#80 - BAKARED en invité

Episode 80 February 21, 2025 03:47:32
#80 - BAKARED en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#80 - BAKARED en invité

Feb 21 2025 | 03:47:32

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Show Notes

Ca fait un moment qu'on voulait le recevoir car son travail nous plait beaucoup et la multiplicité de son activité nous impressionne : BAKARED.

Il est gamer, streamer, photographe, journaliste, chanteur et en plus d'être doué, il est ultra cool, gentil et bienveillant !

N'hésitez pas à aller écouter son groupe : BARREN !

Amélie, Ben, Didier, Enjoy The Noise, Gladyce, Marcel & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:14] Speaker A: BANG BANG ! [00:00:15] Speaker B: BANG BANG ! [00:00:15] Speaker A: BANG BANG ! [00:00:16] Speaker B: BANG BANG ! [00:00:16] Speaker C: BANG BANG ! [00:00:16] Speaker A: BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! [00:00:19] Speaker D: BANG BANG ! [00:00:19] Speaker C: BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! [00:00:23] Speaker D: BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! [00:00:30] Speaker C: BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! [00:00:33] Speaker D: BANG BANG ! [00:00:33] Speaker C: BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG ! [00:00:36] Speaker D: BANG BANG ! [00:00:36] Speaker C: BANG BANG ! BANG BANG ! BANG BANG Qu'est-ce que je voulais dire ? Bonsoir, bienvenue à vous toutes et à vous tous, j'espère que le week-end a été bien, que vous vous êtes amusés, que vous avez participé à certains concerts, puisqu'il y en a eu quand même quelques-uns qui ont fait briller notre beau pays. Et j'espère aussi que la semaine n'avait pas été trop complexe, que vous avez pu vous reposer, vous amuser, passer du bon temps. Et je voulais demander de dire aux gens que vous aimez, que vous les aimez, parce que c'est important. Ben, je t'aime. [00:01:08] Speaker D: Moi aussi je t'aime Pierre. [00:01:10] Speaker C: On se l'est dit jeudi. [00:01:12] Speaker D: Après, c'est pas toujours facile parce que moi, par exemple, à la Saint-Valentin, la personne à qui je devais passer ma Saint-Valentin a préféré choisir quelqu'un de deux plus jeune et m'a laissé tomber comme une vieille chaussette. [00:01:27] Speaker C: Marcel, je t'aime. [00:01:30] Speaker D: Ah bah tu vois, c'est ça, tu lui donnes tout et puis voilà, il te jette. C'était qu'une paille. [00:01:40] Speaker C: J'ai tellement de choses à dire, mais comme on nous a reproché d'être un peu trop portés sur le sexe, je vais essayer de me tenir. J'allais dire de la tenir, non, de me tenir. Bref, ce soir, vous le savez, nous allons parler des news, puisque Didi est là pour faire l'information, nous donner ce qui s'est passé cette semaine, on pourra en discuter. Gladys sera parmi nous, elle a choisi deux morceaux, alors attention, je pense que ça va faire, ça va décrasser les oreilles, les cajamiers vont gicler comme ça. Voilà, ça, ça va faire encore un petit gifle. Et puis nous recevons Baccarède. [00:02:13] Speaker D: Ah oui, Baccarède. [00:02:14] Speaker C: Baccarède, ce jeune homme. [00:02:16] Speaker D: Oui, c'est lui là. [00:02:17] Speaker C: Ce jeune homme, il est beau. [00:02:19] Speaker D: C'est celui qui se monte du doigt là-bas, que vous ne voyez pas. [00:02:21] Speaker C: Il est beau, il sait tout faire. Il est efficace, il fait tout. Je ne sais pas comment il fait. Non parce que moi je ne fais rien. [00:02:29] Speaker D: On va lui demander. Moi j'ai une petite idée sur la différence de comportement que vous avez, mais après peut-être que je me trompe. On va en parler avec lui. [00:02:37] Speaker C: C'est vrai qu'il a le nez moins rouge que le mien. Et il se balade avec moins de paille aussi apparemment. Bon bref, toujours est-il aussi que moi... Qu'est-ce que t'as vécu cette semaine ? Qu'est-ce que vous avez fait vous ? N'hésitez pas à le dire en commentaire dans la VOD ou en direct dans le ch'meule. [00:02:51] Speaker D: Qu'est-ce que j'ai fait ? J'ai surtout travaillé moi. Je pense pas avoir fait grand chose de fun. Je suis allé au cinéma hier, je suis allé voir ce film sur Bob Dylan avec Timothée Chalamet. J'ai trouvé ça pas mal. Je ne connaissais pas trop l'histoire de Bob Dylan, alors du coup, ça m'a permis de savoir un petit peu des trucs. Bon, après, ils en rejoutent un petit peu, forcément. Moi, il y a un truc qui me dérange quand même dans un truc où c'est quand même basé sur la musique et tout. Il y a plein de petites incohérences, tu sais, genre tu vois les musiciens qui jouent Et puis genre il termine de jouer et tu vois ils sont comme ça et t'entends que le morceau il est pas vraiment fini. Ou à un moment il termine une chanson et t'entends encore des strums de guitare et il fait comme ça. Et c'est lui qui joue la guitare. Donc c'est pas possible qu'il soit là et qu'il fasse ça en même temps. Et ce genre de truc ça me dérange toujours un petit peu parce qu'il y a quand même du budget. Genre les mecs ils sont pas... Enfin ils pourraient... Je sais pas. [00:03:50] Speaker C: Est-ce que les gens voient comme toi tous les détails ? Je sais pas mais... Ça se voit beaucoup mais... [00:03:58] Speaker D: Je sais pas mais je me dis au moins eux pourraient se poser la question. [00:04:01] Speaker C: Ils pourraient t'engager pour faire le film ? [00:04:03] Speaker D: Non, faudra pas travailler avec ces gens-là mais... [00:04:08] Speaker C: Eh bien moi, figure-toi ! [00:04:08] Speaker D: Non mais c'est pas mal, ça se regarde bien. [00:04:11] Speaker C: Je me suis dit que je n'allais pas aller le voir parce que connaissant. [00:04:14] Speaker B: La vie de Bob Dylan, je me. [00:04:14] Speaker C: Suis dit, mon Dieu, ça va me mettre dans un état. [00:04:16] Speaker D: Oh non, ça va, il n'y a pas trop de... Oh, c'est pas la. [00:04:19] Speaker C: Personne la plus équilibrée et agréable du monde. [00:04:22] Speaker D: Oui, mais bon, ça va. [00:04:24] Speaker C: Je ne dis pas ça méchamment, c'est juste que c'est même lui qui l'a expliqué. [00:04:26] Speaker D: Ça va. [00:04:28] Speaker C: Moi j'ai été, mais lundi, lundi j'étais à un concert, dès le lundi, au Casino de Paris, monsieur. [00:04:32] Speaker D: Sur les chapeaux de roue. [00:04:33] Speaker C: Comme ça, vroum vroum. Je suis allé voir Percujam, alors je voulais juste en parler, parce que c'est un groupe qui est composé d'artistes et d'autistes, qui viennent donc jouer des percussions, de la guitare, de la batterie, et qui viennent chanter aussi, et que je suis une personne extrêmement méchante, donc quand j'y suis allé, je me suis dit ça va peut-être être un peu chaud. Et en fait, c'est incroyable. Non mais c'est vraiment incroyable. Ça joue hyper bien. C'est hyper carré. Et il y a vraiment une super bonne ambiance. Les voix... Je veux dire, j'ai déjà vu des concerts. Je sais pas pour en faire des kilos, mais j'ai déjà vu des concerts où les gens s'en payaient très cher et où c'était quand même vachement moins bien. Là, il y a vraiment... Tu sens qu'il y a une implication. Il y a quelque chose de très émouvant aussi, évidemment. C'est hyper carré. Ils changent d'instrument chacun et tout. Ils tournent. Tout est bien fait. Il n'y a pas de... Bon, t'as deux, trois petites couilles normales, mais enfin, je veux dire, comme dans n'importe quel concert, c'est des humains. Mais c'est hyper, hyper carré. Et les voix, quand il y a des mecs qui sont venus chanter, je me suis dit, c'est comme si moi je montais sur scène pour faire, allez, je vais chanter un coup. Ben non, en fait, ils ont quand même des super belles voix. Il y a des paroles. J'ai chialé. J'ai chialé, ça parle des différences, du rapport avec les parents, bref, j'ai trouvé ça très bien. Donc si vous avez envie de faire une bonne action, n'hésitez pas à aller voir ce genre de concert, il n'y a pas que Percu Jam, il y en a d'autres aussi. [00:05:52] Speaker D: Tu fais une bonne action et puis en même temps, vous passez un bon moment. [00:05:54] Speaker C: C'est ça. Donc vous avez les deux en même temps, si vous préférez faire comme ça plutôt que de verser de l'argent à une association. Voilà, c'est tout. Sinon j'ai été voir Chargotte aussi, ça c'était vendredi, c'est ce qui m'a emmené au bout de la nuit. La descente aux enfers, Charles Cotton ? Tu sais quoi ? J'ai été vraiment bluffé. J'ai été extrêmement bluffé. Parce que les lumières sont oufissimes, le décor, l'ambiance. Il y a des mecs qui se déplacent dans le public aussi, pendant le concert, et qui distribuent des billets. qui les jettent à la gueule les gens. Voilà, vous l'aurez en plus grand sur la VOD. Mais voilà, il y en avait plein. Ça m'a fait rappeler un petit peu mes billets pour l'Imbiscuit. Mais il y a un véritable show et c'est vraiment hyper, hyper bien fait. Je leur souhaite de tout cœur de faire de plus grandes salles, bien évidemment, et de se vendre à l'étranger parce que ça vaut largement le coup. C'est à La Cigale, oui. Parce qu'il y a déjà une belle salle. C'est blindé. Et puis hier donc, il y a eu l'Anne-Marx. Je les ai vus un peu de loin, mais en tout cas, la personne qui les a vus à la place de mes yeux m'a dit que c'était très très bien et ils viennent d'annoncer un zénith de Paris pour la fin du mois de janvier. On ne l'avait pas dit ici, mais voilà. Il suffit de nous regarder pour connaître les infos avant les autres. Et voilà, donc ça s'est merveilleusement bien passé, tout le monde a kiffé, apparemment c'était la surpuissance. Et comme c'est des Marseillais, je me suis dit, je suis obligé de les passer pour ouvrir cette émission. C'est quand même un Olympia blindé et un Zénith qui va se blinder, j'en suis persuadé. Donc bravo les groupes français, vous voyez, tous les plus jeunes. Faut travailler, parce que ces deux-là, ils bossent comme des chiens, vraiment, c'est pas des groupes qui... C'est deux groupes. Non, mais je parle de Chargotte et Jean-Claude. « Bois ton cocktail Gladys, t'es pas encore arrivée ! » Je plaisante, je te dis bisous Gladys des cœurs. [00:07:46] Speaker D: Et on va s'écouter quelle chanson de Landmarx ? [00:07:48] Speaker C: Je me suis dit que « Creature », comme ça faisait déjà un bon bout de temps qu'elle était sortie, c'était l'occasion de la remettre et c'est vrai que c'est une chanson, lorsqu'il la joue, ça part vraiment totalement en cacahuètes. Même si globalement, ça part en cacahuètes tout le long. Donc « Creature » pour ouvrir. Encore une fois, merci d'être avec nous, merci de nous soutenir. Et puis c'est parti ! [00:08:12] Speaker A: Musique pesante Musique pesante. [00:10:38] Speaker C: Et c'est l'odeur de l'enfer, un peu de souffre et de douleur Qui s'émane et qui ternit. [00:10:41] Speaker D: Mon âme et ma couleur Je peux. [00:10:42] Speaker B: La sentir brûler tout mon corps Je veux la faire sortir, faire d'elle mon erreur J'ai croisé tant de démons différents. [00:10:47] Speaker C: J'ai bravé tant de vagues et d'océans Mais j'ai toujours ce monstre en moi qui dans le néant me crie I. [00:10:51] Speaker A: AM THE KRAITOR I said I wouldn't look back, don't wanna face this traitor This thing inside me is getting out of control I've tried to hold it in, but I can't anymore I want it! Is it wise to wait? [00:11:15] Speaker C: Is the best for real or is. [00:11:16] Speaker A: It the worst for me? They can take me from rock to rock arts, but they won't get the best of me I want it all! I need to get back my freedom, I'm fighting against the whole kingdom It's dripping into my system, I'm feeling the pain and I've lost my way out All these lies only feed the pain Oh putain, c'est trop bien ! Je me transforme en... Je me transforme en... CETTE CREATURE ! Je n'ai plus peur, parce que tu as pris tout Crawling in the dark Everything we knew was falling down The night suppresses the light Looking for a reason I won't fight Tchao ! It took me a while to let it sink in The way that you never say what you're really thinking It took me a while to find out I keep fighting the feeling that once again I'm here Le premier jour sans vous J'ai collapsé sur le sol de ma chambre Qu'est-ce que je vais faire ? Mais je ne peux pas mourir encore, parce que qui va chercher le chien ? Et quand tu m'as enfin laissé partir Et que tu m'as dit que tu voulais que je n'existe pas C'est riche, n'est-ce pas ? La première fois sans toi. [00:16:14] Speaker C: Je suis. [00:17:03] Speaker A: C'est parti ! But I can't die yet, cause... [00:17:52] Speaker D: Oh. [00:17:53] Speaker C: Que c'est mignon, oh que j'aime, j'aime, j'aime, j'aime ce genre musical et j'aime ce groupe. [00:17:58] Speaker D: J'aime, j'aime tes yeux, j'aime ton odeur. [00:18:01] Speaker C: Tous tes gestes en douceur, lentement, sensualité. [00:18:09] Speaker D: Stop, un instant, j'aimerais que ce moment dure. [00:18:14] Speaker E: Fixe ! [00:18:15] Speaker D: Non mais j'allais changer les paroles pour enchaîner quelque chose mais c'est pas grave. Vous allez décider de me pourrir ma vie. Un peu plus, un peu moins. [00:18:24] Speaker C: Bon, après PUP, qu'on adore, P-U-P, notez-le, parce que moi j'adore ce groupe-là, et ils vont repasser sortie prochaine, bien évidemment. En France, je vais aller les voir, moi, moi, gnagnagna, gnagnagna, gnagnagna. [00:18:34] Speaker D: De toute façon, j'ai bien compris que les invitations, c'était que pour toi. [00:18:38] Speaker C: Et pour Marcel. [00:18:39] Speaker D: Ah oui, bien sûr, vous deux. [00:18:42] Speaker C: Guili, guili, guili. Qu'est-ce que je voulais dire ? J'ai l'impression d'avoir le cul tout mou. Qu'est-ce que je voulais dire ? [00:18:48] Speaker D: Tu devrais y mettre un truc bien dur pour que ce soit plus bon. [00:18:51] Speaker C: Oui bah j'attends, je fais des appels dans les murs. [00:18:53] Speaker A: C'est l'heure du Flash Bang News ! [00:18:58] Speaker C: Et c'est présenté par Didi Bonsoir ! Oh Didi Bonsoir ! [00:19:03] Speaker F: Dzień dobry Piotr. [00:19:05] Speaker C: Dzień dobry Ben. [00:19:06] Speaker F: Dzień dobry Gladys. [00:19:07] Speaker D: Coucou Gladys. [00:19:09] Speaker C: Gilles Debré. [00:19:10] Speaker B: Gilles Debré. [00:19:10] Speaker D: Dis-y Gilles Debré. [00:19:11] Speaker E: Quoi ? [00:19:12] Speaker D: Gilles Debré. [00:19:13] Speaker E: Gilles Debré. [00:19:13] Speaker D: Voilà. [00:19:15] Speaker C: Ça va Gladys ? Elle était bien réglée cette caméra ! [00:19:22] Speaker F: J'ai l'impression que Gladys elle me regarde d'un œil et de l'autre œil elle regarde Pierre. [00:19:25] Speaker C: Je suis très vexée. Mais tu es magnifique Gladys ! [00:19:32] Speaker D: Moi je trouve son regard incroyable. Regardez, regardez, oh là là ! Oh la la, oh my god, I can't believe it. [00:19:41] Speaker C: Ouais, chaque fois que je la vois arriver, je me dis, chaque fois que. [00:19:43] Speaker F: Je suis jaloux, je me dis, mais. [00:19:44] Speaker C: Moi je peux pas faire ça. Ah bah attends, t'as raté, t'as raté. [00:19:46] Speaker D: Tout à l'heure, elle est arrivée avec les lunettes de soleil, quand elle marchait. [00:19:50] Speaker B: J'Entendais, I'm a single lady, I'm a single lady. [00:19:53] Speaker C: C'est pas vrai. [00:19:57] Speaker E: Pas la musique, mais les miennes. [00:19:58] Speaker D: Non, mais l'attitude était là, quoi. Il y avait ce truc de girlboss, quoi. [00:20:02] Speaker C: En même temps, faut pas lui faire, parce qu'en fait, à soi, tout le monde dit qu'on lui coupe la parole, mais quand le clip est lancé, elle nous frappe. Ouais, dis pas non. Bon, allez, on va passer à l'essentiel quand même. Les news de cette semaine, Didier, est-ce qu'il y en a eu beaucoup ? [00:20:18] Speaker F: Non, il n'y en a pas eu beaucoup, mais suffisamment pour qu'on puisse en parler un petit peu. [00:20:23] Speaker D: Et c'est ça croustillant ! [00:20:24] Speaker B: Eh oui ! [00:20:24] Speaker F: Bon, il n'est pas si croustillant que ça, mais bon. On va commencer avec Primus, qui a enfin trouvé son batteur. Ils ont vu plus de 6200 candidats, dont certains un peu connus. Du coup, il y a beaucoup des auditions qui sont disponibles sur leur Instagram. Ils ont fait une petite émission télé. Et du coup, on peut voir l'audition de leur nouveau batteur, John Hoffman, qui n'est pas très connu dans le monde de la musique, à part pour ses performances à la batterie sur YouTube ou sur les réseaux sociaux. Et il est assez jeune, il a l'air assez cool et voilà, ils sont contents, lui aussi. [00:20:58] Speaker D: Du coup, ils leur proposent un truc original, ils ont fait Banco. C'est l'armée, nous la caravane. [00:21:03] Speaker F: Et du coup, en restant sur Primus, ça va être aussi le 35e anniversaire de Frizzle Fry. Et ils vont sortir un vinyle spécial. avec une poêle à frire, avec graver dedans l'artwork de la pochette. Marcel vous mettra l'image sur la vignette sur YouTube. [00:21:23] Speaker C: C'est génial. En même temps, il n'y a que eux vraiment pour aller jusque-là quoi. [00:21:27] Speaker F: Exactement. [00:21:28] Speaker C: Autant dans le déguisement que dans l'opéra. [00:21:31] Speaker D: Il y a aussi le fait qu'il faut avoir des fans qui sont prêts à acheter ça aussi quand même. [00:21:35] Speaker C: Bah ils auraient pu faire grandir ce coup-là. [00:21:38] Speaker F: C'est déjà sold out. [00:21:40] Speaker D: Après ils n'ont pas dû en faire un million non plus. [00:21:42] Speaker F: Oui, je pense que... [00:21:43] Speaker C: Mais y'en a dix quoi ! [00:21:46] Speaker F: C'est foutu ! Je pense que c'est pas rentable d'en faire que dix justement quand t'as un truc qui est gravé comme ça. [00:21:51] Speaker D: Bah je sais pas, c'est gravé une par une. [00:21:54] Speaker F: Bah justement c'est moins cher si t'en fais plein que si t'en fais dix. [00:21:56] Speaker D: Non, parce que c'est du temps... Bon bref, c'est pas un vrai problème. [00:22:01] Speaker C: En tout cas, bien wesh ! [00:22:03] Speaker D: Bien wesh, c'est une bonne idée. [00:22:05] Speaker C: Et bravo Primus ! [00:22:06] Speaker F: On enchaîne avec Scorpion qui annonce le début du tournage de son biopic Win of Change, ça va commencer en mai. Ça va retracer l'ascension du groupe allemand de ses débuts dans l'Allemagne d'après-guerre à son statut de légende du rock. Et le groupe supervise le scénario ainsi que le casting. Il galère à trouver des comédiens allemands qui soient suffisamment ressemblants et qui soient un peu jeux. [00:22:29] Speaker C: Je ne veux pas que ça se passe comme ça ! [00:22:32] Speaker D: Ça, ça va finir en téléfilm M6 de Noël. Est-ce qu'il y aura un truc avec un chalet, des jouets et une fleuriste. [00:22:41] Speaker C: Qui se fait planter ? La clinique de la forêt noire, ben voilà, on connaît l'histoire de X-Mobio. [00:22:47] Speaker F: On espère, on espère. Ça se finira avec Win of Change. [00:22:52] Speaker C: Et un mur qui tombe. Très bien. Et quand ça va sortir, les fans seront morts ? C'est méchant. [00:22:58] Speaker F: Bah non, parce qu'ils en seront à leur 77ème année de tournée d'adieu. [00:23:04] Speaker D: L'avantage, c'est que c'est moins fatigant que de regarder un film. De toute façon, ça va être directement à la télé, ça va pas sortir au cinéma. [00:23:11] Speaker C: C'est un petit peu comme Kojak. Bon. Qui connaît ? Personne. [00:23:16] Speaker D: Même moi, je connais peu. [00:23:19] Speaker F: Thélix Avalas, l'acteur de Kojak, était le parrain de Jennifer Aniston. [00:23:23] Speaker C: C'est pas vrai. [00:23:24] Speaker D: Tu veux dire Jennifer Anistonopoulos ? [00:23:27] Speaker F: Le monde d'Hollywood est vraiment minuscule. On enchaîne avec Christina Stabia. [00:23:32] Speaker D: C'est peuplé de grecs. [00:23:34] Speaker F: Christina Scabia, donc la chanteuse de Lacuna Coil, qui a révélé qu'elle a dû être protégée par des agents du FBI lors d'une tournée en raison de stalkers ultra menaçants. [00:23:44] Speaker D: Tu vois Pierre, t'es pas le seul. [00:23:49] Speaker C: En tout cas, ils m'ont pas trouvé. [00:23:53] Speaker F: Au début des années 2000, quand le groupe était au top de sa notoriété, ils ont fait une grosse tournée aux Etats-Unis et elle recevait vraiment des photos bizarres où il y a un mec qui lui a offert son alliance en disant voilà c'est pour te prouver que grâce à toi je me suis séparé d'une personne toxique. Elle a commencé à recevoir des photos d'elle photoshopées avec du sang partout ou avec des fœtus et je parle pas du chanteur d'Ultra Vomit. Ça aurait été cool mais... [00:24:20] Speaker D: C'est toi le chanteur d'Ultra Vomit, salut ! [00:24:27] Speaker F: Et du coup le FBI lui avait attribué un agent qui restait avec elle tout le temps 24h sur 24 et elle était un peu confinée dans le tourbus pendant ses tournées donc c'est pas un super bon souvenir pour elle. [00:24:39] Speaker E: J'aurais pu faire un image de bodyguard. [00:24:41] Speaker F: Peut-être qu'à la fin, on ne sait pas. Il avait quand même une coupe de hienche Kevin Costner à l'époque. [00:24:49] Speaker E: À la fin elle meurt. [00:24:51] Speaker C: Mais non, il est quand même mort Winnie Houston. [00:24:53] Speaker E: Oui bah y'a l'envie. [00:24:53] Speaker C: Parce qu'elle avait trop aidé. [00:24:54] Speaker D: Qui ça ? Winnie Houston ? [00:24:56] Speaker C: Elle aimait le miel. Et Winnie il est gay, donc ça tout se tient. Bon allez, la suite. [00:25:03] Speaker D: C'est vrai qu'il y a cet épisode où il aide Tigre à retrouver sa queue ? [00:25:06] Speaker F: Ah non c'est Boricay. [00:25:08] Speaker D: C'est Boricay qui a perdu sa queue. [00:25:10] Speaker F: Ça, ça te parle ? [00:25:11] Speaker C: Bah dans ma communauté, on aime ce qui est grand. Allez, ensuite ! [00:25:14] Speaker F: On enchaîne avec l'avion appartenant à Vince Neil de Motley Crue qui a été impliqué dans un accident mortel. [00:25:20] Speaker C: Mais oui ! Mais alors, c'est un avion ou c'est un hélico ? [00:25:22] Speaker F: C'est un avion. [00:25:22] Speaker C: Ok. [00:25:23] Speaker F: C'est un avion. Alors, Vince Neil n'était pas à bord de l'avion. Mais sa petite copine, oui, elle a été blessée. Je crois que c'est le copilote qui est mort. Mais comme quoi, faut vraiment prendre aucun véhicule qui appartient à Vince Neil ou qui... De près, voilà, si c'est lui qui conduit ou... Il paraît qu'il avait des places pour le Titanic, il était actionnaire minoritaire. [00:25:47] Speaker C: Tout s'explique ! En même temps, voilà, quand on va le chanter aujourd'hui, c'est un peu aussi comme le Titanic. [00:25:55] Speaker F: Ah oui, c'est un naufrage, oui, c'est sûr. Du coup, je ne vous propose pas d'écouter un petit mot de l'écrou. Non, non, on va plutôt écouter une nouveauté de 1056. [00:26:05] Speaker B: Ça se tient. [00:26:05] Speaker F: En petit clip, bah oui, autant mettre quelque chose de bien. [00:26:08] Speaker C: Qui vont faire un trabando d'ailleurs. Je ne sais plus la date, vous regardez sur notre site, ça y est. Mais c'est bientôt. Ce n'est pas au mois de mai, fin mai je crois. [00:26:17] Speaker D: Je ne sais pas. [00:26:18] Speaker C: Bon peu importe. Trabando pour 1056, c'est pas mal. [00:26:20] Speaker F: Et donc on écoute Herwig. [00:26:23] Speaker C: Alors je n'ai ni entendu la chanson. [00:26:24] Speaker D: Ni vu le clip. [00:26:26] Speaker C: Donc on va le découvrir. [00:26:27] Speaker E: Surprise. [00:26:28] Speaker C: Surprise. [00:26:34] Speaker A: C'est la fin du monde, c'est la fin du monde ! J'en ai rien à craindre de ne pas m'attendre You've been praying for so long... DIE! AWAKE! AWAKE! Fade away, cause I still see you! Abonnez-vous ! [00:29:26] Speaker D: Beaucoup trop d'informations... J'sais pas, j'ai entendu le reste... Attends. [00:29:30] Speaker C: On regardait le 56, on me dit qu'il participe à l'île de la Tentation, mais j'ai pas compris. [00:29:33] Speaker F: Le guitariste, c'est le pote de mon collègue Adrien qui a fait l'île de la Tentation. [00:29:39] Speaker D: Ah d'accord, c'est pas lui qui a été dans l'île de la Tentation. [00:29:42] Speaker C: Faut que j'arrête de faire des raccourcis parce que les gens après ils comprennent pas quand je raconte des histoires. [00:29:46] Speaker F: Mon collègue Adrien, pote qui arrête pas de me dire c'est con que vous m'invitez dans votre émission, sauf qu'il aime pas le métal. [00:29:52] Speaker C: Non, sauf bon il est bien gaulé ? [00:29:54] Speaker F: Il est ultra bien gaulé. [00:29:55] Speaker C: Il aime un peu les hommes ou pas ? [00:29:57] Speaker D: Il aime leur foutre des patates dans la gueule. Non, non. [00:30:01] Speaker C: Tu mettrais des yeux sur mes fesses. [00:30:04] Speaker D: Allez, on va enchaîner. [00:30:05] Speaker F: Je t'écrirai sur Instagram. [00:30:07] Speaker D: On va enchaîner tout de suite avec le reste des news, Didier. [00:30:10] Speaker F: Alors, il y a un artiste qui a été accusé d'avoir vendu la même oeuvre d'art à deux groupes différents, Dim Tréateur et Orion, donc deux groupes de prog. [00:30:21] Speaker B: Mais tu veux dire la même oeuvre. [00:30:22] Speaker C: D'Art, c'est-à-dire que pour leur faire une chaîne ? [00:30:24] Speaker F: En fait, pour des artworks, quoi. [00:30:27] Speaker D: Donc c'est Hugues... Hugues Saïm, connu pour. [00:30:32] Speaker F: Son travail avec de nombreux groupes de rock et de metal prog, et au cœur de la controverse. En gros c'est Ben Jones, le leader de Dorion, qui a soulevé l'affaire. Il s'est rendu compte qu'il a payé des milliers de dollars pour avoir une oeuvre d'art pour sa pochette. [00:30:46] Speaker C: Et le mec. [00:30:48] Speaker F: Et que du coup, Dream Theater l'ont eu aussi. Et en fait il a mégal somme, parce qu'en gros, Tu joues du prog et le mec vend la même image au leader du... au plus beau groupe du style. [00:31:02] Speaker D: Du coup les gens se disent forcément que c'est Dream Theater et que c'est le petit groupe qui a pompé. [00:31:06] Speaker F: C'est lui qui a copié et du coup il a commencé à râler sur les réseaux sociaux et du coup t'as le management de Dream Theater qui l'a contacté et qui ont fait un geste envers lui. Il a pas dit ce que c'était, il a fait après, c'est pas ce que je demande, c'est juste... tout le monde s'est... ils se sont fait arnaquer comme moi ils ont fait un geste qu'ils n'étaient pas obligés de faire, il n'a pas expliqué ce que c'était, mais voilà, il a dit en tout cas, bravo, merci à eux, c'est cool. Mais l'autre, c'est vraiment un bâtard. Il va avoir tous les groupes de prog, ça vous dirait le truc ? [00:31:39] Speaker D: C'est original. Ils se sont fait arnaquer comme moi, il a dit, je pense qu'ils se sont moins fait arnaquer que lui. Parce que, enfin je veux dire, Dream Theater c'est le leader du truc donc forcément eux ils n'en pâtissent pas trop. [00:31:53] Speaker F: Alors que lui... Oui ils n'en pâtissent pas trop mais je pense qu'en vrai ça les a peut-être saoulés d'avoir à payer un truc aussi qui avait déjà été vendu ailleurs. C'est pas non plus bon pour leur image et c'est peut-être pour ça aussi qu'ils ont dit on va régler le truc, nous on va te rembourser le machin. [00:32:08] Speaker C: Je suppose. Bon après ils sont gentils Dream Theater donc voilà. Très bien. À voir sur scène aussi. [00:32:14] Speaker D: Le théâtre des rêves. [00:32:16] Speaker B: Alors... [00:32:17] Speaker F: On enchaîne avec Green Day. Green Day qui se lance dans le cinéma et ils travaillent sur un nouveau film comique inspiré de leurs explos en tournée. Le film s'appelle New Year's Reve. Le groupe joue un rôle central dans le film. Ça se concentre en gros sur un groupe de jeunes amis qui voyagent par erreur à travers le pays, croyant que leur groupe va ouvrir pour Grindel le soir du Nouvel An. [00:32:42] Speaker D: D'accord, drôle. [00:32:44] Speaker F: Et du coup, c'est un peu inspiré de quand ils étaient pas connus, qu'ils faisaient des tournées en van et qu'ils jouaient dans des caves pour l'anniversaire d'un mec et puis le lendemain, ils recommençaient ailleurs. Voilà, ça va être un délire comme ça de jeunes groupes de rock qui galèrent et qui en vannaient. [00:32:58] Speaker D: Oh, trop bien, ça donne envie. [00:33:00] Speaker C: Ça change de ce que les autres ont dit. [00:33:02] Speaker D: Moi j'irais plus voir ça que le biopic de Scorpion. [00:33:05] Speaker C: Bah clairement ouais. Moi j'irais voir Scorpion. [00:33:10] Speaker F: Mais le pitch me fait un peu penser au film qui était sorti avec Julien Doré. J'ai pensé à Pop Redemption. Où du coup il fait croire aux membres de son groupe qu'ils vont jouer au Hellfest alors qu'en fait rien n'est prévu. Et puis finalement ils y arrivent. [00:33:25] Speaker D: J'ai réussi à le regarder en anglais ce film. [00:33:30] Speaker C: Je ne l'ai pas vu. [00:33:31] Speaker F: Il n'est pas très très bien. Il n'est pas super. [00:33:32] Speaker D: Il n'est pas ouf mais il n'est. [00:33:34] Speaker C: Pas si mal que ça, il se regarde. [00:33:35] Speaker D: C'est pas incroyable. [00:33:36] Speaker F: C'est parce que tu le détestes. Tu détestes les gens du Sud. [00:33:39] Speaker C: Parce qu'il est doré. Pardon. Bon, passons à la suite. [00:33:47] Speaker F: Et on termine avec une dernière news. C'est encore Ronnie Radke qui a ravivé sa querelle avec Spiritbox. en s'en prenant aux fans du groupe sur les réseaux sociaux, il a dit. [00:33:57] Speaker D: « Mais c'était pas elle Poppy ! [00:33:58] Speaker F: » Mais non ! Non mais en gros il a dit « Ouais, vous pouvez demander, il les appelle Spineless Box, vous pouvez leur demander de quitter ma tournée parce que j'ai dit trans-pédé-attardé-gay, mais vous pouvez pas m'empêcher de gagner un Billboard Awards alors qu'eux, ils ont pas gagné un Grammy. [00:34:18] Speaker C: Non mais en fait, je me pose une question. Je sais qu'il fait extrait pour que ça fasse sa notoriété, ça marche donc c'est brillant. Mais est-ce qu'il boit ou est-ce qu'il se drogue ? Il y a quelque chose en plus, non ? [00:34:27] Speaker E: Non, je pense qu'il a juste B en fait. [00:34:28] Speaker F: Ah ben non, c'est vraiment... Du coup, j'avais jamais été sur son compte Twitter, je suis allé voir. [00:34:34] Speaker C: J'avoue que je suis jamais allé. [00:34:35] Speaker F: Et c'est vraiment, c'est Cartman. [00:34:37] Speaker C: Ah ouais, ça sort comme ça. [00:34:38] Speaker F: C'est juste, dès que quelqu'un lui parle, il fait « ta gueule pédé, ta. [00:34:41] Speaker C: Gueule sale trans ». [00:34:43] Speaker F: Quand y'a un mec qui lui dit « ouais bah peut-être tu peux les critiquer mais eux au moins ils ont été nominés au grammy » et lui il fait « ouais bah moi je serai jamais nominé au grammy parce que je suis pas une femme noire transgay ». [00:34:55] Speaker D: Après il a pas tant ça qu'il. [00:34:57] Speaker F: Est pas une femme noire transgay. Donc c'est vraiment Cartman qui en est toujours auprès des gays, après les juifs. Ouais pour moi c'est ça, c'est Cartman. [00:35:05] Speaker D: C'est vrai que la prochaine étape c'est Kanye West. [00:35:07] Speaker C: Ils sont peut-être potes finalement. [00:35:10] Speaker E: Moi je l'appelle le Trump du métal. [00:35:14] Speaker D: C'est la même technique. [00:35:16] Speaker C: J'ai jamais été voir son compte mais effectivement s'il n'y a que ça c'est le passé. [00:35:19] Speaker F: C'est vraiment, tu regardes et puis il répond à tout le monde. Mais en les insultant. [00:35:24] Speaker D: Voilà quelqu'un qui est proche de son public. [00:35:26] Speaker C: Bah écoutez, vous savez ce que je vais faire ? Je vais faire avec le compte de Restless une demande de don de sa part. [00:35:32] Speaker D: Est-ce que c'est pas un peu le jeu ? Tu sais, c'est comme il y a des humoristes qui s'amusent à roster le premier rang et les mecs veulent absolument être au premier rang pour se faire roster. Est-ce que les gens ne le provoquent pas en permanence ? [00:35:45] Speaker B: C'est possible qu'il y en ait un. [00:35:46] Speaker F: Qui veuille le provoquer pour s'en prendre une dans la gueule, pour pouvoir se dire « Hé, regardez, je me suis fait insulter par Ronnie Radke ». [00:35:53] Speaker D: Non, en plus, il y a des gens qui aiment bien se faire insulter et insulter. [00:35:57] Speaker E: Pourquoi tu m'as regardé ? [00:35:58] Speaker D: Non, parce que c'est vrai que moi. [00:35:59] Speaker C: J'Aime bien me faire insulter et t'aimes bien insulter. [00:36:02] Speaker D: Non mais parce que tu connais des gens qui aiment bien... Tu nous as pas raconté une histoire de je sais plus quel groupe où c'était pareil, les mecs venaient à chaque fois chercher... [00:36:11] Speaker F: Le regard. Chercher la merde. [00:36:12] Speaker D: Bon, je me trompe peut-être. [00:36:14] Speaker C: Voilà, parce qu'ils n'ont pas envie d'en parler. [00:36:16] Speaker D: Je ne vois pas. Non, mais je pense qu'il y a beaucoup de gens qui... Enfin, je veux dire, même nous, il y a des gens qui balancent des vannes juste pour avoir une réaction. Écoute, fais ça, les Coca-Cola Restless. [00:36:28] Speaker F: Envoie-lui un message, demande-lui de l'argent. Je fais, voilà, on a Mediametal, aide-nous à insulter. [00:36:33] Speaker C: Faut leur dire de venir faire l'émission. [00:36:34] Speaker D: Faut qu'ils viennent faire l'émission. [00:36:36] Speaker C: S'ils nous filent 100 000 balles, c'est pas mal. [00:36:38] Speaker D: S'ils viennent, c'est drôle aussi. [00:36:40] Speaker C: J'en ai parlé à une personne. J'en ai parlé à une personne que j'ai croisée dans d'autres locaux et qui travaille dans ce genre de groupe. [00:36:50] Speaker F: Bon bref, c'est tout. Du coup, je propose d'écouter Spiritbox pour faire chéronner. [00:36:58] Speaker C: T'es fort, t'es très fort Didi. T'es mon meilleur Didi. [00:37:01] Speaker F: Non, c'est Ben le meilleur. [00:37:03] Speaker C: Ben il est là, moi je suis juste là. Ben y'a moi et y'a toi. [00:37:05] Speaker D: T'façon y'a plus que 20 émissions. [00:37:06] Speaker C: Mais pas dans les meilleurs, dans la chronologie. [00:37:09] Speaker D: Y'a plus que 20 émissions. [00:37:09] Speaker C: Je le vois sur le dernier sinon. [00:37:10] Speaker D: Voilà c'est dit, l'info a été donnée. [00:37:12] Speaker E: Et moi je suis où dans tout ça ? [00:37:14] Speaker D: Toi, bah tu dois faire ta place encore. [00:37:17] Speaker E: D'accord, d'accord. [00:37:18] Speaker D: Moi je trouve que t'es déjà assez. [00:37:19] Speaker E: Haut dans le... Moi je vais tous. [00:37:21] Speaker D: Vous détrôner, ok ? J'attends tout ça. [00:37:24] Speaker C: Ce qu'on t'a fait venir c'est pas pour rien quand même. C'est qu'il faut quand même qu'un jour on soit en place. [00:37:28] Speaker F: Méfie-toi que si tu détrônes Ben, il va falloir prendre en charge Pierre après. [00:37:33] Speaker E: Ça va se tirer vers le bas tout de suite. [00:37:35] Speaker F: Ben c'est ça le problème. [00:37:37] Speaker E: Ça va mal finir ce soir. [00:37:37] Speaker F: C'est que Ben, sans Pierre, il pourrait être président de la République déjà. [00:37:42] Speaker C: Président du monde. [00:37:43] Speaker D: Ben déjà je serais riche. [00:37:47] Speaker C: C'est pas faux. Parce que même avant RACS, je te. [00:37:49] Speaker D: Suçais déjà tout ton fric. [00:37:52] Speaker C: J'ai bien précisé le fric. [00:37:53] Speaker F: Et jouer Saint-Valentin. [00:37:56] Speaker C: Merci beaucoup Didi ! [00:37:57] Speaker F: Merci beaucoup, et puis la semaine prochaine je suis pas là ? [00:37:59] Speaker C: Oh non. [00:38:00] Speaker F: Alors à dans 15 jours. [00:38:01] Speaker C: Mais attends, mais t'es pas là, mais tu peux pas le faire de là. [00:38:02] Speaker F: Où tu seras ? [00:38:05] Speaker C: Non. Bah... Avec des gens et tout de là-bas ? [00:38:08] Speaker F: Je ne sais pas si j'aurai du wifi, donc je peux rien promettre. Si j'ai du wifi, bah peut-être je vous enverrai une vidéo. [00:38:13] Speaker C: Passe de bonnes vacances, il faut profiter. C'est un beau pays en plus. [00:38:16] Speaker F: Je sais pas. [00:38:17] Speaker C: En tout cas moi je connais bien la population et je peux te dire qu'ils sont tous adorables. [00:38:20] Speaker F: Tu connais plus la population que les pays. [00:38:22] Speaker D: Ils ont le cœur sur la main. Et pas que. [00:38:25] Speaker C: Et pas que, voilà. Djinkoye. [00:38:28] Speaker F: Djinkoye barzo. Do widzenia. [00:38:30] Speaker D: Djinkoye barzo. [00:38:33] Speaker C: Tu peux envoyer le clip quand on a fini. [00:38:56] Speaker A: You all deserve each other. [00:40:54] Speaker C: Votre corps. [00:40:54] Speaker A: Vous tuera quand vous le souhaitez ! I wish you were dead inside of my head A particle of dust that slowly disappears C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé jusqu'à la fin ! I wish you were dead Inside of my head A particle of dust But slowly it disappears The curse of my breath Spit out of the wind Cause this is the end You live to disappear I wish you were dead. [00:44:37] Speaker C: Le tout nouveau Lacuna Coil à l'instant dans Bang Bang et sur SLS, tout simplement, tout nouveau, tout frais, tout beau, avec une belle mise en scène. [00:44:46] Speaker D: Et il sent bon le sable chaud. [00:44:48] Speaker C: Ah bah évidemment, c'est tout le concept de Lacuna Coil, on a bien compris. Tout ça moulé dans le sable. Ça s'appelle « I wish you were dead ». [00:44:57] Speaker D: J'espère que tu étais mort. [00:44:59] Speaker C: Parce qu'elle est morte dedans, tu vois pas, elle était un peu comme ça. Bref, tu sais quelle heure il est ? Parce qu'à chaque fois on a des rendez-vous comme ça, mais on va peut-être pas créer, mais il est l'heure de retrouver notre invité Bacal, bonsoir ! Bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir ! [00:45:13] Speaker B: J'aurais aimé faire bonsoir avec vous, mais je peux pas. Le cœur y est, le cœur y est. Comment allez-vous ? [00:45:18] Speaker D: Il a sorti sa voix de beau gosse, il fait « ah je suis. [00:45:20] Speaker B: Désolé, je peux pas faire autrement, je. [00:45:22] Speaker D: Peux pas sortir ma voix, top top ». [00:45:25] Speaker C: Faut tout raconter aux gens. on s'envoie sur Insta des petits messages pour redonner les infos qu'il faut et là il m'envoie un vocal et là je me dis ah merde putain. Généralement quand on envoie un vocal c'est pas bon signe. Ça fait pas bon signe. Et quand tu fais ? Je suis désolé, ce soir j'ai une voix un peu grave. Je vais peut-être avoir un petit peu. [00:45:46] Speaker B: De mal à parler au micro ce soir. [00:45:49] Speaker C: Attends elle est trop bien cette voix ! Elle est super ! [00:45:53] Speaker D: Ah il a goûté ! [00:45:55] Speaker C: Non mais merci d'avoir accepté cette invitation, ça tombe merveilleusement bien évidemment puisqu'il y a beaucoup beaucoup de choses qui se sont passées pour toi autant hier soir que dernièrement. On va en parler bien évidemment puisqu'on va parler de ton groupe, de tout ce que tu fais, de tes activités qui sont quand même nombreuses. Parce qu'en fait, voilà, je travaille jamais très bien mais je me suis dit tiens je vais quand même essayer de voir ce qu'il a à faire. Et en fait je me suis perdu à un moment, je savais plus si j'étais vraiment sur YouTube, Twitch, sur Insta, sur TikTok, sur je sais pas. Mais en fait tu fais tout. [00:46:26] Speaker B: Ouais mais tout mal du coup. [00:46:27] Speaker D: Tout ça pour qu'on lui dise mais non. Mais non tu fais tout bien voyons. [00:46:33] Speaker B: Oh d'accord merci alors. [00:46:36] Speaker C: Et c'est vrai. Non non mais Déjà, ça fait combien de temps que tu fais toutes tes activités ? [00:46:43] Speaker B: Ça fait cinq ans que je fais de la création de contenu. Je me suis lancé juste avant le confinement. En fait, mon ex de l'époque était streameuse et du coup je suis un peu tombé là-dedans. J'ai commencé à voir qu'elle se faisait des potes, elle a été dessinatrice, et elle se faisait des potes dans le milieu du dessin et tout. Je me suis dit mais attends, je connais personne dans le milieu de la musique, c'est peut-être comme ça que je peux rencontrer des gens qui font la même chose que moi. Et du coup je me suis lancé en février 2020. et après confinement. Et là, ça a été la fête. Et du coup, confinement, mais trop bien, parce que stream 6 fois par semaine, quoi. 6 jours sur 7, t'es en train de faire des trucs cools, donc trop bien. [00:47:16] Speaker C: Ça t'a aidé ? [00:47:17] Speaker B: Ça m'a aidé, ouais. Franchement, ouais. T'es occupé ? J'ai rencontré plein de gens par ce biais-là, en fait. Tu te mets à rencontrer des gens, te faire des potes, bosser sur des projets ensemble, surtout pendant le confinement, tu vois, j'avais arrêté la musique un petit peu avant parce que j'avais une mauvaise expérience de groupe. et je m'étais dit vas-y la musique c'est fini quoi genre ça me saoule et en fait pendant le confinement je me faisais tellement chier que j'ai rencontré donc ma meuf de l'époque qui était elle aussi dessinatrice mais c'est pas la même et un autre pote qui lui. [00:47:45] Speaker D: Était dessinatrice attention ! [00:47:49] Speaker B: Et du coup, j'ai rencontré cette meuf-là et un pote qui était lui, animateur 3D, etc, motion design. Et du coup, on a fait un clip pendant un week-end. On s'est dit, on n'a rien à foutre, donc branchons Discord et on tourne un clip à la maison, machin. Et c'est ça qui m'a remis le pied à l'étrier dans la musique et qui m'a redonné envie de faire des trucs. [00:48:04] Speaker C: Ok, quand même beaucoup d'histoires. On va essayer de remettre tout ça dans l'ordre ce soir. On va essayer de commencer comme à l'habitude. Alors non, c'est vrai que je pose beaucoup de questions sur le travail, mais comme ça va venir après, puisque ça fait partie de ta vie quotidienne. Quand t'étais petit, à quel moment tu as découvert les musiques alternatives ? Quand t'étais petit ? Enfin, à quel moment ? Parce que t'es peut-être vieux. [00:48:27] Speaker B: Bah écoute, je sais pas, en vrai, je pense à mon cours d'allemand en CM2. [00:48:30] Speaker C: Pardon ? [00:48:31] Speaker B: Ouais, genre, ma prof d'allemand en CM2. [00:48:34] Speaker C: Me faisait écouter du Rammstein. [00:48:38] Speaker B: Elle nous mettait du Rammstein pour nous familiariser à la langue allemande, je te jure. En fait, en primaire, c'était pas obligatoire à l'époque d'apprendre une langue, une seconde langue, et elle, elle voulait pas qu'on apprenne de l'anglais. Elle nous avait dit, moi je ferais de l'allemand. Et du coup, elle nous écoutait du Rammstein, mais vraiment, on mettait les clips en cours, du Rammstein, vraiment, une fois par semaine minimum. [00:48:55] Speaker D: Peut-être pas tous les clips non plus. [00:48:57] Speaker B: Non, peut-être pas tous les clips non plus, non. [00:49:00] Speaker C: Bon, celui-là, il a pas rien. [00:49:03] Speaker D: Celui-là, il a une bite. Celui-là, il est sur Pornhub, mais c'est pas grave. [00:49:06] Speaker B: Je demanderai à vos parents. En fait j'ai personne dans ma famille qui écoute du rock. Mes parents sont pas du tout musiciens, ils écoutent pas de musique, ils s'en foutent. Il y a que mon grand-père qui lui aime plus jazz et classique. Mais non, sinon personne n'écoutait de métal. Et après c'est aussi l'époque tu vois, j'ai commencé à découvrir Linkin Park, tous les trucs de ce courant-là en fait, Playmo etc. Et j'ai grandi avec ça. [00:49:37] Speaker C: Et c'est venu après cette prof d'allemand. [00:49:38] Speaker B: Je pense que c'est elle la première. Mais Anne nous avait fait venir son fils qui lui jouait dans un groupe de métal à l'époque, donc un mec avec les cheveux longs, Flying V, tout ça. Il était venu jouer du métal, exactement le cliché de l'époque. Et il était venu jouer en classe. [00:50:00] Speaker D: Il avait une veste à patch ou quoi ? [00:50:04] Speaker C: Non, il avait du cuir avec des spikes. C'est complètement fou cette histoire, mais quand elle a montré ça la première fois que t'en as entendu, tu t'es dit quoi ? Tu t'es dit « mais elle est folle » ? [00:50:14] Speaker B: Non, je me suis dit « ça ressemble à ça l'Allemande ». [00:50:17] Speaker C: Ah ça marche ou pas, pardon. Excusez-moi, très mauvaise blague. [00:50:23] Speaker D: En même temps, c'est un peu vrai. [00:50:24] Speaker C: En même temps, c'est vrai le bruit des bottes. Je sais pas, moi j'aurais flippé, je me serais dit, parce que c'est quand même pas le groupe le plus simple. [00:50:32] Speaker D: C'est un peu drôle, oh bah sûr, Einstein c'est un côté, c'est hyper binaire et c'est un peu drôle. [00:50:37] Speaker B: Ouais et puis encore une fois, à nous montrer, même si c'était pas les clips avec les bites, à nous montrer des trucs, tu vois, genre des lives où le mec il a avec son manteau enflammé, des lasers dans les yeux et tout, quand t'es gamin tu te dis c'est un truc que j'ai pas vu, tu vois. Il a un peu une gueule de Terminator, tu te dis, c'est impressionnant quoi. [00:50:52] Speaker C: Est-ce que t'avais déjà cette culture de gaming avant ? d'avoir le métal ? [00:50:56] Speaker B: Ouais ouais ouais ouais ouais j'ai commencé à jouer moi j'avais trois ans je crois, ma play 1 ouais et du coup j'ai commencé à me buter très très tôt à Tekken, Tomb Raider etc et donc ouais j'étais déjà un énorme gamer. [00:51:07] Speaker C: Donc finalement quand t'as vu l'équipe de RimeShine il y avait un peu cette impression d'être dans un jeu. [00:51:12] Speaker B: J'étais pas impressionné par la déa quand même. Attention, je joue à Crimekiller. [00:51:19] Speaker C: Ok ok, donc Rammstein, une cour d'allemand et puis après donc ça t'a ouvert les portes. [00:51:23] Speaker B: Ouais c'est ça, j'ai mis longtemps je pense à rentrer vraiment dans le métal réellement parce que tu sais tu passes par plein d'étapes surtout à cette époque là je me souviens tu vois un des premiers albums que j'ai acheté c'était Eminem parce que j'écoutais beaucoup de rap aussi. [00:51:33] Speaker C: En même temps c'est bien donc oui. [00:51:35] Speaker B: Ouais vraiment j'écoutais tout et c'est vraiment au collège où là pour le coup ça s'est verrouillé et c'est parti sur le métal quoi. [00:51:40] Speaker C: Ouais. [00:51:41] Speaker D: C'était quoi le truc qui a verrouillé ? C'est des rencontres ? [00:51:44] Speaker B: Ouais, groupe de potes. Groupe de potes, on s'est mis à skater, à fumer des clopes, à fumer des pètes. [00:51:51] Speaker C: C'était avant, bien sûr. [00:51:53] Speaker B: Et du coup, on est partis vraiment dans un truc où on écoutait que du métal et c'est là que j'ai découvert des groupes genre Black Bomba, etc. Et j'ai commencé à vraiment mettre le pied dedans. [00:52:02] Speaker C: C'était dans quel coin ? T'habitais où ? [00:52:05] Speaker B: J'étais dans le 77. [00:52:06] Speaker C: Ouais ok, bon, région parisienne. [00:52:07] Speaker B: Ouais, région parisienne, et c'est pareil, y'a des groupes du coin qui m'ont grave marqué, genre Body Festival, je sais pas si vous vous souvenez de ce groupe, qui faisait du wing-core. C'était des mecs déguisés en clowns et tout, et du coup c'est pareil, y'avait une esthétique, c'est un truc qui m'a toujours marqué, les groupes avec des grosses esthétiques comme ça. [00:52:23] Speaker C: Et donc vous avez écouté tous les trucs de pop-punk ? [00:52:26] Speaker B: En vrai ouais, alors moi je suis vite parti dans les trucs un peu vénères quand même. [00:52:30] Speaker C: D'accord. Donc tu t'es débarrassé de tes amis ? [00:52:32] Speaker B: Exactement. [00:52:33] Speaker D: Je les ai laissés sur la touche et j'ai pris l'autoroute de l'enfer. [00:52:39] Speaker B: Non mais en vrai tu vois ma culture musicale elle s'est faite aussi avec Guitar Hero en fait. J'ai commencé la guitare parce que j'ai joué à Guitar Hero. Genre Guitar Hero 2 m'a mis une claque et c'était... Et tu dis je. [00:52:49] Speaker D: Suis tellement doué à ce jeu, juste prendre une guitare c'est pareil. [00:52:53] Speaker B: C'est pas pareil. [00:52:54] Speaker D: Pas. [00:52:57] Speaker B: Du tout. J'avais joué en fait chez le grand frère d'un pote, il avait Guitar Hero 2 et il y avait Freebird de Liner Sky Nerd dans la tracklist et le solo de 5 minutes il m'a mis une mandale j'ai fait attends mais. [00:53:08] Speaker D: C'Est ça que je veux faire en fait. Une des meilleures scènes dans Forrest Gump d'ailleurs sur cette chanson, c'est la scène où elle va se suicider après la soirée où elle a pris trop de drogue. Incroyable ! Parce que ce qui se passe à l'image marche tellement bien avec la musique. C'est pas dans un film de Rob. [00:53:31] Speaker B: Zombie aussi qu'il y a Freebird ? [00:53:34] Speaker D: Je pense que c'est une des chansons les plus utilisées dans les films. Parce que c'est épique quoi. [00:53:40] Speaker B: Et du coup voilà, bref, j'ai acheté une grâce. [00:53:42] Speaker C: C'est quand même assez atypique comme parcours, j'ai pas envie de... [00:53:44] Speaker B: Je sais pas, en vrai je pense que Guitar Hero ça a eu un petit impact. [00:53:46] Speaker D: Ouais y'a beaucoup de gens... [00:53:48] Speaker E: En vrai j'ai essayé la guitare aussi avec Guitar Hero. J'ai vite abandonné mais... Non c'est vrai, c'est vrai en plus. [00:53:55] Speaker B: Ouais bah du coup c'est pareil tu vois, j'ai commencé à être très bon sur Guitar Hero, genre à me taper des trucs en expert et tout, je me suis dit là, faut me mettre à la guitare tu vois, là y'a un truc. [00:54:02] Speaker C: Le vrai expert ! [00:54:04] Speaker B: Ouais bah que dalle, je suis naze. [00:54:06] Speaker D: T'étais reparti à beginner vraiment très vite quoi. [00:54:10] Speaker B: J'ai des vidéos du tout début où je me prends pour un fou à jouer Smoke On The Water et c'est nul à chier quoi. Mais ouais, y'a eu un petit step back ouais. [00:54:17] Speaker C: Non parce que les vieux apprenaient la guitare pour pouvoir les draguer c'est tout, c'était vraiment le truc à l'époque. Je parle de mon époque ok, je suis beaucoup plus vieux. Mais pas Guitar Hero ! C'est sûr que Guitar Hero ça servait. [00:54:28] Speaker B: Pas à draguer, je te confirme ! [00:54:29] Speaker C: Guitar Hero ça servait pas à draguer ? Non, j'ai pas fait chaud avec ! Bah si t'es tout seul dans ta chambre, c'est sûr que... [00:54:35] Speaker B: C'est sûr, c'est sûr. [00:54:36] Speaker C: Bon ok, ok... Guitar Hero, pour apprendre la guitare, c'était à quel âge que t'as commencé à apprendre la guitare ? [00:54:43] Speaker B: Tout début collège, donc je devais avoir 12 ans, quelque chose comme ça. [00:54:45] Speaker C: Ah oui, bon ça c'est tôt. C'est vrai que tu joues quand même à pied aussi. Après, est-ce que c'est pas l'âge où c'est quand même le plus pratique d'apprendre un instrument ? Enfin, très jeune je veux dire. [00:54:53] Speaker E: Ouais. [00:54:54] Speaker B: Je sais pas. Moi, avec le recul, j'aurais bien aimé commencer plus tôt. Parce que, tu sais, j'aurais eu plus de la discipline, je pense. [00:55:00] Speaker D: Je pense que plus tu commences tôt, mieux c'est, en général. C'est juste que je pense que très jeune, c'est dur de savoir ce que tu as envie de faire. Alors que tu découvres, en fait, c'est plus après l'adolescence ou pendant l'adolescence que tu dis, ah ouais, en fait, c'est ça que je voudrais faire. Et au moment où tu n'as plus le temps d'apprendre, c'est aussi beaucoup plus dur. [00:55:17] Speaker B: Ouh la flemme, pis t'sais j'avais aussi mes petites humeurs en mode j'ai changé cinq fois de prof de guitare parce qu'il me cassait les couilles à vouloir me faire apprendre du Beatles, je déteste ça. J'étais en mode bah non, cassez-vous, je veux pas de ça. Moi je veux jouer du Metallica en fait. [00:55:29] Speaker C: Moi je veux les trucs où ça pète. [00:55:30] Speaker B: Moi je veux les trucs avec de la disto quoi. Et non. [00:55:33] Speaker D: Et la progression a été rapide ? [00:55:36] Speaker B: Très difficile ? Non, je suis toujours très mauvais. Non en vrai en fait le problème c'est que je me suis jamais vraiment buté. Je pense que j'ai beaucoup plus joué à Guitar Hero que de la vraie guitare et donc j'ai gardé un niveau de guitariste rythmique un peu nul, voilà quoi. [00:55:49] Speaker D: Assez pour t'accompagner un petit peu vite fait. [00:55:53] Speaker B: Sur la plage l'été quoi, pour essayer de draguer justement parce que Guitar Hero ça marchait pas. [00:55:57] Speaker C: Il. [00:55:59] Speaker B: Y avait Guitar Hero sur DS figure-toi et c'était super. [00:56:01] Speaker D: Pas comme t'aurais aimé. [00:56:08] Speaker C: Pas sur Guitar Hero. Bref, après ce passage guitare il y a eu il y a eu d'autres envies ? C'est quoi qui t'a déclenché l'envie de crier ? [00:56:18] Speaker B: Eh ben en fait c'est par la force des choses. C'est que j'étais dans un groupe en tant que guitariste, j'avais une chanteuse, si tu passes par là je suis désolé de ce que je vais dire, elle était mauvaise. Et du coup je lui ai dit je suis désolé mais c'est plus le possible. Donc j'ai commencé à chanter dans le groupe, derrière elle a split. Et c'est comme ça que je me suis mis au chant. Je me suis dit il faut que je fasse quelque chose parce que là je peux pas être avec des chanteurs qui sont pas bons. Et du coup j'ai commencé à être moi-même mauvais. Et à me rendre compte c'était plus compliqué que je pensais. [00:56:43] Speaker D: Je pensais que c'était comme dans Guitar. [00:56:44] Speaker C: Hero, mais non c'est pareil. [00:56:45] Speaker B: Je me suis fait baiser mais deux. [00:56:46] Speaker C: Fois de la même façon. C'est pas comme au karaoké. [00:56:49] Speaker B: Non, c'est beaucoup plus dur. Mais du coup voilà, donc j'ai commencé le chant comme ça. Et puis pendant des années j'étais naze quoi. [00:56:55] Speaker C: Donc t'as commencé comme ça, autodidacte ? [00:56:57] Speaker B: Ouais ouais. [00:56:57] Speaker C: À essayer de créer quelque chose ? [00:56:59] Speaker B: Vraiment, bah tiens, pousse-toi, je prends le micro, je vais chanter, c'était naze, mais c'est le truc qui m'a donné envie de chanter ouais. [00:57:05] Speaker C: Je sais pas, mais quand on fait un groupe, alors quand on a envie d'être chanteur, généralement c'est qu'on a quand même un petit peu d'ego je pense, mais toi t'es passé de guitariste à ça en disant ça, t'as pas flippé ? Enfin je sais pas, moi je flipperais d'être devant Tu sais, c'est vraiment... Passer de guitariste, c'était important, c'est pas ça. J'arrive pas à expliquer ce que je veux dire, mais là t'es vraiment devant, tu représentes souvent le groupe, t'es leader, enfin, ça fout quand même un peu les pépettes. [00:57:26] Speaker D: Après, ça dépend aussi du niveau du groupe, enfin, je veux dire... Oui, voilà. Nous, c'est des reprises des Cranberries. [00:57:31] Speaker C: Quand t'as chié, bah peut-être... [00:57:34] Speaker D: Quand ton groupe c'est de se retrouver avec tes potes une fois par semaine pour faire des reprises, y'a pas trop la pression de je vais devant, je. [00:57:45] Speaker C: Vais tout ça ? [00:57:46] Speaker B: Je pense que le plus gros concert qu'on a fait, c'était un samedi après-midi, dans la fête du village, entre le spectacle de danse des maternelles et des primaires. C'était ce slot là. [00:57:54] Speaker C: Donc les enjeux étaient... C'était pas bon, violent, donc il y avait vraiment un tas de choses qui. [00:57:59] Speaker B: N'Étaient pas nulles à chier. Et je suis retombé, j'ai gardé, je garde des vidéos de tous les concerts que j'ai fait. [00:58:04] Speaker C: C'est trop bien ça. [00:58:04] Speaker B: Je suis retombé dessus, je les ai montré à mon groupe il y a genre trois semaines, c'est une horreur. Genre c'est une horreur, t'as tout le monde sur des chaises de camping, tu sais, assis devant la scène comme ça, et ben on n'a rien à foutre là. [00:58:15] Speaker C: Après il faut bien passer par ce. [00:58:16] Speaker F: Genre de choses, on ne peut pas. [00:58:17] Speaker C: Commencer non plus dans des salles remplies à ras bord, c'est un petit peu le lot. [00:58:21] Speaker B: Après j'ai envie de dire, il y. [00:58:22] Speaker D: A des concerts, tu peux trouver des premiers concerts de Deftones ou des trucs comme ça ? [00:58:26] Speaker B: Ou même des derniers concerts de Deftones ! [00:58:32] Speaker C: Bam ! [00:58:33] Speaker B: Désolé, j'aime pas trop Deftones. [00:58:37] Speaker C: Mais c'est bien de garder ce genre de... C'est bien de garder ce genre de cassette quand t'as regardé ça, à part de te dire que c'était mauvais, bon attends, ça donne un petit peu d'émotion quand même. [00:58:46] Speaker B: Et puis t'es content de le retrouver ! C'est ça, je me dis, j'suis un petit peu meilleur quand même ! En vrai, tu le regardes avec une petite tendresse. Tu te dis, il y a eu de l'évolution depuis 15 piges, c'est plus la même chose. [00:58:57] Speaker C: En plus, tes goûts, ils ont changé. [00:58:58] Speaker B: Oui, il n'y a aucune des reprises que je refreins aujourd'hui. [00:59:01] Speaker C: Crème d'orice, c'est fini ! Je ne parle pas de ça, même juste de ce que tu veux faire. Quand tu étais gamin, que tu as commencé à jouer de la guitare, tu voulais juste jouer de la guitare, tu ne pensais pas au chant, tu es venu au chant. il y a une évolution aussi dans ton rêve, dans ton... Enfin, peut-être pas rêve, peut-être envie, je sais pas. [00:59:18] Speaker B: Et en fait, il y a un truc aussi, tu vois, quand t'es dans une famille, dans un groupe de potes où il n'y a pas trop de musiciens, où il n'y a personne du milieu de la musique... Bah t'es un peu perdu. En fait, ouais, c'est ça. Tu sais pas par où commencer et du coup t'as aucune clé. Donc tu te lances dans des trucs pourris avec les spectacles de danse des collégiens, tu vois, ou des primaires. Et du coup, ce truc d'avoir le recul, de savoir comment marche le milieu, comment tu boucles une date, comment tu fais ton son, comment tu places ton mix, tout ça, c'est des trucs que ça ne vient pas de soi-même. Et en fait, même des notions comme ça, je ne les ai apprises que récemment, parce que quand t'es pas dans le milieu, tu ne le devines pas. [00:59:50] Speaker C: Bon, en dehors de cette petite histoire, tu as choisi aussi des clips. [00:59:54] Speaker B: Et oui, tout à fait. [00:59:55] Speaker C: C'est important de passer la musique que vous aimez. Et le premier morceau, donc, Maximum Diormone, j'ai réussi à avoir le premier. [01:00:03] Speaker B: Ah c'est vrai ? [01:00:04] Speaker C: Oui. Ok. Près de la qualité, est-ce qu'elle est ? [01:00:06] Speaker B: Ah ben ça c'est le problème de Maximum Diormone. J'ai demandé autour de moi, on m'a. [01:00:09] Speaker C: Dit c'est normal pour eux. [01:00:12] Speaker B: C'est bien le problème. [01:00:13] Speaker C: Mais Maximum Diormone, on nous en a déjà parlé. Et pourquoi Maximum Diormone ? [01:00:16] Speaker B: Parce que c'est le premier concert que j'ai vu de ma vie. [01:00:19] Speaker C: Oh ça, bah du coup, ça raconte. On lui dit toujours Dorothée, bon c'est vrai que t'es trop jeune mais... Non. [01:00:24] Speaker B: Mais je te dis, vu que j'ai pas de musicien dans ma famille, personne m'a jamais emmené en concert. Et je me souviens, c'était à la machine du Moulin Rouge, ma mère avait appelé la salle de concert. Parce qu'elle savait pas si c'était ok pour les enfants de venir. Elle avait appelé genre est-ce que c'est ok si mon fils qui a 15 ans il peut venir ? [01:00:38] Speaker D: Ou est-ce qu'il faut que je vienne pour rester au fond ? [01:00:40] Speaker B: Oui c'est ça. [01:00:41] Speaker C: Est-ce que je vais souffrir ? [01:00:42] Speaker D: Est-ce que je vais supporter ça ? [01:00:44] Speaker C: Non mais c'est super gentil, je trouve. Et sans être dans la musique et tout, tu pourrais quand même... Parce que quand t'es parent, tu fais pas des concerts. Ou peut-être que comme t'en fais pas, tu sais pas tous les problèmes qu'il peut y avoir dedans. [01:00:53] Speaker B: Ouais, c'est peut-être ça aussi, on m'a pas prévenu. [01:00:57] Speaker C: C'est sûr que c'est un monde à part. Tu te souviens de ce premier concert ? [01:01:00] Speaker B: Ouais de fou parce qu'en fait on avait été hyper bien traités. On est arrivé dans la salle, on est arrivé un petit peu en avance. En fait on a essayé de se faufiler sur le côté, les gens nous laissaient passer parce qu'on était tout petits tu vois. Et je me souviens que tu sais à la machine t'as des espèces de portes de sécurité sur les côtés de la scène et il y a un vigile qui est là. Et en fait le mec nous laissait monter sur la marche pour qu'on puisse voir parce que sinon on était en dessous du monde. Et le mec il a dit je vous protège, foutez vous là, regardez le concert tranquille et du coup on était trop bien quoi. genre vraiment comme première expérience de concert exceptionnel. [01:01:41] Speaker C: Non mais c'est pas la même ambiance, après Maximum German ça envoie quand même vénère. J'ai jamais vu, moi quand j'étais gamin et que j'allais au concert, les vigiles ils étaient pas plus sympas avec les enfants qu'avec les vieux. [01:01:53] Speaker D: Je dis rien contre les vigiles, je. [01:01:55] Speaker C: Dis juste qu'ils faisaient leur taf. Pas qu'ils étaient méchants, juste qu'ils faisaient leur taf. [01:01:58] Speaker B: Mais je pense qu'on a eu un énorme coup de cul en vrai, parce que c'est pareil je l'ai jamais revu un truc comme ça moi. [01:02:03] Speaker D: Après t'étais plus grand aussi. [01:02:05] Speaker C: Ouais c'est ça, après j'ai devenu un enfant donc... Le concert d'après, on passe sept ans. [01:02:08] Speaker B: Après donc... Non, non, non, c'était la semaine d'après je crois. [01:02:10] Speaker C: Voilà. Mais toi t'es allé dire quoi Ben ? [01:02:14] Speaker D: Non mais j'ai déjà vu des... En fait ça dépend des vigiles, ça dépend aussi des conditions du concert. Je pense que même si Maximum the Hormone c'est violent, les gens qui vont au concert sont plutôt à la cool. C'est des gens un peu rigolos. C'est pas des gens genre en mode grosse patate et tout ça. Je pense que les vigiles, ils étaient aussi... Parce qu'à l'époque, la machinie, les concerts qu'ils faisaient, c'était beaucoup moins rigolo. C'est l'induce, c'est du black et des trucs comme ça. Je pense que là, c'était un peu la cour de recrutement. Il y a même des gamins qui viennent. Les mecs d'habitude ils voyaient que des golgothes de mètre soixante. [01:02:53] Speaker C: Il y avait un mec qui se mettait un poing dans le cul. [01:03:00] Speaker D: Il y a eu enfant et poing dans le cul. [01:03:03] Speaker C: Deux soirs différents. Avec la même vigile. [01:03:09] Speaker D: Non mais c'est super, moi après j'ai déjà vu des gens souvent avec des filles, des gens qui sont un peu sympas quand il y a des filles au premier rang, ils sont un peu plus sympas, ils leur donnent une bouteille d'eau ou des trucs comme ça, parce que les conditions tout devant c'est... Bah. [01:03:23] Speaker C: Là il avait déjà des chaussures de marche donc il n'avait pas la pression des gens. [01:03:26] Speaker B: Et je crois qu'il n'y avait pas de crash barrières à ce concert-là, je pense qu'il n'y avait pas ça. [01:03:30] Speaker C: La machine, il y a même rarement. [01:03:33] Speaker E: Des crash barrières à la machine. [01:03:36] Speaker C: Je crois qu'il y en a rarement. [01:03:37] Speaker D: Non. [01:03:38] Speaker C: Parce que la scène est quand même assez haute. Ouais, c'est ça, je crois que j'en ai jamais vu. Faut qu'on regarde un peu droit. Ils sont là ! Je crois. Non mais c'est cool, c'est cool, c'est vraiment cool, et du coup t'as profité, t'as voulu monter sur scène, là aussi t'as eu une vision, non mais je veux dire, quand t'es gosse t'as toujours envie d'être sur scène avec l'autre. [01:03:54] Speaker B: Ouais, je pense que c'est un truc que j'ai tout le temps, tu vois. Ce truc de je vais à un concert, je ressors, je suis énervé, je me dis putain pourquoi je suis pas en train de bosser en fait ? Pourquoi je suis là et je suis pas en train de travailler plutôt ? Et ça c'est un truc qui est arrivé très tôt. [01:04:03] Speaker D: Tu te fous des patates ou pas ? [01:04:05] Speaker C: En sortant dans le métro là, putain ! Je suis vraiment une merde ! Je me déteste ! Bon, on va revenir sur ce petit sujet juste après le clip comme ça. On va rester sur Max Lovino en mode hé le côté mignon. Cette chanson, pourquoi celle-ci particulièrement ? What's up people ? [01:04:20] Speaker B: C'était le premier opening ou ending de Death Note, qui était l'origine de mon pseudo. C'est les mangas, les trucs comme ça. Et du coup, c'est aussi comme ça que je suis tombé dans le métal vraiment hyper vénère. C'est avec l'opening de Stan Ullrich qui est Death Note. [01:04:34] Speaker C: Ok. [01:04:34] Speaker B: Voilà. Non mais très bien, très bien. [01:04:36] Speaker C: C'est un truc qui revient assez fréquemment aussi, ce genre de choses. [01:04:39] Speaker B: Mais en vrai, au Japon, c'est un vrai bail dans les animes de mettre des trucs un peu vénères en opening, c'est cool. [01:04:45] Speaker C: On en parle juste après. [01:04:46] Speaker B: Allez. [01:04:46] Speaker C: Maximum du hormone. [01:05:26] Speaker A: On s'en va finir, on est sur le territoire On s'en va finir On s'en va finir, on est sur le territoire On s'en va finir On s'en va finir On s'en va finir On s'en va finir On s'en va finir On s'en va finir. [01:06:01] Speaker D: Hey, hey, les. [01:06:02] Speaker A: Niais, ça va bien ? Ah, les niais, les niais, ça va bien ? [01:06:04] Speaker C: Hey, hey, les niais, ça va bien ? [01:06:05] Speaker A: Ah, les niais, les niais, ça va bien ? GARGOYLE ! [01:07:16] Speaker C: Hey, hey, I ain't getting in your. [01:07:16] Speaker A: Circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your. [01:07:37] Speaker C: Circle, I ain't getting in your circle Hey, hey, I ain't getting in your. [01:07:39] Speaker B: Circle, I ain't. [01:08:16] Speaker C: Hey, hey, I'm a good sucker, I'm a, I'm a good. [01:08:19] Speaker B: Fucker. [01:09:05] Speaker D: Le ciel est rouge. [01:09:05] Speaker A: J'en prie. [01:09:11] Speaker D: Ils l'ont planifié. [01:09:12] Speaker A: Attention, tu es de retour. On est en retard. [01:09:20] Speaker C: On est en retard. [01:09:21] Speaker A: On est en retard. On est en retard. [01:12:42] Speaker C: Le tout dernier Under Roof à l'instant, dans Bang Bang, joli clip, jolie chanson, ça s'appelle All The Love Is Gone. [01:12:51] Speaker D: Tout l'amour est parti. [01:12:52] Speaker B: Saucade, saucade. [01:12:53] Speaker C: En même temps, c'est des chialeuses. C'est pas méchant. [01:12:58] Speaker D: Ils sont bien redevenus chialeuses là quand même. Il y a quelques moments, il faisait des titres un petit peu plus... Là, c'est reparti sur le... [01:13:08] Speaker C: C'est mignon, c'est joli. [01:13:10] Speaker D: Ils veulent que ça marche, ça se sent. [01:13:11] Speaker C: C'est une chanson qui devrait marcher. [01:13:12] Speaker B: C'est une chanson que t'as pas aimée toi. [01:13:15] Speaker D: En vrai, ça m'a tout de suite sauvé en bougie. C'est exactement ça. Non mais je ne sais pas, il y a des chansons que je trouve un peu plus prenantes. Là je trouve que c'est un peu easy quoi. [01:13:27] Speaker B: Pas prenant quoi. [01:13:28] Speaker D: Je ne sais pas, c'est un peu attendu je trouve. Mais bon. [01:13:32] Speaker C: Explique-toi Gladys. [01:13:33] Speaker E: Moi je les adore. [01:13:34] Speaker C: Regardez, ça c'est ce que Gladys a dans sa tête en ce moment. [01:13:38] Speaker E: D'ailleurs, on m'en a parlé de ça, on m'a dit que la semaine dernière tu l'as utilisé pour me... Pour me personnaliser, alors qu'en vrai c'est toi. [01:13:45] Speaker C: Mais je sais, j'avais expliqué quoi. Mais c'est ce qu'il y a dans ma tête, c'est pas moi. C'est ce qu'il y a dans ma tête et puis ailleurs. [01:13:51] Speaker E: Non mais je tenais à préciser quand même tout ça au cas où. [01:13:55] Speaker C: Elle aime que les choses soient claires. [01:14:00] Speaker D: Bon. Faut en prendre une, fais gaffe. [01:14:03] Speaker C: C'est de sa part. [01:14:04] Speaker B: Toi aussi. [01:14:04] Speaker C: Tu sais qu'on est là pour faire de l'audience, une bonne tarte dans la gueule en direct ça marche toujours. Donc on va discuter nous pendant ce temps-là. [01:14:13] Speaker B: Ouais, moi je suis au milieu par contre. [01:14:14] Speaker C: T'aimes bien Andorro ? [01:14:17] Speaker B: Bah en vrai j'ai jamais vraiment écouté, pour être sincère. [01:14:19] Speaker D: Ah c'est drôle parce que pourtant c'est le genre de truc que tu devrais aimer quoi. Parce que c'est un peu un des groupes pionnés du Metalcore. [01:14:26] Speaker B: Parce que c'est un peu de la merde et vu tes goûts... Ah non non ! [01:14:29] Speaker C: Super, bravo ! [01:14:35] Speaker D: Il y a des albums que je trouve mieux que d'autres, mais il y a des trucs qui devraient vraiment te plaire parce que c'est un peu les groupes qui ont influencé les Architects et tout ça quoi. Ils étaient là juste avant. C'est la transition émo, metalcore, tout ce truc là. Ça fait partie des groupes qui ont été les premiers à mettre du chant clair, des refrains chantés dans le metalcore en fait. Metalcore était que du gueuler. [01:15:01] Speaker B: En fait, à chaque fois je vois leur nom, tu vois, quelque part, genre quand j'écoute les sorties de la semaine, je check, machin, ça m'a jamais vraiment percuté les oreilles. Genre y'a jamais un truc qui m'a... Ouais, c'est ça. [01:15:09] Speaker D: Je pense qu'il faudrait que t'écoutes les vieux trucs. [01:15:12] Speaker E: Après récemment, ils ont fait quand même... enfin le chanteur, il a fait un feat avec Bring Me. sur le dernier album qui est vraiment très très bon. [01:15:19] Speaker B: En fait c'est ça, j'ai l'impression qu'à chaque fois que j'en entends parler et que j'aime bien un truc c'est parce qu'ils sont en feat ailleurs. [01:15:24] Speaker D: Bah parce qu'ils ont rien fait. Ils ont du fun ce qu'ils font. Il y a eu un changement de line-up en fait, le batteur qui fait le chant clair. s'est barré pendant longtemps et du coup le groupe a été un peu dépourvu de son champ clair et du coup ils faisaient des trucs un peu plus vénères. Et le batteur qu'ils remplaçaient c'était le premier batteur de Norma Jean donc plutôt vénère quoi. Et là du coup Aaron Guilepsi qui est le le chanteur, celui qui chante, enfin qui fait du chant, qui écrit. Et là, il est revenu depuis deux... Enfin, je crois que c'est le deuxième album où il est revenu. Il y a eu un EP où il était déjà allé, déjà là. Et là, voilà. Et du coup, il y a le retour du chant clair, des grosses mélodies, tout ça. [01:16:11] Speaker E: Après, le feat avec Brimi, il a une raison aussi, c'est qu'à la base, Jordan Fish et Oliver Sacks devaient justement produire l'album, le prochain album de Andeross. Ça n'a pas pu se faire notamment parce que Jordan est parti. Et du coup, Oliver... tenir sa parole plus ou moins, il lui a proposé. [01:16:28] Speaker C: De faire un feat et il l'a accepté. Après c'est mignon quand même, c'est joli, il y a une belle mélodie. C'est sûr que ça gueule pas et ça fout pas des patates dans la tronche. [01:16:35] Speaker B: C'est ce que je vous ai dit pendant la pause, en vrai je trouve ça sympa, mais juste, il n'y a pas la petite tête sans sel qui fait que j'ai envie de le réécouter derrière et machin. Peut-être sur un prochain titre. [01:16:43] Speaker D: Il n'y a pas la petite tête sans sel, je suis complètement d'accord avec toi. [01:16:45] Speaker E: Après là on juge un titre, pas l'album. [01:16:47] Speaker B: Ouais bien sûr, c'est pour ça, je. [01:16:48] Speaker D: Pense que c'est le genre de groupe. [01:16:49] Speaker B: Où il faut que je creuse un peu. [01:16:53] Speaker E: On n'a pas l'album. [01:16:54] Speaker B: Moi j'en ai pas aimé, mais bon. [01:16:56] Speaker D: Mais sur le P, il y a un titre qui est incroyable. [01:16:58] Speaker C: Moi Gladys, j'ai adoré cette chanson, je me suis dit qu'on allait l'adorer toutes les deux. [01:17:02] Speaker E: Voilà. Parce que nous, on est des personnes de goût. [01:17:07] Speaker B: Ouais mais je suis content d'être dans ta salle. [01:17:13] Speaker C: Bon, on va revenir à toi. parce que l'Underoos s'en est pris plein la gueule, maintenant c'est bon, c'est fait ! Maintenant à mon tour ! Ça c'est signé ! Non, non, non, c'est pas ça, c'est juste que je pose souvent la question, parce que t'en as déjà parlé, t'as parlé que tu t'étais fait des amis dans le skate, que t'avais rencontré des gens grâce à internet, en fait le cheminement, on en parle plus d'habitude, parce qu'on parle aussi des vêtements, du regard des autres, de ce rejet qu'il y a souvent quand on écoute du métal de notre propre personne, des fois on fait exprès. Toi tu l'as vécu comment, ça t'avais tes potes, mais de l'extérieur... Honnêtement, je l'ai pas vécu. Moi ça va ! Non mais t'as jamais, t'en avais toujours rien à foutre ? [01:17:48] Speaker B: J'en ai jamais souffert, honnêtement. Bah en fait j'ai l'impression que là où j'ai fait mon collège et mon lycée, en fait tout le monde s'en foutait quoi. Genre j'étais pote un peu avec tout le monde. [01:17:57] Speaker D: Attends j'ai une petite question, c'est à quelle époque t'as fait ton collège et ton lycée ? [01:18:03] Speaker B: Entre 2006 et 2013. Les gens étaient déjà plus ouverts d'esprit. [01:18:09] Speaker C: Et puis il y avait aussi quand. [01:18:11] Speaker D: Même eu pas mal de vagues de métal successfull quoi. Enfin je veux dire, il y a eu le Néo qui était passé, il y a eu le Emo qui était... On était en plein dans le métalcore quoi, le début du métalcore. [01:18:25] Speaker B: Donc t'avais des amis qui écoutaient pas de métal quoi ? Ouais, ouais, vraiment. En fait, si tu veux, la musique n'était pas un critère pour trouver des potes. Ça ne l'a jamais vraiment été. J'ai essayé de faire découvrir un peu du métal à des gens qu'on n'écoutait pas, mais ça n'a jamais été un truc central pour moi à cette époque-là. Et même encore maintenant, j'ai plein de potes qui n'écoutent pas de métal et ils s'en foutent quoi. [01:18:42] Speaker C: C'est quoi qui vous réunissait ? C'était les jeux ? [01:18:44] Speaker B: Même pas. C'était le fait d'être dans la même classe. [01:18:48] Speaker C: C'est fou, c'est ça ? [01:18:48] Speaker D: Dans la même classe. [01:18:52] Speaker C: Tu parles pas à tout le monde dans la même classe. Il a pas dit qu'il parlait à tout le monde non plus. [01:18:56] Speaker B: Il a parlé de feeling, c'est vrai. En fait c'est comme partout, t'as des gens avec qui tu t'entends bien parce que t'es sur la même longueur d'onde, d'autres non. Et y'a pas que la musique qui définit ça, y'a plein d'autres trucs, genre notamment faire des grosses conneries. C'était un critère qui était bien plus important. [01:19:08] Speaker D: J'allais dire fumer des joints, mais du. [01:19:12] Speaker B: Coup je l'ai dépassé. [01:19:14] Speaker C: Bah ça détend ! C'est pas bon pour la santé, attention ! [01:19:22] Speaker D: Quand votre cerveau est encore en formation, regardez ce que ça donne après ! [01:19:35] Speaker C: Bozo le Clown a moins d'atouts que Rodolphe. Donc après sur le net tu disais que tu avais découvert les professionnels. C'est que le net qui t'a amené les professionnels. Les gens qui font partie un peu plus du milieu musical, artistique. [01:19:52] Speaker B: Même encore maintenant en fait, je sais même pas, j'ai l'impression de découvrir ça au quotidien, parce que même par internet en fait, moi j'ai commencé vraiment par le stream à rencontrer des gens, pas par la musique, et du coup le fait d'avoir un projet qui se lance et où tu fais des concerts et tout, en fait ça arrive maintenant, parce que ça fait depuis le Covid que j'ai pas eu un groupe où je fais des concerts, donc du coup toute cette, pas cette ascension, mais toute cette progression en fait dans le milieu du métal, c'est fait sans que j'ai de projet à côté, donc je suis un peu détaché de ce milieu là, et puis j'attends de voir ce que ça va donner. [01:20:22] Speaker C: Après, ça t'a donné l'occasion de te nourrir des expériences des autres. [01:20:26] Speaker B: Ouais, c'est clair. [01:20:26] Speaker C: Je veux dire, t'as quand même ton entourage qui s'est profilé en mesure, t'as vu des musiciens. [01:20:30] Speaker B: Ouais, je fais de la photo de concert aussi, puis je bosse à côté. Enfin là, je suis en année sabbatique, mais je bosse aussi dans le milieu de la musique. pas du tout dans le milieu du métal, mais ça fait partie aussi de mon boulot en fait. Donc je le vois de l'autorisme... [01:20:41] Speaker C: Tu sais, dis-moi, c'est quoi ce travail ? Si tu veux le dire. [01:20:44] Speaker B: J'ai juste pas l'endroit où je parlais. Mais en fait, je suis responsable Communication France pour une boîte qui vend des trucs dans la musique. Et donc du coup, je bosse au quotidien avec des artistes, j'ai fait beaucoup de photos pour eux, de vidéos, etc. Et c'est comme ça que j'ai aussi mis un pied dans ce milieu-là, mais de l'autre côté, tu vois, du côté t'es pas artiste, tu fais des trucs pour les artistes. [01:21:01] Speaker C: Oui, pour la communication, ça reste quand même un élément hyper important aujourd'hui. [01:21:04] Speaker B: Ouais, et puis c'est clair. En vrai, c'est trop bien. [01:21:07] Speaker D: Et puis, ça permet aussi de voir l'envers du décor. Ce que je trouve génial quand tu bosses avec des groupes et tout ça, c'est que tu vois comment ça se passe sans avoir à être celui qui fait l'erreur ou qui fait le machin. Donc, tu vois l'envers du décor et comme ça, le jour où toi, tu vas le faire, tu fais « alors. [01:21:24] Speaker B: Je sais que ça, je ne vais. [01:21:26] Speaker C: Pas le faire ». C'est une promesse qu'on m'a faite, je. [01:21:31] Speaker B: Sais que... Ouais, je te jure. C'est ça aussi, tu vois, en progressant, enfin, professionnellement et tout, tu te rends compte des conneries que t'as fait, des trucs auxquels t'as participé, où en fait, depuis le début, tu t'es fait niquer, quoi. [01:21:41] Speaker D: Ouais, ça va, et Merganza, c'était vraiment. [01:21:44] Speaker B: Un beau projet ! [01:21:45] Speaker C: C'est avec eux. C'est les plus connus, mais il y en a d'autres. [01:21:51] Speaker B: Ouais, ça a été un petit embrouillé Merganza. [01:21:54] Speaker D: Tous les gens qui l'ont fait. Mais ça existe encore ? [01:21:57] Speaker C: Je crois qu'il n'y en a plus qu'un de ce genre qui demande de l'argent et qui ne t'amène de ton public. Je crois qu'il n'y en existe plus qu'un. Il me semble, je dis peut-être une bêtise, mais bon on va pas parler d'eux parce que ça leur fera de le pub. Mais t'as fait quoi pour faire de la com dans cette boîte ? T'as fait une école et tout ? Parce que t'es barré au lycée ? [01:22:18] Speaker B: Non, en fait j'ai eu des études en dancing de fou. Dancing ? Exactement, je suis danseur. [01:22:26] Speaker D: Oh le dancing ! [01:22:28] Speaker B: Non, en vrai ma vie a été ponctuée par des erreurs administratives et du coup... [01:22:33] Speaker E: Il est français, il est juste français en fait. Il est juste français quoi. Les erreurs administratives, c'est genre monnaie courante en France. [01:22:43] Speaker C: Mais laisse-lui raconter son histoire ! Viens pas gâcher toute l'émission ! Non mais elle est incroyable. Tout ça parce qu'elle a des paillettes sur ses paupières. [01:22:50] Speaker D: J'en connais un qui va se faire péter la gueule. Il n'y a tant que ça. [01:22:54] Speaker B: Entre les deux, la pompe. [01:22:55] Speaker C: Enfin une activité sexuelle. En plus, je l'ai dit avec le. [01:22:57] Speaker E: Sourire, ça va être pire. [01:23:00] Speaker C: J'ai vu que t'osais pas trop sourire. T'as envie de péter des gueules. On te l'a dit, Spiritbox, si tu fais pas la gueule, on a pas l'impression que tu cries. Bon donc on va revenir à cette dentiste, c'est quoi cette histoire de dentiste ? C'est-à-dire qu'en fait ils t'ont inscrit là où il fallait pas ? Non vraiment ? [01:23:15] Speaker B: Mais ça m'est arrivé quatre fois Jean. En gros au lycée j'ai décidé de faire de la technique en fait ça me faisait chier du coup j'ai redoublé je suis parti en économie je finis mon bac je me dis et je vais faire du management ça va être super en fait on m'a inscrit dans la mauvaise école je commence les cours je me dis mais il y a quand même vachement de maths appliquées dans cette école de management en fait c'était un truc d'ingénieur informatique C'est pas là. [01:23:45] Speaker C: Où je veux être. [01:23:46] Speaker B: Du coup au bout de 6 mois je me suis barré en fac de droit. [01:23:49] Speaker D: Mais t'as quand même mis 6 mois à t'en rendre compte. [01:23:51] Speaker B: Mais non parce que c'est comme ça. [01:23:52] Speaker D: Tu peux pas te barrer, t'es bloqué tu vois. [01:23:54] Speaker E: Il s'est fait chier pendant 6 mois, surtout il comprenait rien au cours, il. [01:23:57] Speaker D: Était genre... Attends il était comment pardon ? [01:24:01] Speaker C: J'ai passé le moment où j'allais te faire des clips là, prenez ça et bah lancez tout sur internet. C'était comment le... ? [01:24:11] Speaker E: Je sais plus. [01:24:11] Speaker C: De toute façon, ce sera sur YouTube. Après six mois de torture, tu t'es dit qu'est-ce que je vais faire ? Tu vas aller en droit ? [01:24:21] Speaker B: Non, non, parce que je voulais aller en langue étrangère appliquée. Ils ont perdu mon dossier, donc j'ai fini en droit. [01:24:28] Speaker D: Putain, mais c'est Camoulois. [01:24:30] Speaker B: Attends, j'arrive en droit. Ils oublient de m'inscrire dans des matières. Du coup, je fais mes partiels. J'ai des bonnes notes à mes partiels, sauf qu'il y a des matières où j'ai zéro. Du coup, je suis dégagé, déscolarisé. Donc du coup, il a fallu que je trouve une école en urgence. J'ai fait du commerce international. Histoire de... Vendez le soja ! [01:24:47] Speaker C: Vendez le soja ! Bon, je vais faire ça, je sais quand c'est bon. [01:24:51] Speaker D: Laisse tomber. [01:24:52] Speaker B: Au bout d'un an, j'ai failli me faire virer de l'école parce que... [01:24:56] Speaker D: Il fallait pas vendre le soja. [01:24:57] Speaker C: Mon parent était trop bas. [01:24:59] Speaker B: En fait j'étais en alternance, la comptable de la boîte dans laquelle j'étais s'est trompée de nom sur le contrat et a mis le nom de son cabinet comptable au lieu du nom de ma boîte. Donc à l'académie... Je sais pas où là... [01:25:11] Speaker D: Ils ont considéré que t'avais pas fait ton alternance. [01:25:13] Speaker B: Ils ont retoqué mon truc comme si j'avais pas fait d'alternance. [01:25:15] Speaker C: Mais putain mais t'as pas fait appel. [01:25:17] Speaker D: À un moment ! [01:25:18] Speaker B: Bah si j'ai gueulé ! Ils m'ont dit bah faut changer de boîte donc j'ai dû trouver une boîte en deuxième. [01:25:21] Speaker D: Par contre vous vous gueulez super bien ! Vous aimez le métal ? Et c'est là la révélation, cette émerveillement. [01:25:30] Speaker C: Cette rage que t'as, c'est juste qu'en fait, toutes tes paroles qu'on écoute, c'est que sur l'administration française. [01:25:38] Speaker B: C'est du Frenchcore. [01:25:41] Speaker C: Mais non, mais putain, c'est... Mais tes parents, ils ont dû devenir fous. [01:25:45] Speaker B: L'ambiance à la maison était délétère, vraiment, je me faisais pourrir tout le temps. [01:25:48] Speaker C: Parce qu'ils devaient imaginer que c'était ta faute. [01:25:50] Speaker B: Bon, ça l'était peut-être un peu, mais... Et ça je suis à la moitié de mes études parce que derrière je fais un bac plus trois, ça se passe bien, l'école est nulle mais au moins c'est ce que je voulais faire quoi, je fais du marketing digital machin et je me dis pour le master je vais faire un truc sympa, ça va être cool, je vais vraiment faire du marketing digital. Sauf que je m'inscris dans l'école, je trouve une alternance, c'est super et la veille de la rentrée ils m'appellent, ils me disent ouais en fait on va pas ouvrir la classe. Comment ça ? Ils me disent ouais plutôt tu vas faire du design graphique. [01:26:16] Speaker D: J'ai quand même l'impression que c'est pas la même chose. [01:26:21] Speaker B: Ils me disent mais ça va être super, t'auras un double diplôme. [01:26:23] Speaker D: Ok. [01:26:24] Speaker B: Donc du coup j'ai dit oui. [01:26:25] Speaker C: Non mais c'est quand même des fils de je sais pas quoi. [01:26:28] Speaker B: École privée à Paris, truc à la con, les usines Afrique en fait. [01:26:32] Speaker C: Non mais tu payes, je veux dire. [01:26:33] Speaker B: Ouais mais tu payes pas directement, c'est. [01:26:34] Speaker D: Les boîtes qui payent. Non c'est ton alternance qui paye. [01:26:36] Speaker B: C'est les boîtes qui payent, ouais. Et donc du coup t'as ce truc de... [01:26:40] Speaker D: Ils essayent de... De garder tout le monde... En fait, ils annoncent plein de trucs, ils annoncent plein de trucs pour qu'il y ait plein de gens qui s'engagent, et aux dernières minutes ils ouvrent pas les trucs et ils rabattent sur les filières qu'ils ont pas complètes. Et comme ça, comme de toute façon t'as pas le temps de te retourner, et bah tu restes dans le truc, et eux ils touchent l'argent, et comme toi tu payes pas vraiment, t'acceptes plus facilement que si tu devais raquer 30 000 balles. [01:27:09] Speaker B: De toute façon t'as signé avec ton entreprise, avec ton alternance, donc t'es baisé, tu vas pas chercher une école à ce moment là, t'es engagé dans le truc. Mais c'est insupportable. Et donc du coup je fais cette école-là en design graphique, on était une quinzaine dans la classe, on était genre 7 ou 8 à être dans le même cas. Deux, on voulait pas faire ça, on se retrouve là, tu vois. Donc je fais mon année, ça se passe bien et je me dis donc ma deuxième année est assurée puisque je fais du marketing digital chez eux derrière. Sauf que je voulais changer de taf, je décroche un entretien dans une boîte qui est la boîte de mes rêves, je suis trop content et je vais à l'administration en disant l'année prochaine j'ai besoin des papiers pour mon rendez-vous. Ils me disent Ah on t'a pas dit ! L'année prochaine on n'ouvre pas la classe ! J'ai foutu de ma gueule ! [01:27:46] Speaker C: Mais putain ! [01:27:49] Speaker B: Mais dans deux jours j'ai mon entretien, vous ouvrez pas la classe ! Ah non non désolé on a un problème, on voulait vous prévenir par mail le mois prochain et tout. [01:27:54] Speaker C: Bah ouais quand ça s'est foutu... Et. [01:27:57] Speaker B: Donc du coup j'ai dû trouver, donc j'ai fait complètement du bluff dans la boîte où j'allais en leur disant oui oui j'ai une école c'est super et derrière j'ai écumé toutes les écoles de Paname pour trouver un truc en urgence. [01:28:06] Speaker C: J'ai fait... J'ai eu ça aussi un moment, ça vous oubliez ? Ce petit passage où tu... T'as les bons plans. Si tu dois se créer dans cette école, il te doit. Merci beaucoup ! À Bourse, on fait des coucou à cette école. C'est juste une porte, il y a un bureau et il n'y a rien d'autre. Ils sont là pour donner des papiers. Bienvenue en France. [01:28:26] Speaker B: C'est un cauchemar. Et du coup j'ai quand même fini par être pris dans la boîte que je voulais, qui était la boîte dans laquelle j'ai travaillé jusqu'à maintenant. Donc boîte dans le secteur de la musique, trop bien. Et l'école j'ai fait gestion de start-up et gestion d'entreprise en master 2. Et puis voilà quoi, ça m'a permis juste d'avoir mon CDI derrière et de partir dans la vie active. [01:28:42] Speaker C: Bah ouais, t'as toutes ces expériences finalement, ont déjà nourri ce personnage qui fait mille choses à la fois. [01:28:48] Speaker D: Ça t'a appris la débrouille quoi. [01:28:51] Speaker B: Ouais, en fait c'est ça. C'est que j'ai appris à me dire bon bah ça marche pas tant pis quoi. Genre tant pis je vais juste réessayer plus fort et puis ça finira bien par passer quoi. Parce que le... [01:28:58] Speaker D: Alors ça c'est pas pour tout. [01:29:03] Speaker B: Du coup ça a été un peu l'improvisation tu vois, je me suis dit bon on verra bien et puis... Non. [01:29:07] Speaker C: Mais il faut quand même avoir du caractère, c'est pas... Oui c'est pas donné. [01:29:10] Speaker D: À tout le monde non plus de pouvoir en abandonner... [01:29:13] Speaker B: C'est fatigant quoi, tu vois, mentalement... En fait à l'époque je l'étais pas, à l'époque j'étais, avant mes études supérieures j'étais un peu timide et j'étais pas trop comme ça et en fait c'est vraiment la première fois où ils ont perdu mon dossier, je me souviens, j'allais à Créteil donc je me tapais deux heures de route pour aller à la fac et et en fait j'allais tous les jours au bureau de la chargée d'orientation, et je t'appelais, j'allais, je faisais bonjour, vous avez mon dossier ? Non, à demain. Et j'ai fait ça pendant un mois, jusqu'à ce qu'elle avoue qu'elle avait perdu quoi. Mais ça m'a un petit peu énervé, je me suis dit là à partir de maintenant je vais être énervé. [01:29:43] Speaker D: Oh Dion, vous criez fort, vous riez pas non plus ! [01:29:45] Speaker C: Bah oui ! Je vous l'ai dit deux fois, je vais le faire. Et tout ce temps-là avec le soutien quand même de tes amis qui écoutaient du métal et pas qu'eux. Donc on remercie systématiquement les amis. Encore heureux qu'ils sont là. Bon, toutes ces aventures nous donnent envie d'écouter un peu de musique quand même. Énervé je suppose. Alors j'avoue, je ne connais absolument pas ce groupe. Open Burning Body. Quelqu'un qui connaît l'or. [01:30:14] Speaker D: On n'en a pas déjà passé ? [01:30:15] Speaker C: Ah bah tu sais que je ne sais pas ce que je passe. [01:30:18] Speaker D: Il fait pas vraiment les émissions. [01:30:20] Speaker C: Il est là, il est pas là. Même quand je suis là physiquement des fois je ne sais pas. Ça s'appelle les abus. Mais c'est qui ça sort d'où ça ? [01:30:29] Speaker B: C'est un groupe de Deathcore que j'écoutais en 2012. Je crois que c'est vraiment le premier groupe où je me suis bouffé tous les albums à la suite en mode ok c'est super vénère et tu sais tu fais des grimaces quand t'écoutes, tu fais oh putain c'est ouf ! Parce qu'ils faisaient la première partie de Fafi en Death Punch et Pop Evil, au Bataclan 2012. [01:30:48] Speaker C: Attention, tout le respect qu'on a bien sûr pour les gens qui font de la musique, mais bon... [01:30:53] Speaker B: Mais on ne respecte pas forcément les pantalons américains. Et du coup, à l'époque... [01:30:58] Speaker D: Les pantalons fluo là, merci. [01:31:00] Speaker B: Je lisais pas les paroles. [01:31:02] Speaker D: Les visuels ça suffit ! [01:31:07] Speaker C: Et là on va se faire défoncer par tous les fans de Five Finger Death Punch. En même temps ils sont deux. [01:31:12] Speaker D: En France il n'y en a pas trop ça va. [01:31:13] Speaker C: Il y en a quand même pas mal. [01:31:14] Speaker D: Ah si, ils font des zéniths. [01:31:15] Speaker C: Ah si, il y a quand même pas mal. [01:31:17] Speaker B: J'ai l'impression que c'est quand même bien retombé. [01:31:19] Speaker C: On va faire une petite parenthèse sur Five Finger Death Punch avant de revenir au groupe que tu disais. Death Punch. Les fans disent qu'ils subissent la même chose que les fans à l'époque de Lame Biscuit. Vous écoutez ça, c'est des sales cons. Mais regarde, l'autre, il est partout, c'est des merdes. Et là, nous, on dit que c'est des chialeurs. Je sors de prison, j'aide les autres. J'ai un grand cœur, on sait même pas si c'est vrai. Enfin bref. [01:31:43] Speaker E: Moi, j'ai rien contre les fans de... J'aime juste pas le groupe. [01:31:46] Speaker C: Mais j'ai rien contre les fans non plus. [01:31:48] Speaker D: Mais non, mais le problème, c'est que quand tu dis que t'aimes pas le groupe, généralement, les fans, eux, sont pas contents que t'aimes pas. [01:31:53] Speaker E: Bah t'as le droit de pas aimer. [01:31:55] Speaker D: Oui, bah ça, on est d'accord. C'est eux qui sont pas d'accord. [01:31:58] Speaker E: Mais ils ont des insécurités de ouf. Faut pas les prendre comme ça, ils sont pas bien. [01:32:03] Speaker D: Va leur péter la gueule ! [01:32:04] Speaker B: C'est quoi la prochaine fois qu'il y. [01:32:06] Speaker D: A un concert, on va devant et nous on est là derrière et on fait vas-y ! [01:32:13] Speaker E: On va sur la page de Five Finger Dispunch pour dire oh on aime pas, on les fait pas chier. [01:32:18] Speaker C: C'est vrai on le dit dans une émission qui est quand même regardée. [01:32:22] Speaker E: Parce que là on parle du groupe. [01:32:23] Speaker D: C'Est juste que nous on n'aime pas. [01:32:24] Speaker E: On dit pas que c'est nul. [01:32:25] Speaker C: On n'a pas dit qu'il n'avait pas le droit d'exister évidemment, et puis eux ils ont le droit d'écouter ce qu'ils veulent. Je veux dire merci, on est libres d'écouter ce qu'on veut. Mais c'est juste qu'effectivement... [01:32:33] Speaker D: Mais nous on n'a pas trop envie de l'écouter. [01:32:36] Speaker C: Moi les gens qui se font des drettes dans les barbes, je suis avec eux ça. [01:32:42] Speaker E: Non mais ils cherchent un peu aussi. [01:32:43] Speaker C: Ah bah oui ! Le live ! [01:32:45] Speaker D: C'est AliExpress le gars ! Tiens regarde toi un masque ! [01:32:48] Speaker C: Tiens toi ! Un accessoire ! Et ils ont du 8,5 euros ! [01:32:53] Speaker D: Une chanson, un accessoire, un cadeau biblique ! C'est ça le principe du live ! [01:32:57] Speaker C: C'est horrible ! [01:33:00] Speaker D: Tiens regarde là je vais mettre un masque ! [01:33:03] Speaker C: Tiens ! [01:33:03] Speaker D: Je te le donne ! Gamin ! C'est bien d'écouter du metal ! [01:33:06] Speaker C: Aimez-moi ! Aimez-moi ! Oui c'est ça ! Regardez je suis cool je m'appelle Fnaf Crawl ! Ah non ! On va revenir là-dessus après, parce que je sens qu'il y a beaucoup trop de choses à raconter. Sur DevWall et sur les machines américaines, j'en suis sûr qu'on a plein de choses à raconter. Donc on revient à Open Burning Body, de DevWall. [01:33:24] Speaker B: C'est pas français, c'est des américains. [01:33:25] Speaker C: Des texans. [01:33:26] Speaker B: Du bien du Texas. [01:33:28] Speaker C: De bonnes personnes. [01:33:29] Speaker B: D'où la tournée avec la Férie DevPunch finalement. Et en fait le concert m'a vraiment marqué. [01:33:35] Speaker C: Le Texas aussi c'est le plus grand. [01:33:36] Speaker D: Everything is bigger in Texas. [01:33:37] Speaker B: Et ben c'est les paroles dans des titres... [01:33:42] Speaker D: C'est le slogan du Texas, c'est pour ça que Pierre c'est le seul endroit où il est allé aux Etats-Unis. [01:33:50] Speaker C: Il voulait vérifier si c'était vrai. [01:33:54] Speaker D: Il a vu la grosse pelote et. [01:33:55] Speaker B: Puis ça s'est arrêté. [01:34:02] Speaker C: Et donc ce morceau-là, qu'est-ce qu'il t'a apporté ? [01:34:04] Speaker B: C'est le premier breakdance que j'ai pris dans la gueule et qui m'a vraiment cassé les vertèbres quoi. Genre vraiment, le break de fin il est trop bien et du coup voilà. [01:34:10] Speaker E: Un mec qui sait parler. [01:34:11] Speaker C: Break. Et ben tu sais quoi ? Juste après avoir regardé ce clip que t'as un peu parlé, parce que t'as apparemment 2-3 trucs intéressants à nous raconter, on reviendra sur l'envie de péter les gueules. Parce que c'est important a priori dans cette musique. Dites non à la violence. C'est sur de la musique, c'est convenu. [01:34:31] Speaker B: Bien sûr. Con-vi-vial. [01:34:32] Speaker D: Allez, je relis. [01:34:35] Speaker C: Le nom du groupe. Open Burning Body. Avec Sin City. [01:34:40] Speaker D: C'est parti. [01:34:44] Speaker F: Et si vous voyez quelqu'un dans cette. [01:34:46] Speaker C: Salle, restez assis ! [01:34:47] Speaker A: C'est votre travail de les faire bouger de l'avant jusqu'à l'arrière ! C'est la fin du monde ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Fucking right ! When your eyes go dead The hell we send you to will seem like heaven in steam So when you're trapped in your own you don't wonder why Because life sucks and then you die Life sucks and then you die So. [01:37:18] Speaker C: Live it up, who gives a fuck. [01:37:20] Speaker A: Let'S tear it up tonight Life sucks and then you die So live it up, who gives a fuck, let's tear it up tonight. [01:37:51] Speaker C: Musique d'outro. [01:38:35] Speaker A: C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! C'est parti ! Maybe You're gonna be the one that saves me. [01:41:51] Speaker C: Ouh, il s'en passe des choses ! Bring me the horizon avec cette reprise d'Oasis, Wonderwall. Oasis ! Oui mais je suis resté sur l'Allemande avec Rammstein, Kühler pour faire du métal. Je suis désolé, avec des culottes, avec des pics, on va déjà rien compris. J'ai l'impression qu'il a tout mélangé. [01:42:07] Speaker B: Un petit mélange de souvenirs. Moi j'ai pas vécu ça en tout cas. [01:42:09] Speaker D: Moi non plus. Personne. [01:42:13] Speaker C: Mais c'était où ? [01:42:19] Speaker E: C'est moi qui l'ai choisi. [01:42:22] Speaker C: Alors c'est une surprise. [01:42:24] Speaker D: On s'attendait pas à ce que tu choisis ça. [01:42:26] Speaker C: Mais pour tous les fans de Metalcore, et toi t'aimes bien le Metalcore. [01:42:29] Speaker B: Malheureusement. [01:42:30] Speaker C: Voilà vous voyez, non pas malheureusement. Vous voyez c'est bien on est à égalité là, vous voyez on est deux, deux. [01:42:36] Speaker D: Mais moi j'aime bien le Metalcore. [01:42:38] Speaker C: Mais je sais mais eux ils croient qu'on l'aime pas. [01:42:39] Speaker D: Ah oui c'est vrai, non on aime pas le Metalcore. Détestez-nous. Villa, villa. Bon alors c'est quoi cette reprise ? [01:42:50] Speaker E: Bah c'est... Calme-toi tout de suite. [01:42:52] Speaker C: Bon vas-y raconte ta petite histoire mais moi par contre j'aurais préféré faire chacun notre petit commentaire, je peux te le dire. [01:42:56] Speaker E: Déjà c'était une surprise pour tous les fans de BMTH parce qu'on savait pas. Ils nous avaient un peu teasé avec des stories, on avait vu qu'ils étaient en train de créer un truc mais on savait pas quoi donc voilà, c'était ça. Du coup, c'était fait dans le cadre de Spotify Single, je sais pas si vous connaissez, c'est une nouvelle catégorie, ça permet aux artistes de revisiter des anciens titres. Et celui-là, ils l'ont fait pour l'association Teenage Cancer Trust. Donc tous les bénéfices des visionnages seront reversés à l'association. Donc BMTH ne se fait pas un centime là-dessus. [01:43:31] Speaker D: Non mais c'est bien, c'est une belle occasion. C'est une belle démarche. Au delà de l'argent que ça rapporte, il y a la lumière que ça met sur une association. [01:43:40] Speaker E: Voilà, exactement. Et du coup, ils ont transformé un classique de Britpop en une hymne métal plus pêchue. Perso, quand je l'ai entendu, ça m'a semblé familier direct. Mais familier dans le sens où j'avais l'impression que ça avait toujours appartenu à BMTH. J'aime pas trop le titre d'origine et ça m'a fait apprécier le titre. Donc je trouve que c'est plutôt une bonne chose. [01:44:01] Speaker D: T'aimes pas Oasis ? [01:44:02] Speaker C: C'est pas que j'aime... Autant c'est bon, c'est bon. [01:44:12] Speaker E: C'est pas que j'aime pas, c'est juste qu'on a tellement entendu cette chanson que je crois qu'elle m'avait saoulée en fait. C'est compréhensible. Je trouve qu'ils en ont fait quelque chose de très très cool personnellement et même Même le chanteur d'origine Liam Greger, même lui il l'a qualifié d'absolument incroyable. [01:44:34] Speaker C: Même si le chanteur d'origine le dit. [01:44:37] Speaker E: Le chanteur d'origine le dit, donc pour ceux qui critiquent là et qui disent. [01:44:40] Speaker D: Que... Non, c'est parce que j'adore jamais. [01:44:43] Speaker C: C'est un reste de cocktail, je suis désolé. Et pas Tom Cruise. [01:44:47] Speaker E: Pour ceux qui critiquent et qui disent qu'ils en ont fait quelque chose de moins bien, je me dis que si même le chanteur d'origine dit que c'est génial, c'est que c'est génial. [01:44:53] Speaker B: C'est pas trop possible de faire moins bien je pense. Déjà de base. [01:44:59] Speaker C: Arrêtez ! Non, c'est pas bien. Là où c'est dommage, c'est qu'ils auraient pu aller plus loin, je pense, parce qu'ils se sont quand même limités au niveau de la créativité. Je pense qu'ils auraient pu crier un peu plus, modifier la chanson. Quand je l'ai entendu la première fois, ça voit notamment l'habitude de l'autre, parce qu'on l'a poncé forcément, on l'a entendu dans les magasins, les supermarchés, partout. Alors partout j'ai jamais eu ce genre de musique. J'ai marqué des trucs, j'ai tout... C'est bizarre ça. Vous étiez pas là ? [01:45:30] Speaker D: Non. [01:45:32] Speaker C: Non, je trouve que c'est dommage, ils auraient pu aller plus loin, on sait très bien qu'ils peuvent faire mieux. [01:45:40] Speaker D: Moi, ça me fait beaucoup penser à du The Used. Je trouve que la voix et tout, on en parlait, je trouve que c'est très The Used. Ça pourrait vraiment être une chanson de The Used de l'époque. Et après, je pense que pourquoi ça va pas plus loin ? Parce qu'après, quand tu veux aller beaucoup plus loin, c'est-à-dire que là, il faut beaucoup plus travailler aussi. C'est un truc caritatif, les mecs ils vont pas y passer 65 ans tu vois. L'idée c'est aussi de faire un truc un peu cool, de s'amuser. Je pense qu'ils le font un peu pour s'amuser tu vois. Si ça doit rentrer dans un truc un peu trop machin. Et aussi si tu veux que... Là je pense que c'est une version que les gens qui aiment l'original peuvent écouter. [01:46:23] Speaker C: Oui mais je suis d'accord, c'est ce que j'allais dire. [01:46:25] Speaker D: C'est un peu plus vénère mais c'est ok. Si tu commences à foutre des moches partes et des machins... [01:46:31] Speaker E: Si t'en fais trop tu dénatures le titre d'origine en fait et quelque part. [01:46:35] Speaker C: Tu mets pas en valeur. Non mais un petit passage juste, 10 secondes qui s'énervent plus, c'est possible. [01:46:40] Speaker E: Ça s'énerve quand même vocalement, y'a de. [01:46:42] Speaker D: L'Intensité, y'a quand même des puissants. [01:46:44] Speaker C: C'est vrai qu'on s'en fout de mon avis. T'as cru que c'était ton stream ou quoi ? T'es niqué notre studio ! [01:47:00] Speaker B: Non, c'est trop tard. Non mais rien, ça ressemble à du Bring Me The Horizon quoi. [01:47:06] Speaker C: Alors comme nous on dit que c'est nul, c'est méchant pour Bring Me The Horizon. [01:47:11] Speaker B: En vrai j'aime bien Bring Me The Horizon, je trouve que le morceau effectivement ça apporte pas un truc de fou par rapport à l'original. J'ai pas été choqué par la reprise. Par contre, je trouve que c'est pile dans la veine de Posthuman, leur dernier album. C'est les mêmes sonorités, c'est le même type de break. [01:47:26] Speaker C: Il y a l'identité de Bring Me, c'est sûr. [01:47:28] Speaker B: Pour moi c'est cohérent. [01:47:30] Speaker E: Voilà, c'est cohérent. [01:47:50] Speaker C: Alors qu'ils ont des sous. Voilà. [01:47:52] Speaker E: En tout cas moi je trouve que. [01:47:53] Speaker C: C'Est une fusion réussie. [01:47:55] Speaker D: Attends parce que personne t'a entendu. Moi je trouve que c'est une fusion. [01:47:58] Speaker E: Réussie entre l'origine du morceau et la nostalgie et la modernité de Britney. Donc pour moi c'est un pari réussi. [01:48:06] Speaker D: C'est vrai. Bravo. Félicitations. [01:48:08] Speaker E: Merci. [01:48:09] Speaker D: On se serre la main. [01:48:11] Speaker C: Puis bon, ça surfe un petit peu, le Bring Me c'est l'un des plus gros groupes britanniques du moment, enfin je suppose, on se parle en métal et en rock, je parle pas globalement. [01:48:21] Speaker D: Et Oasis c'était un peu l'un des plus gros groupes à l'époque. [01:48:23] Speaker C: C'est surtout qu'ils font le buzz vu qu'ils font des tournées qui sont remplies en deux secondes à des prix inimaginables, donc c'est le bon mélange au bon moment quoi, pour une belle oeuvre. [01:48:30] Speaker E: Ils ont gagné un Brit Awards pour l'album de l'année, je crois qu'ils sont nominés pour le groupe de métal, enfin de rock alternatif de l'année aussi au Brit Awards cette année. Ils sont sur une belle pente. [01:48:42] Speaker C: Ça fait un moment. [01:48:44] Speaker E: Oui, mais ils auraient pu se dégringoler un moment ou un autre, mais là, ils continuent d'évoluer. [01:48:49] Speaker C: C'est son déménagement au Brésil, ça. [01:48:52] Speaker D: Brésil ! Attends qu'il se fasse son BBL. [01:48:55] Speaker C: C'est. [01:48:57] Speaker B: Quoi se faire refaire le cul ? [01:49:00] Speaker D: Brazilian butt lift. [01:49:02] Speaker C: Amélie ? Tu peux me donner mon téléphone qui est à côté de toi, s'il te plaît ? Parce que je devais le prendre pour ce speak-là et j'ai commencé à appeler. [01:49:11] Speaker D: Parce que Pierre il a dit, aïe je vais avoir besoin de mon téléphone, je vais le mettre à charger au moment où il en a besoin. Parce que he's a fucking genius. [01:49:18] Speaker C: Merci beaucoup Amélie, je suis désolé, c'était un petit peu agressif. Non parce que au milieu maintenant de vos chroniques, à moins que t'aies autre chose à dire. Au milieu des chroniques, maintenant on sait grâce au Patreon. [01:49:30] Speaker D: Je crois que si elle avait un truc à dire, elle a voulu dire que Bring Me était le meilleur groupe du monde. Voilà, on peut enchaîner. [01:49:37] Speaker C: Oui, puis qu'Olissex il est très beau, on a bien compris. Et puis il s'est fait refaire le mec. Il est en titane parce que du coup, avec tout ce qu'il a mis dedans, le pauvre. [01:49:46] Speaker D: Bon Boum boum boum, I want you in my room. [01:49:49] Speaker C: Yeah ! Elle le dit aussi. Bon, maintenant sur Patreon, il y a le clip des Bangers. Alors, je t'explique le concept. Ceux qui sont abonnés à un certain niveau, donc dans les trois derniers tiers, si je ne dis pas de bêtises, sur les quatre, ils ont le droit de proposer des clips et il y a des votes après. Il y a une personne qui est élue, qui a choisi le clip et cette fois-ci c'est Romain, ou alias Croco, si vous voulez chercher après lui. La personne qui nous a, je pense, parmi ceux qui nous ont le plus soutenus financièrement, qui est à fond et qui nous envoie des messages tout le temps hyper gentils, hyper dynamiques. Je suppose que t'as des gens aussi comme ça qui sont sur tes réseaux ? Parce qu'il n'y a pas que des gens qui râlent. [01:50:33] Speaker B: Il y en a beaucoup mais c'est. [01:50:36] Speaker C: Ceux qu'on voit le plus. [01:50:37] Speaker D: Les gens qui râlent comme ceux qui disent t'as raison, te laisse pas faire Gladys, c'est des vieux cons grincheux de toute façon. [01:50:43] Speaker C: Bah je sais pas que c'est, chez. [01:50:45] Speaker D: Gamins, et bah va bien te faire cuire le cul. Moi je t'aime, moi je te fais. [01:50:50] Speaker E: Des cœurs, je t'aime fort. [01:50:52] Speaker C: On l'aime, on l'aime aussi, on l'aime fort. Il est toujours le bienvenu, il le sait. Mais voilà, c'est une personne qui nous soutient, il y en a, et merci énormément pour toutes les personnes, parce que depuis notre émission de dimanche dernier, il y a eu beaucoup beaucoup d'abonnements sur le Patron, donc c'est très gentil de faire cette démarche, puisque c'est quand même quelque chose qui est régulier. Et merci aux personnes aussi qui ont fait des dons, parce qu'il y en a qui m'ont dit « Patron, je suis pas trop chaud ». Donc on remercie même les personnes les plus âgées qui ont participé, les parents d'Amélie qui ont donné de l'argent. [01:51:24] Speaker D: Ils sont trop gentils ! [01:51:25] Speaker C: Je vais quand même renvoyer, vous êtes sûrs ? Non mais c'est très gentil, voilà donc merci à toutes ces personnes-là. Et donc il fallait sélectionner un clip et c'est le clip que je ne connais absolument pas de The Defect. Voilà, alors je suis désolé pour le groupe, je ne les connais pas, avec la chanson « Défiance ». Et donc, j'ai demandé à Max, s'il avait envie de laisser un message, comme on avait fait la semaine dernière, avec notre ami Guillaume, et il m'a dit « Oui, j'ai juste le nez bouché ». Tout le monde en fin de week-end a le nez bouché, je suspecte quand même beaucoup l'Île-de-France. [01:51:59] Speaker D: Moi, j'aurais super, super bien. [01:52:01] Speaker C: D'avoir des rhumes quand même assez excessifs. C'est la pollution, ça ! Et donc il m'a laissé... De toute. [01:52:08] Speaker D: Façon, il n'y a plus de saison, là ! [01:52:11] Speaker C: C'est celle-là, elle nous envoie plein la gueule ! Et donc, je ne l'ai pas écouté, ce message, je ne sais pas... Oh là là ! [01:52:17] Speaker D: C'est peut-être là que s'arrête notre émission ! [01:52:20] Speaker C: Grâce à nos morceaux de surface ! Ça aura fait qu'un mois ! J'y vais ? Bah oui, vas-y, vas-y ! [01:52:36] Speaker D: Comme clip des bangers, The Defect, et le set-project de Johnny McBee, qui est. [01:52:43] Speaker B: La tête-pensante de The Browning. [01:52:44] Speaker D: The Browning, c'est un groupe metalcore avec. [01:52:49] Speaker B: Des grosses sonorités électroniques et qui vire. [01:52:51] Speaker D: De plus en plus de scores. Et donc, du coup, il a créé ce nouveau projet avec sa femme, Moon McBee, que vous allez voir qu'ils font. Et voilà, il avait un besoin de retourner un petit peu vers des sonorités plus mélodiques. Donc voilà, je trouve que ça s'écoute très bien. L'album est sorti il y a une semaine, et le clip que j'ai choisi était le premier extra de l'album. Donc c'est un clip qui a un an déjà. Donc voilà, ça n'a rien révolutionné, mais c'est très sympa à l'écoute. Il y a un côté très catchy. Donc voilà, j'espère que ça vous plaira. [01:53:28] Speaker B: Et puis, longuièrement, ça se laisse. [01:53:32] Speaker C: Oh ! [01:53:33] Speaker D: C'est très gentil. [01:53:35] Speaker C: Je chiale partout les orifices ! [01:53:36] Speaker D: Il va falloir nettoyer le canapé. [01:53:41] Speaker C: Ça va, il y a cette petite laine qui est en train d'absorber ma petite vanille. [01:53:46] Speaker D: C'était ma couverture de naissance ! [01:53:47] Speaker C: Non mais voilà, alors c'est fait un peu à la route ça. C'est super. [01:53:55] Speaker D: Moi j'adore ! [01:53:56] Speaker C: Et nous on est diges comme ça en train d'écouter. Mais je trouve ça cool que les. [01:54:00] Speaker D: Gens puissent... Non mais la prochaine fois, par contre, on mettrait une limite de temps dans le message. [01:54:03] Speaker C: J'ai dit une minute. Ah oui, c'est long. Je peux te demander plus, mais c'était hyper intéressant ce qu'il a dit. [01:54:10] Speaker D: Je rigole, Pierre ! On est là pour faire de l'humour aussi. [01:54:14] Speaker C: Mais moi j'accepte pas quand c'est négatif, OK ? Bon voilà, en tout cas pour cette très bonne explication, maintenant peut-être qu'on va regarder le clip. Ah ouais non, je sais faire les doubles mais je sais pas faire les conneries. [01:54:26] Speaker D: Tu viens de le faire. [01:54:26] Speaker C: Ouais mais c'était pas... Bon bref, on va faire ça pendant le clip. On va s'entraîner. Mais donc merci beaucoup de ce choix, n'hésitez pas tous les nouveaux inscrits à faire vos propositions, faut pas avoir honte. Proposez, il y aura les votes, invitez vos amis aussi, voilà, plus on est plus on rit et plus on aura d'argent. Et plus on pourra payer Marcel, parce que c'est pas gagné pour ce mois-ci. [01:54:47] Speaker D: Déjà, on pourra payer Marcel. Plus on pourra le payer. [01:54:50] Speaker C: Non, on va pas le payer plus. Non, ça va. [01:54:52] Speaker D: On le paiera plus longtemps. [01:54:53] Speaker C: Ils nous sucent déjà suffisamment tout notre pognon, merci. Ça va Marcel ? [01:54:58] Speaker D: Ça va. [01:54:59] Speaker C: Il a pas l'air heureux. Allez, c'est parti, on découvre tout ça ensemble. [01:56:04] Speaker A: Oui, monsieur ! Oh, oh, oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh, oh. [01:58:08] Speaker C: Jusqu'au bout, parce que jusqu'au bout pour Romain, eh oui ! Pour les personnes qui ont découvert bien sûr et qui ont apprécié ce groupe là, donc The Defect avec défiance, groupe choisi par un banger, vous pouvez faire de même sur notre Patreon.com slash RSTLSS Radio tout simplement. Je crois que point d'exclamation Patreon ça fonctionne il me semble. Voilà, je dis ça et puis après vous me dites peut-être que c'est faux. [01:58:30] Speaker D: Et pour ceux qui regardent sur Youtube, c'est dans la description bien sûr. [01:58:35] Speaker C: Superbe ! Un petit moment d'électro comme ça ? Dans le clip on a bien remarqué, effectivement on était en train de se dire au début c'était des lasers, non c'est pas des lasers parce que Marcel du coup n'a pas accroché parce qu'il aime que les lasers. [01:58:48] Speaker D: Il aime les lasagnes aussi. [01:58:50] Speaker C: Les lasagnes cuites au laser. C'est important. Ça coûte très cher. Mais là dans les filets de pêche, c'était pas mal aussi. On n'a pas critiqué la musique, on a critiqué le clip. C'est pas bien. [01:59:03] Speaker D: Moi, je trouve que ça marche. [01:59:05] Speaker C: Moi, ça m'a donné envie de danser un petit peu, mais bon, comme je suis naze et qu'on est dimanche soir et que demain, en plus, on doit aller faire des visites à nous, on a des visites. Tu viendras avec moi chez le docteur. [01:59:13] Speaker D: Il y a plein de gens, tu vois, qui ont aimé, qui sont directement dans la playlist à écouter et qui demandent à revoir le nom de la chanson et tout. Voilà, très bon choix de Romain. [01:59:22] Speaker C: Mais oui, Romain, il est vraiment, il est adorable. Et il est avec sa copine, là, ils sont en train de regarder. C'est sa copine, je crois, qu'elle regarde sur l'AVOD, par contre. Ou c'est l'inverse. Peu importe, on s'en fout. [01:59:36] Speaker D: J'ai envie de dire un truc, j'ai envie de demander si Gladys n'aura pas un autre titre qu'elle voudrait nous partager. [01:59:42] Speaker C: Encore ? [01:59:43] Speaker E: Si, tout à fait. [01:59:44] Speaker C: On m'a parlé, on me parlait, on demande mon avis. Pour une fois qu'elle me parle sans me menacer ! [01:59:57] Speaker E: Alors j'ai choisi un titre de Whitechapel qui s'appelle « Hymns in Dissonance ». qui est sorti donc le 15 janvier donc ça date du mois dernier mais bon j'étais pas là donc je fais. [02:00:18] Speaker C: Ce que je veux. [02:00:20] Speaker D: T'as vu on a rien dit, on dit oui maîtresse ! [02:00:22] Speaker B: De toute façon vous allez vous faire péter la gueule sinon. [02:00:25] Speaker D: De toute façon on sera pété la gueule. [02:00:27] Speaker C: T'as pas encore vu le donjon derrière ? Et le dragon ! [02:00:34] Speaker D: Le dragon ! [02:00:38] Speaker E: Bon, donc j'ai choisi ce titre qui ferait partie du coup, ça sera le titre phare du nouvel album qui va sortir le 7 mars 2025. Donc moi, j'ai pu écouter l'album. J'ai pas le droit d'en dire trop, évidemment, mais je sais que vous allez tous aimer. Il est prodigieux. C'est-à-dire que je l'écoute en boucle depuis une semaine. Mais quand je dis que je l'écoute en boucle, c'est que j'arrive pas à écouter autre chose. Du coup, il y a ce titre déjà. Ce titre, il incarne parfaitement la brutalité. et aussi l'atmosphère pesante typique de Whitechapel. Et franchement, il est à l'image de tout l'album. J'ai dit quoi ? Alors j'ai dit que ça symbolisait... [02:01:17] Speaker C: C'est délicat ! [02:01:18] Speaker E: J'ai dit que ça symbolisait aussi la thématique du culte et de la dissonance maléfique. Oui, c'est le message qu'a voulu faire passer le groupe, donc c'est pas très surprenant. [02:01:25] Speaker D: Ouais, c'est un peu leur fond de commerce. [02:01:28] Speaker E: Voilà. Donc les sons sont écrasants et chaotiques. [02:01:32] Speaker B: Oh ! [02:01:33] Speaker E: Voilà. Les screams ils sont... Enfin c'est Bozeman quoi. Vocalement je crois qu'il a été encore plus loin que ce qu'il a pu faire avant alors que je pensais pas qu'il puisse aller aussi loin. C'est vraiment prodigieux. J'ai marqué que c'était une alternance parfaite entre ultra-violence et moments plus pesants. Les riffs sont lourds. J'ai pas arrêté de parler des vocalistes tellement c'était ouf. [02:01:53] Speaker C: Mais c'est nos Watch... Putain j'allais dire Watch Snake. Watch Appel, c'est pas pareil. [02:01:59] Speaker B: Il y a plus de permanence. [02:02:01] Speaker C: Et des pantalons plus serrés aussi ! J'ai pas trop regardé, peut-être qu'il a des pantalons de jeans serrés, eux c'était des leggings. C'était prêt pour le sport ! C'est une référence dans leur style musical, Whitechapel ? [02:02:16] Speaker E: Ah oui, clairement. Et là c'est l'album... [02:02:19] Speaker C: Merci de cette réponse à mon construit. [02:02:21] Speaker E: Il n'y a rien de plus à en dire. [02:02:22] Speaker D: Tu as l'air pu dire oui, connard, mais bon... [02:02:25] Speaker C: J'étais trop long. [02:02:27] Speaker E: Tous ceux qui connaissent, enfin qui aiment le deathcore, aiment Whitechapel. Je ne connais personne qui écoute du deathcore et qui me dit Whitechapel c'est nul. Ce n'est pas possible, c'est une référence dans le milieu. [02:02:38] Speaker B: C'est vraiment les gars qui sont arrivés dès le début, première vague des scores, hyper vénère, et le chanteur en l'occurrence c'est vraiment une grosse ref vocal. Le mec c'est un monstre. [02:02:46] Speaker C: C'est un exemple pour tous ceux qui veulent le faire. [02:02:48] Speaker B: Par exemple moi j'ai appris à screamer avec les tutos YouTube qu'il avait fait à une époque. En fait lui il avait une chaîne YouTube qui était un peu obscure où il donnait un peu des tutos de scream, je crois qu'il faisait un peu de gaming. Il faisait plein de trucs sur sa chaîne et il avait fait justement une vidéo comment il scream et il montrait dégueulasse avec sa webcam, genre une qualité de vue dans sa chambre sans lumière, rien tu vois. Mais il montrait comment il faisait pour ses placements de bouche, etc. Et ça m'a énormément aidé en fait, bien plus que tous les trucs travaillés de scream et tout. Juste de voir comment ce mec là il chantait, c'était trop bien. Donc ouais, grosse ref. Moi j'ai essayé de faire du cover. [02:03:19] Speaker E: De Whitechapel mais je ne suis pas encore arrivée. [02:03:24] Speaker B: C'est un peu grave. [02:03:26] Speaker C: Tellement que quand elle criait trop fort, elle lâchait des caisses. Désolé, c'est ma blague habituelle. Tu ne peux pas m'entendre. [02:03:36] Speaker E: Du coup, je n'ai pas le droit d'en dire trop sur l'album, mais tout ce que j'ai à dire, c'est que vous voulez tous l'entendre. Tous les gens qui écoutent du Deathcore vont vouloir l'entendre. Je pense qu'il n'y a personne qui pourra ou qui sera capable de critiquer cet album parce qu'il est vraiment exceptionnel. Et qu'est-ce que j'ai dit aussi ? Ça rappelle aussi un peu les sonorités des premiers albums mais avec une touche de modernité qui est très très appréciable et qui donne un peu de fraîcheur. [02:04:00] Speaker C: On peut avoir des variantes dans le desque ? Je vous pose des questions sous moi comme je n'y connais rien. [02:04:03] Speaker D: Oui bah vas-y, occupe-toi. [02:04:06] Speaker C: Dans le desque ouais, il peut y avoir des variantes comme ça avec des moments plus doux. [02:04:11] Speaker E: C'est pas doux, là pour le coup c'est vraiment plus pesant en fait. C'est vraiment plus lourd, ça reste lourd. C'est soit brutal, soit très lourd, tu vois. [02:04:18] Speaker B: Après, Whitechapel, pour rester dans la thématique, ont sorti des albums, là les derniers albums qu'ils avaient sortis justement étaient beaucoup plus atmosphériques et beaucoup plus... Il y avait même du chant clair. [02:04:26] Speaker E: C'était pas les plus aimés. [02:04:27] Speaker B: Non, c'est clair que c'était pas les plus aimés. [02:04:29] Speaker C: D'où la nécessité peut-être de revenir à Carrefour. [02:04:31] Speaker E: Là ils sont revenus en force, mais vraiment, ça va être une claque. [02:04:35] Speaker C: Je me suis toujours demandé quand les groupes, quand on leur dit, tu sais, là, j'ai l'impression que cette tendance, elle n'a pas marché. Alors déjà, est-ce que c'est vrai parce que les fans n'ont pas accroché, mais est-ce que ça n'a pas ouvert l'audience sur plus de monde ? Donc, du coup, ça peut peut-être plus marcher. Mais si là, ils reviennent sur quelque chose d'ancien, est-ce que c'est pas... Tink, bon, apparemment on a essayé des trucs, on a été bien contents nous, mais bon ça n'a pas marché. [02:04:56] Speaker E: C'est surtout qu'apparemment ils ont été beaucoup comparés à la nouvelle jeunesse de la scène d'escort, tu vois, les nouveaux groupes qui font avec des rêves de noms très jeunes. On les enfile, Bozeman, il n'est pas capable de faire ça vocalement, il a dit ah ouais ? Et là il a un peu posé ses coronets sur la table et il a dit on va voir c'est qui le patron quoi. Et il le montre. [02:05:16] Speaker C: J'ai bien l'impression qu'elle l'aime bien aussi, celui-là. On va regarder un peu son visage pendant le clip. [02:05:21] Speaker E: Après, en vrai, les derniers albums, c'est pas ceux que j'ai préférés, mais je les ai quand même vachement aimés. Mais ce petit retour aux sources avec cette petite touche de modernité, c'est... Oh. [02:05:29] Speaker D: Puis globalement, il y a quand même une tendance à toujours plus lourd en ce moment, quoi. Enfin, je veux dire, tous les... [02:05:35] Speaker C: Mais comment faire plus lourd, là ? [02:05:37] Speaker E: Ils ont réussi. [02:05:39] Speaker C: Mais à un moment, ça va vraiment t'amener au point de grave que tout le monde va être malade. [02:05:44] Speaker D: Il y a ce truc, même pour du live, ça devient compliqué parce qu'il y a des trucs où tu peux faire ressortir dans des mix, mais en live c'est beaucoup plus dur d'avoir des notes super basses. [02:05:53] Speaker B: Juste tu fais avoir mal aux bidojons. [02:05:54] Speaker D: C'est la force de Phil Bozman aussi. [02:05:56] Speaker E: C'Est qu'en live il déchire tout aussi, il est très très bon. [02:06:02] Speaker D: Je parlais plus pour les guitares et tout ça. Oui après c'est un chemin, enfin j'ai jamais vu, si je les ai vus une fois il y a très longtemps, mais par contre j'ai beaucoup d'amis qui sont fans et qui me disent qu'en live c'est une grosse claque. [02:06:13] Speaker B: Ouais ils sont très très forts. Mais tu vois tu parlais de la place dans le mix pour les trucs un peu graves et tout, il y a aussi le Tal qui est arrivé ces dernières années, tu regardes les Humanities de Las Vegas etc, c'est des trucs qui sont accordés tellement bas et pourtant ça marche parce que justement tout est tellement dans le bas que le mix. [02:06:28] Speaker C: En fait... Ça s'appelle le Tal ? [02:06:29] Speaker B: Ouais c'est le Tal. [02:06:29] Speaker C: Non parce que moi je découvre la musique. [02:06:35] Speaker B: C'est un style de musique, ça vient du deathcore, mais c'est un truc qui est très sombre, ambiant, avec des grattes qui sont accordées trois octaves en dessous, c'est des trucs de fou. Et juste, c'est de la lourdeur. Donc Humanity Does Break, Vigerta, tous les tals. [02:06:48] Speaker E: Je les aime. [02:06:55] Speaker C: Aussi très fort. Elle a l'accent du but, l'accent du nord, l'accent de Paris, elle a vraiment tout. [02:07:01] Speaker E: Non mais du coup pour résumer l'album, j'ai mis trois mots, j'ai mis brutal, sombre et implacable. [02:07:07] Speaker C: On a un petit extrait avec un film. Voilà. [02:07:13] Speaker D: Je sais pas si ça marche comme ça. [02:07:15] Speaker C: On va voir. Merci beaucoup Gladys pour toutes ces explications. Et cette belle petite fiche, elle travaille bien. C'est surligné et tout. Bon, va falloir acheter des lunettes quand même. [02:07:27] Speaker E: En vrai j'en porte en plus. Après on voit plus mon maquillage. [02:07:31] Speaker C: Non mais je plaisante, c'était pour te taquiner. [02:07:33] Speaker D: Sinon faut mettre le maquillage sur les lunettes. Je sais pas si c'est une bonne idée. [02:07:38] Speaker C: Attention la semaine prochaine, vous allez en prendre plein les yeux mes gars. Bon allez c'est parti, on regarde donc ce tout nouveau Whitechapel. [02:08:05] Speaker A: C'est la fin de cette vidéo. C'est génial ! C'est la dernière chose que tu fais Réveille-toi ! Réveille-toi ! There's just one more thing While you're running back and forth in my mind I'll do anything To put the mat down on for a while Well there's a million things that I'd rather do Than to keep from being stuck on you I'll do anything So I don't get sent to the back of the line Oh you So here we go again Take me, take me, take me for a ride Make me, make me, put me there just like I'll say no and you'll say yes I'll say ok but this is the last time Take me, take me, darkest Valentine Make me, make me, drink again tonight I'll say no and you'll say yes. [02:14:36] Speaker C: Even. [02:14:37] Speaker A: Though I say That I'm gonna stand up to you It just works this way Make a separate dinner for you. [02:14:48] Speaker C: It turns out that I've got time. [02:14:50] Speaker A: For that Who's the boss? Well, we've established that I'll do anything Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Even though I say Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:17:07] Speaker C: C'était le tout tout dernier clip de The Offspring qui existe encore et qui vont remplir une défense aréna au mois de novembre. Il faut se dépêcher, il reste des places quand même, mais il faut se dépêcher, voir un groupe comme ça dans une grande salle comme ça. Bon eux, c'est pas pour leur départ, donc vous pourrez leur voir après, n'ayez pas peur. Non mais voilà, c'est très bien, Ospring qui fait son petit bonhomme de chemin et qui inspire toujours beaucoup beaucoup de groupes. Cette chanson est quand même très mignonne. Bof. Bah écoute, j'avoue que moi j'entends beaucoup tout au long de la journée. Qu'est-ce qui t'a pas plu ? [02:17:41] Speaker E: J'adore Ospring, vraiment c'est un des groupes que j'ai le plus vus sur scène aussi je crois. Je les adore mais alors ce titre-là... [02:17:48] Speaker D: Oui bah ça remplit quoi, ça remplit l'espace. [02:17:51] Speaker E: Ouais voilà c'était un titre pour faire un titre quoi. [02:17:55] Speaker D: Ça me fait penser à cette reprise de Wonderwall. [02:18:01] Speaker E: Non mais là, j'ai même pas l'impression que c'est du Ospring, tu vois, j'ai. [02:18:06] Speaker D: L'Impression... Oh si, on reconnaît sa voix ! [02:18:09] Speaker C: Ça fait bien longtemps qu'ils font des chansons de vendue, c'est pas fini ! [02:18:12] Speaker D: Pour la blague, tout à l'heure, je teste juste pour voir si les clips marchent bien, et quand je l'ai mis, je croyais que c'était un groupe qui copiait Ospring. [02:18:21] Speaker C: C'est vrai, t'as dit « ah bah dis donc, ceux-là ils sont pas ici, ils produisent un truc ». Et là c'est eux. [02:18:25] Speaker D: Et là j'ai fait « ah bon, d'accord, ok ». [02:18:27] Speaker C: Apparemment, ils aiment aussi les clips de A.A. Oui, j'y ai pensé aussi. Le petit dessin, là. Bon, du coup, en termes de créativité, ils sont à zéro. Mais c'est pas grave, on les aime quand même. Ils ont d'autres qualités. Encore, il a bien fait, il a appris à chanter depuis quelques concerts. [02:18:41] Speaker D: Moi, ce que j'ai trouvé drôle, c'est le fait qu'ils mettent un filtre, tu sais, qui diffuse la lumière en traits, là, sur tout le playback, pour pas qu'on voit trop Disons que ça efface un petit peu les effets de l'âge, on voit moins. [02:18:57] Speaker C: Après ils sont pas tout jeunes. On était enfants, ils étaient déjà vieux. [02:19:03] Speaker D: Ça c'est vrai. [02:19:04] Speaker C: Il a toujours eu l'air vieux quand même. Dexter c'est son nom le chanteur ? [02:19:08] Speaker D: Hollande. Est-ce qu'il est de la famille du Président ? [02:19:11] Speaker E: Est-ce qu'il aime le fromage ? [02:19:13] Speaker B: Est-ce qu'il fait du scooter ? Moi je ne sais pas. [02:19:15] Speaker C: Est-ce qu'il sort avec Julie Gayet ? Ça fait beaucoup de questions, si vous avez des réponses n'hésitez pas. [02:19:19] Speaker D: Non monsieur Jeannaza ! [02:19:21] Speaker C: Je ne vous laisserai pas dire ça ! De mon ex-mari ! On leur fait pas des bisous. Bon, on passe au Spring. Mon petit Baccarat, tu es notre invité ce soir. [02:19:32] Speaker B: C'est moi. [02:19:32] Speaker D: C'est vrai ? [02:19:32] Speaker C: C'est vrai ? [02:19:34] Speaker B: Bah je suis là. [02:19:35] Speaker D: Attends, profitons pour lui poser une question, il est là. [02:19:37] Speaker C: T'aimerais lui poser une question ? [02:19:38] Speaker D: Non, toi ? [02:19:39] Speaker C: Moi je me posais la question de, après avoir vu tout ce que tu as vu, est-ce qu'il y a des choses qui t'ont déçu ? Des gens... Je te demande pas des noms, attention. Je vais en donner, attention. Tu fais ce que tu veux, mais... [02:19:49] Speaker D: C'est toi qui l'ai dit. [02:19:50] Speaker E: Il a déjà descendu l'ancienne chanteuse de son groupe, moi je dis ça, je dis rien. [02:19:54] Speaker D: Ah bah bravo, c'est comme ça qu'on soutient le peu de femmes dans cette scène ? [02:19:59] Speaker C: Bah génial ! Super ! [02:20:01] Speaker D: Ça m'étonne pas ! [02:20:02] Speaker C: Alors je te défends... C'est même tout à l'heure que tu disais, ce type de boxe c'est vraiment de la merde ! Il a dit je suis désolé, je vais dire quelque chose de négatif. Il s'est excusé avant de dire le commentaire. C'est vrai. Donc il y a une politesse. [02:20:15] Speaker D: Il a aussi dit que quand il s'est retrouvé à sa place, il s'est rendu compte qu'il était une merde aussi. [02:20:19] Speaker E: C'est vrai, c'est vrai, c'est vrai. [02:20:22] Speaker C: Du calme, Gladys, calme-toi. [02:20:23] Speaker D: Mais par contre maintenant il est devenu très bon alors que elle, pas du tout. [02:20:27] Speaker C: Moi ça fait des ans qu'elle m'a laissé tomber. On lui envoie plein de bisous. Est-ce que le business, est-ce que le monde de la musique, celui que tu vois quand tu es musicien et quand tu es de l'autre côté, celui qui peut être moche quand même, parce que ça arrive, malheureusement, est-ce que ça t'a déçu ? Est-ce qu'il y a des choses précises qui t'ont déçu ? Ou est-ce que du coup, au fur et à mesure, tu t'es habitué, tu t'es dit Je pense que je me. [02:20:52] Speaker B: Suis habitué parce que je l'ai vu progressivement, tu vois, avec mon taf à côté. J'ai eu ce truc de, au début, je suis tout seul dans mon bureau et je rencontre de plus en plus de gens et je découvre un peu le milieu au fur et à mesure. Et du coup, je dirais pas que je suis déçu. Ça ne m'étonne pas trop, en fait. Moi, du coup, je viens du milieu de Twitch et des créateurs de contenu et tout. Et en fait, c'est un milieu qui est tellement, de toute façon, pourri de base que... [02:21:12] Speaker C: Je ne le connais pas, moi. C'est un peu comme la musique. [02:21:16] Speaker D: Nous, on ne voit personne, en fait. [02:21:17] Speaker C: Nous, on fait un truc normal. Les gens ne savent pas qu'on est là. On s'assoit tous les deux dans un canapé, on est quatre. [02:21:26] Speaker D: Au moment où j'ai dit, je me. [02:21:27] Speaker B: Suis dit, ah ouais, en fait c'est les personnes. Non mais du coup voilà, le truc c'est que... [02:21:33] Speaker D: C'est vrai, on va manger des éclairs. [02:21:35] Speaker B: Au chocolat en fait. [02:21:37] Speaker C: Il en reste deux, ça fait une double. [02:21:39] Speaker E: J'ai pas encore mangé le mien, donc calme-toi. [02:21:42] Speaker D: Moi non plus. [02:21:44] Speaker C: Bon, on peut le laisser partir ? [02:21:46] Speaker D: Je sais pas. [02:21:46] Speaker B: Vous faites comme si j'étais pas là. [02:21:48] Speaker C: De toute façon, personne ne regarde ! Des bisous à toutes les personnes qui regardent ! Je suppose que vous comprenez vu que vous savez saisir l'humour qu'il y a dans cette émission ! Donnez 100 balles ! C'est vraiment les pires blagues du monde. Donc oui, t'as pas tué Twitch, c'est si violent que ça, c'est quoi le milieu du gaming, c'est chiant ? [02:22:10] Speaker B: Le milieu de la création de contenu en vrai je pense. Tu vois, le milieu d'internet, on a vu tous les scandales avec les youtubeurs, avec tout ce qui se passe derrière. Je pense qu'en fait le milieu de la musique c'est juste un milieu où les gens deviennent populaires et donc ont une assise en fait sur d'autres personnes, une emprise parce qu'ils ont de l'influence etc. Et en fait Youtube, Twitch, TikTok de façon extensive. Le pouvoir. Le pouvoir en fait, tout ça te donne les mêmes problèmes. Donc ce que j'ai vu moi dans le monde de Twitch avec tous ces trucs d'être pote avec des gens mais en fait c'est pas vraiment tes potes ils te font des coups de pute et le temps passe et machin et tu te rends compte qu'en fait c'est les pires sacs à merde et machin et en fait ça tu l'apprends et t'apprends à t'en détacher tu vois aujourd'hui j'ai plus du tout le même rapport au créateur de contenu que ce que j'avais quand j'ai commencé en 2020 et le monde de la musique c'est pareil c'est qu'aujourd'hui je suis un peu plus détaché que ce que j'aurais pu être si j'étais arrivé tout jeune tout nouveau là dedans quoi. [02:23:01] Speaker D: Tu le prends moins personnellement quoi. [02:23:03] Speaker B: Je m'en fous un peu plus en fait. [02:23:05] Speaker D: Non mais c'est bien parce que moi je sais que je suis rentré dans la musique un peu par hasard et je me suis retrouvé assez vite bosser avec des labels voir un peu l'envers du décor et à une époque où, donc c'était 2003-2004, à une époque où il n'y avait pas encore eu... C'était le début du revirement digital. C'était le moment où les maisonnistes commençaient à perdre de l'argent, mais avaient encore le train de vie de quand il y en avait vraiment beaucoup. Et je voyais le gaspillage, vraiment, c'est ça le mot, c'est du gaspillage. qui étaient outranciers et ça me rendait malade parce que avec... Enfin moi j'avais déjà l'ambition, je voulais faire des trucs pour les gens qui aimaient la musique comme ce qu'on fait maintenant. En fait le but c'était juste de vouloir faire des choses et c'est ce que je faisais avec cette maison de disques. Et je voyais des trucs où je voyais de l'argent qui partait... Ils disaient « Ah non on peut pas faire ça, ça coûte trop cher ». Et à côté de ça ils balançaient... [02:24:06] Speaker C: « Bon allez on va faire une soirée, on va prendre 800 caisses de champagne ! [02:24:08] Speaker D: » « Ouais non mais ça... ». [02:24:09] Speaker A: « Bah ouais mais... » « On. [02:24:10] Speaker C: Va pas avoir soif ! [02:24:12] Speaker D: » Les mecs ils pressaient des singles promo et ils les jetaient à la poubelle et ils en jetaient 200. Ah ouais, on s'est trompé là. Bon bah jette les, on en refait. [02:24:23] Speaker C: Et c'était des trucs comme ça. T'avais moins l'erreur que beaucoup. D'ailleurs petit coucou à Pierre Croce. [02:24:31] Speaker D: Qui était stagiaire à l'époque. Donc Pierre, on s'est connu à l'époque. Je te passe le bonjour. C'est très drôle. Il y avait du gaspillage à Gogo. Et moi, je sais que c'était au tout début. J'avais le truc de « Ouais, on peut faire des choses ». On montait des street teams et des trucs comme ça. Je voyais ça et ça m'a rendu malade. Et vraiment, j'ai eu toute une phase où j'avais une sorte de rejet. [02:24:57] Speaker C: Ça a été démotivé aussi, ce genre de truc. [02:25:01] Speaker D: Ouais après j'ai continué, malgré tout, parce que c'est un univers qui me passionne mais du coup c'est cool de pouvoir le découvrir un peu progressivement, ça fait peut-être un peu moins de... Quand tu passes de fan de musique à découvrir tout le truc, là tu fais waouh ! [02:25:16] Speaker B: C'est vraiment la boue dans le ventre quoi. [02:25:20] Speaker C: Parce que c'est pas le monde des bisonneaux, c'est pas si brillant quoi. [02:25:24] Speaker B: En fait, un peu comme tous les mondes professionnels, tu vois, dans toutes les boîtes, dans toutes les grosses boîtes où il y a plein de gens, où il y a des trucs d'influence et de pouvoir et tout, tu te retrouves avec des gens qu'on est dans l'ong et qui vont tout faire pour essayer d'y arriver et qui vont oublier l'éthique dans le truc, tu vois. Et je pense que la musique, c'est pareil, la création de contenu, c'est pareil. Voilà, il faut savoir, je pense, là où t'es, tu vois, ta place, prendre du recul par rapport aux situations et juste laisser voir le truc, comment ça. [02:25:47] Speaker C: Se fait, tu vois. quand tu sors et que tu rencontres des gens, il arrive un moment où t'es un peu perdu. Tu sais pas vraiment si en face de toi, t'as une personne qui t'aime vraiment bien parce qu'il a l'air de t'apprécier. Ils discutent avec toi, ils échangent. Ou alors est-ce que c'est une personne qui attend de savoir plus et qui essaie de manipuler ou qui a calculé son truc, tu vois. Et je sais que ça, c'est quelque chose qui était hyper perturbant. Moi, je suis pas tombé dedans d'un coup, mais moi, je l'ai vu aussi progressivement. Mais quand même progressivement, Bon, t'es un peu perdu, tu sais jamais vraiment qui t'en face. Et puis même, comme tu dis, des fois, t'as des amis. Et puis t'es là, tu dis, putain, mais j'ai bien l'impression qu'il est bien en train de me baiser. Mais tu sais, tu doutes parce que la personne est tout le temps gentille. [02:26:38] Speaker D: Et c'est rude. [02:26:40] Speaker C: En fait, tu sais plus où t'es, quoi. Après, je pense qu'aujourd'hui, peut-être les gens sont... Je sais pas, peut-être je suis utopique, mais ta génération, elle est peut-être un peu plus... Après il y a des règles, donc maintenant peut-être que... [02:26:52] Speaker B: Le truc c'est que je pense que dans ce genre de milieu, tu peux devenir très vite pote avec les gens, ça devient très vite des collègues, etc. [02:27:00] Speaker C: Tout le monde se sourit, tout le. [02:27:01] Speaker B: Monde... Et ce qui est normal parce qu'en vrai... [02:27:03] Speaker D: On est dans le fun aussi ! [02:27:06] Speaker B: Moi, le premier, je rencontre des gens, même si j'ai pas spécialement d'accroche au début avec eux, c'est normal d'être gentil, de boire des coups, d'être cool, tu vois. Et c'est sur le long terme, en fait, que tu te rends compte si c'est des gens de confiance et si tu vas pouvoir être ami avec eux. Et je pense qu'en vrai, la vraie diff' entre 2020 et aujourd'hui, j'appréhende toujours les conversations avec les gens que je rencontre de la même façon. c'est juste que la période entre le moment où je commence à leur faire confiance et le moment où je les rencontre est beaucoup plus longue que ce qu'elle était à l'époque. J'avais tendance à être beaucoup plus confiant dès le début alors qu'aujourd'hui, voilà, il y a quelques étapes pour moi avant de vraiment faire confiance à quelqu'un et savoir que je peux faire des trucs avec et aussi, bah, tu sais, prendre entre guillemets le risque de s'afficher avec parce qu'il y a aussi ça dans l'exposition publique, que ce soit dans la musique ou dans la création de contenu, le fait de faire des trucs avec des gens t'associes ton image, tu t'associes ton éthique, tes trucs, et c'est le truc le plus important. Plutôt que de faire des collabs à foison, pouvoir préserver ce que t'es et ton message et tout, c'est hyper important. [02:27:59] Speaker C: Oui, ça par contre je suis bien d'accord. Mais ça veut pas dire que dans la musique il n'y a personne de vraiment gentil, attention ! Oui non, bien sûr ! Je rectifie par rapport à tout ce que j'ai dit. il y a des gens qui étaient là du début et qui sont montés dans des scènes un peu plus hautes et qui sont toujours là quand même, donc il y a quand même des gens qui sont vraiment passionnés, qui sont vraiment amoureux, qui aiment aussi la rencontre humaine, il y a quand même quelque chose qui est très très particulier, c'est un peu qui tout double dans ce milieu, il n'y a pas de juste milieu. Mais ok, il n'y a donc pas de grosses déceptions. [02:28:31] Speaker B: Honnêtement, des déceptions, j'en ai un peu au quotidien, tu vois. Non mais en vrai tu vois des gens que tu rencontres et que tu te dis ça a l'air d'être quelqu'un de super sympa et en fait pas du tout. [02:28:39] Speaker C: Mais même dans les idées, dans les stratégies. Ah tiens en fait c'est calculé comme ça. Ils ont fait ça parce que bon il y a quand même cette image qu'il faut partir là dessus. C'est un travail en fait. [02:28:50] Speaker B: Il y a ça que personne sait en vrai. Le truc que tu découvres un petit peu quand tu passes de l'autre côté c'est toutes les stratégies qu'il y a autour de tout en fait. La moindre date programmée, la moindre com, la moindre sortie de single et tout. [02:29:00] Speaker C: Après c'est pour ça que c'est un travail. [02:29:01] Speaker B: Tu te rends compte de tout ce qu'il y a derrière. [02:29:04] Speaker C: Les paillettes sur les yeux, tout ça. [02:29:05] Speaker E: C'est mon boulot. [02:29:06] Speaker B: Mais c'est une bonne chose en vrai, c'est ce que tu disais, c'est hyper important pour une release d'aujourd'hui. C'est juste que t'en as pas conscience quand t'es pas dans le milieu et que tu le vois pas. Tu sais pas qu'il y a tout ça. [02:29:16] Speaker C: Ça enlève le côté magique du fan de musique. Après, ça ne met pas dans un état hyper négatif, c'est juste notre façon. [02:29:23] Speaker D: De voir le truc. [02:29:24] Speaker C: Des formations professionnelles après. [02:29:26] Speaker D: Ça enlève le côté magique, mais en même temps, des annonces bien calculées, des trucs, machin, c'est aussi ce qui entretient ta flamme en tant que fan, quoi. Ça dépend si c'est fait sournoisement ou si c'est fait pour te faire kiffer, en fait. [02:29:41] Speaker B: Je trouve que justement de voir la complexité d'un truc derrière tu te dis putain ils se sont fait chier à ce point là et du coup tu as un autre regard tu vois qui peut être positif aussi à te dire putain derrière une release il y a tout ce taff là que j'aurais jamais vu c'est hyper impressionnant quoi et donc tu redécouvres la musique et le milieu et non je trouve ça cool moi. [02:29:57] Speaker C: Oui puis après il y a aussi le tu vois qu'il y a la Maison 10 porte de l'intérêt aux gens musicals parce qu'ils vont aller chercher ça ils vont vraiment bien travailler le truc non mais c'est chiadé mais c'est juste que T'as raison, c'est pas sournois, c'est juste la fabrique de cette magie ne se fait pas comme ça en claquant des doigts. [02:30:13] Speaker D: Pas comme les groupes qui disent c'est notre dernière tournée et puis qu'on refond une. Ça par contre, c'est sournois. [02:30:17] Speaker C: Il y en a beaucoup. N'oubliez pas que le biopic de Scorpion arrive. Après on aime bien Scorpion quand même. [02:30:30] Speaker D: Le film tu sais, il t'annonce une heure et demie et en fait il dure trois heures parce qu'en fait à. [02:30:35] Speaker C: Chaque fois que ça se finit ça repart. [02:30:38] Speaker D: Le film il se finit jamais. [02:30:40] Speaker C: Du coup tu t'es fait une nouvelle famille aujourd'hui en dehors du net ? Dans la musique ? [02:30:46] Speaker B: Ouais, ouais carrément. [02:30:47] Speaker C: Et t'es accueilli ? [02:30:48] Speaker D: J'adore entendre, vraiment. C'est vraiment le boomer. [02:30:53] Speaker C: J'ai 44 ans, je suis désolé. [02:30:55] Speaker D: Sur le web. [02:30:57] Speaker C: Bon sur les internets. [02:30:59] Speaker B: En vrai, je pense que maintenant tout est tellement lié, tu vois, dans ce milieu-là et le milieu d'Internet et de l'influence et machin. [02:31:06] Speaker C: D'accord, avec la musique, tu veux dire ? [02:31:08] Speaker B: Avec la musique, ouais. En fait, tu peux plus passer par l'un sans passer par l'autre. Tout est tellement intriqué, tu vois, aujourd'hui. Donc moi, en tant que créateur de contenu dans la musique, tout ça, il y a beaucoup de groupes avec qui on va partager l'affiche avec mon groupe. que j'ai rencontré par les réseaux, que j'ai rencontré par des gens comme Arthur, qui est créateur de contenu aussi, Arthur Alternatif. Il fait ses soirées où je viens chanter, du coup je rencontre les autres chanteurs et machin, et en fait tout est lié, tout s'interconnecte. Donc te dire que j'ai trouvé des gens sans internet, pas vraiment en fait. C'est plus par les réseaux et par tout ça que je me suis mis à les connaître. [02:31:42] Speaker C: C'est la vitrine obligatoire pour pouvoir exister. Au milieu de toi qui es jeune, Mais non mais je suis vieux, je me pose des questions. [02:31:50] Speaker D: Mais les gens, vu qu'on était vieux, t'es pas obligé d'en rajouter des caisses. [02:31:53] Speaker B: Moi qui suis la caution jeunesse de la soirée. [02:31:55] Speaker C: Ah mais il y a Gladys quand même. [02:31:56] Speaker D: Ah non ça c'est Gladys. [02:31:58] Speaker C: Ouais mais les fausses sont jeunes. [02:31:59] Speaker D: Oui mais ça se voit pas. [02:32:00] Speaker E: Il est quand même beaucoup plus jeune que moi. [02:32:03] Speaker B: Ça se voit pas, il a l'air beaucoup plus vieux. C'est la barre ça. [02:32:07] Speaker E: C'est les paillettes qui font que... [02:32:10] Speaker C: Être noyé au milieu de toute cette masse de musique, ça fait pas flipper. [02:32:13] Speaker B: Quand on commence de la musique. [02:32:15] Speaker C: Parce que t'as beau connaître machin qui va communiquer sur toi, enfin qui va faire ce qu'il peut, c'est pas forcément facile d'exister quand même. [02:32:22] Speaker B: Non c'est clair. De toute façon on le voit, nous on a sorti un morceau il y a quelques jours et on voit à quel point c'est difficile. Il y a eu en plus, c'est con, il y a quelques semaines le truc des playlists Spotify que vous avez vus qui ont été supprimés là, les. [02:32:32] Speaker C: Playlists Spotify et tout. [02:32:33] Speaker B: Et en fait tu te dis, comment je fais ? Comment je fais pour être connu là-dedans ? Comment je fais pour que les gens juste écoutent ma musique ? Parce que c'est ça le nerf de la guerre. Les concerts c'est super, mais il faut que les gens ils écoutent les morceaux à un moment et c'est hyper compliqué. Donc sans internet, sans les réseaux, sans tout ça, je sais même pas comment faire. [02:32:48] Speaker D: C'est la présence... De toute façon il y a, enfin... [02:32:50] Speaker C: Mais même avec ça quoi. [02:32:51] Speaker B: Même avec ça c'est super compliqué. [02:32:53] Speaker D: Il y a beaucoup d'articles qui sortent en ce moment sur le fait que maintenant être un groupe ça ne suffit plus et qu'en fait au final il faut être un créateur de contenu avant d'être un artiste, enfin d'être chanteur ou musicien ou quoi que ce soit. C'est qu'il faut que tu travailles ta présence sur les réseaux presque plus que tes morceaux quoi. [02:33:12] Speaker E: Au final ton image elle est aussi voire plus importante que ta musique aujourd'hui, c'est un fait. Il faut savoir communiquer, il faut avoir une image qui plaît, qui soit moderne. Il y a tellement de trucs qui rentrent en compte que sortir ton titre au bon moment, Je vais prêcher pour. [02:33:26] Speaker B: Ma paroisse du Metalcore, mais aujourd'hui il y a des groupes français qui sont émergents, qui marchent très bien, il y a Rêves Noirs, il y a Hachon, il y a des groupes comme ça, et en fait ils inondent de contenu. Si vous allez voir TikTok, Insta et tout, il y a des moments où ils sont presque à un contenu par jour pour faire promouvoir leur groupe et tout, ça marche, mais du coup ils sortent un clip par morceau, etc. C'est un investissement et financier et de temps et de prise de risque qui est gigantesque. Et le problème c'est qu'aujourd'hui si tu fais pas ça, bah pour faire exploser ton groupe c'est super difficile. D'autant que comme tu disais qu'il y a des semaines qui sont chargées, tu vois, nous on a sorti le morceau, on se dit ok, ça a l'air d'être plus ou moins bon, fait chier c'est la Saint-Valentin mais tant pis, et en fait la veille t'as 1056 qui annonce un morceau, t'as Landmark qui sort Blood Red, et tu te dis putain ça va être chaud d'exister dans un monde où il y a ces groupes là qui sortent des trucs tu vois. Et c'est tellement saturé que ouais, c'est compliqué de se faire connaître quoi. [02:34:12] Speaker D: Saturé comme le champ ! [02:34:14] Speaker C: Ouais ! Non mais c'est chaud, c'est chaud de faire un mandat. Quand on avait reçu Aziz, on lui avait dit est-ce que ça sert d'avoir une chaîne YouTube et d'être créateur de contenu. Il a dit oui mais pas tant que ça, il faut quand même... Il y a la scène quoi aussi. Sur scène, il faut faire beaucoup de scènes pour que les gens découvrent l'énergie peut-être de ce que vous faites. [02:34:37] Speaker B: Après on va pas se mentir, c'est un tremplin d'avoir déjà une petite audience sur internet. Mais en fait c'est pas comme ça que tu vas convertir des gens. Si ta musique elle est pourrie, au. [02:34:45] Speaker D: Bout d'un moment... Ça c'est un truc qui est assez universel. [02:34:50] Speaker C: Ça fait longtemps que c'est comme ça. [02:34:52] Speaker D: Sauf si tu passes sur énergie. À ce moment-là, il y a quand même un moyen que ça grignote le cerveau des gens. [02:34:57] Speaker C: On embrasse énergie. De toute façon, il ne m'a pas donné. C'est que de la merde. [02:35:02] Speaker D: Je sais pas ce qui passe en ce moment, mais je parle parce que c'est vraiment la radio typique qui passe dix titres dans leur playlist en boucle et qu'au bout d'un moment, même si le morceau est pourri, il finit par te manger le cerveau et t'as envie de le réécouter. [02:35:17] Speaker C: Si la personne qui a produit le morceau a mis beaucoup d'argent dans Energy, oui le morceau a beaucoup passé. On va passer au clip suivant. [02:35:24] Speaker D: Tu disais que ça marche comme les Victoires de la Musée. [02:35:28] Speaker C: C'est vrai que c'était ce week-end. [02:35:30] Speaker D: J'ai pas regardé tiens. [02:35:31] Speaker C: Moi non plus. Je veux bien. [02:35:35] Speaker D: Je me demande qui a gagné le prix du morceau alternatif. Ça n'existe pas. Parce que tu parlais dans cette section au Brit Awards. [02:35:45] Speaker E: Il n'y a qu'en France qu'on est. [02:35:46] Speaker D: En retard là-dessus je crois. [02:35:48] Speaker C: En retard, ouais. [02:35:49] Speaker E: Il n'y a pas que sur ça. [02:35:50] Speaker D: D'Ailleurs qu'on est en retard. Depuis, je crois, depuis janvier, il y a le Charts Rock Metal qui est une liste des Charts Rock Metal qui existe en France. Officiellement. Depuis 2025, voilà. [02:36:06] Speaker E: C'est vraiment... Combien de décennies de retard du coup ? [02:36:08] Speaker D: Ah bah trop. [02:36:10] Speaker C: 5 peut-être, on n'a pas peur. 1000 ? On va passer au morceau suivant. Ah le morceau suivant, Interchicari. Interchicari avec The Sight et ce bon moment où il avait la coupe de cheveux la plus belle du monde. [02:36:21] Speaker F: Bien sûr. [02:36:21] Speaker C: C'est bon. [02:36:26] Speaker B: Beaucoup plus fantaisiste la scène. [02:36:29] Speaker D: Ça te fait deux petites cornes. Elle reste. [02:36:35] Speaker B: Je peux pas résister. [02:36:38] Speaker C: Je les maîtrise. Donc Hunter Chicago, ça représente quoi pour toi ? Tout ! [02:36:43] Speaker B: Non, c'est un groupe hyper important. C'est le groupe qui m'a montré aussi qu'on pouvait faire des trucs différents musicalement, tu vois, mélanger des trucs un peu d'upstep, trucs un peu expérimentaux, machin. Et j'ai pris une claque quand j'ai découvert en genre 2014, quelque chose comme ça. Et en fait, chaque album, ça a été un peu la bande-son de moments de ma vie, tu vois. Genre The Sight, c'est les premiers covers que j'ai fait sur Internet. Enfin, c'est LE premier cover que j'ai fait sur Internet. En 2020, pendant le confinement, j'ai été abreuvé de l'album qu'ils ont sorti à ce moment-là. Leur album qui est sorti en 2023, c'était ma première interview avec un artiste. C'était avec eux. Et du coup, ils sont trop sympas, c'est un délire. Et donc du coup, ça a vraiment marqué à chaque fois une période. [02:37:23] Speaker C: Ah ils sont gentils. Est-ce que c'est ce genre de groupe aussi qui t'a fait... J'ai pas écouté tes paroles du dernier morceau donc je vais peut-être dire une bêtise. [02:37:30] Speaker B: T'inquiète, t'inquiète. [02:37:31] Speaker C: Mais qui t'a fait dire qu'on pouvait aussi avoir un beau message. [02:37:33] Speaker B: Ouais clairement. [02:37:34] Speaker C: Même s'il est très politique le leur. [02:37:36] Speaker B: Ouais mais justement il y a ce truc de... Je peux écouter de la musique parce que je pense que... Quand j'étais plus jeune, j'avais une vision de l'engagement politique dans la musique qui était peut-être un peu contaminée par, tu sais, la chanson française, les trucs, où t'as l'impression que ça doit être dans cette catégorie-là et que le reste de la musique doit être un peu plus sur de la violence et des trucs, santé mentale, machin. Et d'arriver sur Interchicagri, donc qui parle de ce genre de choses, mais qui parle aussi de l'angoisse climatique, de trucs qui sont des sujets plus globaux, je me suis dit il y a aussi de la place pour traiter ce genre de choses. Et ouais, ça m'a influencé de fou, carrément. [02:38:09] Speaker C: Et d'oser, comme tu dis, Mettre un peu tout, n'importe quoi. C'est vrai que c'est toujours une surprise d'être un chicari. Moi on adore, je me permets de dire non. Quand on rentre à la maison... [02:38:23] Speaker D: Non mais moi, la première fois que je les ai vus, Hunter Chicary, alors c'était à l'Elysée Montmartre, c'était un festival où il n'y avait que des groupes... C'était pas un truc genre Taste of Chaos, mais c'était pas ça. Mais genre, il y avait Parkway Drive, mais c'était à l'ancienne, c'était 2000... [02:38:41] Speaker B: Il y a 1700 ans ! [02:38:42] Speaker C: Avant que ça devienne des pirates qui ont des bateaux avec des coffres à dos. Ouais, mais c'était le tout début, c'était. [02:38:46] Speaker D: À l'époque où ils avaient des palmiers gonflables. Pas le même budget sinon ! et Hunter Shikari, ils avaient ce truc, il y avait énormément d'EDM dans les premiers titres et les mecs, le truc se transformait en boîte de nuit et ils avaient des bagues laser qui faisaient de la lumière et ils allaient tous danser comme ça devant et alors que c'était un truc hyper métal quoi c'était que des groupes de metalcore genre on est méchants et eux ils sont arrivés et ils ont fait ça et là tout le monde a fait mais c'est quoi ce délire quoi Et puis après bon bah ils ont commencé avec Sorry... [02:39:24] Speaker C: On a claqué des winners. [02:39:25] Speaker D: Et là tu fais bon bah voilà c'est parti. [02:39:26] Speaker B: Clap, clap, clap finalement. [02:39:29] Speaker C: Faut pas plus. [02:39:29] Speaker B: C'est bon j'achète, c'est bon. [02:39:32] Speaker C: C'est vrai qu'ils mettent... Ils osent faire des trucs des fois. [02:39:34] Speaker D: Tu dis mais... Et dès le début quoi, c'est ça qui est assez ouf. Enfin c'est un peu le truc qui les a établis d'ailleurs je pense. [02:39:39] Speaker B: Oui et puis chaque album, comme tu disais, est différent en fait. Il y a toujours un truc musicalement qui va changer. Ils foutent de la trompette au milieu. [02:39:45] Speaker C: Tu vois quoi, ils ont pas trop peur. [02:39:47] Speaker B: Non, ils s'en foutent. [02:39:48] Speaker D: C'est le côté britannique, ça. [02:39:50] Speaker C: Il y a des britanniques qui ont peur. Tu veux dire qu'ils font des reprises. [02:39:57] Speaker D: De Wonderwall un peu timorée ? C'est ça que tu veux dire ? [02:40:01] Speaker C: Si eux ils en avaient fait une, elle aurait été bonne, mais après... [02:40:04] Speaker E: Personnellement, je critiquerais jamais le groupe. Enfin, Antarctica Reef, parce que je sais qu'ils font de la bonne musique, mais moi ça me touche pas. Je reconnais la qualité mais ça ne m'a jamais transcendé et j'ai essayé en contre ça, ça n'a pas été le mieux. [02:40:19] Speaker C: Je pense que c'est un groupe qui quand d'un seul coup tu tombe dessus c'est quand même très très compliqué à écouter une première fois. Je pense qu'il faut l'écouter plusieurs fois ou alors les avoir vus sur scène et avoir été emportés par cette espèce d'énergie et de gentillesse. Ils chantent très très bien. [02:40:36] Speaker D: Chaque fois je suis hyper impressionné. [02:40:37] Speaker C: Et puis ils dansent très bien. Mais c'est vrai que c'est très compliqué à écouter une première fois et que c'est qui tout double. C'est ça, et moi j'ai besoin que. [02:40:47] Speaker E: Ça me percute direct. Si ça me touche pas dès le début, en général je mets de côté. [02:40:52] Speaker B: En fait le problème avec Anzar Chikari, parce que moi évidemment j'essaie de le faire écouter à tout le monde, et le problème c'est que d'un single à l'autre, c'est le jour et la nuit, y'a rien qui se ressemble. Donc si tu tombes sur le mauvais single dès le début, sur un truc qui toi te touche pas, en fait tu pars avec un a priori, et évidemment si t'as un solo de trompette au milieu et que t'aimes pas la trompette, c'est chiant. [02:41:10] Speaker E: Non mais pour le coup j'ai une de mes meilleures amies qui est archi-fan et à chaque fois que je vais. [02:41:16] Speaker C: Chez elle, elle le met donc... Et. [02:41:18] Speaker E: Moi c'est devenu... Non mais parce qu'en fait je le prends plus comme un bruit de fond... Non mais c'est pas... Justement, c'est pas désagréable mais tu vois je rentre pas dedans quoi. C'est que c'est pas désagréable mais je rentre pas dedans. [02:41:32] Speaker C: C'est une sensibilité, on peut pas tous aimer la musique. [02:41:35] Speaker E: Mais par contre je reconnais la qualité du groupe. [02:41:39] Speaker C: Et Hunter Shikari, qu'on avait fait en concert privé. Oui, FM. Dommage, t'as découvert en 2014. C'est à ce moment-là qu'on a fait le concert privé. C'était un peu la guerre. C'est toujours un peu la guerre. Il y a ce moment où il a envie de monter sur les échafaudages, les machins, puis tout le monde fait hop, hop, hop, t'as pas le droit maintenant. À l'époque, ils le faisaient, c'était accroché au plafond. C'était très, très bien. Et ce titre-là, The Side, que t'as fait en première reprise ? [02:42:02] Speaker B: Exactement, quand j'ai commencé à vouloir me remettre à la musique, ça c'était 2018, je crois. C'était en gros le morceau de préparation pour rentrer dans le groupe dans lequel je suis rentré à cette époque-là, en tant que chanteur. Il fallait que je montre un peu ce que je savais faire, donc j'ai fait un cover de Enter Chicari et un cover de je sais plus quel groupe, autre chose. [02:42:23] Speaker C: Ah ouais, la sélection, quand t'arrives, c'est. [02:42:27] Speaker B: Eux qui t'avaient dit qu'il fallait faire ça ? Ouais, je devais envoyer deux covers, un imposé et un libre. Et l'imposé c'était « Trapped » de je sais plus quel groupe. Ça ne me reviendra pas. [02:42:37] Speaker C: Je sais pas pourquoi j'imaginais pas ça comme ça le recrutement dans les groupes. J'imaginais que c'était une rencontre, on discute, tu viens essayer au studio et puis non, en fait on perd non pas de temps, on chante un vrai truc et si t'es une chiasse tu viens pas quoi. [02:42:49] Speaker B: C'était un peu l'idée ouais. [02:42:50] Speaker C: Non mais c'est plus efficace, au moins c'est fait. Bon allez, on va regarder ce petit clip d'Enter Shikari. Les éclairs sont mangés, t'as intérêt à manger le tien. [02:42:57] Speaker E: Tu veux pas ? [02:43:00] Speaker C: Non, là j'ai pas faim. Peut-être après. Bon. [02:43:04] Speaker D: Je sais pas pourquoi mais... Allez Enter Shikari ! [02:43:05] Speaker C: Just picture the headline. Enter Shikari. [02:43:07] Speaker A: First band ever to perform in space. Trust me. I've got it. [02:43:15] Speaker E: Sorted. [02:43:15] Speaker C: It'll be massive. Yeah, okay. [02:43:24] Speaker A: I mean... Listen, I've got to go. [02:43:27] Speaker C: I'll see you there. Are you staying awake for the liftoff tonight? You'll never believe the sights tonight, the sights tonight, the sights. Are you staying awake for the liftoff tonight? [02:43:41] Speaker A: You'll never believe the sights tonight, the. [02:43:46] Speaker C: Sights tonight, the sights. Mr. Magpie, you've got the status Oh oh oh oh ! Oh oh oh oh ! [02:43:56] Speaker D: Oh oh oh oh ! [02:43:57] Speaker C: Oh oh oh oh ! [02:44:45] Speaker A: C'est pas moi qui planète, c'est mon. [02:44:47] Speaker E: Bébé. [02:45:13] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:45:59] Speaker D: Qu'est-ce que tu. [02:46:11] Speaker A: Penses ? [02:46:11] Speaker D: C'est pareil. J'ai l'impression que ça va bien. [02:46:28] Speaker C: It's over now, and I'm a little bit petrified Of what's to come, yeah my head's a bit stir-fried It's over now, and I'm a little unqualified But. [02:46:44] Speaker D: Fire up the rockets, to ascension. [02:47:07] Speaker A: C'est. [02:47:13] Speaker C: Parfait. [02:47:14] Speaker D: C'est ça. [02:47:14] Speaker C: Oui. [02:47:14] Speaker E: On l'a fait. [02:47:45] Speaker A: J'étais toujours un type d'adulte prolongé Jusqu'à ce que je reconnaissais Votre chanson parfaite de sirene Quand vous m'avez libéré J'ai laissé mes yeux en poussière Je savais que j'aimerais dire votre nom Si je devais Oh, putain! Et tu pleures, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure C'est génial ! C'est génial ! Oh non ! [02:51:45] Speaker C: Voilà, ça lui fait plaisir. Eh oui, notre petite statue de la liberté à nous, c'est une cocotte. Vous la voyez là ? Ah oui, elle est là. [02:52:01] Speaker D: Elle fait le bruit maintenant. [02:52:02] Speaker C: C'est extrêmement désagréable. Là, il était loin. [02:52:04] Speaker D: C'est le meilleur truc que j'ai trouvé à ramener de New York. [02:52:06] Speaker C: Bravo, il est super. [02:52:08] Speaker D: Bah, elle est incroyable. [02:52:11] Speaker C: Comme quoi, ça m'a vraiment coupé. [02:52:15] Speaker D: N'hésitez pas à donner plein d'argent pour que je puisse faire rester plein de mots. [02:52:20] Speaker C: Non, ça ne partira jamais là-dedans. Ça a été acheté avec tes propres sous-soupes. [02:52:24] Speaker D: Mes propres deniers. [02:52:26] Speaker C: Ce qu'on vient de regarder, il faut quand même dire le nom du groupe qui est là, parce que pour les personnes qui écoutent le podcast, c'est mieux. Ça s'appelle Church Tongue. Voilà. Et le titre c'est You'll Know It Was Me, avec j'imagine le chanteur de Death Seven, mais comme je connais pas son nom, George Clark. Voilà. On l'embrasse d'ailleurs. [02:52:43] Speaker B: Coucou, il sait que tu nous regardes. Salut Georges. [02:52:48] Speaker D: C'est Giorgio pour les intimes. [02:52:49] Speaker C: Faut que je me tienne dans mes blagues. Merci. Ah je pensais pas que c'était Georges Vabre. Moi il aime plutôt les fleurs tu sais, celles qui font des petites cloches blanches comme ça. Ah non c'est pas comme ça, c'est au plafond. Non, je sais plus. Bon, bref. Passons. C'était une très mauvaise blague, mais voilà, je peux pas dire ça à l'antenne. Je vous dirais, il s'appelle qui ? [02:53:14] Speaker D: Ah, Guy Georges ! [02:53:15] Speaker C: Ah, oui, lui. [02:53:18] Speaker B: Ce Georges-là. [02:53:18] Speaker C: Ce genre de Georges. [02:53:19] Speaker D: C'est quoi son nom de famille ? [02:53:21] Speaker C: Moins agréable à regarder. Je sais pas si c'est Guy ou si c'est Georges. Bah, dites-le nous dans les commentaires. Participez à ces bonnes discussions. C'est ses prénoms. [02:53:32] Speaker D: Comme Paul-Emile-Victor. [02:53:34] Speaker C: Ouais bon allez, on va passer vraiment à... On va revenir à toi Macarena, c'est mieux. [02:53:36] Speaker B: Ou Bémiloui finalement. [02:53:39] Speaker C: Putain j'ai des jambes qui commencent à être paralysées. [02:53:41] Speaker B: Désolé. [02:53:41] Speaker C: S'il y a des gens qui nous regardent et qui ont vécu ça... Des jambes ? Mais non ! Bon, tu as un groupe. J'ai un groupe, effectivement. Est-ce que tu es invité aussi pour ça, pour pouvoir faire un peu de promo autour de ce groupe-là ? Alors ce groupe s'appelle ? [02:54:01] Speaker B: Barren. [02:54:02] Speaker C: Barren. Ça veut dire quoi ? [02:54:06] Speaker B: Ça veut dire stérile. [02:54:08] Speaker C: Ok. [02:54:09] Speaker D: C'est un truc qui a du mal à pousser. [02:54:12] Speaker B: Ouais c'est ça. C'est genre aride, stérile, tout ça ouais. Vous avez joué à World of Warcraft. Les Tarid. C'est les Barons en anglais. [02:54:19] Speaker C: Ok. C'est un groupe ou c'est toi ? C'est un groupe. [02:54:21] Speaker B: Moi je suis pas du tout fondateur. [02:54:22] Speaker C: J'ai rejoint le projet en 2022. Le projet a été fondé par le bassiste et le guitariste. [02:54:36] Speaker B: J'Ai rejoint le projet, on a continué à écrire les compos, le batteur nous a rejoint en 2022 aussi je crois, et puis voilà. Le nom était déjà choisi, en fait c'est plus ou moins une réf' visuelle de l'esthétique qu'on aimerait apporter au groupe. Vous avez vu Blade Runner 2049, du coup Blade Runner t'as la scène d'intro avec l'arbre mort, avec les espèces de cerfs et tout, et en fait c'est un peu cette esthétique visuelle là qu'on aime bien, d'où l'aridité, le truc un peu stérile, machin, donc voilà. [02:55:03] Speaker C: Il y a un message derrière ou c'est juste l'ambiance ? [02:55:05] Speaker B: Non, c'est juste l'ambiance en fait. On essaie d'avoir une musique qui est un peu froide, tu vois, un truc un peu droit, froid, avec des petites ambiances un peu électro mais plus dark wave, grosse basse, machin. Et du coup, on trouvait que ça représentait bien le truc. [02:55:18] Speaker C: Quand t'es rentré, ça fait combien de temps ? Trois ans ? Deux ans que vous bossez ? [02:55:24] Speaker B: Plus longtemps que le bassiste et le guitariste. Il n'y avait pas de chanteur à l'époque. Et moi, j'ai dû rentrer peut-être fin 2021 ou début 2022, je ne sais plus exactement. [02:55:32] Speaker C: C'est un projet quand même de longue date. C'est jeune quand même, mais ce que je veux dire, c'est qu'ils ont travaillé quand même énormément. C'est le tout premier morceau qui est sorti ? [02:55:41] Speaker B: C'est le premier morceau, oui. On a un EP qui sort, en gros on a des morceaux qui vont sortir jusqu'à la moitié de l'année grosso modo et après là on est en train d'écrire la suite et puis voilà, on attaque les concerts brutaux. [02:55:50] Speaker C: Ça fait partie des stratégies que tu as pu apprendre dans le monde de la musique. Exactement ! Parce qu'il y a deux écoles aussi, il y en a toujours qui valident l'album. [02:55:59] Speaker B: En fait le problème de l'album aujourd'hui c'est que surtout quand c'est ton premier tu le sors d'un coup c'est bien parce que les gens ils ont des trucs à écouter mais le problème c'est qu'il faut qu'il y ait des gens qui veulent écouter les trucs. [02:56:09] Speaker C: Et il faut qu'ils écoutent tout. [02:56:10] Speaker B: Exactement. [02:56:11] Speaker C: Et ils vont pas tout écouter. [02:56:11] Speaker B: C'est ça et le truc c'est que quand tu sors des singles le fait des réseaux sociaux c'est que t'as des gens qui font du react tu peux essayer de bourriner avec des teasers, avec des trucs, avec des shorts, machin, et tu peux essayer d'occuper de l'espace médiatique pendant plus longtemps. Parce qu'au final, si tu balances ton album, en fait, tu crames toutes tes cartouches d'un coup, et donc t'as moins cet effet d'annonce. De toute façon, on le voit, tous les... dont tu parlais de Whitechapel, ils sortent déjà les singles avant, t'as les trucs qui arrivent de toute façon. [02:56:33] Speaker D: De toute façon, les singles sortent avant la sortie. Une fois que l'album est sorti, généralement, il n'y a plus de single. Ils font des extenders. Ce qui est dit dans les labels et tout ça, c'est qu'à partir du moment où ton album sort, ton exploitation est finie. Avant, c'était le contraire et maintenant, ça s'est inversé. [02:56:53] Speaker B: Après, il y a la tendance, on l'a vu avec Resolve, il y a Wind Waker qui fait ça aussi en ce moment, c'est de sortir ton album, donc tu fais tes singles, t'en sors 4-5, tu sors ton album, et après tu sors une maxi version avec des singles qui n'ont pas été inclus dans l'album, et ça te fait un genre de version deluxe qui sort un an après. Et ça te permet de rallonger la durée de vie de ton album, t'as pas à sortir 12 titres, mais tu remets un peu de hype autour du projet. [02:57:18] Speaker D: Et puis, il y a aussi la petite stratégie, c'est que ça augmente le nombre de streams sur ton album. Et du coup, ça augmente tes chances de passer un cap de... Pas forcément pour ces groupes-là, mais de passer disques d'or ou des choses comme ça. Parce qu'en fait, quand tu sors une version réactualisée de ton album, toutes les ventes de cet album vont s'ajouter aux ventes d'anciens. Voilà, enfin vente ou stream. [02:57:42] Speaker C: Oui les streams des morceaux qui sont de toute façon doublés dans cette service. [02:57:45] Speaker D: C'est une stratégie qui est aussi faite maintenant sur les réseaux pour booster, comme avant les disques qui ressortaient, alors nous on l'a connu ça, c'est les albums qui ressortaient en digipack ou des trucs comme ça, ou avec un truc bonus à côté, en fait c'était pour augmenter les stats de l'album, du coup tu reproposes un truc à côté. Ce que par exemple System of a Down avait fait avec Toxicity où ils avaient ressorti avec un single qui était salement wrappé dans le même truc et ça avait relancé les ventes et du coup ils avaient passé des nouveaux caps. [02:58:22] Speaker C: Ouais et puis ils font aussi avec eux différentes pochettes, il y a plein de groupes qui ont fait genre on sort 10 albums c'est le même mais 10 pochettes différentes donc les gros fans achetaient les 10 albums. [02:58:29] Speaker D: Mais ça généralement c'est au moment où ça sort, c'est pas après. [02:58:32] Speaker B: C'est pas Taylor Swift qui a fait ça récemment avec des vinyles, il me semble. [02:58:40] Speaker D: Voilà, tout ce qui peut faire des ventes marche. [02:58:42] Speaker C: Bah après il faut bien gagner des sous. [02:58:43] Speaker B: C'est ça, c'est que les streams payent tellement peu que... [02:58:45] Speaker C: Voilà, j'allais dire aujourd'hui toi quand tu regardes, bon là tu viens de le lancer mais... C'est clairement, aujourd'hui, quand tu fais un groupe, t'as même plus cette stratégie réelle. Enfin, tu veux que ce soit écouté, ça c'est sûr. Il faut que ça vive. Mais les chiffres, pas d'argent. J'ai une petite obsession souvent de regarder les chiffres, parce qu'on a envie de savoir où ça se situe. C'est quand même quelque chose qui peut être néfaste sur le groupe ou sur certaines personnes du groupe. [02:59:08] Speaker D: Après, l'avantage, je pense, c'est que quand tu viens de la création de contenu, tu sais aussi que de toute façon, il faut pas... C'est moi, j'ai mal au bide à cause de ça. On sait, nous même quand on regarde les trucs qu'on fait, tu regardes les stats, des fois il y a des trucs qui marchent, puis des fois il y a des trucs ça marche pas. [02:59:31] Speaker B: Et tu fais bon. [02:59:33] Speaker D: Et tu sais qu'il faut continuer, enfin c'est pas... Il y a aussi la chance de rencontrer son public, de trouver la porte d'entrée qui va faire que ça... [02:59:43] Speaker B: En fait tu le vois, même avec la création de contenu, c'est pas parce que tu travailles beaucoup que ça va marcher en fait. Il y a des trucs où tu vas rien foutre, sortir ton truc en vitesse ça va prendre de fou, et là t'auras passé six mois à bosser sur ton projet, le truc il va crever dans un coin et tout le monde s'en fout. Et du coup faut arriver à se détacher des chiffres. Nous on est parti du principe que ça marchera pas avec le groupe parce qu'on fait de la musique un peu niche, avec des trucs qui sont des parties prises avec des longues intros, avec des gros décrochés de 45 secondes au milieu et tout, on sait que c'est pas C'est pas de la musique pour TikTok, c'est pas un truc que tu peux swipe et profiter comme ça, mais on préfère avoir un parti pire artistique parce qu'on sait que de toute façon, même si on faisait un truc ultra commercial, il n'y aurait aucune garantie que ça marche. Donc autant faire un truc qui nous plaît. [03:00:23] Speaker D: Au moins t'es sûr que ça marchera pas. [03:00:25] Speaker B: Ouais, mais au moins je me fais plaisir, je m'en fous. [03:00:28] Speaker C: Non mais voilà, c'est ça le vrai but, c'est là où je voulais en venir à la fin. [03:00:32] Speaker B: Ouais, c'est de faire un truc qui nous plaît. [03:00:34] Speaker C: C'est comme ça qu'il faut que les gens qui ont envie de faire de la musique, il faut qu'ils fassent quoi. Pas essayer d'avoir le truc peut-être en plus, mais de faire au moins un truc qui leur plaît. [03:00:41] Speaker B: Ah le problème c'est que si tu... [03:00:43] Speaker C: Au moins que toi tu kiffes ton moment quoi ! [03:00:45] Speaker B: En fait si tu fais des compromis pour que ça marche et que ça marche pas, bah t'es la personne la plus frustrée du monde quoi. Non seulement t'as sacrifié ce que tu voulais faire, mais en plus pour rien. Donc c'est un cauchemar. Autant faire ce que tu veux, si ça prend tant mieux, si ça prend pas bah tant pis, tu refais un autre groupe, t'arrêtes, j'en sais rien, mais au moins t'as essayé quoi. [03:01:00] Speaker C: Est-ce que c'est important aujourd'hui quand on monte un groupe qui est toujours un mec, enfin un mec, une meuf, je veux dire mec c'est une personne, dans le groupe qui sait faire de la communication, qui a déjà fait ça ? [03:01:08] Speaker D: Elle va te péter la gueule quand t'as dit un mec. [03:01:12] Speaker C: Non ça je crois qu'elle s'en fout. [03:01:14] Speaker E: Je suis un keum moi de toute façon. [03:01:17] Speaker D: Je me disais bien qu'il y avait un truc qui n'est pas sur ton short. [03:01:20] Speaker E: Elle est plus grosse que la tienne. [03:01:21] Speaker C: Je continue ma question. On parlera de nos différences physiques plus tard. Peu importe notre différence, c'est bien, c'est le bien. [03:01:33] Speaker D: Arnold et Willy. [03:01:34] Speaker C: Qu'est-ce que tu me racontes là ? [03:01:38] Speaker B: Je l'ai. [03:01:39] Speaker C: Tout le monde l'a eu. Je suis en train de poser une question sur faut-il, dans un groupe, en étant nouveau groupe, avoir quelqu'un qui sait faire de la vidéo, qui sait faire de la communication, qui sait faire du design ou alors qui a bon goût ? [03:01:58] Speaker B: Je pense que t'es pas obligé. Je pense que t'es pas obligé, mais si t'as personne qui sait le faire, il faut avoir l'apprentissage d'esprit de se dire que tu sais pas le faire. Et du coup, le délégué. Et le délégué soit quelqu'un qui fait du management... [03:02:16] Speaker C: Il faut connaître les personnes, ou alors payer. [03:02:18] Speaker D: Généralement, on vote au début de l'année. [03:02:22] Speaker C: Des gays de classe. [03:02:28] Speaker E: C'est pas que j'avais pas, c'est qu'elle était tellement désespérée... [03:02:30] Speaker C: Elle est incroyablement drôle ! [03:02:33] Speaker D: Je suis désolé mais Karen était mort de rire. [03:02:37] Speaker B: Après je rigole pour rien. C'est un très bon public. [03:02:41] Speaker D: Donc oui il faut déléguer. [03:02:42] Speaker B: Il faut déléguer en fait si tu sais pas faire. Le do it yourself c'est super quand tu sais faire des trucs. Il y a des groupes qui font ça super bien. Calva Louise, exceptionnelle la chanteuse qui s'est mis du coup à faire du Blender, Dio & Regine etc pour pouvoir faire les clips, ça démonte. [03:03:00] Speaker D: Elle fait tout, elle réalise, elle fait les couleurs. Elle fait les fusils. [03:03:04] Speaker B: Non. Ça c'est non. [03:03:06] Speaker C: Ah c'est pas ce blender là ? [03:03:07] Speaker D: Ah oui parce que c'est pas... Blender. [03:03:10] Speaker C: C'Est un logiciel pour faire de la 3D. Ok. [03:03:13] Speaker B: Non fais pas des yaourts. Je comprends pas. [03:03:15] Speaker C: On s'est déjà dit que c'est possible. Bah oui. On peut apprendre à faire les cuisines. Eh les gars on va faire une tournée, on est quatre. Par contre je veux faire des smoothies. Ah et abats les bananes. Ah parce que je croyais que c'est. [03:03:26] Speaker D: De là que ça venait le nom Calva Louise. [03:03:28] Speaker C: Bah fais des cocktails en fait. [03:03:33] Speaker B: Mais du coup bref, c'est un groupe qui a les compétences et donc qui fait des trucs de fou. Il y a d'autres groupes qui ne savent pas pourquoi ça ne marche pas et ont l'impression que c'est parce que, je ne sais pas, ils ne sont pas boostés parce que justement ils n'ont pas une communauté sur internet déjà ou machin. Et non, c'est juste parce qu'ils n'ont pas les codes et du coup ça ne marche juste pas. [03:03:51] Speaker E: Des fois ils ont une DA vraiment abominable et ils ne s'en rendent pas compte parce qu'eux ils aiment leur DA. [03:04:00] Speaker C: Peut-être qu'il y a peut-être une personne au groupe qui est contente, mais les autres ils osent pas le dire. Ils font pas mieux donc ils disent bon... Non mais c'est vrai que c'est. [03:04:07] Speaker B: Très très dur de pouvoir avoir l'ensemble. [03:04:10] Speaker C: De ce qu'il faut. Parce que la musique, comme vous l'avez dit tous les deux, tu ne peux pas te limiter à faire de la musique. [03:04:16] Speaker B: En fait, il faut le voir comme tous les autres postes d'un groupe de musique. C'est-à-dire que tu ne vas pas te mettre à mixer le truc si tu n'as jamais mixé un morceau. Tu vas te dire, je vais payer un mec pour mixer mon truc parce que je sens que ça sonne vraiment comme de la merde. Et du coup, il faut faire pareil pour les clips. Tu sens que ton clip pue la merde, tu demandes à quelqu'un qui sait faire des clips. C'est un budget mais en fait c'est aussi ça le c'est le souci pour moi systémique du monde de la musique aujourd'hui c'est que la barrière à l'entrée pour pouvoir se lancer dans la musique à l'heure actuelle elle est gigantesque si tu veux te lancer c'est un exemple que je prends souvent et j'en ai parlé tout à l'heure tu vois des groupes comme Rêves Noirs ou Hachon qui sont des groupes émergents qui marchent bien mais qui n'ont pas encore explosé quand tu vois la qualité de ce qu'ils font tu te dis... [03:04:59] Speaker C: C'est vrai que le travail il est ouf dès le début Tu te dis. [03:05:01] Speaker B: Si je veux arriver et faire les mêmes dates et les mêmes salles qu'eux, il faut que je fasse la même chose. En dessous, c'est sûr que ça sera pris pour un truc amateur. Et du coup la barrière est tellement gigantesque que tu sais que quand tu lances un projet que tu veux un peu sérieux, bah t'avances un billet de 10-15 000 euros tranquille. [03:05:16] Speaker C: Au final, avant on payait très cher la création d'un album, le fait de... ça va plus vite aujourd'hui, il y a tous les logiciels, il y a plein de systèmes qui font que c'est possible. de tenter de se débrouiller tout ça. [03:05:27] Speaker D: Même la diffusion, parce qu'avant, tu étais obligé de presser, de mettre en vente machin. Maintenant, tu peux le mettre sur toutes les plateformes et ça coûte pas grand chose. [03:05:38] Speaker B: C'est beaucoup moins cher. [03:05:39] Speaker C: Mais l'argent, du coup, est quand même dépensé dans le travail qualitatif de gens compétents. [03:05:47] Speaker B: Et au final, même ça, même de distribuer sur Distrokid, même ça c'est pas gratuit. Et les gens le savent pas, faut que tu payes. Si tu veux pas que ton morceau soit supprimé, c'est à dire de payer l'abonnement, c'est un supplément. Si tu veux les paroles, c'est un supplément. Y'a plein de trucs qui font que ne serait-ce que release un single, t'en as déjà pour 500 balles, et tu parles même pas du mix. C'est juste la com, le petit truc, le petit post, le machin, et ça va super vite, ça monte super vite. Ou c'est réservé à des gens qui ont des sous. [03:06:12] Speaker C: En vrai, ouais. Après si t'es plusieurs dans un groupe, les 500 balles tu peux les amener chacun. [03:06:16] Speaker B: En fait c'est ça, c'est que nous on a eu le souci tu vois, c'est des questionnements qu'on a parce que dans le groupe on est quatre avec des revenus qui sont pas tous équivalents, il y en a qui ont des jobs, d'autres qui sont indépendants, d'autres qui comme moi bah tu vois j'ai pas de revenus parce que je suis en année sabbatique. Donc il faut arriver à concilier tout ça, parce que quand tu lances ton projet, tu fais pas que sortir un morceau. Tu payes du merch, tu payes ton backdrop, tu payes ton van pour aller en tournée. Enfin, t'as tout ça à financer. [03:06:40] Speaker D: Ton matos. [03:06:42] Speaker B: Ça, c'est que n'importe quel groupe de musique moderne, t'as ton rack avec. Dans ton rack, t'as X-32, t'as tes retours, t'as tes amplis de guitare, t'as tous tes trucs. et en fait chaque musicien a déjà un bifton de 3000 euros chacun et derrière tu rajoutes ce qu'il faut sur le groupe et ça crée un truc qui est gigantesque mais en fait t'as pas le choix. Malheureusement c'est comme ça. Mais c'est super ! Parce que du coup, caritativement, c'est vachement vieux. [03:07:07] Speaker C: Oui, oui, bien sûr. J'entends, mais c'est dommage que des gens qui n'ont pas les moyens ne puissent. [03:07:15] Speaker B: Pas... Et là où je trouve ça dommage, c'est que les aides sont difficiles à avoir. [03:07:19] Speaker C: Et de pire en pire. On en parlait dernièrement, ça a été sucré à fond. Il n'y a pas eu de grosse communication de l'État là-dessus. Mais tout a été coupé et puis il y a même des régions qui ne donnent plus du tout d'aide. Deux régions en France, ils ont supprimé 100% de toutes les aides. Tu dis à la culture, je parle pas du reste. [03:07:38] Speaker B: On en discutait parce que mon groupe, on est à la fois de région parisienne et du sud, de la région de Montpellier. Et justement, la région de Montpellier, la région sud, ont complètement enlevé ce truc, ces aides à la culture qu'on avait déjà pas le droit d'avoir. [03:07:51] Speaker D: Mais là, finalement, ça change pas grand chose. [03:07:52] Speaker B: Nous, on s'en fout, de toute façon. [03:07:53] Speaker C: On fait du bien pour les autres. [03:07:56] Speaker B: Mais au final il y a vraiment des coupes budgétaires partout et heureusement il y a encore des structures qui aident notamment près de chez moi il y a l'empreinte qui aide énormément et qui s'investissent beaucoup pour cette culture là. [03:08:06] Speaker C: Mais ça peut être dangereux aussi pour eux parce que s'ils se suppriment à ce danger là... [03:08:09] Speaker B: Exactement, c'est que si tu enlèves ces accès à la culture tu te retrouves juste avec effectivement un milieu qui est devenu un pay to win et si t'as pas de sous tu réussis pas quoi. [03:08:18] Speaker C: C'est dommage. On va bien voir comment ça va se passer. Vivement les prochaines élections, ce sera encore mieux. Dans Baril, il y a un message. C'est toi qui écris les paroles, j'imagine ? [03:08:29] Speaker B: Exactement. [03:08:30] Speaker C: Ça aussi, c'est un travail particulier. [03:08:32] Speaker B: C'est super aussi. [03:08:35] Speaker C: Parce que chacun a sa technique, j'imagine. [03:08:37] Speaker B: Mais... Ouais, nous on est assez chiant sur tous les points du groupe. Du coup, les paroles aussi. En gros, dans l'écriture d'un morceau, on va écrire d'abord l'instru, ensuite on se pose sur la métrique des paroles, c'est-à-dire que je fais du yaourt pour savoir comment on pose la voix, avec des styles de voix différents. Je balance ça à mon bassiste et mon batteur, qui me coupe. tout mon yaourt pour me faire des nombres de syllabes et après, une fois qu'on a validé le nombre de syllabes par truc, là je remplace avec des paroles. Donc en fait j'ai des versions... Et. [03:09:09] Speaker D: Ça a déjà le droit de regard sur la thématique ou pas du tout ? [03:09:13] Speaker B: Ils peuvent donner leur avis et je peux m'en foutre. [03:09:14] Speaker A: D'accord. [03:09:14] Speaker D: Ah bon ça va ? [03:09:15] Speaker C: Pi, pi, caca, pi, pi, caca ! Ça vous va les gars ? C'était bien non ? [03:09:20] Speaker B: En vrai, sur le premier EP, sur les 4 premiers titres qu'on va sortir, ils ont eu un droit de regard modéré. Sur les suivants, je vais leur laisser un peu plus de retour. On est un peu moins dans le feu, on a un peu plus de. [03:09:29] Speaker C: Temps... Non, c'est que là, on nous avait appris aussi à travailler ensemble, donc du coup, ce sera peut-être, entre guillemets, plus fluide. [03:09:34] Speaker B: Ouais, ouais, carrément. De toute façon, on va beaucoup plus vite aujourd'hui à écrire des morceaux qu'à l'époque. Parce qu'il y a le fait aussi de bosser à distance, on se voit jamais en fait. On bosse presque que en ligne. Donc on a des softs qui nous permettent de travailler. En gros, moi, j'ai un soft. où je donne l'accès à mon PC à mon bassiste, donc de chez lui il contrôle mon ordi et pour faire les regs c'est lui qui gère toute la session d'enregistrement sans qu'il soit là. Et donc on essaye d'écrire comme ça, de se faire des sessions et avec tout ce protocole là on arrive à avancer plus vite qu'avant mais on se voit une fois tous les deux mois quoi. [03:10:04] Speaker C: C'est pour ça que tu dis que tes voisins ils en chient ? Alors mes voisins ils en chient un. [03:10:07] Speaker B: Peu ouais, mais ça c'est parce que je stream. [03:10:11] Speaker C: Ça doit faire du bruit aussi effectivement. [03:10:13] Speaker B: Les screams sont, j'ai eu des petites anecdotes marrantes avec ma voisine. [03:10:18] Speaker C: Forcément si tu hurles, enfin si tu fais du scream, le joueur l'enjoue. Oh la la qu'est-ce qu'il se passe à côté ? Ah tu vas crever ! Ah le voisin ! [03:10:27] Speaker E: Tu pourras donner ton numéro de ta voisine à mes voisins, je pense qu'ils peuvent faire des rimes. [03:10:32] Speaker C: Des rimes d'association ? [03:10:35] Speaker B: Moi, le truc, c'est que je l'ai fait déménager depuis, donc j'ai plus de problèmes. [03:10:39] Speaker E: On est deux qui sont morts. [03:10:41] Speaker C: C'est pire. [03:10:43] Speaker D: C'est un concours ou quoi ? [03:10:44] Speaker C: On ne dira pas comment, j'espère de vieillesse, évidemment naturelle. [03:10:48] Speaker D: Apparemment, ils ont avalé de la moron. Des muffins qu'on avait déposées sur le bas de leur porte avec un petit mot. [03:10:56] Speaker E: Sur trois voisins, direct dans mon étage, il y a deux qui sont morts. [03:11:01] Speaker C: J'espère qu'ils regardent pas cette émission, parce. [03:11:02] Speaker D: Que du coup... Bah non, ils sont morts ! [03:11:04] Speaker C: Non mais pas eux, les autres voisins ! Ou les nouveaux ! Les prochains quoi ! C'est nous qui habitons en côte de Chiselle, ouais, on le reconnaît. C'est la meuf au muffin. Elle est distribuée à tout le monde. [03:11:14] Speaker D: Y'a une tête de mort sur sa porte ! [03:11:17] Speaker B: Y'a marqué antisocial sur son t-shirt. [03:11:20] Speaker C: Non mais ouais, ça c'est pas facile non plus, t'es en appartement du coup. [03:11:23] Speaker B: Non je suis en maison mais mitoyenne. [03:11:24] Speaker C: Ouais c'est pareil. [03:11:25] Speaker B: Et du coup c'est pareil, c'est pareil, c'est l'enfer. En fait j'ai des parties de ma maison qui sont très bien isolées et j'ai un endroit. [03:11:30] Speaker D: Mais pas celle où... Qui est le. [03:11:31] Speaker B: Mur de mon studio. [03:11:32] Speaker C: Mais c'est bien, t'as bien choisi. [03:11:33] Speaker B: Donc c'est con. En fait ma voisine était un peu spéciale, elle était un peu spéciale. Elle avait de l'hyperacousie, elle voulait faire du yoga mais sur les tronçoirs. [03:11:44] Speaker C: Elle était super chiante. Je suis désolé pour les personnes qui sont sensibles ou qui ont de certaines maladies mais c'est juste que oui dans ces cas là c'est chiant. [03:11:51] Speaker B: En fait au début j'étais compréhensif parce que je sais que c'est relou tu vois donc j'étais sur des plages horaires où je chantais jamais après 19h j'essayais d'être vraiment hyper réglo. Et en fait un jour elle est venue taper à 18h un vendredi, j'ai fait ouais c'est bon là ça c'est pas possible. Genre je suis sorti, elle était en train d'écrire un mot, elle m'a pourri pendant cinq minutes à me dire ouaiiiiis fils de pute ! Et donc je suis là ouaiiiis ! [03:12:08] Speaker C: Ah oui elle était délicate en plus ! [03:12:09] Speaker B: Ouais ouais ! [03:12:11] Speaker C: Au bout d'un moment je lui ai fait ouaiiiis ta gueule ! Et puis Bah j'suis top ! BOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU Bon, vécu avec mes voisins. [03:12:46] Speaker B: Non, en fait, les premiers morceaux sur l'EP, ça a été surtout des phases sur lesquelles je suis passé, parce que sortie de confinement, beaucoup de télétravail, plein de phases en fait. Et là, le premier morceau qu'on a sorti, « Alone », c'est plutôt sur santé mentale, crise d'angoisse, trucs comme ça. je pense qu'à l'avenir on parlera plutôt de thèmes globaux avec des trucs plus dépersonnifiés plutôt que des trucs qui parlent le soir. [03:13:10] Speaker C: Moins raconter des choses que vous avez vécues, plus des choses que tout le monde... [03:13:13] Speaker F: C'est ça. [03:13:13] Speaker C: Enfin auxquelles les gens sont confrontés tous les jours. Ouais, ouais. C'est ça. Ok. C'est un exercice aussi, parce que parler de soi c'est souvent plus simple. [03:13:20] Speaker B: Ah c'est clair, c'est clair. [03:13:21] Speaker C: Même si c'est douloureux. [03:13:23] Speaker B: Là je suis en train d'en écrire un morceau, j'étais super content de ma V1, je fais putain ça c'est bien ça, il y a des punchlines c'est cool. Je l'envoie à mon batteur qui me dit c'est de la grosse merde. Il m'a dit je te préviens je suis un peu sec, il m'a renvoyé le fichier drive avec en dessous souligné avec ça c'est un truc d'adolescent, ça t'as pas 15 ans, ça t'arrêtes et tac tac tac tac chaque ligne je me suis... [03:13:47] Speaker D: Mais ça c'est un truc qui est dur dans la création quand toi t'as une vision très claire d'un truc Et. [03:13:55] Speaker B: Tu sais... Et que t'es tout seul à l'envers ! [03:13:57] Speaker D: Et que tu te confrontes à plein de gens qui te font... Ah ouais, non... Et en fait, garder... Enfin... Soit réussir à garder la foi pour aller jusqu'au point où t'arrives à prouver que c'est bien, ou alors réussir à... à manager son égo dans le fait de continuer à avancer, à bosser sur un truc où t'es dégoûté. C'est deux aspects qui sont très difficiles, je trouve. [03:14:24] Speaker B: En général tu reçois le message, tu te dis putain je vais l'encastrer et puis après tu réfléchis, tu te dis attends, pourquoi il a dit ça ? Avant de l'appeler, de l'insulter. Et en fait il y a une raison derrière et en général c'est quand même des beaux conseils et tu te dis ok si je peux dire encul effectivement... Oui je le déteste évidemment ! [03:14:41] Speaker C: Non mais je veux dire, des fois. [03:14:44] Speaker D: Tu peux avoir une vision, tu sais que les gens voient pas la globalité de ce que toi tu vois. Et juger des trucs comme ça, tu fais ouais mais en fait si tu regardes sur tout le truc, bah c'est beaucoup plus grand que cette phrase. Mais s'il n'y a pas cette phrase, tu peux pas voir tout le... [03:15:03] Speaker B: Je pense que tu vois, il y a toujours un moyen de faire évoluer cette phrase là pour que ça aille à la personne et qu'en même temps tu gardes quand même le message. Le dernier morceau qui sortira de l'EP, c'est un texte où il y a en gros trois thèmes à tiroir. Il y a trois niveaux de lecture dans le truc. [03:15:18] Speaker D: « J'te meule » il s'appelle, c'est un truc qui a... [03:15:22] Speaker B: C'est suédois. [03:15:25] Speaker D: Il a dit « j'te meule ». [03:15:29] Speaker B: Bon bref, du coup, il y a trois niveaux de lecture et ça va être super. [03:15:33] Speaker C: Allez écouter de l'autre côté ! [03:15:35] Speaker B: Allez écouter de l'autre côté ! [03:15:37] Speaker C: Bon en fait, je vais plus en. [03:15:38] Speaker D: Parler, vous allez écouter tout ce que. [03:15:39] Speaker B: Vous en avez à foutre. [03:15:40] Speaker C: Non mais après, lui, il a fait la critique, pas pour que ça lui convienne à lui, mais pour que ça soit validé par tout le monde. Et que justement les critiques ne se portent pas uniquement sur éventuellement le côté adolescent des mots utilisés. [03:15:54] Speaker B: En fait à partir du moment où la critique elle est objective et que tu peux prendre du recul et te dire ok bon je comprends l'argument et que c'est pas juste parce que du moins qu'il n'y a pas marqué c'est de la merde c'est ok. S'il y a un argument derrière je peux l'entendre. [03:16:06] Speaker D: C'est de la merde parce que ça pue la merde. [03:16:10] Speaker B: Parce que toi t'es une merde. [03:16:12] Speaker C: Du coup j'ai un peu déprimé, j'ai bu pendant 8 jours et j'ai essayé de sauter depuis la première marche de mon palier. [03:16:18] Speaker D: Je vais écrire une chanson sur la dépression finalement. [03:16:21] Speaker C: On change tous les yes, ce sera sur moi. Non mais c'est vrai que c'est très très dur de parler d'un sujet global. En plus faut maîtriser quand même le truc. Donc voilà, bon, très bien ! Et donc vous allez sortir un clip pour chaque single qui sortira ? [03:16:37] Speaker B: Non, il y aura... Donc il y a eu un clip là, il y aura un clip pour le dernier. Et entre temps on va essayer de faire des trucs un peu différents parce que justement il y a ce truc où il faut occuper médiatiquement. Mais le problème c'est qu'un clip ça vaut la peau des couilles. Et ouais, c'est l'enfer. The skin of the bones. Et donc ouais, faut compter... [03:16:56] Speaker C: Pourquoi j'ai fermé les yeux ? J'ai vu deux couilles devant moi avec des petits points de poils. Bref, passons. [03:17:01] Speaker E: Et moi j'ai vu ce qu'il y avait dans ta tête. [03:17:05] Speaker C: C'est vraiment affreux. Il y a des traitements pour ça, pour arrêter d'avoir des devoirs. [03:17:10] Speaker D: La mort. [03:17:11] Speaker C: Ah bah je vais rester avec les images dans ma tête. C'est bien de vivre. Enfin, ce soit fait croire. [03:17:19] Speaker E: Quoi ? [03:17:19] Speaker D: Tu veux pas emménager dans l'immeuble de Gladys ? [03:17:22] Speaker C: Parce que tes voisins sont morts alors. [03:17:23] Speaker D: Du coup... Bah non mais ils ont. [03:17:25] Speaker E: Été remplacés là depuis. [03:17:27] Speaker C: Pour combien de temps ? Pour combien de temps ? [03:17:30] Speaker D: C'est ça la question. [03:17:31] Speaker E: Ils sont un peu plus jeunes. Il y a des gosses en plus maintenant. [03:17:35] Speaker C: L'accident est si vite arrivé. Ah c'est horrible, je suis désolé. Bah là là, les blagues horribles. Non c'est pas bien de faire ça. Je présente mes excuses. [03:17:41] Speaker D: En vrai... Oui je sais mais je. [03:17:42] Speaker C: Me tourne vers toi parce que j'ai besoin de regarder les gens. [03:17:45] Speaker E: En plus je les aimais bien mes petites voisines là. [03:17:48] Speaker C: Oui bah on va... ça devient glauque là. Ça devient super strange. Bon donc... C'est super, Barren, c'est bien. [03:17:57] Speaker D: C'est bien Barren. [03:17:57] Speaker C: Bon bref, je sais pas... Bon, Eulone, voilà, on va parler de ça après. [03:18:06] Speaker D: On va regarder le clip, on revient. C'est super. [03:18:10] Speaker C: On regarde Barren, donc c'est son groupe. La musique, le clip qu'il a, c'est à lui. Regardez, commentez et n'hésitez pas à mettre le groupe dans vos favoris, sur vos plateformes préférées, dont Spotify qui sont des enculés. Merci ! [03:19:30] Speaker A: Musique douce ... [03:25:06] Speaker D: C'est bon je l'ai dit avant que ce soit... [03:25:08] Speaker C: Mais du coup voilà, ça m'a perturbé moi, il y a encore une image ! On peut pas dire ce qui a été dit parce que là voilà... [03:25:13] Speaker D: Tu comprends maintenant ? Ah ouais, ça fait 20 ans que je le connais ! Ça je l'avais compris avant que tu l'y offres ! [03:25:20] Speaker C: Un bonbon. Comment ? Ça se mange deux par deux, excuse-moi. [03:25:31] Speaker D: Sacré saloperie. [03:25:33] Speaker C: School ! « School » de retour, « School » encore avec un nouveau clip, on en passe beaucoup dans l'émission. J'aime toujours, même s'il y a ce petit côté pop qui est venu peut-être s'immiscer dans l'introduction. Et cette voix me rappelle aussi une autre chanteuse des 90, j'en suis persuadé. Mais je n'arrive pas à retrouver qui. Voilà, donc si vous avez une petite idée, n'hésitez pas. Le Django, t'as toujours des idées, donc vas-y, lâche-nous ton truc. Enfin, ton commentaire, ne fais pas une pêche ou je ne sais quoi. [03:26:06] Speaker D: Je pense pas qu'il allait faire ça. [03:26:08] Speaker C: Le câble de tous les John Lennon ! [03:26:10] Speaker D: Oh my god ! [03:26:11] Speaker C: He's not kidding ! Je reviens directement donc sur Baren, le clip qu'on a vu juste avant. Moi j'ai trouvé ça très très bien. [03:26:19] Speaker B: Merci beaucoup. [03:26:20] Speaker C: C'est vrai que c'est différent. J'avoue que je trouve ça différent, c'est plus sombre effectivement, c'est plus lourd. [03:26:28] Speaker D: C'est pas très éclairé. Il y a des petites lumières qui clignotent, mais c'est quand même globalement assez froid. [03:26:33] Speaker B: Je me suis dit non éteignez les lumières, on n'en a pas besoin. Nous on est un groupe sans froid. [03:26:36] Speaker C: On est discret nous. Non mais j'ai trouvé ça très très bien. [03:26:40] Speaker B: Merci beaucoup. Le clip a été fait par Daniel Ouzon, je sais pas si vous le savez qui c'est, le chanteur de Huracan, groupe de discord français. Que tu as reçu dans Murmur. [03:26:49] Speaker D: Voilà exactement. [03:26:50] Speaker B: Exactement. [03:26:51] Speaker D: Parce qu'on peut aussi dire que du coup t'as ta chaîne YouTube. [03:26:54] Speaker B: Exactement. [03:26:55] Speaker D: Baccarède. Ouais. Tout court. [03:27:00] Speaker B: Il y en a pas beaucoup qui ont pris Idiot dans leur pseudo. [03:27:04] Speaker D: Et du coup t'as un format un peu podcast interview qui s'appelle Murmur. [03:27:10] Speaker B: Exactement, que j'ai pas fait depuis quelques mois parce que... [03:27:12] Speaker D: Mais il y en a un qui arrive bientôt. [03:27:15] Speaker B: Peut-être. [03:27:16] Speaker C: Avec nous ? [03:27:17] Speaker B: Non ? Si. [03:27:18] Speaker C: Comme vous voulez en tout cas. [03:27:20] Speaker D: T'aurais pas fait un avec un groupe de metalcore anglais ? [03:27:23] Speaker B: Ah mais c'est pas des murmures ça. [03:27:25] Speaker D: Je croyais que t'avais dit ça alors. [03:27:28] Speaker B: Non, murmure c'est une heure et demi minimum. On a fait une interview avec Architecte effectivement mais c'est pas vraiment mon format. Et ça va être super. [03:27:37] Speaker C: Oui parce qu'il y a aussi la plateforme que tu fais avec Flo et Azizo qui s'appelle Outkast. [03:27:43] Speaker B: Comme le groupe ? Il y a un groupe Outkast ? [03:27:47] Speaker C: Je sais pas. Ah si, moi je l'ai. [03:27:48] Speaker D: Bah si je l'ai en fait. Oh ils ont fait un petit tube. Ça s'écrit pas pareil parce que eux c'est avec un K mais sinon c'est... [03:27:55] Speaker B: Nous il y a un S à la fin. [03:27:57] Speaker D: Ah c'est Outkast. [03:27:59] Speaker B: Exactement. [03:27:59] Speaker D: Outkast. [03:28:01] Speaker C: Moi je le dis pas parce que comme toi Gladys, je ne sais pas parler anglais. [03:28:05] Speaker E: Si j'écris toutes mes paroles en anglais. [03:28:06] Speaker C: Après je suis là... Quelqu'un t'a dit que ça voulait rien dire ? [03:28:09] Speaker E: Non mais j'ai des potes qui parlent archi bien. [03:28:22] Speaker C: Anglais... C'était ce qui était dit hors antenne. Surtout n'hésite pas à le mettre plus près de ta bouche. Très bien. Tu n'as pas de label, tu n'as pas de tourneur. [03:28:34] Speaker B: Foul indépendant, ouais. [03:28:35] Speaker D: Foul indep. [03:28:37] Speaker B: Volonté forcée. [03:28:38] Speaker C: D'accord. Donc si jamais il y a un tourneur qui regarde et qui serait intéressé, avec pas un contrat qui vous prend pour des cons. [03:28:44] Speaker B: Bien sûr. [03:28:45] Speaker C: Ça peut vous intéresser. [03:28:46] Speaker B: Ouais, évidemment. En fait, vu qu'on est sur un lancement de projet, on n'a pas essayé d'aller toquer aux portes, etc. On s'est dit, on va sortir ce qu'on a à sortir et on verra à ce moment-là. On prouve un peu ce qu'on peut faire et on verra la suite. on fait tout en indé donc on y passe beaucoup de temps mais tu vois on envoie je sais pas une trentaine de mails par jour à des salles à des trucs pour faire des concerts alors je peux pas en dire plus pour l'instant il y a des concerts qui sont prévus on a notamment le Artificial Wave qui est un festival à Tours etc donc là les places sont déjà en vente mais on a d'autres concerts qui arrivent d'ici la fin de l'année et ça va être cool. [03:29:20] Speaker C: C'est un tremplin un petit peu aussi cette lettre là ? C'est aussi le groupe on va dire, d'amis et de gens qui t'entourent, ça. [03:29:28] Speaker B: Permet, non mais c'est bien. Ça s'est fait un peu sur un coup de cul en fait, j'ai rencontré Nico qui programme le Artificial Wave, on a discuté et il m'a dit bah moi je veux bien parier sur vous, let's go, et en fait j'ai vu la programmation qu'après, et en fait c'est que des potes, c'est que des gens avec qui j'ai déjà fait des concerts ou que je suis allé voir ou machin que je connais déjà, donc ça va être incroyable. Vraiment j'ai trop hâte. [03:29:50] Speaker E: Du coup moi j'ai une petite question par rapport à ça, parce que tu as dit que tu avais sorti un titre, donc tu en avais 4 autres qui allaient sortir. [03:29:56] Speaker B: 3 autres qui vont sortir et après on en a encore sous le pied. [03:29:59] Speaker E: Et du coup en concert vous allez jouer quoi ? [03:30:01] Speaker B: On joue l'EP dans son entièreté. [03:30:04] Speaker E: Des morceaux que les gens n'ont pas encore découvert du coup. [03:30:05] Speaker B: Ouais exactement. Et des singles du coup qui sortiront après l'EP. [03:30:09] Speaker E: Ok donc ça fait un set de ? [03:30:10] Speaker B: Ça fait une trentaine de minutes. [03:30:12] Speaker C: Ok. Ouais. [03:30:13] Speaker D: Après une ou deux petites reprises de. [03:30:15] Speaker C: Ronde de Roue par hasard. [03:30:18] Speaker E: Je les déteste. [03:30:20] Speaker D: J'ai été parti sur George Michael, mais... C'est à cause de la coupe de cheveux, forcément. [03:30:25] Speaker B: Je peux la changer si tu veux. [03:30:25] Speaker C: Elle tombe jamais ! [03:30:33] Speaker D: Je suis désolé, c'est juste parce que j'aurais essayé de le faire. [03:30:36] Speaker C: J'ai une image de ses cheveux qui tournent, donc... Enfin bref, passons. [03:30:40] Speaker D: Alors qu'on peut dire que c'est ses vrais cheveux. [03:30:43] Speaker C: On les a vus de vrai ? Vous êtes deux en avoir, mon Ben il en a mais il est cash et moi j'ai une casquette pour cash. [03:30:50] Speaker B: En fait que j'en ai pas donc... [03:30:51] Speaker E: Il est jaloux quand même, quand t'es jaloux ? [03:30:54] Speaker D: Qui ça ? Moi je suis jaloux ? Ah non non, j'ai encore rasé ce. [03:30:58] Speaker C: Patin donc... Ah non mais attends, lui il a un truc à lui, un. [03:31:01] Speaker E: Truc... [03:31:05] Speaker C: Bon, très bien. Donc un des 30 mails par jour quand même de démarchage. [03:31:09] Speaker B: Ouais, sur la période où on était vraiment au démarchage, c'était ça pendant 2-3 semaines. [03:31:13] Speaker D: Pendant au moins 3 jours. [03:31:16] Speaker E: C'est compliqué parce que tu t'appuies sur rien en fin de compte. Tu t'appuies sur pas grand chose parce qu'il n'y a qu'un truc qui est sorti, donc va t'en dans le sens où tu veux. [03:31:23] Speaker B: C'était même pas sorti quand on démarchait. [03:31:25] Speaker E: C'est d'autant plus compliqué. [03:31:26] Speaker C: Ce que je veux dire c'est que sur 30 mails t'as... probablement zéro réponse la plupart du temps. [03:31:31] Speaker B: Mais ce qui est drôle c'est qu'en fait on a arrosé tellement de festivals, de salles, de machins que avant même que Baron sorte la semaine dernière j'étais en stream je disais ouais restez connectés ça sort bientôt il y a un mec dans le chat qui me dit ouais je l'ai entendu parce que je suis programmateur dans telle salle du coup j'ai entendu ce que vous faites j'étais en mode ah ça a leaké déjà c'est gênant mais bon ça fait partie du truc et ouais c'est pas une volonté d'être full indé mais encore une fois pour l'instant c'est trop compliqué pour nous de se projeter Ouais et puis. [03:31:56] Speaker D: En fait le vrai problème du leak c'est si les gens le cherchent. [03:31:59] Speaker C: Ouais. [03:32:00] Speaker B: Mais là personne le cherche je pense. [03:32:01] Speaker D: Tout le monde s'en fout quoi. Bah non mais ils vous connaissent pas encore. Vaut mieux que ça leake maintenant que... [03:32:07] Speaker B: Mais je me dis vu que le peu de gens qui veulent l'écouter s'ils l'écoutent avant c'est con quoi. Mais bon de toute façon maintenant c'est sorti. [03:32:13] Speaker D: Ceux qui ont déjà envie de l'écouter ils écouteront aussi quand ça va sortir. [03:32:16] Speaker B: Ouais ouais c'est vrai. [03:32:19] Speaker D: Les premiers c'est les plus hardcore généralement. [03:32:22] Speaker B: Ils sont peut-être dans le chat là maintenant. [03:32:24] Speaker C: J'ai l'impression. [03:32:25] Speaker B: J'ai vu tout à l'heure les émotes là. [03:32:28] Speaker C: Il y a eu des commentaires positifs sur le titre aussi. [03:32:30] Speaker B: Merci beaucoup d'ailleurs, j'ai vu que c'est plutôt encourageant. [03:32:34] Speaker C: Voilà, je cherche mes mots à chaque fois parce qu'il commençait à être tard et je commençais un peu à m'endormir. En plus j'ai le nez qui recommence à couler. J'ai 100 balles qui viennent de partir. Ok, il va falloir que je les élimine dans un mouchoir que je garderai en collection, mais... Après je les remets au micro, je vais sécher, bon bref. Me regarde pas avec cette air-là, je parlais bien sûr de... De ta gueule. [03:32:58] Speaker E: Je t'aime. [03:32:58] Speaker C: J'aimerais pouvoir en dire autant. Embrasse-moi. Idiot. [03:33:05] Speaker D: Et en plus il m'insulte. [03:33:06] Speaker C: Bonsoir. Non mais est-ce que... Du coup, en termes d'objectifs, vous êtes à court terme là, juste dans... [03:33:17] Speaker D: On va aller sur un 24-70 en termes d'objectifs, un 2.8, et après je pense qu'ils vont essayer de passer sur un 70-200 histoire d'aller plus loin. [03:33:25] Speaker B: Toujours à 2.8, parce qu'ouverture constante c'est mieux. La blague de. [03:33:30] Speaker D: Ben qui fond de la vidéo, il y a eu un. [03:33:32] Speaker C: Rire de tes gosses derrière la panne. Marcel ça l'a fait rigoler. [03:33:37] Speaker D: Et donc le but, c'est une question que j'ai commencé à te poser off, mais le but là c'est de vous donner les moyens de pousser le projet au max. ou c'est faire quand vous avez le temps ? [03:33:54] Speaker B: Non, on essaie quand même de le faire au max qu'on peut. En fait, tu vois, le premier EP, on s'est dit, OK, qu'est-ce qu'on fait ? Est-ce qu'on fait un truc en indé ? Mon bassiste est un gesson. On s'est dit, est-ce que lui, il mixe le truc lui-même ? On sort, on voit comment ça répond, machin. On s'est dit, non, le but, c'est de se faire plaisir. On ne sait pas combien de temps ça va durer, ce projet. On ne sait pas si ça va prendre ou pas. On ne sait pas si on aura encore les finances dans six mois, un an et tout. Donc, on s'est fait mixer par Buster de Humanity's Last Breath, machin, qui était un gars qu'on admire tous. Et du coup, on s'est dit, tu sais quoi, on va tout de Bah oui, mais en même temps, on s'est dit on va bosser tout de suite avec le mec avec qui on a envie de bosser. Donc le but c'est de se faire plaisir, de sortir les trucs les mieux qu'on puisse faire, avec le max de capacité, de qualité et tout. Et puis on verra si ça prend ou pas quoi. [03:34:35] Speaker C: C'est intelligent. [03:34:36] Speaker B: Il n'y a pas d'objectif en fait. [03:34:37] Speaker C: C'est intelligent de ne pas avoir d'objectif. C'est compliqué de ne pas en avoir. [03:34:42] Speaker D: C'est intelligent de ne pas avoir d'objectif, je suis désolé mais pour filmer, on va y revenir. Le 24 septembre. Une caméra sans objectif. [03:34:49] Speaker C: T'as forcément un objectif, parce que je veux dire c'est... C'est bien de ne pas s'enflammer sur ce que tu veux voir. [03:34:55] Speaker B: Si t'as besoin de synonyme, n'hésite pas. [03:34:59] Speaker D: En anglais, seulement. [03:35:06] Speaker C: Vous loupez les visages. [03:35:07] Speaker D: Elle a dit ce qui est important c'est d'avoir la gaule. [03:35:22] Speaker C: C'est à noter, il faut absolument suivre. C'est super simple à écrire. C'est vrai que c'est quand même pratique. C'est déjà sur tout le monde, Instagram en tout cas, c'est sûr. Vous avez donc votre page YouTube, donc ça on peut vous rejoindre partout. En description sur la VOD, il y aura bien sûr tous les liens qu'il faut. [03:35:39] Speaker B: Et il y a plein de trucs qui vont sortir dans les prochaines semaines parce qu'on essaye d'alimenter ce que je disais avec de la com régulière. Donc il y aura globalement un contenu toutes les deux semaines pour les six prochains mois. [03:35:48] Speaker C: Ah oui, ça fait quand même... Ça fait pas quatre chansons ça ? [03:35:51] Speaker B: Quatre chansons mais il y a d'autres trucs entre les deux, il va y avoir des live sessions, des tutos cuisine. [03:35:58] Speaker C: Dans l'obscurité avec des choses assez difficiles à manger. [03:36:01] Speaker B: C'est un concept, si t'arrives à cuisiner avec des strombos, c'est plutôt pas mal. [03:36:07] Speaker C: Est-ce que ça a déjà été fait ? Oh putain, on va nous voler l'idée. On connaît un qui l'a déjà fait. Bon, en tout cas merci beaucoup d'être venu, j'espère que t'as passé un bon moment. Alors on va pouvoir continuer à manger. [03:36:21] Speaker B: On pourra aller se taper les éclairs au chocolat. Merci beaucoup pour l'invite, vraiment ça m'a fait très plaisir de venir. Et donnez sur le Patreon bien sûr, et faites des dons pour soutenir SLS. [03:36:31] Speaker D: Et n'hésitez pas à suivre cette personne sur tous ses réseaux. Tout sera dans la description, on vous met tout. Et pour le groupe aussi bien sûr. [03:36:39] Speaker C: Il faut suivre, il faut soutenir la scène locale comme on l'a dit, aller au concert, achetez vos places en avance, n'attendez pas le dernier jour, je sais que c'est des fois compliqué, on n'est pas organisé mais quand même c'est comme ça qu'on soutient la scène et puis le suivre c'est important aussi parce que ça donne un retour, commentez, mettez des phrases correctes, ne soyez, déjà parler correctement français ce serait pas mal. [03:37:00] Speaker B: Et le saviez-vous sur Instagram pour qu'un commentaire soit pris dans le référencement c'est plus de 6 mots donc les émojis ça compte pas. [03:37:07] Speaker D: Avant c'était à partir de trois émojis donc ça a changé. [03:37:09] Speaker B: Normalement c'est six mots pour avoir une phrase construite. [03:37:12] Speaker C: Il est beau ce chanteur, ça passe pas. [03:37:23] Speaker B: Non. Faut rajouter les émojis. [03:37:24] Speaker C: Baccarède. [03:37:25] Speaker D: Il est beau ce chanteur Baccarède. En deux mots. [03:37:26] Speaker C: Tu coupes tout. Cette phrase ne veut rien dire à la base. Mais si, s'il y a plusieurs mots, c'est bien un menteur. Bravo en tout cas. Mes meilleurs voeux de réussite et de plaisir surtout. Voilà, kiffe, bien. Et fais nous rêver parce que moi j'ai toujours rêvé d'avoir un groupe mais comme je ne sais rien faire et que je suis une peignasse. [03:37:45] Speaker B: Ben tu peux pas être chanteur du coup. [03:37:47] Speaker C: Non, ça marche pas non plus. Je chante dans le studio pour le plus grand plaisir de Ben. [03:37:55] Speaker D: Il chantait quand il venait avant parce. [03:37:57] Speaker C: Que maintenant il vient plus. Je viens trop tard. [03:38:02] Speaker D: Tu viens plus. [03:38:03] Speaker C: C'est vrai que des fois je viens pas. [03:38:05] Speaker E: Il vient plus aux soirées. [03:38:06] Speaker C: Il vient plus aux soirées. [03:38:07] Speaker B: Soirée karaoké. [03:38:09] Speaker C: Ça vous dit qu'on fasse un karaoké tout seul ? [03:38:11] Speaker B: Avec la voix que j'ai ? [03:38:12] Speaker C: Non pas là ce soir. [03:38:15] Speaker D: Non mais on a envie de faire. [03:38:17] Speaker C: Un karaoké d'équipe avec des gens qui font partie d'entre eux. [03:38:19] Speaker D: On se met la grosse télé, micro. [03:38:22] Speaker E: Et... Vas-y je te fais Céline. Direct Céline. [03:38:25] Speaker D: Bah go. [03:38:26] Speaker C: Moi je serai garou. [03:38:28] Speaker E: Oh oui, on va faire soulever ensemble. [03:38:29] Speaker C: Ah bah, je vais te dire j'en lâcherai 2-3. La grand-voile va s'en prendre plein. Faudra la laver directement après parce que bon, le sable va voler. Bon, merci beaucoup Gladys pour ce merveilleux moment, tu as été merveilleuse. Tu as très très bien défendu les deux morceaux que tu avais à défendre, je te félicite. Et je te jalouse de toutes ces paillettes aux yeux. J'espère que notre ami... j'allais dire Maurice... Marcel ! Notre ami Marcel fera des zooms sur tes yeux. Voilà. [03:39:05] Speaker E: Boule à facettes. [03:39:07] Speaker D: Boule à feu, comme on l'appelle dans le milieu. [03:39:10] Speaker C: Le boule en feu, ok. Merci beaucoup Ben ! [03:39:15] Speaker D: Ah bah de rien ! [03:39:16] Speaker C: Tu es formidable ! Merci Marcel ! [03:39:19] Speaker E: Et merci Pierre ! [03:39:20] Speaker D: Ah oui c'est vrai on t'a pas remercié ! [03:39:23] Speaker C: On se demande pourquoi ! Dans tous les cas, n'hésitez pas encore une fois à parler juste de ce que vous aimez autour de vous, pas forcément de nous, parce que si vous nous aimez pas ça sert à rien ! C'est gentil mais bon voilà ! Ou si vous vous mettez des insultes c'est 6 mots ! [03:39:38] Speaker B: Des noms insuffisants ! [03:39:39] Speaker D: Fils de pute ! [03:39:41] Speaker C: Mange ta merde ! Voilà, ça, ça marche ! Merci beaucoup d'avoir été là en direct, merci beaucoup de suivre la VOD, de vous être abonné beaucoup à la page Youtube. On a vu que depuis l'émission de la semaine dernière, il y a eu un petit mouvement, donc ça fait quand même très très plaisir de vos mots très gentils, de vos encouragements. Je remercie encore une fois, alors attends, je devais dire merci à, j'ai noté son nom, à Elie, entre crochets 23, qui m'a offert un petit bracelet, parce que quand elle fait des concerts, elle est à Chargottes, elle a fait un bracelet Chargottes, voilà, donc allez voir sur son compte, on mettra ça aussi en lien sur la VOD, ce sera beaucoup plus simple, parce qu'elle est très très gentille, on a beaucoup parlé, merci à toutes les personnes qui nous arrêtent aussi dans la rue pour nous parler de notre contenu, essayer de comprendre certaines choses et d'être aussi ouvert et agréable, donc c'est juste du plaisir, voilà. C'est ça qui fait que c'est quand même cool internet. C'est le plaisir avant tout. Même s'il y a des insultes, des fois elles nous font plaisir. Quand elles font plus de 6 mots. Bravo à vous, bon courage pour demain matin, c'est lundi c'est chiant mais on va vite arriver à dimanche, ne vous inquiétez pas. Et puis de toute façon vous avez demain la VOD des news si vous êtes arrivés trop tard à 17h30 et pour ceux qui ont l'abonnement Patreon ultime, le gangbang, et bien vous aurez l'émission avec ses clips dans son intégralité. Merci à toutes les personnes qui se sont abonnées au Patreon. [03:41:05] Speaker D: Et le podcast aussi disponible dès demain sur le Patreon. [03:41:07] Speaker C: C'est vrai, aussi. pour plus de... Je me souviens plus des noms des... [03:41:13] Speaker D: C'est pas grave, c'est pas grave. Les gens... Toute l'info est sur le Patreon. [03:41:16] Speaker C: Vive le rock, vive le métal, vivez-vous évidemment, puisque c'est grâce à vous que ça existe et... C'est tout. Je crois que c'est tout. Des bisous ! Au revoir ! Attendez, attendez ! J'ai pas dit le nom de la chanson ! C'est Hell4Ride et ça a été choisi par... Je ne sais plus ! Je ne l'ai pas noté parce que je suis un peu une grougnasse, mais le titre c'est NGAUNS, c'est une personne qui a demandé aussi sur le Patreon voilà, au niveau... Oui bon on s'en. [03:41:45] Speaker D: Fout Pierre, c'est pas très bon à expliquer. Non, ça t'explique très mal et on perd du temps. [03:41:50] Speaker C: Les gens veulent se coucher là ! [03:41:52] Speaker D: Ah non on peut continuer à parler ! Ah oui on peut faire ça ! Mais les gens ils veulent regarder le clip ! Et le clip s'y part pas ! Comment ils font pour le regarder ? Je sais pas moi ! Mais je peux continuer à meubler mais. [03:42:05] Speaker A: La blague marche contre moi ! C'est parti ! [03:46:57] Speaker D: Un pour le caillou. Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir. [03:47:21] Speaker E: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. [03:47:30] Speaker C: N'hésitez pas à vous abonner.

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