#37 - SHAÂRGHOT en invités

[00:00:00] Speaker A: Retrouvez toutes les émissions en podcast sur breastless.com. [00:00:20] Speaker B: Bang ! [00:00:20] Speaker C: Bang ! Et oui ! [00:00:22] Speaker B: Bonsoir Ben ! [00:00:24] Speaker D: Bonsoir Pierre ! [00:00:24] Speaker B: Et oui, bonsoir à tous les bangers aussi ! Vous êtes nombreux et nombreux à nous rejoindre chaque semaine et je vous remercie, c'est comme ça de tout ! Les dimanches, le meilleur de l'alternative rock et du métal en live Twitch, c'est uniquement et seulement ici, sur SLS Radio et dans Bang Bang ! Si vous avez envie de voir les replays, je le dis dès le début, il y a notre page YouTube, vous pouvez vous y abonner, c'est gratuit, il y a plein de vidéos, il va y avoir plein de surprises, vous tapez dans le shmul tout simplement, le point d'exclamation bang, il me semble, une seule fois, et vous aurez l'adresse. N'hésitez pas à la partager, n'hésitez pas à inviter vos amis à la rejoindre, ça nous ferait bien plaisir. Ce soir, évidemment, nous sommes accompagnés de notre fidèle ami. Alors c'est un humain, je vous rassure. [00:01:07] Speaker D: Je ne suis pas un chien. [00:01:09] Speaker B: Le meuble, c'est quand même plus classe de dire meuble, c'est amusant. Bon, chien, ça serait peut-être un peu vulgaire. [00:01:14] Speaker E: Parce que les meubles et les chiens, ça fait bon ménage parfois dans certains contextes que nous ne détaillerons pas. [00:01:19] Speaker B: Bonsoir Enjoy. Bonsoir. Sur ce, bonsoir. Bon, ce soir, tu vas nous accompagner, mais ce soir, vous le savez tous les deux, on a des invités. Et j'avoue que c'est une musique que je ne connais pas forcément plus que cela. C'est un groupe qu'on va apprendre à découvrir peut-être ensemble ce soir. C'est Chargotte, des Français, des Parisiens qui font de l'induce. J'en connais deux. C'est les deux invités qu'on a ce soir. Je les connais plutôt bien. Mais c'est vrai, je connais plus les gens que leur musique. [00:01:48] Speaker D: Et heureusement qu'il y a l'induce, Pierre. [00:01:49] Speaker B: Merci, merci beaucoup. Nous aurons bien sûr des jeux à vous annoncer, des jeux pour gagner des places de concert. On aura également une petite partie news. [00:02:04] Speaker D: Par rapport à ces concerts, est-ce que ça nous permettra de connaître tout sur toi ? [00:02:09] Speaker B: Like everything about you. C'est une possibilité. [00:02:12] Speaker D: Ah d'accord. [00:02:13] Speaker B: Voilà. Ou alors peut-être d'être un chat, bon on va arrêter. Mais Ah c'est Powo ? Ma vouloir d'être chat... Quand j'étais petit je l'aimais vraiment cette chanson. [00:02:24] Speaker E: Et Dimitri, c'est vous ? [00:02:25] Speaker D: Bah moi aussi on l'a tous aimé. [00:02:29] Speaker B: J'aimais bien aussi ça à la télé. La chanson, je la connaissais pas en entier. Je pensais, j'étais persuadé que c'était pour la télé. Le groupe Chargotte qui a donc sorti son troisième album, c'était donc en fin d'année dernière et je suis content, vraiment je suis très content de les recevoir et on va tenter un truc, il va y avoir une petite section news, j'ai essayé d'écrire des news, je ne prouvais pas comment ça se passait. Ce sera l'occasion pour vous, dans le ch'meule bien évidemment, de dire vos commentaires, ce que vous pensez de cette information, si elle vous emmerde ou si elle est bonne, ou si vous avez une critique positive ou négative, ça vous êtes libre de dire ce que vous voulez du moins. Ou un bon mot, on peut le dire. [00:03:10] Speaker D: Les bons mots sont bienvenus. [00:03:11] Speaker B: Et pour ceux qui regarderont tout simplement sur Youtube, vous pourrez laisser des commentaires, comme ça on pourra réagir avec vous. [00:03:16] Speaker E: Vous pourrez nous insulter si on oublie de parler de quelque chose par exemple. [00:03:21] Speaker B: J'ai forcément oublié des choses et surtout j'ai sélectionné ce qui m'intéressait. Ah bah ça va être sélectif. [00:03:27] Speaker C: A plus ! [00:03:28] Speaker D: Je suis impatient. [00:03:30] Speaker B: Enfin c'est des news métal. J'ai pas fait notre sélection. J'ai pas pris mon magazine têtu habituel. [00:03:37] Speaker D: On parle pas de Kim Petras du coup. [00:03:39] Speaker B: Alors tu peux. Alors attention parce que quand je vais faire les news, vous êtes libre de donner les vôtres. [00:03:43] Speaker D: Moi j'en ai pas, j'ai pas préparé moi. Moi je fais pas mon travail. [00:03:46] Speaker B: Non mais Kim Petras tu peux en parler. [00:03:48] Speaker D: Bah ouais mais j'ai pas vraiment préparé quoi que ce soit. Juste je sais qu'elle sort un nouvel album, Slut Miami, Pop Slut Miami. Bon et ça on peut déjà dire que c'est un tube. [00:03:58] Speaker B: On adore Kim Pétrasse de toute façon. On était à des concerts aussi, on vous en parlera des concerts qu'on a. [00:04:05] Speaker D: Eu parce qu'il y en a eu. [00:04:06] Speaker B: Deux majeurs cette semaine sur Paris. C'est deux là ! C'est deux majeurs, effectivement, merde pourquoi j'ai dit ça. Mais voilà, on en discutera. Enjoy The Noise était au premier, Ben était au second. [00:04:19] Speaker D: Et toi t'as fait les deux. [00:04:20] Speaker B: Moi j'ai fait les deux. Toi t'as fait la double. Moi j'ai fait la double, un peu d'une façon bizarre mais bon. [00:04:25] Speaker D: Sobre. [00:04:25] Speaker B: C'est sûr qu'elle est bizarre. C'est vrai que j'ai pas pensé à ça au début mais c'est vrai que j'ai fait deux concerts sobres. [00:04:30] Speaker D: Et alors c'est plus ou moins chiant ? On en parlera tout à l'heure. [00:04:33] Speaker B: On en parlera tout à l'heure mais c'est vrai que c'est différent. Je vis un peu moins le truc. Mais par contre je prends plein de vidéos, je pense que je fais chier tous les gens qui sont autour de moi. Non, alors c'est vrai que j'ai envie de parler de moi parce que vous savez que je suis très égocentré. Je me suis fait opérer des dents de sagesse lundi. Ben, il a été adorable parce qu'il me demandait des nouvelles mais une à deux fois par jour. Bon, en espérant que ça tourne mal. [00:04:55] Speaker D: Et malheureusement, il a encore mangé. [00:04:56] Speaker B: J'arrive à parler et j'arrive à manger des nuggets et des petits pois. C'est plutôt pas mal. [00:05:01] Speaker E: Pendant ce temps, Ben, carambar encore raté. [00:05:05] Speaker B: Putain, il va falloir trouver quelqu'un pour les péter les autres dents ! Mais quatre d'un coup, c'était quand même... [00:05:10] Speaker D: Non, après pour les dents, à la base, je te faisais confiance parce que tu les détruis assez bien toi-même. [00:05:15] Speaker B: Alors non, je les enlève pas, je les lime. [00:05:16] Speaker D: Oui, voilà, c'est la destruction quand même. [00:05:19] Speaker B: C'est vrai qu'au bout d'un moment, ça doit disparaître. [00:05:20] Speaker E: C'est plus lent, c'est plus naturel. [00:05:21] Speaker B: Non, mais la dentiste, elle a dit quand même à mon dentiste, enfin la dentiste, la stomatologue, elle a dit à mon dentiste qu'elle me trouvait plutôt beau gosse. Après, elle lui a dit pourquoi tu sors pas avec lui ? Bon, c'est quand même compliqué après. [00:05:30] Speaker D: Ouais. [00:05:30] Speaker B: Ouais. [00:05:31] Speaker D: Ouais. [00:05:31] Speaker B: C'est une info. Bon allez, on va lancer la musique. N'hésitez pas à nous dire ce que vous avez vécu cette semaine. Si vous avez eu un événement heureux, eh bien on veut bien le partager avec vous parce que c'est toujours sympa. Et puis que même s'il y a un truc malheureux, comme ça on peut peut-être vous remonter le moral. On est là pour ça, pour s'amuser, pour la musique, pour le métal. Je propose d'ouvrir avec Hunter Shikari. On en parlera tout à l'heure. [00:05:53] Speaker E: C'est pas du tout innocent, non. [00:05:55] Speaker B: On en parlera tout à l'heure, donc on va pas se lancer dans la description. Mais j'ai choisi le titre Snake Pit parce que j'avoue qu'au moment où ils l'ont joué, j'ai fait... Oh ouais, c'est vrai que ce titre, il existe. Et bref, des frissons. Après, je ressemblais à Hamster. J'étais Hamtaro à un concert d'électrométal. Franchement, c'était quelque chose. J'avais des petites lumières sur le coin des yeux. J'aime bien parce qu'il y a plein de gens qui m'ont dit « On t'a vu en haut, t'avais pas l'air à l'aise ». J'étais un peu agrippé au truc en me disant « Il est bien le concert ». On y va ? C'est parti les bangers ! Oui, c'était le lancement. [00:08:21] Speaker C: We're nice guys ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Like a thug ! I missed the test today I won't be your fucking slave The salivation's at the door I won't invade my brain Maybe if I try to drown them. [00:10:14] Speaker F: It'll make the anguish go away. [00:10:22] Speaker C: C'est la vie que vous vivez, c'est ce que vous voyez ! Réfléchissez ! Il n'y a pas de temps pour des erreurs ! C'est la guerre ! Réfléchissez ! C'est inévitable. Alors souffrez, vous le savez ! C'est ce qu'il va se passer ! C'est inévitable. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'arrive ! J'arrive ! J'arrive ! We are invincible So suffer, you'll pay it now It's gonna be straightened out Chase all feelings They are buried in you Make a way out through your soul To be invincible To be invincible. [00:12:41] Speaker B: Dans les nouveautés Restless et Bang Bang, dans le meilleur du métal, il y a aussi des groupes délicieux comme celui-ci, comme ce groupe français qui s'appelle R.E.V.N.O.I.R. R.E.V.N.O.I.R. tout simplement. Je pense que là, au niveau international, ça peut vraiment très, très bien marcher pour eux parce que ce morceau, il est excellentissime. Il s'appelle Invincible. Je ne sais pas ce que vous en avez pensé, messieurs. [00:13:00] Speaker D: Oui, très bien. C'est pas trop ce que j'écoute, mais j'ai trouvé ça super bien fait. [00:13:05] Speaker B: Ah ouais, c'est super bien produit. Alors le clip est nul à chier. [00:13:08] Speaker D: Bah c'est... Oui, le clip c'est un visualizer. [00:13:11] Speaker B: Ah bah non, c'est un vrai clip, c'est marqué Official Video. D'accord, oui, parce que comme on voit. [00:13:16] Speaker E: Pas le groupe, comme il n'y a pas de scénario apparence, pour ça je... [00:13:18] Speaker B: Je pense qu'ils sortent peut-être un petit peu sur le truc à la Slipknot, tu vois. [00:13:21] Speaker E: Oui, oui, c'est vrai. [00:13:23] Speaker D: Même dans la sonorité, c'est très peu. [00:13:26] Speaker E: C'Est très moderne, c'est du metalcore, tout. [00:13:28] Speaker B: Ce qu'il y a de plus... Après je pense que c'est plus facile à digérer que Slipknot. [00:13:33] Speaker F: Non ? [00:13:33] Speaker D: Bah c'est moins prog que Sleep Token je pense. [00:13:35] Speaker E: C'est moins prog... Moi j'aime bien Sleep Token mais ce que j'aime bien justement c'est le côté... Vous me connaissez justement le côté prog de Sleep Token donc c'est pour ça que Sleep Token me parle un petit peu plus que Rêve Noir par exemple. [00:13:47] Speaker D: Moi je dis il faut voir plus de chansons mais bon c'est bien en tout cas je pense que en termes de prod et tout ça fait pas. [00:13:53] Speaker B: Cheap du tout quoi. Ah ouais non non non, c'est YouTube. D'ailleurs j'avais même pas capté que c'était Rêve Noir au début, j'avoue que j'avais des clips qui tournaient et je suis tombé là-dessus, j'ai fait oh c'est bon ça ? Et puis j'ai fait Amélie, bravo monsieur, bravo peut-être mesdames. [00:14:04] Speaker D: Bonjour la France, coq orico ! [00:14:05] Speaker B: Je sais pas encore, j'ai pas fait attention à qui était dans le groupe alors c'est probablement des anciens de Merge si j'ai bien lu dans le ch'meul, c'est cela. C'est cela oui. C'est cela oui. En tout cas, bravo à eux. On les félicite. [00:14:19] Speaker E: Ça sonne bien, ça va très bien. Je pense que ça a au gros potentiel de s'exporter. C'est bien dans les canons de la puissance de feu du milieu actuel. [00:14:30] Speaker B: Voilà, je pense. Messieurs, dames, eh bien oui, bienvenue dans cette nouvelle rubrique. J'ai envie de la lancer comme ça. Mon petit Ben, mon petit Enjoy The Noise, les news de Bang Bang. Oh là là, Tinov, comme ça tu nous surprends. Alors j'avoue que je vais lire un peu parce que je ne suis pas encore à l'aise avec la situation vidéo, etc. Tu sais quoi ? [00:14:52] Speaker D: On est entre nous. Ici, c'est la bienveillance. [00:14:56] Speaker B: En vérité, oui ! Bah oui ! C'est vrai, de vrai ! [00:14:59] Speaker D: Je ne ferai pas de blague, Pierre, pour te rabaisser. [00:15:02] Speaker B: Tu peux, vous pouvez, en tout cas ! [00:15:04] Speaker D: Ah bah je vais en faire ! C'est obligé ! [00:15:06] Speaker B: Ce que je vais donner comme news, c'est là aussi pour réagir, vous avez le droit de me couper pour dire « non mais attends, ça c'est quoi ? », etc. D'accord. C'est pas tout, mais voilà. [00:15:13] Speaker D: Merci pour la notice. [00:15:15] Speaker E: Allez-y notre Claire Chazalabou ! [00:15:16] Speaker B: Non mais vous aussi encore une fois dans le chemin le pourcent direct et en commentaire pour ceux qui regarderont ça sur YouTube. On va commencer avec Kill Switch Engage voilà qui sont en studio. Oui oui, les Kill Switch Engage à 2600 ans, on continue à faire de la musique. Alors ils sont en train d'enregistrer les voix. Alors le chanteur il s'appelle Leitch déjà bon je ne savais pas. [00:15:32] Speaker E: Jesse Leitch ouais. [00:15:33] Speaker B: Ouais bah du coup je l'appelais Leitchi moi ça m'a fait rire parce que j'ai beaucoup d'humour. J'ai un peu honte, j'avoue. Mais voilà, il a enregistré ses voix, c'est pas totalement terminé, mais en fait, pourquoi ils annoncent ça ? C'est parce qu'il dit « J'ai changé totalement de style, les fans de la première vont être super déçus, ils vont être surpris, c'est vraiment un virage absolu dans la vie de Killswitch Engage, je suis devenu drama. » Et là j'ai fait « What ? Oh my god ! » C'est exactement ce que j'ai eu en tête ! [00:16:01] Speaker E: Du coup, ça va peut-être devenir du slip token ? [00:16:04] Speaker B: Non mais voilà, il dit « J'ai décidé de parler un peu plus sincèrement » Bon, j'avoue que j'ai jamais fait gaffe aux paroles de Killswitch Engage Bon, après le mec il dit « J'ai travaillé ma voix, etc. mais je vais continuer à grogner, à grogner, à crier » Bon, en fait, je pense que c'est plus un effet d'annonce Pour dire « On existe encore ! » Pour dire « On a presque fini, voilà » Voilà, alors non, parce que du coup c'est le chanteur qui a annoncé ça et tu vois que le groupe n'est pas du tout lié C'est un peu comme quand je travaille et que je fais des trucs et d'un coup tu dis « Bah Pierre, tu m'avais pas dit qu'on avait fait ça ? » Tu vois, bah là, Kyle Suchengage a priori fonctionne comme ça aussi ! Parce que les mecs du groupe ont répondu derrière ! [00:16:38] Speaker D: C'est ça d'avoir un leader charismatique ! [00:16:41] Speaker B: Et les mecs du groupe d'ailleurs ont répondu « Oui enfin calmez-vous parce que l'album il est pas prêt de sortir donc peut-être que ça vous excite mais faut y aller mollo quoi ». [00:16:49] Speaker D: Il était un petit peu motivé, il était un petit peu excité. Après c'est le problème des réseaux sociaux disponibles à tout le monde. Vraiment ça c'est... Des gens ils posent des dambes dégueulasses et d'autres voilà... D'autres. [00:17:01] Speaker E: Ils sont un peu chauds, ils annoncent. [00:17:02] Speaker B: Des albums, voilà... Chacun ses problèmes. Non mais c'est cool, je suis content qu'ils soutiennent Gage, en tout cas ils reviennent. Ce sera sûrement pour la fin de l'année, s'il a déjà enregistré ses voix et que les instrus sont enregistrées aussi. J'imagine que du mastering, ça prend combien de temps environ ? Ça prend 6 mois ? [00:17:17] Speaker D: Il y a le mix avant. [00:17:18] Speaker B: Je n'y connais rien, j'avoue. [00:17:22] Speaker E: Tu balances ça dans une IA et puis voilà. [00:17:24] Speaker B: Il a toujours la solution, ce petit enjoy the noise. [00:17:28] Speaker D: Maintenant, je vais me suicider. Ça dépend s'ils refont des arrangements ou pas par-dessus, tu sais, des fois tu fais les instruments, tu fais les voix. [00:17:36] Speaker B: Et puis après tu fais « Ah. [00:17:37] Speaker D: Il faudrait rajouter des petits trucs à droite à gauche », et puis après tu mixes, et puis après tu fais. [00:17:41] Speaker C: « Ah, là il faudrait refaire... ». [00:17:42] Speaker D: Ça dépend du budget qu'ils ont aussi. Du coup sûrement pas beaucoup. [00:17:46] Speaker B: C'est ce que j'allais dire. Sinon, Apocalyptica ! [00:17:51] Speaker D: Un de mes groupes préférés. [00:17:53] Speaker B: Non mais Apocalyptica, qu'on avait bien connu à l'époque de... Ah bah on les. [00:17:56] Speaker D: A bien connus ! [00:17:56] Speaker B: Parce qu'on les a fait jouer en concert privé. Et qui sont adorables, les deux petites blondes, on les aime beaucoup. Non mais c'est parce qu'ils sont finlandais, c'est ça ? Tu parles de Dave Mustaine ? Non, Dave Mustaine, il est roux, non ? Il est blanc-vénitien, pardon, excuse-moi. Ouais, il est roux-vénitien, t'as dit ! Il est roux-vénitien ! Alors que là-bas, y'a que des bateaux ! Sachez qu'ils reviennent avec un nouvel album. J'avais l'impression que vous les avez perdus mais c'est un album qui sort le 12 avril. Il s'appelle The Black. Il sort le 7 juin, c'était l'info d'après ça. Il sort le 7 juin et c'est un album de reprise. [00:18:42] Speaker D: Mais c'est pas déjà comme ça qu'ils se sont fait connaître ? [00:18:45] Speaker B: Comme c'est surprenant de leur part, oui. Et devinez de qui cet album ? [00:18:48] Speaker D: Ah bah de Metallica ! [00:18:49] Speaker B: Bah bingo ! [00:18:52] Speaker E: Mais j'allais dire, ils l'ont pas déjà fait ça en plus ? [00:18:55] Speaker B: En 1996 ! C'était le premier album d'Apocalyptica. [00:18:58] Speaker D: C'est comme ça qu'ils se sont fait connaître. Mais c'est là où c'est génial, c'est comme si Alain Alphard se disait « Ah tiens, on va refaire une reprise de Michael Jackson ! [00:19:05] Speaker B: » Bah ils l'ont fait ! Non mais c'est quand même, alors je sais pas, y'a sûrement des gens qui sont très heureux, mais je trouve ça un peu triste, t'sais ils ont sorti quand même pas mal d'albums avec plein de featurings etc, des trucs qui étaient bons, des trucs moins bons, enfin normal, pour un groupe ça c'est classique. Je pense que là ils sont à bout de souffle en mode, ouais nous faut peut-être un peu des sous, puis bon bah les trucs avec les feats, bon bah c'est vrai que ça s'est un peu essoufflé. [00:19:27] Speaker D: Après je suis pas sûr qu'ils fassent maximum de sous sur un truc de reprise parce que du coup ils touchent pas les droits, enfin ils touchent que. [00:19:33] Speaker B: Les droits d'un artiste. Ouais mais peut-être que ça fait remonter la fame un peu, je sais pas. Après peut-être qu'ils ont pas calculé, qu'ils se sont dit c'est cool. [00:19:38] Speaker D: Peut-être que ça remplit juste des concerts aussi. [00:19:40] Speaker B: Peut-être aussi. Oui, donc il y a une histoire un petit peu de cuphead quand même. [00:19:44] Speaker D: Bah, sûrement. [00:19:45] Speaker B: Bon, c'est pas grave, en tout cas on les aime beaucoup. [00:19:47] Speaker D: Si les gens faisaient de la musique pour le plaisir, ça se saurait. Si les gens faisaient des reprises de. [00:19:51] Speaker E: Metallica pour le plaisir, ça se saurait. [00:19:54] Speaker B: Si Metallica faisait... Pour notre petit Marcel, notre monteur vidéo qui est là, qui s'appelle Moonlight sur le ch'meule, on lui fait des bisous. Donc Imminence, c'est Imminence dont je voulais parler. [00:20:06] Speaker D: Il est fan, il m'en a parlé cette semaine encore. [00:20:08] Speaker B: Je sais qu'il est fan. [00:20:09] Speaker D: Il m'a dit, ah bah, ils vont jouer, ils sortent un nouvel album, ils font une tournée. [00:20:14] Speaker B: Exactement, c'est ce que j'allais dire. Je pensais à lui, je me suis dit moi je m'en fous mais on va le mettre parce qu'il y a sûrement beaucoup de fans. Imminence donc qui sortent un nouvel album qui s'appelle The Black, ça sort le 12 avril. Ils seront en concert du côté de Paris le 11 octobre et à Lyon le 13. C'est Architects avec du violon. [00:20:30] Speaker E: C'est Architects meets Yellowcard, c'est ça ? [00:20:34] Speaker D: Ouais, non, vraiment Architects avec du violon. [00:20:37] Speaker B: Il n'y a pas le côté... Yellowcard, le violon, des fois, on aimerait bien qu'il ne soit pas là. Oui, mais il y a... C'est hyper intéressant comme concept, il y a des très bonnes choses. [00:20:46] Speaker D: Yellowcard, il y a un côté un peu classe. Pas plus que dans EMI, non. Non, mais c'est pas mal. Il y a une pub qui tourne beaucoup sur Instagram en ce moment. Avec un passage bien vénère, je n'ai pas osé écouter grâce à la chanson. [00:21:02] Speaker B: Parce que je me suis dit, ça va me faire une batte de même bis. Je crois bien qu'Iminence, ça va. Ça t'atteint un peu plus. [00:21:10] Speaker D: Comme Architects. Donc c'est à moitié, moitié quoi. [00:21:14] Speaker B: Oui, il y a des passages très clairs. [00:21:15] Speaker D: Voilà, très très clairs. Très très très clairs. [00:21:18] Speaker B: Soyons clairs, c'est très très clairs. [00:21:19] Speaker D: On voit qu'ils sont pseudo. [00:21:21] Speaker B: J'en ai parlé à notre ami André Noize quand je préparais des news et donc il m'a dit, ah oui il y a ça, il y a ça, t'étais au taquet sur justement les news autour d'Alceste. Alceste ! De Alceste ! Et on pourrait les recevoir Alceste ! Ils sont déjà venus ici ! Ils sortent un album le 21 juin ! Ah dis donc les mecs, on va sortir un album ! Pour la fête de la musique ! J'imagine un orchestre. [00:21:46] Speaker D: Ce n'est pas trop le mood de Alceste. [00:21:49] Speaker B: Evidemment, ce n'est pas le mood d'Alceste. Donc, ils ont un album qui est le septième. Par contre, je croyais que c'était... Si, si. [00:21:55] Speaker D: En fait, ils sont très productifs, Alceste. [00:21:57] Speaker E: Ça tombe très bien, Alceste. Très productif. Leur dernier album datait de 2019, il me semble, mais ça tourne bien. [00:22:03] Speaker B: Il y a eu un poil au milieu. Il y a eu Covid au milieu. [00:22:06] Speaker E: Et puis après, ça... Ils ont fait aussi pas mal de concerts anniversaires ces dernières années, et puis ça continue de bien tourner en France comme à l'étranger, surtout à l'étranger d'ailleurs. [00:22:15] Speaker B: Alceste, ça... Vive les groupes français ! Il y a plein de projets à l'étranger, c'est cool. Donc ça sort le 21 juin, ça s'appelle Les Chants de l'Horreur. Et pas de l'horreur, de l'aurore. [00:22:26] Speaker E: Et ils ont sorti il y a à peine quelques jours un single qui s'appelle L'Envol avec son clip. [00:22:31] Speaker B: Qui est un morceau qui est assez court. [00:22:33] Speaker E: Qui est un morceau qui est assez court, oui, 8 petites minutes. [00:22:37] Speaker D: En toute simplicité. [00:22:38] Speaker B: Oui, après c'est Alceste et c'est vrai que s'ils regardent et qu'ils voient ce petit passage, qu'ils n'hésitent pas à nous contacter pour venir ici, on serait très très heureux de les recevoir. Alors, qui est Billy Rayner ? [00:22:50] Speaker D: Ah, c'est l'ancien batteur de Billy Rayner, c'est l'ancien batteur de Dillinger's Cape Plain, qui a aussi enregistré des batteries des derniers albums de Glass Joe. [00:23:02] Speaker B: Ah bah, vous ne trouvez pas, j'avais pas cette information parce que je la retiens jamais, mais tu le m'as sûrement déjà dit. [00:23:07] Speaker D: Ça fait partie des infos qui passent en zone blanche régulièrement. La zone blanche, c'est celle qu'on aspire. [00:23:12] Speaker B: Avec une petite paille et qui efface toute la mémoire. C'est le bouton Reset, attention, ne confondez pas avec autre chose. [00:23:19] Speaker D: Reset, pas quand on fait sourire les bébés. [00:23:23] Speaker B: Donc voilà, comme tu dis, c'est l'ancien batteur de The Ninja Rescue Plan, mais il a un nouveau groupe. [00:23:27] Speaker D: Bah oui, on en a déjà parlé je crois. [00:23:28] Speaker B: Il s'appelle Atomic Life. [00:23:32] Speaker D: Ah ouais, on en a pas parlé. On a déjà parlé du fait que c'était dur de trouver un nom d'album, un nom de groupe, mais là quand même, c'est sacrément pourri. [00:23:43] Speaker B: Alors Atomic Life, juste, alors je sais que je t'ai pas prévenu mais c'est là que Norman est censé balancer un extrait parce que je t'ai préparé un petit truc donc je sais pas du tout où il est. [00:23:50] Speaker D: D'accord, il est là. [00:23:51] Speaker B: Tu l'as ? [00:23:52] Speaker D: Je l'ai là. [00:23:52] Speaker B: Est-ce que tu crois que c'est possible qu'on le fasse écouter aux gens ? [00:23:55] Speaker D: Normalement ça va partir, j'ai juste appuyé. [00:24:14] Speaker B: Bah c'est plutôt pas mal ! Tu l'as fait ! Je ne l'ai pas fait exprès ! J'en étais sûr ! [00:24:22] Speaker D: J'étais sûr que t'allais le faire ! [00:24:24] Speaker B: En fait c'était pour me forcer à ne pas parler en ne sachant pas si les micros étaient de nouveau ouverts. Bon voilà, en tout cas ça a l'air plutôt sympa sur ce petit extrait, ça c'est le refrain. En gros c'est beaucoup de basse et un peu de disco et une meuf qui chante. Bon, why not ? C'est une meuf qui chante ? Alors, là, dans l'extrait, c'est une meuf qui chante, mais à un moment, il y a une voix un peu plus... un peu différente, donc je sais pas. [00:24:47] Speaker D: Ok. [00:24:47] Speaker B: Eh ! J'ai déjà fait l'info, j'ai coupé l'extrait... On t'a pas demandé trop non plus ! Il y a de la préparation en ce moment. On est très amazed. [00:24:58] Speaker E: À propos de Dillinger, ils ont un concert programmé dans un festival de punk. 4 concerts ! C'est la saison des reformations. [00:25:10] Speaker D: Donc avec l'ancien chanteur. [00:25:11] Speaker B: Et avec ce batteur. Ah ouais, donc le vrai groupe d'il y a longtemps. [00:25:17] Speaker D: C'est ça, le line-up originel. [00:25:20] Speaker B: Exactement, et ils font ça à Brooklyn, enfin à New York. J'ai pas lu plus d'infos, si t'en as, n'hésite pas. [00:25:25] Speaker E: Non, j'ai juste vu passer l'affiche d'un festival de punk, mais vraiment, ça a l'air d'être un petit peu le When We Were Young du punk, avec 150 groupes sur l'affiche, qui doivent jouer peut-être 20 minutes chacun, et dedans, il y a Dillinger Escape Plan. [00:25:39] Speaker D: Après, c'est bien, c'est que... 20 minutes pour un groupe de punk, c'est un full set. [00:25:46] Speaker B: En même temps, oui. [00:25:48] Speaker D: Punk hardcore, 20 minutes, c'est déjà bien. [00:25:50] Speaker B: Puis au moins, ils peuvent tout donner. [00:25:53] Speaker D: C'est sûr, ils peuvent donner toutes les chansons qu'ils ont faites. [00:25:57] Speaker B: Ça fait 10 chansons de 2 minutes, c'est ça. C'est à peu près ça. Ce qui a fait aussi beaucoup de bruit cette semaine, c'est Linkin Park. [00:26:06] Speaker D: Ah, je croyais que tu parlais du Salon de l'agriculture, mais... Non, c'est pas dans les news. Ça fait beaucoup de bruit. [00:26:11] Speaker B: Ça fait beaucoup de bruit aussi, mais bon, on va passer le... Ça fait crack ! Bref, Linkin Park, donc, qui viennent de sortir un nouveau morceau qui fait partie d'un Greatest Hits qui va sortir. [00:26:23] Speaker D: C'est quand même bizarre, ça. [00:26:24] Speaker E: Une compilation de cygnes. [00:26:25] Speaker B: Non, mais attends, par contre, ma question, c'est ça, parce que pareil, je ne me suis pas renseigné parce que je travaille très mal. [00:26:29] Speaker D: Mais il n'y en a pas un. [00:26:30] Speaker B: Qui est mort ? C'est pas marrant mais tu sais, là. [00:26:40] Speaker D: Où il est, il préfère qu'on en rit qu'on en pleure. [00:26:42] Speaker B: Ah oui, ça c'est certain parce qu'il avait tellement de chœur que j'en suis persuadé. Mais c'est surtout qu'ils n'ont pas sorti l'année dernière ou il y a deux ans un best-of ? [00:26:50] Speaker E: Non, ils avaient sorti juste un single je crois. [00:26:52] Speaker B: Oh, il y avait plusieurs morceaux qui étaient sortis. [00:26:54] Speaker D: Il y avait deux ou trois titres qui étaient sortis. Mais il y avait des trucs où il n'y avait pas Chester qui chantait aussi. Il y avait un titre où il n'y avait pas de Chester. [00:27:00] Speaker B: Oui, il y en avait un autre où il y avait un peu quelques voix comme ça. Là, c'est un vrai morceau. C'est un morceau qui était prêt à sortir, mais qui n'a pas été mis sur l'album, le dernier album. [00:27:10] Speaker E: Ça fait partie de l'enregistrement. Oui, ça sonnait vraiment dernier album. [00:27:13] Speaker B: Oui, mais c'est... Attention... Je sais que c'est celui que j'ai le moins écouté, donc je le connais le moins, mais c'est vrai que beaucoup de gens ne l'ont pas du tout aimé, alors que c'était l'avantage de Linkin Park, c'était aussi d'essayer des nouvelles choses. En tout cas, ce morceau fait partie de ce Greatest Hits qui s'appelle Papercuts, qui sort le 12 avril aussi. [00:27:29] Speaker E: Qui, comme le Salon de l'agriculture, est très vert, en tout cas dans sa pochette. [00:27:33] Speaker B: J'ai pas fait attention à la pochette. [00:27:34] Speaker E: J'ai vu, c'est une pochette qui est très, très verte, avec le logo un peu nébuleux et tout, le LP. [00:27:43] Speaker B: Ah merci Matt 480 qui vient de laisser son premier message, merci beaucoup. [00:27:46] Speaker E: C'était pour les 20 ans de météora. [00:27:47] Speaker B: Tout à fait. Merci de cette indication, tu fais bien de nous corriger. N'hésitez pas d'ailleurs si vous avez des news que je ne donne pas, encore une fois en commentaire ou dans le chemule, c'est toujours intéressant. On est là pour ça. Septième nouvelle, septième news déjà. [00:27:58] Speaker E: Oh là là, dédans. [00:27:59] Speaker D: Mais dis donc, tu as passé au moins deux heures. [00:28:03] Speaker B: Alors, septième news. Slayer, ça aussi ça ! [00:28:10] Speaker D: Le big sujet de la semaine. Ça y est, on arrive au stade où on se rend compte que Slayer. [00:28:15] Speaker B: Et Michel Sardou sont la même personne. En fait Slayer se réforme pour faire deux concerts pour le moment, au mois de septembre aux Etats-Unis. On imagine bien que ça veut dire qu'ils vont faire une tournée mondiale parce qu'ils ont annoncé qu'on ne se reforme pas du tout parce que c'est pas parce qu'on a de l'ego ou c'est pas pour l'argent. C'est uniquement parce que les fans souffrent du fait qu'on ne soit plus là en live. Et aussi on nous a proposé des gros chèques. [00:28:40] Speaker E: Alors qu'il y a 5 ans, les fans étaient très contents de la façon dont ils sont sortis de piste. Ils étaient très dignes on va dire. [00:28:47] Speaker B: Qui aurait pu croire qu'effectivement ils allaient revenir. Après on se doutait bien, nous on l'avait dit, il y a des gens qui s'étaient dit Il y a un moment où ça te manque, tu vois, ils sont pas si vieux que ça. [00:28:55] Speaker C: Non. [00:28:55] Speaker D: Alors ce qui est drôle, c'est qu'il y a Kerry King qui a lancé son nouveau projet. J'allais dire, dans une interview, il disait qu'il ne se parlait plus. [00:29:04] Speaker E: Oui, dans les interviews, il disait qu'il ne se parlait plus, que Tom Haraï a joué plus de basse depuis les années 80. [00:29:08] Speaker B: Attends, sérieux ? Oui, oui, si. Dans une interview récente ? Oui, oui. Ah, ça te dobait vraiment. Dans la déclaration, il disait « non mais on s'entend super bien ». [00:29:16] Speaker D: Dans le truc il disait que dans une interview, l'album sort là, donc c'est une interview qu'il y a quelques semaines, et dans l'interview il dit qu'ils ne se sont pas reparlés depuis 2019, depuis le concert. Justement dans les trucs... Aïa ! [00:29:37] Speaker B: Aïaïa ! Tomaïa ! Aïaïa ! Tomaïa. Comme ça, la bouclette. Mais voilà, Kerry King en tout cas sort son album le 17 mars, vous savez qu'il fait quelques festivals puisqu'il veut pas faire de dames en salles. Tu l'as ? Kerry King ! Mais bien sûr que je l'ai. Mais voilà, pas de salle. C'est dommage parce que... Pas de salle ? Non parce qu'il fait de la muscu quand même. Moi je me suis dit quand même que Kerry King... Prince Albert ! J'ai pas écouté l'album solo. On l'a reçu mais je l'ai pas écouté, j'avoue. Mais ce mec a quand même les lunettes de soleil les plus moches du monde et les tatouages les plus ringards aussi. C'est pas ce qu'on lui demande, tu me diras. [00:30:21] Speaker D: C'est des tatouages assez... D'ailleurs, on sait pas trop moi. [00:30:26] Speaker B: En tout cas, tout feu, tout flamme. [00:30:29] Speaker E: Et puis les guitares, les plus moches aussi. [00:30:30] Speaker B: Ah oui, c'est vrai. Après, il joue bien, on n'a pas envie de l'embêter de toute façon. Il est gentil, Kerry King, ce cinéma. [00:30:38] Speaker D: Pour le coup, c'est un des mecs où, entre son look et l'attitude du gars, il fait « Ah, ok ! [00:30:45] Speaker B: ». Quand on s'est éché dessus, on dirait « Putain, j'ai pas trop préparé mon truc ». Et en fait, t'es là « Salut ! [00:30:52] Speaker D: ». [00:30:52] Speaker B: Tu veux une p'tite tisonne ? Une camo ? [00:30:55] Speaker C: Une camomille ? [00:30:56] Speaker B: Non mais oui c'était ça ! Peut-être pas avec cette voix là non plus. [00:31:00] Speaker D: Non, il a une voix un peu plus grave. [00:31:01] Speaker B: Voilà. [00:31:02] Speaker D: Ah tu veux ? [00:31:02] Speaker B: Pas comme le serpent ! Oh dis donc ! Bon, huitième news. Oh dis donc ça ne s'arrête plus ! J'en ai dix. Le 19e album de qui va sortir dans peu de temps ? C'est une copine à moi, et l'album s'appelle The Serpent and the King. Le serpent et le roi. Je vais s'imaginer ça pour être une. [00:31:31] Speaker D: Sex tape à moi. [00:31:34] Speaker E: Ou d'un morceau de Dead Can Dance au choix. [00:31:37] Speaker B: Il est 19ème ? Ouais, il est un peu vieil. Je donne beaucoup d'indices quand même. [00:31:42] Speaker D: Je croyais que c'était Bilal Hassani mais du coup non. [00:31:44] Speaker B: On lui fait des bisous. S'il écoute du metal, du mitou, du métal. Il peut venir ici aussi. [00:31:55] Speaker E: Heavy Metal ? [00:31:57] Speaker B: Ça sort le 8 mars son album. Non, c'est Judas Priest. Je vais couper court parce que sinon ça fait longtemps. [00:32:04] Speaker C: La Judas ! [00:32:05] Speaker B: Hello baby, la robe, la Roberta. Non mais voilà, on l'adore, et ça sort le 8 mars, il sera en concert le 5 juin à Lyon, et le 8 juin au Zénith de Paris. Même si vous n'aimez pas Judas Priest, je ne suis pas un vrai fan de Judas Priest. [00:32:19] Speaker D: C'est vrai que t'es pas un vrai fan. [00:32:21] Speaker B: Non voilà. Par contre t'aimes bien embracez la loi ! Dans les lieux, on t'appelle le painkiller. Par contre, j'en ai besoin beaucoup après. Le jawbreaker. Le troubreaker. Non, non, mais je ne sais plus ce que je veux dire. Si vous aimez le cuir, si vous aimez les motos, les franges, les moustaches. Ah non, il n'y a pas de moustache. [00:32:42] Speaker D: Non, mais là-bas, il y en a un avec le cuir moustache. [00:32:45] Speaker B: Désolé, c'est lui qui a des moustaches. [00:32:49] Speaker D: Là-bas, il y a des vrais bonhommes. [00:32:50] Speaker B: Sur scène, c'est vraiment énorme Judas Priest. [00:32:54] Speaker D: Et surtout, il a toujours sa voix. [00:32:56] Speaker B: Et ça, il y a des groupes. [00:32:58] Speaker D: De l'époque, des mecs qui arrivent encore à chanter comme ils chantaient à l'époque, il n'y en a quand même pas beaucoup et lui, il y arrive. Moi, le concert, on l'a vu deux ou trois fois. Et franchement, pareil, je ne suis pas fan du tout, ce n'est pas du tout ma cam', je n'ai jamais écouté, mais il faut admettre qu'en live, ça envoie. [00:33:15] Speaker E: J'avais vu, je crois que c'était en 2019 quoi, au Hellfest, et j'étais assez soufflé justement par sa performance vocale alors qu'il avait, il a quel âge ? Il a 70 ans maintenant je crois ? [00:33:28] Speaker B: J'ai pas osé regarder l'âge aussi parce que je me suis dit je vais pas parler de ça. J'avais l'âge d'une jeune femme. Non mais voilà, on aime beaucoup notre hobby international, mais je vous conseille vraiment d'y aller. C'est, je l'ai dit, le 5 juin à Lyon, le 8 au Zénith de Paris. Sinon, pour toi Ben, une petite news très rapide, les mecs de Wheelhaven... Ça. [00:33:50] Speaker D: Me fait plaisir que t'aies pensé à moi Pierre ! [00:33:52] Speaker B: Oh dis donc ! Guidon, qu'est-ce que c'est que cette information ? Eh bien, sache que Phare et Will Oven reviennent avec un nouvel album. [00:34:00] Speaker D: Phare ? [00:34:01] Speaker B: Phare et Will Oven ensemble. Ah ouais ? [00:34:03] Speaker D: Ils font un split ? [00:34:04] Speaker B: Non, mais tu sais de qui je parle. Il y a des mecs de Phare et des mecs de Will Oven dedans. Je parle de... Attends, il faut que je dise le nom parce que je ne m'en souviens jamais. C'est Songs of Alpha Centauri. [00:34:12] Speaker D: Ah bah, je ne connais pas ce truc là, moi je crois. [00:34:14] Speaker B: Mais c'est tout, on en a déjà parlé. Ah bon ? J'allais te dire, en plus, je ne sais pas écouter, donc je me souviens plus si c'est de ses parents ou pas. [00:34:19] Speaker D: Je me souviens pas de ce truc. [00:34:21] Speaker B: Bon bah écoute, ils sortent un album... Peut-être que c'est pas génial. [00:34:24] Speaker D: C'est ceux qui font plus rien quoi. [00:34:26] Speaker B: Bah j'ai pas les noms mais en tout cas ils sortent un album le 28 mars qui s'appelle « Poule ». Pas comme « Cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-cotte-c Et sinon ? [00:34:55] Speaker D: Parce que c'est chiant ! Ah mais c'est relou ! Oui mais après, Redfunk ça marche pas en France. [00:35:00] Speaker B: Ouais mais ils pourraient faire une salle à Paris ! Genre Glazart ? [00:35:03] Speaker D: Bah je crois qu'ils n'ont pas envie. [00:35:05] Speaker B: Bah c'est bien dans les petites salles Redfunk en plus. [00:35:08] Speaker E: Je crois que si tu veux voir Redfunk dans une grosse salle en France, il faut qu'ils fassent minimum la première partie de Mastodon quoi. [00:35:13] Speaker B: Non mais je veux pas les voir dans une grande salle ! J'en suis persuadé qu'ils peuvent faire une bonne boule non ? [00:35:20] Speaker D: Je pense que jouer pour trois sneakers, ils n'ont pas envie. [00:35:24] Speaker B: Non mais je pense qu'ils peuvent faire un trabando. 700 places, ça marche. [00:35:26] Speaker D: Je ne suis pas sûr qu'ils fassent un trabando. Je ne sais pas. [00:35:31] Speaker E: Parce qu'ils sont revenus avec un gros son. [00:35:33] Speaker D: Franchement, oui, mais ils sont revenus, mais pas le public. Et je pense aussi, et ça n'engage peut-être que moi, mais j'ai l'impression que le stoner est un peu passé de mode en France. C'est-à-dire qu'il y a une grosse phase stoner où beaucoup de gens écoutaient du stoner, il y avait beaucoup de gros titres stoner. Je pense qu'aujourd'hui, il y a toujours une grosse scène stoner, ça je ne le nierai pas, il y a beaucoup de groupes influencés stoner, Mais du stoner, stoner parce que c'est un peu stoner Redfong. [00:36:07] Speaker B: Oui, c'est stoner, speed stoner quoi. C'est stoner musclé. [00:36:11] Speaker D: Mais du coup j'ai l'impression qu'il y a quand même en France, ça marche moins bien ce genre de truc. Même Mastodon, bah du coup c'est pas tout à fait le même style, mais pour moi ça aurait pas arrivé en même temps. Même Mastodon en France j'ai pas l'impression que ce soit... Ah non ils ont chuté. [00:36:29] Speaker B: Ça a un peu écroulé quoi. Donc... [00:36:33] Speaker D: Donc je pense que c'est pour ça, il y a moins de scènes en ce moment. [00:36:35] Speaker E: Ce qui est con parce qu'en France on a d'excellents groupes de stoner. [00:36:37] Speaker B: Bien sûr ! [00:36:41] Speaker D: Après je pense par contre t'as beaucoup de festivals stoner qui cartonnent. Mais c'est des trucs très regroupés parce que je pense qu'ils sont obligés de mutualiser pour que ce soit rentable. [00:36:53] Speaker E: Le stoner fonctionne très bien en festival partout en Europe, même dans les pays frontaliers d'une autre. en Belgique, j'ai déjà fait par exemple le Desert Fest en Belgique, c'était super, en Hollande, en Espagne, même au Portugal, il y a des bons festivals de stoner. [00:37:15] Speaker B: D'ailleurs apparemment la France c'est le seul pays d'ordre qui n'est pas super vraiment... [00:37:19] Speaker D: Ah bah non, t'as qu'à regarder la tournée de Pearl Jam et puis tu. [00:37:22] Speaker B: Te rends bien compte que... Franchement les mecs ils survolent, ils survolent, ils passent partout, et puis à un. [00:37:29] Speaker D: Moment il faut, hop, bah attends, excuse-moi la route pour aller d'Allemagne en Espagne, y'a pas de pays entre les deux. [00:37:35] Speaker B: Mais je sais, alors non c'est une fausse excuse, j'allais dire, je sais pourquoi il s'arrête pas en France, parce que l'autre sinon il va picoler tout le vin rouge qu'il y a en France, il va le mettre sur Seine, et clac, hop il va tomber, mais en Italie y'en a aussi. [00:37:44] Speaker D: Puis en Espagne aussi, en Allemagne, non. [00:37:46] Speaker B: En Allemagne non, j'suis pas reconnu pour en tout cas. [00:37:49] Speaker D: Y'a du Metz au Cola. [00:37:52] Speaker B: Bon et puis dans la même lignée que Redfunk, il y a Comeback Kids qui font une belle tournée en Italie et en Allemagne. Ah bah voilà ! Super, merci beaucoup ! [00:38:00] Speaker D: Comme on dit en Italie, va fank cool ! [00:38:03] Speaker B: Une petite info à donner ? [00:38:05] Speaker E: Le retour de Powertrip, Powertrip qui repart en tournée. Malheureusement, depuis le décès de Riley Gayle en 2020, c'était un petit peu au point mort. Ils avaient refait peut-être, je crois, une seule date avec un autre chanteur. Du coup, avec ce chanteur, il repart en tournée. Est-ce qu'il va y avoir des albums ? Je crois que ça n'a pas du tout été annoncé, mais en tout cas, des concerts, il va y en avoir. [00:38:27] Speaker B: Ah bon ça c'est une bonne chose, en plus Powertrip c'est quand même plutôt cool. [00:38:29] Speaker E: En plus Powertrip c'est très cool. [00:38:30] Speaker B: Voilà. Bon bah si vous avez des news qu'on n'a pas donné, n'hésitez pas encore une fois à les mettre dans le schmuel ou en commentaire. Et puis bah on continuera peut-être ce concept-ci si ça vous plaît, là la semaine prochaine. [00:38:51] Speaker C: On ne peut pas mettre en place ce qui s'est brisé On ne peut pas changer le moment On est allé trop loin On s'éloigne sans raison On s'éloigne de la boucle dans une guerre inutile Et si on revient et qu'on rentre dans le noir Qu'est-ce qu'on va faire ? Qu'est-ce qu'on va faire ? Qu'est-ce qu'on va faire ? What are we fighting for ? I was supposed to protect you No matter what's to come Somehow forgot when they told me We hurt the ones we love Musique d'outro parfum no reason we're pulling a trigger Fire Fire. [00:42:31] Speaker F: C'est. [00:42:32] Speaker C: Parti pour la fin de cette vidéo ! C'est l'heure ! Pourquoi ne pas regarder ce que tu as fait ? Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'ai fini avec des mentes Et tout ce que tu dois dire Parce que dans ma tête C'est plus que j'ai pu prendre J'ai fini avec des mentes C'est tout ce que tu dois dire J'ai ouvert ma tête Mais c'est plus que j'ai pu prendre Et si j'avais plus de temps Eh bien peut-être que je pourrais trouver de la confiance Je ne peux pas passer ma vie En attendant un coup de tête. [00:44:51] Speaker B: Eh oui, Sum 41 avec un tout nouveau morceau, un tout nouveau single, un tout nouveau clip qui vient de sortir, je ne pense pas que c'est plus d'une semaine, en tout cas, je n'ai pas vérifié le nombre de jours. [00:45:00] Speaker E: Non, c'est sorti dans la semaine. [00:45:02] Speaker B: C'est ça. Et voilà, ça fait partie évidemment de ces deux albums qui vont sortir, on ne va pas revenir dessus. Il y a le concert à Paris la Défense qui a lieu le 23 novembre, je crois, ou un truc comme ça. Il n'y a rien qui se déplace, c'est évident. [00:45:14] Speaker D: En tout cas moi je trouve ça très bien ce clip. Je trouve qu'ils assument un peu leur âge, en même temps ils font pas vieux croutons, ils font pas ringard, c'est une bonne énergie. Je trouve que Sum 41 c'est un groupe de toute la scène pop-punk, c'est celui qui est passé par le moins de passages un peu gênants je trouve. [00:45:32] Speaker B: Il y a eu quelques difficultés quand même pour Sum 41. [00:45:36] Speaker E: C'est vrai, mais en tout cas, quand ils sont revenus au top, ils étaient. [00:45:39] Speaker D: Pas ridicules du tout. Non, mais ce que je veux dire, c'est qu'ils ont pas fait d'albums ultra craignos. [00:45:43] Speaker B: Non, c'est vrai. [00:45:44] Speaker D: En fait, ce qui s'est passé, c'était des trucs en off, c'était pas des trucs de Sum 41. [00:45:50] Speaker E: Alors qu'il y a des groupes où. [00:45:51] Speaker D: Ils ont sorti des trucs, bon, c'était de nul à chier quoi. [00:45:54] Speaker B: Tu vois, c'est ce que je veux dire. [00:45:57] Speaker D: Qui ? Je n'aiurai pas de nom, tout le monde sait très bien de qui je parle. [00:46:00] Speaker B: Mais bon voilà, Sum 41, on est content, c'est la fin pour eux aussi. C'est la classe canadienne. Parce qu'ils vont nous faire une Slayer après. C'est clair et net qu'ils vont faire une Slayer en soyons francs. On prend les paris ? Franchement je suis prêt à parier 1000 balles. [00:46:19] Speaker D: C'est facile, tu les as pas. [00:46:21] Speaker B: J'espère que d'ici là, je les aurais, parce que c'est pas tout de suite qu'ils vont annoncer qu'ils se reforment. Vu qu'ils sont toujours là, il faut déjà qu'ils arrêtent. [00:46:27] Speaker E: Normalement, tu as 5 ans pour économiser... [00:46:29] Speaker B: Voilà, c'est ça, donc tu peux mettre les gens un peu de côté. [00:46:32] Speaker E: Si ils font une flyer, c'est 50 au pile. [00:46:33] Speaker B: Non, mais toi, c'est le groupe. Moi, j'aime bien Sum 41 et puis on les aime bien aussi. Les gars, ils sont cools. Et puis en plus, voilà, effectivement, ils ont arrêté de... Enfin, ils ont... Lui, Derek, il s'appelle le chanteur. Il a arrêté totalement de boire, de fumer, de se droguer, tout ça. Ça lui fait du bien, apparemment. C'est une bonne chose pour la vie de chacun. [00:46:49] Speaker E: Je voyais dans le Ch'meul d'ailleurs un commentaire, alors je sais plus qui disait ça, par rapport aux chanteurs qui vieillissent bien avec leur voix, c'est que c'est souvent des gars qui ont arrêté de cloper, de boire, etc. qui ont fait du bien en fait. [00:47:02] Speaker D: Bah regarde Rob Halford, par contre il a continué la pipe. [00:47:06] Speaker B: Allez ! Ah là je suis jaloux de la blague et du fait qu'il lui faisait pipe ! [00:47:17] Speaker D: T'inquiète, bientôt ça ira mieux avec tes dents. [00:47:24] Speaker B: Parce qu'on ne veut pas revenir à la crise. Bon ben voilà, pour Sum 41. Mon petit enjeu de Noël, c'était un petit peu ton moment maintenant, ce petit moment où tu vas nous parler d'un choix de ta part, et c'est Samael, cette fois-ci. [00:47:36] Speaker E: Oui, parce que j'avais cru comprendre qu'aujourd'hui on allait parler un petit peu d'Indus, donc avec Chargott qui arrive tout à l'heure. Donc je suis parti un petit peu. [00:47:42] Speaker D: Sur des choix un peu Indus, et. [00:47:43] Speaker E: Donc du coup, heureusement qu'il y a l'Indus, comme disait Ben, et heureusement qu'il y a Samael, parce que c'est un groupe que j'aime beaucoup. Samael, c'est un groupe suisse qui existe depuis peut-être la fin des années 80. [00:47:55] Speaker B: Qui au début était un groupe de black metal. [00:48:00] Speaker E: C'était un groupe de black metal qui n'a jamais d'ailleurs renié ses origines. [00:48:04] Speaker B: Qui. [00:48:04] Speaker E: Font régulièrement des... des tournées ou des concerts où ils rejouent leurs vieux albums, des choses comme ça, donc ils sont quand même assez fiers de l'ensemble de leur parcours. Mais déjà, vers la fin des années 90, tu sentais qu'il y avait une bascule qui commençait à s'opérer pour aller dans quelque chose de beaucoup plus indus, avec des boîtes à rythme, avec beaucoup plus d'électronique, des choses comme ça. Et puis dans les années 2000, c'est devenu vraiment un projet métal électro, avec beaucoup d'induces et assez peu de black. Ils avaient refait en 2009 un album qui était essentiellement black metal, mais après c'est reparti sur leur style qui est encore une fois très induce, très influencé par l'électronique. Et ce qui est marrant aussi, c'est que c'est un groupe qui est... C'est un groupe dont les deux membres fondateurs et deux seuls membres vraiment réguliers, c'est deux frères, qui ont un peu des pseudos à la con, il faut dire. Ils s'appellent Worf et Xy. Ils s'amient avec Elon Musk ? [00:49:04] Speaker B: Un petit peu, ouais. [00:49:05] Speaker E: Ça fait un peu en fond d'Elon Musk. C'est vrai, j'avais jamais vu ça sous cet angle-là. Mais... Et... Les gars ont l'air assez sympa, moi je les ai déjà vus en live, je me rappelle c'était au Hellfest, ça devait être en 2015 je crois, et ce que j'aime beaucoup avec le chanteur-guitariste Worf, c'est que quand il chante, et déjà il a un pseudo de méchant, il a un look de méchant et il a une voix de méchant. Ne serait-ce que quand il parle entre les morceaux, tu sens vraiment la voix de méchant de film et je trouve ça hyper classe. Et il y avait même un groupe, je me rappelle même quand un groupe, le groupe grec Rot in Christ avait fait un album sur le thème de Satan ou je sais plus quoi, et en fait ils avaient fait un morceau où c'est donc ce chanteur, le chanteur de Samael qui est en spoken word, En français en plus, parce que suisse francophone, et vraiment avec cette voix de méchant prêtre, tu vois, ça rendait super bien. [00:50:03] Speaker B: C'est vrai que comme on reçoit Chargotte dans quelques minutes, un quart d'heure, 20 minutes, je pense, à peu près, si on est dans les temps. Du coup, on va regarder le clip que tu as choisi, c'est quoi ? [00:50:13] Speaker E: Le clip que j'ai choisi, c'est le morceau Telepath, qui est un morceau qui date de 2004, je crois, donc vraiment période où Samael explorait le plus son côté indus, voire accessible, voire dansant même, par moment. Et le morceau Telepath est justement très accessible. Et que j'aime beaucoup, voilà. [00:51:23] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est l'électricité de l'ecstasy. Il n'y a pas d'endroit où on voit ce qu'on voit. Nous sommes un format de compréhension. La quantité de choses que nous connaissons, c'est un moyen pour nous d'atteindre notre perception. C'est parti pour le tournage ! J'adore ! Piece of expérience ! Do you hear me running fast ? You know you are in the crowd How don't you wanna come and shout ? Do you hear me when I'm calling ? Do you hear me ? Bienvenue dans la mer Bienvenue dans la meurtre. [00:57:36] Speaker B: Beau, très très beau nouveau morceau de la part de MADAME. [00:57:39] Speaker D: Et beau clip aussi. [00:57:40] Speaker B: Le clip est cool. [00:57:41] Speaker D: C'est plutôt stylé. [00:57:42] Speaker B: Alors ce groupe est vraiment hyper cool, moi j'aime vraiment beaucoup beaucoup MADAME. MADAME sans le E à la fin. On a regardé, c'est des Toulousaines, c'est ça ? [00:57:50] Speaker D: Ouais, je crois apparemment. [00:57:51] Speaker B: En tout cas, elles viennent de Toulouse, le groupe vient de Toulouse. Et voilà, elles vont sortir un nouvel album, une tournée, et ça va être très très beau parce que je crois qu'il y a du beau monde derrière. [00:58:00] Speaker D: J'espère qu'elles vont venir ici en tout cas. [00:58:01] Speaker B: Ah bah c'est pour ça que je sais pas si c'est clair. Venez donc parler de votre musique et c'est super bien, c'est génial madame. Et on en profite aussi tout de suite pour faire un gros coucou et un énorme bisou, un énorme merci à Jun Kimé qui vient de faire un raid sur notre chaîne Twitch en direct live 2000 par l'internet des modems. [00:58:26] Speaker D: Vous allez voir, Internet c'est un truc, ça va cartonner. [00:58:28] Speaker B: Ah oui, moi je suis un ringard, mais bon. Non, John Kimmick que j'ai rencontré, qui est un mec extra, qui fait de très très bons contenus, qui organise aussi des awards, enfin à sa façon, pas des awards, des contests à sa façon. C'est vraiment un super mec qui fait de la vidéo et tout. Ceux qui ne connaissent pas et qui font partie de Bang Bang et de Restless, n'hésitez pas à aller sur sa chaîne, bien évidemment, pour pareil, aller le soutenir, liker sa page. Et inversement, pour tous les nouveaux venus, nous avons aussi une page YouTube, il suffit et de taper ! [00:58:58] Speaker D: Bang ! et vous avez le lien. Et merci du coup à tous ces nouveaux follows là, vous nous rendrez plaisir, c'est un bonheur. [00:59:08] Speaker B: Maintenant, qu'est-ce qu'on peut faire ? Nous allons parler des reports, des concerts qu'on a vus cette semaine. J'aimerais chaque semaine, s'il y a des concerts évidemment, parce que s'il n'y en a pas, ça ne sert à rien, mais qu'on fasse un petit bilan de ce que nous avons vu et ça tombe bien parce qu'il y en a un où tu étais, et l'autre où toi tu as été Ben. Des concerts alternative rock-metal, on va commencer par celui qui a eu lieu mercredi du côté du Trianon, c'était Black Out Problems, Fever 333 et Hunter Shikari. grosse affiche quand même au Trianon, j'avais un peu peur que le concert soit un peu vide parce que je me suis dit c'est quand même ambitieux le Trianon. C'était quand même bien rempli, les gradins moins, mais en tout cas dans la fosse, la fosse bien remplie, une ambiance de malade. Je sais pas si toi t'étais en bas, moi j'étais dans les gradins comme un vieux hockey. [00:59:54] Speaker E: Moi j'étais là où l'ambiance se passe, donc oui j'étais en bas dans la fosse. [00:59:59] Speaker D: Comme il a dit que toi t'étais pas au cœur de l'action. [01:00:02] Speaker B: En même temps, je venais de me faire opérer des dents de sagesse, je ressemblais encore une fois à Amtaro qui revient d'un concert de Enter Shikari sous acide. C'était Amtaro Shikari, oui. Mais oui, on fait un petit coucou d'ailleurs à ShakerMaker qui était, parce que j'ai vu tes cheveux au loin ! [01:00:20] Speaker E: On s'est capté dans la fosse. [01:00:21] Speaker B: T'en as pensé quoi, toi, globalement ? [01:00:23] Speaker E: Moi, c'était la première fois que je les voyais. Mon tout premier interchicari en live et c'était vachement bien. C'était super bien. Très bonne setlist. Très bonne setlist qui fait la part belle aux nouveaux morceaux, aux morceaux d'albums récents et aux anciens. [01:00:42] Speaker B: Ça a remonté très loin. [01:00:43] Speaker E: Ouais, ça remontait très loin jusqu'au premier album et avec un bon enchaînement de morceaux qui tabassent issus des premiers albums sur à peu près les deux tiers du set, on va dire. [01:00:54] Speaker B: Il commence avec Meltdown et moi j'adore cette chanson. [01:00:57] Speaker E: Il commence avec Meltdown, c'est vrai, il commence le set avec. C'est ça, donc direct ça t'énergise bien et puis le seul petit regret que je pourrais avoir, mais là ça vient de la configuration de la salle, c'est quand tu vois la tournée des arénas qu'ils ont fait avec le light show de malade et où tout le matériel ne rentre pas sur la scène du trianon malheureusement. [01:01:18] Speaker B: Le light show était quand même vraiment. [01:01:19] Speaker E: Cool parce que j'étais avec un ami. [01:01:21] Speaker B: À moi qu'on appelle Chouchou. L'essentiel était là. [01:01:25] Speaker D: Qui travaille dans le milieu. [01:01:26] Speaker B: Qui travaille dans le milieu et qui est lighteux, professionnel et qui fait des plans, je sais pas comment on appelle ça. [01:01:30] Speaker D: Des plans de feu. [01:01:31] Speaker B: Il est là, il est sorti, il a dit. Ouh c'était bon, franchement c'était très très bon parce que quand ils font la prison avec les vaisseaux de lumière, franchement il y a une mise en scène qui est vraiment hyper travaillée. Mais à part Hunter Shikari, Blackout Problems j'ai adoré. Alors je sais qu'il y a beaucoup de gens qui s'en foutaient parce que c'était la première première partie donc ils voulaient tous voir Hunter Shikari donc pas la patience. [01:01:54] Speaker E: Je suis arrivé au cours de leur set. [01:01:56] Speaker B: Alors c'est des allemands. Ils sont hyper bons, c'est hyper dansant, c'est hyper rythmé. Le chanteur est descendu dans la foule, donc il y a vraiment un moment de volonté de partage, de montrer aussi qu'ils ont envie de créer un truc. [01:02:08] Speaker E: Dans la foule, il y avait quand même pas mal d'ambiance quand je suis arrivé. [01:02:11] Speaker B: Ah oui, oui, d'ambiance, ça s'étabassait pas mal. [01:02:14] Speaker E: Ça s'étabassait pas mal jusqu'à la fin d'Enter Shikari. [01:02:16] Speaker B: Ça n'a jamais arrêté, c'était complètement incroyable. Après, Fever Flu-Flu-Flui... 3-3-3 pardon, parce que j'arrive pas à le dire. Alors j'avoue que sur scène, c'est bon, il y a du son. Le seul problème, c'est que les musiciens, à part le batteur, ne jouent pas beaucoup. La bassiste, pourtant, c'est une très bonne bassiste. Elle fait plus le spectacle qu'elle ne joue vraiment. [01:02:39] Speaker D: C'est un peu le fond de commerce de Fever. [01:02:42] Speaker E: C'est ce que j'allais dire. [01:02:44] Speaker D: En fait moi j'ai arrêté, ça c'est comme, parce que le chanteur de Free, Free, Free, Free était dans Let Live avant, et c'est déjà ce que je reprochais à Let Live, et c'est pour ça que beaucoup de mecs qui jouaient dans Let Live se sont barrés, parce qu'ils disaient là, ouais mais en fait nous on fait de la musique quand même à la base, donc on peut faire des shows où tu fais pas des cabrioles et tu montes et tu sautes et tu machins et tu bidules. [01:03:05] Speaker E: Ah parce qu'il montait et sautait, ça il l'a fait, il confirme. Du coup, classique. [01:03:08] Speaker B: Une petite cascade rigolote ouais. [01:03:10] Speaker D: Du coup c'est bien, c'est entertainant, mais je trouve que musicalement c'est un peu triste. [01:03:15] Speaker E: Je suis tout à fait d'accord en fait, moi Fever Free Free Free j'ai pas trop creusé le truc parce qu'en même temps je me suis assez rapidement rendu compte que ce que j'ai tendance à dire c'est le genre de groupe où c'est tout dans le show, rien dans les morceaux en fait. [01:03:27] Speaker B: Ah, il y a des morceaux qui sont cool ! Il y a des trucs qui étaient vraiment bien, mais son attitude... Moi j'ai. [01:03:34] Speaker D: Toujours eu du mal avec ce chanteur. Après je sais que ça divise beaucoup, il y a des gens qui adorent... Ah oui, il y a des fanatiques ! [01:03:44] Speaker E: Et je pense que dans la fosse d'Enter Shikari, il y en avait, d'après. [01:03:47] Speaker B: Ce que j'ai vu... Ah oui ! [01:03:49] Speaker D: J'en doute pas une seule seconde ! [01:03:51] Speaker B: On fait un coucou à Flaquito, ce que tu connais ! qui était venu avec sa fille au concert, et il a regardé Fever, et puis je crois qu'il est parti pour Enter Shikari, qu'il est venu vraiment pour voir Fever. Il me semble, je m'avance peut-être beaucoup. Après, ça fait le show, mais les costumes, ça va pas. Les costumes, ils ne vont pas. Enfin, je veux dire, c'est pas beau. Ils sont habillés en blanc là, non ? Ils sont habillés en blanc, mais c'est un espèce de truc de garagiste. Tout est symétrique, il n'y a pas de liberté dans le costume. Il y a quelque chose qui me gêne. le logo en fond d'écran, en fond Windows. C'était pas loin, une espèce de panthère. [01:04:28] Speaker D: Est-ce qu'il y avait une boule qui. [01:04:30] Speaker B: Se transformait en carré, qui bougeait comme ça ? [01:04:33] Speaker E: Je me rappelle justement, le soir même, j'avais pris en photo le backdrop et j'avais envoyé dans le Discord de Restless en titrant « Le bon goût ». [01:04:42] Speaker B: Après c'est pour mettre de l'humour, pour mettre de la tendresse, comme il l'a dit, il faut qu'on s'aime, il faut qu'on soit heureux, le message est cool, pareil quand il dit les communautés il faut les soutenir, la communauté black elle a beaucoup souffert aux Etats-Unis donc c'est pour ça aussi que j'ai des musiciens qui sont black etc. C'est un très bon discours, après qu'il soit utilisé à des fins commerciales, parce que lui, j'ai quelques doutes quand même, qu'il soit sincère évidemment, ça va de soi, puisqu'il est là, mais... Tu vois, il y a un truc qui me gêne là, c'est vraiment un truc où j'ai envie de... Peut-être qu'il n'est pas comme ça, j'en sais rien, c'est pour ça que j'aimerais bien qu'il vienne aussi un jour... Parce que je vois peut-être pas les questions qui lui feront plaisir, mais c'est juste que je veux qu'il me rassure, je veux qu'il me... Et ce côté entertainment, machin, etc, ça met trop de fake pour moi, je... Voilà. Bon, bref. Je voulais juste parler de ça. Et Hunter Chicari, encore une fois, rien à dire. Roux. Alors il est extraordinaire, cette voix qu'il a, en fait moi je me souviens d'une voix qui n'était pas tout le temps excellente. [01:05:42] Speaker D: Depuis, ça fait un moment maintenant que ça tient bien. [01:05:45] Speaker B: À un moment il a un capé là, après il prend sa guitare sèche et tout, et puis il parle en même temps. [01:05:51] Speaker D: Ouais ça va, il chante bien quand même. [01:05:52] Speaker B: Je pense qu'il a arrêté beaucoup de choses aussi. [01:05:56] Speaker E: Et avant le concert en plus, j'ai un ami qui m'a averti qui disait j'espère qu'il a récupéré sa voix depuis le concert à l'ancienne Belgique deux jours avant parce qu'apparemment il s'était quand même pas mal fatigué. Mais là, Autrianon, il était en forme. [01:06:08] Speaker B: Ah ouais, c'était ouf ! [01:06:11] Speaker D: Y'a Victorien qui vient de nous dire que le concert de l'ancienne Belgique est en entier sur Youtube. Si vous voulez aller voir, vous faire une idée. [01:06:19] Speaker B: Il était diffusé en direct pendant qu'il jouait, donc c'est une prise de risque aussi. [01:06:22] Speaker D: À part celle que tu sais que ça assure derrière. [01:06:25] Speaker B: Voilà, c'est bien travaillé. Non mais voilà, incroyable concert et puis ce groupe, moi je l'adore, donc j'étais très content. Un peu frustré de ne pas pouvoir crier et chanter, je faisais... Mais bon, j'avais des frissons tout le temps, voilà. Et puis, Chouchou qui était là, mon pote, il connaissait pareil. Au début, il avait un peu de... Ouais, c'est bon, des mecs qui montent la tête de la techno et du métal, c'est vraiment des bouffons de merde. Puis à la fin, il a fait. [01:06:48] Speaker D: « Oh, en fait, c'est bien ». [01:06:50] Speaker E: En fait, c'est chaotique. [01:06:51] Speaker B: Il m'a dit « Je comprends pourquoi t'aimes bien, Père, parce que ça n'a pas de sens ». C'est-à-dire que par contre, ça va dans. [01:06:54] Speaker D: Tout le... Bah, par rapport au truc actuel qui sorte, si, c'est très formaté. Par rapport à Darko US ou des. [01:07:00] Speaker B: Trucs comme ça où c'est... [01:07:05] Speaker D: C'était une bonne description de Darko US. Darko US ou Pochou, même combat. [01:07:10] Speaker B: Sinon, il y avait un autre concert, celui qu'on a vu hier soir, du côté du Bataclan. C'était le concert de Frank Carter & The Rattlesnakes avec en première partie The Mysterines. Je vais juste donner un mot avant de te laisser parler Ben. The Mysterines, j'aime énormément. En live, ça jouait bien et tout ça, mais c'était... [01:07:29] Speaker D: C'était sage. [01:07:30] Speaker B: C'était scolaire. [01:07:32] Speaker D: Et puis il y avait un problème. En fait, il y avait un truc. En fait, les lights, le plan de feu était joli, mais pas bien utilisé. Alors du coup, ça ne changeait pas quand il fallait. Du coup, c'est vrai que c'est des trucs qu'on ne se rend pas forcément compte quand on n'a pas l'habitude. Mais c'est vrai que des lights qui accompagnent une musique, en fait, c'est comme un clip qui est nul sur une musique qui est bonne. [01:07:54] Speaker B: C'est que ça n'aide pas. [01:07:56] Speaker D: Et là, c'est un peu la même chose. Après, j'ai trouvé ça vachement bien. [01:08:01] Speaker E: Malheureusement, c'est quelque chose de récurrent ce problème de lights. [01:08:03] Speaker D: Surtout pour les premières parties. [01:08:05] Speaker E: Pour les premières parties, c'est quelque chose qui est souvent très dommageable. [01:08:08] Speaker B: Après, les couleurs étaient magnifiques. [01:08:10] Speaker D: Après, le truc, c'est que c'est le mec de la... Le lighters, c'était sûrement le mec de la salle qui fait l'accueil. Et puis, du coup, il tente des trucs. Voilà, c'est mieux. que rien, c'est un peu ce qu'ils se disent. Bon voilà, il y a le mec qui ne connaît pas forcément les morceaux ou il n'est pas forcément sensible à cette musique-là et du coup il ne va pas bosser. [01:08:31] Speaker B: Il n'a pas fait beaucoup d'efforts. [01:08:32] Speaker D: Non. Il fait ce qu'il peut, se lâche ce qu'il veut. [01:08:35] Speaker B: Non mais il jouait très bien, il a une voix extraordinaire. [01:08:39] Speaker D: Ça jouait super bien, il y a un côté un peu, moi je dirais un mélange entre PJ Harvey et Eddie Vedder dans le chant. [01:08:46] Speaker B: Pitch Harvey, c'est certain. [01:08:48] Speaker D: Edie Vedder, pas... Edie Vedder... [01:08:53] Speaker B: Solo. [01:08:54] Speaker E: Oui. [01:08:54] Speaker D: Après, elle n'a pas la voix d'Edie Vedder. C'est plus une manière de chanter, une manière de placer les mots, de faire durer les notes, des trucs comme ça. Sinon, très Pitch Harvey. La musique, très grunge. Mais j'ai trouvé ça super bien. [01:09:10] Speaker B: En plus, elle s'est habillée en petite fée. [01:09:12] Speaker D: Alors moi j'aurais dit en patineuse artistique sans strass, mais j'ai trouvé ça super bien. Ça manquait un peu d'engouement. [01:09:21] Speaker B: À un moment je me suis dit, j'aimerais bien, même quand ça pète qu'à la fin sur les deux morceaux. [01:09:27] Speaker D: Sur le dernier morceau ça pète. [01:09:28] Speaker B: Tu te dis, c'est dommage. [01:09:30] Speaker D: Ouais, ça manquait un peu de... [01:09:35] Speaker B: Après on s'est pris Frank Carter & The Rattlesnakes dans la tête et je me suis demandé si t'allais bien aimer parce que toi tu préférais évidemment quand c'était galose. [01:09:43] Speaker D: Ouais. [01:09:43] Speaker B: Et moi je sais que j'aime beaucoup beaucoup beaucoup le dernier album de Frank. [01:09:46] Speaker D: Carter & The Rattlesnakes. Non mais je l'aime aussi. [01:09:48] Speaker B: Et là, les morceaux, on voit bien le lien, sont quand même un peu boostés par rapport à l'album. Parce que c'est du live. C'est ce que j'allais dire, ouais. Et puis, je te laisse le dire parce que moi j'ai trouvé ça juste parfait, j'ai même pleuré. [01:10:00] Speaker D: Donc moi, qu'est-ce que je dirais ? Je dirais que déjà, ça joue, ça chante de ouf. Le son, il était hallucinant. [01:10:10] Speaker C: Au bon niveau. [01:10:11] Speaker D: Vous étiez dans quelle salle, vous disiez ? Bataclan. J'ai rarement entendu un groupe sonner aussi bien fort, mais pas trop fort. [01:10:21] Speaker B: Tout équilibré, il n'y avait pas de. [01:10:23] Speaker D: Trucs que tu n'entendais pas, tu entendais tout ce que tu devais entendre. C'était déjà un régal. Ensuite, Light Show, trop beau, simple, sobre, mais hyper efficace, plein de jolies petites idées, des trucs avec les ombres, ce backdrop un peu lamé, argenté derrière qui. [01:10:41] Speaker F: Vient... [01:10:44] Speaker D: Non mais vraiment plein de trucs. [01:10:45] Speaker B: Des petits effets de light. [01:10:49] Speaker D: Il y avait des petits effets de light, genre le moment où il y a de la pluie et tout ça là. Hyper bien fait, simple mais hyper efficace. Ça jouait super bien. En effet je suis d'accord avec toi, je trouve qu'ils arrivent à jouer des morceaux du premier album comme du dernier. et tout va bien ensemble. Il arrive à moduler sa voix parfaitement entre chant et cri. Quand il faut crier, il y va à l'ancienne, même plus que sur les albums à l'époque. [01:11:18] Speaker B: Et puis il saute bien en tous les sens aussi. [01:11:20] Speaker D: Vraiment, vraiment, j'ai trouvé ça incroyable. Eux, ils ont passé un bon moment, j'ai l'impression. [01:11:26] Speaker B: Le public était incroyable. Un public vraiment, mais genre, impliqué, mais alors à 2000% serve. Toutes les mains levées, tout le monde qui crie, tout le monde qui Des. [01:11:34] Speaker D: Circle pits en plein milieu des morceaux, je pense que c'est le groupe de rock qui a le public le plus hardcore dans l'attitude. [01:11:43] Speaker E: C'est ce que j'allais dire, c'est pas une constante justement chez Frank Carter que le public est vraiment au taquet, qu'ils savent en jouer, qu'ils savent justement bien le chauffer. [01:11:50] Speaker D: Ouais mais là du coup c'était vraiment... [01:11:52] Speaker B: C'est parti direct, c'est-à-dire qu'il n'y avait pas fallu 15 morceaux. [01:11:55] Speaker D: En fait ils ont rien demandé. Et le public était à balle du début à la fin. Enfin, je pense qu'ils ont été surpris et ça s'est vu une ou deux fois sur le visage de Front Carter où il allait voir Dean et il allait faire... Qu'est-ce qui se passe, quoi ? C'est quoi le délire ? Et au point qu'il a... On peut le dire qu'il a... Du coup, il y avait en plus sa. [01:12:14] Speaker B: Mère et son frère dans le public. Ah, j'avais pas compris qu'il y avait son frère. [01:12:17] Speaker D: Il y avait son frère aussi. [01:12:18] Speaker B: Sa maman, moi. À qui il a dit, je suis désolé. Alors là, moi, j'ai fait... Et d'ailleurs. [01:12:26] Speaker D: Il n'a pas pu la dernière chanson avant le rappel, il n'a pas pu la terminer, il s'est mis à pleurer. Et du coup, le public a chanté à sa place et puis il est sorti de scène parce que c'était la dernière chanson avant le rappel. Donc, je pense qu'il y avait de l'émotion. Et puis, il y a eu aussi cette chanson qu'ils ont jouée, qu'ils n'avaient pas jouée depuis. 2018, j'ai vérifié. Il n'avait pas joué de la chanson depuis 2018, c'est la chanson Paradise. C'est une chanson qu'il a écrite suite au... Si je ne m'abuse, elle a été écrite après les attentats du Bataclan. Il a fait un petit discours en disant que... Pour eux, ça voulait dire beaucoup de jouer dans cette salle et qu'ils étaient très contents de pouvoir le faire et que du coup, à l'occasion, ils rejouaient cette chanson. Je pense que les anciens fans étaient très contents parce que c'est une chanson vraiment old school où ça gueule beaucoup avec un message assez fort et qui parle du coup des fanatiques en fait, des problèmes de la religion et voilà. Et c'était un moment assez émouvant. [01:13:30] Speaker B: Il était très ému tout le long du concert. Surtout à partir de sa chanson. [01:13:35] Speaker D: Super moment. [01:13:36] Speaker B: C'était un très très bon concert. Je pense que ça peut être le meilleur concert de l'année 2024, sincèrement. [01:13:43] Speaker D: Sérieux contender aussitôt dans l'année. [01:13:46] Speaker B: Et puis j'ai hâte qu'il réannonce des dates parce que je pense qu'il va y avoir d'autres dates. En fait, ce qui est dingue c'est. [01:13:50] Speaker D: Que c'était En fait, si tu fais un chart sur le show, l'attitude, la musique, en fait ils ont des bonnes notes partout. C'est pas un show où le son est un peu pourri mais... l'énergie à compenser ou un truc comme ça. Là c'est vraiment, il n'y avait pas de flaws quoi. C'était vraiment... Je suis très content d'y être allé. J'avais pas vu Frank Carter en salle depuis longtemps. [01:14:17] Speaker B: Après Dean avait un superbe pantalon aussi. [01:14:21] Speaker D: Il va falloir parler des vestes trois quarts et des épaulettes chez les anglais. Je pense que c'est un fléau. [01:14:27] Speaker B: Il va falloir régler ça. Après je trouvais que ça lui allait bien, ça donne un côté artiste, mais c'était le seul dans le groupe qui t'habillait comme ça. Le deuxième guitariste est très mignon, moi je vais essayer d'en savoir un peu plus. Il est bienvenu. Bon, sinon j'ai préparé un petit agenda concert, ce que je ne fais pas, donc pour une fois, vous serez au courant pour ceux qui sont en direct de ce qui va se passer cette semaine et puis pour les autres, vous verrez quand vous aurez le truc, mais je fais sur deux semaines. J'ai quelques concerts, attention, écoutez bien, il faut se concentrer. Il y a Nothing More qui joue le 27 au Trabando, 27 février bien évidemment. Napalm Death qui joue le 27 aussi, mais du côté de Sarbreuk pour ceux qui sont dans le Nord-Est si je ne m'abuse. Il y a les groupes 1975, je les aime beaucoup donc c'est pour ça que j'ai noté la date. Désolé. [01:15:14] Speaker D: Et puis l'issue aussi, elle adore. [01:15:15] Speaker B: Oui, c'est notre petit côté mignonnette. Ils jouent aux élites de Paris quand même, c'est le 1er mars. Il y a grave de concerts d'ailleurs ce jour-là parce qu'il y a aussi les psychédéliques Porn Crumbs au Trabando, Slift à la cigale, c'est là où je vais aller moi, L'Isistrata du côté de Dijon, New Model Army au Transborder à Lyon, Mass Hysteria à Mérignac, Cattle Décapitation à la Machine du Moulin Rouge. Le 3 mars. Oui, toi t'y vas, c'est ça ? [01:15:38] Speaker E: Non, mais j'ai bien noté, j'ai bien vu passer l'info, j'ai été très tenté. [01:15:42] Speaker B: C'est 3 mars, mais tu vois, je me suis couvré, j'ai mis le premier. Bon, c'est pas grave. Je crois que c'est un dimanche, c'est pour ça. Sinon, le 2, il y a Yonaka aux étoiles à Paris. [01:15:49] Speaker D: Ah, ça, j'aurais bien aimé y aller, mais s'il vous plaît. [01:15:51] Speaker B: Je crois que c'est archi full, ouais. Et alors là, on nous a dit... Allez, vous pouvez vous faire un... Le 4 mars il y a Fever Ray à l'Olympia, il y a Madball à la laiterie à Strasbourg, les vieux sont toujours là. Pas pour Fever Ray mais pour Madball. Le 5 mars il y a Le Prousse à Lyon, c'est très bon aussi. Cold Rain c'est asiatique, c'est un petit coucou pour Kelly si vous connaissez pas sa chronique, ça s'appelle l'actualité rock d'Asie, c'est disponible en podcast. Ils seront le 6 mars du côté du backstage où Sullivan c'est à Paris. Le 7 mars Born of Osiris à Sarbreuk. Le 9 mars, Perséphone et Hypnose au Black Lab, ça c'est du côté de Lille, c'est une nouvelle salle, c'est assez petit, c'est avec une bonne programmation. Et puis enfin pour terminer, j'ai gardé le meilleur pour la fin. Mais moi je les aime bien Kyo ! [01:16:34] Speaker D: Et puis il faudrait que tu cours tous les jours. [01:16:36] Speaker B: Bah oui je cours. Enfin ouais. Enfin je cours dans ma tête. [01:16:39] Speaker D: Faut vraiment qu'on arrive à les recevoir parce que ils... [01:16:42] Speaker B: Ils sont métal. [01:16:42] Speaker D: Ah ils sont métal. [01:16:43] Speaker B: Ils sont métal donc j'aimerais mieux effectivement qu'on les salue. [01:16:45] Speaker E: Sachez-le, c'est en projet depuis des mois. [01:16:48] Speaker D: Bah ouais mais ils sont occupés. [01:16:49] Speaker B: Apparemment ils sont un peu occupés. [01:16:50] Speaker E: Apparemment ils sont occupés, ils ont des dates prévues. [01:16:53] Speaker B: Voilà c'est ça. Il y a Manon qui est sur le chemin qui dit moi je serai Kyo ! Voilà. Ils sont du côté de Lyon, donc de toute façon on pourra pas y aller nous. On s'en va. Du coup voilà, on met un petit clip de Frank Carter, ça va de soi. Et on se retrouve juste après, normalement, si tout se passe bien, on sera encore vivants. [01:17:26] Speaker C: Nous venons tous d'une explosion dans le ciel Un jour, il n'y avait rien Et le lendemain, il y avait la vie Et tous les rivières et les montagnes Et le soleil et la lune Et puis, tout d'un coup, c'est la pluie et la pluie C'est de la merde Mais il n'y a pas de contrainte Il n'y a pas de sécurité et personne n'y croit Et si c'est le cas, Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org People everywhere will try to bring you down Those jealous motherfuckers, they will try and take your crown It's easy for them to put you in a box Keep you safely locked away Because they hate you when the ball's dropped But fuck'em all, they don't tell us who we are So when they try and lock you up Go and get the fucking ball back It's a trap and there's no comfort Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org WAKE! Il n'a pas de contrôle La tue c'est cruel ! [01:23:30] Speaker B: Le monde est en fer, la porte brûle ! Elle est là en tout cas, au milieu du jardin, mais elle est là la porte. Shine Down, c'est simple, c'est efficace. Je ne savais même pas qu'ils allaient sortir un nouveau clip. Je suis tombé là-dessus, je me suis dit, ça va, c'est un truc qui est cool. [01:23:47] Speaker D: Moi je me suis rendu compte en regardant que je n'avais jamais vu les mecs de Shine Down en mouvement. C'est compliqué. C'est un peu ringos quand même. [01:23:57] Speaker B: Si, c'est ringos, mais ça marche très bien aux Etats-Unis. C'est FM, tu vois ce que je veux dire ? [01:24:04] Speaker D: Five Figure Death Punch. [01:24:05] Speaker B: C'est dans la même veine, mais sans les costumes de Père Noël. [01:24:09] Speaker D: Clownesque. [01:24:12] Speaker B: Clownmasque. Five Figure Death Punch, ils ont sorti des nouveaux morceaux, mais je me suis permis de ne pas... Ils ne s'arrêtent jamais, attention. Je crois qu'ils ont fait un duo en live avec Machine Head. [01:24:23] Speaker D: Ah bah ! [01:24:23] Speaker B: Bingo ! [01:24:25] Speaker D: Qui se ressemble, ça semble. [01:24:27] Speaker E: Une belle association de malfaiteurs, comme on dit. [01:24:31] Speaker B: C'est ça d'or, mais... [01:24:31] Speaker D: Pauvre Robert. [01:24:32] Speaker B: C'est bien, moi j'aime bien, mais voilà. Bon c'est vrai qu'après... Bon voilà. Alors, mon petit enjoy the noise, avant de recevoir les chargottes qui sont arrivées et qui sont en train de se substocker en ce moment même, nous allons parler d'un... d'un vieux groupe. [01:24:48] Speaker E: Oui, je suis toujours parti dans ma petite veine indue, c'est pourquoi pas parler des tontons ? Killing Joke du coup. [01:24:57] Speaker B: Qu'est-ce qu'il fait lui ? Oui, je l'ai vu aussi. [01:24:59] Speaker E: Il m'énerve. [01:25:00] Speaker B: Ah ouais, le mousson, il m'énerve aussi, il mangeait. Bon, donc Killing Joke. [01:25:06] Speaker E: Bah ouais, bah Killing Joke du coup, les tontons du game, les tontons anglais, donc 45 ans de carrière, une influence Jazz Coleman, voilà. Merveilleux. Lui pour le coup, Jazz Coleman, c'est le tonton chelou, on va pas se mentir. [01:25:20] Speaker B: Ouais, mais super brillant. [01:25:21] Speaker E: Ah oui, bah brillant, charismatique et tout. On comprend pas exactement tous ses délires non plus, genre. Allez enregistrer dans la pyramide de Khéops pour pandémodium, tout ça dans un but ésotérique, ou bien... Surtout que la vérité. [01:25:37] Speaker D: C'Est qu'il l'a enregistré dans ses chiottes et qu'il a jamais foutu les pieds en Égypte. [01:25:43] Speaker E: C'est une chambre funéraire. [01:25:45] Speaker B: Une pyramide odorante, c'était pour aller dans les toilettes. C'était un brûlant sang. On les aime hein, Killing Joke. [01:25:55] Speaker D: Désolé, on révèle la vérité. [01:25:58] Speaker B: La vérité sur les pyramides. La révélation des pyramides. Donc oui, Killing Joke, je laisse continuer. [01:26:06] Speaker D: Aussi, je vais s'arrêter. [01:26:07] Speaker E: Et Jazz Coleman aussi, qui nous a fait tous une petite blague en 2012 quand il avait disparu pendant 15 jours. Tout le monde le cherchait. Et le mec il se pointe 15 jours plus tard en mode « Ah mais j'étais juste parti faire une petite expérience transcendantale dans le Sahara, voilà, donc quoi, des concerts prévus ? Non je sais pas, je m'en rappelais plus. » Mais à part ça, Killing Joke, 45 ans de carrière, une influence énorme sur toute la scène, toute la scène rock et métal, notamment toute la scène industrielle qui a suivi derrière. Groupe vraiment de mavericks qui tracent leurs propres routes et qui se sont réinventés régulièrement. Ils sont passés de la New Wave, post-punk, jusqu'au Metal Prog. C'est mes abus de langage. Jusqu'au Metal Indus de plus en plus dur. Même quand ils jouent en concert maintenant, ils jouent leurs anciens morceaux, mais en version Indus un peu vénère, histoire d'homogénéiser un petit peu la dynamique entre les morceaux. Je les ai vus en 2022 au Hellfest, en fin de soirée, c'était vraiment très intense. [01:27:11] Speaker B: Il était maquillé ou il n'était pas maquillé ? [01:27:13] Speaker E: Je crois qu'il n'était pas très maquillé. Je crois qu'il ne se maquille plus, Jazz Coleman. [01:27:18] Speaker B: Ça faisait peur. [01:27:20] Speaker E: Mais rien qu'avec le light show, déjà, avec le contraste sur les visages, les ombres, ça faisait déjà le taf. Et puis voilà, Killing Joke, encore un petit hommage à Geordie Walker, le guitariste qui est décédé tout récemment aussi, qui était pour beaucoup dans les compositions et le succès du groupe. Et le morceau que j'ai choisi, c'est un morceau que j'aime énormément, que j'aime beaucoup écouter quand je marche la nuit, ou bien même quand je fais du sport, et le morceau c'est Euphoria, qui date de 2015, qui est un morceau qui est plutôt récent, et qui est un morceau que j'aime énormément. [01:27:53] Speaker B: Bah voilà, Killing Joke, de toute façon on les aime bien, et on va regarder le clip juste avant de recevoir les chargottes, ça arrive d'ici quelques petites minutes. A Nightly Business Report, you may have. [01:32:26] Speaker C: Heard me talk about the daily combat between the bulls and bears of Wall Street. But as you can see here on the floor of the New York Stock Exchange, there are no wild animals in sight, only thousands of very human traders who are all here with one very human objective, to make money. You're not a victim, you're not a weak man You decide to take us, but you did not consider us So now we are all hungry, you try to explain to me You've been over the ice So I don't believe life, I can't believe life You can't believe we're best friends So I don't believe life, I can't believe life Don't get. [01:35:11] Speaker B: Me, why you hatin' me ? [01:35:12] Speaker C: So I don't believe life, I can't believe life You can't believe we're best friends So I don't believe life, I can't believe life Don't get me, why you hatin' me ? So I don't believe life, I can't believe life So I don't believe life, I can't believe life So I don't believe life, I can't believe life C'est le mec malin. [01:37:18] Speaker B: Eh oui, j'aime beaucoup ! J'étais en train de me marrer comme un con, donc j'ai essayé de reprendre un peu mes esprits, mais c'était un clip de Chargott, nos invités ce soir. Chargott, qui sont donc nos invités dans Bang Bang. Bonsoir ! [01:37:31] Speaker F: Eh ben salut les gars ! [01:37:34] Speaker B: Merci déjà d'avoir accepté notre invitation, d'être venu jusqu'ici au studio. Et je vous préviens direct, juste, je vais vous poser des questions assez bateaux parce qu'il y a des tas de gens qui forcément ne vous connaissent pas. Et moi, je suis une merde concernant votre discographie. Je sais, il y a trois albums. [01:37:51] Speaker D: Pas que concernant leur discographie. Ça tire à balder, c'est bien. [01:37:57] Speaker B: Vous avez le droit de nous vanner aussi. De toute façon, nous on se connaît déjà. En vérité, on fait comme si... On côtoie des endroits similaires. On se voit pour le travail, on se voit pour des tas de choses. Donc on se connaît. Etienne et Clem, on est bien récords. Chanteur et bassiste. [01:38:17] Speaker F: Ça lui arrive. [01:38:21] Speaker B: En fait je me suis dit, attends, je vais pas te dire une connerie, mais tout à l'heure t'as dit oui mais là on entend la base dans Cold Chamber, c'est cool, je me suis dit ah oui, souviens-toi de ça ! Ça va t'aider ! On voit qu'il a préparé le film ! Alors je ne prépare jamais rien, non non ! Mais en vrai, vous êtes ici parce qu'il y a eu la sortie de votre troisième album qui s'effectuait en fin d'année 2023. Et il y a eu plein plein de dates de concert, dont en Elysée-Montmartre aussi. Oh yep ! Où était notre monteur vidéo Marcel ? Comme je vous l'ai dit, il vous aime beaucoup. Oh, merci Marcel ! Coucou Marcel ! Je sais pas quand tu l'as annoncé, parce que moi je vais pas lui dire, je vais laisser un peu la surprise. [01:38:58] Speaker D: Il m'a fait, mais c'est qui du coup l'invité dimanche ? [01:39:01] Speaker B: J'ai rigoté, il a fait... Y'a pas. [01:39:06] Speaker D: Plus de détails sur ce qui s'est passé mais je pense que... [01:39:10] Speaker B: C'est sorti ! Y'a pas besoin, on veut pas tout savoir. Bon alors, chargotte, alors déjà est-ce que je le dis correctement ? Parce que comme il y a l'accent... [01:39:20] Speaker F: Techniquement il faut le dire chargotte, mais bon, ça passe. [01:39:23] Speaker B: Ouais, on va pas nous punir. [01:39:25] Speaker F: Non, non, tout va bien, t'inquiète pas. C'est pas après ça que j'en aurais, c'est surtout des orthographes diverses et variées qu'on a à chaque fois dans les programmations, des fois on nous rajoute un A, on nous enlève un H... [01:39:36] Speaker B: C'est-à-dire que tu veux dire que les gens ne savent pas écrire en fait ? Il suffit de le lire pour l'écrire. [01:39:40] Speaker F: Il y a une salle que je nommerai pas quand même où une fois ils ont fait la programmation sur deux mois à l'avance et tout était peint à la main. Ils ont passé du temps à le faire vraiment, ils se sont fait chier. Ils ont quand même réussi à le mouler. De toute façon, une faute quoi. Pendant deux mois il y a ce super beau truc avec une énorme faute au milieu qui va rester là. [01:39:59] Speaker B: Et puis les gens vont sûrement retenir la faute aussi, mais c'est la merde. [01:40:02] Speaker F: Mais je le sais, parce que des fois quand je regarde sur le moteur de recherche de YouTube, je vois ce que les gens tapent pour arriver sur. [01:40:08] Speaker B: Le groupe, je suis genre « oh putain ». Chargoat ? Ouais, Chargoat. Bon, alors, Chargoat c'est un groupe parisien, ça fait depuis combien de temps que vous existez ? Depuis 2011 au moins, un truc comme ça ? [01:40:23] Speaker F: Le projet a commencé à être réfléchi en 2011 mais le vrai point de départ que je vous donne au projet pour moi c'est 2015, c'est notre toute première date parce qu'en vrai on a commencé à se rencontrer Bruno et Olivier et moi en 2013, on a commencé à bosser doucement puis c'est à partir de 2015 qu'on a vraiment commencé l'aventure. [01:40:45] Speaker B: C'est vous trois ou c'est toi la tête pensante du projet ? [01:40:49] Speaker F: Alors je suis la tête pensante des trucs, que ce soit au niveau des visuels ou des compos pratiquement, la grande majorité des choses viennent de moi. Après je bosse tantôt un petit peu... ou avec Clem, ou avec Bruno, ou avec Paul, le petit dernier qui est arrivé chez nous il n'y a pas longtemps. [01:41:05] Speaker D: Il est rentré comme stagiaire, puis on. [01:41:06] Speaker B: A décidé de le garder. [01:41:08] Speaker F: Alors, il faut savoir un truc, c'est qu'à chaque fois qu'un zico s'est arrivé dans la charcotte, il a toujours fait autre chose que de la musique à la basse. Toi, t'as commencé en faisant de la régie chez nous. Lui, il nous faisait des trucs, il nous a fait de la régie aussi, il nous prêtait du matos vidéo. Bon allez, c'est bon. [01:41:23] Speaker B: Il reste encore un peu de place. [01:41:27] Speaker A: Moralité, pour entrer dans un chargois, il. [01:41:29] Speaker B: Faut faire de la régie. [01:41:31] Speaker F: D'ailleurs, on cherche un régisseur. [01:41:34] Speaker B: Mais au bout d'un moment ça va faire du monde parce que vous êtes quand même beaucoup dans le chargotte. [01:41:38] Speaker F: On commence déjà à être un petit peu... On est quand même neuf. [01:41:41] Speaker B: Ouais c'est ça. Ça fait du monde. C'est quand même pas le truc le plus... On t'a mis directement la question. C'est quand même pas le truc le plus simple pour faire des concerts. [01:41:47] Speaker F: Non. [01:41:47] Speaker A: C'est la limite d'un permis B neuf. [01:41:53] Speaker B: Non mais c'est toujours un problème, on nous dit souvent que pour programmer des groupes, bon ben quand ils sont deux c'est bien. [01:41:59] Speaker F: Surtout en ce moment ouais. [01:42:00] Speaker B: Quand ils sont neuf, bon on peut faire venir Slipknot mais... Bah ouais c'est. [01:42:05] Speaker F: Ça, après neuf on compte l'équipe technique avec nous. On n'est pas neuf sur scène, on est cinq et demi parce que du coup il y a le performer, voilà. [01:42:15] Speaker D: J'ai cru que t'allais dire Le Père Fouras et R.G. [01:42:19] Speaker C: ! [01:42:19] Speaker D: Le projet va plus loin que ce que j'imaginais ! [01:42:21] Speaker F: Attends, on vient de commencer là ! [01:42:25] Speaker B: Du coup, c'est principalement de l'induce, mais il y a un univers, ce n'est pas qu'un groupe qui fait de l'induce. Clairement, il y a un vrai projet visuel et créatif. Dans ta tête, au début, c'était quoi l'idée ? C'est venu d'où ? Parce que quand on regarde, on se dit peut-être qu'il est un peu torturé quand même. [01:42:45] Speaker F: T'as trouvé ça tout seul ! [01:42:46] Speaker B: Parce que je le suis aussi ! Il l'a lu sur la page Wikipédia, je crois. [01:42:55] Speaker F: En gros, l'idée c'était de faire un projet transmédia. Pas juste du son, il fallait qu'il y ait une dimension, un vrai lore, un vrai univers qui puisse se décliner sur pas mal de choses, que ce soit du graphique, de la BD. du jeu de rôle, on est en train d'écrire les règles en ce moment. Ça pourrait très bien se faire en jeu vidéo, mais on n'a pas les moyens. [01:43:17] Speaker B: Bientôt, ça viendra ! [01:43:18] Speaker F: Court métrage, t'as vu effectivement ce que ça donnait. Après l'idée, c'est aussi de faire un film ou une série, mais bon, ça, on va attendre un petit peu. [01:43:26] Speaker B: Oui, mais il y a des envies. Ce que je veux dire, c'est que dans ta tête, dès le début, t'as vraiment eu cette vision de décliner ça. [01:43:33] Speaker F: J'ai fait beaucoup de choses dans ma tête. On est très nombreux. [01:43:38] Speaker B: Pas pour penser tout ça, j'espère. Parce que tout seul, sinon ça fume. Peut-être que ça fume quand même. Oui. Non mais c'est cool. T'avais quel âge quand tu... Du coup, parce que je connais pas ton âge, excuse-moi, mais... Ouais, je crois qu'on est à peu près dans les mêmes noms. T'es peut-être plus jeune que moi. [01:43:53] Speaker D: Ouais, il est plus jeune. [01:43:53] Speaker B: Ouais, t'es plus jeune. [01:43:54] Speaker F: Alors, le jour où j'ai chassé les marchands du temple à Nazareth... Ok, on. [01:44:00] Speaker B: Va passer à des sujets... Non mais parce que c'est quand même hyper complexe. Tu voulais travailler dans les jeux vidéo ? C'est quoi ta formation ? [01:44:09] Speaker F: Je suis monteur vidéo en fait et je voulais faire du cinéma et au final je fais de la musique. Super, j'ai rien compris. Tu fais trois ans d'études pour en arriver là. [01:44:17] Speaker B: Mais c'est sûr que la musique ça rapporte un petit peu moins que le cinéma. Encore faut-il te percer dans le cinéma. [01:44:22] Speaker F: Ouais, surtout c'est l'univers du cinéma qui me parlait pas plus que ça. Je suis arrivé avec beaucoup d'idées et je me suis tapé des grosses désillusions pour la suite. Ok d'accord, c'est comme ça. [01:44:33] Speaker D: Beaucoup d'idées, beaucoup de déceptions. [01:44:35] Speaker B: De la musique un peu violente. [01:44:38] Speaker F: Ouais c'est ça, et en fait c'est un type chez qui justement je voulais me faire recruter qui m'a dit ouais vous avez l'air d'être un super momentaire, c'est super cool, on s'entend bien, par contre je vous prendrai pas. [01:44:46] Speaker B: Ah bon ? [01:44:49] Speaker F: Ok, on avait fait une heure d'entretien, ça s'est super bien passé. Il me fait, non non, mais c'est pas vos capacités techniques le problème en fait. C'est à un moment, on a parlé musique et là j'ai vu qu'il y avait un truc qui s'était allumé en vos yeux. [01:45:00] Speaker B: Je lui ai donné un conseil. [01:45:02] Speaker F: Je lui ai donné un conseil, faites de la musique. Allez, bonne journée monsieur Bianchi. Donc je suis parti de là, j'étais mi-content, mi-vénère. [01:45:08] Speaker B: Je me suis dit, putain, l'enfoiré il m'a pas pris. Bah j'avais besoin de taver, merde ! [01:45:13] Speaker F: Puis 2-3 jours je me suis dit en fait ouais y'a peut-être raison. Bon allez, au boulot, on va s'y mettre sérieux. [01:45:17] Speaker B: Ok, putain comme quoi ça peut partir de choses... Parce que t'avais pas envie ? Tu n'y croyais pas ? Ou c'est que tu n'y avais même pas pensé ? [01:45:24] Speaker F: En fait c'est que je voulais faire ça sur le côté. Je me disais bah il me faut un bon taf en montage vidéo puis après je pourrais faire ça sur le côté. Bon en fait on va tout simplement aller niquer sa race et on va faire ça à fond et on va bouffer des pâtes. [01:45:39] Speaker D: Et c'est bon les pattes finalement, l'humanité est impropénie ! [01:45:41] Speaker B: Bah oui moi j'aime beaucoup du coup ça me pose pas de problème ! Non c'est sûr que c'est pas le métier, en tout cas le choix qui permet de vivre correctement on va dire... [01:45:51] Speaker F: Bah si je voulais de l'argent j'aurais pas fait ce métier oui... [01:45:53] Speaker B: C'est marrant parce que c'est ce que tout le monde dit hein... Ça revient. [01:45:57] Speaker D: Vraiment toutes les semaines ! [01:45:58] Speaker B: Tu sais même ceux qui marchent bien ils font... C'est pas comme ça quoi... Ah bah. [01:46:04] Speaker F: J'Ai lu Slipknot qui disait ça y'a pas longtemps, en fait on gagne pas tant que ça les gars... [01:46:09] Speaker D: Je pense que je vais bien être. [01:46:11] Speaker F: À leur place quand même, je veux bien son portefeuille à lui, je pense qu'il est un peu plus garni que le mien. [01:46:15] Speaker D: Après la drogue est chère aux Etats-Unis. [01:46:18] Speaker F: Ouais mais t'en trouves partout visiblement. [01:46:21] Speaker B: Trop ! [01:46:22] Speaker F: C'est ça, en fait l'Amérique c'était un grand Stalingrad. [01:46:27] Speaker B: Je vous ai demandé de choisir des morceaux aussi pour illustrer un petit peu tout ce qui vous a construit, ce qui vous a fait. Ou déconstruit d'ailleurs. Vous me le direz. Et j'étais plutôt content parce qu'on a du coup le premier morceau c'est Korn avec Here to Stay. Alors je suis méga fan de Korn, je pense que je vais s'en ficher avec ça. Mais qui a choisi Korn ? C'est toi ? [01:46:51] Speaker F: Oui parce qu'en fait les musiques que j'ai choisis, c'est qu'en fait je savais pas encore qui était dispo à ce moment là. Roger il m'a dit vite vite vite faut m'envoyer quelque chose tout de suite. Quand Roger dit vite, faut faire vite. [01:47:03] Speaker A: Il y en a les mêmes goûts. [01:47:05] Speaker F: Voilà à peu près. Trois différences près, mais oui... Donc et. [01:47:08] Speaker B: Korn, pourquoi Korn ? [01:47:13] Speaker F: Parce que c'est le premier vrai morceau qui m'a collé une baffe monstrueuse. J'avais déjà écouté deux morceaux un petit peu à... violent, on va dire, avant ça. C'était Still Waiting de Sum 41 et The Game de Disturbed, mais genre sur un autoradio, mais tout pété. Il y avait un son de merde. Et là, je vais chez un pote, il me dit, attends, je vais te faire écouter un truc. Et là, il avait un système de son, mais énorme. [01:47:38] Speaker B: Il m'envoyait Art of Stay. [01:47:41] Speaker F: Je n'ai pas su si j'aimais ou si je n'aimais pas, mais j'étais impressionné parce que c'est la première fois que j'entends un son aussi grave et aussi sale. Qu'est-ce que c'est ? Vas-y, file-moi le CD, je vais réécouter. En fait, je crois que j'aime bien. Mais j'en étais pas sûr au départ. [01:47:57] Speaker B: Parce que c'était vraiment... [01:48:00] Speaker F: Je me suis pris un mur de. [01:48:01] Speaker D: Son, je me suis dit... Qu'est-ce que c'est ? La première fois, il faut s'acclimater un peu à ses sonorités, parce que c'est vrai que Korn, quand ils sont arrivés, il n'y avait quand même qu'eux qui faisaient des trucs comme ça. [01:48:12] Speaker B: Oui, c'était sur la Fizz Pitchi, effectivement. Ma sœur m'avait fait écouter, j'ai dit « c'est nul ». Bon, j'écoutais Bon Jovian. [01:48:18] Speaker D: Mais tu as gardé la foi, finalement. Tu en finis sur son lit de rose. [01:48:25] Speaker B: Non mais elle m'a filé les paroles, elle a fait « Tiens, lis ça » et puis « Regarde, tu reviendras ». Et puis j'ai fait « Mais j'ai compris ». J'ai compris, moi aussi. Je suis sous ma douche habillée, j'ai fait comme ça. Moi aussi je veux qu'on m'appelle Achivée. Bon, on va regarder ça, on va regarder deux clips et puis juste après j'ai plein de questions à vous poser sur justement ce qu'il y a eu avant cette envie de faire de la musique. [01:50:06] Speaker C: J'ai un problème avec la manière dont je m'habille Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est la fin de l'aventure Je peux m'arrêter de regarder dans tes yeux C'est un autre désastre Mais c'est leur siècle et un On s'en va avec moi ! Je suis cassé, battu et blessé Dans la grève de ma vie d'avant J'envoie les blessures, les frappes et la mort Sur l'arbre d'un couteau de jack C'est la première fois que j'envoie des vidéos sur la chaîne YouTube. C'est un truc qui m'intéresse. [01:56:33] Speaker B: Lève ton doigt ! Est-ce que cette phrase est passée dans les micros ? Elle est bien passée dedans, oui ! [01:56:42] Speaker F: Il n'y a pas que la phrase qui est passée. [01:56:44] Speaker B: Ben non, le doigt a priori. Bon, bah voilà, c'est ça. Mais c'était très agréable. De 11 rires à l'instant dans vos oreilles, dans vos yeux, dans Bang Bang. Vous le savez, c'est tous les dimanche soir, c'est le live métal, le live Twitch métal. N'hésitez pas à liker la page, à cliquer sur le petit cœur pour ne rien louper. Et puis en discuter, en parler autour de vous. Et point d'exclamation, bang, pour rejoindre notre page YouTube. Comme ça, vous avez les replays, vous pouvez commenter, critiquer positivement, négativement, on s'en fout. Du moment que c'est quand même dans le respect. [01:57:12] Speaker D: De toute façon, on ne les lit pas. [01:57:15] Speaker F: C'est bien. [01:57:18] Speaker B: Ça fait gagner du temps. En plus c'est faux. C'est faux parce qu'on les lit, c'est juste que quand il n'y a pas de questions, forcément on répond pas. [01:57:24] Speaker D: Et quand on nous dit qu'on est des merdes aussi, on répond pas. [01:57:26] Speaker B: Bah non parce que c'est pas très constructif. [01:57:29] Speaker D: C'est vrai, on va pas en trop dire quand même. [01:57:32] Speaker B: C'est vrai qu'on ne peut pas non plus aller à l'encontre de quelques vérités. Ce soir, nos invités, c'est Chargott. On continue donc avec des questions autour de votre vie. On parlait donc du fait que tu as découvert ça avec Korn et avec un pote, qu'avant il y avait eu un peu somme fortière, mais du coup c'était quoi ? [01:57:50] Speaker D: C'est valable pour plein de choses cette phrase, non ? Découvrir un corne et un pote, non ? [01:57:55] Speaker B: Alors moi, il n'y avait pas encore corne. Le pote était bien là, mais il n'y avait pas de corne. C'était mon voisin. Première révélation. De toute façon, il ne peut pas me voir. Enfin si, il peut me voir, mais je doute qu'il regarde. Avant d'écouter du métal, quand vous étiez plus petit, c'était quoi la musique qui faisait votre vie ? Non mais vous avez le droit de le lire. [01:58:14] Speaker F: A moins que vous n'ayez pas du. [01:58:19] Speaker B: Tout envie de le dire. [01:58:20] Speaker F: Ça reste que de la musique. Il se trouve que j'avais un père ingé son qui ne m'a pas du tout fait partager sa culture musicale. Je lui en veux beaucoup pour ça. Du coup, j'ai passé la grande partie de mon enfance à bouffer Chant de France. Parce que je ne savais pas qu'il y avait autre chose qui existait et quand je suis rentré au collège, j'écoutais NRJ comme tous les toccards de ma. [01:58:40] Speaker B: Classe parce que tout le monde écoutait NRJ. En même temps c'est le collège, tu ne peux pas non plus... [01:58:44] Speaker F: C'était le néant musical. Pas vraiment de passion particulière pour la musique, y'a rien qui me faisait vibrer. [01:58:53] Speaker D: Du son c'est cool, point. T'écoutes quoi ? [01:58:58] Speaker B: Oh la radio ! [01:58:59] Speaker D: T'avais pas encore trouvé ton... [01:59:01] Speaker B: C'est marrant ça, parce que du coup avec la carincoula vous avez cette avancée dans votre carrière de chargote, on pourrait croire que ça venait de bien loin et que t'avais vraiment l'envie de faire de la musique. Toi Clem, t'écoutais quoi quand t'étais... [01:59:14] Speaker A: J'étais petite, j'arrivais à me mémoriser ce que j'entendais. C'est-à-dire, j'entends une pub, la purée mousseline. [01:59:28] Speaker B: Le derrière d'homme à la radio, tu veux la voir ? [01:59:32] Speaker F: On a chaud en France, les jingles publicitaires, tu vois l'équipe de bras cassés ? [01:59:35] Speaker B: Heureusement, il y a l'induce ! [01:59:41] Speaker A: Donc je sentais que j'avais une petite connivence là-dessus, mais pas de passion particulière. [01:59:47] Speaker B: Non mais attends, c'est ce qui a fait que vous avez fait de l'induce avec le message que vous passez, parce que là, on est carrément dans un mur qui sépare cette vie d'avant et cette vie d'aujourd'hui. [01:59:55] Speaker A: Tu veux le lien entre les deux ? [01:59:57] Speaker B: Bah non ! Le parcours ! Du coup, nous on connaît le sien, mais toi, c'est à quel moment du coup que les musiques alternatives un peu plus... amplifiées arrivent ? [02:00:08] Speaker A: Moi, quand j'étais petite, j'étais bizarre. [02:00:12] Speaker D: Est-ce que ça a vraiment changé ? [02:00:15] Speaker A: Est-ce qu'il y a une frontière ? Et je ne trouvais pas trop ma place. Et donc, ce que je faisais, c'est que j'étais beaucoup seule. J'étais intéressée par beaucoup de choses, mais je ne me sentais pas très bien dans le monde. [02:00:29] Speaker F: Et j'ai. [02:00:32] Speaker B: Jamais appris à lire ! [02:00:36] Speaker A: Et du coup, ce que je faisais, je sais pas, j'étais petite, j'avais 9-10 ans, je dormais pas la nuit pour pouvoir jouer, lire, tout ça, et je dormais sur les tables à l'école. Désolée mes chers professeurs. Et un soir, je t'ai tombé, donc en zappant à la télé, il y avait, je sais plus chez qui j'étais, mais il y avait CanalSat. Alors je ne suis pas tombée sur quelque chose de porno. Et je me rappelle que c'était en 2003-2004 sur une chaîne, je ne sais pas si c'était MCM, je ne sais plus mais en tout cas l'émission c'était Ultrametal. Et donc j'étais là, jeune enfant, innocente, et je suis tombée sur l'ultra métal spécial Soulfly, avec des clips de robes zombies et tout, et j'étais là, je me suis dit mais je n'ai aucune idée de ce que je suis en train de regarder, mais c'est ça, c'est ce qui se rapproche le plus de ma vie, c'est vous dire ! [02:01:38] Speaker B: Et je suis restée dedans. Et j'en ai fait... Ouais, tu t'es sentie concernée par ça, et tu t'es dit attends, mais c'est des oufs et tout, c'est cool, ils se prennent pas la tête, ils font... Ils sont cools quoi. [02:01:53] Speaker C: C'est ça ? [02:01:53] Speaker A: Non, c'était au-delà d'être cool. Il y avait une esthétique et ce que j'entendais me parlait. Les sensations, les sonorités, tout ça. [02:02:01] Speaker D: Ça vibrait. [02:02:02] Speaker A: Ouais, complètement. Ça fait tic. Et donc je suis allée chercher dedans. Je suis allée acheter Prophecy de Soulfly à Leclerc. [02:02:13] Speaker B: Dans ce magasin de village. [02:02:16] Speaker A: Le centre Kul. [02:02:19] Speaker B: C'est joli ! [02:02:26] Speaker A: Et voilà, du coup ça a été ma passion, et puis comme je savais rien faire d'autre, c'est devenu mon métier. Voilà. [02:02:33] Speaker B: D'accord. Non mais t'as fait une formation, t'es ingéson, on est d'accord. Ah oui, oui, oui. [02:02:36] Speaker A: Oui, j'ai fait du conservatoire, j'ai fait des études d'ingéson et tout ça, mais... [02:02:40] Speaker B: Ouais, donc attends, c'est pas devenu comme ça. Ah non, j'ai jamais dit que c'était devenu comme ça. [02:02:43] Speaker A: C'est le chemin que tu as pris. Non, alors ce que j'horreur, c'est les artistes qui font un mois chez moi, c'est un don. [02:02:49] Speaker C: Ça nous vient comme ça. [02:02:51] Speaker A: Non, c'est des années de travail. Pour arriver à ça, c'est triste. [02:02:55] Speaker B: Putain des années de travail pour que les mecs ils jouent sur deux cordes maximum et font deux accords par morceau. C'est waouh ! Putain le travail quoi ! [02:03:05] Speaker A: Ma famille ils se sont dit voilà je crois que je veux faire de la musique, du solo tout ça. [02:03:09] Speaker F: Déjà ils ont dit un on te déshérite. [02:03:11] Speaker A: Non pas du tout eux ils étaient dans les transports routiers. C'est mon côté pouet-pouet c'est bon. Et eux, c'est des gens très terre-à-terre. Tu veux faire de la musique, c'est bien, tu te sors les doigts du cul et tu bosses. Du coup, j'ai bossé. [02:03:34] Speaker F: Allez au taf les feignasses. [02:03:36] Speaker B: C'est quelque chose qui revient aussi à beaucoup d'interviews. [02:03:40] Speaker A: Je suis vraiment anti le discours, chez moi c'est naturel, ça vient comme ça, je me lève. Parce qu'après, ça soutient le côté, c'est pas un métier, c'est une passion. Et t'as des gens, ils font des métiers qu'ils aiment, c'est un vrai métier, ils sont payés quand même. [02:03:59] Speaker B: Ils ont chié quand même. Ils font ce qu'ils aiment, mais c'est quand même très dur. [02:04:03] Speaker A: Ouais, c'est pas non plus la mine. [02:04:15] Speaker B: Bon et donc du coup après Chargotte on a parlé de ça arrive et il y a cet univers mais est-ce qu'il y a un message dans Chargotte en dehors de cette histoire qui est racontée parce que tu avais envie de faire des films mais il y a bien un sentiment que tu as envie de développer, il y a quelque chose que tu veux laisser transpirer ? [02:04:32] Speaker F: Bah déjà, comment dire, c'est de la sueur ! [02:04:35] Speaker D: Déjà de la sueur apparemment ! [02:04:36] Speaker B: Devine ! [02:04:38] Speaker F: C'est un univers cyberpunk donc forcément dystopique donc forcément oui c'est une critique au vitriol de notre société actuelle mais je ne le formulerai jamais comme ça dans mes textes. C'est, il y a plusieurs niveaux de lecture en fait dans cet univers là mais je vais jamais vous dire des trucs en mode ça c'est pas bien etc. Au contraire parfois je vais peut-être même prendre le contre-pied et parler du bienfait du cannibalisme alors qu'en fait bon je suis pas du tout cannibale une seule seconde, rassure-toi mais... [02:05:07] Speaker B: Je peux dire qu'il en a bouffé un paquet lui. Certaines que je n'ai pas digérées. Elles sont ressorties intactes. [02:05:20] Speaker F: Mais oui du coup il y a plusieurs interprétations possibles et c'est pour ça que j'ai pas envie d'être trop précis non plus sur ce que je veux dire histoire de laisser chacun se faire un petit peu son petit film quoi. [02:05:30] Speaker B: Oui ok et puis de toute façon c'est de l'art donc effectivement tout le monde l'interprète comme il veut. Mais parce que quand on regarde quand même, c'est vrai que... [02:05:39] Speaker D: C'est un peu comme tes questions, Pierre. [02:05:40] Speaker B: Comme beaucoup de films aussi. [02:05:43] Speaker A: Il y a énormément de films comme ça où tu peux le voir. D'ailleurs, quand tu vois, il y a des débats infinis sur des films. Oui, bien sûr. Nous, on sait ce qu'on veut dire tout ça, mais ça reste avec toujours... [02:05:53] Speaker F: Mais de toute façon, il y a une dimension cinématographique dans Chargod, donc c'est à peu près le même type de fonctionnement. Voilà, on te fait de l'offre comme ça, mais il n'y aura pas beaucoup plus d'explications. [02:06:01] Speaker D: C'est à toi d'en tirer ce que tu as envie d'en tirer et que ça résonne aussi avec les expériences des gens peut-être. Je ne pense pas au cannibalisme en l'occurrence. [02:06:10] Speaker B: Ou alors sinon, ça va être inquiétant. [02:06:14] Speaker F: D'ailleurs, s'il y a des cannibales dans. [02:06:16] Speaker B: Le chat, levez la main. Bienvenue ! J'ai 2-3 questions pour vous ! Non mais il y a aussi ce côté... Pourquoi le cyberpunk et puis c'est post-apo aussi ? [02:06:29] Speaker F: Ouais, on est un méchant entre les deux. C'est vraiment entre cyberpunk et post-apo. C'est des univers qui peuvent se croiser très facilement pour le coup. Donc on est dans le côté cyberpunk mais qui est vraiment en train de se casser la gueule. L'âge d'or de tout ça est fini, c'est en train de partir en lambeaux quoi. Donc on se... On se rapproche encore un peu plus de la fin. [02:06:51] Speaker B: Qu'est-ce que c'est charmant comme message ? Il y a un film qui t'a inspiré un petit peu ça aussi, auquel tu penserais tout de suite là ? [02:06:57] Speaker F: Il y en a beaucoup, il y en a un bon paquet. [02:07:01] Speaker B: Ah ça c'est la question qui fait que... Est-ce que tu veux que je te laisse réfléchir et puis on passe une chanson et puis on te convole ? [02:07:08] Speaker F: Non mais j'aurais pas énormément de... En plus j'ai une mémoire déplorable des noms, c'est ça qui est génial. Bon après forcément oui il y a les Mad Max, évidemment, il y a les Matrix, enfin tous ces trucs-là qu'on a pu bouffer quand on était gosses. [02:07:21] Speaker B: Il fait « Oh putain c'est trop bien ! [02:07:22] Speaker F: » Au moment où tu comprends rien mais c'est trop cool quand même quoi. Beaucoup de BD en fait aussi, des comics, genre Transmétropolitane par exemple, Neige, alors ça personne ne connaît, ça par contre c'est le Premier truc post-apo que j'ai lu de ma vie, je devais avoir 4 ans, je savais pas lire, il y avait des cannibales. [02:07:39] Speaker B: Ah ouais, t'as eu des trucs bien entre les mains. Ouais. Ce qui est bizarre c'est que t'as. [02:07:45] Speaker D: Pas eu la musique qu'elle est avec. [02:07:47] Speaker B: Non. [02:07:48] Speaker D: C'est quand même assez... [02:07:49] Speaker E: Mais du coup c'est rapidement... [02:07:51] Speaker F: J'ai fait un lien. [02:07:51] Speaker D: C'est peut-être ça qui a fait que tu l'as acceptée assez vite cette musique. [02:07:54] Speaker B: Ouais je crois. [02:07:55] Speaker D: T'as trouvé un truc qui faisait... Ah. [02:07:57] Speaker B: Mais c'est ça ! [02:07:58] Speaker F: Cela dit, je me rappelle lorsque j'étais en école primaire, en libre accès comme ça, t'avais les BD Rekuyem. Alors Récouillet et Chevalier Vampire, c'est pas du tout pour les gosses, t'as des scènes de meurtre, t'as des nazis, t'as des scènes incestueuses, t'as de la zoophilie. [02:08:18] Speaker B: Y'A absolument que vous. [02:08:21] Speaker F: Et ça c'était dans l'école primaire, c'était à la portée de tous les gosses. Ok, visiblement le directeur n'a pas lu les... Peut-être. Oh, peut-être que c'est inquiétant finalement. [02:08:31] Speaker B: On va rester loin de tout le monde dans cette école. [02:08:34] Speaker F: Donc tous les univers un petit peu dark comme ça, je les ai côtoyés mais super super jeunes quoi. C'est juste que j'ai pas la bande-son qui allait à ce moment-là. [02:08:41] Speaker B: Après, il y a de l'humour aussi. Parce que quand on regarde vos clips aussi, il y a quand même... Cet univers, comme il est très BD, il y a ce côté un petit peu... [02:08:49] Speaker F: Il y a un côté cartoon, il y a un côté Buster Keaton. C'est-à-dire qu'au bon moment, les numéros de grands méchants à gros gros, on n'est pas content. Alors regardez, comme on est violent, bon... Ça va, c'est vu, c'est revu. À un moment, il faut... Faire les choses sérieusement, ok, mais sans trop se prendre au sérieux non plus. Un peu d'humour, ça n'a jamais tué personne. [02:09:08] Speaker B: Après, attention ce que je vais dire nos fans parce que je tourne très très mal mes phrases. C'est un petit peu aussi cet ado qui se rebelle contre les costauds parce qu'il y a les méchants qui sont quand même souvent assez impressionnants. Puis vous, l'univers qui tourne autour du hope où c'est des gens beaucoup plus dessous, maltraités, underdog. Et qui ont l'air un peu plus frêles mais qui quand même les défoncent. [02:09:34] Speaker F: Oui c'est ça, enfin... T'as mentalement une. [02:09:37] Speaker B: Transcription, je vais peut-être un peu loin. [02:09:38] Speaker A: Ils sont plus nombreux déjà ? [02:09:41] Speaker F: Non, ils sont pas si nombreux que ça. [02:09:42] Speaker B: Ah je pense qu'on est plus nombreux à être faibles que 4 Forces. [02:09:44] Speaker A: Oui c'est ce que je dis, c'est ça. [02:09:45] Speaker F: Je pensais qu'on parlait des Shadows là pour le coup. Les Shadows pour l'instant c'est à peu près quelques milliers d'individus. C'est pas mal déjà. Mais là on parle quand même d'une cité où il y a plusieurs millions d'individus. [02:09:56] Speaker B: C'est vrai que ça se reproduit vite. [02:10:00] Speaker F: Prochain album, Fornication with the Shadows. [02:10:03] Speaker B: Mais il y a un endroit où on peut avoir le détail justement de tout cet univers ? [02:10:07] Speaker F: Oui, j'avais commencé à balancer des fiches sur l'univers sur un groupe, Shadows Army, qui est sur Facebook. Mais l'idée maintenant c'est de sortir un bouquin papier de ça, avec justement les règles du JDR. Donc là il y a à peu près une centaine de pages avec les différents types de personnages, les différentes factions, l'histoire, les enjeux politiques. Ils ont chacun leurs petites fiches avec leur histoire de comment est-ce qu'ils sont arrivés là, parce qu'avant Dead Shadows, ils ont été humains avant. Mais tout ça, tu peux les trouver, mais bientôt, je pense que c'est la fin de l'année, peut-être qu'on a réussi à faire rééditer le bouquin. [02:10:42] Speaker D: Un truc plus complet, plus full, quoi. [02:10:45] Speaker F: C'est ça, avec pas mal d'illustrations qui étaient faites par Alejandra. [02:10:49] Speaker B: C'est trop bien, comme ça ça permet de comprendre et puis d'avancer. Ok, bah moi je dis banco. Mais non, mais comme tu l'as dit que tu voulais compléter par plein de choses, c'est vrai que ça commence par ça aussi, pour voir situer le truc quoi, et puis ça permet de relaisser à la nitité. [02:11:02] Speaker D: Moi j'ai une petite question concernant ça, du coup t'avais déjà tout en tête ou t'avais déjà juste des grandes bases, enfin des grands trucs et ça te permet aussi d'aller diguer plus précisément, d'aller chercher des petits détails ou c'était déjà vraiment... Quelque chose que tu avais préparé déjà. [02:11:21] Speaker F: J'avais effectivement le gros du truc, mais certains détails restaient à creuser. [02:11:26] Speaker D: Et puis aussi, je pense que le fait que le line-up ait un peu changé depuis le début, tu réadaptes un petit peu. [02:11:33] Speaker B: C'est ça. [02:11:34] Speaker F: En fait, je laisse la place aux heureux incidents, on va dire. Et il y a un truc des fois qui n'était pas prévu. Je fais, mais en fait, ouais, c'est carrément cool. Vas-y, on l'incorpore dedans. Il y a en fait Liandra à un moment qui m'avait dit, putain, j'ai fait un rêve. j'ai vu ce type de personnage là et tout, il faut absolument que je t'en parle et je me suis dit putain mais en fait ouais carrément en fait il faut l'inclure dans le lore du truc. Et ce personnage s'appelle Judgment. C'est le personnage qu'on voit à la fin du clip de Black Wave. J'ai pas donné beaucoup d'infos sur lui mais en fait ce personnage est venu un peu perturber l'intrigue en quelque sorte. Mais voilà c'est... Allez pourquoi pas. J'ai déjà l'histoire de préécrit sur des dizaines d'années mais s'il y a des trucs qui arrivent, je suis, ah bah attends, peut-être une petite modification, ça peut être pas mal. [02:12:22] Speaker D: Tu vois, si tu peux l'intégrer dans le truc et que ça vient nourrir, c'est du bonus quoi. [02:12:27] Speaker F: Exactement. [02:12:28] Speaker A: Tu vois, toi tu rêves que tu bosses, que tu finis ta journée, que tu rentres chez toi et en fait t'es en train de dormir, et là tu te lèves, tu pars, tu bosses, et bah elle, elle rêve à des personnages trop stylés. [02:12:38] Speaker B: Ah ouais, alors j'ai pas reçu. Franchement, tu te vends super bien. [02:12:45] Speaker F: Il faut savoir un truc, c'est que j'ai une imagination de merde dans mes rêves. Quand je suis réveillé, j'ai une imagination de fou, mais par contre, je rêve que de trucs nuls. Et en fait, Liandra, c'était l'inverse. Quand elle dormait, elle avait une imagination de fou, mais par contre, je lui demandais d'improviser des trucs. Je sais pas, faut que j'aille dormir. [02:13:03] Speaker B: Du coup, après, en fait, ça y est, j'ai des idées. Wow, ok. [02:13:07] Speaker D: Moi ça me fait penser, je connais des gens qui ont une imagination très active quand ils dorment aussi. Du coup ils dorment beaucoup et puis le reste du temps ils font pas grand chose. [02:13:17] Speaker B: Je ne vois pas de qui tu parles. Moi non plus. Tu as une bonne imagination toi aussi. [02:13:23] Speaker A: Je rêve pas moi, très peu. Quand je fais des rêves c'est comme. [02:13:27] Speaker F: Ça, des trucs très stressants. Bah oui c'est vrai en plus, tu manges en plus en dormant. [02:13:31] Speaker B: C'Est une autre histoire. Mais du coup, Chargod, c'est ça qui est intéressant, c'est que quand on voit des groupes, il y a toujours un petit concept, il y a toujours quelque chose. Mais il y a le travail qui est fort sur la composition, etc. Vous, il y a un truc qui est quand même archi complet, un univers qui reste encore à découvrir, même pour les fans qui vous connaissent déjà et qui savent les personnages, qui connaissent les trucs. Il y a quand même tout qui reste à construire, c'est-à-dire que là, les possibilités d'avenir sont quand même juste infinies. [02:14:14] Speaker F: Oh oui, je crois qu'il y a beaucoup de trucs, en fait, que j'ai encore en tête et dont les gens ne se doutent pas du tout. [02:14:20] Speaker B: Il vaut mieux pour les surprises. [02:14:22] Speaker F: Oui voilà, mais j'ai souvent des fois des discussions avec des types qui sont allés lire toutes les fiches et qui me font des retours. Alors j'ai une théorie par rapport à ce truc, je suis pas mal intéressant, mais t'es pas loin mais c'est pas encore ça. On s'en raconte en fait, dans 3-4 ans. [02:14:38] Speaker B: L'intrigue. Attends, est-ce que tu récupères pas quand même des petites idées quand t'as ce coup de mec qui dit attends mais je pense à ça. Non pas du tout. [02:14:50] Speaker F: J'ai quand même un truc vraiment bien défini, donc je sais où je vais. Je ne mentirais pas si c'est arrivé une fois ou deux. Oui, mais c'est évident, c'est ça. C'est intéressant ça. [02:15:02] Speaker D: Ça marche mieux que ce que j'avais imaginé. [02:15:04] Speaker F: Ça, des fois, c'est ce qui arrive en système de compo. En fait, je compose à peu près tout et des fois, je leur demande de me faire des retours, ils me font des propositions, des fois, ça tombe à côté. Et des fois, je fais, putain, ouais, c'est carrément mieux que le truc auquel j'ai pensé. Vas-y, j'enlève ce que j'ai fait, on remplace par ça. Et puis, l'idée, c'est pas de servir mon ego, mais de faire un bon morceau. [02:15:22] Speaker D: Ouais, ouais, c'est ça. Non, mais c'est bien que juste prendre le meilleur, quoi. [02:15:26] Speaker F: Juste prendre ce qu'il y a de mieux, quoi. [02:15:29] Speaker B: C'est bien de travailler. Pardon ? J'ai juste dit ouais. Je te sens pas visé, Pierre. Tout ce que tu fais, c'est merveilleux. C'est merveilleux. [02:15:39] Speaker D: Incroyable. [02:15:40] Speaker B: Dans les choix que tu as faits, donc là on passe dans les choses qui ont été demandées avant. Ne stresse pas, Clem, t'inquiète pas. Il y a Bjork. C'est la deuxième fois qu'on nous parle de Bjork. [02:15:52] Speaker F: Qui d'autre ? [02:15:53] Speaker D: On n'avait jamais entendu parler d'elle avant. [02:15:55] Speaker B: Ouais, on sait pas qui c'était. Faut pas revenir sur la personne dont on a parlé, mais bon, Björk paraît évident finalement dans ton univers, dans votre univers, dans l'univers de Charlevoix, parce qu'il y a, surtout avec ce clip, j'ai envie de dire, « All is full of love ». [02:16:07] Speaker F: Ouais, il est incroyable ce clip. Moi il m'a bouleversé déjà pour deux choses. Trois en fait même. [02:16:16] Speaker B: Quatre. [02:16:20] Speaker F: La première, je l'ai vue mais genre vraiment gosse, dans une expo à Lille qui ne traitait que des machines et des robots. À un moment je suis rentré dans une salle immense, plongé dans le noir, et ce truc commence et je me le prends en pleine gueule. Et c'est la première fois où moi, petit garçon, tombe amoureux. Alors là du coup, tu te dis ok, il tombe amoureux d'une scène de robot lesbien, ok pourquoi pas, très bien. Pourquoi pas ! Pour la deuxième raison, à partir de là, j'ai eu un intérêt extrêmement poussé pour tout ce qui était science-fiction et cyberpunk. Le clip putain, merde, à partir de là je me suis fait... J'ai envie de faire un truc dans la vidéo plus tard. Donc bon, je ne bosse plus vraiment dans la vidéo mais du coup je réalise toujours... Enfin, je co-réalise et je monte les clips de Chargotte et j'ai toujours développé l'univers cinématographique. Mais en fait ça m'a... Ça m'a mis un peu un pied dans l'univers du cinéma et du clip. D'ailleurs j'ai fait même un mémoire sur le clip à l'époque lorsque j'étais en école. Les clips ça m'en fout parce que c'est des petits bijoux d'à peu près 2, 3, 4 minutes. C'était surtout le cas dans les années 90-2000. Où les mecs se disent, vas-y on s'en bat les couilles, on va mettre grave de la thune là-dedans, un truc qui va être un pur objet artistique. Il y a eu tellement de trucs qui ont été faits par Chris Cunningham, qui est le mec qui a réalisé le clip de Björk. qui a fait des clips pour Madonna, pour... Putain, comment il s'appelle ? [02:17:48] Speaker D: Affex Twin ? [02:17:49] Speaker F: Ouais, voilà, comme tout Daddy, Affex Twin. C'est monstrueux, ce clip. Pour moi, je me suis dit, putain, en fait, je veux être clippeur. Et puis, en fait, on m'a dit, dommage, ça n'existe plus, ce métier, maintenant. [02:18:01] Speaker B: Allez, merde ! [02:18:03] Speaker D: Tu peux, mais si t'as 300 euros quoi ! [02:18:06] Speaker F: Ça rapporte plus rien maintenant. Avant, quand tu voulais être un groupe qui marche, il fallait absolument que ton clip passe sur MTV. Et là c'était jackpot. Donc là les mecs, à l'époque, les maisons de prod ils étaient prêts à balancer de la caillasse, comme c'est pas possible pour avoir des clips de fous. Et maintenant, 90% des clips que tu vends dans l'univers du métal, c'est quoi ? 4 mecs qui secouent la touffe dans un hangar avec des néons. [02:18:29] Speaker B: 5 chez nous ! [02:18:34] Speaker F: Bon, j'ai rien contre, mais le problème c'est qu'il n'y a que ça en fait. [02:18:37] Speaker D: De toute façon, MTV passe plus de clips donc... Oui voilà, cette époque a. [02:18:43] Speaker F: Évolué, cette époque est terminée et du coup j'ai beaucoup de mal maintenant à trouver des clips et venir... Putain, ça c'est excellent ! Comment ils ont fait, enfin maintenant je suis limite blasé en fait quand je vois les nouveaux clips qui sortent quoi, donc je suis toujours en train de diguer, de chercher des trucs faits. Waouh ok, je suis à la recherche de la nouvelle baffe en matière de clips. [02:19:01] Speaker B: Après YouTube, il n'y a pas cette importance de la qualité du clip quand même pour que ça attire un peu plus facilement le regard quand on ne connaît pas l'artiste ? C'est une question con mais en vrai... [02:19:11] Speaker D: Non mais il y a, mais les budgets sont plus les mêmes qu'à l'époque. [02:19:14] Speaker F: Déjà les budgets sont plus les mêmes. [02:19:16] Speaker D: Faut s'en rendre compte qu'à l'époque il y avait des budgets... Enfin tu pouvais avoir des clips qui coûtaient des centaines voire le million quoi. Les clips à un million aujourd'hui il. [02:19:24] Speaker B: Y en a... Oui c'est Lady Gaga, oui on sait où... Bah je suis. [02:19:27] Speaker D: Même pas sûr qu'ils fassent encore des clips. si cher. [02:19:31] Speaker F: Et en fait le truc surtout c'est qu'il y a... Tu parles de YouTube mais... Oui ok, il y a des trucs bien sur YouTube mais il y a beaucoup de choix, il y a trop de choix. Donc en fait tu as une armée de clips inintéressants et peut-être un ou deux trucs planqués dans le tas. Et juste pour diguer et aller chercher ce truc-là, tu prends des heures. [02:19:48] Speaker B: Et puis les gens se sont habitués à regarder les autres, donc du coup, ils se soucient assez peu que l'autre soit bien fait. [02:19:53] Speaker D: C'est surtout qu'avant, un clip, quand il passait, il passait. Beaucoup. Aujourd'hui, les gens zappent. La consommation aussi de la musique est devenue très différente. Du coup, si t'investis autant dans un clip, t'es même pas sûr qu'il va avoir un gros impact. [02:20:13] Speaker A: T'as aussi des clips, dans le métal ça se fait pas trop, mais qu'on voit beaucoup parce qu'ils servent de publicité en fait, pour des chaussures, des machins, ou des poissons, ou là ils ont un intérêt à faire un clip cher. [02:20:28] Speaker B: Il y a un côté pub en. [02:20:29] Speaker A: Fait, c'est une pub avec, ils veulent utiliser l'artiste comme support publicitaire. [02:20:34] Speaker F: Pour vendre des pompes ou des trucs comme ça, donc là oui effectivement ils vont mettre de l'argent. [02:20:40] Speaker B: Ah le monde de la musique, bon ! On va regarder ce clip de Björk qui est absolument magnifique et on revient juste après. [02:24:54] Speaker C: C'est bon. Et ce qu'ils disent est vrai Mais je m'en fiche pas du tout J'aimerais être ton perdant Et j'aimerais que tu sois la mienne Ils disent que tu n'es pas utile Un véritable échec de temps Mais je t'attends toute ma vie J'aimerais être ton perdant C'est parti pour le tour du monde ! J'étais ton perdant, et j'aimerais que tu sois le mien Ils disent que tu n'es pas utile, un véritable échec de temps Mais j'ai été attendu pour toi toute ma vie J'aimerais être ton perdant J'espère que vous avez apprécié cette vidéo, si c'est le cas n'hésitez pas à la partager avec vos amis et à vous abonner à la chaine. Non ! [02:28:24] Speaker B: J'adore, j'adore. Je suis juste hyper, hyper fan de ce groupe. Alors, quand j'ai vu qu'il y avait un nouveau clip, je me suis dit, passe pas à côté de toute façon, autant te faire plaisir. J'espère que ça fait plaisir à tous les bangers aussi, parce que c'est vous qui êtes les plus importants. C'est vous qui faites en sorte que cette émission existe, que cette musique puisse exister. Donc bravo à vous, les bangers. C'est pour ça aussi qu'on vous appelle. C'est bang bang, ça va de soi. Vous êtes des bangers, c'est tout. [02:28:46] Speaker D: Vous banguez quoi. [02:28:49] Speaker B: Le groupe s'appelle Low Lives et voilà, c'était juste une très belle chanson. Après c'est très convenu, on n'est pas non plus... [02:28:56] Speaker D: Joli grain, les images sont jolies. [02:28:59] Speaker B: Grunge FM, moi je me lance. [02:29:01] Speaker D: Je parlais de l'image moi. [02:29:02] Speaker B: Ah oui, je parlais de la musique. Juste un petit moment entre nous. Voilà, après on reprend l'interview avec Chargott, mais il y a des concours sur notre Instagram. C'est sur Instagram que vous avez tous nos concours pour réussir à gagner des places. Il y a plein de choses qui sont à venir. Je peux vous assurer qu'il y a des gros, gros concerts. Il faut être parmi les premiers, même si c'est un tirage au sort. Je sais qu'il y en a plusieurs qui se mettent plusieurs fois. Ça marche. Attention, on va changer les noms. Mettez votre pote en premier, vous en second. Bref, soyez un peu intelligent. Vous l'êtes, attention, mais soyez encore plus intelligent. Il y a un concert, moi, qui me donne envie d'y aller, d'un groupe californien, un surfeur des années 90, qui s'était formé en 89, qui s'est séparé en 97, qui était revenu en 2010, que j'aime énormément. Ma sœur en est fan, donc je sais qu'on va y aller, c'est sûr et certain. Ça se passera du côté du Trabendo, le 12 mars, c'est le concert de qui ? De Ugly Kidjo. Alors, est-ce que vous connaissez Ugly Kidjo ? Si vous avez un certain âge, oui. Je pense que les gens qui ont moins de 25 ans, c'est peut-être plus compliqué. [02:30:06] Speaker D: Après, c'est revenu. Il y a eu un petit revival. [02:30:10] Speaker B: Après, Guigui Juice n'a jamais non plus été un gros carton. C'est pour ça qu'ils ont arrêté assez tôt. [02:30:14] Speaker D: Si, ça a été un gros carton sur un ou deux titres. C'était énorme à l'époque. [02:30:22] Speaker B: Il y a des places à gagner. Je vous en offre tout de suite pour ne pas être tiré au sort. Les premiers seront ceux qui gagneront. Dépêchez-vous, allez sur votre petit mail et vous m'envoyez un petit message à pierre.restless.com que le meilleur gagne, tout simplement. Allez, on va regarder ce clip. Justement, Everything About You, j'adore. J'adore, vous allez voir la poupée gonflable qui vole. C'est juste très rigolo. C'est parti avec les Kidjo. [02:31:43] Speaker C: Je n'aime pas la ville, non, non Et je, je, je déteste le pays, oui je le sais Et je déteste tout à propos de toi Tout à propos de toi Don't like a thing about your sister Now I know Cause I, I, I think sex is overrated too And I get sick when I'm around I can't stand to be around I hate everything about you Everything about you Everything about you Everything about you Some say I got a bad attitude But that don't change the way I feel about you And if you think this might be bringing me down Well, I know, you know, everybody knows The way it comes, the way it's gonna go Think it's sad, but not too bad Cause I'm having a ball And never gonna think about you Everything about you Everything about I Get sick when I'm around you Demain j'suis parti ! Il est mort ? Non, il n'est pas mort. [02:40:32] Speaker B: Comment le sais-tu ? Il n'y a qu'une seule façon. [02:40:36] Speaker C: À bientôt, Mr Skarsgård ! REIKI ! [02:41:29] Speaker B: Eh ben, c'est à Zouk ! Si tu nous regardes, le dépôt est à vendre. 3000m² de backroom... Et ben voilà pour. [02:41:53] Speaker F: Les nouveaux studios ! [02:41:55] Speaker D: On y pense ! [02:41:56] Speaker B: Il faut juste enlever cette odeur de Javel qui persiste. Seulement de Javel ? Ça sent la Javel, on dirait juste Javel. [02:42:02] Speaker D: C'est un nom de God. [02:42:06] Speaker B: Et non pas un nom de God, attention ! Chargotte sont nos invités donc ce soir, ils sont là. Clem et Tien qui sont donc parmi nous et qui répondent à nos questions. On vient de les voir en clip à l'instant. Justement les clips, bon bah encore une fois l'univers, etc, le visuel. Bon toi Ben tu bosses dedans, moi c'est vrai que je ne vois pas tout le travail qu'il y a. [02:42:26] Speaker D: Non c'est très bien fait. [02:42:27] Speaker B: Mais j'imagine que c'est du taf. [02:42:31] Speaker F: Ola ouais, généralement on prend toujours à peu près un an pour fabriquer un clip à chaque fois. [02:42:36] Speaker B: Un an ? [02:42:37] Speaker F: Bah entre le moment où on commence à en discuter avec Ted, le réalisateur, Et le moment où c'est fini à être monté, ouais, il y a bien un an à chaque fois, parce que des idées, j'en ai un paquet. Et je dis, écoute, on va faire ça. Etienne, est-ce que tu es conscient que là, ça va nous demander des grues, des 250 figurants ? [02:42:58] Speaker B: Ouais, on peut pas le faire ? Non ! [02:43:01] Speaker F: Il nous faut 100 000 euros. Bon, ok, très bien. On peut pas avoir 100 000 euros ? [02:43:04] Speaker B: Non. Ok, tant pis. [02:43:06] Speaker F: C'est vraiment que sur Blackway, on a pu avoir un budget beaucoup plus conséquent. Le dernier clip, c'est le tout dernier. Où le public nous a quand même beaucoup aidé sur ce coup là. On a réussi à avoir un soutien de la part du CNC. Chose que je pensais même pas possible il y a quelques années. Mais en fait, si maintenant le CNC s'implique pas mal dans la réalisation de clips, y compris pour le métal, donc oui, c'est en train de se démocratiser, c'est une bonne chose. [02:43:32] Speaker B: Encore une fois, c'est un clip qui dure 20 minutes, donc c'est un court-métrage. [02:43:36] Speaker F: C'est un court-métrage, mais en vrai, ils nous ont dit que oui, même pour des clips plus classiques, c'est possible aussi. Et visiblement, quand on a fait la demande, ils nous connaissaient déjà. On a déjà vu votre boulot, on sait ce que c'est. Ah bon ? Ok, bah écoute. Il y a pas eu de subvention pour ZB. [02:43:57] Speaker B: En même temps, s'ils ont vu votre travail, justement, ils peuvent se dire que l'argent va pas partir dans n'importe quoi, que ça va vraiment servir à faire un vrai clip. Il y a cette peur probablement qu'ils ont. Là, il y a un travail, alors je sais pas, quand tu vois ça, tu t'imagines le taux de travail, la. [02:44:14] Speaker D: Pénibilité du truc ? Oui, oui, bah là quand tu vois, enfin, il y a beaucoup de plans. Il y a vraiment beaucoup de plans, c'est hyper découpé. Donc, ouais, ça prend du temps. Surtout que là, on parlait, bon, on va peut-être pas révéler les secrets de comment était tourné ce clip, mais déjà, voilà, il y a... Oui, parce que. [02:44:33] Speaker F: C'Est pas très légal. [02:44:34] Speaker D: Voilà, il y a... Il y a trois jours de tournage, déjà des clips où tu tournes sur trois jours c'est très rare aujourd'hui. Franchement c'est un ou deux jours max en général ou deux demi-journées quoi mais c'est rare de faire là je pense que c'est trois full day et des bonnes journées. [02:44:51] Speaker F: Ouais c'est arrivé technicien vers à peu près 8h du matin et puis la figuration, les acteurs plus vers 10h et puis P.A.T. à 11h quoi. [02:45:02] Speaker B: P.A.T. [02:45:02] Speaker D: Qui veut dire prêt à tourner. [02:45:03] Speaker F: Oui pardon c'est vrai, désolé désolé. [02:45:06] Speaker B: Aucun rapport avec Pat Pat Trouille ! [02:45:10] Speaker F: Et en général, ça finissait plutôt vers 21h pour le tournage comme Break Your Body, mais sur Black Wave, on a même étendu encore un peu plus. C'était arrivé d'équipe technique vers 5h30 du matin. [02:45:25] Speaker D: En tout cas c'est beaucoup de boulot et parce qu'il y a beaucoup de travail sur la lumière et comme c'est beaucoup de trucs d'action et tout ça c'est hyper précis dans les cadrages donc en fait t'es obligé de que ton plan il est obligé d'être dans le timing qu'il faut avec le cadrage qu'il faut, la dynamique qu'il faut et ça ça prend beaucoup de temps parce qu'il faut refaire après je pense que à force vous avez l'habitude vous avez des. [02:45:50] Speaker F: Équipes très tight On a augmenté la taille de l'équipe d'année en année. Il y a beaucoup de gens qui ont bossé sur ces trucs-là. Sur Blackwave, par exemple, il y avait plus d'une centaine de personnes qui ont bossé dessus. Je compte aussi la figuration qui n'était pas si nombreuse. Il y a beaucoup de gens, les cascadeurs, les acteurs, l'équipe déco, l'équipe costume. ça prend un temps incroyable et puis même pour les cascadeurs, forcément il y a eu du temps de répète avant ça, c'est toutes les choses que tu vois pas en fait pendant le jour du tournage. Les mecs ils ont bossé 4-5 jours avant leur choré et pour que le jour J on soit obligé de changer parce qu'en fait on manque de temps pour la réalisation, parce que certaines scènes t'aperçois qu'avec la lumière, t'es fait merde putain... Il faut qu'on réduise un peu parce que ça fonctionne moins comme on le pensait. C'est un taf de malade. [02:46:48] Speaker D: En tout cas, c'est du beau boulot. [02:46:50] Speaker B: Bravo. [02:46:50] Speaker F: Merci beaucoup. On adore se faire chier dans le groupe. [02:46:53] Speaker B: On adore ça. [02:46:54] Speaker A: Merci du coup aussi pour ce que je vois un peu, pour les gentils petits mots pour le travail. [02:47:01] Speaker B: Dans le schmull ? On appelle ça le schmull. [02:47:06] Speaker D: C'était un peu comme une grosse chatte quoi. [02:47:13] Speaker B: Ils n'ont pas entendu. Déjà c'est passé une fois. Vous n'êtes effectivement pas en noir parce que vous êtes cette fameuse population après les humains, c'est ça ? [02:47:29] Speaker F: Ou mort ? [02:47:29] Speaker B: Ou c'est les Shadows ? [02:47:31] Speaker F: Non, en fait, pour le coup, il s'agit d'un... [02:47:33] Speaker D: Il a bien révisé. [02:47:34] Speaker B: Mais non, parce que je ne sais pas moi, je pose des questions justement. J'ai dit que je n'arrivais pas à réviser. De toute façon, j'ai dit que je ne connaissais pas. [02:47:45] Speaker F: Les Shadows ça vient du personnage de Chargotte qui vit en symbiote avec un... j'allais dire un drosophile... Non, il y a un symbiote qui vit dans le corps du chargote. C'est un peu comme le personnage de Venom, en quelque sorte. Donc à chaque fois qu'il inocule son sang à quelqu'un d'autre, le symbiote prend vie dans le corps d'une autre personne et ils sont reliés les uns aux autres comme un esprit de ruche. Donc c'est pas juste de la peinture pour faire joli, c'est effectivement, il y a deux individus en un à chaque fois. Et du coup ce symbiote permet aux shadows d'avoir une capacité... Oui non pas comme ça ! Capacité régénératrice accrue, force accrue, enfin pas mal de trucs, des petits avantages. [02:48:34] Speaker D: Et accueil non ! [02:48:37] Speaker B: Et aucune non plus ! [02:48:38] Speaker F: On ne parlera pas de ce qui se fait en backstage. [02:48:43] Speaker B: Ceci restera là-bas. [02:48:56] Speaker F: Quelle soirée ? On veut tout savoir. [02:48:58] Speaker B: On va les tourner là-bas. [02:49:01] Speaker F: Pas trop dans celui-là, je trouve. [02:49:03] Speaker B: Dans votre univers, il y en a quelques-uns. [02:49:05] Speaker F: Surtout dans ZD quand même. Ouais, il y en a quelques-uns. De toute façon, dans l'univers cyberpunk, il y a quand même beaucoup de trucs qui sont branchés très extrêmes. [02:49:16] Speaker B: Il y a un petit côté systématique BDSM un petit peu dans le cyberpunk. [02:49:23] Speaker F: Ça dépend des univers développés. Mais dans le nôtre, en tout cas, c'est pas incompatible. On en trouve quand même assez régulièrement des sangles, des harnais, du cuir, du latex... [02:49:41] Speaker B: J'ai dit que ça m'a rappelé des trucs. Je me souviens une fois, il y avait une porte rouge comme ça avec de la fumée, et je suis rentré et il y avait plein de gens. Et puis je ne sais pas, cette musique me donnait envie de m'enjailler. [02:49:55] Speaker F: Effectivement, ce que Clem me rappelle, c'est que dans le clip ZB, on utilise pour le coup un vacuum bed. Je ne sais pas si tu comprenais ce que c'est. En gros, c'est une espèce de poche en latex qui est sous vide. Les steaks que tu achètes au supermarché, en fait, c'est toi pareil. [02:50:14] Speaker B: Mais en version cul. [02:50:18] Speaker D: Avec, il faut quand même le dire, un petit système pour pouvoir continuer à respirer. [02:50:24] Speaker F: Ça peut être intéressant. [02:50:26] Speaker B: Evidemment, évidemment, ça va être soi ! [02:50:29] Speaker D: Mais c'est une pratique assez curieuse à voir, la première fois qu'on le voit, c'est assez surprenant ça. [02:50:35] Speaker F: Ouais, mais justement pour nous, je trouve que ça marchait plutôt bien avec ce côté un peu cocon, en quelque sorte, où tu assistes à la naissance d'un nouveau personnage qui est en train de sortir de sa gang. En fait, le vacuum peut être utilisé de cette façon-là, c'est vachement intéressant. En plus on l'a foutu dans la flotte comme des connards, donc le vacuum était glacé. D'ailleurs tout ce tournage c'était un enfer, il faisait à peu près... Faut savoir. [02:51:00] Speaker A: Tous les tournages dans l'eau, on les fait en décembre-janvier. [02:51:03] Speaker F: Sauf le dernier, c'est le seul dans lequel on s'est pas caillé. [02:51:08] Speaker A: Il y avait un peu d'eau, ouais on était pas dedans. [02:51:14] Speaker D: C'est un classique, à chaque fois qu'il faut tourner dans une forêt, c'est la nuit en hiver, ça revient à chaque fois. [02:51:22] Speaker B: Et en concert justement, tout cet univers, on sait qu'il se passe quelque chose sur scène, forcément. Qu'est-ce que vous amenez, qu'est-ce qu'il y a ? Parce qu'il y a Marcel qui est venu vous voir à l'Elysée Montmartre, mais j'avoue que je n'ai pas eu l'occasion de vous voir non plus. [02:51:35] Speaker D: À quoi on peut s'attendre dans un. [02:51:39] Speaker B: Show de chargottes ? [02:51:46] Speaker F: Justement, on essaie de ramener à peu près tout ce que tu vois dans l'univers des clips sur la scène. Toutes proportions gardées évidemment, parce qu'on ne peut pas ramener des tonnes et des tonnes de décors. Ce n'est pas encore possible, ce n'est pas l'équipe technique de Rammstein qui veut. Mais on ramène quand même beaucoup de trucs, forcément les costumes, un petit peu de déco, un jeu de lumière que tu vas trouver quand même assez similaire par rapport aux clips, des performeurs parfois... [02:52:15] Speaker B: Qui restent aussi dans le similaire avec des costumes que vous aviez dans les clips... [02:52:18] Speaker F: C'est ça, justement c'est des personnages souvent qui apparaissent dans les clips, que tu peux voir par la suite comme dans ZB, les personnages des Mantis. qui c'est des échassières avec des lames à la place des mains qui viennent performer de temps à autre. Il y a le Skarskyn, le personnage qui se fait péter la gueule, qui vient de temps en temps pour faire des bouffonneries sur scène, se faire maltraiter ou par nous ou par le public parfois. [02:52:39] Speaker B: Le public joue le jeu donc. [02:52:41] Speaker A: Qui incarne des personnages aussi pendant ses apparitions, il a plusieurs, enfin on spoil pas, mais un coup il incarne quelque chose, un coup un autre, mais il se fait toujours casser la gueule. [02:52:51] Speaker B: Ça. [02:52:53] Speaker F: Fait un peu de légèreté, on va dire, au côté. Je vous parlais tout à l'heure du côté un peu trop premier degré, agro-brou, les méchants, les armes, tout ça. Mais bon, en fait, il y a ce personnage-là qui est comique presque malgré lui. Du coup, ça tend à sourire, donc ça va. Ça fait un peu en dessous de la pression. [02:53:09] Speaker B: Ça va bien avec l'ensemble. Dans les morceaux que tu as choisis, on arrive à cet artiste, je ne sais pas si c'est un artiste ou un groupe, Sonic Aria. Alors je ne sais absolument pas du tout qui c'est, ce que c'est, j'ai découvert là ce nom, avec le titre « Once More »… Vous verrez bien ! C'est long comme titre, ça sera écrit dans le chemeule de toute façon quand ça va être diffusé. [02:53:32] Speaker D: « Once More Unto The Bragg Dear. [02:53:35] Speaker F: Friend » Voilà, merci. Sonic Aria, tu l'as peut-être déjà vu sans le savoir, il officie actuellement dans les tambours du Bronx en tant que machiniste. L'espèce d'ombre perdue dans le fond, toute fine, en train de jouer de ses machines, c'est lui. Ce mec est un génie de l'électro française, je pèse mes mots quand je parle de génie. qui est aussi bon qu'il ne veut pas qu'on sache qu'il existe, voilà. Le mec fait des trucs assez incroyables, c'est pratiquement toujours instrumental sa musique et à chaque fois chaque album est un véritable voyage sonore. Enfin chaque album en fait n'a vraiment rien à voir les uns avec les autres mais je me suis souvent pendant mes longs trajets pris à écouter un album entier pour juste passer mes journées parce qu'à une époque notamment quand j'étais en école de ciné j'avais deux heures et demie de trajet donc j'ai le temps d'écouter les albums et parfois celui-là je l'ai justement l'album de Sonic Aria Music for Ghosts des fois ça m'arrivait d'écouter deux trois fois pendant mon trajet. [02:54:45] Speaker B: Tu l'as poncé quoi. Ah oui je l'ai poncé. [02:54:47] Speaker F: Je l'ai poncé, surponcé et c'est bourré, bourré de super bonnes petites idées. Il y a beaucoup de trucs qui sont faits en sampling, là où tu te dis bon en fait il y a des machines d'accord, le mec il joue tout au clavier. Non pas que, c'est souvent des trucs qu'il va aller découper, qu'il va aller re-modifier, re-transformer. Il sait qu'il pourrait le faire effectivement avec un santé mais ça l'intéresse pas forcément. Lui aussi il aime bien se compliquer la vie, je pense que c'est pour ça qu'on s'aime bien. Et du coup, en fait, il a participé à la création du dernier album avec nous. Quand on avait fini les compos, on lui a refilé le tout et il a fait, vas-y, improvise des trucs en plus par-dessus et il nous a pondu pas mal de choses super intéressantes. [02:55:26] Speaker A: Je voulais juste te dire qu'il avait fait aussi, peut-être que du coup les gens le connaissent sans le connaître, c'est qu'il a fait l'album de Phénomédias avec Punisher Self aussi, d'un autre style qui est du coup un petit peu connu, c'était un album featuring. [02:55:40] Speaker F: Il a participé également à pas mal d'autres trucs comme Chrysalid, qui était vraiment un des groupes de noise industriel français, mais extrêmement qualitatif, qui était lié en fait au label... Audio-Troma. Audio-Troma, c'est ça, ouais. Un label qui n'existe plus malheureusement à l'heure actuelle, mais à qui on doit en fait la découverte de beaucoup d'artistes de la scène industrielle française comme Orchk, Mohan Exis, Makina Lista Antulae, enfin beaucoup de trucs... Un peu chelou, un peu pointu, mais vachement intéressant. Ce sont des artistes qui regorgent de très très bonnes idées et qui ont un savoir technique qui à chaque fois... Ah putain, ça c'est génial ! Moi je sais pas, ça me nourrit. [02:56:25] Speaker A: Donc il est très actif mais très méconnu. [02:56:27] Speaker B: On a compris que ce n'était pas sa volonté d'être une méga star en tout cas, mais de produire et de créer. C'est ça qui l'intéresse et justement on va le découvrir tout de suite parce que je suppose que je ne suis pas le seul à ne pas le connaître. Je ne sais pas si toi tu connaissais. [02:56:38] Speaker D: Non je ne connais pas ça. [02:56:40] Speaker F: Personne ne peut vraiment être dans l'univers industriel, vraiment pointu de chez pointu. [02:56:44] Speaker A: Si je me permets, c'est aussi un très bon ingé son généraliste, dans plein de styles. [02:56:48] Speaker F: Et il fait de très bons mastering aussi. [02:56:51] Speaker B: Tout le monde le sait, alors il est bien vendu là. Il fait des très bons gâteaux. [02:56:57] Speaker C: Je fais le master et les gâteaux, pardon ! ... ... C'est pas vrai ! C'est pas vrai ! C'est la fin de la vidéo, merci d'avoir regardé ! I can see my breath, the lights are on But there's no one, no there's no one fucking left to swish As my arms are bent to wake up But the burden is heavy, there's no time for feeling the only thing I've got I'm running from my pain like an asshole Burning the snow that I used to hide my thoughts in The rain falls, I can't take it but I'm sticking Won't stop till I have seen something delighting WELCOME TO HELL Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [03:05:28] Speaker B: Oh bah dis-donc ! Il n'est pas content le monsieur. [03:05:30] Speaker D: Oh bah dis-donc ouais ! [03:05:32] Speaker B: Il n'est pas content. En tout cas, les Français, évidemment, on adore ce groupe-là, on les avait déjà reçus ici aussi, les 1050X et ce tout dernier clip, ça envoie du pâté. [03:05:41] Speaker D: Qui ne sont pas australiens. Parce qu'il y a quelqu'un qui m'a dit, je ne dirai pas son nom parce que je n'ai pas envie d'afficher notre monteur, mais qui me dit «. [03:05:49] Speaker B: Mais ils sont australiens, non ? [03:05:50] Speaker C: ». [03:05:50] Speaker D: Et je dis « bah non ». [03:05:52] Speaker B: Non, ils viennent de faire une tournée en Australie, j'étais en train de dire qu'ils étaient cartonnés avec Landmarks, etc. [03:05:59] Speaker D: Ils croyaient qu'ils étaient Australiens, c'est pour ça qu'ils tournaient en Australie. [03:06:02] Speaker B: Non, non, non, c'était que des groupes français qui étaient partis en Australie, trois groupes français. [03:06:07] Speaker A: C'est pas con comme réflexion, parce qu'il n'y a quand même pas grand monde qui part faire une tournée en Australie. [03:06:10] Speaker B: C'est loin, mais quand ça marche, autant y aller. Bon, les chargottes sont nos invités, c'est. [03:06:15] Speaker E: La fin, c'est la fin, c'est la. [03:06:16] Speaker B: Fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la. [03:06:20] Speaker D: Fin, c'est la fin, c'est la fin. [03:06:22] Speaker B: C'Est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la. [03:06:25] Speaker F: Fin, c'est la fin, c'est la fin. [03:06:26] Speaker B: C'Est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la. [03:06:35] Speaker D: Fin, c'est la fin, c'est la fin. [03:06:37] Speaker A: C'Est la fin, c'est la fin, c'. [03:06:38] Speaker B: Chargotte, donc, comme vous l'avez compris, ont sorti leur troisième album en fin d'année 2023. Il faut absolument que vous alliez écouter les trois. De toute façon, c'est comme ça. Ça permettra de voir aussi cette évolution, le travail qui est effectué, l'avancement de l'histoire aussi, de saisir le tout. On a bien compris un bouquin qui peut sortir à la fin de l'année, en tout cas qui va sortir, mais voilà. [03:06:59] Speaker F: Quand je vais arrêter de donner des dates parce que je me plante à chaque fois ? [03:07:02] Speaker B: Non mais il ne faut pas donner d'attentes. Ça va sortir là mais au final. [03:07:08] Speaker F: Ça sort deux mois après. [03:07:10] Speaker B: Non mais ce n'est pas grave, il y a plein de choses qui se passent, des concerts, vous en avez fait plein, j'imagine qu'il y en a beaucoup qui vont arriver, 2-3 petites dates qui ont déjà été annoncées. On retrouve de toute façon ces dates sur vos réseaux sociaux. C'est quoi ces charagottes ? Officiel. [03:07:22] Speaker F: Ouais ouais c'est ça, que ce soit sur Insta, tu nous trouves. De toute façon, à partir du moment où tu arriveras à nous écrire correctement. [03:07:27] Speaker B: Tu nous trouveras ! Bon courage ! Mais donc voilà, du beau monde. Tout le monde s'entend bien ça quand même dans l'équipe ? Juste quand vous êtes en tournée, c'est pas trop dur ? [03:07:37] Speaker F: Non non, on se déteste. On fait semblant parce que là il y a les caméras mais en fait... [03:07:41] Speaker B: Comme ça, avec une petite fratte en casse. [03:07:45] Speaker F: Et puis comme on vient de dire, tous ensemble il est super sympa mais individuellement on est tous des connards. [03:07:50] Speaker B: C'est pas le contraire ! On verra selon les gens. Des annonces à faire particulières ou là comme c'est la fin juste un message à dire aux gens ? [03:08:02] Speaker F: Bah là t'façon les dates je pense qu'on va les annoncer d'ici... Non je vais pas donner de date. D'ici pas longtemps normalement on devrait annoncer la prochaine tournée. Il y a un nouveau clip qui est en cours de montage. Je ne dirai pas quand ça sort parce que ça porte l'âge commune selon Clem. Là on était en pause en ce moment donc là on est un peu en train de recommencer à foutre le pied à l'étrier, on rajoute des nouveaux morceaux à la setlist, on est en train de bosser. Il y a de l'actualité qui va arriver bientôt, là pour l'instant je suis tranquille là, on est pépère, détendu. [03:08:34] Speaker B: Ça c'est ça, l'émission s'est bien passée ? Oui et toi ? Ah bah moi oui, j'ai aussi monsieur dans mon canap' donc je suis bien, on est dans notre appart. On est super mal accueillis, super mal accueillis. Bienvenue à la maison ! [03:08:46] Speaker D: On prendra bien un peu de clafoutis ! [03:08:48] Speaker B: Ah oui. Clem, tu as mis un très beau t-shirt ce soir, j'espère que tout le monde a bien compris. Vous l'avez, c'est bon ? J'espère que ça puisse exister pour les garçons mais je sais pas ce qu'il pourrait y avoir comme image et du coup ça me fait un peu peur. [03:09:06] Speaker D: Des bananes ? [03:09:07] Speaker B: Ouais c'est vrai. Après je... bon non. Arrêtez là ! [03:09:12] Speaker D: Bah je sais pas, c'est à toi. Tout dépend de toi, du message que tu veux faire passer Pierre. [03:09:16] Speaker F: Y'a peut-être un jeu de mots à faire avec Moby Dick, j'en sais rien. [03:09:19] Speaker B: Oh non, moi j'ai beaucoup trop de choses qui sont pas bien à dire. Je suis un gros pervers donc y'a... Ah bon ? [03:09:27] Speaker F: On garde ça pour le off. [03:09:28] Speaker B: Mais safe ! Attention, safe, safe. Je n'agresse personne. Par des barmans des fois, mais c'est bon. Coucou l'Atomic 4 ! On leur fait des gros bisous à l'Atomic 4. Si vous cherchez un endroit qui ressemble un petit peu à votre univers, c'est quand même là où il faut traîner, à Paris en tout cas, à l'Atomic 4. [03:09:44] Speaker F: Effectivement, l'endroit a été annexé plus rapidement que la Pologne. [03:09:46] Speaker B: Mais là, c'est un peu plus commun ! [03:09:52] Speaker A: Et même que des fois, il y a un beau blondinet à casquette qui mixe le jeudi. [03:09:56] Speaker B: Ouais. [03:09:59] Speaker D: Je vois pas le qui sait du coup. [03:10:00] Speaker B: J'étais en train de chercher, je suis là, attends mais elle parle de qui ? Comme quoi je suis vraiment con jusqu'au bout quoi. Non mais d'ailleurs je mixe jeudi. [03:10:09] Speaker A: Il y a peut-être un lien à. [03:10:09] Speaker B: Faire. [03:10:11] Speaker A: Entre eux, toi et nous. [03:10:13] Speaker B: Ah bon c'est pas moi jeudi ? Merde ! Je suis encore mort ! Je suis fatigué, je suis fatigué. Taisez-vous tous. En tout cas, merci énormément, bravo pour le boulot qui est effectué. Je comprends mieux. J'ai saisi l'ensemble, c'est-à-dire que je pense que ça peut rendre curieux les gens qui ne... Non. Non, mais quand j'ai dit l'ensemble, la surface. Voilà, c'est ça que je voulais dire. [03:10:34] Speaker F: On est à la surface de l'iceberg pour le moment. [03:10:37] Speaker B: J'ai bien compris que c'est beaucoup plus complexe. Ce que je veux dire, c'est que les gens qui ne connaissaient pas et qui n'étaient peut-être pas intéressés à cet univers, je pense qu'ils vont aller creuser et qu'ils vont peut-être rechercher parce qu'il y a quand même des geeks parmi les gens qui... [03:10:46] Speaker D: Après, toi, ce que tu préfères que ce soit seulement l'iceberg, c'est quand même le bout. [03:10:50] Speaker B: Celui qui est au fond de l'eau. [03:10:53] Speaker A: Je dirais aussi pour les gens qui ne nous connaissent pas qu'on est vachement sympa. Non, je veux dire que le mieux c'est de découvrir en live. Il y a pas mal de festivals cet été. Comme ça, s'ils ne payent pas pour nous, ils peuvent payer pour d'autres qu'ils ont envie de voir. Ils vont nous voir et après ils savent s'ils aiment ou pas. [03:11:12] Speaker B: En gros, en général, les gens sont contents. [03:11:14] Speaker A: Oui, je laisse le choix, mais si c'est possible... [03:11:18] Speaker F: A tout hasard, si vous voulez de la lumière verte, c'est que c'est pas tout par là. [03:11:21] Speaker A: Parce qu'il y a tout l'univers musical, graphique et tout ça, mais ça prend vraiment la dimension live, c'est pour ça que je dis ça. [03:11:26] Speaker F: De toute façon, ça a été conçu pour être un groupe de live à la base. [03:11:31] Speaker D: Le côté performance est important. [03:11:34] Speaker B: Oh ouais ! Ils devaient être bien crevés à la fin, j'imagine. C'est ça l'heure aussi. Et comme vous êtes en tournée, vous ne pouvez pas vous laver, donc l'autobus il est sympa ! [03:11:46] Speaker F: Si, si, attendez, c'est impossible. On ne peut pas sortir de scène. [03:11:50] Speaker B: Et rester comme on est. Après, il n'y a pas que nous. [03:11:53] Speaker F: Qui sommes seuls, il y a le public aussi. Parce qu'on va très souvent au contact. Donc je peux dire, les premiers rangs, les mecs, c'est germinal. [03:12:00] Speaker A: Ce qui est drôle aussi dans le public des habitués, c'est qu'il y en a beaucoup qui jouent vraiment le jeu, ils ont créé leur personnage. Il y en a qu'on voit souvent qui ont, comme nous on est des personnages dans Chagos de Machin, eux ils ont créé le leur. Et tu veux raconter l'histoire avec la hache ? [03:12:16] Speaker C: Pardon ? [03:12:17] Speaker B: Ah oui alors ça c'est quelque chose qu'il ne faut jamais sortir de chez soi, ça reste vraiment à la maison ça. [03:12:22] Speaker F: Oui parce qu'en fait il y a pas mal de gens qui viennent parfois peints comme nous avec des costumes mais bon des fois ça va un petit peu loin et un mec il s'est pointé avec une hache qu'il a fabriquée lui-même faite dans des pièces de bagnole. [03:12:35] Speaker B: Super truc au passage, très très belle pièce. [03:12:38] Speaker F: Disons que le Vigie il a fait genre toi tu rentres pas ou alors tu laisses la hache dehors ou tu me la laisses mais ah bon ? [03:12:45] Speaker B: Oui bizarrement j'ai pas confiance. Pour aller à un concert c'est pas forcément très intéressant. Après il était content de vous la montrer j'imagine de lui faire des coups. Je parlais pas de l'arrêt de ses fesses ! Faites-la avant ! [03:13:03] Speaker E: Non c'est bon, ça on a celle. [03:13:04] Speaker F: De Clémence, elle la voit tout le temps. Il y en a quand même pas mal qui sont assez investis. Il y en a un qu'on voit souvent, qui a une tête de bébé accrochée ici, qui est reliée à un tuyau avec son masque à gaz. En fait, on a appris il n'y a pas longtemps que le mec, il planquait de la suce dans la tête de bébé. Donc en fait, il est tout le temps en train de picoler de la suce dans les pogos. Mais qu'elle sorte de là dans un état, je ne t'explique même pas. [03:13:25] Speaker B: Oui, mais j'imagine. C'est gros une tête de bébé. Le temps de la sucer, forcément. Ben non, mais c'est la suce qu'il y a dedans. [03:13:37] Speaker F: Je pense que cet épisode est banni de la chaîne. [03:13:41] Speaker B: En tout cas, merci beaucoup, bravo, et puis on vous retrouve très très bientôt sur Paris, les gens peuvent vous rencontrer. Donc voilà, je vous félicite et puis on se voit très très très bientôt. Attention, le clip que je vais passer là, je me suis permis de couper. Il n'y a que la chanson. Donc si vous voulez voir le clip en entier, qui dure 20 minutes et qui est très intéressant, allez donc. ou le voir sur Youtube, puis rejoignez leur chaîne. [03:14:03] Speaker F: C'est un film en fait, il y. [03:14:05] Speaker A: A une histoire avec des textes et tout, et c'est la continuité de ceux d'avant, du coup c'est dans un contexte vraiment, c'est vraiment pour le coup un peu comme plus belle la vie mais... [03:14:17] Speaker D: Mais dans un univers légèrement différent. [03:14:20] Speaker B: T'as capté qu'elle s'est... Tiens, je vais la sortir plus belle la vie, faut que je la sorte. Je vais essayer d'amener le truc pour pouvoir... Elle t'a pas dit, elle a une tout douce, genre il faut que je casse les mots genre... rhododendron, sanglier... [03:14:31] Speaker C: Le doigt... [03:14:31] Speaker B: Elle est arrivée avec ça, je suis sûr. Bon merci Chaharagoth, notez le nom Chaharagoth. [03:14:43] Speaker F: C'est très important. [03:14:44] Speaker B: Comment il le donne ? [03:14:45] Speaker A: Tu vas l'épeler ? [03:14:45] Speaker B: Bah non, mais il va le monter dans le cheveu. [03:14:47] Speaker C: Si je l'épèle là, ça va être un enfer. [03:14:48] Speaker D: Il s'écrit, il s'écrit en dessous. [03:14:50] Speaker B: Voilà, il va l'écrire Marcel, le petit Marcelo. [03:14:52] Speaker E: Allez, c'est parti. [03:14:53] Speaker B: Bisous, merci. [03:14:54] Speaker C: Merci beaucoup ! We are the shadow ! Cause everybody now needs to learn to sleep Keep running, keep running C'est la fin de cette vidéo. C'est génial ! C'est la fin de l'année ! Détruis ! Enflamme ! [03:24:40] Speaker B: Ah quelque chose qui envoie encore du bois, on aime beaucoup. Quelque chose de Tennessee. Alors attends, faut que je dise correctement leur nom. Extriosniste. Non j'ai mal dit. [03:24:49] Speaker D: Extrioniste. [03:24:50] Speaker B: Extrioniste. Bon, peu importe. C'est noté, cherchez, renseignez-vous s'il ça vous plaît. Non mais il faut qu'on termine parce qu'on a envie de dormir, au moment où on est fatigué c'est dimanche soir. [03:24:59] Speaker D: Ah ça c'est vrai que moi je suis fatigué. [03:25:00] Speaker B: Bah oui, du coup on se tourne. [03:25:01] Speaker D: Vers... Ah c'est vrai qu'on est dimanche soir. [03:25:02] Speaker B: Enjoy the noise qui est encore avec nous, qui est parmi nous. [03:25:05] Speaker E: Écoutez les deux Michel Drucker là... Ah ouais ? [03:25:08] Speaker D: Qui fait Michel, qui fait Drucker ? [03:25:10] Speaker B: Je sais pas, qui fait le chien ? On mange pas des graines, je peux te le dire. Cui cui le petit oiseau. [03:25:16] Speaker D: J'entends quelqu'un rire au loin, mais j'arrive. [03:25:18] Speaker B: Pas à savoir qui c'est. Bon, mon petit Enjoy The Noise, il reste ce petit passage pour toi, pour que tu puisses nous parler d'une découverte. [03:25:26] Speaker E: D'une découverte, ouais, mais d'un groupe qui n'existe plus depuis un petit moment. [03:25:30] Speaker D: Ah, une bonne nouvelle. [03:25:31] Speaker B: C'est ça qui est bien avec Enjoy The Noise, c'est qu'il se dit « Attends, mais j'ai un truc que tu connais pas ». Bah oui, mais ça n'existe plus, donc l'intérêt... [03:25:36] Speaker D: Après, je vais rien dire parce que moi, tous les groupes que j'aime, soit ils n'existent plus, soit... [03:25:41] Speaker E: Il marche pas. C'est vrai que t'as cette malédiction toi aussi. [03:25:44] Speaker B: Bon alors, ça s'appelle comment ? [03:25:46] Speaker E: Ça s'appelle Cybreed. C'est un groupe... Ah, j'entends des oui hors-champ. [03:25:52] Speaker B: Ah ouais, mais j'ai jamais entendu parler de Cybreed. C'est ça, vous êtes deux miches, génial. [03:25:57] Speaker D: C'est possible. C'est un rapport fessier, mais... [03:26:00] Speaker B: Bref, continue, pardon. [03:26:02] Speaker E: Cybreed donc, toujours dans un côté assez indus, c'était un groupe suisse qui était, on va dire, une sorte d'enfant illégitime quelque part entre Fear Factory, Strapping Young Lad et plein d'autres choses, et beaucoup de trucs électro en fait. C'était un projet qui mélangeait électro et métal avec un côté très science-fiction, très... pas Space Opéra, mais Cyberpunk, on s'y retrouve aussi, et c'était un groupe qui était très cher à mon cœur, qui a malheureusement pas produit beaucoup de clips, donc j'ai pas eu beaucoup de choix pour l'émission, et qui était presque, je vais dire, en avance sur certaines tendances, notamment sur le djent, tout ce qui était tout ce qui était riffs de guitare, graves, syncopés, etc. Ils le faisaient un petit peu avant le début de la grande vague djent et on va dire qu'ils ont même périclité, ils se sont même dissous, je crois que c'était 2014-2015, donc c'était avant que vraiment la grosse vague djent qui a inondé le metalcore derrière vienne prendre vraiment de l'ampleur. CYBREED, c'est un mélange entre musique industrielle, musique électronique, death metal mélodique, etc. Ils ont sorti 4 très bons albums. Le morceau que j'ai choisi, malheureusement, ils ont produit des clips que pour le dernier album. [03:27:20] Speaker B: Le clip est assez simple. [03:27:22] Speaker E: Le clip est assez simple, c'est une performance live. [03:27:25] Speaker D: C'est un classique ! [03:27:28] Speaker E: Ils n'ont jamais misé sur les clips alors que pourtant il y avait un univers avec un gros potentiel cinématographique, là encore il y avait quelque chose qui pouvait vraiment faire de l'ambiance un peu Terminator, je pense, Cybrid avec ce côté très cybernétique. Et là, pour le coup, le clip est très simple, donc performance live. Le morceau s'appelle « No Wisdom Brings Solace ». Je suis là pour ça. [03:27:54] Speaker D: Parce que Pierre leur dit « No Wisdom Brings Salas ». Ça a pas le même sens. Bizarrement. [03:28:02] Speaker E: Et puis tout à l'heure, je parlais d'autres Suisses, donc Samaël, et il se trouve que le guitariste de Cybreed, après la dissolution de Cybreed, a rejoint Samaël. [03:28:13] Speaker D: Donc il y a une petite continuité. La filiation ! Pierre, tu vois ce que ça fait quand on travaille ? [03:28:21] Speaker B: Non, je ne vois toujours pas. C'est bien dommage, ouvre les yeux ! Non juste les yeux. [03:28:31] Speaker E: Donc ouais, Sybreed, excellent groupe qui m'est cher et qui me manque et a. [03:28:35] Speaker B: Priori je suis absolument pas seul. [03:28:40] Speaker C: La chance ! [03:28:42] Speaker D: Apparemment en live c'est bien. [03:28:43] Speaker B: Tu vois Clem qui nous dit des trucs maintenant, alors l'autre elle était assise dans le canapé, elle faisait des blagues de cul, mais alors qu'elle a des trucs, elle les dit là-bas quoi. Non mais c'est quoi, qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Écoute, chacun son professionnaliste Pierre. [03:28:57] Speaker A: Je vous avais vu en live à Bordeaux il y a quelques années, c'était vachement bien. [03:29:01] Speaker B: Ça avait l'air, oui. [03:29:03] Speaker E: J'ai jamais eu cette occasion malheureusement. [03:29:04] Speaker B: Bah nous on va découvrir peut-être, moi je connaissais pas trop, j'ai regardé juste quelques petites brides de clips, donc on va regarder donc cette découverte que tu nous offres. [03:29:11] Speaker E: Ça marche, allons-y. [03:34:06] Speaker C: J'espère que vous avez apprécié cette vidéo, si c'est le cas n'hésitez pas à vous abonner à la chaine, Mais l'arrivée était mon premier erreur Donc tu m'éloignes, tu m'éloignes de tout Est-ce que tu seras mort, mort, perdu dans cette pierre ? Yes, it's on ! J'espère que vous avez apprécié cette vidéo ! [03:36:55] Speaker B: Qu'est-ce qu'il y a mon petit père ? [03:36:57] Speaker D: Je sais pas, je me sens un. [03:36:58] Speaker B: Peu down down, je suis anxieux en ce moment. T'as compris ? Oui j'ai compris. [03:37:04] Speaker D: Moi mon travail c'est de faire des enchaînements Pierre. [03:37:06] Speaker B: Moi mon travail c'est de ne pas travailler. [03:37:07] Speaker D: Bah si, toi tu choisis les chansons au hasard. [03:37:10] Speaker E: Moi mon travail c'est d'être anxieux, c'est bon, on se complète bien. [03:37:13] Speaker B: Non mais j'adore ce groupe en fait, on en passe déjà sur Restless Radio, si vous ne connaissez pas Restless Radio, c'est la radio qui diffuse tous les rocks qu'on aime, et vous retrouvez ça sur toutes les plateformes qui diffusent des radios, vous tapez Restless et vous allez bien sûr pouvoir écouter... RST LSS. Voilà, tout à fait. Et ce groupe-là, moi, j'aime beaucoup. Je suis un peu émo, je suis un peu comme ça. [03:37:31] Speaker D: Ça, c'est plus pop-punk que émo pour moi. [03:37:33] Speaker B: C'est mis dans l'émo, quand même. [03:37:35] Speaker D: Ouais, mais alors, je commence à avoir vraiment des problèmes avec les définitions des... [03:37:39] Speaker B: Écoute, c'est ce qui est écrit. Oui, bah qu'ils aillent bien se faire cuire le cul. Alors, j'aime cette expression. [03:37:44] Speaker D: Voilà. [03:37:45] Speaker B: J'aime cette expression, mais j'imagine que tu vas avoir le cul rouge. Ah bah... C'est pas comme le cul qui brille, par exemple. Ah non, ça, c'est sûr. [03:37:51] Speaker D: Mais après t'as le cul rouge surtout si t'es un homard ou un crabe. Comme la femme crabe dans le clip. [03:38:00] Speaker B: Bon en tout cas ça s'appelle Enxius et on était en train d'en parler mais juste sachez-le, tous les ans on organise un pique-nique. Alors c'est pas plus compliqué que ça, c'est un pique-nique. C'est un pique-nique, on pique, on nique. [03:38:11] Speaker D: Ah non, c'est pas ça. On amène à manger et on mange. [03:38:15] Speaker B: Assis par terre, assis par terre avec Louisie Joseph. [03:38:20] Speaker D: Elle est là, elle vient. [03:38:22] Speaker B: Non mais des fois, il y a des gens qui viennent jouer, qui viennent chanter. On fait des blind test, on se déguise. C'est ça. Et cette année, ça a lieu le 13 juillet. [03:38:30] Speaker D: Voilà. Tous les ans, c'est plus gênant. Donc ne manquez pas. Ne manquez pas l'édition. [03:38:33] Speaker B: Cette année, ça va être vraiment, vraiment, vraiment gênant. Cette année, c'est peut-être la dernière fois. C'est ça. [03:38:38] Speaker E: J'ai manqué l'an dernier, ça va être violent, je pense, le retour. [03:38:41] Speaker B: L'an dernier, c'est vrai que c'était un peu gênant, tout le monde regardait, ils sont vraiment adultes, ils font ça. Désolé. Donc, PICNIC, ça serait P-I-K-N-I-K, et vous tapez restless juste à côté ou PICNICROC, et sur Facebook, vous tomberez sur l'event. Tout simplement. [03:38:55] Speaker E: Je tiens à répondre à ceux qui se font la réflexion dans le chat. Oui, je suis chargote. [03:39:00] Speaker B: Voilà. C'est moi, depuis le début. Mais non, c'est pas pendant les JO, les JO ça commence fin juillet, vous avez rien... Avec le nombre de fois où on vous casse les couilles avec ça, vous n'avez toujours pas compris que ça commence le 25 juillet. Donc le 13 juillet, on va pouvoir aller du côté du Bois de Vincennes. [03:39:17] Speaker E: Profitez-en, les tickets de transport ne coûteront pas encore un bras. [03:39:20] Speaker B: On va peut-être aller du côté où. [03:39:21] Speaker D: On peut être réaliste. [03:39:23] Speaker B: Bon bref. [03:39:25] Speaker D: Je comprends rien. Je pense qu'il est temps de terminer cette émission Pierre. On a un petit truc à rappeler. [03:39:30] Speaker C: Avant que ça se finisse ? [03:39:31] Speaker B: Évidemment, écoutez la radio, suivez-nous sur Youtube ! Suivez-nous sur les réseaux sociaux, c'est pas parce que vous êtes sur Instagram qu'il ne faut pas être sur TikTok ni sur Facebook parce que je mets pour les lives des vidéos différentes. On pouvait découvrir des petits bonus. Et puis comme ça aussi auprès des attachés de presse, on peut dire, non mais vous avez vu, on a quand même des gens qui nous suivent, parce que des fois ils font, mais sur Facebook, j'ai vu, il y avait 4700. Non mais sur Insta, il y en a tant. En fait, c'est assez compliqué. Je sais que c'est chiant. Suivez-nous partout. Ça va plus vite. Ça nous permet d'inviter des gens extraordinaires et de vous faire plaisir et de vous offrir des cadeaux de ouf. Sur Instagram, c'est le seul endroit où on offre des places de concert. Merci EnjoyTheNoise ! [03:40:16] Speaker D: Fiona Apple ? [03:40:17] Speaker B: Elle-même. Non, Fiona Strawberry. Alors j'espère, elle nous regarde de temps en temps, j'espère que je trouve ça mignon, attention, il n'y a pas de... Ah bon bref, je vais arrêter là. Mais voilà, on l'appelle Super Tartelette. Et c'est une nana qui est hyper cool, qui vient du sud, elle vient de Montpellier je crois. et elle défend beaucoup le rock et le métal via ses réseaux sociaux et je pense que c'est une bonne personne. [03:40:41] Speaker D: Et puis on a envie de découvrir un peu son univers quoi. [03:40:43] Speaker B: Bah ouais parce que moi j'ai plein de questions. Donc voilà ce sera ça et puis j'ai rien d'autre à dire je crois. [03:40:48] Speaker D: Non bah c'est bon on termine. On s'écoute un petit Johnny pour terminer ? [03:40:52] Speaker B: Alors justement j'adore Johnny donc j'avais envie de terminer avec ça aussi. Je sais que ça va faire plaisir à les gens de Lolo parce que c'est pas vraiment métal non plus. [03:40:58] Speaker D: Johnny ça c'est rock. [03:41:00] Speaker B: Pas autant que le fenouil. Mais bon presque. Ça s'écrit J-A-W-N-Y et c'est là-dessus qu'on se quitte. Passez une excellente semaine, bon courage pour demain. Le boulot c'est chiant, mais ça rapporte de l'argent. Et puis vous pouvez écouter Rassless pendant ce temps-là pour pouvoir vous soulager. Vous verrez, on est là pour vous faire des petits plaisirs. [03:41:16] Speaker D: On est là pour vous soulager. [03:41:18] Speaker C: Bisous ! Musique d'ambiance J'ai du mal à respirer, c'est détrimental Le changement est bon, je vois le potentiel Mais mon cerveau irrationnel N'a rien à voir avec ce qui est réel ou donné J'aurais pu mentir, mais je n'écoutais jamais. [03:44:35] Speaker F: Un pour le caillou. [03:44:39] Speaker B: Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir. [03:44:58] Speaker A: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. N'hésitez pas à vous abonner.