#44 - HAROLD BARBE en invité

Episode 44 April 19, 2024 03:31:55
#44 - HAROLD BARBE en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#44 - HAROLD BARBE en invité

Apr 19 2024 | 03:31:55

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Show Notes

Dans cet épisode, nous allons nous tourner vers l'humour avec le Metalleux du stand up : Harold Barbé ! C'est intéressant de voir que cette musique extrême est finalement présente dans tous les corps de métier. Et il est également intéressant de voir que cette musique existe dans toutyes les villes de France puisqu'il nous vient de Caen. Il nous parle donc de son parcours, son enfance, de ce que représente l'humour et surtout de sa tournée et du fait qu'il ouvre le Hellfest le mercredi 26 Juin à 16h, à ne surtout pas rater !

Ben, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:15] Speaker A: Bienvenue dans BANG BANG BANG ! Motherfuckers ! C'est pas moi qui l'ai dit cette fois. On change, ça varie les plaisirs. [00:00:25] Speaker B: On se complète Pierre. [00:00:26] Speaker A: Pour le plaisir Herbert. Pour le plaisir ! Bienvenue à vous toutes et à vous tous les bangers, bienvenue en ce dimanche sain évidemment parce que c'est tous les dimanches sains grâce à BANG BANG puisque c'est Saint-Bétal cette musique qui... Le fameux ! qui nous offre tant de plaisir, celle qui nous défoule, celle qui nous permet de pleurer, de chialer, et en tout cas de foutre des coups de poing à des gens mais sans le faire vraiment. Parce que ça permet d'être plus calme, le métal. [00:00:52] Speaker B: Quand tu le dis comme ça, on a un peu l'impression que c'est un truc de psychopathe, mais... Est-ce qu'on a l'air d'être chelou ? [00:01:00] Speaker A: Un peu. Ça reste de tase, je sais pas, c'est celui de la... Tous les dimanches, c'est en live Twitch bien sûr, merci de nous rejoindre, merci d'en parler autour de vous. Vous savez que plus vous serez nombreux et nombreux à nous rejoindre, plus le métal aura un espace de divertissement, puisque cette émission ne se prend pas au sérieux, ça aussi c'est important de le savoir. On n'est pas là parce qu'on a raison, on est là parce qu'on discute, on plaisante. Beaucoup de seconds, voire de millième de baie. [00:01:30] Speaker B: Même si on a souvent raison quand même. [00:01:36] Speaker A: Mais voilà, comment vas-tu Ben ? Tout va bien ? [00:01:37] Speaker B: Je vais très bien, et toi Pierre ? [00:01:39] Speaker A: Bah écoute, merveilleusement bien. Hier j'ai pas fait de fête, avant de présenter nos invités quand même, mais j'ai mixé, enfin mixé, j'ai tenté de mixer dans un truc de karting, de bowling et de mini-golf où tout est fluo. C'est assez impressionnant. Les gens, quand il n'y a pas d'alcool qui est vendu, tout le monde est propre. J'ai découvert ce monde. [00:01:59] Speaker B: Après il faut dire que souvent tu mixes quand même dans des endroits qui sont très très sales. Je pense que la plupart des endroits…. [00:02:05] Speaker A: J'aime bien, j'aime bien quand ça colle un peu comme ça et que les gens ils me trappent et tout. Ce soir, on reçoit quelqu'un de beaucoup plus classe que ce que je suis, évidemment, quelqu'un qui vous fait rire, quelqu'un que vous aimez, parce que quand j'ai annoncé qu'il venait, il y a beaucoup de gens qui ont dit « Ah. [00:02:20] Speaker C: Ouais, c'est trop cool ! [00:02:21] Speaker D: ». [00:02:21] Speaker A: Donc, je suis ravi de vous présenter Harold Barbet, bienvenue ! [00:02:29] Speaker C: Merci. [00:02:32] Speaker A: Merci déjà d'être venu jusqu'à Paris. [00:02:35] Speaker C: Merci à vous les gars, merci de l'invite, ça fait plaisir, je suis très content d'être là. [00:02:38] Speaker A: Bon, l'émission, tu la connais un petit peu en plus ? [00:02:40] Speaker C: Un petit peu, on ne peut pas se mentir. [00:02:42] Speaker A: C'est cool, ça fait plaisir, c'est vrai que quand on voit qu'il y a des gens qui nous suivent et qui apprécient et qui font des choses dans le milieu du métal, ça booste un peu, ça donne envie de continuer. [00:02:51] Speaker C: Mais j'avais trop envie d'être invité, moi j'attendais ça depuis 6 mois, je me disais, putain, quand est-ce que c'est mon tour ? [00:02:56] Speaker E: Il attendait sa petite lettre. [00:02:58] Speaker C: C'est comme ma lettre de Poudlard. [00:03:06] Speaker A: Bien sûr, vous l'avez compris, Enjoy The Noise, notre favori. J'allais dire notre meuble, mais c'est lui qui a décidé de ne plus dire meuble. [00:03:13] Speaker B: C'est lui qui a dit... [00:03:15] Speaker C: C'est lui qui ressemble un peu à Harry Potter. Qui a fait Samu et qui a fait sa puberté. [00:03:22] Speaker A: Et qui a mal tourné. Qui a mal tourné, ça va. [00:03:27] Speaker E: Contrairement au vrai, je ne suis pas devenu flic, au moins ça va. [00:03:29] Speaker A: Il est flic ? À la fin, oui. Dans Harry Potter ? Ah oui, Flic Magique ! [00:03:39] Speaker B: Flic Magique, c'est un peu comme Nuit Magique Pierre, mais sans violon ! [00:03:42] Speaker E: Tu crois qu'il y a des petits. [00:03:43] Speaker A: Violons et puis il y a du crin de... des talons ? J'espère bien ! Bon, très bien. Ce soir, on va te poser des questions. Tu connais le principe de l'émission, c'est qu'on va creuser du début de ta tendre enfance jusqu'à aujourd'hui. Pourquoi tu es humoriste aujourd'hui ? Pourquoi tu fais du spectacle aujourd'hui ? Et pourquoi tu écoutes du métal ? Je vais pas t'agresser immédiatement. Mais bon, comme tu connais le principe, tu sais qu'on dit beaucoup de conneries. Pour ouvrir, j'avais pas envie de parler de concert parce que j'ai rien vécu d'exceptionnel cette semaine. Bon, on est resté plutôt calme. Tout à fait. Mais je me suis dit... [00:04:20] Speaker B: Il y avait Frioling cette semaine, on peut en parler. Il y avait Marcel qui est allé voir Frioling, qui m'a dit que c'était très très bien. [00:04:25] Speaker A: Avec l'ami Arthur Alternatif, qu'on embrasse très fort. Tout à fait. En même temps, je me doute bien que Frioling, c'est... Ils se donnent à fond quand même. Ah bah oui, ils se donnent à fond. [00:04:32] Speaker B: Et puis apparemment, ils ont fait plein de feats sur scène et tout. C'était super bien. [00:04:37] Speaker A: J'en doute pas un seul instant, on les embrasse fort. J'ai pas mis de friouling aujourd'hui, il y en a quand même assez souvent dans l'émission. [00:04:41] Speaker B: Il y en a déjà la semaine dernière déjà. [00:04:43] Speaker A: Je peux en les soutenir systématiquement. Mais là j'ai laissé la parole à Enjoy The Noise parce que d'habitude c'est vrai que je le mets un peu à la fin. Et là je fais une remontade aujourd'hui. [00:04:55] Speaker E: Ne t'installe pas trop en début d'émission. [00:04:57] Speaker B: Je te préviens tout de suite. [00:04:58] Speaker E: Avec lui tu sais c'est le chaud le froid. [00:05:01] Speaker A: Et puis tu sais que je le fais payer à un moment. On rentre ensemble ce soir ! C'est vrai que j'ai entendu une petite conversation tout à l'heure, je vais pas. [00:05:12] Speaker B: La révéler mais des choses se préparent. [00:05:15] Speaker A: On va tout savoir. Alors on va commencer avec In Flames. Avant que tu dises pourquoi, est-ce qu'In Flames est un groupe qui a bercé ton adolescence Harold ? [00:05:24] Speaker C: Ouais, In Flames, j'ai découvert ça sur le tard, pour le coup. J'avais vraiment 25-26 ans quand j'ai commencé à découvrir In Flames. Parce qu'à une époque, moi j'étais très New Metal. On va l'occasionner en reparler. Et tout ce qui était In Flames, Meshuggah, tout ça, où ça grôlait trop, j'étais, oh bah dis donc, moi quand c'est un peu trop, non. Et après, les déceptions se sont accumulées dans ma vie. Et bizarrement, j'ai franchi ce pas avec In Flames, tout ça. Et ouais, c'est un groupe que moi j'aime beaucoup, beaucoup. [00:05:51] Speaker A: Et puis ils sont toujours vivants. [00:05:52] Speaker E: Ils sont toujours vivants, et plutôt vivaces en plus. Leur dernier album qui était sorti l'an dernier. [00:05:56] Speaker A: C'est un très bon son, franchement. Non, je plaisante. C'est juste qu'Inflame, j'ai jamais été un méga grand fan. Et puis t'aimes bien, t'aimes pas ? Si, j'aime bien, mais j'ai jamais été vraiment suffisamment fan pour vraiment tout écouter. J'avais les singles signés aux oreilles. [00:06:11] Speaker E: Et puis Inflame, c'est passé par des phases en plus. C'est pas une histoire linéaire, on va dire. [00:06:16] Speaker A: Et là, du coup, ils ont... [00:06:18] Speaker B: C'est une bonne phase ? C'est une bonne ou c'est une mauvaise phase en ce moment ? [00:06:22] Speaker E: Ce que je présente ce soir, c'est plutôt une bonne phase je trouve. C'était leur deuxième phase de carrière. Assez facile à situer, c'est à partir du moment où le chanteur Anders Friden a commencé à avoir des dreads. On vient de fêter les 20 ans de l'album Soundtrack to Your Escape, qui est sorti en 2004. Ça fait mal, je sais. [00:06:43] Speaker A: On a vécu à 14 ans ! [00:06:47] Speaker D: C'est pas un mois pas loin ! [00:06:50] Speaker E: Et donc du coup, ouais, qui était un album de la période, on va dire, où le groupe s'est modernisé, il a commencé à y avoir plus d'ajoutes électroniques, plus de claviers, de choses comme ça. Ça a été un moment où les détracteurs ont commencé à dire, ouais, ils virent un petit peu New Metal, justement, mais ils restaient quand même un bon pied bien enfoncé dans le death mélodique des débuts. Et donc l'album Soundtrack to Your Escape, qui est un album que je trouve, moi, que j'aime beaucoup, donc qui est hyper accessible, hyper... [00:07:18] Speaker A: Je vois... Pardon. Il se bat contre les mouches. [00:07:24] Speaker B: Mais non, il moche, il moche. [00:07:26] Speaker A: Si je me mettais dans l'ambiance. Il fait du air moching. [00:07:30] Speaker E: Donc c'est un track sur Your Escape, super bon album qui était hyper efficace en son temps et qui avait eu trois bons singles et mon préféré donc c'est le morceau que j'ai choisi ce soir qui s'appelle My Sweet Shadow qui est je trouve un morceau très intense, assez habité justement et qui à une époque faisait les clôtures de concerts notamment en open air en festival où ils tiraient des feux d'artifice à ce moment là. [00:07:54] Speaker A: Ça c'est une bonne chanson. [00:07:55] Speaker B: Toi quand ça tire t'aimes bien. [00:07:57] Speaker A: Quand ça pète aussi. J'ai envie de dire que souvent ça m'ensemble, mais moi en vrai ça je vais pas prendre dans les détails. On va peut-être y aller. C'est cette période d'Inflame, c'est celle que je préfère aussi. Je suis ravi de voir ce clip et cette chanson. Et c'est avec ça qu'on ouvre ce Bang Bang. Bienvenue à vous. C'est parti. [00:09:00] Speaker D: On n'a jamais été sceptiques. Un monde hors de mon esprit. Prêt à exploser. L'impureté. Pour remplir ses trous. Je suis à l'intérieur. Je ne me souviens plus jamais de ce rêve. Les rayons brillants de la lumière. Des émotions, des histoires, des vies passées. Et je sais, J'ai trouvé une flamme dans les fumeurs des déchets! Fumeurs! Fumeurs! C'est nous qui détruisons la paix! L'heure de la mort vient! Do I need to do it my way? I've been so unsafe for a time to hide my anger I've found a way to burn down the ashes Burn out, burn out This new storm is mine C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org I am human, I am divine I am divine I am divine I am divine C'est parti ! 3, 2, 1, 0, 1, 2, 3, 2, 1 Ça finit calmement, parce que. [00:17:14] Speaker A: Toulon, ils sont pas très contents d'être sur l'autoroute, on comprend bien. Le prix d'essence a augmenté. [00:17:20] Speaker B: C'est ça, du part Inflame, ils ont tout cramé avant. [00:17:23] Speaker E: Ils ont cramé toutes les réserves. [00:17:25] Speaker A: Alors, ce groupe s'appelle Enterprise Earth, à savoir qu'ils viennent de l'état de Washington. Ils existent depuis 2014 et ils viennent de sortir un album. Alors attends, parce que je n'ai pas noté, donc je vais regarder sur mon téléphone. Il s'appelle Death Anthology. Dans lequel on retrouve cette chanson qui est légère, mignonne. On s'est dit, c'est que ça nous a fait penser à l'ami Dedo. On a voulu lui faire d'énormes bisous. On l'aime beaucoup et on était très content d'avoir... D'ailleurs on a un épisode, si vous ne connaissez pas Bang Bang, vous tapez point exclamation bang, vous allez sur notre chaîne YouTube, il y a un épisode avec Dedo et bien sûr son compagnon des princesses Leïa. [00:18:03] Speaker B: Et comme dirait Tarkan. [00:18:07] Speaker A: Bon Harold, tu es notre invité ce soir, évidemment, je suis encore une fois très heureux que tu sois Yann. On va te poser des questions pour les gens éventuellement qui ne te connaissent pas encore. En France probablement, mais après pour les métalleux, je pense que quasiment tous les métalleux te connaissent. Est-ce que tu représentes quand même le métal dans l'humour on va dire ? [00:18:28] Speaker C: Avec des dos, oui, on n'est que deux, donc ça va vite. [00:18:33] Speaker B: Vous êtes deux à avoir fait votre coming out ? [00:18:35] Speaker C: C'est ça, coming out. Ah, il y a Urbain aussi qui commence à s'y mettre. [00:18:37] Speaker B: Ouais, ouais. [00:18:39] Speaker C: Donc... Bernard ! [00:18:40] Speaker A: Il l'a senti, il l'a senti. [00:18:42] Speaker E: Il l'a senti filo, Bernard. [00:18:45] Speaker A: Ça fait depuis combien de temps que tu fais ça ? [00:18:47] Speaker C: Du stand-up ? J'ai commencé en 2011 à Caen, chez moi, parce que je suis de Caen. Et professionnellement, depuis 2018, il y a Blanche Gardin qui est venu un jour jouer parce que j'ai une scène qui s'appelle le El Camino, qui est très connu à Caen, où je faisais venir tout le monde, parce qu'à l'époque il n'y avait pas plein de Comédie Club dans toutes les villes, donc c'était rare d'avoir des trucs en dehors de Paris. Et c'est là où je me suis fait un carnet d'adresses, et donc Blanche Gardin est venue. et on avait fait un 30-30, c'était avant la sortie de son nouveau spectacle Bonne nuit blanche et comme on s'est bien entendu qu'elle est bien aimée, elle m'a sorti de mon ruisseau canet pour m'emmener en tournée avec elle et c'est comme ça que je suis devenu intermittent, que j'ai rencontré des gens et que je lui dois énormément. [00:19:26] Speaker A: C'est cool, c'est quand même plutôt une belle histoire. [00:19:29] Speaker B: Un 30-30, c'est 30 minutes. [00:19:30] Speaker C: 30 minutes chacun, je deviens technique. [00:19:33] Speaker B: J'essaye de donner toujours des petites explications pour les gens qui... Oui, puis après. [00:19:36] Speaker A: Il faut expliquer aussi comment se passe le stand-up éventuellement et les scènes comme tu es à Montaquin, c'est quoi le principe pour les gens qui ne connaissent pas non plus ? [00:19:43] Speaker C: Eh ben oui, oui, c'est pour ne pas être trop relou. Non en fait l'idée ce sont des plateaux comme on dit d'humoristes où tu as 6 ou 7 humoristes qui viennent la majeure partie du temps tester 10 minutes de blague ou peaufiner machin truc et tout c'est vraiment le moment que moi je préfère en fait dans le stand-up c'est quand tu te lances dans l'inconnu Tu sais pas si ça va se marrer ou pas. Parce qu'il n'y a pas meilleure sensation qu'une blague qui marche. Franchement, c'est presque un orgasme. C'est un truc de fou. Et une blague qui ne marche pas, on l'oublie vite. [00:20:15] Speaker B: C'est plus comme un bon coup de pied dans les couilles. [00:20:18] Speaker C: Ça fêtera mal. [00:20:19] Speaker A: Il y en a peut-être qui apprécient. [00:20:22] Speaker C: Oui, il y en a qui apprécient. [00:20:23] Speaker A: Chacun son délire. [00:20:24] Speaker B: Il faut de tout pour faire un monde, Pierre. [00:20:26] Speaker A: Effectivement, c'est un endroit où on essaye ses blagues et du coup les gens s'enchaînent. A part que ça ne dure pas très longtemps non plus. [00:20:32] Speaker B: Alors attention, quand on dit qu'ils s'enchaînent. [00:20:33] Speaker C: Ce n'est pas du tout un human centipède. [00:20:35] Speaker A: Tout ce que je dis n'est pas sexuel. [00:20:39] Speaker E: Pourtant, on parlait de plateaux de 7 personnes et tout, je commençais à me faire des films. [00:20:45] Speaker A: Non mais c'est des personnes qui viennent essayer leur blague, ça ne dure pas si longtemps que ça, ça change pas mal. [00:20:53] Speaker C: En général t'es sûr du 10 minutes maximum, mais après comme moi je suis un dictateur, je passe toujours en dernier et je fais genre 40 minutes. [00:21:01] Speaker A: Oui mais après voilà, c'est parce que. [00:21:02] Speaker C: C'Est... Non mais si tu vas à Paris dans des gros comédie club type le Fridge ou je sais pas quoi, t'es sur dix minutes max, à neuf minutes il t'allume une petite lumière, genre le Titanic qui coule, et puis tu dois arrêter. [00:21:16] Speaker A: Merci, merci ! Casse-toi, tu pues ! Putain, j'ai fait mes sept blagues et c'est bon ! [00:21:20] Speaker B: Le truc le plus gênant dans ces cas-là, c'est quand il y a un mec qui essaye péniblement d'arriver à la fin parce qu'il sait, il se dit, ma dernière elle est bien, donc faut vraiment que j'arrive à la faire, et que t'as un mec derrière qui est là... Stop ! [00:21:33] Speaker A: C'est fini ! [00:21:33] Speaker C: Non mais ils lancent la musique comme la cérémonie des Césars, je sais pas, c'est trop long. Il est temps de fermer ta gueule Jean-Michel. [00:21:44] Speaker A: C'est vrai que j'ai eu le plaisir de te voir qu'une seule fois à l'Européen. C'était pour une personne qui revenait et on lui avait demandé de refaire un spectacle. Il y avait tout le monde, vous étiez tous. Je ne me souviens plus du tout le nom du spectacle. Bref, je m'étais marré comme un ouf. C'est cool qu'il y ait un métalleux et tout. Ce n'était pas avec des dos du coup ? Il n'y avait pas des dos, non. On en parle à l'antenne pour essayer de retrouver le truc, mais ça ne s'est pas gagné avec sa mémoire. Mon cerveau était un peu grillé, donc je suis désolé. [00:22:12] Speaker B: Je dirais bien qu'elle est partie en fumée, mais elle est plutôt partie en poussière. [00:22:19] Speaker A: Et donc, à quel moment on choisit de faire de l'humour ? Parce qu'il y a plein de choses, moi j'ai beaucoup de questions, parce que je connais pas. [00:22:29] Speaker B: Parce qu'il a un peu envie de se lancer dans le stand-up, bien sûr. [00:22:31] Speaker A: Non, moi j'ai toujours utilisé l'humour comme une défense, parce que c'était quand j'étais ado, de faire rire c'était mieux que de me prendre des tartes. C'était un peu ça, mais après est-ce que c'est le cas, j'en sais rien, mais à quel moment toi t'as décidé que t'allais tenter de te diriger là-dedans ? [00:22:42] Speaker B: Sinon t'aurais dû faire pâtissier peut-être. [00:22:46] Speaker A: Attends. [00:22:48] Speaker C: Vous pouvez flouer mon visage que je. [00:22:50] Speaker A: Ne parle pas sur cette séquence. C'est vrai que dès le début de l'émission, tout le monde me dit « Putain, vos blagues elles sont vraiment nulles à chier ». Mais ça les fait rire quand même, regarde. [00:23:00] Speaker C: Si, si, c'est marrant. [00:23:02] Speaker E: C'est-à-dire avec une telle densité de blagues, sur un malentendu, il y en a une qui marche. [00:23:08] Speaker A: Et en même temps, il se dit, bon c'est bon, eux peuvent pas être concurrents, c'est très lent. [00:23:12] Speaker C: Mais tu sais, quand t'es dans un environnement comme ça, t'es obligé, qu'il y ait de la blague de merde, ça fait plaisir. [00:23:16] Speaker A: On est adolescent, bien sûr. [00:23:18] Speaker C: Un vieux adolescent. [00:23:19] Speaker A: Bon, reprends ta question. [00:23:22] Speaker C: A quel moment t'as décidé ? Je pense que c'est une succession d'échecs diverses. Non mais à la base, j'ai fait une formation de scénariste. Je voulais écrire des séries, des films. D'ailleurs, honnêtement, c'est toujours le projet un peu de base. Et puis, j'ai une copine à moi, parce que je faisais partie d'une troupe de théâtre américaine et qui m'a dit en 2011, tu devrais faire du stand-up. Je n'avais jamais entendu parler de stand-up. Elle m'a montré des humoristes américains. Parce que moi, le one man show français, je trouvais ça ringard de ouf. Je ne regardais pas du tout les spectacles d'humour. Même, j'en regarde très peu en vrai. Et quand j'ai vu du stand-up américain, je me suis dit « putain c'est pas mal ça parce que je peux écrire des trucs et aller distiller mon texte sur scène, on va enfin écouter mes blagues ! » Et puis je me suis lancé entre 2011 et 2013, je crois que je n'ai jamais fait rire une seule fois. Et puis après je me suis dit merde, peut-être être drôle en un moment quoi. [00:24:11] Speaker A: C'est la deuxième partie. [00:24:12] Speaker C: C'est ça. [00:24:13] Speaker A: Attends mais il y a quand même du courage en fait, il faut quand même avoir des bollocks parce que de se lancer, de ne pas avoir de réponse au début, il y a moyen souvent que l'on se dise tant pis, je préfère m'en aller discret. [00:24:25] Speaker C: La première fois, j'étais en mode Eminem. Mon premier stand-up, j'en rappelle, c'était le 23 décembre 2011. Et j'ai gerbé dans la poubelle de la loge. 8 Miles, tu vois. Sauf qu'Eminem, dans 8 Miles, il balance un truc de ouf. [00:24:37] Speaker A: C'est très nul à chier. [00:24:40] Speaker B: T'avais mangé des spaghettis ? [00:24:42] Speaker C: Je m'en rappelle plus. [00:24:42] Speaker B: Lui, c'est ça. [00:24:44] Speaker C: Lui, c'est lui ? [00:24:45] Speaker B: 8 Mum Spaghetti. C'est ce qu'il dit dans la chanson. [00:24:49] Speaker C: Je m'en rappelle plus. [00:24:51] Speaker A: Parce que monter sur scène, on l'a déjà fait dans le cadre de festival, juste pour dire deux mots. Super, le groupe, il arrive. Est-ce que vous êtes chauds ? Un truc qui est quand même juste hyper sain. Je me chie dessus. Je me chie dessus. C'est quand même impressionnant. Même quand t'as quatre personnes, ça reste impressionnant. [00:25:06] Speaker C: Au bout d'un moment, ça part. Ça m'a pris des années et des années. Mais je crois que c'est inhérent à chacun. Il y a des gens pour qui ça va arriver très vite. Moi j'ai pas été à l'aise avant au moins cinq ou six ans. Maintenant je peux monter sur scène. Évidemment il y a des moments où tu sens que c'est plus important et qu'il faut pas trop que tu te chies dessus. Mais ouais ça dépend. [00:25:27] Speaker B: Ouais faut surtout aller aux toilettes avant quoi. [00:25:31] Speaker A: Quand quelqu'un est stressé, ça se voit un peu. [00:25:36] Speaker C: Quand je regarde mes premières de stand-up en 2011, celui-là. J'ai des cheveux, j'ai pas de barbe, je suis à l'heure, bonjour. On dirait Dobby, c'est le pote. [00:25:46] Speaker A: L'elfe de maison. C'est pitoyable, c'est pitoyable. Filez-lui une chausette, qu'il se casse de scène. C'est l'horreur. Mais après il faut un début, c'est-à-dire qu'il faut tenir. Et puis le début mine de rien était quand même plutôt joli, ça a dû aussi te donner du courage qu'elle soit venue, qu'elle te dise « allez vas-y va être cool ». C'est un peu après quand même 7. [00:26:08] Speaker C: Ans qui se sont écoulés entre les dents. Mais il faut se remettre dans le contexte de 2011. t'as pas de stand-up en France. Je veux dire, à Paris, à part ici, parce que tout se passe ici, il y avait un peu à Nantes, et puis nous à Caen, sinon il n'y avait rien d'autre. C'est comme ça que je me suis fait un carnet d'adresses de ouf, parce que Kyan Khojandi, Dedo, Charest, Oignons, Blanche-Gardin, tout le monde est venu jouer à Caen en fait, parce que c'était à côté. Et les gens, ils ne savaient pas ce que c'était que du stand-up, même dans le public. La notion d'aller voir des gens qui racontent des blagues dans des micros comme ça, mais ça ne joue pas, il n'y a pas de décor et tout. Je me rappelle, ça les interpellait à l'époque. [00:26:38] Speaker B: Mais vous ne faites pas Madame Serfati, vous ? [00:26:40] Speaker A: C'est un peu ça. [00:26:42] Speaker C: Pourquoi tu ne te mets pas un micro casque comme Britney ? [00:26:49] Speaker B: À part les gens qui sont un peu sensibilisés justement aux stand-up, enfin aux anglo-saxons quoi, parce que c'est de là que ça vient. Il y avait quelques gens qui connaissaient je pense, mais c'était très... Oui, si, si, mais que des gens qui sont bilingues. [00:27:02] Speaker C: Le mot stand-up, ça n'existait pas en 2011. Les gens se disaient « Quoi ? C'est quoi ça ? Ah, du one-man show ! » Maintenant, stand-up, tout le monde sait ce que c'est. [00:27:11] Speaker B: Plus que One Man Show, d'ailleurs. [00:27:14] Speaker E: Si je me souviens bien, à l'époque en France, c'était encore un peu timide. T'avais éventuellement Gad Elmaleh qui avait un petit peu importé le truc. Il y avait aussi, je crois, il y avait Tomer Sisley aussi qui avait pas mal. [00:27:25] Speaker B: Mais c'était encore, il y avait encore ce truc un peu de sketch. Et moi je raconte des histoires. [00:27:34] Speaker C: Non c'est vrai, ça arrivait avec le Jamel Comedy Club en 2006-2007, avec Dedo qui était dedans, Yacine Bellouz, Blanche Gardin, et après il y a eu Nous, quand on a commencé encore en 2011, on pouvait facilement être programmé dans des trucs à Paris, il n'y avait pas tant d'humoristes que ça. Maintenant, comme dit Macron, tu traverses la. [00:27:53] Speaker A: Rue, tu trouves un humoriste. [00:27:57] Speaker C: C'est comme les footballeurs au Brésil, tu sais, tu as beaucoup de footballeurs brésiliens, mais tu n'en as pas beaucoup de bons quand tu regardes les humoristes en France, c'est un peu la même chose. [00:28:07] Speaker B: La chance, c'est qu'au Brésil, il y a quand même une grosse population, plus qu'en France. [00:28:11] Speaker C: C'est ça. Je blâme tous mes collègues, alors il paraît qu'on a des merdes, mais on. [00:28:15] Speaker A: Va les eaux ! Ah bah non mais toi tu fais partie des bons ! Evidemment, je t'avais mis dans... [00:28:20] Speaker C: Toi t'étais dans ma tête, je me disais mais toi non bien sûr ! [00:28:24] Speaker A: Bon, il y a la musique aussi, évidemment, parce que l'humour, bon voilà, mais il y a la musique et l'humour souvent qui sont liés, parce que dans les choix que t'as faits, il y a quand même, je trouve, des groupes qui ont beaucoup d'humour, comme par exemple le Vicky Joe, que j'ai sélectionné, et ce Neighbor, qui est un morceau... Pour les plus jeunes, je pense que ça ne parle pas beaucoup, mais... [00:28:41] Speaker C: C'est comme ça, c'est le moment de ma bascule. J'ai découvert, c'est le groupe où j'ai découvert le hard rock. C'est un pote à moi, Aurélien, je devais avoir 10 ans, ouais 10-11 ans, parce que ça doit sortir en 94, je pense, avec Likidio. [00:28:52] Speaker A: Ah ça ouais, c'est peut-être même un coup il y a avant, peut-être. [00:28:57] Speaker C: Mais je devais avoir 10 ou 11 ans. Et il me fait écoute ça, j'avais jamais entendu de hard rock. Franchement, c'est là où Il y a quelque chose qui s'est brisé en moi, et j'étais plus le même après. Et après j'ai enchaîné sur du Iron Maiden, Run to the Hills, les Guns. Et mes Ugly Kid Joe, quand je les ai vus au Hellfest pour la première fois il y a deux ans, c'est le seul t-shirt que j'ai acheté au merch. Et mes potes me disent « Pourquoi tu achètes ça ? » Je dis « Je ne peux pas comprendre, c'est vraiment le... » C'est le groupe du début. Après America, Les Spontifs, j'ai vraiment lâché le truc, mais cet album-là, je l'ai tellement rincé quand j'avais dix ans que c'était incroyable. [00:29:31] Speaker A: C'est un peu l'image du petit con adolescent, rebelle mais qui est marrant et qui veut juste s'éclater sa vie. [00:29:37] Speaker C: Complètement ! Même la pochette, le petit punk qui fait le petit dessin, j'étais content. J'avais 10 ans, je montrais ça à ma mère, elle disait « Quoi ? [00:29:44] Speaker A: Qu'est-ce que c'est que ces barbares ? [00:29:48] Speaker C: Oh mon Dieu ! [00:29:48] Speaker A: » Les parents n'ont pas eu trop de mal à accepter le fait que tu écoutes ce genre de musique ? [00:29:51] Speaker C: Non, j'ai eu droit au Traditionneur, ça lui passera. Et puis voilà, 25 ans plus tard, même plus que ça. [00:29:59] Speaker A: Et ce titre-là, particulièrement pour une raison ? [00:30:01] Speaker C: Parce que c'est le premier titre de l'album, et quand on a lancé l'album, c'était... Ça commence comme ça, Neymour. Et il rote, en plus, dans la. [00:30:08] Speaker A: Chanson, alors à 10 ans, putain, il a roté ! C'était fou quoi. C'est vrai, c'est des choses simples mais. [00:30:16] Speaker C: Qui restent à l'esprit. Tu m'as dit quels sont les trucs qui m'ont marqué. Et ça, ça m'a marqué en fait, ce Glicky Joe. [00:30:21] Speaker A: J'avais failli mettre Silverchair aussi. [00:30:24] Speaker C: Mais que Frank Stomp, parce qu'après, c'est. [00:30:27] Speaker A: Le premier album avec la Broadway. J'ai plus de mal. [00:30:31] Speaker B: Après, c'est plus calme. [00:30:32] Speaker A: Oui, et puis c'est plus produit. [00:30:34] Speaker B: C'est plus de moi. [00:30:36] Speaker C: Daniel Jones, il est parti. Au début, c'était vénère avec sa Gibson, sa Les Paul orange-rouge. On s'écarte. [00:30:43] Speaker A: Oh, Freak, Freak... Ouais, ouais, ça c'est sur Neon Ballroom ou... Non, non, Freak Show, c'est sur Freak Show. Le l'album c'est Freak ou c'est Freak Show ? [00:30:50] Speaker B: Non, mais c'est... Froxtromp ? [00:30:52] Speaker C: Non, non, Freak c'est pas Freak. [00:30:53] Speaker B: Ah bah c'est ce qu'est juste après, c'est le deuxième. [00:30:55] Speaker C: Oui, Neon Ballroom, ça doit être le troisième. [00:30:57] Speaker A: C'est le troisième, ouais, c'est là où ça... C'est là où ça n'a pas rencontré. Tout dépend des goûts. Voilà. Mais là on va regarder dans ce clip. [00:31:04] Speaker C: Qu'on respecte, bien sûr. [00:31:05] Speaker A: Oui, moi j'aime toutes les cavernes. [00:31:06] Speaker B: On respecte toutes les couilles. Ah non, c'était pas ça, pardon, j'écoute pas vraiment l'émission. [00:31:12] Speaker A: Bon allez, on va regarder ce clip bien sûr choisi par notre invité, ça s'appelle « Ugly Kid Joe » et. [00:31:24] Speaker D: Le titre c'est « Neighbor ». Sittin' in your front yard Drinkin' lemonade Suburban life, pretty wife Hey ! Won't you be my neighbor ? C'est quoi ce bordel ? C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org I drink I stink I smoke I'm a jerk But I know just what you're thinking J'espère que je ne vais pas détruire votre jour Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti pour le tournage ! Je ne sais pas où je vais, continuons de marcher, il n'y a pas de retour J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur. Tu m'as emmené à travers la nuit Jusqu'à ce que la lune s'enlève Je regarde le ciel Et j'lui ai serré la main, j'lui ai fait « Bonjour Kiki ». [00:38:31] Speaker A: Enfin on parle du singe, celui qui suce son pouce, le kiki de tous les kikis, le seul et l'unique, sacré kiki. Bon là il n'était pas dans le clip évidemment, vous aurez reconnu ce groupe français ou pas, mais moi j'aime beaucoup et je les félicite pour ce qu'ils font parce que ça donne envie de s'amuser, d'être de bonne humeur, ça sent bon l'été, on a envie de passer un bon moment, c'est léger, c'est du pop punk vous l'aurez remarqué, ça s'appelle Paper Bag et le titre c'est Until the Sun Will Rise. Voilà, je vous conseille d'aller checker leurs réseaux sociaux et de les follow parce qu'ils méritent amplement votre soutien. Le pop punk, ça te parle un petit peu ? [00:39:04] Speaker C: Ça, j'aimais bien. C'est vrai que c'est cool. Il y a un petit côté allumant barbecue. C'est André de Rousseau si tu nous écoutes. [00:39:12] Speaker E: Un petit côté merguez party, tout ça. [00:39:15] Speaker A: Voilà. C'est beau finalement ! C'est beau finalement ! [00:39:22] Speaker C: Salaud ! [00:39:22] Speaker A: C'est horrible ! Non mais moi j'aime bien le pop-punk et en France c'est vrai qu'il y a quand même pas mal de groupes, il y en a de plus en plus, déjà depuis longtemps mais c'était du pop-punk qui virait quand même plus au post-hardcore parfois ou des trucs un peu plus vénères. Là il y a beaucoup de groupes qui assument le fait de faire des trucs amusants, un peu la blingue, on est des petits cons, on rigole mais on est là pour s'amuser. Vu que tous les autres chantent que des trucs où ils chialent, alors santé mentale, on a bien compris. Eux ils disent « Putain ma saucisse elle a grillé, c'est pas grave je vais quand même me l'enfiler. [00:39:51] Speaker B: » Jusque le soleil se lève. Apparemment c'est ça les paroles. [00:39:55] Speaker C: C'est bien les discours engagés comme ça. [00:39:58] Speaker E: Il en faut plus pour la jeunesse. [00:40:00] Speaker A: Et c'est parti pour les news ! Plus de saucisses dans les news ! [00:40:03] Speaker B: Attends on peut le refaire parce que du coup j'ai parlé sur toi Pierre. [00:40:06] Speaker A: Et c'est parti pour les news ! [00:40:07] Speaker D: C'est le flash bang news ! [00:40:10] Speaker A: En direct t'as à regarder, c'est vraiment beaucoup plus unique. Non mais voilà, c'est toutes les semaines la même chose, c'est des news, vous avez le droit de réagir. Attention, c'est pas toutes les semaines les mêmes news. [00:40:19] Speaker B: Non. Non mais faut le dire quand même. [00:40:21] Speaker A: Vous avez le droit de réagir, vous avez le droit de critiquer, vous avez le droit de dire que c'est mal informé. J'accepte tout. [00:40:27] Speaker B: C'est le moment de faire des vannes surtout. [00:40:28] Speaker A: Faut le dire. Sur Youtube ou en direct, bien sûr, live Twitch, n'hésitez pas à dire ce que vous en pensez aussi. Puis si vous avez des références ou des précisions, on est là aussi pour les prendre avec plaisir. On va commencer avec Ozzy Osbourne, il est encore vivant, c'est déjà une première news. Il fait un nouveau podcast avec son ami qui s'appelle Billy Morrison. Dernièrement on a regardé un clip. Le podcast s'appelle The Madhouse Chronicles. Alors, ça parle de... En fait, ils vont critiquer des clips qu'ils vont regarder en direct. [00:41:01] Speaker B: Ah, bah voilà, on est encore en SBV. [00:41:02] Speaker A: C'est Baby's Unbuttoned. [00:41:04] Speaker E: C'est Baby's Unbuttoned, en fait. [00:41:06] Speaker A: Alors oui, mais ils vont parler aussi de ce qu'ils ont pu se mettre dans le nez et tout ça, donc tout ce qui est cam. Des aliens, parce qu'ils aiment beaucoup parler d'aliens. Et là, tu sens que le truc commence un peu à basculer. Ils vont parler aussi du complot. Ah, formidable. Nous ne contractons pas. Ils s'y mettent tous à faire des trucs sur le complot, alors j'imagine que ça peut être amusant de s'en moquer, mais le problème c'est qu'on sait comment ça se nourrit aussi le complot. [00:41:33] Speaker E: C'était pas Fred Dorz dernièrement qui fait. [00:41:36] Speaker A: Un podcast sur le complot ? Ah non, pas toi Fred ! [00:41:43] Speaker B: Ils veulent tous inviter Carpenter, c'est pour ça. Lui il avait pris de l'avance, il n'a pas fait de podcast, mais je peux dire qu'il a fumé un bon paquet de joints en parlant du complot. [00:41:52] Speaker E: Tu ramènes Tom Delonge, c'est bon, ça. [00:41:54] Speaker A: Fait les Power Rangers du complot. Le superband ! Il doit y avoir un problème aux Etats-Unis, un virus, je sais pas. [00:42:04] Speaker B: Ou l'accès à la drogue. [00:42:06] Speaker A: Mais c'est vrai que ça doit être chiant, parce qu'imagine aux Earthbound qu'ils se fassent un podcast d'une heure. C'est Jeanne Calment quoi le truc. Et puis t'as des blocs, tu fais des blocs... Et puis pendant 30 secondes t'as rien. [00:42:20] Speaker B: J'espère surtout qu'il y a de l'editing. J'espère qu'il y a de l'editing sur le podcast sinon ça va être un cauchemar. Genre ils accélèrent toutes les voix par. [00:42:28] Speaker A: 4 ou 5 et puis ils coupent les blancs quoi parce que sinon... [00:42:32] Speaker E: A la fin ça fait François Pérusse. [00:42:34] Speaker A: Des minutes, des minutes ! Pour une autre news, parce qu'on va pas se foutre de sa gueule tout le temps, parce qu'on aime beaucoup Ozzy Osbourne. Avec une semaine de retard, l'anniversaire de la mort de Kurt Cobain, qui était mort un 8 avril 94, il commence à dater, il y a cette occasion, il y a eu une superbe reprise qui a été offerte par deux personnes qu'on adore, qu'on aime mais vraiment fortement, qui sont de bonnes personnes et qui sont des passionnés de musique, de vrais passionnés de musique. [00:43:00] Speaker E: C'est Ozzy Osbourne et Fred Burst. [00:43:02] Speaker A: Alors c'est des français. C'est Sun, qu'on aime énormément, qu'on a. [00:43:07] Speaker B: Reçu aussi d'ailleurs, si vous voulez voir. [00:43:09] Speaker A: L'Émission, elle est disponible sur Bing. Et puis Fred ! [00:43:15] Speaker B: Et Fred de Plemo, exactement. Donc ils ont team-up pour faire cette petite reprise qui est vraiment sympa. Et Sun a ce talent de savoir réinterpréter les titres de manière intéressante. C'est-à-dire que c'est pas juste une copie de l'original. Elle fait des trucs plus sur la retenue avec des parties avec du growl et tout et c'est vachement bien. Elle avait déjà fait une autre vidéo. Alors je pense que Marcel va vous mettre le lien si vous voulez aller voir là. On va pas le diffuser là comme ça vous allez le voir et ça va faire des vues. C'est beaucoup mieux. [00:43:45] Speaker A: C'est le principe pour eux. [00:43:46] Speaker B: Mais elle avait aussi fait une cover avec un projet suisse, elle avait fait une cover de Black Hole Sun aussi, avec une partie orchestre, le truc est filmé en live, c'est super, et je trouve que c'est une chanson que j'ai rarement entendue des reprises où je me dis, ok, il y a un vrai truc en plus, et celle-là, elle m'a foutu les frissons, donc vraiment, beaucoup de talent chez cette jeune femme, et du. [00:44:13] Speaker A: Coup, ben voilà, allez la voir ! N'hésitez pas, pareil, à la follow sur ses réseaux sociaux. C'est quelqu'un qui est extraordinaire. Et qui tourne et qui kiffe la musique. Je pense que cette reprise de Kurt Cobain, donc de Nirvana, elle a dû être émue aussi. Ça a dû la toucher. [00:44:27] Speaker B: Et puis gros plaisir de retrouver Fred jouer de la batterie parce qu'on n'a plus trop l'occasion de le voir. [00:44:33] Speaker C: Et quelles chansons de Nirvana qu'ils ont reprises ? [00:44:35] Speaker A: Alors, je n'ai pas douté. Art Chef Box. [00:44:38] Speaker C: Ah oui, forcément. [00:44:39] Speaker B: Ça marche bien. [00:44:40] Speaker C: Oui, ça marche très bien. [00:44:41] Speaker A: D'ailleurs, s'il y a des anniversaires comme ça ou des tristes anniversaires, celui de Chris Cornell, de sa mort, de Chester Bennington aussi, je sais qu'on en parle beaucoup sur le ch'meul et dans nos commentaires sur Youtube. S'il y a d'autres anniversaires comme ça qui vous touchent et qui vous perturbent, n'hésitez pas à nous les communiquer. [00:44:59] Speaker C: On aura bientôt joué Geordie Son, je pense. [00:45:02] Speaker A: Son anniversaire, c'est quand ? [00:45:05] Speaker B: Il sort de l'anniversaire de son décès. [00:45:07] Speaker A: J'étais décédé en juillet, je ne sais plus quand. [00:45:11] Speaker E: C'était en 2021, mais c'était quel jour ? [00:45:13] Speaker A: Je ne me souviens pas. [00:45:14] Speaker B: Il faut qu'on fasse une rubrique nécrologique. [00:45:17] Speaker A: Un nouveau concept. Comment ouvrir l'émission ? Alors il est mort ! [00:45:21] Speaker E: On va finir par faire comme les cérémonies genre Oscar avec un écran noir. [00:45:25] Speaker A: De la musique et puis les portraits. [00:45:28] Speaker C: Il y avait Taylor Hawkins il n'y a pas longtemps. [00:45:30] Speaker A: On ne va pas encore fêter son anniversaire. Moi je suis parti longtemps. Bon, sinon, juste, c'est pas vraiment une news, mais c'est quelque chose qui m'avénère, c'est juste, je suppose que tout le monde l'a vu, il va y avoir un festival du côté de San Francisco, avec System of a Down, Deftones, Mars Volta, les Viagra Boys, moi je les aime beaucoup, et alors ça, je ne sais pas, Vaos, j'avoue que je ne connais pas, mais juste, ça se passe le 17 août, si vous avez envie de voyager, si vous avez plein de thunes, bah c'est complet. [00:46:00] Speaker B: Ah oui, c'est fini, ça a été complet. En fait, moi j'ai juste vu le post Instagram de Deftones qui disait «. [00:46:08] Speaker A: Ah, on fait un concert » et. [00:46:11] Speaker B: Le lendemain j'ai revu le truc, c'est complet. [00:46:13] Speaker A: Tu m'étonnes. Je fais vieux con encore une fois pour changer. Mais System of a Down, Deftones, Mars Volta… Il y a un certain nombre de drogués aussi mais… Il y a. [00:46:25] Speaker B: Potentiellement un groupe qui va bien jouer. [00:46:29] Speaker A: Ah ouais, je vois pas lequel. Ah, Viagra Boys, t'as raison. [00:46:31] Speaker B: Non, parce que Mars Volta, c'est un peu compliqué. Ils sont un peu plus clairs. [00:46:37] Speaker E: Système, c'est très compliqué depuis longtemps. [00:46:39] Speaker B: Système... [00:46:39] Speaker C: Je les ai jamais vus en live. [00:46:41] Speaker B: Ah ouais ? T'aimes les pantoufles ? [00:46:44] Speaker C: Bonne vieille charanthèse. [00:46:46] Speaker A: Ce qu'on disait, c'est qu'il est... Serge Hanken est en charanthèse sur scène. [00:46:49] Speaker C: Serge. [00:46:50] Speaker A: Serge, si tu nous regardes, n'hésite pas à venir avec les pantoufles. [00:46:54] Speaker E: Magnéto Serge. [00:46:57] Speaker A: Sinon, quoi d'autre ? Je vous propose le batteur de Disturbed. Tiens, voilà. Ça, c'était amusant. De toute façon, quand ça concerne Disturbed, il y a toujours un truc assez amusant. [00:47:04] Speaker B: C'est vrai, c'est toujours drôle. Toutes les semaines, on a les mêmes groupes. [00:47:06] Speaker A: Et là, ils font parler d'eux, c'est ce principe. Alors, il se porte volontaire, je vais vous lire le truc pour ne pas déformer la situation. Il se porte volontaire pour remplacer Charlie Benante, donc Pantera, donc si nécessaire. Ça veut dire que personne ne lui a posé la question. [00:47:21] Speaker B: Non, mais il est ok. [00:47:22] Speaker A: Mais lui, il dit, surtout si jamais il ne veut pas. Moi, je pose l'option. Donc évidemment, tout le monde s'est foutu de sa gueule. Il lui explique pourquoi, parce qu'il dit que c'était un grand fan de Vinnie Paul, que c'est lui qui lui a donné envie, évidemment, de le jouer, etc. [00:47:39] Speaker B: Il y a des gens qui l'ont dit, c'est pas parce que lui t'as inspiré que toi, tu... T'es bon ! [00:47:44] Speaker E: Il a dit, ouais, mais c'est pas toi qui décide. [00:47:47] Speaker A: Bon, Disturbed, ça a dû faire partie de ton musical, si t'es un peu néo-metal, non ? [00:47:50] Speaker C: Ouais, ouais, non mais... Au moins faire... Ouais, bien sûr. [00:47:53] Speaker A: Non, si... [00:47:55] Speaker C: Il y en avait une autre dans Queen of the Dame aussi de Disturbed. [00:47:58] Speaker A: Ah oui, c'était des chansons qui étaient des originales. [00:48:01] Speaker C: Mais moi j'ai jamais trop kiffé même la voix de David Drayman, tout ça c'est pas dans les... [00:48:06] Speaker A: Tout ça parce qu'il avait deux trucs là, et puis tu disais c'est dégueulasse. [00:48:09] Speaker C: C'était pas dans les... [00:48:11] Speaker A: Dis donc ça doit sentir encore plus mauvais que l'air à temps. [00:48:13] Speaker B: Je suis pas sûr que ce soit pire. Ça ne va pas être mieux. [00:48:19] Speaker A: Ensuite, autre news, Jerry Cantrell, le guitariste et chanteur aussi d'Alice in Chains, il a retrouvé sa précieuse guitare Blue Dress J&L. Souvenez-vous, il avait fait appel à la police, il avait dit qu'on lui avait voulu, que c'était la guitare de sa vie. [00:48:38] Speaker B: En fait, il l'avait oubliée sous son Porsche. [00:48:41] Speaker A: Figure-toi que dans le coffre de sa voiture apparemment, ou en tout cas lors d'un transport, elle a été mise dans un coin et quand il l'a débarrassée, il a fait « ah ben en fait elle est là ». Donc il remercie la gentillesse de toutes ces personnes qui l'ont soutenu dans sa strisette ce soir. Mais en fait, elle est juste là. [00:48:57] Speaker E: Finalement, c'était dans le coffre de ma Safran. [00:48:58] Speaker C: J'imagine qu'ils ont peut-être arrêté un Mexicain dans la rue juste pour lui. C'est vrai, on serait en prison. [00:49:04] Speaker A: Non, mais en plus après, il essaie d'expliquer. Il dit qu'il y avait une licence photo. En fait, c'est juste que ça m'a un peu perturbé. J'ai oublié. [00:49:12] Speaker B: C'était dans le coffre de ma Bentley. Je croyais que je l'avais mis dans. [00:49:14] Speaker A: Le coffre de ma Ferrari. Bon bref, ça m'a juste fait dire que Jerry Cantrell, ça doit être un homme gentil, un homme intelligent, il peut être con comme les autres. Voilà, c'est tout. [00:49:29] Speaker B: Ou pas très précautionneux avec ses affaires. [00:49:31] Speaker A: Ouais, il a quand même fait chier tout le monde en disant « c'est la guitare de ma vie ». [00:49:37] Speaker B: Un jour, il va oublier sa tête celui-là. [00:49:41] Speaker A: Bon, du coup, ça me donne envie, évidemment, de regarder un clip de Alice in Chains. C'est un bas de soi et j'ai choisi « Would » parce que je me suis dit que c'est une chanson qui fait toujours plaisir. On est d'accord ? [00:49:51] Speaker C: Ouais, si, si, ouais. [00:49:53] Speaker A: Alice in Chains, c'est le moment où... T'adores, tu vois. Non, mais t'sais, c'est le groupe où on a tout chialé ensemble. Oui, j'ai cramé moi aussi. [00:49:59] Speaker C: Non, mais y'a le roster aussi, tu vois. [00:50:01] Speaker D: Ah ouais ? [00:50:03] Speaker A: Don't forget the toaster, c'est hallucinant. Ouais, c'est parti, Alice in Chains. [00:50:44] Speaker D: J'en ai marre. C'est parti ! Ouais ! [00:53:39] Speaker A: Débat, débat hors antenne, bien sûr. Bon, finalement, je n'ai jamais eu à l'Issy une challenge d'information d'origine. [00:53:44] Speaker B: Moi, je pense que c'est l'hippopotame le plus fort. [00:53:45] Speaker A: Alors, calme-toi, on a la blague plus tard. Putain, on est trop connectés Pierre ! Mais oui, Alice in Chains ou Nirvana, j'avoue que quand j'étais gamin, Nirvana... Alice in Chains, j'y suis venu plus fin des années 90. [00:54:01] Speaker B: Le débat est, de ces deux groupes que vous n'avez pas vus en live, lequel vous auriez aimé voir en live ? [00:54:06] Speaker A: Voilà, d'origine, évidemment pas Alice in Chains d'aujourd'hui, parce que ça, on se doute bien que vous pouvez plus facilement les voir. [00:54:12] Speaker B: Que Nirvana. [00:54:13] Speaker A: Voilà. Après, c'est possible Nirvana, mais en pièces détachées. Peut-être qu'ils vont revenir avec une chanteuse, non ? Il n'y a pas de news là-dessus. Mais donc le résultat c'était vous deux, Enjoy et Ben, Alice in Chains, c'est ça ? Et nous Nirvana ? Parce que peut-être que nous on accepte plus facilement... Peut-être qu'on a du goût aussi, je ne sais pas. [00:54:40] Speaker B: C'est juste que je vois qu'il y a un pattern parce que vous êtes aussi tous les deux très fans de cornes. Je vous conseille d'écouter cette reprise de Creep au MTV Unplugged. [00:54:53] Speaker A: Mais voilà, il sait qu'il a une arme ! [00:54:55] Speaker B: Ah bah c'est pas moi qui l'ai. [00:54:56] Speaker A: Faite en plus ! [00:54:58] Speaker B: Elle m'a été livrée vraiment sur toutes les plateformes ! [00:55:01] Speaker C: Le pire de cette reprise, c'est la chemise cow-boy que Jonathan Davis portait en la chantant. [00:55:05] Speaker A: Oh ça, moi ça me bat ! Parce qu'il y a une cravate texane ! C'est l'ensemble ! Tu préfères sa dernière photo au milieu des cerisiers en fleurs ? J'ai pas vu ça ! [00:55:18] Speaker C: Ah bah voilà ! [00:55:19] Speaker A: Sur Instagram ! Il fait des photos au milieu des fleurs ! [00:55:20] Speaker C: Mais c'est sa meuf ! C'est sa meuf ! C'est parce qu'il est heureux ! Vous comprenez rien ! [00:55:26] Speaker A: Pour la suite des news, j'ai du Metallica qui ont surpris leurs fans d'après ce qui est dit sur internet, pas très surprenant, mais j'ai choisi cette news pour toi Ben parce qu'il fait une reprise d'un classique d'Elton John, Funeral for Friend Love Lies Bleeding. Je ne sais pas du tout à quoi ça ressemblait mais c'était pendant une émission spéciale en hommage à Elton John. Vous pouvez retrouver ça sur internet mais je pense à toi donc je te conseille d'aller la regarder. [00:55:51] Speaker B: Tu penses à moi parce que je ressemble à Elton John ? [00:55:53] Speaker A: Est-ce que je suis gros avec des. [00:55:54] Speaker B: Lunettes, c'est ça ? [00:55:55] Speaker A: Il va me la refaire, il me l'a faite par SMS la dernière fois. Elle lui a marché. [00:56:02] Speaker E: Maintenant Ben va vous jouer du piano. [00:56:04] Speaker A: Non mais pourquoi Metallica pourrait pas reprendre du Elton John ? C'est ça le problème. Ça nous surprend. [00:56:10] Speaker B: Ils ont déjà fait Lulu donc... [00:56:14] Speaker A: On peut s'attendre à tout à partir de là. La, la, la, la, la, la, la. [00:56:27] Speaker B: La, la, la, la, la, la, la. [00:56:30] Speaker A: La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la. [00:56:31] Speaker B: La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la. [00:56:34] Speaker A: La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la. [00:56:35] Speaker B: La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la. [00:56:42] Speaker D: La. [00:56:45] Speaker B: Et Pierre qui lui dit, est-ce que t'aimerais avoir des doigts en plus. [00:56:48] Speaker A: Pour pouvoir mieux jouer ? [00:56:50] Speaker B: Et lui il a répondu, non mais j'aimerais bien avoir une deuxième bite quand. [00:56:54] Speaker A: Je baise ma meuf. Il a dit j'ai deux bites. Il a dit j'ai deux bites et c'est pour ça que ma meuf restait avec moi, c'est déjà pas mal. Quel poète ! Et il avait l'attaché de presse au fond quitte à... du coup j'aime le faire. Black Last Society. Non mais il avait kiffé, c'était marrant, il avait dit plein de con et. [00:57:14] Speaker B: Par contre après pour lui faire dire. [00:57:15] Speaker A: Des trucs sérieux c'était plus compliqué. Donc bref, Zach Wild révèle dans une interview sa profonde connexion avec Dimebag, affirmant qu'il ressent la présence du légendaire guitariste tout le temps. Il est là, il est par-ci, il est par-là, oh il me touche. Je le sens moi, je crois qu'il. [00:57:29] Speaker E: Est mûr pour le podcast d'Odzi là. [00:57:31] Speaker A: Ça va être des retrouvailles en plus. [00:57:34] Speaker B: Il essaye de se faire repérer. [00:57:37] Speaker A: Non mais je pense que c'est une stratégie aussi indirectement parce qu'il n'a pas du tout envie de refaire de nouveaux morceaux de Pantera et qu'on lui demande systématiquement de refaire des nouveaux morceaux avec Pantera. Et lui il a dit je ne veux pas parce que j'ai beaucoup trop de respect pour Dimbag. Il n'y a pas moyen de le remplacer, il n'y a pas moyen de dire on fait Pantera parce que c'est... De jouer les morceaux, ok, mais d'en créer des nouveaux, non. Il pense que c'est... Il faut garder cette image du passé et qu'il faut le respecter. [00:58:03] Speaker C: Déjà même en jouant les morceaux, c'est pas Pantera. Ah bah non, ça c'est sûr. C'est sûr, c'est sûr. [00:58:08] Speaker B: Et je crois pas qu'il soit capable de composer des bons morceaux de Pantera. [00:58:12] Speaker C: Comme tu y vas ! [00:58:13] Speaker A: Moi je vais lancer ! Pour moi le contraire ! Il est so wild ! Pour moi le contraire ! Qu'est-ce que vous en pensez ? N'hésitez pas au commentaire d'ailleurs aussi et à nous dire qu'on est des salemers de France. [00:58:27] Speaker B: Je pense que quasiment tout le monde est d'accord avec moi. [00:58:29] Speaker A: Ouais, et puis je pense que surtout il a pas du tout envie. Il y a une grosse probabilité. [00:58:33] Speaker E: Est-ce qu'on a besoin de nouveaux morceaux de Pantera ? [00:58:35] Speaker B: Non, dans la chambre. [00:58:36] Speaker C: C'est bu, Pantera, de toute façon, je vous dis. [00:58:38] Speaker A: Si c'est pour qu'il s'achète des nouvelles sandales pour montrer ses doigts de pied dégueulasses, merci. Je resterai sur ça parce que moi c'est les images les plus hommes que j'ai vues de ma vie. [00:58:45] Speaker E: Oh, t'es méchant. [00:58:47] Speaker B: Alors, de qui on parle après Pierre ? [00:58:49] Speaker A: C'est vrai que j'ai vu Max Cavallera aussi. [00:58:51] Speaker B: À l'époque où il y avait Indred. [00:58:55] Speaker A: Alors là, par contre, c'est moins rigolo. Je suis désolé, mais il y a des news qui sont dégueulasses. Vous savez qu'il y a de gros soucis autour de Antiflag. Le chanteur a fait des choses qui sont très graves. Eh bien, sachez-le que ce soit le groupe... [00:59:07] Speaker B: En plus de sa musique, tu veux dire ? [00:59:11] Speaker A: Alors moi je sais que c'est un truc qui me perturbe un peu parce qu'Antiflak j'aime bien. Et en fait là carrément il a disparu, il a quitté les Etats-Unis. Les avocats, plus personne ne le retrouve, il est en fuite. Je pense que c'est un aveu quelque part. En fait il a accusé d'agressions sexuelles assez avancées. Et puis d'autres bêtises, à la limite le reste c'est moins grave on va dire. Mais il disait non, il disait non, il y avait eu un premier procès qui avait eu lieu je crois où il avait réussi plus ou moins à passer au travers des filets. Tout le monde sent que c'est une personne à problème parce que c'est quelque chose qui était assez connu quand même dans le truc mais bon, comme la justice avait dit c'est bon, Bon finalement. [00:59:56] Speaker C: À partir du moment où tu prends. [00:59:57] Speaker A: La fuite... Et là il est parti en courant parce que ça me fait halluciner. [01:00:02] Speaker C: Qu'il parte et qu'il ne revienne jamais surtout. [01:00:04] Speaker A: Que ça se passe mal pour lui, ça sent bien. [01:00:06] Speaker B: Sauf qu'il pouvait être puni pour ce qu'il a fait. S'il a fui au Mexique par exemple, ça serait bien qu'il trébuche et qu'il tombe dans des petits cactus. [01:00:20] Speaker C: Ou la tête dans un piège à l'eau. [01:00:23] Speaker A: Ça, ça serait bien. Ou qu'il mange quelque chose de beaucoup trop pimenté. [01:00:26] Speaker B: Comme de la tequila. [01:00:27] Speaker A: Il boit de la tequila, il prend feu. [01:00:29] Speaker C: Ah ouais, super. [01:00:30] Speaker A: Bon. Par contre, un homme viril et quelqu'un qui représente bien sûr le côté masculin de cette humanité qu'on aime, c'est Disnider. Disnider, donc des Twisted Sisters, mais aussi Disnider tout seul parce qu'on sait qu'il aime bien sa propre personne. [01:00:47] Speaker B: Elle est permanente. [01:00:50] Speaker A: Il a dit je suis prêt à reformer les Twisted Sisters pour partir en tournée et vous offrir du bonheur. [01:00:56] Speaker C: Non ! Non mais ça faut arrêter ! [01:00:59] Speaker B: Alors on fait un vote à main. [01:01:00] Speaker A: Levée, qui pour ? Bah toi ! Non mais pourquoi ? Déjà le mec a un groupe de reprise de Twisted Sister, c'est-à-dire que Disnider a son propre groupe de reprise de son groupe. [01:01:09] Speaker C: Ça c'est beau ça ! [01:01:10] Speaker A: Donc de base, lui il a jamais arrêté ! [01:01:12] Speaker B: Le concept est quand même fort ! [01:01:13] Speaker A: Ça c'est incroyable quand même ! [01:01:14] Speaker B: C'est un peu comme Phil Anselmo avec Pantera. C'est ça j'allais dire. [01:01:22] Speaker A: Et il dit oui c'est difficile à exclure pour les groupes de revenir même quand on a dit que c'était fini parce qu'en fait il y a des gens qui vous proposent des contrats et au delà du contrat comment dire non ? Comment dire non bonheur des gens ? [01:01:34] Speaker B: Il serait pas pote avec les mecs de Slayer ? [01:01:35] Speaker A: C'est ce que j'allais dire, maintenant que Slayer s'est connu c'est les vannes ouvertes. Il y en a quand même beaucoup là on peut en citer Motley Crue. Oui, alors c'est peut-être même les meilleurs. [01:01:46] Speaker C: Le Scorpion, il y a beaucoup de tournées d'adieux. [01:01:49] Speaker A: Ça fait déjà 40 ans. Keith aussi. [01:01:53] Speaker C: Michel Sardou. [01:01:54] Speaker A: Michael Sardou. Michel Sardoc. Un grand coucou aux métallistes s'ils regardent. C'est des blagues de Bring The Noise. C'est très vieux, donc on ne va pas rentrer dans les détails. Mais voilà, qu'est-ce qu'on en pense ? Non, on n'a pas envie de voir la Twisted Sister revenir. Et est-ce qu'il est sincère en disant ça ? Ah non, enfin, je veux dire... La caillasse ! Non mais tu vois, il dirait tout simplement, il y a du pognon, je suis content, je veux du fric. Ça nous choquerait, je pense, moins que d'essayer de contourner plus ou moins avec deux, trois excuses de merde. [01:02:20] Speaker E: On dirait, j'ai besoin de refaire le liner de ma piscine, pourquoi pas ? [01:02:25] Speaker A: Non, j'ai besoin d'acheter un nouveau maquillage, parce que là j'ai des grosses paupières. [01:02:30] Speaker B: S'il a besoin de faire le liner de sa piscine, il n'a qu'à demander au mec de Liner Skynerd. Celle-là a été nulle et j'en avais. [01:02:37] Speaker A: Une autre qui était nulle aussi. [01:02:46] Speaker B: En vrai peut-être c'est juste parce qu'il a vu qu'il y avait Spinal Tap 2 qui était en préparation, il s'est. [01:02:51] Speaker A: Dit Ah ouais je vais faire Twisted Sister ! [01:02:54] Speaker B: Non mais il se dit ça va faire un re-engouement pour les groupes. Il va faire Twisted Sisters. [01:02:58] Speaker A: Toi tu étais venu avec moi aller voir quand ils avaient joué à Hellfest Twisted Sisters ? [01:03:02] Speaker B: Ouais un peu. [01:03:03] Speaker A: Et il y avait quand même ce côté gomina de Dee Snider où d'un coup quand il revient sur scène il faut que ça... Mais du coup non. Après moi j'aime bien les Twisted Sisters, ça me rappelle mon enfance. [01:03:14] Speaker B: Après moi je juge pas les cheveux parce que... [01:03:16] Speaker A: Mais c'est à cause de lui que quand j'allais à l'école je faisais des ronds rouges comme ça. Bon bah je me suis pas fait beaucoup d'amis. [01:03:20] Speaker B: Non bah c'est sûr. Par contre, il y a d'autres endroits, si tu fais ça, ça peut bien marcher. [01:03:25] Speaker A: Je l'ai fait après, au dépôt. À tous mes amis, à tout le monde, pas attention, rien à voir avec Megadeth. C'est tout pour les news. Si on en a oublié, n'hésitez pas en commentaire sur YouTube également à mettre celle que vous avez envie de partager avec nous, de commenter, de nous critiquer, tout est possible. On aime ça et on part bien sûr sur Passez-moi les carottes, s'il vous plaît. Pouvez-vous m'excuser ? [01:04:28] Speaker D: Qu'est-ce que c'est ? Je sais ce que c'est. C'est de la musique. Douglas, regarde, s'il te plaît. C'est juste un enfant. All right mister, what do you think you're doing? You call this a room? This is a pigsty! I want you to straighten up this area now! You are a disgusting slob! Stand up straight! Tuck in that shirt! Adjust that belt buckle! Tie those shoes! Twisted sister! What is that? Wipe that smile off your face. Do you understand? What is that? A twisted sister pin on your uniform? What kind of a man are you? You're worthless and weak. You do nothing. You are nothing. You sit in here all day and play that sick, repulsive, electric twanger. I carried an M16 and you, you carry that guitar. Who are you? Where do you come from? Are you listening to me? What do you want to do with your life? A bientôt ! On a le droit de le choisir Il n'y a pas de manière de le perdre C'est notre vie, c'est notre chanson On va combattre les milliers d'ennemis Ne prenez pas notre destin car Vous ne nous connaissez pas, vous ne vous belongez pas Musique rock C'est bon, c'est bon. When there's a fall, it's always the same Good God's slipping, so you shift the blame How could you ever throw that on my name? In the presence of God, bitch, don't show your face You're mad, you're bad, now I heard it Truth is, you belong in a fucking ditch Got a real man, we circle for a fucking snitch You made your bed, now look at it Fuckers, you belong in a fucking ditch You made your bed, now look at it Got a real man, we circle for a fucking snitch Die, wither away Self-righteous fuck, like you're dead Ben t'connais bien apparemment ! [01:13:01] Speaker A: Ah bah c'était finot tout ça dis donc ! Alors oui, 2 minutes 1, donc le morceau est assez rapide mais en même temps il envoie vénère. Le chanteur est pas content. Il est vraiment pas du tout content. [01:13:12] Speaker B: Ah puis c'est lourd comme son. [01:13:14] Speaker A: Non mais j'ai eu... Alors on en a déjà passé en plus des titres de ce groupe là. [01:13:18] Speaker C: Et je sais qu'il y a beaucoup. [01:13:19] Speaker A: De gens dans le ch'meul et qui regardent nos VOD, qui adorent ce groupe. Donc voilà, j'avais envie de leur faire plaisir. Moi c'est pas mon genre mais après... Bon. Moi je le ferais pas chier. [01:13:28] Speaker B: Chacun son genre aujourd'hui. [01:13:29] Speaker A: C'est tout à fait ça. Ça s'appelle Filth. [01:13:33] Speaker D: Filth. Filth. [01:13:34] Speaker A: Et le titre s'appelle... Oh putain, t'as vu j'ai tellement transpiré, ça a effacé. Cement Shoes. Voilà. Tout simplement. C'est quand ça envoie comme ça. [01:13:43] Speaker B: Les chaussures aussi. [01:13:46] Speaker C: Si j'aime bien, ça met un petit dose. Si je vois ça en live, je pense que je reste pas plus de 15 minutes. [01:13:52] Speaker A: Ah oui ? Ouais. T'arrêtes tous les trucs de deathcore. [01:13:56] Speaker C: Ouais, deathcore, j'ai un peu de mal quoi. Même en vrai, le metalcore de maintenant, c'est tellement un peu la mode où t'es un peu tout pareil. [01:14:04] Speaker A: C'est pas nous, c'est pas nous ! [01:14:11] Speaker B: On va pas faire un short avec. [01:14:12] Speaker A: Ce passé, ta carrière est terminée ! [01:14:16] Speaker C: Non mais j'adore ! Je vais voir I Prevail le 21 mai ! [01:14:20] Speaker A: Effectivement ! Je sais pas qu'on aime pas le Metalcore, c'est que c'est un constat global ! [01:14:28] Speaker C: On est des vieux gars, c'est tout ! [01:14:32] Speaker A: Mais on l'accepte. On lui fait pas si mal que ça. Oh non ! On parle évidemment avec toute une autre invitée à Rolls où tu as des dates qui arrivent, on va en parler tout de suite. Comme ça les gens peuvent noter dans leur petit agenda là où il faut le faire. [01:14:47] Speaker B: Ils peuvent déjà acheter leur place pendant qu'ils regardent. Absolument, on ouvre un nouvel, un onglet à côté. [01:14:51] Speaker C: Ce qui est fait n'est plus à faire donc autant les prendre maintenant. [01:14:54] Speaker A: Non mais exactement. [01:14:56] Speaker C: Jeudi je suis à Lannis-sur-Marne. donc région parisienne, samedi à Besançon, Bozac, Grosseville de Métalleux, d'ailleurs big up à Métal in Franche-Comté, qui organise des happenings métaux en Franche-Comté. Ils sont partenaires du spectacle là-bas, donc ils ont fait gagner des places, ça c'est cool. Et je suis toute la semaine du 23 au 27 à Rennes, Sur HaroldBarbet.com il y a toutes les dates. [01:15:23] Speaker D: Et. [01:15:26] Speaker B: Marcel va vous mettre suite le lien dans le... [01:15:28] Speaker A: C'est pas compliqué à retenir. HaroldBarbet.com, section date, et puis le reste on se laisse guider. [01:15:36] Speaker B: Et c'est aussi en description de la vidéo sur YouTube. [01:15:38] Speaker A: Il faut absolument que vous alliez le voir sur scène bien sûr et surtout soutenir toutes les personnes qui aiment le métal. Et bien c'est tout simplement mettre en valeur un petit peu cette musique qui vous fait du bien encore une fois. C'est tout simplement la raison première. Bon après t'es bon évidemment ça c'est... [01:15:52] Speaker C: La grande famille du métal ! [01:15:54] Speaker A: On se tient tous dans la main comme ça et puis on court nus. [01:15:58] Speaker B: Dans des concerts de Metalcore. [01:16:00] Speaker C: Ah ils priveillent, là ils priveillent le 21 mai. [01:16:06] Speaker A: Au plus on aime le metalcore, c'est pas le problème. [01:16:10] Speaker B: Non c'est vrai Pierre, c'est pas ça le problème. [01:16:14] Speaker A: Je ne veux pas savoir quel est le problème, on s'arrête là. [01:16:16] Speaker B: Et moi non plus. [01:16:18] Speaker A: Quand t'étais petit, ton pote t'a fait découvrir, parce que c'était le principe. Il t'a fait découvrir comment ? J'ai oublié, c'était... [01:16:24] Speaker B: Le Glicky Joe. [01:16:25] Speaker A: Oui c'était le Glicky Joe, mais c'était comment ? Il t'a fait découvrir une cassette ? Non, c'était un cd. Un sampler ? [01:16:29] Speaker C: Un cd. Non, c'était tout America, Least Wanted. [01:16:31] Speaker A: Il t'a amené, il t'a dit ah ouais. [01:16:33] Speaker C: J'étais dans sa chambre, il m'a dit tiens écoute ça. Et puis il y avait ça, je m'en rappelle, il y avait Satyricon, qui n'était pas du tout, pour le coup, mon délire. Les Rage, le premier album des Rage. Et après, je m'en rappelle, ma mère m'a obligé à faire ma communion. Elle m'a dit tu pourras avoir ce que tu veux et à ma communion j'ai pris que des CD de bétal J'ai eu Master of Puppets, Spaghetti Incident. [01:17:00] Speaker E: La pochette de Master of Puppets à. [01:17:02] Speaker A: L'Église ça devait faire fond sur fond, c'est bien Tu sens le mec qui dit je vais faire plaisir à ma mère, je vais faire ma communion C'est quand même le métal, un jour... Et en vélo ! C'est bien, il faut faire du sport aussi. Le métal c'est du sport, le headbanging. Parce que j'imagine que... En fait je parle de cette jeunesse parce que Kord est arrivé à un moment et... Et le headbanging, ça fait partie de ce qu'un fan de Korn fait. [01:17:29] Speaker C: Dès que tu dis Korn, j'ai envie d'observer une minute de recueillement parce que ça me touche ici. J'adore Korn, c'est vraiment le bande-annonce de ma vie. [01:17:38] Speaker A: Moi j'adore. On va vous laisser tourner, faisons une émission spéciale. [01:17:45] Speaker C: Pour en parler des heures, ça va être relou. Moi j'ai vraiment découvert avec Follow the. [01:17:50] Speaker A: Leader quand j'avais 14-15 ans. [01:17:53] Speaker C: Et pareil je crois que la première c'est le même pote qui m'a fait écouter ça et on a mis God's A Life Et j'étais comme un ouf. Et après, c'était l'époque, je sais pas si vous vous rappelez, où il y avait une pub Puma avec Freak On A Lish. Et puis après, j'ai pris deux premiers albums. Il y a eu Shoes qui est sorti quand j'étais en secondes. Et puis chaque fois, c'est encore le seul groupe où j'achète encore les albums en vrai. [01:18:13] Speaker A: Ah oui, ok. Ce qui veut bien dire ce que ça veut dire. Mais c'est quoi qui t'a... T'achètes plus d'albums ? Génial. [01:18:20] Speaker C: Merci pour les abonnements iTunes. [01:18:25] Speaker A: C'est quoi qui t'a attiré encore de ce groupe ? C'est Jonathan Havis qui pleure ? Moi j'ai été touché. [01:18:32] Speaker C: Il y avait les onomatopées, parce qu'il y en avait beaucoup dans Follow the Leader. Je crois que c'est là où il en balance le plus. C'est un mélange de rap et de métal finalement, au Follow the Leader. [01:18:44] Speaker A: Oui, on peut voir ça comme ça. [01:18:47] Speaker C: Il est très hip-hop, je trouve. [01:18:49] Speaker A: Dans l'idéo, bien sûr. [01:18:52] Speaker C: J'avais adoré, c'était nouveau, c'était incroyable. Ça a ouvert la voie pour moi. Après il y avait Deftones, Limp Bizkit, toute cette famille-là, je pouvais plus m'en passer. Et même encore aujourd'hui, il n'y a pas une seule journée de ma vie où je n'écoute pas au moins une chanson de corne. [01:19:08] Speaker A: Donc c'est ce truc, ce mélange rap-metal à ce moment-là qui t'a juste effacé. [01:19:15] Speaker B: Je pense que c'est le côté un peu fraîcheur qu'il y avait dans ce mélange. [01:19:19] Speaker A: Nouveau et donc que ta génération peut se l'approprier. [01:19:21] Speaker C: Et puis il y avait, je pense, là je devais avoir 13-14 ans, t'avais le côté un peu grand frère, tu vois les mecs ils étaient un peu plus âgés, ils étaient cool, j'avais envie d'être comme eux. Et après quand j'ai compris l'anglais, tu vois je comprenais les paroles et je me retrouvais vachement comme tous les mecs. [01:19:36] Speaker A: Moi j'ai moins envie d'être comme eux ! [01:19:37] Speaker C: Non mais j'adore ! [01:19:41] Speaker A: J'ai très envie d'entrer dans les détails parce qu'évidemment ça me parle beaucoup, donc je sais pas si ça parle aux gens... C'est juste qu'il dit ça m'a parlé parce qu'il y avait tout ce truc là, après t'as parlé des paroles. Parce que chacun à un moment s'intéresse aux paroles, c'est ce qui nous lie aussi au groupe qu'on aime aujourd'hui encore plus. Souvent d'ailleurs les paroles ne sont pas vraiment adaptées à notre vie, l'équivalent de notre vie, mais on y trouve des liens. C'était quoi les liens du coup ? [01:20:08] Speaker C: Alors moi, par exemple, si je prends Follow the Leader, il y a une chanson qui s'appelle Pretty, et qui parle de la découverte d'un cadavre d'enfant à la morgue. Et moi, à 19 ans, j'ai travaillé au funérarium du CHU de Caen, et ça m'est arrivé en fait de découvrir un cadavre d'enfant. Et du coup, tu vois par exemple, ça, cette parole-là, ça m'a parlé. [01:20:27] Speaker A: Ah oui, bah oui, j'ai oublié. Ah, tu la ramènes moi, là ? Ah, t'es content de l'avoir posé ta question ? [01:20:33] Speaker C: T'es pas déçu non ? [01:20:34] Speaker A: Ça m'a oublié quand on avait parlé de celui-là avant. Du coup je vais le prendre dans la gueule. Ah ouais, ok. Du coup je sais pas quoi dire. [01:20:42] Speaker B: Bah toi c'était Daddy. Je veux dire, chacun son. [01:20:45] Speaker A: Non mais les liens, moi si je commence à en parler ça va être très long, tu sais que c'est autre chose. Donc on va pas rentrer dans les détails. Mais ouais, c'est ce qui t'a... t'as été coroner quoi. Finalement t'as travaillé un peu comme Jonathan Davis. [01:20:56] Speaker C: Ouais mais c'est pas les mêmes trucs. [01:20:58] Speaker A: Attends ! [01:21:00] Speaker C: Ouais un peu, mais je suis un peu le Jonathan Davis de quand ? Jonathan Davis de la blague. [01:21:07] Speaker A: Et peut-être qu'il fait aussi du stand-up quelque part, on sait pas. [01:21:13] Speaker C: J'ai une anecdote, mais je suis obligé de balancer un M-Dropping de bâtard, donc vous me pardonnerez. Un jour je rencontre Ed de Korn, et il me signe le livre qu'il a fait, il avait fait une dédicace, vous y étiez pas non ? pour la sortie de son livre. Et on parle, vraiment très cool le gars, et je lui dis que je fais du stand-up, et il fait « mais moi tu sais que j'aurais adoré faire du stand-up, je voulais être comédien au lycée et raconter des blagues ». Je dis « mais moi je voulais être star du métal », tu vois. Et en fait il me disait « ouais souvent les stars du métal veulent faire du stand-up » et je connais beaucoup d'humoristes en France qui voulaient être stars du métal. Donc en fait quand t'es pas drôle, tu fais du métal. [01:21:52] Speaker B: La preuve c'est que le mec de Cannibal Corpse se lance dans le stand-up. [01:21:56] Speaker A: Ah ouais ? [01:21:56] Speaker C: Ouais, mais c'était dans les Ventura, donc tu vois, finalement, tout a une logique. [01:22:01] Speaker A: Après, est-ce que ce sera marrant ? [01:22:04] Speaker C: Est-ce que c'est plus difficile d'être marrant. [01:22:06] Speaker A: Ou de faire de la bonne musique ? Alors, parce qu'on parle de Korn, donc. [01:22:09] Speaker B: Bon... Ça dépend de tes talents. [01:22:11] Speaker A: Quelle est la notion de bonne musique aussi ? [01:22:13] Speaker B: Après, ce qui est bien, c'est que Korn, ils arrivent un peu à faire les deux. [01:22:15] Speaker D: Quel bâtard ! [01:22:17] Speaker B: Je vous conseille d'écouter la reprise de Creep. [01:22:24] Speaker E: Elle était en deux temps, elle était parfaite. Tu sais que le deuxième effet qui se coule. [01:22:29] Speaker C: Quand t'es vraiment fan, j'aurais du mal à ne pas garder un album, même les traits moyens qu'ils ont pu faire. [01:22:37] Speaker B: Donc pire, t'es pas vraiment fan. [01:22:38] Speaker A: Est-ce que toi le Unplugged quand même ? Ah le Unplugged je peux pas. Bah moi il y a quand même. [01:22:44] Speaker C: Le Make me bad in between days là. [01:22:46] Speaker A: Bah moi il y a une chanson qui a fait que tout le reste ne peut pas être écoutable. [01:22:51] Speaker C: Ah c'est le Blind mexicain ? [01:22:54] Speaker A: Non non c'est le Screaper. Cette chanson m'a détruit. En travaillant au IFM, je l'ai entendu une fois par heure. Et toutes les mauvaises chansons, quand tu les entends trop, déjà quand c'est une bonne chanson, c'est chiant. Alors quand c'est une mauvaise chanson, ça peut détruire presque ton côté fanatique. [01:23:15] Speaker C: C'est pour ça que j'ai beaucoup de mal à écouter Blind maintenant. Je l'ai trop écouté. [01:23:19] Speaker A: Moi aussi, le premier album, j'avoue que je peux l'écouter. [01:23:22] Speaker C: C'est ton favori. [01:23:24] Speaker A: Bah c'est celui qui m'a fait découvrir Korn et c'est celui... Non c'est faux, c'est Life is Peachy qui m'a fait découvrir Korn mais c'est celui qui est le plus... le plus intimiste. C'est le premier donc en fait c'est celui qui a la vraie couleur de Korn. Après c'est toujours du Korn mais c'est juste que c'est des variantes quoi. [01:23:42] Speaker B: C'est le Korn et un peu teinté d'autre chose après. [01:23:44] Speaker A: Et puis il y a eu cette période où Korn essaie de faire du Korn et du coup c'était un peu moins bon, ils se mettent des points de nouveautés. Et puis aujourd'hui je trouve qu'ils s'en sortent très bien, j'ai hâte d'avoir leur nouvel album qui sort cette année normalement. [01:23:56] Speaker B: Ah bon ? Ils ont annoncé qu'ils préparaient des nouveaux. [01:23:58] Speaker C: Albums, ils ont pas dit que ça sortait cette année. [01:24:00] Speaker A: Ouais, tu sais très bien que quand ils font du teasing, en plus c'est Ed qui a fait du teasing sans avoir l'autorisation. [01:24:04] Speaker B: C'est-à-dire que c'est déjà pas loin d'être pressé. [01:24:09] Speaker A: Ouais, je pense qu'il y a un business déjà tout installé. [01:24:12] Speaker C: Mais alors avec ou sans Fildi du coup ? On sait pas. [01:24:14] Speaker A: Je pense que pour la création il devait y avoir Fildi. [01:24:18] Speaker B: Enfin, si on pouvait l'appeler Réginald. [01:24:22] Speaker A: Parce. [01:24:22] Speaker B: Que je trouve que c'est quand même plus respectueux. [01:24:24] Speaker D: Si tu le dis. [01:24:28] Speaker A: C'est pas vôtre qu'il ait des prénoms. [01:24:29] Speaker B: Je me moque pas des prénoms. [01:24:30] Speaker A: Non, c'est vrai. Régis. Régis, il est presque. Et c'était quoi le livre que tu as dédicacé ? C'est son livre « Quand il a rencontré Dieu » ? [01:24:40] Speaker C: Non, il en a écrit plusieurs, ça s'appelle « Maintenant je vois » je crois en français, et c'est celui où il a des problèmes avec sa fille quand il a quitté Corne, et que la mère est partie je sais pas où, et il se retrouve à éduquer sa fille, il n'y arrive pas, du coup c'est sur les relations père-fille, et moi je venais juste d'avoir ma fille à ce moment-là, et du coup il y avait il y avait des questions-réponses avec des journalistes qui étaient là. Alors les journalistes, c'était des pigistes et c'était des vieilles dames. Il n'y en avait pas de questions à poser à Ed. Et le mec qui animait le Meet & Greet, personne n'a une question. Je suis là, donne-moi le micro, j'ai l'habitude. Du coup, j'ai posé des questions comme ça en visu. Et c'était trop cool. Et je lui dis, bah tiens, je viens d'avoir une fille, t'as une fille d'un père à un autre. Quel conseil tu peux me donner ? Alors il est rentré dans une diatribe d'Américains méga longues. [01:25:26] Speaker B: Il t'a dit, bon déjà, faut arrêter de prendre de l'héroïne. [01:25:32] Speaker C: Et après c'était cool, je suis allé me faire signer mon livre, on a pris une photo et dans le livre il a mis pour Harold et Loriane, c'est le prénom de ma fille. J'en garde un très très bon souvenir. [01:25:44] Speaker A: Une fois que je l'ai vu, il était sympa mais j'ai pas compris ce qu'il m'a dit. Tout ce que je sais c'est qu'il m'a dit tu sais Dieu, Tu regardes. Tu regardes. Il faut que j'ai attention. Le pauvre. [01:25:54] Speaker C: Mais il a dû me dire un truc comme ça aussi. Oui, t'as raison. [01:25:57] Speaker A: T'es content, t'es content. Tu veux dire même quand je suis à 4 pattes là... C'est une vague histoire. Ne renonce pas là-dessus. Non mais il y a toujours ce truc là, toi qui vas donc faire le Hellfest, on va en reparler un peu plus tard, mais t'as toujours ce côté un peu fan, c'est-à-dire de rencontrer des artistes dont t'étais fan quand t'étais gamin et d'avoir ces yeux un peu d'enfant vers... Putain je l'ai vu ! Je l'ai croisé ! Il marchait juste là ! Tu l'as toujours ça ? [01:26:22] Speaker C: Bah quand c'est... Dans la musique, ouais. [01:26:25] Speaker A: Oui, dans la musique, oui. Je parlais dans la musique. Oui bah oui, mais carrément. Vu que le reste, t'as vu à peu près tout le monde. [01:26:29] Speaker C: Ouais, non, non, carrément. On a vu Tenacious D. il y a deux ans au Hellfest, on l'a refait à Bercy je crois, ouais c'est à Bercy. Chaque fois que je vois Jack Black. [01:26:40] Speaker D: Je suis ah ! [01:26:41] Speaker A: Ah ! [01:26:42] Speaker C: J'aime bien, je suis comme un gamin. J'ai envie de prendre une photo avec lui, de me faire signer. Ouais, je suis un gros fanboy moi. [01:26:49] Speaker A: J'adore ça. [01:26:50] Speaker C: Je suis très admiratif des gens qui ont un talent que je n'ai pas du tout. C'est trop cool, les cornes évidemment. J'étais bu 6 fois en concert et j'ai fait Jonathan Davis 2 fois tout seul en solo. [01:27:04] Speaker A: Tu l'as fait quand il mixait aussi au Bataclan ? [01:27:06] Speaker C: Non j'y étais pas. [01:27:07] Speaker A: Toi tu y étais toi ? Moi j'y étais et puis j'avais une gêne quand même. J'avoue j'en avais un je me disais mais c'est qui ? Mais c'est qui ? Je voyais très bien qui c'était. Dans ma tête, c'est pas lui. C'est qui ? Et on dirait Céline Dion. Non, c'est qui ? Le refus, le rejet d'intégration. [01:27:24] Speaker C: Il y avait le Bataclan en 2008 quand il vient tout seul avec The Fucking Amazon Band ou je sais pas quoi, où il prenait toutes les chansons de Queen of the Dame. Et le Bataclan était quasiment vide. Deux jours avant, j'avais reçu la notification comme quoi c'était annulé. J'avais le cœur brisé. Et finalement, en fait, ils l'ont remis et il n'y avait personne. J'y suis allé avec ma meuf. [01:27:44] Speaker A: Tu y étais ? [01:27:45] Speaker C: Personne. [01:27:46] Speaker A: C'était un peu... [01:27:47] Speaker C: Mais moi j'étais content, j'ai l'impression d'avoir Jonathan Davis pour moi tout seul. [01:27:50] Speaker A: C'était plus intimiste. Quel enfoiré. [01:27:54] Speaker E: C'est un retour aux sources. [01:27:55] Speaker A: Et du coup, alors là, c'est la première fois qu'on a ce clip, finalement, qui est un gros clip de corne, que je n'ai jamais passé. C'est Make Me Bad. Moi je me rappelle, c'est à l'époque qu'on regardait beaucoup la télé MTV2. On attendait les clips. À minuit, vous aurez l'exclusivité. [01:28:09] Speaker C: Oh putain, je vais rester devant avec. [01:28:10] Speaker A: Ma mère à l'usine. T'es sérieux ? Tu vas vraiment attendre un clip d'un groupe de merde ? Tout ça pour le voir 275 fois parce qu'il est passé en boucle à l'époque toute la nuit. Et Make Me Bad, ça représente quoi pour toi ? [01:28:21] Speaker B: Je pense que c'est une réponse à Michael Jackson. [01:28:27] Speaker A: Et en dehors de Michael ? [01:28:29] Speaker C: Je crois que c'est une des chansons de Korn que je préfère. [01:28:31] Speaker A: Ah ouais ? Ouais. Ok. [01:28:33] Speaker C: J'adore, je l'écoute très souvent sur Issues. La première que je mets c'est celle-ci, tu vois, c'est pas forcément Falling Away From Me ou Daddy ou Dirty même, tu vois. Mais Make Me Bad, je l'adore. Et le clip, il est canon quand même. Il est vraiment badass, avec les petits aliens et tout. C'est cool, il y a Ludo Kjær, c'est l'acteur du Danemark, il jouait dans la fin des temps avec Schwarzenegger, incroyable ! Un putain de navet mais magnifique ! [01:28:58] Speaker A: C'est un chef-d'oeuvre ce clip ! [01:29:01] Speaker E: Clip avec les petits aliens, moi je pense à FL65, j'étais pas du tout dans le même... [01:29:05] Speaker A: C'est pas totalement pareil mais après... Non. [01:29:07] Speaker B: Mais c'est grâce à ce clip qu'ils vont pouvoir aller dans le podcast de The Osborne ! Ça c'est quand même bien. [01:29:13] Speaker A: Est-ce qu'il a pas pris un petit coup d'yeux le clip ? Ah bon ? [01:29:15] Speaker C: Faut que je le regarde. [01:29:18] Speaker A: C'est le mauvais plan de le regarder. Ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu. Après bon, c'est un clip YouTube donc voilà. Mais je me suis dit, il y a 2-3 trucs quand même. À l'époque on se disait c'est quand même vachement bien fait. Côté fan aussi. J'aime beaucoup la chanson. [01:29:31] Speaker E: C'est le piège quand t'es nostalgique et que tu revois les trucs. [01:29:34] Speaker A: Après c'était un beau clip et à mon avis ça a dû coûter très cher aussi. C'était une époque où il y avait des sous. [01:29:38] Speaker C: Ma femme m'envoie un truc, tu m'as appelé ta meuf au lieu de ta femme. Donc elle regarde l'émission, donc ma femme, pas ma meuf. [01:29:47] Speaker A: Présente tes excuses. [01:29:48] Speaker C: Je m'excuse, je m'excuse, Elisabeth. [01:29:50] Speaker B: Après c'est pas de sa faute, c'est à cause de nous, il n'est pas dans son état normal. [01:29:55] Speaker A: Non. [01:29:57] Speaker B: On y va ? [01:29:58] Speaker A: Ça va casser l'ambiance. Elle est corne, make me bad. [01:30:33] Speaker D: Commander, Docteur, j'espère que vous avez passé un bon voyage. Oui, comment sont les patients ? Oh, regardez vos pas, s'il vous plaît. I'm watching you rise and fall on my salvation There's so much shit around me, such a lack of compassion I thought it would be fun and games, and stay I want something to do Need to feel the thickness in you I feel the reason as it's leaving me No, not again It's quite deceiving as I'm feeling the flesh may be dead I do this look for you C'est une fiction needed to Just to get some sort of attention Attention What does it mean to you? For me, it's something I just do I want somebody, a name C'est parti pour le tour du monde ! C'est bien. Très bien. Commençons notre mission. Ah ah ah ah ah ah ! Say goodbye, goodbye Drown to the light I'm deepening and out of the flame Drown to the night I let go of my previous ways. [01:40:12] Speaker A: Qu'est-ce qu'il se passe ? Pourquoi ça finit sur Micheline Dax qui siffle ? La règle de vieux je l'assume là. L'émission la plus sympa. Vraiment il y avait que de la gentillesse, que de la bienveillance. Mais non mais c'est Dagobah, c'est les Amis du Sud. Le bon roi Dagobah. Désolé, j'avais envie de la faire, je me suis dit de surtout garder la. [01:40:35] Speaker C: Bien en tête et tout. [01:40:36] Speaker A: Là tu vois j'ai brillé, maintenant je peux arrêter. [01:40:38] Speaker B: Ouais c'est vrai. [01:40:39] Speaker A: Non mais Dagobah... Oh excuse-moi ! Oh shiny ! Non mais Dagobah qui reviennent et Dagobah qui vont encore comme d'habitude faire une tournée européenne qui va cartonner parce que ça marche très très bien pour Dagobah et cette chanson je l'ai trouvé vraiment très bonne donc je suis très content de la partager avec les personnes qui sont ici même en direct et pour ceux qui sont sur YouTube il y a une playlist je tiens à le préciser quand vous nous dites c'est dommage qu'il n'y ait pas les clips allez donc dans les playlists de notre page YouTube il y a la playlist de chaque émission donc comme ça vous pouvez. [01:41:07] Speaker B: Zapper il y a le lien dans la description il y a la liste des titres dans la description aussi Voilà voilà, Dagouba. [01:41:14] Speaker C: Moi j'aime bien ouais, moi j'aime bien. [01:41:16] Speaker A: Peut-être que j'ai déjà vu en live là non ? [01:41:17] Speaker C: Ouais je les ai vus pour la première fois, je les ai fait une fois au Hellfest, je crois que c'était quand il y avait la scène française, il me semble qu'ils y étaient. Et je les avais fait au warm-up de 2019, il me semble. Parce qu'ils étaient avec des dos, les Princess Leia. J'étais passé à Caen et justement j'ai visité le bus tour et tout et ils avaient été là et les mecs avaient été assez cool donc j'en regarde un bon souvenir. [01:41:41] Speaker A: Tu penses quoi des groupes de métal qui ont l'accent du sud ? [01:41:47] Speaker B: C'est mieux que ceux qui ont l'accent du nord. [01:41:52] Speaker A: Voilà, non c'est une question inutile mais c'est juste que c'est vrai que moi je suis du sud-est donc je peux aussi avoir l'accent. Mais c'est vrai que ça fait toujours un peu étrange, c'est comme Landmarks que j'adore, que je groupe, que je respecte énormément. Mais c'est vrai que des fois quand il parle un peu avec l'accent ça me fait rire parce que je me dis... T'sais t'as l'impression qu'il y a un truc qui glisse et qu'il y a plus de maîtrise. [01:42:10] Speaker C: C'est vrai qu'il va balancer un petit coup de gâté ou un truc comme ça. [01:42:13] Speaker A: Oh mon gâté ! Bon peut-être que l'embarque ce qu'on aura très prochainement d'ailleurs dans cette émission puisqu'ils sont tant qu'on sait, on en parlera un petit peu plus tard. Ils sont tant qu'on sait. C'est ça ? Ouais ouais. C'est une liaison dangereuse ou pas ? [01:42:28] Speaker B: Bon bah elle était un peu... [01:42:29] Speaker A: Mais ils sont tant. [01:42:31] Speaker B: Oui oui non non mais c'est je... [01:42:35] Speaker A: Merci Maître Cafélo ! A partir du moment où tu es rentré dans le métal, quand tu as grandi, est-ce que ça t'a permis justement de te créer un cercle d'amis qui t'a porté, qui t'a aidé, que tu connais encore aujourd'hui ? C'est la question que je pose systématiquement, ou est-ce que le métal justement c'était cette aide ? T'avais un ami, mais peut-être que t'en avais qu'un, et que le métal était un petit peu cette aide que tu pouvais tenir mentalement ? [01:42:57] Speaker C: Alors, je sais pas si vous avez vécu ça, mais au lycée, tout le monde aimait le métal. C'était très populaire. Donc c'était facile quand même de rencontrer des gens. Et après, ça a épuré. On a vu ceux qui sont restés. [01:43:10] Speaker B: Ceux qui étaient here to stay et. [01:43:11] Speaker C: Puis ceux qui étaient... Qui étaient BBK, follow the leader. Mais non, j'ai mon pote Max, qui est mon plus vieux copain, meilleur copain ensemble depuis qu'on a trois ans. [01:43:20] Speaker B: Il est brésilien ? [01:43:21] Speaker C: Il est brésilien, ouais. Mais je peux pas dire son nom de famille. Max Océ, il s'appelle. Non mais oui, c'est... Je crois que c'est pas certain que d'avoir des... que les amis soient conditionnés avec la musique que t'écoutes en vrai. Ouais, c'est intéressant. Mais mon meilleur pote effectivement est ultra fan de Korn, ce qui aide quand même vachement à être meilleur pote. [01:43:44] Speaker A: Ouais donc en fait autour de toi t'as plein de gens qui écoutent des tas de choses différentes aujourd'hui, mais quand on est gamin on a tendance à vouloir... Faire partie d'une tribu aussi, parce que ça rassure, on se comprend, on échange les gens. [01:43:54] Speaker B: My tribe, your tribe. [01:43:55] Speaker A: Alors moi j'ai trouvé une solution, moi. [01:43:58] Speaker C: J'Ai vraiment trouvé une solution, tu vois, pour qu'on puisse écouter du métal, même avec ceux qui n'écoutent pas de métal, c'est que c'est moi qui décide. [01:44:05] Speaker A: Donc comme ça c'est réglé. [01:44:07] Speaker C: C'est une solution, effectivement, ça permet d'aller plus vite. [01:44:12] Speaker A: Donc, autour de ton humour justement, le métal tu l'utilises beaucoup ? [01:44:16] Speaker C: Dans le nouveau spectacle, dans celui que je suis en train de rôder, c'est une année de transition où j'avais un spectacle qui s'appelle Deadline, que je tourne depuis 2020, qui parle de mon passé dans les pompes funèbres. Et donc là, cette année, j'ai commencé à en écrire un autre que j'ai fait en rôdage qui va s'appeler Relax Max, qui raconte comment j'ai perdu Max, mon vrai copain, au Hellfest l'année dernière. Et c'est sur l'anxiété de perdre les gens qu'on aime. Et ça se passe que dans le milieu du métal, donc il n'y a que des références à ça. Et c'est très cool parce que ça va me servir pour le Hellfest, du coup. [01:44:48] Speaker A: C'est la première fois qu'il y a du stand-up au Hellfest. [01:44:51] Speaker C: Ça a jamais été fait. [01:44:52] Speaker A: Ça s'est passé comment ? C'est toi qui a dit « Attends, j'aimerais bien ». [01:44:54] Speaker C: On en est parlé depuis 2020. [01:44:57] Speaker A: C'est vraiment à l'usure quoi ! J'arrive pas à voir de quoi il faut... [01:45:00] Speaker C: Vraiment, je leur ai apporté ce... Bah à Yoann, à Yoann Lenové, je lui ai dit bah ça serait bien, enfin moi je pense que je peux faire du stand-up au Hellfest et ils étaient pas fermés à l'idée mais c'était ouais bon, un coup c'était un peu oui, un coup c'était... ça a failli se faire sur le Hellfest from home à une époque mais après ils m'ont dit ça serait pas rendre service à nous ou à moi de faire du stand-up sur le site du Hellfest sans public, ça n'aurait aucun sens. Donc on avait un peu laissé tomber. Je leur ai après reproposé des trucs, mais ça se faisait pas. Et là, en novembre dernier, Yo, il me dit « Est-ce que tu veux venir faire 20 minutes de stand-up pour la soirée des mécènes ? » qu'ils ont une fois par an au siège du Hellfest. Comme ça, on se rend compte, on te fait visiter les locaux. Donc moi, j'étais content. [01:45:44] Speaker B: On voit si t'es drôle. [01:45:45] Speaker C: On voit si t'es drôle, accessoirement. Et j'y suis allé, ça s'est très bien passé, c'était cool. Mais ça devait pas aller plus loin que ça, même si moi j'aurais dit « Je pense que je peux faire le Hellfest maintenant. » Il me dit ouais, là 2024 pour nous c'est demain, bon 2025 on fait ça l'année prochaine puis on fait ça bien et tout, je dis bon ok. Et puis ouais un matin, genre deux mois plus tard j'ouvre ma boîte mail, ouais ça te dit toujours de faire le premier stand-up de l'histoire du Hellfest. Non, écoutez, non. Finalement, non. Je me suis dit que c'est un adage un peu ringard, mais en fait, tout arrive au bon moment parce qu'en 2020, s'il m'avait dit oui, je n'aurais pas eu quatre ans d'expérience de plus de stand-up et j'aurais été probablement moins armé que pour le faire maintenant. [01:46:32] Speaker A: Et le spectacle n'était pas le même. [01:46:37] Speaker C: Là, je suis vraiment excité. [01:46:38] Speaker A: Alors c'est quel jour ? [01:46:40] Speaker C: C'est le mercredi 26 juin sur la L-Stage. Donc pour ceux qui ne connaissent pas, c'est la petite scène qu'il y a dans L-City. C'est la seule scène ouverte le mercredi, parce que tout le reste du site n'ouvre que le jeudi. Et c'est le premier show. Je joue à 16h20 jusqu'à 17h. Je fais 40 minutes. Et j'espère qu'il y aura du monde, que les gens seront curieux. [01:47:00] Speaker A: Tu seras dirigé vers les barres en tout cas ? [01:47:02] Speaker C: Absolument, absolument. Et puis après, je vais fêter ça pendant quatre jours. Ou je vais fêter ma réussite ou je vais noyer mon échec. [01:47:11] Speaker A: Tu comptes en garder un souvenir ? [01:47:12] Speaker C: Je vais le capter, oui. Je vais le filmer quand même. Mais même pour moi, en souvenir. Mais en vrai, ça ne m'inquiète pas. Dans le sens où j'attends ça depuis tellement longtemps. C'est hors de question que ça se passe mal en fait. [01:47:29] Speaker A: Et puis il n'y a pas de. [01:47:30] Speaker B: Raison que ça se passe mal. [01:47:32] Speaker C: J'en ai toujours maintenant dans les spectacles, j'ai toujours un mini groupe de métalleux qui vient et c'est clairement la cible de ce que je fais. C'est une communauté que je connais quand même vachement bien, je sais que c'est très bienveillant, c'est quand même à la cool, donc j'ai vraiment hâte de pouvoir jouer que de Vendée Métalleux dans un site qui me... Moi j'adore le Hellfest, j'adore Clisson, j'adore y aller même quand c'est pas le Hellfest. C'est vraiment très très cool pour moi, c'est une mini consécration. c'est vraiment un life goal. [01:47:59] Speaker B: Et puis ça te permet peut-être aussi d'avoir un public comme ça, ça te permet peut-être de faire des blagues que tu peux pas forcément faire dans d'autres... Absolument. [01:48:07] Speaker E: Alors des références qui sont pas captées par tout le monde. [01:48:09] Speaker C: Ouais, parfois je parle de Slipknot et par exemple là ce qu'on dit, je suis en première partie de Gad Elmaleh en ce moment, je peux pas faire ma blague sur Slipknot, les gens ne comprennent pas. Donc là je pourrais faire, mais même j'en ai plein d'autres, il y aura des private jokes que seuls les métalleux pourront comprendre donc c'est vraiment cool et je suis en train de développer, de faire des tests pour mettre dans ces 40 minutes là un truc spécial, inédit, vraiment... [01:48:34] Speaker A: Les gens qui sont là vont vivre quelque chose d'unique. [01:48:37] Speaker C: De toute façon le set en lui-même ça va vraiment, je vais pas prendre de risque, ça va être un greatest hits, je vais mettre tous les meilleurs trucs puis je vais essayer de faire un truc qui tient un peu la route avec des blagues spécial Hellfest, et puis ça va être chouette, j'en suis sûr. [01:48:51] Speaker A: Donc vous avez bien compris, il faut venir le mercredi, comme ça vous vous préparez, vous installez votre tente ou je ne sais quoi, votre camping-car, et vous allez prendre votre petit godet, attention, consommé avec modération, et vous allez à 16h, enfin un petit peu avant, quand vous allez vous installer et vous allez voir un spectacle qui va vous ouvrir un Hellfest dans la joie de la lumière. Et c'est vrai que c'est sur l'application. [01:49:10] Speaker C: Hellfest, ils ont rajouté la journée du mercredi, tu peux mettre un reminder pour avoir le reminder. [01:49:16] Speaker B: J'ai vu le petit encart, le petit montage avec la photo. [01:49:21] Speaker C: Mais t'imagines comment j'étais un p'tit con, un dingue ! Demain je passe une vidéo justement pour montrer aux gens, allez sur l'application, mettez un petit cœur à côté de ma tête. Je suis trop content, vraiment c'est trop chouette. Merci Wellfest. [01:49:35] Speaker A: En plus comme t'es métalleux, c'est vrai que je pense que c'est difficile d'imaginer que des métalleux puissent faire des blagues pour des métalleux en France. Aux Etats-Unis j'imagine que tu poses pas autant la question. c'est pas forcément la chose la plus simple, mais le Hellfest permet de... Et. [01:49:51] Speaker C: Ça a été un argument que moi j'ai utilisé justement auprès de Yo et de Riku, c'est que je leur dis aux Etats-Unis ça se fait beaucoup, tu vois, il y a un stand-upper qui s'appelle Big J. O'Carson que moi j'aime bien, qui est pas très connu, mais il a fait les premières parties de Korn, de Disturbed et tout, ça se fait beaucoup en fait d'ouvrir du métal par du stand-up aux Etats-Unis, pas de raison que ça marche pas chez nous. [01:50:09] Speaker A: Oui, surtout qu'on voit que pour les festivals, il y en a beaucoup de festivals de métal en plus en France maintenant, de plus en plus, de différentes tailles, mais le Hellfest c'est quand même l'assemblée. [01:50:17] Speaker B: En plus c'est bien de proposer un truc un peu varié, un truc qui ouvre un peu des portes d'autre chose quoi. [01:50:22] Speaker E: Puis il y avait déjà des concerts humoristiques, genre avec par exemple Motocultor quand ils programment Djidré ou Princess Leia etc. Maintenant le step d'après c'est l'humour sans la musique quoi. [01:50:34] Speaker A: C'est cool, moi je trouve ça vraiment cool. [01:50:36] Speaker E: Et bientôt peut-être le premier slam sur un spectacle de stand-up, on sait pas. [01:50:41] Speaker A: Écoute, on verra. À la fin tu es déjà dans le public. [01:50:45] Speaker C: Ça ma grande surprise, on verra. [01:50:47] Speaker B: Et voilà, il a tout spoilé. [01:50:49] Speaker A: On t'a dit qu'on devait pas en parler, ok ? Bon, par contre, ce dont tu peux parler, transition ! [01:50:55] Speaker B: T'as bien fait de le dire, comme ça les gens ils ne s'en sont pas rendus compte. [01:51:00] Speaker A: Ils n'entendent toujours pas ce qu'on raconte là, donc ça va. [01:51:02] Speaker E: Putain, mais quel expert ! [01:51:03] Speaker A: Ça sent le curry ? Non ? Ah, c'est les... C'est qu'un onigyé au curry. Vraiment, c'est du direct ! Enjoy The Noise, tu choisis bien sûr des titres à chaque fois que tu nous fais découvrir des choses. Je ne dirais pas le nom parce que j'ai mis que le nom en ascétique, je ne sais pas. Il me semble que c'est Itsuji Bung... Bungiri, non ? Non, non, non ! Attendez, je vais... On va nobler. Moi je sens du lingo. [01:51:35] Speaker E: Hitsuji Bunkaku, voilà. Hitsuji Bunkaku, c'est un trio japonais de rock alternatif. Donc on va descendre d'un cran. [01:51:42] Speaker A: C'est bizarre parce que là du coup j'entends Enjoy Bunkake. C'est le seul truc qui m'est venu à l'esprit. Enjoy Bunkake ? [01:51:50] Speaker B: Le raccourci était très rapide quand même. [01:51:53] Speaker A: C'est parce que je pense encore à ma fin de soirée. [01:51:56] Speaker E: À laquelle je n'avais pas pris part, si jamais certains se posaient la question. [01:52:02] Speaker A: Bon bref, oui donc... Donc, Itsuji Bungaku. [01:52:06] Speaker E: Trio de rock alternatif japonais, trio mixte en plus, qui existe depuis, je crois, une bonne dizaine d'années, qui a sorti quatre albums, qui a sorti un album en décembre dernier. C'est plutôt joli, il y a ce qu'il faut de saturation, de grâce, de beauté, un peu de sucre et tout, ça passe super bien, ça met de bonne humeur. Pour les otakus qui nous regardent éventuellement, c'est un groupe qui a vu sa popularité j'ai l'impression exploser en faisant le générique d'une série qui s'appelle Jujutsu Kaisen, je crois. [01:52:39] Speaker A: Donc que je n'ai jamais regardé. [01:52:42] Speaker E: Si il y a des fans d'anime qui nous regardent, ça leur parlera peut-être. C'est un groupe que j'ai découvert tout récemment, que j'aime bien et ce morceau-là m'avait un petit peu tapé dans l'oreille parce qu'il fait très rock alternatif, éventuellement un petit peu 90's à la frontière entre grunge, un petit peu shoegaze, etc. Ça m'a rappelé pas mal de choses que j'aime bien et donc j'avais envie de le passer. [01:53:06] Speaker C: Eh bien, c'est merveilleux. [01:53:07] Speaker A: C'est aussi pour ça qu'on est toujours très heureux de t'avoir parmi nous. J'espère bien. [01:53:12] Speaker D: T'as pas envie de te chercher à quelle heure ? Oh la la ! Je ne savais pas qu'il y avait ça à l'intérieur de moi Mais ici je suis un vieux chalet cassé De prendre des morceaux sur le sol J'ai l'impression d'avoir été ici auparavant Je continue de mourir jour après jour J'ai perdu tous mes amis J'ai perdu le contrôle de l'esprit J'ai perdu l'espoir J'y vais jusqu'au passé Avec des souvenirs J'ai essayé de me mettre de l'avant J'ai fait le même erreur de m'attendre à commencer Prends un ruban car tu n'as pas l'air de lire la pièce bien Mais c'est ok car je vais t'expliquer comment j'ai senti perdre moi-même comme tout le monde d'autre Mais je ne peux pas t'aider mais je me sens toujours bien Je ne savais pas que c'était à l'intérieur de moi J'ai l'impression d'être là avant J'y vais jour après jour J'ai perdu tous mes amis J'ai perdu le contrôle encore J'y vais plus vite J'y vais jusqu'au passé Mes souvenirs n'ont jamais été perdus J'ai tourné autour de moi, est-ce que ça finira ? J'hate cette cycle construite sur mon discontent J'appuie sur l'espoir que je gagne sans cette merde C'est parti pour le tournage ! J'ai l'impression d'avoir été ici avant. [02:00:22] Speaker A: Tu disais Ben ? Richard Kledermann Ben non c'est Belmonte Ah Belmonto Ben non mais moi j'aime beaucoup ce groupe et on en passe beaucoup sur notre radio parce qu'on a une radio, pour ceux qui ne connaissent pas, Restless Radio, c'est le début de Restless, de l'aventure Restless, vous pouvez retrouver cette radio sur les plateformes comme TuneIn ou MyTuner Radio, il y en a partout C'est gratuit, il n'y a pas de. [02:00:45] Speaker B: Pub et c'est de la musique non-stop. [02:00:46] Speaker A: Exactement. Et alors là, ce nouveau titre de Belmont, je l'aime beaucoup. Je me tourne vers Andrew Jones parce qu'il est fan de Hunter Shikari. Et du coup, il y a un. [02:00:56] Speaker E: Petit côté... Oui, il y a un petit côté. Ça se rejoint le côté à la fois core et pop en même temps, électro-pop. [02:01:01] Speaker B: C'est pas mal, pas mal. [02:01:02] Speaker A: C'est pas mal. [02:01:03] Speaker B: Clip pas mal avec des petits... Oui. [02:01:06] Speaker A: Après voilà... Y'a du néon, y'a du. [02:01:09] Speaker E: Glitch, y'a de la PlayStation, moi j'suis content. [02:01:11] Speaker A: Un peu à la rigolade. [02:01:12] Speaker B: Bon après apparemment y'a un truc qu'ils ont pas bien compris, c'est que quand tu prends un CD gravé, avec écrit quelque chose, point, exact, tu le mets dans une PlayStation... Ça ne fonctionne pas. Ça ne fait pas marcher le truc mais... Après c'est peut-être des hackers. [02:01:27] Speaker A: Yeah, c'est des hackers. Notre invité ce soir, si vous ne l'avez pas encore compris, c'est Harold Barbet. Voilà, comme vous l'avez compris... [02:01:45] Speaker B: On essaie de le préparer pour l'Alpes. [02:01:47] Speaker A: Mais il y aura un peu plus de monde. Il y aura forcément. Retire-toi, retire-toi. Vous l'avez compris, si vous allez sur son site internet, vous allez trouver toutes ses dates. Il faut absolument que vous achetiez vos tickets dès ce soir, parce que comme ça vous serez sûr d'y aller, de voir un superbe spectacle et de passer un bon moment, être métalleux, soutenir les métalleux et on est tous ensemble à soutenir cette musique, c'est comme ça qu'elle peut vivre aussi. [02:02:12] Speaker B: En plus on peut dire qu'il est très sympa, même en dehors de la scène. [02:02:16] Speaker A: Si vous allez le voir après, je. [02:02:18] Speaker B: Suis sûr qu'il voudra bien discuter avec vous. [02:02:20] Speaker A: Payez-lui des bières. [02:02:22] Speaker C: Ah oui, c'est sûr que j'arrive. [02:02:26] Speaker A: Il y a eu un t-shirt corne, parlez-lui de néo métal, on va revenir sur toutes ces choses là. Dans le spectacle aujourd'hui, dans le stand-up, est-ce que justement, on parlait de ça en antenne, mais est-ce que c'est facile de dire j'écoute du métal ? Est-ce qu'il y a des gens qui font du quoi ? [02:02:43] Speaker C: Non, mais tu sais, ça revient un peu à la mode maintenant, je sais, mais non, non, non. Alors moi, j'explique quand même ce que c'est que le métal pendant le spectacle. mais je le fais en mode humoristique, tu vois, je dis c'est les Beatles un peu énervés, Mozart sous LSD, donc il y a des gens, ils ont quand même la notion de ce que c'est que le métal, enfin, ils savent que c'est de la musique agressive, après ils seraient incapables de faire la différence entre les différents types de métal, mais je ne le suis pas forcément capable. [02:03:07] Speaker A: Non plus, donc... Bah nous non plus ! [02:03:10] Speaker C: Non, enfin c'est... Je trouve que les stéréotypes qui collaient au métalleux sont quand même moindres qu'avant maintenant. On sait que c'est un public très intelligent, c'est SP+, qu'il ne mange pas son vomi... [02:03:26] Speaker E: Ça a passé, c'est plus l'époque des reportages M6 avec les gothiques assoiffés de sang. [02:03:32] Speaker A: Je ne me rappelle pas de ça. [02:03:34] Speaker B: C'est les mecs qui montent leur cul maintenant. [02:03:38] Speaker A: On ne remerciera pas une certaine émission. Tu sais que j'aime bien montrer mon cul aussi. [02:03:45] Speaker C: En plus maintenant, je te vois bien montrer ton cul. [02:03:49] Speaker B: Ça fait longtemps qu'il ne l'a pas montré. Et c'est bien dommage parce que je. [02:03:52] Speaker A: Peux vous dire que c'est une très belle pêche. Je le travaille. Le cul de la France. [02:03:58] Speaker B: Pendant longtemps, les gens l'appelaient Michel. [02:04:00] Speaker D: Michel de pêche. [02:04:01] Speaker A: C'est un peu plus... Et donc il n'y a pas de jugement, il n'y a pas de... C'est cool quoi. Par exemple là que tu disais tu vas faire la première partie de Gad Elmaleh, de son côté il ne va pas te dire... Non mais même les. [02:04:16] Speaker C: Gens tu vois je parle du métal parce que je prépare mon futur spectacle en première partie, je parle du métal, je parle du Hellfest au public de Gad Elmaleh, quand je dis tout le monde sait ce que c'est que le Hellfest, t'as des gens qui disent non mais la majeure partie des gens font oui donc c'est quand même bien inscrit. [02:04:31] Speaker A: Dans notre paysage D'ailleurs j'allais dire une. [02:04:34] Speaker B: Grosse partie du fait que le metal est mieux vu je pense que c'est aussi lié au Hellfest avec maintenant il y a quand même beaucoup de gens. [02:04:41] Speaker A: Qui ont envie d'y aller juste pour le côté... [02:04:44] Speaker E: J'ai tendance à penser que c'est rentré un peu dans la pop culture française. [02:04:47] Speaker A: Quelque part le Hellfest Ça doit faire plaisir ceci dit, comparé à quand t'es gamin où justement on peut dire... Parce qu'il y avait des tribes... Ah bah. [02:04:56] Speaker B: Moi je peux vous dire qu'à Mante-la-Jolie on n'était pas beaucoup. [02:05:00] Speaker A: On était trois. [02:05:01] Speaker B: Après il y en a une elle est partie, on était deux. [02:05:04] Speaker A: Ça commence à devenir pénible. Ah c'est pas beaucoup hein ! Et t'as été surpris par des personnes connues, t'es pas obligé de dire des noms, qui t'ont dit « ah oui moi j'aime bien ce groupe-là » ou qui ont essayé d'avoir une discussion, en tout cas métal, parce que je sais que... [02:05:20] Speaker C: Dans les humoristes... [02:05:23] Speaker A: Parce que pouvoir entraîner avec des gens qui travaillent pour... C'est plus du hard rock, Louis Ciquier. [02:05:28] Speaker C: Tu connais quand même ? Louis Ciquier très fan de hard rock, il écoute beaucoup les Fighters, Led Zeppelin, Bruno Solo très très fan. Normalement il est au Hellfest. Pour le dimanche, pour les Foo Fighters et Queens of the Stone Age, il adore. Mais en métal... Ouais, moi je mets. [02:05:46] Speaker A: Ça dans le métal aussi. Quand c'est métal, attention, on retient l'herberge. [02:05:50] Speaker C: Mais genre, New Metal... Non, je crois pas, j'ai pas de souvenirs comme ça. Est-ce que ça revient en cours de l'émission ? [02:05:55] Speaker A: Il y a quand même pas mal de personnes. Des fois, on est surpris. Ouais, bien sûr. [02:06:00] Speaker B: Qui est fan de Sylmarils. [02:06:04] Speaker C: Ah bah oui ! [02:06:04] Speaker B: Qui était même venu, quand Sylmarils se sont reformés là, il est venu chanter Courvite sur scène avec eux. [02:06:13] Speaker A: Comme quoi, moi c'est ça que je soupçonne, c'est qu'en vrai, y'a pas mal de gens, ça se voit pas, mais ils ont écouté du métal. Oui oui, c'est sûr ! Peut-être plus aujourd'hui, ça je conçois qu'ils ont passé leur adolescence et que bon... [02:06:23] Speaker C: Moi je ne conçois pas ça ! [02:06:25] Speaker A: Moi je suis aussi d'accord, je trouve qu'il y a beaucoup de gens... T'es. [02:06:27] Speaker C: De métal un jour, métal toujours, mec. [02:06:30] Speaker A: Mais c'est dans tous les styles de musique, non ? [02:06:32] Speaker B: Non mais il y a beaucoup de gens qui écoutaient du métal après fondant, mais c'est un peu un truc d'ado, tout machin, ils essayent d'écouter autre chose, mais la vérité c'est que tu pars en road trip, tu remets un petit morceau de métal à quelqu'un qui en a écouté, ben il n'y a pas moyen que... Bien sûr, tu peux pas... [02:06:47] Speaker E: T'as le démon qui ressort, là. [02:06:48] Speaker B: Tu peux pas te séparer de... Même. [02:06:50] Speaker C: Si tu mets un petit truc de merde, genre Crazy Town, tu vois. [02:06:53] Speaker A: Oh là là, come my lady, come my lady. Ça marche toujours Crazy Town. [02:06:57] Speaker B: Ça marche toujours. [02:06:57] Speaker A: La merde, ça marche toujours. [02:06:59] Speaker C: Un petit toxic là. [02:07:01] Speaker A: Toxic. [02:07:02] Speaker C: Moi j'adore. C'est vrai, c'est vrai. [02:07:03] Speaker A: Mais du coup, il faut les découvrir, qui n'hésitent pas d'ailleurs à nous contacter, parce que nous on a envie de parler avec toutes ces personnes. [02:07:09] Speaker B: Ben oui, venez dans l'émission. [02:07:11] Speaker A: Les fans de metal, il y en a des gens très connus aussi, des gens, des grands pontes du C'est pas. [02:07:16] Speaker B: Parce que vous êtes très très connus qu'on veut pas vous inviter dans l'émission. [02:07:19] Speaker A: On fait venir Michel Sardo et puis voilà. Tu devrais faire un jeu métal ou pas métal. [02:07:23] Speaker C: Tu donnes des blazes, pas métal. [02:07:27] Speaker A: C'est pas mal ça. Parce que toi il m'a dit fais venir Michel Sardo. Parce que nous on a un ami qui s'appelle Herbé, bon on va pas donner son nom, mais qui travaille plus ou moins dans l'humour aussi puisqu'il travaille chez Fimalac. [02:07:37] Speaker B: Qui produit beaucoup de spectacles. [02:07:39] Speaker C: Oui, mais je travaille avec eux en ce moment sur des trucs. [02:07:43] Speaker A: Il a un nom de code aussi. Et donc il m'a dit, mais Michel Sarrou, tu veux pas le recevoir ? Je lui ai dit, écoute, à la fois j'ai envie de te dire oui parce que ça me ferait marrer, mais. [02:07:56] Speaker B: À la fois... Moi je veux, moi je veux. [02:07:58] Speaker A: Après il viendra pas, donc soyons clairs. [02:08:01] Speaker B: On en tirerait pour les réseaux sociaux. [02:08:02] Speaker E: Les meilleures shorts de tout le monde. TikTok en feu. [02:08:08] Speaker B: Quitte à ce qu'on se fasse chier dessus de tout ça, autant que ce. [02:08:12] Speaker A: Soit pour Michel Sardou. [02:08:15] Speaker E: Tant que ce soit pour un hold-up. [02:08:17] Speaker A: D'ailleurs les réseaux sociaux c'est pratique quand on fait du stand-up, quand on est humoriste. [02:08:21] Speaker B: Est-ce que ça a marché Internet ? [02:08:23] Speaker A: Non mais parce que tu dois faire des blagues tout le temps. [02:08:26] Speaker C: Mais oui t'es obligé, tu peux plus passer... Enfin moi je sais que j'en ai besoin, j'ai pas le luxe de ne pas poster des vidéos ou des morceaux de stand-up, il faut appâter le chaland. Il faut que les gens te décourent et ça passe que par les réseaux sociaux. Ou alors tu fais une chronique sur France Inter ou je sais pas quoi, ça, ça marche aussi. Mais il faut quand même que tu la postes après sur les réseaux sociaux. [02:08:50] Speaker A: C'est juste le fait de nourrir les gens en permanence. Parce que tu sais quoi ? L'humour, ok, mais c'est pas le truc le plus facile de trouver des bonnes voix, comme tu disais. Donc de devoir en faire assez fréquemment, même si elles sont un peu honteuses, parce que c'est pour les réseaux sociaux, ça doit être crevant. Il faut que ce soit assez bien. [02:09:08] Speaker B: Pour que ça donne envie de venir, mais pas que ça mange le contenu de ton spectacle. [02:09:13] Speaker C: Moi quand je fais des vidéos, une fois par semaine j'ai un concept qui s'appelle l'Enfer 2 où je dis tu vois l'enfer des pharmaciens, l'enfer des garagistes, puis je fais des blagues d'une minute dessus et donc ça me permet de sortir du spectacle tout en visant un public un peu large où je fais des blagues qui sont parfois un peu stéréotypées mais ça marche bien ce concept là. T'as quand même, alors moi ce que j'adore, là j'ai fait il n'y a pas longtemps, l'enfer des parents qui ne devraient pas être parents. Et du coup j'ai pris des salves d'insultes de grand premier degré. Mais j'étais content, ça me faisait remonter dans l'algorithme. [02:09:50] Speaker E: Les gens tu les tackles sur la parentalité, je pense qu'ils doivent être bien susceptibles. [02:09:55] Speaker C: Mais ils se sentent visés en fait. Alors que tu ne nommes personne. Les cyclistes aussi, putain les cyclistes je vais manger. Quand j'ai fait l'enfer des cyclistes. [02:10:02] Speaker A: Ça c'est plus inattendu. Pourquoi le délire ? [02:10:05] Speaker C: Parce qu'il y a beaucoup de cyclistes en France. Ce qui est marrant en fait, c'est là où je ne comprends pas, c'est que tu vas sur le profil. Tu vois, t'as la petite pastille bleue, c'est marqué stand-up, humoriste, machin truc. Les gens, ils pensent que je suis sérieux quand je sors tous les trucs. [02:10:18] Speaker A: Faut dire qu'ils n'ont pas regardé. On questionne même l'intelligence. [02:10:24] Speaker B: Je te confirme que là, je pense. [02:10:26] Speaker A: Qu'Il y a un gros problème. Et ça, malheureusement, on ne peut rien. [02:10:31] Speaker B: Faire pour cette situation-là. [02:10:33] Speaker C: À part remettre un peu de huile sur le feu quand tu sens que tu fais moins de vues. Tu refais une vidéo un peu polémique et puis c'est parti. [02:10:42] Speaker A: Tu vois, on va changer de sujet, on va parler de musique. On est passé par Korn, bon. On va quand même passer par Deftones. [02:10:49] Speaker C: Ouais. [02:10:49] Speaker A: Deftones, parce que là tu vas parler un petit peu plus à Ben, moi tu vois c'est Korn, Ben c'est Deftones. [02:10:54] Speaker B: Non mais c'est vrai, j'ai beaucoup écouté Deftones. J'écoute encore beaucoup Deftones. [02:10:59] Speaker A: Est-ce que Deftones c'est plus classe que Korn ? Oui. Mais j'aurais presque envie de dire oui. [02:11:08] Speaker C: Aussi, tu vois, dans le sens où ça a un côté plus chic, tu vois, d'écouter Deftones que Korn qui est très... [02:11:16] Speaker B: Il y a peut-être un côté aussi plus constant. [02:11:20] Speaker C: Bon alors là, petit bonhomme, je suis pas certain. [02:11:22] Speaker B: C'est quand même plus constant. [02:11:24] Speaker C: Celui où il y a Hexagram, là. [02:11:25] Speaker A: Où il y a le... Il est pas libre. [02:11:28] Speaker C: Il est pas dans le goût, celui-ci. [02:11:30] Speaker B: Bah écoute-le. [02:11:32] Speaker C: Le dernier n'est pas foufou non plus ! [02:11:34] Speaker B: Alors le dernier ça va, l'avant-dernier... Gorges. [02:11:36] Speaker C: C'Est pas ça dingue ? [02:11:37] Speaker B: Oui mais d'accord, mais enfin bon si on parle de cornes... Ah non mais déjà il y a l'unplan, pas du tout ! [02:11:41] Speaker A: C'est la troisième c'est bon ! [02:11:44] Speaker C: Non pour moi Deftones après Koi Yonokan c'est un peu... Ouais non mais je suis... Mais White Pony Forever tu vois, White Pony qui est un chef-d'oeuvre absolu. Je préfère même White Pony à A Hour on the Fjord. [02:11:57] Speaker B: Je peux comprendre. [02:11:58] Speaker E: Pareil. [02:12:00] Speaker A: J'en profite pour toi. [02:12:04] Speaker B: Je n'arrive pas à classer trop les albums. En fait, moi c'est vraiment par période. [02:12:08] Speaker C: Bah non mais non, moi je me dis toujours, tu dois partir sur une île déserte, tu ne peux prendre qu'un seul album. Lequel t'emmène ? [02:12:14] Speaker E: The Deftones. [02:12:15] Speaker C: Le Deftones, vu que c'est l'exercice. [02:12:16] Speaker A: Moi c'est très dur. C'est le Carlos parce que j'ai quand même envie de faire la fête. Tout nu et tout bronzé, c'est des choses qui s'arrivent. [02:12:24] Speaker C: Non mais quand de Deftones tu dois en emmener qu'un. [02:12:26] Speaker A: Ouais je sais pas, je sais pas. C'est vrai que normalement tu dois répondre White Pony, normalement. [02:12:31] Speaker E: Ouais je pense, parce qu'il est plus varié. C'est pas le plus rigolo non plus. [02:12:34] Speaker A: Non mais moi ça serait vraiment de faire parce que je me dis que c'est celui qui m'a parlé au lycée tu vois. J'ai chanté, j'ai headbangé dessus, j'ai beaucoup dansé devant les autres dessus. [02:12:46] Speaker C: Bourré. [02:12:47] Speaker A: Ouais bon c'est une capacité, une qualité que j'ai. [02:12:50] Speaker C: Il faut l'entretenir. [02:12:52] Speaker B: C'est vrai qu'il le fait bien. [02:12:55] Speaker A: Le premier je l'aime énormément, mais je l'aime quand même énormément. [02:12:59] Speaker B: Moi aussi, mais j'ai du mal à l'écouter. [02:13:01] Speaker C: Adrenaline, moi je peux plus. [02:13:02] Speaker B: Moi je peux plus, le son il est trop dur. [02:13:04] Speaker A: À chaque fois que tu dis ça, dans ma tête je me dis il faut que j'en parle un jour, parce que moi j'arrive à l'écouter et je suis hyper content quand je l'entends. [02:13:10] Speaker B: Non mais je suis content d'entendre les. [02:13:11] Speaker A: Chansons, mais très vite je m'inoute et je fais « Ah ouais ! [02:13:15] Speaker C: » Si on passe en aléatoire tu vois, je suis « Ah tiens cool ! » Mais je ne dirais jamais de moi-même mettre adrénaline. [02:13:20] Speaker E: Allez mettre tout l'album, ouais je comprends. [02:13:21] Speaker B: Je ne peux pas réécouter l'album. [02:13:22] Speaker E: Alors que le son est hyper vrai. [02:13:24] Speaker A: Je suis sûr que je peux. On est bien d'accord que la production de le son, c'est une casserole. [02:13:30] Speaker C: Si, « Diamond Eyes », il est bien aussi cet album avec la chouette. [02:13:34] Speaker B: Avec le temps, moi j'ai aussi un peu de mal avec la prod bien sûr. Je crois qu'il est un peu trop... Synthétique. [02:13:40] Speaker A: Mais la seule fois où j'ai pu réécouter... Synthétique. [02:13:44] Speaker B: La seule fois où j'ai pu réécouter le premier album en entier, mais c'était à la boule noire quand ils l'ont joué. [02:13:52] Speaker A: C'était intimiste. [02:13:56] Speaker B: Et le lendemain, parce qu'ils nous avaient invité à aller voir à Londres et qu'on était allé avec Mathieu, c'était bien aussi. [02:14:01] Speaker A: Ouais parce que c'était pas moi. Moi j'étais à la boule noire. [02:14:04] Speaker B: Toi tu devais aller travailler. [02:14:05] Speaker A: Ouais. Apparemment. Non mais La Bouloir, c'était très bien, Dave Towns à La Bouloir. [02:14:11] Speaker B: Et ils l'avaient fait aussi, et ça c'était un concert, ils avaient joué au Zenith avec Watcha en première partie. [02:14:18] Speaker A: Ah ouais ? [02:14:19] Speaker B: Et ils avaient fait Adrenaline en rappel. Ça c'était... Ce concert était... Ça doit être Back. [02:14:26] Speaker C: In the Days ça je pense. [02:14:28] Speaker B: Bah non non c'était... Ça date hein. [02:14:30] Speaker A: Le Watcha en premier. [02:14:30] Speaker B: Bah ça devait être 2007-2008. [02:14:37] Speaker A: C'est quand même pas tout récent mais... [02:14:39] Speaker B: Non c'est pas tout récent. [02:14:40] Speaker A: Je me souviens mais c'était à Bonne Surprise, c'était le bon truc. Il y avait une rumeur... Bref. La rumeur ! [02:14:45] Speaker B: La fameuse ! [02:14:46] Speaker A: Les Deftones, du coup c'est plus chic, pareil c'était avec ton pote Max ou... [02:14:53] Speaker C: En fait ce que j'aimais bien sur White Pony, c'est que moi le White Pony que j'avais, j'avais pas Back to School, j'avais Mini Magich, tu sais. Et moi je voulais Back to School, et en fait je crois que c'était la version US qui avait Back to School, et nous on l'avait pas. Je suis pas sûr à vérifier. [02:15:08] Speaker B: Il y a un truc comme ça. [02:15:09] Speaker C: Et je crois que c'est sur la pochette bleue de White Pony, alors que nous on avait la pochette grise. [02:15:14] Speaker B: Je crois qu'en fait le disque est sorti sans le truc et ils leur ont dit non mais les gars ça en fait ils leur ont dit ce truc là il faut en faire un gros morceau single et du coup le truc a été enregistré après, enfin refait après. Je crois que c'est un truc comme ça. [02:15:29] Speaker E: C'est les éditions ultérieures qui vont commencer à l'inclure. [02:15:32] Speaker C: Et c'est pour ça qu'après il y a eu White Pony et qu'au lieu que le fond soit gris avec le petit poney c'était un fond bleu, si ma mémoire est bonne. [02:15:38] Speaker A: Avec Back To School qui ouvrait. [02:15:40] Speaker B: Je sais plus des couleurs mais ouais. Dites-nous dans les commentaires si vous avez. [02:15:44] Speaker A: De l'information, je me tourne un petit peu. [02:15:46] Speaker C: Je suis pas sûr, j'ai peur de dire des conneries. [02:15:47] Speaker B: Non mais moi je me souviens d'un truc comme ça et je crois que j'ai revu une vidéo qui parlait de ça il n'y a pas longtemps, une interview de Chino et il parlait de ça. [02:15:54] Speaker A: Et puis on parle de Chino Moreno mais cette voix aussi, cette façon de chanter. En live t'as une chance sur deux. Alors c'est le cas de beaucoup de groupes. Moi à chaque fois j'ai eu de. [02:16:04] Speaker C: La chance, à chaque fois ça a été. Mais on m'a dit... Moi la dernière. [02:16:08] Speaker B: Fois c'était pas ouf, mais... [02:16:09] Speaker C: C'était où toi la dernière fois ? [02:16:10] Speaker B: C'était au Hellfest. [02:16:11] Speaker A: Ah 2018 ? Là. Il y a deux ans ? [02:16:16] Speaker B: Il y a deux ans je crois. [02:16:17] Speaker C: Ah ouais, je les avais pas faits ce jour-là. Je les avais faits en 2018, je crois que c'était pas mal par contre. [02:16:21] Speaker B: À côté de ça j'ai eu des expériences incroyables, notamment à un Olympia. J'avais fait deux Olympia. Et c'était quand il avait son pied dans le plâtre. [02:16:29] Speaker C: Ouais j'y étais. [02:16:29] Speaker B: Et il chantait super bien parce qu'il pouvait pas faire des petits sauts de cabri là. [02:16:33] Speaker C: Il était posé. [02:16:35] Speaker B: Il perdait pas son souffle. Moi j'ai eu des larmes sur Knife Party. J'étais sur le petit balcon juste au-dessus. T'as personne entre toi et lui, t'as un espèce de... Je sais pas, des fois y'a un. [02:16:48] Speaker A: Truc qui se passe et là... [02:16:51] Speaker B: Tu sens plus connecté que jamais. C'était incroyable. Ce concert était vraiment... [02:16:58] Speaker C: La question que je me pose c'est quelle est la longueur de ce putain de câble de micro qu'il a ? [02:17:02] Speaker A: C'est un 30 mètres. Déjà il y a 20 mètres enroulés autour du bras. [02:17:10] Speaker B: Et le truc qui est bien pour ceux qui n'ont jamais vu Deftones, mais Deftones souvent ils choisissent de ne pas faire des grosses salles, mais de faire plusieurs shows. Donc souvent Trianon, Olympia, tout ça. Et ce qu'il faut reconnaître, ce qui est un grand talent de Deftones, c'est de vraiment changer la playlist. Généralement il y a un tiers en commun. Entre chaque jour. Ce qui fait que le groupe est quand même capable de jouer à peu près toutes leurs chansons. [02:17:38] Speaker C: Alors tu peux être déçu, parce que moi je les ai fait deux fois, et sur les deux fois j'ai jamais eu Big White & Drive. Ah ok, dommage. [02:17:45] Speaker A: Après le mieux c'est de faire tous les concerts. [02:17:48] Speaker B: Vous les faites tous. [02:17:48] Speaker A: Voilà comme ça. Bah t'es jamais déçu. [02:17:53] Speaker B: Sauf en banquier, lui il est déçu par contre. Ça dépend s'il prend les agios. [02:17:58] Speaker A: Alors est-ce que tu es d'accord sur le fait que quand il fait... C'est la baleine qui le reproduit ? Il est con ou il est gros ? [02:18:10] Speaker B: Est-ce que tu es d'accord qu'on n'a jamais vu Chino et une baleine dans la même pièce ? [02:18:14] Speaker A: C'est pas faux. Est-ce qu'on a jamais vu une baleine faire du skate non plus ? Tu vois il y a plein de choses qui font qu'on peut imaginer que c'est pas vraiment la même chose. Mais non, mais je me suis toujours posé cette question depuis le début. Il y a un truc... [02:18:28] Speaker B: Tu le fais quand même pas très bien. [02:18:29] Speaker A: Ça fait plus l'otarie. Ça fait un peu le moufteau enroué. On est plus sur l'otarie que sur la baleine. Je peux continuer très longtemps. On se l'écoute. Tu as choisi donc Deftones avec Back to School. [02:18:45] Speaker C: Je mettais ça pour aller au lycée et puis je me prenais pour Chino. [02:18:48] Speaker A: Alors qu'en fait j'allais au cours de maths. Et je pouvais pas marcher sur les bureaux parce que sinon je me faisais virer. Et bah c'est parti, on va s'y croire un petit peu avec eux. [02:19:09] Speaker D: SOUS-TITRES FRANÇAIS PAR EDMUND WAKWAKA ! C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! Just like it, I'm flippin' it while you just keep it simple You just can't go wrong, rockin' the clothes, coppin' the dance Cause really it's everything that you want What's back to square? Transpose Or stop your life It's what you do Transpose Or stop your life Oh oh oh oh oh Oh oh oh oh oh C'est bon. Et maintenant que vous nous avez besoin, mais que vous ne l'êtes pas, alors allez-y, parce qu'à l'école, nous sommes les dirigeants de l'esprit. Depuis longtemps, nous avons recherché et développé. [02:23:22] Speaker A: Des méthodes pour contrôler et assurer la. [02:23:24] Speaker D: Sécurité de notre société. Et aujourd'hui, l'extraction de la dernière carrière de la force de la jeunesse supernaturelle. [02:23:31] Speaker A: Marque le début d'une nouvelle époque de. [02:23:33] Speaker D: Sécurité et de prospérité pour nous tous. C'est parti pour le tournage ! Fils de pute, le vent est toujours froid Tu peux tuer l'ennemi Pousse le Pousseur ! [02:27:50] Speaker A: Ça peut faire penser à plein de choses. Ce qu'on vient de regarder, bien sûr, c'est le tout dernier clip de Payne, qui s'appelle « Push the Pusher », vous aurez compris, c'était écrit. Moi, c'est une musique que j'aime beaucoup, ce genre-là, une espèce d'induce qui ressemble au truc des années 90, ça aussi, c'est pas très moderne, mais ça revient un petit peu quand même à la mode. Ce clip, En anime, qui fait penser quand même à Akira, non ? [02:28:14] Speaker B: Oui, oui, à peine. [02:28:17] Speaker A: Mais bien, ce genre de musique, ça te parle ou pas du tout ? [02:28:20] Speaker C: Si, ça va. [02:28:22] Speaker A: T'as eu ta période Ministry ? Non. [02:28:23] Speaker C: Non, pas trop. [02:28:24] Speaker A: Non mais ça va, après en... [02:28:30] Speaker C: J'en écouterais pas tout seul, tu vois, je pense pas. [02:28:32] Speaker B: Si ça passe, ça te dérange pas. [02:28:34] Speaker C: Un barbuck, puis ça passe en fond pendant que je retourne les merguez. [02:28:37] Speaker A: Parce que là, quand ils mettent ça, si tu veux être du mini-strip, un barbuck et un lance-flamme, il y a des choses bizarres qui se passent. C'est cool, c'est toujours une surprise. Oui, tu voulais dire quelque chose ? Pas du tout. Ah, j'ai senti qu'il y avait quelque chose. [02:28:50] Speaker B: Non, non, je te juge, mais... Pas plus que d'habitude. [02:28:55] Speaker A: Pas plus que d'habitude, merci. Enjoy, tu choisis des titres et là je vois que tu as sélectionné Castle Rat. [02:29:03] Speaker E: Castle Rat, qui est un groupe charmant, qui est un groupe assez nouveau en fait, vu qu'ils viennent de sortir leur premier album. Alors Castle Rat, c'est du doom metal, mais vraiment très ambiance 70's, ambiance film d'exploitation bien crapoteux et tout, donc j'aime bien on va dire. Et chose qui est assez inhabituelle, c'est mené par une femme d'ailleurs, une certaine Riley Pinkerton que je connaissais pas du tout. Et ouais, ils viennent de sortir leur premier album. Ils se définissent comme, je crois, du fantasy doom metal, selon leurs réseaux sociaux. [02:29:37] Speaker A: Ils aiment la drogue aussi, j'ai l'impression. [02:29:38] Speaker E: Un petit peu, ils aiment bien les psychotropes. Quand je disais 70's, il y a beaucoup de psychotropes, ne serait-ce que dans le clip qu'on va voir juste après. Dans leur dégaine, On dirait vraiment un mix entre Black Sabbath et Donjons et Dragons, en fait. [02:29:53] Speaker A: C'est vraiment le... [02:29:54] Speaker B: Un petit côté Conan. [02:29:56] Speaker E: Un petit côté Conan, ouais. [02:29:57] Speaker A: Conan le barbare. [02:29:58] Speaker B: C'est drôle parce que ce groupe a commencé à popper dans mon YouTube, il y a un moment, avec des lives. En fait, j'ai vu la vignette et je fais, elle est vraiment habillée comme ça. C'est-à-dire que c'est des concerts dans des tout petits clubs et elle est vraiment habillée comme dans le clip. C'est à dire que sa scène elle est comme ça. [02:30:16] Speaker C: On a l'impression qu'il y a de. [02:30:16] Speaker A: L'Art, on s'attend à tout. [02:30:18] Speaker B: C'est peut-être un peu donjon. [02:30:21] Speaker E: C'est ça, mais vraiment tu regardes la dégaine des membres du groupe, t'as l'impression que c'est une bande de rollistes qui sont un peu trop à fond dans leur jeu. Mais bon, ça fait plaisir et puis le morceau est plutôt cool. [02:30:32] Speaker A: On aime te faire plaisir, on aime faire plaisir à des personnes qui aiment les gens musicals. Moi je pourrais pas en parler, c'est certain. Peut-être toi ? Bon, on regarde ça tout de suite alors ? Faisons-nous plaisir, j'ai l'impression. Ça s'appelle « Castle Rat » et « Fresh Fire ». La mienne n'est jamais fraîche. [02:31:12] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titrage Société Radio-Canada C'est parti ! So what you'll be, it's only heaven's, it's your game So shut your face, stop pretending like you don't know What I've said, you're still searching ways to burn my name I hate your face, stop grins and it's just a fool's parade A fool's parade So turn your face, your crusade and sacrifice, go ride I'm on the ride Don't lie, don't pretend to be sorry Sweet smiles, our dominoes keep falling No doubt, it's all for your own glory C'est parti ! Tu vas l'abattre ! 2 x 2 ! So shut your face, stop pretending like you don't know When I listen, you're so sad, you play so brave But now I hear your voice, your crusade is just a fool's parade A fool's parade Il ! [02:39:14] Speaker A: Le tout dernier Within Temptation à l'instant, donc dans Bang Bang. Je vous rappelle que nous sommes en live Twitch tous les dimanches pour célébrer le métal et l'alternative rock au sens large du terme. Si vous souhaitez être au courant de tout ce qu'on fait, vous likez notre page, vous appuyez sur ce petit cœur qu'il y a sur Twitch. Vous pouvez nous rejoindre bien sûr sur tous les réseaux sociaux et partout, donc je ne vous fais pas la liste. Mais voilà, et sur YouTube, vous avez les VOD, donc n'hésitez pas aussi ! Bang ! Within Temptation qui c'est une chanson en fait dont tous les fonds vont être reversés donc pour aider bien sûr la communauté ukrainienne étant donné qu'il y a la guerre et que ça les touche énormément. Alors j'ai pas cherché qui était le featuring qui s'appelle donc Alex Yarmak. Ouais alors j'ai commencé à chercher je. [02:39:57] Speaker B: N'Ai pas trouvé d'infos. [02:39:58] Speaker A: Alors que si vous avez des infos n'hésitez pas à... [02:40:00] Speaker B: Il a 2000 followers sur Instagram donc je pense que... [02:40:04] Speaker A: Alors je suis désolé mais si vous avez des infos mettez-les en commentaire dans. [02:40:07] Speaker B: Le schmull pour le direct. Parce que nous on n'a pas autre chose à faire que... [02:40:12] Speaker A: En plus j'ai reçu un mail promo, parle-en surtout, j'ai juste mis le clip parce que je me suis dit que c'était important de le partager, mais l'essentiel c'est d'aller le regarder vous-même, bien sûr sur Youtube, et d'aller écouter la chanson sur les plateformes d'écoute légale pour que l'argent engrangé puisse justement faire de belles choses. [02:40:26] Speaker B: Et puis ces petits cris sur du Within Temptation, c'est sympa. [02:40:31] Speaker A: Oui, c'est vrai que c'est pas fréquent. [02:40:32] Speaker B: Ça change un peu, oui. [02:40:33] Speaker A: J'aime bien ouvrir une Temptation, même si je sais que c'est un groupe que souvent les gens critiquent, mais j'aime bien. Sonata Temptation sur... Ne dévoile pas tous les secrets. [02:40:45] Speaker B: C'est pas celle-là, Pierre Lafeuille. [02:40:46] Speaker A: C'est pas celle-là. Les concerts ! Parce qu'on arrive aux concerts. Les concerts de cette semaine et les concerts de la semaine prochaine, pour ceux qui regarderaient justement la VOD. On commence jeudi 18 parce qu'entre temps, moi j'ai pas de concert. Mais jeudi 18 avril Simple Minds aux Zenith, on est contents. Les Stone Jesus et Grand Masashi ce sera du côté du Trabando. The Warning qu'on vous conseille parce que c'est vraiment très très bon. En plus en première partie il y a Conquer Divide je crois, si je ne dis pas de bêtises, notre groupe féminin. Ce sera du côté de l'Alhambra. Les Pities... Aurélie on lui fait un énorme bisou, mes bêtises au Supersonic c'est gratuit. Samedi 20 avril, les Landmarks à la Seagal, c'est complet. Kid Capisci à la Maroquinerie, je vous offre des places immédiatement. Si vous avez envie d'aller voir Kid Capisci, c'est un groupe que je sur-kiffe, ils sont hyper gentils. C'est une grosse fête. Il faut aimer quand même un petit peu le ska. [02:41:31] Speaker B: Oui, il y a un côté un peu... Si vous aimez The Streets en punk. [02:41:36] Speaker A: Voilà, c'est un petit peu ça. Ça sera la maroquinerie donc samedi 20 avril, je vous offre des places tout de suite. Vous envoyez un email avec votre nom et votre prénom à pierre.resles.com et vous. [02:41:47] Speaker C: Repartirez peut-être avec vos places, ça sera. [02:41:49] Speaker A: Un tirage au sort. Dope D.O.D. Eh oui, ils sont toujours vivants, ils passent du côté du Forum Vaureal. Le dimanche 21 avril, il y a The Antwoord à l'Olympia. Il y a Anvert. Oui, bon, je ne vous parle pas assez bien. Marduk, les rois du barbecue, la machine du boulin rouge, le lundi 22 avril, Émilie Simon, Trianon. Ça va tout être magnifique. J'aimerais bien y aller. Très bel événement. [02:42:12] Speaker B: J'aimerais bien y aller Pierre. [02:42:14] Speaker A: Oui, oui, je le relance. si vous nous regardez. King Youssef, ça j'aime beaucoup, c'est à Petit Bain, ça correspond complètement à la salle. Le mardi 23 avril il y aura Playz to Very Strangers, ils sont encore vivants, ce sera à Petit Bain également. Birds in Roue, à la Letterie à Strasbourg, je sais que je donne rarement des dates de province, mais si vous en avez pareil, laissez-les en commentaire sur la VOD pour que tout le monde soit au courant et que tout le monde puisse se rejoindre et s'amuser. Le jeudi 25 avril, The Kid Larouin, l'Adidas Arena, qui fait des concerts rock et métal. With Intemptation ils seront d'ailleurs. [02:42:47] Speaker B: Qui a ouvert récemment. [02:42:49] Speaker A: Très récemment, oui. Dirty Funky et Jet Sex, si vous avez envie d'écouter du punk, ce sera la boule noire ce jeudi 25 avril. Vendredi 26 avril, Keane. [02:42:57] Speaker B: Ah bah ils sont de retour ceux-là. [02:42:58] Speaker A: Par ici le petit piano. The Sherlock's à l'Olympia, dry-cleaning, ça c'est très branché d'ailleurs, c'est à la gaieté lyrique, donc tout s'explique. Et il y a aussi le festival le Grand Paris Lodge, voilà si vous aimez peut-être... Faire de la luge ? [02:43:14] Speaker B: Ah non, c'est pas ça ? [02:43:16] Speaker A: C'est presque, ça dépend. Grand Paris Lodge probablement. Mais peut-être que tu y feras un tour, je ne sais pas. [02:43:23] Speaker E: C'est pas prévu, mais il y a des bons groupes en tout cas. [02:43:26] Speaker A: J'ai vu l'affiche, c'est du bon. Le samedi, toujours ce festival, encore une fois Keane. Il y a aussi Lime Garden, au Hasard Ludique, j'adore ce groupe. Black Bombay, qu'on adore du côté de Charville. Il y aura aussi Sun, dont on a parlé tout à l'heure, au Réacteur. Et enfin, le dimanche 28 avril, il y a Cat Power au Folly Berger. Oui, elle est vivante encore aussi. Et Sorce Horreur du côté de Petit Main. Si vous n'avez pas tout noté, et bien vous retrouverez toutes ces dates dans les VOD YouTube et aussi dans notre podcast disponible absolument partout. On se fait un petit kit capichis justement pour donner... [02:44:01] Speaker C: Pour mettre l'eau à la bouche. [02:44:03] Speaker B: Voilà, et n'hésitez pas à participer au concours. [02:44:05] Speaker A: Pierre Arrobas, Rastlès.com. R-A-S-T-L-S-S.com. [02:44:39] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Don't let time just slip away It was only yesterday That we were thinking, we were wishing, we were hoping I can't hear you, I won't hear you say That the days are gone, they were only yesterday Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti pour le tournage de l'année ! Well that's just a game No one to blame But I can't hear you, I won't hear you Hey, don't let time just slip away It was only yesterday Combien de temps penses-tu qu'on peut laisser Dima ? [02:47:48] Speaker A: Il est heureux ! Les ciseaux sont juste des couteaux rapides, n'est-ce pas ? [02:48:01] Speaker D: Jack est en train de pleurer et. [02:48:02] Speaker A: Tout le monde est en train de. [02:48:03] Speaker D: L'Accueillir C'est bon mec, mange un peu de pain C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! Réalisé par Neo035 Avec le soutien de Denix A plus ! C'est la fin de cette vidéo. You dethrone, disown, outcast, derelict Cold sweat, false threats, nothing comes of it Idolized, your lies stick like residue C'est la fin de cette vidéo. [02:52:50] Speaker A: Kiri Kiri Kiri Kiri Eh bah, il a mangé trop de fromage et paf il est pas content En tout cas. [02:52:56] Speaker B: C'Est un gastronome en culot de course. [02:52:57] Speaker A: Kiri King Ça m'a rappelé une fois. [02:53:01] Speaker E: Dans une chronique écrite j'avais lu le terme de trash metal administratif Et pour. [02:53:06] Speaker A: Moi c'est un peu ça du trash. [02:53:08] Speaker E: Metal administratif Du coup c'est un peu. [02:53:09] Speaker B: Méchant mais c'est un peu marrant C'est. [02:53:12] Speaker A: Très mignon mais en même temps tu sens que c'est vraiment très méchant En fait, alors j'avoue, je n'ai pas du tout écouté l'album solo de Kerry King, je ne l'ai pas écouté dans son intégralité. Le feras-tu ? Non. J'ai rien contre Kerry King, mais j'avoue que cette chanson ne m'a pas déplu. [02:53:27] Speaker B: Après c'est pas très original. [02:53:31] Speaker A: D'ailleurs le chanteur c'est le chanteur de ce livre. Non, c'est Turcamet ! [02:53:35] Speaker E: C'est le fils illégitime des deux. [02:53:38] Speaker A: C'est pour ça la petite mèche ? Ouais, c'est ça. Mais bon voilà, je ne sais pas ce que vous en pensez, n'hésitez pas à nous le dire. [02:53:44] Speaker B: De toute façon, on lit pas ce que vous dites. [02:53:48] Speaker A: C'est faux. C'est faux. J'appuie sur le cœur pour vous faire croire qu'on lit ce que... C'est un bot. Non mais n'hésitez pas à dire ce que vous en pensez parce que Slayer évidemment tout le monde s'est dit putain les menteurs. Un groupe respectable comme Slayer qui annonce qu'ils reviennent. [02:54:05] Speaker C: Quelle surprise. [02:54:08] Speaker A: On reparle de l'argent. Mais voilà, Kerry King j'avais envie de passer. [02:54:13] Speaker C: Si vous avez envie d'être curieux, bah. [02:54:14] Speaker A: Voilà, c'est tout ! On va en parler de la musique. Est-ce que le métal, c'était l'occasion aussi de faire des gros stuffs pour toi ? Parce que vu la chanson qui arrive après, pour moi c'est un symbole de fête. [02:54:27] Speaker C: Ah bah bien sûr ! Sur cette chanson-là, on a pété la latte du clic-clac de Max. On se compogotait tous dessus et à. [02:54:34] Speaker A: Un moment, bam ! [02:54:36] Speaker C: On a pété la latte du clic-clac. [02:54:38] Speaker B: Ça, ça ferait un bon nom de chanson. [02:54:44] Speaker A: Et du coup, c'est le truc aussi où tu sais que les parents sont venus en disant « Mais c'est quoi ce bordel ? Qu'est-ce que tu fais ? » « Et le kick-clac ? [02:54:49] Speaker C: C'est celui de ta grand-mère, t'imagines ? [02:54:51] Speaker B: » La vérité sur les lattes pétées, c'est que... [02:54:55] Speaker A: J'ai peur. Si tu te rends compte, avant qu'elle. [02:54:56] Speaker B: Soit complètement pétée, elle est juste pliée. Et en fait, tu peux la repousser pour que ça tienne suffisamment longtemps pour que le jour où on s'en rend. [02:55:07] Speaker A: Compte, tu fais « Ah, je me. [02:55:08] Speaker B: Suis assis, ça... » Ça a craqué là. C'est sûrement pas parce que j'ai pogoté dessus il y a deux semaines. [02:55:17] Speaker A: En tout cas, papa-maman. La raison de ce cassage de lattes. C'est l'Imbiscuit. L'Imbiscuit c'est la fête. [02:55:25] Speaker C: J'ai vraiment hésité avec le Nuki. [02:55:28] Speaker A: Ah oui alors pourquoi ? Avec le Yuki ? [02:55:31] Speaker C: Parce qu'il y avait Jonathan Davis de corne dans le jeu. [02:55:35] Speaker A: Parce que la chanson c'est break stuff. Casser des trucs. C'est just one of those days, c'est ça là. [02:55:43] Speaker C: Break stuff exceptionnel, t'es obligé. Moi Limbiscuit j'aime beaucoup. Je les ai fait en live, parfois c'est un peu inégal. Surtout qu'ils font trop de reprises. Au Hellfest en 2018 c'était un cauchemar. [02:55:54] Speaker A: Ça dépend des concerts. [02:55:56] Speaker C: En 2009 je l'ai fait au Zenith avec Mass Hysteria en première partie. Ça avait été ouf, ça avait été dingo, c'était incroyable. J'adore, c'est pareil en fait, c'est la même époque, c'est Madeleine de Proust. [02:56:06] Speaker A: 2009, il y avait Wes Borland ou il n'y avait pas Wes Borland ? [02:56:09] Speaker C: Si, si, il revenait, il venait de. [02:56:10] Speaker A: Revenir, il venait de revenir. [02:56:12] Speaker C: Si, si, il était là, c'était quand il a le maquillage tout noir. Non, non, si, il était là. [02:56:17] Speaker B: Il n'y a que sur l'album Result Memory qu'il n'est pas là ? [02:56:21] Speaker A: Oui, c'est vrai, mais il y a eu un espace temps. [02:56:23] Speaker B: Ah oui, mais après, quand ils sont revenus, il était là. [02:56:25] Speaker C: Mais Result Memory, je crois que c'est 2003 de mémoire. [02:56:28] Speaker B: J'ai l'impression qu'il est revenu sur l'EP. [02:56:31] Speaker A: The Truth Part 1, qu'il n'a jamais. [02:56:33] Speaker B: Eu de Part 2. [02:56:33] Speaker C: Mais qui est exceptionnelle en plus cette EP. [02:56:35] Speaker B: Bah oui, elle est vraiment bien. [02:56:36] Speaker C: La chanson The Truth là, elle est incroyable. L'ouverture de... [02:56:39] Speaker B: Un petit côté Daft... Tool, pardon. [02:56:41] Speaker C: Ouais, un peu, c'est drôle. [02:56:42] Speaker B: Un petit côté Tool-esque. Si vous ne connaissez pas... D'ailleurs, c'est. [02:56:44] Speaker C: Ça que j'aurais dû mettre comme clip en fait, The Truth, parce que dedans, Fred Durst, il a un casque d'aviateur. Tu te demandes où il est parti chercher ça ? Franchement, c'est à voir un jour. [02:56:53] Speaker B: Je crois qu'il a trouvé ça dans la malamalice de... vu comment il est. [02:56:57] Speaker C: En concert maintenant, je pense qu'il a ouvert la malle, parce qu'un coup il est en cow-boy, un coup il est. [02:57:02] Speaker A: En... Bah il a son personnage, c'est un personnage maintenant avec ses bouclettes blondes, du texan, avec les tiaques et tout. [02:57:06] Speaker B: T'as d'vibes. [02:57:07] Speaker C: T'as d'vibes, c'est ça. [02:57:08] Speaker A: C'est... Il joue dans les biscuits ? [02:57:14] Speaker B: Je sais pas. Mais moi j'ai une question qui est plus intéressante que la tienne, Pierre, parce que ta question est un peu nulle. Mais moi j'ai une question... J'adore parce que t'es pas vexé ! [02:57:23] Speaker A: Bah non, parce que je l'ai trouvé nulle aussi ! Limbiskit c'est la fête, c'est tout, donc j'avais envie de raconter des trucs. [02:57:30] Speaker B: Je peux poser ma question ? [02:57:31] Speaker A: Oui, mais parce que en fête ! [02:57:33] Speaker B: Il m'a gonflé ! T'as pensé quoi du dernier album de Limbiskit, le retour ? [02:57:41] Speaker C: Ça c'était dur, c'était une grosse déception. [02:57:43] Speaker A: Il est moins dur que celui d'avant, non ? [02:57:45] Speaker C: Quoi, Golden Cobra ? [02:57:46] Speaker A: Golden Cobra, ouais. [02:57:48] Speaker B: Moi j'aime bien le dernier album parce que je trouve qu'il y a un côté où tu sens qu'ils n'en ont rien à foutre et qu'ils se font plaisir. [02:57:54] Speaker C: Ouais mais c'est vraiment presque du foutage de gueule, je trouve qu'il y a beaucoup d'interlude et les trois premières chansons sont cool. Après je peux plus, j'étais désolé, j'étais non, pourquoi ? [02:58:03] Speaker A: Pourquoi ? [02:58:04] Speaker B: Ok, non, non, mais je l'entends. [02:58:05] Speaker C: Mais en même temps, enfin si on est un peu honnête, on était quand même sur, tu vois, le dernier Limp Bizkit, pas ouf. Requiem, le dernier Korn. [02:58:12] Speaker A: Ah si ! Ah si ! Pas certain, pas d'un go. [02:58:19] Speaker C: Et puis le dernier Slipknot, moi je. [02:58:21] Speaker A: N'En parle même pas, tu vois. [02:58:22] Speaker B: Le dernier Korn, je l'ai trouvé incroyable. [02:58:24] Speaker A: Non mais moi je l'aime vraiment énormément, moi j'étais persuadé que c'était un... [02:58:28] Speaker E: Pour le coup je vais te rejoindre, je l'avais écouté, je l'avais trouvé pas si mal. [02:58:31] Speaker A: Ah ouais je me suis dit c'est. [02:58:32] Speaker C: Bien, ils ont trouvé... [02:58:33] Speaker A: J'ai pas dit qu'il était nul, mais. [02:58:35] Speaker C: Par rapport à The Nothing, j'avais préféré The Nothing, j'avais préféré Serenity of Suffering... [02:58:42] Speaker A: The Nothing, oui, Serenity of, un peu moins, mais après y'a des trucs sont... De toute façon c'est Limbis qui est le plus sujet. [02:58:49] Speaker C: C'est pour dire qu'en fait y'a une vibe où Slipknot avait également sorti un album de merde, là le dernier qui est absolument tout pourri. [02:58:54] Speaker B: Alors je trouve que le dernier Slipknot est pire que le dernier Limbis. [02:58:57] Speaker C: Ouais probablement. [02:58:59] Speaker A: Alors, c'est des enchères. Vous donnez combien pour ces notes ? Attention, attention ! Alors, mon classement ! Non mais, moi, Limbiscuit... En même temps, il est pire que la malaria, il faut... Moi, Limbiscuit, en vrai, après le chocolat de Starfish, je trouve ça dommage qu'ils aient pas continué quand bien même c'est très commercial. Mais c'est leur jeu, c'est leur rôle, c'est ça qu'on attend. On s'en fout que ce soit des vendus. En fait, c'est ce qu'on veut, s'amuser, rigoler, qu'ils fassent des biscuits. C'était bien avec les biscuits, Limbiscuit. Pas les biscottes, c'est celle qu'on trouve dans les toilettes. Je te laisse terminer. Moi c'est cette époque-là qui me manque de Limbiscuit et je ne comprends pas pourquoi aujourd'hui les boîtes ont cette possibilité de revenir. [02:59:43] Speaker E: L'époque Limbiscuit au sommet du monde en fait finalement. [02:59:45] Speaker C: Et puis je veux la casquette rouge à l'envers, je veux le retour de la casquette rouge à l'envers. [02:59:49] Speaker A: Exactement, le red cap quoi, bon on n'a pas de casquette rouge non plus mais... Et moi j'avais envie d'acheter une casquette rouge. [02:59:55] Speaker B: Oh mais peut-être qu'il va... Ça va peut-être revenir. [02:59:57] Speaker A: Mais je pense qu'il y a... [02:59:58] Speaker C: Tu crois qu'il s'en fout vraiment Fred ? [03:00:01] Speaker A: Non, je pense qu'il a eu une crise vraiment violente du fait de savoir qu'il était en train de vieillir. Et que quelque part il en avait marre qu'on dise que c'était un gros teubé. Bon, c'est pas non plus un génie. Mais je pense qu'il a voulu aussi sortir de ce truc-là et c'est là qu'ils se sont tous perdus. J'en suis persuadé qu'il y a une histoire de psy qui a mal fait son boulot. [03:00:20] Speaker B: Et toi ça te donne envie de. [03:00:21] Speaker A: Casser des trucs ? [03:00:27] Speaker E: Ça donne envie de prendre une tronçonneuse et de peler des culs ? [03:00:31] Speaker A: Bon, on va regarder le clip. [03:00:33] Speaker D: La réponse ! It's just one of those days when you don't wanna wake up Everybody sucks, you don't really know why But you wanna justify Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est juste un de ces jours ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Break your breakin' face tonight! Bang Bang ! Sous-titrage Société Radio-Canada As we wade through the cracks Réanimate your destiny Unself from existence Realize we must die It's time to let you go C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Tu. [03:11:13] Speaker A: Ranges ta chambre et t'arrêtes de crier ! Non mais alors la question, j'étais en train de vous la poser, c'est qui le plus fort ? C'est l'hippopotame ou le tracteur ? C'est le tractopotame. C'était la blague, merci. Hippotractor, déjà ce nom, bon. [03:11:31] Speaker B: Oui bah écoute, ça commence à devenir dur de trouver des noms. [03:11:34] Speaker A: C'est vrai, et puis c'est original. Hippotractor, on imagine. Moi, quand j'ai découvert ce clip hier et je me suis endormi et j'ai vu un petit hippopotame tout rose comme ça en train de conduire un tracteur et je me suis revu quand j'étais au lycée du côté de Miramas dans un lycée agricole. [03:11:48] Speaker B: On dit Mirama. [03:11:50] Speaker D: Bon. [03:11:52] Speaker A: Voilà, est-ce que ça vous a. [03:11:53] Speaker B: Plu ou pas ? [03:11:54] Speaker A: J'en sais rien mais en tout cas c'était plutôt pas mal. [03:11:55] Speaker C: J'ai bien aimé. [03:11:56] Speaker A: Un long morceau mais bon le clip... [03:12:01] Speaker B: Il fallait faire un clip. [03:12:02] Speaker A: Il fallait casser quelque chose en tout cas. La chanson est plutôt pas mal. [03:12:05] Speaker E: On va dire Gros Dents c'est plus ce que c'était. [03:12:09] Speaker A: Gros Dents. [03:12:10] Speaker C: Le Gros Dents. [03:12:12] Speaker A: Justement Joy tu fais des commentaires, on rigole on rigole, mais là tu veux nous parler de... Attends parce que moi j'ai écouté cette chanson et ça m'a même bien fait rire. Je me suis dit qu'est-ce qui vous a encore dégoté le con, sans déconner. C'est « Fair to Midland ». [03:12:25] Speaker E: « Fair to Midland ». [03:12:27] Speaker B: Il est… C'est quoi, c'est la Terre du Milieu ? Il y a un rapport avec… Je le crois, ouais. [03:12:34] Speaker C: C'est un côté un peu Strollville dans Superman. [03:12:38] Speaker A: Là, il y a un peu tout. [03:12:39] Speaker E: À vrai dire, je connais pas trop le lore du groupe parce que c'est un truc que je me suis mis à écouter tout récemment. [03:12:43] Speaker B: Et tu connais le lore de Maisons. [03:12:43] Speaker A: Du Café peut-être ? [03:12:45] Speaker B: Oui. [03:12:48] Speaker A: Voilà. [03:12:48] Speaker B: Voilà, voilà. [03:12:49] Speaker A: Non mais vas-y. Quand je parle, il y a toujours un bruit. [03:12:53] Speaker B: C'est la chanson des Chairs musicales apparemment. [03:12:55] Speaker E: Exactement, le morceau s'appelle Musical Chairs. En fait, Fair to Midland, c'est un groupe texan de métal alternative slash prog. J'ai pas écouté à l'époque où ils étaient actifs, c'est-à-dire entre 98 et 2013. [03:13:07] Speaker C: Mais je me suis mis... [03:13:10] Speaker E: Ouais, c'est pas récent. Ils ont 4 ou 5 albums au compteur. A l'époque, ils avaient failli jeter l'éponge, mais ils avaient été repêchés par Serge Tankian, à qui ça avait tapé dans l'oreille. [03:13:26] Speaker A: Ça a dû taper un peu trop fort ! [03:13:32] Speaker E: Ça lui avait tapé dans l'oreille, il les a signés sur son propre label qui s'appelait Surgical Strike, et ça leur avait permis ensuite après de tourner, d'ouvrir pour The Smashing Pumpkins, The Machine... ou Queens of the Stone Age enfin bon ils avaient fait quand même un petit peu la tournée des Grands Ducs et en fait je comprends pas pourquoi je m'y suis pas mis à une époque même si le nom me revenait de temps en temps mais alors que ça aurait pu clairement me plaire c'est du metal pro qui est assez fêlé dans son genre avec ça joue très bien, ça chante très bien, le chanteur je connaissais pas du tout le groupe mais quand j'ai découvert le chanteur qui s'appelle Darrow Suddert qui gesticule dans tous les sens, que tu regardes des lives, il se jette sur les murs, il se suspend tête en bas au-dessus du public... [03:14:26] Speaker A: Asus ou Appen ? Un peu des deux. Je vous laisserai deviner l'image globale. [03:14:35] Speaker E: Le mec, en gros, avec tout ce qu'il fait, ça fait de ce groupe Fever Free Free Free, mais avec des vrais morceaux. [03:14:43] Speaker A: Paf ! Pavé dans la mare ! Paf ! Comme ça. [03:14:48] Speaker E: Et donc ouais, en fait, Fair to Midland, c'est du metal-rock un peu fêlé, et moi j'ai beaucoup aimé découvrir la tour récemment, je m'y mets depuis peu. Je conseille, voilà. Et le morceau que j'ai choisi, c'est un morceau de leur dernier album qui était sorti en 2011 qui s'appelle A Rose and Anchors. Et le morceau s'appelle Musical Chairs et qui fait partie des très rares clips qu'ils ont sortis. [03:15:12] Speaker B: Et je vois dans le schmull qu'il y a Boulinosaur qui dit que ce sont les chouchous de Germain. Et bah du coup, on fait un énorme bisou à Germain ! [03:15:18] Speaker A: Un énorme bisou à Gervlof, Germain ! [03:15:20] Speaker E: À notre Berdy de Berre national ! [03:15:22] Speaker A: On l'aime fort ! Bonsoir à lui ! On y va ? Bah oui ! Je veux que les gens voient ça, parce qu'il se passe quelque chose ! [03:15:29] Speaker D: Je te laisse y aller ! Musique du générique c'est Musique rock C'est parti ! C'est parti ! Oh, putain ! Je n'ai pas d'espoir, rien n'a été promis à moi Je t'ai senti finir les mots, je t'ai éclaté Jusqu'à ce qu'il y ait un lien entre nous. [03:22:38] Speaker A: Le grand, grand, grand débat ! Non, pas celui de visuel-musique.org que vous retrouvez si vous avez envie d'entendre des gens discuter de musique. Vous avez le podcast qui est disponible bien sûr sur toutes les plateformes. Vous tapez grand débat à Ressless ou vous tomberez dessus. Mais là, ce qu'on vient d'écouter, de regarder, c'est... Grey... The Weather. Avec le titre Parasite et puis la chanteuse Courtney Lapointe. La plante. C'est Bobby, l'épée de Bobby. Les heures sont passées ! En tout cas, ce soir, notre invité, vous le savez, et vous êtes heureux et heureux, j'en suis persuadé, de le voir ici, enfin, dans notre émission, c'est Harold Barbet ! [03:23:17] Speaker D: On l'applaudit ! [03:23:24] Speaker A: Allez, chez toi, t'as dans tes mains fait du bruit ! Voilà, désolé pour les voisins. On en a pas. Vraiment. Ils sont très vieux, donc ils n'en font pas. [03:23:31] Speaker C: Ils sont tous morts. [03:23:32] Speaker B: Pas encore, malheureusement. [03:23:34] Speaker A: Surtout celle avec sa canne. [03:23:38] Speaker D: Là ! [03:23:38] Speaker A: Non, il ne faut pas parler de choses comme ça. Mais voilà, on le retrouve, comme on l'a dit, au Hellfest. C'est lui qui ouvre le Hellfest le mercredi. Il faut absolument que vous soyez là pour voir ce spectacle unique puisqu'il y aura des surprises, des choses à découvrir. Donc venez au Hellfest mercredi, c'est à 16h si je ne me moque. 16h20. Voilà, 16h20. Soyez là 16h, c'est mieux. [03:23:58] Speaker C: T'as le temps de prendre une ou deux bières et puis tu t'installes. [03:24:00] Speaker B: Ce même conseiller. [03:24:02] Speaker C: C'est mieux, moi j'en aurais une. [03:24:04] Speaker A: Oui bon après c'est des gens qui viennent au Hellfest. Je m'inquiète pas trop, je m'inquiète pas trop. [03:24:10] Speaker B: Je m'inquiète pas trop pour les bars du Hellfest. [03:24:12] Speaker A: A priori ça se passera bien. Non mais allez-y, franchement c'est cool et puis de toute façon si vous n'allez pas au Hellfest, qui est une possibilité évident parce que tout le monde ne peut pas y aller, et bien il y a une série de dates que vous retrouvez sur son site internet officiel à Rollbarbet.com. C'est pas compliqué. [03:24:27] Speaker C: On peut pas faire plus simple. [03:24:29] Speaker A: Voilà, tous les liens de toute façon sont disponibles aussi dans la VOD, vous retrouvez tout ça en dessous, en description. Donc n'hésitez pas à cliquer et à aller checker, achetez vos tickets. C'est soutenir aussi les gens qui aiment le métal. On est une famille ! On peut faire les choses ensemble, voilà. Bon, les spectacles, pas plus. Après c'est tout à toi de ce que vous voulez. Et payez-lui une bière après le spectacle. [03:24:51] Speaker B: Ouais ! Vous dites que ça ne te donne pas ? [03:24:53] Speaker C: Bah ouais ! Mais de toute façon, vous serez là le mercredi. [03:24:58] Speaker A: Ah bah nous, je sais pas à quelle heure on arrive mais normalement on est là. [03:25:02] Speaker C: En plus si les gens viennent, ils pourront vous serrer la pince. [03:25:05] Speaker A: Je pense que ça les intéresse un peu moins mais après... Tu ne sais pas, tu ne sais pas. On va se prendre une patate dans l'oeil. Ce truc qui tourne mal, c'est... Ça. [03:25:15] Speaker C: T'Apprendra à critiquer Tool. [03:25:18] Speaker A: A critiquer. En tout cas, merci d'être venu encore. [03:25:22] Speaker C: Merci à vous, merci pour l'invitation. [03:25:23] Speaker A: Merci d'avoir répondu à toutes ces questions. T'es le bienvenu, évidemment, quand tu veux. Si t'es sur Paris, bah tu dis là, tiens, je vais aller le faire chier. [03:25:29] Speaker C: Et bah, je reviendrai vous faire chier. Avec grand grand plaisir. C'était très cool, merci beaucoup. [03:25:34] Speaker A: Et on remercie aussi Enjoy The Noise, quand même. Bravo, depuis qu'il est sorti des Harry Potter. [03:25:42] Speaker E: Celle-là, je l'avoue, je ne m'y attendais pas. Elle a tapé en dessous de la ceinture. [03:25:44] Speaker A: Elle s'est passée pour le creep de Cory. [03:25:51] Speaker B: Faudrait vraiment qu'on ait un choix pot pour savoir dans quelles maisons on va ? [03:25:56] Speaker E: Serpentard direct ! [03:25:57] Speaker A: Poufsouffle ! Toi t'es Poufsouffe toi ! J'entends que des trucs de cul, il doit y avoir un petit défaut quelque part ! [03:26:11] Speaker B: C'est peut-être d'avoir été exposé à cornes trop tôt dans ton acte de Bloc Manteau. [03:26:15] Speaker C: Allez, ça recommence ! [03:26:16] Speaker A: Je me rappelle qu'avant il y a eu... Ah mais c'est vrai que je sais pas poser les guilletines légèrement. Enfin, on va pas y revenir. On gardera ça pour la prochaine fois. N'hésitez pas à prendre exclamation bang pour rejoindre notre page YouTube. Plus vous êtes nombreux et nombreux, plus ce sera cool. Et puis, cette musique mérite d'être connue de par le monde entier. Je sais pas ce que je voulais. [03:26:32] Speaker B: Dire, mais c'est... Point d'exclamation Discord pour rejoindre notre Discord. [03:26:35] Speaker A: Ah bah oui, comme ça on discute entre vous. Il y a Marcel en plus, là. La diarrhée et lui dire que c'est pas grave. Il vient de faire caca dans son lit, c'est ce qu'il nous a dit. Parce que dans Marcel, il y a sel. Ah oui, c'est vrai. C'est pour ça qu'il sent la merde. J'ai plaisir, Marcel, je t'aime fort, tu le sais. Mais prends une douche, quand même. Le pauvre, il a de la fièvre. [03:26:57] Speaker D: Il est en train de crever. [03:26:58] Speaker A: On est en train de crever, on est en train d'abattre le canal. C'est surtout que là, il vient de rire à un gros coup. [03:27:05] Speaker B: Oh t'es méchant ! [03:27:07] Speaker A: Merci Ben ! [03:27:07] Speaker B: Merci à toi Pierre ! C'est toujours un plaisir de te voir le dimanche ! [03:27:11] Speaker A: Et bien en plus cette fois-ci les clips ont fonctionné ! Je suis content ! Mon boulot a presque été fait correctement ! C'est vrai ! Il n'y a que les fins que j'ai pas enlevé ! [03:27:17] Speaker B: Oui et puis il y a des infos que t'as pas allé chercher partout. [03:27:20] Speaker A: Mais... Ah mais c'est très bien ! [03:27:22] Speaker B: C'est très bien, on n'en discute plus ! C'est bien, t'as un bon point ! [03:27:25] Speaker A: Allez, passez une bonne semaine, bon courage à vous ! Vive le métal, vive le rock'n'roll ! Et puis c'est tout, bon courage ! C'est déjà pas mal ! C'est une semaine qui va être compliquée mais vous allez voir, ça va être quand même bien ! [03:27:34] Speaker B: On se quitte avec un petit clip ? [03:27:35] Speaker A: Ah j'ai ru tous les styrs sur ton nom pour que tu pètes ! [03:27:38] Speaker B: Tu peux mais j'ai pas envie de. [03:27:38] Speaker A: Péter donc ça va pas marcher. On se quitte avec un clip de Red Hook, le tout dernier. Voilà, moi j'aime bien. Tout le monde n'est pas d'accord sur cette situation. On va pas revenir là-dessus. Des gros bisous, on vous aime, vive le métal ! Bisous ! Et à dimanche prochain ! [03:27:51] Speaker D: Bisous ! Un pour l'équilibre. [03:31:25] Speaker A: Pour le spectacle. [03:31:28] Speaker D: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:31:44] Speaker C: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant. [03:31:46] Speaker A: Disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. [03:31:49] Speaker D: Spotify, Deezer, Apple, Amazon. [03:31:52] Speaker A: N'hésitez pas à vous abonner.

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