#112 - MOH ALEXIS en invitée

Episode 112 November 21, 2025 03:29:06
#112 - MOH ALEXIS en invitée
Bang!Bang! RSTLSS
#112 - MOH ALEXIS en invitée

Nov 21 2025 | 03:29:06

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Show Notes

  Voilà une émission avec une actrice de la scène, mais pas comme nous pouvons l’imaginer. MOH est modèle, dans un milieu artistique alternatif, mais ce n’est pas tout ! Elle fait des clips, elle est créatrice de vidéo et elle est influenceuse ! Il y a dans cette émission, de la timidité, de l’anxiété, mais pas dans le mauvais sens du terme, dans la partie touchante et plus l’émission avance, plus l’atmosphère se détend et au final, toute cette vague émotionnelle est nourrissante, intéressante et le combat mené est impressionnant. La mode, le Metal, la santé mentale et l’extravagance...
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Episode Transcript

[00:00:21] Speaker A: Tu. [00:00:28] Speaker B: M'As fait tourner la tête, mon. [00:00:30] Speaker A: Amour à moi, c'est toi. Ne manque toujours pas la fête, quand. [00:00:38] Speaker B: Je suis avec toi. [00:00:42] Speaker C: Bienvenue ! [00:00:43] Speaker B: Tout le monde, bienvenue à vous toutes, à vous tous ! J'espère que vous allez bien, j'espère que le week-end s'est bien passé et j'espère que vous vous êtes amusés, que vous avez dit aux gens que vous aimez, que vous les aimez, que vous avez écouté de la bonne musique, que vous avez kiffé les albums qui sont sortis ce vendredi ! Et bien évidemment que vous avez dormi aussi, parce qu'il faut savoir se reposer un petit peu. Dites-nous tout dans le chat, dans le ch'meul pardon, dites-nous tout, n'hésitez surtout pas. [00:01:19] Speaker A: On est bien. [00:01:20] Speaker B: En tout cas voilà, bienvenue, j'espère en tout cas que vous allez bien et on va partager un bon moment encore une fois tous les dimanche soir. [00:01:26] Speaker A: Un bon moment dans une bonne auberge. [00:01:29] Speaker B: Bref, tous les dimanche soir c'est comme ça, à partir de 19h on est en live pour défendre le métal, pour célébrer le métal avec des gens qui aiment le métal. Et je peux vous dire qu'on ne se donne aucune limite justement, il est vrai, on rigole, on est là à léger, on n'a aucune leçon à donner. [00:01:44] Speaker A: Les blagues sont un peu lourdes des fois. [00:01:45] Speaker B: Oui, alors j'ai pas dit qu'on était intelligents. [00:01:48] Speaker A: Mais l'ambiance est légère. [00:01:49] Speaker B: Voilà, on n'est pas là pour se prendre la tête. [00:01:51] Speaker A: Comme les jupes qui volent au vent. [00:01:53] Speaker B: D'un autre temps. Toujours est-il que voilà, si vous avez envie de vous amuser, de vous détendre parce que la semaine va pas tarder à commencer et que vous voulez pas y penser, vous êtes au bon endroit. Ah merde, je viens de le dire, donc du coup ils vont y penser. Bon, c'est foiré. bien sûr. [00:02:08] Speaker A: Après, c'est si on imagine que les gens nous écoutent. [00:02:10] Speaker B: Ah, c'est vrai. [00:02:11] Speaker A: Je crois qu'ils regardent deux cons qui vont comme ça et puis ça leur suffit. [00:02:14] Speaker B: C'est-à-dire, tiens, les deux viocs là, les deux dégueulasses, hein, les dégoulasses. [00:02:18] Speaker A: Ne vous inquiétez pas, tout à l'heure, il y aura de la petite beauté sur le canapé. [00:02:21] Speaker B: Ah, évidemment. [00:02:22] Speaker A: Ça va vous changer des vieux schnock. [00:02:23] Speaker B: Ça va être un choc. Quand ça va être nous, vous allez faire... Ah, ça va mieux. [00:02:27] Speaker A: C'est un peu comme les chats, quand tu leur mets des crevettes, là, ils. [00:02:30] Speaker B: Vont... Ou alors ils vont sauter comme quand c'est des concombres. [00:02:33] Speaker A: Ah ouais, les concombres. [00:02:35] Speaker B: J'adore les concombres. [00:02:36] Speaker A: Non, on ne garde pas des shorts. [00:02:38] Speaker B: On ne fait pas que ça de notre vie. Scroller des chats et des mecs à poil. [00:02:43] Speaker A: J'avoue, je regarde pas trop les mecs à poil. [00:02:48] Speaker B: J'attends que j'aie montré mon Instagram perso. [00:02:51] Speaker A: Non, mais j'ai pas envie. [00:02:52] Speaker B: J'ai pas envie de le voir. Parce qu'il y a quelqu'un qui m'a dit, mais s'ils rajoutent mon compte, j'ai été en extérieur et j'ai appuyé sur la loupe et j'ai fait, hop, je le mettrai plus tard. J'avais chaud, mais j'avais chaud, et il m'a dit, non mais j'ai vu, c'est pas grave, il m'a dit, tu fais ce que tu veux, je m'en fous Pierre, tu sais, tu peux mettre des mecs torse nu, apparemment tu les aimes beaucoup mes clips. [00:03:13] Speaker A: Tu aimes bien la gym, non ? T'es un peu un gym boy, Pierre ! C'est ça ton secret ? En fait, quand je vous dis ça, c'est parce que je me suis mis à la muscule, je me renseigne. Je me renseigne un petit peu. [00:03:28] Speaker B: Ils ont l'air de donner des bons conseils. Ils ont l'air surtout d'être en slip. [00:03:33] Speaker A: C'est un bon conseil, mais ce n'est pas eux. [00:03:35] Speaker B: Je transfère beaucoup, ça évite de tremper mes fringues. J'ai chaud, je vais déboutonner ce premier niveau. [00:03:40] Speaker A: Attention, ça devient caliente ! [00:03:44] Speaker B: Ce soir, ça va être une énorme soirée, parce qu'il y a beaucoup, beaucoup de belles choses qui vont se passer. Notre invité, c'est Mo Obscur, Mo Alexis, qui sera là donc ce soir et qui va nous parler de son métier, de pourquoi elle aime cette musique, pourquoi elle l'a choisi. Et c'est vrai que c'est une personnalité d'internet qui a beaucoup à dire, j'en suis persuadé. Et on se ressemble sur pas mal de points, donc on va pouvoir discuter de toutes ces choses qui font notre vie et peut-être la vôtre aussi. Sinon, bien évidemment, nous allons avoir Gladys qui va venir nous faire les news de la soirée. Et nous allons, nous allons, alors bon, il y a des concerts qui arrivent, il y en a plein, on offre beaucoup de places sur Instagram, notre Instagram, si vous ne savez pas, on offre des places, mais alors à tout va. Ce mois-ci, on en a offert plus de 200 quand même, donc on est quand même dans une performance. [00:04:27] Speaker A: Franchement, si vous ne participez pas, qu'est-ce. [00:04:29] Speaker B: Que vous faites ? [00:04:29] Speaker A: Parce que là, aller à des concerts gratos, c'est quand même cool. Et il y en a aussi sur le Patreon ? [00:04:34] Speaker B: Ah oui, ça il y en a sur le Patreon, il y a toujours des places réservées aux personnes qui payent, ça c'est une certitude et qui nous aident. Parce que vous pouvez vous inscrire sur notre Patreon pour nous aider financièrement et avoir des beaux cadeaux. Vous pouvez également faire un don si vous n'avez pas beaucoup d'argent à partir de 1 euro en appuyant sur le point d'exclamation don. Mais pour en revenir au sujet… C'est que le concert des Rise of the North Star qui a lieu ce samedi est archi-complet ! Le concert à l'Olympia est archi-complet ! Il n'y a plus aucune place en vente ! [00:05:00] Speaker A: C'est fucking sold out, man ! [00:05:02] Speaker B: Yeah, you're right ! Et Ben, nous avons des places à offrir ! [00:05:08] Speaker A: Mais oui ! [00:05:09] Speaker B: Les toutes dernières places ! [00:05:10] Speaker C: Toutes dernières places ! Toutes, toutes dernières places ! Toutes, toutes dernières places ! Toutes, toutes dernières places ! [00:05:19] Speaker B: Et elles sont pour vous, bien évidemment, parce qu'on ne va pas les garder pour nous. Bref, pour gagner ces places, on va vous dire comment faire, mais il va falloir être très très attentif, parce qu'on ne va pas vous le dire maintenant. Non, non, non, on va vous le dire dans très peu de temps, donc ça ne va pas être très compliqué à attendre. [00:05:34] Speaker A: On peut déjà dire qu'il faudra regarder l'émission en entier. L'émission en entier. [00:05:38] Speaker B: Ah bah oui, sinon ça ne sert à rien. [00:05:39] Speaker A: Ça va se cacher. [00:05:41] Speaker B: Il va y avoir des petits secrets. [00:05:42] Speaker A: On n'en dirait pas plus pour le moment. [00:05:43] Speaker B: Ouh là là là là ! Les secret girls ! Les secret boys ! Allô allô ! Allô girl ! [00:05:49] Speaker C: Dis donc t'as vu Steven ? T'as vu Holy Sykes ? [00:05:54] Speaker B: On va en parler tout à l'heure. [00:05:57] Speaker A: J'imagine qu'il y a des news qui arrivent, donc on va forcément parler de l'E6. [00:06:01] Speaker B: Sinon, bien évidemment, on va vous passer toutes les belles nouveautés métal qui sont sorties toutes cette semaine, les sept derniers jours. Et puis, on va parler un petit peu nous, parce que c'est quand même ça aussi qui est intéressant. Moi, j'adore juste auto-centrer les choses sur ma personne. [00:06:14] Speaker A: D'ailleurs, n'oubliez pas, demain soir, le live TikTok avec tous les secrets de Pierre. En plus, là, il y a deux semaines à rattraper. Je peux vous dire que ça va y aller. [00:06:23] Speaker B: Alors, en plus, demain soir, je vais pas à Lady Gaga. J'y vais normalement mardi, mais parce que je veux avoir les copines. Sinon, je vais mettre mon plus beau maquillage comme ça. Et dire que des gens croyaient que. [00:06:42] Speaker A: Michou était mort ! [00:06:43] Speaker B: Les lunettes sont là-bas ! [00:06:45] Speaker A: Il s'est réincarné né ! [00:06:47] Speaker B: Quelle belle soirée ! Bon, qu'est-ce que tu as fait cette semaine, mon petit Ben Bosco ? [00:06:52] Speaker A: J'ai travaillé. [00:06:55] Speaker B: Ah, ça y est, la douleur est revenue ? [00:06:57] Speaker A: Ouais, attends, je réfléchis si j'ai fait un truc lié à la musique. [00:07:01] Speaker B: Je crois que tu as fait que travailler. J'ai pas envie de remuer le couteau. [00:07:04] Speaker A: J'ai eu trois jours de shoot donc j'ai pas... T'étais dans une salle ? J'étais dans une salle de shoot à Stalingrad et franchement l'ambiance, top, top. Franchement les gens se font de la gueule. [00:07:17] Speaker B: Franchement, mais ils se poirent tellement qu'ils vont perdre leurs dents. [00:07:20] Speaker A: Oh non mais attends, moi je savais pas qu'on pouvait avoir autant de fun avec des petits cailloux. [00:07:24] Speaker B: D'ailleurs des fois ils les confondent avec leurs dents. [00:07:27] Speaker A: Souvent ils viennent comme ça, ils font... Tu veux un chat ? [00:07:31] Speaker B: Non, non, j'ai travaillé. [00:07:33] Speaker A: Non, moi, mon événement de la semaine, c'est j'ai écouté le nouvel album de Rise of the North Star. [00:07:39] Speaker B: Ah bah oui, c'est la sortie de la semaine. [00:07:42] Speaker A: Et je pense que c'est un très, très bon album. Je pense que ça décape bien. Je pense que les gens qui avaient des petits doutes avec les titres qui étaient déjà sortis... En fait, ce que je trouve génial, c'est d'avoir réussi à sortir autant de titres avant, et que quand tu découvres l'album, tu te prends encore une méga-torniole. [00:08:04] Speaker B: Alors qu'on connaît les artistes où ils. [00:08:06] Speaker A: Sortent des bons titres, et puis quand l'album sort, ils disent « Mais voyons les gars, si c'était pour nous donner des renures d'ongles, faites-en le paix ! [00:08:13] Speaker B: » C'est vrai que c'est incroyable même d'avoir sorti les morceaux qui ne représentent pas forcément tout l'album. Tu sais, parce qu'il y en a forcément qui ont dit « Ah ouais, ben voilà, un raise, ils ont fait ce morceau-là ». Puis j'écoute l'album, ils me font « Ah bah, je viens bien de me faire tabasser parce que là, ils m'ont bien donné une leçon de vie ». [00:08:34] Speaker A: Ouais, mes chansons préférées n'étaient pas sorties en fait. Après, moi j'aime bien les trucs un. [00:08:39] Speaker B: Peu plus… C'est hyper varié, c'est riche, c'est hyper bien fait, c'est hyper cohérent, c'est solide. Très bon album. [00:08:45] Speaker A: J'espère qu'ils viendront nous voir pour qu'on puisse en parler avec eux. [00:08:49] Speaker B: J'aimais quelques doutes. Je ne sais pas s'ils ont envie de venir ici. Bon sinon, moi je vais raconter ma vie, parce que j'adore raconter ma vie comme je te l'ai dit. [00:08:59] Speaker A: N'oubliez pas d'ailleurs, il y a aussi la matinale, tous les matins, tous les matins du lundi au vendredi, à partir de 8h, Pierre vous raconte sa vie et vous présente des clips avec des groupes qui ne sont pas les bons. [00:09:12] Speaker B: Ça peut arriver. Ça peut arriver. C'est pas le type que j'avais choisi. [00:09:16] Speaker A: Attends, il y a eu aussi un super unboxing vendredi dernier. Unboxing de poire à lavement direct. Et ça je peux vous dire que c'est pas partout sur Twitch que ça se passe. [00:09:24] Speaker B: Encore moins sur la scène rock. Trois d'un coup. Pour mettre des poires à lavement partout. Qu'est-ce qu'il dit Marcel ? Il dit des fois il n'y a pas de son. [00:09:35] Speaker A: 1, 2, 1, 2, tu m'entends ? [00:09:38] Speaker B: Ah, dans la matinale, d'accord. Oui, dans la matinale, c'est déjà arrivé. [00:09:42] Speaker A: Une soirée, une fois, c'est bon. [00:09:44] Speaker B: Les gens ont quand même apprécié. J'ai parlé pendant 20 minutes sans qu'ils m'entendent, mais ils ont tout regardé. [00:09:48] Speaker A: Moi, j'en rêve de ça. Je rêve de ne pas t'entendre. [00:09:52] Speaker B: Ah, c'est bien, tu l'as fait avant moi. Pour ceux qui écoutent le podcast, ils n'ont pas vu ce que j'ai fait, mais je pense qu'ils l'imaginent. Moi, j'ai fait plein de concerts cette semaine. Je n'ai pas arrêté. Pourtant, je n'ai pas de temps, mais j'y suis allé quand même. [00:10:04] Speaker A: Et tu es allé à Strasbourg aussi ? [00:10:05] Speaker B: Ah oui, il y a eu beaucoup de choses. Ce qui m'a mis à un niveau de stress. Ce n'était pas une bonne semaine globalement, mais pourtant, j'ai vécu plein de trucs super bien. Silly Goose, lundi, du côté du .fmr, c'est du rapcore. En gros, c'est des mecs jeunes qui sont inspirés par l'Imbiscuit, mais en étant un peu plus violents. C'était très très très bon et je voulais juste dire aux gens... qui regardent bing bing et qui ont envie de venir dire bonjour, ne restez pas au milieu du pit, à me regarder avec les yeux exorbités, à ne pas bouger. C'est hyper angoissant. [00:10:36] Speaker A: Ah oui, tu m'as raconté. [00:10:37] Speaker B: C'est hyper angoissant. J'étais comme ça, je me disais, mais je ne sais pas, je pense que c'est une personne qui a du mangonette, mais qui n'a pas osé. [00:10:44] Speaker A: Peut-être qu'il se dit, je l'ai déjà vu quelque part. [00:10:46] Speaker B: Ouais, à ce moment-là, la personne peut venir dire, excuse-moi, je t'ai déjà vu quelque part. On se connaît peut-être. [00:10:50] Speaker A: Peut-être qu'il était timide. [00:10:52] Speaker B: Ouais, je ne voulais pas décrire cette personne. Je n'allais même pas me permettre parce que sinon... [00:10:59] Speaker A: En tout cas, n'hésitez pas à venir. [00:11:01] Speaker B: Oui, c'est cool. [00:11:02] Speaker A: Par contre, dites-nous, dès le début, que vous nous connaissez... Enfin, dans mon cas, que vous connaissez de BengBeng. Parce que moi, j'ai l'impression qu'on se connaît et que j'ai oublié votre tête et ça m'arrive souvent. Et du coup, je me sens hyper mal. Donc vous dites, ah, je regarde BengBeng, ça va Ben ? [00:11:17] Speaker B: Et moi, comme je suis un enfoiré, je dis, ah ouais, ça va, comment ça va le boulot ? Non mais on ne se connait pas à part dans le bon mois ! [00:11:23] Speaker A: Eh ben je l'ai perdu et ma femme m'a quitté ! [00:11:25] Speaker B: Bon bref, Silly Goose était très très bon. Salle peu remplie mais c'est vrai qu'il y avait quoi ? Il y avait 90 personnes dans le pont infémire, un peu plus peut-être, ce qui fait assez peu, mais les gens étaient tellement hystériques, mais partout, au fond de la salle, sur les côtés au niveau du bar, au milieu, ça pogotait dans tous les sens, et il y avait tous les âges. C'est assez incroyable d'avoir aussi ce genre de musique, du rapcore, pas totalement sûr que ce soit super à la mode en ce moment, Mais bon, toujours est-il qu'il y avait des gens qui avaient 18 ans et il y avait des gens qui avaient bien 60 passés et tout le monde était ensemble en train de danser, de s'amuser et tout le monde avait un smile de ouf. Même le groupe était très heureux, donc c'était très agréable. Sinon, j'ai vu Jared James Nichols, ça c'était mercredi, c'est du blues alternatif, donc c'est du blues très électrique. C'est un monsieur qui a des bras qui font mon corps. Donc quand j'y arrive, je fais... [00:12:13] Speaker A: Mais est-ce que le corps est la taille de ton corps aussi ? [00:12:16] Speaker B: La taille de mon corps aussi. [00:12:17] Speaker A: Ah ouais, c'est très bizarre. [00:12:18] Speaker B: Mais du coup, c'était un peu... Mais il est hyper sympa, il est hyper gentil. J'ai croisé d'ailleurs aussi beaucoup de bangers qui ont été adorables. Je vous fais des bisous, des bisous. Et on a chanté, ils ont fait du Alice in Chains. Ils ont fait plein d'autres War Pigs aussi. Il y a eu des reprises, il y a eu plein de choses. Comme il n'y a pas eu de première partie, ils ont fait deux concerts. Et le mec est hilarant. Par contre, je lui conseille juste un truc, c'est que bon, il a des cheveux très longs. Il en a beaucoup, beaucoup. Donc je suis un peu jaloux, évidemment. Mais personne ne le sait. Mais du coup, il a mis un peu de lac au-dessus pour pas que ça bouge et pas en bas. Du coup, il a les cheveux qui volent comme ça, comme un ami à moi. Et au-dessus, ça ne bouge pas, c'est collé. [00:12:55] Speaker A: Ça doit être tellement stylé. [00:12:56] Speaker B: Ça fait quelque chose d'étrange. [00:12:57] Speaker A: C'est comme s'il avait un chapeau invisible. [00:12:59] Speaker B: Exactement ! C'est comme s'il avait un bonnet invisible parce que ça collait bien. Mais bon, toujours est-il que c'était très très très bon. Jared, James, Nicole, merci encore une fois à Gérard Drouot Productions. Et puis, le concert évidemment que j'ai adoré, c'était au Bataclan, c'était Enter Shikari, mardi. Enter Shikari, que du bonheur encore une fois. Ah bah il y avait du laser, on s'en va comme d'habitude, mais là je crois qu'ils sont passés au stade super. Je crois qu'ils ne prennent plus d'argent pour eux, ils ont dit on n'a plus besoin de thunes, on va tout mettre dans les lasers. Il y avait des lasers dans tous les sens. C'est-à-dire que d'habitude les plafonds sont hauts, ils mettent les lasers très très haut. [00:13:35] Speaker A: Ça c'est des questions de loi. Parce que les lasers en fait ça peut te rendre aveugle. [00:13:44] Speaker B: Alors justement là ce qui était étrange c'est qu'il y en avait qui partaient dans la foule et je voyais bien qu'il y avait des gens qui appréciaient pas trop. Pendant qu'il y en a d'autres qui tournaient, c'était l'apocalypse ! Ah ben on a bien jumpé, on a bien lancé, j'ai passé un bon moment mon ami ! C'était la dernière date de leur tournée, donc ça veut dire qu'il y a préparation d'un nouvel album et qu'on pourra de nouveau les recevoir. Parce que nous les avons déjà reçus lors du Hellfest, vous pouvez aller sur notre chaîne YouTube. Si vous n'êtes pas encore abonné, vous êtes des méchants ! Point d'exclamation bang dans le ch'meule et vous pourrez donc rejoindre notre page et aller voir l'interview d'Hunter Chicari. Ils sont tellement gentils. Et puis c'est avec ça qu'on va commencer du coup. Ah non, j'ai oublié de dire. Mon dieu, j'ai raconté ça mais j'ai oublié de dire. Je le dis plus tard ou je le dis maintenant ? Passebourg ? [00:14:31] Speaker A: Bon, on racontera ça après le concours. [00:14:32] Speaker B: Allez, on racontera ça après. [00:14:34] Speaker A: On regarde un petit peu pour plus tard. [00:14:36] Speaker B: Eh bien voilà les chéris. Donc c'est parti, j'ai choisi Hunter Chicari, Arguing with Thermometers. Parce que je le dis avec anachronisme. [00:14:46] Speaker A: Allez c'est parti, c'est dans Bang Bang. [00:15:38] Speaker C: C'est le son d'une autre porte qui s'ouvre. Dans la face du progrès, dans la face du progrès, il y a des fleurs dans le ciel. Yeah, yeah, we're all addicted to the. [00:16:06] Speaker B: Most abused and destructive drug of all. [00:16:08] Speaker C: Time And I ain't talking about Class-A, it's that biz... C'est parti pour le tour de l'équipe ! [00:18:35] Speaker B: Jusqu'à la prochaine fois. Bonne course les gars. À demain. [00:19:20] Speaker C: C'est parti ! BANG BANG BANG Et Bébé V alors. [00:22:25] Speaker A: Elle a sorti les ailes celle-là ! [00:22:27] Speaker B: C'est le petit ange ! [00:22:28] Speaker A: Oh ! [00:22:29] Speaker D: Flop flop ! [00:22:30] Speaker B: Il est tombé ! [00:22:33] Speaker A: Ah bah c'était encore un peu coulé ! [00:22:35] Speaker B: Non mais popy, popy, ben voilà popy. Alors on a beaucoup discuté pendant le film. Il y a eu des barres. Il y a eu ce morceau-là, il est meilleur que le précédent. Le précédent n'était pas très bon. Celui-là, bon, est-ce qu'il est bon ? [00:22:46] Speaker A: C'est un peu mieux qu'Unravel. Unravel. [00:22:49] Speaker B: Alors, après, tout dépend des goûts. Il est plus créatif celui-ci, je ne peux pas dire le contraire. Mais moi, le précédent, il était très bateau, très classique, très mou. Mais j'aimais bien, moi, quand même. [00:22:59] Speaker A: Je trouve qu'il n'avait pas de personnalité. Alors déjà celui-là je trouve qu'il n'est pas très personnel, et celui d'avant je trouve qu'il était encore moins personnel. [00:23:06] Speaker B: Et puis le clip était complètement naze en plus. Après voilà, écoute... Moi je me dis qu'elle a peut-être besoin d'un petit peu de fond pour faire ses podcasts. [00:23:18] Speaker A: Je vais te dire pire quelque chose. J'ai pensé à toi quand j'ai écouté ce titre pour la première fois, parce que je me souviens que quand il y a le titre qui est sorti avec Spiritbox et Emilie de Venescence, t'as dit j'ai peur, je revois ce qui s'est passé avec le néo métal au moment où ça devenait un truc machin et que c'était le début de la fin. Et je dois bien admettre que quand j'ai écouté ce titre, il y a des passages que j'ai trouvé cool, mais je me suis dit Est-ce que ça devient pas un peu... Ça se mainstreamise. [00:23:53] Speaker B: Pas... Pas dans le bon sens en plus, ça s'épuise. [00:23:57] Speaker A: Ça reste parce que... On peut dire maintenant que... Enfin, à mon sens, je dis mainstream... Parce que pour moi, en ce moment, dans le metalcore, il y a quand même un truc qui est devenu, enfin, c'est un peu devenu la base du metal actuel. C'est devenu la référence de ce qui se passe. Même si c'est extrême, à mon sens, ça peut être un peu mainstream. Et là, j'ai un peu peur que ce soit ça qui arrive. Donc j'espère qu'elle va quand même réussir à nous surprendre. [00:24:25] Speaker B: N'hésitez pas à en parler dans le ch'meul, et puis en commentaire pour les personnes qui regardent la VOD, et vous pouvez faire des commentaires aussi sur Spotify, en dessous de notre podcast. Juste, je remercie les personnes qui ont pris un abonnement Prime sur notre chaîne Twitch, et si vous avez un abonnement Amazon Prime, vous pouvez nous soutenir financièrement en prenant un abonnement. Voilà, ça ne vous coûte rien, et nous ça nous donne quelques principes de nier. Ça fait un peu de caillasse pour payer le petit, celui qui fait les montages de vidéos. Celui qui n'a pas compris quand j'ai dit « il coûte rien mais il coûte trop ». Bon Ben, il y a un moment où il faut qu'on arrête de parler de ça. Il y a un moment où il. [00:25:05] Speaker A: Faut laisser la parole à des gens qui ont des choses intéressantes à dire. [00:25:07] Speaker B: Des gens qui ont une parole logique, des gens qui ont une parole qui va nous écraser. [00:25:12] Speaker A: Des gens qui ont des hauts un peu transparents. [00:25:17] Speaker B: Ah non, ça je l'ai pas mis au vol. [00:25:18] Speaker A: Ah non, c'est pas toi. Non, c'est parce que Maria, elle te l'a pas rendu. [00:25:21] Speaker B: En plus, là, il la sort du. [00:25:24] Speaker A: Frigo en ce moment. [00:25:25] Speaker B: Ah bah, elle peut voler des bijoux à Oulouvre. [00:25:29] Speaker C: C'EST L'HEURE DU FLASHBACK NEWS ! [00:25:36] Speaker A: Et c'est présenté par l'ultime, la merveilleuse, la seule, l'unique Gladys. [00:25:41] Speaker B: Bravo Gladys ! [00:25:42] Speaker D: Je m'applaudis. [00:25:44] Speaker B: Welcome, welcome. [00:25:45] Speaker D: T'as vu j'ai des petits cœurs, c'est pas complètement transparent. [00:25:48] Speaker A: Y'a des gens ils vont faire des syncopes là. [00:25:52] Speaker D: Tant que les tétons ne se voient pas tout va bien. [00:25:54] Speaker B: C'est limite. [00:25:56] Speaker D: Donc je dis que j'allais pas écarter les bras. [00:25:57] Speaker B: Non mais ça va là, pas les. [00:25:58] Speaker A: Tétons bleus, ils sont pas au bord là. [00:26:01] Speaker B: Ils sont pas au milieu ? [00:26:02] Speaker A: C'est pas fait comme ça. [00:26:03] Speaker D: C'est pour ça que je ne lève pas les bras. [00:26:04] Speaker B: Je ne connais que les hommes, tu sais. [00:26:06] Speaker A: C'est pas fait comme ça une femme, Pierre. [00:26:18] Speaker D: Je précise parce qu'on me le demande jamais à moi. [00:26:21] Speaker A: Plein de concerts toi aussi ? [00:26:23] Speaker D: Je n'ai fait que deux, mais j'ai fait le concert de l'année. [00:26:25] Speaker B: Ah, le concert de l'année. [00:26:27] Speaker D: Non, j'ai fait Currents et The Platinum au Bataclan lundi. [00:26:30] Speaker B: Ah oui c'est vrai. [00:26:31] Speaker D: J'ai tellement fêté cette date que je suis rentrée à 5h du mat' à 4 pattes. Parce que j'étais sous. [00:26:39] Speaker B: Ne postez rien ! Ne postez rien ! Moi je l'avais compris comme ça, mais après bon... Bah moi aussi, mais bon, apparemment... Elle a dit j'ai fait la fête, elle a pas dit j'ai fait la fête du slip. [00:26:47] Speaker D: Et j'ai fait Grace Kelly hier, c'était cool aussi, c'était très très cool. [00:26:50] Speaker A: Grace Kelly ? [00:26:50] Speaker B: Ah, Grace Kelly ! C'était au backstage de Sylvain ? [00:26:53] Speaker D: Tout à fait. [00:26:54] Speaker B: C'était bien ? [00:26:55] Speaker D: C'était très cool, ouais. J'ai bien aimé et j'étais un peu saoul aussi. Bref. [00:26:59] Speaker B: C'est un endroit qui n'aide pas à rester sombre. [00:27:01] Speaker D: J'ai fait que deux dates cette semaine alors que la semaine dernière, par contre, j'avais fait un concert tous les soirs. [00:27:06] Speaker A: Ça, ça fait beaucoup de concert. Vous avez été très sage. [00:27:08] Speaker B: Mais non, mais vous êtes reposé un petit peu. Vous avez extrêmement bonne mine, vous êtes magnifique. Et puis vous avez trois petits chatons qui sont en train de faire des pouchines qui sont accrochés à votre tête. [00:27:18] Speaker D: La semaine dernière, j'avais le béret avec les oreilles de chat, ceci étant dit. Donc tu vois, on a quand même une thématique. [00:27:22] Speaker A: Ah oui, oui. De toute façon, t'es un peu notre petit chat. On le sait. [00:27:27] Speaker D: Sauf que je ronronne pas. Moi, je crache. Je feule. [00:27:32] Speaker B: C'est un bon nom de groupe, ça. [00:27:34] Speaker A: Feule. [00:27:35] Speaker D: Ça n'existe pas ? [00:27:37] Speaker A: Je pense pas. [00:27:38] Speaker B: Je crois que ça existe. [00:27:40] Speaker D: Ça me dit quelque chose. [00:27:41] Speaker B: Moi aussi, ça me dit quelque chose. Bon écoutez, que s'est-il passé cette semaine Gladys ? [00:27:46] Speaker D: Je commence avec Son Gordon et Jim Carrey complètement émus au Rock Hall. Gros moment d'émotion, Jim Carrey a intronisé Soundgarden et a raconté comment Chris Cornell lui avait donné sa télécaster après un live dans les années 90. Il a lâché une phrase magnifique. Il a dit sur scène... J'ai oublié de la noter. J'ai oublié de la noter. Mais c'était une belle phrase. [00:28:09] Speaker B: On va dire qu'il a lâché une sacrée caisse. Comme ça au moins. [00:28:12] Speaker D: C'est l'émotion. Alors je sais pas, j'ai faim. [00:28:14] Speaker A: Il a dit, franchement, j'aime bien, mais j'ai un peu mal au cul. [00:28:19] Speaker D: Non mais tu sais je m'apprête à lire et je fais... J'ai oublié de lire. [00:28:23] Speaker B: Il a été ému, il a dit qu'il était ravi. Je veux dire quand t'as ta rockstar préférée qui t'offre sa guitare et que... [00:28:29] Speaker D: C'était un moment intense en tout cas. [00:28:31] Speaker A: Bah oui, j'imagine bien. [00:28:32] Speaker D: J'ai la moitié de la news. [00:28:35] Speaker B: Ça commence bien ! [00:28:39] Speaker D: Ouais, c'est pas écrit. [00:28:41] Speaker A: Ah ouais, faut la suite de l'article. [00:28:47] Speaker D: C'est pas la phrase. [00:28:48] Speaker B: C'est pas la phrase. [00:28:49] Speaker D: Marcel, oh. [00:28:50] Speaker A: Ça, c'est ce qu'il a... Ça fait partie de ce qu'il a dit, mais c'est pas la phrase que l'on lui a dit. [00:28:57] Speaker B: Alors pour expliquer aux gens, Marcel, on a un écran devant nous, donc Marcel nous met des informations comme ça, et donc on est en train de regarder en même temps. [00:29:04] Speaker D: C'est qu'il est aussi mauvais que moi, donc il a pas trouvé. [00:29:06] Speaker B: L'équipe de bras cassés bienvenue ! [00:29:10] Speaker A: Alors en attendant, moi j'ai cherché et j'ai pas trouvé de groupe qui s'appelle Feul mais j'ai trouvé un groupe qui s'appelle Meule. Ça te concerne aussi mais c'est différent. [00:29:20] Speaker B: C'est vrai que t'aimes bien le fromage ? [00:29:22] Speaker C: Oui. Ah ouais. [00:29:23] Speaker D: Je pensais pas qu'on parlait de cette meule mais ok. [00:29:26] Speaker B: Ecoutez, j'ai essayé d'être un petit peu sain d'esprit pour une fois, ce qui est assez compliqué chez moi. [00:29:30] Speaker A: Elle a l'esprit mal placé celle-là, non ? [00:29:32] Speaker D: Bon, on enchaîne. On a Parkway Drive dont le concert a été annulé à Copenhague. Ils devaient donc jouer, mais leur show a été annulé parce que la salle ne pouvait absolument pas accueillir leur production, surtout les flammes et les effets pyrotechniques. Impossible de faire le show dans de bonnes conditions, donc ça a sauté. Et déjà, ça tacle sur les réseaux. Il y a des phrases du genre « Faites de la musique, pas des feux d'artifice » qui plopent un peu partout. Le débat groupe moderne vs groupe à l'enseigne est reparti de pubelles. [00:29:59] Speaker B: Donc en fait il y a des vieux qui se sont excités quoi. [00:30:02] Speaker D: C'est toujours les mêmes qui râlent j'ai envie de te dire. [00:30:05] Speaker B: Non mais c'est pas prévu à l'avance ça. [00:30:08] Speaker A: Justement t'as une fiche technique. [00:30:10] Speaker B: C'est ça où on peut les tacler les mecs. [00:30:14] Speaker A: Normalement tu présentes, elle a une fiche technique avec tout ce qu'il y a dans ton show et tu regardes que la salle où tu programmes le truc ça passe quoi. [00:30:24] Speaker B: La salle doit te répondre à qui c'est validé. [00:30:27] Speaker D: Peut-être que l'assistant prod a pas fait son job. [00:30:29] Speaker C: Peut-être. [00:30:30] Speaker D: Il va peut-être se faire virer. [00:30:31] Speaker B: Il y en a un qui va prendre cher. [00:30:32] Speaker A: Il y avait... Alors après il y a des groupes qui... Il y a Rammstein, la première fois qu'ils ont joué à Paris, donc c'était à la Loco. Et ils avaient pas demandé l'autorisation. Il a tiré au lance-flamme dans la Loco. Vraiment entre deux projos. Et après ils ont été interdits de concert à Paris pendant un moment. [00:30:49] Speaker B: Oui, c'est vrai, je me souviens de cette histoire. [00:30:50] Speaker A: Parce que... Je parle de ça, c'était dans les années 90. C'était début 90. [00:30:57] Speaker B: Tout début. Bon, bah écoute, c'est dommage surtout pour les fans, parce que tu payes ta place, t'es surexcité, puis tu te... Et. [00:31:03] Speaker D: Puis gros seum, quoi. Et puis y'a pas que la place, j'imagine bien les gens qui prennent le train... [00:31:09] Speaker A: Le train, l'hôtel... [00:31:10] Speaker D: Le seum, quoi. [00:31:12] Speaker A: Après, ça donne l'occasion de visiter Copenhague, quoi. [00:31:15] Speaker B: Copenhagen, ah, y'a... C'est pas allemand, mais ils ont été envahis à un moment ou à un autre par les allemands, non ? [00:31:20] Speaker A: Oh, sûrement ! [00:31:22] Speaker B: Une autre news, peut-être ? [00:31:24] Speaker D: Ensuite, on a aussi Limp Bizkit qui a annulé son concert. [00:31:27] Speaker B: Comment ça ? [00:31:28] Speaker D: Cette semaine ? [00:31:28] Speaker B: Ouais, parce qu'il est mort. [00:31:29] Speaker D: Ils ont donné comme raison lieu pas sécurisé. Donc pas assez safe pour accueillir tout le monde, matos pas garanti. Bref, Fred Dost a préféré annuler plutôt que de risquer un accident. Pas d'annonce de report pour le moment. [00:31:42] Speaker A: C'est qui qui joue la base, du coup ? [00:31:45] Speaker B: Attends, kikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikikik Non mais, par contre, non mais la question en fait, bon alors il est peut-être un peu en ce moment fragile aussi mentalement, il a quand même perdu un ami donc je peux imaginer que ça puisse aussi être une excuse. [00:32:19] Speaker A: Un ami et un collègue de bureau. [00:32:21] Speaker B: Oui voilà. Mais par contre, là où je me dis que c'est fou, c'est que rien n'a été annulé de l'Imbiscit et toute la tournée 2026 s'est annoncée, ils ont quand même... Je suppose qu'il s'y attendait, que malheureusement il ait quitté cette planète. Mais tu sais, c'est quelque chose d'épatant. A la fois c'est fort, à la fois c'est choquant. Je sais pas trop où on se situe mon émotion dans cette histoire. [00:32:43] Speaker D: Après c'est peut-être une manière de rendre... [00:32:46] Speaker B: Non mais c'est bien qu'il continue. [00:32:47] Speaker A: Tu sais, c'est comme... J'aime bien les films de Noël. Et j'aime bien les petites... Il y a un truc qui arrive souvent dans les films, c'est que la femme elle sait qu'elle va mourir et elle veut essayer de trouver sa remplaçante parce qu'elle veut que son conjoint puisse reconstruire sa vie, elle veut pas que... [00:33:10] Speaker D: Si j'arrivais de la vie je ferais. [00:33:11] Speaker B: Ça moi, je la laisserais crever dans son chagrin. [00:33:13] Speaker A: Mais bien sûr, on sait bien que t'es comme ça toi. [00:33:14] Speaker D: Il a plutôt intérêt à chialer jusqu'à la fin de ses journées. [00:33:16] Speaker A: Ah bien sûr, bien sûr. Il feule. Bon bref, je me dis peut-être que c'est un peu ce qu'il voulait… Peut-être ? [00:33:26] Speaker B: Qu'on lui crache à la gueule ? [00:33:27] Speaker C: Mais non ! [00:33:28] Speaker B: Moi je mélange tout ! [00:33:30] Speaker A: C'est toi qui veux qu'on lui crache à la gueule ! [00:33:32] Speaker B: Moi j'aime bien ça dans la bouche mais après ça c'est un autre sujet. [00:33:37] Speaker A: T'as qu'à ouvrir la bouche et puis tu fais une feinte ! Tu fais comme ça ! [00:33:41] Speaker B: Déjà que quand je tiens la barre du métro, après je me lèche les doigts. [00:33:46] Speaker A: Déjà tu ne lèches pas la barre directement, c'est un progrès par rapport à quand je t'ai rencontré. [00:33:52] Speaker B: Mais oui, je suis un peu partagé, n'hésitez pas à en parler d'ailleurs aussi en commentaire. [00:33:57] Speaker A: Et si vous savez qui devait remplacer ou quoi ? [00:33:58] Speaker B: Oui aussi d'ailleurs. Parce que cette personne a quand même... [00:34:02] Speaker A: J'ai l'impression qu'il y a des gens qui sont choqués. [00:34:05] Speaker B: De quoi ? [00:34:05] Speaker A: Bah de ce qu'on dit apparemment, c'est bizarre. [00:34:07] Speaker C: Ah bon ? [00:34:07] Speaker B: Bon j'ai une vie à moi. Bon, news suivante ! [00:34:12] Speaker D: Alors, autre annulation. [00:34:14] Speaker B: Ah ! Non mais toi t'as, elle est contente en plus, elle se marre. Genre c'est l'enfer de la vie. [00:34:20] Speaker D: Non mais celle-là, elle est presque mignonne. Emile is a sniffer. Je le dis bien ou pas ? [00:34:26] Speaker A: Sniffers. [00:34:27] Speaker D: Show annulé, donc leur concert gratuit en plein air a été annulé parce que l'endroit n'était pas sécurisé du tout, des passages entre les barrières où les gens pouvaient passer, risque de chute, etc. Mais eux, ils ont réagi comme des patrons, ils ont mis 5000 dollars dans plusieurs bars du coin pour dire aux fans « allez boire un verre pour nous ». [00:34:45] Speaker B: On a 5 000 dollars ! On a 5 000 dollars ! [00:34:48] Speaker D: Au moins ils ont essayé, c'était un concert gratuit, ils leur ont donné de la thune pour qu'ils boivent des coups. [00:34:52] Speaker A: Je trouve ça cool. [00:34:53] Speaker B: Bon, alors après l'alcool c'est mauvais pour la santé. Non mais on dit pas que les gens doivent pas en boire, ils font ce qu'ils veulent. [00:34:59] Speaker D: Avec modération, pas comme moi quoi. [00:35:02] Speaker A: Après, moi je dirais juste un truc, je dirais Nine Inch Nails, quand ils ont fait leur concert à Bercy, ils passaient au milieu de la foule, ils traversaient la foule, il n'y avait pas de barrière, il n'y avait rien, ils ont pas nullé le concert. [00:35:13] Speaker D: C'est tout ! C'est tout ! Apparemment, de ce que j'ai compris, c'était dangereux pour les fans. [00:35:20] Speaker B: Toujours est-il que ça fera 5000 euros en moins dans leur nez, quoi. [00:35:23] Speaker D: Dans tous les bars du coin. Pas que dans un bar, ils ont mis 5000 balles dans tous les bars. [00:35:27] Speaker B: Je lui ai dit un truc, 5000 euros dans plusieurs bars, ça fait pas grand-chose. [00:35:30] Speaker A: 5000 en tout, je pense. Ils ont pas mis 5000 barbares. [00:35:33] Speaker B: Non, c'est 5000... Attends, ils sont pas. [00:35:35] Speaker A: Si riches que ça, quand même. [00:35:36] Speaker B: Ça fait 40 euros par bar. Les mecs, j'arrive, je voudrais la pâte gratos ! C'était une liste positive et vous l'avez. [00:35:44] Speaker D: Complètement retournée encore ! [00:35:46] Speaker A: Bah oui mais tu parles, il y a trois connards qui sont arrivés, bonjour on est des moscomules ! Il y en a 16 balles par tête ! Bah voilà ! [00:35:52] Speaker B: Allez ! C'est ça ! Bah moi je voudrais ce qui coûte le plus cher s'il vous plaît ! [00:35:59] Speaker D: Bah du coup je vais quand même choisir un clip de Emile... Amil ! [00:36:02] Speaker A: Amil and the Sniffers ! [00:36:04] Speaker D: Voilà, qui s'appelle Big Dreams. [00:36:06] Speaker A: Big Dreams are made of this ! [00:36:10] Speaker D: C'est pas la rêve que j'avais en tête. [00:36:12] Speaker B: C'est parce qu'elle a plein de rêves. On regarde donc ce petit climat. C'est parti à Milano Sniffers. [00:36:32] Speaker C: You got them big dreams You wanna get out of here You're sick of being stuck In the apartment You're strapped for cash and Well you don't know where to start It isn't easy with the price of living But oh, I know It's coming round again Another birthday and another year Hey, when you get down Ooh, you're a lit one Never been a dumb one Always been a big star Hey, when you get down Ooh, you're a lit one Always been a big star Never been a dumb one It isn't easy when the town's full of broken hearts Can you be holding on any tighter? Just take a breath and get out of this place I know you can just get yourself together Oh, I know it's coming round again Another birthday and another night Oh, je sais, c'est reparti de nouveau Prends juste un bref respire et réunis-toi, je t'en prie Hey, quand tu descends, oh, tu es le premier, toujours un grand star, jamais un seul Hey, quand tu descends, tu es le premier, toujours un grand star, Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Normalement. [00:39:36] Speaker D: Quand y'a. [00:39:36] Speaker A: Plus de musique c'est fini. [00:39:37] Speaker B: A mille de Sniffers à l'instant en clip donc dans Bang Bang. C'est comme ça tous les dimanche soir à partir de 19h. C'est le meilleur du métal et de l'alternative rock. On est là pour célébrer, rigoler, se détendre et surtout apprendre. Les gens ont dit cette émission nous apprend des choses. Par exemple parler assez mal français. [00:39:57] Speaker A: Et donc on va corriger ce qu'on a dit, donc c'est bien 5 000 dollars australiens par barre, donc ça fait 20 000 euros. [00:40:06] Speaker D: Donc j'avais bien raison. [00:40:07] Speaker A: 35 000 dollars australiens, c'est 5 barres. [00:40:08] Speaker B: Oui bah ça va, t'avais raison, t'avais raison, tu veux une médaille ? [00:40:10] Speaker A: 7 barres. Non j'ai toujours raison. [00:40:13] Speaker D: C'est la satisfaction de me dire que de toute manière j'ai toujours raison. [00:40:16] Speaker A: Et alors là du coup la citation tu l'as cherchée pendant... Ça, ça n'a pas été corrigé, ça ! Mais en gros, à Mylène Sniffers, ils ont donné leur cachet en... [00:40:31] Speaker B: Voilà. En fête. [00:40:34] Speaker A: En fête. [00:40:34] Speaker B: Et juste, on se marre aussi, parce que dans le ch'meul, il y a les gens qui votent pour dire c'est hangar ou c'est forêt, c'est ça ? Maintenant, c'est le désert. Et c'était le désert, ils ont quand même cherché des arbres au fond du désert pour emmener des putains d'arbres. Mais tu as gagné Gladys, tu as gagné. [00:40:50] Speaker D: Ils n'ont pas pu voter grâce à moi. Je vais les faire chier, j'ai réussi. [00:40:53] Speaker A: Prenez les paris pour le prochain clip. [00:41:00] Speaker B: Qu'est-ce qui s'est passé d'autre ? [00:41:01] Speaker D: Alors on a un chef d'hôtel viré pour avoir pris une photo avec Axel Rose. Histoire improbable, un chef d'hôtel a été carrément viré après avoir demandé une photo à Axel Rose. La direction a considéré ça comme un comportement non professionnel. Le mec avait juste demandé un selfie gentiment et bam licencié. [00:41:17] Speaker B: Il a pas remarqué que c'était Bénil ? Ah bah non, il est mort. [00:41:23] Speaker D: Du coup, la Community Rock est en train de se liguer pour dénoncer la décision et c'est quand même une histoire complètement disproportionnée. [00:41:32] Speaker B: Attends, mais Axel Rose, il a accepté de faire cette photo ? [00:41:35] Speaker D: Bah oui. [00:41:36] Speaker A: C'est le boss. [00:41:37] Speaker B: Le pauvre, il a réussi à faire un selfie avec le mec qui est le plus détestable du monde en règle générale. [00:41:44] Speaker A: Il y a Dave Mustaine. [00:41:46] Speaker B: C'est vrai qu'il y a David Moutarde. On m'en a raconté des bonnes d'ailleurs ce David Moutarde. [00:41:49] Speaker A: On verra ça plus tard. [00:41:50] Speaker D: Peut-être qu'Axel Ross s'en est plein après en disant « Ah putain, il m'a demandé de faire un selfie ». [00:41:53] Speaker B: C'est ce que j'imaginais tu vois. Il aurait fait chier direct. Il n'a pas trop de classe Axel Ross. [00:42:00] Speaker A: Il n'a pas besoin d'accepter pour faire plaisir Axel Ross. [00:42:02] Speaker D: Il était sympa et en plus... D'ailleurs. [00:42:05] Speaker A: Dans la même veine, j'ai vu un post de Milky Way, la chanteuse bassiste de Wargasm UK. Il y a quelqu'un qui est venu pendant le concert, donc elle était en jupe. en mini-jupe. Et y'a un mec de la sécurité qui a fait une photo sous sa jupe. [00:42:36] Speaker B: Un mec de la sécu ? Ouais. [00:42:38] Speaker A: Et du coup, les deux mecs se sont fait virer. Y'a deux mecs qui ont fait ça. Les deux mecs se sont fait virer. Et elle a dit, bande de cons, en plus, je porte un short en dessous. [00:42:46] Speaker D: Y'a quelqu'un dans la cheveule qui a mis la situation. [00:42:49] Speaker B: Alors, merci. [00:42:50] Speaker D: Mais c'est en anglais, donc je te laisse faire. [00:42:51] Speaker B: Alors là, c'est tellement loin que là, c'est béton, quoi. [00:42:55] Speaker A: Marcel, si tu peux arrêter de... [00:42:59] Speaker B: Alors qu'est-ce qu'il a raconté, Jim Carrey ? [00:43:02] Speaker A: Il disait le peut-être, non ? [00:43:05] Speaker D: Moi c'était pas aussi long la citation que j'avais. [00:43:07] Speaker A: Moi c'était juste une phrase. [00:43:15] Speaker B: Le moment de podcast le plus intéressant. [00:43:19] Speaker A: Il descend encore ? Ah bah non c'est tout. Ah bah en fait il a rien dit. [00:43:23] Speaker B: Non mais il était content, il a. [00:43:24] Speaker A: Eu une dédicace, il a eu une guitare. [00:43:27] Speaker B: Il a eu les zizis tout durs. En plus je sais pas si vous. [00:43:32] Speaker D: Avez déjà vu mais Jim Carrey il grolle vachement bien en plus. [00:43:35] Speaker A: C'est vrai, c'est vrai. [00:43:36] Speaker B: Je déteste Jim Carrey. [00:43:38] Speaker D: C'est vrai ? Pourquoi ? [00:43:38] Speaker B: Bah je sais pas. [00:43:39] Speaker A: C'est jaloux, il est jaloux. Non mais de toute façon, à chaque fois qu'on parle d'un nouveau comédien, il le déteste. [00:43:44] Speaker B: Un nouveau comédien ? Nicolas Cage ! [00:43:46] Speaker A: Non mais Nicolas Cage ! Ah bah en fait je le déteste ! Keanu Reeves ! Ah bah en fait je le déteste ! [00:43:50] Speaker B: Ah non Keanu Reeves, je l'aime bien Keanu Reeves. [00:43:52] Speaker D: Bah oui, tu peux pas détester Keanu Reeves. [00:43:52] Speaker A: Y'a que French BBC que t'aimes bien. French BBC, Paradise 10 inch, ceux-là tu les aimes bien. [00:44:00] Speaker B: Excusez-moi, j'aime voir les choses en grand. [00:44:03] Speaker A: Bah au cinéma ? [00:44:04] Speaker B: Bah j'aime bien aussi le cinéma. [00:44:05] Speaker A: Ah bah oui. [00:44:06] Speaker B: J'aime les films de gladiateurs. [00:44:08] Speaker D: T'as vu la série Spartacus ? [00:44:11] Speaker B: Non, je déteste en fait les trucs de gladiateurs et j'aime pas les... [00:44:14] Speaker A: Il aime que les corps huilés. [00:44:15] Speaker D: Mais pourtant, il y en a du corps huilé dans Spartacus. [00:44:17] Speaker A: Bah oui, mais il aime pas la violence. [00:44:18] Speaker B: Regarde la joie et le bonheur que tu lis, genre... [00:44:22] Speaker A: Je peux te dire qu'il n'y a jamais eu de meilleure note en histoire de la Rome antique que quand il y a eu la série Spartacus. Toutes les meufs ont adoré. [00:44:32] Speaker D: C'est que de la bagarre et du cul, c'est absolument génial. [00:44:35] Speaker A: Comme Rome. [00:44:37] Speaker D: Vraiment, je t'invite à la regarder, ça a bien vieilli. [00:44:39] Speaker B: Je pense que ce n'était pas vraiment aussi glam à l'époque, mais bon, après il faut imaginer, c'est tout. [00:44:46] Speaker A: Une news suivante peut-être ? [00:44:47] Speaker B: L'huile, ça coûtait cher, ok. [00:44:50] Speaker D: Ensuite, on a une news. [00:44:51] Speaker A: Ou de l'huile d'argan, c'est meilleur pour la peau. [00:44:53] Speaker B: C'était l'huile d'argan évidemment, ça sent meilleur. [00:44:56] Speaker D: Ensuite, on a une guitare utilisée par Metallica, mise aux enchères. Une guitare jouée par Metallica à l'époque du Black Album va être mise aux enchères. C'est une ESP noire utilisée lors de plusieurs shows et elle pourrait partir très très chère. Les enchères risquent d'exploser, surtout avec les collectionnaires. hardcore du groupe, autant vous dire que ça va pas finir à 500 balles. [00:45:27] Speaker B: Mais non, j'avais regardé les partitions des Beatles pour l'album blanc, le White Album, c'est ça ? [00:45:36] Speaker A: Bah sûrement, ouais. Ça n'a pas le rapport avec le Black Album de Metallica. [00:45:40] Speaker B: Non, mais figure-toi que c'était parti pour pas grand-chose. Pas grand-chose, quelques centaines de milliers de dollars, ce qui est beaucoup. [00:45:46] Speaker A: Mais c'est des bouts de papier ! [00:45:47] Speaker B: Bah c'est quand même des partitions. [00:45:48] Speaker A: Mais là, c'est une guitare ! [00:45:50] Speaker B: Ouais, bah encore eux qui n'ont pas offert les baguettes, ça aurait été cool. Ça aurait été parti pour 5 dollars. [00:45:53] Speaker A: Des baguettes, il y en a plein. [00:45:55] Speaker B: Pour manger ? [00:45:56] Speaker D: Bon en tout cas ça va partir très très cher et j'ai hâte de savoir à combien et qui. [00:46:01] Speaker A: Et savoir si tu veux avoir une... [00:46:03] Speaker D: Si je peux m'en faire un pote parce que s'il a l'argent pour dépenser pour ça c'est qu'il a de l'argent tout court. [00:46:08] Speaker B: D'ailleurs t'as un bisou de Evan, c'est lui qui va acheter la guitare avec son gain à l'euro million. On en parle tout à l'heure. [00:46:14] Speaker D: Il a gagné ou ? [00:46:16] Speaker B: Bah je te dirai ça tout à l'heure. [00:46:19] Speaker D: Je compte sur toi Evan. J'en ai marre, faut que je sorte de la pauvreté. Ensuite, on a Sharon Osbourne qui relance le clash contre l'ex-manager de Black Sabbath. Sharon a accusé l'ancien manager du groupe d'avoir trahi, arnaqué et mal géré Black Sabbath à l'époque. Le manager a répondu en mode « c'est faux, Sharon invente, je comprends même pas ce qu'elle raconte ». Bref, encore un chapitre dont la rivalité vieille de plusieurs décennies. [00:46:48] Speaker A: Par contre, ils comprenaient quand Osbourne y parlait ou pas ? Parce que dans le genre... Vous avez. [00:46:55] Speaker B: Déjà entendu Jeanne Calment quand elle parlait ? Jeanne... Non... Enfoiré. C'est à son âme. [00:47:03] Speaker A: D'ailleurs, tu sais que c'était sûrement une... Une erreur ? Non, une fausse... Oui, j'ai lu ça, mais... [00:47:10] Speaker C: Une fausse quoi ? [00:47:10] Speaker A: En fait, Jeanne Calment n'aura pas eu vraiment cet âge. [00:47:13] Speaker D: C'est vrai ? [00:47:13] Speaker A: C'est trop naïf, moi. C'est sa petite sœur qui s'est fait passer pour elle. Un peu comme Brigitte mais ça on peut pas en parler. [00:47:23] Speaker D: La chaîne elle va sauter à cause de tes conneries là, putain tu fais chier. [00:47:27] Speaker B: À cause de Jeanne ? Jeanne ! [00:47:31] Speaker A: Complotiste. [00:47:33] Speaker B: Bon allez, qu'est-ce qu'il y a d'autre ? Pour terminer Sharon Osbourne, je pense que dans la tristesse elle pète aussi les plombs. Enfin ça fait combien d'années qu'elle pète les plombs ? Depuis bien longtemps. [00:47:45] Speaker D: Tous les ans elle nous ressort le drama. [00:47:46] Speaker B: Elle veut des sous. [00:47:47] Speaker D: Elle en aura pas je pense. [00:47:49] Speaker A: Elle aura pas du tout donné aux bonnes actions. [00:47:53] Speaker B: On croit que tout n'est pas parti aux bonnes actions non plus. [00:47:55] Speaker A: Oh tiens, des accusations. [00:47:57] Speaker B: Mais j'ai des preuves. [00:47:59] Speaker A: Tu as des tickets de caisse ? [00:48:01] Speaker B: Tout à fait. Elle a acheté trois baguettes à la sortie. [00:48:06] Speaker A: Je suis passé devant, elle m'a pas dit bonjour. [00:48:12] Speaker B: Alors c'est une histoire, ouais. Bon, continue s'il te plaît. [00:48:15] Speaker D: Dernière news qui n'a rien à voir avec le métal mais qui a à voir avec la musique et les concerts. Une étude dit que les concerts font plus d'effets que le sexe. Selon une nouvelle étude, beaucoup de gens trouvent un concert plus satisfaisant qu'un rapport sexuel. Ça libère plus de dopamine, plus d'émotion, plus de connexion. Et honnêtement, quand tu te prends un breakdown en pleine face, c'est vrai que ça détend. Et ça se défend du coup. [00:48:36] Speaker A: Ouais, après j'ai envie de dire, ça dépend un peu. Après faut peut-être mieux choisir ses partenaires. Je pense qu'il y a quand même un truc où... Bah non mais je suis désolé quand c'est bien, c'est bien. [00:48:44] Speaker D: Est-ce que c'est le choix des partenaires qui a rematraqué en question ou est-ce que c'est la performance des partenaires ? [00:48:49] Speaker B: T'As dit quoi Pardon, J'ai entendu matraque. [00:48:51] Speaker A: Si tu choisis un partenaire avec qui t'es pas compatible, Si tu en choisis. [00:48:58] Speaker D: Mille parce qu'en fait tu les essayes tous. Si tu les choisis mieux c'est que. [00:49:01] Speaker A: Tu prends pas le temps de créer une connexion aussi. [00:49:04] Speaker D: Si tu les essayes tous deux trois fois. Demande à Pierre. [00:49:09] Speaker B: Non alors c'est vrai qu'il y en a qui font mal. [00:49:11] Speaker A: Pierre il a pas compris qu'il fallait trouver où était l'interrupteur. Lui il se dit si je mets un truc énorme et ben ça touchera forcément l'interrupteur. [00:49:20] Speaker B: Alors ça marche. J'ai la preuve, ça marche ! Je l'ai en vidéo, vous voulez la voir ? [00:49:27] Speaker A: Non mais attends, tu m'as bien dit que des fois, les doigts étaient moins grands, mais que l'interrupteur était quand même touché. Oui bien sûr, bien sûr. Voilà, voilà. [00:49:36] Speaker B: Non mais ça c'est pas, en vrai de vrai, c'est pas une histoire de taille. C'est juste qu'au moins il a pas d'effort à faire s'il y a la taille. C'est juste ça. [00:49:42] Speaker A: Non mais c'est pas, oui. [00:49:43] Speaker B: Je sais ce que tu veux dire. [00:49:44] Speaker A: Mais... Ça marche pas toujours comme ça. [00:49:47] Speaker B: Non mais c'est... [00:49:48] Speaker D: Je pense qu'il y a une différence entre les relations hétéro et... Oui, c'est. [00:49:53] Speaker A: Pour ça que je dis, ça marche pas toujours comme ça. [00:49:55] Speaker D: Il y a une différence dans le plaisir féminin. [00:49:57] Speaker B: C'est que nous on est des cochons. [00:49:58] Speaker D: Dans le plaisir féminin, qui est quand même secondaire. [00:50:01] Speaker B: Il faut l'activer le truc qui est. [00:50:03] Speaker C: Au fond du fion. [00:50:04] Speaker B: Il est bien caché ! [00:50:06] Speaker D: C'est une réalité que le plaisir féminin est secondaire dans les rapports hétéros. [00:50:10] Speaker B: Non mais évidemment, mais ce que je veux dire c'est que dans cette étude-là de dire que le concert c'est mieux que le sexe, alors déjà comment comparer les deux ? C'est quand même pas le même principe et de deux, je pense qu'en 2025, il y a peut-être beaucoup de frustrés. [00:50:24] Speaker D: Oui, oui. [00:50:25] Speaker A: Je pense que c'est ça. [00:50:28] Speaker D: Ceci étant dit, si je me base sur mon expérience personnelle, il y a certains concerts qui étaient bien meilleurs que beaucoup de parties de jambes en l'air. [00:50:33] Speaker B: Allez, vas-y, vas-y. Pourquoi ? Parce qu'il y avait Olympique sur scène et que t'avais la zouzette qui faisait... Est-ce qu'il y a beaucoup de concerts. [00:50:40] Speaker A: Qui étaient mieux que des bonnes parties de jambes en l'air ? Beaucoup mieux que des très bonnes parties ! [00:50:48] Speaker D: J'ai pas eu de très bonnes, donc. [00:50:49] Speaker A: Comme ça c'est... Ah bah voilà, c'est ça le problème ! Ah bah voilà ! Bah écoutez, si... Voilà ! [00:50:54] Speaker B: Si vous voulez vous dévouer, envoyez donc un mail ! [00:50:57] Speaker A: Je crois que c'est un appel ! C'est un appel qu'elle fait dans cette émission ! [00:51:01] Speaker B: Non non, demande des mecs super bien gaulés avec des énormes secs, je prendrai le relais. Je me mettrai juste derrière un trou. Tu mets une perruque blonde... Ouais, coucou c'est moi ! [00:51:10] Speaker A: Elle te prête le petit haut transparent, personne ne verra la différence entre vous deux. [00:51:14] Speaker D: Bon du coup j'ai décidé de balancer la chanson live que je qualifie de mille fois meilleure que n'importe quel parfaitiste jambon l'air et j'ai choisi un live de Bring Me The Horizon et j'ai pris Doomed. [00:51:24] Speaker A: C'est pas celle-là que t'as déjà passée ? [00:51:27] Speaker B: Non, cette version-là, on l'a pas passée. [00:51:28] Speaker A: Parce qu'on a déjà passé une chanson de ce concert. [00:51:31] Speaker D: Ouais, mais c'était pas Doomed. [00:51:32] Speaker B: Toutes nous voulaient faire. Ben, je te regarde vraiment avec mon air le plus homme. Pourquoi tu me poses la question ? Elle va nous passer tous les morceaux de Bring Me. [00:51:41] Speaker A: En semaine sur deux, y'a Bring Me. [00:51:42] Speaker D: Depuis que je fais l'émission, j'ai passé que trois fois du Bring Me. [00:51:46] Speaker B: Tu veux te battre ? [00:51:47] Speaker A: Dans mon oreillette, il y a quelqu'un qui a touché ! [00:51:51] Speaker D: On va aller vérifier, vous allez voir que... [00:51:53] Speaker A: Je vais vérifier, ça va vite être réglé. [00:51:55] Speaker D: Vas-y, vérifie déjà maintenant. [00:51:56] Speaker A: Commence ! Ça va aller vite, il n'y en. [00:51:58] Speaker D: A que 3 à trouver. [00:51:59] Speaker A: Attends, il me dit dans mon oreillette ? Non, il y en a eu plus. [00:52:01] Speaker D: Non, t'es faux. [00:52:03] Speaker B: Si, non, si, non, si, non, toc toc, 10 fois plus que toi. [00:52:05] Speaker D: Ça c'est le 3ème, ça c'est le 3ème. [00:52:08] Speaker B: Mais bon, on s'en fout, de toute façon, on va encore passer 1 000. Eh oh les enfants, on va se calmer 2 secondes ! Bon, on va passer le morceau. [00:52:14] Speaker E: Tu es si dur ! [00:52:17] Speaker B: Daddy ! Bon, écoutez, on va regarder ça pendant les clips, même si on s'en fout royalement. Je vous rappelle que votre invitée va arriver dans très peu de temps. Bon, et notre invitée, elle y a de ce que dire et justement, elle tranchera sur ce question de nombre de clips. [00:52:36] Speaker D: Elle a envie de se sauver, je la vois depuis tout à l'heure. [00:52:38] Speaker B: Je vous rappelle aussi que ce soir, nous vous offrons les toutes dernières places. Elles sont ici pour aller voir Rise of the North Star à l'Olympia. C'est complet, on en a pour vous. Et on n'en a pas qu'une. On n'en a pas que deux, on en a quand même quelques-unes, vous allez voir. Donc il faut rester attentif, on va tout vous expliquer dans un très court instant. Et puis on va regarder ce Bring Me The Horizon. On te retrouve demain en VOD sur notre chaîne YouTube. Vous allez pouvoir tout rattraper et faire vos commentaires justement sur tout ce qu'elle dit. [00:53:03] Speaker A: Tu restes avec nous pour l'émission ? [00:53:04] Speaker D: Oui, je reste. C'était pas prévu mais vas-y. [00:53:08] Speaker B: Juste pour vous faire chier. Bon merci infiniment Gladys, c'était très bien. [00:53:13] Speaker D: Avec plaisir. [00:53:45] Speaker C: Musique d'ambiance ... C'est parti ! [00:56:47] Speaker D: T'as le mot. [00:57:18] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org oh. [00:57:59] Speaker D: Non. [00:58:23] Speaker C: Je pensais que j'allais mourir, mais je l'ai jamais fait J'ai hâte de lire une putain de chanson, mais je pense que j'aime bien Et tu sais que j'ai hâte de lire une chanson, mais je pense que j'aime bien Chantez ! Donc venez sur mon paradis Parce que j'ai envie de le ressentir Venez me tirer au ciel C'est parti ! C'est génial ! Je n'ai plus peur de l'enfer Je n'ai plus peur de l'enfer C'est parti ! [01:04:12] Speaker B: Voilà l'événement bien sûr de cette année 2025, vous le savez, on attendait ça depuis si longtemps, la sortie du nouvel album de Rise of the North Star, ça y est c'est chose faite, vous pouvez vous en délecter, vous régaler, il est excellentissime, il n'y a rien à jeter en plus, il est plein de surprises, on est happés, on est emportés et on aime les Rise of the North Star, bravo, vraiment un énorme bravo à eux pour cet album qui est incroyablement bon, et je ne dis pas ça parce qu'on les connaît mais c'est juste sincère, parce qu'on est surpris à chaque fois qu'une chanson commence. Ah bah oui, d'accord ! Et c'est vrai, je dois bien l'avouer, quand on a écouté ensemble, je me suis dit, comment ils vont faire ? Parce que le niveau est quand même déjà très bon et il y avait déjà plein d'idées qui avaient été dispatchées. Et je me suis dit, mais comment ils vont faire pour réussir à faire quelque chose d'encore meilleur et qui soit vraiment nourrissant pour le monde entier ? Celui-là, je pense que là, ils ont bien signé. Et en plus, il y a des surprises de ouf ! [01:05:12] Speaker A: Moi, ce que je trouve intéressant, c'est de réussir à évoluer tout en restant fidèle à eux-mêmes. C'est un truc que beaucoup de groupes ont un peu de mal à se trouver une identité et réussir à la garder. Et eux, en fait, il y a ce truc où tu entends une chanson de Rise, tu sais que c'est Rise. Même les chansons où il y a des feats et tout ça, je trouve qu'ils arrivent à bien garder leur identité. Et je trouve aussi qu'il y a un truc qui est intéressant, c'est que ça a évolué dans les paroles, dans la manière d'aborder les sujets aussi. Oui, oui, tout à fait. Ce n'est pas que ça va plus loin, c'est que c'est différemment, c'est peut-être un peu plus cash. [01:05:57] Speaker B: Moi j'ai l'impression que ça y est, ils sont à l'aise, ça s'assume. [01:06:01] Speaker A: Ah bah là, le groupe se libère de plus en plus et je pense que c'est une très bonne chose. [01:06:07] Speaker B: Ils sortent de leurs cris alides, oh le beau papillon ! [01:06:11] Speaker A: Et je pense que le meilleur moyen de se rendre compte, c'est d'aller les voir en live. [01:06:14] Speaker B: Ah ce concert qui va avoir lieu du côté de l'Olympia, ce sera samedi un Olympia archi rempli, ras-la-gueule. Et oui, plus aucune place de disponible, sauf Bien évidemment, sur Restless, ici même, vous allez pouvoir repartir avec vos places. Mais alors, comme il n'en reste quand même pas beaucoup, on n'en a pas 25 000, ça c'est sûr. De toute façon, la salle ne fait pas 25 000 places. Mais on en a quelques-unes. On en a quelques-unes et on peut faire quand même pas mal d'heureux et d'heureuses. Alors, il y a plusieurs moyens de gagner. Je vais d'abord commencer par la plus simple, c'est de participer sur notre Instagram. Il suffit de reposter, etc. De jouer comme à l'habitude. On fait plein de jeux, il suffit de lire comment faire et c'est simple. Par contre, il n'y en a pas beaucoup. [01:06:55] Speaker A: C'est la plus simple, mais c'est aussi là où il y aura le plus de gens qui vont participer. [01:06:59] Speaker B: Ah bah oui, évidemment. [01:07:00] Speaker A: Vous avez peu à faire, mais il y a beaucoup de gens qui jouent. [01:07:03] Speaker B: Et c'est là où il y a le moins de place. [01:07:05] Speaker A: Par contre, il y a une autre technique. [01:07:07] Speaker B: Et oui, l'autre technique, c'est ici même dans cette émission, dans Bang Bang, la seule émission métal et alternative rock de ce putain de Twitch en vidéo tous les dimanche soir. Et je ne sais pas trop, on va distiller des petits mots. Trois, on va dire trois. [01:07:25] Speaker A: Trois ou quatre. On dira à la fin s'il y en a eu trois ou quatre. Il va falloir écouter, on va en parler clairement, on ne va pas balancer un mot comme ça, on va en parler clairement et il faudra à la fin nous envoyer par mail la liste des trois ou quatre mots qu'on aura dit pendant l'émission et puis après on fera un tirage de sort parmi ceux qui auront les bons mots. [01:07:47] Speaker B: Bien évidemment. [01:07:47] Speaker A: Et je pense que pour le premier mot, il faut qu'on demande à quelqu'un d'innocent De choisir. [01:07:54] Speaker B: Déjà, tout de suite, maintenant ? [01:07:55] Speaker A: Bah oui, elle peut choisir en premier mot. [01:07:56] Speaker B: C'est vrai, au moins les gens sont là pour jouer. [01:07:59] Speaker A: J'en veux que la déesse gladisse ! [01:08:02] Speaker B: Attention, attention ! Elle était tranquillement installée. [01:08:09] Speaker D: J'avais des petits restes là sur le téléphone. [01:08:11] Speaker B: Petit bing bing. Ben oui c'était marqué bing bing de chaque côté. Excuse-moi je regarde pas parce que ça m'impressionne. [01:08:20] Speaker D: Faut que je choisisse un mot du coup. [01:08:21] Speaker B: Ah bah oui un mot. Le mot du jeu Rise of the North Star. C'est le premier mot. [01:08:26] Speaker D: T'as un rapport avec Rise of the North Star ? [01:08:27] Speaker A: Si tu veux, si tu veux. Si tu veux dire Tétouns, c'est Tétouns. [01:08:31] Speaker C: Concombre. [01:08:32] Speaker A: Concombre. [01:08:33] Speaker B: Concombre, ok. Je vais noter parce que soit concombre, je vais oublier moi. [01:08:37] Speaker D: Pourquoi je ne sais pas. [01:08:39] Speaker B: Ça va avec Totote alors. [01:08:43] Speaker A: C'est le pendant. [01:08:45] Speaker D: J'aurais pu dire meule, en effet. [01:08:47] Speaker B: C'est Concombre, on s'arrête là dessus. C'est Concombre, le premier mot. Notez déjà l'adresse mail à laquelle il va falloir participer, comme ça au moins vous êtes au taquet, vous êtes prêts. C'est pierre-restless.com. Pierre-restless.com. Il faudra m'envoyer uniquement les quatre mots, quand vous aurez les quatre, pas maintenant. Voilà, calm down, vous gardez le mot concombre dans un coin et dès qu'on dira, attention, mot Rise of the North Star, on donnera le mot et on passera sur autre chose. Donc il faut rester concentré tout simplement. Qu'est-ce qu'il y a Marcel ? Il est encore en train de nous écrire des trucs. Ah oui, c'est uniquement pour le direct, effectivement. Si vous êtes en train de regarder la VOD et que vous êtes en train d'écouter le podcast, ça ne marche pas, qu'il faut être là en direct. Voilà, ça sera déjà gagné. [01:09:32] Speaker A: Puisque de toute façon, le concert sera demain. [01:09:35] Speaker B: Oui, c'est vrai. [01:09:36] Speaker A: Donc, on n'aura pas le temps. [01:09:38] Speaker B: C'est vrai, c'est vrai. Non, mais voilà, c'est que pour ceux qui sont en live Twitch. Et il y a dans le futur plus de place à gagner uniquement en live. Donc, il faut être là pour le direct. Ça va de soi. C'est toujours plus amusant. [01:09:49] Speaker A: Je vais te laisser préparer ton téléphone et je vais annoncer ce qu'on va regarder. Chaque semaine, tous les headbangers peuvent proposer des titres sur le Patreon, et tous les gens du Patreon peuvent voter pour choisir ce titre. [01:10:07] Speaker B: Tout à fait, les gens qui sont inscrits sur le Patreon au niveau Headbangers. [01:10:12] Speaker A: Ils peuvent proposer, mais tout le monde peut voter, non ? [01:10:14] Speaker B: Oui, en gros, c'est un jeu qui est fait pour pouvoir proposer, se remémorer de bons clips, partager des moments intéressants. C'est là aussi pour... Ou même de petites découvertes, peut-être ? Là, en l'occurrence, il y en a une. Il y a eu trois participants cette fois-ci, trois headbangers qu'on remercie infiniment de nous soutenir financièrement parce que vous savez, c'est très compliqué. Marseille coûte de l'argent et là où on est, ça coûte de l'argent aussi. Donc tout ça, c'est à payer. Donc n'hésitez pas à nous soutenir en nous rejoignant sur Patreon ! Et ces trois headbangers, c'est Sushi Heist ! Merci Sushi Ice, il y a aussi Petit Punk qu'on applaudit bien évidemment. Et il y a Kevin Parent, c'est quand même trois personnes qui sont extrêmement bien impliquées dans la communauté Restless. Les Bangers, merci à vous. Et donc ils ont proposé des clips assez variés. J'étais parti sur une victoire de Sushi Ice parce que généralement elle gagne et qu'elle a proposé du Whitechapel. Donc je me suis dit c'est quand même un gros gros groupe. Mais je suis au regret de vous annoncer que ce n'est pas Sushi Ice qui a gagné, mais c'est Petit Punk qui remporte cette victoire dans ce challenge, dans cette battle. [01:11:17] Speaker A: C'est une de ses premières victoires, Petit Punk ? [01:11:18] Speaker B: C'est la deuxième, il me semble. Je suis contente pour lui, mais j'ai. [01:11:23] Speaker D: Le seum de ne pas avoir avoué qu'il appelle. [01:11:24] Speaker A: Peut-être la prochaine fois, tu sais. [01:11:26] Speaker B: Peut-être que si il a choisi, il te plaira. [01:11:28] Speaker D: Peut-être aussi. [01:11:29] Speaker B: Parce qu'il a choisi un titre d'un groupe qui s'appelle War on Betty. Et le titre s'appelle Bump. Alors personnellement, je ne le connaissais absolument pas. [01:11:38] Speaker A: J'ai cherché, c'est un groupe de Los Angeles. [01:11:41] Speaker B: Comme tous les groupes. [01:11:43] Speaker A: Et euh… il va sûrement en parler. [01:11:46] Speaker B: Et donc, ceux qui gagnent bien évidemment laissent un message qui fait moins d'une minute, enfin une minute maximum, pour pouvoir expliquer, parce que vous avez la parole, c'est ça aussi qui est intéressant, c'est un petit peu le moment de gloire. Et pas de ma gloire, c'est pas la même personne. Bonjour les p'tits clous, c'est PewDiePun qui vous parle, donc cette semaine je vous ai choisi Le groupe américain Warren Beatty avec le morceau Bump, c'est un nouveau groupe qui vient de sortir un EP, 4 titres. Le groupe est surtout formé par deux membres, Ned Navarro qui joue dans Cobra Starship et surtout Ketan Remwe qui joue dans Pilons of You. Vous allez voir ce clip vidéo, c'est un clip vidéo assez sensuel. Avec plein d'amour, de bimzoude, vous allez voir c'est le lit tout plein, ça dure une minute 44. Musicalement, ils ont une drôle de définition, si quelqu'un peut m'expliquer, ils font du trailer par disco métal. Sur ce, je vous aime, je vous dis à bientôt, je vous embrasse, je vous dis MOTHERFUCKER ! Et une dernière petite chose, est-ce bien normal, vu mon âge, d'écouter ce genre de musique ? [01:12:55] Speaker D: Bye bye ! [01:12:58] Speaker A: Merci Petit Punk ! [01:13:01] Speaker B: Petit Punk est une personne qui nous suit depuis le début de l'aventure SLS et bien avant et qui est une personne extrêmement gentille, merveilleuse et qui a une culture musicale qui est sans limite étant donné qu'il a un petit peu plus d'années que nous et qu'il a vu tous les groupes mythiques. On n'est pas loin d'avoir qu'il ait vu Elvis. [01:13:22] Speaker A: Bah il va nous le dire ! [01:13:23] Speaker B: Oui bah je l'ai vu ! Mais s'il dit oui, franchement j'hallucine, mais non. Mais il a vu tous les groupes punk qu'on aime et c'est vrai qu'il a des goûts hyper variés. C'est une personne qui est très curieuse et bravo, Petit Punk, bravo, merci. Merci d'exister Petit Punk. [01:13:38] Speaker A: Merci beaucoup de ta participation et de ton soutien depuis ces nombreuses années. [01:13:40] Speaker B: Oh que oui. Eh bien, on va lancer ce petit morceau là ? [01:13:45] Speaker A: Moi j'ai adoré, j'ai écouté un petit peu, j'ai trouvé ça trop bien. [01:13:47] Speaker B: Ah bah je ne m'attendais pas à ça ! [01:13:48] Speaker A: Je suis très content de l'avoir découvert. [01:13:51] Speaker B: J'ai hâte d'entendre. Et dans un instant, Mo, notre invité, arrive ici même sur le canapé ! [01:15:09] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! C'est parti ! J'espère que vous souffrez ! C'est génial! [01:20:18] Speaker A: C'est bon, on va pas faire une fin pendant 107 ans là ! [01:20:22] Speaker B: Mais attends, c'était So Glamour ! [01:20:24] Speaker A: Ça c'est un groupe qui a quand même beaucoup écouté Avenged Sevenfold, non ? [01:20:29] Speaker B: Ouais, et puis aussi Bullet For My Valentine et plein de choses comme ça. En même temps, c'est un groupe qui a disparu pendant 13 ans. [01:20:34] Speaker A: Ah oui, mais par contre, apparemment, ils n'ont pas écouté ce qui s'est fait depuis. [01:20:38] Speaker B: Ouais, mais leur retour a l'air de bien marcher quand même. C'est déjà le troisième ou quatrième single, je ne sais plus trop. Mais toujours est-il qu'il y a un album qui sort en 2026 qui s'appelle Vengeance. Et c'est le retour de Glamour of the Kill. Mais j'ai pas trop envie d'en parler tout de suite. [01:20:54] Speaker A: C'est le glamour de la mort. [01:20:54] Speaker B: J'ai pas trop envie d'en parler tout de suite parce qu'on aime avoir les avis des gens. Et là, c'est l'heure de la célébration. C'est l'heure de la gueule. Ça va cingler. C'est l'heure de dire bienvenue à Maud ! [01:21:13] Speaker E: C'est bon ? [01:21:14] Speaker A: T'en veux encore un peu ou pas ? [01:21:17] Speaker C: OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII. [01:21:42] Speaker A: Et même avec tout ce que t'as mis dans ton cul ? [01:21:44] Speaker B: Alors ça, c'est peut-être ça qui a entretenu le coup. [01:21:47] Speaker A: Ça contrebalance entre les deux. [01:21:49] Speaker B: On a vérifié les conduits, tout fonctionne. Bienvenue Mo, merci d'avoir accepté notre invitation, merci d'être là. Parce que tu es quand même une figure des internets comme disent les gens jeunes. C'est pas faux. Non mais c'est cool parce qu'on a déjà discuté ensemble, on a échangé, on a plein de points communs, plein de différents soucis forcément, mais ce qui est certain c'est qu'en dehors du fait d'être anxieux tous les deux... On aime bien parler et on aime aussi dire ce qu'on aime. Et puis tu es une artiste quelque part. J'ai fait exprès dans ma présentation... [01:22:31] Speaker E: Je t'en remercie. [01:22:33] Speaker B: De dire bien évidemment que tu étais entre guillemets influenceuse, mais c'est parce que c'est un mot qui est utilisé un peu dans tous les sens. [01:22:40] Speaker E: J'ai pas de problème avec ce terme. [01:22:41] Speaker B: Mais on va apprendre à te connaître. D'abord, juste les filles, comme vous avez toutes les deux fort caractère. Ce petit glamour de qui ? [01:22:53] Speaker D: Pourquoi ? Pourquoi ils sont revenus ? [01:22:57] Speaker A: 13 ans, j'ai 13 ans. [01:23:01] Speaker B: Ils ont fait d'autres choses entre temps, mais pas sous ce nom-là. [01:23:04] Speaker E: Je comprends pas le choix. [01:23:07] Speaker B: Mais même tout ce style-là, Bullet for my Valentine, c'est pas un truc qu'ils aiment bien. [01:23:12] Speaker E: Mais là, c'est vraiment la version Wish. Voilà, exactement. [01:23:16] Speaker A: Tu vois, ce groupe ne marchera pas chez les moins de 25 ans. [01:23:18] Speaker C: Après. [01:23:20] Speaker B: Gladys, son cœur, il a 10 ans de plus qu'elle et puis il a déjà 70 ans. [01:23:23] Speaker A: Bah t'es boule, tu verras bien qu'elle est jeune. [01:23:26] Speaker D: Ouais, t'as vu, la gravité n'a pas d'emprise sur moi. [01:23:29] Speaker B: Alors, je peux te dire que chez moi, oui. Par contre, je ne peux pas mettre de transparence pour qu'on puisse voir ça, ça ne serait pas très... [01:23:37] Speaker A: Les balloches qui tombent. [01:23:38] Speaker B: Blou blou blou blou. Blou blou blou blou. Bref, désolé. Tu nous connais un petit peu, tu sais qu'on est un peu potache et qu'on est vieux et qu'on a des... [01:23:46] Speaker A: Potache, c'est une soupe qu'on fait en Allemagne. [01:23:49] Speaker B: Bref. Désolé. Est-ce que pour les gens qui ne te connaissent pas, qui sont des habitués de bang bang, est-ce que tu peux... présenter, dire un peu ce que tu fais. Alors c'est très multiple, je sais, mais tu as tout le temps que tu veux. Et no stress, tu dis comme tu veux, tu expliques comme tu veux. [01:24:06] Speaker E: Alors, je suis principalement dans l'univers de la mode parce que mon métier principal de base, c'est modèle alternatif dans mannequins. Et à côté de ça, je suis vidéaste spécialisé dans les musiques alternatives slash metal. Plus toute la palette d'artistes, de trucs artistiques que je fais. [01:24:28] Speaker B: Oui, parce que sur ton profil, c'est écrit donc alt pro modèle, ce que tu viens de dire. Videographeur, donc ça aussi, tu vas nous en parler parce que c'est vrai que moi, je connais peut-être très mal cette partie-là. Fashion, music, art. C'est parce que, si j'ai bien compris, tu aimes bien toucher à tout ce qui est artistique et créatif. [01:24:50] Speaker E: Exact. [01:24:51] Speaker B: C'est depuis toujours ce petit côté créatif ? [01:24:53] Speaker E: Toute famille. [01:24:54] Speaker B: Ah d'accord, on va en parler justement, tu connais le principe de l'émission aussi, c'est de revenir, désolé sur le passé, et puis pourquoi aujourd'hui tu en es là. Tu es notre invitée la plus jeune, on était en train d'en parler tout à l'heure. Non mais merci, c'est cool. Tu sais quoi, pour nous c'est vraiment un honneur de ouf, dans le sens où on a tellement cette impression qu'on ne peut pas être apprécié par les jeunes, que du coup... [01:25:20] Speaker A: C'est pas parce qu'elle est là qu'elle nous apprécie. [01:25:23] Speaker D: C'est ça, elle fait un effort au côtoir. [01:25:27] Speaker B: C'est pas faux, pardon, je me suis peut-être un peu enflammé. [01:25:31] Speaker D: Quand on lui a dit qu'il y avait à bouffer gratos. [01:25:34] Speaker E: Il y avait du saucisson, moi je suis là. Elle a vu de la lumière. [01:25:37] Speaker A: Ça marchait sur Gladys remarquablement. [01:25:39] Speaker B: Ça parle saucisson mais... Non, c'était pas le même quoi. [01:25:43] Speaker A: Quand on t'a dit qu'il y avait Holy Sex. [01:25:45] Speaker B: Bon bref... Vous êtes horribles. [01:25:50] Speaker D: Vous êtes horribles. [01:25:52] Speaker B: Mais non mais... Comme lui. [01:25:53] Speaker D: Ah tu veux que je démissionne en fait ? [01:25:57] Speaker B: Alors t'es pas payé donc ce serait dommage. Juste au moment où j'allais commencer à te donner de l'argent. Bon d'accord je rêve. [01:26:08] Speaker D: Je suis vénale, je m'en suis jamais cachée. [01:26:11] Speaker B: Bah non mais t'as raison, quand on travaille, tout travail mérite salaire, ça je peux pas dire le contraire. Bon on va revenir quand même à toi parce que là depuis tout à l'heure on dit des conneries mais depuis on ne parle pas de toi. Donc tu fais tout ça, tu as... je peux dire ton âge ? [01:26:23] Speaker E: Oui, il y a pas de soucis. [01:26:24] Speaker B: 22 ans si je me souviens bien. Moi j'ai une mémoire de merde donc... [01:26:28] Speaker E: Lâche. [01:26:29] Speaker B: Donc on sait ce que tu fais dans la vie. Avant de rentrer dans un milieu alternatif et d'apprécier le milieu alternatif musical, Qu'est-ce que tu écoutais et quel âge avais-tu avant cette rencontre ? [01:26:44] Speaker A: Quand est-ce que ça est arrivé ? [01:26:46] Speaker E: En vrai, j'ai toujours été bercée de base avec mon papa, comme beaucoup, avec la CDC, l'Aiden, etc. Beaucoup de chakaplonk aussi. [01:26:55] Speaker B: Je sens le reproche. Pourquoi tu m'as fait ça ? [01:27:00] Speaker E: Mais à côté de ça, j'ai toujours été quelqu'un d'assez éclectique, donc j'ai pas forcément une date précise dans laquelle je suis rentrée dans ce milieu. [01:27:08] Speaker A: Du coup, c'était un peu dès le début, quoi. [01:27:10] Speaker E: Les détails d'emploi directement. [01:27:12] Speaker B: Ton père mettait le son très fort et du coup, ça envoyait des décibels. C'était habitué. On dit souvent que les enfants passent quand même par une phase où ils rejettent un peu la musique de leurs parents. Toi, ça n'a pas été le cas ? [01:27:24] Speaker E: Non, du tout. [01:27:26] Speaker B: T'as le droit de pas répondre à mes questions s'il y a eu cette entente culturelle avec ton père ? [01:27:32] Speaker E: On est tous à peu près des artistes donc oui. [01:27:35] Speaker C: Okkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkk. [01:27:44] Speaker B: Oui, c'est pas très grave. [01:27:46] Speaker E: Il est là à la retraite et ma mère, elle, elle est beaucoup plus dans l'artistique. Elle a fait du tatouage, de la peinture, etc. Ah oui, d'accord. [01:27:54] Speaker B: OK, OK, OK. [01:27:55] Speaker A: Ça trafique quoi. [01:27:56] Speaker B: Oui, non, mais c'est trop bien. En vérité, c'est cool d'avoir aussi cette ouverture dès le début. [01:28:02] Speaker E: C'est ça. [01:28:02] Speaker B: Possibilité de découvrir les choses avant les autres. Parce que moi, c'est pas quand on est tout jeune, généralement, qu'on découvre le monde du tatouage ou des choses comme ça. Il faut attendre un petit peu. Mais c'est vrai que quand je regarde aussi ton style, on parle de métal, mais quand je regarde ton style, j'ai l'impression aussi qu'il y a beaucoup d'électro, en tout cas de ce qu'on avait eu à l'époque dans l'électro, de tout ce qui est cyber. [01:28:26] Speaker E: J'adore l'électro, mais violent moi. [01:28:28] Speaker B: Il n'y a pas eu ça n'a rien pioché là-dedans ? [01:28:33] Speaker E: Non, en vrai, j'ai toujours vraiment eu un style bizarre. J'ai pas eu un déclic de me dire, vas-y, j'arrête de faire le mouton et je m'habille en gottes. J'ai vraiment été toujours chelou. [01:28:45] Speaker B: C'est intéressant. Donc tu n'as pas de date précise de virage sur la musique, quoi que tu n'écoutes pas totalement ce que tes parents écoutent. [01:28:54] Speaker A: Après, il y a bien un moment où tu as commencé à écouter des trucs à toi. [01:28:58] Speaker E: Oui. [01:28:59] Speaker A: Voilà, c'est un peu ça peut-être le. [01:29:00] Speaker B: Début de ton identité à toi. [01:29:03] Speaker A: Maiden c'est bien, mais j'aime bien quand ça charcle un peu plus. [01:29:06] Speaker E: Bah en vrai ouais, 14-15 ans je pense. J'ai commencé à écouter Bullet, Swad, les classiques quoi, Slipknot, etc. Et après, maintenant j'écoute du Knuckles. Donc plus ça va, plus ça rentre dans la violence. Mais voilà. [01:29:24] Speaker B: Excuse-moi, je vais poser une question vraiment de vieux. [01:29:28] Speaker E: Mais vas-y ! [01:29:29] Speaker B: T'étais déjà en décalage avec les autres depuis toujours ? [01:29:33] Speaker C: Oui. [01:29:34] Speaker B: Non mais parce que c'est toujours cette intrigue de l'école quand t'es au collège. [01:29:39] Speaker E: J'ai arrêté les cours dans le cursus classique parce que justement il y avait ce fameux décalage. [01:29:48] Speaker B: Je pose des questions encore une fois, mais tu peux t'arrêter. C'est juste que tu n'étais pas à l'aise avec les gens ? Tu ne te sentais pas à ta place ? [01:29:56] Speaker E: Il y a de ça aussi, mais je trouve que l'école c'est une perte de temps pour les gens qui sont artistes. Ce n'est pas fait pour les gens qui ont beaucoup de choses dans la tête et qui ont besoin de créer et rester assis pendant huit heures. Pour moi, ce n'était pas possible. Et plus le fait que forcément étant donné que j'étais un peu en avance sur mon âge au niveau du ciboulot et de mon style, ça passait pas quoi. [01:30:23] Speaker B: Parce que les enfants sont cruels ! [01:30:25] Speaker E: Mais les collèges, c'est le pire. [01:30:28] Speaker A: Dès que ça ressemble pas. Et en plus, ce qui est horrible, c'est de... Tu pourrais te dire... Tu vois, quand il y a quelqu'un qui est un peu plus malin que toi, tu pourrais juste fermer ta gueule et dire « Ah merde, je suis une merde par rapport ». Et en fait, non, le truc, c'est un peu de rabaisser les gens qui sont différents, sans chercher à comprendre pourquoi ou dans quelle mesure. En fait, c'est de la merde, quoi. Enfin, de... Je ne parle pas de moi. [01:30:54] Speaker B: Je ne suis pas une merde. [01:30:55] Speaker E: Il t'a regardé en disant ça. [01:30:57] Speaker B: Merci, sympa. [01:30:59] Speaker D: Je ne me suis jamais sentie comme une merde. [01:31:01] Speaker A: Bah donc ! [01:31:02] Speaker B: Je peux te dire que si tu compares ça, je me suis senti comme une merde bien longtemps. Et puis je pense encore aujourd'hui. [01:31:07] Speaker A: Je croyais que tu étais un creep, un weirdo. Je ne sais pas trop comment on. [01:31:11] Speaker B: Peut définir ça, mais tu te détestes en fait. T'arrives à vivre avec toi-même, c'est pas le problème. Tu peux faire certaines tentatives, imaginer que c'est mieux de disparaître, etc. [01:31:22] Speaker A: On vous le déconseille, hein, bien sûr. [01:31:25] Speaker B: Ça ne va pas, il y a. [01:31:27] Speaker A: Des numéros, vous pouvez parler à des gens. [01:31:29] Speaker B: Et puis vous verrez qu'ici, on parle beaucoup de ça parce que justement, on donne l'envie de continuer parce que finalement, tout le reste est cool et parce qu'on arrive à faire des choses qu'on aime bien et on rencontre des gens qui sont bien. C'est aussi le principe du métal. [01:31:40] Speaker A: Regardez la preuve, on est encore là. [01:31:43] Speaker B: Mais c'est vrai que le collège, c'est toujours un peu difficile. Déjà, tu ne te sentais pas à ta place en termes de cursus classique, en termes de cours, d'attention. Les profs sont inintéressants, mais en plus, s'il y a la violence des autres élèves, c'est quand même très désagréable. [01:31:57] Speaker E: Ce serait un beau combo. [01:31:59] Speaker B: T'en parles comme ça et je trouve que t'es assez forte parce que t'as l'air de t'être libérée. C'est un choix que t'as dit à tes parents ? S'il vous plaît, j'aimerais juste être à la maison et pouvoir créer. [01:32:10] Speaker E: C'était surtout une question de survie, je t'avoue, pour revenir au sujet d'avant. Donc j'ai fait l'école à la maison. [01:32:15] Speaker B: Ok d'accord. Donc ouais il y avait des gros gros gros cons. Ok d'accord. C'est une solution. [01:32:21] Speaker E: Ouais mais moi je suis trop gentille en fait. Je sais pas dire non tu vois. [01:32:24] Speaker B: C'est une solution donc pour les parents aussi qui se posent cette question, qui savent plus comment faire aussi. Voilà, très bien. C'est important de le dire, le CNED ouais. C'est facile d'accéder, en général il suffit de se renseigner un tout petit peu sur internet. [01:32:37] Speaker A: Du coup tes parents ils ont vite accepté ça ? [01:32:42] Speaker E: Il y avait pas le choix quoi. [01:32:45] Speaker A: Est-ce que la scolarisation est obligatoire jusqu'à 16 ans au moins en France ? [01:32:49] Speaker C: Oui. [01:32:50] Speaker B: Et du coup ça se passe comment d'ailleurs ? Parce que je ne sais pas comment ça se passe. [01:32:53] Speaker A: Tu reçois les trucs par correspondance ? [01:32:54] Speaker B: Et les parents ils doivent t'aider non ? [01:32:56] Speaker E: Non, moi je le faisais toute seule. En fait tu reçois les... T'as des. [01:32:58] Speaker A: Manuels et puis... T'as les manuels tous. [01:33:00] Speaker E: Les trois mois à peu près qui t'arrivent en énorme colis. Et tu fais les cours avec des professeurs à distance, t'as des devoirs à envoyer etc. Après oui tu peux avoir un représentant légal avec toi mais c'est pas obligatoire. [01:33:13] Speaker B: Oui mais il y a des profs quand même à distance qu'il y a avec qui tu parles. [01:33:16] Speaker E: Il y a des contrôles aussi pour savoir si tu travailles bien aussi, histoire d'eux, parce que si on se plaît pas quoi ! [01:33:23] Speaker B: Evidemment ! Alors moi je n'ai jamais vu arriver les colis avec tout le truc, je me suis fait oh po po po po ! [01:33:27] Speaker E: Ah ouais mais t'inquiète pas c'était ça tous les septembre, je voyais les 3 kilos là de trucs, je me disais. [01:33:31] Speaker B: Je veux pas ! Bon après des fois on est fait pour l'école, des fois on n'est pas fait pour l'école, c'est une chose. Il ne faut pas s'en inquiéter en tout cas. Donc t'as fait ça, t'as fait ça jusqu'à 16 ans, t'as été un peu plus loin ? [01:33:45] Speaker E: Je ne suis clairement pas quelqu'un qui est fait pour étudier le cadre. Ça m'ennuie. [01:33:54] Speaker B: Du coup, à partir de 16 ans, quand t'as pu te débarrasser de ça, c'est bon, j'ai fait. [01:33:59] Speaker E: Légalement, oui, j'ai arrêté l'école à 16 ans. Mais après je suis partie dans une pause pour ma santé mentale et après j'ai fait une formation dans l'art photographique. [01:34:12] Speaker B: Très bien ! [01:34:13] Speaker E: D'où mes connaissances dans la vidéo, etc. [01:34:16] Speaker B: T'as fait ça à quel âge ? [01:34:18] Speaker C: J'avais 18 ans. [01:34:19] Speaker B: 18 ans ouais, c'est une décision, tu t'es dit ça me plaît la photo. [01:34:21] Speaker E: Ouais, puis c'était aussi à distance, c'était via l'EDA, donc c'était comme le CNED, parce qu'il était hors de question pour moi de me remettre le cul sur une chaise. [01:34:28] Speaker B: Bah oui, j'imagine bien. [01:34:31] Speaker A: Bien que quand on est un peu plus grand, les gens peuvent être un peu plus... [01:34:34] Speaker E: C'est même pas tant la méchanceté, c'est juste que vraiment, être enfermé dans une classe, ça me saoule. Vraiment. [01:34:39] Speaker B: Il y a assez à être enfermé dans la classe. Je sais pas comment c'était, mais moi, quand c'était la rentrée, c'était toujours horrible. J'avais trop peur des gens que j'allais rencontrer dans la classe. Et devoir faire connaissance, c'est quand même... [01:34:51] Speaker E: Les interactions sociales, c'est quelque chose. [01:34:53] Speaker D: Moi, j'étais l'un des télos de service qui s'angoissait de savoir si j'allais avoir des bons profs ou pas. [01:34:58] Speaker E: On n'a pas les mêmes problèmes. [01:35:01] Speaker D: Les autres élèves vraiment mais j'en avais tellement rien à foutre que de me faire des potes ou pas parce que j'avais plein de potes à l'extérieur et du coup pour moi l'école c'était vas-y je vais apprendre plein de trucs ça va être trop cool, je parle à personne je m'en fous. [01:35:11] Speaker B: Ah ouais punaise, moi j'étais vraiment je m'en fous quoi. Moi je voulais sortir le plus vite, faire le guignol parce que c'est le seul moyen d'exister. [01:35:18] Speaker A: Finalement ça n'a pas tant changé. [01:35:21] Speaker B: Mais je parle toujours aussi bien français ! [01:35:23] Speaker D: Les récrés au lycée, je traînais avec les pions en fait. [01:35:26] Speaker E: Idem. [01:35:27] Speaker D: Je traînais avec les pions, c'était mes potes. On fumait des joints derrière la... Ah bah bravo ! [01:35:31] Speaker E: Ah bah c'était d'une autre époque ! [01:35:32] Speaker B: C'est pardon, c'est quoi ? [01:35:33] Speaker D: On fumait des joints derrière... Ah là. [01:35:35] Speaker B: Là, mais c'est pas bien ça ! [01:35:36] Speaker E: Il ne faut pas consommer de substances illicites. [01:35:38] Speaker D: Non mais ils étaient vachement cools et je les croisais en concert sans arrêt. Donc c'était devenu des potes au final, tu vois. Donc mes seuls potes au lycée c'était les pions mais c'était cool. Parce que personne ne me faisait chier du coup. Aïe. [01:35:48] Speaker E: Ok. [01:35:50] Speaker D: Ça a pas été un bon plan. [01:35:51] Speaker B: Ça a pas été un bon plan. On cherche toujours des solutions pour se protéger. [01:35:54] Speaker A: Après on peut déconseiller de fumer de la drogue avant un certain âge parce que c'est pas très bon pour le développement du cerveau. [01:36:01] Speaker D: Après on a essayé de me faire chier deux trois fois mais j'ai mis des droites et après ça allait. [01:36:05] Speaker B: Alors il y a d'autres solutions. La violence ne résout rien. [01:36:11] Speaker D: On est obligé de mettre des warnings. [01:36:13] Speaker B: Sur tout ce qu'elle dit, c'est relou. [01:36:15] Speaker D: Je ne dis pas que je suis un exemple, je dis juste que du coup moi je l'ai mieux vécu. [01:36:18] Speaker B: C'était elle la boulie. [01:36:23] Speaker D: Ah non, je n'ai jamais tapé personne gratos. [01:36:27] Speaker B: Mais oui, alors ce truc de photo, c'est quoi qui t'a donné envie ? À quel moment ça s'est passé ? Il y a eu un artiste ? Quelque chose que tu as vu ? [01:36:36] Speaker E: En fait, à la base, je suis une danseuse pré-professionnelle, sauf que je me suis blessée. Et ma deuxième passion, quand j'étais plus jeune, c'était la photo. Du coup, j'ai décalé. [01:36:45] Speaker A: Tu t'es rabattue sur l'autre... [01:36:46] Speaker E: Exact. [01:36:47] Speaker A: Et la danse, tu as continué à en faire ? [01:36:50] Speaker E: Malheureusement, j'ai arrêté parce que mon corps a lâché. [01:36:54] Speaker A: Jusqu'à ce que ton corps lâche, tu en faisais vraiment beaucoup ? [01:36:57] Speaker E: J'en faisais du lundi au dimanche, sans compter les concours. Je donnais des cours, etc. Pendant 4 heures tous les jours, c'était intensif. Ça m'arrive encore de temps en temps de rentrer dans des cours, mais jamais comme avant. [01:37:11] Speaker B: Oui, autant faire attention à soi quand même. [01:37:14] Speaker E: C'est ça. [01:37:15] Speaker B: OK, donc la photo a pris le relais. [01:37:17] Speaker E: Oui. [01:37:17] Speaker B: T'as appris ses cours, t'es très rapidement rentrée dans une sphère photo ? [01:37:22] Speaker E: Pas spécialement en vrai, mais j'ai surtout fait mes cours, ma fameuse formation qui apprend en diaphragme, etc. d'appareil photo, les trucs bien techniques qui servent à rien finalement. Mais voilà. [01:37:35] Speaker B: Et t'en as fait quoi de cette envie de faire de la photo ? [01:37:40] Speaker E: Bah du coup je l'ai décalé... Dans un premier temps j'étais derrière la caméra donc je faisais pas mal de shootings avec des modèles et après j'ai switché. Et avec les connaissances que j'ai en photo et en vidéo du coup après je me suis mis aussi derrière la caméra pour filmer... Metal ! [01:38:00] Speaker B: Non mais c'est intéressant parce que tu as fait ça finalement auto-didacte parce que tu as dit que les cours c'était pas vraiment le truc qui t'a... Bah. [01:38:06] Speaker A: Ça te met un peu le pied à l'étrier mais très vite fait quoi. [01:38:09] Speaker E: C'est ça, c'est d'apprendre les trucs de base et puis... [01:38:11] Speaker B: Tu t'es essayée vraiment ? Tu t'es juste essayée ou t'as chopé des trucs sur internet ? [01:38:16] Speaker E: C'est-à-dire ? [01:38:16] Speaker B: Pour la photo ? [01:38:17] Speaker E: Ah non, j'ai fait une formation de deux ans qui m'a coûté un bonbon. [01:38:21] Speaker B: Ah oui, donc ça t'a quand même appris les bases, c'est un... Ouais. [01:38:26] Speaker A: Après, il faut quand même faire beaucoup de pratiques pour réussir à faire des... Enfin, t'apprends la base, mais... [01:38:31] Speaker B: Mais comment tu rentres dans le milieu de la photo, je veux dire, tu sais, faire des photos, c'est une chose... [01:38:34] Speaker A: Bah t'en fais plein ! [01:38:35] Speaker B: Mais non, mais t'es obligé de rencontrer. [01:38:37] Speaker A: Des gens, t'es obligé de... Bah quand tu fais des photos, tu rencontres des gens. [01:38:40] Speaker B: Oui, mais je vois pas comment. [01:38:42] Speaker E: Bah des fils en aiguille, en fait. Tu travailles avec des modèles, tu travailles avec des photographes, etc. D'accord, mais le. [01:38:47] Speaker B: Premier modèle il faut bien le rencontrer. [01:38:48] Speaker A: Mais non mais t'as des bouquins en ligne et des choses comme ça. [01:38:51] Speaker B: Tu peux proposer service à quelqu'un en ligne. [01:38:53] Speaker D: T'as les réseaux sociaux. [01:38:55] Speaker A: Tu vas juste sur Instagram et tu cherches ou tu trouves des gens qui habitent pas loin de chez toi et que tu trouves machin et tu dis ah bah tiens alors on pourrait faire un truc comme ça. [01:39:07] Speaker B: D'accord, je ne savais pas, c'est intéressant pour les gens qui veulent faire ça et qui sont stressés et qui ne savent pas comment décider, il suffit finalement d'aller sur internet et de proposer ces services à des femmes. [01:39:16] Speaker E: Si tu veux, tu trouves. [01:39:18] Speaker A: Après t'es pas garanti que les gens acceptent. [01:39:22] Speaker B: Evidemment, et puis s'ils disent non, faut pas les faire chier, j'entends bien. Ça reste assez logique. Mais ok, t'as fait ça, et puis à quel moment tu t'es décidé de passer de l'autre côté ? C'est juste que ça t'a intrigué ? Tu voulais jouer ? Je parle de la photo. [01:39:41] Speaker E: En vrai j'ai l'autre côté, c'est-à-dire ? [01:39:45] Speaker B: T'es devenu modèle ? [01:39:46] Speaker E: Ah bah... Légalement, mais 18 ans quoi. [01:39:50] Speaker B: Ah oui, t'es allé très vite en fait. Tu me diras, t'as 22 ans. Oui bah écoute, excusez-moi, 22 ans, qu'est-ce que je faisais ? Je picolais et puis je montrais mes fesses. C'est tout ce que je faisais. Et puis je poussais des gens du premier étage pour qu'ils tombent. [01:40:03] Speaker E: On n'a pas eu la même jeunesse. [01:40:06] Speaker B: C'était d'une autre époque aussi. [01:40:08] Speaker A: Nous il n'y avait pas internet. [01:40:09] Speaker C: C'est ça. [01:40:12] Speaker D: Il fallait bien qu'on s'exprime. [01:40:14] Speaker B: Je présente mes excuses aux personnes qui ont subi ces moments-là. [01:40:19] Speaker A: C'est faux bien sûr. [01:40:20] Speaker B: On va passer quand même des clips aussi parce que ça qui est important dans cette émission c'est que je t'ai demandé de choisir des clips pour que tu nous prouves un petit peu aussi ces goûts d'où ils viennent, quels sont-ils. Et là tu as commencé, je ne m'attendais pas du tout à ça. Non mais alors j'adore, moi je suis fan du groupe, en plus là ils ont annoncé des dates de concert, c'est archi blindé, c'est un véritable carton autour de ce groupe là alors que personne n'y croyait. En plus c'est un groupe qui vient jamais en France. [01:40:44] Speaker E: Oui, c'est méga. [01:40:45] Speaker B: Je crois que, je ne suis même pas sûr que ce soit la première fois, je ne sais plus. [01:40:48] Speaker E: Je ne saurais pas te dire. [01:40:49] Speaker B: Mais Three Days Grace, voilà, qui viennent en France et là tu nous as choisis ce Never Too Late. Ça a été tes premiers amours, Three Days Grace ? [01:40:59] Speaker E: C'était mon Never Too Late, c'était vraiment le son qui m'a fait basculer dans l'alternative rock-metal. [01:41:06] Speaker B: Il y a beaucoup de choses entre Three Days Grace et encore plus dans ce morceau-là. On en parlait, il y a toujours des solutions. [01:41:14] Speaker E: C'est ça. [01:41:15] Speaker B: Et la musique en est une, elle t'en la main, ça te permettait de... [01:41:20] Speaker E: Sans la musique, je serais pas là. Ce titre-là, il reflète bien, justement, il n'est jamais trop tard. [01:41:29] Speaker B: Pour se prendre en main, en tout cas, essayer de profiter de la vie comme on l'entend et à sa façon, sans se soucier des candiratons et du candiraton des doigts qu'il nous montre. Mais dans ce clip, c'est vrai qu'il y a toute cette mode émo, cette mèche. [01:41:46] Speaker E: C'était un peu l'époque aussi, tu vois. [01:41:48] Speaker B: T'as été passée par ce stade-là ? T'as eu des looks un peu originaux ? [01:41:53] Speaker E: J'ai eu des looks, je suis passée par un style un peu rasta. [01:42:00] Speaker B: Ah y'a pas eu que du rock alors ? [01:42:02] Speaker E: Non, je t'ai dit, je suis très éclectique. [01:42:04] Speaker B: Ah oui mais là du coup ça m'intrigue. [01:42:06] Speaker E: Non non, vu que j'ai dansé au niveau dancehall donc tout ce qui est jamaïcain etc, je suis partie en rasta. [01:42:13] Speaker B: Je veux bien que tu me fasses rencontrer des gens. [01:42:15] Speaker E: Après, t'inquiète. [01:42:17] Speaker B: Qu'est-ce que tu pourrais nous dire en gros sur ce Three Days Grace, Never Too Late, à part le fait que ça t'a tendu une main et que ça t'a aidé émotionnellement ? [01:42:27] Speaker E: Après, étant donné que le groupe il s'est formé en 2006 et que moi je suis en 2003, je l'ai connu, Never Too Late, bien après sa sortie. Mais c'est vraiment, je me rappelle avoir ouvert YouTube et avoir ça en recommandation. Et j'ai fait, stack, et j'ai fait... Vraiment les paroles sont impactantes et le clip aussi est magnifique malgré que fait ce soit en 480p je crois mais franchement ça m'a touché je me suis dit ah ouais la musique en fait ça peut aussi faire ressentir des choses positives quoi donc voilà. [01:43:04] Speaker A: C'est le premier groupe qui t'a fait ressentir un truc comme ça ? [01:43:09] Speaker C: Oui. [01:43:09] Speaker A: Oh trop bien. [01:43:10] Speaker B: C'est l'amour éternel pour eux donc. Non mais c'est mignon, mais c'est aussi... Je me suis demandé comment les jeunes pouvaient découvrir ces groupes là. Et c'est un peu le hasard comme sur TikTok ou... Non mais ça fait partie des possibilités de découvrir des vieux groupes. Deftones, qui reviennent sur le devant de la scène. J'ai l'impression qu'elle aime pas trop Deftones. Bon allez, on va regarder ce Three Days Grace, Never Too Late. C'est un choix de mots. [01:44:08] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti pour le tour du monde ! c'est la vie Et. [01:46:12] Speaker B: Si je ne. [01:46:14] Speaker C: Suis pas seul, je ne suis pas seul Il veut terminer ta vie Mais qu'est-ce qu'on peut faire ? I'm choking up again Tell me friend, window shadows And I can't see over them Wondering when the mind gives in I'm having healthy attractions To the pain that never mends If I could write the light a single note IT'S THE WINDOW SHADOWS C'est parti pour le tour du monde ! Fuck your pills and spit them out instead I'm choking up again Tell me friend, when do shadows end? I can't see over them Wandering, when the mind gives in I have unhealthy addictions To the pain that never ends If I could write the line a single note It'd say when do shadows end? Faut arrêter ! [01:50:38] Speaker B: Alors attention, dites-moi, on a pas le droit de dire certaines choses à l'antenne. Ça serait bien que la chaîne ne ferme pas tout de suite. [01:50:45] Speaker A: Et on a oublié de parler de quelque chose. Alors vas-y, fais ça d'abord. [01:50:49] Speaker B: Ouais, bah on peut... C'est comme tu veux, je te parle d'abord. Là c'était Grey Days. On vient d'écouter Grey Days. Je fais bien évidemment un clin d'œil à notre amie Ilan. Voilà, c'est pour ça que j'avais envie de le diffuser. Parce que Ilan nous manque et Ilan fait le tour du monde. Enfin voilà, il est surtout en Asie. Et Ilan, d'ailleurs je pense qu'il va y rester. [01:51:05] Speaker A: En Asie ? [01:51:06] Speaker E: Oui, oui, non mais moi aussi j'ai tiqué, oui. [01:51:08] Speaker B: Non, il n'est pas déguisé, c'est pas trop son genre. Mais bon, il y a des choses qui font que ça serait bizarre. [01:51:13] Speaker A: Il était pas de ce côté-là du trans. [01:51:14] Speaker B: Non, lui il était de quoi ? Et donc, Grey Days a travaillé sur ce morceau-là, et donc ça me fait plaisir d'en diffuser. C'est un groupe qui existe depuis 1993, et là c'est un nouveau morceau qui s'appelle « Shadows », qui est un énième extrait de ce qui arrive pour cette belle formation. Et donc j'ai noté que le chanteur explique que le morceau évoque les luttes que nous affrontons tous lorsqu'on se sent ignoré ou dans l'ombre, et l'importance de persévérer pour trouver sa lumière. ça tourne autour donc des questions existentielles sur la faim des moments sombres et l'attraction malsaine et la douleur. [01:51:49] Speaker A: Je vais leur écouter parce que j'ai l'impression qu'il y a un petit sujet. [01:51:53] Speaker D: Du coup moi et moi on se pose la question c'est ses cheveux naturels ou ? [01:51:57] Speaker B: Bah oui alors comme je suis son coiffeur j'ai vraiment la réponse. J'en ai quatre sur la gueule tu crois que je vais me... Je suis jaloux ! [01:52:04] Speaker A: Excusez-nous mais est-ce qu'il y a bien des spécialistes en cheveux entre nos quatre ? Vous devez savoir plus que nous ce qu'il se passe. D'ailleurs c'est très très beau. Ce rose est incroyable. Mais avec les sourcils aussi roses. [01:52:23] Speaker E: C'est pour casser le côté dark. [01:52:27] Speaker B: C'est pour ça que moi ça me fait penser à tous les trucs électro qu'il y avait à l'époque, dans les années 90 je parle. Et du coup, elle était panée donc... [01:52:35] Speaker A: Non mais si, non mais les trucs, la scène électro un peu hardcore et tout ça, tu... [01:52:41] Speaker E: La cybergothe, etc, genre c'est trop bien. [01:52:43] Speaker A: Je connais ça un peu. [01:52:45] Speaker E: J'ai de la culture. [01:52:46] Speaker A: Est-ce que t'es déjà allé à l'Underdog à Londres ? [01:52:52] Speaker E: Oh tu kifferais, je suis jamais allée à Londres. [01:52:54] Speaker B: Ah ouais tu vas kiffer. [01:52:56] Speaker A: Pour tous ceux qui sont déjà allés à Londres, si vous y allez, allez à l'Underdog. [01:53:01] Speaker D: Par contre ça coûte la peau du. [01:53:02] Speaker E: Cul hein, c'est un budget. [01:53:03] Speaker A: Faut juste y aller pour le fun. C'est là où je t'ai acheté la gay bar, Pierre. [01:53:08] Speaker B: Ah le savon. [01:53:09] Speaker A: Le savon gay bar. [01:53:10] Speaker B: Pendant que je suis en prison au sol en faisant oups j'ai fait tomber le savon. [01:53:16] Speaker A: Je me demande qui pourra bien me récupérer la rondelle. [01:53:18] Speaker B: Bon allez, du coup, tu voulais parler de quoi ? [01:53:20] Speaker A: Non, pas de Grey Days, mais en parlant de rondelle, t'étais à Strasbourg, on n'en a pas parlé. [01:53:29] Speaker B: Ah bah oui, c'est vrai qu'on n'a pas parlé de ça, excuse-moi, je vais faire un petit très rapidement, même si c'est très dur chez moi, de parler brièvement. [01:53:37] Speaker A: Ah oui, c'est Cyberdog, pardon, j'ai dit le underdog. [01:53:39] Speaker D: J'avais compris. [01:53:40] Speaker A: Et je sais pas pourquoi... [01:53:43] Speaker B: Je suis fatigué, je suis fatigué. Mais les gens ont rectifié, on rectifie nous aussi, on accepte nos erreurs, c'est pas si grave, c'est pas très grave de faire des larmes. [01:53:50] Speaker A: C'est à Camden, voilà. [01:53:51] Speaker B: Globalement, pour les trucs un peu décalés, il faut aller à Camden. C'est vraiment l'endroit où vous trouverez tout votre bonheur en termes de chaussures et de vêtements et de styles. [01:54:02] Speaker A: Et en France, c'est plutôt à Strasbourg. [01:54:04] Speaker B: Alors non, mais à Strasbourg, par contre, j'y suis allé pour amener la guitare parce qu'on a fait gagner une guitare Schecter. Marc, qui est très gentil, qui a envie d'offrir des cadeaux aux gens comme ça gracieusement. Et c'est Evan qui avait gagné. Il avait participé, bien évidemment, en s'étant inscrit sur notre Patreon. Donc merci encore une fois à lui. Et je suis allé lui amener. Donc j'ai pris mon petit TGV pour y aller. J'y suis allé, et quand je suis arrivé, désolé Van, je vais raconter tout ce qui s'est passé, tu m'as dit s'il te plaît ne le dis pas, et donc... Fais court, fais court. En fait, j'étais en la gare, je fais météo, il m'a dit je suis dehors, je lui ai dit mais... Enfin, pour me poser la question pourquoi il attendait pas tard, et il m'a dit ben oui mais c'est parce que je suis stressé. Je lui ai dit ben non mais la guitare elle est belle, et il a dit ben non mais c'est parce que t'arrives. Et je lui ai dit qu'il ne faut pas. Et vraiment, dans la vidéo que j'ai mis en story, que je pense que je vais mettre en short. [01:55:00] Speaker A: Il a l'air bien à l'aise. [01:55:01] Speaker B: Il a l'air hyper... Ce que je lui ai dit, c'est que tu as dit tous les renseignements que je devais donner. Je m'étais préparé parce que généralement les gens n'arrivent pas à parler. Mais il a tout sorti. Il m'a dit que j'avais tout préparé parce que je me suis dit qu'il fallait y aller. Et j'ai tout donné comme ça, c'était fait. Mais en fait il était hyper ému et donc il remercie infiniment Schecter, mais il te remercie aussi, il te remercie Marcel, il te remercie Gladys, il a dit « je joue beaucoup EuroMillions » et je crois que je n'aurai pas Gladys. Mais en tout cas, il remercie énormément. Et Evan a dit que de regarder l'émission tous les dimanches, ça lui donnait de la compagnie parce qu'il se sentait un tout petit peu seul. Et que du coup, il avait l'impression d'avoir plein d'amis, plein de belles connaissances. Donc, c'est très, très, très touchant. [01:55:44] Speaker D: Même s'il est pauvre, j'ai bien de sa pote. [01:55:46] Speaker B: Alors, il n'est pas pauvre, Evan. [01:55:48] Speaker D: Il n'est pas millionnaire. [01:55:50] Speaker A: Il est très beau garçon. Evan, ne t'inquiète pas. Il y a aussi des femmes qui ne sont pas intéressées que par l'argent. [01:55:57] Speaker B: Je crois qu'il est un très très bel homme et ravi parce qu'il voulait apprendre à jouer de la guitare. Il voulait apprendre la gay pride. [01:56:11] Speaker A: C'est comme si c'était parti. [01:56:13] Speaker D: Il y a un petit lapsus là. [01:56:14] Speaker A: On dirait la même chose non ? [01:56:16] Speaker E: Il voulait prendre le gay, on entend du ré. [01:56:19] Speaker B: Mais du coup, il est allé m'amener manger une belle saucisse. Et la choucroute ! Si tu veux une saucisse, tu me fais signe ! J'étais à Strasbourg, je me suis fait une choucroute en même temps, c'est normal. Et puis on a discuté énormément, mais pendant... Désolé Evan, on a bien parlé pendant trois heures. [01:56:34] Speaker A: Et du coup, t'as raté ton train. [01:56:35] Speaker B: Non, ça c'est parce que j'ai vu un ami à moi... [01:56:44] Speaker A: T'as pris une deuxième saucisse ! T'avais pas eu l'occasion de la première ! [01:56:48] Speaker B: C'est vrai, c'est qu'il est arrivé, quand Evan était encore avec moi, puis Evan a fait « bah je, bah... » Bah oui ! « Bah je vais y aller ! » Et moi j'étais un peu gêné aussi, je disais « Alors bonjour ! [01:56:58] Speaker A: » Je comprenais pourquoi t'étais pas si triste d'avoir raté ton train ! [01:57:02] Speaker B: Non mais c'est vraiment un ami. Je vous raconterai en tête. Ou demain soir dans le live TikTok évidemment ! En tout cas bravo à Evan, merci à Schecter et peut-être qu'au mois de décembre nous aurons d'autres cadeaux à vous offrir, on verra. Je ne sais rien, je dis ça pour que Schector balance un nouveau cadeau. On verra bien ce qui va se passer, mais il ne faut pas hésiter à nous rejoindre, à nous suivre pour pouvoir jouer et repartir avec quelque chose comme ça qui fait rêver. Quand on voit... Je reviens. [01:57:36] Speaker A: En parlant de... Attends... [01:57:39] Speaker B: On enchaîne, on enchaîne. [01:57:40] Speaker A: Non, mais profitons-en. Quand on parle de concours, peut-être qu'on peut mettre un nouveau mot. [01:57:46] Speaker B: Ce n'est pas à moi de donner le mot. [01:57:48] Speaker A: C'est à Maud de donner un mot. [01:57:50] Speaker B: T'as compris ? [01:57:52] Speaker E: On me l'a jamais faite celle-ci. [01:57:53] Speaker B: Oui, j'imagine. [01:57:55] Speaker A: Le mot qu'il faudra donner pour le concours ? [01:57:59] Speaker B: C'est trop dur à écrire. [01:58:01] Speaker E: Avec trois. Mandarine. [01:58:06] Speaker B: On reste dans le... C'est vegan. [01:58:12] Speaker A: On reste dans un côté très... [01:58:15] Speaker E: Très juteux. [01:58:17] Speaker B: Comme les saucisses. [01:58:19] Speaker A: Je l'ai dit, mais il ne faut pas qu'on redise les mots. [01:58:24] Speaker D: Honte à toi. [01:58:24] Speaker B: Ah oui c'est vrai. [01:58:26] Speaker A: Faut pas qu'on les redise. [01:58:27] Speaker B: Bah non c'est facile. Au moment où je l'ai dit, je. [01:58:28] Speaker A: Me suis rendu compte. C'était un petit bonus. [01:58:30] Speaker B: De toute façon, il y en a quatre. Oui, il en reste encore deux, il va falloir être attentif. Je vous rappelle aussi que quand vous aurez les quatre, il faudra envoyer votre participation avec votre nom, votre prénom et le tout à pierre-resles.com. R-S-T-L-S-S.com. Mouh Quand on est sortis de Grey Days, on a raconté un petit peu cette histoire qu'il a écrite, cette chanson, parce qu'il y a les tourments, il y a le côté sombre, il y a toutes ces choses-là. ! On en parlait un petit peu en antenne, c'est quelque chose qui nous touche beaucoup et qui a fait ce qu'il nous sommes aussi aujourd'hui. Quelque part, ça nous a construits. Je ne dis pas qu'il faut souffrir pour devenir quelqu'un. Si vous pouvez ne pas souffrir, c'est mieux, évidemment. Je préférerais. Mais il y a plein de choses qui m'épatent là-dedans. T'avais beau être jeune, t'as aimé Three Days Grace qu'on a écouté, tu comprenais les paroles, tu parles anglais, t'as tout appris toute seule quasiment. Enfin t'avais tes cours, mais je veux dire, il y avait une force derrière tout ça. C'est-à-dire qu'au-delà de... Je sais pas comment exprimer ça. [01:59:28] Speaker A: Quand tu vas à l'école, il y a un truc où un peu on te force à apprendre des trucs. [01:59:34] Speaker B: Enfin t'es une force de la nature en gros. [01:59:36] Speaker A: Mais dans ton cas, il y a quand même une volonté. [01:59:42] Speaker B: Non mais t'as appris, t'as appris. [01:59:43] Speaker A: Il faut s'auto-motiver quoi. [01:59:45] Speaker D: Il y a une envie d'apprendre alors même que par contre elle rentrait pas dans les cases. [01:59:49] Speaker B: L'anglais c'était juste pour comprendre les paroles ? [01:59:52] Speaker E: Je ne suis pas bilingue. Je m'améliore avec la musique justement. Parce que quand tu arrives sur scène et que le chanteur passe 30 minutes à parler de sa vie, t'as envie de comprendre. Et c'est grâce à ça que j'apprends mieux l'anglais. [02:00:06] Speaker B: T'as l'habitude de lire un peu les paroles ? [02:00:10] Speaker E: Les musiques, je ponce vraiment. J'ai besoin de savoir ce qu'elles racontent parce que sinon je trouve ça pas très cohérent. Donc je m'informe en général. [02:00:21] Speaker B: Et c'est toujours des paroles assez... [02:00:24] Speaker D: En même temps, dans la scène, il y a très peu de chansons. [02:00:26] Speaker B: Soit c'est l'amour, soit c'est les peines d'amour. [02:00:32] Speaker E: Soit c'est le Kurt Cobain. [02:00:34] Speaker B: Mais c'est vrai qu'on en parle très souvent, le métal, quand je dis métal, c'est toutes les musiques amplifiées. C'est quand même une scène qui parle énormément de cette adolescence, de cette jeunesse et de cette souffrance qui continue à être là même quand on est adulte, qui reste intimement liée à notre vie, qu'on confronte tous les jours. C'est une musique, toi qui écoutais un peu toutes les musiques, tu as trouvé ça quand même ailleurs ? Parce que moi, je ne connais pas toutes les musiques. Mais tu trouves un petit peu de ça ailleurs ou c'est quand même plus difficile ? [02:01:03] Speaker E: En termes de... Quand t'as besoin d'extérioriser, je trouve, que ce soit de la rage, de la colère ou même de la joie, je trouve que vraiment le métal c'est le style avec lequel j'arrive le mieux à le faire. Après, bon les trucs où je suis un peu plus speed, ça va plus être l'up-tempo, hardcore, techno, etc. Et quand j'ai besoin d'être concentrée, ça va plus être du Les Proust ou même du classique. Ça dépend franchement de mon mood, je pense. Ça dépend. [02:01:36] Speaker B: Mais le métal t'a aidé quand même, t'as tendu la main, ça je reviens là-dessus. C'est une musique qui t'a bercée et qui t'a accompagnée jusqu'à aujourd'hui. [02:01:48] Speaker E: Et qui continue d'ailleurs. [02:01:50] Speaker B: T'as besoin quand même de cette musique pour être mieux ? [02:01:54] Speaker E: Si, c'est très rare qu'il n'y ait pas de musique chez moi qui tourne. Si il n'y en a pas, c'est qu'il faut s'inquiéter. [02:01:58] Speaker B: C'est le moment où on peut dire merde, là il faut discuter, il faut s'en sainir. Pourtant t'as l'air d'avoir une vie qui peut faire rêver. Quand on regarde ton Instagram, toutes les images sont magnifiques. Effectivement, t'es modèle, tu sais faire de la photo, donc t'as un goût particulier qui fait que t'as bon goût. En tout cas, c'est vrai que quand on regarde, on se dit « waouh, elle doit faire des millions de choses, ça a l'air d'être cool ». Il y a plein de thématiques qui sont toujours un peu différentes de ce qu'on pourrait attendre d'autres modèles. Mais ça doit être de l'amusement quand même, ça doit être de bons moments, ça doit être des trucs qui sont agréables. Ou c'est que ça vient de douleur et tu les exprimes comme ça ? [02:02:37] Speaker E: Certains shootings, ouais, ça peut partir de noirceurs que j'ai envie d'extérioriser dans l'art. Après, j'associe pas forcément mon métier là de mannequin à quelque chose de personnel, je le mets vraiment plus en mode robot. [02:02:51] Speaker B: D'accord. [02:02:51] Speaker E: Mais certains shootings, ouais, sont hardcore. [02:02:55] Speaker B: C'est à dire ? [02:02:57] Speaker E: J'ai fait un shooting l'année dernière au mois d'octobre avec mon photographe, Noir Frame, qui est incroyable. Et c'était un espèce de shooting en mode vénum, tu vois. J'étais quasiment nue, mais avec du sucre noir, etc. Ça représentait un peu ma lettre, etc. Et ce shooting-là, vraiment, à la fin, j'ai pleuré. J'étais en mode merci. C'était une sorte de thérapie, en fait. [02:03:20] Speaker A: Ça exorcise un peu les douleurs. [02:03:23] Speaker E: C'est ça, de voir que tu peux faire quelque chose de beau, quelque chose qu'à l'intérieur de toi tu ressens comme quelque chose de mauvais, c'est une bonne victoire. [02:03:31] Speaker B: Ouais, carrément. C'est joli. C'est pas facile non plus. T'es lâchée, du coup t'as quand même pleuré. Ton photographe, j'imagine que tu le connais bien maintenant, donc c'est peut-être plus simple aussi de pouvoir... [02:03:43] Speaker E: Je suis quelqu'un d'hypersensible, je pleure tout le temps. C'est pas quelque chose... Ah oui, donc. [02:03:47] Speaker B: Finalement... Non, il y a pleurer et pleurer. [02:03:50] Speaker A: Moi je me souviens une fois, t'avais fait tomber un sucre, t'avais pleuré aussi. C'est faux, c'est faux bien sûr. [02:03:57] Speaker B: Non mais quand je la regarde j'ai l'impression que c'est moi mais que moi j'ai pas osé me lâcher au niveau du style. Oh tu me diras ! [02:04:03] Speaker A: Alors si t'essayes de faire ça avec les cheveux bien déjà. [02:04:06] Speaker E: Il me reste de la colo à la maison si tu veux je te fais la barbe en haut. [02:04:08] Speaker B: Bah c'est dingue il me reste plus de cheveux. [02:04:10] Speaker D: J'ai déjà proposé à Ben mais il a refusé. [02:04:11] Speaker E: En plus t'as une base parfaite genre elle est bien décolorée et tout genre ouais. [02:04:16] Speaker B: C'était un petit couvert. [02:04:19] Speaker A: Ah non mais peut-être, peut-être un jour au Hallfest. Peut-être le fait que je viendrai avec une barbe rose ? [02:04:24] Speaker E: Bah là c'est vert, cette année il faudrait. Vert fluo néon là, mode chargotte. [02:04:30] Speaker D: J'ai toutes les couleurs à la maison. [02:04:31] Speaker B: Un peu l'Irlande quoi, la fête de la bière. [02:04:33] Speaker A: Du coup je vais être un des prochaines quoi. [02:04:35] Speaker E: La Saint-Patrick. [02:04:37] Speaker A: Super, sympatoche. C'est sympatoche. [02:04:41] Speaker E: La Saint-Patrick. [02:04:42] Speaker B: Du coup là aujourd'hui on parle de ça, de tes cours à la maison etc, mais t'as jamais fait des potes, t'as jamais eu des amis quand t'étais plus jeune ? [02:04:51] Speaker E: Je suis quelqu'un d'extrêmement introvertie malgré le travail que je fais et moi la solitude c'est mon confort. [02:04:57] Speaker A: Donc là tu passes un très mauvais moment. [02:05:00] Speaker E: Là franchement en termes d'interaction sociale vous êtes mon quota pour la semaine. Mais oui j'ai une relation assez particulière avec ça parce que je suis autiste donc plus je suis seule mieux je me porte en fait. [02:05:14] Speaker D: Tu fais beaucoup de concerts ou pas ? [02:05:16] Speaker E: Oui, mais j'ai un laps de temps de récupération que je m'impose après pour récupérer mon énergie sociale. [02:05:22] Speaker A: D'ailleurs, la première fois qu'on s'est vu, c'est au Hellfest. [02:05:26] Speaker B: Ouais. [02:05:28] Speaker A: Alors, je vais quand même raconter cette histoire parce que ça montre la gentillesse de cette personne. Je suis arrivé, j'avais acheté, on était entre deux interviews. [02:05:38] Speaker E: Tu m'as foutu un vent ! [02:05:39] Speaker A: Non, pas vraiment, mais on était entre deux interviews. Je vais chercher un coca. [02:05:47] Speaker B: Oui, un truc à boire. [02:05:48] Speaker A: Et du coup, je repasse avec les deux verres. Et sur la terrasse devant le bar VIP, il y avait Sarah Le Chat Price que nous avons reçu dans cette émission. N'hésitez pas à aller regarder cet épisode, il est incroyable. Et j'étais en train de discuter avec Sarah. Et du coup, je m'arrête deux secondes pour discuter avec Sarah. Elle s'est levée tout de suite, elle est allée chercher une chaise, je ne sais où, elle a réussi à trouver une chaise, elle l'a ramenée pour que... tellement gentille, et elle arrive avec la chaise, elle me fait « bah tiens comme ça tu peux t'asseoir ». Trop mignon ! [02:06:21] Speaker E: Et toi tu fais « non non j'en ai pas besoin ». [02:06:23] Speaker A: Non, alors j'ai pas dit ça comme. [02:06:24] Speaker B: Ça, j'ai fait « Oh c'est trop. [02:06:25] Speaker A: Gentil, mais en fait il faut qu'on retourne faire les interviews, je peux pas rester ». [02:06:29] Speaker B: Ah oui, bien sûr, c'est toujours le rush. [02:06:31] Speaker A: Et ça m'a touché de quelqu'un d'aussi gentil, alors qu'on ne se connaît pas quoi. [02:06:36] Speaker E: Je sais pas, on s'appelle la politesse tu vois. [02:06:38] Speaker A: Oui, mais de nos jours c'est la puce blonde. [02:06:39] Speaker B: Alors tout le monde n'en a pas un. On n'en parle point. N'est-ce pas Gladys ? [02:06:44] Speaker D: Moi je suis polie moi. [02:06:45] Speaker A: Tu m'as jamais ramené de chaise. [02:06:47] Speaker B: Par contre tu l'as enlevé ! [02:06:51] Speaker A: Ramenez-moi une chaise bande de gueux ! Non bref, en tout cas voilà, ça montre... [02:06:59] Speaker E: C'était notre première rencontre, voilà. [02:07:00] Speaker A: Mais du coup, ouais, le Hellfest... T'as. [02:07:02] Speaker B: Du être au trottinette ! [02:07:03] Speaker A: Le Hellfest, ça doit quand même être... Alors pour le coup, au Hellfest, toi tu fais énormément de concerts, c'est-à-dire que... [02:07:10] Speaker E: Ah non mais cette année, j'ai pété mon câble. [02:07:11] Speaker A: Je sais pas s'il y a, pour ceux qui la suivent sur les réseaux, parce que du coup, elle fait des petits récaps, et vraiment, elle voit, mais. [02:07:21] Speaker E: Vraiment, J'ai fait 40 groupes cette année en 4 jours, en passant par toutes les scènes obligatoirement chaque jour. Sous 40 degrés. [02:07:29] Speaker A: J'étais déter. Faut tenir. Et faire du contenu en même temps. C'est pas juste aller regarder, aller manger, boire un coup. [02:07:39] Speaker E: Le soir après, jusqu'à 4h du matin, je montais pour publier au jour même. [02:07:44] Speaker A: Donc grosse performance. Et alors du coup, parce que l'art en termes d'interaction sociale, c'est quand même quelque chose d'assez intense le Hellfest. [02:07:53] Speaker B: Et puis ça bouge dans tous les sens en plus. [02:07:55] Speaker E: Surtout quand tu dors à côté du Macumba, qui s'est retrouvé à 200 mètres cette année, j'étais trop contente. [02:08:01] Speaker D: C'est pour ça que je ne fais pas le Hellfest. Moi je ne pourrais pas trop. [02:08:05] Speaker E: Tu prends des espèces de grands trucs de princesse en bois. [02:08:08] Speaker D: Non mais juste d'aller dans le festival avec tout ce monde, je ne peux pas. [02:08:13] Speaker C: Bref. [02:08:13] Speaker A: Et alors du coup... Non mais oui ! Non mais genre... Mais du coup, parce que t'as aussi enchaîné les festivals ? [02:08:21] Speaker E: Oui, j'ai fait Hellfest, Cavfest, B666, Motok. [02:08:28] Speaker B: Ah oui, quand même ! [02:08:29] Speaker E: Et j'ai fait Louis Metal Fest avant l'Hellfest aussi. [02:08:31] Speaker B: Est-ce que c'est parce que c'est un genre musical que t'aimes que ça te permet de passer outre certains stress ? [02:08:37] Speaker E: Je ne passe pas outre, juste je me fous un coup de pied au cul. [02:08:39] Speaker B: Ah ouais, donc c'est quand même la lutte... [02:08:41] Speaker E: C'est une lutte constante à l'intérieur. [02:08:44] Speaker B: Mais même pendant que tu regardes le groupe et sur scène et tout, t'as quand même un oeil qui... [02:08:49] Speaker E: J'ai une moitié de moi qui est en mode full stressée par toutes les interactions et les stimulations, c'est... [02:08:55] Speaker B: Merde. Y'a même pas de médication pour ça. [02:08:58] Speaker E: Y'A pas de... Bah je suis autiste, c'est pas une maladie. [02:09:00] Speaker B: Oui, oui, mais... Calmez, je... C'est toujours des choses qu'on ne sait jamais. Après, je ne dis pas que c'est bien. [02:09:08] Speaker A: Ce n'est pas toujours une solution. [02:09:09] Speaker E: Ce n'est pas une solution, non. [02:09:11] Speaker B: Alors, je ne parlais pas de choses qu'on prend soi-même. Je parlais de médecins. [02:09:16] Speaker E: Ah oui, oui. [02:09:17] Speaker A: Il faut se persuivre. Et alors, du coup, comment tu vis ce... En fait, c'est un truc un peu sadomaso, quoi. [02:09:23] Speaker B: Non mais il y a un peu. [02:09:25] Speaker A: De ça, c'est que ça te provoque du plaisir et en même temps ça te... [02:09:31] Speaker B: Mais sinon je suis sûr que t'en tires quand même quelque chose de positif. [02:09:33] Speaker E: Bah en fait je suis partie de... Je suis restée deux ans enfermée dans ma chambre dans le noir, à ne même pas ouvrir mes stores tellement le soleil pour moi c'était genre un truc horrible. Et au bout d'un moment je me suis dit vas-y en fait, j'ai pas envie de passer ma vie comme ça, à passer à côté de concerts de malades. Et du coup, ma première interaction sociale et mon tout premier concert, c'était le Hellfest. [02:09:56] Speaker B: C'est bien, c'est une bonne évolution. [02:09:58] Speaker E: Je me suis dit, si je ne commence pas par grand, je n'y arriverai pas. Du coup, j'ai mis les deux pieds dans le plat, je me suis poussée et j'ai fait la deuxième semaine de la double édition du Hellfest après Covid. J'ai pris la semaine où il ne faisait pas 40 degrés. [02:10:15] Speaker A: Nous, on n'a pas pris la bonne, nous. [02:10:16] Speaker E: Nous, on a pris la première. [02:10:21] Speaker B: Mais ouais, c'est fort, tous ces festivals. Le contenu, c'est du contenu. Tu fais un report, mais tu fais pas de photos ? [02:10:28] Speaker E: Ça dépend. Là, tu vois au Motok, j'étais en backstage pour PALFACE, c'est à l'an de mars, donc j'ai fait quelques photos à titre perso. Mais en général, je suis plus en mode vidéo, vlog, live report. [02:10:42] Speaker A: Et puis tu vas dans la foule et tout ça. [02:10:45] Speaker E: Ah oui, ah non non, c'est pas... [02:10:46] Speaker A: C'est pas rester derrière et faire un truc comme ça. [02:10:49] Speaker E: J'ai slamé je sais pas combien de fois à Noël Fest tout en filmant. [02:10:52] Speaker B: Ah oui, c'est sportif en plus. [02:10:54] Speaker E: Ah oui, abdos. [02:10:55] Speaker D: Parce qu'il faut gainer. [02:10:56] Speaker E: Ah oui, il faut se gainer. [02:10:58] Speaker D: Je le rappelle à tout le monde, on gaine. [02:11:01] Speaker E: Arrêtez de nous tomber dessus, faut gainer. [02:11:06] Speaker B: On conseille aux gens de faire un peu de soi alors pour être un peu moins lourds ? [02:11:09] Speaker D: Non mais ne stresse que gainer quand ils se lament, en fait juste ça, c'est le minimum syndical les gars, vous gainez quoi. [02:11:14] Speaker E: Je fais 2-3 fois la planche avant tes fesses. [02:11:16] Speaker B: T'es obligé non ? [02:11:16] Speaker E: Ah non, y'en a plein qui se. [02:11:17] Speaker D: Lament comme des pantins désarticulés là, ils rendent fou. [02:11:21] Speaker E: Tu fais Jésus, clairement quand tu se lames c'est Jésus ou béton tu vois. [02:11:24] Speaker B: Il faut bien tenir. Moi j'ai jamais fait parce que ça me stresse. [02:11:28] Speaker E: Moi aussi c'était ma première fois. [02:11:30] Speaker B: Je te félicite parce que... [02:11:32] Speaker E: Tu sais pourquoi je l'ai fait ? C'est juste parce qu'il y avait beaucoup trop de monde derrière moi pour que je puisse sortir. Je me suis dit c'est plus facile de passer par là. J'ai fait ça pour l'or nachor. J'ai fait... Je vais me mettre au-dessus. [02:11:47] Speaker A: Excuse-moi, tu peux me propulser ? [02:11:50] Speaker E: Non mais c'était ça en plus. [02:11:53] Speaker B: C'est courageux, aller en concert comme ça. Après encore, il y a du plein air, donc peut-être que le fait d'avoir un peu le nom, ça se n'enlève pas. [02:11:59] Speaker E: En vrai, quand je suis à l'intérieur du public, ça ne me fait pas tant flipper que ça, tu vois. Et quand je regarde les rediffs, tu vois, sur Arte, etc. Là, j'étais là-dedans. [02:12:08] Speaker B: Et là, je peux te faire une. [02:12:09] Speaker E: Crise d'angoisse de l'enfer. [02:12:11] Speaker A: Parce que quand tu vois la vue aérienne, tu te rends plus compte de la quantité de gens qu'il y a autour. [02:12:15] Speaker E: D'où le fait que je ne sois jamais montée dans la fameuse grande roue. [02:12:19] Speaker B: Pour éviter de voir ça, oui, effectivement. Il y a un autre groupe que tu as choisi, qui est très très bon aussi, qu'on a déjà diffusé ici, qu'on aime beaucoup, et je te remercie d'avoir choisi, c'est Hot Milk, avec 90 Seconds to Midnight. Vas-y raconte-nous pourquoi, comment. Parce qu'elle aime le lait chaud ! [02:12:38] Speaker E: Bah, fut un temps où cette année je faisais des reports de tous les nouveaux sons qui sortaient chaque mois. Et j'ai découvert Hot Milk via, je crois, ce format-là que je faisais. Et pour moi c'est mon coup de cœur découverte de cette année. Voilà, Hot Milk, du rock mélangé avec quand même du bon scream quand même. Enfin franchement, meilleure découverte pour moi cette année, Hot Milk. [02:13:01] Speaker B: Hot Milk en plus c'est... C'est un duo ? [02:13:06] Speaker E: Oui, il y a une front girl en frontman. [02:13:10] Speaker B: Il y a un échange qui est assez ouf et qui est plein d'énergie. [02:13:14] Speaker D: Avoir en live c'est encore mieux. [02:13:16] Speaker B: Ah ben voilà ! Vous avez vu, quand Gladys a dit avoir en live, j'avais eu les yeux de moqueur. Non mais c'est cool, c'est ça aussi que fait le rock'n'roll, c'est quand on va sur scène on est juste comme des gamins et d'un seul coup on a trop envie de... [02:13:33] Speaker E: C'est pas forcément tu vois un style métal bourrin tu vois, je pense que c'est beaucoup plus rock et posé, moi j'aime bien. C'est vachement, c'est pas du tout linéaire comme morceau, ça fait... Moi je trouve ça super intéressant musicalement parlant. Let's go. [02:13:47] Speaker B: Ah bah c'est parti, elle l'a dit. [02:14:26] Speaker C: Le manifeste, c'est tout un délire, c'est les meilleurs amis des magazines et de Tesco. Vous écrivez un essaye sur ce que vous voyez, 3 bites et je suppose que vous pensez que c'est vrai, alors... 4 interchanges et un monde qui va dire au revoir. Ils ont un bouquet d'ennemis et un baptême et un crucifixion. La guerre est en feu, c'est tout perdu. T'es un frère ! Taste the blade and curse the stake Deep in the abyss there should not be The end awaits, just out of view Strengthened by choices made by you Silently in the air As if the end had sped up its flight On the stage with trembling hands Now every scream just fades to dust C'est parti ! [02:20:39] Speaker B: Et bien voilà ! [02:20:40] Speaker C: Hola ! [02:20:41] Speaker B: Excusez-moi ! Hola ! Oh yeah ! [02:20:44] Speaker A: Ça papaye ! Ça vous dirait un ice-cream avec mon amie et moi ? [02:20:48] Speaker B: Ah bien vu, bien vu, bravo, belle référence. Bon là par contre la référence, ce groupe-là, il n'est jamais passé dans Bang Bang et j'avais envie de vous le partager parce qu'on aime à diffuser aussi les groupes qui sont un peu plus petits pour les faire découvrir. Après, on aime ou on n'aime pas, ça, ça dépend des goûts. Mais ça s'appelle Life Cycles, donc les cycles de la vie, avec The End Still Awaits. [02:21:06] Speaker A: Ah la fin attend toujours. [02:21:08] Speaker B: Bon alors, petit commentaire ? [02:21:10] Speaker D: Non mais c'est ce que je disais, j'aime et en même temps il y a un truc qui me dérange. [02:21:14] Speaker E: C'est déjà vu pour moi. [02:21:15] Speaker A: Faut peut-être écouter d'autres titres pour savoir, c'est un avis. [02:21:18] Speaker D: C'est pour ça que je ne vais pas me baser que sur ce titre. [02:21:20] Speaker A: Il y avait des petites choses intéressantes. [02:21:21] Speaker E: Il y avait des riffs cools, musicalement parlant c'est bien travaillé mais ça reste déjà vu pour moi. [02:21:25] Speaker B: Après ils font ça un petit peu à l'ancienne, je regarde là, c'est marqué, bon ils sont de Saint-Antonio, bon ça c'est pas de chance. Après il y avait quand même... [02:21:35] Speaker A: Il y avait... Comment il s'appelle ? [02:21:38] Speaker B: Zorro ! [02:21:41] Speaker A: Il y avait Tipeee, Tony Parker à San Antonio, les Spurs. [02:21:45] Speaker B: Tout s'explique, c'est pour ça qu'ils sont énervés. C'est un mélange de hardcore et de thrash metal et ils s'inspirent aussi beaucoup... Et il s'inspire beaucoup de la scène textile. [02:21:59] Speaker A: Je devrais peut-être parler de musique. [02:22:01] Speaker D: T'es pas si mauvais que ça. [02:22:04] Speaker A: Je vais arrêter les blagues et je vais faire des vraies critiques maintenant. [02:22:07] Speaker B: Tiens, t'es moche. [02:22:09] Speaker A: C'est une critique, voilà. Non, c'est pas vrai, t'es un canon. [02:22:14] Speaker B: Ça c'est pas totalement vrai non plus. Il y a une personne ce week-end. [02:22:18] Speaker A: Qui m'a dit... Ah bah je vois. [02:22:20] Speaker B: Qu'Ils ont toujours pas poussé tes cheveux. Il m'a dit par contre le ventre a pris un peu plus de volume. [02:22:27] Speaker A: Heureusement que je n'ai pas vu cette personne parce que qu'est-ce qu'il m'aurait dit ? [02:22:30] Speaker B: Il n'a pas les mêmes attentes avec toi, je ne pense pas. Enfin je me permets d'y aller. Je ne sais pas, peut-être qu'il aurait eu envie. [02:22:36] Speaker D: C'est le Strasbourgeois ? [02:22:37] Speaker B: Non, le Congolais. [02:22:40] Speaker A: J'adore ces petites pâtisseries avec la noix de coco. [02:22:45] Speaker B: Non, le Strasbourgeois, Evan, mais laisse un dans l'autre. L'ami. L'ami Strasbourg. Il s'appelle Olivier l'ami. [02:22:52] Speaker A: L'ami fourreur. [02:22:56] Speaker B: L'autre il se marre d'un. L'autre il est en délire, il s'éclate là. Aujourd'hui, il est content d'être là aujourd'hui Marcel. [02:23:01] Speaker A: Je sais pas pourquoi. Je pense qu'il a vu les petits stickers bang bang, ça lui a fait bang bang dans le cerveau. [02:23:10] Speaker B: Ou dans la culotte. [02:23:12] Speaker D: Alors que vous ne le voyez pas mais moi je le vois tout le long. [02:23:18] Speaker A: En fait Gladys avec ses petits stickers c'est un peu comme les femmes robots dans Austin Powers. [02:23:30] Speaker B: Ah bah nous on fusille du sein, ça c'est sûr. Moi j'arrive, comme vous disiez, j'arrive à ouvrir des vitres moi avec mes tétons tellement ils sont gros et ils sont très durs. [02:23:39] Speaker A: C'est des diamants, lui il pointe mais laisse tomber. [02:23:42] Speaker B: Quand je pointe c'est vraiment hyper dur, c'est comme un ongle. Quand je fais comme ça je peux déchirer la peau de mon partenaire. [02:23:49] Speaker E: Tu peux ouvrir les conserves avec tes tétons ? [02:23:50] Speaker B: Ah bah je peux. [02:23:51] Speaker D: Cette conversation n'a aucun sens. [02:23:54] Speaker B: Écoutez on peut bien faire une émission mignonne et rigolote. On donne des conseils quand vous avez des gros tétons, bah ouvrez des boîtes de conserves. C'est juste que ça coule un peu comme ça mais bon au final... [02:24:08] Speaker A: C'est vraiment le meilleur choix ! Ça, une boîte de thon. [02:24:14] Speaker B: Alors bon, justement, en parlant d'art, on va revenir à toi, Mô, puisque ta vie, c'est de l'art, c'est quelque chose d'artistique en permanence, autant dans l'attitude que dans ton attitude vestimentaire, ton attitude capillaire, ton attitude artistique. [02:24:31] Speaker E: Moi. [02:24:32] Speaker A: Everywhere. [02:24:33] Speaker B: Est-ce que tu as la pression de. [02:24:36] Speaker A: Trouver de nouvelles idées ? C'est juste ce qui te passe par la tête. [02:24:40] Speaker E: De quoi ? [02:24:40] Speaker A: Par rapport à quoi ? Non mais parce que t'as des... [02:24:44] Speaker E: Tu vas y arriver. [02:24:46] Speaker B: Oui. Du moins j'espère. [02:24:50] Speaker A: C'est comme ma petite sœur. [02:24:52] Speaker B: T'es trop contente. Tu vas nous la transformer. [02:24:57] Speaker A: Non mais forcément, il y a beaucoup de gens qui... Parce que tu partages aussi tes looks, tu fais des petits outfits et tout ça. C'est souvent cool d'ailleurs. Enfin, il y a une recherche et un machin. Est-ce que du coup, tu n'as pas un peu la pression des gens qui vont te dire... Parce qu'il y a des gens qui te suivent pour ça, j'imagine. Et du coup, est-ce que tu te fous un peu la pression de trouver des trucs originaux ou est-ce que tu t'en balèques ? [02:25:24] Speaker E: Alors je dirais pas, je me fous la pression mais... Des fois tu te forces à t'habiller. Ah non jamais. Genre je me force jamais à faire du contenu déjà. Genre si j'ai envie de faire une pause que ce soit pour ma santé mentale ou même juste bah j'ai pas d'inspiration ça sert à rien parce que ce que je vais sortir ça va pas me plaire. Je trouve pas ça constructif. Mais dans la mode on a un truc qu'on appelle la pièce forte. Donc faut trouver une pièce forte et après en faire une tenue avec. Et du coup bah j'essaie de trouver une pièce forte et après de l'assembler et surtout de faire quelque chose qui n'a pas déjà été fait sur mon compte ou ailleurs. et c'est pas une pression du coup c'est plus une recherche tu vois ça peut durer deux jours où je vais dessiner les croquis de mes tenues etc et quand j'ai trouvé bah ça sort quoi. [02:26:06] Speaker A: Ah ouais donc tu dessines et tout ? [02:26:08] Speaker E: Je dessine, je fais de la musique, je tourne. [02:26:09] Speaker A: Pour trouver des lignes et tout ça quoi. [02:26:12] Speaker B: Elles sont pas plus complexes que ce que j'imaginais. [02:26:14] Speaker A: Toi Pierre tu fais comment pour choisir comment tu vas t'habiller tous les jours ? [02:26:16] Speaker B: J'ouvre le placard ! J'ouvre mon placard et je me dis bon ça, ça va pas avec, bon c'est pas grave, on verra la semaine prochaine. [02:26:22] Speaker E: Non, elle est super belle ta petite chemise. [02:26:24] Speaker B: Merci, c'est gentil, mais bon. Je change assez rarement. Après, je suis très classique côté vêtements j'avoue. [02:26:31] Speaker E: C'est pas les vêtements qui font la personnalité, t'inquiète pas. [02:26:34] Speaker B: Ça définit quand même pas mal les gens les vêtements, non ? [02:26:38] Speaker E: Ben disons que je trouve que les vêtements, il y a des gens qui sont juste eux-mêmes. Je ne suis pas en mode je vais réfléchir à comment je vais m'habiller mais il y a beaucoup de personnes qui, par leur timidité, influencent leur look, tu vois ce que je veux dire ? Qui arrivent à extérioriser leur personne par leur style vestimentaire. [02:26:58] Speaker B: C'est souvent ce qui est très expressif justement, ce qu'ils dénotent et ce qu'ils se remarquent. Mais c'est marrant parce que c'est vrai que c'est utilisé de faire ça, d'être décalé aussi dans les vêtements. C'est utilisé par des gens qui sont souvent timides et qui veulent exprimer quelque chose alors qu'en vérité on les voit beaucoup plus et que malheureusement les gens sont assez durs là-dessus. [02:27:17] Speaker E: En fait ça leur permet souvent d'ouvrir le dialogue qu'ils n'auraient pas forcément osé le faire s'ils étaient habillés en normie. [02:27:26] Speaker B: Ça permet de trouver des gens de la même communauté aussi ? [02:27:28] Speaker E: Aussi, ouais. [02:27:29] Speaker B: Du coup, on se reconnaît aussi par nos vêtements. [02:27:32] Speaker E: Après, on n'est pas tous copains parce qu'on a le même style. [02:27:35] Speaker B: Oui, ça j'imagine bien. Il faut quand même qu'on s'entende. [02:27:38] Speaker D: Il y a certaines personnes qui portent un style vestimentaire mais qui n'ont même pas la culture du style. [02:27:42] Speaker E: Aucune connaissance, exactement. [02:27:43] Speaker B: C'est de pire en pire. Même dans des cultures extrêmes comme ça ? [02:27:46] Speaker E: Ah oui, non, non. C'est de pire en pire, surtout chez les meufs. [02:27:48] Speaker B: Ah bon ? [02:27:49] Speaker E: Oui. [02:27:49] Speaker D: Enfin, moi j'ai déjà vu des coupons qui n'avaient aucune référence dans la scène punk. Ils ne savaient même pas ce que c'était vraiment. [02:27:55] Speaker B: Non mais je... [02:27:56] Speaker A: Je rigole, c'est une blague, c'est une blague. [02:27:59] Speaker B: Ne me frappez pas ! [02:28:00] Speaker A: Cite-moi trois chansons ! [02:28:02] Speaker D: Non mais tu parles cinq minutes à la personne et il te sort que Bérurier noir et Guéria poubelle et t'es là... C'est pas du punk en fait, donc... [02:28:12] Speaker B: Mais ça, ça s'applique dans tous les domaines. Tu penses même que dans la culture extrême, parce que c'est quand même quelque chose d'aller jusque là, tu te perces, etc. C'est pas donné à tout le monde de pouvoir le faire. C'est pas donné à tout le monde à qui ça va déjà aussi. [02:28:25] Speaker E: Il faut surtout te dire que oui, on va te juger et il faut avoir les couilles, si je peux me permettre. [02:28:32] Speaker A: Le mental. [02:28:33] Speaker E: Exactement, pour être plus raffinée. De se dire, ouais on va te regarder, mais tant que toi ça te fait kiffer, il faut que tu fasses abstraction du reste. Et ça j'ai mis du temps à le faire, mais une fois que t'as passé ce cap là, tu vis ta meilleure vie en fait. Et à la rigueur c'est quand tu sors et que les gens ne te regardent pas et que tu te dis merde je me suis pas assez bien habillée. Et quand t'as passé ce cap là franchement t'es en mode meilleure vie. [02:28:59] Speaker B: En plus, après, quand tu choisis d'être sur Internet, c'est encore pire, parce que là, du coup... [02:29:02] Speaker E: Quand tu t'exposes en ayant un style en plus, pas dans les normes, oui, c'est encore pire, mais tu sais à quoi tu t'attends, entre guillemets, maintenant, avec Internet. Donc il faut... C'est comme ça. [02:29:14] Speaker B: Y'a ça mais après t'as une communauté qui est quand même super présente, super bienveillante et j'ai pas trop l'impression que les gens soient si méchants. [02:29:28] Speaker E: J'ai eu une fois un bad buzz parce que j'ai osé porter un pull de Marilyn Manson. Voilà. Et il y a eu beaucoup de menaces de trucs pas très cool. [02:29:39] Speaker B: Ah bon ? [02:29:40] Speaker E: Ah oui, ça allait très loin. [02:29:41] Speaker B: C'est-à-dire que ces gens-là critiquent les gens violents en étant violents eux-mêmes ? [02:29:43] Speaker E: Exactement ! L'intelligence humaine. Sinon, j'ai des gens qui sont vachement cool, même sur mon Pinterest du coup, parce que ça repartage automatiquement d'Instagram à Pinterest. J'ai beaucoup de gens qui enregistrent mes looks et tout, donc c'est cool. [02:29:59] Speaker B: Il y a des gens qui t'ont remercié ? [02:30:02] Speaker E: Oui, j'ai souvent des petites jeunes que je rencontre en concert. [02:30:06] Speaker D: Des petites jeunes qu'elle dit ? [02:30:07] Speaker B: Des petits jeunes qui ont 5-6 ans. [02:30:13] Speaker A: De plus qu'elle quoi ! [02:30:15] Speaker D: Nous on fait partie de la préhistoire en fait. [02:30:16] Speaker E: Non mais dans ma tête j'ai votre âge aussi, il faut se dire ça. Donc quand je parle comme ça, désolé mais j'ai des petites jeunes ! [02:30:22] Speaker A: Non mais c'est vrai que quand on parle avec toi, tu fais pas de tournage. Non je fais pas de montage. [02:30:27] Speaker E: Je le sais malheureusement. Mais tu vois j'ai des petites jeunes qui viennent me voir et qui me disent bah merci, t'as réussi à faire que je m'accepte plus et genre je trouve que c'est la plus belle réussite qu'on puisse avoir. Ça me fait même pas plaisir à mon égo, ça me fait plaisir pour la personne que j'ai en face en fait et je suis en mode si je peux aider au moins ça c'est cool. [02:30:46] Speaker B: C'est vrai, à s'accepter, à valider ses choix aussi. Comme tu as dit, à passer ce cap. Bon, finalement, j'en ai plus rien à foutre du regard des gens. [02:30:54] Speaker E: C'est un cap compliqué, mais une fois que tu l'as passé, tu vis ta meilleure vie. [02:30:58] Speaker A: Tu reprends ce qu'il te reste à faire, Pierre. [02:31:00] Speaker B: J'aurais dû essayer de la garder, cette mèche solide. [02:31:02] Speaker A: Non, celle-là, je pense que c'était pas... Quand le chanteur d'Aïfa, il te l'a volée, je pense que ça voulait dire que... [02:31:12] Speaker B: Il fallait que je passe à autre chose. [02:31:12] Speaker A: Il fallait que tu tournes la page. [02:31:14] Speaker B: L'art aussi alternatif, il est développé, mais est-ce que c'est facile d'y rentrer ? Est-ce que c'est un peu fermé comme milieu ? [02:31:23] Speaker E: Quel style d'art ? Parce que c'est différent. [02:31:27] Speaker B: Moi je mets tout, que ce soit photos, tattoos, vêtements, il y a beaucoup de domaines. Parce que t'as un peu tout ça en même temps. [02:31:37] Speaker E: Ouais, clairement. Je pense qu'à partir du moment où t'es ok avec le fait que t'es bizarre pour le bas-peuple, Pour une fois que t'es ok avec toi-même, c'est facile de rentrer dans n'importe quel cercle de gens comme toi. Comme toi. Après ça se fait de fil en bique. [02:32:06] Speaker B: Il n'y a pas de rejet, etc. Je vais parler de quelque chose que je ne connais pas mais dont on m'a parlé, c'est le milieu gothique. Et on m'a dit, tu sais, c'est pas forcément super simple d'être accepté par cette communauté. Il y a plein de trucs à prouver, etc. J'ai trouvé ça un peu rude. [02:32:23] Speaker E: C'est totalement stupide en fait. C'est un peu comme dans la musique avec les vrais métalleux. [02:32:28] Speaker A: Oui, avec les keepers. [02:32:29] Speaker E: Pareil avec les gothiques où si t'es pas une gothe traditionnelle, donc avec le make-up full blanc, c'est bien traditionnel, t'es pas gothique. Alors qu'à la base le mouvement gothique c'est surtout une musique avant d'être un look. Donc c'est totalement stupide et du coup il y a des rivalités dans ce style là. C'est pour ça que moi je me considère comme alternative parce que si j'allais me foutre en survêt je vais le faire, j'ai pas à me catégoriser dans. [02:32:55] Speaker B: Un style... Oui tu t'empêches pas... Ah. [02:32:58] Speaker E: Non non si je vois un t-shirt rose bonbon je vais l'acheter tu vois. [02:33:00] Speaker B: Genre... Oh ça j'avais pas de doute. [02:33:01] Speaker E: Mais... Non, non, je me mets pas dans une case en mode oui j'ai tel style, c'est tel style. Non, moi je m'en fiche. Tant que je suis bien dedans, c'est le principal. [02:33:10] Speaker B: Il y a donc du challenge, il y a du partage, il y a plein de trucs comme ça. T'as réussi à te faire une place quand même dans... Les gens qui sont connus dans le milieu alternatif ? Dans l'image en tout cas ? [02:33:23] Speaker E: Tu parles au niveau des marques ? [02:33:24] Speaker B: Ouais, les marques, les photographes, les... [02:33:27] Speaker E: Là, récemment, j'ai fait un workshop en tant que modèle. Je ne sais pas si vous connaissez Richard Dumas. [02:33:34] Speaker B: Je n'y connais rien, je... [02:33:35] Speaker E: Tu vois, tu vois... Voilà. The best of the best. [02:33:40] Speaker B: C'est pour les gens qui ne connaissent pas, peut-être ? [02:33:41] Speaker E: Vas-y, vas-y. [02:33:42] Speaker A: Non, mais il est très réputé. Après, moi, je connais son nom sans... Enfin, je ne suis pas un spécialiste de cette personne. Mais ce que je veux dire, c'est que moi, qui ne m'intéresse pas au photographe, je connais son nom. [02:33:55] Speaker E: Richard Dumas, il travaille, il fait tout ce qui est couverture de journaux, il prend les stars en photo sur les défilés, c'est un vieux de la vieille. Donc ça c'était cool. [02:34:06] Speaker B: Il a de la bouteille. [02:34:07] Speaker E: Ah clairement. C'est cool d'avoir un avis constructif. [02:34:11] Speaker B: D'avoir un échange avec ce genre de personnes. [02:34:13] Speaker E: Et moi j'attends que ça des critiques pour m'améliorer. Je suis vraiment pas fermée au truc de tout est parfait. Dis-moi les choses qui ne m'ont pas pour que je puisse évoluer par dessus. Et c'était une super expérience d'ailleurs. Après au niveau marques, plus les années passent, plus j'arrive à décrocher des belles marques quand même, donc je suis contente. [02:34:34] Speaker B: Mais qui restent quand même pas dans la norme. [02:34:38] Speaker E: Ah bah oui, Killstar, tu vois tout ce qui est Killstar, je travaille avec du rock, Heavies aussi pour la musique. C'est cool, Flibustier aussi. [02:34:46] Speaker B: Oui, bien sûr, c'est des belles marques, mais c'est juste quand on a assez... [02:34:49] Speaker A: Des marques qui ont quand même un... [02:34:51] Speaker E: Ils sont alternatifs ? Ah bah oui, après les autres marques, j'ai reçu des DM au niveau de Adidas, etc. Mais en fait, j'aurais pu, tu vois. Sauf que je reste raccrochée à ma DR, c'est-à-dire alternative, et je vois pas l'intérêt de partager à ma communauté, qui est en grande partie alternative, des choses qui ne me correspondent pas. [02:35:11] Speaker A: C'est une question que je voulais te poser parce qu'il y a ce truc où Quand tu développes une image qui est très personnelle, quand tu commences à ajouter des tatouages, des piercings et tout ça, tu te façonnes. Au-delà de juste un visage ou un truc comme ça, c'est qu'il y a aussi l'expression de ta personnalité adversaire. Je pense que ça doit rentrer un peu en ligne de compte dans les marques avec qui tu veux t'associer. [02:35:40] Speaker E: Plus t'as une gueule bizarre, plus tu rentres dans ce milieu aussi. [02:35:45] Speaker A: Mais du coup, il y a ce truc où tu veux aussi... Il faut que tu sois bien en accord avec... Parce que tu donnes vraiment de ton image. Je veux dire... Quand t'es une jolie fille, tu peux faire plein de campagnes, mais on te reconnaît quand même moins facilement que quand t'as des features aussi marquées. Donc, il y a un côté quand même où, dans le choix, tu dois vachement réfléchir à avec qui tu t'associes et aussi si t'as envie de, en tant qu'artiste, quelque part, donner de toi au projet. [02:36:25] Speaker B: Après, je vais être assez terre à terre, mais il y a la question d'argent. Je veux dire, si à un moment, tu as besoin d'argent, tu peux pas. [02:36:31] Speaker E: Je refuse. Là, récemment, j'ai encore Temu qui était sur mes côtes. J'ai eu une proposition à 4000 euros pour un Reels. Sauf que j'en ai eu beaucoup, d'ailleurs, des marques, même hors dropshipping, etc., qui sont venues me contacter. Mais tant que ça ne respecte pas mes valeurs, mon éthique et surtout ma DA, mon style vestimentaire, c'est non. Je préfère manger des pâtes que de me regarder dans le miroir et de me dire je vends de la merde à mes abonnés. J'ai une responsabilité, d'où le terme influenceur pour moi qui n'est pas une insulte. On influence vraiment les gens, que ce soit dans la musique, etc. À partir du moment où tu donnes ton avis à des gens, tu influences. Donc moi, le terme influenceuse ne me dérange absolument pas. [02:37:16] Speaker A: À partir du moment où tu contrôles comment t'influences C'est ? [02:37:19] Speaker E: Ça, moi je fais de la promotion pour des marques, j'influence des gens à acheter, donc forcément je catégorise là-dedans. [02:37:26] Speaker B: Mais ça reste des marques choisies ? [02:37:27] Speaker E: Oui, minutieusement. [02:37:29] Speaker B: Des trucs précis qui font partie de. [02:37:32] Speaker E: L'Univers et de l'éthique. [02:37:34] Speaker A: Après, ce que je trouve cool aussi, c'est que malgré tout, même quand tu fais des partenariats, tu te prends un peu la tête pour faire un truc cool. Je me souviens avoir vu le Killstar avec le faussant. [02:37:49] Speaker E: Non, j'ai fait une campagne. Killstar a fait un feat avec Ice Nine Kills et ils me donnent jamais de directive, ils me disent juste fais nous de la com', tu vois. Et moi je suis partie en cacahuète et j'ai fini recouverte de miel avec du colorant alimentaire rouge pour... pour faire la campagne Killstar Feat à Snakey's. [02:38:07] Speaker B: En même temps, on peut pas imaginer que tu fasses quelque chose de simple. [02:38:11] Speaker E: Je pourrais, ça serait la facilité, mais j'ai pas envie. [02:38:13] Speaker A: Le truc avec l'aquarium, c'était quoi ? [02:38:14] Speaker B: Il y avait pas un truc où. [02:38:16] Speaker E: Tu... Ah, où je me foutais la tête dans l'eau ? Ça, c'était pour un petit jeune qui a trouvé un produit et je devais lui faire de la promotion gratos et je me suis dit, je vais me foutre la tête dans un bac d'eau, ça rendra bien. Au final, c'était cool. [02:38:30] Speaker A: Mais du coup elle construit des petits... Elle fait ses petits set-up et tout... [02:38:35] Speaker E: En fait j'avais essayé d'acheter des bacs, tu sais, de rangement là, assez grands, j'ai foutu de l'eau, j'ai mis deux lights sur les côtés pour que ça fasse des angles bien, j'ai foutu ma tête dans l'eau, j'ai mis ma cam en automatique et je faisais... je criais dans l'eau, tu vois, mais dans mon bac ! Et ça rend trop bien, vraiment, je suis contente. [02:38:52] Speaker B: Merci Action. [02:38:56] Speaker A: C'est bien quand même de continuer, même dans les créations, dans la manière dont tu promeux. [02:39:04] Speaker E: Oui, promeux, bien. [02:39:06] Speaker A: Il m'entend parler français tout au long de la journée. Est-ce que je suis américain ? J'ai oublié le français. [02:39:14] Speaker E: On dit comment en français ? [02:39:16] Speaker A: Comment dire ? [02:39:17] Speaker E: Baguette ! [02:39:19] Speaker A: Non mais c'est bien, quand même, tu te prends la tête, tu fais pas juste un truc où tu fais « Eh salut, bah allez acheter ça ! [02:39:25] Speaker E: » Jamais de la vie. Genre moi je trouve ça façade, ouh, fade, et... Enfin, je me mets à la place des gens qui sont derrière, genre. C'est pas intéressant. [02:39:34] Speaker B: Après aussi dans ta tête ça va à 1000 km heure donc il y a mille idées à la seconde. Non mais il faut aussi... Tout le monde n'a pas ça. [02:39:42] Speaker A: C'est aussi le côté plus artiste quoi. [02:39:44] Speaker E: C'est le côté artistique et puis c'est le côté où quand quelque chose m'inspire vraiment j'ai envie de me donner à fond peu importe s'il y a du cash ou pas derrière en fait. [02:39:52] Speaker B: Ouais. T'as juste envie de créer quoi. [02:39:55] Speaker E: Exactement, c'est ça. [02:39:57] Speaker B: Ça passe par tous les niveaux, encore une fois, le dessin, le machin, pour toute l'histoire, créer l'univers, etc. T'es à tous les niveaux, y'a pas besoin d'être toute seule. [02:40:06] Speaker E: Je suis toute seule tout le temps. Genre toutes les photos, la plupart du temps que vous voyez sur mon Instagram, c'est moi qui les fais toute seule. Pour rentabiliser la formation à 4000 euros. [02:40:21] Speaker B: Très bien, c'est une bonne raison. On va passer à un clip ? [02:40:24] Speaker A: Non, d'abord on va choisir un mot. [02:40:26] Speaker B: Patate. Pourquoi ? Parce que c'est pour repartir avec vos places pour le concert de Rise of the North Star. On vous en a déjà donné deux, on ne va pas les redonner. Mais il y a le troisième mot qui est le mot patate. C'est rempli d'eau et d'amidon. Ce n'est pas forcément bon pour tout le monde. [02:40:42] Speaker A: Comme Valérie. [02:40:43] Speaker E: Les frites. [02:40:45] Speaker B: Valérie d'amidon. [02:40:46] Speaker E: Elle est pas mal celle-là. [02:40:49] Speaker B: Vous avez les trois mots, il en reste encore un, mais que lorsque vous aurez le dernier mot, il faudra m'envoyer un message, un mail à pierre.arrobas.com avec les quatre mots, votre nom, votre prénom. C'est très important pour repartir avec vos places pour aller voir Rise of the North Star, concert archi-complet du côté de samedi, du côté de l'Olympia à Paris. Il faut être disponible, parce que si vous jouez et que vous ne pouvez pas y aller, Je vous en dégage une. Allez, on va passer au clip. Oui, je suis très sympa. Au clip, et justement, un clip qui en fout une dans la gueule, encore une fois, en groupe, en tout cas, qui a tout dit. [02:41:22] Speaker A: Si c'est sympa, on se sert la main. Elle est bon public, franchement, viens plus souvent, s'il te plaît. Regarde, elle, elle me déteste. [02:41:32] Speaker D: Elle était nulle. [02:41:33] Speaker E: Moi, je suis bon public aussi. [02:41:35] Speaker B: Il y a un foie un peu. [02:41:36] Speaker C: Pour tout le monde. [02:41:36] Speaker B: Tu représentes les gens qui n'aiment pas. [02:41:37] Speaker E: Les gratitude, la positivité. [02:41:41] Speaker A: La positive attitude ! [02:41:43] Speaker E: Je suis aigrie mais aujourd'hui je suis sympa. [02:41:45] Speaker D: Regarde ton futur. [02:41:52] Speaker E: Elle est pas mal. [02:41:54] Speaker A: Parce qu'il y a quand même un fond de vérité là-dedans. [02:41:59] Speaker B: Paleface Swiss ! Voilà, c'est le troisième et dernier clip que tu as choisi avec River of Sorrows. Cette belle rivière ! [02:42:10] Speaker E: Pour moi c'est, en dehors de tous les albums qui sont sortis cette année qui sont juste incroyaux, t'en as eu tellement, pour moi celui-là c'est celui qui m'a le plus touchée personnellement sur toute cette musique-là. Je sais pas si je t'ai envoyé celle qui est en instrumental ou la normale. [02:42:28] Speaker B: Alors moi j'ai mis le clip classique. [02:42:30] Speaker E: Ok, parce que j'en ai une qui est en instrumental aussi, mais les deux je les aime bien. Et en fait, cette musique là, elle m'a fait chialer. [02:42:36] Speaker A: Celle-là aussi ? [02:42:37] Speaker E: Ah ouais, non. Mais celle-ci elle est vraiment incroyable, que ce soit au niveau des paroles aussi. Tu supposes que ça parle pas de. [02:42:46] Speaker B: Choses très très joyeuses. [02:42:48] Speaker A: River of sorrows, c'est saumon en anglais. [02:42:50] Speaker E: C'est la rivière des saumons fumées. [02:42:53] Speaker B: C'est la rivière des saumons fumées. [02:42:58] Speaker A: Par les ours, coup de griffe, coup de griffe ! [02:43:00] Speaker B: C'est con, putain ! On y vient ! Ça parle de quoi exactement ? [02:43:09] Speaker E: Rebirth of sorrow, c'est une chanson de rupture amoureuse et de tout ce qui s'en apparente, donc la dépression. Le clip est super beau aussi, ça change je trouve dans le métal, donc allons-y ! [02:43:27] Speaker D: En live elle était très cool aussi. [02:43:29] Speaker E: En live il l'a fait dans la guitare, je pleure. [02:43:32] Speaker B: On va regarder ça. Je fais la découverte parce que celle-là on l'a pas passée je crois pas. [02:43:39] Speaker E: C'est vraiment pas la... [02:43:40] Speaker A: On les a toutes passées. [02:43:43] Speaker B: C'est vrai que Marcel nous oblige, il nous menace. Bon bah c'est parti alors, énième menace. Paleface Swiss. S'il vous plaît, dites-moi, comment vous sentez-vous ? It's hard to take It's hard to break For you I'm a pawn to. [02:45:03] Speaker C: Sacrifice Tried to make amends I've tried to pretend Yet somehow it always creeps. [02:45:17] Speaker B: Back in Feels like yesterday. [02:46:02] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Oh putain ! C'est parti ! C'est la fin de cette vidéo. ON NE SE COMPTE PAS ! [02:54:12] Speaker D: J'en connais d'autres. [02:54:13] Speaker B: Alors, alors, alors... [02:54:15] Speaker A: J'ai fait exploit que ça déborde. [02:54:19] Speaker B: Mais j'aime quand ça déborde. Ça dépense, ça dépasse. J'aime la douleur Ben, j'aime la douleur. Diluviane ça s'appelle. Mais tu t'entêtes à te foutre en. [02:54:27] Speaker A: L'Air et tout, pourvu qu'elle soit douce. [02:54:30] Speaker E: Oh waouh, c'était beau ça. [02:54:31] Speaker A: C'est Mylène Farmer. [02:54:33] Speaker E: Tu t'entêtes... Diluviane. [02:54:37] Speaker B: Tu t'entêtes à te foutre en l'air. [02:54:38] Speaker C: Et tout, pourvu qu'elle soit douce. [02:54:41] Speaker B: Donc ce que nous venons de voir, désolé, c'est... on est un peu... mais c'est normal. [02:54:46] Speaker A: C'était pas Mylène Fermeur. [02:54:47] Speaker B: C'était pas Mylène Fermeur, non, ce sont des... alors, moi je dis belge, mais franco-belge on va dire. Ça s'appelle diluvian, D-I-L-U-V-I-A-N, pour ceux qui écoutent le podcast. Et la chanson s'appelle Opaline. [02:54:59] Speaker E: Et ça défonce, clairement. [02:55:01] Speaker B: Alors ouais, tu voulais dire quelque chose. [02:55:03] Speaker E: Sur... Ah oui, désolé les gars pour l'OP que j'ai pas pu faire, mais ça déchire. [02:55:10] Speaker B: Elle nous a dit sincèrement, c'est trop bien, j'adore, etc. Alors le morceau, effectivement, c'est progressif, donc c'est pour ça que le morceau est assez long. Ça va dans tous les sens. Moi, j'avoue que la première écoute que j'ai eue, j'ai pas compris. Je me suis dit, c'est un peu complexe. Pareil, j'ai aimé le clip, qui est assez simple en soi, mais j'aime bien le côté, les lumières, comme ça. Je me suis demandé si c'était vrai ou pas, d'ailleurs. [02:55:31] Speaker A: C'est des vraies lumières ? [02:55:32] Speaker B: Les lumières, ouais. Si c'était juste un fond vert. Ou en rajout ? [02:55:34] Speaker A: Non, pour moi, c'est pas vrai. [02:55:36] Speaker B: Mais je ne sais pas comment on peut capter, donc je ne sais pas. [02:55:39] Speaker A: Si c'était faux, ça ne les éclaire pas. [02:55:42] Speaker B: Je me suis dit peut-être qu'on peut quand même tricher. [02:55:45] Speaker E: On leur demandera au pire. [02:55:47] Speaker B: Ils nous le diront. C'est des vraies lumières. Ils savent que le clip passe aujourd'hui. [02:55:51] Speaker A: C'est des vraies lumières. [02:55:52] Speaker B: Merci Ben. [02:55:53] Speaker E: Je crois que c'est des vraies lumières. [02:55:55] Speaker D: C'est des vraies lumières. [02:55:57] Speaker B: C'est beau. [02:55:58] Speaker A: On n'a qu'à voter qui pense que c'est des vraies lumières. [02:56:00] Speaker B: C'est massif. Mais c'est bon ! [02:56:03] Speaker A: Entre nous ! [02:56:05] Speaker B: Entre nous ! [02:56:06] Speaker A: Nous on est des professionnels, on sait ! Mais non, mais Marcel ça ne sert à rien ! [02:56:09] Speaker B: Ça ne sert à rien Marcel ! [02:56:10] Speaker A: Marcel ça ne sert à rien ! On veut voir le tchat ! [02:56:13] Speaker B: Le ch'meule ! Il prend trop de libertés celui-là ! [02:56:17] Speaker E: De ouf ! [02:56:18] Speaker B: Ch'meule ! [02:56:19] Speaker D: Quoi ? [02:56:19] Speaker B: Alors qui l'écrira correctement ? [02:56:21] Speaker A: Non, non, vas-y on demande à Maud de choisir un mot ! [02:56:24] Speaker E: Ah c'est drôle ça ! [02:56:25] Speaker B: Comme il n'y a pas eu assez de jeunes mots justement dans le ch'meule, je pense qu'il en fallait un de plus ! [02:56:31] Speaker E: Poivron ! [02:56:33] Speaker B: C'est le dernier mot, vous devez envoyer donc votre nom, votre prénom, les quatre mots à pierre-resles.com pour rafler les places pour aller voir Rise of the North Star, un concert archi-complet qui a lieu ce samedi du côté de l'Olympia. On sera ravis de vous y voir, enfin normalement, dans cette belle tour d'ivoire. [02:56:52] Speaker A: Nous on y sera. Non, t'y seras pas toi ? [02:56:56] Speaker B: Bah oui, j'espère. [02:56:58] Speaker A: Ah bah non, mais nous on a des places réservées. [02:57:00] Speaker B: Ah d'accord, ok. [02:57:01] Speaker A: On est assis devant là. On est dans les meilleures places. [02:57:05] Speaker B: Oh là là, je vais pleurer. [02:57:07] Speaker A: Bah sûrement. [02:57:07] Speaker B: Je vais pleurer par mes yeux et par mon zgag. [02:57:09] Speaker A: Comme d'hab. Comme dans le métro l'autre fois. [02:57:12] Speaker B: Comme dans le métro, c'est vrai aussi. Bon alors comme t'es une artiste assez complète quand même, on peut pas dire le contraire. [02:57:19] Speaker E: C'est clair. [02:57:20] Speaker A: Un peu comme une galette finalement bretonne. [02:57:23] Speaker E: Une galette bretonne. J'habite en Normandie fais attention à ce que tu dis, le mont Saint-Michel est à nous. [02:57:27] Speaker A: Alors ça je te le dis bien oui. [02:57:31] Speaker D: Voilà ! [02:57:32] Speaker B: Bah est-ce que t'es vraiment sûr ? [02:57:33] Speaker A: Bah oui parce que dans sa folie le Cuenon a volé le mont aux bretons. [02:57:37] Speaker B: Mais donc il était au Breton avant ? [02:57:40] Speaker E: Non, jamais, jamais ! [02:57:41] Speaker A: FAKE NEWS ! [02:57:43] Speaker B: FAKE NEWS ! [02:57:44] Speaker A: Le cuénon, il fait la limite entre les deux. [02:57:47] Speaker B: Mais le cuénon, c'est pas la couenne qu'il y a sur le jambon ? [02:57:49] Speaker A: Non, c'est une rivière. Et ça passait d'un côté, après ça passait de l'autre. [02:57:53] Speaker B: Parce que le jambon, du coup, c'est breton, c'est de la couenne. [02:57:56] Speaker E: C'est plus dans le sud, je dirais. [02:57:59] Speaker B: Bon, très bien. Alors je voulais en venir à ça. [02:58:03] Speaker A: À la galette complète ? [02:58:05] Speaker E: Pourquoi la galette complète ? [02:58:07] Speaker D: Sinon à un moment donné, il y a Amélie qui m'a demandé de poser une question pour elle. [02:58:09] Speaker B: Ah bah vas-y, vas-y. Bah évidemment, bien sûr. L'autre qui ne vient pas travailler. [02:58:13] Speaker A: Amélie qui ne veut pas venir, ouais. [02:58:14] Speaker B: Parce qu'en fait, c'est bourré la gueule et puis qu'elle ne veut pas venir. [02:58:15] Speaker D: Elle fait semblant d'avoir mal au dos. [02:58:17] Speaker A: Elle a mal au dos, elle est en train de pendre des cornes. [02:58:19] Speaker D: Andy, par rapport au modèle alternatif, est-ce que tu arrives à en vivre en France ? Oui. [02:58:26] Speaker B: C'est une réponse rapide, mais... Est-ce que. [02:58:29] Speaker A: Tu peux développer ? [02:58:30] Speaker E: Alors, je ne suis pas millionnaire, mais c'est mon métier implacable. [02:58:34] Speaker A: Ah, ça ne t'intéresse pas ! [02:58:35] Speaker E: Bah alors ça va ! [02:58:36] Speaker B: Non mais ça te permet de manger, de payer ton loyer. [02:58:40] Speaker E: Oui, oui, mais il faut avoir une certaine notoriété sans me jeter des fleurs pour arriver à en vivre malheureusement. [02:58:45] Speaker B: Mais c'est restreint, il n'y a pas 8 millions de gens qui travaillent dans ce domaine-là ? [02:58:49] Speaker E: Non, non. C'est compliqué, mais quand t'y arrives, t'y es pas arrivé en mode facile. Voilà pour répondre à la question. [02:58:57] Speaker B: Et puis, on n'a pas parlé des tatouages, tu es tatouée et tu continues à être tatouée, tu as cette folie qui fait qu'une fois le premier fait... [02:59:06] Speaker E: Non, je veux un full body. [02:59:07] Speaker B: Ah ouais, c'est décidé, tu sais déjà. [02:59:09] Speaker E: Sauf le visage. [02:59:10] Speaker B: Mais nous crânes quand même ? Ou t'es tatouée sur le côté ? [02:59:14] Speaker E: Tout sauf le visage parce que je pars du principe que le visage c'est la première chose qu'on voit chez quelqu'un et que c'est comme le reflet de la personne donc je me vois pas... Déjà que j'ai assez de ferraille sur la tronche, je me vois pas rajouter en plus de l'encre donc c'est le seul... Après le reste, tout ce qui est paume, paume de pied et tout, ça va y aller. [02:59:32] Speaker D: C'est le future lifting qui m'a arrêtée moi. [02:59:36] Speaker E: Oui, toi t'en as sur l'usage. [02:59:38] Speaker D: Oui, mais je voulais en faire plus et j'ai fait non, lifting après. Ils vont tout déformer et tout. [02:59:43] Speaker B: Ils sont bizarres. Non, ils étaient comme ça à la base. [02:59:46] Speaker D: C'est ça qui m'a arrêté. C'est vraiment ça qui m'a arrêté. [02:59:51] Speaker A: Non, mais sinon, il faut faire des trucs, c'est pas grave si c'est un peu tiens, genre tu fais un parchemin, ça devient un parchemin plus long. Je sais pas, c'est une idée comme ça. [03:00:00] Speaker B: Une voiture, ça devient une limousine. [03:00:01] Speaker C: Voilà. [03:00:03] Speaker E: Tatouage, ça va devenir, tu sais, le début de Star Wars. [03:00:06] Speaker B: Ma question c'était, les tatouages que tu te fais sont très beaux, mais ils expliquent quelque chose aussi ? [03:00:15] Speaker E: Alors le premier, oui. Après c'est parti en cacahuètes. [03:00:18] Speaker B: D'accord. [03:00:20] Speaker E: Au début je cherchais un sens, après j'aimais trop ça. J'ai attendu mes 18 ans, j'ai attendu je sais pas combien d'années sur une liste en plus pour être sûre de vouloir la personne que je voulais. Moi j'ai la conscience de me dire que je préfère faire 2000 bornes plutôt qu'avoir un truc raté. J'ai super attendu et j'ai attendu d'être sûre surtout pour faire du coup le premier que j'ai fait qui est du coup des chrysanthèmes la fleur de la mort voilà toujours super gai avec moi Et du coup c'était un hommage pour mon arrière-grand-mère voilà et le papillon que j'adore voilà puis après c'est parti en cacahuètes je vous présente José qui est un petit spermatozoïde de l'espace Ah ouais. [03:01:02] Speaker B: Parce que je veux dire ça c'est un spermatozoïde ? Oui regarde De l'espace ! Mais bien sûr, tu prends pas le. [03:01:08] Speaker A: Temps de les regarder ! [03:01:09] Speaker E: Mais oui ! Après, il y en a qui ont des significations, d'autres non, parce que je pars du principe que s'il y en a un qui me plaît, je vais pas me... Je vais pas me dire, ouais, il faut une signification dans mes tatouages. [03:01:19] Speaker B: Parce qu'il y a des gens qui sont vraiment dans le côté géant de l'effet pour éliminer des choses, mais bon, moi j'ai toujours trouvé ça un peu particulier parce que du coup, c'est quand même sur toi. [03:01:26] Speaker D: Ceux qui sont très tatoués en général. [03:01:28] Speaker E: Au bout d'un moment, tu peux pas trouver des significations. [03:01:31] Speaker A: Personne assez intelligent pour trouver des blagues. [03:01:33] Speaker D: Non, c'est juste à un moment donné, l'amour de l'art aussi en fait. [03:01:36] Speaker E: Bah c'est ça aussi, tu vois, genre... [03:01:39] Speaker A: C'est bon, c'est une blague ! Ok, pardon ! [03:01:43] Speaker E: T'es tatoué toi ? [03:01:44] Speaker A: Non. [03:01:45] Speaker E: Ah bah voilà pourquoi. [03:01:45] Speaker B: C'est pour ça qu'on est pas... [03:01:47] Speaker A: Mais tu sais, je veux dire, nous on a grandi dans une époque... Oh là ! Non non mais... T'avais des clémentines pour meurtre ? [03:01:52] Speaker B: Non non mais... Bah alors, pas loin. [03:01:56] Speaker A: On fêtait pas Noël. [03:01:57] Speaker B: On était juste après cette époque-là. [03:01:59] Speaker A: On fêtait pas Noël, mais... Non, non, mais moi, en fait, pour moi, les tatouages, c'était un truc de subversion. Parce que nous, à notre époque, il n'y avait pas de gens tatoués. [03:02:09] Speaker B: Il n'y avait personne qui tatouait. [03:02:10] Speaker A: Hormis les Marines, etc. Ouais, et les métalleux. Donc moi, les premiers tatouages que j'ai vus, c'est Guns N'Roses. Parce que même Metallica, ils montraient pas. Ils avaient très peu de tatouages à montrer. C'est Guns. En fait, les tatouages des Guns, ils sont dégueulasses. Mais à l'époque, je me rendais pas compte. Et en fait, il y avait ce truc de subversion et ça me donnait envie. Il y avait ce truc de... Mais c'est pareil, à l'époque, tu te faisais tatouer, c'était... Enfin, même dans le hardcore et tout ça, les mecs qui se faisaient tatouer, même souvent dans les groupes, c'était principalement le torse. Et ça s'arrêtait au manche quoi. [03:02:47] Speaker E: C'était pas encore accepté autant qu'aujourd'hui ça c'est clair. [03:02:50] Speaker A: Alors que maintenant les gens ils commencent presque par des tatouages aux mains ou à la gueule quoi. Ouais mais c'est pas ton premier. Ce que je veux dire c'est que maintenant c'est plus accepté. [03:03:04] Speaker B: Il y a quand même un certain nombre de bouffons qui font des tatouages moches. [03:03:06] Speaker A: Plus qu'il y a 30 ou 40 ans. [03:03:09] Speaker E: Disons que c'est devenu une mode. [03:03:11] Speaker A: C'est là où j'allais en venir. Après c'est un peu devenu une mode. Et en fait, moi, quand j'ai commencé à voir des mecs de la télé-réalité avec des tatouages et des footballeurs avec des tatouages, en fait, je me suis dit, ouais, le côté subversif, il est vraiment un peu aux chiottes. [03:03:27] Speaker D: Après, il y a tatouer, tatouer. [03:03:28] Speaker A: D'accord, mais c'est le... [03:03:29] Speaker E: Il y a le petit infini. [03:03:31] Speaker D: Moi, je fais partie de l'ancienne génération aussi, où on commençait par les endroits pas visibles. C'est ce que j'ai commencé à faire, les endroits pas visibles. Et j'ai commencé à attaquer les parties visibles quand il n'y avait plus de place. [03:03:39] Speaker A: Oui, mais parce que toi, c'est aussi ton métier. [03:03:42] Speaker D: Ça a été mon intérêt, c'est vrai. [03:03:44] Speaker A: T'es tatoueuse. En ce coup, c'est beaucoup plus accepté. Enfin, je veux dire... [03:03:49] Speaker D: J'ai été prof aussi, à ceci étant dit. J'étais déjà comme ça. [03:03:52] Speaker A: Tu vois ce que je veux dire. Mais t'étais pas prof il y a 30 ans. [03:03:57] Speaker D: Non. Il est vrai. Même si les parents d'élèves me détestaient quand même il y a 10 ans. [03:04:02] Speaker A: Ça, c'est pour une autre raison. [03:04:04] Speaker E: Je sais pas si c'est à cause. [03:04:05] Speaker B: Que les élèves ils voulaient de toi. [03:04:07] Speaker A: Bah parce qu'elle allait fumer des joints ! [03:04:09] Speaker D: Non mais c'est simplement pour mon physique, mon apparence tout simplement. [03:04:14] Speaker A: Pour eux ils parlent du principe que tu peux avoir une mauvaise influence sur. [03:04:17] Speaker D: Leur gamin alors qu'en vrai c'est tout l'inverse. [03:04:19] Speaker B: Ils pourraient essayer de venir avec leur mari, tous les maris ils te regarderaient et ils diraient « Eh coucou ça va ? Eh oh dis donc chérie ! [03:04:23] Speaker D: » Mais c'est surtout que c'était exactement l'inverse parce qu'au contraire j'étais plus accessible pour les gamins donc ils venaient plus facilement me parler à moi qu'à n'importe qui d'autre. [03:04:34] Speaker B: Alors, tous les parents ne sont pas cons, effectivement. [03:04:37] Speaker E: Je suis lignée, quand même. [03:04:38] Speaker A: À partir du moment où ils ont des enfants, il y a quand même une petite... [03:04:42] Speaker B: Merci. [03:04:42] Speaker D: Conflance intonorine, tu vois. [03:04:45] Speaker E: Excuse-moi du chat. [03:04:46] Speaker B: Pardon. [03:04:48] Speaker D: Ils étaient un peu... [03:04:49] Speaker B: Disons que j'ai l'impression qu'elle n'aime pas trop la bourgeoisie. [03:04:51] Speaker D: Un peu pouet-pouet, quoi. [03:04:52] Speaker A: La bourgeoisie qui boit du champagne. Alors moi, j'avais deux questions sur les tatouages. [03:04:57] Speaker E: Tu marches. [03:04:58] Speaker A: Du coup, ta mère, elle fait des tatouages. Est-ce que ta mère t'a fait un tatouage ? [03:05:02] Speaker D: Non. [03:05:04] Speaker B: Parce que ça en fait pas des beaux tatouages. [03:05:07] Speaker A: Elle est plus spécialisée dans les doigts. [03:05:09] Speaker E: Elle est en apprentissage et vu que moi mon corps, les tatouages pour moi c'est un investissement, c'est comme quand t'achètes un tableau. Faut que ça soit nickel. Je suis trop une tordue du cibleau pour avoir un truc pas droit. [03:05:20] Speaker A: En plus là tu peux pas faire grand chose quoi. Bah si c'est pas droit c'est pas comme un cadre où tu peux le décaler un petit peu. [03:05:29] Speaker E: Ah bah à part faire un cover par dessus, non tu peux rien faire. [03:05:31] Speaker A: Et est-ce que tu fais que des tatouages en noir ? [03:05:37] Speaker E: Je fais que du noir et blanc, j'ai pas de couleur. [03:05:41] Speaker A: Et ça va rester comme ça ? [03:05:43] Speaker C: Oui. [03:05:43] Speaker E: Je trouve ça plus harmonieux que de commencer à foutre une couleur quelque part alors que mes tatoueurs me détestent parce que j'ai une peau de blanche, vraiment blanche. Et qu'ils me disent à chaque fois que j'ai... [03:05:51] Speaker D: On pourrait faire tellement de choses. [03:05:52] Speaker E: Voilà, j'ai une peau à faire des tatouages en couleur mais bon... Le noir tient bien, le blanc aussi, surtout. [03:05:57] Speaker D: La grosse frustration pour le tatoueur de voir ça. [03:06:00] Speaker A: Après c'est beau aussi. [03:06:03] Speaker E: Ça fait contraste. [03:06:06] Speaker A: Voilà, c'est bon, j'ai fini mes questions. [03:06:08] Speaker B: C'était juste le fait qu'aujourd'hui, effectivement, il y a beaucoup de gens qui ont des tatouages et que ça doit être un peu irritant de voir la télé-réalité. C'était l'exemple que j'avais aussi en tête. Quand tu regardes, tu fais... [03:06:22] Speaker E: Ce qui est plus irritant, je sais pas pour toi, mais c'est vraiment ceux qui arrivent avec un micro tatouage et qui te disent ça fait pas si mal le tatouage ? [03:06:30] Speaker D: J'ai jamais personne qui a osé me dire ça. [03:06:35] Speaker A: Après les tatouages, c'est comme ça. [03:06:37] Speaker C: Hein ? [03:06:37] Speaker B: À quoi ça fait pas mal ? [03:06:38] Speaker A: T'es sûre ? [03:06:39] Speaker E: Tu sors le magnum 8. [03:06:41] Speaker D: Après moi en tant qu'ancienne tatoueuse, ce qui me frustrait le plus c'était de voir le grand Kaïd. [03:06:45] Speaker E: Qui demande en infini. [03:06:46] Speaker D: Non, non, qui me dit moi t'inquiète je vais gérer la douleur. Et c'est toujours cela qui tombait dans les pommes. [03:06:51] Speaker E: Ah mais les hommes c'est les premiers à tomber. [03:06:52] Speaker D: Et les petites meufs toutes mimies, qui étaient toutes stressées, à chaque fois elles me regardaient en mode, ah bah c'est ça ? [03:06:57] Speaker E: Et je me suis endormie pendant des séances, je vous avoue. [03:06:59] Speaker D: Et quand tu dois gérer un mec d'1m92, 120 kilos et qui fait un malaise, c'est quand même moins évident que de gérer une gamine, enfin une gamine, une petite meuf de 45 kilos. Mais non, c'est toujours les grands caïds qui tombaient dans les pommes. [03:07:09] Speaker E: Non mais ça a été pris un peu scientifiquement que les femmes sont plus résistantes à la douleur pour les tattoos. C'est ça, c'est ce que j'allais dire. [03:07:15] Speaker D: Non mais c'est parce que nous on a de l'endorphine en stock, en permanence, vu que notre corps il est... Ah. [03:07:18] Speaker A: C'Est pour pouvoir accoucher quoi. [03:07:19] Speaker E: Exactement. [03:07:20] Speaker D: Et puis on a nos règles, et puis machin, et puis bidule. Alors que vous, vous mettez à peu près une demi-heure... [03:07:23] Speaker E: Nous on est des tanks. On est tanks du tatouage. [03:07:27] Speaker B: J'ai essayé de tomber enceinte, on m'a rempli, ça n'a jamais marché. [03:07:29] Speaker A: Des fois, ils se sont mis à plusieurs. [03:07:33] Speaker E: Marcel, t'as un truc à dire peut-être ? Non ? [03:07:36] Speaker A: Il était là. [03:07:38] Speaker D: Il filmait. [03:07:40] Speaker A: Là, je lui ai proposé, on m'a proposé un tournage, je lui ai demandé de venir, il n'a pas l'air partant. [03:07:44] Speaker B: Pourtant, c'est un sacré gros tournage. [03:07:47] Speaker D: Au sens propre comme au figurant. [03:07:49] Speaker B: Mais ouais, tu t'en fous, tu passes au-delà des gens qui font des tatouages à la con. [03:07:55] Speaker E: Tant que c'est pas sur mon corps, tu sais. Non mais j'ai une phrase très simple dans ma vie, c'est tu fais ce que tu veux tant que tu vas pas me faire chier. [03:08:01] Speaker B: C'est une belle philosophie. Du coup, est-ce que tu dessines pour pouvoir créer, mais est-ce que tu fais du dessin aussi juste comme ça ? [03:08:10] Speaker A: Avant j'avais une question, c'est intéressant ce que t'as dit. Est-ce que... [03:08:21] Speaker B: Arrête parce qu'après il va s'énerver là sur moi, il va dire oui, tu te rends compte, Pierre t'invites n'importe qui. [03:08:25] Speaker A: Non mais c'est peut-être la dernière émission que je fais par contre. Si je reviens pas vous saurez à cause de qui. Non mais du coup est-ce que tu parlais de ton côté un peu phobie sociale, un truc comme ça. Et là tu viens de dire faites ce que vous voulez tant que vous ne me faites pas chier. Et je me demandais est-ce que quand il y a des gens qui te reconnaissent, T'es content quand même qu'on vienne te voir ou est-ce que ça te fait un peu chier ? [03:08:54] Speaker E: Ah ça dépend le contexte. Genre tu vois, quand je suis en concert, etc. et je suis entre guillemets publiquement affichée à ce lieu-là, ça va pas me déranger, tu vois. Ou même au Hellfest. Ils sont adorables en général, les gens. Mais quand c'est dans ma ville, que je suis en train de faire mes courses, ou que je suis occupée, ou que je suis dans ma bulle, là je pars du principe qu'il faut avoir quand même une certaine réflexion avant de venir voir une personne pour lui dire « Ah, j'adore ce que tu fais ! », alors que je suis dans ma petite bulle, tu vois. C'est à ces moments-là où je suis plus en mode Mollo. Mais après en général non, c'est pas quelque chose qui me dérange. Je suis plutôt reconnaissante parce que c'est grâce aux gens que je suis là où j'en suis en fait. Donc ça dépend franchement. [03:09:31] Speaker C: Dis-moi. [03:09:33] Speaker A: Tu sais, il y a des gens à la conférence de presse qui vont. [03:09:36] Speaker B: « oui, oui, oui ». Du coup, le dessin que tu utilises pour préparer des croquis de vêtements ou de créations, pourquoi tu fais du dessin aussi tout court que tu présentes ? De l'art ou de la peinture peut-être ? [03:09:48] Speaker E: Pas forcément. Je dessine pour moi-même. Le fameux dessin quand t'es au téléphone. Je pars sur des trucs de dingue, puis au final je trouve ça badass et la plupart du temps quand je dessine c'est pour mes outfits parce que j'ai besoin d'avoir une image plaquée en physique pour après faire mais je fais pas du dessin. [03:10:08] Speaker B: T'as jamais voulu exprimer en tout cas tout ce que t'as en toi en peinture ? [03:10:11] Speaker E: Non. [03:10:12] Speaker B: Dans cette partie de l'art. [03:10:13] Speaker E: C'est plus à un moment ça, moi non. Pas trop mon style. [03:10:18] Speaker B: Il y a tout le reste donc pourquoi arrêter le dessin ? [03:10:20] Speaker E: Exactement, il y a suffisamment de branches pour en rajouter encore une. [03:10:24] Speaker B: Qu'est-ce que tu dirais à toutes les personnes qui ont envie justement de se libérer personnellement, pas forcément dans leurs douleurs, mais de leurs envies d'être ce qu'ils ont envie d'être, de laisser libre cours à leur imagination ? [03:10:40] Speaker E: Je pense qu'on n'a qu'une seule vie. Après, chacun croit en ce qu'il veut, mais du moins dans cette vie-là, dans le corps qu'on est, et que vis ta vie comme tu l'entends, comme t'as envie d'être, et si les gens ça leur plaît pas, ils ont qu'à regarder dix centimètres à côté en fait. Et c'est pas eux qui vont se sentir dans ton corps en fait, et si t'es bien comme tu es, c'est-à-dire soit de manière alternative, ça soit au niveau de la musique, etc. Fais-le en fait. Il n'y a pas à se poser de questions. C'est un pas compliqué à franchir, qui peut mettre des mois, voire des années chez certaines personnes. Mais quand t'as franchi ce step-là, c'est vraiment une libération totale. Et voilà, il faut le faire, c'est tout. [03:11:23] Speaker B: C'est très bien. T'as bien raison. [03:11:25] Speaker A: Après, dans certains cas, il faut regarder un peu plus que 10 centimètres à côté. [03:11:28] Speaker E: Ouais, ça dépend. [03:11:29] Speaker A: Moi, par exemple, 10 centimètres, il reste pas tant. [03:11:31] Speaker E: T'as ta petite épaule, mais c'est pas grave. [03:11:34] Speaker A: Faut faire un peu plus quoi. 20 centimètres. Des fois c'est plus que 20 centimètres. [03:11:39] Speaker E: Mais que ça soit sur les réseaux en vrai. [03:11:41] Speaker D: C'est vrai que 10 centimètres c'est un peu léger. [03:11:46] Speaker B: Ça dépend. C'est peut-être aussi en épaisseur. [03:11:48] Speaker E: Ça se sent les réseaux surtout aussi, c'est pareil. [03:11:51] Speaker A: Elle est en train de dire un truc deep là. [03:11:54] Speaker E: De ouf en plus, je suis méga impliquée. Non mais vas-y c'est bon. Je boute. [03:11:57] Speaker D: Ah tu prends le rôle de Bella. [03:11:59] Speaker E: Non mais je disais, je parlais plutôt au niveau réel, mais interaction virtuelle c'est pareil en fait. Si les gens, tu leur plais pas, maintenant tu switches en fait. C'est tout. [03:12:12] Speaker A: Pas la peine de continuer. [03:12:14] Speaker E: La plupart des gens qui critiquent une personne en face, déjà, ils sont très bien cachés derrière leur écran, ils n'ont pas conscience de l'impact que ça peut avoir sur quelqu'un. Et puis en plus, en général, ils font une projection de leur propre insécurité sur ta personne. Il faut se dire que les gens qui disent, imaginons un truc à la con, tu vois, ouais, t'es gros, en fait, c'est peut-être eux qui ont intérieurement peur ou qui se sentent gros. Et quand tu comprends ça, t'es en mode, ça me touche pas en fait. [03:12:38] Speaker B: Oui, puis il faut... C'est pas obligé de dire à tout le monde qu'on se déteste. Les gens croient qu'on est super amis. [03:12:48] Speaker E: Non mais ils sont super copains. [03:12:49] Speaker A: Ça m'étonnerait bien. Amis avec un homosexuel, ça m'étonnerait. [03:12:55] Speaker D: T'en as plusieurs ici. [03:12:57] Speaker B: Non merci. [03:12:59] Speaker A: Tu parles de Marcel ? [03:13:02] Speaker B: Oh tiens, je vous ai pas raconté cette petite anecdote ? [03:13:04] Speaker A: Avec Marcel ? [03:13:04] Speaker B: Non, y'a rien de cochon, je vous rassure. C'est juste... Non, l'encourage pas. [03:13:12] Speaker A: T'es pas prête ! [03:13:14] Speaker B: J'en suis sûr que ça ne le choquerait pas. Non, je rentrais la dernière fois, j'avais pris le métro, il était 1h30 quand je suis arrivé là où j'habite, et donc il y a un passage avant d'arriver à la maison, je marche et il y a des gens qui sont en train d'attendre, il y a un espèce de monsieur très très grand qui dit à son pote « Regarde, il y a un PD ! » Et tu t'es fait, oui c'est moi ! J'avais ma veste Mariah Carey, ça ne me donne pas de discrétion. [03:13:43] Speaker A: Et tu lui as dit « All I want for Christmas is you ! [03:13:45] Speaker B: » Et son pote à côté, c'était un blague, il lui dit « Mais quand même, en 2025, tu sais qu'il y en a de plus en plus et de partout, il faudrait que t'acceptes quand même ! » Et là je me suis dit bah tu vois il a voulu être gentil mais c'était quand même pas bien de tourner. C'est comme les gens racistes tu sais. [03:14:11] Speaker E: Ils essayent mais non. [03:14:13] Speaker B: Mais vraiment tu sentais que le mec il avait pas les bons mots. [03:14:16] Speaker E: Mais il était gentil. [03:14:17] Speaker B: Oui voilà. Là tu as fait oh. Et je me suis dit bon voilà, mais ça m'a fait beaucoup rire. L'autre avait vraiment une volonté de lui changer son état d'esprit, mais les mots qui étaient donnés n'étaient pas forcément les bons. Et je me suis dit bah c'est pas grave, il essaye quand même et ça m'a un peu touché qu'il essaye de faire quelque chose. [03:14:35] Speaker D: Du coup ça veut dire que tu marchais dans la rue sans écouteurs, sans rien, t'entends les gens parler quoi. [03:14:39] Speaker A: Ouais. [03:14:40] Speaker D: Je sais pas faire ça. [03:14:41] Speaker B: Non mais là c'est une préférence de savoir ce qu'il se passe autour de moi. [03:14:45] Speaker A: Il y a des endroits où il vaut mieux savoir ce qu'il se passe. [03:14:47] Speaker E: Au niveau de sécurité c'est mieux. [03:14:49] Speaker B: Il y a vraiment des endroits où je passe où il n'y a pas de lumière et il y a des gens qui peuvent surgir de n'importe où. Mais du sol, du ciel, vraiment partout. [03:14:57] Speaker E: Spiderman. [03:15:00] Speaker B: Spider cochon ! Non, mais voilà, ça m'a fait rire, je me suis dit il faut que je raconte absolument cette anecdote. Donc voilà. Mais tout n'est pas encore gagné, mais on avance en tout cas, et puis nous on est bien libres de faire ce qu'on veut et on est bien heureux comme ça. En tout cas, merci de montrer l'exemple, merci pour ta gentillesse. [03:15:19] Speaker D: J'essaye. [03:15:20] Speaker B: Et merci d'avoir dit tout ce que tu as dit et d'avoir été là, parce que je sais que ce n'est pas chose facile. Donc merci infiniment. Et moi qui suis extrêmement anxieux, maintenant je le sais et je réalise à quel niveau ça avait bloqué ma vie pendant tant d'années. Je te remercie d'être là aussi pour témoigner qu'on peut quand même exister d'être quelqu'un. [03:15:43] Speaker E: On peut y arriver. Il faut juste trouver les bonnes solutions qui sont propres à chacun. Mais une fois qu'on l'a trouvé, ça y va tout seul. [03:15:50] Speaker B: Merci infiniment. [03:15:52] Speaker A: Est-ce que tu as des recommandations ? aider à comprendre des choses ou des choses comme ça ? [03:16:04] Speaker E: Par rapport à quoi ? [03:16:05] Speaker A: Par rapport à gérer cet état, gérer l'optisme, l'anxiété, tout ça. [03:16:12] Speaker E: Déjà moi, vu que je suis en hyperstimulé tout le temps dû à mon autisme, je porte un casque, il n'y a pas du tout d'antibruit pour l'extérieur. Et après, ce qui peut aider les gens, ce que je conseillerais aux gens surtout, c'est la thérapie par le DMR, je crois, c'est ça ? [03:16:29] Speaker D: Le MDR. [03:16:31] Speaker E: Et ça, ça marche pas mal pour les gens qui sont anxieux. Mais si vous pouvez éviter de tomber dans les cachetons, ça serait cool. Voilà. Il y a toujours une solution. Faut trouver juste celle qui te correspond. En France, surtout, on a pas mal de ressources, donc c'est cool. [03:16:47] Speaker B: Et puis faut pas hésiter à consulter, évidemment. [03:16:49] Speaker E: Demandez de l'aide, parlez aux gens, surtout. T'as l'impression d'être bizarre, mais... On est tous bizarres finalement, on est tous bizarres à notre manière et juste des fois d'en parler à quelqu'un de proche, ça peut juste aider. Il faut être à l'écoute des gens qui sont autour de nous. [03:17:08] Speaker B: Très bien. [03:17:09] Speaker A: Merci beaucoup. [03:17:09] Speaker E: Je t'en prie. [03:17:10] Speaker B: Chaque fin d'émission, également, on fait... Alors là, j'en ai pas mis, comme. [03:17:14] Speaker A: Tu peux le constater. [03:17:15] Speaker B: On conseille un site alternatif. [03:17:19] Speaker A: Ah non, mais moi, je sais de quoi on va parler. [03:17:20] Speaker B: Tu donneras le tien aussi, mais on va laisser Ben... Non, mais on est. [03:17:24] Speaker A: Obligés de parler de la malava lampe. qui vient de sortir la finale du rock-jeu. [03:17:28] Speaker B: Il y a la finale du rock-jeu. [03:17:30] Speaker A: Qui est sortie, où nous participons évidemment. Nous avons tourné au Wild Fest. [03:17:35] Speaker B: Alors je suis encore une fois le meilleur. [03:17:37] Speaker A: Tu donnais ? Je l'ai regardé. [03:17:40] Speaker B: Je lui donne une réponse. Sur 40 questions, c'est quand même pas mal. [03:17:45] Speaker A: Il y a quand même le moment, je regardais quand même, tu m'as dit que Paramore c'était du métal. Et du coup je pense que c'est pour ça que j'ai pas trouvé Paramore, parce que pour moi c'est... [03:17:54] Speaker B: Mais non mais c'est un don à la famille du métal pour un français. [03:17:56] Speaker A: Ouais mais pour moi c'était plus du rock. [03:17:57] Speaker D: Bah oui, c'est rock ou métal. [03:17:59] Speaker B: C'est alternative rock mais... Bah ouais mais. [03:18:01] Speaker A: Pour moi c'est plus rock que métal quand même. [03:18:03] Speaker E: Ouais clairement. [03:18:04] Speaker B: Et pour un français c'est carrément du rock. [03:18:05] Speaker A: Du coup on a failli perdre à cause de Pierre là-dessus. [03:18:08] Speaker E: Bah bravo. On est fiers. [03:18:10] Speaker D: Tu veux pas que tu joues avec moi ? [03:18:12] Speaker B: En termes, je pense que culturellement t'es mieux que moi. En tout cas ta mémoire fonctionne mieux. Je pense si, parce qu'on en discute quand même tous les deux, donc... T'as quand même beaucoup de références, et moi j'essaye, je fais ah ah... Non. [03:18:27] Speaker A: Il a fait Johnston Davis. [03:18:29] Speaker B: Même Korn, je me plante, alors autant te dire que comme c'est mon groupe préféré, c'est quand même le truc le plus difficile. [03:18:33] Speaker A: Oui mais c'est bon, bref. Bah en tout cas, voilà, la malava lampe. [03:18:36] Speaker B: C'est un bon moment. C'est un très bon moment. [03:18:37] Speaker A: La malava lampe que nous avons déjà reçue dans cette émission. [03:18:41] Speaker B: Notre amie belge. [03:18:42] Speaker A: Vous pouvez retrouver l'épisode avec lui sur notre YouTube. Si vous regardez sur YouTube, c'est déjà là, sinon c'est !bang et vous pouvez nous follow. Et il a déjà fait, donc il y a eu deux manches. Il y a eu le premier rock-jeu, le deuxième rock-jeu où nous participons, que nous avons remporté puisque nous sommes dans la finale. Mais n'hésitez pas à regarder ces autres épisodes qui sont très bien. Et il y a la finale où nous sommes contre l'équipe de métal. avec le dealer de métal et l'ADAMETAL. Et nous avons peut-être gagné ou pas. [03:19:18] Speaker B: On vous laissera regarder, c'est encore un grand moment. Non, il y a de la blague, il y a de l'humour, il y a de la galéjade, on est bien. Mais on remercie, c'est notre ami belge et non, il ne mange pas que des frites. [03:19:27] Speaker A: T'as remarqué que Marcel il met la caméra sur les filles même quand c'est. [03:19:30] Speaker B: Nous qui parlons ? Tu remarqueras que le rouleau de sopalin il a disparu aussi. Et que ça sent un peu la javel depuis tout à l'heure. Mais l'impression que voilà, tout derrière c'est souillé. Merci bien. Il a souillé ses souliers. [03:19:50] Speaker D: Le pauvre il en veut plus. Là il me fait de la peine aussi. [03:19:56] Speaker A: Moi je suis pas du mort pour. [03:19:57] Speaker B: Pas descendre des mâches. Voilà d'où il te fait de la peine. [03:20:01] Speaker D: Parfois j'ai un cœur qui bat et ça m'arrive. J'ai un peu pitié en fait, c'est pas de la peine, c'est de la pitié. [03:20:11] Speaker E: Je crois qu'il essaye de faire un cosplay de ton cœur. [03:20:14] Speaker A: Un cosplay ? Bon, voilà, donc la main lave à lampe. Toi est-ce que t'as un créateur ou un site à recommander aux gens ? [03:20:24] Speaker E: Oh là, par rapport à quoi ? [03:20:25] Speaker A: Ce que t'as envie. Nous on fait ça plutôt dans la Seine. [03:20:30] Speaker E: La Seine ? [03:20:31] Speaker B: La Seine, c'est un site que tu regardes pour avoir des news. [03:20:34] Speaker A: A quelqu'un t'as envie de donner de la cefort ? [03:20:36] Speaker E: Bah, Metalzone et vous, bien sûr. T'as pas un truc à dire en attendant que je réfléchisse ? Parce que là il y a beaucoup trop d'idées qui me viennent en tête. [03:20:45] Speaker D: Moi je vais reciter Milchak Media. [03:20:47] Speaker B: Mais oui mais tu fais bien ! Mais voilà Milchak Media ! Qu'est-ce qu'il se passe ? [03:20:51] Speaker A: Il y a John Lennon qui a dit « Mais il est pas gay, Marcel ? [03:20:54] Speaker C: ». [03:20:56] Speaker D: Il est indéterminé, Marcel. [03:20:58] Speaker B: Mais pourquoi il écrit ça ? Mais non, mais pourquoi il écrit ça ? [03:21:00] Speaker A: Il voulait le défendre, et là, elle vient de l'enfoncer. [03:21:03] Speaker B: Il est indéterminé, mais qu'est-ce que vous... Mais le pauvre ! [03:21:06] Speaker D: Tu vois, même toi t'as pitié ! [03:21:08] Speaker B: Mais non, mais parce que je sais, il subit toute la journée, dès que je le vois, il me dit, arrête de dire pute nazi, lui. Allez, hop ! [03:21:16] Speaker A: Attends, le live continue ! On a dit beaucoup de mots qu'il ne fallait pas dire, je me suis rendu compte. [03:21:22] Speaker B: Mais non, c'est qu'on dit aux gens qu'il ne faut pas dire ces mots-là, c'est très important. [03:21:26] Speaker A: C'est comme ce sketch, ce Michel-là. [03:21:27] Speaker B: On n'en va pas recommencer, on l'a déjà fait la semaine dernière, j'ai eu un frisson très très glacial dans mon dos, j'ai fait aaaah, c'était une belle suite de voix. [03:21:37] Speaker D: On le tient plus là, ça y est c'est fini. [03:21:40] Speaker B: C'est la fin là ! [03:21:42] Speaker A: C'est la fin ! [03:21:43] Speaker E: Moi j'adore ! En vrai, je pense que je remercierais mon premier photographe, qui est Noirframe, si vous voulez aller le suivre. Qui fait des super belles photos. On dirait Dark. [03:21:55] Speaker B: On lui remettra le lien en description sur la vidéo YouTube. [03:21:58] Speaker A: Vous aimons bien Dark. [03:21:59] Speaker B: Oui on aime bien chier Dark. On n'est pas là pour rien. [03:22:04] Speaker A: Bon, et bien... Ah oui ! [03:22:09] Speaker B: Avec fin d'émission, Ben, tu sais très bien qu'il y a le clip de fin d'émission. Et le clip de fin d'émission, ce n'est pas un clip qu'on choisit, mais c'est un clip qui est choisi par les bangers sur notre Patreon, à partir du tiers à 6,66 euros. Si vous avez un groupe, par exemple, vous pouvez nous obliger à passer votre clip. Et bien, pour ce faire, il suffit d'aller sur Patreon.com, vous vous abonnez et vous pouvez nous donner le clip à diffuser. [03:22:34] Speaker A: Attention, ça doit être un clip d'un groupe français. [03:22:36] Speaker B: Il faut que ce soit un groupe français, pas belge, français. Bon, belge on peut l'accepter quand même, non ça va. Et luxembourgeois aussi, suisse aussi, bon ça va. [03:22:45] Speaker A: Tant que vous payez. [03:22:48] Speaker E: Tant que vous parlez français. [03:22:49] Speaker B: Avec 6,66€, on va aller très loin. Mais c'est mieux que rien. [03:22:52] Speaker A: Surtout qu'on ne touche pas 6,66€. [03:22:54] Speaker B: Non, évidemment. Mais en tout cas, merci à toutes les personnes qui sont abonnées sur notre Patreon. Ça nous aide énormément. Merci aux personnes aussi qui ont pris des abonnements et qui ont fait des subs avec leur abonnement Amazon Prime ou autre. Merci infiniment à tout le monde. Merci pour les dons aussi. Merci encore une fois, Mo, d'être revenu. Ravie de t'avoir rencontré et d'avoir pu discuter avec toi. J'espère que tu repasseras ici, maintenant que tu connais la maison. [03:23:17] Speaker E: Il y a du bon saucisson, je repasserai. [03:23:19] Speaker B: Il y a toujours à bouffer ici. Et si t'aimes le chocolat et des trucs comme ça, il y a toujours des trucs à bouffer aussi. [03:23:25] Speaker E: C'est bon à savoir. [03:23:26] Speaker B: Des gourmandises, on en a plein. [03:23:27] Speaker E: Merci les gars de m'avoir accueillie ce soir, c'était un plaisir. [03:23:31] Speaker A: On se voit à Hallfest ou pas ? [03:23:33] Speaker E: Bah j'espère. [03:23:35] Speaker A: T'es contente de cette affiche du Hallfest ? [03:23:39] Speaker E: C'est une affiche de saligaud. Clairement, j'ai vu Igor, moi déjà j'étais contente. [03:23:48] Speaker A: Super, ça va être bien. [03:23:49] Speaker B: Ça va être très bien, Igor. [03:23:51] Speaker A: Pierre, le clip c'est quoi alors ? [03:23:52] Speaker B: Bah le clip, il a été choisi par Sushi Ice, qui a perdu tout à l'heure, mais qui prend sa revanche immédiatement, et c'est Lizzy Strata avec Feel the Shine. Il n'y a absolument rien d'écrit là-dessus, elle a juste mis le clip, donc je pense qu'elle était en mode, démerdez-vous, vous passez ça, mais c'est vrai que Lizzy Strata est un très très bon groupe, à voir sur scène surtout. Après, chacun donnera sa définition, pas rencontrée, mais... Mais voilà, en tout cas c'est très très bon sur scène et on vous conseille de les suivre. Les Isistratas, ça s'écrit comme ça sera écrit sur l'écran. Tant pis pour les autres. [03:24:25] Speaker A: N'oubliez pas les concours pour les places de Rise of the North Star. Toujours disponible sur Instagram. Et l'autre par mail. [03:24:33] Speaker B: Là ça va, on va faire le tirage au sort là, dans deux minutes. [03:24:36] Speaker A: Les quatre mots. Les quatre mots. [03:24:38] Speaker E: Que tu ne dois pas dire. [03:24:39] Speaker A: Voilà, j'ai pas eu à les dire, t'as bien fait de me dire de ne pas les dire. Cornichon chou-fleur. [03:24:47] Speaker E: Pas loin, pas loin. [03:24:48] Speaker A: Donc les 4 mots pierre-restless.com. Envoyez-le maintenant le mail. C'est maintenant. [03:24:54] Speaker B: Voilà parce que le tirage au sort se fait. Le tirage au sort se fait. [03:24:58] Speaker C: Le tirage au sort se fait. [03:24:59] Speaker B: Le tirage au sort se fait. Et pour les autres, n'hésitez pas à jouer sur notre Instagram. Il y a beaucoup de places de concerts à gagner. Des places pour Lacrympo. Des places pour plein de groupes. Il y en a... Tous les jours. [03:25:11] Speaker A: Tous les jours. [03:25:12] Speaker B: Tous les jours. Tous les jours. Tous les jours. [03:25:18] Speaker A: On y va ? [03:25:19] Speaker B: Allez on y va ! Bon courage à vous ! Bonne semaine ! Oui demain c'est lundi mais c'est pas grave vous avez passé un bon dimanche ! [03:25:23] Speaker C: Bye bye on vous aime ! [03:25:24] Speaker B: Vive le métal ! [03:25:52] Speaker C: I don't know my time to live but I die Fuck it feels good to lose and to lose and I can't pass it through the dust as a fugitive, fugitive Leading to an endless road Oh no, I need to cry On the line, you'll be my star C'est. [03:28:25] Speaker E: Parti ! [03:28:31] Speaker B: Un pour le caillou. Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir. [03:28:54] Speaker E: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. [03:29:00] Speaker D: Spotify, Deezer, Apple, Amazon. [03:29:03] Speaker E: N'hésitez pas à vous abonner.

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