#76 - VINCENT PELLAT en invité

Episode 76 January 24, 2025 03:21:14
#76 - VINCENT PELLAT en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#76 - VINCENT PELLAT en invité

Jan 24 2025 | 03:21:14

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Show Notes

Dans cet épisode on est ravi de recevoir un chef cuisinier dans le luxe, formateur. VINCENT PELLAT est le parfait exemple qui vient contredire les personnes qui pensent que le Metal ne permet pas de trouver du travail, démontre une incapacité à faire des métiers importants.

En plus de cela, Vincent va nous décrire l'évolution du monde du luxe et de la cuisine. Il n'a pas sa langue dans sa poche et nous fait comprendre que tout va dans le bon sens et qu'il faut démystifier.

Amélie, Ben, Didier, Enjoy The Noise, Gladyce, Marcel & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:14] Speaker A: BANG BANG ! [00:00:19] Speaker B: Bienvenue à vous toutes et à vous tous, c'est Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, comme tous les dimanches. Et oui, à cette heure-ci, 19h, on se branche, on se met sur son téléphone, son ordinateur, son téléviseur, n'importe où, et on met le live Twitch de Bang Bang pour avoir des beaux clips, pour pouvoir discuter musique avec toutes les personnes qui sont en direct dans le ch'meul, vous échangez beaucoup et ça nous fait chaud au cœur. Et puis… Et puis voilà, on va discuter avec des gens. Nous aurons bien sûr Didier qui sera là pour nous faire les news de la semaine. Et ça va être show show bonbon. [00:00:51] Speaker A: Indice, indice. [00:00:54] Speaker B: Il y aura aussi cette semaine Amélie qui sera avec nous. C'est la même main, c'est deux personnes différentes mais des mains qui se ressemblent beaucoup. Et puis nous, évidemment Ben. Bonsoir. [00:01:06] Speaker A: Bonsoir Pierre. [00:01:07] Speaker B: Comment vas-tu ? [00:01:08] Speaker A: Oh, je vais extrêmement bien. Le bonheur de se retrouver, de faire cette émission comme toutes les semaines. [00:01:14] Speaker B: C'est fou, parce que t'as toujours... Alors que moi, là, je suis crevé, je suis fatigué. [00:01:17] Speaker A: Non, mais je suis sûr que t'es en pleine forme. [00:01:18] Speaker B: Pourtant, j'ai rien foutu, comme d'habitude. Ça ne change pas. [00:01:21] Speaker A: A mixer dans des soirées rock, j'ai l'impression. [00:01:24] Speaker B: Alors, j'ai mixé au bateau phare, effectivement. Je n'y étais pas retourné depuis 20 ans, je pense. Vraiment, facilement, parce que ça fait très longtemps quand même. Parce que c'était avant Bring the Noise. Donc, c'était en 2009. Pendant Bring the Noise, je n'y suis jamais allé. [00:01:37] Speaker A: Mais si. [00:01:38] Speaker B: Bon, bref, toujours utile que ça a changé, maintenant c'est propre, c'est classe, ça fait lounge club, mais il y a du rock et du métal. D'ailleurs je fais un coucou aux chanteurs de Locomorty qui étaient là et qui chantent dans les groupes de covers qu'il y a, et franchement ça assure. Si vous aimez le métal et tous les grands classiques, je vous conseille d'aller à cette soirée, c'est plutôt sympa. Des gens très gentils, voilà, c'était un bon moment. [00:02:08] Speaker A: Je sais pas, je mets des commentaires. [00:02:12] Speaker B: Sinon, t'as fait quoi toi, ce week-end ? [00:02:14] Speaker A: Ce week-end ? Je suis allé voir un film. [00:02:16] Speaker B: Ah, lequel ? [00:02:16] Speaker A: Je suis allé voir un film qui s'appelle My Sunshine, un film japonais. Voilà, qui a gagné le prix d'un certain regard au Festival de Cannes. Excellent film, qui est dans une salle, dans tous les UGC de Paris, il est dans une salle. Et pas la plus grande salle. Ce qui fait que la séance était complète. Mais très bon film, je vous conseille d'aller le voir. Très contemplatif, très beau, poétique, merveilleux. Ça m'a fait un peu penser à toi, Pierre, mais je ne sais pas pourquoi. [00:02:47] Speaker B: Quel monteur, je n'y crois pas. [00:02:49] Speaker A: Ça parle de patin à glace, donc tu imagines bien que ça a un rapport avec toi. [00:02:52] Speaker B: Mais j'aime le patin à glace. Pas que ça. Et j'ai des beaux patins. [00:02:58] Speaker A: Bien roulés les patins. [00:03:01] Speaker B: Et toi Pierre, tu as fait quoi ? A part avoir mixé vendredi, j'ai été faire du shopping. Alors j'étais à La Défense. [00:03:08] Speaker A: C'est ça cette belle chemise ? [00:03:10] Speaker B: Alors oui, ça y est. C'est mieux les carreaux ou c'est mieux ça ? [00:03:13] Speaker A: Parce que je me suis dit que. [00:03:15] Speaker B: Ça fait un peu travailleur mais élégant. N'hésitez pas à faire des critiques, même méchantes, je serais ravi de les avoir. Et sinon, oui, à la Défense, parce que je suis allé à la Défense pour ça. Il y a du monde quand même là-bas. [00:03:31] Speaker A: Il y avait du monde beaucoup dans Paris ce week-end. C'était un cauchemar. [00:03:33] Speaker B: Il y avait plein plein de gens et puis voilà. Après je suis allé dîner dans un restaurant de cuisine française mélangé à la cuisine mexicaine. C'était un concept, mais c'était hyper bon. The funny chef ! Tout s'est très bien passé à Posteriori, donc on passe jusqu'ici. [00:03:51] Speaker A: Posteriori, c'est par rapport à ton postérieur ? [00:03:53] Speaker B: Non, c'est jusqu'à maintenant. [00:03:56] Speaker A: Et vous, vous avez fait quoi ce week-end, cette semaine ? Dites-nous en commentaire, comme ça on sait. [00:04:01] Speaker B: Soit dans Le Chemelon Direct, soit en commentaire effectivement sur notre YouTube si vous regardez. On sera un petit peu au courant. N'hésitez pas à nous raconter votre life parce qu'on aime bien réagir à ce genre de choses, plus aux commentaires méchants ou même gentils parce qu'on vous aime beaucoup, on vous fait des petits cœurs. Ce soir nous allons recevoir un invité qui va nous prouver que lorsque on aime le métal à fond et qu'on va dans des festivals et qu'on va dans des concerts, on peut faire un métier que les gens pensent réserver à d'autres qui écoutent par exemple de la musique classique, j'imagine les vieux en train de dire oui c'est pas possible dans le métal on fait de la bière et puis on se tape des bières vides dans la gueule. C'est un peu cliché mais bon c'est un peu ça. Et bien nous allons recevoir, alors j'espère que je dis bien le nom, Vincent Pella, un super goût. Non voilà, il sera là pour donc nous parler de son métier, chef cuisinier et bien sûr du monde du métal, comment il a découvert, etc. Vous connaissez le concept de l'émission. Sinon, cette semaine, nous avons fait quand même quelque chose qui a été assez agréable. Oui, tout à fait. J'avais très peur, j'avoue. Pourtant, on est habitué à faire des interviews, mais j'avais quand même très très peur. On a été faire l'interview de Architects, puisqu'ils sortent un album à la fin du mois de février, que nous allons célébrer bien sûr ici sur l'antenne et sur notre chaîne YouTube, donc c'est important de vous abonner. Clic, clic, c'est gratuit. Et on a fait une interview avec Sam Carter. [00:05:30] Speaker A: Voilà, le chanteur, tout simplement. [00:05:32] Speaker B: C'était mon doigt, c'était pas un... Ok ? Là-bas, les fantômes. Et Sam Carter... [00:05:39] Speaker A: Je sais pas à qui tu parles. [00:05:39] Speaker B: Tu me sens gêné. [00:05:40] Speaker A: On n'est que tous les deux, je comprends pas à qui tu parles. Donc on a fait l'interview de Sam Carter, le chanteur de Architects, qui nous a laissé quand même plus de 35. [00:05:49] Speaker B: Minutes avec lui, alors qu'on devait en. [00:05:52] Speaker A: Avoir 20 en gros. Du coup, apparemment, il était content. On a parlé de plein de choses hyper intéressantes. On a parlé un peu du nouvel album, mais aussi de son rapport avec cette musique et tout ça. C'était hyper sympa. [00:06:04] Speaker B: De sa vie personnelle, de comment travaille son chant. [00:06:07] Speaker A: Son organe. [00:06:09] Speaker B: C'est ce que j'avais écrit sur ma fiche, organe. [00:06:13] Speaker A: Non, c'était hyper intéressant, on est très impatients de vous partager ça. [00:06:16] Speaker B: Voilà, ce sera sur notre chaîne YouTube, donc il faut vraiment y aller et vous abonner encore une fois, c'est gratuit. Vous tapez, point d'exclamation, bang, dans le ch'meule. Du coup, je me suis dit que c'était plutôt pas mal de passer le dernier clip. de Architects. [00:06:28] Speaker A: En plus il est... [00:06:30] Speaker B: Il envoie. [00:06:30] Speaker A: Il envoie le titre. [00:06:31] Speaker B: Il envoie, le clip est plutôt joli. C'est la même personne qui a fait les clips de Falling In Reverse qui. [00:06:36] Speaker A: A fait ce clip. [00:06:38] Speaker B: Donc voilà, un peu moins too much mais quand même beaucoup beaucoup de choses à regarder. Il est bien, c'est pas mal. Et la chanson est bonne. [00:06:46] Speaker A: Très sympa. [00:06:46] Speaker B: L'album est très bien d'ailleurs. Sachez que vous avez les morceaux les plus péchus et qu'il y en a d'autres qui arrivent. mi-pêchu, mi-mouligas d'après ceux qui aiment la violence. Moi j'aime beaucoup ceux qui sont plus délicats, plus soft, plus radiophoniques. Vous allez avoir beaucoup de surprises. Mais c'est un excellent album que je vous conseille de mettre dans vos favoris d'ores et déjà sur les plateformes d'écoute pour ne pas le rater. [00:07:07] Speaker A: On y va ? [00:07:08] Speaker B: C'est parti les bangers avec donc Architects et Black Hole. [00:08:11] Speaker C: MERDE ! C'est quoi ce bordel ? C'est parti pour le tour du monde ! C'est parti pour le tour du monde ! A l'aide ! A l'aide ! A l'aide ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:13:57] Speaker D: I. [00:13:57] Speaker B: Don'T know what to tell you. Every day is a good day. And don't forget, people who don't like. [00:14:05] Speaker E: Me, fuck they back. [00:14:06] Speaker B: Oh, on n'a pas eu la fin de la phrase qui dit, et pour les personnes qui ne m'aiment pas, fuck you. Ça, ça a coupé un peu avant. Désolé, c'est moi qui ai fait cette petite erreur. Mais ce que nous venons de regarder et d'écouter, c'était très, très bon. C'est un choix de votre part, mon professeur. [00:14:21] Speaker E: Oui, Pierre. [00:14:21] Speaker A: C'est un petit artiste canadien qui vient de la scène DIY de Toronto. J'ai trouvé ça super bien, d'ailleurs c'est lui qui fait les clips et tout, ça se voit. Il fait beaucoup de trucs un peu en vidéo, un peu VHS, DV, machin. Et je suis tombé là-dessus, j'ai trouvé ça super bien, ça m'a fait penser à notre chère Aurélie, quand je l'ai écoutée d'abord, et du coup je lui ai envoyé, elle a validé instantanément. [00:14:53] Speaker B: On lui fait des bisous d'ailleurs. [00:14:54] Speaker A: Bah bien sûr. Et du coup je me dis, si ça passait le contrôle qualité, ça pouvait arriver dans l'émission. Et pour vous dire, il a genre moins de 7000 auditeurs mensuels sur Spotify. [00:15:05] Speaker B: C'est hyper bien produit quand même, le truc est quand même super bien. [00:15:08] Speaker A: Bah ouais, je sais pas trop, c'est son deuxième album. Il en a sorti un en 2022, celui-là il est sorti en 2024. Et il n'a que 15 ans ! Je pense qu'il n'est pas très vieux, il s'appelle Matteo, de son petit prénom, mais son nom d'artiste c'est Do Flame, et l'album s'appelle Bent. Ecoutez-le, cette chanson représente assez bien mais il y a plus de variété sur l'album, il y a des trucs un peu plus Il y a toujours un peu cet esprit un peu punk. [00:15:36] Speaker B: C'est dansant, c'est groove, c'est bien. [00:15:38] Speaker A: Ouais, voilà. Franchement, c'est très sympa. [00:15:40] Speaker B: C'est good fun. [00:15:41] Speaker A: C'est good fun, exactement. Pour les gens les plus ringards. [00:15:45] Speaker B: Ouh là là. Quoi ? Je regarde tout ça. [00:15:47] Speaker A: Mais Pierre, t'as pas d'autre, Pierre ? [00:15:49] Speaker B: Mais si, c'est une autre sorte. [00:15:50] Speaker A: C'est la montre de Wonder Woman. Mais non, mais tu mens, c'est ta peau. [00:15:53] Speaker B: Et dans ma peau, tu sais quelle. [00:15:54] Speaker A: Heure il est ? Non, je vois pas ce que tu veux dire, Pierre, mais en tout cas, là, ce qui est sûr, c'est que... [00:15:59] Speaker B: Le faux départ ! [00:16:00] Speaker A: C'est que de la peau, là, y'a pas de... Bon, ta gueule ! [00:16:03] Speaker C: C'EST L'HEURE DU FLASHBACK ! [00:16:09] Speaker B: Evidemment, à cette heure-là, c'est le rendez-vous que vous attendez avec Didier, bonsoir ! [00:16:16] Speaker E: Gilles Debray ? Gilles Debray, Ben ! [00:16:18] Speaker A: Gilles Debray ? [00:16:19] Speaker E: Gilles Debray, Amélie ! [00:16:21] Speaker B: Odile Deray ! Ah, Odile Deray maintenant ! [00:16:23] Speaker A: Ça allait beaucoup plus loin que ce que j'imaginais ! [00:16:25] Speaker B: Bonsoir Amélie, qui va nous accompagner pendant cette émission. Tu as le droit de dire ce que tu veux aussi pendant les news. Tu peux faire une critique, tu peux faire un commentaire. [00:16:33] Speaker A: Tu lèves la main et on ne donnera pas la parole. [00:16:38] Speaker B: Bon, mon petit Didier, est-ce qu'il s'est passé des choses dans le monde ? [00:16:40] Speaker E: Excusez-moi, mais vous êtes drôlement élégant avec cette chemise gris français. [00:16:44] Speaker B: Ah merci, je vous en remercie. [00:16:45] Speaker E: On ne vous reconnaît presque pas. [00:16:47] Speaker B: Si, parce que j'ai quand même tous mes boutons, mais ça, ça ne se voit pas trop. [00:16:51] Speaker A: Non, parce que surtout que là, on ne voit que Didier à la caméra. Pour le coup, ça ne se voit vraiment pas. [00:16:57] Speaker B: Et on remerciera Marcel qui est en train de faire des acrobaties derrière la caméra. [00:17:00] Speaker A: Vous avez vu les vidéos des photographes ninjas ? C'est ce que Marcel est en train de faire. [00:17:05] Speaker E: Une baroulade et hop ! [00:17:07] Speaker B: Très beau pull au passage aussi que les gens n'ont pas trop vu à cause de ta planche de la réalisation. [00:17:12] Speaker A: Ah mais c'est les Cosmo Cats ? [00:17:13] Speaker B: Bah alors ouais là il est vraiment Cosmo. [00:17:17] Speaker A: Là il fallait mettre le plan Serré-Marsal pour... [00:17:18] Speaker B: Voilà. En fait t'as plus besoin d'appuyer mais il faut que tu dises. C'est quand même fort la technologie. [00:17:29] Speaker A: C'est la commande vocale. [00:17:34] Speaker B: Plot large ! Ah non, ça marche pas très très bien. Ça marche pas tout de suite. [00:17:36] Speaker E: Les idées hongroises, c'est pas ça. [00:17:39] Speaker A: Faut que j'apprenne à parler hongrois, mais le seul truc que je sais dire c'est « au ton t'y couche ma gargrinda ». [00:17:44] Speaker B: Voilà, on laissera tous les hongrois traduire ce que nous venons de dire. Alors qu'est-ce qui s'est passé ? [00:17:49] Speaker E: Alors on va commencer avec une petite news Voici du métal. Voici System Of A Down, comme on nous l'a dit en commentaire. Alors, c'est Lizzy Hale qui raconte avoir largué un date qui s'était endormi à un concert de toule avec elle. Ah, t'as entendu parler de ça ? [00:18:04] Speaker A: Non. [00:18:05] Speaker F: Ah si, ouais. [00:18:05] Speaker E: Alors en gros, elle était très jeune et son frère, il n'arrêtait pas d'écouter un titre qui venait de sortir de Tool. Et pour son anniversaire, du coup, elle lui a acheté l'album et ils se sont mis à l'écouter tous les deux à fond et ils sont devenus super fans. Elle, elle était serveuse à l'époque et quand elle a vu que le Tool passait dans sa ville, elle a balancé son salaire de serveuse pour acheter deux places pour son frère et elle. Sauf que son frère, je ne sais pas quelle connerie il avait fait, mais il s'est fait punir, il n'a pas eu le droit d'y aller. Donc on est vraiment dans le top. [00:18:36] Speaker B: Du top du voici du matin. [00:18:38] Speaker E: Du coup, elle a invité son crush du moment à y aller. [00:18:44] Speaker A: À y aller, c'est son nom ? [00:18:45] Speaker E: Oui, c'est ça. Boris à y aller. [00:18:47] Speaker A: D'accord. [00:18:49] Speaker B: C'est bien, on peut continuer. [00:18:52] Speaker E: Pendant le concert, elle, elle était à fond, elle connaissait les trucs par cœur, elle buvait les paroles, elle chantait en même temps que le groupe et tout. Et au milieu du concert, elle se retourne, elle regarde son mec et en fait, il s'était endormi. [00:19:04] Speaker B: Et là, elle s'est dit que du. [00:19:06] Speaker E: Coup, il n'en valait pas la peine. Depuis, c'est devenu une vanne récurrente avec son frère. Moi, je ne me serais pas endormi si je n'avais pas été puni, mais en tout cas, elle, elle dit que c'est vraiment devenu un red flag. Genre, si elle a un date et le mec, il n'aime pas tout, c'est mort. Donc, du coup, c'est clair et net que je ne me ferais jamais Lizzie Hale, vu que je déteste tout et que ça me fait chier à mourir et que je m'endormirais probablement dès le premier titre. Donc dans les 30 premières minutes. [00:19:33] Speaker F: Déjà, tu vas pas aux dates, quoi. [00:19:36] Speaker B: Ouais, non, ouais. [00:19:37] Speaker A: De base. En tout cas, on lui souhaite tout le bonheur du monde. [00:19:40] Speaker E: Pour aujourd'hui et pour demain. [00:19:43] Speaker B: Voilà, on s'arrêtera là. Très bien, en tout cas, on la félicite. C'est pour ça qu'elle est toujours célibataire. Ensuite... [00:19:49] Speaker E: Alors, on enchaîne avec... Non, j'en sais strictement rien. [00:19:52] Speaker B: Non, mais c'est bon, on s'en fout. [00:19:53] Speaker E: On enchaîne avec Nita Strauss. la guitariste connue pour son travail avec Alice Cooper ou avec Demi Lovato, qui a récemment fait des commentaires percutants sur la communauté rock et metal. Alors, bien qu'elle se considère comme faisant partie de cet univers qu'elle décrit comme son foyer, Strauss n'a pas hésité à dénoncer une tendance qu'elle observe, une résistance aux changements et une attitude de protractrice excessive. Donc, en gros, En fait, elle regarde Bang Bang, ou en tout cas, elle lit nos commentaires sur Instagram. Parce qu'elle dit vraiment, le métal est mon foyer, mais certains fans sont vraiment des gros bébés pleurnichards. Elle parle de moi ? Non, elle parle des fans de Slipknot, j'ai l'impression. Les fans de Slipknot qui commentent sur notre Instagram. Nita, bienvenue sur Bang Bang, viens quand tu veux, et puis laisse des commentaires quand tu veux sur Instagram. Ne te gêne pas, nous on te défendra contre les bébés pleurnichards. [00:20:54] Speaker B: Ok, bravo Strauss. [00:21:03] Speaker E: On enchaîne avec un vieux copain à nous, David Moutarde. Dave Mustaine et sa famille qui se lancent dans des excursions luxueuses avec House of Mustaine, leur marque de vin. En fait, ils avaient déjà créé une marque de vin House of Mustaine. [00:21:18] Speaker B: D'accord. [00:21:19] Speaker E: Déjà, c'est classe. Je pense qu'il ne gagnait vraiment pas assez d'argent. Du coup, il continue d'explorer des nouvelles manières de faire de la moula. Cette fois-ci, donc avec cette marque de vin. Outre des vins exclusifs, la marque propose désormais des voyages luxueux dans le monde entier et des événements exclusifs alliant aventure, gastronomie et bien sûr vin. En plus, ça correspond un peu avec notre invité de ce soir. [00:21:47] Speaker A: Je suis sûr que c'est que des gens qui s'inscrivent juste pour le rencontrer et qui payent une blinde et qui. [00:21:52] Speaker E: Boivent du vin et font « c'est délicieux ! [00:21:55] Speaker B: » « Ah, c'est du vin de cuisine, pardon ! [00:21:58] Speaker E: » Là, tu viens de me niquer à la fin de ma news, mais c'est… Alors, je vais vous donner les programmes des prochains trucs. Alors, février, là c'est Thaïlande, alors 6 jours d'activités comme la tyrolienne, les safaris avec les éléphants, du rafting en eau vive et des dégustations culinaires locales. [00:22:16] Speaker B: Tout ça avec David Moutarde ? [00:22:18] Speaker E: Londres en mars, c'est une aventure dans un train de type Murder Mystery et une tournée culinaire. En avril, c'est Maroc, avec excursions à Doceamo, expériences gastronomiques marocaines et vols à Montgolfière. D'autres destinations sont prévues, Italie, France, Kenya, Irlande, Islande et plus encore. Alors ces voyages incluent hébergement luxueux et des moments privilégiés avec les Mustangs. C'est une expérience inoubliable et passionnée de vin et de musique. C'est du génie. Donc on a un mix entre une marque de vin, une agence de voyage et du meet and greet de concert où tu raques juste pour passer du temps avec un star. [00:23:00] Speaker A: David Moutard sur un jet ski ? [00:23:09] Speaker E: C'est vrai qu'il pourrait potentiellement... [00:23:10] Speaker A: Pour ceux qui n'ont pas entendu, est-ce qu'il y a une collab prévue avec le chanteur de Toul qui a aussi son vin. [00:23:14] Speaker E: Qui a son vignoble, bah écoute, peut-être. [00:23:16] Speaker B: Qui maintenant est distribué en France, ça y est. Apparemment, toujours aucune bouteille d'été. [00:23:23] Speaker E: Mais en tout cas, ce qui me. [00:23:24] Speaker A: Met la puce à l'oreille sur l'arnaque, c'est quand même aller en Thaïlande pour faire de la tyrolienne. Excuse-moi. Je ne suis pas expert en géographie. [00:23:33] Speaker E: En plus, les trucs tyrolienne, safari à dos d'éléphant, c'est vraiment les trucs de touristes de base. En fait, on est juste sur un peu les croisières métal, mais le niveau au-dessus, pour ceux qui ont plus de thunes encore, pour qu'il y ait moins de monde. Juste, si tu veux picoler et manger un bout avec Dave Mustaine, qui va te dire du mal de l'arthrique pendant deux heures. [00:23:53] Speaker B: Ah ouais, c'est ça qu'il va pleurer. On va envoyer l'autre qui va lui dire de chialer. [00:23:58] Speaker A: C'est pour ça que c'est avec sa famille. Comme ça, il y a sa femme qui fait non. Il va se reposer. [00:24:02] Speaker E: Alors apparemment, sa fille est sommelière quand même. [00:24:06] Speaker A: Ah ouais, ça ne veut rien dire. [00:24:08] Speaker E: Ça se trouve, elle a fait un stage de 2 semaines. [00:24:11] Speaker B: Connard. [00:24:14] Speaker F: N'empêche c'est une bonne idée le mec il fait payer les gens ses propres. [00:24:17] Speaker A: Vacances avec toute sa famille quoi. C'est bien plus malin. [00:24:21] Speaker E: Dave Mustaine est un gros malin c'est sûr. Du coup je propose pas qu'on se regarde un clip de Megadeth. [00:24:30] Speaker B: Il fait pas un safari sur Dijon ? Oh pardon, excusez-moi. [00:24:34] Speaker E: Créteil... Créteil Soleil ? Venez tester les meilleurs fast-foods de Créteil Soleil avec Dave Mustaine. [00:24:41] Speaker B: Ça, ce serait marrant au moins. [00:24:42] Speaker A: Ils ont encore un quick là-bas. [00:24:46] Speaker E: Je suis pas sûr, mais peut-être avec un groupe français. [00:24:50] Speaker B: Voilà, prenez en de la graine dans les groupes prosses. [00:24:52] Speaker A: La graine de moutarde ! [00:24:54] Speaker B: Bon alors on regarde quoi du coup ? Pas David Moutarde. [00:24:56] Speaker E: Je propose, j'ai regardé les nouveautés qui sont sorties vendredi en clip et du coup j'ai sélectionné des nouveautés donc là j'ai pris Fox Lake avec Cold Hard Truth. [00:25:07] Speaker B: Voilà, parce qu'on n'a pas envie de passer Megadeth. [00:25:09] Speaker E: Parce que non, il se fait suffisamment d'argent, on ne va pas lui rajouter un peu de sasem non plus. [00:25:13] Speaker B: Ah bah oui, c'est sûr. [00:25:15] Speaker A: Parce que nous, là, sasem... Clac, clac, clac, clac. [00:25:18] Speaker B: Et donc on regarde ce Fox Lake choisi par notre ami Didi. [00:25:57] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org ... ... ... ... ... ... ... [00:28:01] Speaker B: C'était pas mal, dis donc cette fin je m'attendais pas. [00:28:05] Speaker A: C'est bizarre d'avoir mis un ro dans leur... [00:28:07] Speaker B: Mais ça c'est le côté punk, c'est le côté destroy, c'est le côté I don't care about it. I'm just a rocker. What the fuck. C'était pas mal, je connaissais pas, merci Didi d'avoir choisi Fox Lake, le lac des loups ? Non, des renards. Ah, ben d'où le ro, c'est parce qu'il voulait pas mettre un P du coup. C'est parce qu'il lâche un renard. Dans tous les cas, vous pourrez retrouver toutes les playlists des chansons sur notre chaîne YouTube si jamais vous cherchez, parce que je sais qu'il y en a certains qui ont dit « c'est dommage que t'aies pas les playlists ». Elles sont déjà sur notre chaîne YouTube. [00:28:42] Speaker A: C'est écrit en dessous. [00:28:43] Speaker B: Voilà, tout simplement. Mandidi, quoi d'autre ? [00:28:47] Speaker E: On continue encore avec une petite news Voici du Metal ? Ah oui ! C'est les musiciens Marek Shmerda A la guitare, à moitié merde, à moitié smegta, donc smegma. [00:29:00] Speaker A: Moi je dis rien, rien. [00:29:05] Speaker E: Zoé, Federov au clavier qui sont donc du groupe Cradle of Filth et qui ont célébré leur mariage. [00:29:12] Speaker A: Du coup, ils ont gardé quel nom ? [00:29:15] Speaker E: Je ne sais pas. Du coup, Schmerda. Après, peut-être qu'elle va garder son nom d'artiste. Mais en tout cas, ils jouent tous les deux dans Craddle et ils sont mariés à Tucson, en Arizona, entourés de leur famille et amis proches, dont Danny Filf, le chanteur emblématique du groupe. [00:29:33] Speaker B: Et du coup, tu n'es pas obligé. [00:29:34] Speaker E: D'Inviter ton patron quand tu n'arrives non plus. [00:29:36] Speaker A: C'est vrai, mais c'est sympa. J'espère qu'il a fait un petit discours et tout. [00:29:40] Speaker E: J'espère qu'il a dû... [00:29:42] Speaker B: J'espère qu'il a dû les saouler en. [00:29:44] Speaker E: Disant « Ouais, vous allez voir mon duo qui va bientôt sortir depuis 2 ans ». [00:29:51] Speaker A: Il les a saoulés, je pense que c'est lui qui s'est saoulé tout seul. [00:29:55] Speaker B: Mais je sais pas s'il n'est pas devenu sober. Bah je sais pas moi. [00:29:59] Speaker A: En tout cas on lui souhaite tout. [00:30:00] Speaker B: Le bonheur du monde. Pour aujourd'hui comme pour demain. Mais c'est quelqu'un qui est très gentil ce Cidio. [00:30:06] Speaker A: Oui et puis c'est bien que le chemin ait qu'à l'arciste l'ombre. [00:30:11] Speaker B: Et d'ailleurs, c'est un duo qui arrive aussi avec... [00:30:15] Speaker E: Tu vas putain de trop loin. [00:30:17] Speaker B: Bon bah en tout cas, on les félicite et puis on leur souhaite tous nos voeux de bonheur. [00:30:20] Speaker A: Oui, tout le bonheur du monde ! [00:30:22] Speaker E: Alors, on enchaîne avec une violente guerre verbale qui a éclaté une fois de plus entre les membres actuels et anciens membres du groupe Il Ninho. [00:30:33] Speaker B: Ah, encore ? [00:30:33] Speaker E: Ça a vraiment chauffé très dur ce groupe. [00:30:36] Speaker A: Oh là là, attention, les mots ! [00:30:38] Speaker E: Sur X, sur Instagram, et ça volait très haut. [00:30:42] Speaker B: Que s'est-il donc passé ? [00:30:43] Speaker E: Il y a un message récemment partagé par l'ancien chanteur du groupe, Marcos Lil, qui a déclenché cette nouvelle altercation houleuse qui s'est déroulée entre lui et le guitariste du groupe, Jez De Hoyos. Donc en gros, Lil voulait parler d'un EP qui a été en partie enregistré avec lui et qui aura dû sortir l'année dernière. Et du coup, il disait et il reprochait à De Hoyos de bloquer la sortie du projet et de dire que de toute manière, même s'ils le sortent, ils vont le balancer comme ça sans faire de promo pour que ça passe inaperçu. Après là je vous balance pas toutes les messages. Tu fais bien là, tu fais bien. [00:31:21] Speaker A: Parce que déjà c'est un groupe qu'on a pas grand chose à foutre. [00:31:27] Speaker B: J'ai senti le désintérêt dès le début de la news. [00:31:30] Speaker A: Bah c'est-à-dire qu'ici, dans cette pièce, il n'y a qu'une seule personne qui fait des nignos. [00:31:35] Speaker B: J'ai même un autographe. On en parlait il y a trois jours. [00:31:40] Speaker E: Il y a Des Hoyos qui répond que Lil n'a jamais été un bon fondateur, que de toute manière c'est qu'un mec qui fait HFA, il fait des remplacements, il ne fait jamais partie d'un vrai groupe, qu'il a sous-tiré du fric dans le dos du groupe en les mettant dans la merde. qu'apparemment il y a un autre gratteux dans le groupe qui avait fait une cure de Désintox et que du coup, non mais Lil, il dit qu'on fait une tournée où personne ne boit pour l'aider et apparemment Lil aurait refusé, il aurait fait non rien à foutre J'aime. [00:32:13] Speaker A: Trop la tequila J'aime trop la tequila. [00:32:14] Speaker E: Voilà Et il rajoute que pour le fameux EP qu'ils veulent sortir, ils disent que les titres où on entend Lil, en fait ils sont plutôt gênants Et que Lil devrait arrêter de se présenter pour ses nouveaux projets en disant « l'ancien chanteur de Il Ninho ». Et donc là, Lil a répondu en disant qu'il était toujours en bon terme avec tous les groupes où il a été monde fondateur. et que c'est De Oyo, ce qui n'est qu'un remplaçant, mais c'était nul à chier. Mais de toute manière, toi t'es le guitariste du groupe, parce qu'en gros, le premier guitariste du groupe, maintenant, il est devenu trop connu, il est trop cher pour rester dans le groupe, donc c'est pour ça... En tout temps se balançant des insultes, en mettant des photos en disant C'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi. [00:33:03] Speaker B: Qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui. [00:33:03] Speaker E: T'Ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer. [00:33:10] Speaker A: C'Est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi. [00:33:13] Speaker B: Qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait. [00:33:18] Speaker E: Rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai fait rentrer, c'est moi qui t'ai Depuis qu'il y a la controverse autour de la tournée avec Dems, Gavin Dems, qui s'intensifie un peu là. Je ne sais pas si vous avez suivi, c'est qu'en gros il y a des troubles ont commencé à émerger chez See You Space Cowboys depuis l'inclusion du groupe dans une prochaine tournée dirigée par Dems, Gavin Dems. Et certains fans ont accusé le groupe See You Space Cowboys d'hypocrisie. étant donné le passé trouble de Dems-Gavid Dems avec des allégations d'inconduite sexuelle contre leur chanteur, qui du coup a fait une cure de Désintox et qui a été réintégrée dans le groupe, et qui est reparti depuis. En tout cas, on dit là vous allez faire un truc avec eux. Alors que l'année dernière, vous organisiez une tournée avec je ne sais plus quel groupe et que vous avez viré parce qu'il y avait un des membres qui avait eu des allégations de violences domestiques et d'agressions sexuelles. Le mec avait été viré, mais vous avez quand même viré le groupe de la tournée. Et là, vous vous mettez sur une tournée avec un groupe aussi problématique. [00:34:38] Speaker B: Ils ont répondu ? [00:34:39] Speaker E: Suite à ces retours, la chanteuse, justement, elle dit qu'en gros, on ne l'écoute pas dans le groupe et qu'elle aimerait ne pas faire la tournée à cause de ça, mais que les autres membres du groupe ne l'écoutent pas et qu'elle envisage de quitter le groupe. [00:34:55] Speaker A: C'est compliqué. [00:35:01] Speaker E: Donc apparemment elle a quitté le groupe de Pi et là-dessus, notre bon vieux Ronnie s'en est melé. Donc il avait déjà eu des échanges houleux avec Connie les années précédentes, justement, sur des causes comme ça. Et donc là, il a écrit sur X, « Non, en fait, tu soutiens ça. J'ai vu des captures d'écran et des textos au groupe. En plus, pour cette tournée, tu vas gagner 100 000 dollars. Donc, espèce de putain de poser... » Enfin, il a dit tout un tas de gros mots pas très gentils. « Lâche la tournée si tu soutiens pas le principe. Ah ben non, en fait, je crois que t'as besoin de 100 000 dollars. Et il a commencé vraiment à l'enchaîner, et là du coup il a commencé à envoyer des messages au groupe en disant « Eh, ça vous dit pas qu'on enregistre un titre ensemble avec moi comme chanteur ? Et comme ça vous pourrez le jouer sur scène ? » Et puis il a fait « Non mais, et vous savez quoi ? Qu'elle se barre du groupe et moi je fais la tournée avec vous gratos ! [00:36:07] Speaker B: » Oh le troll de l'enfer ! [00:36:10] Speaker E: C'est vraiment le troll de l'enfer pour défendre les agresseurs sexuels. [00:36:17] Speaker B: Présumé ! [00:36:18] Speaker E: On rappelle qu'il était quand même à l'anniversaire de Marilyn Manson. [00:36:21] Speaker A: Oui, il y a plein de gens qui étaient à l'anniversaire de Marilyn Manson. [00:36:25] Speaker B: Oui, et plein de gens qui n'ont pas été mis sur les photos, mais qui étaient, et puis qui sont des gens qui disent qu'ils sont contre les agresseurs aussi, donc... Bon. [00:36:32] Speaker A: Bon après moi j'aime pas Marilyn Manson. [00:36:33] Speaker B: Je m'en fous, mais... Ils sont pas sur les photos, c'est tout. Mais ils étaient bien là. Même pas ? [00:36:38] Speaker A: Très, très nord. [00:36:40] Speaker B: Oh oh ! Oh oh ! [00:36:45] Speaker A: Je pense que là, ça va annuler la tournée de Daniel Stelz qui vient d'être annoncée. [00:36:50] Speaker B: Sacré petit escargot. Oui bah écoute c'est marrant, c'est de la merde mais on s'en fout. En fait c'est des histoires à la con. [00:36:57] Speaker A: Non mais en tout cas Roni il est toujours là pour mettre de l'huile sur le feu quoi. [00:37:02] Speaker E: Dès qu'il y a un feu, lui il a son petit bidon d'huile et il envoie. [00:37:05] Speaker B: Et qu'est-ce qu'il ferait si vraiment le groupe disait... Ok... [00:37:08] Speaker A: Je pense qu'il le ferait. [00:37:09] Speaker B: Tu penses qu'il le ferait vraiment ? [00:37:10] Speaker E: Je pense qu'il en a rien à foutre. [00:37:11] Speaker B: Tu me diras, il n'y a pas de tranquille. [00:37:14] Speaker A: Oui, puis je pense que lui, ça le fait... En fait, ça fait tellement parler que lui, il le fait. [00:37:20] Speaker E: De toute manière, il fonctionne surtout grâce au buzz aussi. [00:37:23] Speaker B: Oui. [00:37:24] Speaker A: Après, les chansons sont quand même pas mal. [00:37:27] Speaker E: Oui, oui, mais je veux dire, c'est toute sa vie sur les réseaux sociaux. Enfin, c'est vraiment que du troll et. [00:37:34] Speaker D: Du... [00:37:36] Speaker B: Bon, écoute, c'était amusant. [00:37:38] Speaker E: Avec une dernière petite news, du coup, c'est le légendaire groupe de thrash metal de la Béhéria Exodus qui a annoncé la fin de sa... [00:37:46] Speaker A: Le groupe qui avait pour guitariste Kirk Hammett avant qu'il parte dans Metallica. [00:37:51] Speaker E: Ils ont annoncé la fin de leur collaboration avec le chanteur Steve Zetro Sousa et le retour de Rob Dukes, leur ancien frontman. [00:37:59] Speaker A: D'accord. [00:38:00] Speaker B: Il est quel âge ? [00:38:00] Speaker E: Il est vieux. [00:38:03] Speaker B: J'en attendais pas. [00:38:09] Speaker A: Moi quand même ! [00:38:10] Speaker E: C'est les bonus ! À plus, 30 ans ! Je suis pas dans les petits papiers, mais ils disent merci de tout ce que t'as fait pour nous. En tout cas sur les réseaux sociaux, c'est pas... Oui, ça a été poli. Non, ils n'ont pas fait une Deftones. Ils l'ont pas viré, ça n'a rien à dire, c'est qu'ils le remercient pour tout et ils annoncent le retour de leur ancien chanteur. [00:38:26] Speaker A: Après, dans Deftones, ils ont viré personne, il faisait pas partie du groupe. Le vrai problème c'est qu'il faisait pas partie du groupe au bout de 15 ans, mais bon... [00:38:35] Speaker E: Alors qu'il aidait à la composition... Oui. [00:38:37] Speaker A: Ça arrive à plein de gens bien. [00:38:38] Speaker B: C'est un détail. [00:38:39] Speaker A: Il y a plein de gens. [00:38:40] Speaker E: Méfie-toi Pierre, méfie-toi. [00:38:44] Speaker A: Non, c'est moi qui me ferais jeter. [00:38:48] Speaker B: Je pensais à Marcel, mais bon après, comme il est pas là, il faudrait pas le faire dans son dos. [00:38:53] Speaker E: En tout cas... Oh. [00:38:56] Speaker B: L'Ia s'est réveillé ! [00:38:59] Speaker A: Authentique ou ch'maguière, garenda ? [00:39:02] Speaker E: En tout cas, c'est tout pour moi cette semaine. [00:39:03] Speaker B: C'est gentil, djinkouye barzo. [00:39:06] Speaker E: Djinkouye barzo, Pierre. [00:39:08] Speaker A: Djinkouye barjo. [00:39:09] Speaker B: Même si je le dis extrêmement mal, mais c'est pas grave. [00:39:11] Speaker F: Djinkouye. [00:39:12] Speaker B: Voilà. [00:39:12] Speaker A: Ah bah si, barjo aussi. [00:39:15] Speaker B: Barjo. Et du coup, on passe à un clip de Falling in Reverse ? [00:39:20] Speaker E: Bah non, parce que du coup, pareil, j'ai pas envie de mettre un clip d'Exodus. Et donc là, dans les nouveautés, il y a un clip de Salah Eva en feat avec Peyton Parrish. [00:39:31] Speaker B: Pardon ? [00:39:32] Speaker E: Saliva ? [00:39:33] Speaker B: Ah oui, Saliva. [00:39:34] Speaker A: Putain, je savais pas que ça existait encore ça. [00:39:36] Speaker B: Bah y'a peut-être qu'une personne de Saliva qui est là encore. [00:39:40] Speaker E: Non bah c'est plutôt... Ah c'est pas les invités d'accord. C'est plutôt Payton l'invité. [00:39:46] Speaker B: Ok, ok. On va regarder ça et le titre c'est Time Bomb. Ça va être très bien parce que c'est ton choix Didi et on te retrouve la semaine prochaine. Je rappelle à tout le monde que vous pourrez retrouver dès demain aux alentours de 17-19h toutes ces news en VOD sur notre chaîne YouTube. Donc si vous avez loupé quelque chose, vous allez pouvoir tout retrouver là-dessus. Voilà, point d'exclamation, bang, pour nous rejoindre. Merci Didi, à la semaine prochaine ! [00:40:10] Speaker E: À la semaine prochaine ! [00:40:11] Speaker C: Bisous, bisous ! Avec le poids du monde sur mon poitrine Je me bats jusqu'à ce que mon esprit ne reste jamais Ils voient un masque, mais jamais la douleur que j'investis Avec chaque ligne, chaque rime, chaque fois que je me confesse, ils me disent Chose pour l'argent, mais rien n'est gratuit Et chaque moment et le temps est une chance à atteindre Je me lève, peu importe la merde que tu crois Je ne meurs pas pour toi, je vis juste pour moi Tu lèves ma fusée, je compte 3, 2, 1 J'ai pris ma peinture à bois et je suis prêt, DEFCON J'ai cassé le rythme que tu chases et maintenant je suis tout perdu J'ai dû perdre, j'ai dû tomber Juste pour ouvrir mes yeux J'ai dû briser ces chaînes Juste pour revenir en vie Quand ils brûlent et abusent Je garde mon œil sur le prix Donc les blessures que je porte Donnent-moi une raison de me battre, tu sais Tu veux dire ça à mon visage maintenant Mais tu ne gardes jamais la vérité à l'intérieur Tu veux goûter un petit pin, ouais Tu veux dire ça à mon visage, viens, viens, ouais Je m'en vais comme une bombe de. [00:41:38] Speaker B: Temps. [00:42:26] Speaker C: C'est parti ! [00:43:05] Speaker A: J'ai besoin d'aide. [00:43:08] Speaker B: Mon ami... Il s'est fait tuer. [00:43:17] Speaker F: Il le fait souvent. [00:43:18] Speaker C: Combien de temps ça va prendre ? Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:45:58] Speaker B: Et. [00:46:46] Speaker C: C'est bon. [00:47:54] Speaker B: Un peu de prévention encore une fois avec ce genre de clip dans Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, comme tous les dimanche soir, c'est en live Twitch. Dites-le à tous vos amis, toutes ceux qui sont fans tout simplement de ce genre musical, de nous rejoindre, de liker les pages, ça nous soutient et ça fera en sorte que cette émission puisse continuer à exister, puisque nous sommes là non pas pour gagner de l'argent, parce que sinon on le ferait pas, mais plutôt pour défendre un genre musical qui nous a beaucoup beaucoup aidé dans la vie. Et là, on a bien vu qu'a priori... Beaucoup aidé ! Bah pour moi en tout cas. Chacun son truc. En tout cas voilà, le clip était très très beau et comme j'aime beaucoup Mogwai, je conseille à tout le monde de se jeter sur la discographie du groupe qui n'est pas forcément tout le temps facile à écouter, mais qui est très intéressante. Tout à fait. De la musique de qualité. Et des gens un petit peu trop intellectuels quand j'ai parlé avec eux, mais peut-être que c'est juste que je suis. [00:48:46] Speaker A: Pas un petit peu con. T'es pas un petit peu con ? Ah non, t'es très con toi. Arrête de te sous-estimer comme ça. [00:48:52] Speaker B: C'est vrai, je me mets jamais à 100 par contre. Bon, il est l'heure de... Oui, pardon ? [00:48:57] Speaker A: Non, je veux dire, s'il y a bien un truc que tu fais bien, c'est ça. [00:48:59] Speaker B: Je le maîtrise plutôt pas mal. [00:49:01] Speaker A: On me le dit souvent. Bon Pierre ! [00:49:03] Speaker B: Qu'est-ce qu'il se passe ? [00:49:03] Speaker A: C'est qui notre invité ce soir ? [00:49:04] Speaker B: Mais notre invité, alors ce soir, c'est un invité spécial. Je suis très content que nous le recevions, parce que c'est un invité qui n'est pas dans le monde de la musique et qui va vous prouver encore une fois que quand on aime du métal, quand on aime le métal, eh bien on peut faire de belles choses dans sa vie. C'est Vincent Perrin ! Bonsoir Vincent, comment vas-tu ? [00:49:24] Speaker D: Très très bien, et vous ? [00:49:25] Speaker B: Alors très bien, merci. [00:49:26] Speaker D: Vous deux, je voulais dire. [00:49:27] Speaker B: Vous trois d'ailleurs. Merci d'avoir accepté l'invitation. Je me souviens que quand j'ai envoyé le message à Vincent, je lui ai dit coucou, notre fameux texte qu'on a écrit ensemble. [00:49:39] Speaker D: Ah c'est préécrit ? [00:49:39] Speaker B: Oui parce que sinon... sinon j'écris mal. Et je me souviens qu'il a dit mais je fais pas de musique. Et t'as été un peu surpris ? [00:49:49] Speaker D: Ouais en fait j'étais un peu surpris parce que bon je suivais l'émission depuis assez récemment et je me suis rendu compte que la plupart des gens qui venaient étaient ou du domaine artistique ou de la musique ou des guitaristes ou des chanteurs ou des producteurs etc. Moi pas du tout donc j'étais un peu surpris ouais enfin surpris de ta demande et on me tombe ravi d'y participer donc merci je t'en remercie. [00:50:09] Speaker B: Et donc ton métier tu es ? [00:50:12] Speaker D: Alors moi je suis chef de cuisine formateur, dans un palace à Paris, j'en dirais pas plus. [00:50:20] Speaker B: Il n'y a pas de soucis, c'est un métier que c'est vrai que je n'avais pas pensé à ça. Alors c'est lui qui adore la cuisine, moi j'avoue que mon niveau de cuisine est assez limité. Tant que ça me nourrit, je crois. [00:50:35] Speaker F: Que... Moi c'est pareil, je préfère manger. [00:50:39] Speaker A: Non mais il aime bien manger, mais... Non mais il aime bien quand c'est bon. Mais il aime... Enfin, si c'est pas bon, c'est pas un vrai problème non plus. C'est vraiment... Mais par contre, il peut t'apprendre des recettes que jamais tu n'auras imaginées. [00:50:50] Speaker D: Même si c'est pas bon, tu manges, quoi. [00:50:51] Speaker B: Ton dessin du broyeur, un peu... Ah bah alors exactement ! Mais pourtant, je ne fais pas le poirier. Je laisse à chacun d'imaginer la chose. Mon dieu... Et puis tu es fan de métal quand même, sinon tu ne serais pas là. Mes premières questions seront autour de ton métier parce que je ne connais absolument pas. Donc tu es la personne qui forme les chefs cuisiniers, c'est ça ? [00:51:17] Speaker D: Non, t'as mal bossé les fiches, c'est pas ça. [00:51:19] Speaker A: J'ai pas bossé mes fiches, il a. [00:51:20] Speaker B: Pas fait de fiches. [00:51:21] Speaker A: C'est pour ça. Il a juste un truc en... [00:51:23] Speaker D: Il y a rien dessus en fait, c'est que du bluff, c'est un tableau noir. Tout est fake. Alors non, mon boulot c'est d'être formateur, je suis formateur dans une école de cuisine et je suis venu informer des étudiants. pour qu'ils aient un diplôme, et je forme également sur des entreprises par exemple. On a trois segments pour faire très simple dans mon boulot, je forme des étudiants, je forme toi, demain tu veux venir prendre un cours de cuisine, tu veux venir quoi. Tu peux venir, peu importe ton niveau, et mon but c'est justement de désacraliser un petit peu ce milieu, de montrer que c'est accessible et que c'est simple. En fait, plein de gens arrivent avec plein d'a priori, ils sont stressés parce que forcément c'est un palace machin. Et mon travail justement c'est de remettre ça en place et de leur dire en fait ça va bien se passer. On va passer un moment qui va être chouette et vous allez apprendre des choses. Et surtout d'avoir envie de le refaire chez vous. Il y a ce segment là. Et on fait aussi beaucoup d'événementiels sur les... enfin beaucoup d'événementiels... L'entreprise. Une boîte qui vient pour un... Ça. [00:52:18] Speaker B: Permet de faire une cohésion d'équipe et puis d'apprendre tous ensemble. [00:52:21] Speaker D: Pour un licenciement une fois. [00:52:23] Speaker B: Très bien ! [00:52:23] Speaker A: C'est bien parce que ça donne une porte vers un nouveau travail quoi ! [00:52:29] Speaker D: Pour la petite histoire, on a une boîte dont je te dirai le nom, qui vient pour privatiser le lieu. Ils viennent à 15. Et donc la PDG fait un petit speak, juste d'intro avec ses petits collègues, Et donc il prend une coupe de champagne et puis elle regarde le mec à sa droite et elle lui dit, lui, après, il saute. [00:52:49] Speaker B: Ah, quel horreur ! [00:52:50] Speaker D: Il y en a un qui est vraiment infâme, le verre de nez qui se fait lourder genre en plein... Oh, je suis mort ! Ouais, un peu l'enfer, ouais. Bon, c'est un cas à part, mais voilà. En gros, là, je donne des cours de cuisine pour des particuliers, pour des étudiants, en reconversion et pour des entreprises. [00:53:06] Speaker B: C'est cool, ça. Du coup, c'est quand même très très varié, les personnes que tu vois. [00:53:10] Speaker D: Ouais, c'est extrêmement varié en termes d'âge, en termes d'origine aussi, parce qu'on a des gens qui viennent du monde entier se former, des Américains, des Australiens, enfin, de tous les pays. les pays du monde et moi je suis aussi amené à faire des déplacements à l'étranger pour justement représenter mon travail et faire des masterclasses aux Etats-Unis notamment. [00:53:28] Speaker B: C'est cool et du coup ta formation c'est ? [00:53:32] Speaker D: Alors moi j'ai fait une école hôtelière classique. J'ai fait 6 ans, j'ai fait un BEP, un BAC, un BTS en cuisine. J'ai fermé pendant 6 ans et puis après j'ai travaillé pendant 10 ans sur Paris. Principalement dans des restaurants étoilés. [00:53:44] Speaker B: Ok, donc t'as quand même une formation qui... Qui légitimise un petit peu. Qui est quand même balèze. [00:53:51] Speaker D: Non, enfin pas balèze par rapport à d'autres profils, ça dépend. [00:53:56] Speaker B: Comment t'arrives dans un restaurant étoilé ? C'est parce que t'as eu des super demandes ? Je sais pas, moi j'y connais vraiment rien. Pour pouvoir arriver dans un restaurant étoilé, directement tu peux entrer ou t'as fait d'autres restaurants qui ont prouvé que t'étais bon ? [00:54:14] Speaker D: En fait ça commence souvent dans les écoles hôtelières par des stages. C'est-à-dire que tu finis ta formation et souvent elle se solde par un stage. Tu peux choisir de faire où tu veux puisque souvent les écoles sont partenaires des restaurants qu'accueillent leurs stagiaires. Tu démarres par un stage où généralement tu te fais un peu latter la gueule pendant un mois et puis tu penses que ça va être là et puis t'es là à couper des branches de cerfeuil pendant huit heures par jour quoi. T'as intérêt à aimer ça parce que tu t'emmerdes quand même pendant un mois. [00:54:40] Speaker A: Ce qu'on peut dire, pour qu'ils comprennent, c'est que dans les cuisines il y a besoin de beaucoup de gens, surtout dans des trucs étoilés, où il y a énormément de petites tâches à faire et ils vont pas prendre des gens qui ont forcément de l'expérience. [00:54:52] Speaker D: Mais nous on sait, t'arrives en tant que stagiaire, quand tu démarres dans un étoilé après tes études, tu sais que t'es un rookie, t'arrives là-dedans, bah forcément tu vas faire des tâches de merde. Jusqu'à temps de prouver que t'es capable de faire un peu plus. Et c'est vraiment que ça, c'est qu'il faut passer des espèces de gabes de validation de par tes supérieurs, pour ensuite qu'ils te laissent le droit d'aller peut-être couper une échalote. C'est vraiment, t'es chaud, tu vois. [00:55:15] Speaker A: Alors que t'en as déjà coupé plein à l'école. [00:55:17] Speaker D: Ouais bien sûr, mais pas comme eux ils veulent. Donc c'est à vraiment ce monde-là, qui est un monde qui était vachement toxique, en tout cas c'est en train de changer. C'est un milieu qui était extrêmement machiste, les sexistes, puis... Durs. Ouais, durs quoi, c'est les mecs, et qui est la plus grosse, c'est de la testo, quoi. C'est un univers de testo où t'y es 14h par jour, 5 jours par semaine, et on n'est pas conçus, c'est ce que je pense, c'est qu'on n'est pas conçus en tant qu'humain pour vivre ensemble 15h par jour, 5 jours par semaine. [00:55:44] Speaker B: Et au taquet aussi, parce que j'ai l'impression que c'est quand même un métier où il y a un rythme complètement fou, non ? [00:55:53] Speaker A: C'est bien si t'aimes pas trop dormir. [00:55:54] Speaker D: C'est ça. Souvent les 35h, c'est les heures de sommeil que tu fais. [00:55:59] Speaker B: Putain l'enfer, c'est quand même très très chaud. Et donc c'est quelque chose qui n'est quand même pas forcément facile, il faut tenir, il faut déjà être solide psychologiquement pour pouvoir... Et puis avoir bon goût, probablement. [00:56:11] Speaker D: Il faut aimer ça, après il y a une petite part quand même de... Faut être un peu maso quoi, mais il faut aimer se faire mal. Un minimum. Sinon tu restes pas. Il y a plein de gens qui font de la conversion ou même qui se lancent là-dedans. Ils sont pas forcément conscients des enjeux parce que d'ailleurs c'est un métier qu'on a starifié, qu'on a élevé au rang de saint Graal, de par les émissions qu'on peut voir à la télé, les top chefs, les machins. Les gens, ils imaginent qu'en fait, bosser en cuisine, c'est faire quatre assiettes et prendre 25 minutes pour se branler avec une pince à épiler et mettre ça sur une assiette. [00:56:37] Speaker B: C'est pas vrai. [00:56:39] Speaker D: La vision starifiée et idéalisée qu'on a vendue de notre métier, la réalité, elle est tout autre. [00:56:43] Speaker B: Et du coup, le métal, c'est au même niveau sonore que tous les cris qu'il y a dans les cuisines. [00:56:47] Speaker A: Ça dépend des cuisines. [00:56:50] Speaker D: Ouais, ça dépend des cuisines. En fait, non, c'est très juste, ça dépend des cuisines. Il y a des cuisines, par exemple, moi, j'ai commencé en alternance chez Robuchon, au Champs-Elysées, à l'atelier. Et c'est une cuisine ouverte. T'as un comptoir, les clients s'assoient autour du comptoir. [00:57:03] Speaker B: Et là, ils sont plus réservés. [00:57:05] Speaker D: Ouais, ils peuvent pas non plus péter un câble. Donc, ça t'apprend à travailler dans la rigueur et dans le silence, surtout. où t'as pas d'excès à la fois de voix, de son, tout est calme en fait. Au début c'est un exercice qui est compliqué et ensuite ça apporte une espèce de sérénité de travail. [00:57:28] Speaker B: Et t'as décidé de ce métier, c'est parce que t'es passionné j'imagine quand même par ça ? [00:57:32] Speaker D: Par hasard. [00:57:32] Speaker B: Ah ouais ? [00:57:33] Speaker D: Ouais, complet. J'ai payé tout le storytelling. Ma grand-mère faisait des tartes aux poires incroyables. Vraiment pas. En fait c'est un pur hasard, j'étais un peu un branleur au collège. J'ai retapé deux fois ma troisième. La première fois où j'ai vu la lumière, je suis rentré, ça me plaisait pas trop, je suis ressorti. On m'a dit reviens l'année d'après, je suis revenu. Et c'est encore un petit coup, tu verras. Juste ouvre la porte une fois pour voir à quoi ça ressemble. [00:57:58] Speaker B: Et c'est là, enfermé, mais en étant passé de l'autre côté. [00:58:00] Speaker D: J'étais resté devant la grille. Et donc je retape ma troisième. Et on me dit à la fin, en gros, tu as différents choix de métiers qu'on peut te proposer, dont ça. Donc j'y vais vraiment par dépit. C'est vraiment, je jette une pièce et puis bam, ça tombe sur Ecole Hôtelière. un soutien de mes parents à ce moment là qui est incroyable. Pour mon père en tout cas c'est une voie de garage. Il ne pouvait pas du tout faire ça. [00:58:24] Speaker A: C'était plutôt une voie de cuisine en vrai. Parce que sinon t'aurais fait une école de mécanique. [00:58:32] Speaker B: J'aime bien, j'aime bien. J'ai dit qu'on avait du humour ici. [00:58:40] Speaker A: Moi mon boulot c'est de faire des vannes de merde. Après vous prenez le poids, j'en ai rien à foutre. [00:58:45] Speaker B: En fait c'est horrible, moi c'est d'être con autour de faire des vannes de merde, mais cette émission c'est un scandale. C'est pour ça que tout le monde nous insulte. Non ouais donc pas facile familialement, parlons. [00:58:57] Speaker D: Non pas facile, ça met du temps. [00:58:59] Speaker A: Mais du coup t'étais assez jeune, du coup t'avais... 15 ans. [00:59:04] Speaker D: Ouais. [00:59:05] Speaker A: Souvent c'est un métier dans lequel on se dirige assez tôt quoi. [00:59:09] Speaker D: Avant ouais, maintenant j'ai l'impression qu'il y a plein de gens qui font des reconversions à 30 ans, 40 ans, 50 ans. Mais voilà, il y a aussi une forme un peu d'hypocrisie là-dessus. Dans le sens où la plupart des gens qui arrivent à se reconvertir, ils ont les moyens de le faire. C'est-à-dire que le mec qui bossait à Carrefour jusqu'à ses 40 ans, qui veut faire une reconversion, ça va pas être aussi simple. c'est des mecs, ils ouvrent une boucherie à Paris, mais avant, les mecs étaient archis pendant 15 ans. Donc ça implique aussi d'être dans une classe sociale qui te permet de pouvoir faire une reconversion. C'est pas à la portée de tout le monde. Et ça, c'est un peu le mensonge. Enfin, c'est un peu la chose qu'on nous martèle et j'aimerais mettre en porte à faux par rapport à ça. C'est pas pour niquer les sports des gens. Vous pouvez faire des reconversions, c'est génial. Faites des reconversions si vous n'avez plus votre métier. Vraiment, partez de votre métier et changez pour faire un truc qui vous plaît. Mais c'est pas accessible à tout le monde. Il y en a pour qui c'est plus facile de prendre l'ascenseur et de monter directement. [00:59:58] Speaker A: Et puis je pense aussi atteindre cette rigueur et cette... Enfin, quand on a 40 ans, rentrer dans ce truc, il faut physiquement être capable de le faire aussi, quoi. Et mentalement. [01:00:10] Speaker D: Ouais, et puis ça veut dire aussi être prêt à repartir de zéro, en fait. Tu vas redémarrer en bas de l'échelle et on va donner des ordres et tu vas te dire oui. [01:00:22] Speaker A: Même si t'es pas d'accord. [01:00:23] Speaker D: Même si t'es pas d'accord, donc ça demande aussi vachement d'humilité, de dire ok, je repars à zéro. [01:00:27] Speaker A: Parce que la cuisine, ça reste encore un des domaines, enfin j'ai l'impression, où la rigueur et la hiérarchie est encore très, très là. Ça existe. C'est dans une brigade, un chef te dit un truc, t'as pas le droit de discuter quoi que ce soit. Je pense que maintenant, il y a des chefs qui sont un petit peu plus souple, mais ça reste quand même un des rares domaines où tu peux pas vraiment discuter quand on te donne un ordre. [01:01:01] Speaker D: On dit souvent que c'est très militaire, bon ça n'a rien à voir avec l'armée, bien sûr, je ne veux pas faire de mauvais parallèles, mais c'est une hiérarchie, et au fait, elle doit être respectée. [01:01:10] Speaker B: Et puis c'est juste que c'est comme ça, de toute façon tu appliques parce qu'il y a le résultat qui est après, donc tu ne peux pas changer le rouage, j'ai envie de dire. [01:01:16] Speaker D: Non, c'est comme ça que ça fonctionne, après voilà, c'est aussi un milieu qui est en train de changer énormément, sur plein de niveaux, et du coup il y a peut-être plus de place à l'échange, alors qu'avant il n'y avait pas d'échange. Même en termes d'apport de connaissances et de savoir, c'est vraiment les chefs qui gardaient leurs recettes dans un placard fermé à clé. Parce que pour eux, la transmission, c'était justement perdre du savoir. C'est-à-dire que je t'apprends quelque chose, en t'apprenant quelque chose, je prends le risque que tu puisses t'en servir contre moi. Il faut savoir qu'en cuisine, il n'y a pas de propriété intellectuelle. Il y en a dans la musique, il y en a dans plein de domaines artistiques. Nous, on est un milieu où on peut plagier. C'est-à-dire que demain, tu vois qui tu. [01:01:53] Speaker A: Vas dans ton resto, tu vois un. [01:01:54] Speaker D: Truc, tu peux le refaire. t'as tenté un procès pour plagiat. Ça a laissé la porte ouverte à plein de choses. Alors que maintenant, les chefs transmettent. On est dans ce rapport de transmission. On a compris que le savoir, en le transmettant, il se démultiplie. Tu ne perds pas en savoir quand tu le transmets. [01:02:10] Speaker B: — Bon, c'est cool. Ça va dans le bon sens. [01:02:13] Speaker D: — Ouais, ça va dans le bon sens et on évolue. C'est un milieu qui évolue dans le bon sens, à tout niveau. [01:02:17] Speaker B: — Et du coup, il y a des métalleux dans ce milieu ? T'as connu des gens dans ce milieu qui écoutent du métal, ou en tout cas qui osent le dire ? [01:02:24] Speaker D: Ouais, en fait c'est pas du tout un tabou. C'est quand même une profession qui réunit quand même des gens, comme j'ai dit, qui aiment se faire mal. On a vraiment des gens qui écoutent de tout. Mais c'est souvent des extrêmes. Moi j'ai connu des gens qui écoutaient du rap hardcore, qui écoutaient de la techno, qui écoutaient de la frenchcore, du métal aussi. C'est un milieu aussi qui écoute pas mal d'extrêmes, parce que c'est un travail un peu extrême, les modes de vie sont extrêmes, les musiques le sont, le rapport à la fête, à la drogue, on pourra en parler aussi si vous voulez. C'est un milieu finalement où... [01:03:00] Speaker F: L'intensité en fait. [01:03:06] Speaker B: Ouais, c'est absolument ça. [01:03:07] Speaker D: Il y a un rapport à la brutalité et à l'intensité qui est très très marqué. [01:03:11] Speaker B: Donc du coup t'as pu te faire des potes ou des connaissances qui écoutaient du métal. Est-ce que ça a permis d'être un peu plus à l'aise au début peut-être si t'as côtoyé des gens qui écoutaient du métal ? De pouvoir avoir des confidents aussi du métier ? [01:03:25] Speaker D: Moi j'ai jamais eu de problème avec ça dans la mesure où j'ai commencé à écouter du métal avec des gens qu'on écoutait déjà avant moi. Moi j'ai été introduit dans ce milieu-là avec ces gens-là. Donc en grandissant j'ai continué à en écouter. Le fait de démarrer moi dans ce métier Au début, à l'école atelière, j'ai pas forcément beaucoup de gens qui en écoutaient. Mais en commençant à travailler dans des restaurants, bon en fait, la plupart, ils écoutent du métal, ils écoutent de la techno, ils écoutent du rap. J'ai rencontré ma copine. Elle nous regarde. [01:03:51] Speaker B: Sinon, clac ! [01:03:52] Speaker D: Elle me fait engueuler. Voilà, moi je l'ai rencontré à mon travail, à l'écoute du métal aussi. Et voilà, maintenant mon entourage est composé de gens qui écoutent du métal, mais pas qu'eux aussi. [01:04:05] Speaker B: Oui, bien sûr, bien sûr. Bon, je t'ai demandé de choisir des titres aussi, parce que le but c'est de se faire plaisir, que tu nous racontes aussi pourquoi ces choix. Et le tout premier, on leur fait des gros bisous, ils seront le 31 en concert au Zénith de Paris avec Why She Sleeps, c'est Mass Hysteria avec, il me semble que c'est leur tout dernier clip, Mass Veritas, si je dis pas de bêtises. Mass Hysteria, une histoire avec eux, ça représente quoi Mass Hysteria ? [01:04:29] Speaker D: Mastéria, ça représente la scène française metal. Ça aurait pu être Acme, ça aurait pu être Sidi Larsen, ça aurait pu être d'autres groupes. Mastéria, parce que c'est un groupe que j'aime beaucoup, que j'ai pu voir plusieurs fois en concert et qui, pour moi aujourd'hui, revendique des choses importantes et qui sont toujours d'actualité. Tu prends l'Enfer des Dieux, tu la réécoutes maintenant, c'est d'actualité. Il y a plein de morceaux avec des thèmes forts qui résonnent toujours encore à l'actuel moment. [01:04:58] Speaker B: On fait un gros bisou à toute l'équipe. En concerne l'énergie aussi, c'est un truc qui te déchaîne, qui te donne envie d'aller foncer dans le pit. J'aime bien quand même être assis. Non, moi j'aime bien être assis. [01:05:15] Speaker D: Je suis en train de réfléchir, c'est pas forcément le groupe sur lequel je vais le plus m'énerver. Mais on s'arrache bien le cul quand même. [01:05:28] Speaker A: En live c'est bien efficace. [01:05:32] Speaker B: Je dirais même que c'est mille fois plus agréable de les voir sur scène que forcément l'écouter comme ça quand ça passe à la radio. parce qu'ils n'ont pas été souvent soutenus malheureusement, mais c'est un truc à vivre, c'est très différent en fait. [01:05:46] Speaker F: Ils emmènent bien les gens en fait, parce que moi j'aime pas du tout, enfin j'écoute pas comme ça, mais pour les avoir vus, c'est vrai qu'ils arrivent bien à prendre les gens, les emmener avec eux, surtout le chanteur qui, je sais pas, il a une prestance qui fait que du coup... [01:05:56] Speaker A: Je trouve que c'est plus... Une fois que tu les as vus en live... t'apprécies plus d'écouter aussi. [01:06:02] Speaker B: Oui, c'est vrai. [01:06:03] Speaker A: Je trouve qu'il y a ce truc où quand tu les vois en live, ça débloque un truc et tu fais « Ah, ok, je comprends ». Je trouve que c'est... Enfin, faut vraiment, je conseille à tout le monde d'aller voir Mass Live. [01:06:11] Speaker B: Au moins une fois dans sa vie. [01:06:12] Speaker A: Ouais, c'est une obligation. Si vous avez l'occasion, il faut y aller parce que c'est fou, quoi. Et vous allez vraiment passer un bon moment. [01:06:18] Speaker B: Pour ceux qui n'ont pas l'argent d'ailleurs, je tiens à rappeler que nous avons un concours sur notre Instagram où vous pouvez gagner des places pour aller voir ma cisteria. C'est donc le 31 janvier, c'est un vendredi soir. Donc pour les personnes qui ne travaillent pas le week-end, c'est une bonne occasion d'avoir mal au dos le lendemain. Et on les embrasse. Vous avez d'ailleurs un épisode avec Mass Hysteria qui est disponible sur notre chaîne YouTube. N'hésitez pas donc à aller vérifier tout cela et à vous abonner. Je sais, je le répète tout le temps, mais c'est important de nous soutenir. On regarde ce clip-là et on revient juste après ? [01:06:48] Speaker C: Allez, c'est parti, Mass Hysteria ! Émancipez-nous plus vite, notre libre-arbitre, aucun d'urgence qu'il faut ! Émancipez-nous plus vite, notre libre-arbitre, aucun d'urgence qu'il faut ! Brûlez la vitre ! Politique, spectacle, bouffons ! En surface, ils se clashent, en dessous, c'est gueuleux tôt ! Chaque état cache un double fond Souverainisme ou soumission ? Libre, oui, mais pas sans condition Passe sanitaire, passe climatique Un passe pour moutons dégueulasses Comme l'homme qui appuie sur le bouton Et s'il fuit, est-il un héros ? Fuck le Borussia Nouveau Monde Émancipé au plus vite, notre libre arbitre En cas d'urgence il faut Émancipes, payons plus vite ! Notre libre arbitre ! On a l'intelligence qu'il faut ! Brûlez la vitre ! Misère, virus, violence, nous déchirent ! Il n'est jamais ton tard ! Pour bien réfléchir, deux tiers des votants. [01:08:37] Speaker B: Refusent d'aller élire ! [01:08:40] Speaker C: Un tiers seulement croient tout leur délire ! France de la paupette ! France de la paupette ! Si la vérité n'est pas libre, Si la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie. Émanciper au plus vite notre libre arbitre Au cas d'urgence qu'il faut Émanciper au plus vite notre libre arbitre Au cas d'urgence qu'il faut Brûlez la vitre ! Putain d'écran de télévision Putain de miroir sans teint dans le salon Ingénierie sociale, esprit manipulé Toutes les caisses sont sales, proprement financées Une guerre des milliards partout à fleurs, tromper des enfers Trop loin du bonheur, comme partout ailleurs Paris peuplé autre que par des parisiens Pour y croiser l'espoir, c'est quelque part et bien Tous ces gouvernements qui nous parlent mal Comme un dégardement, Sénat, Président, Parlement Quand je vois tout s'écloudre, je deviens marteau Tout va si mal que le meilleur est pour bientôt. [01:14:26] Speaker A: C'est maintenant ! [01:14:27] Speaker B: Ah merci, je me suis demandé quand est-ce qu'il fallait que je parle, je connais pas trop trop mon métier. Slung, S-L-U-N-G, à l'instant donc dans Bang Bang, c'est très bien, c'est très très bien, et c'est toi qui m'as dit tiens, est-ce qu'on se passerait pas un petit slung ? [01:14:44] Speaker A: J'ai découvert ça cette semaine. [01:14:45] Speaker B: Alors j'avais cru que c'était slump au début comme Docteur Slump, mais non, c'était pas ça. [01:14:48] Speaker A: Non, aucun rapport. [01:14:49] Speaker B: Personne connaît d'ailleurs, mais j'ai fait une référence, mais bon. [01:14:51] Speaker A: Moi aussi les gens, Toriyama est mort, donc maintenant les gens connaissent. [01:14:55] Speaker B: Ah d'accord. [01:14:55] Speaker A: Mais du coup, Slung a un petit groupe de Brighton. Le style, je vous laisse dire ce que c'est, je sais pas trop. Et c'est leur troisième titre. Ils ont sorti deux singles en 2024 et celui-là qui est sorti cette semaine. [01:15:09] Speaker B: C'est vraiment très très récent. [01:15:11] Speaker A: C'est tout nouveau. Le premier titre est sorti en septembre. Un septembre, un en novembre et un là. [01:15:17] Speaker B: On peut leur dire qu'ils sont les bienvenus pour boire de leur Frank Capalti. [01:15:23] Speaker A: Le shortcake. [01:15:26] Speaker B: C'est ça. Non mais très bien. Trois morceaux, c'est déjà... Trois morceaux de qualité. C'est leur style. Enfin je veux dire, je connais pas tous les groupes du monde mais ça mélange plusieurs choses. [01:15:37] Speaker A: C'est quand même assez anglais. Il y a un truc, ça peut faire penser un peu à Milène de Sniffer, ça peut faire penser un petit peu à... Comment ça s'appelle ? Saint-Agnès un petit peu ? Il y a ce truc-là, un peu la voix, un peu crier. Voilà, mais je trouve ça très sympa. [01:15:52] Speaker B: Et puis on est là pour les découvertes, donc ça vous permet aussi de tomber sur des choses peut-être que vous n'aviez pas eu dans vos oreilles, ni dans vos yeux. [01:15:59] Speaker A: J'ai pas regardé combien ils avaient d'auditeurs, mais je pense qu'ils n'ont pas beaucoup. Attends, je vais regarder quand même, je vous le dis en direct. Ils ont 8700 auditeurs. Moi, je vous fais de la niche. Et pas pour les chiens ! [01:16:15] Speaker B: Voilà, ni pour les caniches. Ah bah c'est un chien, pardon. [01:16:19] Speaker A: Il y a quelqu'un qui est gêné apparemment. [01:16:22] Speaker B: C'est notre invité. [01:16:23] Speaker D: Ne juge pas, je prends des notes pour après. [01:16:26] Speaker B: D'Entrain de préparer un Comedy Club, mais apparemment ça marchera pas. On sait déjà, on nous a prévenus. Bon, Vincent, tu es avec nous, chef cuisinier, tu aimes le métal, et justement le métal, on va en parler, puisque c'est quand même l'intérêt de savoir comment ça s'est construit autour de toi. Tu nous avais parlé de tes débuts, mais je vais quand même essayer de retrouver, avant de découvrir, de tomber pour la première fois sur un son alternatif, t'écoutais quoi ? C'est quoi qu'il y avait dans tes oreilles ? Le vide ? ou des gens qui se déconnent. [01:17:00] Speaker A: Le son du silence ? [01:17:01] Speaker D: Le son du silence. Non, moi j'ai commencé assez tôt parce que mon père était musicien, donc il était batteur, donc au fait j'ai dégrondi très très tôt avec Deep Purple, Led Zeppelin, Gong, Magma, pour les très vieux. [01:17:15] Speaker B: Les classiques. C'est cool. [01:17:18] Speaker D: Non, c'est cool, j'aime bien aussi. [01:17:20] Speaker B: Le fait d'avoir un parent qui joue de la musique, c'est vrai que c'est pas forcément fréquenté. [01:17:25] Speaker A: Il jouait de la musique dans un groupe ? Non, en passion. [01:17:29] Speaker D: En passion, oui. Il t'a permis de... C'est ça la cave. Il avait raménagé la cave, il a foutu sa batterie là-dedans. Le bonheur des voisins. [01:17:38] Speaker B: Ouais, on connaît ça. Toujours un moment où ils finissent par gueuler. Et donc c'est à quel âge et avec quoi que tu as dit « Ok, c'est ça ». Quand est-ce que tu t'es approprié cette musique ? Il y a eu un moment où tu t'es dit c'est pas Magma, ça c'était le truc de mon daron, maintenant ça c'est à moi. [01:17:55] Speaker D: Ouais, vers 14 ans je pense. 14 ans, je vais à la FNAC, je crois que l'un des premiers albums que j'achète c'est Rage Against The Machine. Voilà. Donc je l'écoute, énorme tarte, vraiment. Et ouais, à partir de là je commence à me dire ok, je vais peut-être plus aller creuser vers ce qui se fait là. Et après bon, j'ai élargi les horizons sur d'autres styles. Et ouais, je pense que ça commence avec Rage Against The Machine. [01:18:19] Speaker B: Je me suis toujours demandé si le fait que les parents écoutent du rock ou du métal donnait pas envie de partir sur autre chose. De dire non, si c'est comme ça, je vais écouter du rap. Tu vois ce que je veux dire ? Là, ça n'a pas été le choix. [01:18:32] Speaker D: Non, pas du tout. À ce moment-là, non. Mon père me faisait écouter ça, je trouvais ça intéressant, mais c'était trop complexe pour moi, trop cosmique. En même temps ! [01:18:43] Speaker A: C'est pas le plus facile ! [01:18:45] Speaker D: Non mais c'est ça, c'est quand même un rond de portée. Moi il me fallait quelque chose d'un peu plus terre-à-terre. Et puis voilà, je découvre Reggaeton de Machine, j'entends Tom Morello, je découvre Ed Alouami, je me rends compte un petit peu de son univers, de ce qu'il dénonce aussi dans ses morceaux. Et ça me plaît, ça démarre par ça moi. [01:19:04] Speaker B: Il y avait donc l'énergie qui était, enfin le côté impulsif un peu plus saccadé, rendonnant, qui t'a porté comme t'étais ado, j'imagine que c'était aussi une façon, comme souvent nous disent nos invités, de te canaliser. [01:19:17] Speaker D: Ouais, complètement, ou de me canaliser ou l'inverse en fait, de laisser exploser le truc. Mais ouais non, c'est une petite dose de violence et j'avais besoin franchement d'entendre ça, ça me faisait du bien. [01:19:27] Speaker B: Et donc tout à l'heure quand tu disais qu'on t'avait amené, c'était ton père déjà dont tu parlais tout à l'heure ou t'as connu d'autres gens qui t'ont amené aussi du métal ? [01:19:34] Speaker D: J'ai eu d'autres gens en fait à la même période, pourquoi au niveau collège, donc 14 ans, qui étaient déjà bien bien dedans. Mais sur de style métal, moi j'ai eu un pote qui pendant des années écoutait Dimmu Borgir, Hetz, genre mon premier concert, parce que moi j'habitais en 95, je l'ai fait au Forum de L'Oréal. Et j'avais vu Hetz, Dagobah là-bas, Dimmu Borgir, enfin voilà. J'ai écouté ça pendant une petite période de ma vie quoi. Faut aussi remettre ça en contexte avec ma gueule à 14 ans qui écoute Cradle of Filth. Je n'étais pas du tout dans l'imagerie, ni dans le look, pas du tout. Moi j'avais des baggies, je portais des t-shirts Volcom et Elements, j'allais au skatepark. [01:20:19] Speaker B: Mais ça, ça permet d'écouter Hetz. [01:20:20] Speaker D: Ça permet d'écouter Hetz, typiquement. [01:20:22] Speaker B: Pas Dimmu Borgir, mais Hetz. [01:20:24] Speaker A: Tu peux quand même aller voir Dimmu Borgir. [01:20:26] Speaker B: Mais oui bien sûr, il n'y a pas d'obligation, on n'est pas là pour s'habiller exactement comme il faut pour chaque concert. Même si pendant Milan Farmer, il est vrai que j'avais, bon bref, ma paupiette. Joke, je sais, désolé. Mais ouais, et donc t'avais des amis, t'avais un entourage, ça t'a permis aussi de rencontrer des gens, de créer des liens. Et donc c'est cool. C'était plutôt facile, ça t'a permis d'avoir une adolescence et une période collège qui était quand même plutôt bonne enfant, amusante. [01:20:55] Speaker D: Ouais, non, c'était cool. En dehors de la troisième. En dehors de la troisième, c'était cool. C'était des années assez festives, on va dire. [01:21:05] Speaker A: Est-ce que tu penses que ça t'a entraîné dans le festif, cette musique ? [01:21:10] Speaker D: Ça m'a entraîné dans le festif, oui. Sans aucun doute. [01:21:14] Speaker B: Dans le festif. Bon, parce que les métalleux sont quand même de grands buveurs de bière, on va le dire. L'alcool est dangereux pour la santé. [01:21:21] Speaker A: Peut-être qu'ils ne buvaient pas à ce stage-là, peut-être qu'ils faisaient la fête autrement au pire, tu sais. Tout n'est pas lié à l'alcool. Un peu. [01:21:28] Speaker B: C'est vrai que tu fumes vraiment pas du tout. Normalement t'es pas censé fumer. Mais c'est une autre époque. [01:21:33] Speaker D: Une autre époque à la campagne, ça commence. [01:21:37] Speaker B: Je comprends, parce qu'il n'y a pas grand chose à faire. Donc tu traînes avec les potes, tu vas dans les champs et puis tu finis par picoler. [01:21:43] Speaker D: C'est l'histoire de la campagne. C'est l'histoire de la campagne classique. [01:21:48] Speaker B: C'est là que j'ai appris à mélanger du vin avec du samplon 95. [01:21:56] Speaker A: C'est là qu'est né le goût du mélange de frais et de nouvelles saveurs. [01:22:02] Speaker B: J'ai jamais essayé de... Oh putain ça fait de la mousse à l'ivre ! Les Snakebites, pour ceux qui connaissent, qui font des espèces de trucs dégueulasses. Mais t'as eu une évolution musicale après ? Parce que t'écoutes quoi aujourd'hui, toi ? [01:22:18] Speaker D: Ah non, c'est beaucoup plus varié. J'écoute toujours énormément de métal, c'est peut-être 70% de ce que j'écoute après d'autres styles, pas mal de techno, aussi de la Soundwave, de la Dark Sound, que j'aime bien. Tout ce qui va graviter à peu près autour du métal, mais... Oui, d'autres. [01:22:34] Speaker A: Parties... Avec ce même esprit alternatif, mais qui s'applique dans le différent style. [01:22:40] Speaker B: Et quand t'étais... Excuse-moi, t'as quel âge, je me permets ? J'ai 32 ans. Oh là, il est jeune. J'allais te dire, est-ce qu'à ton époque, mais non, c'était déjà plus cette époque-là. J'allais te dire, les gens étaient encore séparés à écouter ça et ça et ça, mais non, tu fais partie déjà d'une génération qui mélangeait plus ou moins les styles, où les gens se parlaient quand bien même ils écoutaient pas la même musique. [01:22:59] Speaker D: Ouais, et puis c'était aussi l'arrivée du metal, donc voilà, on voyait à la télé Linkin Park, on voyait Korn arriver, donc... Il y avait beaucoup plus ce brassage culturel où les gens qui écoutaient du rap se retrouvaient dans le métal également. C'était beaucoup plus simple dans la mesure où il n'y avait pas ces clivages, ils écoutent du rap, ils écoutent du métal, ils écoutent de la techno. Tout le monde arrivait à se revenir. Moi en tout cas, je n'ai pas senti qu'il y avait un clivage. Sauf si t'étais ultra goth, t'arrivais au collège, les gens te regardaient un peu en diagonale. [01:23:27] Speaker B: Heureusement, on leur fait des bisous psychotiques qu'on aime beaucoup. [01:23:31] Speaker D: Mais voilà, moi j'ai pas du tout ressenti ce problème là en tout cas, par rapport à la musique. [01:23:36] Speaker B: Et t'étais quelqu'un qui allait, alors venant de la campagne c'est toujours plus difficile, mais t'étais quelqu'un qui allait souvent au concert, qui essayait d'aller souvent au concert ? Ouais. T'étais dans quel coin de la France, si je peux poser la question ? [01:23:47] Speaker A: 95. [01:23:47] Speaker D: 95 ? Ah oui d'accord. J'y suis pas du tout. C'est dramatique. [01:23:50] Speaker A: C'était le Forum Vauréal, on en a parlé. [01:23:52] Speaker E: Ah oui ? [01:23:52] Speaker A: On leur dit bonjour. [01:23:53] Speaker B: Mais je savais pas que c'était dans le 95 donc... Non, si, si, c'est. [01:23:56] Speaker D: Une salle qui s'appelle le Forum. [01:23:58] Speaker B: On connaît bien, on leur fait des bisous. Ils ont changé, ils en ont fait un nouveau d'ailleurs. [01:24:01] Speaker D: Ouais, je suis pas soigné depuis, mais j'ai apprécié. [01:24:03] Speaker B: Très bien, il y a deux salles, il y en a une petite et puis une grande. C'est très, très bien fait. Et puis on remercie la mairie de les aider, bien sûr, à faire tout ça. Donc, t'as allé souvent à des concerts. Donc, c'est pour ça qu'il y avait ce côté festif. [01:24:12] Speaker D: Ouais. [01:24:14] Speaker B: C'était quoi tes concerts préférés ? C'est quoi le concert le plus marquant que t'aies eu ? [01:24:18] Speaker D: Alors, très bizarre, mais ça va être Corvus Corax. [01:24:23] Speaker B: Putain, je connais même pas. [01:24:24] Speaker A: Non, moi non plus. [01:24:25] Speaker D: C'est normal. C'est un groupe de Pagan Metal qui fait des chants en latin, donc c'est assez génial. Et je devais avoir 15 ans, et je crois que c'était à la Loco. J'appelle plus la Loco. [01:24:37] Speaker B: Oui, c'est la machine aux genoux. [01:24:40] Speaker D: Ok. Et donc la Loco, je me rappelle, est rentrée, et en fait, il met de la paille au sol. Juste ça, c'est un détail, ça m'a marqué. [01:24:47] Speaker B: Ils avaient fait la déco. [01:24:48] Speaker D: Ils donnaient des armures bénévoles à 600 balles. Ils savaient faire du business, à l'époque. [01:24:52] Speaker A: Ça coûte cher la paille. [01:24:54] Speaker D: Il la vendait aussi à la fin. C'était nous. C'est un cercle. Cercle vert, tu fais pas de gâchis. [01:25:05] Speaker B: Et t'es toujours... C'est une question un peu bizarre je sais, mais tes amis que t'avais avant vous êtes restés potes avec le boulot que t'as choisi ? [01:25:12] Speaker D: Certains oui, d'autres non. [01:25:13] Speaker B: Parce que c'est quand même... Comme ça te prend beaucoup de temps, c'est... On se voit moins, quoi ? [01:25:17] Speaker D: C'est plus que... Moi, après, j'ai déménagé, je me suis rapproché un petit peu de Paris, j'ai reboté complètement à Paris, donc il y a une partie de mes potes d'enfance que je vois encore, d'autres à qui on a perdu un peu contact, donc c'est... Et t'as jamais. [01:25:28] Speaker B: Eu l'envie de faire un groupe ? Ou de chanter, ou de jouer d'un instrument ? Ou tu joues peut-être d'un instrument, j'en sais rien, je t'ai pas posé la question. [01:25:34] Speaker D: Non, je fais de la guitare en amateur, mais après, non, l'envie de monter un groupe, non, j'ai pas cette ambition. [01:25:40] Speaker B: Tu fais partie de ces gens qui ont joué Nirvana sur la plage ? [01:25:43] Speaker D: Pas sur la plage, non. J'épargne les oreilles des gens à côté, je leur ferai pas cet affront, mais non non non, je le fais dans ma chambre avec mon casque pour vraiment casser les couilles à personne. [01:25:54] Speaker B: Ah oui c'est gentil ça, c'est bien. [01:25:56] Speaker A: Il a tiré des leçons de son père. [01:25:57] Speaker D: J'en ai marre d'être réveillé à 3h du matin. [01:26:03] Speaker B: Ça t'a appris quelque chose d'apprendre la guitare tout seul ? Ça t'a mis dans un état aussi d'être un peu plus sérieux, de te concentrer sur quelque chose ? Est-ce que la musique, ça t'a apporté ça, puisque ça t'a amené à faire de la guitare ? Tu comprends ma question ou elle est complètement incompréhensible ? [01:26:19] Speaker F: Moi j'ai rien compris. [01:26:25] Speaker A: Est-ce que la pratique d'un instrument a apporté autre chose dans ta vie que d'apprendre à jouer un instrument ? La discipline, la rigueur, ça j'imagine que tu l'avais déjà par ton travail. [01:26:36] Speaker D: Tu peux continuer à poser des questions. [01:26:39] Speaker B: Je l'invite à poser des questions. [01:26:41] Speaker A: Donc voilà, c'est en gros, est-ce que faire de la musique, qu'est-ce que ça t'a apporté dans la vie ? [01:26:48] Speaker B: Ouais, c'est un truc qui me calme énormément. [01:26:51] Speaker D: Ça me détend énormément. Y'en a qui font du yoga, qui vont au sport, qui vont à Fitness Park, qui poussent de la fonte. Moi, le fait de faire de la guitare, c'est un truc qui me détend énormément. Ça me calme de ma journée, je pense à rien. Ouais, ça pédance. C'est un peu cucul, ce que je dis, mais... Non, non, mais en même. [01:27:05] Speaker A: Temps, c'est intéressant, justement. En même temps, je pense que c'est aussi un boulot qui est quand même assez physique. Plus stressant que physique. Ouais, mais je veux dire, physique... Dans le sens où le stress, c'est pas que mental, quoi. Enfin, je veux dire... Oui, t'as aussi. [01:27:20] Speaker D: Les amplissudes horaires, les décages, le travail de nuit... [01:27:22] Speaker A: Tu restes debout longtemps. Enfin, il y a beaucoup de choses qui font que je pense que quand tu cherches, du coup, à faire un truc différent, il faut que ce soit un truc qui est moins sur le physique et peut-être plus sur le mental, quoi. [01:27:33] Speaker D: Ouais, je pense aussi, ouais. [01:27:35] Speaker B: C'est d'apporter une concentration. [01:27:36] Speaker D: Ouais, concentration, calme. Méditation quoi. Ouais, c'est un espèce d'état un peu méditatif où justement tu peux vraiment te focus sur un truc et t'as un résultat qui est immédiat. Alors souvent en cuisine c'est des métiers où tu travailles aujourd'hui, où tu travailles maintenant pour un résultat qui va arriver dans 2h, 3h, 5h. T'as jamais le bénéfice immédiat de ton travail. Alors qu'en musique tu l'as tout de suite. [01:27:58] Speaker A: C'est génial parce que moi je trouve que dans mon métier je me dis pour moi la cuisine c'est immédiat. [01:28:05] Speaker B: Par rapport à mon travail où c'est. [01:28:08] Speaker A: Des jours, des semaines, des mois. Oui, des fois. Et du coup, moi, c'est pour ça que j'aime faire de la cuisine, parce que du coup, il y a un truc très concret. Tu agis sur... Bon, après, c'est sûr que des fois, tu commences à préparer deux jours avant. Mais il y a un truc où tu avances, tu as des étapes. Je trouve que du coup, moi, c'est un truc qui m'aide beaucoup. à penser à autre chose en fait, c'est ce que me fait la musique, moi c'est la cuisine, donc c'est assez drôle. [01:28:37] Speaker B: Non mais c'est bien, c'est intéressant, mais comme toi t'aimes la cuisine, c'est pour ça aussi que je t'ai fait venir. Tu peux demander des tips. D'accord. Ah bah alors, j'ai plein de questions. Non mais c'est intéressant effectivement puisque c'est pas... [01:28:54] Speaker A: Donc est-ce que tu coupes aussi en horizontal ou tu fais que les incisions verticales ? [01:29:00] Speaker D: C'est moi qui n'ai pas compris la question. [01:29:01] Speaker B: Alors moi je suis perdu parce que. [01:29:03] Speaker A: Je ne voulais pas vraiment de réponse. Mais je te ferai un diagramme pour avoir la réponse quand même après. [01:29:10] Speaker B: T'as déjà vu les Rage Against The Machine en concert ? Est-ce que t'as eu cette chance ? [01:29:16] Speaker D: Non. [01:29:16] Speaker B: Le salaud. [01:29:17] Speaker A: Moi je les ai vus aussi. [01:29:19] Speaker B: Bah oui je sais, mais parce qu'on est vieux tous les deux. [01:29:21] Speaker A: Moi je les ai vus en reformation déjà, je les ai vus en 2017. C'était 2017 ? [01:29:26] Speaker B: C'était il y a déjà fort longtemps. [01:29:27] Speaker A: C'était avant, non c'était avant ça. [01:29:28] Speaker B: Par contre c'est marrant parce qu'il a l'air... [01:29:29] Speaker D: C'est le professeur Fredge ? [01:29:31] Speaker A: Non non non, c'était quand même le vrai line-up, c'est le dernier concert qu'ils ont fait à Bercy. Avant que ce soit à la Core Hotel Arena. [01:29:39] Speaker B: Voilà donc ça commence déjà à date. Putain on est vieux. En fait faudrait que j'invite que des gens qui ont notre âge. [01:29:44] Speaker A: Non, parce que ça va intéresser que les vieux. [01:29:47] Speaker B: Mais y'a pas que des vieux ? Non ça y'a des jeunes aussi, je plaisante. [01:29:51] Speaker D: Dites-le en commentaire. [01:29:52] Speaker A: Exactement. [01:29:54] Speaker B: Allez-y, bousillez-les. [01:29:55] Speaker A: Donnez votre âge, on veut votre âge. Et mentez pas ! [01:29:59] Speaker B: Faites pas comme Pierre. C'est que sur les réseaux de rencontre que je l'ai, dix ans de moins. Et puis je mets une photo de moi quand j'avais 5 ans, mais je me dis que ça marche pas trop. [01:30:07] Speaker A: Tu m'étais 10 ans de moins il y a 10 ans, Pierre. Maintenant ça fait 20 ans de moins. [01:30:14] Speaker B: J'ai chaud. Bon voilà, je ne sais plus. Tu as choisi donc forcément Rage Against The Machine comme clip avec ce morceau Freedom. Est-ce qu'il y a une raison de ce choix, de ce titre-là exactement ? [01:30:25] Speaker D: Parce que la pochette m'avait marqué, moi quand j'étais parti à la Fnac l'acheter. Et puis c'est le premier album de Red Dragon que j'ai acheté aussi. Et puis le choix du morceau... Bon, évident. [01:30:35] Speaker B: Après t'avais fait toute la collec', enfin toute la collec' en même temps, elle n'est pas... Elle n'est pas immense la collection. Ça revient pas trop cher. Bon bah peut-être qu'un jour tu rencontreras Zach Del Avocat dans un concert de Red Dragon's The Machine. [01:30:48] Speaker A: Ou Zach Del Avocat et vous ferez un guacamole. [01:30:50] Speaker B: Bon allez, bah du coup, je... Est-ce. [01:30:52] Speaker A: Que... Bah l'été-là, je l'ai faite. J'aime bien. [01:30:55] Speaker D: J'aime bien qu'il y ait un point avec la cuisine, donc ça me plaît. Je vais sourire. [01:30:58] Speaker B: Poliment, poliment. Bon allez, on regarde le clip de Rage Against The Machine, choisi par Vincent. C'est Freedom. [01:31:37] Speaker C: I'm a soloist on a solo list All live, never on a floppy disk Ain't got, got, a bottle of rick Some rebellious, drawn upon the thoughts I take Les Paraclubs pour battre les Spaniards Avec de la poésie, j'ai peint les images et les hits Plus comme les muraux et les fiches Ne tournez pas, faites-le en avant Mon frère, avez-vous oublié votre nom ? Avez-vous perdu la guerre en jouant au tic-tac-toe ? Check la diagonale, les 3 frères sont partis, allez ! Ça ne fait pas 3 en 1 ? Je sais qu'ils comptent en revanche les zéros ! L'environnement ! L'environnement est au-delà du niveau de notre inconscience ! Par exemple, que dit le billboard ? Venez jouer, venez jouer ! Oubliez le mouvement ! Freedom Yeah Freedom Yeah, right Freedom La mort du monde ! La mort de tout ce qui s'est passé J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur. [01:40:04] Speaker A: C'est maintenant Pierre ! Là, il faut parler, là ! [01:40:07] Speaker B: On va le faire à chaque fois, ça va être horrible. D'autant qu'il n'y a pas les clips sur la VOD. Peut-être bientôt. [01:40:12] Speaker A: Oh, peut-être si vous mettez l'argent. [01:40:17] Speaker B: Clairement, soyons francs, nous allons mettre bientôt en place ce Patreon, ou Patreon, je ne sais pas comment on dit exactement. [01:40:22] Speaker A: Comme tu veux, les deux. sont valables. [01:40:24] Speaker B: On en parlera très prochainement puisque ça sera à vous, bien sûr, de nous soutenir via ce patron ou autrement. Mais il y a plein de petits cadeaux, dont l'émission qui sera sûrement disponible en entier. Comment ça ? Je ne sais pas. On y réfléchit toujours. Ce qui est certain, c'est qu'on... Et. [01:40:38] Speaker A: Peut-Être plus tôt, voilà. On vous écoute. D'ailleurs, sur le Discord, il y a un salon où vous pouvez faire vos propositions de bonus. Sachez qu'on a déjà tout lu et que quasiment tout était déjà prévu. Donc, on veut de nouvelles idées. [01:40:51] Speaker B: Vous pouvez continuer ! Point d'exclamation Discord dans le ch'meul en direct pour pouvoir nous rejoindre. [01:40:55] Speaker A: Ou dans la description bien sûr. [01:40:58] Speaker B: Oui, vous avez bien raison professeur. Nous venons de regarder un clip de Lafayette avec donc ce titre « Forever Yours » et c'est notre petite Amélie qui a choisi cette petite douceur, cette délicatesse que nous avons fortement appréciée. Alors ça sort d'où, c'est qui, c'est quoi ? [01:41:13] Speaker F: Alors, oui mon petit... Maïté donc. [01:41:18] Speaker B: On fait des thématiques ici, on est vraiment très forts. [01:41:21] Speaker A: C'est Maïté du coup ? C'est la voix de Maïté ? Par rapport à la cuisine ? [01:41:25] Speaker B: C'est parce qu'elle est morte. Bon, tu peux continuer. C'est bien d'enchaîner tout de suite l'invité. [01:41:34] Speaker F: Je vous ai ramené des bons produits du tiroir français aujourd'hui. Donc nous commençons notre voyage culinaire à Lyon. Les bouchons lyonnais, tout ça, les cannelles, les cervelles de canu. Vous connaissez ? [01:41:46] Speaker A: Non. Mais si, la cervelle de canu, les canu, c'est ceux qui s'assoient. [01:41:50] Speaker D: Albert Camus ? C'est toi qui aimes ça, non ? [01:41:55] Speaker B: Elle est très très bonne, on la note. [01:41:58] Speaker F: Donc oui. L'andouillette sous palonien. Donc ce groupe qui a des saveurs modernes de métal. J'arrive plus à faire la voix. [01:42:08] Speaker E: Arrête l'accent, tu peux parler normalement. [01:42:10] Speaker B: On a compris la blague depuis. [01:42:12] Speaker F: Je vais faire quand même jusqu'au bout mais bon. Du coup, c'est du métal moderne avec un affinage de 12 mois. Ils ont sorti 6 morceaux avec 5 clips. Celui-ci, c'est le 6ème clip. Et donc chacun, ils sont en compagnie de clips. Je viens de le dire. T'inquiète pas. Et donc du coup, il s'appelle Lafayette, comme on a pu le dire. [01:42:35] Speaker A: Comme les Galeries. [01:42:36] Speaker F: Putain, tu viens de niquer ma blague. [01:42:39] Speaker A: Je suis désolé mais moi les vannes c'est mon métier. [01:42:41] Speaker F: Bah oui oui mais à chaque fois. [01:42:42] Speaker A: Je... Bah pardon je ne dis plus rien. [01:42:43] Speaker F: Donc, comme les galeries Lafayette, on la boutade ! [01:42:47] Speaker D: Elle avait bien là ce phrase. [01:42:51] Speaker B: On la boutade ! [01:42:52] Speaker F: Donc Lafayette-Gourmet, 35 boulevard Haussmann, ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 21h. Ils nous payent par un, je tiens. [01:42:57] Speaker B: À signaler que c'est pas un sponsor. [01:43:01] Speaker A: Malheureusement. [01:43:02] Speaker F: Voilà, et le dimanche de 1h à 21h. Bref, ils joueront leur spécialité en direct live à Montpellier, donc le 15 mars, à Compiègne le 17 mai et à, alors je connais pas cette ville, le Saunier. [01:43:18] Speaker D: Ah, mais je sais pas où c'est. On le dira ça ? [01:43:22] Speaker B: Mais on leur fait des bisous. [01:43:23] Speaker A: C'est bon le vin jaune ? [01:43:25] Speaker D: La campagne. [01:43:27] Speaker F: J'ai pas dit la date, c'est le 28 mai. D'accord. Donc du coup, le clip qu'on a vu, ça s'appelle Forever Yours. Et donc du coup, comme je disais, c'est sorti du four vendredi. Il y a plein de vannes sur la bouffe. Ça m'a inspirée. [01:43:39] Speaker B: J'en ai fait travailler, on note, on note. [01:43:42] Speaker F: Ah oui, j'avais souhaité une autre vanne aussi. Je m'en régale les marmelles. [01:43:46] Speaker A: Ça c'est une blague que t'aurais pu faire Pierre. Celle-là, c'était pour toi, Pierre. [01:43:55] Speaker B: Je m'attendais pas à ça. Tu vois, il y a des gens. [01:43:59] Speaker A: Ils t'écoutent et après tu les inspires un peu trop. [01:44:02] Speaker B: Je t'ai dit que toi c'est Gladys, moi c'est Amélie. [01:44:07] Speaker F: Par rapport à nouvel an ? [01:44:09] Speaker B: Beaucoup de choses. [01:44:12] Speaker A: Une attitude en général. [01:44:14] Speaker F: Donc du coup, habituellement, ça cogne un peu fort ce groupe. Mais là, le titre que je vous ai proposé, c'est un peu plus émotionnel. Ça raconte l'évolution de deux personnages qui sont bercés par l'absence. Alors je vais le citer, parce que du coup, j'ai demandé au groupe. Bercés par l'absence, le manque et le souvenir d'un être aimé. C'est une chanson d'amour. Voilà voilà et donc du coup en cuisine nous avons donc Arthur de Smash Hit Combo qui est au champ, Flo de Destinity, tous les deux avant ils étaient dans In Arcadia qui n'existe plus avec également J-Ben qui est là dans Lafayette donc les trois viennent de In Arcadia et le quatrième donc Julien qui était dans, ah oui j'ai fait une blague, It Came From Beefsteak, c'était It Came From Binès. [01:45:01] Speaker B: Donc voilà ! Ok ok, non mais j'avoue que j'avais pas écouté Lafayette, je ne me semble pas en ce cas. [01:45:08] Speaker A: Moi j'étais passé à côté de ce titre et il est très très bien. [01:45:10] Speaker F: Il vient juste de sortir là. [01:45:12] Speaker A: C'est vraiment super. [01:45:13] Speaker B: On les félicite et on te remercie de ce choix. D'autres choses à dire sur Lafayette ? [01:45:18] Speaker F: Sur eux, pour l'instant, non, ça va. [01:45:19] Speaker B: Non, ça va, on y reviendra peut-être une prochaine fois. N'hésitez pas à les rejoindre sur leurs réseaux sociaux, bien évidemment, pour les soutenir. On soutient la scène locale, on le répète systématiquement avec Ben. La scène française. Oui, la scène française, effectivement. Nationale, donc. [01:45:33] Speaker A: Voilà, n'est-ce pas. [01:45:35] Speaker B: Européenne. Elle était bien, celle-là. Tu peux faire avec l'accent si tu veux. Elle fait très bien. Elle a son âme. [01:45:44] Speaker D: PET. Voilà. [01:45:46] Speaker B: Je sais plus ce que je veux dire. Et oui, si vous voulez aller voir des concerts, n'hésitez pas à acheter vos places en avance parce qu'au dernier moment, du coup, les comptes français, paf, dans le cul. [01:45:56] Speaker A: Si vous voulez qu'il y ait plus de concerts, il faut acheter vos places tout de suite. Voilà. Sinon, il faut les soutenir. Ça ne soutient pas les promoteurs dans leur promotion. [01:46:05] Speaker B: Tout à fait. C'est plutôt une bonne idée. Un autre clip qui est arrivé, celui-ci, c'est ? [01:46:11] Speaker F: C'est Pogo. [01:46:12] Speaker B: D'accord, Pogo, mais il est au groupe, juste Pogo. [01:46:13] Speaker F: Oui, c'est pas Pogo, Car Crash Contrôle, ça c'est autre chose. Donc ça, ça n'a rien à voir. Donc j'ai mis dans cette recette, alors, à base, des mentales râpées. [01:46:22] Speaker B: Des métal ? Mais oui, c'est ça. [01:46:25] Speaker D: Ah ouais, tu l'as pas eu celle-là ? [01:46:27] Speaker B: Non, bah non. [01:46:28] Speaker F: Oh là là, c'était pour toi que je l'avais faite. [01:46:30] Speaker B: Mais du coup, il rappe dans le groupe ? Ouais, à gauche. [01:46:33] Speaker F: Bah oui, métal, et râpées, râpées. [01:46:35] Speaker B: On sait jamais, peut-être que la blague, elle était loupée. [01:46:38] Speaker F: Bah, vu que vous avez pas compris, un peu, ouais. [01:46:40] Speaker A: C'est pas comme les tiennes. [01:46:41] Speaker B: J'ai l'impression qu'il y a des plus beaux de nous. [01:46:46] Speaker A: Bon allez, il faut qu'on se taise, faut qu'on la laisse parler. [01:46:48] Speaker F: Donc cette recette marie les saveurs d'un trap métal. Donc en cuisine nous avons Bastien de Orsk, c'est un groupe Indus. On les a déjà diffusés. Son prénom je ne savais pas, je ne connais pas ce groupe là non plus. C'est Caney du groupe Tetra Hydro K. Et c'est un groupe de dub. En fait ils sont que deux. [01:47:08] Speaker A: Voilà. [01:47:09] Speaker F: Et donc du coup ce clip a été tourné par notre chef étoilé Brice Hinker et Amélidiane à la création. Et le titre s'appelle Trap Dead. Si vous aimez Ghostman, Aurore, Scar... Scarlix RD, je sais pas comment on dit. Ah d'accord. Scarland et City Morgue, bah vous allez vous régaler les babines quoi. [01:47:32] Speaker A: Ah d'accord. Donc ouais, plutôt trap... [01:47:36] Speaker B: Moderne. Très moderne. [01:47:37] Speaker A: Trap Metal, Dark Techno, Sombre, Petrovide, Machines. [01:47:43] Speaker B: D'Artillerie... musical que toi t'aimes bien particulièrement ? [01:47:52] Speaker F: En fait je l'ai découvert justement parce que Brice avait mis en story un clip qui venait de tourner, j'ai fait ah ça a l'air pas mal et tout et ouais j'ai adoré direct quoi, le mélange je trouve qu'il est juste parfait, c'est bien énervé, c'est pourtant pas spécialement rap de base mais tout ce qui va être mélangé, Ghostman déjà j'adore, il y a ce truc vraiment énervé et puis les sonorités un peu duce, je trouve que ça marche vraiment bien les deux ensemble quoi. [01:48:17] Speaker B: Ouais, en gros, il pouvait pas faire ça dans son groupe, il s'est dit, je vais aller rapper en faisant un autre groupe parce que quand même j'aimerais bien... Et puis bon, pour pas mélanger le tout, non c'est très bien, très très bien, puis c'est de très très bonnes personnes, de très bons artistes. Donc il faut suivre aussi Pogo, alors ça s'écrit P-O-G-O. Enfin, je crois qu'il y a pas. [01:48:37] Speaker F: Un nom pour ça, le zéro qui est barré ? [01:48:40] Speaker A: Il y a un O barré qui est une lettre dans l'alphabet scandinave. Il y a aussi le O barré qui peut être juste un zéro. Ça dépend comment il est fait. Si la barre dépasse du O, c'est le O barré. Si la barre est inclue dans le O, c'est un zéro. [01:48:59] Speaker B: Mais merci professeur ! On en apprend tous les jours ! Je ne le savais pas, je crois que ça sort des hauts. [01:49:05] Speaker A: Alors c'est un nom mais je ne le connais pas. [01:49:07] Speaker B: Après il suffit de l'écrire et d'aller chercher. N'hésitez pas à les rejoindre, c'est du trap métal donc on va voir ça. De toute façon elle n'aime que les trucs qui le tabassent parce qu'elle aime bien frapper les gens. [01:49:16] Speaker A: Regarde sa tête. [01:49:20] Speaker B: Tu voulais qu'on reparle de Nouvel An ? Je plaisante, je plaisante, je plaisante. On va regarder ça. [01:49:25] Speaker F: De toute façon, j'ai pas grand chose à dire. [01:49:28] Speaker B: C'est vrai. En tout cas, j'étais très fier de toi. Je me suis dit... Je t'ai vu passer, enfin, toi tu ne te voyais pas passer. Je t'ai vu passer, j'ai fait... C'est bien, ça c'est mon côté à moi. Voilà. Vous n'avez rien compris ? C'est normal parce qu'on ne va pas tout dire. [01:49:45] Speaker A: Il fallait être au Philgodon. [01:49:46] Speaker B: C'est ça. Un endroit merveilleux. On va regarder donc ce clip de Pogo. [01:49:51] Speaker F: Oui, tout à fait. [01:49:51] Speaker B: Avec le titre « Trap dead » choisi par un ami. Je peux dire un petit truc ? Vas-y bien sûr, n'hésite pas. [01:49:56] Speaker F: La semaine prochaine, nous verrons comment cuisiner la daube quand elle est bien fraîche. Nous accueillerons les spécialistes en daube magique système accompagnés de l'armourie Ayana Kamoura. [01:50:07] Speaker B: Voilà. Ah bah putain, je... Ah bah il. [01:50:12] Speaker A: Va se faire défoncer ! [01:50:13] Speaker B: Ah bah il va se faire défoncer ! Bah je... Très bien. Nous on est innocents. [01:50:18] Speaker A: Moi j'adore Ayana Kamoura. [01:50:20] Speaker B: Qu'est-ce qu'il y a Marcel ? [01:50:24] Speaker A: J'adore... Et Izuto aussi j'adore. [01:50:26] Speaker B: Alors moi j'aime bien. [01:50:27] Speaker A: Bah oui, moi aussi. [01:50:28] Speaker B: C'est vrai, t'as dit que t'aimais bien en plus. On s'est dit, on a compris pourquoi ça marche pas mais... [01:50:33] Speaker A: Si vous aimez la trappe, écoutez l'album d'Izzet. [01:50:37] Speaker B: Il peut y en avoir à certains moments, effectivement. Allez c'est parti, Pogo, merci Amélie. [01:50:41] Speaker F: De rien. [01:51:24] Speaker C: The silence is the pain C'est parti ! [01:56:36] Speaker B: Merci parce que j'étais encore une fois un peu perdu. D'ailleurs je ne sais même plus ce qu'on a là-dessus. Split chain avec I'm not dying to be here. [01:56:45] Speaker A: Pas très bien traduit cette phrase. On dirait une phrase mal traduite. [01:56:51] Speaker B: Je ne sais pas d'où il vient. [01:56:51] Speaker A: Je ne suis pas venu ici pour souffrir, ok ? [01:56:52] Speaker B: Je pense que ça doit être ça. Après c'est dans le métal, on est tous un petit peu fragiles. [01:56:59] Speaker A: Ouais, on a tous envie de mourir. [01:57:01] Speaker B: Aussi, c'est vrai qu'il y a quand même globalement... Bon on va poser ça. [01:57:04] Speaker A: Aussi avec... Ah t'as pas envie de mourir toi ? [01:57:05] Speaker D: Pas trop. [01:57:07] Speaker A: Bah t'as de la chance hein, parce que moi... [01:57:11] Speaker B: C'est vrai que t'es dans le bureau de la déprécie. [01:57:14] Speaker A: Mais tu parles, c'est vraiment la bonne humeur ici. [01:57:17] Speaker B: La bohème. [01:57:19] Speaker D: La bohème. [01:57:20] Speaker B: Donc notez le nom Speedchain, pour toutes les personnes encore une fois qui voudraient avoir plus de détails, ce sera sur notre chaîne YouTube, n'hésitez pas à vous abonner. [01:57:28] Speaker A: Très sympa ce groupe. [01:57:29] Speaker B: Il y a ce petit côté planant, shoegaze, peut-être un peu Deftones, effectivement. [01:57:34] Speaker A: Comme à peu près 90% des groupes. [01:57:36] Speaker B: Qui sortent en ce moment. 80% des choses qu'on aime diffuser dans cette émission. C'est un petit peu dirigé, je vous le concède. Mais quand ça nous plaît, on a envie de le partager avec vous. Peut-être que vous ne connaissiez pas, donc voilà. Ça fera peut-être partie de votre discographie. Tu penses quoi de ce genre musical showbiz un peu planant comme ça ? C'est un truc qui t'emmerde ? [01:57:53] Speaker D: Non, j'aime bien. En fait, je trouve ça assez nostalgique, ça te ramène dans des années. Il y a pas mal de groupes qui font ça, même au Canada, qui créent des groupes de showbiz un peu comme ça. Et ouais, non, j'aime bien. Il y a un côté un peu déprimant, ça te ramène, souvent ils font en sorte d'avoir des imageries, des vidéos qui te rappellent justement les années 90, comment c'était, etc. J'aime bien, mais c'est un peu nostalgique quand même. Je suis partagé entre les deux. [01:58:15] Speaker B: C'est des jeunes qui font cette musique en disant franchement c'était mieux dans les années 90, parce qu'ils n'étaient pas nés. C'est quand même bizarre de faire ce genre de travail de nostalgie, non ? Ou alors c'est qu'ils fabulent. J'ai l'impression qu'il y a quand même... [01:58:27] Speaker A: Tu idéalises, mais c'est comme il y a des groupes qui font de la musique un peu psyché 70, ils n'ont pas connu non plus. [01:58:36] Speaker B: Et tu leur dis rien à eux ? Alors c'est quoi ça ? Allo ? Ils sont peut-être pas sous le champi ou peut-être que si. [01:58:43] Speaker A: C'est ça parce que comme ça toi tu peux dire ouais mais moi je les ai vécu les années 90 ok. C'est ça que tu veux dire ? Pauvre merde, pauvre merde. [01:58:50] Speaker B: Je me suis toujours mis du rouge à lèvres comme Robert Fini. [01:58:53] Speaker A: Non c'est faux, c'est faux et t'avais des pattes plus trouées non plus. Arrête de mentir. Par contre t'avais des dreadlocks qui te lavaient le cul. Moi je la connais la vérité ! Je vais vous les sortir les photos, vous allez voir ! Vous allez voir à quoi elle ressemblait le machin là ! [01:59:11] Speaker B: Allez donc sur Discord, ce sera distribué gratuitement ! [01:59:19] Speaker A: Il y en a une on peut. [01:59:20] Speaker B: Souvent j'étais cul nu donc on va éviter d'avoir des problèmes avec... Comme quoi il y a des choses qu'on peut pas trop changer. Tous les styles qu'il y a comme ça, t'as écouté beaucoup de néo métal du coup tu m'as dit tout à l'heure ? T'étais dans une période néo-italienne ? [01:59:35] Speaker D: Ouais pas beaucoup mais ça a commencé à arriver quand j'étais ado, j'ai découvert ça à ce moment là ouais. [01:59:40] Speaker A: En tout cas il aime pas corne ça c'est sûr, il m'a dit. [01:59:42] Speaker D: Vraiment pas. Sombre chiasse. [01:59:44] Speaker B: Un autre poivre commun avec Pierre. Bon c'est ma fête ce soir. [01:59:52] Speaker D: Bonne fête Pierre. J'espère que tu passes un bon moment. [02:00:00] Speaker B: J'ai peur, je me sens mal. J'ai essayé de noter quelques petites questions quand même parce qu'il faut que j'arrive juste à me relire. Est-ce qu'aujourd'hui, donc t'écoutes toujours cette musique, t'es dans la restauration, t'as appris ça depuis que tu es assez jeune, cette musique est arrivée très tôt, ton père donc jouait de la batterie. Est-ce que tu sens... [02:00:17] Speaker A: C'est un bon régime. [02:00:19] Speaker B: C'est très rapide mais... Non mais c'est. [02:00:20] Speaker A: Bien, c'est bien, bravo. [02:00:22] Speaker B: Est-ce que t'as l'impression d'être sorti de ton adolescence ou t'es toujours la même personne d'après toi ? sans parler de la rigueur que tu as pu apprendre en travaillant, si j'ai bien compris. [02:00:33] Speaker D: Non, je pense que je suis toujours un ado. [02:00:35] Speaker B: Ouais. [02:00:36] Speaker D: Ouais, je suis un enfant de 32 ans. [02:00:37] Speaker B: Un enfulte. C'est quoi ? [02:00:40] Speaker A: Un enfulte. [02:00:40] Speaker D: C'est une insulte un peu, ça. Enfulte. [02:00:42] Speaker A: Enfant, adulte, enfulte. [02:00:45] Speaker D: J'aime bien. Je sais pas si je le remploierais, mais j'aime bien. [02:00:49] Speaker A: Ou adolescent, sinon. Ouais. Je trouve qu'enfulte, c'est plus drôle. [02:00:53] Speaker D: Enfulte, c'est plus drôle. J'aime bien. [02:00:57] Speaker B: Du coup, tu te sens toujours adolescent ? Ouais, enfin. Y'a le boulot, et dès que tu sors, c'est... C'est un... Tu redeviens cet enfant ! J'essaye de pas dire... T'as tes petits avis du problème ! C'est bien qu'on n'est pas fous ! Je tiens quand même à le dire. L'alcool c'est dangereux pour la santé, bon même si certaines personnes peuvent aimer beaucoup ça. J'en fais partie. Les gens l'ont compris. Ok, donc tu te sens toujours adolescent et ça entretient ce métal ? Tu penses que ça permet aux gens de garder un petit peu cette âme d'enfant, d'écouter ce genre musical ? Comme si c'était du rap, parce que je pense que c'est à peu près similaire aux musiques qui sont de jeunes. Le métal en fait c'est une musique de vieux. [02:01:43] Speaker D: Je pense que oui, je le vois sur plein de concerts où t'as un public aussi qui vieillit, qui suit aussi un petit peu les tendances et t'as des mecs de 40, 50, 60 ans en concert qui sont des vrais déglingos, les mecs ils ont 15 ans dans leur tête quoi. Donc c'est cool de voir je pense que ça... Y'a un côté un peu élixir de jouvence, je pense que ça conserve aussi pas mal de... de ce que je voulais dire. [02:02:04] Speaker A: Oui, ça confère cette idée d'être jeune. [02:02:09] Speaker B: Je pense que comme tu disais à l'instant pour le shoegaze qui te ramène à un souvenir ou quelque chose comme ça, toute cette musique-là, ce genre musical, te ramène systématiquement à une histoire que tu as vécu étant plus jeune, une énergie, quelque chose qui t'a nourri. [02:02:21] Speaker D: Et un truc qui est commun, c'est que pour avoir aussi un peu trait dans les scènes un peu techno, c'est un univers qui est très individualiste, alors que le métal est beaucoup plus fédérateur je trouve. chacun vit son concert de manière individuelle mais c'est dans un collectif où tout le monde chante. Donc quelque chose de bien plus fraternel je trouve dans le métal qu'on peut l'avoir dans la techno. C'est pas méchant contre la techno, c'est juste un état d'esprit qui est vraiment très différent je trouve. [02:02:44] Speaker B: Du coup tu préfères ce côté familial un petit peu bon enfant. [02:02:48] Speaker D: Ouais mais familial en premier degré dans le sens où je fais encore des concerts ou des festivals où justement t'as des enfants qui sont là. J'ai moi-même une fille que je ramènerai quand elle sera un peu plus grande. en festival ou en concert, donc justement cette scène-là le permet. Scène techno, acid house... Frenchcore entre deux tasses dans les gencives, non ? Peut-être pas. [02:03:08] Speaker A: Apparemment sur les enfants c'est pas très très bien mais après bon... [02:03:13] Speaker B: Il parait que ça développe leur imaginaire. Et du coup t'as une fille, est-ce que tu penses que t'auras ce plaisir de transmission musicale avec le métal ou quand elle te dira qu'elle est fan d'un truc qui est équivalent à Maître Gims tu seras content ? [02:03:32] Speaker A: C'est juste que Gims maintenant il est plus bête. [02:03:34] Speaker B: Il sera plus là quand elle sera grande. [02:03:38] Speaker A: T'as compris ? [02:03:41] Speaker B: Ce serait un homme-robot. [02:03:42] Speaker D: Non, après je ne sais pas si j'aurai une influence sur ce qu'elle écoutera. Ce n'est pas tellement ce qui m'intéresse, elle écoutera ce qu'elle voudra et si ça lui plaît, c'est l'essentiel. Je ne veux pas non plus être là, faire le vieux Sensei, genre écoute le métal, non. Bon ben d'écoute, j'essaierai de l'orienter un petit peu vers ça, si ça l'intéresse, si ça ne l'intéresse pas. [02:03:56] Speaker B: Parce qu'on dit souvent dans cette musique que c'est une musique qu'on n'attrape pas comme ça, mais souvent c'est une transmission, c'est des gens qui l'amènent, on nous explique avec un état d'esprit, il y a comme un truc très soit religieux, soit scolaire dans le côté... Non mais. [02:04:11] Speaker A: Je pense qu'il faut être un peu habitué à écouter ces sonorités. C'est plus... Je pense que c'est un côté éducation. [02:04:17] Speaker D: Quand t'as grandi avec ça, ça peut être plus facile après toi de pousser la porte vers le métal. Après, à l'heure actuelle, oui, c'est quelque chose dont on parle même avec ma femme. On lui en parle, on lui en fait écouter. Après derrière, il y a des trucs sur lesquels elle accroche, d'autres moins, et encore une fois, on ne sait pas à quoi ça... On ne sait pas ce que ça va être dans dix ans le metal, on ne sait pas ce que sera la scène metal dans dix ans. Est-ce que ce sera encore du metalcore, est-ce que ce sera... [02:04:39] Speaker B: On ne sait pas. [02:04:42] Speaker D: En ce moment, il y a beaucoup de ça à ce qu'on entend, il y a beaucoup de metalcore qu'on entend. Qu'est-ce que ce sera dans dix ans, je ne sais pas. Mais après oui, lui en parler, lui en faire écouter absolument. Elle écoutera ce qu'elle voudra. [02:04:53] Speaker A: Si vous en écoutez à la maison, elle est déjà sensibilisée. [02:04:56] Speaker D: Ouais mais si elle me dit qu'elle aime pas ça... Je sais pas, je vais pas en. [02:05:00] Speaker E: Faire une... Et bien elle se prendrait. [02:05:00] Speaker A: Une tarte dans la gueule et puis... [02:05:01] Speaker B: C'est comme ça ! Est-ce que la cuisine aussi, tu pourrais faire un parallèle avec la cuisine et ton travail, te fait garder cet esprit de jeunesse ? Ou alors au contraire ? [02:05:13] Speaker D: C'est l'inverse ! Le métal me rajeunit, ce métier me vieillit, ouais. [02:05:20] Speaker B: Mais pourquoi ? [02:05:21] Speaker D: Ah parce que c'est pas tant psychologiquement parce que bon ça on s'habitue un petit peu à avoir cette espèce de charge on va dire de choses à gérer mais non c'est plus physiquement j'ai mal au dos tu vois j'ai 32 ans j'ai mal au dos je te lis je mets de soi j'ai mal au dos ouais ouais Donc ouais, il. [02:05:34] Speaker A: Y a quand même des problèmes de vieux. Physiquement, c'est éprouvant. Là, maintenant, du coup, tu as des horaires un peu plus corrects, j'imagine. Mais toutes les années où tu étais en cuisine, dans les services et tout ça, c'est des horaires... Enfin, on finit très tard, on commence très tôt. Il y a peu de sommeil. Et puis après, il y a aussi l'ambiance... Voilà, un peu la fête, tout ça, entre le moment où... [02:06:06] Speaker B: Il y a des moments où il faut patienter ! [02:06:07] Speaker A: Tu as esquissé un petit peu la question tout à l'heure, mais c'est vrai que c'est des milieux où les gens ne font pas semblant. [02:06:16] Speaker D: C'est extrême dans tous les sens du... En fait, c'est très très vrai, dans le sens où on travaille beaucoup. Moi j'ai commencé à travailler en coupure, je démarrais le matin à 8h, j'avais une coupure à 16h. Si j'avais fini mon travail, je reprenais, il devait être 17h30, et on finissait à 1h du matin. et on mangeait vraiment, il n'y avait pas de cantine, on mangeait vraiment presque par terre à bouffer un bol de riz entre deux services quoi, donc c'était vraiment intense et on finissait les services et on partait dans quelques bars qui étaient encore ouverts, à l'épicerie prendre de la bière. [02:06:46] Speaker A: Parce que t'as besoin de décompresser. [02:06:49] Speaker D: En fait, mais c'est ce que je veux dire, je suis pas en train de glorifier ça, j'étais un peu plus jeune et c'était marrant de le faire. Je pourrais plus le faire à l'heure actuelle, maintenant je bois 5 pintes, je pose 3 RTT parce que j'y arrive plus quoi. Maintenant je suis une momie frangéricaine de flotte comme ça, et je me pus. Mais ce que je veux dire c'est que c'est aussi un milieu où il y a beaucoup de dépendance, et ça c'est, tu me disais tout à l'heure en off, est-ce qu'il y a des points que t'aimerais aborder, juste une micro-parenthèse sur ça, c'est que c'est aussi un milieu où il y a beaucoup d'addiction, il y a beaucoup de gens qui sont aussi là-dedans. que ce soit dans l'alcool, la cocaïne, les drogues... Tu couperas, héroïne, tout ça... Non mais. [02:07:23] Speaker B: C'Est de la prévention, donc on a loin de... [02:07:25] Speaker D: C'est la prévention sur ça, c'est les métiers qui sont en train de changer la place de la femme, la place de la drogue, et en train de changer dans ces métiers-là. Il y a moins d'OMERTA qu'avant, mais voilà, moi j'ai connu ce métier il y a quinze ans quand je l'ai commencé, il y avait des vrais problèmes de violence psychologique et des problèmes de drogue, beaucoup. [02:07:47] Speaker B: Et ça a été travaillé, comment ça a été amené le fait de moins que ça arrive ? Ça a été serré, on a viré les gens qui étaient agressifs ? [02:07:56] Speaker D: En fait ça passe par là, c'est qu'on a écumé déjà à la tête de la pieuvre, vraiment, c'est pas du tout l'expérience, L'expression, je voulais dire, tête de la pioche. Voilà, ils ont commencé déjà à faire du tri dans les personnes qui étaient un peu plus gradées, qui souvent, elles-mêmes, faisaient office de passeurs à ceux qui étaient en dessous, qui, voilà, à la fin du service, ils filent un gramme de coke pour ce soir, pour être en forme. Mais c'était ouvert, c'est qu'en fait, on en parle maintenant des violences en cuisine et de la consommation de drogue, mais moi j'ai des souvenirs de cuisine où je suis au vestiaire et je vois des sous-chefs qui tapent de la coke, qui prennent de la ritaline, pour rester speed et concentré durant les services. [02:08:36] Speaker B: Du coup ça a entraîné cette forme de violence après, parce que forcément j'imagine que t'es un peu moins... maître de toi quand t'es exalté et puis... T'es. [02:08:44] Speaker D: Moins maître de toi et puis surtout, il n'y a plus de fatigue et c'est des mecs qui sont... qui s'usent quand même physiquement et psychologiquement. Donc voilà, ce métier est en train de changer. La place des femmes dans ce métier est en train de changer, heureusement d'ailleurs. Les gens sont beaucoup plus inclusifs et beaucoup plus dans le dialogue. Ces éléments-là, soit ils ont changé de métier, soit ils ont un petit peu été évincés des brigades. Je ne dis pas qu'il n'y a plus de Dragon Cuisine, il y en aura toujours, je pense. [02:09:11] Speaker A: Comme dans beaucoup de milieux, mais c'est. [02:09:12] Speaker D: Vrai que c'est un monde spécial où tu travailles la nuit, où tu travailles beaucoup. [02:09:17] Speaker A: Parce que c'est tellement exigeant aussi que les gens ils cherchent le moindre moyen de pouvoir tenir parce qu'au final c'est ce que tu disais au début tu fais des tâches de merde et plus tu t'accroches, plus tu tiens, plus tu montes donc les gens sont prêts aussi à faire des... Ouais, et puis il. [02:09:34] Speaker D: Y a des gens à qui il reste que ça. Il y a des gens qui ont tout sacrifié aussi de leur vie, de famille, leur vie sociale, pour faire ce métier-là, et maintenant qu'ils ont que ça, au fait, il faut que ça marche. Parce que si ça marche pas, ils ont plus rien. [02:09:48] Speaker B: Non mais je me dis, c'est quand même incroyable d'avoir vu ça. Enfin toi t'as vécu la fin, la transition en tout cas, tu l'as vécue. T'es en train de la vivre toujours. Mais ce que je veux dire c'est que... Tu sais, un peu pareil dans les médias, c'est pas faux, ça a beaucoup changé aussi. Merci, c'est tant mieux. [02:10:06] Speaker A: Parce que dans les médias, ils gagnent moins d'argent qu'avant. [02:10:09] Speaker B: Moi aussi. Du coup, c'est sortir 60 balles ou 70 balles à chaque fois, bon, forcément. Mais c'est juste que ça se voyait, c'était quelque chose qui était... Ça semblait être une légende pour les gens qui travaillaient pas en cuisine. Mais de cette violence et cette place-là, c'est bizarre qu'il n'y ait pas eu de réaction avant, qu'il n'y ait pas eu plus d'envie de changer les choses. [02:10:33] Speaker A: Parce que c'est aussi un... Enfin, ça me permet d'aider les gens. [02:10:37] Speaker B: C'est pas méchant, c'est de les aider. [02:10:38] Speaker A: C'était aussi un métier qui était beaucoup dans l'ombre. Enfin, c'est mis sous les projecteurs vraiment depuis Top Chef, en fait. C'est un peu le truc. Bon, maintenant, ça fait quoi, dix ans, quinze ans ? Trop longtemps. Quinze ans. Mais c'est vrai qu'avant, le métier de chef n'était pas trop mis en valeur, à part quelques grosses stars. Mais sinon, c'était quand même... Et puis. [02:11:04] Speaker D: T'Avais une réelle homérité aussi dans les cuisines, c'est qu'on savait qui tenait les rênes de la cuisine. Si tu voulais évoluer aussi, il fallait rentrer là-dedans parce qu'il y avait une vraie ségrégation vraiment autour de ça. [02:11:16] Speaker A: Moi, j'ai une petite question. Du coup, c'est quand même un milieu qui est très dur, physiquement, mentalement, même au-delà. Enfin, je ne parle pas que de la drogue et tout ça, mais je veux dire, ça demande beaucoup. Est-ce que toi, la musique, c'est quelque chose qui t'a aidé un petit peu dans toutes ces épreuves ? Est-ce que c'est un truc où écouter de la musique, ça te permettait d'un peu survoler les problèmes et d'y aller. Enfin, moi, je sais que c'est nous la raison pour laquelle on fait tout ça, c'est de rendre à cette musique ce qu'elle nous a donné. Moi, je pense que clairement, je n'aurais pas fait la moitié de ce que j'ai fait dans ma vie sans cette musique. Est-ce que toi, c'est pareil, ça t'a apporté des choses ? [02:12:02] Speaker D: Oui, c'est une soupape de décompression qui est énorme et qui le sera toujours dans ma vie. C'est un exutoire qui me calme, qui des fois me défoule. Et ça dépend aussi de de l'époque et du moment que je suis en train de traverser dans ma vie, mais ou c'est quelque chose qui va vraiment totalement me calmer, ou ça va être un défouloir que je vais pouvoir relâcher sur des concerts, sur des festivals où là vraiment je vais pouvoir relâcher tout ça quoi. Mais dans tous les cas ça a eu des vertus thérapeutiques, c'est un très très bon antidépresseur, vraiment, je pense. Donc morale dans la vie, chocolat et métal, voilà. [02:12:39] Speaker B: C'est joli. C'est un concept ceci dit. T'as déjà eu envie de développer justement des choses métal, d'une image métal dans la cuisine ? Des recettes, des trucs comme ça ? Est-ce que t'as déjà voulu faire ça ? Ou est-ce que t'as eu des délires où tu t'es dit c'est marrant mais ça marchera pas ? [02:12:55] Speaker D: Ouais complètement, j'ai eu des délires. Je peux donner un exemple d'un truc que je voulais faire qui m'a été refusé parce que forcément c'est très provocateur. J'aimais bien aussi jouer avec ce côté un peu border de ça, c'est que j'avais proposé à un moment à mon chef de concréter un amuse-bouche un petit peu original où en fait on allait faire un rail, ça commence mal, un rail sur une assiette au fait de poudre de tomate et de piment, on allait finalement aspirer avec la bouche et ensuite boire un shot d'eau de tomate glacée. Donc t'as d'abord ce jeu de température, ce contraste justement sucré, piquant, Evidemment il a dit non parce que pour des raisons évidentes que demander à un client qui paye 400 balles son menu de prendre une paille et de sniffer avec sa bouche bien sûr, ça marchait pas. [02:13:43] Speaker A: C'est comme le sniffy ! [02:13:46] Speaker B: C'est sûrement beaucoup plus appétissant et beaucoup plus agréable, j'imagine. [02:13:49] Speaker D: Mais non voilà c'est un exemple après... Ouais non, je sais pas forcément à faire dans la provocation, mais je pense qu'on peut faire passer des messages en cuisine qui sont forts en fait. Il y en a qui le font très très bien sur Paris, je pense à Adrien Cachot qui a son restaurant vaisseau à Paris, qui sort de Top Chef aussi, mais pour le coup qui est talentueux. Ils le font pas tous. Non mais c'est vrai, c'est pas méchant, c'est la réalité. Il y en a plein qui sortent de là, qui justement créent des restaurants qui sont vraiment intéressants et qui mettent aussi en avant ça, qui ont des messages forts et qui arrivent à faire passer à travers leur cuisine. Et ça semble un peu la phrase bidon, faire passer un message, on parle toujours de l'histoire, etc. Je trouve ça un peu bidon. Mais vraiment des gens qui arrivent à faire passer des messages, que ce soit des messages politiques, des messages d'écocitoyenneté, d'environnement, à travers leur métier. Ils sont peu nombreux, mais il y en a qui arrivent. [02:14:43] Speaker A: Maintenant, il y a quand même beaucoup de gens dans la cuisine, toute cette nouvelle génération, où ils sont quand même beaucoup plus à se préoccuper de ce qu'on met un peu dans l'assiette, et les saisonnalités, des choses comme ça. C'est vrai que c'est un message qui est important pour aussi... C'est important qu'eux le transmettent, parce qu'il y a encore beaucoup de gens qui n'arrivent pas à comprendre ce concept de... Si on trouve des tomates au supermarché en permanence, c'est qu'ils pensent que c'est tout le temps la saison de la tomate. Et ce n'est pas le cas, et c'est une grosse partie des catastrophes écologiques, ce qui se passe en Espagne, tout au sud de l'Espagne, qui produit quasiment tous les fruits et légumes qu'on a en hiver chez nous. et ils pompent dans les nappes phréatiques et c'est des sécheresses énormes. [02:15:29] Speaker D: C'est vrai qu'il fait 50 degrés là-bas quoi. Et ça va faire que croître au fur et à mesure des années. Et on le sait. [02:15:37] Speaker A: Mais il y a encore beaucoup de gens qui ne se rendent pas compte des gens qui font leurs courses et qui ne se rendent pas compte qu'acheter des trucs hors saison c'est... C'est un scandale et qu'il faut juste apprendre à manger avec les saisons. Ça implique peut-être un peu plus de travail parce qu'il faut réfléchir à des recettes. Il faut aussi s'adapter ce qu'on a envie de manger à ce qui est disponible. Mais si on ne passe pas par là, ça ne va pas aller en s'arrangeant. Et les avocados toast, c'est pas une bonne idée non plus, voilà. [02:16:13] Speaker D: Voilà, c'est ça, le bilan carbone est pas ouf. C'est pas très précis en termes de stats, mais l'idée est passée. [02:16:22] Speaker F: Alors j'avais une question, parce que vous avez parlé de Top Chef et tout ça, je voulais savoir ce que toi tu pensais de justement ce genre d'émission, et même sur Instagram on voit beaucoup de personnes qui proposent des cuisines, des recettes. On y va là, on y va. Est-ce que t'es choqué des fois de ce que tu vois qui est fait en recette ou est-ce que tu trouves que c'est une bonne idée que ça puisse donner aux gens l'envie de cuisiner des choses un peu différentes ou ce genre de choses ? [02:16:48] Speaker D: Bon contre ! Très sincèrement, je trouve ce genre d'émission très bien quand ça a été lancé. Ça a permis justement, comme tu dis, de mettre en avant ce métier-là, qui a longtemps été une voie de garage, ta première blague. Alors que c'était une voie de cuisine ! Pour moi, c'est une bonne chose qu'on mette ces métiers-là en avant. Le problème, c'est que ça fait trop longtemps. C'est-à-dire que pour moi, je crois que c'est la 11e ou la 12e saison de Top Chef. Ça commence à faire beaucoup. J'aimerais peut-être qu'on s'intéresse à d'autres métiers. Je pense qu'il y a d'autres métiers qui seraient hyper intéressants, qu'on ne connaît pas assez ou qu'on ne met pas assez en avant. Non mais je sais pas moi, un top, ce que je disais, je sais pas, un top infirmière, un top sage-femme, un top, je sais pas, un top garagiste, enfin je sais pas, mais qu'on parle d'un autre métier. [02:17:39] Speaker B: C'est moins gourmand. [02:17:39] Speaker D: C'est moins gourmand. [02:17:40] Speaker A: Un top sage-femme, si ça donne envie aux gens de faire des accouchements eux-mêmes, chez eux. [02:17:44] Speaker B: Pas sûr. [02:17:45] Speaker D: Pas sûr. Ma belle-mère étant sage-femme, je suis pas sûr. [02:17:51] Speaker B: Bah je pense qu'elle serait pas trop d'accord. [02:17:53] Speaker A: Moi, ce coup, le vrai problème... [02:17:54] Speaker D: Pour l'édition des images, je pense pas. [02:17:55] Speaker B: Ça peut pas passer à n'importe quelle heure non plus. Alors vous allez essayer ? Ouais ! Il y avait un truc comme ça à Baby-Boo ? [02:18:03] Speaker D: Top Césarienne ! [02:18:04] Speaker B: Hop là ! [02:18:05] Speaker D: Top épisio ! Oh trop long ! [02:18:07] Speaker A: Oups ! [02:18:08] Speaker B: Trop d'épisodes ! [02:18:09] Speaker A: Non moi je pense que le problème, alors je suis d'accord avec toi, en fait c'est pas tant que ça a duré trop longtemps, c'est juste qu'en fait je trouve qu'au début... Non mais au début, bah si, ils changent, ils changent la formule au fur et à mesure. Mais en fait, je trouve que le problème, c'est qu'au départ, ça parlait de cuisine et qu'en fait, les gens, en fait, ils se sont rendus compte qu'en fait, les gens, la cuisine, ça les intéresse pas. Ce qui les intéresse, c'est un peu le drama, la tension, tout ça. [02:18:37] Speaker D: Ils aiment dans toute forme de téléréalité, finalement. On aime ça. [02:18:40] Speaker A: Et ce que je trouve, moi, je continue, enfin, je regarde de moins en moins, mais quand ça passe, je regarde. Avant, je bloquais mon truc, c'était mon petit kiff, et maintenant je regarde... [02:18:52] Speaker B: C'est vrai que t'es un... [02:18:53] Speaker A: Je suis plus trop dedans. Je suis plus trop dedans, parce qu'en fait, maintenant, c'est que du pâteau, c'est du... Ah oui, alors... C'est grâce à sa grand-mère. C'est exactement ce que tu disais tout à l'heure. Regardez, c'est une photo de lui avec sa grand-mère. C'est elle qui lui a appris à cuisiner. Et maintenant, il a envie de mettre dans l'assiette tout l'amour qu'il a pour sa grand-mère. Et puis, au final, on parle pas vraiment de la recette, on parle pas vraiment des techniques. [02:19:16] Speaker D: Ce qui compte c'est que malheureusement aujourd'hui ce qui est vendu c'est que l'histoire prévaut sur ce qu'on met dans l'assiette. Et ça c'est un truc qui me gonfle. C'est que du marketing. Top Chef, je vais pas cracher dessus, j'ai suivi pendant des années chaque saison et je m'y suis désintéressé pour les mêmes raisons que tu viens d'exposer juste là. [02:19:33] Speaker A: Je pense qu'on est beaucoup... [02:19:36] Speaker D: Les gens qui aiment la cuisine finalement se désintéressent de ce format-là parce que l'histoire va primer sur ce que tu fais. Donc oui, l'histoire de la grand-mère qui fait des tartes aux couettes, je sais que derrière t'as eu envie d'en faire. Je viens voir un truc de cuisine, enfin montre-moi de la cuisine. [02:19:50] Speaker A: Et je trouve qu'au final maintenant, sur Youtube t'as plus de choses intéressantes à la limite parce que les mecs sont plus dans ce que tu disais, la transmission, expliquer des trucs. Ce qui est dommage, c'est que dans Top Chef, il y a accès à des gens qui ont une connaissance incroyable. Il y a des chefs qui sont vraiment incroyables, qui interviennent dedans. Et puis, ils sont là pour faire des blagues et pas pour dire des choses. [02:20:19] Speaker B: Ça ne sert pas vraiment ces personnes-là. Et puis, ce que ça peut être qualitativement. [02:20:23] Speaker A: Mais il y a un très bon exemple de ça. Il y a une série sur Netflix qui s'appelle Chef's Table et qui est magnifique. C'est très, très beau. C'est très, très bien filmé. Et les premiers épisodes, tu découvres des vrais univers avec des vraies techniques et tout ça. Mais sauf qu'en fait, très vite, ils ont switché dans un truc où ça parle de le moment où le chef, il a eu son cancer alors qu'il devait ouvrir un restaurant et qu'il n'avait plus de papilles gustatives à cause de la chimio. En fait, ce qui nous intéresse, c'est pas la life du gars, quoi. Enfin, qu'est-ce qui lui est arrivé ? Tout ça. On ne cherche pas une histoire inspirationnelle. En fait, ce qu'on veut, c'est découvrir des façons de penser la cuisine, des façons de... Comment les gens, ils associent des goûts ou leur manière de réfléchir. En fait, comme quand on parle avec un musicien, on a pas envie de... On a aussi envie de savoir d'où viennent les idées et tout ça. Et je trouve que Ce côté... Parce qu'en fait, il y a encore plein de gens qui n'ont pas envie de faire l'effort de cuisiner, alors que, comme tu disais tout à l'heure, on peut passer des bons moments en cuisinant et ce n'est pas si compliqué et c'est hyper gratifiant de savoir cuisiner. [02:21:35] Speaker D: C'est utile. [02:21:38] Speaker A: Pardon, j'ai un peu perdu mon temps. [02:21:39] Speaker B: C'est un bon rebond ! Oui, c'est utile. Bon, on va passer à un peu de musique. Et puis là, un groupe a priori qu'on apprécie aussi. Tool ? Non, non, non. Tout le monde n'aime pas Tool. Didier n'aime pas Tool. Pourquoi ? Pourquoi ? [02:21:59] Speaker A: J'aime moins Tool maintenant. Parce que je trouve que maintenant c'est pareil, c'est un peu trop du marketing. [02:22:02] Speaker B: C'est exactement la même histoire. Qu'est-ce que tu peux nous dire de ton amour et de ce choix de Tool ? [02:22:11] Speaker D: Le choix du morceau, pareil, c'est un des premiers morceaux de Tool que j'ai découvert. Et pour faire un petit pont avec ce que je racontais tout à l'heure, c'est un des premiers morceaux que j'ai fait écouter à mon père, qu'il a validé. C'est con mais dans mon cerveau d'adolescent en quête de validation, j'ai retrouvé du. [02:22:30] Speaker B: Coup... Ouais, en même temps c'est progressif. [02:22:38] Speaker A: Entre Magma et Pink Floyd. [02:22:42] Speaker B: Et puis là il t'a dit, mais en fait tu vois bien que ça ressemble à... Ouais mais je te demandais juste d'aimer ! [02:22:47] Speaker D: C'est exactement ça. C'est ce qui s'est passé. Ouais mais c'est un peu pompé, mais ferme ta gueule. [02:22:50] Speaker A: Je te dis que c'est mieux ! [02:22:53] Speaker D: Je te dis que c'est mieux ! [02:22:54] Speaker A: Déjà ils sont pas vieux, et ils vont encore des concerts. [02:22:57] Speaker B: Bah ils sont encore là. Il faut encore des concerts, ça c'est moins fréquent. Il faut attendre toujours 10 ans. Donc ça c'était le premier morceau donc ça a une grande valeur quand même. [02:23:09] Speaker D: C'est pas une grande valeur, c'est une valeur qui n'est pas si grande que ça mais qui était importante quand même à ce moment là et surtout le choix du clip qui est complètement dingo au fait. [02:23:17] Speaker B: Un clip de Tool. [02:23:18] Speaker D: Ouais, un clip de Tool, mais en particulier celui-là, je crois que c'est l'un des premiers que j'ai vus et qui m'a marqué de par son imagerie un peu bizarre. Un peu. [02:23:29] Speaker A: Pourquoi ? [02:23:30] Speaker D: Ouais, ça tu comprends pas vraiment ce que c'est, espèce d'être chimérique, bicéphale, enfin c'est très très très perché, très représentatif de Tool aussi, et voilà je pense que c'est pour ça que j'ai choisi ce clip. Ce clip. Notamment ce clip. [02:23:42] Speaker B: Très bien. Au début je me suis dit que Tool c'était donc des outils, que comme il avait un pull-corn, c'était Jonathan Davis et donc il y avait un lien sur les garagistes. [02:23:49] Speaker D: Waouh, Davis. T'as capté ? [02:23:53] Speaker B: Non, non, moi je l'ai... [02:23:54] Speaker D: Tu l'avais instantané. [02:23:55] Speaker A: J'ai essayé de pas trop le tenir là-dedans parce que... Tu sais, toi c'est juste aujourd'hui. Moi ça fait plus de 20 ans. Moi ça fait plus de 20 ans que j'ai ça. Je veux dire, si tu mets une pièce dans la machine... Hé, tu vois. [02:24:07] Speaker B: C'Est pareil que la cuisine, il est maso aussi. C'est pas tellement... Bon allez, on va regarder ce clip, ce qu'ils aiment de tout. [02:25:00] Speaker C: Musique. [02:25:27] Speaker D: I know the piece is thin. [02:25:32] Speaker C: Cause I watched it fall away. [02:25:35] Speaker B: Mildewed and smoldering, fundamental differing. [02:25:41] Speaker C: Pure intention, juxtaposed, was sent to love us, souls in motion, celebrating as it goes, testing our communication. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! It was a time that the beast had spent But I watched it fall away Mildewed and smoldering Strangled by our comforting Have done the math enough to know The dangers of our second guessing Doomed and crumbled, at last we grow And strengthen our communication ... ... Le silence a une tendance à l'atrophier Oh, c'est trop bien ! DÉCOMPRESSE ! C'est la fin de cette vidéo. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:34:57] Speaker B: Un tout petit peu de douceur dans cette émission, ça fait toujours du bien. Ce groupe, on en a déjà parlé, ça s'appelle No Cure. Rien à voir avec le fait qu'il n'aime pas The Cure, ça n'a rien à voir, il s'appelle juste No Cure. Et le titre c'était Don't Need Your Help. [02:35:09] Speaker A: Pas besoin de ton aide. [02:35:11] Speaker B: En gros, dégage. Tu me fais chier, t'es une merde. C'est mignon. [02:35:15] Speaker A: Il n'est pas content. [02:35:17] Speaker B: Non. Pardon ? Hein ? [02:35:18] Speaker E: C'est ? [02:35:19] Speaker B: Hein ? Notre invité c'est Vincent Pellat ce soir, qui est donc chef cuisinier formateur. Merci encore une fois d'être venu jusqu'ici dans la grotte du métal. [02:35:30] Speaker D: Merci de m'avoir invité. [02:35:31] Speaker B: Et ce genre de musique là, ça va aussi ? [02:35:35] Speaker D: Oui, bien, oui. [02:35:36] Speaker B: Faut foutre un peu des... [02:35:39] Speaker A: Patates ! [02:35:40] Speaker B: Tout à l'heure, c'est intéressant quand... [02:35:42] Speaker A: Patates, c'est dans le jargon de la cuisine ça. [02:35:44] Speaker B: Merci. [02:35:46] Speaker A: C'est bizarre, on dit jamais je vais te foutre une pomme de terre par contre. [02:35:52] Speaker D: Petit podium de grenaille ! Une Mona Lisa, je sais pas, tu mets des variétés ! [02:35:57] Speaker A: C'est une Agathe ! C'est une princesse amandine ! [02:36:03] Speaker B: C'est mignon. [02:36:04] Speaker A: A binge ! [02:36:05] Speaker B: Est-ce que tout à l'heure, ce que tu disais, je crois que c'est intéressant... Très bien ! Est-ce que t'es beau ? Aujourd'hui, ils sont en train d'essayer de... Bon, je vais y arriver à faire ma question. Aujourd'hui, ils essaient de moins manier. [02:36:17] Speaker A: Aujourd'hui, on n'a plus le droit. [02:36:18] Speaker B: Ni d'avoir faim, ni d'avoir froid. Très bien. [02:36:21] Speaker A: C'est aussi un restaurant. [02:36:21] Speaker B: A priori, ça marche toujours pas. C'est le resto du cœur. Putain, ça va être interminable. On parlait d'éducation, du fait que les gens, effectivement, on leur montre pas assez comment faire correctement les choses, comment comprendre aussi les moments où il y a les aliments qui sont... ils sont bons à acheter ou pas, de saison. Est-ce que tu penses que c'est quelque chose qu'il faudra amener à l'école chez les plus jeunes, parce qu'on est en train de remanier ce système scolaire, et à chaque fois ils sortent des trucs plus aberrants les uns que les autres. [02:36:47] Speaker A: Mais d'apprendre... – Oh là là, monsieur, là ça dénonce. [02:36:49] Speaker B: – Non mais c'est vrai, tout le monde est d'accord là-dessus, je pense que quel que soit le bord, tout le monde a bien compris que l'école c'était pas fameux. [02:36:54] Speaker A: – Moi j'ai pas trop suivi ce qu'il s'est passé. [02:36:56] Speaker B: – Et en fait ils voulaient changer un peu des trucs au niveau du sport, etc., pour qu'on en fasse plus. Moi je suis très content de Puyet, parce que le sport, bon, j'ai jamais aimé, ça m'a toujours rendu triste. Mais la cuisine T'as rendu triste le sport ? [02:37:07] Speaker A: Pousse pas ce genre de questions. [02:37:09] Speaker D: C'est pas dans quoi tu fous les pieds mon gars. [02:37:12] Speaker B: J'allais pas y répondre. Parce que je me tiens quand même aussi à arrêter quelqu'un de dire... [02:37:18] Speaker A: Tu veux parler de quand il fallait grimper à la corde à deux ? [02:37:23] Speaker B: Bref, faut vraiment que je le tienne là. Mais la cuisine, du coup, c'est vrai que ça pourrait être hyper intéressant parce que ça pourrait apprendre justement aux plus jeunes à connaître des choses de valeur et des vraies valeurs en dehors de la cuisine aussi. [02:37:36] Speaker D: Ouais, ça pourrait être intéressant de réintroduire ce genre de matière-là dans des cours. Typiquement au collège, on avait des cours d'éducation civique, on ne sait jamais trop à quoi ça a servi parce qu'on est tous sortis... On les a jamais respectés ! Quand on est sortis de là, personne ne savait remplir une déclaration d'impôt. Il serait peut-être temps de mettre en place aussi des cours qui soient utiles et je vois il y a Et. [02:37:53] Speaker A: Faire des déclarations d'impôts un peu plus simples peut-être aussi. [02:37:56] Speaker B: Mais oui, ça serait bien non ? T'étais en train de répondre ! [02:38:12] Speaker A: L'éducation civique ça servait pas forcément ? [02:38:14] Speaker D: L'éducation civique ça servait pas forcément, et je vois, j'ai une pote à moi qui est canadienne, eux ils ont continué à instaurer, même à l'école primaire si je dis pas de bêtises, certains cours comme ça, sur comment apprendre à faire à manger... Des trucs de la vie quoi ! Des trucs de la vie en fait, qui ont été retirés, qui existaient il me semble en France, qui ont été retirés par la suite, et je trouvais ça aussi intéressant de montrer ça aux enfants. [02:38:37] Speaker B: Ça apprendrait probablement à mieux cuisiner à quand même beaucoup de gens. Je sais pas, mais je pense que les gamins en plus ils seraient vachement intéressés, quand tu as un truc à bouffer t'es tout... [02:38:44] Speaker D: C'est hyper ludique, t'as un visuel, t'as un goût, donc forcément l'enfance ça l'intéresse, c'est pas un truc purement abstrait ou théorique. [02:38:53] Speaker B: Et puis à la fin ils peuvent. [02:38:54] Speaker D: Le bouffer, ils comprennent qu'il n'y aura pas des fraises... de nos parents quoi. [02:39:04] Speaker A: Après le problème c'est que je pense que maintenant on est arrivé à un stade où il y a quand même beaucoup de parents qui sont aussi... Ah. [02:39:11] Speaker B: Oui, il y aurait beaucoup de plaintes. [02:39:13] Speaker A: Non, mais je veux dire, tu as des goûts... Enfin, je pense qu'une grosse partie de ce que tu es capable de manger dépend de ce à quoi on t'a habitué quand tu étais petit et quand tu grandis et tout ça. [02:39:25] Speaker B: Et je pense que maintenant, on est. [02:39:28] Speaker A: Dans une génération où il y a beaucoup de parents qui ne font que des coquillettes et du poisson pané à leurs enfants. [02:39:34] Speaker B: Tu penses à qui ? À moi ? [02:39:38] Speaker A: Non mais moi je me rends compte qu'il y a quand même beaucoup de gens qui mangent très peu de choses. [02:39:47] Speaker B: Et qui n'ont pas envie de se fatiguer. [02:39:49] Speaker A: Ça je peux comprendre. Mais il y a aussi le fait de ne pas être capable de manger des brocolis ou des choses comme ça. Il y a beaucoup de gens qui ne mangent plus que des trucs hyper transformés, très basiques. Et je pense que même si tu fais des cours à des enfants, ils ne vont pas manger. [02:40:08] Speaker D: Je pense que ce n'est pas leur responsabilité. Je pense que c'est déjà aux parents d'éduquer les enfants au niveau juste du goût sur le produit, sur les saisons. Qu'ils comprennent qu'il y a des saisons pour les produits. Comment ça pousse déjà ? À la base, qu'est-ce que c'est ? Parce qu'on dit, c'est du brocoli. C'est quoi un brocoli ? Comment ça pousse ? C'est quoi la saison ? Et que ça passe déjà par une rééducation du goût et du produit. [02:40:29] Speaker A: Et alors, j'en profite, il y a une illustratrice qui est très douée qui s'appelle Claire-Sophie Pissenly sur Instagram et elle fait des calendriers où ça dit chaque mois qu'est-ce qui est de saison. Et pour ceux qui ne savent pas... [02:40:44] Speaker B: C'est toujours pratique, effectivement. [02:40:47] Speaker A: Elle a aussi des trucs pour les enfants avec des coloriages et tout ça. Et ça peut aider aussi si vous ne savez pas et si vous avez la flemme de chercher. Vous achetez juste ça et vous pouvez savoir qu'est-ce qu'il y a de saison et vous pouvez aussi ludiquement apprendre à vos enfants qu'est-ce qui... C'est des dessins très mignons, c'est très très beau. [02:41:04] Speaker B: C'est facile à comprendre quoi, voilà au moins. Est-ce que c'est plus un problème en ville ou à la campagne ce problème de notion de bonne nutrition ? [02:41:12] Speaker A: Alors moi je peux te dire, à. [02:41:13] Speaker F: La campagne c'est pareil. [02:41:14] Speaker B: Non mais c'est parce que je viens du fond de la campagne aussi et j'ai l'impression qu'il y en a beaucoup qui se font même pas chier parce qu'ils vont juste en grande surface prendre des trucs classiques, des pitchs. [02:41:23] Speaker D: Non mais ça je pense que c'est aussi lié à l'arrivée des hypermarchés en France. Tout vient de là, à la base les caddies n'étaient pas aussi grands. [02:41:29] Speaker B: Oui aussi, c'est ça. [02:41:30] Speaker D: En fait ils ont augmenté le volume des caddies parce qu'ils se sont dit si on met des caddies plus grands les gens vont avoir besoin de le remplir pour avoir l'impression qu'ils ont assez à manger. Moi ça vient de là aussi et puis parce que c'est la facilité et je peux pas... Ça doit être mon métier au quotidien, je peux pas blâmer les gens qui le soir en rentrant font des cordons bleus et des nuggets parce que je fais pareil. Parce qu'il faut avoir le temps, pour pouvoir se le dégager, pour pouvoir rentrer le soir à 18h dans les bouchons, arriver chez soi, devoir laver son gamin, faire des trucs de la vie du quotidien quoi. Et se dire bah tiens je vais aller faire une blanquette de veau pendant deux heures à mon gamin, qu'il va dire eh bah je peux avoir de la purée. [02:42:03] Speaker B: Bah voilà quoi. [02:42:06] Speaker A: T'es en blanquet de purée, en plus ça va pas très bien ensemble. [02:42:10] Speaker B: C'est quoi ces gamins ? [02:42:15] Speaker D: Non mais c'est vrai, c'est pas faux. Ça prend aussi du temps, je peux comprendre qu'on n'ait pas forcément ce temps-là à consacrer. [02:42:20] Speaker B: Parce qu'il y a quand même cette notion de manger beaucoup aussi. C'est un problème que j'ai eu, mais mes parents préféraient me faire manger beaucoup que varier ou peut-être intelligent, je ne sais pas, je ne les blâme pas, je vous aime. [02:42:31] Speaker D: Mais c'est aussi un rapport à la consommation. J'ai grandi avec des parents où il fallait manger de la viande typiquement. Il fallait en manger tout le temps. Parce qu'on sort d'une période d'abondance où justement il faut remplir le frigo parce que le caddie est immense de toute façon. On remplit le caddie qui est immense, on stocke le frigo, on le blinde, les placards, on les blinde, les congèles, on les blinde. T'ouvrais le frigo, t'as tout qui pétait quoi, c'était plein en fait. Non mais c'était tellement une consommation d'abondance que maintenant ça n'a plus forcément de sens. Moi je sais que personnellement je mange moins de viande, mais j'en mange de meilleure qualité, j'en mange beaucoup moins. [02:43:02] Speaker F: Après j'ai l'impression aussi que, enfin bon j'ai pas d'enfant ni rien mais ils essayent maintenant... Ouvre-le ! Je suis l'enfant ! Non mais du coup à la cantine ils essayent un peu quand même d'améliorer ça ou ils font en sorte que... Déjà je crois qu'ils proposent des menus végétariens et je crois qu'ils essayent un peu aussi de mettre en place justement tout ce qui est de saison et tout ça quoi. Donc il y a peut-être quelque chose qui commence un peu aussi à se mettre en place à ce niveau-là, un peu pour tout le monde quoi. [02:43:28] Speaker D: Ouais complètement, que ce soit les restaurateurs ou même les cantines, tout ce qui est restauration collective, pénitentiaire, école, maintenant sont complètement là-dedans, c'est-à-dire qu'ils font en sorte de travailler avec des fournisseurs qui ont une part de bio, de fournisseurs qui respectent ça, qui ont des chartes assez strictes, avoir des menus qui soient variés, plus sains, etc. pour aussi un petit peu changer l'image qu'on a pu se faire de la cantine. Personne n'a des souvenirs incroyables. Putain, la cantine en trois semaines du lycée ! [02:43:58] Speaker B: C'était fin ! [02:43:59] Speaker D: Banger ! Non, personne. On n'a pas des bons souvenirs de cantine. [02:44:04] Speaker A: Généralement, c'est le jour où ils faisaient pizza-frites et là tu fais waouh ! [02:44:07] Speaker B: Putain, pizza-frites ! [02:44:12] Speaker A: La gueule de la pizza ! [02:44:14] Speaker D: Ah ouais, puis les frites. [02:44:16] Speaker B: J'ai la gueule de la personne qui servait. Les steaks hachés au four. Les steaks hachés micro-ondes. C'est une expérience que j'ai faite quand j'étais... [02:44:27] Speaker A: Tu l'as fait encore régulièrement. Très mauvais de manger un steak haché cru. [02:44:34] Speaker B: Je sais, tu me l'as dit mille fois. Plus c'est mauvais, plus je le mange. [02:44:37] Speaker A: Il y a écrit dessus, à consommer, cuit à cœur. Cuit à cœur. [02:44:43] Speaker B: J'ai toujours été comme ça. [02:44:43] Speaker A: Et pas cul à cuit. [02:44:46] Speaker B: Bon bref, est-ce que quand on travaille dans la restauration et qu'on plus est dans partie luxe, on arrive, je connais la réponse parce que tu nous as parlé, c'est pour continuer là-dessus, est-ce qu'on arrive à manger de la junk food ? [02:44:59] Speaker D: Et on mange que ça. Enfin, on, je vais pas parler pour les autres, je vais parler pour moi. Moi oui j'en mange pas mal. Par facilité, par fainéantise, par flemme, parce que c'est gras. [02:45:10] Speaker B: C'est un peu un guilty pleasure. [02:45:12] Speaker D: Ouais c'est un carburant, c'est que je me nourris pas parce que j'aime manger, je me nourris parce que c'est du carburant. En fait quand vraiment je veux bien manger, je me fais des très bons restos où je prends le temps de cuisiner pour moi ou pour mes proches. Mais au quotidien, la nourriture, c'est du carburant. Là, j'ai pas mangé depuis ce midi, j'ai la dalle, je vais pas rentrer et me faire un truc de fou. [02:45:30] Speaker B: Non, oui, bien sûr, évidemment. [02:45:31] Speaker D: Non, mais c'est vraiment pour moi, la nourriture, c'est du carburant. Ça peut paraître très bizarre à dire de par ma profession. Mais c'est du gazole, je me fous dans le sang pour tenir la journée qui va suivre. La recherche de plaisir rentre pas en ligne de compte. C'est juste ça. [02:45:43] Speaker B: OK, parce que j'imaginais qu'on pouvait quand même avoir un petit plaisir à ça. Peut-être de souvenir de moments passés ou même si c'est pas bon, avoir ce petit truc en plus, quoi. Bon, je vais pas où ce bois est. [02:45:58] Speaker A: Désolé. Après, il y a aussi le truc, on en parlait un peu tout à l'heure, mais quand tu dois, si c'est cuisiner pour des gens que tu aimes, il y a cette phrase de Bocuse qui est « il n'y a pas de bonne cuisine que celle qui est faite avec amour pour les gens qu'on aime ». C'est vrai que moi, je sais que je cuisine, j'essaie de cuisiner, mais en ce moment, je ne cuisine pas trop parce que ça me fait chier. Mais là, à Noël, j'étais avec mes parents et tout ça, et j'adore passer mon temps à cuisiner pour eux parce que je sais que ça leur fait plaisir et qu'ils passeraient pas ce temps absurde en cuisine. Parce qu'il y a quand même des trucs où tu passes à peu près ta journée en cuisine, c'est manger en 15 minutes. Et faut vraiment garder la foi. [02:46:43] Speaker B: Putain mais il a bouffé juste comme. [02:46:44] Speaker A: Ça sans se dire rien ! Non mais en plus c'est que toi tu prends même pas forcément plaisir parce que quand t'as passé trop de temps à cuisiner un truc t'en as plus rien à foutre. Par contre ce que tu veux c'est de voir que les autres ils kiffent là tu vois. Bah oui tu partages quoi. Souvent ils mangent ça et puis ils. [02:46:58] Speaker B: Ont rien à foutre. Bah c'est tout génial t'as juste envie que ça fasse plaisir aux gens de voir leur bonheur et puis ils font ouais c'est bien. [02:47:04] Speaker D: Il faut savoir aussi d'y aller avec ça, je suis dans un métier où que ce soit au travail ou même en dehors, quand je fais à manger pour des clients ou pour mes proches, il faut aussi avoir cette notion de la temporalité qui est vraiment dans l'instant, c'est que tu vas passer des heures à faire à manger pour un truc qui va être détruit, entre guillemets, en cinq minutes, mais ça fait partie de l'expérience. Tu donnes de ton temps et derrière c'est consommé rapidement. [02:47:31] Speaker B: Ça doit construire un mindset, une façon de penser qui est incroyable. [02:47:35] Speaker D: Non, ça se met juste dans une disposition où tu sais que tout ce que tu fais est temporaire et voué à disparaître. [02:47:41] Speaker B: Oui. [02:47:42] Speaker D: Comme nous. Mais c'est pas une oeuvre d'art qui va rester de manière intemporelle dans un musée. [02:47:48] Speaker A: Mais par contre, je trouve que tu peux avoir... Ça dépend quoi. [02:47:53] Speaker D: T'as fait un gros tagine la veille et t'es pas fou, ça peut rester au fond longtemps. [02:47:57] Speaker B: Ouais, c'est ça. On y va peut-être pas le foutre. [02:48:01] Speaker A: Au musée, mais... Par contre, ça peut créer des souvenirs à des gens. Enfin, il y a un truc... T'as. [02:48:09] Speaker B: Cru qu'ils ont tous chopé la chiasse ? [02:48:12] Speaker A: Non, ça peut créer des beaux souvenirs. [02:48:16] Speaker D: Belle photo de famille. Ça finit quand, là ? [02:48:25] Speaker A: J'allais dire un truc un peu bien, mais non, j'ai plus envie. J'ai plus envie. Non, non, mais juste la cuisine, ça peut aussi laisser des beaux souvenirs. Tu le manges vite, mais t'en gardes un souvenir. Enfin, t'as dû faire des restos où tu manges des trucs et t'en souviens encore. Moi, il m'est arrivé de manger des plats où ça m'a bouleversé. Non, mais c'est... [02:48:51] Speaker B: Je suis d'accord. [02:48:54] Speaker A: Non mais il y a des trucs. [02:48:55] Speaker B: Bouleverser... Non mais il n'a pas exécuté dans le restaurant, c'est ça qu'il faut... [02:48:59] Speaker A: Bouleverser, je dis ça, genre ça te fait des frissons, comme quand t'écoutes un bon morceau de musique. Et d'ailleurs, moi, c'est un truc que je ne sais pas si tu es d'accord avec moi, mais on pense à la cuisine gastronomique, on pense qu'au truc étoilé, très étaloué et très étoilé, qui coûte 300-400 euros le menu, ça existe. Mais il y a aussi, notamment à Paris, beaucoup de restos gastronomiques où on peut déjà vivre des très belles expériences gustatives pour 70, 80 euros pour dîner et même souvent le midi. Alors ça, c'est le tip, ce qui est vachement bien. Le midi, il y a des menus qui sont un peu moins... Il y a moins de choses. C'est-à-dire que des fois, le soir, pour 80 euros, il va y avoir 6 ou 7 plats. Mais le midi, vous pouvez avoir des entrées plat-dessert ou des choses comme ça pour moins cher, entre 30 et 50 euros. Et vous avez quand même une expérience de ce qu'est la cuisine gastronomique. Alors c'est sûr que c'est des montants assez élevés quand même, mais bon, quand tu vois pour combien tu t'en tires au McDo, quand tu prends un menu avec un burger en plus, t'es déjà à 20 balles ou un truc comme ça. [02:50:18] Speaker D: Et puis le souvenir n'est pas impérissable. [02:50:19] Speaker A: Non, c'est vraiment... [02:50:20] Speaker B: C'est facile tu l'as quand tu vas aux toilettes. [02:50:24] Speaker A: Le souvenir n'est pas impérissable, contrairement au Big Mac qui, lui, ne peut jamais le prémé. Non, mais vraiment, j'invite tout le monde à essayer de ne pas se dire que c'est quelque chose de snob ou de machin. Il y a énormément de petits restos qui font des trucs hyper bien et c'est un petit budget, certes, mais si vous ne prenez pas en plus de l'alcool et des choses comme ça, vous pouvez vraiment vivre une belle expérience pour pas si cher. Et c'est pas forcément pompeux ou avec des trucs où il y a trois choses dans l'assiette. [02:50:58] Speaker B: Oui, oui. Vous êtes votre milliardiste. [02:51:00] Speaker A: Non, il y a vraiment des trucs où... Maintenant, il y a beaucoup de restos où c'est très détendu, à la cool, et on peut bien manger des choses originelles. [02:51:09] Speaker B: Je me suis toujours demandé, alors moi je bois de l'alcool, mais je me suis toujours demandé si quand tu vas dans un gastro, ça peut être marié avec des vins qui vont avec, mais je me suis toujours demandé si le fait de boire de l'alcool, ça bousillait pas un peu le goût quand même. Normalement non, mais l'alcool c'est quand même fort. [02:51:24] Speaker D: C'est conçu pour aller avec, mais je te rassure, il y a maintenant dans pas mal de... les nouveaux restaurants un peu bobo parisiens, ils ont créé des nouveaux métiers comme les sobres liés. Non c'est pas une connerie, c'est des mecs qui font des accords May et O, différents types d'eau, des eaux infusées... [02:51:40] Speaker B: Super ! [02:51:41] Speaker A: Moi j'avais fait accord May et T, et j'avais trouvé ça à Yamcha, et j'avais trouvé ça très intéressant, parce que du coup ça a quand même du goût. Et j'avais fait chez Dersu aussi, il y avait un accord May Cocktail, Et du coup, si tu prenais, tu pouvais avoir des cocktails sans alcool aussi. C'était hyper intéressant. Pour ceux qui prenaient mes cocktails avec alcool, ils étaient ronds. Au bout du septième plat, ils étaient ronds comme nique. [02:52:16] Speaker B: J'en ai fait qu'un dans ma vie. Puis effectivement, à la fin, j'étais un peu... Je crois que j'ai senti... J'avais des goûts, mais je faisais plutôt attention. Et je trouvais ça un peu dommage à poster en arrière. Je me suis dit mais c'est quand même dommage. [02:52:27] Speaker A: Parce que toi, t'as fini tous les verres. T'es pas obligé de finir le verbe ! [02:52:30] Speaker B: Mais c'était hyper sympa ! [02:52:31] Speaker A: Non mais j'étais... Non ! [02:52:32] Speaker B: Des verbes ! [02:52:33] Speaker A: Il m'a... Oh non ! [02:52:33] Speaker B: Il m'en a mis ! C'est sympa le verbe à pied ! Mais non mais quand tu te sers... [02:52:39] Speaker A: C'est venu comment ? [02:52:42] Speaker B: À pied ? Non mais parce que des expériences aussi qui t'expliquent. On te raconte quand même... C'est ça qui est intéressant parce que quand tu vois ce qu'on s'arrive, tu sais pas forcément... Et puis si on. [02:52:50] Speaker D: Te dit pas de pas finir le verbe, t'y vas comme un con quoi. [02:52:52] Speaker B: Ouais et puis des fois ils sont gentils, ils font vous êtes sympas, vous êtes les pouilleux du coin, allez on va vous remettre un petit peu de... Allez oui ! Vous voulez goûter ce petit whisky avant l'intro ? [02:53:01] Speaker A: Tu te prunes ! Tu te prunes. [02:53:03] Speaker B: Mais du coup quand c'est moins cher, il y a aussi cette explication, il y a cette relation qu'il y a avec les gens qui viennent amener... Enfin la personne qui explique, je sais pas comment on appelle ça. [02:53:11] Speaker D: Bah pour moi oui, heureusement que c'est pas forcément dépendant du prix, c'est que comme tu le disais très bien, tu peux faire maintenant plein de restaurants à Paris, étoilés ou non, d'ailleurs, au déjeuner pour moins de 50 euros. Pour 50 euros, t'as un menu en triple à dessert, en étoilé, qui n'est pas la même carte du dîner, qui va être un petit peu plus cher forcément. Mais aujourd'hui, oui, il y en a pour tous les budgets. Et tu peux bien manger pour 15 balles, 30 balles, 40 balles, 50 balles à Paris. Vraiment. [02:53:35] Speaker B: – C'est bon à savoir. C'est bon à savoir. Pour en revenir au métal, juste, est-ce que ça gère bien la... – Tu te coupes où, fourchette ? [02:53:44] Speaker D: – Putain, j'avais un truc comme ça. Non mais tu disais que ta copine. [02:53:48] Speaker B: Écoute aussi du métal ? C'est ce qui, en dehors du travail, ça vous a permis de vous rapprocher plus facilement, d'avoir le métal en plus du travail ? [02:54:01] Speaker D: En fait, je me suis rendu compte que plus je veillis, plus j'ai du mal avec les gens qu'on n'écoute pas. C'est très bizarre, je suis rien de très tolérant et très ouvert. On peut vraiment parler de plein de sujets avec moi, j'ai pas beaucoup de tabou. [02:54:13] Speaker A: Mais allez vous faire enculer si vous. [02:54:14] Speaker B: Écoutez pas du métal. [02:54:16] Speaker D: Allez bien vous faire enculer. Mais ouais, je sais pas, j'ai eu tendance avec le temps à essayer quand même de pas de m'entourer forcément de gens qui écoutent que ça. Je sais que ça va être un point de connexion rapide. Je peux connecter très facilement à quelqu'un parce que je suis sociable le plus long du temps. Avec des gens qui ne coûtent pas de métal, mais ça va être un lubrifiant social qui va être assez efficace. C'est plus simple parce que même si on ne coûte pas forcément les mêmes styles de métal, ça va être une manière aussi dont tu as mis une discussion pour parler ensuite d'autres choses. Mais on sait qu'on aura toujours ce pont-là. Par exemple, t'es un peu épuisé de tous les sujets de discussion quand tu rencontres quelqu'un, bah tu reviens sur la musique et toi t'es dans les concerts, c'était quand ? Tu vas voir quoi après ? Ah au fait, y'a ce groupe là. [02:55:04] Speaker B: Qui joue... Et là tu tombes sur le métalleux qui est juste chiant et qui a envie d'être très précis surtout, qui dit non mais t'as rien compris. Parce que dans le métal y'a aussi ce genre de personnes. Après ils sont très cultivés là-dedans. Ouais mais c'est peut-être aussi un peu. [02:55:18] Speaker D: Chiant quoi, le donneur de leur son qui dit non mais ça c'est du métal, etc. Ça s'en est pas. Ok. [02:55:25] Speaker B: Il y en a, il y en a. [02:55:35] Speaker D: Non, je vois ces gens-là un peu comme ça, vraiment. Les frustrés, les haters qui font les circuits du métal. [02:55:42] Speaker B: C'est compliqué, c'est dans un milieu qui est ça. [02:55:43] Speaker E: La comparaison est vraiment bien. [02:55:46] Speaker A: Je les imagine avec leurs petits gilets et les petits sticks lumineux là. [02:55:50] Speaker B: Ah non, ça va pas ça ! Wrong ! Dans les titres et les clips que tu as choisis, Pliny, J'avoue que je pensais pas qu'un jour quelqu'un allait nous. [02:56:02] Speaker A: Proposer... Est-ce que c'est un rapport avec... [02:56:05] Speaker D: Les petites galettes ! J'ai bien le temps, tu l'as pas dit, mais je veux l'image aussi. [02:56:14] Speaker B: J'ai vu sa main, j'ai fait... Bon voilà, c'est un groupe avec des trous, non mais c'est... Pourquoi Pliny ? [02:56:22] Speaker D: Pourquoi Pliny ? [02:56:23] Speaker B: Parce que t'aimes bien, bon ça j'imagine. [02:56:24] Speaker D: Parce que j'aime bien, parce que c'est ma dernière découverte, parce qu'on parle justement des premiers groupes que j'avais écoutés. Là c'est vraiment le dernier que j'ai découvert au K-Fest à Gisors, pour ceux qui le connaissent, c'est un tout petit festival. On les salue, autour du château. Ils ont déjà annoncé leur line-up pour l'année prochaine, ça a l'air vraiment cool. Bref. [02:56:44] Speaker B: Et c'est des gens qui se battent pour ça et qui le font très bien, oui. [02:56:46] Speaker D: Et donc Pliny, découvert là-bas, claque magistrale. Ouais, incroyable. [02:56:52] Speaker A: Tous les gens qui étaient là-bas ont été scotchés par Pliny. J'ai beaucoup de gens qui m'en ont parlé. [02:56:58] Speaker D: Après, moi je vois d'autres groupes que j'ai découvert comme Solitaris, que j'ai beaucoup aimé aussi. Mais ouais, Pliny, c'est une pause dans tout ça, forcément très technique. En termes de guitare, c'est juste dingue les plans qu'il peut faire. Et ouais, moi c'était mon coup de cœur, je pense, de l'édition de l'année dernière. Mais c'est le dernier groupe que j'ai découvert aussi. [02:57:17] Speaker B: Il n'y a pas de tête à sa guitare. [02:57:21] Speaker A: C'est vrai que ça, c'est un peu un problème. [02:57:24] Speaker B: Moi, je préfère, je mets une main pour ne pas avoir le boulot. Non, mais parce que le clip que tu as choisi n'est pas vraiment non plus un clip. Non. C'est le guitariste qui joue par-dessus. C'est ça, si j'ai bien compris. [02:57:35] Speaker D: Absolument. [02:57:36] Speaker B: Du titre. [02:57:36] Speaker F: Un playthrough. [02:57:37] Speaker B: Un playthrough, oui, mais comme je ne sais pas le dire correctement. [02:57:39] Speaker A: Tu vas me le dire. [02:57:40] Speaker B: Un playthrough. [02:57:42] Speaker A: C'est vrai que je ne sais pas le dire. [02:57:45] Speaker B: C'est mon anglais, tu sais. Bon voilà, rien d'autre à dire ? On veut qu'on regarde et puis on vient après ? [02:57:51] Speaker D: C'est ça. [02:58:11] Speaker C: Sous-titrage ST' 501 Musique Abonnez-vous ! C'est la fin ! [03:06:25] Speaker B: Gruille, gruille du cochon, gruille, gruille. [03:06:29] Speaker A: Moi je sais pas, pour tous les vieux, je sais pas si vous avez remarqué, mais le batteur a un hommage à la pub Citram. Si vous ne prenez pas Citram, vous risquez de prendre une gamelle. [03:06:42] Speaker B: C'est vrai que c'est bon. Après j'ai choisi ce morceau pour Marcel parce que c'est son genre de musique. [03:06:46] Speaker A: Ah bah là il a dû être... [03:06:47] Speaker B: Il y a un mec qui... Bon peut-être ça c'est plus aux Yeusborn. T'aimes bien ce genre de son ? [03:06:56] Speaker D: Est-ce qu'il va me passer là ? [03:06:59] Speaker B: Je n'ai pas trop écouté. Non mais c'est très bien, il en faut pour tout le monde. Oui, c'est sympa. [03:07:05] Speaker A: Après, ce n'est pas le groupe le plus original du siècle. [03:07:10] Speaker B: Oui, mais je pense qu'ils ont juste envie d'envoyer du pâté. [03:07:14] Speaker A: Apparemment, ils ont gagné des prix de meilleur terrain à New York. [03:07:22] Speaker B: En bref, ça s'appelle « Psycho Frame » et le titre c'est « No Revives ». Bref, vous trouverez ça. Merci encore une fois à Vincent de nous avoir accompagnés pendant toute cette émission. On en sait un petit peu plus et puis on a bien rigolé donc ça reste l'essentiel quand même. On a passé du bon son. Mais Amélie, tu as encore quelque chose à nous dire, à nous offrir ? [03:07:47] Speaker F: Oui, c'était mon petit cadeau de Noël de janvier. En fait, c'est une petite avant-première d'un clip qui n'est pas encore sorti, donc c'est un petit teaser. Il sort le 5 février. C'est un groupe qui s'appelle Kamino Ikari. Ça veut dire la colère des dieux en japonais, parce que c'est leur univers visuel qui est plutôt japonisant. C'est du discord mélodique. Je me suis dit que ça peut être sympa de vous présenter ça parce que j'ai travaillé sur ce clip-là avec eux. J'ai fait le costume d'un des personnages, je ne dis pas exactement lequel. Ils ont sorti un EP, je n'ai pas les dates, mais le premier EP c'était Akai. et ils ont sorti un album qui s'appelle « See You In Hell » et en dessous c'est marqué je pense en japonais mais je ne sais pas prononcer le japonais. C'est Jigoku de Emma School ou Emma, je ne sais pas comment on dit. [03:08:44] Speaker B: Les gens qui savent parler japonais le savent. Parce que là c'était un massacre. [03:08:48] Speaker A: Le mec il met en confiance. [03:08:53] Speaker B: Mais je rigole. [03:08:54] Speaker F: Je suis désolée pour tous les japonais. Le clip il s'appelle « Shinko Théophobia » Et du coup, ce qui était cool sur ce tournage, c'est que j'ai vu les décors et tout ça, c'était fabriqué par eux-mêmes. Donc en fait, le chanteur Amarino, il a fabriqué un décor. Je ne vais peut-être pas tout dire, parce que là, c'est juste un court extrait. [03:09:17] Speaker A: On en parlera peut-être plus. [03:09:19] Speaker F: Mais voilà, j'aimais bien ce côté très auto... DIY. Voilà, DIY. et en fait ce clip là donc c'est ça fait partie de deux autres clips c'est en fait c'est ça fait une trilogérie oui merci beaucoup j'ai l'air de galérer tant que ça non non. [03:09:37] Speaker A: C'Est juste que... on a envie que ça s'arrête cette émission donc... Bah déjà. [03:09:44] Speaker B: Les gens sont partis hier. [03:09:47] Speaker D: Il reste trois viewers donc c'est arrêté. [03:09:50] Speaker E: Dont ta mère est ma copine. [03:09:59] Speaker F: Donc voilà, du coup c'est le dernier clip de cette trilogie-là. Et ça a été filmé par Kevin Meriot, qui est vraiment quelqu'un qui est très très doué. Déjà la photo de base, il faisait ça très bien, et là les clips, c'est incroyable. Ce groupe-là est en tournée d'ailleurs actuellement avec Dark Funeral, Fleshgod Apocalypse et Ex Deo. Je suis allée voir, ils sont passés à Paris... [03:10:21] Speaker B: Il y a peu. [03:10:21] Speaker F: Deux semaines je crois, je me souviens. Et justement Kevin filme toute la tournée. Et en fait, ils étaient dans le tourbus avec Dark Funeral, et de fil en aiguille, ils s'y retrouvaient à devoir filmer la suite de la tournée de Dark Funeral. [03:10:38] Speaker B: Ah ouais, c'est cool ! [03:10:39] Speaker F: En fait, tellement ils ont adoré sa manière de filmer, sa manière de monter, etc. Ouais, il est super cool ! Et puis franchement, je trouve qu'il a vraiment sa patte dans ce qu'il fait. des photographes de concerts et même des gens qui font des films, souvent c'est plus ou moins les mêmes choses je trouve. Toi tu sauras peut-être mieux me dire que moi mais tu sais pas. Tu t'en fous. [03:11:03] Speaker B: C'est bien dans le podcast audio comme ça ils n'entendent pas. [03:11:06] Speaker A: Merde, tu viens de tout vendre là ! [03:11:07] Speaker B: Bah non, parce que t'as dit que t'étais avec eux. Bah oui, grave ! [03:11:11] Speaker F: Mais voilà, en tout cas, Kevin Meriot, je pense que c'est quelqu'un qui va aller très loin dans ce qu'il fait, c'est vraiment top. [03:11:16] Speaker B: C'est une très très bonne personne, très motivée et qui est très positif aussi. [03:11:20] Speaker A: Positif à bloc ! [03:11:23] Speaker F: Et d'ailleurs, quand je l'ai vu, j'ai fait « Ah, ça serait trop bien que t'ailles dans l'émission, ça serait cool qu'on l'invite quoi ! [03:11:28] Speaker A: » Ah bah, ça va le couteau sous la gorge là ? [03:11:30] Speaker F: Non, non, non ! [03:11:31] Speaker A: Regarde là, t'as vu où elle est ? Elle prend des bacs chiches sur tous les invités qu'elle a. Ah c'est de. [03:11:37] Speaker B: L'Argent, je croyais qu'elle couche avec. [03:11:38] Speaker A: Elle fait bien ce qu'elle veut. [03:11:41] Speaker B: Bah oui, elle fait ce qu'elle veut évidemment. [03:11:42] Speaker A: Sauf au jour de l'an apparemment. [03:11:43] Speaker B: Si, elle a fait ce qu'elle voulait. Bon, on regarde ce petit dessert ou pas ? Bah je sais pas, on peut y aller ? [03:11:49] Speaker F: Bah oui. [03:11:50] Speaker B: Allez c'est parti, on regarde ça. [03:12:14] Speaker D: C'était rapide. [03:12:15] Speaker B: Ah bah c'est un teaser. [03:12:18] Speaker A: Le 5 février par contre, si t'es connecté, tu peux le voir en entier. [03:12:21] Speaker F: Et voilà. [03:12:22] Speaker B: T'en souviendras jamais. On y sera. Ça envoie du pâté, j'ai jamais écouté, j'avoue. Enfin si, je crois qu'on a passé quand même un titre. Je ne pensais pas que c'était si... [03:12:36] Speaker A: De toute façon, on aura l'occasion de passer le clip, je pense. On aura l'occasion de passer le clip, de toute façon. [03:12:41] Speaker B: On passera le clip, évidemment. [03:12:43] Speaker A: On aura l'occasion de passer le clip. [03:12:45] Speaker B: Je constate que le cadeau de Noël qu'elle nous fait est offert aussi par un père Noël. On peut t'en retenir. [03:12:50] Speaker A: Après, on aura l'occasion de passer le clip, de toute façon. Après, on aura... [03:13:00] Speaker B: Ça c'est pour les gens du podcast aussi, ça met un blanc, c'est toujours agréable. Merci beaucoup pour ce petit teaser et puis n'hésitez pas à suivre ce groupe-là, donc pareil, sur leurs réseaux sociaux, les soutenir et puis si vous kiffez, n'hésitez pas à leur laisser des petits messages, voilà, ça fait remonter dans l'algorithme sur YouTube, etc. Faites de même avec nous parce que c'est ça le principal. Rejoignez-nous sur YouTube, ceux qui sont en direct là, point d'exclamation, bing ! Et sinon, parlez-en autour de vous à tous vos amis, s'ils aiment le métal, s'ils aiment bien rigoler, qu'ils aiment bien être légers, eh bien c'est le bon endroit pour tous ceux qui sont extrêmement sérieux. Barrez-vous. [03:13:33] Speaker A: Vous aimez les vannes de merde, vous. [03:13:34] Speaker B: Êtes au bon endroit. Mais voilà, n'hésitez pas à en parler autour de vous. Plus on est, plus on rit et on est une association, je le rapète. Je le rapète. C'est comme une petite rapette. Je commence à aiser le cerveau, enfin le cerveau. Le pois chiché éclaté quiconque, ça ne. [03:13:50] Speaker A: S'Y peut être boué. [03:13:52] Speaker B: Et donc je voulais dire en plus que... Non, non, je plaisante. Jean-Pierre, si encore une fois, les gens peuvent te suivre sur les réseaux sociaux. [03:14:00] Speaker D: Avec grand plaisir. [03:14:01] Speaker B: Voilà, sur Instagram. [03:14:01] Speaker D: Souscrivez à l'abonnement. [03:14:03] Speaker B: C'est 800 euros pour vous. Non mais on peut te suivre sur Instagram effectivement, on mettra tous les liens aussi dans la vidéo donc pour que les gens puissent voir un petit peu aussi ton métier et puis ce que tu fais. [03:14:16] Speaker A: Et puis si vous avez des questions pour une bonne béchamel... [03:14:21] Speaker B: Il a bloqué tous les messages privés donc laissez tomber l'idée. Mettez en commentaire sous chaque photo ! [03:14:28] Speaker D: Comment on fait une béchamel s'il vous plaît ? [03:14:33] Speaker A: C'est quoi le ratio beurre-farine ? [03:14:37] Speaker D: Léontie ou du miel crémé ? [03:14:38] Speaker A: Ça c'est vrai, c'est une bonne question. [03:14:40] Speaker D: Bon, est-ce qu'on peut avoir du lait vegan ? Oh, t'en rassures. [03:14:44] Speaker B: Vous avez déjà la réponse, donc ne laissez pas des messages. Et puis si jamais vous avez une entreprise et que vous avez envie, vous pourrez le rencontrer en personne. Donc ce sera forcément un bon moment, puisque vous avez vécu un bon moment. [03:14:54] Speaker A: Même un particulier. [03:14:56] Speaker B: Même un particulier, oui, oui. [03:14:57] Speaker D: Pardon ? [03:14:58] Speaker B: Rien. J'ai pas entendu ce que t'as dit. D'accord. [03:15:00] Speaker A: Ah lui aussi, il a envie que. [03:15:03] Speaker B: Ça se termine genre. Il a dit tout à l'heure, c'est pas fini là encore. [03:15:07] Speaker A: Il parle encore l'autre con ? [03:15:08] Speaker B: Il l'a dit ? C'est extrêmement long. Merci beaucoup donc Amélie pour ce teaser et puis pour ce premier passage. Première fois que tu étais avec nous pour faire l'émission donc on t'applaudit. Merci, c'était avec grand plaisir. Et puis merci Ben pour tout. [03:15:22] Speaker A: De rien Pierre, j'ai rien fait. [03:15:24] Speaker B: Mais ici vous êtes formidables. Professeur, vous savez à chaque fois c'est un pire plaisir. Et je remercie Marcel pour ses décomptes avant chaque fin de vie. Et voilà, il repartira bientôt en gris et donc sinon... Sinon, bien sûr, je vous remercie. Vous toutes et vous tous, vive le métal, vive le rock'n'roll. Sans vous, la musique n'est rien. N'oubliez pas ça. Donc, n'hésitez pas à en écouter sur les plateformes légales. C'est quand même important. Et aller au concert, c'est ça qui sert le plus, c'est acheter du merch. Ça fait plaisir au groupe et ça les fait exister. Voilà, tout simplement. Bon, pas ceux qui vont vendre déjà des millions d'albums, on s'en fout. Mais voilà. Nous, on se retrouve la semaine prochaine, bien sûr, un dimanche. Vous aurez dès demain la VOD des news avec Didier. C'est sur notre chaîne YouTube. Et puis voilà, on se quitte avec Coïden Cambria, c'est leur tout dernier single, je crois qu'il est sorti hier en clip, ça s'appelle « Someone Who Can », donc je vous laisse checker... « Who Can » ? Ouais, « Who Can » ! Pardon, ça a failli... Et on va pas revenir là-dessus. Et j'aime beaucoup Coïden Cambria, donc je voulais terminer là-dessus. Si vous avez un groupe français qui n'est pas connu mais qui a des clips, pas juste de la musique, n'hésitez pas sur Instagram à m'envoyer un petit message avec le clip, tout simplement. et rejoignez-nous sur Discord, puisqu'il y a le petit là-bas, il est à fond, il veut tout voir. Très excité. Et voilà, on se quitte. Bon courage pour demain, c'est lundi, je sais, c'est chiant. Le matin, ça fait chier de se lever, mais n'empêche qu'il faut faire toutes autres semaines. Et puis on se retrouvera dimanche. Des bisous à vous toutes, à vous tous. On vous embrasse. Love you. [03:17:11] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté. [03:17:16] Speaker A: D'Amara.Org. [03:17:42] Speaker C: C'est parti ! C'est parti pour le tournage ! c'est C'est bon, c'est bon. [03:20:39] Speaker D: Un pour le caillou. Deux pour le spectacle. [03:20:46] Speaker A: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:21:03] Speaker F: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. [03:21:11] Speaker B: N'hésitez pas à vous abonner.

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