Episode Transcript
[00:00:21] Speaker A: Bienvenue à vous toutes et à vous tous, j'espère que vous allez bien, j'espère que votre week-end a été délicieux, que la semaine a été merveilleuse, que vous avez pu écouter du métal à fond les ballons et que là même vous avez crié avec nous parce que c'est l'exercice de tous les dimanche soir en live Twitch, c'est la célébration du métal et de l'alternative rock. On est comme ça, on est là parce qu'on aime cette musique, parce qu'elle nous aime aussi. Elle nous a fait pleurer, elle nous a fait rire, elle nous a fait chanter.
[00:00:45] Speaker B: Elle nous a fait encore pleurer, rire et chanter.
[00:00:47] Speaker A: Oui, c'est vrai, elle continue, c'est vrai, tu as raison, je parle au passé alors qu'elle est bel et bien vivante cette musique et nous, nous sommes vivants aussi, donc tant qu'à faire… Peut-être plus pour longtemps, profitez-en !
C'est une possibilité, la vie est pleine de hasards !
[00:01:00] Speaker B: De surprises !
[00:01:01] Speaker A: Voilà ! En tout cas voilà, j'espère que vous allez bien, si vous avez des choses à nous raconter, des concerts que vous avez vécus, n'hésitez pas à nous raconter, je sais qu'il y a eu Offspring hier soir et apparemment du côté de la Défense Arena, le son était d'une qualité exceptionnelle et les gens étaient motivés, excités, émus !
[00:01:17] Speaker B: Motivés, motivés !
[00:01:20] Speaker A: Exactement. Toujours est-il qu'il y a eu plein de concerts, ça n'arrête pas. En ce moment, il y en a toute une palanquée. Les gens peuvent se régaler, il y en a pour tous les goûts.
Et par contre, moi j'en ai fait aucun je crois.
[00:01:33] Speaker B: Moi j'en ai fait un.
[00:01:34] Speaker A: T'en as fait un ?
[00:01:35] Speaker B: Bah oui j'en ai fait un moi.
[00:01:36] Speaker A: Tu me souviens plus Ben ? Tu sais que là je suis arrivé, je ne sais pas ce qu'il s'est passé cette semaine.
[00:01:39] Speaker B: Je sais, je l'ai bien vu. Et tu m'as dit comment je m'appelle.
[00:01:42] Speaker A: Ça m'arrive de pas me souvenir de ton prénom ceci dit. Alors tu as fait quel concert ?
[00:01:46] Speaker B: Moi je suis allé voir Psychonautes. Psychonautes à la maroquinerie. Vendredi soir.
Avec notre très cher Enjoy The Noise. Nous sommes allés nous régaler de Decibel belge.
C'était merveilleux.
Non, non, très bien.
Très bon concert. Une première partie qui ne m'a pas convaincu du tout.
C'était quoi ?
[00:02:07] Speaker A: Enfin si tu t'en souviens.
[00:02:07] Speaker B: C'est Dragunov. Je crois que c'est Dragunov, Dragunov, Dragunov.
[00:02:11] Speaker A: C'est comme les frères Bogdanov ?
[00:02:12] Speaker B: Il y a un concept mais je trouve qu'il... En fait j'ai du mal avec les groupes qui veulent avoir un concept mais qui vont pas au bout du truc et où c'est un peu...
[00:02:22] Speaker A: On essaye mais on l'a pas fait.
[00:02:25] Speaker B: Ouais mais du coup ça marche pas de ouf. Du coup j'étais un peu déçu.
Mais par contre, Psychonauts, très belle performance, un public en délire.
[00:02:36] Speaker A: C'est quoi ? Je ne vous le connais pas du tout.
[00:02:37] Speaker B: Psychonauts, c'est très prog.
[00:02:41] Speaker A: C'est prog à doux enjoy.
[00:02:43] Speaker B: Avec du chanclard, des passages vénères avec du scream.
Et c'est un trio belge. Et non, c'était super bien.
Il y a un petit côté un peu trop propre pour moi. Mais en live, je trouve que c'est un peu plus sauvage.
Exactement.
[00:03:06] Speaker A: La nuit est chaude.
[00:03:07] Speaker C: Elle est sauvage.
[00:03:09] Speaker B: C'était super bien, Psychonautes, je vous conseille. Allez écoutez, vous ne serez pas déçus.
[00:03:14] Speaker A: Voilà, Psychonautes.
Bon très bien, ça fait un petit concert. Je ne me souviens absolument pas de cette semaine. Il n'y a que 2-3 éléments qui m'ont bloqué le cerveau.
dont le dentiste de lundi. Je suis allé chez le dentiste parce que j'ai mâché un morceau de ma dent que j'ai digéré par la même occasion.
Et il m'a dit « c'est le plombage, c'est le dentiste d'avant, t'inquiète pas, il avait laissé un petit peu d'air, ça fait une carie ». Merci à tous les dentistes d'être de mauvais dentistes, s'il y en a un d'ailleurs dans le chat.
[00:03:45] Speaker B: Ou de s'assurer d'avoir du travail dans le temps.
[00:03:50] Speaker A: Je suis pas sûr qu'ils aient besoin de ça, vraiment.
[00:03:52] Speaker B: Tu sais, c'est un peu comme Tinder. Si ça marchait et que tu trouvais l'amour, tu y retournerais plus. Le dentiste, c'est pareil.
[00:03:59] Speaker A: C'est une belle comparaison, je vais la garder. Je peux l'utiliser ? Je dois te l'équiper ?
[00:04:06] Speaker B: Non, pas du tout.
[00:04:06] Speaker A: Je peux faire comme si c'était moi.
[00:04:07] Speaker D: Qui l'avais inventé ?
[00:04:08] Speaker B: Bien sûr, comme tout le reste.
Comme cette radio, cette émission, tout, tu peux dire que c'est à toi. Il n'y a pas de souci.
[00:04:15] Speaker A: C'est ça l'amour.
Ce dentiste m'a quand même soigné, il m'a dit on va faire un non-liné, enfin bon bref, de quoi boucher le Strau. Enfin celui de là-dedans évidemment.
Et donc il m'a mis un pansement.
Et puis dans la semaine, j'ai mangé un petit quelque chose. Et je me suis dit il ne faut pas que je mâche de ce côté-là.
[00:04:36] Speaker B: C'était le lendemain.
[00:04:37] Speaker A: Je me souviens.
[00:04:41] Speaker B: Ça a duré vraiment 36 heures max, quoi.
[00:04:45] Speaker A: Mais en plus, c'était pas un truc dur. C'est parce que je me suis même dit, c'était quoi ? Il y avait un truc mou et je me suis dit, ah, c'était...
[00:04:52] Speaker E: Je sais plus.
[00:04:52] Speaker A: Mais je me suis dit, oh, il y a des morceaux.
Et je mâchais.
Bon, c'est pas très agréable, mais pourquoi pas. C'était juste ce pansement de dents qui partait dans mon estomac, comme la partie de dents que j'avais mangé auparavant. Finalement, il y a une histoire à s'élayer.
[00:05:08] Speaker B: En tout cas, si vous aimez toutes ces petites anecdotes sur la vie de Pierre, n'oubliez pas que demain soir, il y aura un live.
[00:05:14] Speaker A: Il y a peut-être un concert demain soir.
[00:05:16] Speaker C: Ah bon.
[00:05:16] Speaker B: À un moment, il y aura un live TikTok.
Suivez-nous sur TikTok comme ça vous serez au courant quand il y a un live de Pierre parce qu'il vous raconte tout dans les moindres détails.
[00:05:34] Speaker A: C'est des histoires d'amour par jour, Ben !
[00:05:36] Speaker B: Je n'arrive plus à suivre !
[00:05:38] Speaker A: Je suis tellement cocu ! Bref, je me tais ! Sinon voilà, globalement il ne s'est pas passé grand-chose, on a travaillé, je pense, à part travailler, on a travaillé, après on a retravaillé, on a retravaillé, un petit peu dormi quand même parce que c'est important, peut-être un peu mangé, bon, même pas bien, je dirais qu'on a même pas bien mangé.
Mais voilà, sinon je crois que je suis fatigué.
[00:06:01] Speaker B: Bah oui, bah alors !
C'est pas faute de t'avoir prévenu, Pierre.
Parce que là, t'es là au four et au moulin.
Mais tu n'es pas boulanger, Pierre.
[00:06:10] Speaker A: Non, j'arrive pas à faire de belles mues surtout.
Elles sont toutes dégueulasses.
[00:06:15] Speaker B: Mais non, mais tu dors quatre heures par nuit. Tu fais une petite sieste, mais il faut que tu arrives à trouver un rythme plus... Ah si, mais j'ai été.
[00:06:25] Speaker A: Voir mon addictologue qui m'a dit je suis très, très fier de toi. Et il m'a dit par contre, effectivement, il faut dormir.
[00:06:31] Speaker B: Là, je ne pourrais rien faire.
[00:06:32] Speaker A: Faire pour toi.
Il m'a dit, tu sais, si tu ne dors pas, toutes les difficultés que tu peux rencontrer par rapport à ton traitement, là, je ne pourrais rien faire non plus parce que dormir, ça permet que les médicaments marchent aussi.
[00:06:43] Speaker B: Et lui, quand il te le dit, tu l'écoutes ou c'est comme moi quand je te le dis ?
[00:06:46] Speaker A: Non, c'est comme toi.
[00:06:47] Speaker B: Ah d'accord.
[00:06:48] Speaker A: Pour le sommeil, ça ne marche pas.
[00:06:51] Speaker B: Pisser dans un violon ?
[00:06:53] Speaker A: J'ai jamais fait, mais ça me tente.
Ce soir, nous allons recevoir des invités que nous aimons. La fiche est même dans un coin de ce bureau. Dans cette chambre, vous pourrez revoir le groupe devant le poster de ce groupe. C'est les Bukowski qui viennent de sortir un album qui s'appelle Cold Lava et qui est un album vraiment très très très bon. Ils envoient le pâté, ils ont décidé de reprendre un petit peu de violence. Non pas qu'ils avaient laissé le côté péchu et le côté dynamique de côté, ça c'est faux, mais là on sent qu'il y a peut-être un level d'énervement un peu au-dessus quelque chose. De la rage, voilà, on va dire de la rage. On va voir ce qu'il en est, il y a déjà pas mal d'interviews qui sont sorties et beaucoup de gens en parlent. Parce que si cet album nous fait sentir que ça y est, on est bien prêt à affronter la France entière, et bien moi je suis heureux de le recevoir tout à l'heure, les Bukowski ! Nous aurons aussi Gladys qui sera là pour nous parler des news, elle est prête aussi, je peux vous dire qu'elle a changé de coupe de cheveux encore une fois. Et nous aurons Amélie, si je ne dis pas de bêtises, qui sera là pour nous présenter deux titres. Nous aurons bien évidemment aussi le titre des bangers, parce que je tiens, évidemment Ben, à remercier tous les abonnés Patreon, toutes les personnes qui s'abonnent sur notre Patreon, patreon.com slash lssradio ou tout simplement, point d'exclamation, Patreon OU dans la description si vous regardez la VOD sur YouTube. Merci infiniment de nous aider financièrement parce que c'est hyper important. Et je tiens à rappeler que toutes les personnes qui s'appellent au niveau Headbangers ont plein de choses dont des stickers automatiquement. A peine ils s'abonnent, ah pis ils ont les stickers. C'est-à-dire que même s'ils s'abonnent et qu'ils s'en vont, ça nous aide mais ils ont quand même des stickers qui arrivent chez eux.
C'est quand même un beau cadeau.
On va commencer ?
[00:08:31] Speaker B: Tout à fait !
[00:08:32] Speaker A: Ah pardon, tu t'étais endormi.
[00:08:34] Speaker B: Non bah après...
Comme d'habitude, quand tu parles, je me fais chier.
[00:08:38] Speaker A: Bon, on va commencer avec des copains.
[00:08:45] Speaker B: Ah ok, ça, ça m'intéresse. Avec un nouveau groupe.
[00:08:48] Speaker A: Alors, tu sais que je n'ai pas regardé.
[00:08:50] Speaker B: Ah bah génial.
[00:08:51] Speaker A: Comme ça, je le découvre avec tout le monde.
[00:08:52] Speaker B: Génial, alors je travaille et tu ne regardes pas. Comme d'habitude.
[00:08:56] Speaker A: L'enfoiré.
[00:08:57] Speaker B: Un nouveau groupe avec que des gens qu'on connaît, des vieux.
[00:09:01] Speaker A: On aime.
[00:09:03] Speaker B: C'est un nouveau groupe qui s'appelle Bayonet, qui est formé.
par Alex de The Prestige, que vous avez pu voir notamment aussi avec Restless, il travaille avec nous depuis le début.
C'est lui qui fait le site internet, qui a fait énormément de choses et que vous voyez aussi, pendant le Hellfest, faire des interviews des fois avec Pierre.
quand ça nécessite des gens qui comprennent des gens qu'on comprend pas ce qu'ils disent.
[00:09:28] Speaker A: Pour m'aider dans mon anglais.
[00:09:32] Speaker B: Du coup, il y a Alex et il y en a un autre qui a aussi travaillé sur Restless, Dwight, qui faisait Rock My Dwight. Du coup, l'émission métal avant Bang Bang sur Restless, c'est Dwight. Ils ont plein de groupes. Dwight, il est dans Hipkiss, qui a son nouveau groupe un peu pop-punk, un peu surf-rock.
Très très bon. Très bon.
Avec le bon Tom Beck.
[00:09:56] Speaker A: Ah bah oui le Tom Beck, on l'aime.
[00:09:58] Speaker B: Qui était aussi dans Rock My Dwight. Et puis il joue dans Junon aussi, il joue de la batterie dans Junon.
[00:10:04] Speaker A: Ah bah oui, l'incontournable.
[00:10:05] Speaker B: Exactement.
Et Alex, ben voilà, chanteur, guitariste, homme merveilleux, homme puissant, j'ai envie de dire. Et ils ont lancé un nouveau projet ensemble qui s'appelle donc Bayonet. Et le concept de Bayonet, c'est quoi ? C'est, on installe les instruments avec des micros et tout ça dans un endroit... Incongru. Incongru, exactement.
Eh ben, je serais pas allé le chercher.
Et ils vont, ils s'installent dans un endroit incongru et ils jouent, comme ça, trois titres d'une traite.
Ils enregistrent et c'est ça l'album.
[00:10:40] Speaker A: Donc ce qu'on peut voir d'eux, c'est du live ? C'est du live. Donc il n'y a pas de tricherie ?
[00:10:45] Speaker B: Il n'y a pas de tricherie.
[00:10:46] Speaker A: C'est-à-dire que s'il y a un moment où c'est pas bon, c'est pas bon quoi !
[00:10:48] Speaker B: S'il y a un moment où c'est pas bon, c'est pas bon.
[00:10:50] Speaker A: Ce qui est bien, c'est que tout est bon.
[00:10:52] Speaker B: Mais du coup, ça garde ce côté hyper sauvage. Les morceaux sont aussi faits pour ça. Et du coup, c'est juste un duo. Comme ça, on ne se rend pas compte. Mais du coup, Alex, il est obligé. Il y a des parties où il a une espèce de guitare modifiée. Il fait basse et guitare en même temps et du coup il y a des parties où il enregistre sa basse et après il peut rejouer de la guitare par dessus. Il peut louper, il y a plein d'effets, il a plein d'amplis pour avoir plein de sons différents, ce qui fait que le son est quand même extrêmement massif pour un truc où c'est une seule guitare.
Donc c'est hyper intelligent, c'est hyper bien. Et du coup, là, ils ont sorti ce premier EP, donc ces trois titres. On va en regarder qu'un ce soir, mais vous pouvez voir les trois sur la chaîne YouTube. Les trois s'enchaînent, d'ailleurs. C'est quasiment comme un mini live, quoi.
Et le concept, ça va être de faire ça à chaque fois pour les prochains EPs. Ça va être de trouver un lieu différent et de refaire une capta pareil.
[00:11:50] Speaker A: Est-ce que ces morceaux, je n'espère pas poser une question qui n'a pas de réponse.
[00:11:55] Speaker B: Bon, sûrement.
[00:11:57] Speaker A: Est-ce que ces morceaux, on les a que sur cette chaîne YouTube ?
[00:12:01] Speaker B: Non, c'est aussi sur Spotify. Mais c'est les mêmes... Ce n'est pas une version studio, c'est la même chose. Mais vous pouvez retrouver les trois titres. Du coup, je pense qu'ils sont séparés sur Spotify, je ne suis pas allé les regarder.
Mais vous pouvez aller retrouver ça et vous pouvez les suivre aussi sur Instagram. Et ils sont ouverts aux propositions de lieux incongrus.
[00:12:21] Speaker A: Il y a une adresse e-mail et.
[00:12:23] Speaker B: Vous pouvez leur écrire et leur dire « Nous, chez nous, on a une usine de destruction de télé, venez ! » Et ils viennent.
Enfin peut-être.
[00:12:36] Speaker C: Oui, oui, oui.
[00:12:37] Speaker A: Faut leur proposer, puis après ils répondront.
[00:12:38] Speaker B: Voilà, si le lieu est cool, ils viendront.
[00:12:40] Speaker A: Très bien, c'est cool ça ! Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui regardent cette émission qui ont des endroits un peu particuliers ou bizarroïdes. Pas un hangar, pas une forêt. Un truc un peu qui change de l'ordinaire. Qui sont originaux.
[00:12:55] Speaker B: Une usine peut-être. Une usine un peu destroy.
[00:12:58] Speaker A: Ah mais ils pourraient faire ça dans une usine qui marche avec des gens qui travaillent au milieu.
[00:13:02] Speaker B: Ça fait partie des idées. Le premier là c'est dans une casse. Une casse automobile en Normandie.
Mais qui sait ce que sera le prochain ? Je suis impatient.
[00:13:15] Speaker A: Moi j'en doute pas un seul instant.
Très bien, Bayonet, B-A-I-O de Z-N-E-T de T-E. Il n'y a pas de S.
[00:13:25] Speaker B: Non.
[00:13:26] Speaker A: Ok, à la Bayonet.
[00:13:29] Speaker B: Bayonet fight sur les réseaux.
Parce que c'est la bagarre.
[00:13:33] Speaker A: Ça s'appelle comme ça Bayonet fight ? Trop bien. Parce que justement je me disais... Parce.
[00:13:37] Speaker B: Que je pense que Bayonet s'était déjà pris et puis du coup ils ont mis fight.
[00:13:41] Speaker A: Eh bien, je vais découvrir ça avec vous. Voilà, vous voyez comme quoi on est au même niveau. On est des passionnés et on a des gens qui peuvent nous amener de belles découvertes. On est dans l'échange. C'est beau, hein, mon petit Ben ? C'est beau, j'ai pas demandé, tu vas venir quand même ?
[00:13:54] Speaker B: On va regarder.
[00:13:55] Speaker A: Bienvenue à vous toutes et à vous tous.
Oh que c'était bien ! Oh que c'était amusant ! Que c'était mignon ! Que c'était puissant ! Oh qu'on aime bien ! Hein c'est amusant Ben ?
[00:19:40] Speaker B: Oh là là !
[00:19:44] Speaker A: 4 years strong à l'instant dans Bang Bang avec Whiplash un morceau qui vient tout juste de sortir et que bien sûr on a décidé de vous diffuser parce que c'est un petit peu un step up pour 4 years strong qui sort ce morceau là après un album sorti il y a un an je crois si je dis pas de bêtises et là c'est une petite nouveauté alors c'est pop punk d'habitude c'est vrai qu'on n'a pas l'habitude mais là ils ont mis un peu plus heavy avec des petits passages sludge des petits passages un peu plus violents mais on aime beaucoup et pour la petite information cette chanson sort là comme ça mais Surtout, une tournée arrive en 2026, on aura bien évidemment plein de choses à dire autour des Four Ears Strong dans cette émission. Si bien sûr vous restez concentrés et passionnés par nous, n'hésitez pas à vous abonner au podcast sur les plateformes d'écoute légale, à notre chaîne YouTube et à tout le tralala. Je ne vous fais pas la liste, elle est disponible partout.
[00:20:36] Speaker B: Je crois que c'était le nom de leur album.
C'était un jeu de mots pour dire « ça doit être nul d'avoir la force d'un enfant de 4 ans ». Je trouvais ça drôle.
[00:20:45] Speaker A: C'est plutôt amusant. Mais là on sent que la rigolade est terminée. Peut-être que maintenant on a envie de péter des gueules.
[00:20:53] Speaker B: Peut-être qu'ils ont écouté Red Fang.
Non mais c'est vrai qu'il y avait un petit truc. Même dans le clip, il y a ce côté un peu humour, machin.
[00:21:02] Speaker A: Oui, c'est vrai qu'il y a le côté décalé par rapport au son.
Après, ils ont toujours été rigolos quand même. Mais là, ils sont moins rigolos.
[00:21:09] Speaker B: Ces petites interventions peluchesques.
[00:21:14] Speaker A: Qu'est-ce qu'on fait ?
[00:21:16] Speaker B: Qu'est-ce qu'on fait ? Je ne sais pas.
Est-ce que dans le chat, il y a des gens qui pourraient nous dire par émote ce qui doit se passer maintenant ?
[00:21:23] Speaker C: Je ne sais pas.
[00:21:26] Speaker A: C'est.
[00:21:31] Speaker C: L'Heure du Flashback News !
[00:21:35] Speaker A: Et c'est présenté par Gladys ! La tête de gland aux petites oreilles, elle est là avec nous.
[00:21:44] Speaker B: Mais c'est Anya ?
[00:21:45] Speaker F: Oui, Anyanka si on préfère.
[00:21:52] Speaker A: Bonsoir Gladys, bonsoir Amélie parce que vous êtes bien.
[00:21:54] Speaker B: Il y a une Amélie Sauvage qui est apparue sur le canapé aussi.
[00:21:57] Speaker A: Elle est toujours sauvage Amélie, c'est simple.
[00:21:59] Speaker B: Tu sais à chaque fois je lui.
[00:22:00] Speaker A: Dis « t'as pas des trucs plus doux à passer ? » Elle fait « non parce que j'aime pas ».
[00:22:03] Speaker B: Elle dit « moi je veux te péter la gueule ».
[00:22:05] Speaker A: Ça elle me l'a déjà dit une fois pour elle mais elle s'en souvient pas. Elle je vais vous saigner dit bande « de fils de pute ». Mais j'apprécie.
[00:22:12] Speaker B: C'est au jour de l'an non ?
[00:22:13] Speaker A: Non, non elle parlait pas beaucoup.
Non mais c'est vrai que je le sors plus donc je le vois même pas je dis ça mais en fait c'est complètement faux. On s'adore, on s'aime.
[00:22:22] Speaker G: On se marre.
[00:22:23] Speaker A: On se fend la poire.
[00:22:24] Speaker B: We are marring.
[00:22:25] Speaker A: Bon, les news, évidemment, c'est toujours Gladys. Gladys qui choisit les news selon ses goûts, évidemment, parce qu'elle s'en fout de ce que les gens pensent. Elle veut juste donner ce qu'elle a envie de donner.
[00:22:34] Speaker F: Bon, après, des fois, je dis des news qui ne m'intéressent pas, mais parce qu'il n'y a rien d'autre.
[00:22:37] Speaker B: Quand il n'y en a pas sur Brig Me, déjà, il faut... Ça fait 100 en général.
[00:22:41] Speaker A: C'est les seules news qui l'intéressent.
[00:22:43] Speaker B: Est-ce qu'il y a Brig Me cette semaine ?
[00:22:44] Speaker F: Non.
[00:22:44] Speaker B: Oh, merde.
[00:22:45] Speaker F: Il n'y a même pas le nom cité, ne serait-ce qu'une fois.
C'est quand il n'y a rien, il n'y a rien. J'ai creusé, j'ai creusé.
[00:22:51] Speaker B: Faut bien qu'il se repose un peu.
[00:22:52] Speaker D: De temps en temps.
[00:22:53] Speaker A: Bah oui, il le faut.
Il y a eu des jumeaux, c'est ça ?
[00:22:59] Speaker F: Oui.
C'est marrant, la fille est beaucoup plus jolie que le garçon.
Comme d'hab.
[00:23:04] Speaker A: Très bien. Comme dans le couple d'ailleurs.
[00:23:07] Speaker B: Comme dans son couple.
Elle est plus jolie que lui quand même.
[00:23:12] Speaker A: Elle essaie de nous communiquer par clignement des yeux.
[00:23:15] Speaker B: Je crois que ça veut dire va te faire enculer en même temps.
[00:23:19] Speaker A: J'imagine, j'imagine.
[00:23:20] Speaker B: Je parle pas très bien le morse mais j'imagine.
[00:23:23] Speaker A: C'était la suite de la blague.
Bon allez, qu'est-ce qui s'est passé cette semaine, Gadis ?
[00:23:29] Speaker E: Dis-nous tout !
[00:23:30] Speaker F: On commence avec Vulvodina qui est au cœur d'une nouvelle polénique.
[00:23:33] Speaker A: Polénique ?
[00:23:34] Speaker F: Polémique.
[00:23:35] Speaker B: Bah pour Vulvodina en même temps.
[00:23:37] Speaker F: C'est vrai, c'est ça que ça tient.
Non mais du coup, quelques jours après l'arrivée de Zion Bintenbender dont on a parlé la semaine dernière au champ, t'as vu je l'ai fait sans l'écorcher cette fois, Vulvodina a publié un communiqué officiel annonçant que le chanteur quittait la tournée asiatique pour gérer des accusations récentes via les voix légales. Quelles accusations ? Je ne sais pas.
[00:23:57] Speaker B: C'est aussi un groupe problématique, en même temps, vu la personne que je connais.
[00:24:02] Speaker A: Qui adore ce groupe, elle s'étonne pas !
[00:24:05] Speaker F: Du coup, c'est le Land Will Present, membre fondateur, qui reprend le micro pour le reste des dates. Le groupe veut gérer la situation de manière respectueuse et responsable. Bon, ils avaient déjà viré le premier, ils virent visiblement le deuxième. Ce groupe, visiblement, n'arrive pas à trouver de chanteur.
[00:24:20] Speaker A: Mais du coup, tous les chanteurs sont problématiques sur terre.
[00:24:22] Speaker B: Du coup, le chanteur qui revient, c'est encore un autre d'avant ?
[00:24:26] Speaker F: Non, en fait, c'est le membre fondateur. Lui, je crois qu'il est guitariste à la base, il me semble. C'est ça.
[00:24:32] Speaker C: Il m'a dit oui.
[00:24:33] Speaker B: Dans ton oreillette ?
[00:24:36] Speaker F: Qui reprend le chant en fait, c'était lui qui avait repris le chant une fois qu'ils avaient viré le premier chanteur.
Il recrute un nouveau chanteur qui visiblement est aussi problématique donc il revient encore une fois.
[00:24:45] Speaker A: C'est lui qui reprend le micro en disant de toute façon on n'a pas le choix.
[00:24:48] Speaker F: Premier chanteur d'ailleurs qui a volé les comptes Insta de leur deuxième groupe aussi, qui a décidé que leur deuxième groupe serait son projet solo maintenant.
[00:24:56] Speaker A: Mais alors voilà, il y a une règle dans la vie, c'est que la drogue c'est mal. La drogue c'est très très mal, et l'alcool globalement, vous voyez ce que ça donne. Bon, des personnes merveilleuses comme Gladys et Amélie, mais en même temps, chez les hommes ça marche pas. A priori.
[00:25:12] Speaker G: Ils auraient pu très bien, je sais pas, faire 100 chanteurs instrumentaux.
[00:25:17] Speaker F: Moi j'y serais pas allée.
[00:25:24] Speaker A: Bon, très bien, on va passer à la suite.
[00:25:28] Speaker F: On s'en bat les couilles.
[00:25:30] Speaker B: On s'en bat les couilles, on s'en bat les couilles, on s'en bat les couilles.
[00:25:34] Speaker A: Très bien.
[00:25:37] Speaker F: On passe sur Ignacia Fernandez-Mismontchil. En mode death metal, moment culte, Ignacia, candidate à Miss World Chile 2025, a choqué et bluffé le public en chantant du death metal pendant l'épreuve de talent. Chanteuse du groupe Decesus, elle prouve que beauté et metal peuvent évidemment aller ensemble.
Sa performance est devenue virale pour son audace et son authenticité.
[00:26:04] Speaker B: Alors je suis désolé, c'est une news très intéressante, d'ailleurs tout le monde a vu ce truc-là et tout le monde l'a repartagé. Et puis parce que t'as dit le nom du groupe et du coup il y a eu suce.
[00:26:14] Speaker A: Non mais la suce, elle était quand même super performante, je peux vous le dire. Elle a tout donné. Non mais excusez-moi, je suis un pervers sexuel donc je suis problématique aussi. Mais bon pour l'instant... Et toi aussi, tu donnes tout.
[00:26:24] Speaker B: On te laisse pas ta chance à.
[00:26:26] Speaker A: La télé mais... Ah bah je peux vous le dire, j'aurais fait la plus belle des performances. Il y aurait eu des paillettes en voiture, voilà.
[00:26:31] Speaker F: J'avais même pas fait gaffe au mot.
[00:26:33] Speaker A: Oui, mais c'est normal, tu es quelqu'un de sain.
Mais oui, non, c'est vrai, j'ai vu ça et c'est vrai que c'est assez...
[00:26:39] Speaker F: On me l'a envoyé, ce truc, on me l'a envoyé au moins 25, 15 ans. Faut que tu le mettes dans les news, j'ai compris au bout de la deuxième.
[00:26:46] Speaker A: Mais je crois que tout le monde se l'a envoyé 25 ans.
[00:26:47] Speaker B: Ah la première, t'avais pas compris !
[00:26:48] Speaker F: La première, c'est un pote qui me l'a envoyé en mode « Ah, t'as pas vu ça ? » Bon, j'ai fait « OK ».
[00:26:53] Speaker A: Comme qui t'envoie que des trucs de merde, tu t'es dit « Je vais pas regarder ».
[00:26:56] Speaker F: Si j'avais regardé, je sais pas, je me disais, ah cool, mais on verra s'il y a un mieux.
[00:26:59] Speaker B: Oui, et puis tu savais pas forcément si c'était récent ou pas non plus.
[00:27:02] Speaker A: Voilà, je connaissais pas. Pour en revenir à la vidéo, le décalage est quand même assez formidable. C'est-à-dire qu'on a aussi à Tempale, et là, elle est assez magnifique, dans une belle robe et tout.
[00:27:11] Speaker B: Très apprêtée.
[00:27:11] Speaker A: Très apprêtée, et il y a le guitariste qui s'installe, qui est très apprêté aussi, avec ses belles cheveux, cette belle chevelure.
Et puis d'un seul coup, ils y vont. Et là, effectivement, je pense que... Alors, est-ce qu'au Chili, c'est classique de faire du death metal ? Je ne suis pas sûr.
[00:27:27] Speaker B: Non, non, je pense que c'est surprenant, mais c'est bon signe. C'est-à-dire que quelque part, le metal devient... C'est de la transgression, mais acceptable.
[00:27:36] Speaker A: Oui, mais je me suis dit, elle a quand même le culot, parce qu'elle est là pour se faire élire. Et de faire ça, on se doute bien que ça n'aide pas à se faire élire. Ouais mais en même temps tu dis.
[00:27:44] Speaker B: Elle est originale, tu vois.
[00:27:45] Speaker A: Ouais, elle est originale.
[00:27:46] Speaker B: Ça la rend moins lisse que les autres.
[00:27:48] Speaker A: Oui, il y a ça. Mais je pense qu'aussi, c'est comme... C'est un peu le point levé, quoi.
[00:27:53] Speaker B: Elle avait envie de défendre... Moi, je trouve le seul défaut, c'est que la chanson n'est pas ouf.
[00:27:57] Speaker A: Oui, la chanson n'est pas ouf.
[00:27:58] Speaker B: Elle chante bien et tout, mais la chanson, c'est un peu monotone, quoi.
[00:28:02] Speaker F: C'est un peu plat.
[00:28:03] Speaker B: Ouais, c'est pas un morceau de... Donc.
[00:28:05] Speaker A: Def et Sus, c'est pas super bon quoi !
[00:28:07] Speaker B: Non, mais elle aurait peut-être dû faire une reprise.
Reprise et Sus.
[00:28:11] Speaker C: Je sais pas.
[00:28:12] Speaker A: Peut-être.
Une reprise, c'est quand on fait un crochet ?
[00:28:16] Speaker B: Allez, on va passer à l'agneau suivante.
[00:28:18] Speaker F: Ensuite, on a John Five qui tease un nouvel album solo, plus une résidence de Mötley Crüe. Le guitariste de Mötley Crüe du coup. a confirmé bosser sur un nouvel album solo tout en préparant la prochaine résidence du groupe Las Vegas. Un disque technique, fun et plein de surprises promet-il avec quelques invités monstrueux.
Et j'ai une petite rectification à faire moi personnellement, j'avais déjà parlé de John Five la dernière fois, j'avais parlé des nombreux albums que j'ai à la maison et j'avais fait une erreur monumentale en disant qu'il avait composé le solo de Sweet Dreams de Montsell. C'était une grave erreur. Donc je rectifie mon erreur.
[00:28:50] Speaker B: Très bien.
C'est tout à ton honneur.
[00:28:53] Speaker F: Je me suis renseignée après et j'étais persuadée de mon truc mais pas du tout.
[00:28:55] Speaker B: Le problème de cette époque là, c'est qu'il y avait quand même énormément de légendes urbaines, de choses qu'on nous répétait et c'est vrai qu'à l'époque on pouvait pas trop contrôler la véracité des trucs et c'est des trucs qui s'inscrivent dans ton cerveau et puis tu crois que c'est vrai.
[00:29:11] Speaker F: Peut-être que je m'en suis persuadée moi-même parce que j'ai trouvé qu'il était tellement bon et qu'il exécutait tellement bien en live à l'époque. Je sais pas d'où est venue cette info mais j'en étais vraiment persuadée.
[00:29:22] Speaker A: C'est pas grave, c'est pas grave. John Five, donc.
[00:29:24] Speaker B: Par contre, on peut rappeler que teaser, c'est quand même pas... Enfin, boire de l'alcool tout le temps comme ça, c'est pas... Même si les artistes font beaucoup de teases, il faut pas que... Boire, c'est pas toujours bien.
[00:29:37] Speaker F: À consommer avec modération.
[00:29:38] Speaker A: Exactement. Tout à fait. Enfin, si vous y arrivez.
Continue.
[00:29:43] Speaker F: Ensuite on a Taylor Momsen de The Pretty Ruthless, qui se confie sans filtre à un invité du podcast Color Daily.
Taylor revient sur sa santé mentale, les périodes sombres qu'elle a traversées et la façon dont la musique l'a sauvée.
Elle évoque notamment l'impact des pertes artistiques comme Chris Cornell ou Chester Bennington qui l'ont profondément marqué.
Elle dit, je cite, « la musique m'a sauvée quand tout semblait s'effondrer ». Un témoignage sincère et puissant de la part d'une artiste qui ne triche pas.
[00:30:08] Speaker A: Elle a souvent été assez transparente sur tout ça et puis en plus elle s'en est prise plein la gueule.
Oui.
De toute façon, il y a eu un déversement de chiasse sur elle quand elle a commencé.
[00:30:20] Speaker B: Bah oui parce que tout le monde disait oui c'est qu'une mannequin, elle est pas rock et tout ça. Elle sait pas ce que c'est le rock'n'roll. Je pense que depuis elle a prouvé quand même.
[00:30:28] Speaker A: Bah elle s'est concentrée que là-dessus donc c'est bien qu'elle est passionnée quoi.
[00:30:31] Speaker F: Moi je l'avais découverte dans une série à l'époque.
[00:30:33] Speaker A: Oui bien sûr.
[00:30:34] Speaker B: C'était Gossip Girl.
[00:30:35] Speaker F: Gossip Girl ouais.
[00:30:37] Speaker B: Mais en tout cas, voilà, encore une fois, les artistes qui se livrent sans filtre, voilà, si vous fumez, mettez quand même un filtre, parce que c'est quand même pas très bon pour les poumons, tout ça. Donc voilà, c'est comme l'alcool, avec modération.
[00:30:50] Speaker A: Avec un filtre ?
[00:30:51] Speaker F: Avec un filtre aussi.
[00:30:53] Speaker A: Puis mettez des fois des filtres sur vos photos parce que des fois, vous n'êtes pas beaux.
[00:30:58] Speaker B: C'est méchant. Ou acceptez qui vous êtes, sinon la société ou de l'uniformisation.
[00:31:06] Speaker A: Excuse me.
Non mais Pretty Reckless en plus sur scène c'est très très bon. Alors moi je suis pas super fan.
[00:31:12] Speaker F: De... Bah écoute moi j'aime bien musicalement par contre sur scène ça m'ennuie.
[00:31:15] Speaker A: Ah bon ? Mais moi j'avais bien kiffé, j'avais vu Ozenit.
[00:31:19] Speaker F: Bah elle faisait quoi à part être suspendue en arrière sur la batterie et faire ça avec ses cheveux ? Elle faisait rien.
[00:31:23] Speaker A: Oh bah moi elle faisait pas ça.
[00:31:24] Speaker F: Vocalement c'était incroyable parce que je trouve que vocalement elle gère parfaitement ses lives.
Mais en termes de DA ou de mise en scène, je trouvais qu'il se passait rien.
[00:31:31] Speaker A: De présence scénique, oui. Peut-être, moi, elle bougeait pas des masses, mais au moins, il y avait une bonne qualité vocale.
[00:31:36] Speaker F: Qualitativement, c'était... Mais vraiment, c'est en termes de... Ouais, de DA scénique ou de ce qui se passe sur scène, je trouvais qu'il se passait vraiment rien, quoi.
[00:31:44] Speaker A: Bon, elle était en première partie, non ?
[00:31:45] Speaker F: Non, c'était une tête d'affiche.
[00:31:46] Speaker A: C'était une tête d'affiche ? Moi, c'était une première partie que j'ai vue.
[00:31:48] Speaker F: Non, c'était une tête d'affiche.
[00:31:49] Speaker A: C'était il y a bien longtemps, peut-être que aussi...
[00:31:51] Speaker F: C'était il y a 2-3 ans, je crois, que j'ai arrêté de les voir.
[00:31:54] Speaker A: Ok, très bien.
[00:31:55] Speaker B: D'autres news ?
[00:31:56] Speaker F: Après, parce que du coup, Ah bah.
[00:31:59] Speaker A: Alors on va faire un petit clip alors !
[00:32:00] Speaker F: J'ai trouvé que ce titre était du coup très à propos par rapport à la news sur Taylor et j'ai choisi Pretty Reckless, My Medicine.
[00:32:08] Speaker A: Oh regardez ses petits airs coquins lorsqu'elle nous l'annonce ! My Medicine ! Eh bien nous allons regarder ça et nous allons nous retrouver juste après !
[00:32:41] Speaker F: Quelqu'un a mélangé mon médicament Quelqu'un a mélangé mon médicament T'es malade, t'es en.
[00:32:57] Speaker C: Sommeil, t'es en sommeil, t'es en chute.
[00:32:59] Speaker F: Maintenant t'es en profondeur, maintenant t'es en train de pleurer T'as une femme à gauche et un garçon à droite T'es.
[00:33:06] Speaker C: Arrêté dans la zone de douleur.
[00:33:09] Speaker F: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est.
[00:34:05] Speaker C: Parti pour le tour du monde !
je suis là.
[00:35:23] Speaker F: Somebody mixed my medicine Somebody mixed my medicine Somebody mixed my medicine.
[00:35:53] Speaker A: Mais c'est… Mais… Ah non, pardon ! Il y a un red ? De qui ?
[00:35:57] Speaker C: Qui ?
[00:35:58] Speaker B: Sarah le Chaprice !
[00:35:58] Speaker A: Merci à toutes les personnes qui viennent de rejoindre la chaîne Twitch. N'hésitez pas à vous y abonner si vous ne nous connaissez pas. C'est tout simplement une chaîne qui traite de métal, le rock, et de tous les genres autour de cette musique que nous aimons tendrement, comme Sarah d'ailleurs, le Chaprice, qui est fan de métal. Donc bienvenue à vous toutes et à vous tous, nous sommes en pleine news ! Voilà, donc vous avez aussi nos très chères chroniqueuses Gladys et Amélie qui sont là et qui peuvent vous faire un petit coucou. Vous faites coucou ?
En tout cas, merci d'être là et merci Sarah qu'on aime fortement et qu'on doit aller voir du côté de son sud-est préféré.
[00:36:44] Speaker B: Pour le festival ?
[00:36:45] Speaker A: Ah oui, pour créer notre propre festival. Oui, je sais, mais il faut un peu de temps quand même. Ça ne sera pas l'été prochain en tout cas.
[00:36:51] Speaker F: C'est un peu trop juste là.
[00:36:53] Speaker A: Ouais, après on peut, mais ça a donné quelque chose d'assez particulier.
[00:36:56] Speaker B: L'avantage dans le Sud, c'est qu'on n'est pas obligé de le faire l'été. On peut le faire au printemps.
Ça a l'air quand même beau.
[00:37:01] Speaker A: C'est vrai. Et puis à Sète, il y a le théâtre de Bordeaux-Mer qui est très très beau.
[00:37:05] Speaker B: Ah oui.
[00:37:06] Speaker A: Non mais vraiment, j'aime beaucoup.
[00:37:07] Speaker B: Ouais, le théâtre de Bordeaux-Mer de Sète.
[00:37:09] Speaker A: Voilà. Non mais je ne sais plus quoi que ça.
[00:37:12] Speaker B: Tu vois, moi non plus.
[00:37:13] Speaker A: Je suis sûr que les gens, si.
[00:37:14] Speaker B: Tu dis ça, les gens savent où on parle.
[00:37:15] Speaker A: Mais les gens, regardez, elle est là, elle nous laisse le message.
Oh bordel, cette idée. Mais elle est toujours là, tu sais.
[00:37:23] Speaker B: Et d'ailleurs, pour ceux... Alors, Sarah est déjà venue dans l'émission.
[00:37:26] Speaker C: On peut le dire.
[00:37:26] Speaker B: Elle est déjà venue, vous pouvez retrouver l'épisode avec Sarah sur notre chaîne YouTube.
Point d'exclamation, bang !
Si vous êtes déjà sur YouTube...
[00:37:34] Speaker A: Si vous avez envie de vivre un moment d'anthologie, vous pouvez me regarder que le dernier speak.
[00:37:37] Speaker B: La fin n'a pas de fin.
[00:37:40] Speaker A: Beaucoup de rire.
On est hystérique et c'est n'importe quoi. Je crois qu'il ne faut pas que Sarah soit dans la même pièce que moi, sinon... Il y a un level aussi assez particulier de quelque chose.
[00:37:51] Speaker B: Moi, je mets que quand je prends l'Instagram, je me connecte sur l'Instagram et que je vois vos échanges, je ne comprends rien. Il y a un univers, une bulle spatio-temporelle, et je ne comprends pas de quoi vous parlez. Rien du tout.
[00:38:09] Speaker F: Mais visiblement, eux, ils se comprennent.
[00:38:10] Speaker B: Ah oui, eux, ils se comprennent excellemment bien.
[00:38:12] Speaker A: On a plein d'idées.
[00:38:13] Speaker B: C'est ça qui me fait un peu peur.
[00:38:14] Speaker A: On ne peut pas donner toutes les idées à l'antenne, mais on a plein d'idées.
Mais c'est parce qu'on ne peut pas le dire, parce qu'il faut garder le secret.
[00:38:21] Speaker B: Bien sûr, parce que les gens ont la surprise quand ça arrive.
[00:38:24] Speaker A: Voilà, ils auront une belle surprise.
Bon allez, on continue les news s'il te plaît, Gadis !
[00:38:32] Speaker F: Ensuite, on a Mike Myles qui tacle gentiment Ariana Grande. Dans une récente interview, Mike a réagi à All My Cologne d'Ariana Grande qui sample Losing My Religion. Elle peut s'en inspirer bien sûr, mais disons qu'elle n'a pas vraiment capté l'esprit de la chanson, lâche-t'il avec humour.
Une petite pique rock'n'roll version Pauly.
[00:38:53] Speaker A: Ah oui, parce qu'elle a utilisé ça pour faire un truc festif par exemple ?
[00:38:57] Speaker B: Comme tout le monde en ce moment, j'ai l'impression que tous les samples qu'ils ont utilisés, c'est pas forcément à propos.
[00:39:03] Speaker A: Ah oui, non.
Après, est-ce que c'est vraiment nécessaire que ce soit à propos ?
[00:39:08] Speaker B: Non, je sais pas. Après, c'est quand même une chanson qui a un message qui est assez... Et.
[00:39:12] Speaker A: Puis c'est une chanson très très connue.
[00:39:14] Speaker F: N'importe quelle chanson qu'elle a samplée.
[00:39:17] Speaker B: Si ça aurait été la Lombada, c'était moins gênant.
[00:39:20] Speaker A: La lampe bataille ! La lampe bataille ! Bon, qu'est-ce qui s'est passé d'autre en dehors de ce club clash ?
[00:39:28] Speaker F: Ensuite, on a eu Antiflag, un ancien membre brise le silence après les lourdes accusations visant Justin Sain, un ex-membre d'Antiflag. Et sorti du silence, il parle d'un climat malsain et dit comprendre désormais les victimes. Une étape douloureuse pour les groupes définitivement marqués par ce scandale.
Moi, j'ai eu un énorme seum parce que j'avais été voir Antiflag quelques mois avant ce scandale, avec ma petite nièce qui faisait son premier concert de toute sa vie.
Et j'avais fait faire des photos avec... J'ai jamais raconté ça à sa mère, elle le sait pas.
Elle est pas de la scène, donc elle connaît pas ces bails-là, mais j'ai tellement honte de me dire que j'ai fait faire des photos...
[00:40:10] Speaker A: Tu pouvais pas savoir, tu peux pas deviner.
[00:40:13] Speaker F: Tu me dis, la gamine quand elle va grandir, si elle revoit les photos ?
[00:40:17] Speaker A: Les gens ne sont pas en sucre.
[00:40:22] Speaker B: À ce point-là quand même.
[00:40:23] Speaker F: Ça fait chier. Son tout premier concert, première photo avec un artiste.
[00:40:28] Speaker A: On les a reçus en interview deux fois.
Et c'était lui qu'on mettait en avant.
[00:40:31] Speaker B: Moi j'ai jamais aimé ce groupe.
[00:40:35] Speaker A: Ouais moi aussi j'ai bien aimé, c'est vrai que par contre j'écoutais jamais...
[00:40:38] Speaker B: J'avais un peu de mal avec l'écart entre le discours et la vie.
C'est un truc qui m'a toujours dérangé donc au final ça se rejoint quoi.
[00:40:51] Speaker F: Moi j'étais surprise qu'ils cherchent pas un autre chanteur parce que le groupe est quand même vachement cool musicalement.
[00:40:56] Speaker A: Après ça peut être blessant à un.
[00:40:57] Speaker B: Niveau particulier où tu dis c'est mieux.
[00:40:59] Speaker A: De briquer et de passer aux choses.
[00:41:01] Speaker G: Et parce que tu gardes forcément l'histoire qui va.
[00:41:04] Speaker A: Comme une mauvaise crotte !
[00:41:07] Speaker B: Je trouve qu'un chanteur c'est compliqué parce que c'est vraiment... Tu penses à Lost Prophets ? Bah non mais c'est vrai ! Lost Prophets ils auraient pu continuer avec un autre chanteur.
Après il y a plein de groupes.
[00:41:20] Speaker F: Qui ont continué avec d'autres chanteurs.
[00:41:21] Speaker A: Peut-être que c'est pas avec les mêmes histoires.
[00:41:23] Speaker G: Oui c'est ça aussi.
[00:41:26] Speaker A: Bon bah on va passer à la suite. Antiflag ton pipeau.
[00:41:29] Speaker F: Ensuite on a Foo Fighters qui a fait un live exclusif pour Amazon Music. Ils ont enregistré un set de 11 titres à Los Angeles pour Amazon Music Live quand même.
La vidéo de All My Life et Dispo, captée au milieu du public dans une ambiance intimiste, on dirait une répète ou un clip de Lenny Kravitz à la chez Dave Grohl.
Un moment brut, sans furiture, 100% fou.
[00:41:52] Speaker A: Ça doit être très très bien, j'en doute pas un seul instant mais c'est juste que voilà.
[00:41:57] Speaker B: Ce qui est bizarre, c'est que Foo Fighters, ils ont pas changé de chanteur quand il y a eu le scandale.
[00:42:01] Speaker A: Parce que là, ils auraient fait pareil. Bah non, parce que c'est lui qui dirige tout, et qu'ils seraient tous faits assassiner.
[00:42:09] Speaker B: Parce qu'au final, c'est lui, Fouf.
[00:42:11] Speaker A: C'est une sacrée Fouf, d'ailleurs, ce David. Ce David Chaussure.
Elle était mauvaise, c'est ça.
Celle-là, on la traite depuis 25 ans.
[00:42:24] Speaker F: Ça marche toujours bien.
[00:42:26] Speaker A: Voilà, on l'avait dans Bring the noise, mais on l'a dans Bang Bang. Elle viendra peut-être dans l'émission d'après aussi.
Bon allez vas-y continue les Foo Fighters, très bien on s'en fout.
[00:42:34] Speaker F: Dernière petite news, Desiker dit au revoir à Gino.
[00:42:38] Speaker A: Gino ?
[00:42:38] Speaker F: Gino Sgambeluri ?
[00:42:41] Speaker A: Gino Lollobrigido ?
[00:42:43] Speaker F: Le groupe post-highcore des Seekers vient d'annoncer le départ de son guitariste Gino, je vais pas redire son nom de famille.
Après des années de collaboration, le message du groupe évoque une séparation dans le respect et la gratitude, soulignant sa passion, sa gentillesse et les innombrables heures dédiées au projet. C'est une belle rupture.
[00:42:59] Speaker A: Est-ce qu'il n'est pas bien vu de faire une belle déclaration comme ça alors que ça se passe mal ?
C'est juste qu'ils se sont entendus financièrement sur cette séparation.
[00:43:10] Speaker F: On sait pas pourquoi ils se sont séparés, ça tombe, le mec il a juste envie de se concentrer sur sa famille ou autre.
[00:43:15] Speaker A: Peut-être qu'il veut faire des pédicures ?
[00:43:18] Speaker B: Peut-être.
[00:43:20] Speaker F: J'ai pas compris la verse.
[00:43:21] Speaker B: D'autres choses qui commencent par la même lettre.
[00:43:25] Speaker A: C'est vrai ? Dans le schmull, si vous avez compris, n'hésitez pas à mettre ce mot en quatre lettres.
Pourquoi ?
Ah bah alors peut-être avec un AY à la place du E ! Bon bref.
[00:43:44] Speaker F: Bah voilà, bref.
[00:43:45] Speaker A: Bah oui, oui, bon bah écoute, c'est une séparation mais du coup il s'est séparé avant les nouveautés qui arrivent de Day Seeker ?
[00:43:51] Speaker F: Ça vient d'être annoncé.
[00:43:52] Speaker A: Ah oui, d'accord, ok.
[00:43:54] Speaker F: C'était annoncé cette semaine.
[00:43:55] Speaker A: Bah bisous, au revoir.
À la revoyure.
[00:43:58] Speaker F: J'ai pris un clip quand même de Day Seeker parce que c'est quand même un très bon groupe, moi j'aime beaucoup.
[00:44:02] Speaker A: Alors Dayseeker c'est un peu... alors je connais pas très bien mais c'est un peu... c'est très changeant c'est-à-dire que... Bah c'est pour ça que donner une étiquette.
[00:44:10] Speaker F: C'Est compliqué parce que là sur internet en ce moment c'est marqué Post Hardcore mais en vrai c'est aussi un peu.
[00:44:15] Speaker A: Metalcore je trouve Ouais là ce que t'as choisi c'est très Metalcore Après des.
[00:44:19] Speaker B: Fois la frontière est...
[00:44:20] Speaker F: Selon les titres et selon les réseaux c'est pas la même étiquette donc j'ai choisi la première mais en vrai moi je suis plus Team Metalcore de base.
[00:44:28] Speaker B: Bon on les oublie hein Floureuse quoi.
[00:44:36] Speaker A: Elles sont connes.
[00:44:37] Speaker B: Et l'abordant c'est de chercher le jour.
[00:44:41] Speaker A: Très bien, c'est monté au cerveau. Prends le pop-corn. Là l'émission est terminée.
Non mais très bien, cette chanson moi je... T'as pas aimé ?
[00:44:51] Speaker C: Non.
[00:44:52] Speaker A: C'est une belle chanson mais c'est juste que je ne l'ai pas appréciée.
[00:44:55] Speaker F: Les goûts et les couleurs comme on dit.
[00:44:57] Speaker A: C'est tout, y'a pas plus de scandales, pas plus d'amour ?
[00:45:02] Speaker F: Y'a pas, j'ai pas trouvé grand chose.
Il y a des semaines comme ça où il se passe pas grand chose.
[00:45:06] Speaker B: En tout cas, c'était bien, c'était bien. Mais oui, on a pu dire... Allez.
[00:45:09] Speaker A: On applaudit, que tout le monde applaudisse dans le chevel, s'il vous plaît. J'aimerais qu'on applaudisse Gadis, s'il vous plaît. Allez, allez, allez, toc toc, on applaudit Cochon.
Ben, les cheveux roses... Oui, mais j'ai.
[00:45:20] Speaker F: Des oreilles de chat, là.
[00:45:21] Speaker A: Ben oui, je sais. Elles sont où ?
[00:45:23] Speaker B: Elles sont où ?
[00:45:23] Speaker F: Elles sont là.
[00:45:24] Speaker A: Pour faire allusion à quelque chose de très, très vieux. Ben, c'est une sacrée chatte celle-ci. Oh, putain de merde.
Voilà, et tout ça, ça va être en podcast tout seul, les gens vont apprécier. Gladys en tout cas, bravo pour ton travail, merci pour ces belles recherches et on te retrouve la semaine prochaine et puis tu vas rester là le temps qu'elle nous raconte un petit peu.
[00:45:44] Speaker F: Pour pouvoir critiquer.
[00:45:46] Speaker A: On aime ça.
[00:45:48] Speaker C: De toute façon j'ai pas aimé ce.
[00:45:49] Speaker A: Qu'Elle a mis donc je vais tout défoncer.
[00:45:50] Speaker F: Je sais même pas.
[00:45:52] Speaker G: Je me vengerai sur d'autres groupes. Un groupe que tu adores.
[00:45:56] Speaker B: Ça va être dur de trouver.
[00:45:57] Speaker A: Je sais pas. Allez, on regarde donc ce Day Seeker Creature in the Black Night. Merci infiniment. Et d'ailleurs, attention, avant de le clip, on retrouve toutes ces informations demain à 17h30 sur notre chaîne YouTube. Comme ça, si vous n'avez pas tout vu, vous rattrapez et laissez un petit commentaire.
[00:47:09] Speaker C: Tu te sens comme un étranger à l'intérieur de ton escalier Je peux faire une scène quand je me sens dégradé. Jouer dans mon cœur quand je sens que tu t'éloignes.
C'est tout ce qui t'empêche de revenir.
Alors pourquoi es-tu là dans la lumière du jour ? Tu te sens comme un étranger à l'intérieur de l'escapade.
Grasse, grasse, grasse dans les airs De la grasse à moi-même est pleine de fleurs et de vignes C'est la fin de cette vidéo.
Where is our way ?
Felt and prepared to march into death The darkness had long prevailed Destination confirmed, murder defect One more parade will proclaim Nazca's scorn On va s'accuser d'ailleurs, yeah !
C'est la fin du monde !
[00:53:53] Speaker A: Et là les gens se disent qu'ils se foutent de la gueule du clip. Non pas du tout ! C'est qu'à la fin il y a une explosion nucléaire et que ça nous fait toujours sourire. C'est une belle petite explosion nucléaire, qu'est-ce.
[00:54:00] Speaker B: Qu'On demande de plus ?
[00:54:01] Speaker A: Mais finalement il n'y a que ça pour nous faire plaisir.
[00:54:03] Speaker C: C'était le chaos.
[00:54:04] Speaker A: C'était le off-blast évidemment, celui qui célèbre tout genre musicaux mais que la bonne musique, avec bon goût, est délicieusement présentée par notre ami Ben. Tous les podcasts sont disponibles sur restless.com.
[00:54:17] Speaker B: Enfin tous, il y en a 12.
[00:54:18] Speaker A: C'est tous quand même. C'est pas parce qu'il y en a 12 qu'ils ne sont pas tous là.
C'est à connaître, si vous n'avez pas fait ça, il y en a certains qui vont vous en parler dans le chemel parce qu'ils ont tout écouté d'une traite tellement c'est délicieux. Bon, qu'est-ce que c'est que ce chaos, K-H-E-O-S et Immortal Warfare, choisi par toi Amélie ?
[00:54:38] Speaker G: C'est un groupe français qui nous vient de Lille.
Après ils ont un EP et là il y a un album qui va sortir en mars bientôt.
Je pense qu'en mars il va y avoir pas mal de sorties d'albums, j'ai un peu hâte.
[00:54:53] Speaker A: Quand elle se chauffe directement.
[00:54:54] Speaker G: Non mais c'est très cool et du coup cet album là il va s'appeler Oxymore.
Donc il y aura pas mal, en fait les textes seront pas mal sur les La lumière, l'obscurité, enfin vraiment pas mal de contradictions.
[00:55:09] Speaker B: Des oppositions quelque part, des oxymores quoi. Comme le soleil noir, des choses comme ça quoi.
[00:55:15] Speaker F: Quelle figure de style ?
[00:55:17] Speaker G: J'ai l'impression d'être à l'école tu sais.
[00:55:20] Speaker F: Moi c'est utile finalement.
[00:55:22] Speaker A: T'aurais dû y aller plus longtemps !
[00:55:30] Speaker G: Voilà cette sortie en mars, il y a trois autres singles qui vont arriver.
Et franchement le clip est assez sympa, c'est inspiré quand même d'un film. Alors je ne l'ai pas vu mais j'ai regardé des images et effectivement ça faisait penser à ce film-là de Le Septième Sceau.
Ça avait l'air d'être aussi ce genre de partie d'échec entre deux personnages, le côté la mort, la guerre... J'ai pas eu le temps de regarder le film mais... J'ai vu quelques images.
Et aussi en fait, qu'est-ce qu'il m'avait dit aussi par rapport au costume aussi, c'était inspiré de certains films de Kubrick.
Et puis aussi toute la vibes des films produits par A24.
Je sais pas si vous voyez, c'est un peu les films que j'adore, genre Hérédité, tous les films...
[00:56:18] Speaker F: Les trucs qui font peur quoi.
[00:56:19] Speaker G: Ouais mais c'est plus... Ah bah là.
[00:56:21] Speaker B: Marcel nous a mis... Ah, un peu surréaliste.
[00:56:23] Speaker G: C'est des trucs plus récents, c'est des productions plus récentes mais c'est des films d'horreur mais un peu d'auteur moi j'appelle ça comme ça.
[00:56:31] Speaker A: D'accord c'est des trucs d'un télo ?
[00:56:33] Speaker G: Non pas forcément mais c'est pas les vieux films d'horreur.
[00:56:36] Speaker A: C'est gentil quand j'ai ça en tête.
[00:56:37] Speaker B: C'est pas série B quoi.
[00:56:38] Speaker C: Ouais voilà.
[00:56:40] Speaker F: Ça me fait vraiment peur quoi.
[00:56:42] Speaker G: Tout ce que je ne regarde pas quoi.
[00:56:45] Speaker A: En tout cas tes yeux nous font comprendre que là effectivement tu es partie dans un délire parce que t'as les yeux qui sortent de la tête ma chérie.
[00:56:53] Speaker G: Donc voilà, on est toujours sur du metalcore, bien énervé, il y a des petits passages un peu plus aériens. J'aime bien aussi un peu le côté, la petite partie de fin j'aime beaucoup d'ailleurs, où t'as le côté un petit peu électro qui passe bien et moi j'avais envie que ça continue un petit peu quoi.
[00:57:14] Speaker A: Très bien, on redonne le nom ?
[00:57:15] Speaker G: Kheos.
[00:57:16] Speaker A: K-H-E-O-S. Voilà, tout simplement, n'hésitez pas à les rejoindre sur les réseaux sociaux pour pouvoir bien sûr les motiver et n'hésitez pas à dire que vous venez de la part de Restless, tant qu'à faire.
[00:57:24] Speaker B: Un peu comme Kheops sans le P.
C'est ça. Parce qu'ils aiment pas les mauvaises odeurs.
Les momies... Oh bah dis donc, celle-là, elle a tout mis dans les bandelettes.
[00:57:40] Speaker A: En chaos, donc très bien, bon concept, et c'est très très bon aussi, c'est très bien produit, joli clip, belles chansons.
[00:57:47] Speaker G: D'ailleurs le clip c'est, donc le chanteur qui s'appelle Eman, je sais pas si je prononce bien son prénom, c'est lui qui réalise la plupart du temps en gros tout ce qui va être graphisme, clip et tout ça.
[00:57:57] Speaker A: D'accord, c'est homemade.
[00:57:59] Speaker G: Voilà.
[00:58:00] Speaker A: Très bien, c'est très bien, bravo. Toutes nos félicitations. On peut quand même le féliciter parce que c'est un très beau travail.
[00:58:06] Speaker G: Merci de ne pas avoir fait un clip dans la forêt ni dans un hangar.
[00:58:08] Speaker A: Très bien, ça nous change un petit peu.
[00:58:11] Speaker B: Bravo la France.
[00:58:12] Speaker A: Bravo la France.
[00:58:13] Speaker B: Vive le Nord.
[00:58:13] Speaker F: Par contre dans le Chemel, ils ont le seum parce qu'ils ne savent pas voter.
[00:58:15] Speaker A: Pourquoi ils ne savent pas voter ?
[00:58:17] Speaker F: Ils ne peuvent pas.
[00:58:19] Speaker B: Ils ont dit le fameux vote forêt ou hangar.
[00:58:22] Speaker A: Pour le moment.
[00:58:25] Speaker B: Les gens sont bredouilles.
[00:58:26] Speaker A: Ou plutôt brecouilles, comme on dit dans la bouche noire.
Bon, on va passer un petit peu, avant de te retrouver pour ton deuxième show Amélie, on va passer aux choses sérieuses quand même, parce que tu le sais Amélie, tous les dimanches, les bangers ont le droit de choisir des morceaux, enfin pas n'importe quels bangers, ceux qui sont abonnés Headbangers sur notre Patreon. Si vous êtes abonné à notre Patreon au niveau Headbangers, vous avez donc des stickers, vous avez accès à des informations exclusives et des potins, vous avez aussi, parce qu'on vous raconte tout, on n'a pas de filtre, et vous êtes Vous êtes bien servis quand même.
[00:58:58] Speaker G: C'est quel type de potin ? C'est les tiens ?
[00:59:00] Speaker A: Non non, c'est pas les miens.
[00:59:01] Speaker B: Ah non, c'est les potins de la radio.
[00:59:02] Speaker A: C'est les potins, c'est-à-dire que les gens...
[00:59:04] Speaker B: Qu'est-ce qui se passe entre les... Qui s'offre des tablettes d'Oreo ?
[00:59:07] Speaker A: Qui fourre le... Qui fourre le Oreo ?
[00:59:09] Speaker B: Des choses comme ça.
[00:59:10] Speaker G: Tout est dit. Bah c'est intéressant du coup.
[00:59:12] Speaker A: Et puis on connaît, on peut, on dit aussi...
[00:59:14] Speaker F: La jalousie te consumera.
[00:59:17] Speaker B: Non, ça va, ça va aller, t'inquiète pas.
[00:59:21] Speaker A: On explique que j'ai mangé pas mal de chocolat dernièrement. On donne aussi les futurs projets, ce que personne ne connaît. On raconte beaucoup de choses en secret.
[00:59:34] Speaker F: Et on demande l'avis qu'ils peuvent en savoir et que nous on ne sait même pas.
[00:59:38] Speaker A: Vous, vous ne savez même pas, effectivement.
[00:59:40] Speaker B: Il y a des trucs qu'ils savent, même moi je ne sais pas.
Moi, il y a des trucs, je les apprends quand Pierre le dit aux gens.
[00:59:46] Speaker A: C'est vrai, c'est vrai, c'est en direct, c'est comme ça.
[00:59:50] Speaker G: Comme les projets avec Sarah, en fait.
[00:59:51] Speaker A: Toujours est-il qu'il y a aussi la possibilité de choisir des clips, de faire une petite battle. On lance les votes le vendredi et c'est toujours intéressant parce que ça permet de redécouvrir des clips, de partager aussi vos connaissances, vos idées et vos avis. Et là, c'est Kevin Parent, Dwight et Evan qui ont donné trois clips différents, très différents d'ailleurs. Et c'est Evan, bien évidemment, Qui a gagné ? Déjà on l'applaudit, Evan, bravo ! Et merci à vous trois !
[01:00:17] Speaker B: Qui a gagné aussi une guitare la semaine dernière !
[01:00:20] Speaker A: C'est vrai ! C'est vrai qu'il a gagné aussi une guitare la semaine dernière !
[01:00:23] Speaker F: Est-ce qu'il a joué à l'auto à l'EuroMillion ? Parce que là il est dans une période de gagne. Il devrait peut-être...
[01:00:27] Speaker B: J'espère pour lui qu'il va jouer à l'EuroMillion.
[01:00:29] Speaker A: On l'invite, ouais, à jouer. Et puis qu'il n'hésite pas à nous donner la moitié s'il gagne.
[01:00:32] Speaker F: Et si jamais, voilà, je gagne son ami, il n'y a pas de...
[01:00:34] Speaker A: C'est les gens super intéressés ! C'est une meuf super sympathique !
[01:00:40] Speaker G: Les gens font du fric !
[01:00:41] Speaker B: Et puis je suis quand même bien collé !
C'est pas désagréable à regarder non plus, je veux dire.
[01:00:47] Speaker A: Bon, et donc vous avez le droit, quand vous gagnez, vous avez le droit de laisser un message d'une minute pour pouvoir discuter en direct live sur Restless et dans Bang Bang. Et attention, voilà son message.
[01:01:00] Speaker B: Salut, Restless, j'espère que tout le monde va bien.
Pour le clip de ce soir, je vous présente Drain, c'est un groupe de punk hardcore américain de Californie, il me semble.
Le clip, c'est tout simplement des images de la bande de potes qui font leur tournée, donc ça donne vraiment envie d'être leurs copains.
Les paroles sont super optimistes parce que ça parle vraiment de joie, de profiter de l'instant.
avec les personnes qu'on aime, sur du son qui tabasse un peu, clairement.
Ça donne envie de tourner sur soi-même avec les poings serrés. Donc je vous laisserai apprécier.
Et maintenant que je vous ai, j'en profite pour remercier toute l'équipe de Restless pour tout ce que vous faites pour la musique, pour ce que vous faites pour nous et pour les cadeaux que vous nous offrez.
Donc voilà, gros bisous à tous et bonne écoute.
[01:01:48] Speaker A: Oh c'est gentil, merci Evan, et merci d'ailleurs à toutes les personnes, qu'on soit abonnés ou pas.
Merci de ton soutien, c'est vrai.
[01:01:55] Speaker B: Merci du soutien en général.
[01:01:57] Speaker A: Ah, j'ai ça qui vient de sortir.
[01:01:58] Speaker F: De... Ouais, je dis merci pour ce choix.
[01:02:01] Speaker A: T'es contente ?
[01:02:01] Speaker C: Ouais.
[01:02:02] Speaker B: Ah ouais, en plus elle va prendre la moitié de l'euro-million.
[01:02:04] Speaker A: Ouais, il aurait choisi n'importe quoi.
[01:02:08] Speaker F: Non mais en vrai, s'il avait eu des goûts de merde, ça m'aurait fléché d'être sa pote.
[01:02:11] Speaker B: Ouais, mais là du coup c'est bon.
[01:02:13] Speaker F: Voilà, ça va, s'il a de l'argent et des bons goûts.
[01:02:16] Speaker A: C'est compliqué pour approcher Gladys quand même, c'est pas chose facile.
En tout cas, n'hésitez pas à nous rejoindre, vous pouvez nous rejoindre sur notre Patreon gratuitement, mais vous pouvez aussi prendre n'importe quel tiers, ça commence à 6,66€. Et si vous avez un groupe, vous pouvez même vous abonner à ce tiers-là, 6,66€, parce que vous pouvez nous obliger à passer votre clip, c'est une vérité et on le fait tous les dimanches. Donc n'hésitez pas.
[01:02:40] Speaker B: Dernier clip de l'émission.
[01:02:41] Speaker A: Dernier clip de l'émission, bien sûr, qui doit être français, un groupe français, bien évidemment. Ben let's go, on regarde ce qu'Ivan a choisi, c'est donc « Drain » avec « Stealing happiness from tomorrow ».
[01:03:39] Speaker C: C'est pas une compétition, je ne suis pas venu pour quelqu'un Quand la guerre était si forte, qu'est-ce que j'ai fait pour me sentir si aimé ? Tu sais que je t'ai emprisonné, et je sais que tu m'as emprisonné Je suis venu pour vivre, comme rien que je n'ai jamais vu, comme rien que je n'ai jamais rêvé C'est la fin de cette vidéo.
C'est Still in happiness from tomorrow la Feel dernière fois que j'y vais.
the love of the whole world pouring over me Still in happiness from tomorrow I never wanna feel alone ever again Créé, créé, créé !
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org ...
C'est bon.
[01:08:47] Speaker F: Save all my days and nights It's you I don't know It's gold for.
[01:08:56] Speaker C: A lifetime Come closer, I wanna say.
[01:09:03] Speaker F: It louder Come closer, I wanna hold you later Come closer, I wanna hear you clearer.
[01:10:01] Speaker C: Close our wounds, say it.
[01:10:03] Speaker A: Louder, come Close our wounds, say it.
[01:10:06] Speaker F: Louder, come Close our wounds, say it louder, come Close our wounds, say it.
[01:10:16] Speaker C: Louder, come Close our wounds, say it louder, come Close our wounds, hold you later, come Close our wounds, say it.
[01:10:23] Speaker F: Louder, come.
[01:11:22] Speaker A: Qu'est-ce que nous venons de regarder Ben ? C'était incroyable, c'était très très beau.
[01:11:29] Speaker B: Ben oui, c'est les copines de Madame.
[01:11:31] Speaker A: On les adore Madame, blablabla.
Un groupe excellent d'ailleurs, à voir sur scène absolument.
[01:11:36] Speaker B: Voilà qu'on sorti ce titre, To the Moon, avec l'orchestre symphonique, je crois que c'est l'orchestre Out de Toulouse.
Et voilà, ils ont eu l'occasion de faire ça. Depuis que c'est sorti vendredi, après, il y a plein de gens qui ont déjà repris, mais vu qu'on les avait reçus dans l'émission et que c'est quand même cool que des artistes français arrivent et françaises encore plus, arrivent à faire ce genre de projet avec autant de gens engagés. Enfin, je ne sais pas si vous voyez la quantité de gens qu'il y a dans l'orchestre.
Et puis, réadapter le morceau et tout, c'est du beau boulot et donc ça méritait un petit peu de lumière.
C'est pas comme si on avait une lumière énorme, mais on adore Madame. Et du coup, voilà, on voulait partager ça avec vous.
[01:12:25] Speaker A: Je crois d'ailleurs que cette sortie-là annonce aussi une petite pause.
[01:12:29] Speaker B: Exactement. Elles ont tourné, il y a encore quelques petites dates jusqu'à la fin du mois, je crois.
Et puis après, elles vont rentrer en pause, en effet, pour préparer la suite.
Et quelle suite, là déjà la tournée qu'elles ont fait, c'est la folie !
[01:12:41] Speaker A: C'était monumental !
[01:12:42] Speaker B: Elles ont sorti aussi un livre de photos, enfin Gabi, la chanteuse-guitariste, a sorti un livre de photos. Vous pouvez aussi encore acheter, je pense, sur leur Bandcamp, qui est hyper intéressant, ce qui s'appelle le Behind the Noise, je crois.
Bref, un groupe plein de qualités qui fait vraiment beaucoup, beaucoup de choses sur cette scène.
Voilà, il faut soutenir les projets comme ça, donc soutenez Madame !
[01:13:04] Speaker A: Et bravo madame aussi, bravo.
C'est très très bon et merci d'exister.
Juste avant de recevoir nos invités, tiens regarde, ça sort de là, je ne l'avais pas montré tout à l'heure. C'est eux nos invités ce soir. Les Bukowski vont être là pour nous parler bien évidemment de cet album et de tout ce qui tourne autour, bien évidemment.
On est ravis de les avoir parce que ce sont des gens extraordinairement gentils et qu'à chaque fois je suis ému parce qu'on a vécu tellement de choses ensemble.
Et puis là, j'ai un cadeau.
C'est un petit cadeau, mon petit Ben, j'ai un cadeau. Mardi soir, il y a un concert que je ne vais pas louper. Ça sera ma semaine de concert. Mardi soir, il y a Hunter Chicari au Bataclan.
Les néons, les petites lumières, les lasers.
[01:13:46] Speaker F: Tu vas en jogging fluo ou pas ?
[01:13:48] Speaker A: Evidemment, j'y vais en slip fluo.
[01:13:50] Speaker F: Je vais vérifier, je serai là.
[01:13:51] Speaker A: Tu pourras vérifier, j'aurai le jogging de la même couleur que tes cheveux. On sera assorti ma chérie.
[01:13:57] Speaker B: Maton fluo, plutôt rose poudrée.
[01:14:02] Speaker A: En tout cas, est-ce que vous avez envie d'aller voir Enter Shikari à Paris ? J'aurais pas de miens au Bataclan mardi. Et bien si c'est le cas, il va falloir participer. Il va y avoir un tirage au sort à un moment dans l'émission. Peut-être d'autres places de concert aussi à gagner parce que j'ai oublié de faire des annonces. Mais j'ai des trucs à offrir.
On verra bien comment ça se passe. En attendant, ceux qui veulent participer, celles qui veulent participer, il suffit dans le chat de mettre point d'exclamation Shikari Paris.
[01:14:24] Speaker B: Dans le ch'meule, pardon.
[01:14:26] Speaker A: Oui, dans le ch'meule, pardon. Autant pour moi, j'oublie le nom délicieux de cet endroit, si humide et intense. Donc, si vous avez envie d'éclater le ch'meule, n'hésitez pas à mettre, point d'exclamation, Chicari Paris, et vous participerez à ce tirage au sort pour pouvoir repartir avec vos fameuses places pour ce concert qui, je pense, va être encore une fois exceptionnel. Ce groupe-là sur scène, c'est monumental.
[01:14:47] Speaker F: T'es en train de me faire réaliser que comme cette semaine-là, la semaine prochaine, j'ai encore des concerts tous les soirs.
[01:14:51] Speaker A: Ben ça va, c'est un beau métier quand même, y'en a qui enchient toute leur vie et blottent. Oh bah dis donc, je ne sais que faire.
[01:14:58] Speaker B: C'est pas facile. Et puis que des groupes que t'aimes pas en plus.
[01:15:01] Speaker F: C'est délicat.
[01:15:03] Speaker A: Interchicare, je vais encore danser. La dernière fois que j'étais à l'Interchicare, je m'étais fait arracher les dents de sagesse. D'ailleurs, un truc, la prochaine fois qu'il repasse à Paris, je vais faire attention.
Je vais aller vérifier mes dents avant.
Qu'est-ce qui se passe Gladys ? Qu'est-ce qu'elle fait ? Elle est en train de réfléchir ? On sent que ça fume.
[01:15:19] Speaker F: Je suis en train de réaliser que le 13, du coup, je vais chez le dentiste et je vais me faire arracher des dents le matin et qu'à 15h30, j'ai un cours de chant avec David Ferron.
[01:15:27] Speaker A: Là je pense que ça ne va pas être bien.
Après tu fais comme tu veux, si t'as envie de gicler du sang sur son visage, peut-être qu'il ne sera pas très heureux.
Donc jouez, n'hésitez pas à Chica ! Point d'exclamation ! Chicari Paris, n'hésitez pas à jouer ! Il ne faut pas s'en priver, c'est des places gratuites ! On va continuer.
On continue notre petit chemin d'amour ?
C'est Amélie qui va nous parler de son autre groupe, son autre choix musical, tout de suite, immédiatement.
[01:15:57] Speaker G: Oui, du coup c'est un groupe que je suis allée voir, d'ailleurs il l'a vu aussi Marcel, qui était en première partie de Orbit Culture, c'est GAERRA, j'arrive jamais à le dire mais ça s'écrit G-A-E-R-R-A.
C'est un groupe portugais et étonnamment j'aime bien parce que Étonnamment parce que je.
[01:16:18] Speaker A: N'Ai pas l'égo portugais, j'aime pas vraiment ça d'habitude.
[01:16:20] Speaker G: De base, j'aime pas du tout le black, enfin j'ai du mal avec le black, mais là c'est plutôt...
[01:16:26] Speaker B: La musique black metal.
[01:16:27] Speaker F: Oui.
[01:16:29] Speaker G: La musique black metal, traditionnelle on va dire.
Et là c'est plutôt du post black, il y a tout un côté atmosphérique qui est hyper intéressant.
T'as vu la scène des visiteurs dans.
[01:16:41] Speaker B: La tête ou pas ?
[01:16:42] Speaker A: Non mais je me dis, mais l'autre c'est un meupette à côté quoi. L'autre elle sourit, elle est comme ça, elle a les lèvres fines, d'un coup elle a son visage qui fait comme ça, après elle a les lèvres qui grignotent, ça change tout le temps. C'est vraiment exceptionnel.
[01:16:54] Speaker F: J'ai plus rien, j'ai un visage expressif, c'est pas de ma faute.
[01:16:56] Speaker A: Et puis c'est sympa de soutenir ta pote surtout.
[01:16:58] Speaker G: Moi je bois pas donc voilà.
[01:17:00] Speaker F: Justement je la soutiens en ne disant rien.
[01:17:03] Speaker G: Donc je reviens à mon truc, à mon histoire.
Donc ils étaient en première partie, enfin deuxième première partie.
Et franchement au concert j'ai été sur le cul, enfin j'en ai parlé avec d'autres, pareil on était tous sur le cul. Les gars ils ont foutu l'ambiance de ouf.
Le chanteur il a quand même des mumiques assez particulières.
[01:17:23] Speaker A: C'est à dire ?
[01:17:23] Speaker G: En fait en gros le groupe ils sont tous masqués avec des cagoules. Ils ont un seau sur la cagoule, c'est un seau de, je sais plus, un démon, genre Asmodée, je crois.
[01:17:35] Speaker A: Ils n'ont pas un seau pour faire le ménage ?
[01:17:37] Speaker B: Non, non, non.
[01:17:38] Speaker A: Non, parce qu'il y a des groupes qui l'ont fait des années 80.
[01:17:41] Speaker B: Un symbole, un symbole.
[01:17:42] Speaker F: Ça aurait été un peu plus original.
[01:17:46] Speaker B: Et quand même pas très pratique ni stylée.
[01:18:07] Speaker A: C'est pas donné à tout le monde. Non mais c'est chouette quand même.
[01:18:09] Speaker G: Non mais ce groupe, Sleep Talkin, je sais pas comment ça date, mais ce groupe, ça fait dix ans quand même qu'il existe.
Et à la base, ça fait un moment que je connais ce groupe-là par le visuel, mais je m'étais dit, la musique, j'avais pas trop écouté et tout. Et là, en fait, je me suis dit, vas-y, je vais la réécouter, c'était trop bien. Ils ont mis l'ambiance et c'est quand même des gens qui sont cagoulés. Ils ont quand même du charisme en étant cagoulés. Donc franchement, il faut le faire.
[01:18:28] Speaker A: Peut-être qu'ils en auraient moins s'ils envoyaient leur visage.
[01:18:33] Speaker B: C'est une théorie qui tient complètement. Souvent, il y a une raison de mettre une cagoule.
[01:18:38] Speaker F: Là, non.
[01:18:39] Speaker G: En fait, on sait qui c'est.
[01:18:40] Speaker B: Et l'autre là, non.
[01:18:42] Speaker A: Je peux vous dire que je ne dormirais pas dans la baignoire.
[01:18:45] Speaker B: Sur le cagoule, j'aurais fait la kégoule.
[01:18:48] Speaker A: Il est con.
[01:18:50] Speaker F: Elle était très bonne celle-là, par contre.
[01:18:52] Speaker G: Je sais plus ce que je vais dire.
[01:18:55] Speaker F: Même Annick, si tu le connais, du coup...
[01:18:57] Speaker B: On te le dit dans ton oreillette ?
[01:18:59] Speaker A: T'as tensé des choses comme ça d'un coup ? Il y a une information qui vient. J'ai des petits pics d'émotions comme ça, je suis obligé de donner des infos.
Faut que je prenne mon médicament, excusez-moi, ça me calmera.
[01:19:13] Speaker B: 7,50.
[01:19:13] Speaker C: Ah non, pardon.
[01:19:14] Speaker F: J'ai pas bu de vodka aujourd'hui.
[01:19:17] Speaker A: Oh, mais c'est pas bon à boire avec modération, faudrait péter.
[01:19:20] Speaker G: Bon bref, et du coup, j'ai trouvé ça super.
[01:19:24] Speaker F: La chronique elle est horrible !
[01:19:26] Speaker A: Non mais musicalement, même sur scène, t'as trouvé ça bien, mais du coup t'as écouté sur album et tu t'es dit bah en fait c'est vachement bien.
[01:19:31] Speaker G: En fait c'est vachement bien et puis là les deux morceaux qui sont sortis, donc il y en a un qui est sorti en août et un qui est sorti là il y a 2-3 semaines. Et je pense qu'ils vont sur une vibe un peu moins black mais un peu plus post.
Ouais, post, même un peu de zeste, je dirais.
[01:19:47] Speaker A: Ouais, parce que c'est moins planant, là.
[01:19:49] Speaker G: Ouais, mais il y a toujours le côté atmosphérique. Mais en gros, leur carrière musicale, au début, tu sens que c'est plus blague et petit à petit, ils vont vers d'autres chemins, d'autres horizons.
Et là, les deux morceaux qui sont sortis, vraiment, je les trouve très, très bien. J'ai vraiment hâte de voir l'album qui va sortir en mars, là.
Donc voilà, et l'AD est très chouette sur scène, c'était ouf, donc franchement si il repasse, j'ai trop envie de retourner le voir.
[01:20:17] Speaker D: Gros son.
[01:20:18] Speaker A: C'était une soirée gros son quand même.
[01:20:19] Speaker G: Ouais mais alors pour le coup, moi j'y allais pour Orbit Culture. Il y en a beaucoup qui venaient pour Gaël et Réa justement. Et moi je venais pour Orbit Culture et j'avoue avoir été un peu déçue par Orbit Culture parce que... Parce que.
[01:20:30] Speaker B: Tu t'es pris aussi une grosse claque avec...
[01:20:32] Speaker G: C'est ça. En fait passer après ce groupe là, bah c'était pas pareil. Déjà je trouvais ça bizarre comme affiche parce que c'était pas les mêmes styles.
[01:20:39] Speaker A: Y avait pas de cohérence ?
[01:20:40] Speaker G: Ouais, bon, ça passe, mais je trouvais ça un peu chelou.
Après, j'avais aussi des attentes envers Orbit Culture, et quand t'as des attentes, c'est.
[01:20:51] Speaker A: Jamais ce que... Ah oui, on est souvent déçus.
[01:20:53] Speaker G: Moi j'entendais un truc, un son déjà un peu plus puissant et tout, et je trouvais qu'ils étaient un peu mous, enfin je sais pas...
[01:20:59] Speaker A: Ils ralentissent les chansons ?
[01:21:00] Speaker G: Non, non, le son déjà je l'ai pas trouvé ouf. Et même les gars ils avaient l'air... bon après ils sont en plein milieu de tournée donc voilà ils sont peut-être fatigués mais c'était pas la même énergie du tout quoi.
[01:21:11] Speaker A: Ok d'accord.
[01:21:12] Speaker F: Et ils chantent en portugais du coup ?
[01:21:14] Speaker G: Non non ils chantent en anglais et pour le coup c'est pas des textes comme les black metal traditionnels où ça va être Satan et compagnie c'est plutôt...
[01:21:25] Speaker A: Là c'est plutôt nature et découverte ?
Excuse-moi, du post-metal.
J'ai mis un attrape rêve.
[01:21:34] Speaker B: C'est plus démon et baignoire.
[01:21:36] Speaker G: Non, c'est plus dépression et compagnie.
[01:21:38] Speaker B: C'est pas de toute façon qu'on comprend pas ce qu'ils disent.
[01:21:43] Speaker G: Bah si tu parles anglais.
[01:21:45] Speaker B: Non mais ils chantent comment ?
[01:21:46] Speaker G: Ils chantent en anglais, j'ai dit.
[01:21:46] Speaker A: Oui je sais, mais est-ce qu'on comprend ce qu'ils chantent ?
[01:21:48] Speaker B: Excuse-moi, il y a plein de groupes que je connais.
[01:21:50] Speaker A: Quand tu vas voir du black metal, souvent tu comprends pas trop ce qu'ils racontent.
[01:21:52] Speaker G: Non mais justement, en fait, ce chant-là, j'aime pas du tout et ils chantent pas comme ça.
[01:21:58] Speaker B: Ils chantent comment ?
[01:22:00] Speaker A: Ils chantent des grimaces en tout cas !
[01:22:04] Speaker F: Gollum sort de ses corses !
[01:22:07] Speaker B: C'est le chant des Nazgûl !
[01:22:09] Speaker A: Pour ceux qui écoutent le podcast, je vous conseille d'aller voir la vidéo !
[01:22:13] Speaker G: Ah si ! Et là, le clip que j'ai choisi, il s'appelle Hellbound.
Et je crois que le gars qui a réalisé le clip...
[01:22:19] Speaker B: C'est quelle une petite surprise alors ?
[01:22:22] Speaker G: J'ai pas compris.
[01:22:24] Speaker B: Je vous expliquerai après.
[01:22:25] Speaker G: Et du coup c'est Pavel Trebukin. Ça va là les mosbasses ?
[01:22:32] Speaker A: On a le droit de garder nos.
[01:22:35] Speaker B: Petits frères ou pas ?
[01:22:36] Speaker A: Secret Girls, allô ?
[01:22:38] Speaker F: Ah c'est mon téléphone magique !
[01:22:41] Speaker B: J'avais le numéro 6166.
[01:22:43] Speaker A: Mais vas-y termine.
[01:22:46] Speaker G: C'est bon ?
[01:22:48] Speaker B: Ah, excusez-nous de vous déranger dans notre émission.
[01:22:51] Speaker G: Donc je disais, celui qui a réalisé le clip, il s'appelle Pavel Tribukhin.
[01:22:56] Speaker B: Ah bah Pavel, bah oui.
Il fait tout le monde, Pavel.
[01:23:00] Speaker G: Et étonnamment, c'est pas le chanteur, parce que le chanteur de Gayra, il s'appelle Guilherme Henriquez et il fait aussi des clips. Et il a fait des clips de Belphégor, de Gayra et plein d'autres.
[01:23:09] Speaker A: Il est très doué.
[01:23:11] Speaker F: Là, il avait la flemme de faire son propre clip.
[01:23:13] Speaker G: Moi, je sais pas.
[01:23:14] Speaker B: C'est bien d'avoir un regard extérieur.
[01:23:16] Speaker F: Des fois faut savoir déléguer de temps en temps.
[01:23:20] Speaker A: C'est quoi ce regard là ? Elle est vraiment menaçante.
[01:23:22] Speaker F: J'ai rien fait là.
[01:23:23] Speaker B: En plus que d'habitude je trouve.
C'est les oreilles de chat, ça craint qu'on tasse.
[01:23:29] Speaker A: Bon en tout cas non c'est très bien et tu l'as très bien expliqué Amélie, désolé de t'avoir coupé autant de fois parce que je sais que je vais encore recevoir une horde de messages qui vont me dire « c'est insupportable de couper Amélie comme ça alors que c'est quand même la Queen et que vous ne l'écoutez pas assez, vous êtes vraiment des merdes !
[01:23:45] Speaker G: » C'est pas grave il fera des shorts, il coupera ce que vous coupez.
[01:23:51] Speaker A: C'est mieux parce que dans un short sinon ça va être insupportable.
Bon en tout cas Amélie, deux merveilleux choix que tu as fait aujourd'hui, je te remercie infiniment parce que ça envoie du pâté et puis c'est varié contrairement à ma prog d'habitude.
[01:24:17] Speaker G: C'est vrai qu'on passe pas tellement de black, c'est pas ce qu'on écoute.
[01:24:20] Speaker A: Et portugais encore moins.
[01:24:20] Speaker G: Et je suis pour.
[01:24:22] Speaker A: Non mais c'est bien, moi je suis pour.
[01:24:23] Speaker G: Du coup je me suis dit ça peut être sympa.
[01:24:25] Speaker B: En tout cas tu m'as donné très envie de découvrir le groupe.
[01:24:28] Speaker A: Ça s'appelle donc GAEREA. C'est bien articulé je crois.
Merci les filles, on se retrouve la semaine prochaine peut-être. Toi Gladys c'est une certitude normalement et puis Amélie peut-être ?
[01:24:42] Speaker F: Je serai pas là en mars, le jour de ton anniversaire.
[01:24:45] Speaker A: Je serai pas là le jour de mon anniversaire.
[01:24:49] Speaker B: Ah oui parce que c'est... Papi.
[01:24:50] Speaker C: Papi.
[01:24:52] Speaker F: Je sais pas encore.
[01:24:53] Speaker B: Après peut-être que nous on sera aussi à Papi.
[01:24:55] Speaker F: Voilà.
[01:24:56] Speaker B: Peut-être qu'on ferait une émission avec elle en direct depuis la Seine.
[01:24:58] Speaker A: Exactement. Peut-être qu'elle chantera pour moi.
Sorry lady. Happy birthday Pierre.
Ce serait formidable le jeu Joe.
[01:25:07] Speaker B: Ça n'arrivera pas.
[01:25:08] Speaker A: Non, je sais bien, mais il faut faire croire aux gens.
[01:25:11] Speaker B: Après, je peux me déguiser en poppy.
[01:25:12] Speaker A: Alors là, par contre, je suis pour.
[01:25:15] Speaker F: Si t'as de la boule, on peut demander au petit qui a gagné à l'Euromillions.
[01:25:20] Speaker A: Le petit ? Évane, dis quelque chose, défends-toi.
[01:25:25] Speaker B: C'est pas parce qu'elle est jolie qu'elle a le droit de te parler comme ça.
[01:25:28] Speaker A: Bon allez, on y va. Merci les filles en tout cas, bravo à vous, vous êtes formidables et on vous love, love, love, love.
A bientôt ! Allez, Gaël Réa !
[01:26:00] Speaker C: Tu es là où j'étais, comme un éclat de sang, un oeil cassé, un rêve, un rêve, un rêve, un rêve C'est quoi ce truc ? C'est quoi ça ?
C'est génial!
PEACE !
Ceci est un annoncement civil.
Un signal inconnu a été détecté sur notre radio.
We'll never live our lives like you We bring the pain We bring the pain Sous-titrage.
[01:35:00] Speaker A: Oh, waouh ! Alors là, écoute, mon petit Ben, j'avais envie de diffuser ça parce que je suis tombé par hasard absolu là-dessus et je me suis dit, c'est génial, c'est génial. Alors, je ne vais pas rentrer dans plein de détails, mais juste, si vous avez apprécié ce son-là, si vous avez apprécié cet univers-là, sachez que le nom du groupe, c'est Aesthetic Perfection et le nom de la chanson, c'est We Bring The Société Beat. Radio-Canada Une chanson qui, du coup, me convient parfaitement.
[01:35:26] Speaker B: C'est vrai que tu ramènes souvent la bite. Dans la conversation.
[01:35:31] Speaker A: Tout à fait.
Toujours est-il que ça m'a donné envie de danser, ça m'a donné envie d'aller en club, ça m'a donné envie... Pas d'aller dans les backrooms, parce que j'en ai marre de glisser sur des flaques.
[01:35:40] Speaker B: Ah non, pas les backrooms.
[01:35:41] Speaker A: Non mais voilà.
[01:35:42] Speaker B: Des flaques de caca, tout ça ?
[01:35:44] Speaker A: Le cacato est-ce ? Non ?
[01:35:48] Speaker B: Bah ça dépend.
[01:35:51] Speaker A: Enlevant !
[01:35:52] Speaker B: Dans les backrooms, il n'y a pas trop de cacatos.
[01:35:54] Speaker A: Non, c'est vrai, il y a beaucoup plus de... De cacates déesses, oui.
Bon, bref, toujours est-il que voilà, ça s'appelle Aesthetic Perfection. N'hésitez pas à aller faire quelques recherches sur eux. Ils sont très très prochainement en concert avec un monsieur qu'on dit être problématique.
Donc voilà, n'hésitez pas à aller les voir.
[01:36:13] Speaker E: M-M.
[01:36:16] Speaker B: Qu'Ils savent que c'est Peuple Gadget.
[01:36:18] Speaker A: M-M. M-M. Bon, regardez, regardez-moi ça ! Regardez ce beau vinyle !
[01:36:24] Speaker B: Il est beau ce vinyle ! Il sent bon le sable chaud !
[01:36:27] Speaker A: Il sent bon, il est beau, le graphisme est magnifique et le nom Bukowski, ce nom-là on l'aime, vous le savez, on l'apprécie, on le défend systématiquement et quand des groupes français arrivent à créer ce genre de petits chefs-d'œuvre, eh bien nous on est ravis de les défendre et ce sont nos invités les Bukowski !
[01:36:48] Speaker E: Bonne heure de revenir vous voir !
[01:37:08] Speaker A: Bon, vous venez de sortir ce merveilleux album qui s'appelle Cold Lava, qui est merveilleusement bien designé et qui est très très bon. On va en parler pendant toute cette émission parce que comme on vous a déjà reçu, on ne va pas revenir sur votre histoire.
Les gens ont qu'à regarder cet épisode qui commence à dater, parce qu'il date d'il y a trois ans.
[01:37:28] Speaker B: Au tout début de l'émission.
[01:37:29] Speaker A: Tout début de Bang Bang. Vous nous aviez fait l'honneur de venir et de soutenir la volonté de Ben et moi de faire une nouvelle émission alternative rock. Déjà, merci pour ça. Vous voyez, grâce à vous ça a marché.
Bon, j'espère que vous, dans le ch'meul, vous l'avez écouté, cet album, que vous l'avez mis dans vos favoris, sur vos plateformes d'écoute légales favorites, et que vous allez le dévorer en long, en large et en travers, parce qu'il n'y a rien à jeter, absolument rien à jeter, et ça, c'est plutôt une excellente nouvelle.
Juste, il s'est passé trois ans dans cette première partie, on va revenir un petit peu là-dessus.
Trois ans de live, de recherche, j'imagine.
J'ai... Il est con !
Qu'est-ce que je dois dire, Ben ? Tu crois que je vais rester ? Maryse, calmez-vous ! On est inviteurs du téléachat aussi sur la série, donc du coup... Cindy trop forte, putain.
Tout ce moment qui a suivi l'album précédent, Sur la route, je vous ai vus sur scène plusieurs fois, j'ai vu le retour aussi des fans, j'ai vu le soutien des fans, j'ai vu qu'ils étaient vraiment là avec vous. C'est quand même incroyable, après toutes ces années, que ces gens-là soient aussi fortement attachés à vous. Est-ce que vous l'avez ressenti pendant ces trois années ?
[01:38:57] Speaker E: Romain, je t'en prie.
[01:38:58] Speaker D: Oui, complètement. Et puis, même si on a dit qu'on ne parlait pas du passé, forcément, ce qui s'est passé à la sortie de l'album d'avant, forcément, ça a fait qu'on a eu des gens qui sont venus nous voir. Et puis surtout, on a eu des formes de gens qui nous ont montré de la sympathie, qui nous ont témoin de la sympathie juste après cette épreuve-là. Et oui, ça s'est ressenti sur les dates, ça s'est ressenti sur les réseaux sociaux, partout.
Et oui, ça a été très touchant, vraiment.
[01:39:25] Speaker A: Les fans sont là donc encore une fois il faut les remercier parce que c'est ceux qui font vivre cette musique et franchement bravo parce que je vous ai vu sur scène c'était juste énorme, je vous avais vu à la maroquinerie en l'occurrence et j'avais passé comme d'habitude un bon moment parce que je suis toujours ému et super super excité. Quand je vois sur scène j'ai juste envie de foutre des coups de pied quand même, juste par principe je le dis aux gens ne le faites pas mais on a quand même envie de...
[01:39:49] Speaker B: La jambe qui les mange.
[01:39:51] Speaker A: C'est ça, on s'abouche, c'est comme ça.
[01:39:52] Speaker E: Ça nous fait faire un peu de sport.
[01:39:55] Speaker A: C'est essentiel pour la santé.
Est-ce que pendant ces trois ans, je me permets des questions, vous savez vous avez le droit de ne pas y répondre. Est-ce que pendant ces trois années, il y a eu des moments quand même de questionnement, parce que trois ans c'est long avant de sortir un album.
Est-ce qu'il y a eu des moments de doute aussi ? Non, pas du tout.
[01:40:13] Speaker E: Moi je vais me permettre de répondre.
Suite à malheureusement le décès de mon frère, ça a été immédiat, deux jours après, j'étais là, qu'est-ce qu'on fait ?
Non, de toute façon, il ne voudrait pas qu'on arrête. Donc après, il n'y a eu aucun questionnement d'arrêter le groupe.
Ça a été juste, on va se prendre ça dans la gueule. On va essayer de faire ce qu'on peut. Et puis, on va remonter la porte. Et là, avec cet album-là, on l'a remonté, mais d'une manière exemplaire. En tout cas, on a taffé comme des chefs.
Et je suis entouré d'amis de longue date et qui travaillent hyper bien.
Donc là, ça se passe hyper bien.
Il y a huit mains dans le groupe et c'est génial.
[01:40:50] Speaker A: Non, mais voilà, c'est ces trois ans qui ont permis aussi de façonner cet album, qui ont permis de savoir aussi ce que vous vouliez musicalement. J'ai l'impression, parce que moi, quand j'ai écouté cet album, je me suis dit...
Là, j'ai l'impression qu'il y a un.
[01:41:02] Speaker B: Truc qui se passe.
[01:41:04] Speaker A: C'est l'avis, mais je vous dis mon avis après.
Juste l'album, on le sent qu'il est sincère, on sent qu'il est dynamique, on sent qu'il est rempli d'envie, justement. C'est pour ça que je me disais peut-être qu'il y a eu un petit moment où on s'est dit bon, et puis du coup, non, c'est quoi, fuck off, on y va, on fonce et on nique tout. Et c'est un peu ce qu'on ressent sur cet album. Et il est assez variant aussi, parce que ce n'est pas uniquement l'autoroute de l'agressivité, mais il y a plein d'émotions différentes.
J'ai envie de dire, il y a le retour aussi un petit peu de la belle chanson.
Et là, moi, vous savez que je vous l'ai toujours dit, vous savez faire des belles chansons, mais de ouf. C'est quand même le truc que vous avez, que personne d'autre n'a, parce que je ne connais personne à part Bukowski, c'est faire de belles chansons.
Et voilà, c'est pour ça que je me suis posé la question du questionnement. Et est-ce que c'était ça qui avait fait ? Quelle a été la réflexion pour cet album ? T'étais quoi l'envie ?
[01:41:57] Speaker D: En fait je pense que comme tu disais il y a eu ces trois ans de tournée où on a aussi appris à se connaître en tant que groupe un peu bucco 2.0 tu vois on a appris à se connaître et finalement la compo elle est venue de manière assez fluide dès le départ parce qu'il y a eu une direction artistique qui a été marqué tout de suite. On ne s'est pas vraiment posé de questions. On avait tous cette envie commune d'aller vers un truc comme ça. On s'est dit, vas-y, rien à foutre. Là, on envoie. On a envie d'envoyer. Et je pense qu'aussi, quelque part, t'as envie de cracher. T'as un peu envie d'exulter ce qui t'est arrivé sur les 3, 4 dernières années. T'as envie d'envoyer. Et finalement, ce retour à on compose derrière un instrument et on envoie et on ne se pose pas de questions. C'est ce qui s'est fait de mieux parce que ça a été super fluide, il n'y a pas eu de questionnements, il n'y a pas eu de doutes et franchement ça a été fait d'un trait.
Recomposer un album comme ça, tous les jours, ça s'est fait trop bien, à.
[01:42:56] Speaker A: Chaque fois c'était un plaisir. Ça a été complètement différent de tout ce qui s'est toujours passé dans la composition.
[01:43:01] Speaker E: C'était nouveau parce qu'on ne se connaissait pas forcément au niveau de la compo avant, parce que l'album d'avant était composé sans Romain, et puis Romain s'est investi aussi pas mal dans la compo.
C'est l'album d'avant, j'étais là ? Oui mais t'étais pas vraiment dans la composition.
[01:43:16] Speaker A: En plus c'est vrai qu'il est à la présence.
[01:43:19] Speaker E: C'est.
[01:43:24] Speaker B: Qui le leader ? Moi je vais trancher.
[01:43:26] Speaker E: Du truc, t'étais pas forcément là sur l'album d'avant, tu l'as subi un peu, tu me voyais partir dans tous les sens, partir en progressif, il était là, c'est quoi cet album ? C'est vrai que l'album d'avant était un peu une espèce d'exutoire, un pétage de cap qui a fait que même les fans de Buku ont été un peu perdus, parce que c'était, à la limite tu faisais un autre groupe avec ça.
[01:43:46] Speaker A: Indispensable du coup.
[01:43:47] Speaker E: Oui voilà c'est ça et c'est vrai que là on s'est retrouvé avec Romain ou même lui a insisté pour qu'on revienne à l'essentiel, Francis Caste aussi et puis moi bien évidemment et puis voilà ça fait un album très... ça fait longtemps que j'ai pas été aussi fier d'un album et je le défends vraiment avec passion cet album là vraiment je suis extrêmement fier de cet album.
[01:44:08] Speaker A: On sent déjà, rien que vous êtes arrivé aussi dans les locaux, j'ai vu vos visages illuminés d'envie aussi de parler de cet album et ça c'est cool ! Non mais ça fait super plaisir !
[01:44:19] Speaker E: Pas qu'eux, j'ai des blagues !
[01:44:21] Speaker A: Il en a toujours ! Il en a toujours ! Excuse-moi mais depuis le temps qu'on se connaît, j'attends pas moins de ta part ! En termes justement d'organisation, tu parles de Romain mais il y a aussi toute l'équipe, il y a Max qui est aussi là.
Du coup tout s'est passé aussi naturellement de son côté ?
[01:44:43] Speaker E: Ouais, ouais. Bah écoute, déjà il a remplacé mon frère.
En fait, c'est moi qui lui avais demandé parce qu'il était gaucher. Mais à la base il est guitariste et donc je lui ai dit mais je suis sûr que tu pourrais te mettre à la basse et puis ça permettrait qu'on garde le matériel de Julien sur scène. Et puis il a hésité un peu, puis après il s'est dit, vas-y, je lui ai dit, c'est quatre grosses cordes, tu vois, fais pas chier, c'est facile, j'en fais aussi.
Et donc il s'y est mis, et donc maintenant il est passionné, il est passionné par la basse et puis par le groupe, et puis il est investi d'une manière incroyable.
Il travaille, il va chercher, c'est lui qui s'occupe un petit peu des... Il nous fait des espèces de petits sons étranges derrière qui sont assez discrets, mais qui amènent une espèce de modernité dans le son. Et puis, il a aidé vachement aussi sur les textes, parce que Julien écrivait beaucoup les textes d'Anglico. Il avait vraiment une grosse maîtrise de l'anglais que moi, je n'avais pas forcément. Et donc, Max a pris aussi ce rôle-là. On a écrit à deux.
Voilà, il est arrivé et pas pour rien.
[01:45:47] Speaker A: Non mais c'est bien parce que tout ça est imbriqué, du coup ça facilite votre travail.
[01:45:53] Speaker D: Il est allemand c'est pour ça.
[01:45:54] Speaker E: Il s'appelle Maxime Muller.
[01:45:57] Speaker B: Ça se voit à son visage.
[01:45:58] Speaker D: Ah bah oui, tiens.
[01:45:59] Speaker B: À sa couleur de cheveux.
[01:46:01] Speaker D: Ça fait très anglais aussi sa couleur de cheveux quand même.
[01:46:05] Speaker A: Ya !
[01:46:06] Speaker B: C'est sur les R qu'on...
[01:46:08] Speaker A: C'est là-dessus que ça se voit, ouais.
Non mais c'est cool qu'il y ait eu cette fluidité, qu'il soit revenu aussi dans l'envie de faire de la musique. Vous avez eu des projets, enfin il y a des projets qui sont faits à côté aussi.
Donc je veux dire, il y a plein de tests et on se dit des fois, le groupe principal, celui qui est la source de toutes les envies, peut parfois avoir une envie un peu moindre, qui se tarie avec le temps. Parce que ça fait quand même longtemps, on va générer plus qu'on s'y s'ébatte non plus.
Les vieux quoi !
[01:46:39] Speaker E: J'ai du mal à y croire, mais c'est cet album, c'est un petit 46 ans, il y a un mois pour ma tronche, le faux jeune.
[01:46:51] Speaker A: Bienvenue à l'équipe.
[01:46:53] Speaker E: Je sais que je parle à des amis.
Non, vous êtes plus jeune que moi.
[01:46:56] Speaker A: Pas tant que ça.
Non, non, 45 vient assez.
[01:47:00] Speaker E: Mais en tout cas, il y a une envie toujours qui est déverrante.
[01:47:05] Speaker A: Vous avez fait ça où ? Vous avez tous travaillé... Vous êtes chez vous là-bas ?
[01:47:09] Speaker D: Ouais, ouais, en fait on a monté un studio à Pontoise et c'est magnifique, c'est dans des vieilles grottes, c'est trop glodique quoi, franchement c'est magnifique.
Je peux que conseiller aux gens d'aller voir ça, ça s'appelle La carrière à Pontoise.
Il est encore en travaux, ça ouvre d'ici quelques temps, mais le lieu est fou, le lieu est dingue.
Donc on était dans un espèce de truc, en plus il n'y a personne, c'est pas ouvert au public encore.
pour le dire d'ailleurs.
[01:47:33] Speaker E: Ça va ouvrir mais à l'époque c'était pas ouvert.
[01:47:37] Speaker D: Et en fait tu bosses en famille quoi. Tu croises les gars, il y a un machin qui a son studio, il y a Bidule qui a son studio et puis toi t'arrives dans le tien. Enfin c'est mortel, t'es dans un truc où vraiment tu bosses en famille, un peu isolé de tout.
[01:47:50] Speaker E: Et dans des grottes.
[01:47:51] Speaker A: Je te jure que ça fonctionne très bien.
[01:47:54] Speaker E: Les mecs ont insonorisé tout.
C'est vraiment des guerriers.
C'est les frangins couvreurs, Clément Couvreur et son frère, qui ont fait ça. Ça s'appelle La Carrière. Il y a tout le monde. D'aller répéter là-bas, c'est... Parce que c'est courageux aussi de créer un endroit comme ça, là où maintenant on répète tout chez nous, on fait tout à la Casbah. Et là, c'est des gars qui vont travailler tous les jours du coin, des luthiers, il y a Sully, qui bosse pour Epcat, qui fait des micros pas possibles, il est en train de se faire une espèce de pôle un peu, au final, toi qui as connu... qui a connu la caserne avec Enhancer, tout ça, et ça ressemble à ça, mais en grotte troglodyte.
[01:48:37] Speaker B: C'est courageux de lancer des initiatives comme ça aujourd'hui, parce que ça s'est un peu perdu, comme tu disais, avec tous les home studios, les repets, tout ça.
recréer des trucs, parce qu'en fait, au final, il y a un truc qui est quand même important, c'est l'interaction entre les humains.
C'est ça aussi qui déclenche des idées, déclenche des projets, qui déclenche... Parce qu'on.
[01:49:02] Speaker E: Peut rester tout seul dans son coin, effectivement, et on a tendance à le faire en ce moment. Et là, tout le monde se parle là-dedans, ça bouge de ouf. C'était les petits apartés.
[01:49:09] Speaker B: Et c'est courageux aussi parce que financièrement, c'est pas facile. Enfin, je pense que j'imagine que ça a un coût de... Ouais, c'est costaud là.
Alors que c'est des économies qui sont quand même pas hyper... L'emboyante quoi, on va pas se mentir, la musique c'est quand même un peu...
[01:49:24] Speaker E: Et puis alors, vouloir faire ça dans des grottes ?
[01:49:27] Speaker B: Ouais, c'est ça.
[01:49:28] Speaker E: Niveau économie, on est quand même pas sur le truc le plus stable.
[01:49:31] Speaker B: Mais c'est génial, l'intention est super belle quoi.
[01:49:35] Speaker D: Ouais, l'intention est belle et puis je pense que le produit final sera magnifique.
On a hâte, enfin nous ça fait déjà un an qu'on y est quoi, mais...
[01:49:43] Speaker A: Cette ambiance a aidé aussi à faire que l'album soit comme il est aussi, j'imagine.
[01:49:46] Speaker D: Parce que t'es en famille et que tu croises que des collègues, des gens à qui tu t'entends bien et tu bouffes avec machin le midi.
[01:49:53] Speaker E: Et puis dans un endroit complètement lunaire.
[01:49:55] Speaker B: Et du coup vous avez votre petit studio là-bas ?
[01:49:59] Speaker D: Franchement, là pour le coup, énorme chance. J'en connais pas beaucoup des groupes qui ont leurs studs à dispo avec leurs matos. On arrive, clac clac, merci bonsoir, c'est royal.
[01:50:11] Speaker E: C'est vrai que c'est important de le préciser parce que c'est ce qui nous aide énormément à avoir envie de manger la vie musicale. C'est vrai qu'on se retrouve dans un endroit qui fait que... Vous êtes en train d'être chaud les gars, vous revenez, vous allez là-bas et là ce qui se passe c'est ça.
[01:50:27] Speaker A: Forcément, ça galvanise quoi. Même si on a des sujets qui sont un peu touchés parfois, musicalement tu fonces dans le tas, t'es excité, après tu peux t'amuser, tu peux rigoler, tu peux partager, c'est quelque chose qui est hyper important.
[01:50:42] Speaker D: Et puis même le lieu, tu vois, finalement, il a été symboliquement, c'était assez fort parce que tu quittes un studio dans lequel t'es depuis, je sais pas quoi, 10 ans, 10-15 ans et t'arrives dans un nouveau lieu. Quelque part, c'est aussi une forme de nouveau départ. Et là, finalement, ce nouveau départ, c'est exactement ce qu'on voulait faire sur l'album. Là, ce lieu, en fait, tout s'accouplait parfaitement. Et je pense que c'est ce qui a fait aussi que tout a été super fluide. Dès le départ, on a su où on voulait aller.
Le nouveau lieu, nouveau départ. Enfin, c'était magique, quoi.
[01:51:09] Speaker B: L'alignement des planètes.
[01:51:12] Speaker E: Les vieux, les jeunes.
J'allais dire comme diraient les jeunes, sinon non, il y a eu plein de gens.
[01:51:19] Speaker B: C'est plus si jeune.
[01:51:20] Speaker E: Non, non, je crois que c'est l'old school.
Alignement de planète, je crois que c'est super début 2000.
[01:51:27] Speaker B: J'ai l'air, c'était il y a 20 ans, mais c'est ça quoi.
[01:51:31] Speaker E: Il ne faut pas dire ça.
[01:51:32] Speaker A: C'est vrai que ça fait une cassure et ça permet de faire un petit coup de... Hop et ça brille. Et puis après, on est reparti pour un tour.
Donc encore une fois, toute méfiestation. Il y a beaucoup de critiques qui disent... Je comprends ce qu'ils veulent dire, mais je ne suis pas totalement d'accord. Toutes les critiques qu'il y a sur Internet disent oui, c'est un retour aux sources. Est-ce que vous, vous le dites aussi ? Pourquoi ? C'est parce que c'est plus agressif, plus dynamique. Moi, je trouve que c'est juste une suite.
[01:52:02] Speaker E: Sur les deux derniers albums, ça partait un peu en cacahuète.
On était quand même sur de la structure entre Strangers et l'album éponyme. Effectivement, il y avait une espèce d'envie. Moi, je ne regrette absolument rien, mais là, on est quand même revenu vers... L'efficacité quoi. En fait quand on a vu Francis, c'est lui, on était en train de se dire faut qu'on revienne aux sources.
[01:52:24] Speaker B: Francis Caste, le producteur.
[01:52:26] Speaker E: Le merveilleux producteur.
[01:52:28] Speaker B: C'est vraiment l'unique.
[01:52:28] Speaker E: Il est grand ouais.
[01:52:31] Speaker B: Je dis pas ça parce qu'il est talentueux. Je dis ça parce qu'il est vraiment grand physiquement quoi.
[01:52:36] Speaker E: Et donc lui, quand on est parti bouffer avec lui pour parler de cet album, il nous a dit il fallait qu'on retourne quand même sur une espèce de porte-avions sur le canal Saint-Martin.
Et lui, il nous a même obligés à le faire à la base.
Au final, on ne l'a pas fait, mais on l'a fait pour nous. Mais tout le monde était d'accord pour qu'on fasse une espèce de refrain, quelque chose de fédérateur simple, qui fasse au final presque plaisir à tout le monde, à l'auditeur, à nous, quelque chose qui fasse bouger des têtes, arrêter de se compliquer trop dans la musique. Et donc on est revenu à ce truc-là. Et on s'est régalé à faire ça.
[01:53:14] Speaker D: Et puis on s'est vachement inspiré des premiers albums aussi. Sur la compo, tu vois, comme tu disais tout à l'heure, le côté des belles chansons, je pense qu'on avait aussi cette envie-là, de faire des belles chansons, peut-être des formats un peu plus courts, peut-être des trucs où ça part un peu moins dans tous les sens.
[01:53:28] Speaker E: Un truc presque populaire, on va dire.
[01:53:30] Speaker D: Ouais, finalement, quasiment.
Mais ouais, il y avait cette volonté. Retour aux sources, oui.
Évolution vers la modernité aussi, parce qu'il n'y a pas que ça.
Mais quand je te parlais tout à l'heure de la DA, finalement, comme on s'est dit au début, c'est ce qu'on s'est dit en fait. On veut faire un truc où on rentre un peu à nouveau dedans, un peu comme sur les premiers albums, mais on ne va pas faire un copier-coller des deux premiers albums.
[01:53:54] Speaker A: Du coup.
[01:54:03] Speaker D: T'As vraiment ce truc de retour aux sources plus ou moins, parce qu'effectivement t'es pas sur un copier-coller.
Mais ouais, en tout cas l'inspiration majeure c'était ça.
[01:54:12] Speaker A: Il y a quand même, vous parlez de Francis Caste, du coup il a quand même ce rôle de producteur, on parle souvent du producteur aux Etats-Unis, qui a souvent un rôle où on dit, alors là les gars c'est sympa mais bon ta gueule.
[01:54:23] Speaker B: Qui est plus impliqué dans la compo que souvent les producteurs en France.
[01:54:28] Speaker A: Là, du coup, Francis Caste a quand même déclenché aussi, il a mis la clé dans le démarreur et puis c'est parti quoi ! Exactement !
[01:54:39] Speaker E: Il est con comme un manche !
[01:54:41] Speaker B: Il est débile, je te jure !
[01:54:43] Speaker E: Non mais c'est génial de travailler avec lui parce qu'il travaille vraiment hyper sérieusement et tout mais il sort des blagues tous les deux.
[01:54:51] Speaker B: J'allais demander le ratio dans une journée type, le ratio blague-travail.
[01:55:01] Speaker E: Travaille beaucoup et on l'empêche de parler parce que dès qu'il y a une blague...
[01:55:06] Speaker D: C'est trop bien, ça bosse sérieux, mais.
[01:55:11] Speaker E: C'Est parsemé tout le temps de petites.
[01:55:12] Speaker D: Blagues de merde tout le long, toute la journée en permanence.
Mathieu et Francis, je te jure, ils étaient là tous les deux à s'envoyer des trucs et des fois j'étais là...
Je comprends pas. Vraiment, je les perds.
[01:55:27] Speaker B: Je comprends pas ce qu'ils disent. À un moment, ça part loin.
[01:55:29] Speaker D: Ah, ils sont trop forts.
[01:55:29] Speaker E: Après, tu vas faire des jeux de mots sur des groupes que tu connais même pas.
[01:55:32] Speaker A: En plus, là, ils parlent de trucs.
[01:55:34] Speaker D: Que tu connais pas.
[01:55:35] Speaker C: Tu trouves un jeu de mots sur.
[01:55:35] Speaker E: Le nom d'un groupe que tu connais pas et là, on le perd.
[01:55:39] Speaker B: C'est vrai que Francis est très très fort pour ça. On va pas se mentir.
[01:55:43] Speaker A: Pas Francis. On a un invité ici qui a dit « J'ai peur de faire trop de blagues ».
[01:55:47] Speaker E: Même moi, quand je suis venu.
Tout à l'heure, j'ai eu juste de la calme.
[01:55:52] Speaker A: Non, vous êtes autorisé à faire des blagues. Pas toutes les blagues, mais vous êtes autorisé à faire des blagues.
[01:55:56] Speaker E: Mais les meilleures, c'est celles que je ne pourrais pas faire.
[01:55:59] Speaker B: On sait bien, c'est notre problème. Les gens ne nous trouvent pas drôles.
[01:56:02] Speaker E: Il faut incorporate, les gars.
[01:56:05] Speaker A: En tout cas, on va passer un petit clip là. Mais ce que je constate, c'est qu'il y a un endroit où vous avez été qui était ultra positif, encourageant avec des gens super souriants, etc.
Là, il y a Francis qui est là, qui est hyper agréable et qui veut que aussi les groupes qui viennent travailler avec lui se sentent bien et n'ait pas de pression ni de tension et que du coup, il faut quand même un petit peu le... Mais ce que je veux dire, c'est qu'il n'y a que du positif. Donc là, on est quand même sur un superbe, beau départ.
[01:56:36] Speaker E: Voilà, on va faire un gros bisou à notre label aussi, qui nous a énormément aidés.
En fait, c'est parce qu'il est juste à côté, donc je peux pas... Non mais merci infiniment à Ato, on se connaît depuis des années, je suis ravi, là on travaille vraiment très très bien avec eux, on est ravis de faire tout ça ensemble. Et d'ailleurs, il y a des petites choses à gagner, je crois.
[01:56:59] Speaker A: Ah bah ça je sais pas, vous direz ça à la fin de l'émission, j'espère que les gens vont jouer comme des fous parce que ça serait passer à côté de quelque chose de très très bon. On va passer un clip, alors je sais plus où j'ai mis ma fiche.
On va passer le clip qui vient de sortir, ça s'appelle Headlights.
Un petit truc à dire sur cette chanson ?
[01:57:20] Speaker B: Sur les phares ?
[01:57:21] Speaker D: Sur les phares de voitures, voilà, c'est un morceau sur les phares de voitures.
[01:57:24] Speaker B: Vraiment, tout ce qui est automobile, nous, c'est notre passion.
[01:57:27] Speaker D: Bah évidemment !
[01:57:29] Speaker B: Attendez, le morceau « Enjoliveur » ?
[01:57:31] Speaker D: Non, non, en fait, pour le coup, c'était plutôt un morceau de... Enfin, le thème...
[01:57:40] Speaker A: C'est pas une histoire de train, ça ?
Ils sont trop forts.
[01:57:47] Speaker E: Faudrait demander à Max Mueller.
[01:57:51] Speaker A: Oui, pardon.
[01:57:52] Speaker D: Non, en fait, l'idée du morceau, c'était de parler globalement de l'emprise que quelqu'un peut avoir sur quelqu'un d'autre. Et en fait, l'idée, c'était de symboliser ça un peu par la lumière, tu vois, que tu peux avoir, que tu prends dans la gueule quand t'es aveuglé par une bagnole qui arrive plein de gueule.
Tu vois, plutôt le côté de tu traverses une route et il y a une bagnole qui arrive et t'es paralysé. L'idée, c'était un peu ça. Donc, on voulait le symboliser dans le clip.
[01:58:15] Speaker E: Et puis alors, pas plus tard qu'avant-hier, on a pris de très mauvaises nouvelles dans le genre. Putain, il est chier !
[01:58:22] Speaker D: On va en parler.
[01:58:23] Speaker E: Non, mais voilà, une histoire qui s'effondre comme ça après...
[01:58:30] Speaker A: On va regarder le clip et puis...
[01:58:34] Speaker B: Ça arrive à tout le monde.
[01:58:36] Speaker A: On peut dire que ce titre-là fait partie de ce nouvel album, Call Lava, que vous devez là, maintenant, tout de suite, pendant le clip, mettre dans vos favoris, dans votre plateforme d'écoute légale. Vous n'allez pas le regretter.
[01:58:52] Speaker C: Sous-titrage Société Radio-Canada Le monde m'appelle, le monde m'appelle, j'y suis toujours C'est parti pour le tournage !
[02:01:42] Speaker E: Générique.
[02:01:51] Speaker C: De fin C'est bon, c'est bon.
Mais je n'arrive pas à les respecter ! Je n'arrive pas à les respecter ! Un réveil imprudent ! L'extinction vivante ! C'est la fin ! C'est la fin ! On va mourir ! On va mourir ! L'éclat d'infusion ! On ne s'applique pas ! Méditer ! Méditer ! On détruit ! On détruit ! La vie sans affrontement !
L'intégration perdue ! L'intégration perdue ! La souffrance qu'en t'es-tu ? C'est l'enfer de cette méprisante puissante ! Ce n'est pas la peine d'y croire, de finir sans toi. C'est l'enfer de cette méprisante puissante ! La souffrance qu'en t'es-tu ? Mais l'intention te peine ! C'est l'enfer de cette hésitation !
C'est magnifique!
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Ah la.
[02:06:56] Speaker A: Petite photocopie du cadavre.
[02:06:59] Speaker B: Pour les archives !
[02:07:01] Speaker A: C'était mignon, c'était tout délicieux, c'était tout doux, mais c'est une belle nouveauté, ça s'appelle Frontière, en français au pluriel, avec le titre Fusion.
Nos invités ce soir, c'est écrit, vous le voyez, ce sont les Bukowski.
Dans ces petites nouveautés, je me permets, parce que d'habitude je demande des titres aux groupes qui viennent, mais comme on l'a déjà fait la dernière fois, je ne vais pas le refaire. Là, j'aimerais plutôt avoir les petites critiques de deux membres, de deux musiciens, sur ce qu'on entend actuellement, sur ce genre de production frontière, avec cette puissance. Il y a quelque chose quand même, gros retour à l'agressivité, je pense, globalement aussi dans le rock.
[02:07:34] Speaker E: Là, en ce moment, on est dans un... C'est très brutal et...
Ça fait saigner les oreilles, c'est bien.
[02:07:56] Speaker B: Ça chie quoi.
[02:07:59] Speaker E: Ça va chier quoi.
[02:08:00] Speaker A: Vous êtes consommateur encore là aujourd'hui, vous êtes nouveau consommateur ? Je sais que vous avez toujours écouté des trucs assez agressifs, mais ce genre de métal, le métal assez froid justement.
[02:08:11] Speaker D: Ouais, ouais, ça en fait partie. Je pense qu'on essaie quand même d'écouter pas mal de choses différentes.
[02:08:17] Speaker A: Vous avez encore le courage quand même de vous mettre à jour sur les groupes parce qu'il y a un âge où on commence un peu à laisser tomber, non ?
[02:08:21] Speaker E: Non, non, on n'est pas aigris du tout. Tu vois, même si ça paraît un peu vieux, mais Architect et Bring Me, ça a été un peu les débuts des trucs comme ça. Et franchement, je trouve que c'est des morceaux fédérateurs qui défoncent.
Et puis après, il y en a pas mal d'autres. Il y a Wedge War que j'ai découvert il n'y a pas longtemps.
Il y a vraiment beaucoup de groupes dans ce genre là, moi, que j'apprécie.
Sleep Tokyo aussi j'ai bien aimé. Ah !
[02:08:42] Speaker A: Le fameux débat !
[02:08:44] Speaker E: Ah oui d'accord, le dernier R'n'B là...
[02:08:49] Speaker D: Un peu moins fun ouais.
[02:08:51] Speaker E: Moi j'étais deg même, je me suis dit mais c'est quoi ça ?
[02:08:53] Speaker A: Ah ouais, c'est sûr qu'il y a un gros virage.
[02:08:56] Speaker D: Ah ça a tranché ouais, violent ouais.
[02:08:59] Speaker B: Même dans la prod, en fait il y a les morceaux qui déjà sont quand même dans des styles un peu...
[02:09:04] Speaker E: Particuliers.
[02:09:04] Speaker B: Ouais, mais il y a aussi la prod où je trouve que c'est encore trop... lisser, surlisser, parce que ça va avec les codes aussi des trucs dont ils se sont inspirés.
[02:09:15] Speaker E: Mais est-ce nécessaire de balancer encore plus de numérique maintenant déjà qu'on en a pas mal quoi ? Allons chercher peut-être un tout petit peu de vérité dans le son et là c'est ultra froid quoi je trouve.
[02:09:24] Speaker B: Je trouve que vous avez les voix, alors toi qui es un très bon chanteur, pour t'avoir vu quand même pas mal de fois en live, sur album, j'ai envie de dire que c'est plus facile de chanter bien sur album qu'en live.
Mais ce qu'on peut dire, c'est que Buco en live, on se prend une torgnole autant musicale qu'au niveau du chant. C'est un très très bon chanteur. Les gens ne savent peut-être pas, mais je le dis.
Et je trouve que typiquement dans Sleep Talking, c'est souvent aussi connu pour le chant, mais où je trouve justement sur le dernier album où là, c'est très très produit, mais à un point où on perd presque le grain.
On perd un peu l'intention.
Et du coup, je C'est une question qui revient souvent sur l'interprétation aujourd'hui. Je trouve qu'on a connu des groupes avant où l'interprétation était clé. Dans les années 90, tout ça c'était.
[02:10:19] Speaker E: Quand même... Avec des faiblesses, des faussetés qui disaient qu'ils faisaient la vérité des choses. Effectivement, c'est exactement ça.
Déjà dès le début, c'était hyper propre à sa voix. Mais là, maintenant, c'est devenu numérique complètement. Et je pense que c'est pas nécessaire.
C'est là où moi, j'ai lâché.
C'est là où j'aimais bien au début.
Il y avait des sensibilités, des petites choses comme ça. C'est devenu comme une sorte d'ordinateur vivant.
La froideur comme ça, ça a commencé à... Ça m'a dérangé quoi. Après ce n'est que mon avis.
[02:10:50] Speaker D: Un peu à l'image de la modernité, de ce qui se fait beaucoup, je trouve qu'on est beaucoup là-dedans et c'est très bien parce que tu as la capacité de faire des choses incroyables aujourd'hui.
Maintenant est-ce que, tu vois, on n'est peut-être pas arrivé à un point de bascule, ou peut-être que maintenant on est en train de se dire, peut-être qu'il y a des gens qui sont en train de se dire, finalement j'ai envie de ressentir d'autres choses, d'aller vers autre chose. En tout cas nous c'est ce qu'on s'est dit sur cet album-là, on a voulu aller sur un truc vraiment pour le coup, vraiment analo à mort, et tu parlais tout à l'heure de la prise de l'émotion.
C'est ce qu'on a fait en studio avec Francis, alors je vais pas faire le côté ultra promo mais en fait c'est ça tu vois il y avait ce truc où on arrive en stud et Francis il dit par contre tu fais la prise du début à la fin on fera des petites retouches si besoin mais je veux une prise entière avec l'énergie de l'instant tu vois et je veux garder cette énergie là quoi et en fonction des prises ça change quoi.
[02:11:36] Speaker E: Avec quasi pas de trig aussi sur la batterie, des vrais amplis voilà on a essayé de... alors c'était pas pour faire les vieux cons du tout mais On avait quand même envie d'essayer de faire sincèrement cet album-là avec un gros gros son donc on a essayé de faire un peu les deux, on est content quoi. Pour essayer de montrer que ça... Quand tu l'écoutes, on sent que c'est des gens qui jouent, il n'y a pas d'énormes faussetés mais au final il y en a quand même, on en a même laissé...
[02:12:03] Speaker A: C'est vivant quoi !
[02:12:03] Speaker E: On en a laissé un peu vivant. Et je pense qu'on arrive au maximum un tout petit peu du numérique là et que de toute façon la musique est cyclique. Il faut savoir cette espèce d'analogie, de vérité, des choses qui vont revenir tout doucement là-dedans.
Mais par contre, ce côté, cet air numérique nous a proposé des coupes hallucinantes, une évolution.
[02:12:27] Speaker A: Bien sûr, ça a été bien utilisé aussi.
[02:12:31] Speaker B: Ça a repoussé les performances aussi.
[02:12:34] Speaker D: Ah bah ouais, complètement.
Enfin je sais pas, moi j'ai vu des gars parler côté batterie mais... Attends.
[02:12:40] Speaker B: Juste avant que tu parles de ça, je voulais juste dire parce qu'on a parlé de trig, et il y a peut-être des gens qui ne savent pas ce qu'est le trig. Le trig c'est quand le batteur joue vraiment mais qu'on met des samples de son sur un sample de grosse caisse par exemple, qu'on peut créer au début des prises ou des choses comme ça, et qu'on met...
Ah, il y a.
[02:13:04] Speaker A: Un petit problème de son.
Tu peux parler pour voir si ça marche ?
[02:13:07] Speaker E: Oui, oui. C'est-à-dire que là, tout ce que j'ai... Merde, je suis dégoûté.
Tout ce que j'ai dit, c'est pas...
[02:13:13] Speaker A: Si, si, ça s'est entendu, mais... Du.
[02:13:15] Speaker B: Coup c'est en gros replacer des sons un peu parfaits sur le jeu de batterie par dessus et qui sont calés automatiquement au moment où c'est joué. Généralement c'est fait pour avoir un son qui est beaucoup plus uniforme, parfait.
[02:13:33] Speaker D: En fait ça dépend comment tu l'utilises, tu peux carrément remplacer le son d'origine ou alors utiliser le truc en disant des fois ça manque un peu de médium bas, je vais prendre tel sample avec beaucoup de médium bas et puis ça va remplacer, ça va aller dans le spectre et ça marche très bien quand tu l'utilises et je suis pas du tout contre en soi, la technologie t'offre des choses, autant les utiliser.
Mais du coup j'ai perdu le fil.
[02:13:53] Speaker B: On disait que la technologie avait à repousser un petit peu les limites de ce qui se faisait dans la musique, notamment dans la batterie.
[02:13:59] Speaker D: Putain, en fait, depuis 4, 5, 6, 7 ans, tu vois des mecs arriver sur les réseaux avec des niveaux mais de l'espace, et les gars ils ont 20 ans, 21 ans, et tu te dis mais attends, rien qu'à 21 ans j'aurais pas ce niveau à lui, c'est fou quoi, c'est dingue.
[02:14:13] Speaker E: Donc le son vraiment est devenu, et puis alors même la compo, moi je suis absolument certain que je fais pas le vieux con en disant que nous quand on a grandi à une certaine époque, tout était encore à faire. Tu vois, il y avait un mélange de rap, de métal, et puis il y avait des espèces de trucs assez humains. Et là, maintenant, on est sur quelque chose où on a du mal à reconnaître les groupes les uns des autres au niveau du Metalcore, mais ça arrive à un niveau technique qui est stratosphérique. avec des mômes qui jouent, c'est-à-dire que moi j'ai appris la guitare, c'est un vilain, laisse tomber.
[02:14:48] Speaker A: Ils ont tout à disposition maintenant.
[02:14:50] Speaker E: On est sur quelque chose de très précis, on va chercher des numérisations de sons de guitare, et aussi beaucoup de techniques, que ce soit les batteurs, c'est pareil, mais vraiment, c'est très intéressant aussi.
Et t'es là comme ça, tu regardes ça, tu dis c'est le Turfu, c'est chelou.
C'est comme ça, et un tout petit peu d'analogique là-dedans fera de mal à personne.
[02:15:10] Speaker A: Je pense que les oreilles se fatiguent.
[02:15:12] Speaker B: Au bout d'un moment de trop de... Les signaux... Le signal il est à fond tout le temps, qu'il n'y a plus de dynamique...
[02:15:19] Speaker A: Un gros pâté !
[02:15:20] Speaker E: Au bout d'un moment c'est... Oh un gros pâté ! Non mais je trouve que oui, c'est vrai qu'il faut...
[02:15:26] Speaker B: Il faut des petits cornichons de temps en temps !
[02:15:28] Speaker E: Un petit peu d'échalote ! Ou alors pourquoi pas un petit pâté de thon ?
Éventuellement, si on habite en bord de mer... D'ailleurs, en parlant de ça...
[02:15:44] Speaker A: En parlant de Thierry de la Mer !
[02:15:45] Speaker E: Je me suis fait tatouer un macro, il y a deux semaines.
[02:15:47] Speaker A: Ah bah voilà !
[02:15:48] Speaker B: C'est un macro, ça ?
[02:15:49] Speaker E: Ouais, c'est un macro. C'est une tête de macro.
[02:15:50] Speaker B: Ah oui, c'est une tête de macro. J'ai l'air, il est petit, ce macro.
[02:15:53] Speaker E: Non mais j'aime bien, moi, j'aime bien Diep.
Il m'appelle Johnny Diep.
[02:15:59] Speaker A: Oh putain ! On applaudit.
[02:16:02] Speaker B: Moi, j'ai Pierre Dep.
[02:16:03] Speaker A: Pas pareil.
[02:16:05] Speaker E: Il a mis le i sur l'autre.
Mais oui, mais c'est... Y'a Émile Louis.
[02:16:10] Speaker A: Pardon, j'ai connu... Sur l'outre !
Bon bref, on va en revenir. Non mais c'est vrai que tout ce qui a été avancé numérique, etc. a peut-être même amené des idées, de nouvelles idées qui peuvent se mettre dans l'analogique, des choses auxquelles on n'avait pas pensé parce qu'on n'osait pas aller aussi loin aussi.
Donc il y a du positif. Après, c'est sûr que la surutilisation ou le fait d'être bloqué que là-dedans et de ne pas toucher au reste, c'est dommage. Il y a un beau mélange à faire.
[02:16:41] Speaker D: Ou d'avoir un écart entre le stud et le live, tu vois, ça c'est aussi des problématiques. T'as des mecs qui sortent des albums, c'est monstrueux, tout est parfaitement placé, puis t'arrives en live, tu te dis... Ah.
[02:16:51] Speaker A: Bah y'a des mecs qui font tout ça tout seul ! Ouais aussi oui ! Parce qu'ils ont un groupe, c'est pas pareil !
[02:16:55] Speaker E: Faut trouver le batteur là ! Là t'as envoyé la grosse caisse au millimètre, brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.
[02:17:20] Speaker D: C'est génial, tu peux faire un espèce de condenser tout, ça ouvre les portes de la création, c'est génial.
[02:17:25] Speaker A: Ça a permis aussi aux gens forcément qui n'avaient pas les moyens ou en tout cas qui étaient loin d'un endroit pour pouvoir travailler tout ça, d'avoir ce qu'il faut quoi.
[02:17:33] Speaker D: C'est-à-dire tous les intermittents quoi, finalement.
[02:17:35] Speaker A: Bah tous les gens qui n'ont pas de moyens, oui.
[02:17:38] Speaker B: Dont on fait partie. Et aussi de simplifier la tournée. Enfin là, pour le coup, le quad cortex...
[02:17:42] Speaker E: Je vais y venir parce que j'ai mal au dos maintenant.
[02:17:45] Speaker B: Le quad cortex, c'est un espèce de pétalboard où on peut mettre tous ses effets, mais aussi des simulations d'amplis, même de baffles et de choses comme ça, qui font que t'es plus obligé de transporter cinq têtes.
Parce que si t'as deux sons différents, plus l'asper, enfin celle de secours... Y'a.
[02:18:03] Speaker A: Des petites roulettes pour que ça roule facilement.
[02:18:05] Speaker B: C'est gros comme ça quoi ! Tu peux enregistrer tes vrais sons à toi.
Tu mets de ton matériel, tu fais ce qu'on appelle une empreinte.
Et après quand tu joues ça sonne presque pareil.
En général pour du live c'est impossible de faire la différence je pense.
[02:18:29] Speaker E: C'est complètement impossible.
Ça t'enlève les buzz.
[02:18:33] Speaker B: Et du coup t'as pas besoin de te trimballer avec un pédalboard de 16 kilos, avec un cab de 16 kilos et une tête de 20 kilos.
[02:18:42] Speaker A: T'apprends moins de place quoi.
[02:18:43] Speaker E: En plus moi je l'ai fait il y a 4 jours, je me suis séparé de mon ampli toujours, mon Mesa. Enfin je me suis séparé, il resterait toujours auprès de moi. Mais donc j'ai fait exactement ça, j'ai synthétisé le son de mon Mesa et je l'ai mis dans le Quad Cortex.
Et donc maintenant on a répété avec la synthétise.
[02:19:01] Speaker D: Franchement, la différence, elle est violente.
[02:19:03] Speaker E: Le son est exactement le même.
Donc voilà, c'est vraiment très léger pour le live. En tout cas, c'est génial.
[02:19:10] Speaker B: Ce qui est bien, c'est que... Excuse-moi, mais du coup, c'est quand même beaucoup plus facile de tourner quand t'es pas obligé d'avoir un camion avec un stockage de 16 mètres cubes pour ramener tout ce que t'as ramené.
[02:19:20] Speaker D: Ouais, mais c'est exactement ça.
[02:19:21] Speaker B: C'est con, mais... Y'a que les batteurs, je crois que tu peux le faire jouer.
[02:19:24] Speaker D: Mais c'est ce que j'allais dire, j'allais dire. Trouvez-moi un truc pour moi, là.
[02:19:27] Speaker E: J'ai une batterie électronique abominable.
[02:19:29] Speaker D: Ah ouais, il faudrait un truc qui gonfle.
[02:19:31] Speaker B: Non, une batterie électronique sec, les pattes hexagonales, là !
[02:19:35] Speaker A: Avec des néons sur toi !
[02:19:38] Speaker D: Tu vois, on me disait le retour aux sources, bah tu vois, on y arrive !
[02:19:40] Speaker E: C'est gracieux, ça ! Il le faisait dans les années 80 ?
[02:19:43] Speaker A: Bah oui ! Ça a bien marché !
[02:19:45] Speaker E: C'est un sacré carton !
[02:19:47] Speaker A: Non mais ce que je voulais dire c'est qu'aujourd'hui aussi pour être musicien du coup, enfin avant t'allais dans des magasins, t'allais checker un peu ce qui se faisait. Aujourd'hui il faut être au taquet, il faut être un geek quoi.
Il y a trop de trucs, globalement même si c'est plus pratique, il faut vraiment s'intéresser tout le temps en permanence aux nouveautés.
[02:20:04] Speaker E: Et puis alors ça rentre dans des précisions que moi j'ai plus quoi. Donc merci à Max Müller d'ailleurs de m'avoir vachement aidé à régler mon toit de cortex parce que sinon...
[02:20:13] Speaker A: Mais bon c'est vrai que c'est... Faut devenir informaticien quoi.
[02:20:17] Speaker E: On est dans le turfu quoi.
[02:20:18] Speaker B: C'est la Deutschqualität.
[02:20:20] Speaker E: On y est.
[02:20:24] Speaker A: Bon, Cold Lava, c'est donc ce nouvel album qui est disponible d'ores et déjà, que tout le monde peut savourer, déguster et acheter. Et bien évidemment, se procurer un vinyle, c'est aussi fortement vous aider. Donc on conseille à tout le monde d'acheter le merchandising aussi.
Excellent album.
Cold Lava, forcément, on se pose la question qu'on a dû vous poser cinquante mille fois. C'est pas banal ?
[02:20:45] Speaker B: Est-ce que vous préférez pas qu'on ait chaud ?
[02:20:49] Speaker E: A ça, on ne l'a pas dit. Enfin de la nouveauté !
[02:20:57] Speaker A: Du coup, moi j'ai pas regardé les interviews parce que sinon je me suis dit je vais oublier tout le truc.
Mais donc ce titre, d'où vient-il ? Que fait-il ce formidable robot ?
[02:21:06] Speaker D: Détends-nous.
[02:21:06] Speaker A: Excusez-moi, c'était une chanson... Astro-Boy.
[02:21:10] Speaker E: C'est Astro le petit robot ou Astro-Boy ?
[02:21:14] Speaker A: C'est la même chose.
[02:21:15] Speaker E: Non, ah non, je suis... Salut c'est moi... Ah non, attends, je confonds.
[02:21:18] Speaker B: Non, ça c'est Salut c'est moi Nono.
[02:21:20] Speaker A: Ça c'est Ulysse 31.
[02:21:22] Speaker E: Astro Boy, t'es sûr ?
[02:21:23] Speaker C: Non.
[02:21:23] Speaker E: Avec la houppette noire comme ça, le robot qui a la houppette noire.
[02:21:25] Speaker B: Astro... Astro... Astro Boy.
[02:21:27] Speaker E: Le petit robot.
[02:21:28] Speaker B: On en reparlera après.
[02:21:29] Speaker A: Il y a un gros débat là.
[02:21:30] Speaker E: Parce que moi j'étais quand même inscrit au club Astro... le petit robot. Mais bon bref.
[02:21:35] Speaker B: Astro le petit robot, l'incroyable, le formidable.
[02:21:40] Speaker C: C'est ça.
[02:21:40] Speaker E: Et ça c'était Astro Boy ?
[02:21:41] Speaker B: Mais c'est Astro Boy en anglais.
[02:21:43] Speaker E: Ah...
[02:21:45] Speaker A: C'était un moment de culture 80.
[02:21:49] Speaker B: Les bottes rouges à réacteur.
[02:21:52] Speaker E: Absolument. D'accord, mais désolé.
Alors reprenons. C'était par rapport à Cold Lava.
[02:21:57] Speaker A: Pourquoi pas Hot Lava ?
[02:22:01] Speaker E: C'est une métaphore qui peut être interprétée par plein de gens différents. Moi, quand j'ai eu cette idée-là, c'était toujours ce qui se passe avec cet album, c'est-à-dire cette espèce de croûte grise qui fait que tu t'en es pris dans la tronche, que la vie t'impose des choses, mais qu'il y a toujours cette espèce de truc rouge brûlant en dessous qui est prêt à remonter.
C'était une sorte de métaphore là-dessus.
On a trouvé que c'était un bon titre d'album.
[02:22:31] Speaker A: C'est très bon.
[02:22:32] Speaker E: Chacun peut l'interpréter à sa manière.
[02:22:38] Speaker B: Est-ce que le fait d'avoir répété dans une carrière, dans une ancienne grotte.
[02:22:44] Speaker D: Figure-toi que non, même pas parce qu'on l'a composé dans l'ancien studio.
Ça aurait pu faire une belle histoire.
[02:22:51] Speaker A: Mais... Non mais en plus, les gars, mentez pour le storytelling !
[02:22:56] Speaker B: Mentez pour le storytelling !
[02:22:58] Speaker D: C'est pas le genre de la maison, là, pour le moment.
[02:23:00] Speaker A: Non mais je me suis dit, le titre, j'ai trouvé très bien, effectivement, on peut l'interpréter de mille façons, mais je me suis juste dit, comme vous êtes là, je me permets de poser la question, est-ce que quand on a un groupe, on est obligé de trouver des trucs comme ça, finement, des métaphores... Moi.
[02:23:12] Speaker E: J'Aime bien, moi, elle est super bien. J'ai toujours été fan de noms.
[02:23:15] Speaker A: C'est un exercice qui t'amuse toi.
[02:23:17] Speaker E: J'aime bien les noms de morceaux, les noms de groupes.
[02:23:20] Speaker A: C'est chiant pourtant les noms de groupes à trouver.
Quand tu t'appelles Maïs, c'est quand même pas le meilleur nom de groupe du monde. J'ai Excusez-moi, il s'appelle Maïs.
[02:23:33] Speaker B: Non, il s'appelle Naïs.
[02:23:34] Speaker A: C'est pas la même lettre.
[02:23:37] Speaker E: Ils avaient fait la fameuse tournée avec Mews qui était dramatique.
[02:23:40] Speaker A: Découvert...
[02:23:41] Speaker E: C'était Korn et Mews. On la connaît.
[02:23:44] Speaker D: Le dernier Hellfest, bien sûr.
[02:23:46] Speaker B: J'ai vu qu'il y a une boîte de...
[02:23:50] Speaker A: Tu vas me dire, je sais pas.
[02:23:51] Speaker B: J'ai découvert ça. Une agence immobilière qui s'appelle Korn. K-O-R-N.
[02:23:55] Speaker A: En France ?
[02:23:57] Speaker B: J'ai vu ça à Paris, oui.
[02:23:59] Speaker A: Pourquoi ? Bah, peu importe.
[02:24:01] Speaker B: C'est surmoralement ça.
[02:24:02] Speaker E: Bah si tu rentres et que tu vois un type avec des locks, tu lui dis ouais, y'a un lien.
[02:24:05] Speaker A: Y'a un mec qui fait... Ça doit pas être fameux. Mon avis, il doit pas avoir beaucoup de clients.
[02:24:13] Speaker F: Ouais, je pense pas.
[02:24:14] Speaker E: Là, il trouve 2-3 plans... Laisse tomber, va.
[02:24:17] Speaker A: J'ai des appartements miteux tout moisi.
Pas typiquement parisiens finalement.
Donc toi, c'est un exercice qui te plaît, c'est un truc qui te fait marrer.
Mais tu as déjà entendu d'autres amis qui écrivent qui te disent c'est chiant là, qu'est-ce que je vais faire ? Parce que moi c'est un monde qui me fascine l'écriture, je ne sais pas écrire.
Je sais parler, mais je ne sais pas écrire.
Et ça me fascine, cette idée de se poser, de trouver un nom d'album qui symbolise quelque chose. Le hasard aussi, quand ça arrive, ça tombe au hasard.
[02:24:47] Speaker E: Pour moi, des fois, je me monte la tête. C'est super. Quand j'ai entendu Col d'Aval, c'est génial. C'est ça, c'est le nom. Et donc, je m'auto-persuade.
Romain avait un peu plus de... Il a dit, oui, laissons libre cours à... Et donc, t'as vu, dès le début, pour moi, c'était une évidence, parce que je me dis, ouais, j'ai l'impression que c'est... Ah, on me l'a... Je l'ai trouvé, et c'est comme ça, et puis c'est tout.
[02:25:10] Speaker A: Ouais, c'était direct, tu l'as senti.
[02:25:12] Speaker E: Et après, voilà, je suis pas tout seul dans le groupe, donc bien évidemment on en discute et tout, mais pour moi c'était une évidence quoi.
[02:25:17] Speaker B: Ouais, puis en plus ça a coulé.
[02:25:18] Speaker D: De sens parce que c'est le premier morceau qu'on a composé, c'est le premier riff qui est tombé, c'était celui de ce morceau-là, et finalement que tout le reste découle de ça, c'est ce qu'a...
[02:25:27] Speaker A: Comme la dave qui coule quoi.
[02:25:28] Speaker D: Ouais, qui coule évidemment, bravo.
[02:25:29] Speaker A: Dans vos veines.
[02:25:30] Speaker D: Et tout à fait. Non, mais ça a fait que finalement, tu vois, la continuité de l'album, ça a vraiment, comme tu dis, ça a coulé de là.
[02:25:38] Speaker A: Non, c'est une belle image. Comme c'était pour moi, cet album marquait aussi un gros retour, un truc grand du collier, qui donne envie, exaltant, exalté probablement aussi.
Et j'avais l'impression que c'était justement cette lave qui qui permettait de casser la croûte, de surengendre, de jaillir comme ça. Et j'ai trouvé ça hyper bien. Mais assez simple. J'étais même pas parti dans une description folle.
[02:26:06] Speaker E: Moi j'ai juste du cold level. Oh y'a plein de trucs à faire avec ça.
Mais j'avais pas vraiment une explication.
[02:26:15] Speaker A: On espère en tout cas !
[02:26:18] Speaker E: J'ai trouvé ça vachement global et tout, j'ai dit c'est chouette, je trouve que c'était beau comme nom.
[02:26:24] Speaker B: J'ai eu l'idée pareille de ce truc où quand ça casse et que tu vois que ça rejaillit, ça s'exprime quoi.
[02:26:34] Speaker E: Et puis ça peut être interprété chacun à sa manière.
[02:26:37] Speaker A: Et puis la musique que vous faites, globalement, est chaleureuse.
Le son est chaud. Les thématiques sont quand même assez froides.
[02:26:45] Speaker E: T'as envie de faire du sport juste avant la fin du monde. T'as un morceau qui s'appelle Never Ending Fall, là chez nous. T'es dans une salle de sport et le texte c'est « On va tous mourir ». Donc tu cours, t'es là « Putain ».
[02:26:59] Speaker A: Il faut fuir quoi !
[02:27:00] Speaker E: Il faut apprendre à courir vite.
[02:27:02] Speaker D: Mais courir de manière joyeuse. Courir en souriant, t'es content.
On va tous mourir mais t'es content.
[02:27:07] Speaker A: Après ça c'est tout ce qui symbolise aussi Bukowski, c'est-à-dire qu'il y a toujours ce côté...
Le fond est très sérieux et assez rude.
[02:27:15] Speaker E: Mais avec une voix de vie démoniaque.
[02:27:17] Speaker A: Par contre la surface... On va passer encore un clip quand même. On va découvrir Criminals.
Enfin découvrir, ça fait un petit moment qu'il est sorti déjà.
Pareil là, sujet fortement d'actualité. Personne n'est passé à côté.
Mais à quel moment tu t'es dit j'ai envie d'en parler moi aussi dans une chanson ? de cette thématique dans Criminals.
[02:27:43] Speaker E: On s'est dit pourquoi pas nous des petits gars comme nous assumons le fait de... alors c'était vraiment pas du tout... c'est compliqué à expliquer ça. On s'est dit en tant que mec, on a envie de le dire aussi et donc on l'a fait juste de cette manière là. On a invité tous nos amis et puis des gens dans le clip, il y a des gens qui ont morflé, il y a vraiment des vraies histoires là dedans.
Et donc voilà, on s'est dit, il faut le faire d'une manière sincère. Et puis, le truc qui peut ressortir de tout ça, c'est sûrement le fait que ce soit des mecs qui le disent aussi. On a trouvé ça intéressant.
Et donc...
[02:28:19] Speaker A: C'est par rapport à l'affaire Pélico ?
[02:28:21] Speaker E: L'idée nous est venue suite à ça. Mais sinon c'est bien évidemment pas dans.
[02:28:27] Speaker A: Le risque de globalité.
[02:28:28] Speaker E: Et puis même par rapport, malheureusement, on a quand même des nouvelles des fois même dans notre milieu, des trucs comme ça, où ça profite pas mal de la genre féminine. Et puis on vit dans une époque où elle est en train de reprendre ses droits totalement. la femme, donc on s'est dit que c'était peut-être le moment aussi de nous de le rendre hommage.
De manière très humble et sans... On ne profite pas du bordel, c'est important.
[02:28:54] Speaker A: Oui, bien sûr, c'était pas ça que je voulais dire, c'est juste que j'imaginais vraiment que c'était quelque chose qui... Bon, c'est touchant, personne n'a resté insensible à cette histoire affreuse. Et je me suis dit que c'était peut-être aussi quelque chose qui perturbait fortement. En fait, on a déjà entendu des histoires de merde.
Et autant dire, nous, on sera toujours là aussi pour les dénoncer. On n'a pas envie de faire partie de celles et ceux qui se taisent malheureusement.
[02:29:24] Speaker D: Et puis même quasiment en même temps, au moment de la composition, on a appris qu'il y avait une super amie qui... Il y a des choses dans ce goût-là, dans ce très bon goût-là, qui lui sont arrivées.
Et en fait, finalement, on était en train de penser à ça. Et finalement, tout s'est un peu embriqué, tu vois. Et donc, il y avait aussi la volonté Parce que dans ces situations-là, tu peux rien faire à part être présent et être réconfortant et aider comme tu peux. de... Et finalement, on s'est dit que le meilleur moyen d'un, d'aider, et puis deux, de crier un peu à la gueule du monde la haine que t'as pour ces gens-là, c'était d'en faire une chanson.
[02:30:00] Speaker A: C'est fort. C'est du Bukowski, c'est très fort.
On y va ? On regarde le clip ? Allez petite pause ! Criminals !
[02:31:07] Speaker C: C'est parti !
J'ai prié pour que quelqu'un vienne de quelqu'un d'autre. Mais merci n'a jamais trouvé sa place. Singapour n'a jamais trouvé sa place. Singapour n'a jamais trouvé sa place.
Criminels The sunrise you'll never see The sunrise of my death, stone my death C'est pas vrai ! C'est pas vrai !
C'est parti !
Oh, putain !
C'est la fin de Winterbite Il y.
[02:39:33] Speaker A: A une bien grande pièce pour une seule personne.
Alors après, on dit qu'à Paris, les pièces sont petites. Mais regardez-moi ça, c'est un bel appartement lumineux.
[02:39:43] Speaker E: Est-ce que mon train ?
[02:39:44] Speaker B: Ah non Dave, non c'était bon en fait. C'est juste Marcel il met les messages.
[02:39:48] Speaker D: Ah mais moi je suis les indications.
[02:39:50] Speaker B: Et non, l'alerte qu'a essayé de nous envoyer Marcel, c'est qu'il y a eu des gagnants pour Anka Shukari.
[02:39:56] Speaker A: Oui, alors d'abord je signale que c'est une belle petite nouveauté ce qu'on vient de regarder, ça s'appelle Textures. Et excuse-moi, je viens de manger un morceau de saucisson, j'en ai encore en fond de gorge.
Texture avec The Age of Winter en featuring Charlotte Vessel.
C'est celle qui nettoie.
[02:40:16] Speaker B: Mais non, c'est la sœur d'un chanteur de Slipknot.
[02:40:19] Speaker A: Ah bah oui, c'est vrai. Nous avons commencé un concours il y a un petit moment.
[02:40:25] Speaker E: J'y ai cru, moi. Non, c'est pas sa sœur.
[02:40:27] Speaker B: Non, je crois pas.
[02:40:28] Speaker E: Ça pourrait.
[02:40:29] Speaker A: Marcel va nous renseigner, il va faire une petite recherche potin sur Charlotte.
[02:40:33] Speaker E: Marcel, s'il te plaît.
[02:40:34] Speaker A: Donc oui, nous avons lancé un petit concours il y a un moment pour gagner des places pour aller voir Hunter Chicary, c'est ce mardi, c'est au Bataclan.
Franchement, on va s'y croiser parce que moi je ne peux pas louper Hunter Chicary. Pour rien au monde, je ne louperai Hunter Chicary.
[02:40:45] Speaker B: C'est excellent live.
[02:40:46] Speaker A: Et puis ça me rappelle toujours ce dernier festival Bring the Noise qu'on avait fait du côté de la Flèche d'or où on avait fait quasiment brûler toute la salle.
C'était juste énorme, c'est à voir. Et on a offert des places et il y a deux gagnants Ben.
[02:40:58] Speaker B: Ah oui ?
[02:41:00] Speaker A: Tu veux pas dire leur nom ? C'était une tentative de rembourse !
[02:41:04] Speaker B: Hollandelle et Matt Graff, voilà. Ils ont chacun gagné deux places.
[02:41:11] Speaker A: Chacun gagne deux places.
[02:41:12] Speaker B: Donc ils peuvent emmener quelqu'un de leur. Et s'ils ne connaissent personne, demandez, il y a peut-être quelqu'un dans le chemel qui va vouloir venir avec vous.
[02:41:17] Speaker A: Tout à fait. Par contre, il faut que ces personnes m'envoient un petit message avec leur nom et leur prénom, parce que sinon, ils ne pourront jamais rentrer. Pierre, arrobaz16.com ou en message privé.
[02:41:27] Speaker B: Tu peux mettre ton message, Marcel.
Et surtout pour ceux qui n'ont jamais vu Enter Chikare en live, révisez bien leur premier gros tube pour savoir quand il faut faire clap clap. Parce que sinon vous allez avoir l'air bête à ne pas savoir quand il faut faire clap clap.
[02:41:48] Speaker A: Oh, et puis c'est toujours un moment de violence et de danse.
C'est toujours un moment où on peut s'amuser. Enter Chikare, donc au Bataclan, c'est mardi.
[02:41:54] Speaker B: Comment il s'appelle cette chanson ?
Ah sorry, you're not a winner.
[02:42:00] Speaker A: Merci Marcel. Vous entendez ? C'est l'homme robot qui est derrière.
Il est hongrois en même temps. C'est un vieux robot.
[02:42:07] Speaker B: Il est bien ce morceau. Il tue ce morceau.
[02:42:09] Speaker E: C'était le début du futur.
[02:42:12] Speaker A: Eux, quand ils sont arrivés, c'était bien le futur.
[02:42:17] Speaker B: Quand ils sont arrivés avec leur mélange d'électro, d'être... Personne ne comprenait.
[02:42:23] Speaker A: Ah bah y'a beaucoup de gens qui ont détesté aussi, parce que c'est quand même très particulier.
[02:42:26] Speaker E: C'est facile de toute façon quand c'est nouveau, les gens détestent.
[02:42:27] Speaker B: C'est facile.
[02:42:29] Speaker E: Tellement facile.
[02:42:31] Speaker A: C'est comme des cow-boys c'est ça ?
[02:42:32] Speaker B: C'est moquer de deux hommes qui vivent ensemble et par des pantalons en cul.
[02:42:36] Speaker E: C'est vrai quoi.
[02:42:38] Speaker A: C'était le turfu aussi à un moment, bah maintenant on constate que c'est...
[02:42:41] Speaker E: On a le droit.
[02:42:42] Speaker A: J'ai tellement envie de dire des trucs horribles.
Mais Qu'est-ce qu'ils disent ? Salut les deux ? Ah c'est plus. Salut les pédés, y'a du calé !
[02:42:52] Speaker B: Apparemment, on n'a plus le droit de le dire sur Twitch.
[02:42:54] Speaker E: C'est pas moi qui l'ai dit, je le répète.
[02:42:57] Speaker A: C'est comme moi, l'autre fois, quand je.
[02:42:59] Speaker B: Voulais pour dénoncer les sketches de Michel Leib, je refaisais le sketch.
Je le fais, mais pas pour le plaisir de le faire, c'était juste pour dénoncer.
[02:43:08] Speaker E: Pour dénoncer, exactement, ça m'est arrivé ça en bas. Genre, ce sont pas mes lunettes, ce sont mes lunettes. Et là, il y a quelqu'un qui dit, vas-y, t'es un ouf, toi, et tout. Mais non, c'était pour dénoncer, moi, exactement. Parce que c'est vrai que c'était rustique.
Alors on était là, espèce de racisme tranquillement.
[02:43:21] Speaker A: On a remis le sketch l'autre fois.
[02:43:24] Speaker B: Ce passage c'est pas le pire Ce.
[02:43:28] Speaker A: Passage c'est le plus doux Le reste c'est vraiment hyper agressif C'est horrible Il.
[02:43:34] Speaker E: Faut préciser qu'à cette époque le racisme était vraiment rentré dans les mœurs On y va, on fait vraiment...
[02:43:41] Speaker B: Alors il était rentré dans les mœurs ou est-ce qu'il n'en était jamais sorti ?
[02:43:43] Speaker A: C'est ça le...
[02:43:45] Speaker E: Disons qu'il s'exprimait Jean Roucas c'était formidable.
[02:43:51] Speaker A: On va revenir quand même à Côte d'Avare. Parce que la moitié de notre audience a moins de 25 ans quand même.
[02:43:58] Speaker E: N'hésitez pas à chercher sur... Vous allez vous régaler.
[02:44:04] Speaker A: Quelle que soit la façon dont vous écrivez Jean Roucas, vous allez tomber sur des millions de vidéos magnifiques.
[02:44:08] Speaker E: Un bonheur.
[02:44:09] Speaker A: Tout était permis on va dire.
Même le pire.
On revient donc à Côte d'Avare.
Alors je l'ai écouté sans me renseigner donc là aussi. Et à un moment j'entends que ça chante en français. Et là j'avoue que je suis revenu parce que je me suis dit, bon j'ai dû halluciner parce que je l'ai écouté d'une traite quand même parce que j'adore, c'est comme ça que je consomme un album et il est très facile à écouter d'une traite aussi donc c'est vraiment très agréable.
[02:44:32] Speaker B: Parce qu'il a grandi dans une ferme et vraiment les vaches c'était...
[02:44:34] Speaker A: Si j'adore tirer sur des meules.
C'est parce que je me tire sur la bite quand je vais voir des boulangères, mais ça c'est un autre sujet. On peut parler de tout ça.
Cette émission n'a pas de limites.
Je suis Jean-Luc Asse, Nouvelle Génération, c'est le futur.
Non mais oui alors, il y a eu cette partie en français. Non mais sérieux, ça m'a surpris parce qu'il ne me semble pas que vous ayez chanté en français une seule fois avec Bukowski, non ?
[02:45:08] Speaker E: S'il y a un tout petit peu sur l'album d'avant, je m'étais tenté au français en fin de morceau qui dure 8 minutes, alors tu l'as peut-être pas écouté jusqu'au bout, c'est peut-être pas ça.
Après c'est toujours risqué de balancer un peu de français dans un... C'est un titre qui chante en anglais, ça peut être un petit peu ringue.
[02:45:32] Speaker D: En plus c'est même pas toi pour le coup, tu chantes en français.
[02:45:34] Speaker E: Absolument. Et donc c'est Renaud de Lofo qui est venu chanter avec nous et puis c'était une fierté absolue qu'il soit venu.
Parce que moi j'étais avec Julien, on a grandi avec eux.
En 91 j'allais déjà les voir, j'étais là ça défonce.
Et puis c'est vrai qu'on a joué avec eux et on cherchait quelqu'un pour.
[02:45:57] Speaker A: Venir Vous aviez envie d'un invité, c'est ça ?
[02:46:00] Speaker E: Ouais, et on savait pas vraiment qui, puis ça s'est fait pendant un concert, et puis après j'ai trouvé que c'était une fierté pour moi et pour nous de l'avoir.
Ce morceau-là et les phrases qu'il dit m'ont bouleversé. Y a-t-il une vie après l'enfance ?
[02:46:15] Speaker A: Il a écrit 5 phrases qui étaient bouleversantes. Ces phrases sont puissantes. Pareil, interprétation libre.
Je pense que tous les gens qui écoutent du métal ont forcément une histoire qui colle à ces phrases-là. Parce qu'on a tous des petits traumas globalement. Mais il écrit bien.
Ça m'a surpris, je me suis dit pourquoi aussi lui ? C'est juste qu'il y avait eu la tournée et que ça te faisait plaisir de l'inviter. C'est tout le groupe ?
[02:46:44] Speaker E: C'est fait très vite, c'était vraiment juste avant un concert, c'est moi qui ai proposé. Et ils ont dit mais à d'où on fait ? Donc ça s'est un peu fait, voilà, mon idée est venue et puis tout le monde a dit oui et donc ça s'est fait à quatre encore.
Et donc ça s'est passé, en plus Francis ne l'avait jamais reçu dans son studio, il avait mixé l'offo, donc il était ravi de l'entendre brailler comme ça dans le micro et donc au final on a passé vraiment quelque chose, voilà, pour une vie de musicien ou d'ingé son qui était très chouette. Donc il a fait ça en deux prises.
Ouais, il a fait ça en deux prises.
Et puis après on a eu le temps, justement, après il est resté avec nous, on est parti au resto, on a passé la journée ensemble et on a appris à se connaître plus qu'eux.
Parce qu'au final, on se connaît sans se connaître, tu sais, dans la musique.
On croise les gens, mais voilà, c'est toujours... Il y a du bordel partout. Et puis là, on a vraiment pris le temps de... On se connaît beaucoup plus depuis ça et c'est formidable.
[02:47:38] Speaker A: Est-ce que t'es redevenu un enfant, n'est-ce pas, à l'instant ?
[02:47:41] Speaker E: Oui.
[02:47:42] Speaker A: Parce que ça parle un petit peu de la société.
[02:47:44] Speaker E: Oui, complètement. Il y avait tout qui allait bien. Franchement, c'était merveilleux.
C'était vraiment un moment très important de l'enregistrement de l'album. C'était assez bouleversant.
[02:47:55] Speaker A: Et est-ce que d'avoir vécu ça, d'avoir ce passage-là, qui est vraiment très bon parce que ça s'imbrique parfaitement dans la chanson, enfin je veux dire, moi ça m'a surpris parce que c'était du français, mais en vrai, ça rentre nickel, c'est parfait.
Est-ce que ça te donne envie de... de plus de français dans... Pourquoi pas, ouais.
[02:48:11] Speaker E: Ou tester des choses, ouais. On avait quelques idées avec Romain, on peut pas trop en parler, mais... Oui, bien sûr. Mais après, Dombikowski, bien sûr, c'est...
Pas de me mettre à chanter en français, non, Bukowski bien sûr, mais pourquoi pas faire des réinterprétations des petites idées comme ça en art.
[02:48:27] Speaker A: Parce que la langue française, globalement, à chaque fois, c'est vrai que beaucoup de fans de rock disent que c'est pas criant de ça parce que l'anglais, c'est.
[02:48:34] Speaker E: La langue naturelle, etc. Ça ramène plus d'oseille.
[02:48:36] Speaker A: Mais alors... Alors ça, je ne sais pas, mais si tu m'as dit que j'allais même croire... Au niveau subvention... Ah oui, d'accord.
C'est vrai, j'en sais rien moi.
[02:48:44] Speaker E: Mais bien sûr, mais sinon, si on voulait des subs, on aurait chanté en français depuis longtemps.
[02:48:51] Speaker B: Il est passé à la radio aussi.
[02:48:53] Speaker E: On est passé un tout petit peu sur l'UFM.
[02:48:55] Speaker B: Avec les quotas.
[02:48:58] Speaker A: J'ai appris de nouvelles choses sur les quotas.
[02:48:59] Speaker E: Il y a un truc qui a.
[02:49:00] Speaker A: Changé sur les quotas.
[02:49:01] Speaker D: Ah bon, c'est vrai ?
[02:49:01] Speaker A: Il y a un truc qui a changé sur les quotas. Je vais pas loin d'en parler mais je vais en parler. Mais les quotas français, tu peux ne pas forcément les respecter si tu passes des trucs extrêmement frais et nouveaux qui ne passent nulle part ailleurs. Et qu'il y a une diversité aussi dans les choix de genre.
[02:49:19] Speaker E: C'est pas mal ça par contre.
[02:49:20] Speaker A: Donc musicaux, je parle de genre musicaux, pas de personne. C'est assez intéressant et ça a été un petit peu réaménagé justement pour éviter que les web radios prennent le dessus parce que là, il n'y a pas de règles et que de toute façon, c'est une liberté qui fait que les gens pourraient se tourner vers autre chose. Donc là, il y a un vrai travail de diversité et de trucs comme ça. C'est assez intéressant.
[02:49:41] Speaker E: Oui après c'est vrai que, est-ce que la radio ne devient pas un peu comme la télé maintenant ? Est-ce que tout ça, ça ne devient pas un tout petit...
[02:49:47] Speaker A: Alors ça baisse, la radio FM c'est plus le... Mais ça intéresse quand même encore pas mal de jeunes. Les plus jeunes. Il y a une tranche d'âge où ils ne s'y intéressent pas du tout.
Mais par contre les très très très jeunes, ceux qui ont moins de 18 ans, ça intéresse à la radio FM. Voilà, au DAB c'est pareil. Ce qu'il y a dans la voiture quoi.
forme de découverte, ils en ont marre en fait d'avoir des algorithmes. Il y a une étude qui dit que l'algorithme n'est plus vraiment comme ils l'entendent et ils trouvent qu'il y a plein d'incohérences dans ce qui est proposé et qu'en fait ils préfèreraient que ce soit choisi par une personne qui a priori ressemble à une personne comme eux et qui peut avoir les mêmes goûts.
[02:50:26] Speaker B: Du coup ils écoutent NRJ.
Il y a 5 chansons en boucle...
[02:50:31] Speaker A: Alors Energy n'est plus... Enfin, il est toujours à la radio... Il y a le numéro 1, mais c'est plus aussi... Mais en tout cas, il y a une volonté d'incarnation.
[02:50:42] Speaker D: Mais c'est bien, si finalement ça revient un peu à ce qu'on disait tout à l'heure, tu vois, côté retour aux sources, si même la toute nouvelle génération, elle prend le virage là... C'est génial, merci, bravo les très jeunes.
Ça fait vraiment vieux de dire ça, mais franchement bravo.
[02:50:59] Speaker A: Ils n'ont pas envie de ressembler aux vieux. C'est un arc, les vieux qui se sont mis à fond dans le numérique. Les jeunes, c'est les futurs vieux.
On est tous le vieux de quelqu'un. Ou le jeune d'un autre.
C'est fou, c'est une blague philosophique.
[02:51:14] Speaker B: Plus ça va, plus on est le jeune de quelqu'un.
[02:51:15] Speaker E: C'est de savoir qu'on va vieillir plutôt que de croire que la jeunesse est éternelle.
[02:51:19] Speaker B: C'est beau !
[02:51:22] Speaker E: Et on est dimanche hein les gars !
[02:51:23] Speaker A: Moi je crois que j'ai fait une goutte, après je vous laisserai... Rien, tu as négligé rien du tout !
[02:51:29] Speaker D: Je veux rien savoir de ça !
[02:51:31] Speaker A: Non mais tu dis ça, c'est vrai que tout à l'heure je voulais en parler mais on en a beaucoup parlé aussi avec les groupes qu'on reçoit, les artistes qu'on reçoit... Je te caresse Ben, c'est parce que tu as le poil doux ! Mes petits barbus !
[02:51:45] Speaker E: Magnifique barbe, c'est vrai !
[02:51:48] Speaker A: On l'appelle barbe d'argent.
[02:51:49] Speaker E: Barbe d'or ?
[02:51:51] Speaker A: Barbe d'or c'est quand tu pisses dedans.
[02:51:54] Speaker E: J'allais dire quand tu fumais des gitanes maïs.
[02:52:01] Speaker A: Mais non, il y a pas mal de groupes qui disent que le punk, ça va être le style qui sera le style du futur. Parce que les gens en ont marre justement de tout ce qui est aseptisé, de ne plus avoir le droit de parler, de ne plus avoir le droit de faire des tas de choses. Ça peut partir en cacahuètes aussi dans le mauvais sens, mais ils ont envie d'un peu plus de vérité, d'humanité.
[02:52:19] Speaker E: Il faut passer par là pour après se redétendre un peu. Je pense que si ça peut se détendre un tout petit peu, ce serait pas mal.
[02:52:25] Speaker A: Faut pas oublier qu'il y a le sujet aussi de l'IA.
[02:52:28] Speaker D: Ouais voilà pour le coup c'est un comme sujet.
[02:52:30] Speaker E: Moi j'adore ça moi.
[02:52:32] Speaker A: Non mais c'est génial, c'est un super outil mais il faut savoir l'utiliser. Et pas trop.
[02:52:37] Speaker D: Mais c'est ça le problème en fait, c'est qu'est-ce que tu veux en faire ?
[02:52:40] Speaker B: Parce que le problème en fait c'est.
[02:52:42] Speaker D: Que c'est ce qu'on disait tout à l'heure avec le numérique c'est pareil. Les outils qui sont créés et tout c'est mortel si tu l'utilises vraiment dans une bonne optique, dans une bonne manière. Parce qu'après évidemment que tu peux faire n'importe quoi avec l'IA et évidemment que tu peux faire n'importe quoi avec le numérique et bah ouais.
[02:52:56] Speaker E: Numérique et Ramzy.
[02:52:58] Speaker A: Voilà, le studio ! Ça, l'IA, elle peut pas le faire !
[02:53:17] Speaker B: On l'avait comme... Éric.
[02:53:20] Speaker E: Atmosphérique et Ramsey.
[02:53:21] Speaker B: D'Éric et Ramsey ?
[02:53:23] Speaker E: D'Éric et Ramsey, oui.
[02:53:24] Speaker A: On en revient à Muller.
[02:53:26] Speaker E: L'astasie.
[02:53:31] Speaker A: Anastasia, bien sûr, de la chanteuse.
[02:53:33] Speaker E: Avec une voix de... Très étrange voix, mais...
[02:53:39] Speaker A: C'est parce qu'elle a jamais avoué son opération, c'est tout.
[02:53:41] Speaker E: C'est vrai qu'elle faisait 1m90.
1m90, il y avait un petit doute.
[02:53:51] Speaker A: Ça peut s'installer.
Francis aussi il est grand.
Oui mais Francis n'a jamais avoué aussi son opération.
[02:53:59] Speaker E: En tout cas ça a bien fonctionné.
[02:54:02] Speaker A: Je voulais revenir aussi sur le fait que les maisons de disques signent maintenant aussi des groupes I.A.
[02:54:07] Speaker C: Ouais ouais ouais.
[02:54:08] Speaker A: Est-ce que vous avez vu ça ?
[02:54:10] Speaker E: Là mec j'arrête moi, j'écoute plus ça moi.
[02:54:12] Speaker A: T'as jamais eu la curiosité d'écouter ?
[02:54:14] Speaker E: Si mais ça me balance des infos dans la tronche.
ça te donne envie d'arrêter la zique quoi, c'est-à-dire en fait on est en train de... Ou alors je me dis putain, profitons-en parce qu'on est les derniers.
[02:54:27] Speaker A: Là, c'est ça que ça... Vous avez ressenti ça ?
[02:54:31] Speaker E: Je sais pas moi, dans 20 piges ou quoi, si là maintenant ça commence à faire ça, qu'est-ce que... Moi j'ai des potes qui bossent dans la voie off, eux c'est terminé depuis longtemps là, c'est... Et donc là bien évidemment que quand ils pensent, tu te dis, tout ça va être... Bien sûr que ça va être... ça coûte moins cher, c'est tout ça, mais quand la zique carrément... Et puis moi j'ai été bluffé par des groupes de I.A.
[02:54:51] Speaker C: Quoi.
[02:54:52] Speaker A: Des morceaux avec leurs imperfections qui sont numériques.
[02:54:56] Speaker E: Mais la création du titre, je ne me rappelle plus ce que c'est mais il y a deux morceaux. Ça m'a même provoqué des émotions.
Genre Robocop qui veut te sucer quoi.
[02:55:12] Speaker A: Excuse-moi ce sera en short sur notre Instagram.
[02:55:17] Speaker E: Non des 2R2 parce qu'il a... Ah.
[02:55:19] Speaker A: Mais il a la bonne taille ! Il est moins traumatisant.
que je dise après ça ? Moi je peux pas rebondir parce que là on est au climax de mon bonheur.
[02:55:34] Speaker B: Je veux dire, je sais pas quoi répondre parce que je sais même pas comment on est arrivé là.
C'est ça, c'est arrivé, ça tombe à la fois évident et en même temps je ne comprends pas.
[02:55:44] Speaker E: On parlait d'intelligence antifacielle et d'émotion.
[02:55:46] Speaker A: Antifacielle !
[02:55:48] Speaker E: Ah oui c'est pas mal ça.
Un film de boule en DVD.
[02:55:53] Speaker A: C'est très bien, je sais même plus où j'ai mis mes papiers, je suis perdu.
[02:56:07] Speaker E: Bref, l'intelligence artificielle, on verra ça plus tard.
[02:56:13] Speaker A: Il y a ce morceau aussi qui ne fait pas partie d'un soucoup, je bascule, excusez-moi, mais c'est parce que d'un soucoup, je me suis rattaché à la réalité et que quand j'ai choisi les clips que je vais passer, il y en a deux du nouvel album, mais il n'y en a pas trois.
Par contre, il y a un clip qui est sorti pour un titre précédent, avant l'album, qui a précédé l'album, où je vous ai vu, et je ne l'avais jamais vu ce clip, je suis tombé dessus, franchement, je suis désolé, je ne l'avais jamais vu. C'est The Night of the Goat.
Et là franchement je vous avoue que je me suis dit putain mais d'où je suis passé à côté de ce truc ? C'était quoi l'idée ? Parce que c'est pour un jeu vidéo c'est ça ?
[02:56:50] Speaker D: Ouais c'est pour Waven qui est un parallèle de Dofus de ce que, si j'ai bien compris, je n'y joue pas.
[02:56:57] Speaker A: Moi je ne joue pas aux jeux.
[02:56:58] Speaker D: Vidéo mais je ne connais pas.
Et en fait, ouais, c'est Ankama qui nous a contactés pour faire des jeux vidéo, enfin des jeux vidéo, pour faire des morceaux pour ça.
Et du coup, en fait, finalement, c'était un peu l'amorce, tu vois, de la composition.
[02:57:09] Speaker A: C'était la première fois qu'on composait avec.
[02:57:10] Speaker D: Max et finalement, c'était un peu, tu vois, un terrain d'essai.
Et c'était, ouais, voilà, c'est ça exactement. Et du coup, trois morceaux qu'on a sortis, dont celui-là.
[02:57:21] Speaker A: Ouais, mais ouf, en fait, moi, je passe à côté alors que je vous suis. A priori, non.
[02:57:27] Speaker E: Mais on l'adore en plus !
[02:57:29] Speaker A: Mais le morceau il est incroyable ! Le clip aussi il est très bien !
[02:57:32] Speaker E: C'est Max qui l'a réalisé, on a fait ça vraiment avec des bouts de ficelle.
[02:57:35] Speaker A: Et donc on est numérisés dedans.
[02:57:41] Speaker E: Dans le jeu, et puis quand tu gagnes des trucs, t'as le droit à un concert de Black Ops 6, on est numérisés.
Et c'est génial quoi, c'est la première fois de ma vie, je dis ouais, moi aussi je fais partie du futur.
[02:57:53] Speaker A: R222 !
[02:57:55] Speaker E: Non mais vraiment c'était génial, c'était vraiment un truc chômé à faire. On est parti à Chartres chez HK, on a kiffé vraiment. C'était mortel.
[02:58:03] Speaker A: C'est un truc qu'on vous laisse libre de faire votre musique, il y a quand même beaucoup d'émotions.
[02:58:07] Speaker E: Et donc d'ailleurs c'est pour ça, je vois ces 17 jours de l'apocalypse, ils m'ont dit vas-y, il faut que ce soit vraiment métal. Et donc là les thèmes des morceaux, Voilà, c'était vraiment genre « Night of the goat », « Le jour de la chèvre ». Merci !
[02:58:21] Speaker B: T'as fait appel à tes...
[02:58:23] Speaker A: C'est un peu le R2-D2 mais en animal quoi !
[02:58:25] Speaker B: T'as fait appel à tes racines... Ouais.
[02:58:28] Speaker E: Ouais, là je me suis dit « Putain, je vais faire du Viking Metal au niveau des textes et tout », on s'est régalé quoi.
[02:58:32] Speaker A: Non mais parce que franchement dans le clip, je sais pas, moi je me suis dit pareil, là je sens que vous êtes bien, que vous êtes à l'aise avec l'album, que c'est vous, et là je sens que c'était l'éclate. On sent que vous vous marrez, ça a fond, ça va dans tous les sens.
[02:58:43] Speaker E: Ouais il y avait un côté où on n'avait rien à prouver parce que c'était une commande en fait avec Bukowski qui nous a demandé de faire ça pour ce jeu-là avec un côté très... Bah d'ailleurs je crois qu'on a des potes bêtes quand on joue. On est habillé en viking et tout quoi. Donc là tu vois on a fait ah ouais d'accord.
[02:59:00] Speaker B: On peut sortir de notre univers !
[02:59:02] Speaker E: On va parler d'Apocalypse, de Book, un mélange de Book et de Bukowski.
[02:59:09] Speaker B: Et Dofus, je crois que Dofus c'est le... Enfin Ankama qui produit Dofus, ce jeu dont est tiré Dofus. Dofus c'est le plus... Je crois que c'est un des jeux français les plus connus au monde.
[02:59:19] Speaker D: Apparemment oui.
[02:59:20] Speaker E: Carton incroyable.
[02:59:22] Speaker B: Alors nous on est passé à côté parce qu'on est trop vieux je pense.
Et les générations juste après, on jouait à fond à Dofus.
[02:59:28] Speaker E: Un truc avec des dragons.
[02:59:31] Speaker A: C'est un peu dragon, je crois que.
[02:59:34] Speaker B: Tu récupères des œufs dragons et tout ça, c'est ça Marcel ? Voilà, Marcel y sait.
[02:59:38] Speaker A: Une confirmation qui avait l'air vraiment, vraiment, vraiment certaine.
[02:59:41] Speaker B: Oui, c'est ça.
[02:59:42] Speaker A: Oh là là, oui, oui.
[02:59:44] Speaker B: Je voudrais aller me coucher, vous pouvez vite, vous dépêchez.
[02:59:47] Speaker A: Non mais voilà, en tout cas, j'étais passé à côté, je voulais vous féliciter aussi. Ça doit être une expérience hyper excitante aussi. Et puis c'est gros quand même, c'est quand même ouf.
[02:59:57] Speaker E: Oui, c'était très chouette.
Ça nous a aidé aussi financièrement.
[03:00:01] Speaker A: C'est une bonne nouvelle. C'est ça qui est une bonne nouvelle. C'est quand on vient vers vous et puis il y a ça quoi. Pour les gens qui ne connaissent pas, on va regarder le clip si ça vous plait.
[03:00:09] Speaker E: Avec plaisir.
[03:00:10] Speaker A: Let's go, c'est parti, Bukowski !
[03:00:22] Speaker C: C'est génial !
C'est la nuit de l'or Le moment est venu Pour libérer la paix dans moi C'est maintenant C'est la nuit de l'or Le moment est venu J'ai perdu mon amour, mon amour.
Maintenant, mon monde s'arrête.
Tu as survécu à tellement de collapses.
Mais tu étais tellement blessé dans la profondeur de ton cœur.
Le temps doit venir. Pour libérer ton destin.
Le temps est venu Pour libérer le monstre en moi C'est maintenant, c'est la nuit du diable Le temps est venu Pour libérer le monstre en moi C'est maintenant, c'est la nuit du diable C'est la nuit de l'Apocalypse Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[03:07:29] Speaker A: Oh le joli petit clip, le simple mais efficace, avec un groupe qu'on aime énormément et qu'on vous conseille de découvrir, c'est URNE, U R N E, tout simplement, avec The Spirit Alive, un groupe qu'on avait reçu.
[03:07:41] Speaker B: Tout à fait, on les a reçus au Hellfest, enfin le guitariste a passé un moment d'anthologie. Vraiment, l'interview, on était parti en dire bon, ils sont pas très connus, ils parlent en anglais, on va faire 10 minutes Juste parce qu'on a envie d'en parler mais ça va peut-être être compliqué. Et je crois que l'interview dure quasiment 30 minutes.
[03:07:59] Speaker A: Elle est très très longue l'interview. Je crois que ça ne parle pas.
[03:08:03] Speaker B: Du tout de musique.
[03:08:06] Speaker E: Je vais aller regarder ça.
[03:08:07] Speaker A: Je crois que ça parle de plein de choses.
Avec des blagues bonnes.
[03:08:10] Speaker B: D'allergies à l'avocat, de bonnet de douche, de roux, d'anglais. Et un très bon moment, très belle interview qui est disponible donc sur notre chaîne YouTube.
[03:08:23] Speaker A: Voilà, si vous n'avez pas encore rejoint notre chaîne YouTube et bien il est encore temps, faites-le sinon on va vous frapper, on va vous retrouver ! Point d'exclamation ! Bang ! Tout simplement pour voir cette chaîne et vous êtes plus de 10 000 donc merci quand même.
[03:08:34] Speaker B: J'en profite pour refaire un appel pour Ollendell et Matt Graff qui ont gagné les places pour Hunter Shikari, il faut que vous répondiez à Marcel !
[03:08:41] Speaker A: Il faut répondre avant la fin de l'émission, parce que une fois que l'émission est terminée, t'es foutu !
[03:08:47] Speaker E: Sinon c'est les copains qui récupèrent !
[03:08:49] Speaker A: Sinon ça part à quelqu'un d'autre évidemment !
[03:08:51] Speaker B: Et eux ils savent qu'en faire clap-clap, j'aime mieux vous le dire !
[03:08:55] Speaker A: Bref, après Urne, on revient bien évidemment à nos invités, Bukowski. Bukowski, qui sont là depuis si longtemps dans nos cœurs, depuis le début, on vous a reçus pour chaque album, je pense, quasiment, à partir du moment où j'ai l'impression.
[03:09:11] Speaker E: C'est-à-dire, c'est la troisième fois.
[03:09:13] Speaker A: C'est la troisième fois, effectivement. Et c'est toujours un plaisir. Et vous savez qu'on vous aime de ouf.
personnellement.
[03:09:21] Speaker E: Et puis c'est vrai, c'est vrai en plus, tu le sais que c'est vrai.
[03:09:26] Speaker A: C'est juste à cette fois un bon gros délire et puis merci de ce que vous faites musicalement, merci de votre état d'esprit aussi où il y a de l'humour, ça fait du bien parce qu'il y a des gens qui se prennent un peu trop au sérieux parfois.
[03:09:37] Speaker E: L'humour plus fort que la mort.
[03:09:39] Speaker A: Et il y a cet album que vous voyez là, Cold, là-bas, qui est sorti vendredi. Il est tout frais, il est tout bon, il est tout chaud. Et sincèrement, il y a… Il est.
[03:09:47] Speaker B: Frais ou il est chaud ?
[03:09:48] Speaker A: Il est fraîchement chaud.
[03:09:52] Speaker B: Un peu comme de la lave froide.
[03:09:54] Speaker A: Voilà, voilà.
[03:09:55] Speaker E: S'il vous plaît.
[03:09:56] Speaker A: Exactement.
Parce que dans cet album aussi, il y a du froid et du chaud. C'est-à-dire que tu retrouves des morceaux qui sont d'une puissance inouïe et de la douceur. Il y a des paradoxes qui se confrontent et qui s'associent, qui se lient et qui font cette magie que l'on retrouve dans cet album Cold Lava, offert par Bukowski.
N'hésitez pas donc à l'acheter. Sincèrement, faites un effort. Et quand il y a des concerts, Bukowski, à voir en live absolument, eh bien vous achetez vos places dès que vous pouvez, tout de suite. Dès que vous dites « Ah tiens, concert de Bukowski ! », vous dites pas « Tiens, je veux y aller là ». Non, vous prenez votre place sur Internet, c'est quand même pas compliqué, ça coûte pas cher, et puis en plus vous allez passer un super bon moment. Donc c'est comme ça qu'on soutient les groupes et c'est comme ça qu'on soutient aussi le fait qu'ils continuent à faire de très bons concerts partout en France, parce que c'est aussi l'avantage de Bukowski. Voilà, ils aiment bien les Français, et les Françaises aussi bien évidemment, ça va de soi, personne n'est mis de côté.
[03:10:43] Speaker B: Oui, c'est au sens général.
[03:10:45] Speaker A: Voilà, c'est dans la langue française, c'est comme ça. Et d'ailleurs, dans cet album, il y a cette volonté de toucher un petit peu tout le monde aussi, de parler de tous ces sujets qui touchent tous les humains.
[03:10:54] Speaker B: Au niveau du cœur ? Des émotions ?
[03:10:57] Speaker A: Des émotions, mais aussi, ça parle un peu d'écologie, ça parle de tout. C'est plein de sujets quand même qui, globalement, peuvent faire peur.
[03:11:05] Speaker E: Oui, en fait, Bucco, on raconte rarement des histoires inventées, là où ça dépend des groupes, ça dépend des méthodes de travail. Nous, en fait, c'est des constats.
[03:11:18] Speaker A: C'est de l'actualité.
[03:11:19] Speaker E: Voilà, c'est ça.
On a du mal à créer une histoire, à dire, tiens, je vais... Par exemple, dans Perfecto, Tony, lui, vraiment, il invente des choses comme dans notre groupe.
Et donc, nous, on est vraiment sur un truc très de terre à terre, comme ça, et donc on raconte un peu Et là, franchement, il y a beaucoup de choses à dire.
Donc, ça nous inspire et voilà, on raconte un petit peu tout ce qui nous passe par la tête, ce qui nous révolte en général, parce que la révolte inspire quand même la musique, je trouve.
[03:11:51] Speaker A: Oui, la rage, c'est vrai que le rock est souvent nourri par la rage, la tristesse, qui sont souvent liées d'ailleurs, parce que le constat de l'actualité, il n'est pas joyeux.
[03:12:00] Speaker E: Non, mais la rage, je ne dirais plus ça maintenant, parce qu'on est quand même assez apaisé, c'est juste un constat.
[03:12:08] Speaker A: C'est juste marqué aussi le temps ?
[03:12:12] Speaker E: Là, vraiment, on a dépassé les bornes par rapport à... On vit dans un monde où là, quand même... Et nous, on a eu la chance, quand même, nous, de vivre mieux que ça, là. Vraiment, c'est de pire en pire, voilà. Et donc là, il y a un moment donné, il faut faire une bulle.
Il faut, malheureusement... Et continuer à essayer d'être heureux dans ça, en espérant que ça s'arrange. Et donc, cette musique-là, nous, elle nous permet de cracher tout ça comme ça, d'une manière... Mais sans rage, maintenant, il n'y a plus de... L'adolescence là-dedans a disparu. Il n'y a pas de violence.
On n'a pas envie de se retenir de frapper et de faire de la musique pour se retenir de frapper.
[03:12:52] Speaker A: C'est plus ça le deal là où.
[03:12:55] Speaker E: Ça aurait pu l'être avant.
Parce que la jeunesse, parce que la fougue, parce que la révolte, mais maintenant l'apaisement comme ça global qu'on a tous, mais on aimerait que les choses se passent mieux. Rien ne se passe bien et donc on le balance en musique.
[03:13:10] Speaker A: Tu parles de bulles, c'est intéressant aussi parce que c'est seulement...
[03:13:14] Speaker E: J'aime bien le Prosecco.
[03:13:16] Speaker B: Je crois que c'est par rapport à Clémentine.
[03:13:18] Speaker A: Arrêtez ! C'est un peu d'actualité Clémentine aussi, ça serait bien que... Bref, toujours est-il que... Non mais tu parles de bulle, il y a... De ce moment où on peut être avec soi-même, se recentrer, c'est quelque chose qui est important chez vous ? Parce que je vois, il y a un titre aussi, qui parle plus ou moins de ça, non ? Isolation, ça parle pas de ça ? De bulle ?
[03:13:41] Speaker E: Si.
Mais pas de Proceco.
Mais j'ai envie de rire, mais je peux pas. Mais bien sûr, n'hésite pas parce que.
[03:13:48] Speaker B: Je te coupe la parole tout de suite.
[03:13:53] Speaker D: Ouais, je pense qu'on a aussi besoin de se retrouver entre nous. Quand on parlait de ça tout à l'heure, pour la création, il y a ce côté aussi où tu te retrouves un peu enfermé et cette émulsion d'idées, tu vois, à quatre, ce truc qui est toujours en train de grimper. C'est aussi ce qui a fait ces compositions-là, je pense, d'être toujours en réflexion et globalement.
Encore une fois, ce que je disais tout à l'heure, il n'y a pas eu vraiment de plus de réflexion que ça sur la direction artistique, sur les thématiques. Les thématiques, c'était les choses qui nous entouraient à ces moments-là, les choses qu'on pouvait ressentir ou vivre ou quoi.
[03:14:30] Speaker A: On peut imaginer que c'est tout simplement se couper de toutes les merdes qu'on nous envoie dans la gueule tout le temps.
On a un flux continu qui ne s'arrête jamais. Comment peut-on se retrouver ?
[03:14:40] Speaker E: Non, mais c'est insupportable. Vraiment. Puis alors, tu as vraiment des médias maintenant, tu t'allumes la télé, la majeure partie des médias.
C'est quand même axé sur des trucs dramatiques, ça essaie de faire peur à tout le monde.
[03:14:51] Speaker A: Il y a un commerce de la peur.
[03:14:53] Speaker E: Bien sûr, mais c'est quand même incroyable que ça fasse vendre, c'est ça qui fait peur.
[03:14:59] Speaker A: Ça c'est la nature humaine apparemment, on est beaucoup plus facilement attiré par ce qui fait peur parce que c'est pour se préparer à ce défaut.
[03:15:04] Speaker E: C'est quand même assez ouf ce qu'il se passe.
[03:15:06] Speaker B: Tu sais, j'ai vu un truc là-dessus, et en fait ça dit que de tout temps, L'homme est toujours... En fait, il faut que... Si tu te souviens des cours de français, t'avais situation initiale, élément perturbateur... Et en fait, il faut qu'il y ait un truc... Dans toutes les histoires, t'as toujours un truc pour créer de l'enjeu, parce que s'il n'y a pas de choses qui vont mal, il n'y a pas d'enjeu. Et en fait, dans toutes les oeuvres...
il y a toujours ce truc d'enjeu qui crée une tension, qui fait que tu t'y accroches.
[03:15:48] Speaker E: Parlons d'autres choses parce que c'est tellement compliqué qu'on peut en parler longtemps et c'est plus facile de s'enfoncer là-dedans que de parler d'autres choses.
[03:15:57] Speaker D: Après, moi je veux bien qu'il y ait plus de problématiques dans les chansons et dans les oeuvres que dans la vie, tu vois.
[03:16:01] Speaker B: Oui, non, bien sûr.
[03:16:02] Speaker A: C'est juste que là, il y a un flux qui n'est que de ça, c'est-à-dire qu'il n'y a pas l'histoire. Il n'y a que le moment dramatique qui est mis en avant, qui est utilisé, qui est commercialisé.
[03:16:10] Speaker B: C'est ce qui est commercial.
Après, moi, pour en revenir à... Cette ligne conductrice qu'il y a dans Buco, je trouve, c'est que même au début, je trouve qu'il y a un côté, même en parlant de sujets lourds, il y a toujours ce côté un peu, je ne sais pas comment dire, il y a un côté un peu héroïque et un peu force tranquille. Je trouve qu'il y a toujours un peu une lumière au bout du tunnel dans ce que vous amenez.
Et pour moi, en fait, quand tout à l'heure, tu parlais de belles chansons. Moi, ça m'a fait penser. Pour moi, Bukowski, c'est un groupe où il y a toujours de la lumière et il y a toujours ce côté, un sens du héros.
Pas en tant que personne, mais en tant que chose qui va te sortir de...
[03:16:59] Speaker A: Il y a une force qui te porte, qui te mène vers l'eau.
[03:17:02] Speaker B: Je trouve qu'il y a toujours eu ce truc-là, et moi c'est un truc que je trouve dans certaines chansons de Foo Fighters, par exemple.
Et j'ai toujours...
Celle-là, elle est très... C'est peut-être pour ça que le mot héros me vient à la tête. Et en fait, c'est ce sentiment-là, tu vois, qu'il y a un truc qui te... Même sur Pretender ou des chansons comme ça où il y a des...
[03:17:22] Speaker A: Il y a cette espèce de truc.
[03:17:23] Speaker B: Qui te sort de... Qui te laisse espérer.
[03:17:27] Speaker A: Ouais, mais ça c'est la batterie.
[03:17:28] Speaker B: C'est la batterie, évidemment.
[03:17:30] Speaker D: Non, mais je pense que c'est le côté positif. On n'a pas non plus envie de plomber les gens. Au contraire, je pense que tu vois aussi. Alors évidemment, tu cherches ce que tu veux dans la musique et t'aimes ce que tu veux dans la musique. Il n'y a pas de souci. Mais nous, tu vois, humainement, on est comme ça. Je pense qu'on est plutôt des gens positifs et surtout, on a envie de porter ce message positif. C'est super important, à mon avis, surtout pour l'époque, comme tu dis. Mais je pense que c'est important aussi. Effectivement, tu pointes tout ce qui merde, mais tu tu t'arrêtes pas là, tu vois ? Parce que finalement, si tu fais ça, finalement, tu fais quand... Bah tu fais pas d'enfant, tu fais rien... Moi j'en.
[03:18:05] Speaker E: Ai pas des mots, mais toi t'en as... Quelle erreur...
[03:18:08] Speaker D: Alors attention, ça va finir dehors.
[03:18:11] Speaker E: Non mais moi j'en ai pas, mais quand t'en as...
[03:18:12] Speaker B: J'ai pas dit horreur, j'ai dit erreur.
[03:18:14] Speaker D: Non mais je pense que c'est important d'être positif, tu vois, c'est important et c'est le message qu'on a envie de faire passer.
[03:18:20] Speaker E: Ouais mais c'est vachement plus facile que de dire c'est important d'être négatif.
[03:18:25] Speaker A: C'est vrai que c'est rarement dit.
[03:18:28] Speaker E: C'est important quand même d'être raciste.
[03:18:31] Speaker B: Je pense que c'est ça qui manque dans la société aujourd'hui.
[03:18:34] Speaker E: Le négativisme et le racisme.
[03:18:43] Speaker A: Que ce soit même sur CD, c'est vous. Je ne sais pas comment vous arrivez à le crasher d'ailleurs. C'est un truc, on le sent. Même quand on ne vous connaît pas, on le sent. Les gens le savent.
On ne vous a pas côtoyé, on le sait.
[03:18:56] Speaker B: Non mais moi je pense que c'est vraiment... C'est musical. En fait, c'est la manière de...
[03:19:02] Speaker E: C'est gentil comme tout ce que vous dites parce que...
[03:19:05] Speaker D: Nous on sait pas comment on a.
[03:19:06] Speaker E: Fait Bah écoute on a fait ce qu'on pouvait en tout cas C'est déjà sympa Il y a vraiment beaucoup de sincérité dans ce qu'on fait Effectivement là où on est content de continuer à pouvoir exister parce que c'est une musique qui... On pourrait... Cet album bon les gars ça pourrait devenir complètement ringard Là, on voit bien que ça tient encore un peu le coup, ça traverse un peu les époques, parce que c'est cette sincérité-là, je pense, qui fait que Bukowski existe toujours, et heureusement qu'il n'est pas devenu complètement ringard.
J'aimerais conseiller à pas mal de groupes jeunes de ne pas trop réfléchir à ce qu'on a envie de faire comme style de Zik, ou alors essayer de faire, mais en crachant un peu une vérité totale de qui est la personne qui compose, plutôt que de refaire exactement...
[03:19:56] Speaker A: Pas ressembler à, mais être soi.
[03:19:58] Speaker D: Exactement.
[03:19:59] Speaker E: Et donc sûrement qu'il y a de ça qui fait que vous dites ça de nous.
[03:20:03] Speaker A: Non mais c'est vraiment... Et puis dans cet album-là encore une fois, moi je te l'ai dit tout à l'heure mais je vais venir là, je sens juste que c'est le moment où ça bascule et là ça va aller... Le futur il va être ouf, je le vois vraiment beau et bon, donc c'est cool et je vous le souhaite de toute façon. Mais cet album-là, c'est cette clé, c'est ce début d'aventure et il est trop trop bon, très très bon. Et il y a des dates de concert un peu là ?
[03:20:31] Speaker D: Là pour l'instant on est en plein booking pour la tournée et d'ailleurs je.
[03:20:35] Speaker A: M'En profite pour dire qu'on est au.
[03:20:37] Speaker D: Barakfest le 26 novembre à Arras.
Donc comme tu disais tout à l'heure, n'hésitez pas à prendre les pré-ventes parce que c'est ce qui fait vivre les petits festivals et qui aide les groupes et on a besoin de ça.
Là pour le coup c'est rapide, donc n'hésitez pas.
Et puis le reste de la tournée est en train d'être booké.
[03:20:56] Speaker E: Il y a une espèce de petit laps de temps entre la sortie de l'album et la vraie tournée.
Le gros de la tournée va commencer en janvier.
Donc là, pour l'instant, on ne peut pas trop en parler parce qu'on ne veut pas... Sinon, on va se faire engueuler par les salles de concert. Pourquoi vous l'avez dit avant ? Donc là, pour l'instant, étant donné qu'il y a ce laps de temps-là, il y a des dates qui sont en train de se faire et on ne peut pas les citer pour l'instant.
[03:21:17] Speaker A: Mais c'est en train d'être préparé.
On peut être rassuré. Tout le monde peut comprendre que ça va arriver. Les dates, ça va donner dans pas très longtemps.
Le petit cadeau de Noël qui fait du bien, des places de concert à la famille, aux copains, pour aller voir Bukowski, ça peut être aussi une bonne chose. Bon, de toute façon, merci.
[03:21:33] Speaker E: Merci à vous.
[03:21:34] Speaker A: Merci pour tout. Et vous êtes encore une fois les bienvenus quand vous voulez, vous savez comment on est.
[03:21:39] Speaker B: Nous, on vous voit tous les dimanches.
[03:21:41] Speaker D: Oui, apparemment.
[03:21:43] Speaker A: On vous voit tout le temps, on.
[03:21:49] Speaker B: Pense à vous à chaque fois.
[03:21:52] Speaker D: On va mettre un poster de vous dans notre studio.
Comme ça on vous verra tout le temps aussi.
[03:21:56] Speaker A: Ça ne tiendra pas au mur.
La grotte va nous rejeter.
On se transforme en bête crotte.
Voilà, j'avais envie de faire cette blague, elle était nulle.
[03:22:08] Speaker B: Je l'ai fait en même temps que toi Pierre, j'ai dit rejeté par la crotte.
[03:22:12] Speaker E: La crotte ? Ah oui ça aurait été...
Tu imagines, à la fin de la construction, le type a tellement bossé, il pète un plomb, il nous sort des espèces de trucs, je vais appeler ça la crotte et tout. Clément il serait capable de faire ça parce qu'il dit on peut plus, il y a des vrais problèmes de... Tu l'imagines, tu construis, le type on peut plus quoi.
Ce serait génial ça, qu'il arrive et qu'il ait fait des trucs comme ça. La crotte, un roux comme ça, avec un caca, c'est bon. Allez, éviter la psychiatrique.
[03:22:41] Speaker A: On la réussit maintenant, on est en police.
[03:22:43] Speaker B: C'est dommage, c'était un beau projet.
[03:22:45] Speaker A: Donc n'hésitez pas à suivre Bukowski sur tous les réseaux sociaux, bien évidemment, pages YouTube, tout, tout, il y a absolument tout de disponible sur Internet autour de Bukowski.
Suivez-les, encouragez-les.
Ils sont même des fois en legging pour pouvoir faire du sport avec vous.
Alors on peut s'attendre à tout en même temps avec vous, ça c'est une vraie vérité.
[03:23:08] Speaker E: J'étais en leggings ce matin.
[03:23:09] Speaker A: Ah bah voilà, la petite salle de sport.
Donc on le rappelle, Code Lava ! D'ailleurs il me semble que vous avez ramené des petits cadeaux ?
[03:23:17] Speaker D: Bah écoute apparemment, apparemment qu'ils sont là-bas.
[03:23:21] Speaker A: Ils sont cachés, ils sont cachés ! C'est des vinyles, c'est des vinyles.
C'est des vinyles. On offre des vinyles, on fait ça ?
[03:23:28] Speaker D: Allez, on est ok.
[03:23:29] Speaker A: Parce que vous êtes venus avec, moi je ne m'attendais pas à ça.
[03:23:31] Speaker D: Ouais, ils sont juste derrière.
[03:23:33] Speaker A: La générosité.
[03:23:34] Speaker D: Ouais, on est comme ça.
[03:23:35] Speaker B: Je sais pas, faut faire un petit concours Instagram, non ?
[03:23:39] Speaker A: On fait un concours Instagram ?
[03:23:41] Speaker B: Comme ça on fait un petit shorts et que les gens participent, c'est bien.
[03:23:44] Speaker A: C'est bien, vous avez raison. Vous avez raison, professeur.
[03:23:46] Speaker B: On va tourner une petite vidéo juste après pour faire le petit shorts.
[03:23:50] Speaker E: Génial.
[03:23:50] Speaker A: Comme ça tout le monde pourra jouer et avoir accès.
[03:23:54] Speaker E: Ça va partir comme des petits pains.
[03:23:56] Speaker A: Ma bonne boulangère, vous savez quoi ? Et hop, comme ça ! Il vous montrera une petite danse qu'il a inventée et qui s'appelle le rouler bouliche.
[03:24:03] Speaker D: C'est vrai ?
[03:24:04] Speaker B: C'est inspiré des techniques de Pizza Yolo.
[03:24:08] Speaker E: C'est génial ça, moi j'en ai deux-trois à te proposer aussi.
[03:24:12] Speaker A: Et ben voilà, la laughter s'annonce vraiment délicieuse.
[03:24:14] Speaker B: Il va y avoir des tutos !
[03:24:16] Speaker E: Un dimanche soir de toute beauté !
[03:24:19] Speaker A: Bon, en tout cas, il faut suivre Bukowski. Merci encore une fois infiniment d'être venu, pour votre humour et pour cette musique, pour votre travail. Et merci d'exister encore. C'est ça le plus important. Et le futur est à vous. Et comme chaque fin d'émission aussi, on fait la part belle à un média alternatif parce que peu de gens... ont de la pub pour les autres médias, on a a priori les seuls.
[03:24:40] Speaker E: C'est beau, c'est sympa de votre part.
[03:24:43] Speaker A: C'est normal. Et là, je voulais rendre hommage à une belle radio qui s'appelle CELAB, C-L-A-B, tout simplement, qui est à Rennes, c'est une radio FM, qui est sur 88.4, et il y a une émission métal là-bas qui s'appelle « Qui l'est vilaine ?
[03:24:57] Speaker E: » Putain, je l'avais déjà trouvée.
[03:25:01] Speaker A: C'est un joli jeu de mots, j'aime beaucoup.
[03:25:05] Speaker B: Kill, donc K-I-L-L, le tuer en anglais, et vilaine comme l'île est vilaine.
[03:25:11] Speaker A: On rigolait de toutes les façons.
[03:25:13] Speaker E: J'ai trouvé Ardenne-Evie.
[03:25:16] Speaker A: C'est pas mal aussi.
[03:25:17] Speaker E: De la région des Ardennes, personne n'a trouvé ça.
[03:25:20] Speaker A: Si vous voulez faire une émission métal, maintenant vous avez un nom, tout tracé.
Mais voilà, en tout cas, je sais qu'ils nous regardent et qu'ils sont assidus, donc félicitations de faire ça. Il y a plein d'interviews, les groupes sont invités à l'émission et il y a un podcast, donc pour les personnes qui n'habitent pas là-bas et qui ne peuvent pas capter, pas de souci, vous pouvez toujours vous en délecter via toutes les plateformes qu'il faut. Ça s'appelle donc K.I.E.T.
Très très bon travail de leur part. Maintenant aussi, à la fin de l'émission, il y a le titre obligatoire. Celui que vous pouvez choisir, même si vous êtes un groupe, vous pouvez nous obliger à diffuser votre clip. Voilà, donc c'est chez les... Français ! Français, ah oui, s'il vous plaît. Pas francophones forcément, mais français.
Ça se passe par Patreon, c'est donc nos abonnés qui ont décidé ça, et c'est Kévin ! Tiens Kévin, parents, ça faisait un petit moment. Il a choisi un morceau qui s'appelle Crève, enfin le groupe s'appelle Crève avec un 3 à la place du E, KR3V, et le titre s'appelle Focus, alors je vais vous lire son petit texte si j'arrive à le lire parce qu'avec mes yeux de vieille personne...
Un jeune groupe de balance qui vient de sortir son tout premier clip. Alors ça commence à faire un petit moment parce qu'il y a tellement de demandes. Ils se décrivent comme un groupe de métal hybride. Aucune idée de ce que cela veut dire. Voilà, c'est sa petite précision. Tout ce que je peux dire, c'est que ça envoie du steak et ça, on aime !
[03:26:39] Speaker B: J'ai envie de dire longue vie à Crève !
[03:26:45] Speaker A: Merci infiniment et on se quitte sur cette phrase.
Bon courage, demain c'est lundi, vous allez travailler donc il faut y aller, c'est normal, mais vous avez passé un bon dimanche ! Bisous bisous, vive la métal, vive vous et bonne semaine !
Française, français. Chers compatriotes, 2008 s'achève, elle a été rude, mais bien fait pour 2009. L'année qui s'achève a été difficile pour tous, 2010 sera une année de remis. L'année 2010 s'achève, je sais qu'elle fut rude, et l'année 2011 s'annonce une porte d'espérance. Nous avons vécu des moments d'épreuves, qui ont été intenses et difficiles, mais heureux. Cette année 2020 a été difficile d'y aller de souffrance.
[03:27:46] Speaker E: Vive la République, et vive la France.
[03:27:50] Speaker C: Mais l'enfance n'est pas pure, à ça on croit le pur.
Les lois du baptême ! Votre avocat !
Sors d'en bas, je te tuerai !
[03:30:34] Speaker E: Un pour le caillou.
Deux pour le spectacle.
Et voilà, c'était mon souvenir.