l'actu vite avant ? [01:31:26] Speaker C: Ah ben non mais j'ai toujours mon. [01:31:27] Speaker A: Spectacle à la Divine Comédie si les gens veulent venir, un spectacle interactif génial, c'est ma petite fin d'actu, je finis à la fin du mois là. Et on te retrouve sur les réseaux sociaux. Sur les réseaux sociaux, sur les podcasts surtout. On mettra les liens de toute façon sur Youtube et sur nos réseaux sociaux, merci ! Merci aussi, je sais pas si tu restes jusqu'au bout ou pas mais... [01:31:45] Speaker C: Je vais rester un petit moment. [01:31:46] Speaker A: Allez, on regarde ce clip de Nortonin, vous allez voir, c'est vraiment très bon, moi j'adore. [01:33:41] Speaker B: J'ai l'expression Bonne chance. C'est pas possible. [01:38:27] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Heureusement. [01:41:01] Speaker C: Que vous n'entendez pas toutes les blagues en off. [01:41:05] Speaker A: Boston Manor, c'est ce qu'on vient de regarder, c'est le tout dernier, donc voilà, une chanson plutôt sympathique. [01:41:10] Speaker C: Je te laisse pour un petit côté left-on quand même. [01:41:14] Speaker A: Il est probable. Je sais pas, peut-être. [01:41:17] Speaker C: Dites-nous dans le schmulz ce que vous en pensez. Pierre, je crois qu'on a des invités. [01:41:21] Speaker A: En tout cas, c'est un groupe qui prend moins de place que... Pierre, je. [01:41:23] Speaker C: Crois qu'on a des invités qu'on changeait, regarde. [01:41:25] Speaker A: C'est qui ? Oh là là ! J'ai eu ! Non ! J'ai eu ! Non ! [01:41:30] Speaker C: J'ai eu ! Non ! [01:41:31] Speaker B: J'ai eu ! Non ! J'ai eu ! Non ! [01:41:32] Speaker A: J'ai eu ! [01:41:32] Speaker B: Non ! J'ai eu ! [01:41:33] Speaker C: Non ! [01:41:33] Speaker A: On doit dire comment ? Bon, merci d'être là. [01:41:38] Speaker B: Bonsoir. [01:41:38] Speaker D: Merci à vous de nous accueillir, c'est cool. [01:41:40] Speaker A: Il y en a un qu'on connaît plus que l'autre, parce qu'il y en. [01:41:42] Speaker E: A un qui a squatté ici, qui. [01:41:44] Speaker A: Disait des conneries, mais... [01:41:46] Speaker E: Quelques canapés déjà ici, ouais. [01:41:47] Speaker D: Je t'ai abusé quelques canapés. [01:41:50] Speaker A: C'est ça. En tout cas, si vous êtes ici, c'est parce qu'il y a aussi un nouvel album qui est sorti le jour de mon anniversaire. Donc merci, c'était le plus beau cadeau. Je sais que c'est toi qui as forcé les choses. Mais voilà, Dragging Bodies to the Fall, très très bon album, donc on vous dit bravo, et je vous ai vu en live il n'y a pas si longtemps que ça, je vous dis bravo aussi, parce que c'est vraiment une bonne grosse claque dans la gueule, et puis c'est la première fois que je le voyais jouer, et en fait c'est fou, mais quand on le connaît, on se dit, ah ben en fait ça doit être un bouffon, non en fait il joue quand même bien. [01:42:19] Speaker C: Je pense que tu l'avais déjà vu jouer, mais tu t'en souviens pas. [01:42:22] Speaker A: Ah ouais, peut-être que j'avais trop bu. Tu l'avais déjà eu ? Non, je ne sais pas. [01:42:25] Speaker E: Parce que je ne faisais pas de la batterie, à ce moment-là. [01:42:29] Speaker C: Même après, je crois qu'il t'a vu. [01:42:31] Speaker A: Ah ouais ? Attends, mais ça doit être quand ? [01:42:36] Speaker E: Il y a dix ans. [01:42:36] Speaker A: Ah oui, c'est normal alors que je ne m'en souviens pas. C'est très, très, très normal. Comment on se sent aujourd'hui en étant Juno et que cet album est sorti ? Est-ce qu'on est heureux et est-ce qu'on a l'impression que plein de choses vont pouvoir bouger comme vous le souhaitiez ? [01:42:52] Speaker E: On est content, ça c'est sûr. On a laissé le bébé au grand public. [01:42:57] Speaker A: C'est ce que tous les artistes disent une fois qu'ils sortent, c'est plus à vous ? [01:43:01] Speaker D: Ouais, c'est clair. Nous on l'a rincé, on le connaît par cœur, on l'a disséqué. On n'a aucun recul dessus, clairement. Donc là les retours presse et des gens qui nous suivent avec Génarly et ceux qui l'ont découvert avec Juno sont plutôt très positifs. Donc on est ravis et puis on est soulagés aussi. [01:43:26] Speaker A: Soulagés parce qu'il est sorti, soulagés parce qu'effectivement comme tout le monde est très positif. [01:43:31] Speaker C: Et puis surtout là ils sont au stade où ils peuvent plus rien faire pour le changer de toute façon. [01:43:36] Speaker A: Ah oui ! [01:43:36] Speaker C: Avoir des avis avant que ça sorte c'est toujours un peu compliqué. [01:43:40] Speaker A: Mais je pense qu'il faut pas en avoir des avis avant que ça sorte parce que sinon tu te prends la tête. Tous les artistes qu'on reçoit ils disent j'ai tout le temps envie de rechanger tout le temps. Donc ça pourrait ne jamais s'arrêter ? [01:43:50] Speaker E: C'est l'idée. Tant que c'est pas pressé, tu changes. [01:43:52] Speaker A: Ce que tu peux tout le temps. Il faut prendre une décision sur ce qui a été fait. C'est ça. Est-ce que vous êtes du genre à vous prendre la tête pendant des siècles pour essayer de créer justement le truc différent, le son du nom ? [01:44:03] Speaker D: Je sais pas, mais à la base, on avait signé avec le label pour sortir un EP, puis on devait faire un enchaînement plutôt rapide avec l'album, et on a quand même laissé trois ans. [01:44:13] Speaker A: Oui. [01:44:14] Speaker C: Après, bon... [01:44:15] Speaker D: Voilà. [01:44:16] Speaker C: Trois ans, genre sur une échelle de tool par exemple. [01:44:19] Speaker A: C'est rien. Bah c'est une petite éclate douce, tu vois. [01:44:25] Speaker C: Par rapport aux outils ? [01:44:26] Speaker A: Par rapport aux outils, oui, bien sûr, bien sûr. Et donc, je te laisse continuer. [01:44:30] Speaker D: Donc voilà, trois ans quand même, et c'est vrai qu'on est six en groupe, donc il y a beaucoup d'idées qui fuisent, il y a beaucoup de choses à trier, à mettre en place, etc. On a réussi, voilà quoi, il est au bout. [01:44:43] Speaker A: Alors quand on parle à une personne avec qui vous travaillez, qui est une attachée de presse, devant qui je parle... [01:44:48] Speaker D: Salut Léo ! [01:44:49] Speaker A: Elle me fait d'énormes bisous. Quand je lui ai eu au téléphone, elle m'a dit, tu sais, ce qui est incroyable dans Juno, c'est que c'est un groupe, pas comme les autres, ils ont tous une place comme ça et ils sont tous complémentaires. Est-ce que c'est une réalité pour vous aussi ? Elle avait l'air tellement contente de ça. [01:45:05] Speaker E: Je pense que c'est vrai, parce qu'on a quand même trois guitaristes, forcément bassiste, batteur et chant, et tout le monde a des prismes différents ou apporte quelque chose de différent dans la musique. [01:45:17] Speaker A: Vous êtes tous très différents, ça c'est sûr. [01:45:19] Speaker E: Et généralement il y a Fab qui arrive avec une rythmique, il y a Martin qui est plutôt sur les arpèges malsains, maléfiques, alors qu'il vit au bord d'une piscine à Marseille. Et Alex, il est beaucoup dans les arrangements, il ajoute bien les couches d'ambiance, tout ça. On rigole un peu avec lui parce qu'il fait un peu plus du clavier finalement que de la guitare. Mais c'est vraiment ça du coup, tout est ultra complémentaire et ça prend du temps à mettre des couches, à ajouter des pistes et des pistes et à tout digérer, à se dire bon ça c'est cool et ça par contre c'est too much ou c'est pas assez. Et au final ce côté on est 6, ça a l'air d'être compliqué et au final ça... ça marche quand même. [01:46:04] Speaker A: Après on voit bien, quand on vous voit arriver sur scène, c'est quand même très sérieux, il y a un truc, c'est le rouleau compressant un peu, mais après quand on vous voit un petit peu en dehors, parce que vous êtes quand même très accessibles, on sent aussi que vous êtes amusants, que ça se délire bien, vous vous entendez bien, il y a quand même un truc qui est très différent de ce qui se passe sur scène, où là il y a... C'est sérieux, c'est très dark quand même ce que vous faites, on ne peut pas dire qu'il y a un grand moment de joie. On est heureux de le vivre, mais vous, c'est très sombre. [01:46:31] Speaker D: C'est clair. Après oui, c'est vrai qu'on est amis plus plus depuis vraiment beaucoup d'années, donc forcément qu'on est très liés, on s'entend tous très bien, qu'on avait quand même arrêté le groupe pendant 5 ans, que c'était Générali... [01:46:46] Speaker C: On peut expliquer parce qu'il y a peut-être des gens qui vous ont découvert maintenant, parce qu'avant ça s'appelait Générali, ça a duré pendant... Bah en fait on. [01:46:54] Speaker D: A commencé, moi j'ai monté le groupe avec Clément, c'était en 2001, voilà, donc on a fait une quinzaine d'années, donc avec Generali, on a sorti quatre albums, on a fait plein de dates, etc. Et puis je pense que c'était en 2016, en fait, on a décidé de dire stop parce que les plannings, les familles, la vie, etc. faisaient que ça devenait vraiment très compliqué. Et puis ça nous a manqué énormément quoi et donc on a repris voilà quoi donc avec Junon c'est le même line-up voilà donc c'est les mêmes copains on s'est retrouvés on s'est dit on va essayer de composer allez trois ou quatre titres voir quoi si on peut faire un truc qui tient un peu la route. [01:47:32] Speaker A: Et puis là c'était l'excitation ? [01:47:36] Speaker D: Ouais voilà ça a plutôt bien marché et puis on a juste changé le nom parce que j'ai dit non bah c'est voilà on a voulu un petit peu changer généralement essayer de casser un peu les codes post-hardcore post-metal essayer de voilà qu'on ouvre un peu plus. [01:47:49] Speaker A: Et puis ça vous souffle quelque part. [01:47:50] Speaker D: Ouais voilà c'est ça en fait. [01:47:51] Speaker E: C'est bien aussi de ça nous permet. [01:47:52] Speaker A: De psychologiquement passer C'est peut-être à autre chose. [01:47:55] Speaker E: Il faut surtout garder une liberté de se dire si on veut faire autre chose, on peut se le permettre en fait. Parce que c'est plus généralisé en fait. Même si c'est les mêmes mecs et fondamentalement la même musique. [01:48:03] Speaker A: Et puis vous avez... Je fais un bisou à Ton aussi, j'en profite parce qu'ils m'ont dit de vous faire un bisou. Ils m'ont dit tu feras un petit bisou, tu leur diras bravo et tout. Donc vous êtes super bien entourés aussi. Est-ce que c'était le cas avant, je ne sais pas. Mais là, il y a quand même des gens extraordinaires autour de vous. Des gens passionnés. [01:48:19] Speaker D: Ah bah non, c'est clair, ils sont là, ils ont donc voulu sortir l'EP et puis l'album, ils sont bien motivés, nous on est vraiment ravis. Ils nous ont suivis dès le début. Voilà, ils nous ont suivis, je crois qu'on a été la première sortie. Donc voilà, très fiers, et puis ils s'en sortent pas trop mal. Voilà, on va continuer avec eux. [01:48:44] Speaker A: C'est bien parce que quelque part ça a peut-être une pression mais c'est une pression douce. Ce que j'ai envie de dire c'est qu'ils sont tellement gentils et passionnés qu'ils doivent vous transmettre un petit peu cette énergie. J'imagine que vous avez déjà mais qu'eux eux vous portent un soutien. [01:48:55] Speaker E: Quand on avait signé avec eux c'était vraiment un EP, un album. C'était censé s'enchaîner rapidement. [01:49:00] Speaker A: Bon... On va dire que ça y termine. [01:49:03] Speaker E: On en a déjà vu plus rapide. [01:49:05] Speaker A: Tout dépend de l'échelle. [01:49:07] Speaker E: C'était une façon de composer un peu particulière aussi comme on est tous éclatés en France. [01:49:12] Speaker A: Et puis vous êtes beaucoup. [01:49:14] Speaker E: On est beaucoup et il y en a un dans le sud-ouest, il y en a un dans le sud-est. Il y avait deux bassistes qui étaient à Nantes. Donc voilà, composer, répéter, ça a toujours été des moments où il fallait qu'on soit ensemble. C'était des phases de compo assez rapprochées où on se prenait des gîtes, où on allait chez l'un, chez l'autre pour se dire, vas-y, là, on a une semaine, on compose tout, tout ce qu'on peut. [01:49:34] Speaker A: Ah oui. Ça peut quand même être déroutant et fatigant et ça peut parfois faire douter du projet aussi, j'imagine. Non ? Quand bien même t'es motivé, t'as rassemblé tout le monde, c'est logistique. C'est de la logistique, ça c'est sûr. [01:49:49] Speaker E: Mais après je pense que ça nous permet justement d'y gérer toutes ces idées, toutes ces couches, tous ces trucs, parce que pendant une semaine t'écris tout ce que tu peux, toutes les idées fusent, et puis voilà, on est beaucoup. Et à la fin, on se retrouve avec un truc avec mille versions possibles. Maintenant, chacun rentre chez soi et puis on digère. Ça, c'est cool. Ça, on garde. Ça, c'est de la merde. Et on n'avait jamais pris ce recul-là quand on avait composé d'autres albums. de se dire, c'était vachement plus spontané, là c'était composé, c'est plié, c'est enregistré. Entre chaque phase de compo, il se passait 3, 4, 6 mois et on avait le temps de se dire, on fait ça bien. [01:50:29] Speaker C: Limite le recul que tu as l'occasion d'avoir sur les compos et tout ça, c'est des réflexions que tu peux te faire à cette occasion, c'est les réflexions que tu te ferais après la sortie de l'album quand tu récoutes et tu fais... [01:50:43] Speaker E: Ce refrain, on aurait dû le doubler. [01:50:47] Speaker A: En tout cas, c'est une façon de faire et un album qui est très bon. On l'a écouté encore tout à l'heure, on l'avait laissé en boucle. Généralement, on ne fait pas ça. C'est très rare quand même. Au moins pas en 10 ans. On va regarder un extrait justement. le clip de cet album pour l'instant. J'imagine qu'il y aura peut-être d'autres choses, je vous le souhaite. On va peut-être pas répondre à cette question tout de suite. Mais voilà, c'est le titre qui s'appelle Out of Suffering. Quelque chose à dire sur ce morceau précisément ? [01:51:13] Speaker D: C'est un morceau qui est inspiré du mythe de Dracula. On est parti là-dessus et c'est un... Et donc on voulait faire un clip et c'est un Polonais qui se fait appeler Chariot of Black Moths qui a créé le clip. J'ai envoyé le texte, un petit débrief, etc. Et puis donc il nous a sorti ça et ça colle vraiment très très bien au thème. Et puis c'est très très joyeux ! [01:51:42] Speaker A: Ah bah là on en sort, on se sent bien à la fin quoi. Non mais très très bon, c'est très très bon. J'espère que celui-ci va marcher. [01:51:50] Speaker C: Bah on verra. [01:51:52] Speaker A: C'est une surprise. Mais on regarde ça tout de suite. C'est donc Juno nos invités ce soir. [01:52:14] Speaker B: C'est génial! Oh, putain de merde ! Le journal de la nuit La musique est ma chanson J'essaie de trouver Le journal de la nuit Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'ai perdu ma voie Et je ne crois pas que je trouverai jamais ma voie Reviens Je ne veux plus rien Je ne veux plus rien Je ne veux plus rien Je ne veux plus rien. [02:01:23] Speaker A: Alors c'est un groupe qu'on a déjà beaucoup passé, c'est un groupe qu'on soutient déjà depuis le début de cette émission, c'est Graphic Nature. [02:01:31] Speaker C: Je crois qu'on a passé tous leurs clips. [02:01:32] Speaker A: Je pense qu'on a quasiment passé tous leurs clips, effectivement, j'aime bien. Après, je concède, c'est très très produit. Ce qui n'est pas gênant forcément au clip. On était en train d'en parler sur scène. Je ne sais pas comment ça peut rendre, je ne l'ai jamais vu. [02:01:45] Speaker C: Encore, eux, je trouve que ce n'est pas les pires. Je trouve que ce n'est pas le plus surcouche, sur-surcouche, sur-surcouche. C'est des sons, je ne sais pas s'ils arrivent bien à les refaire. Mais au moins, il n'y a pas 65 000 sons en plus, je trouve. [02:01:57] Speaker A: Alors justement, nos invités ce soir c'est Juno et sur scène on voit que ça joue et justement il n'y a pas tout... Enfin c'est pas pareil quoi. [02:02:05] Speaker C: Ils sont obligés d'avoir trois guitaristes. [02:02:06] Speaker D: On a trois guitaristes, on n'a pas de machine. [02:02:09] Speaker E: Tout nature. [02:02:11] Speaker A: Et puis c'est en voix. Là, on en parlait, je sais pas comment ils se démerdent. [02:02:15] Speaker C: C'est drôle parce qu'on avait un peu cette question sur Fraun. Et du coup j'ai vu des images du Throne qu'ils ont ouvert pour August Birthday. Et du coup j'ai vu des images live et il y a deux guitaristes. [02:02:31] Speaker A: Et il n'y a pas de basse. [02:02:33] Speaker E: Donc les basses elles sont sur bande ? [02:02:36] Speaker C: Je ne sais pas, peut-être qu'il n'y a pas de basse et que c'est une guitare qui... La qualité du son que j'ai sur une vidéo de story, de truc, tu ne sais pas quoi vient d'où. Mais j'ai vu, ils sont quatre sur scène, il y a deux guitaristes, une batterie et un chanteur. Donc il y a au moins des basses, je pense que les basses sont... [02:02:59] Speaker A: C'est quelque chose que vous avez choisi de ne pas utiliser ? Ou c'est juste que ce n'était pas l'occasion ? [02:03:06] Speaker C: Dans le Nord, il faut créer de l'emploi. [02:03:09] Speaker A: D'ailleurs, je vais rectifier un truc tout. [02:03:14] Speaker E: De suite, on n'est pas du tout supporters du LOSC. Mon cœur appartient au Racing Club de Lens. Voilà, je combatte bien les points sur les lignes. [02:03:22] Speaker C: Et à la deuxième division ? [02:03:23] Speaker A: Non, mais mec... Respecte-nous. En plus, je n'en ai rien à foutre du foot, je suis très nerveux. C'est juste pour me triguer qu'il fait ça. [02:03:34] Speaker C: Il m'a tendu comme ça. En même temps, un batteur qui n'est pas trigué n'a pas compris. Parce que le trig, c'est un système pour déclencher des sons dans les batteries. [02:03:44] Speaker A: Que je n'utilise pas du coup. [02:03:47] Speaker C: Parce que vous, c'est tout naturel. Tout naturel. Ça se crache dans les mains et puis ça part. [02:03:50] Speaker A: C'est ça, 100% purement. J'ai une image. C'est la bonne, mais j'ai une image. Dans cette émission, je ne sais pas si vous êtes au courant, mais en fait, plus que de parler de tout ce qui se passe en ce moment, on essaie de comprendre aussi qui vous êtes, le parcours que vous avez eu, pourquoi vous avez choisi de faire de la musique et tout cela. Vous avez le droit de ne pas répondre aux questions que je vous pose aussi. Attention, il n'y a aucune obligation. [02:04:12] Speaker C: Vous me dites, je lui fous un petit accueil. [02:04:13] Speaker A: Voilà, il n'y a aucun souci, vous pouvez m'insulter. Mais du coup, voilà, ça commence forcément par quelque chose. À quel moment dans votre vie Vous avez entendu un son alternatif, puissant, qui vous a fait dire « Oh putain, c'est cette musique-là que j'aime. » Ou c'est celle qui, en fait, me procure quelque chose, qui me fait du bien. [02:04:32] Speaker C: Ça fait vibrer un truc qui n'avait pas vibré avant. [02:04:34] Speaker A: Ça fait boum boum. [02:04:35] Speaker D: Alors moi, le tout premier, disons, en rock, donc ça date, je parle de ça, je crois que c'est Money for Nothing de Dire Straits, l'intro à la guitare, donc j'étais vraiment gamin. Et ça clairement, donc on avait le visuel à la maison et je les ai tournés en boucle et ça m'a mis vraiment les poils quoi. [02:04:56] Speaker A: Bon en même temps la chanson est mortelle donc... [02:04:57] Speaker D: Voilà, donc ça c'est mon premier, voilà, c'est la première fois que je me suis dit putain mais la guitare c'est quand même mortel quoi. [02:05:03] Speaker A: Donc ça veut aussi dire que chez toi il y avait quand même du rock. [02:05:06] Speaker D: Il y avait du rock à la maison, ouais. [02:05:08] Speaker A: Ça c'est quand même cool, ça permet aussi d'être éduqué, ça veut pas dire qu'on a envie d'écouter la même chose que les parents. [02:05:14] Speaker D: Non, non, mais il y avait du Pink Floyd, il y avait plein de choses. [02:05:18] Speaker A: Mais c'est cool, c'est bien. Il y avait une entente, la famille voulait t'éduquer aussi, enfin t'apprendre, te laisser découvrir cette musique. [02:05:25] Speaker D: En fait, disons que... Moi, les parents. [02:05:28] Speaker A: C'Était des fêtards, donc ils mettent de. [02:05:30] Speaker D: La musique, ils postent la merguez par terre... Nous, la musique tournait quand même pas mal à la maison, donc j'ai été baigné là-dedans, donc c'est venu vraiment naturellement. Et c'était pas, voilà, qu'on n'était pas sur l'accordéon, qu'on n'était plus sur la chanson, voilà, c'est du rock. [02:05:42] Speaker C: J'ai l'impression qu'au moment où il a dit l'accordéon, c'était un peu pour viser certaines cultures, mais bon... Oui, ben justement. [02:05:50] Speaker A: Je me tourne vers toi ! On est tous les deux polonais, donc... Et ben moi aussi, c'est pas... Bon, putain, je suis seul ! [02:05:57] Speaker C: Merde ! [02:05:58] Speaker E: Non, non, moi c'était pareil, baigné dans le rock depuis tout petit, quoi. Mes parents, grands fans de Bruce Springsteen et toute l'espèce de rock US dans ce délire-là. Mon père qui avait une petite trende punk, un peu old school, enfin le clash, les Sex Pistols, tout ça. Et c'est lui qui m'a clairement mis dedans, quoi. Le truc, on avait le rituel, c'était tous les mois, il achetait le Rock Sound. On avait le CD. C'est lui qui écoutait à la base, quoi. [02:06:23] Speaker A: Mais bon, on l'a écouté ensemble. Après, j'ai un certain âge, mais quand même. [02:06:29] Speaker E: Du coup, tous les mois, on avait 10, 15 nouvelles chansons de trucs qui sortaient, qui étaient un peu curated par des gens qu'on suivait, quoi. Et moi, j'ai découvert Blink 182 dans ces trucs comme ça. Je commençais un peu à faire de la batterie, donc je mettais le le CD à fond sur les enceintes dans la chambre et puis j'ai essayé de jouer par-dessus quoi. [02:06:49] Speaker A: Et c'est comme ça que... [02:06:49] Speaker C: Ton père fait de la musique aussi ? [02:06:51] Speaker E: Oui, mon père fait de la... Oui. [02:06:52] Speaker A: Musique, je sais pas si c'est le terme... [02:06:55] Speaker E: Le terme officiel, mais il fait du bruit, ouais. [02:06:57] Speaker B: Moi. [02:07:00] Speaker E: On en parlera, je vous enverrai le CD qui va sortir. [02:07:03] Speaker C: Ah, il y en a d'autres ? [02:07:06] Speaker B: Ouais. [02:07:06] Speaker C: On a des exclus. [02:07:08] Speaker A: Et puis peut-être aussi ça, Bing Bang. [02:07:11] Speaker C: Vivement le clip quand vous nous l'envoyez comme ça, on le diffuse ? [02:07:14] Speaker A: On fait une vidéo, démerde-toi. On trouvera, on fera. Bon c'est cool, donc il y a quand même un apport de la part des parents, il y a quand même de la musique musicien... [02:07:23] Speaker C: Musicien ? [02:07:23] Speaker D: Non, non, pas du tout. [02:07:26] Speaker A: C'est déjà cool. Après du coup, cette musique, vous l'avez développée avec les potes ? C'est-à-dire qu'elle est au collège ? Au lycée ? C'est devenu un truc qui a créé votre amitié avec d'autres ? ou plutôt où vous étiez seul, ce qui est le cas de pas mal de gens finalement aussi dans cette musique. [02:07:42] Speaker D: Moi je me sentais quand même un peu seul au collège parce qu'après bon j'ai commencé à écouter du rock un peu plus en dedans et on m'a prêté le CD de Slayer Raining Blood. [02:07:55] Speaker A: Un pote ? [02:07:56] Speaker D: Ouais un pote qui avait un grand. [02:07:57] Speaker A: Frère. [02:08:00] Speaker D: Qui filiait plein de choses, et donc je suis rentré chez moi, je me souviens, parce que le collège n'était pas très loin, donc je suis rentré à pied, avec mon CD dans la poche, et je suis rentré chez moi, et donc j'ai vérifié que mes parents n'étaient pas là, et j'ai eu le CD, et clairement, je n'ai pas compris. Mais ça m'a vraiment, la pochette etc, les textes qui sont quand même assez costauds, ça m'a vraiment vraiment intrigué et après voilà que je suis tombé là-dedans. [02:08:36] Speaker A: Ah oui, c'est peut-être le côté crush. L'autre a foutu les poils, mais là, je t'ai dit, putain, c'est ça. C'est ça, là, je sens que je peux... Ça donne de la force. [02:08:45] Speaker C: Ce qui est bizarre, c'est que cette narration, franchement, si tu sais pas de quoi il parle, au début, tu crois que c'est la première fois qu'on lui a donné une cassette porno. tu rentres avec dans la poche, tu vérifies que personne n'est là, tu le mets dans le magnétoscope, et là du. [02:08:58] Speaker A: Coup... Et là la première fois que. [02:08:59] Speaker C: J'Ai des frissons et tout, et la deuxième partie carrément on est dans la drogue, et là c'est là que je suis tombé dedans, je m'en suis jamais sorti, voilà. Est-ce que c'est pas l'alliance du porno et de la drogue ? [02:09:14] Speaker A: Écoute, je laisserai les gens choisir. [02:09:16] Speaker E: Je sais que c'est un rock'n'roll, ça. [02:09:17] Speaker A: Sort pas de nulle part. Après, est-ce que le rock'n'roll c'est que ça ? Non. [02:09:23] Speaker C: La preuve ? [02:09:24] Speaker E: Ça serait limité. [02:09:25] Speaker A: Je me prends pas dedans. [02:09:27] Speaker C: Je te rappelle que tu me refuses tout. [02:09:33] Speaker B: Pierre. [02:09:34] Speaker C: Je dors sur la béquille depuis un moment Pierre. [02:09:37] Speaker A: Non mais c'est toujours intéressant d'entendre les artistes parler de ça et même les personnes qui sont dans ce métier parce qu'il y a toujours un moment qui est déclencheur, il y a un truc qui... Et puis c'est souvent parce qu'il y a un truc très extrême qui les bouleverse et qui les perturbe mais qui sentent cette force aussi qui leur donne envie de... Tu te sens appartenir à un truc parce que peut-être tu te sens aussi différent, bizarre... Les gens te le font imaginer, c'est souvent ce qu'on a tous ressenti. [02:09:59] Speaker E: Je sais pas, moi j'ai pas eu trop ce délire-là parce que j'ai toujours. [02:10:01] Speaker A: Été dans ce côté rock, j'ai toujours été punk. [02:10:04] Speaker C: Toi ça a été graduel quoi, mais assez vite. [02:10:07] Speaker E: Ouais, et en fait j'ai toujours fait de la musique aussi. J'ai commencé le solfège, j'avais 5 ou 6 ans. [02:10:11] Speaker A: Ah oui d'accord. [02:10:12] Speaker E: Et du coup j'ai toujours été intrigué par faire de la musique et le faire avec des gens. assez rapidement rencontrer des gens qui m'ont permis de le faire avec eux. [02:10:20] Speaker A: Oui mais est-ce que c'est pas parce que t'étais dans un lieu où il y avait aussi des gens qui le permettaient ? Il y a des collèges d'Air Saint-Coupini... [02:10:26] Speaker E: Quand t'es au collège d'Air Saint-Coupini, pour trouver 4 mecs qui font du métal, faut quand même se lever quoi. [02:10:33] Speaker A: Et où ? Voilà. Non, moi c'est ça que je trouve. [02:10:36] Speaker E: Fort aussi dans l'histoire de General Lee slash John Hone et tous les groupes que j'ai pu avoir avant, c'est qu'on est quand même dans la Pampa Ch'ti, dans une ville de mineurs. Le passif mini est complètement dingue. [02:10:52] Speaker C: Au milieu des corons, quoi. [02:10:53] Speaker A: Ouais, clairement. [02:10:55] Speaker E: Et il y a des mecs qui écoutent la même musique que toi ou qui t'aident à la faire découvrir. Et moi, je fais de la batterie. Ça tombe bien parce que lui, il est bassiste et puis l'autre, c'est un guitariste. Et il y a un mec qui est sur fan et qui dit, vas-y, j'essaie de chanter dans un truc, puis on voit ce que ça donne. Et de se dire qu'on est tous dans le même endroit, au même moment, avec les mêmes passions, les mêmes envies. [02:11:15] Speaker A: Et tout ce côté-là, il y a. [02:11:17] Speaker E: Quand même un alignement des planètes incroyable pour se dire, vas-y, on fait du métal dans Nord-Pas-de-Calais. [02:11:24] Speaker A: Après, tu sais, je pense que c'est un peu pareil dans toutes les régions de France. [02:11:27] Speaker E: Ouais, mais tu vois, Paris, t'as quand même cette côté, t'as tellement de gens, t'as tellement d'émulsions, t'as tellement de concerts et tout ça, donc tu peux déclencher ces passions plus facilement, je pense. [02:11:37] Speaker A: Quand t'es dans un band, c'est sûr que c'est plus compliqué, mais je pense qu'il y a toujours ce moment où tu rencontres la personne qui est peut-être pas dans le même kiff que toi musical, mais en tout cas ça reste du rock. C'est déjà pas mal, donc tu t'apprends à écouter des trucs plus softs et plus violents. Il y en a un qui lead sur l'autre souvent parce qu'il est trop content d'amener la petite cassette, faire découvrir, ça dépend des personnes. Moi je sais qu'on m'a amené toujours tout, j'ai jamais rien découvert tout seul. [02:12:01] Speaker C: Comme maintenant. [02:12:03] Speaker A: Parce que maintenant c'est internet donc ça c'est un peu plus rapide. Sur un plateau d'argent ! Mais non mais il y a ce jeu aussi, tu parlais de rock sound, c'est marrant parce que bon moi mes parents ils ont jamais acheté de magazine comme ça. Mais c'est ma soeur, c'est ma grande soeur qui m'a fait découvrir le rock. D'abord des trucs beaucoup plus soft mais très rapidement effectivement soit dans les paroles, moi c'est les paroles en fait qui m'ont fait passer au métal. C'est-à-dire que j'ai lu, elle m'a amené Korn, elle m'a fait bon tiens lis ça. Tu m'as pas aimé la musique mais... Et papa ! Non mais alors, c'est... Voilà, il y avait des paroles là, attention ! [02:12:33] Speaker C: Tu t'es plus faguette qu'il t'avait... [02:12:38] Speaker A: C'est gratuit ! Non mais il y avait des paroles qui m'ont touché et quand j'ai écouté la musique après, j'ai fait je comprends la musique, c'est ça qui m'a... Mais avant sans les paroles, j'avoue que la musique je ne la comprenais pas. Mon oreille ne l'acceptait pas. Et après tu... Bon après j'étais parti là, non... Mes parents étaient très déçus. [02:12:55] Speaker C: Ah oui tiens alors c'est du coup c'est la question parce que du coup tu t'es un peu caché au début pour écouter Slayer mais bon à partir du moment où t'as aimé t'as été obligé de faire ton coming out, comment ça s'est passé ? [02:13:06] Speaker D: Progressivement, je suis allé cool. Ouais ouais je suis allé cool mais après j'ai quand même réussi à me faire faire payer le black album de Metallica par mon père et ensuite j'ai quand même réussi aussi à me faire payer le machine head donc le premier quoi voilà donc voilà et ensuite j'ai réussi à faire en sorte que mon père devienne fan du background de Metallica quand même. [02:13:28] Speaker C: Ouais, super. Celui-là il est... Il aide surtout pour les balades quoi. Tiens écoute, écoute Unforgiven. [02:13:37] Speaker A: Exactement c'est ça voilà. C'est bien parce que ça construit aussi la stratégie. Après professionnellement parlant t'as quand même un mécanisme qui est plus intéressant. Non, je pense, non ? Ça construit forcément quelque chose en toi. Je dis pas que c'est quelque chose de pervers, c'est professionnel. [02:13:53] Speaker C: Non, mais la question c'est, est-ce que ça lui sert aujourd'hui de faire des stratégies ? [02:13:57] Speaker A: Non, mais c'est pas la question que j'ai envie de lui poser. Ah, d'accord. C'est sûr ? [02:14:00] Speaker C: C'est sûr que tu veux pas lui poser cette question ? Non, je veux pas lui poser ce. [02:14:02] Speaker A: Genre de questions, il fait ce qu'il veut professionnellement. D'ailleurs, vous travaillez à côté. [02:14:08] Speaker D: Ah ouais, évidemment, évidemment. [02:14:10] Speaker A: Le but serait de l'intermittence, comme on en parle souvent, ou ça reste quand même un bonus ? Pourquoi pas ? [02:14:18] Speaker D: Non, moi pas du tout, moi je passe déjà dans le milieu parce que je programme dans une salle de concert, dans un club, donc je suis là-dedans et clairement on n'a jamais fait le moindre de nier avec ce groupe. [02:14:28] Speaker A: Et c'est pas grave. [02:14:32] Speaker C: Il faut bien dire c'est que quand on est aussi nombreux dans un groupe déjà, à partir du moment où tu te déplaces, t'as un camion, t'as un. [02:14:37] Speaker D: Off-Place, il est rallongé, il faut mettre le backline, le machin, c'est l'usine à gaz. [02:14:42] Speaker C: Et puis après, il faut... Tout l'argent que tu gagnes, tu le redivises par le nombre... Bon bah pfff... [02:14:48] Speaker D: Et puis non, en plus, vu qu'on est dispatché, il faut payer le train de machin qui vient de hier, la machin... Bref, c'est vraiment pas la bonne idée, quoi. Mais bon, on y va quand même, tout droit, quoi. [02:14:59] Speaker A: Y'en a qui organisent tout ça ou c'est un peu bordélique ? [02:15:02] Speaker E: C'est très bordélique. [02:15:03] Speaker A: Excessivement bordélique. [02:15:06] Speaker E: Mais ça marche, hein. [02:15:07] Speaker A: Ah oui, je vois bien que ça marche. [02:15:08] Speaker E: On a toujours eu des camions pour aller jouer où on devait jouer, donc ça va. [02:15:16] Speaker C: La beauté c'est qu'ils ont réussi à se trouver dans le Nord. Le problème c'est qu'en étant dans le Nord, il y en a qui ont voulu s'enfuir. [02:15:27] Speaker A: C'est tellement bien le Nord. On a plein d'amis dans le Nord. [02:15:29] Speaker C: Fais de l'accent. C'est un scandale à jouer. Il vous le prend off parce qu'on risque de se prendre des messages d'insultes. [02:15:38] Speaker A: C'est déjà le cas. Je ne le ferai pas. Je vous ai demandé aussi de choisir des groupes et des chansons qui représentent peut-être quelque chose pour vous dans votre évolution, votre existence, des goûts, je ne sais pas, bref, une histoire, une anecdote. [02:15:52] Speaker E: Je sens l'approbation dans les yeux de Ben. [02:15:55] Speaker A: Et Norma Jean, vous m'avez envoyé Norma Jean avec le titre « Memphis will be led to waste ». [02:16:11] Speaker E: J'ai commencé avec mon père dans le punk, le punk à roulettes. J'ai dévié vers le néo-métal quand c'était la grosse période, les Playmobil, du coup Korn, Limp Bizkit, etc. C'était vraiment mon dada. Et puis il y a mon chanteur de l'époque, de mon modeste groupe de néo-metal quand on était au collège, qui lui avait son grand frère qui ramenait des trucs et qui lui a mis le premier album de Norman Jean dans les pattes. [02:16:37] Speaker A: Et il lui a dit tiens, casse-toi les dents ! [02:16:40] Speaker E: Et le néo, le néo t'oublie, c'est fini. Maintenant on fait ça. Donc il m'a fait découvrir cet album de Norma Jean et j'ai fait pareil, ok, maintenant on arrête les conneries et puis on fait du Norma Jean, tout de suite. [02:16:55] Speaker A: C'est un step, là tu passes... Et. [02:16:58] Speaker E: Puis j'ai un affect qui s'est créé avec Norma Jean et on a eu la chance de pouvoir jouer quelques fois avec eux dans mes vies précédentes. On a vu Norma Jean à la fin de notre tournée en Russie, ça c'est en Russie, un de ses souvenirs complètement con. On avait fait nos dix dates en Russie et on s'est dit bah vas-y en fait on reprend l'avion que dans deux jours. Donc on est remonté à Moscou. Qui est-ce qu'il y a à Moscou ce soir-là ? On imagine. [02:17:22] Speaker A: Petit plaisir. [02:17:23] Speaker D: Et on a laissé le chauffeur remonter seul et 2600 kilomètres pour ne pas rater le concert. [02:17:31] Speaker A: Sympa les gars ! C'est ça le rock ! Il y avait un concert et puis lui il devait rentrer de toute façon. [02:17:39] Speaker D: Donc on a pris l'avion et puis on est arrivé là-bas et on s'est dit tiens c'est dommage on aurait bien terminé le tour par cette date love en ouverture mais on a malheureusement... On était juste dans le public quoi. [02:17:48] Speaker E: Mais bon c'était vachement bien. [02:17:49] Speaker A: Ça fait déjà plaisir. [02:17:51] Speaker E: Et puis Norma Jean, j'ai eu la chance aussi d'avoir choré sur une de mes chansons. Et cette chanson-là, Memphis Will Be Right West, c'est aussi avec le chanteur de The Chariot. qui a été aussi un des éléments fondateurs de ma culture de maintenant. [02:18:04] Speaker C: Pour ceux qui ne le savent pas, le premier chanteur de Norma Jean, c'était le chanteur qui est après parti dans The Chariot, qui est maintenant dans CC8. Et le chanteur qui a remplacé dans Norma Jean, c'est Corey, qui était en feat avec Branson Ellis, parce que ce monsieur a aussi joué dans Branson Ellis. [02:18:23] Speaker A: C'est pas si dur, je suis sûr. [02:18:28] Speaker C: Que les gens ont suivi. [02:18:29] Speaker A: Oui mais les gens ont tous un cerveau, pas moi. [02:18:33] Speaker E: Tout ça pour dire que Normagine c'est vraiment un de ces éléments, de ces groupes qui m'a marqué et cette chanson-là en particulier parce que c'est celle qui m'a fait passer du néo à toute cette nouvelle frange de métal de l'époque. [02:18:43] Speaker C: Et puis c'est, du coup, pour ceux qui ne connaissent pas Norma Jean de cette période-là, c'est le tout début de Norma Jean. Grosse influence, grandement influencée par Botch et des groupes un peu de ce style-là. Et ils arrivent avec un truc qui est à l'époque et enfin... qui est ultra... En fait le son est pas énorme, mais la compo est folle. En fait c'est ça, c'est que les sons sont très naturels, la batterie elle sonne hyper naturelle avec de la room et tout, donc on sait que c'est pas grugé dans tous les sens, c'est juste un putain de morceau bien joué, c'est puissant, c'est fou à voir. [02:19:22] Speaker A: Quand je dis gros morceau, c'est que je pense qu'une personne qui écoute par exemple Bob Marley, quand il entend ça il va pas dire « Ah oui. [02:19:27] Speaker C: C'Est mignon, il y a une belle composition ». Non mais c'est surtout que les gens écoutaient bien, mais le morceau, quand on croit qu'on est arrivé au maximum de ce qu'il pouvait y avoir, ils trouvent une nouvelle méthode pour en remettre une petite couche par-dessus. [02:19:42] Speaker E: Il y en a un peu plus, je vous malreste. [02:19:44] Speaker A: J'ai une autre image. [02:19:46] Speaker C: Tu te souviens, on te l'a souvent dit ça. Il y a encore 20 centimètres. [02:19:50] Speaker A: On peut regarder... Au moins écouter parce que le clip, bon, il est amusant, il est particulier. [02:19:55] Speaker E: Il est de 2002, quoi. Il est dans son jus, comme on dit. [02:19:58] Speaker A: C'est ça, voilà. Allez, la Dishonor Magic. [02:20:22] Speaker B: C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! C'est parti ! C'est quoi ce bordel ? C'est pas normal ! C'est génial ! [02:27:51] Speaker A: Je crois qu'il a très peur. Il se tenait la tête dans le noir. [02:27:54] Speaker C: Il savait que t'arrivais Pierre. [02:27:56] Speaker A: Je crois qu'il a eu peur surtout de tout le sous-son qui sortait. Il se. [02:28:00] Speaker E: Demandait où était sa boîte de strepsils je pense. [02:28:03] Speaker A: Alpha Wolf, c'est ce qu'on vient d'écouter et de regarder dans Bang Bang, c'est comme ça tous les dimanche soir je le rappelle, c'est un live Twitch. Pour ceux qui découvrent sur Youtube ou ailleurs, c'est un live Twitch qui a lieu tous les dimanches à partir de 19h avec des invités, musiciens ou autres. Et ce soir c'est Junon qui est avec nous puisqu'ils ont sorti un album qu'on vous conseille d'écouter évidemment, il est disponible sur toutes les plateformes d'écoute. légale. Allez donc liker leur page, allez donc follow et vous allez voir qu'il y a des dates de concerts qui sont à venir. Je vois bien sur le Facebook par exemple, il y a tout ce qu'il faut comme informations. [02:28:32] Speaker C: C'est bien fait ça, c'est formidable. [02:28:35] Speaker D: C'est un travail, c'est un métier. Je passe énormément de temps sur les réseaux sociaux. Je suis préposé. [02:28:44] Speaker A: Ce sera toi. [02:28:46] Speaker C: C'est la répartition des tâches mais apparemment on choisit pas vraiment. [02:28:50] Speaker D: Moi l'avantage c'est que voilà en fin de concert moi je ne cherche pas de camion quoi. [02:28:59] Speaker C: Par rapport aux matos et tout là c'est qui sont vraiment les connards c'est les batteurs. [02:29:07] Speaker E: Je le prends un peu pour moi. C'est aussi pour ça que je joue avec de moins en moins de choses. Maintenant j'ai plus qu'une grosse caisse, deux tomes, deux cymbales et on frappe fort. [02:29:19] Speaker A: Et ça suffit normalement. [02:29:21] Speaker C: Déjà deux tomes c'est beaucoup. [02:29:22] Speaker E: Ouais je pense que dans le prochain album il n'y en aura plus qu'un. [02:29:26] Speaker C: Du coup ils pourront plus jouer les chansons d'avant. [02:29:29] Speaker A: Il y a plein de dates au mois d'avril, je vois qu'il y a Pau, il y a Paris aussi. Il y a quelques dates, je ne vais pas toutes les donner, mais vous allez jouer avec certains groupes, on ne va pas en parler maintenant parce que vous avez sélectionné l'un de ces groupes-là en clip pour la suite. Moi je vais juste vous donner la liste des concerts qui se passent. Cette semaine et la semaine prochaine, ça en fait un paquet, donc attention, ça va être indigeste, mais c'est pour que vous vous soyez toutes et tous au courant. Demain, que se passe-t-il ? Il va y avoir Judas Priest. Non pas en string, mais toujours en veste de cuir aux zéniths. Il y aura aussi Blight. [02:30:02] Speaker C: Après, on n'est pas au courant de. [02:30:02] Speaker D: Ce qu'ils portent en dessous. [02:30:04] Speaker A: Oui, il fait ce qu'il veut. Blind Chanel avec Ghost Kid à la machine du moulin rouge, il y a The Dirty Neal et Sick Joy au point éphémère. Mardi, il y aura Peggy à la cigale, Kazé à petits mains, on vous a offert des places la semaine dernière, je vous le rappelle. Mercredi, il y aura The Clockworks au supersonique. Jeudi, il y a Knucklehead, qu'on adore, du côté de la maroquinerie. Vendredi, Drag The Under au backstage. Samedi, The Jesus and Mary Chain à l'Elysée Montmartre. Et sachez que ce groupe là, ça fait un bon bout de temps qu'ils existent et que j'ai des places à vous offrir. Alors c'est pas métal, mais ça reste rock. Et ça vous permettrait en tant que métalleux peut-être de découvrir autre chose. Donc n'hésitez pas à jouer, c'est gratuit. pierre-restless.com, pierre-rstlss.com, vous mettez votre nom et prénom, parce que pour vous mettre sur la liste c'est plus rapide. Jesus and Mary Chain, voilà. [02:30:54] Speaker C: Et vous n'êtes pas obligé d'être croyant. [02:30:57] Speaker A: Ah pas du tout non, ça n'a rien à voir. [02:30:58] Speaker C: Non mais je préfère le dire parce que... [02:31:00] Speaker A: Il y a un festival hardcore du côté de Hattiesmons avec Loco Muerte. Dimanche 14 avril, il y a The Answer à Petit Bain. [02:31:08] Speaker C: Et eux, ils ont la réponse. [02:31:11] Speaker A: On les avait reçus à l'époque. Ça s'était très bien passé. C'était quoi les questions ? [02:31:15] Speaker C: Qui est le groupe ? [02:31:16] Speaker A: Voilà. Tout simplement. Et ils ont enfin trouvé la réponse. Jeudi 18 avril, il y a quand même une petite pause en début de semaine prochaine. Enfin, semaine d'après. Il va y avoir Simple Minds au Zénith. [02:31:28] Speaker C: Ah bah ça c'est pour toi. [02:31:30] Speaker D: Et c'est pour moi aussi. [02:31:31] Speaker A: Ah toi aussi ? Ouais mais c'est pas la même vanne. Toi c'est parce que t'as mis la langue musique, moi c'est que je suis con. [02:31:36] Speaker C: Il est simple à discrétion. [02:31:38] Speaker A: Stone Jesus and Grand Mother She's du côté du Trabando. Pareil. [02:31:41] Speaker C: Pas obligé d'être croyant pour Stone Jesus. [02:31:43] Speaker A: Voilà, The Warning à l'alambra. [02:31:45] Speaker C: Voilà. [02:31:45] Speaker A: Très bon. Pities au supersonique, on fait un coucou à Aurélie. [02:31:48] Speaker C: Attention. Avec un peu de chance, elle aurait mis une culotte. Je fais une blague par rapport à... Elle est venue dans l'émission et à un moment... Bon. [02:31:58] Speaker A: Voilà. [02:31:58] Speaker C: On est obligé d'incruster un petit chat. [02:32:01] Speaker A: Sinon la vidéo ne pouvait pas se retrouver où que ce soit. Samedi 20 avril, on l'adore, il y a Landmarks à La Cigale, c'est complet donc si vous n'avez pas votre place. [02:32:11] Speaker C: Ils étaient bien obligés de jouer à La Cigale les Marseillais. [02:32:13] Speaker A: Tout à fait. Il y a Kit Capichy aussi à La Maroquinerie, ça je vous le conseille vraiment chaudement aussi parce qu'on adore ce groupe. Top, D.O.D. ça existe toujours. [02:32:20] Speaker C: Alors là on n'en connaît qu'un qui. [02:32:21] Speaker A: A envie d'y aller, c'est Marcel, du côté du fond. [02:32:25] Speaker C: En plus c'est le chanteur de Statix. [02:32:30] Speaker A: Tu veux dire la machine ? [02:32:31] Speaker C: Non, j'ai rien dit, j'ai rien dit, j'ai rien dit. [02:32:34] Speaker A: On l'appelle comme ça dans le milieu, la clé USB. Et enfin, dimanche 21 avril, il y a The Antwoord à l'Olympia. [02:32:41] Speaker C: Alors, c'est drôle parce que The Antwoord, ça veut dire The Answer. [02:32:45] Speaker A: Vrai. [02:32:45] Speaker C: Coïncidence ? [02:32:47] Speaker A: Je crois pas, je sais pas même. Pourtant, ça n'a rien à voir. [02:32:49] Speaker C: Ah, et le dernier groupe du dimanche 21 avril, c'est pour eux ça ? [02:32:52] Speaker A: Marduk, voilà, à la machine du Moulin Rouge. [02:32:55] Speaker E: La Pologne. [02:32:55] Speaker A: La Marduk. [02:32:57] Speaker C: La marde que des canards. [02:32:59] Speaker A: Oh putain, voilà donc... Ça c'est plus pour ton père. Encore une fois, si vous avez envie de gagner vos places pour aller voir The Jesus & The Mary Chain, je vous envoie un petit email, c'est pas compliqué. Pour ceux qui ont joué sur Instagram, il y aura un tirage au sang, mais pour les personnes qui jouent ici, c'est beaucoup plus simple de gagner, je vous le dis tout de suite. [02:33:15] Speaker C: Et en objet du mail, ne mettez pas la Bible. [02:33:21] Speaker A: Mettez moi le nom du groupe sinon je ne vous retrouverai jamais. [02:33:24] Speaker C: J'avais oublié que c'était toi. [02:33:26] Speaker A: C'est moi qui sélectionne le game. J'ai une petite roulette comme ça, c'est très rigolo. Du coup, on va regarder, vous ne connaissez pas du tout, dans tout ce que j'ai dit là, il y a un flou à l'artistique global ? [02:33:35] Speaker E: Il y a Landmarks, qui est le nom du Judas Priest. [02:33:40] Speaker D: Parce que 72 ans quoi ! [02:33:41] Speaker A: Oui c'est vrai ! [02:33:43] Speaker D: 72 ans au chant, moi j'ai écouté l'album, franchement ça assure vraiment, c'est vraiment vraiment impressionnant quoi, voilà. [02:33:49] Speaker A: Et puis le mec il est marrant, il ne se prend pas la tête. [02:33:52] Speaker D: Il ne prend pas les choses au. [02:33:54] Speaker A: Sérieux, et ça c'est cool. [02:33:56] Speaker C: C'est dingue de se dire qu'il est plus vieux qu'Ozzy Osbourne ! [02:34:00] Speaker A: Il est plus vieux qu'Ozzy Osbourne ? Ils ont pas le même âge quasiment ? [02:34:03] Speaker D: Ouais je pense qu'ils ont quasiment le même âge. [02:34:04] Speaker C: Je crois qu'Ozzy Osbourne est un petit peu plus jeune. [02:34:06] Speaker D: Après il y en a peut-être un. [02:34:08] Speaker C: Qui... Ah bah je sais pas. Il y a peut-être des substances qu'il conserve plus que d'autres. [02:34:14] Speaker A: Le cuir, par exemple. On pensait sûrement autre chose. Il y en a qui se mâchent et il y en a qui boivent. La suite c'est juste un clip, pour ceux qui ne connaissent pas, de The Jesus & Mary Chain. C'est très très mignon. C'est leur dernier album. Encore une fois, moi j'y connais pas grand chose, mais toutes les vieilles personnes m'ont dit « il est superbe, tout le monde veut aller là-bas quand t'as plus de 45 ans ». Donc voilà, ça peut être une belle découverte. [02:34:39] Speaker C: Voilà, si vous aimez les MILF, vous savez où aller. [02:34:43] Speaker A: Très bien. Disons, c'est l'occasion de pécho. [02:34:47] Speaker C: Voilà, c'est ça, c'est ce que j'essayais de dire. Vous savez, il faut motiver les gens. [02:34:50] Speaker A: Quand on peut pire. D'une fois, cette agence se sont débarrassés de leur mec, donc du coup, voilà, c'en y va. [02:34:54] Speaker C: Voilà, c'est parti. [02:34:55] Speaker A: Je vais faire un bisou à ma mère. [02:35:20] Speaker B: To simplify To get by To nullify There is something you should know There is something I don't share I fill myself with chemicals et... Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Il y a quelque chose que vous devriez connaître Il y a quelque chose que je ne montre pas Je me sens avec les canicules To hide the dark shit I don't show To hide the dark shit I don't show To hide the dark shit I don't show Je ne me sens pas en paix Je ne me sens pas en paix J'ai l'impression que je ne peux pas changer Parce que je... J'ai perdu le contrôle Encore et encore Je me débrouille J'ai traversé un mur En cherchant une cure Je n'ai plus envie de faire ça S'il te plait, s'il te plait, s'il te plait Je n'ai plus d'espoir. [02:43:14] Speaker A: Ah bah c'est assez tranché comme avis. [02:43:19] Speaker C: Désolé, on a eu un conflit avec quelqu'un qui nous a cassé un ordinateur et depuis ça marche plus. D'ailleurs, espèce de méchante personne, si tu pouvais nous rembourser l'ordinateur que t'as pété. [02:43:34] Speaker A: T'étais consciente. [02:43:35] Speaker C: Ouais, pas consciente je pense. [02:43:38] Speaker A: De l'avoir pétée ? Non, mais en plus est-ce qu'elle est dans le même état encore que la dernière fois ? C'est possible. [02:43:42] Speaker C: J'espère pas pour elle parce que sinon. [02:43:43] Speaker D: Ça va être grave. [02:43:44] Speaker A: Je pense que c'est quelqu'un qui aime bien boire. Bon bref, ça s'appelle comment ? Ça s'appelle « Future Palace » qu'on vient de regarder et d'écouter, avec un titre qui s'appelle « Uncontrolled ». Bon, voilà. [02:43:55] Speaker C: J'ai bien compris qu'on ne pourra pas la contrôler. [02:43:57] Speaker A: Par contre, j'ai l'impression qu'elle a mangé beaucoup trop d'aluminium. [02:43:59] Speaker B: Ah bon ? [02:44:00] Speaker A: Pourquoi ? [02:44:00] Speaker C: Parce qu'elle aime le métal ? [02:44:01] Speaker A: Non, elle était toute grise comme ça. Tu crois qu'on ne devient pas comme ça quand on mange de l'aluminium ? [02:44:05] Speaker C: Non, je ne sais pas. Faudrait demander au pot au « Car Crash Control ». [02:44:10] Speaker A: Putain, bien vu. [02:44:11] Speaker C: S'ils ont une chanson qui s'appelle « Aluminium ». Non, toi je sais que tu sais. [02:44:16] Speaker A: Ben si, on l'a passé. Ah bon ? [02:44:17] Speaker B: Oui. [02:44:17] Speaker C: Ah tiens ! [02:44:18] Speaker A: Je me souviens d'un truc. [02:44:19] Speaker C: T'es là pendant l'émission maintenant. [02:44:20] Speaker A: Quel enfoiré de merde ! Enfoiré de merde. Bon allez vas-y. Ah d'ailleurs j'ai pas fait l'accent. Pierre on a des invités. Junon ce soir, quand vous regardez des clips comme ça justement, l'actualité, les groupes récents ont parlé hors antenne de tas de choses. Les clips, le son, le spectre de ce que ça donne à la fin. [02:44:42] Speaker E: Le boudin. [02:44:43] Speaker A: Non mais c'est intéressant alors attention. [02:44:45] Speaker C: Déjà est-ce que vous aimez le boudin ? Si oui avec pomme purée ou pomme frite. [02:44:50] Speaker E: Non, riz et compote de pommes. [02:44:54] Speaker C: Ah ouais, carrément, ça c'est vraiment un truc du Nord je crois. Du Nord polonais. [02:44:58] Speaker A: C'est juste qu'il n'y a pas de concept, j'ai ce qu'il y a là. Non mais on en parle en rentaine et bien évidemment des gens vont croire qu'encore c'est méchant ou que c'est quel connerie mais vous avez forcément un avis là-dessus dans le sens où vous, votre musique, on en parlait, il y a aussi cette recherche que ce soit bien enregistré avec une musique qui existe plutôt que quelque chose qui est juste un bout d'enregistrement. [02:45:20] Speaker C: Je pense qu'au-delà du fait que ce soit bien enregistré ou pas, enfin les autres trucs c'est bien enregistré aussi, mais c'est plus dans le côté... Surproduit ? Ouais, pour vous c'est quoi l'approche d'un morceau ? Qu'est-ce qui est agréable aussi ? [02:45:34] Speaker E: Je pense que nous, notre vraie esthétique, c'est de se dire qu'il faut qu'on puisse savoir le jouer en live. C'est vraiment ça. [02:45:40] Speaker A: C'est déjà un bon point. C'est un début. [02:45:44] Speaker E: On est plutôt partisans de se dire que si on ne sait pas le faire en live, on ne le fait pas au studio. Ça ne sert à rien de mettre 27 couches de chant ou de tapis de double. Je ne sais pas faire de double pédale. Pour finir, la double pédale, on va la mettre sur bande et puis ça passera, ou tu le trigs, etc. On n'est pas dans cette optique-là. [02:46:01] Speaker C: Et puis aussi, moi je trouve qu'un truc qui est assez fort dans votre musique, c'est s'il y a un côté un peu cinématique, enfin, il y a ce côté avec de l'amplitude des atmosphères, et les morceaux aussi évoluent, c'est pas... Un truc monolithique qui est là du début à la fin. Il y a des ambiances, ça redescend, ça remonte. [02:46:25] Speaker A: Du relief. [02:46:27] Speaker D: C'est vrai que c'est un album qui est plutôt varié, et au départ en fait on s'en est rendu compte, on s'est dit comment on va réussir à faire un tout cohérent, qui parte pas trop à droite à gauche. Donc c'était pas facile au niveau de l'agencement de la setlist et les titres, c'était un peu compliqué. Je pense qu'on a réussi à faire... Je pense que ça tient la route, mais c'est vrai que ça a été quand même un petit casse-tête. C'est la première fois, je pense, qu'on fait un album aussi varié. [02:46:58] Speaker E: On a mis plein d'influences dans l'Atlanta et puis on s'est fait plaise. [02:47:01] Speaker A: D'où l'intérêt d'être Juno aujourd'hui aussi. [02:47:03] Speaker D: Moi je ne suis pas du tout. [02:47:05] Speaker A: Musicien mais c'est vrai que c'est intriguant de s'imaginer, parce que là je ne l'avais pas en tête, mais le fait d'en parler, de comprendre comment les musiciens font des morceaux qui finalement sont très séparés comme tu l'avais dit tout à l'heure. tout écrit d'un coup, ça a été très dissocié, puis en fait de trouver une cohérence, j'arrive pas à comprendre comment on peut arriver à faire ça. [02:47:25] Speaker C: Je ne veux pas parler pour vous, mais je pense qu'il y a un truc où c'est la patte des musiciens. C'est-à-dire qu'à un moment tu te... [02:47:35] Speaker A: C'est naturel, c'est-à-dire que vous n'avez peut-être pas forcément l'idée globale, mais l'émotion et l'envie Ouais, il y a ça, mais. [02:47:43] Speaker D: Ça se passe aussi peut-être au studio, quoi. Parce que nous, on s'est retrouvés avec Francis Cass, donc il voulait savoir un petit peu ce qu'on voulait comme couleur de son, quoi. Le truc, c'est qu'on a quand même deux styles de morceaux, voilà, qu'on va dire. On a des trucs un peu plus hardcore, plus rythmés, etc. Et des trucs plus rampants, voilà, comme une olytique. Et on essaie de trouver un son qui puisse sonner... [02:48:07] Speaker A: Voilà. [02:48:09] Speaker D: Voilà pour les deux quoi. [02:48:10] Speaker A: Donc il y a aussi ce discours. [02:48:11] Speaker D: Avec le... Ouais voilà, je pense qu'il a réussi mais voilà c'était pas évident quoi parce que c'est vrai que c'est quand même assez éclaté quoi l'album quoi donc il faut quand même trouver... [02:48:20] Speaker E: Il faut que ce soit assez massif, assez rentre-dedans, quand c'est énergique, il faut garder ce côté agressif, en fait, quand la musique va vite. [02:48:26] Speaker A: En vrai, quand c'est doux, c'est très sombre. [02:48:28] Speaker E: Du coup, quand c'est lent, il faut que ce soit lourd et ample, et tu peux pas te permettre d'avoir un truc très restreint, donc t'es obligé d'ouvrir ton spectre. Et là, il fallait trouver l'espèce de juste milieu, et je pense qu'il y a eu un gros boulot sur les guitares, en fait, là-dessus. quand les passages sont rythmés et rapides justement tu as ce côté très très resserré où tout le monde joue la même chose et ça envoie et par contre dès qu'on veut donner de l'atmosphère c'est là où tu as la guitare d'Alex qui vient donner de l'ambiance qui vient donner des nappes ou les arpèges de Martin et tous ces trucs là qui viennent colorer en fait et donner le côté plus ample et plus atmosphérique. [02:49:05] Speaker A: Du coup au niveau de l'oreille, après quand vous avez des groupes justement qui font des espèces de boudins comme on disait, c'est pas méchant parce que j'aime beaucoup. Ce qui est choisi, attention, c'est que des trucs que je trouve bien moi. Mais encore une fois, je suis pas musicien, j'ai pas cette notion... Ben est beaucoup plus fin là-dessus, il arrive à... Ben si, c'est que... [02:49:23] Speaker C: Je suis pas vraiment fin. [02:49:24] Speaker A: J'avoue que quand j'écoute une musique, c'est plus ce que ça va me provoquer au niveau du cœur, de mon émotion, que vraiment à l'oreille, si j'ai l'impression que c'est... Il y a trop de choses ? [02:49:33] Speaker D: Le problème c'est que si la production c'est la première chose qui ressort vraiment, c'est que ces groupes-là ont voulu mettre en avant le fait de mettre des murs de guitare et des trucs pour que ce soit ultra carré, massif, etc. Le problème c'est que refaire sortir de l'émotion là-dedans, forcément... Oui, oui, je vois. [02:49:55] Speaker C: Il y a plus un côté... [02:49:56] Speaker D: Il y a aussi un côté... [02:50:01] Speaker A: Oui. [02:50:01] Speaker C: Je pense, mais ça rejoint un peu ça, mais ça dépend aussi de ce que tu viens de chercher. [02:50:06] Speaker D: Oui, voilà, c'est ça, si t'as envie de te prendre dans la gueule... [02:50:08] Speaker C: Exactement, si t'as envie d'aller juste dans. [02:50:10] Speaker A: Un pit... Ouais, mais c'est pas pareil ! [02:50:14] Speaker C: Je pense que là, tu peux foutre une tarte dans la gueule sans... Enfin, les trucs dont tu parlais justement, là. C'est le truc où tu fous des tartes dans la gueule, mais à n'importe quand, tout le temps. Alors que je trouve que dans Junon, il y a des moments où ça va plus être... Tu te mets la tête et il y a un moment où ça part et tu t'envoies... Enfin, je pense que c'est plus... Il y a ce truc de... Un peu plus de parcours, quoi. [02:50:37] Speaker A: Là, peut-être qu'il y a un mécanisme, c'est-à-dire qu'il y a quelque chose qui se répète tout le temps, alors qu'il y a une... Leur musique est vivante, c'est ça ? Il y a plus de vie... Non mais c'est des questions... [02:50:47] Speaker C: Je dis pas que c'est pas bien. [02:50:48] Speaker A: C'est de la construction différente en fait. [02:50:49] Speaker E: C'est de la construction différente. Là, ce qu'on a écouté, c'est un peu le truc classique, couplet-refrain, pompe-refrain, avec une grosse prod. Et ce qu'il faut mettre en avant, c'est la prod peut-être avant le contenu. Je pense que nous, on n'a pas cette... C'est une direction là et puis on aime bien en fait construire les chansons, les faire évoluer. On a combien de chansons qui font plus de 6 minutes sur l'album ? [02:51:15] Speaker A: Il y en a 3. [02:51:15] Speaker E: 3 sur 9. [02:51:17] Speaker C: C'est vrai que vous avez un côté plus poste que... Ouais, peut-être, ouais. [02:51:22] Speaker E: Et on aime bien prendre une chanson et puis on fait... Et c'est comme ça qu'on la compose en fait, on la fait tourner, on la fait tourner jusqu'à ce que tout le monde apporte sa couche et en fait les constructions elles se font assez simplement, naturellement. [02:51:35] Speaker A: Et du coup sur scène vous êtes possédé. L'autre est possédé. [02:51:42] Speaker D: Il est obligé. Je suis obligé, j'ai 5 gars qui me regardent là et si je fais. [02:51:45] Speaker C: Pas le boulot, ça va mal se mettre quoi. [02:51:49] Speaker A: C'est vrai qu'on a l'autre qui se barre derrière. Donc on dit bon ok, faut qu'on se tourne vers la bonne personne quoi. C'est vrai que quand on connait les gens c'est pas pareil parce que j'avoue que je t'ai regardé parce que je me suis dit dans ma tête il me semble pas t'avoir vu même avec avant mais je me suis dit putain je le voyais se marrer alors qu'il se marrait pas il jouait, il était. [02:52:10] Speaker C: Quand même bien concentré. Alors tu sais il y a un autre gars on a l'impression qu'il se marre quand il joue c'est le batteur de Converge. [02:52:15] Speaker D: Le batteur de Converge il est là. [02:52:18] Speaker C: Et en fait il est juste en train de je pense il parle à un petit démon Ah oui, je peux. [02:52:21] Speaker B: Aller plus vite ! [02:52:24] Speaker A: Ou bien il a mal quoi ! Quand on fait des grimaces comme ça, c'est pas parce que les musiciens rejouent leur musique dans leur tête en jouant. Ça aussi, je sais pas comment c'est donc j'ai jamais joué. [02:52:35] Speaker E: Il y a beaucoup de théâtre aussi dans la musique qu'on fait et puis quand tu montes sur scène, c'est tout, tu donnes une prestation. [02:52:41] Speaker C: Moi je connais quand même beaucoup de gens de groupes, et je pense à quelqu'un en particulier, je pense à Alex Diaz, le chanteur de The Prestige. On le connaît, c'est un petit nounours Alex. Quand il monte sur scène, ce n'est pas la même personne. [02:52:59] Speaker D: Il est possédé. [02:52:59] Speaker C: C'est un grizzly. [02:53:05] Speaker A: Un petit grizzly quand même ! [02:53:10] Speaker C: Je sais pas ce que t'en penses mais je pense que quand on écrit des textes, quand on compose de la musique, c'est qu'on exprime... Généralement c'est pour exprimer des choses un peu qu'on a à l'intérieur, enfin des émotions. Les mots sont pas forcément... Je pense qu'un chanteur, même s'il dit des mots parce que ça marchait mieux dans le texte, mais l'idée qu'il a derrière ces mots, à chaque fois qu'il les rechante, c'est le principe d'interpréter. C'est que tu ressors ces émotions. Et je pense que si c'est des choses que tu dis dans la musique, que tu dis pas dans la vie de tous les jours, c'est aussi ça qui t'amène à canter sur scène et au moment d'interpréter. de laisser place à ces trucs-là et pas être la personne que t'es dans la vie de tous les jours. [02:53:52] Speaker A: Donc du coup, c'est galvanisant et soulageant. Je sais pas, c'est exutoire ? [02:53:56] Speaker D: Ouais, c'est exutoire. [02:53:58] Speaker A: Comme souvent les artistes ont dit, c'est votre psychanalyse, quoi. Ouais, c'est ça. [02:54:03] Speaker E: C'est des années de thérapie. Ce qu'on fait le rock, c'est des thérapies. [02:54:07] Speaker D: Ça nous permet d'être plutôt équilibrés quoi, voilà. Et dans du temps, c'est plutôt une bonne nouvelle pour nos proches et pour nos amis quoi. Ouais, bah c'est ça quoi. Et après c'est vrai que moi je me rends compte quand même qu'on a vraiment stoppé le groupe là pendant... 5 ans là, j'ai mis un bon... enfin j'ai mis quand même presque un an pour redescendre quoi, parce que ça me manquait vraiment, parce que j'avais plus ce côté... voilà, adrénaline, machin, et pouvoir vraiment me lâcher, et ça... — Ah ouais. [02:54:36] Speaker A: T'Avais perdu un équilibre. [02:54:36] Speaker D: — Ouais, voilà, c'est ça quoi. [02:54:37] Speaker A: — Ah putain, ouais, c'est ouf. [02:54:39] Speaker D: — Mais après tu t'habitues, voilà, malheureusement, et puis ensuite... dès que j'ai repris, parce que voilà, c'est vrai qu'il faut savoir que 5 ans sans faire de chant, Ce type de chant-là, c'est vraiment compliqué et je me suis relancé là-dedans et j'ai retrouvé directement le plaisir de me dire que j'ai 45 ballets et que je vais continuer de cueillir dans un micro. [02:55:01] Speaker A: Je retourne 5 ans en arrière, je rajeunis un petit peu, c'est la musique qui veut ça aussi, de se sentir un peu jeune tout le temps. Après on a mal mais... [02:55:11] Speaker C: Il faut s'échauffer un peu plus avant de monter sur scène. [02:55:14] Speaker D: Ouais, clairement. Avant j'y allais, clope, bière et c'était parti. C'est vrai que maintenant c'est plutôt... [02:55:21] Speaker E: C'est Tourtelle Twist. [02:55:22] Speaker D: Voilà, c'est de la flotte, de l'échauffement et puis... [02:55:27] Speaker C: Un petit jus de kiwi, c'est le riz. C'est ça, voilà. [02:55:30] Speaker D: Exactement. [02:55:31] Speaker A: Bon, pour la voix, il y a un travail qui a été refait aussi, pour ou pas ? [02:55:36] Speaker D: Bah disons... Enfin, c'est un muscle, donc il faut y aller quoi. Il faut aller tout doucement, mais c'est vrai que maintenant je fais quand même vraiment très attention. Je me chauffe même avant les répètes. Avant je ne faisais absolument jamais ça. [02:55:51] Speaker A: Il y avait la fougue de la jeunesse. [02:55:53] Speaker D: Et ce qui est plutôt sympa, c'est quand on le fait bien, on arrive sur scène et on est déjà dedans. Parce que sans t'échauffer, tu mets genre trois titres à être dedans. [02:56:01] Speaker A: Ce qu'on entend c'est souvent en live quand on va voir des groupes. [02:56:05] Speaker D: Mais j'ai l'impression qu'il y a beaucoup plus de chanteurs maintenant qui font gaffe. [02:56:09] Speaker A: C'est l'impression aussi que j'ai, mais encore une fois je suis pas musicien. Avant je criais, en gros, et aujourd'hui j'utilise mon muscle justement, je travaille, je fais des périodes parce que je sais que sinon il y aura des soucis. [02:56:21] Speaker D: Bah le truc c'est que t'apprends, c'est que moi j'ai jamais pris de cours de chant, donc il y a un moment je me suis dit bon bah je vais écrire dans un micro et t'as zéro technique quoi. Donc tu vas en mode cri-cri-mal quoi. Sauf qu'il y a un moment ça marche 10 minutes, après tu mets 15 jours pour dormir, et à force tu trouves des parades et des choses qui font que t'arrives à passer des choses. [02:56:41] Speaker C: Là, ça fait moins mal. [02:56:42] Speaker D: Ouais, voilà, c'est ça. Je peux le faire comme ça, machin. Et après, tu bosses le souffle. Voilà, le souffle, c'est quand même vachement important. Et je pense que prendre des cours de chant, c'est vraiment un plus, quoi. [02:56:54] Speaker C: Totalement, voilà. [02:56:57] Speaker A: Parce que tu peux quand même... Non. [02:56:58] Speaker D: Non, et puis même, je pense que tu peux quand même... Enfin, je pense que tu peux te faire mal, quoi. [02:57:01] Speaker A: Voilà, on a déjà vécu ça, de couner des chants qui ont perdu le... [02:57:05] Speaker C: Mais je pense qu'une des grosses différences entre maintenant... Enfin, pourquoi les gens font plus attention, c'est aussi qu'il y a... Maintenant, il y a des gens qui enseignent le cri, le chant saturé. [02:57:13] Speaker D: C'est vrai que c'est devenu... [02:57:14] Speaker C: En France, on a un spécialiste. Je crois que c'est Cyril Ferron, je crois. Et puis après, il y a Melissa Cross aux États-Unis. Enfin, il y a plein de... Oui. [02:57:24] Speaker A: Et puis les gens sont plus sensibilisés. [02:57:26] Speaker C: C'est-à-dire qu'avant les profs ils disaient qu'il fallait pas crier, et maintenant t'as des gens qui t'apprennent à saturer ta voix. [02:57:32] Speaker D: Sans que ce soit... [02:57:33] Speaker A: C'est plus un... Ça a été démocratisé, le poka a été accepté. [02:57:37] Speaker C: C'est plus comme si t'étais un diable de vouloir faire ça avec ta voix. [02:57:42] Speaker A: Justement, je sais pas si on peut dire que ces gens-là sont des diables, c'est une transition hyper nulle. Mes cornes ! Il y avait une meilleure transition, il. [02:57:50] Speaker C: Y avait sur la structure des morceaux un peu chelou. Ah j'imagine que... Corn quand c'est sorti il y a quand même ce truc où le... Cornu tu veux dire ? [02:58:00] Speaker A: Ouais ! [02:58:01] Speaker C: Allez bon, on va y aller ? [02:58:03] Speaker A: Très bien, très très bien. Ah il est animateur aussi. C'est là que ça se sent. [02:58:08] Speaker C: Je te rappelle qu'il en a fait des émissions lui. [02:58:09] Speaker A: Ah bah oui, et puis elles sont toujours disponibles en podcast si vous voulez regarder. Rock my voice. En noir et blanc. Vous allez avoir des blagues, je vais vous dire qu'il se passe des choses là. Et puis tout ce que vous entendez sur SLS qui est chelou, la radio, ça vient de chez eux. Le petit bonhomme à mousse et tout ça, là que je suis retombé dessus. [02:58:27] Speaker E: Non c'était Licence 4 qu'on avait mis. C'était le guitariste de SLS qui nous a mis ça en plus. [02:58:33] Speaker A: C'est une sombre histoire. Donc Korn ! Qui a choisi Korn ? [02:58:38] Speaker D: Non, c'est moi en fait, donc c'est vachement original. [02:58:40] Speaker A: Non, alors moi je suis fan de. [02:58:43] Speaker C: Korn, mais c'est pas ça. [02:58:44] Speaker D: Pourquoi t'es fan de Korn ? C'est vrai que Korn, c'est beaucoup de souvenirs, c'est Best of Trash sur M6, c'est mon mitoscope, c'est les cassettes. Et quand j'ai vu ce clip pour la première fois, je me suis dit c'est quoi ces mecs en survête avec des dreads, avec des 7 cornes, des. [02:59:04] Speaker A: Sons de mix de hip-hop. Et. [02:59:10] Speaker D: Pour moi c'est vraiment le groupe qui s'est pointé avec une espèce de concept complètement dingue. [02:59:19] Speaker A: Baiser quoi, un truc où tu dirais c'est mort. [02:59:23] Speaker D: Ils sont sales. Et c'est vrai que maintenant voilà, quand. [02:59:26] Speaker A: J'Écoute, j'y comprends plus tu vois. [02:59:30] Speaker D: Mais c'est vrai que voilà quoi, disons que les deux premiers vont quand même m'influencer, ça m'a vraiment donné envie aussi. [02:59:36] Speaker A: Est-ce qu'on a gardé un groove ? [02:59:40] Speaker D: J'en sais rien. [02:59:41] Speaker A: Vous n'avez pas la réponse. [02:59:42] Speaker C: C'est vrai que moi je trouve que vraiment ça ressemble beaucoup quoi. [02:59:49] Speaker A: C'est le premier truc que j'ai écouté. [02:59:53] Speaker C: Y'a des groupes que t'écoutes, tu fais Deftones, Genon t'écoutes, tu fais... Ah, Korn. Surtout la basse, tout. [03:00:00] Speaker A: L'attitude, le jogging. [03:00:01] Speaker C: Les batteries un peu disco. [03:00:04] Speaker E: Ouais, c'est vrai que j'évite le disco, généralement. [03:00:07] Speaker A: Non mais ça peut faire garder un truc, tu vois ce que je veux dire. [03:00:09] Speaker C: Oui, on a bien compris que t'étais fan et que tu voulais dire que c'était la clé du monde, Korn. Mais je propose qu'on l'écoute, Pierre. [03:01:45] Speaker B: C'est parti ! c'est Je peux le voir, je peux le voir. [03:03:25] Speaker A: Je peux voir, je peux voir, je. [03:03:30] Speaker B: Suis enceinte Je peux voir, je peux voir, je suis enceinte Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! C'est ce que l'humanité apprécie le plus. Sommes-nous humains ou descendants de l'île ? Quelles sont les origines de nos violences définies ? Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. C'est parti ! C'est la mort ! C'est la mort ! C'est la mort ! C'est la mort ! J'aime bien ce son ! [03:08:46] Speaker A: Oh dis donc, il n'est pas content celui-là ? Il y en a un qui n'est pas content, il y en a un qui aime beaucoup Health. Ils sont partis en club bleu, il. [03:08:53] Speaker C: Semble qu'il n'y en a qu'après un. [03:08:54] Speaker A: Fils fucking, je vous laisse deviner qui, il y en a un qui crie. [03:08:57] Speaker C: C'est pas moi qui l'ai dit. [03:08:59] Speaker A: Ça s'appelle Era, E deux R A, attention à ne pas confondre avec Era E R A. Vous voyez, c'est ça la culture musicale. [03:09:08] Speaker C: C'est ça la culture metal surtout. [03:09:10] Speaker A: Amenez-moi mon home ! Non mais voilà, j'aimais bien la chanson, c'est vrai qu'il y a ce petit côté indus, clubbing, que je trouvais sympa. [03:09:20] Speaker C: Oui, c'est surtout la drum, le kick-on là, il fait très... Très elf, quoi. Vous connaissez Elf ? [03:09:30] Speaker A: Bah voilà. [03:09:30] Speaker C: C'est superbe ! C'est la bonne santé. [03:09:39] Speaker A: On parlait de votre existence musicale, à quel moment vous avez commencé à écouter du métal, etc. En dehors de cette musique, il y a forcément d'autres choses que vous écoutez, j'imagine, non ? Est-ce qu'il y a des Guilty Pleasure, genre des trucs ? [03:09:50] Speaker C: Il y en a un qu'on n'a pas suivi. [03:09:52] Speaker A: Je sais pas, mais lui je sais qu'il écoute plein de merde. [03:09:57] Speaker E: Ça m'arrive, ça m'arrive. [03:09:59] Speaker A: Mais il y a peut-être quelque chose qu'on ne connaît pas et que tu aimes. Toi aussi. [03:10:02] Speaker D: Oh oui. [03:10:04] Speaker A: Une tripotée, sache-le. [03:10:08] Speaker C: Il a dit qu'il aimait se tripoter ? [03:10:09] Speaker A: C'est ce qu'il veut aussi, j'espère pour lui, mais après... Ceux qui ne le font pas, attention, regardez sur Internet, il y a plein d'articles là-dessus. Bon, ne tombez pas sur les mauvais sites, mais... Venez, demandez-moi. Demandez-moi. [03:10:22] Speaker C: Pierre.Rasles.Com Et voilà, encore un Facebook qui va sauter. [03:10:27] Speaker A: Non mais voilà, c'est vrai que tout le monde imagine que les métalleux écoutent du métal et ils sont tous en mode ouaaah, c'est trop la musique, il faut du gros son alors que c'est faux. [03:10:35] Speaker D: Non mais c'est vraiment trop fatiguant toute la journée. [03:10:38] Speaker A: Du coup, de temps en temps il. [03:10:41] Speaker C: Faut mettre un petit jazz plus quoi. [03:10:43] Speaker A: Ah ouais alors ça c'est pas un guilty pleasure, c'est faux. Enfin, tout dépend comment tu le vis. J'écoute toujours ça en me donnant le culot de cuir. Pourquoi pas ! [03:10:53] Speaker C: Tu me dégoutes. [03:10:53] Speaker D: Tu sais pas toi, c'est quoi toi ? [03:10:54] Speaker A: Toi t'es plus... Bah moi y'a quand. [03:10:56] Speaker E: Même beaucoup de punks, de... Ouais ça. [03:10:59] Speaker A: Va, tu sais, quand je parle de Guilty Pleasure, c'est quoi ? Tu ne me dises que j'aime pas Taylor Swift. Voilà, par exemple. [03:11:06] Speaker C: Tu n'aimes pas Taylor Swift ? [03:11:08] Speaker A: J'écoute pas, mais je... Après, elle est blonde, ça m'énerve. Je me considère pas comme Swifties, mais. [03:11:13] Speaker C: Bon... Écoutez, c'est pas que ça m'intéresse pas ce que vous dites, mais il vient de dire Taylor Swift, elle est blonde, ça m'énerve. Par contre, Miley Cyrus, elle a les cheveux de quelles couleurs ? [03:11:21] Speaker A: Toutes les couleurs. Et la Kim, elle a les cheveux. [03:11:26] Speaker C: De quelle couleur ? [03:11:27] Speaker A: Kim Petras. Non, Kim Wilde. [03:11:30] Speaker C: Kim Petras aussi. Alors je sais pas si vous avez écouté le dernier album de Kim Petras, Slut Pop Miami. Il est incroyable ! [03:11:42] Speaker A: Alors ça c'est un guilty pleasure, tu vois. [03:11:43] Speaker C: Ah bah c'est pas un guilty. [03:11:46] Speaker E: Pour moi c'est un guilty quand même. [03:11:48] Speaker A: Tout le monde assume tout en vérité, je pense qu'il n'y a pas à aucun moment que les gens cachent le fait qu'ils écoutent des trucs complètement décalés par rapport à ce qu'ils font comme musique. [03:11:56] Speaker C: On peut les laisser parler ? [03:11:57] Speaker A: C'est vrai. [03:11:59] Speaker D: Non, moi, disons le truc où je vais me faire pourrir, je pense que c'est peut-être Coq-Robin. [03:12:04] Speaker A: Non, c'est bien. Parce que j'adore. [03:12:06] Speaker C: Y'a Coq dedans, c'est forcément bien. [03:12:08] Speaker D: Ça, franchement, j'écoute de temps en temps et je trouve ça vraiment cool. [03:12:11] Speaker A: Donc Coq-Robin, ça va, c'est bien. [03:12:13] Speaker D: Ça chante grave et tout ça. Y'a plein de gens qui écoutent Coq-Robin. Mais sinon non, après non, plutôt pas mal de New Wave en fait. Donc des trucs, voilà, Cubaura, Dépêche Mode. [03:12:21] Speaker A: C'est bien, comme pour te donner un peu plus de gaieté et de vie. [03:12:25] Speaker D: Tu veux division, que les b-sides soient les trucs vraiment... Des trucs où on. [03:12:29] Speaker A: Me dit la vie elle est belle, c'est cool, t'inquiètes pas tout va aller bien. Bon après tu peux danser quand même dessus donc c'est bien. [03:12:37] Speaker C: Non mais ça va c'est des guilty pleasure qui sont très... Je veux dire c'est la rêve de. [03:12:41] Speaker A: Beaucoup de gens en même temps. [03:12:43] Speaker E: Non mais moi j'écoute pas trop de merde en vrai, pas tant que ça. T'as beau me faire des petits gestes. [03:12:50] Speaker A: De bouche là, c'est pas vrai. T'aimes pas... Comment il s'appelle ? Je sais pas, j'oublie son nom. [03:12:56] Speaker C: Je sais pas. [03:12:57] Speaker A: Celui qui fait une chanson par semaine. [03:12:58] Speaker C: Ah, Gildor ? [03:12:59] Speaker A: Ouais, t'aimes bien Gildor, non ? [03:13:00] Speaker E: Gildor ? [03:13:00] Speaker A: Ouais, tu vois, il fait semblant. [03:13:02] Speaker E: Non, je ne connais pas Gildor. [03:13:03] Speaker C: Je vois dans ses yeux que... Si tu connais pas Gildor, sache que blanc sans le N, ça fait black. Comme quoi sans N, on est tous les mêmes. [03:13:11] Speaker A: Voilà, tu vois. [03:13:12] Speaker D: Ok. C'est les paroles de Gildan. [03:13:16] Speaker E: Si ça peut prouver que je ne connaissais pas Gildan. [03:13:21] Speaker A: Tout à l'heure, toi tu nous as parlé de Normagine aussi comme grosse rencontre. [03:13:24] Speaker E: Ouais, clairement. [03:13:26] Speaker A: Toi ce serait quoi ? [03:13:27] Speaker C: Une rencontre qui t'a bouleversé. [03:13:29] Speaker A: Ouais, ou t'étais un peu mode fanboy, mais en fait parce que c'est juste que t'as été trop content de les rencontrer que t'as écouté ça quand t'étais plus jeune. Parce qu'on a tous ce côté-là. [03:13:38] Speaker D: Pour les rencontrer en vrai, c'est ça que tu veux dire ? Moi, écoute, c'est We Eleven. J'étais dans le No Metal, je suis allé voir Deftones pour la tournée Around the 4, c'était eux qui ouvraient. C'était sur l'île, je pense que c'était Splendid ou peut-être Lairo. Et j'ai vu ce mec se pointer là, chanteur, pieds nus. Ils ont joué une demi-heure, j'ai vu un mec crier comme ça lui en dépendait. C'est là où j'ai switché vraiment entre le néo métal et le hardcore. C'est vraiment la rencontre, le truc. Et je pense qu'il y a beaucoup de gens qui étaient présents ce soir-là qui s'en souviennent encore. C'était vraiment impressionnant. et j'ai eu la chance de les avoir programmés au Poche où je bosse à Bétune, il y a quelques mois. J'ai vu les mecs, je les ai accueillis et j'ai pris ma photo avec le chanteur. Ça m'a impressionné. Je l'ai vu, j'étais un peu... Voilà, c'est le mec qui m'a vraiment donné envie de crier dans un micro. [03:14:53] Speaker C: Et puis il faut dire que eux, sur scène, c'est... Alors moi je les ai pas vus depuis longtemps, parce qu'ils sont pas passifs. [03:15:00] Speaker A: Y'a pas de pitié ? [03:15:01] Speaker C: Non, non, mais c'est que les mecs sont là pour vraiment le dire. [03:15:04] Speaker A: Pour casser les culs. [03:15:06] Speaker C: La dernière fois que je les ai vus... La dernière fois que je les ai vus c'était à Petit Bain avec Conjuror en première partie et du coup je connaissais pas Conjuror, c'est là où j'ai découvert avant de partager ce plaisir avec toi et j'ai vu Conjuror en live qui est un groupe incroyable pour moi c'est un mélange entre Converge et Cult of Luna mais avec des potards poussés au max sur tous les plans Et je me suis dit, putain, pour Will Evan derrière, ça va être dur d'y aller parce que le batteur, il envoie... En fait, Will Evan, ils arrivent et en fait, ils n'ont pas besoin de... Parce qu'en fait, c'est juste ultra massif. Je n'ai jamais vu un groupe qui, avec aussi peu de choses sur scène, sonne aussi lourd. C'est vraiment incroyable. Et les morceaux, bah... Enfin, pour le coup, comme tu dis, le chanteur, il n'a qu'une envie, c'est de... Il pose une atmosphère et il ne la lâche pas du début à la fin. [03:16:01] Speaker D: C'est vraiment super impressionnant. [03:16:02] Speaker C: Chaque truc, chaque cri est vraiment... C'est hyper intense. Il y a des... [03:16:06] Speaker A: Le mien aussi. J'ai fait comprendre. [03:16:10] Speaker C: Il y a des gens... Même plus. [03:16:11] Speaker D: Que moi on dirait même. [03:16:12] Speaker C: Je connais des gens qui, au concert de Will Evan, ont pleuré. Les gens pleurent. Enfin voilà, c'est quand même pas rien. [03:16:19] Speaker A: C'est peut-être parce qu'ils ont mal. [03:16:23] Speaker C: J'en profite parce qu'on parle de néo métal et du coup de la scène de Sacramento là, en l'occurrence. Il y a le chanteur de Phare qui vient de chanter avec un nouveau groupe, enfin un ancien groupe, qui est un peu un groupe instrumental à la base. Il s'appelle Son of Alpha Centauri. Et du coup, c'est un peu post métal machin. et ils ont fait tout un album avec John Amatranga, le chanteur de Phare, qui a une voix assez sympa. L'album est assez cool, il est disponible sur les plateformes. Il s'est sorti cette semaine, je crois. J'en profite pour le dire aux gens. [03:17:00] Speaker A: Ce que je trouve mignon, c'est juste que même en faisant de la musique, en ayant un groupe, en programmant en plus, parce que tu dois avoir un paquet de groupes qui sont passés, il y a toujours ce plaisir des groupes qui t'ont touché d'aller les rencontrer. Alors, tout le monde est déçu. Là c'est pas le cas parce que c'est quand même un groupe qui a sa taille, on va pas se mentir. Mais il y a toujours ce petit truc et je trouve ça vaut parce que tu pourrais le perdre. [03:17:24] Speaker D: Ah non non franchement je l'ai pas perdu quoi. Je l'ai vu arriver et j'étais, waouh, voilà quoi. [03:17:28] Speaker A: Moi je trouve ça trop cool. [03:17:29] Speaker D: C'est Monsieur Grady. Bonjour Monsieur Grady. [03:17:32] Speaker A: Oh mais merde, on est assis ! [03:17:35] Speaker C: Franchement vous criez bien Monsieur Grady. Tu dis, c'est bien qu'il ait pas perdu la passion. Je te rappelle qu'il a 45 ans, il fait des tournées en camion pour crier dans un micro. [03:17:49] Speaker A: Oui, mais ce que je veux dire, c'est de rencontrer les gens. Tu sais, tes groupes, peut-être que les groupes que t'as eu avant, ils sont plus cette image, parce que t'as appris des techniques, parce que tu sais le faire, tu te montres sur scène. Ah si, moi je pensais qu'il y avait de ça. [03:18:00] Speaker C: Toi, quand tu rencontres Jonathan Davis, maintenant que t'es un pro du micro, t'es pas toujours impressionné par lui ? [03:18:06] Speaker A: Alors impressionné, je dirais pas ça, mais par contre on parle beaucoup et puis on se comprend pas, donc... Mais c'est ça qui est magique. Après, c'est pas si mal non plus, tu vois, moi quand j'ai rencontré les mecs de Korn, j'ai bien compris qu'on avait pas affaire à... Bon moi non plus, mais c'est-à-dire que même moi je suis plus intelligent peut-être que... Non, peut-être pas. [03:18:25] Speaker C: Genre la seule différence entre le chanteur de Korn et les autres mecs que t'as en interview, c'est que toi tu le comprends pas. Sinon que eux ne comprennent pas, ça c'est classique, non ? [03:18:35] Speaker A: À tous les groupes me comprennent pas. C'est trop compliqué tes phrases. Il y a trop de verbes. [03:18:44] Speaker E: Mic drop avec un pied. [03:18:45] Speaker A: Bon en tout cas pour Junon, je le répète encore une fois, il y a un album qui est sorti le 15 mars. Vous allez le retrouver, la pochette est toute jolie, toute belle. D'ailleurs quand je l'ai vu, je me suis posé une question. Ça c'est une question de connard. Les Red Hot Chili Peppers quoi. Et là il se dit putain il y a vraiment deux cons qui m'ont posé cette question, il y en a un deuxième là. Je sais pas pourquoi, je l'ai vu, je te jure c'est ce que j'ai pensé. [03:19:11] Speaker C: Après ils connaissent pas les Red Hot. Je sais pas ce que c'est moi. [03:19:14] Speaker A: Les Red de Red quoi ? C'est des mecs qui chient en ayant le cul qui brûle. [03:19:19] Speaker D: Non on connait pas. [03:19:20] Speaker A: D'accord. Moi je suis fatigué. Bah il est tard aussi. Gilles Dore c'est ça ? C'est à peu près la même chose aujourd'hui. Non, il n'y a pas eu de... Qui a fait l'approche de la volonté ? [03:19:32] Speaker D: Là, c'est Martin, le guitariste. [03:19:35] Speaker A: C'est un peu le préposé. [03:19:39] Speaker D: C'est le préposé en fait. [03:19:41] Speaker A: C'est lui qui est graphiste ? [03:19:41] Speaker D: Ouais, c'est ça, voilà. [03:19:43] Speaker A: Ok, donc c'est à lui qu'il faudrait que je vous pose la question. [03:19:45] Speaker E: Je pensais surtout qu'on cherchait une espèce de symbole, un truc un peu simple et évident pour se dire la pochette est toute rouge, c'est la fin du monde, c'est le feu, c'est la lave, c'est brûlant. C'est ça qu'on voulait mettre en avant sur cette pochette. Et puis voilà, cette espèce de soleil finalement. [03:20:05] Speaker A: Des Red Hot Chili Peppers. [03:20:06] Speaker C: Pierre, c'est pas les Red Hot Chili Peppers qu'a inventé le soleil. [03:20:10] Speaker A: C'est juste quelque chose qui marche avec le mécanisme de l'humanité. Bon bref, je suis parti très loin. [03:20:15] Speaker E: On va faire une petite seconde mythologique. Junon se réfère, pour les Romains, à Hera, déesse grecque, et elle-même se réfère à Athor, une déesse égyptienne. Et Athor, c'est la mère de Ra. [03:20:35] Speaker A: Le... Dieu-Soleil. Tu vois, le soleil. [03:20:43] Speaker C: Et Junon, c'est un peu à la fois la naissance et la destruction. [03:20:49] Speaker D: On est des mecs profonds, sache-le. [03:20:52] Speaker A: Ça l'intéresse pas, mais tu seras jamais. [03:20:54] Speaker C: Plus profond que lui, je te l'assure. [03:20:57] Speaker A: C'est l'émission la plus sale qui puisse exister, pas celle d'aujourd'hui globalement. Non mais bon ok, j'en apprends encore. Il va falloir que je réécoute ce que t'as dit parce qu'il faut pas que je l'assimile, je vais devoir l'écrire. [03:21:09] Speaker E: Faut rechercher Hathor du coup, qui est la déesse égyptienne, qui est l'origine en fait. [03:21:13] Speaker C: Parce qu'en fait en gros il y a des déesses et chaque région du monde adaptait un petit peu, tu vois, J'aurais autant aimé une repas cette phrase plus. [03:21:23] Speaker A: Oui, parce que oui, j'ai compris. Dans les choix que vous avez faits, justement on parlait tout à l'heure de tournées, de dates qui sont à venir, je vous conseille encore une fois à tout le monde d'aller voir ce putain de groupe sur scène, Junon, c'est pas compliqué à écrire, J-U-N-O-N. [03:21:37] Speaker C: C'est un peu comme Junio, mais pas pareil. [03:21:39] Speaker A: Comme Gérard, ça c'est pas possible. C'est le groupe qui a vraiment un truc hyper lourd, très simple, sérieux, mais que des blagues. [03:21:47] Speaker C: Attends, t'as pas entendu leur reprise des choristes ? T'as pas écouté l'album ? [03:21:51] Speaker A: Je vais passer donc à Cult Leader. Je ne connais pas du tout. Cult Leader qui passe bientôt ? J'ai l'impression que ça tombe vachement bien. C'est fou comme quoi tout s'organise plutôt bien. Alors moi je ne connais pas ce groupe. [03:22:05] Speaker D: C'est un groupe plutôt brutal. On est chez Death Wish. [03:22:10] Speaker E: Encore dans un groupe plein de tendresse, de bons sentiments, d'amour. [03:22:15] Speaker A: De partage. [03:22:17] Speaker D: Voilà, c'est ça. Et donc, voilà, chouette groupe et puis on a la chance de pouvoir donc ouvrir pour eux, pour la date parisienne en fait, qui est le 18 avril. [03:22:27] Speaker E: Et il l'a pas dit dans sa liste géante de toutes les dates qu'il avait à faire. [03:22:31] Speaker D: Ça se passera au backstage by The Mill. Voilà. [03:22:35] Speaker E: Stormo et Cut Leader du coup. [03:22:37] Speaker A: Vous avez de la chance parce que maintenant le backstage de son est très bon donc je pense que les gens. [03:22:40] Speaker C: Peuvent se... Ah ça va être la guerre ? [03:22:41] Speaker A: Ouais, voilà. D'autant que voilà le plafond pas haut mais tu dis un truc c'est très club, ça fait très club british en vérité. Aujourd'hui en tout cas au niveau du son c'est bon. [03:22:49] Speaker C: Il y a une bonne ambiance. [03:22:51] Speaker E: Pour avoir vu Cut Leader c'était déjà très bonne ambiance en termes de... Oui. [03:22:55] Speaker A: C'Est un groupe que vous avez aimé. [03:22:58] Speaker D: Je pense que vous avez vu Eric Burzino à Lille quoi, c'est vachement bien. Tu vas découvrir. [03:23:03] Speaker A: Ah bah oui, je serai là et je pense que je vais découvrir parce que je n'ai jamais vu ce groupe. Il va falloir que j'écoute un peu avant quand même. Pour pouvoir chanter. [03:23:11] Speaker B: Ouais, ouais. [03:23:11] Speaker C: C'est vraiment ça le but du groupe. C'est un groupe qui mise tout sur. [03:23:15] Speaker A: Le sing-along et il fait « À vous Paris ! [03:23:19] Speaker B: ». [03:23:19] Speaker A: À chaque fois je me cours. Non mais si, c'est ça, t'as raison Pierre. [03:23:24] Speaker C: On disait que t'avais bon. Merci. [03:23:28] Speaker A: Je peux faire mes devoirs après ? [03:23:29] Speaker C: Oui, on peut écouter Cult Leader. [03:23:30] Speaker A: Avec le morceau qui s'appelle ? [03:23:32] Speaker E: C'est le dernier single. « Learn to love it ». [03:23:35] Speaker A: « I learn to love it, love it ». Ah ben voilà, on peut chanter. You gotta love it ! [03:23:40] Speaker B: Let's go ! Bonne chance. C'est parti ! C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! VAS-Y DE MEILLEUR ! [03:30:16] Speaker A: Eh bien l'ami de Frioling qui est dans ce clip en featuring, évidemment c'est pas son groupe, mais c'est Ice Sealed Eyes. Je le dis très mal mais c'est un groupe belge. [03:30:27] Speaker C: Ice Sealed Eyes, des yeux scellés par la glace. [03:30:31] Speaker A: C'est très bien, j'ai bien aimé. [03:30:32] Speaker E: C'est ton programme. [03:30:36] Speaker A: Nos invités ce soir c'est Junon, encore une fois, mille fois merci de venir jusqu'ici à Paris. [03:30:42] Speaker E: Avec grand plaisir, merci à vous. [03:30:43] Speaker A: On n'est pas si loin mais pas à côté en même temps et vous êtes venu répondre à nos questions, j'espère que le moment est agréable. [03:30:49] Speaker B: Très. [03:30:49] Speaker A: Très, très. [03:30:50] Speaker C: Oh, il monte bien. Ce que vous savez pas, c'est que pendant la pause, il nous a dit, putain, c'est vraiment la pire émission, on regrette tellement d'être venu. [03:30:58] Speaker A: C'est clair. [03:30:59] Speaker E: Il est tard et tout. [03:31:00] Speaker A: Laissez d'ailleurs des commentaires sur YouTube. Pour la VOD, vous pouvez dire, putain, les pauvres, tout ça. Et puis vous leur envoyez des sous via des subs que vous pouvez nous donner à nous, on les transmet. On transmet tout l'argent. [03:31:14] Speaker C: Tout l'argent en suce leur sera versé. [03:31:15] Speaker A: Voilà, on est réglo, vous le savez. En tout cas, on les retrouve à Paris, ce sera le 18 avril, au Backstage au Sullivan. Il y a des dates qui sont sur votre Facebook principalement. Vous pouvez les retrouver. N'hésitez pas à les rejoindre, à aller écouter ce nouvel album, premier album finalement de Juno. [03:31:33] Speaker B: Oui ? [03:31:33] Speaker C: Non, j'allais dire, tous les réseaux sont disponibles dans la description de cette vidéo. [03:31:37] Speaker A: Voilà, si vous êtes encore dans le chemeule, vous pouvez taper !bang pour rejoindre YouTube et !discord pour discuter avec nous. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à nous les poser, on vous transmettra toutes les infos sur le groupe. On répond assez rapidement. Marcel est là. Et voilà, c'est tout, je suis très content que vous soyez venus, je suis très content de revoir sa tête de... De chemeule. Voilà. [03:32:03] Speaker C: Ça fait pas si longtemps d'ailleurs qu'on l'a vu. C'était au... [03:32:06] Speaker A: Mais c'est chaque jour qu'il passe, on pleure. [03:32:08] Speaker C: La dernière fois c'était au Restless Awards en janvier, et sachez que... La vidéo best-of du DRSS Lords devrait bientôt sortir. Voilà, Marcel a bien travaillé dessus. [03:32:19] Speaker A: Petite vidéo. Comme ça les gens pourront voir comment t'es habillé. C'était le principe. C'était ma plus belle chemise de la fête. Je te souhaite bon courage de le supporter. [03:32:29] Speaker C: Je crois qu'il s'est fait une raison depuis. Ce qu'il faut se dire, c'est qu'à la base, il était pas batteur... Tu es arrivé après dans le groupe ? [03:32:42] Speaker A: Ouais. Moi je suis arrivé dans le général... [03:32:45] Speaker D: C'est le troisième batteur. [03:32:46] Speaker A: Ouais. [03:32:46] Speaker E: Je suis arrivé qu'en 2013, moi. [03:32:47] Speaker A: Et après le désespoir était là, donc vous avez dit, bon, on va quand même le garder, c'est pas grave. Il fait le taf. Ouais. Ouais. [03:32:58] Speaker B: Ouais. [03:32:59] Speaker A: Dernier morceau que vous avez choisi, on en parlait tout à l'heure, We Love'n. Avec Carpe Diem forcément. Le 8 quoi. [03:33:08] Speaker C: Est-ce que Carpe Diem c'est un peu votre philosophie ? Quand on écoute vos paroles, je suis. [03:33:13] Speaker A: Pas totalement sûr de l'idée, mais... [03:33:15] Speaker E: On en est plutôt sur une fin du monde, en général. [03:33:17] Speaker A: C'est pas grave si tout explose, de toute façon, c'est mieux. [03:33:21] Speaker E: C'est un ultimum diem, je pense, c'est le dernier. [03:33:23] Speaker A: Tu vois, on n'est pas les seuls à se dire « Putain, mais pourquoi on ne crève pas tout de suite ? [03:33:26] Speaker C: » Ouais, c'est vrai. Pourquoi ? Parce que je pense que la vie veut nous faire souffrir plus. Mais ce qui est bien, c'est qu'on peut le faire en écoutant de la bonne musique. Il est bon, il est bon. [03:33:37] Speaker A: Je ne savais plus quoi dire. Merci beaucoup Ben pour cette soirée. Merci à toi Pierre. Merci à tout le monde, à toutes les personnes qui ont regardé. C'est grâce à vous que cette musique peut exister. Plus on sera gros, plus on pourra défendre des groupes. [03:33:50] Speaker C: Moi je vais essayer d'arrêter de grossir là. [03:33:52] Speaker A: Je me suis dit pourquoi tu as utilisé ce mot. [03:33:54] Speaker C: Parce que tu ne respectes pas ma sensibilité. [03:33:56] Speaker A: Je suis un grosseur, je connais l'histoire. [03:33:59] Speaker C: Exactement. J'aimerais bien que tu t'en rendes un petit peu compte. Tu t'excuses publiquement. [03:34:06] Speaker A: Je présente mes excuses. [03:34:07] Speaker C: Ça ne compte pas, je sais que c'est pas sincère. [03:34:12] Speaker A: Merci beaucoup, passez une bonne semaine, bon lundi, bon courage, le taf c'est chiant mais c'est obligatoire. Merci les Junons, bisous bisous. Un mot de la fin peut-être ? [03:34:22] Speaker E: Bah faut venir nous voir sur les dates qu'on va faire là. Faut venir à Pau, faut venir à Rouen, faut venir à Paris avec Hult Leader. Faudra venir sur toutes les autres dates qu'on va faire. [03:34:30] Speaker C: Et puis faut acheter l'album aussi. [03:34:31] Speaker E: Et puis faut acheter l'album et voilà prenez le fun. [03:34:33] Speaker A: Ah le merch ? [03:34:33] Speaker E: Faut prendre le fun ! [03:34:34] Speaker A: Bisous tout le monde ! Au revoir ! [03:34:39] Speaker B: Salut ! Merde, putain ! [03:38:26] Speaker A: Un pour le caillou. Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir. Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. N'hésitez pas à vous abonner.

Other Episodes

Episode 45

April 26, 2024 02:53:22
Episode Cover

#45 - Tiff du POST IN PARIS avec le groupe APART en invités

Dans cet épisode, on reçoit une personne qu'on apprécie énormément, une battante, une passionnée qui fait tout pour que la musique ROCK résonne sur...

Listen

Episode 13

May 21, 2023 02:49:30
Episode Cover

BANG! BANG! #13 – PERFECTO en invités

ANG! BANG!, c’est une semaine sur deux le dimanche à 19h. C’est l’émission alternative rock de RSTLSS en podcast mais surtout sur notre chaine ...

Listen

Episode 36

February 23, 2024 02:57:43
Episode Cover

#36 - Episode entre vous et nous

Dans cet épisode, nous n'allons pas recevoir de stars, ni d'artistes, ni même de gens importants. Dans cet épisode, nous allons tout simplement parler...

Listen