Episode Transcript
[00:00:24] Speaker A: Bonsoir tout le monde, bienvenue les bangers et les bangers, oui féminins ou masculins ça s'appelle de la même façon les bangers, on est ravi de vous retrouver.
[00:00:32] Speaker B: Ou autres gens, on n'est pas… Écoutez.
[00:00:37] Speaker A: Soyons francs… Oh c'est la merde ! C'est la merde à peu près à tous les niveaux, mais on est quand même très heureux de vous retrouver. Si jamais ça coupe, si jamais il y a un bug, si jamais il y a un souci, désolé. Il est possible aussi que si le souci est un petit peu chiant, on arrête l'émission sur ce souci. Je préfère prévenir les gens.
Je ne me suis pas concerté avec qui que ce soit, mais je me permets de le dire.
[00:01:03] Speaker B: En tout cas, cette semaine, on a découvert quelque chose. Apparemment, quand vous versez 60 litres d'eau sur un ordinateur, il marche moins bien.
[00:01:11] Speaker A: Et quand c'est de l'eau des toilettes, c'est encore moins bien ?
[00:01:13] Speaker B: Non, c'est de l'eau des chauffages. Parce qu'on a un voisin au 4ème qui est vétérinaire, mais apparemment, on n'allait pas chez lui pour soigner vos animaux, parce qu'apparemment, il est vraiment con.
Donc en fait ce qu'il a fait c'est qu'il a fait son installation avec un plombier de merde et du coup il y a l'arrivée d'eau qui a sauté il y a quelques semaines, on vous en avait parlé.
on l'avait découvert juste avant l'émission. Et en fait, du coup, il a fait venir un plombier pour réparer l'arrivée d'eau, mais le plombier lui a dit « Bah dis donc, le reste c'est mal fait aussi, faudrait le refaire », et le mec il a fait « Ah non, c'est bon, moi je vais pas dépenser de l'argent dans des tuyaux ». Bon, bah apparemment c'est une mauvaise idée, puisque son tuyau de chauffage a explosé cette semaine et nous a encore inondé une fois, voilà, enfin plus que la dernière fois, mais aussi plus que tous les voisins.
Parce que cette fois, il n'y a pas que nous qui avons pris. La dernière fois, ça a coulé directement dans le studio.
[00:02:13] Speaker A: Oui, c'est vrai. C'est pas marrant, mais c'est bon. Le fait que je rigole pour rien.
[00:02:19] Speaker B: Non, mais il vaut mieux en rire qu'en pleurer.
[00:02:21] Speaker A: Oui, on pleure suffisamment.
[00:02:23] Speaker B: Moi, quand je suis revenu à 21h30, après avoir tout déchargé, plein de matos et que j'ai dû aspirer 60 litres d'eau flotte dans le studio, je me suis dit Et l'avantage, j'avais pas l'énergie de pleurer. J'étais vraiment... Qu'est-ce que t'as crié ? J'ai poussé un cri.
[00:02:43] Speaker A: C'est bien, mais c'est important aussi. Il y a un moment où il faut quand même que ça sorte quoi. Enfin, je parle pas de l'eau, je parle de...
[00:02:50] Speaker B: Voilà. Et du coup, ça marche à peu près, mais par exemple, le truc qui nous sert à passer des clips marche pas. Du coup, on a dû faire une autre technique.
Donc on verra, s'il y a des plantades, ce sera… J'en suis persuadé que.
[00:03:02] Speaker A: Votre semaine a été meilleure que la nôtre. Si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à en parler dans le ch'meule ou tout simplement sur la VOD et dans les commentaires. On aime à partager aussi les moments douloureux de tout le monde. Ne rentrez pas dans les détails si c'est des trucs très personnels, ça ne nous regarde pas de ce côté-là.
Regarde pas ! Et puis, bien sûr, ce soir, donc, ne nous en voulez pas. S'il y a un petit bug, voilà, on va tout faire pour que ça se passe bien. Sachez aussi qu'un invité était prévu... Ah.
[00:03:27] Speaker B: Il y a eu un autre bug !
[00:03:28] Speaker A: Ah, lequel ?
[00:03:30] Speaker B: Bah, le bug organisationnel.
[00:03:31] Speaker A: Ah oui, alors voilà, il y a eu bug d'un côté... Enfin, bug... Un petit problème, malheureusement, de vie du côté de notre invité, donc il n'a pas pu venir avec nous. On lui fait des gros bisous, bien évidemment.
Moi, j'ai cru que j'avais programmé finalement un groupe, sans le savoir, ce jour-là. Donc j'ai demandé à La Têchée de presse si c'était bien le 9 mars et non pas le 9 février. Bon, il m'a répondu vendredi à 22h parce qu'il avait sûrement autre chose à faire, je pense. en me disant non non t'inquiète c'est le 9 mars alors là j'ai fait ah dimanche il me faut un invité donc j'ai proposé à un ancien rédac chef qui a aussi eu un groupe à base de zizis bon il m'a dit ah ouais carrément je suis chaud je viens.
[00:04:14] Speaker B: Dit comme ça c'est un peu bizarre mais il n'y a rien de... Non.
[00:04:16] Speaker A: Il n'y a rien de sexuel c'est vraiment juste des vannes dans le paysage de Relap.
Et quelques temps après, il m'a dit « Ah, finalement je peux pas ». Donc j'ai proposé à un directeur de label de venir, qui m'a dit « Ah mais chanmé, depuis le temps que j'attends, je suis trop heureux ». Bon, 3-4 heures après, il m'a dit « Finalement, je peux vraiment pas, je crois que tout est contre nous ». J'ai fait « Contre nous, je sais pas, contre moi-même ». Il y a vraiment quelque chose qui est fait pour que ça ne marche pas. « Contre nous, on s'en file et.
[00:04:48] Speaker C: Les femmes, on s'en fout ».
[00:04:49] Speaker A: Oui, c'était très bien, l'interprétation était bien meilleure que la version originale. Et après, quand j'ai fait une demande, on m'a dit « ça en est où ? ». Et puis après, Ben il m'a dit « tu sais, ça serait bien qu'on fasse juste entre nous, voilà, faisons simple ». Donc voilà, ce soir, nous allons discuter. Il va y avoir bien sûr Didier pour les informations, peut-être un peu plus. Il va y avoir Amélie qui sera là parce qu'elle nous racontera son nouvel an.
Ouh là là là là, ça va être chou bouillant ! Ça va faire glou glou ! Il y aura Marcel qui est déjà derrière les manettes mais qui va venir parler aussi d'un groupe et nous aurons Enjoy The Noise qui nous accompagnera tout.
[00:05:25] Speaker B: Au long du show. La Dream Team j'ai envie de dire ! Bon il manque Gladice mais... Gladice est.
[00:05:30] Speaker A: Avec nous puisqu'elle est là ! Voilà Gladice bravo !
Voilà, c'est ce qui représente Gladys dans notre équipe lorsqu'elle n'est pas là.
[00:05:40] Speaker B: C'est elle qui l'a choisie, donc on n'est pas responsable.
[00:05:43] Speaker A: Voilà, je cacherai le reste, mais voilà. Donc ce soir aussi, nous allons vous faire un point sur quelle est la situation. Alors déjà, vous en avez eu un, mais il n'y a pas que ça. Les choses s'accumulent. On est toujours très heureux de faire cette émission, on est toujours très heureux de faire SS et vous êtes de plus en plus nombreux et nombreux à suivre et à nous remercier et à nous féliciter.
[00:06:02] Speaker B: J'ai vu qu'on est bientôt 100 000 sur YouTube.
[00:06:05] Speaker A: On est à 4008. Bientôt, 4700... Si, si, 4800, on a passé.
On augmente de 100 toutes les semaines normalement.
[00:06:14] Speaker B: Continuez, continuez.
[00:06:15] Speaker A: Partagez avec vos amis, dites-leur de nous rejoindre.
[00:06:17] Speaker B: Parce que je peux dire qu'on va arriver à 10000, ça va changer la donne.
Déjà 5 000, ce serait bien.
[00:06:24] Speaker A: 10 000, ça changera forcément la donne. Mais on va vous expliquer tout ça, on va vous expliquer aussi comment fonctionne l'ensemble.
[00:06:28] Speaker B: On va en profiter, on va profiter de cette émission pour faire une petite mise au point.
[00:06:31] Speaker A: On dira des bêtises bien évidemment au milieu, parce qu'on est là quand même pour rigoler, on n'est pas là que pour pleurer. Mais voilà, on va tout...
[00:06:37] Speaker B: Quand on est ensemble, on rigole quand même.
[00:06:39] Speaker A: C'est vrai que même quand ça va pas du tout, on rigole.
[00:06:41] Speaker B: C'est un peu le truc qui aide quand même. Et on espère que c'est pareil pour vous.
[00:06:45] Speaker A: Eh bien écoute, j'en parlerai, mais j'ai fait une petite après-midi métal aujourd'hui et je ne savais pas que ça se passait comme ça dans Paris. J'ai découvert un monde parallèle que je ne connaissais pas.
Mais je vais vous en parler un.
[00:06:57] Speaker B: Petit peu plus tard. À 30 ans, il était temps ?
[00:06:59] Speaker A: Oui, c'est exactement ça.
Et sinon, cette semaine, qu'est-ce qui s'est passé ? Et bien, entre autres, parce qu'on va peut-être écourter un petit peu ce petit blabla.
Au final, on n'a que ça à dire.
[00:07:12] Speaker B: Peut-être cette émission. Je te rappelle que cette émission va sensiblement être plus courte vu que personne ne racontera sa vie.
[00:07:17] Speaker A: Enfin, à part toi.
Passion. J'ai été voir Papa Roach, parce qu'il y a eu Papa Roach aux Élysées de Paris.
[00:07:28] Speaker B: Est-ce que Maman Roach était avec eux ou pas ?
[00:07:32] Speaker A: Oui, il y avait un cafard géant au tout début, sur un rideau, comme ça, qui attendait, juste haute. Il était à l'envers, comme sur la pochette, évidemment, de Infest. Je me suis dit, il faut un sacré bégon pour tuer ce genre de gros cafards. Mais ils nous ont assassinés notre cafard.
[00:07:48] Speaker B: Bégon rouge ?
[00:07:49] Speaker A: Bégon vert !
Notre héros... Papa Roche, gros cafard... J'imagine très bien ce qu'il se passe...
Donc y'a un rideau et tu te doutes bien qu'ils vont faire des ombres chinoises. Sinon ça sert à rien de mettre un rideau blanc. Y'a une lumière et eux, ils font pas des... C'est leur silhouette, c'est ça que je veux dire. Et ils sont pas en train de faire des dessins quoi.
Mais on aurait pu imaginer, parce que Jacobi Chadix, le chanteur, a fait cette.
[00:08:26] Speaker B: Petite erreur… Il est fan de Papillon ?
[00:08:28] Speaker A: Non, il a fait une petite erreur au tout début, où c'est fait exprès, il a baissé son micro et il a tenu juste comme ça, on avait l'impression qu'il tenait sa queue. Kobinik, Kobinik !
[00:08:40] Speaker B: Le mec s'est fait appeler Kobinik pendant des années.
[00:08:42] Speaker A: C'est le seul live… Où ça s'est passé ?
[00:08:45] Speaker B: Bah c'est la France.
[00:08:46] Speaker A: Ah les Français c'est des petits coquinous !
[00:08:48] Speaker B: Tu sais qu'il a un rapport très particulier à la France.
[00:08:51] Speaker A: Il aime énormément la France. Il est vraiment hyper hyper attaché à un autre pays, donc tant mieux. Et voilà, bon bref, à part ce petit détail.
[00:08:59] Speaker B: Est-ce qu'il m'a dédicacé une chanson ?
[00:09:00] Speaker A: Évidemment.
[00:09:01] Speaker B: Parce que...
[00:09:02] Speaker A: Quand il a fait Deftones, il a dit « Ah that's for Ben Berserker ».
[00:09:05] Speaker B: Ah ouais, parce que je sais pas si tu te souviens, mais au travail de nous, il avait dédicacé une chanson à ma barbe.
[00:09:10] Speaker A: À ta barbe, ouais, c'est vrai.
[00:09:11] Speaker B: Bah vu que j'étais pas là, peut-être qu'il y a pas pensé.
[00:09:14] Speaker A: Si, si, je pense qu'il y a pensé. Alors, je pense qu'il y a pensé parce que j'ai reçu un petit message pendant le live de l'attaché de presse à qui on fait d'énormes bisous, bien évidemment, parce qu'on l'aime beaucoup. Comme dirait Tarkan. Il nous suit depuis Bring the Noise.
Et c'est lui qui avait fait revenir Papa Roach en France avec Bring the Noise, ce dont tu parlais là, le Trabendo. Et pendant Scars, donc il m'a envoyé un petit message, il m'a dit tiens, celle-là c'est pour toi. Alors, est-ce que c'est à cause des paroles ? Je suppose que oui. Et je suppose aussi que c'était parce que c'est un morceau qui me touche énormément. Après Papa Roach, j'aime bien. Je me suis quand même rendu compte d'une chose, je suis très fan de Papa Roach, j'adore ce côté sur-américain, ça en fait des kilos et tout. Il dit un petit peu trop de gros mots, à mon goût pourtant, je suis hyper vulgaire, mais je pense que le mot « shit » et je peux dire les mots vulgaires en anglais, « shit » et « fuck », il le dit quand même huit fois par phrase.
Alors son côté latino, c'est ce qu'il explique.
Est-ce que c'est une excuse ou pas ? Je ne sais pas. Mais voilà.
[00:10:20] Speaker B: Après, j'ai envie de te dire, dans le métal, les gens sont souvent vulgaires.
[00:10:23] Speaker A: Quand même quand ils parlent. Ouh !
[00:10:26] Speaker B: Ouh !
[00:10:26] Speaker A: Gardons ce sujet, on fera un débat dans le speak suivant. Faut bien qu'on s'occupe.
Non, non, mais c'était très bien, mais il y a quand même des chansons que je ne connais pas. Et pourtant, là, c'était des tubes. Tout le monde était là, c'est Salah !
[00:10:41] Speaker B: Après peut-être qu'il y a des albums que t'as un petit peu moins écouté.
[00:10:44] Speaker A: Il y a un copain qui m'a dit, un ami à moi qui m'a dit, ben parce que t'aimes que les vieux albums. J'ai fait, ben non, il m'a dit, ah oui c'est quoi les récents ? Ben voilà Pierre.
[00:10:54] Speaker B: Toi t'aimes bien les nouveaux albums d'il y a 15 ans.
[00:10:58] Speaker A: Il y a 20 ans, Getting Away With Murder.
[00:11:00] Speaker B: Voilà, c'est-à-dire qu'ils avaient déjà 10 ans de carrière à ce moment-là.
[00:11:05] Speaker A: Mais par contre, ils sont adorables.
[00:11:07] Speaker B: Ils avaient déjà 15 ans de carrière à l'époque.
[00:11:09] Speaker A: C'était déjà vieux. Mais une superbe énergie. Ce qui est ouf, ce que tout le monde a dit en sortant du concert, c'est que ça joue de ouf, il y a une énergie de ouf, c'est hyper communicatif. Et il fait le show, ça bouge, ça discute.
Moi je pense un petit peu trop, mais après voilà. C'est mon côté straight to the point quand je discute.
[00:11:28] Speaker B: Toi t'aimes bien quand c'est concis quoi, c'est circoncis même.
[00:11:32] Speaker A: Alors je préfère. D'ailleurs ça a été un sujet de discussion après ce live. D'accord, on va regarder le clip.
[00:11:37] Speaker B: On va regarder le clip tout de suite. Du coup c'est Papa Roach.
[00:11:41] Speaker A: Avec Scarz évidemment pour le petit clin d'œil à Olivier, à qui on fait des cœurs gigantesques. On t'aime Olivier ! Et on aime les Papa Roach et on vous aime aussi les bangers. C'est parti !
[00:11:52] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org I tear my heart open Just to feel I'm drunk and I'm feeling down And I just wanna be alone I'm pissed cause you came around Why don't you just go home Cause I channeled all your pain And I can't help you fix yourself You're making me insane All.
[00:12:32] Speaker A: I can say is.
[00:12:37] Speaker C: Musique du générique.
[00:12:38] Speaker D: De fin.
[00:12:56] Speaker C: Musique du générique de fin Oh non !
I'm drunk and I'm feeling down And I just wanna be alone You shouldn't ever come around Why don't you just go home? Cause you're drowning in the water And I tried to grab your hand I left my heart open But you didn't understand But you didn't understand Go fix.
[00:13:58] Speaker A: Yourself.
[00:14:11] Speaker C: Je ne peux pas me réparer Mais au moins je peux dire que j'ai essayé Je suis désolé mais je dois continuer avec ma vie Je ne peux pas me réparer Mais au moins je peux dire que j'ai essayé Je suis désolé mais je dois continuer avec ma vie J'ai ouvert mon cœur J'ai vu moi-même tomber Et mes faiblesses Musique du générique de fin.
[00:15:21] Speaker A: My head and.
[00:15:22] Speaker C: My heart go different directions I'm stuck in a world obsessed with perfection Time after time I'm left here wondering When will this mess become a lesson We're.
[00:15:44] Speaker A: All gonna die.
[00:15:51] Speaker C: J'ai pris une pause à cause d'expectations.
[00:16:17] Speaker A: C'est pas une salvation.
[00:16:18] Speaker C: Je cherche un signe Dans ma frustration Plus j'essaie, moins je m'échappe On va tous mourir On va tous mourir Chaque grève m'aide c'est Nous allons tous mourir. Nous allons tous mourir. Chaque gravier me dit une lumière parfaite, une lumière magnifique. Parce que nous allons tous mourir. Si tu me laisses perdre tout ton temps.
[00:18:29] Speaker A: Et ce soir, c'est une nouvelle soirée, une nouvelle façon de faire une émission. Bienvenue dans Bang Bang pour toutes les personnes qui viennent de nous rejoindre. Vous avez fait le bon choix parce qu'on va quand même s'amuser. Et ce soir, on va tout vous avouer. Ce soir, on va vous dire toute la vérité. Elle va vous faire pleurer. Et rien de plus.
[00:18:45] Speaker B: Non, parce que de toute façon... Et rien de plus.
[00:18:48] Speaker A: Que la vérité ? Non, je n'ai pas compris.
[00:18:50] Speaker B: C'était quoi l'accent qu'on vient de regarder ? Moi j'ai un petit plateau, j'ai un petit plateau avec des transitions qui sont toutes faites, et je fais « tiens Pierre » et Pierre il fait « ah c'est drôle, on dirait du caca.
[00:19:02] Speaker A: » Alors la voix c'était bon, c'est juste… Et le propos aussi. Il y avait juste une abeille qui faisait « bzzz » une bouche à merde dans mon cerveau. Qui faisait « bzzz bzzz bzzz bzzz.
[00:19:13] Speaker B: Bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz.
[00:19:16] Speaker A: Bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz.
[00:19:20] Speaker B: Bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz bzzz.
[00:19:21] Speaker A: Bzzz bzzz bzzz bzzz Ce que nous venons de regarder, c'est le clip officiel, sachez-le, de Nothing More. On pense que c'est uneérique vidéo. Non, c'est marqué clip officiel. Bon, écoutez, Nothing More qui vient de sortir, donc ce « We're all gonna die ». Et je trouve que cette chanson est parfaitement bon.
Elle est parfaitement correcte pour cette émission puisque ce n'est pas chose facile que de vivre et que d'accepter toutes ces souffrances qui peuvent nous envahir. Mais le rock et le métal nous sauvent la vie.
[00:19:52] Speaker B: D'ailleurs je propose qu'on fasse une nouvelle émission qui s'appelle « We are all gonna die but please do it fast ».
[00:20:00] Speaker A: Pour qu'on en finisse.
[00:20:00] Speaker B: Par contre il y a un truc moi avec lequel j'aime pas en finir, tu sais ce que c'est ?
[00:20:06] Speaker A: Attends, ça ressemblait juste à My Chemical Romance, on a eu ce genre de commentaire et c'est vrai que là ça fait vraiment très très pomper sur Black Parade. Mais c'est vrai que s'il y a bien une chose qu'on ne peut pas rater et qu'il ne faut pas stopper, c'est quoi ? C'est le muscle cramping !
[00:20:23] Speaker B: C'est l'heure, non ?
[00:20:23] Speaker A: Ah oui, alors tu veux dire comme ça ?
[00:20:25] Speaker B: Non, c'est le Flash Bang News ? Bah, je joue pas comme tu veux.
[00:20:28] Speaker A: On peut dire c'est l'heure. Allez, on dit c'est l'heure.
[00:20:29] Speaker B: Non, bah non, on dit c'est le Flash Bang News du coup maintenant, parce que ça démarre là tout de suite après.
[00:20:33] Speaker A: Ok, alors c'est parti.
[00:20:34] Speaker C: C'est l'heure du Flash Bang News !
[00:20:38] Speaker B: Oh mais qu'est-ce qu'il est beau !
[00:20:42] Speaker A: Et regardez, c'est toujours présenté par la star Didi Starr !
[00:20:46] Speaker E: Gilles Debray, Piotr. Gilles Debray, Ben. Gilles Debray, enjoy.
[00:20:49] Speaker F: Gilles Debray.
[00:20:50] Speaker B: Gilles Debray.
[00:20:51] Speaker A: Gilles Debray, enjoy.
[00:20:53] Speaker B: Elle est trop belle cette cravate ! Regardez, il est crafté !
[00:20:56] Speaker A: Eh ouais !
[00:20:57] Speaker B: Beau hein ?
[00:20:58] Speaker A: T'es chic !
[00:20:58] Speaker B: Il est chic et choc !
[00:21:00] Speaker E: Eh ouais, je suis comme ça !
[00:21:01] Speaker A: Toi t'es un mec parce que...
[00:21:02] Speaker E: On m'avait dit il y a un envie des prestigieux ce soir !
[00:21:05] Speaker A: Bah oui c'est toi ! Il est par là ! Il se balade dans les limbes de nos couloirs. Très bien mais t'es très beau ! Tu es en beauté et je tiens à...
[00:21:17] Speaker E: C'est parce que c'est l'anniversaire de mon fils !
[00:21:19] Speaker A: J'allais dire bon anniversaire à Junior !
[00:21:22] Speaker E: Il a mis sa petite cravate pour aller à sa fête d'anniversaire et du coup j'ai mis une cravate pour faire comme lui.
[00:21:26] Speaker A: C'est pas vrai. C'est trop mignon.
[00:21:28] Speaker E: Il a pécho ou pas ? Il y avait sa fiancée non-officielle. On n'a pas le droit de dire, mais ils vont se marier, selon lui. Elle était là. Comme c'était un anniversaire d'un atelier scientifique où ils ont fait des expériences, il a voulu s'habiller en scientifique avec une chemise et une cravate.
[00:21:43] Speaker A: Ah oui, ça se tient.
[00:21:44] Speaker B: Et la blouse blanche ?
[00:21:45] Speaker E: C'était juste l'animateur, la blouse blanche. Mais ils avaient des lunettes de protection. J'ai gardé les contacts pour l'anniversaire de Pierre. Je pense que le package maternel, ça sera très bien pour lui.
[00:21:56] Speaker A: La lune blanche était belle ?
[00:21:59] Speaker E: La fusée chimique ? Le volcan ?
[00:22:01] Speaker A: Moi je peux faire tout ça tout seul. Je peux te dire que je suis un vrai labo à moi tout seul.
[00:22:05] Speaker B: Je peux te dire qu'il y aura.
[00:22:06] Speaker F: Besoin de lunettes de protection.
[00:22:07] Speaker E: A plein de moments j'ai pensé à toi.
[00:22:10] Speaker A: Bon très bien. Et il était heureux j'imagine. C'était dans votre nouveau chez vous ? Non pas chez nous. Parce que j'allais dire comme ça maintenant tout est salopé quoi.
[00:22:18] Speaker E: 12 enfants chez nous non c'est pas possible.
J'ai raqué pour le faire ailleurs.
[00:22:22] Speaker B: Le faire ailleurs à Nantes ?
[00:22:25] Speaker E: Et on salue nos amis nantais.
[00:22:27] Speaker A: Bien sûr, on leur fait d'énormes bisous.
[00:22:28] Speaker B: Nantes, R.P.Z.
[00:22:29] Speaker A: ! D'ailleurs, je tiens à dire que pour cette personne qui habite Nantes, avec qui j'ai passé une soirée mardi soir avant d'aller devenir, Mathéo, il s'appelle, j'espère que tu es vivant, essaye de m'envoyer le...
[00:22:38] Speaker B: Ah, c'est vrai, on n'a pas raconté cette histoire.
[00:22:39] Speaker E: Il est majeur ou pas, Mathéo ? Parce qu'il a vraiment le nom de quelqu'un qui sort juste de la crèche.
[00:22:45] Speaker A: Il a loué un Airbnb, donc j'imagine que tu dois être majeur pour louer un Airbnb quand tu es à Nantes. Ah bon ?
[00:22:50] Speaker B: Je sais pas.
[00:22:51] Speaker A: Bon écoutez, on racontera cette histoire un peu plus tard.
[00:22:54] Speaker B: Parce qu'on peut quand même raconter un petit truc. On en profitera, ce sera coupé dans la VOD des news. Parce que ça n'a rien à voir avec les news, mais je suis content de te raconter cette histoire. Cette semaine, j'ai tourné un clip.
J'ai tourné un clip pour une artiste française et je sentis que ça allait être une bonne galère et du coup j'ai demandé aux amis de venir m'aider, qu'ils pouvaient. Donc Chris est venu sur le tournage nous aider toute la journée et le matin il fallait que j'amène plein de matériel qui était dans ce studio pour aller dans le studio où on tournait. Et du coup j'ai dit à Pierre « Pierre, tu pourrais venir m'aider le matin pour chercher le matos ? Il faudrait vraiment que tu sois là avant 7h30. » Il me dit « Pas de problème, je mets pour être là à 7h. » Alors je fais « Ah bah super, génial ! ». Donc le matin j'arrive, je commence à tout préparer, je commence à tout amener vers la porte pour que l'on puisse le monter ensemble.
Et Pierre n'est toujours pas là. Et à 7h30, je lui dis « Attends, c'est quand même bizarre. Il m'avait dit qu'il dormait vers Pigalle, là. » Je me dis « Ouais, il devrait... » Et du coup, je dis à Pierre, il m'envoie un message à 7h30, « Je suis en route.
[00:24:09] Speaker A: » Ce qui est toujours très dangereux.
[00:24:11] Speaker B: Quand je dis ça. On connaît tous ce que ça veut dire « je suis en route ».
[00:24:14] Speaker A: Ça veut dire qu'on va juste vite partir.
[00:24:17] Speaker E: Au mieux.
[00:24:17] Speaker B: Et du coup, je lui dis « Ok ». Et puis bon, pas de nouvelles. Je lui dis « Mais tu es où, là ? » Et là il me dit à Voltaire. Et là je me dis, mais qu'est-ce qu'il fout à Voltaire ? Pour ceux qui ne savent pas, Voltaire c'est à l'opposé...
[00:24:30] Speaker A: C'est entre Bastille et ici.
[00:24:32] Speaker B: C'est à l'opposé du côté d'où il devait venir. Donc je me dis, mais c'est quand même bizarre. Et là je comprends, je comprends très vite que il n'était pas là où il devait être. Et je comprends que s'il est en retard, c'est que... Et là il arrive.
Et là, c'est bon, je suis là, c'est bon, qu'est-ce qu'il faut faire ? Et là, j'ai compris qu'il était ivre.
[00:24:55] Speaker A: Là, il avait déjà tout monté.
[00:24:57] Speaker B: J'avais déjà tout monté, parce qu'il fallait que ça avance.
[00:25:00] Speaker A: Je suis arrivé, le taxi était là, vous aussi. Oui.
[00:25:03] Speaker B: En fait, j'étais sur le point de lui dire, rejoins-moi directement au studio, parce que normalement, c'était moins loin de là où il venait. Je me suis dit, c'est pas grave, j'aurai chargé tout seul, il va quand même nous aider là-bas. Et là, je sens une odeur.
[00:25:18] Speaker A: Du coup, en fait, je lui dis.
[00:25:21] Speaker B: « t'as pas dormi ? » et il me fait « non ». Et j'ai fait « ah ok ».
[00:25:25] Speaker A: Y'avait un mix parce que ça sentait mon sandwich au thon que je venais de bouffer et l'alcool que j'avais parti sur le corps.
[00:25:30] Speaker B: Ça sentait surtout l'alcool.
[00:25:32] Speaker E: Le sandwich au thon de 7h du matin.
[00:25:34] Speaker B: Ah c'est le meilleur encore.
[00:25:36] Speaker A: J'ai un rituel, je ne sais pas où que j'aille si je suis bourré, je commande des suédois au thon. Là y'avait pas donc il m'a donné un sandwich au thon.
[00:25:47] Speaker B: Bon, déjà c'est bien qu'ils servent des sandwichs au thon à 6h du mat, c'est quand même une bonne nouvelle.
[00:25:51] Speaker A: Merci à tous les gens de Boulanger d'ailleurs qui écoutent et qui regardent BenBeng.
[00:25:55] Speaker B: Et du coup on est allé au studio et après Pierre nous a aidé à monter tout ce qu'il y avait à monter.
Ah mais il était... Tous les gens m'ont dit... Il a fait grande impression. Tous les gens m'ont dit... Non mais.
[00:26:08] Speaker A: J'Ai quand même monté des trucs.
[00:26:10] Speaker B: Non mais t'as porté de ouf. Mais pour quelqu'un... Par contre tu voulais aller un peu trop vite. Par rapport si tu voulais aller très vite. Parce que t'en avais plein le cul.
[00:26:19] Speaker A: Alors voilà, parce que je tiens à signaler que je n'avais fait que boire.
[00:26:24] Speaker B: Véridique. Oui, non mais j'ai jamais dit que t'avais fait autre chose.
[00:26:28] Speaker A: Par contre, j'ai compris que quand j'ai dit « Ah, je vous ai apporté le piano », on m'a dit « Non, non, mais ça serait bien que non ».
[00:26:33] Speaker B: Non, parce qu'il y avait des professionnels pour faire ça.
[00:26:34] Speaker A: Oui, et puis ils ont dit « Ah, le monsieur, il a l'air bourré, on va lui dire oui parce que sinon il va nous casser les couilles ». Et je me suis mis sur le côté et je n'ai rien apporté. Et ils m'ont dit « C'était très bien, monsieur ».
[00:26:47] Speaker B: Il y a deux mecs qui ont monté un piano avec eux au deuxième étage. « Vous avez monté ça à deux ? » Il me fait « Oh, deux et demi ».
[00:26:56] Speaker E: C'est comme les enfants, tu leur dis « ah tu m'as bien aidé ».
[00:27:00] Speaker A: Non mais ils étaient très très gentils et ultra efficaces, c'est impressionnant quand même à voir. Par contre, ils sont bourrés.
[00:27:06] Speaker B: J'leur ai dit, les mecs quand même ils ont dû se lever à 5h du matin pour monter un piano au deuxième étage et il y a un mec bourré qui est là pour qu'il leur pose des questions et qu'il veut se gêner.
[00:27:20] Speaker E: Forcément !
[00:27:21] Speaker F: Je pense qu'ils étaient heureux de s'être levés ce matin-là.
[00:27:23] Speaker B: Voilà, exactement. Et du coup, je leur dis « Réveille, vous embête pas trop ». Ils font « Ah non, il est incroyable ».
[00:27:31] Speaker A: Je pense que quand ils sont partis, ils ont bien rigolé. Parce qu'ils rigolaient déjà beaucoup.
[00:27:35] Speaker B: Ils ont bien rigolé, ouais.
[00:27:37] Speaker A: Il y a plein de gens qui m'ont trouvé très amusant.
[00:27:39] Speaker B: Ah mais tout le monde t'a adoré.
Il y a des gens qui m'ont.
[00:27:42] Speaker A: Dit « Désolé, je pue l'alcool, je pue l'alcool, c'est parce que je sors de night. C'est l'after, je vais vous aider ».
[00:27:51] Speaker F: L'air du studio était bien désinfecté.
De bon matin.
[00:27:54] Speaker A: Je me suis un peu endormi sur ton épaule.
Moi j'ai fait... Je crois qu'il va falloir que je lui dise que j'y aille parce que je commence à me sentir mal.
[00:28:01] Speaker B: Après les gens m'ont dit, il est parti...
[00:28:04] Speaker A: Le mec qui pue ?
[00:28:06] Speaker B: Oui, il avait besoin d'aller dormir quand même.
[00:28:10] Speaker E: Il avait un autre déménagement ailleurs.
[00:28:13] Speaker A: D'autres pires déménagements de ce qui reste dans mon cerveau.
[00:28:15] Speaker B: Il devait s'occuper d'une chienne.
[00:28:17] Speaker A: Et c'est vrai en plus. Ma petite Rosie. Ma petite Rosie Wart. Oui, je sais que c'est pas l'actualité. Et j'ai regardé d'ailleurs le replay pour comprendre comment ça fonctionnait et j'ai enfin compris.
Ça, ça me regarde que moi.
[00:28:35] Speaker B: C'était pas une info pour le public, c'était une info pour entre nous.
[00:28:38] Speaker A: On débriefe, ok ? Parce que nous on se parle pas.
[00:28:41] Speaker B: En dehors des émissions, on se parle pas. Donc soit il est bourré, soit il est pas là.
C'est vrai. C'est pas complètement faux.
[00:28:48] Speaker A: C'est pas complètement faux. C'est comme que là, j'étais gratiné.
[00:28:51] Speaker F: C'est comme ces vieux groupes qui voyagent toujours séparément. En dehors des émissions.
[00:28:55] Speaker A: Ouais. Non mais là, en fait, j'étais allé voir... Désolé, tout ça, ça va être enlevé. Donc, j'en profite.
[00:29:02] Speaker E: Ou alors on fera une chronique spéciale.
[00:29:04] Speaker A: C'est juste que j'étais allé voir Ivis et Narrowhead que j'avais très envie de voir. Évidemment, j'ai décidé d'acheter une place. Le jour du concert, il n'y en avait plus. J'ai demandé une place. On m'a dit non. J'ai acheté une place à l'arrache sur Internet.
Bon, je me suis dit que c'était faux, je suis allé au concert, j'étais tout seul, un peu triste, j'ai bu trois pintes. Bon, c'est mauvais pour la santé, on est bien d'accord, l'alcool c'est pas bon, buvez avec modération, ne faites pas ce que je fais. Et donc j'ai bu trois pintes et j'étais content, je me suis dit bah je vais rentrer. Mais là, je sors du concert, je croise un ami, Nicolai de chez Mono, et je lui dis « Oh, tu veux pas boire une pinte au bar ? » Et il m'a dit « Gérard, quand tu me dis ça, ça te tourne mal ». J'ai dit « Bah, c'est pas mon genre ».
[00:29:43] Speaker B: Il te connaît si bien. C'est vrai qu'il te connaît mieux que toi-même.
[00:29:47] Speaker A: Il me dit « Bon allez, on va au Local Rock, qui est un bar juste à côté du Zenith et du Transborder, j'allais dire. Du Trabendo ?
[00:29:55] Speaker F: ». Mauvaise ville.
[00:29:57] Speaker A: On a bu peut-être quelques pintes en plus, en cinq peut-être. Et on s'est fait virer du bar. Alors d'ailleurs je fais un coucou aussi à Transconcert.
[00:30:05] Speaker B: – Parce qu'ils fermaient.
[00:30:06] Speaker A: – Ouais, bah ils avaient fermé déjà, on était encore dedans, ils avaient déjà fermé. Mais il y avait Trin Fantôme, je sais plus ce que je vous ai dit, mais je sais que je vous ai dit des horreurs, mais on vous aime quand même. Et il y avait un monsieur… –.
[00:30:16] Speaker B: Il est ivre, ça compte pas. Vous savez, il n'y a pas que lui dans la radio.
[00:30:22] Speaker A: Et j'essayais de retrouver d'ailleurs les prénoms des mecs d'Unanswer, je faisais « Non mais le vieux là ! ».
[00:30:28] Speaker B: T'es pas obligé de raconter ça ?
[00:30:29] Speaker A: Bah si, mais je les aime beaucoup, je leur fais des bisous. Et puis ils me connaissent aussi, je pense qu'il n'y a pas de... Ah oui, ils te connaissent, c'est sûr. Il n'y aura pas de surprise. Tu ne te connais pas. Et il y avait une personne, et je croyais qu'il faisait partie de Train Fantôme. Alors à un moment, quand on s'est fait virer, je lui ai dit « Viens, on va trouver un bar ». Je lui ai dit « Tu veux venir dans un bar avec moi ? ». Il m'a dit « Mais tout est fermé ». Je lui ai dit « Oui, mais on trouve un bar fermé puis on l'ouvre ». Et il m'a dit « Ben, ok ». Et je pense qu'il s'appelle Matteo, si je me souviens bien.
[00:30:56] Speaker B: Et il se longe encore 4 heures avant d'avoir commencé sa part. Pourquoi je ne ferais pas ça ? Parce que mon ami de 20 ans compte sur moi.
[00:31:09] Speaker A: C'est bon, je gère, t'inquiète ! Et là dans le taxi, donc le chauffeur de taxi comprend que je suis un peu saoul. Ah bon ? Et pas l'autre. Je sais pas comment il a deviné. Sauf de sentir déjà comme ce que je sentis le matin. Et donc je suis dans le taxi, je dis au gamin, qui est le chauffeur de taxi qui roule, t'imagines, donc déjà il se dit, l'autre il gueule et tout, normal.
Et là je dis, Tu sais, faut pas monter dans les taxis avec les gens à Paris comme ça quand tu les connais pas. Parce qu'en fait, ils peuvent te faire plein de choses. Et là, le chauffeur de taxi, je vois bien qu'il regarde dans le thé en mode, c'est qui ce psychopathe ? Il va tuer le mec dans la bagnole. Et je dis, non, mais j'aurais pu te faire ça. Et j'énumère plein de choses que je ne dirais pas là. Et il me dit, c'est pas faux, mais du coup, ça va mal se passer. Je lui dis, ah non, mais ça va bien parce que c'est avec moi. Donc, par contre, je dois passer un petit coup de fil parce que j'ai un bar. Et donc, j'ai passé un coup de fil et on m'a dit, le bar est fermé, mais viens, je l'ouvre pour toi.
Et on est allé au bar et c'est vrai qu'à 7h du matin, il y a le barman qui m'a dit « Tu ne devais pas faire un rendez-vous à 7h pile ? » J'ai fait « Mais il est quelle heure ? » Il m'a dit « Il est 7h05 ». Et je suis parti un peu dans les rues, c'était un peu long.
[00:32:18] Speaker B: Voilà, vous voyez, c'est ça d'avoir un meilleur ami.
[00:32:37] Speaker A: Narwed, c'était un avis. Ils sont très gentils, ils sont chous mais ça chantait faux.
[00:32:43] Speaker B: C'est un peu le principe du groupe, je crois.
[00:32:46] Speaker A: C'est vrai que ça se rapproche fortement de Deftones. C'était ma petite anecdote, petite histoire légère, courte, on a fait synthétiser, c'était bien. Tu veux faire un petit clip peut-être ? Non, vas-y, dis-nous ce qui s'est passé cette semaine.
[00:33:01] Speaker C: C'est l'heure du flashback !
[00:33:06] Speaker A: Et c'est présenté par Didi !
[00:33:13] Speaker E: Alors on va commencer avec une news qui pue un peu.
[00:33:16] Speaker A: Ah bah j'aime ça.
[00:33:17] Speaker E: Alors c'est James Monkey Sheffer, un des fondateurs de Korn, qui lance son autre colonie.
[00:33:23] Speaker A: Oh putain.
[00:33:24] Speaker E: Alors qui a envie de sentir comme le mec qui a des dreads depuis 30 ans ? Et qui porte des chemises tie and die que t'as l'impression qu'il les fait tremper dans de l'huile de vidange avant.
[00:33:34] Speaker A: De les porter ?
[00:33:35] Speaker E: Est-ce que t'as envie de s'en tirer comme un vieux ?
[00:33:38] Speaker B: Si comme ça, ça change tout ! Mais c'est vrai ! Est-ce que tu ferais pas partie d'équipe marketing ?
[00:33:44] Speaker A: Putain, mais c'est vrai, c'est une autre colonie.
[00:33:47] Speaker E: Déjà, je me dis que ça pourrait faire une fausse pub pour l'RS Lesser Worms.
[00:33:51] Speaker A: Mais il est d'une autre colonie en plus. Mais il est allé en Allemagne ? Bon bref, très bien Dambé, ça doit être de la merde.
[00:33:59] Speaker B: Ou à Rome, y'a pas mal de colonnes sur le... Yes mon gars, c'est mon poto !
[00:34:06] Speaker A: Ouais c'est le mien aussi ! Enfin, quand il vient !
[00:34:11] Speaker E: Alors on va enchaîner du coup avec la bonne news du week-end dernier.
C'est Gojira qui a emporté le prix de la meilleure performance métal au Grammy Awards 2025 avec le morceau « Mea culpa a sa era » avec Marina Viotti et le compositeur Victor Lemasne. Donc bravo à eux. Ce qui m'a étonné, c'est que ça arrivait la dernière fois qu'ils avaient été nominés, ils étaient invités à Quotidien le lendemain. Là, ils ont gagné le prix. Quotidien n'en a pas parlé alors qu'ils ont parlé des autres groupes.
Il y a d'autres français qui ont gagné, il y a aussi Justice qui a gagné.
[00:34:42] Speaker A: Ils n'en ont pas parlé non plus.
[00:34:44] Speaker E: Mais qu'est-ce qu'il se passe les quotidiens ?
[00:34:49] Speaker B: Je crois que c'est parce que c'est une émission de merde, mais bon après...
Il n'y avait pas assez de paire.
[00:34:56] Speaker F: De fesses, donc du coup, aucun intérêt.
[00:34:57] Speaker A: Qui c'est qui prend dans les fesses ?
[00:34:59] Speaker B: C'est vrai que l'animateur m'en a laissé à ça.
[00:35:00] Speaker E: Il disait qu'il n'y avait pas assez de paire de fesses et que ça aurait été l'occasion de remettre leur énième reportage.
[00:35:07] Speaker A: Après, ça me semble évident qu'ils aient gagné parce que c'est quand même une performance extraordinaire. C'est-à-dire que jamais aucun groupe n'avait fait un live pendant les Jeux Olympiques.
[00:35:14] Speaker E: Non, mais c'était énorme pour le métal, c'était énorme pour le rock. Après, pour le coup, pour le rock, il y avait quand même pas mal en face. Par contre, Si on y regarde bien quand même, dans ceux qui ont gagné aussi en rock, t'as les Beatles. Les Beatles ont gagné un truc. Dans les autres catégories t'avais Judas Pruss en métal, t'avais les Rolling Stones.
[00:35:35] Speaker A: Y'a que des jeunes quoi.
[00:35:38] Speaker B: Après Beyoncé elle a gagné l'album Country donc j'ai envie de te dire... Oui.
[00:35:41] Speaker E: Mais bon elle a quand même sorti un album Country.
[00:35:43] Speaker B: Pour les gens qui écoutent de la Country, c'est pas de la Country.
Et pour les stats d'écoute, c'est aussi un de ses plus gros bides.
Elle a gagné avec un album qui a bidé quoi.
[00:35:56] Speaker A: Et on parle pas de Paulette. Non mais en tout cas je croyais.
[00:36:00] Speaker E: Que c'était un peu à moitié sa puée des fêtes quoi.
[00:36:02] Speaker B: C'est le retour du Big Leader. Il y a pas mal d'ailleurs.
[00:36:05] Speaker A: Et B.O.C. c'est la même personne. Bon.
[00:36:08] Speaker B: Big Leader j'ai jamais vu. Bah bien sûr. Enfin, il y a un filtre.
T'as d'autres news sur les Grammys ou pas ?
[00:36:18] Speaker E: Oui. Le truc qui m'a fait rire du coup c'est Courtenay Laplante, c'est ça que tu pensais de Spiritbox, qui sur le tapis rouge s'est fait interviewer et l'intervieweur ne la connaissait pas et l'a appelé Poppy, en lui demandant du coup, ouais, Poppy, comment ça va ? Et donc ce qui était drôle, c'est que Courtney Laplante a joué le jeu.
[00:36:39] Speaker B: Chanteuse de Spirit Box.
[00:36:40] Speaker E: Ouais, chanteuse de Spirit Box, a joué le jeu et elle a fait comme si elle était Poppy. Elle disait, oui, oui, ben, je suis content cette année avec ce que j'ai fait avec Knock Lose. Bon, ben, j'espère qu'on va gagner.
[00:36:49] Speaker A: Elle a été jusqu'au bout, quoi.
[00:36:52] Speaker E: Très drôle. C'est très drôle de sa part. Enfin, c'est cool.
[00:36:56] Speaker B: Il y a énormément de mèmes.
[00:36:58] Speaker F: Il y a même Spotify qui avait mis...
[00:37:02] Speaker E: C'est ça, c'est Spotify qui ont du coup fait une couverture, qui ont mis Cortney Laplante en couverture de la playlist Kickass Metal, mais en notant Poppy dessus.
Et ça s'est terminé il y a quelques jours, il y a deux jours avec Poppy qui du coup a sorti un t-shirt pour rebondir sur la hype avec « Hello, I'm Poppy » et en disant « Nous sommes tous Poppy ».
[00:37:26] Speaker B: Il y a même le label de Poppy, Sumerian, qui a reposté, qui a fait une story avec plein d'extraits, plein de photos, une espèce de slideshow de photos dégueulasses, un peu un PowerPoint de mariage quoi.
et des photos de popy où ils avaient très mal collé la tête de Courtney Lambert sur toutes les photos. C'est vraiment dégueulasse, Marcel va vous le rajouter, c'est vraiment dégueulasse. Mais ce qui est génial c'est que dans l'interview, donc il y a la meuf qui pose des questions et après il a fait « Ah il y a aussi notre partenaire de Live Nation qui veut vous poser une question » et le mec réagit aussi et pose une question et ne lui percute pas non plus.
Et ça montre quand même l'attention qui existe sur le métal. C'est-à-dire que c'est une meuf dans le métal, c'est forcément...
[00:38:12] Speaker E: C'est forcément poppy. Il n'y en a qu'une. On ne peut pas en mettre deux.
[00:38:16] Speaker B: Dans la même catégorie chaque année. Il y a quand même un dédain pour ce genre de musique. Je ne sais pas si les gens seraient permis de faire un truc comme ça à Beyoncé.
[00:38:29] Speaker E: Bill, les big deal !
[00:38:34] Speaker A: Après meilleur plan com de toute la.
[00:38:35] Speaker B: Planète, ça a bien fait le buzz.
[00:38:39] Speaker E: Et puis du coup, cette semaine, Spiritbox en a profité pour sortir son dernier clip que je vous propose de regarder maintenant.
[00:38:46] Speaker A: Voilà !
[00:38:48] Speaker E: C'est parti, c'est parti !
[00:38:49] Speaker A: Et alors c'est bien, c'est pas bien ? On en parle après ?
[00:38:51] Speaker E: On en parle après. Moi j'aime bien, perso j'aime bien.
[00:38:54] Speaker B: C'est très très lourd. Je crois que c'est le titre le plus lourd de Spiritbox.
[00:38:57] Speaker E: Elle crie, elle crie. A mon avis, là, si elle grimace pas, c'est que...
C'est que vraiment, les fans de Slipknot.
[00:39:06] Speaker A: Vont pas aimer !
[00:40:25] Speaker C: J'espère que vous avez apprécié cette vidéo.
[00:41:24] Speaker A: Et l'emploi.
[00:41:57] Speaker C: On a.
[00:42:08] Speaker B: Oublié de régler ce petit problème En tout cas dans la fin y'a un sacré bec de lièvre Quand ça fait tout le visage comme ça, c'est...
[00:42:18] Speaker A: Quand c'est intégral comme ça, c'est vrai que c'est violent. Mais on est avec, bien sûr, elle, on la soutient courtener la plante. Et ce tout nouveau morceau de Spiritbox, No Loss, No Love, effectivement, ça crie. C'est violent.
[00:42:28] Speaker B: Il est beau le morceau, c'est vénère.
[00:42:29] Speaker E: Très beau morceau, très bon clip.
[00:42:31] Speaker B: Et puis le petit passage, même le petit passage un peu house, il est cool je trouve.
[00:42:39] Speaker A: Je suis d'accord avec toi totalement. Spiritbox qui sont bientôt de passage à Paris à l'Olympia.
[00:42:44] Speaker B: Et puis ils viendront sûrement faire l'émission.
[00:42:46] Speaker A: Ça va de soi.
[00:42:48] Speaker E: Au premier Astro Show Wars, on avait eu un message du guitariste.
[00:42:51] Speaker A: C'est vrai, c'est vrai.
[00:42:52] Speaker B: J'espère qu'ils viendront.
[00:42:54] Speaker A: Voyez si on était à 10 000. Alors ça, ça fait partie des choses qu'on va vous expliquer effectivement.
Pour que Spiritbox vienne, il y a des conditions. C'est pas le groupe qui le demande, c'est l'industrie du disque. On en parlera tout à l'heure. Qu'est-ce qui s'est passé d'autre dans l'actualité métal ?
[00:43:08] Speaker E: Au-delà des Grammy Awards, il y avait la grosse news métal de cette semaine. C'est la formation originale de Black Sabbath qui se réunit pour le The Final Show à Birmingham.
[00:43:20] Speaker B: Final Condom, là où tout a commencé.
[00:43:21] Speaker E: C'est un peu la blague récurrente dans le monde de la musique avec le... On fait le dernier concert où c'est la tournée d'adieu et... Bon bah là.
[00:43:27] Speaker A: Ce sera le dernier, je peux te le dire.
[00:43:28] Speaker E: Motley Crue, Steyr, Scorpion, enfin c'est un peu comme les personnages qui meurent dans les films de Marvel.
Ils finissent toujours par revenir.
[00:43:35] Speaker B: En fait j'avais... En fait j'étais pas mort !
[00:43:38] Speaker E: En fait maintenant je suis méchant ! Ah bah non je redeviens gentil !
[00:43:42] Speaker A: L'annonce vidéo va sur les serviettes.
[00:43:46] Speaker E: Le concert sera le 5 juillet à Birmingham, leur ville natale. Ce sera le dernier spectacle du groupe car la santé fragile d'Ozzy l'empêche de se produire autant qu'il le voudrait.
Enfin pardon, autant que Sharon le voudrait.
Même si là elle a dit bon là en ce moment il peut pas marcher mais sa voix elle est nickel.
[00:44:03] Speaker A: Ah bah oui super, le pauvre putain.
[00:44:05] Speaker E: Et puis bon après c'est pas le seul, faut se rappeler que chaque membre du groupe il y en a pas un qui est en dessous des 70 ans.
[00:44:10] Speaker A: Oui mais dans le lot il y en a qui ont l'air d'aller quand même un peu mieux que cosieusement.
[00:44:15] Speaker E: Oui mais après lui il y a Parkinson, enfin comme on s'était expliqué ça peut attaquer plusieurs parties du corps lui. C'est Marc DeMoto ça non ?
[00:44:23] Speaker B: Oui.
[00:44:24] Speaker E: Lui, je rebondirai pas sur cette blague. Du coup, ça attaque plutôt les jambes. Enfin, je pense pas que ça, mais après, avec la vie de débauche qu'il a eue, c'est déjà un miracle qu'il soit encore vivant.
[00:44:34] Speaker B: Comme quoi, prendre du LSD toute sa vie n'empêche pas d'avoir Parkinson quand il vieillit. C'est une recherche qu'il a développée. C'est une blague.
[00:44:48] Speaker E: Le directeur musical de l'événement ? C'est le bon Tom Morello ! Ce sera le spectacle le plus Illymetal de tous les temps ! Back to the beginning, on proposera des sets de Metallica, Slayer, Pantera, Gojira, Ailstorm, Alice in Chains, Lamb of God, Anthrax, Mastodon, et donc ça durera toute la journée et il y aura aussi un super groupe toute la journée, plein de musiciens qui vont se réveiller. Parmi les artistes annoncés, il y aura Billy Corgan, David Dreyman de Disturb, Ludov.
[00:45:30] Speaker B: Marcaga de Slash, Merde, j'ai confondu tous les chauves.
[00:45:34] Speaker E: Franck Bello d'Anthrax, Fred Durst, Jacky Lee et Jonathan Davis de Korn, K.K. Donning, Lizzy Hale...
[00:45:42] Speaker A: Quoi ? K.K. Donning ?
[00:45:43] Speaker E: K.K. Donning, le guitariste de Judas Priest qui s'est fait virer du groupe.
[00:45:49] Speaker B: On l'appelait pas K.K., on l'appelait Kiki.
[00:45:50] Speaker E: Et du coup, il est sous le nom de K.K. Priest.
[00:45:55] Speaker B: K.K.Priest ! Parce que K.K.Priest ça me rappelle autre chose, c'est pas ça.
[00:46:01] Speaker E: Donc il y aura aussi Mike Bourdin de Fest No More, Sammy Yagars, Scotty-Anne, deux de Sleep Token. Ah y'a quand même des jeunes ?
[00:46:11] Speaker B: Y'a deux membres de Sleep Token qui viennent ?
[00:46:15] Speaker E: C'est les debuts, on a Wolfgang Van Halen, Zach Wild et le chanteur de Ghost.
[00:46:19] Speaker B: Ah putain j'avais pas su m'y galer et puis là tu viens de me rouler la tête.
[00:46:23] Speaker A: Lui il en loupe pas une, mais très bien, ça va être incroyable. Non, moi ce qui m'a fait rire...
[00:46:30] Speaker B: Mais attends, par contre c'est Black Sabbath qui joue toute... J'ai pas compris.
[00:46:36] Speaker A: Non, Black Sabbath qui font un set.
[00:46:37] Speaker E: En fait, ça va être vraiment un festival, c'est comme un festival. Il y a plein de groupes qui vont jouer et il y aura...
Des supergroupes en gros, je pense qu'il y aura Wolfgang Van Halen qui va faire la guitare.
[00:46:49] Speaker B: C'est un peu comme ce qui avait été fait pour Queen, tu sais quand il y avait eu un concert caritatif à Wembley où les groupes avaient joué toute la journée et le soir t'avais les membres de Queen avec des membres d'autres groupes qui refaisaient des reprises.
[00:47:07] Speaker E: Avec George Michael qui avait fait le Somebody to Love.
[00:47:10] Speaker A: Bah ils prévoient, on sait jamais quoi. Dans le concert, tout peut arriver.
[00:47:15] Speaker E: On peut être sûr que Tata Sharon elle va sortir le live.
[00:47:19] Speaker A: Ah non, oui, j'espère. C'est très bien, mais c'est juste que déjà dans la présentation vidéo, il n'y a pas Ozzy Osbourne. Après, il ne va pas bien. Mais Sharon a l'air un peu au bout de souffle aussi. Ayumi, lui, ça a l'air d'aller.
Par sa couleur de cheveux, bon après ça c'est un détail.
[00:47:38] Speaker B: C'est le Piggy dans le sud ça. En même temps il s'appelle Tommy Aioli donc... Je l'ai pas goûté mais j'en doute pas une seule seconde Pierre.
[00:47:51] Speaker A: Ça sent l'ail. Mais il doit faire Black Sabbath, donc il y a le concert de Black Sabbath. Et Aladdin, ne vous inquiétez pas, il fera aussi le dernier concert de Ozzy Osbourne.
Est-ce que ce concert n'est pas fait pour qu'à la fin il meurt ?
[00:48:08] Speaker E: Je pense qu'il va pas faire un set de 3 heures. Je pense qu'il va faire ses 3 plus gros titres en solo.
[00:48:15] Speaker A: Est-ce que tu crois qu'il jettera encore des solos ?
[00:48:18] Speaker E: Ça va peut-être sortir de son corps.
[00:48:20] Speaker A: À un moment donné.
D'une manière ou d'une autre.
[00:48:24] Speaker F: Il pourra seulement les soulever.
[00:48:25] Speaker A: Il envoie des jets d'eau sacrément loin.
[00:48:27] Speaker E: Alors on va revenir sur Cine News.
[00:48:29] Speaker B: Je crois que Dave Grohl il va passer son trône... Regardez-moi cette transition de ouf.
[00:48:35] Speaker E: Quelle transition de ouf.
[00:48:37] Speaker B: Merci.
[00:48:37] Speaker A: Moi je prends le plateau.
[00:48:41] Speaker E: Dave Grohl n'est pas prévu pour ce concert mais il est prévu pour un autre concert.
Donc il vient d'être ajouté au 50e anniversaire du Saturday Night Live. Parce qu'il faut dire que Dave Grohl c'est quand même le musicien qui a le plus joué au SNL. Entre Nirvana, Foo Fighters, Vem Krugvultur, Queen of the Stone Age et tous les guests qu'il a plus ou moins fait. Voilà pour d'autres groupes en guest star à la batterie. Après il ne sera pas le seul, il y aura Eddie Vedder, Lady Gaga et bien d'autres.
Mais il sera là pour ce concert, alors entre ça et le concert caritatif avec le retour de Nirvana la semaine dernière, je pense que maman a pardonné à papa. Ou alors, elle en a marre d'avoir dans les pattes à la maison, elle fait « Allez c'est bon, recommence un peu, va faire de la musique un peu, lâche-moi un peu les baskets ».
[00:49:33] Speaker A: Ouais, c'est juste qu'il essaie de se placer partout, comme d'habitude.
[00:49:35] Speaker E: Bah non, c'est justement, c'est que là il a quand même annulé des tournées lucratives pour se faire pardonner.
[00:49:40] Speaker B: Bon, ce sera lucratif même après.
[00:49:43] Speaker E: Oui, oui, mais bon.
[00:49:45] Speaker A: C'est juste un menteur.
[00:49:47] Speaker B: Un trempeur.
[00:49:48] Speaker E: Ouh là, t'es vraiment pidi-bon toi. Moi les mecs ils trempent leur femme, j'essaie pas de faire ça.
[00:49:53] Speaker A: Ah bah non, j'aime pas. Voilà.
[00:49:56] Speaker E: C'est toi qui dis ça alors que t'as un gosse dans chaque ville ?
[00:50:01] Speaker A: On peut passer à la suite ?
[00:50:04] Speaker E: Je refuse de rebondir là-dessus. Tout à l'heure quand j'ai parlé de la news de Black Sabbath, je n'ai pas foncé le clou mais en fait il y a une myriade d'invités dont Ghost et ils en ont profité pour révéler le nom du nouveau leader qui prendra la tête du groupe pour les futures tournées. Il s'agit de Papa Five Perpetua. Je pensais que ce serait Papa Roach. C'est la nouvelle entité Bomb Van.
C'est la nouvelle entité donc ils l'ont fait sans fanfare, c'était vraiment annoncé dans le truc et ils l'ont reposté sur leurs réseaux sociaux en mettant Papa Five, voilà Perpetua.
[00:50:40] Speaker B: Perpetua c'est peut-être parce que justement ils vont arrêter de changer.
Peut-être qu'ils peuvent arrêter aussi de faire de la musique.
[00:50:45] Speaker E: Ou au moins faire de la musique originale, arrêter de pomper les années 70.
[00:50:48] Speaker A: 80.
[00:50:48] Speaker E: Et l'imagerie metal.
Bon oui et alors... Et c'est tout, c'est tout, je voulais terminer là-dessus et... Sur Papa Five ! Non, c'était la dernière news, mais c'est pas pour autant que je vais vous dire, si on s'écoute à un petit Ghost, je propose qu'on s'écoute...
[00:51:08] Speaker B: Tu me rassures, tu me fais bien plaisir là, parce que moi, pendant un petit moment, j'ai eu un petit peu peur.
[00:51:14] Speaker A: Je propose...
[00:51:15] Speaker B: Je sais pas, personne n'a joué au Ghost.
[00:51:17] Speaker A: Je propose qu'on s'écoute plutôt à un vieux Black Sabbath. Attendez, pour toutes les personnes qui écoutent cette émission uniquement en podcast, parce qu'il y en a qui écoutent que le podcast, Par pitié, allez donc voir la VOD sur notre page YouTube de ce moment d'interprétation, juste celui-là, qui a vraiment été extraordinaire.
[00:51:37] Speaker B: Bravo.
[00:51:38] Speaker A: J'aimerais qu'on l'applaudisse.
[00:51:39] Speaker E: Pour moi, ça mérite un César.
[00:51:41] Speaker B: La pâte épongée ?
[00:51:42] Speaker A: Oui. Donc, tu veux qu'on passe à quoi ?
[00:51:46] Speaker E: Du coup, Black Sabbath, un vieux Black Sabbath avec Paranoïd.
Ça reste quand même mieux d'écouter ça que d'écouter n'importe quel titre de Ghost.
[00:51:55] Speaker A: C'est méchant.
[00:51:56] Speaker E: Coucou les fans de Ghost, allez-y mettez des commentaires, ça nous fait remonter dans les stats.
[00:52:01] Speaker A: Bon bah merci beaucoup Jinko Ibarazo.
[00:52:04] Speaker E: J'ai peut-être resté encore un petit peu le temps d'inspirer. Ah oui fais ce que tu veux.
[00:52:07] Speaker A: Mais tu es le bienvenu quand tu veux où tu veux. La porte est grande ouverte, je peux te le dire.
[00:52:13] Speaker B: On voit le clip, on voit le clip. C'est quoi ?
[00:52:16] Speaker A: Balance la sauce Marcel.
[00:55:13] Speaker C: Fly !
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Musique de rock.
What the fuck is this ? Hell !
[00:56:46] Speaker A: Oh !
[00:56:46] Speaker C: You let the devil in A savage of the lake Face is the parting gift Discarded on the street Overrun, over the hill Overfilled, so full of bleach Wait till the skin comes off The mess is great to make They wanna bite you Yeah, we all got that Kobe shit I'm outta here with you C'est quoi ce bordel ? Je ne m'en occupe pas Les visages de la mort, je les vois tous les jours La réalité t'en fous, mais il n'y a pas d'autre chemin à travers Mais à travers, mais à travers Stimulate dans les yeux et crie, putain.
[00:57:50] Speaker A: Toi.
[00:58:05] Speaker C: C'est parti !
[00:58:29] Speaker A: C'est un très joli clip, une très très bonne chanson, enfin moi j'aime bien, le tout dernier « Straight from the past » à l'instant.
[00:58:34] Speaker B: Je ne savais même pas qu'il y avait un titre qui était sorti. Il s'est sorti il y a deux jours. Je ne savais pas et il est pas mal. C'est bien, c'est un peu moins copie de « Red Dragon The Machine » plus que ce qu'il faisait au début.
[00:58:45] Speaker A: Puis on est content que le chanteur de Sylmaris finalement ait choisi de jouer dans ce clip.
[00:58:52] Speaker B: Bonne vanne !
[00:58:53] Speaker E: Quand il y a bonne vanne, faut le dire !
[00:58:55] Speaker B: Je croyais que c'était Eminem !
[00:58:57] Speaker A: Bah y'a un petit peu !
[00:58:59] Speaker E: C'est plus drôle avec Silmarils !
[00:59:01] Speaker B: C'est passé de Eminem à Silmarils à Straight From The Path !
[00:59:06] Speaker A: En tout cas, le morceau est très bon ! Pour revenir musicalement... Ça tabasse bien ! Ça tabasse, ça revient à un truc un peu... Est-ce que c'est exactement comme avant ? Je ne pense pas, mais... Oh, ça.
[00:59:16] Speaker B: Ressemble quand même plus au troisième album, au deuxième album...
[00:59:20] Speaker A: Quand je reste ici, je te regarde, je suis comme ça. Bon, avant de parler musique encore une fois et de te laisser choisir un morceau à enjoy, que j'ai déjà choisi. Oui, bien sûr, tu as déjà choisi, mais je veux dire, bon bref, voilà, basta. Nous allons parler un petit peu.
[00:59:36] Speaker B: On va parler pasta.
[00:59:37] Speaker A: On va parler un peu d'Italie.
[00:59:38] Speaker B: Alors, les tagliatelles, c'est quoi ?
[00:59:41] Speaker A: Bon, parlons un petit peu de BengBeng, parlons un petit peu de Resslès, parlons un petit peu de notre association, parce que je le répète encore une fois, oui, Resslès est une association, je suis le président de cette association, ce qui veut dire que je ne peux pas être rémunéré, donc l'argent qui est versé à n'importe quelle...
Sous n'importe quelle forme.
[01:00:01] Speaker E: À n'importe quelle heure.
[01:00:02] Speaker B: Alors que ce soit, il faut dire, si vous vous abonnez sur Patreon, si vous faites un don sur Tipeee, si vous faites un don sur PSO, si vous achetez du merch, si les vues YouTube, les sub Twitch, tout ça, ça va sur l'assaut. – Ça va nulle part ailleurs que sur l'assaut.
[01:00:19] Speaker A: – Exactement, donc merci à ceux qui pensent à nous aider et puis les autres qui doutent ou qui imaginent que cet argent part dans des voyages, par exemple, je dis ça au hasard.
[01:00:29] Speaker B: – La personne qui a mis ça, c'était une blague, parce qu'on avait blagué là-dessus.
[01:00:33] Speaker A: – Ouais, mais il y en a une qui a fait une blague. Mais il y en a une autre qui a vraiment pensé que c'était vrai. Bon bref, après tu sais c'est internet, ça ne nous touche pas plus que ça.
[01:00:42] Speaker B: Tu veux dire qu'il y a des gens qui sont très premier degré sur internet ?
[01:00:44] Speaker A: Comme des fans de Slipknot par exemple ? Non mais il y a des gens qui dénoncent.
Il y a des gens qui dénoncent, qui ont la vérité. Je peux tout vous dire, c'est un complot.
En tout cas, sachez aussi qu'on fait des demandes pour avoir des aides, puisque nous sommes une association, donc on fait des demandes auprès de la mairie de Paris, puisque c'est auprès de la mairie de Paris qu'on doit le faire. On avait une défiscalisation des dons faits par Payasso et autres. Alors sachez que nous avons reçu une lettre des impôts français qui nous ont dit qu'ils ne pouvaient plus nous permettre la défiscalisation. Donc si vous faites un don Sachez que malheureusement vous ne pourrez pas économiser 60% de ce nom. Pour la bonne et simple raison, d'après les impôts, je tiens à vous dire...
[01:01:46] Speaker B: Attends, accrochez-vous, accrochez-vous !
[01:01:48] Speaker A: Parce que vous êtes assis !
[01:01:51] Speaker B: Parce que là vous allez rigoler.
[01:01:52] Speaker A: Nous sommes les concurrents directs d'RTL2.
Et c'est écrit sur une lettre officielle qu'on a reçu en recommandé. Bon, alors j'ai fait appel, je n'ai pas reçu de message de retour, mais j'ai le droit de rencontrer un collège d'anciens C'est des vieilles personnes donc qui sont des sages, que vous pouvez aller voir, pour expliquer qu'en fait ils n'ont pas compris.
[01:02:13] Speaker E: Non mais à combien même ? Même si RTL2 ils ont le monopole des dons ?
[01:02:22] Speaker B: En fait c'est qu'ils considèrent qu'on est trop professionnel et qu'on n'est pas une association, on est une entreprise. En fait ils considèrent qu'on a un niveau d'entreprise. Parce que ce qu'on fait c'est trop qualitatif et que du coup, Avec un statut d'assaut, on rentre en compétition avec une société et que ça c'est pas normal.
[01:02:39] Speaker F: Ouais, c'est un truc, les associations ne peuvent pas concurrencer, légalement en tout cas, des entreprises qui ont la même activité.
[01:02:45] Speaker A: Non mais bon, après on est bien d'accord... Je pense qu'on n'a pas la même.
[01:02:48] Speaker B: Activité que RTL2 !
[01:02:50] Speaker A: On n'est pas le même but non plus.
[01:02:51] Speaker F: Je pense que pour que RTL2 se chie dessus, c'est qu'ils doivent être vraiment mal.
[01:02:55] Speaker B: Ah mais c'est pas RTL2, RTL2 ils.
[01:02:57] Speaker A: Sont pas au courant.
[01:02:58] Speaker E: Ils savent même pas qu'on existe.
[01:03:01] Speaker A: Au moins deux personnes sont au courant chez RTL2. Enfin, bisous à Zégut et à Marjo qui nous soutiennent.
Mais c'est quand même assez incroyable. Donc vous voyez, on fait des demandes juste pour vous expliquer, nous, notre but.
Enfin, je vais essayer d'expliquer.
[01:03:15] Speaker B: Notre projet !
[01:03:16] Speaker A: Non, c'est notre projet !
[01:03:19] Speaker B: C'est pas très gentil pour Enjoy, il.
[01:03:23] Speaker E: Est super sympa, quand tu l'insultes comme ça.
[01:03:28] Speaker A: Mais toujours est-il que notre projet, c'était déjà de faire quelque chose ensemble, Ben et moi, parce qu'en étant à l'époque à WeFM en faisant Bring The Noise, on avait plein d'idées, on avait plein de moyens, mais on avait le droit de rien faire.
[01:03:42] Speaker B: Oui, on aurait pu avoir des moyens.
[01:03:44] Speaker A: Oui, enfin, il y avait de l'argent qui était prévu pour, qui n'a pas été utilisé pour ça, mais...
[01:03:50] Speaker B: Mais ça vient financer tout le reste de la radio.
[01:03:53] Speaker A: Voilà. Après, ça ne me dérange pas.
[01:03:55] Speaker B: Moi non plus.
[01:03:56] Speaker A: Ce n'est pas quelque chose qui me dérange.
[01:03:57] Speaker B: Par exemple, ça m'aurait moins dérangé si j'avais été payé.
[01:03:59] Speaker A: Mais...
Pendant ce temps, il y a.
[01:04:04] Speaker B: Des mecs, je ne vous dirai pas qui, mais il y en a, ils avaient des gros salaires et tout est parti en chenouf.
[01:04:09] Speaker A: J'aime bien.
A priori, ici, des bouteilles.
[01:04:12] Speaker F: C'est un manque de neige en station cette année.
[01:04:19] Speaker A: Non mais juste, on n'en veut à personne, c'est juste l'histoire est réelle, parce que de toute façon c'est du passé, on va pas chipoter dessus. On peut pas revenir dessus. Mais ce que je veux dire c'est que des commerciaux se sont battus aussi pour qu'on ait des sponsors, pour que le métal soit défendu. On a fait un festival gratuit, donc ça c'était cool et vous avez toutes et tous apprécié ça.
[01:04:39] Speaker B: J'ai encore croisé des gens.
[01:04:39] Speaker A: Avec quand même beaucoup de bons groupes quoi. Avec des pointures aussi, des petits groupes, on a défendu ce qu'on pensait devoir défendre, après voilà. Même les ventilateurs.
C'était une blague personnelle mais je laisserai les gens réfléchir.
Et T'as compris ? Non ? Et qu'est-ce que je voulais dire ? Et on avait plein d'idées. On avait des idées de vidéos, on avait proposé de faire des choses vachement plus élaborées et... pas intellectuelles parce que j'étais dedans quand même. Mais au moins un petit peu culturelles et sympas quoi. On voulait partager des choses avec les gens.
[01:05:16] Speaker E: À l'époque t'avais des lunettes pourtant ?
[01:05:19] Speaker A: Ouais, moi elles avaient pas de verre.
C'était à la fin, j'avais mes lunettes Jonathan Davis.
[01:05:27] Speaker B: Et ma veste verte.
[01:05:28] Speaker A: Je sais que tout le monde l'avait testée.
[01:05:32] Speaker E: Avant que ton compte Facebook se fasse effacer, je suis tombé sur des photos et j'ai fait « oh putain ». Ça a vraiment été un aventurier des looks.
[01:05:40] Speaker B: Je peux dire que quand le mec d'Hi-Fi, il avait pompé son look. Parce que la mèche, personne ne l'a portée comme lui.
Bref, revenons-en.
[01:05:49] Speaker A: Mais donc voilà, on avait envie de faire beaucoup de choses et c'est pour ça qu'on a créé Restless après un petit bout de temps, parce qu'il a fallu un petit moment de réflexion, on va dire ça comme ça.
[01:05:57] Speaker B: Oui, puis un moyen de financer aussi un peu le projet. Oui, tout à fait. Avoir du temps, avoir les moyens de faire les choses.
[01:06:03] Speaker A: Et donc le but c'était déjà de passer du bon temps.
Bon, ça n'a pas été une réussite. Parce que Ben souffre depuis de ce traumatisme que je lui ai fait subir.
[01:06:13] Speaker B: Il y a d'autres choses. C'est pas que toi.
[01:06:16] Speaker A: Il y a Marcel aussi maintenant.
[01:06:18] Speaker E: Il y a quand même un petit syndrome de Stockholm.
[01:06:22] Speaker A: Mais...
[01:06:23] Speaker B: C'est parce qu'il me parle régulièrement en suédois.
[01:06:26] Speaker A: School of the street. Le but en tout cas, c'est de défendre une musique qui nous a aidés, qui nous a fait avancer, qui nous a épaulés, une musique dans laquelle on s'est senti concernés.
[01:06:40] Speaker B: Moi je dis souvent, je trouve qu'il y a une formulation qui est bien pour dire ça, c'est rendre à cette musique ce qu'elle nous a donné.
Parce que je pense qu'on est passionné et de toute façon on ne ferait pas ça si on n'était pas passionné. Parce que clairement, on l'a déjà dit, mais ça nous coûte de l'argent en plus du temps. C'est-à-dire que vraiment, on fait ça parce qu'on a envie d'aider cette musique. Alors après, il y a des gens qui sont là pour se foutre de notre gueule et dire des choses un peu sympas.
qui continue. Nous, de toute façon, ce n'est pas ça qui va faire qu'on va s'arrêter. Par contre, si vous voulez aider et vous voulez que ça continue, si vous aimez bien ça, il ne faut pas forcément donner de l'argent, mais juste partager et continuer à faire passer le mot autour de vous.
Tout à l'heure, ce qu'on disait pour Spiritbox, on disait ça en rigolant de dire voilà, ils vont venir. Clairement, si on avait des meilleurs stats, pour le moment, tous les retours, on va être très transparent. On a contacté des marques pour être sponsor de l'émission. On a contacté, on contacte beaucoup d'artistes pour leur demander de venir. Enfin, les attachés de presse ou les labels. Oui, on ne peut pas.
[01:07:47] Speaker A: C'est le fonctionnement.
[01:07:48] Speaker B: On ne peut pas. On ne peut pas aller directement voir les artistes et leur dire venez.
Parce qu'en fait, on est un média, il y a des règles à respecter et il faut qu'on passe par une chaîne de communication.
[01:07:59] Speaker E: Vous voyez, vous êtes un média comme RTL2 !
[01:08:05] Speaker B: Du coup, il y a des artistes, quand on les croise en soirée ou des trucs comme ça et qu'ils nous disent « Ah c'est cool ce que vous faites », là on peut éventuellement tenter de dire « Est-ce que tu veux venir ? » Mais si on veut pouvoir avoir les artistes que vous voulez voir en fait, pas que nous, j'adore Spiritbox mais...
Je pense qu'il y a plus de gens fans de Spiritbox qui nous regardent que moi.
[01:08:36] Speaker A: C'est une question de goût, de toute façon on s'en fout, mais c'est des artistes qui leur feraient plaisir.
[01:08:40] Speaker B: Voilà. Et en fait, si on arrive à atteindre des chiffres qui sont plus gros, Là, il n'y aura plus de limites parce qu'en fait, ce que les attachés de presse, ce que les sponsors, la réponse de tout le monde, c'est la même. C'est que ce qu'on fait, c'est qualitatif, c'est beau, ça présente bien. Voilà, tout le monde trouve ça joli. Et vous aussi, généralement, c'est les retours qu'on a quand même. Tout le monde nous dit que c'est très qualitatif. Mais pour aller plus loin, il faut qu'il y ait plus de gens qui nous suivent. Et ça, nous...
[01:09:09] Speaker A: Il y a des tableaux qui sont faits pour les attachés de presse, pour la valeur du média. Alors ça peut être bien fait, comme vous le dites de nous, mais comme il n'y a pas le nombre suffisant de gens, c'est dans la catégorie basse. On est vraiment mis dans la catégorie de ce qu'on appelle web amateur.
[01:09:24] Speaker B: En gros, ce qu'il faut comprendre, c'est que dans les priorités pour la promotion des artistes, tout en haut, il va y avoir la télévision.
Donc la télévision, la TNT ou le.
[01:09:37] Speaker A: Câble, la chaîne de télé quoi.
[01:09:39] Speaker B: En gros, il va y avoir TNT, après il y a le câble, mais bon, c'est sensiblement la même chose, surtout dans le métal, puisqu'il y a tellement peu de médias qui veulent en parler. Après, vous avez la radio, donc tout ce qui est artistien.
Nous, on est une radio web, donc on rentre pas là-dedans. Et après, il y a la presse écrite.
Et après, il y a le web. Et pour le web, c'est tout le monde la même chose. C'est-à-dire qu'un webzine qui fait cinq personnes qui vont le regarder ou c'est pas bien présenté, que tout le monde fasse des choses, c'est bien. Après, on ne le dit pas dans ce sens-là.
Il y a aussi l'implication qu'on peut y mettre, le temps qu'on peut y mettre, les moyens qu'on peut y mettre. Et ça, ça dépend de chacun. Et ça n'engage pas la passion et.
[01:10:33] Speaker A: La volonté de défendre quelque chose.
[01:10:34] Speaker B: Après, ce qu'il faut comprendre, c'est que nous, on rentre dans la même catégorie que tous les autres webzines. C'est-à-dire que pour nous, que ce soit nous ou un autre, c'est la même chose.
Le seul truc qui peut reverser la vapeur, c'est si nous on commence à avoir des gros chiffres, si on commence à avoir beaucoup de chiffres, et bien là, on va remonter en haut. Et vu que ce qu'on fait est plutôt qualitatif, en termes de qualité d'image et de son et tout ça, et bien ça, ça peut jouer... Oui, parce.
[01:11:07] Speaker A: Que le contenu, bon.
[01:11:09] Speaker B: Le contenu, c'est les invités qui le font.
Mais clairement, si on a des bons chiffres avec la qualité de présentation de ce qu'on fait, c'est pas dur pour les attachés de presse de convaincre les artistes ou de dire aux labels, non mais on pense que c'est intéressant de le faire. Il y a quelques attachés de presse qui nous font confiance et qui essayent de pousser pour qu'on arrive à faire des trucs comme ça. Là, on a eu la chance de faire Architects, on vous en a parlé, ça va sortir d'ailleurs ce mois-ci.
Voilà, on a dû aller se déplacer et tout pour aller faire l'interview, mais on a pu faire une interview avec le chanteur d'Architexte et ça s'est super bien passé. D'ailleurs, je pense que vous allez beaucoup aimer cette interview parce que nous, en tout cas, on a passé un très bon moment à la faire. Mais voilà, en gros, il faut qu'on puisse grandir. Grandir, ça veut dire quoi ? C'est-à-dire qu'il faut que vous partagiez plus. Il faut qu'on ait plus de gens qui follow. Et il y a aussi l'aspect financier, parce que forcément, si on a plus de soutien financier, on peut faire proposer plus de choses. En fait, nous, le but, quand on vous demande de l'argent, c'est déjà de pouvoir maintenir ce qu'on fait. Mais si on arrivait à arriver à l'équilibre de ce que nous coûte, et là, je parle de ce que coûte, c'est juste un salaire pour faire tous les contenus que vous pouvez voir.
En gros, pour le moment, le reste, c'est moi qui le paye, donc c'est pas à vous de le payer. Ce qu'on veut juste, c'est pouvoir avoir plus d'argent pour une fois qu'on arrive à payer cette personne avec ce qu'on touche, c'est réinvestir cet argent dans d'autres contenus, produire des contenus avec d'autres gens, produire d'autres émissions, produire plus de choses, augmenter encore la qualité de l'émission. Voilà, c'est toutes ces petites choses là qu'on aimerait pouvoir faire. Mais ça, nous, enfin, Je ne sais pas si vous comprenez bien que c'est une personne qui travaille pour... Le financement, c'est moi qui le fais. Donc voilà, je ne dis pas que c'est mon choix, mais ça représente quand même une charge qui est un peu lourde et qu'il faut... Autant financière que mentale. Parce qu'en fait, c'est une charge qui revient tous les mois et tous les mois, il faut trouver une solution. Donc voilà. Et il faut aussi que je puisse vivre à côté parce que malheureusement, je ne suis pas rentier.
Et donc, ça serait bien que tu puisses y respirer.
[01:13:35] Speaker E: Et en même temps, si tu crevais demain, tu serais heureux aussi, quoi.
[01:13:39] Speaker B: Ah bah ça j'en rêve !
[01:13:39] Speaker A: Parce que ça serait fini !
[01:13:42] Speaker B: J'en rêve, mais moi je vais crever en étant sûr que Pierre a un projet qui peut continuer.
[01:13:50] Speaker A: Je vais vraiment être un poison parce que les gens qui me logent gratuitement ont dit « on veut mourir mais on a après tout préparé pour que t'aies la maison aussi ».
[01:13:59] Speaker B: Ah non, tu dois prendre mon appart !
[01:14:01] Speaker A: Ah bah je vais devenir milliardaire finalement.
[01:14:03] Speaker E: Quand on va mourir ! Qu'est-ce qu'il met pour nous aider ? Ceux qui peuvent donner donnent et c'est vraiment Lâchez des commentaires tout le temps, likez tout ce qu'on fait partout, que ce soit sur Youtube, même sur Instagram, mettez des 5 étoiles ou des commentaires aussi sur Apple Podcast, Spotify, Deezer, sur partout, et même sur Insta, le moindre truc, vu qu'on poste un réel par jour en général, commentez à chaque fois, partagez-le si vous pouvez, sur Facebook, partout, et c'est ça qui va vraiment nous aider à nous faire monter en puissance.
[01:14:43] Speaker F: Le fonctionnement des algorithmes fait qu'ils favorisent les publications qui font de la réaction et donc chaque like, chaque commentaire, chaque réponse, c'est incroyable.
[01:14:53] Speaker A: On n'imagine pas juste qu'un clic puisse faire autant.
[01:14:56] Speaker E: Il y en a qui le font déjà, qui mettent juste un merci ou qui disent voilà.
[01:15:00] Speaker A: Bien sûr, il y en a déjà énormément qui nous soutiennent.
[01:15:03] Speaker E: C'est toujours le même message, c'est génial, mais merci à vous tous.
[01:15:06] Speaker A: Parce que comme disait Ben aussi, pour un média classique, il y a aussi les sondages, c'est des chiffres, c'est le même fonctionnement, mais comme ils sont déjà gros et qu'ils sont considérés, c'est beaucoup plus simple pour eux de réussir à construire des choses, de convaincre et d'amener là où ils veulent aller, même si évidemment il y a plein de blocages de la part de direction artistique parce qu'ils sont pas si libres que ça, mais au moins ils ont cette force-là. Nous, pour dire simple encore une fois avant de parler musique, juste là on est à 22 000 followers sur Instagram, c'est con ce que je vais dire.
Mais maintenant, alors on nous a dit ça serait bien 10 000 et quand on a eu 10 000 on a dit ah ouais mais c'est pas bien. Et là on nous dit 50. Bon, c'est des chiffres qui sont énormes.
En fait nous on s'en fout réellement. C'est juste qu'on nous oblige à pousser vers ça. Sinon on ne peut pas vous offrir tout ce qu'on aimerait vous offrir.
[01:15:56] Speaker B: Quand on a commencé à publier tous les épisodes de Bang Bang, depuis qu'on en fait un par semaine, pour vous dire à quel point on s'en fout, nous, des chiffres, c'est que quand on a commencé, on a lancé une nouvelle chaîne YouTube juste pour BengBeng, il n'y avait zéro follower. Et sur l'Instagram, je crois qu'on était à...
On était à 3 000. 3 000, voilà. Donc vous voyez, la marge de progrès, elle est énorme et c'est grâce à vous. Mais ça veut dire que la qualité du contenu qu'on proposait à l'époque et maintenant, On a changé un peu la forme de l'émission et tout ça, mais la qualité du contenu, c'est la même. Donc c'est pour vous dire à quel point nous, on ne fait pas ça pour la fame, on ne fait pas ça pour avoir de l'argent. Nous, ce qu'on veut juste, c'est produire plus de contenu, proposer plus de choses.
[01:16:48] Speaker A: Et vous faire plus plaisir.
[01:16:50] Speaker B: Clairement, si Pierre parlait tout à l'heure du festival Bring the Noise, qui était une des plus belles réussites, il y a eu trois éditions.
[01:16:58] Speaker A: Il y en a eu deux... Quatre ? Il y en a eu quatre au total. Il y en a eu suffisamment pour que ce soit cool.
[01:17:06] Speaker B: Clairement, c'est le genre de choses qu'on aimerait refaire et on en parle avec des gens, voilà. Mais ça, tant qu'on n'aura pas plus d'audience et plus de sponsors, c'est sûr qu'on ne peut pas y arriver. Vous imaginez bien qu'organiser... C'était trois concerts avec trois groupes à chaque fois.
Même si les groupes, ils sont gentils, qu'ils veulent bien venir jouer gratuitement, il y a toujours une salle à payer, il y a toujours des techniciens à payer.
[01:17:32] Speaker A: Il faut qu'ils soient convaincus. Et puis le label déjà, parce que c'est un truc de promo, c'est beaucoup plus complexe, il faut juste leur dire coucou, tu viens.
[01:17:39] Speaker B: Ce qui se passe pour ces choses là, c'est les labels, ils vont donner de l'argent, c'est peut-être eux qui vont prendre en charge les frais du groupe.
Et en échange, il y a la visibilité. Mais la visibilité, ça se vend avec des chiffres. En fait, le problème, c'est que tout revient toujours aux chiffres. Et en fait...
[01:17:59] Speaker A: C'est ce putain de tableau Excel qui fait chier tout le monde.
[01:18:04] Speaker B: Donc voilà, il faut que plus de gens nous découvrent. Et pour ça, c'est aussi l'algorithme. Et il faut qu'on puisse financer plus de choses. Et c'est aussi ça le Patreon. Le Patreon qu'on a lancé la semaine dernière.
Et du coup, n'hésitez pas...
Enfin, ceux qui font des dons, c'est super gentil, mais j'ai envie de vous dire, allez sur le Patreon, parce que l'avantage du Patreon, c'est que vous avez des contreparties en plus. On a plein de petits stickers, on les montrera peut-être tout à l'heure.
[01:18:32] Speaker A: Justement, je pensais qu'on allait développer le Patreon dans un Cosmic.
[01:18:35] Speaker B: D'accord, on parlera du Patreon un peu.
[01:18:36] Speaker A: Comme ça, on peut bien en parler, parce que c'est quand même...
[01:18:38] Speaker E: Un truc qui est très mêlé pour en parler.
[01:18:42] Speaker F: Ça fait une proposition sympa tout à l'heure.
[01:18:44] Speaker A: Le but dans cette émission du coup, comme on a le temps avec l'invité n'est pas là, c'est aussi de vous expliquer tous ses fonctionnements. Mais de passer un petit peu de musique quand même aussi.
[01:18:53] Speaker E: N'empêche que si vous avez un tonton, un papa, quelqu'un qui a une super entreprise, qui vraiment a beaucoup d'argent, qui ne sait pas quoi en foutre, Nous, on est ultra open pour être sponsorisés. Moi, j'ai aucun problème à être la bitch de n'importe quelle entreprise, de porter des fringues, de me faire des faux tatouages avec le logo de votre entreprise pendant l'émission.
[01:19:13] Speaker A: Il n'y a aucun souci.
[01:19:16] Speaker E: Si c'est pour nous aider à avancer, allons-y.
[01:19:18] Speaker A: C'est au milieu du front comme ça. Comme dans Waits World.
[01:19:20] Speaker E: Comme ceux qui font ça dans les matchs de MMA en Pologne.
[01:19:24] Speaker A: Ah oui ?
[01:19:25] Speaker E: Les mecs, du coup, ils n'ont pas les sponsors, c'est sur des faux tatouages sur les combattants.
[01:19:32] Speaker A: Donc moi, je fais ça.
[01:19:35] Speaker E: Un gros Le Roi Merlin sur le torse.
[01:19:38] Speaker F: Un Yoplait sur le front.
[01:19:39] Speaker E: S'ils nous sponsorisent, s'ils peuvent payer le salaire de Marcel pendant 6 mois, moi je fais tout ce que vous voulez.
[01:19:45] Speaker A: En tout cas, on va vous donner toutes ces solutions. On parlera du Patreon aussi parce que c'est la nouveauté et que c'est ce qui vous semble être le truc le plus cool en termes d'échanges entre vous et nous.
[01:19:54] Speaker B: Même si... Parce qu'il y a des choses à payer. Non mais il y a aussi des choses à payer. Enfin je veux dire, Patreon prend une partie de ce que vous payez. Mais l'avantage c'est que vous avez des contreparties et puis...
[01:20:07] Speaker A: On en parlera. Enjoy, tu as choisi un morceau, c'est lequel ?
[01:20:12] Speaker F: Un morceau d'un bon groupe bien de chez nous.
[01:20:14] Speaker A: Fractal.
[01:20:15] Speaker F: Fractal Universe. Je ne connaissais pas du tout. C'est un groupe nancéen, des Vosges, là-bas. C'est un groupe de Death Prog, Death Metal Progressive, qui en est à son quatrième ou troisième ou quatrième album, qui a déjà sorti des albums chez Metal Blade, donc autant dire qu'ils ont quand même collaboré avec des gros.
Et ils préparent leur nouvel album qui va sortir pour le coup le 4 avril, ça va s'appeler The Great Filters.
Alors, je dis Death Progressive, ça peut faire peur à certains, mais il y.
[01:20:45] Speaker A: A quand même...
[01:20:48] Speaker F: Vous connaissez où il.
[01:20:49] Speaker A: Y a de quoi avoir peur.
[01:20:49] Speaker F: Non mais il y a quand même un côté très mélodique qui est très mis en avant, il y a quand même pas mal de chants clairs, il y a des petites choses comme des influences un peu néo, parfois un peu jazz, des incursions de saxophones, des choses comme ça. C'est très riche. Le morceau que j'ai choisi est très groovy. C'est un morceau dont le clip est sorti la semaine dernière.
Que dire aussi, j'ai eu la chance de les rencontrer au Hellfest 2019 dans le cadre d'une vidéo qui n'est malheureusement jamais sortie. Désolé les gars, j'essaie de me rattraper en vous mettant un petit peu en avant, parce que vous le méritez aussi. Fractal Universe, très bon groupe, ils vont sortir leur nouvel album le 4 avril et c'est à écouter, c'est super bien.
[01:21:35] Speaker A: Bon de toute façon on va regarder un clip donc si les gens apprécient, le nom est écrit en bas sur la vidéo. Et pour ceux qui écoutent en podcast, vous allez sur la page YouTube. C'est vrai que je mets pas les playlists, faudrait peut-être que je fasse ça.
[01:21:49] Speaker B: De quoi ?
[01:21:50] Speaker A: Sur le podcast, sur Spotify, je mets pas les playlists.
[01:21:53] Speaker F: Dans la description ?
[01:21:55] Speaker A: Ouais.
[01:21:56] Speaker B: Si vous voyez des trucs qu'on peut faire pour s'améliorer.
[01:21:59] Speaker A: Ah oui, il ne faut jamais hésiter à nous dire, tiens ce serait pas.
[01:22:01] Speaker B: Mal de faire ça. Si c'est faire des remarques intelligentes ou ça, on ne peut pas.
[01:22:06] Speaker A: Non, mon cerveau s'est terminé. On regarde ça tout de suite, c'est ton choix Enjoy, merci beaucoup. C'est Fractal Universe.
[01:22:56] Speaker C: Oh, mon dieu !
C'est C'est génial!
[01:31:05] Speaker A: Ah pardon, Meshuggah, ça faisait longtemps qu'on n'avait pas passé.
[01:31:08] Speaker B: Meshuggaga même.
[01:31:09] Speaker A: Meshuggaga, d'actualité, Lady Gaga, tout ça, période plus sombre. Et là, beaucoup de rouge, lumière qui permet d'améliorer la vue. J'ai regardé un reportage sur Arte qui explique tout cela. Meshuggah, voilà le titre, c'était Ligature Marx.
[01:31:22] Speaker B: C'était avant ou après le reportage sur le poney du Connemara ?
[01:31:25] Speaker A: C'était après. Et c'était avant ce film portugais sur un homme nu qui se balade et que les gens ne voient pas.
[01:31:30] Speaker B: Oui, est-ce qu'il est nu si on ne le voit pas ?
[01:31:34] Speaker A: Il est tellement nu qu'il est invisible. Sauf quand il est tué par la famille après. Bon, Arthé la nuit, je regardais, je me disais, je comprends pas trop ce que ça veut dire. Mais si, ça parle de cette... Bon bref, on s'en va. Meshouga, donc.
[01:31:48] Speaker F: Ça fait toujours du bien un petit Meshouga.
[01:31:49] Speaker A: On remercie énormément Didier, on l'applaudit s'il vous plaît. Voilà Didier qui est là depuis le début de l'histoire SLS et qui a survécu à cet amas de cacahuètes que je lui crache au visage lorsqu'on a enregistré sur mon bureau les podcasts.
Didi, we love you, tu sais. C'était pas ça le pire.
[01:32:08] Speaker E: C'est quand j'avais rendez-vous pour enregistrer à 19h et que t'arrivais à 20h.
[01:32:13] Speaker B: En plein hiver. Même après 20 ans, il fait encore ça.
[01:32:18] Speaker A: Ça veut pas dire qu'il t'aime pas. C'est vrai qu'il aime personne. C'est mon partage de cacahuètes après qui était ma façon de me faire pardonner. Bon, pas très intelligent non plus. Du coup, on accueille Amélie, bonsoir.
[01:32:33] Speaker B: Bonsoir.
[01:32:35] Speaker A: Alors avant de continuer à parler de Restless et de cette aventure et des problèmes et des choses qui sont à régler, nous, vous, comment vous pouvez nous aider, etc. Nous sommes allés, je tenais à le dire aussi, nous sommes allés à un événement aujourd'hui dans Paris qui s'appelle le Metal in Paname.
Sur les réseaux, vous pouvez rejoindre, ça s'appelle Metal in Paname. C'est organisé par des passionnés. Pareil, c'est une association, donc il n'y a pas de gains, il n'y a pas de choses qu'ils récoltent pour eux, pour leur propre gueule. Et par contre, c'est incroyable. J'avoue, j'y suis allé en me disant, ils sont gentils, c'est cool de représenter restless et d'aller faire un petit coucou. Mais je voyais ça un peu petit.
Je me suis dit, on va être quoi ?
[01:33:17] Speaker B: 30 ?
[01:33:18] Speaker A: Mais c'est énorme ! En fait c'est un vrai rendez-vous métal où il y a tous les métalleux qui viennent à partir de 13h jusqu'à 19h. Il y a des concerts en acoustique ou en acoustique électrique au sous-sol. Bon là c'était le cas parce que le bar s'y prêtait. Mais il y a souvent des concerts, des showcases, il y a des stands, il y a des groupes qui viennent expliquer des choses, il y a des gens professionnels, il y a des labels, il y a des tourneurs et tout le monde se parle et passe un moment d'échange avec des fans qui ne savent pas forcément comment ça se passe. et c'est hyper friendly, c'est hyper bien fait, c'est hyper qualitatif et il y a des cadeaux de ouf à gagner aussi parce qu'ils offraient des séances photo faits par un professionnel aux gens qui participaient donc bon... Oui parce que c'était.
[01:33:59] Speaker D: Les photographes qui exposaient je crois, non ?
[01:34:01] Speaker A: C'est pas ça ? Exactement. Et ils offraient plein d'autres cadeaux pour pouvoir faire plaisir aux fans de métal qui ont juste envie de soutenir cette musique et je trouve que la démarche elle est ouf. C'était la deuxième édition si je dis pas de bêtises rectifiée sur les réseaux si jamais Mais c'est la deuxième, voilà. Et vraiment, j'ai été bluffé. J'ai été bluffé par l'énergie qui avait été mise, mais surtout, le résultat. Et toutes ces personnes rassemblées, que des gens hyper gentils, et de tous les âges, il y avait des gens très très gentils, il y avait même des enfants. Qui avaient des vests en cuir et qui faisaient comme ça.
Mais...
Et voilà, c'était hyper intéressant, les gens peuvent échanger, il y avait des gens qui sont venus nous voir, Amélie et moi, pour parler de restless parce qu'ils ont dit « ah je regarde mais je comprends pas ça » ou il y a un groupe qui est venu me dire « mais pourquoi dans les médias on me passe pas ? » etc. Il y a des discussions et c'est hyper bien fait. Donc je les applaudis, si vous avez envie de soutenir encore une belle cause, n'hésitez pas à aller les rejoindre sur les réseaux sociaux, il y a un DJ, enfin c'est hyper cool, tout est très bien fait.
Et voilà, métal in Panama. Alors effectivement c'est réservé aux gens d'Île-de-France parce que ça s'appelle in Panama donc c'est pas à Rennes quoi.
[01:35:11] Speaker B: Après si vous êtes de passage à Paris vous avez quand même le droit d'y aller.
[01:35:14] Speaker A: Ah oui bien sûr !
[01:35:15] Speaker F: On vérifie pas ta carte d'identité pour voir où tu résides.
[01:35:18] Speaker B: Excusez-moi, il faudrait une preuve de résidence s'il vous plaît.
[01:35:24] Speaker A: Votre facture EDF.
[01:35:26] Speaker F: Tu dis bonjour et voilà tu passes.
[01:35:30] Speaker A: C'est vrai, ça c'est Marcel qui parle comme ça. Et donc j'en reviens à ce sujet-là, donc merci en tout cas à Métaline Paname de nous avoir invités, et la prochaine édition c'est sûr je vais y en avoir encore parce que j'ai tellement trouvé ça cool que... Par contre faites-le l'autre samedi, ça je peux prendre une bière un peu plus tard.
qui peut s'éterniser, mais en tout cas, ça peut créer des liens. En dehors de ça, il y a une personne d'un groupe qui est venue et qui m'a dit, j'ai un groupe, ça fait déjà deux EPs qu'on sort, et je ne comprends pas pourquoi il n'y a pas de diffusion et comment les attachés de presse choisissent les groupes.
On peut les payer cher, et des fois, on a l'impression qu'ils n'ont rien fait.
Alors, j'ai dit que c'était une question un peu complexe, parce que je ne suis pas attaché de presse, donc je ne suis pas dans les petits papiers. Je lui ai dit, quand tu passes par un attaché de presse, que vous êtes un groupe, en fait vous payez une liste de contacts qu'ils ont. Parce qu'en fait ils envoient votre produit à ces gens-là, aux gens qu'ils ont en contact, donc des médias, des labels, enfin je sais pas, un peu de tout, mais surtout des médias.
Après, ils ne peuvent pas vous promettre que ça va être publié. Ils ne peuvent pas vous promettre que ça va marcher. Donc, c'est là.
[01:36:41] Speaker B: Après, il y a la ligne éditoriale, il y a le choix, le goût, le choix du média.
[01:36:47] Speaker A: Ça ne veut pas dire que c'est mauvais, c'est juste dire... Est-ce qu'on a.
[01:36:50] Speaker B: La place d'en parler ? Parce que des fois, il faut faire des choix entre...
Il ne peut pas tout mettre, du coup il faut faire des choix.
[01:36:56] Speaker A: Ça dépend de la stratégie aussi, ça dépend de là où vous voulez. Et il m'a demandé pourquoi. Alors ils n'ont pas fait de clips, donc forcément, ils ne peuvent pas passer d'ici. Mais toujours est-il que même quand il y a des clips, Bon, il y a des codes quand même, c'est-à-dire que si le son n'est pas forcément bien enregistré ou si le propos n'est peut-être pas celui qui peut être accepté par, comme tu disais, la ligne éditoriale, c'est compliqué. Après, il y a une discussion qui peut se faire, c'est toujours une discussion qui est, comment dire, d'avis de goût personnel. Comme je disais, parce qu'il y a un jeune groupe qui m'a dit, tiens, je vais t'envoyer un son, et est-ce que tu peux nous dire si c'est bien ou pas bien ? Si on doit continuer dans cette direction-là. Je lui ai dit, mais je ne peux pas, je ne peux pas me permettre de te dire ça. Ce que je vais te dire, c'est ce que moi je ressens, et mes goûts à moi, mais ce n'est pas une vérité. A aucun moment, c'est une vérité. Bref, quand vous faites des clips, il faut faire de la promo, c'est très compliqué. Mais n'en voulez pas non plus aux médias qui ne vous diffusent pas, à part s'ils sont agressifs avec vous. C'est que c'est des cons.
Ne les agressez pas mais par contre parlez-en autour de vous pour dire que c'est des cons. Mais c'est plus complexe que juste dire oui je peux, oui je peux pas. C'est pas juste appuyer sur on ou off. Il y a toute une construction et toute une démarche. Mais c'est pas pour ça qu'il faut baisser les bras.
[01:38:09] Speaker F: Et on peut vous renvoyer à ce que l'avait dit chez nous Julien Méternic quand il nous avait parlé du fait de faire des clips et ensuite de ne pas en rester à la réalisation du clip mais faire assurer un budget pour la promo derrière.
[01:38:21] Speaker D: C'est hyper important.
[01:38:22] Speaker A: Et puis c'est des sommes qui sont quand même pas petites.
Et puis ça se fait pas sur un coup de tête. Faire une chanson, c'est pas non plus faire juste une chanson. C'est tout un travail, c'est beaucoup de choses qui sont pénibles. Comme faire Restless au final.
[01:38:40] Speaker B: C'est drôle parce que souvent les gens imaginent qu'il suffit de faire des choses et puis ça suffit.
Et quand on parle des budgets de films qui semblent toujours énormes, il ne faut pas oublier que dans les budgets qu'on nous donne des films, ce n'est pas juste pour le tournage et du tournage au moment où le film est fini. Mais ces budgets-là comprennent aussi la promo et tout ça.
[01:39:04] Speaker F: Ça dépend parfois dans les budgets rendus publics, il y en a avec ou sans.
[01:39:09] Speaker B: Généralement quand t'as les gros trucs avec beaucoup de millions, ça comprend aussi de la promo, c'est pas que pour faire le film quoi. Et en fait ça c'est un truc dans le cinéma et assez intégré. Après c'est des montants tellement énormes que de toute façon...
[01:39:25] Speaker A: Mais c'est fou !
[01:39:26] Speaker B: Mais c'est pour dire que oui, quand vous faites un album, il faut aussi prévoir ça, c'est-à-dire enregistrer l'album dans les meilleures conditions, avoir le meilleur son du monde. Si personne derrière va être capable de l'entendre, ça sert à rien aussi. Des fois, il faut réfléchir aussi aux coûts additionnels des attachés de presse.
de la promo sur les réseaux pour acheter des postes sponsorisés, des choses comme ça. Parce que malheureusement, aujourd'hui, tout le monde peut faire des choses et mettre ça en ligne et visible à tout le monde.
La contrepartie de ça, c'est que si on veut passer devant, si on veut forcer un peu la chance, il faut payer aussi.
[01:40:06] Speaker D: C'est pas pour rien que c'est des vrais métiers en fait, et que c'est des métiers très différents les uns des autres. Il y a des gens spécialisés en fait dans chaque chose.
C'est compliqué.
[01:40:14] Speaker A: C'est sûr que quand t'es artiste, t'as pas envie de t'occuper de faire des démarchages pour des dates de concerts ou pour...
Encore que la personne que j'ai rencontrée, Mani, c'était une personne qui était très engagée et qui du coup avait bien observé ce qu'ils avaient payé avant pour pouvoir tenter de le faire lui-même et puis il a dit j'avance doucement mais au moins j'avance et je commence à comprendre les codes et il m'a dit mais il y en a trop ! Il y en a tellement parce qu'il y en a partout, des tonnes par métier quoi ! Mais voilà, en tout cas, c'est comme nous. Il y a des choses qu'on doit faire, il y a des choses qu'on aime, il y a des choses qu'on apprécie moins.
[01:40:48] Speaker D: Ça me fait penser à un truc, alors je ne vais pas retrouver son nom, mais il y a un mec youtubeur qui parle justement des codes comme ça. Il fait du métal, donc c'est plus axé métal, mais il parle justement de comment contacter les groupes, quand t'as un groupe, quelles démarches faut faire et tout ça. Je vais essayer de leur trouver le nom si je peux le signer.
[01:41:04] Speaker B: C'est un français, c'est ça ?
[01:41:05] Speaker D: Oui, c'est un français.
[01:41:05] Speaker F: C'est pas The Doomdad qui avait fait une vidéo là-dessus, conseillant les groupes ?
[01:41:09] Speaker A: Musicalement vôtre, si vous pouvez. Médicalement, métalliquement...
Même si vous trouvez ça marrant, non.
Tout dépend de l'âge de la personne qui reçoit le message. C'est un chemin de croix de toute façon. C'est pas facile. Mais après, si vous êtes passionné et que vous pensez que vous avez le truc, ça devrait le faire. Il n'y a pas de raison. Et c'est un gros, gros, gros travail, ce qu'expliquait Ben tout à l'heure aussi. Il y a ce travail de relationnel, il y a ce travail sur l'image, il y a ce travail sur la lumière. Il y a des tonnes et des tonnes de choses. Et pour le coup, je l'avoue, Il n'y a que lui qui le fait. Moi, à l'émission relationnelle, si, parce que c'est moi qui vais picoler. Mais c'est pas forcément le truc le plus amusant. Alors moi je me barre bien.
[01:42:03] Speaker B: Je sais très bien que c'est très difficile pour toi. L'autre fois quand il a fallu que tu passes jusqu'à 7h du matin.
[01:42:10] Speaker F: Et compte pas 16 heures en plus.
[01:42:12] Speaker A: Non mais c'est lui qui fait le plus dur, ça je resterai...
Bref, passons. Mais c'est des choses qui sont assez compliquées. Qu'est-ce que je voulais dire d'autre ? Les sponsors.
Comment un sponsor vient vers nous et comment, nous, on peut avoir de l'argent d'un sponsor ? Parce que souvent, on me dit aussi, prenez un sponsor. Oui, comme tu l'as dit tout à l'heure, on y a pensé. On a déjà fait des démarches. On a fait vérifier nos démarches aussi par des professionnels, c'est-à-dire des commerciaux, parce que normalement, c'est un autre travail, ça aussi.
C'est le travail de commercial que vous devez peut-être connaître, et si vous ne connaissez pas, c'est pas grave, c'est des gens qui sont là pour aller voir des marques, récupérer l'argent et donner de la visibilité, comme disait Ben, selon la taille du média. Donc bon, ben voilà, comme on est à un niveau où les sommes sont petites, voire inexistantes, parce qu'ils n'ont pas envie de s'intéresser à nous, ils trouvent ça bien. Encore une fois, ils sont très polis, ils sont très gentils.
[01:43:10] Speaker B: Ils disent, revenez nous voir quand vous aurez plus de chiffres.
[01:43:13] Speaker A: Voilà.
[01:43:13] Speaker B: Bon ben le problème c'est de tenir le temps que les chiffres soient bons.
En plus, si le chiffre il fait.
[01:43:19] Speaker F: Qu'Augmenter à chaque prise de contact, bon...
[01:43:22] Speaker A: Ils ne donnent pas de chiffres. C'est jamais le truc précisé.
[01:43:24] Speaker B: Je ne sais pas à partir de combien ça va les intéresser.
[01:43:26] Speaker A: Parce qu'après, il y a des secrets. C'est un truc de commercial. Et c'est un métier aussi commercial.
[01:43:30] Speaker B: Chaque boîte a ses tableaux avec, ok, pour tant de trucs, on débloque ça.
[01:43:38] Speaker A: Et ce qu'on ne dit pas assez aussi, c'est que le travail de commercial, ce n'est pas de contacter la marque vraiment. C'est de contacter la boîte de communication qui s'occupe de la marque. pour convaincre elle-même la marque de donner de l'argent. Bref, de créer un échange. C'est quand même beaucoup, beaucoup, beaucoup d'échanges et d'intermédiaires qui font que, bon, vous attendez pendant des siècles et des siècles et des fois ça vous décourage. Donc quand vous avez la réponse, des fois vous êtes sûr que ça va le faire. Parce que quand même d'avoir un petit peu confiance en son projet c'est très important aussi. Parce que sinon ça sert pas à grand chose malheureusement.
[01:44:06] Speaker B: Il ne faut pas s'excuser de vouloir le faire quoi.
[01:44:08] Speaker A: Oui, oui.
[01:44:10] Speaker B: Bon après par contre ça prend plein la gueule.
[01:44:12] Speaker A: C'est rude, on ne peut pas cacher que ce ne soit pas agréable. Ce n'est pas très agréable quand on se prend un refus. Mais après, ça fait partie du jeu. On démarche. C'est pour ça, encore une fois, qu'on compte sur vous et que nos réseaux doivent grandir. YouTube principalement. C'est vrai que ça reste le premier travail qu'il y a à fournir aujourd'hui. Et vous êtes nombreux et nombreux à voir notre chaîne YouTube.
[01:44:34] Speaker B: Et Instagram.
[01:44:35] Speaker A: Mais Instagram, vous êtes quand même aujourd'hui, et j'ai regardé les stats, il y a 400 000 personnes différentes qui regardent notre Instagram tout le temps. 400 000.
[01:44:44] Speaker B: À chaque seconde, il y a 400 000 personnes.
[01:44:47] Speaker A: Non mais sur les... sur le... je sais plus c'est quel timing sur les... le dernier mois, moi je m'en fous. Mais 400 000 personnes uniques, vous êtes 22 000 à être inscrits. Je dis pas que c'est pas bien, on est encore une fois hyper heureux et hyper reconnaissants et c'est pas pour nous, c'est juste pour pouvoir encore une fois offrir des choses.
[01:45:05] Speaker B: Sachant que d'après des études que j'ai regardées, des gens qui écoutent du métal régulièrement en France, c'est entre 1 et 2 millions.
[01:45:14] Speaker A: Oui c'est vrai, on en avait parlé.
[01:45:15] Speaker B: Donc oui, on a encore de la marge.
[01:45:17] Speaker A: C'est ça. Donc la communication, là, nous, c'est de vous le dire ce soir.
Parlez-en autour de vous, à vos potes, à tous ceux qui n'en parlaient pas pendant cinq heures, ne leur prenez pas la tête non plus.
[01:45:28] Speaker B: Un petit follow, même si vous ne regardez pas le contenu.
[01:45:31] Speaker A: Regarde mon pote, tu as vu ça ? Follow, ça me fera plaisir. Vous leur dites que ça vous ferait plaisir, et nous ça nous fait plaisir.
[01:45:38] Speaker B: En plus sur Youtube, on ne pollue pas trop. On poste une vidéo par semaine.
[01:45:41] Speaker A: C'est pas la folie. Vous n'êtes pas obligés de la regarder.
[01:45:48] Speaker B: C'est sûr que c'est mieux.
Après si vous voulez, vous pouvez juste la lancer, vous regardez pas. Vous allez vous coucher, vous laissez le truc tourner.
[01:45:56] Speaker F: Vous laissez l'onglet tourner avec le son, voilà pour le watch time et on est bon.
[01:46:00] Speaker A: Les gens font souvent ça. On reçoit des messages quand même de gens qui nous disent ça. Je mets en faisant la cuisine les VOD.
Et comme je ne sais pas ce qu'il s'est passé, le lendemain quand je refais la cuisine, je remets la VOD parce que... Mais du coup... Non mais... Et du.
[01:46:13] Speaker B: Coup, il le regarde tous les jours.
[01:46:15] Speaker A: Pendant qu'il se mette à chez toi. Pas complètement en entier parce que ça dure quand même très longtemps, on peut se le nier. Mais ils sont contents aussi de pouvoir l'écouter en voiture pendant leur trajet, les embouteillages parisiens, etc. Je ne sais pas, en province, il y a des embouteillages aussi. Mais bon, voilà, ils trouvent toujours un moment pour se caler une partie de ce qui se passe.
[01:46:30] Speaker B: Ah voilà, regarde, il y a Jenny qui vient de dire « Follow sur YouTube fait ». Merci !
[01:46:34] Speaker A: Bravo ! Merci ! Allez !
[01:46:36] Speaker F: On va applaudir chaque personne qui le.
[01:46:38] Speaker A: Fera et qui déclarera dans le chat. Non mais merci, c'est juste, c'est simple. En fait, c'est vrai qu'il faut vouloir le faire. Après, il n'y a aucune obligation. Si vous n'avez pas envie, ce n'est pas grave. Vous n'en voudrez jamais. Mais c'est juste hyper simple et ça fait beaucoup et ça ne coûte rien. C'est ça aussi. Il ne faut pas oublier que le but, ce n'est pas uniquement de donner de l'argent.
Après, on va en venir au Patreon.
[01:47:01] Speaker B: Le but, ce n'est pas que de donner de l'argent, mais si on en.
[01:47:04] Speaker A: A, Soit vous nous aidez à trouver.
[01:47:07] Speaker B: Des sponsors, soit vous nous aidez à trouver des sponsors en nous rapportant de la visibilité, soit vous donnez... De toute façon maintenant je vais être clair.
[01:47:16] Speaker A: Toi t'as donné ?
[01:47:18] Speaker B: T'as pas donné tu regardes pas !
[01:47:22] Speaker A: Non mais après...
[01:47:22] Speaker B: Je pense qu'il y a des gens qui vont croire qu'on est sérieux là.
[01:47:24] Speaker A: Oui, c'est triste mais oui, malheureusement.
[01:47:26] Speaker B: Mais dans Slipknot, ils mettent des masques parce qu'ils avaient des têtes de gentil.
[01:47:30] Speaker A: J'ai cru que t'allais dire des têtes de jambon. Je sais pas pourquoi.
[01:47:32] Speaker B: Bah peut-être aussi.
[01:47:33] Speaker A: C'est un rouelle de porc.
Vous allez tout savoir.
[01:47:56] Speaker B: Qu'Elle avait été bonne.
[01:48:08] Speaker A: Je peux. Par contre, à risque et péril. Je me dédouane de ce que vous allez dire.
[01:48:13] Speaker F: Et pour les plus grands donateurs, il publiera son guide gastronomique.
[01:48:18] Speaker A: Mon guide gastro Pierre.
[01:48:23] Speaker B: Alors la pizza mayonnaise.
[01:48:26] Speaker A: La pizza mayonnaise, c'est du pain mayonnaise.
[01:48:31] Speaker F: La pizza mayonnaise, elle sera sur la couve.
[01:48:33] Speaker B: Ah putain ! Une tranche de pain que de la mayo !
[01:48:36] Speaker A: Je pense qu'on va perdre vraiment tous les gens qui nous aimaient ! Non mais je sais qu'aussi avant de parler du patron, bon après on passerait à une chanson, mais on a encore plein de speak donc il n'y a pas de problème. Je sais qu'il y a des amis aussi à nous qui ont des boîtes et qui ont des moyens. Ça a été très blessant, moi je sais que ça m'a blessé, c'est quelque chose qui m'a beaucoup blessé. Je pense à deux personnes et s'ils écoutent et qui regardent, je sais que vous savez qui vous êtes.
mais j'ai jamais compris par exemple pourquoi il n'aidait pas. Après, il y a un cadre d'entreprise et il n'y a pas que eux, c'est ça que j'ai saisi un peu plus tard. Mais voilà, on en chie. Ben surtout, parce que c'est lui encore une fois qui travaille le plus et sur le restless et à l'extérieur pour amener l'argent de restless. Donc il faudrait Pour aider Ben s'il vous plaît.
[01:49:22] Speaker D: Faire une hola.
[01:49:23] Speaker B: Non, ça je m'en bats les couilles. En fait Claire, la hola, je m'en bats les couilles. Faites-la si ça vous fait plaisir.
Moi si ça vous fait plaisir, je veux bien. Par contre, c'est pas ça qui m'aide.
[01:49:34] Speaker A: En faisant la hola, appuyez sur le bouton « paid ». C'est moi qui le dis. Mais non non, c'est Bat. Bon allez, est-ce qu'on peut parler du patron ?
[01:49:49] Speaker B: Oui bah parlons du patron.
[01:49:51] Speaker A: Parce que ça va prendre quand même quelques minutes.
[01:49:52] Speaker B: Ah bah on parlera du patron après.
[01:49:54] Speaker A: Quel suspense. C'est incroyable cette émission, on la tient comme ça.
[01:49:59] Speaker B: Parlons d'Amélie maintenant !
[01:50:00] Speaker A: Amélie ! Amélie !
[01:50:03] Speaker B: Est-ce que tu la tiens comme ça ?
[01:50:04] Speaker A: Oh putain ! Je devais être déjà une fan avant.
[01:50:07] Speaker D: Que j'y aille, mais voilà.
[01:50:10] Speaker B: N'hésite pas. Vraiment, ici c'est le but.
[01:50:12] Speaker A: Ah oui, tu peux nous venir, tu peux y aller. Attention à ce que tu dis quand même, parce que c'est public. Et ça restera sur Internet. Nous on n'a plus rien à perdre.
[01:50:23] Speaker B: Moi j'ai déjà tout perdu, de toute façon.
[01:50:26] Speaker A: Putain je rigole mais c'est affreux.
[01:50:29] Speaker B: Et c'est un peu vrai en même temps.
[01:50:30] Speaker A: Bah oui c'est vrai. Je ne peux que dire que...
[01:50:33] Speaker B: Tu as perdu mon intermittence.
[01:50:35] Speaker A: T'as perdu ton intermittence ? T'as perdu une sacrée énorme somme d'argent que tu payes tout depuis le début si on fait une somme globale ?
[01:50:41] Speaker B: Non ça faut mieux pas le faire.
[01:50:44] Speaker D: Mais t'as toujours ta dignité quand même.
[01:50:46] Speaker F: Tu as toujours ta liberté de penser.
[01:50:47] Speaker A: Bah c'est mon ami.
[01:50:48] Speaker B: La liberté de penser je l'ai.
D'ailleurs, Florent est invité. Depuis la fin de la saison 1, on l'a invité.
[01:50:56] Speaker A: C'est vrai, on a invité Florent Pagny. Angoun, d'ailleurs, je te rappelle que t'es censé venir aussi.
Est-ce que t'es contente de travailler avec nous ? Oui.
[01:51:05] Speaker B: Est-ce que t'es libre de dire ce que tu veux ?
[01:51:07] Speaker A: Marcel, faut pas que tu montes quand je pointe ! Bon, tu as choisi un petit peu de musique ?
[01:51:15] Speaker D: Et oui parce que forcément on choisit un clip à chaque fois. Et en fait j'ai choisi Chargott parce qu'ils sont en concert vendredi la semaine prochaine le jour de la Saint-Valentin.
[01:51:27] Speaker A: Ça leur correspond tellement.
[01:51:32] Speaker D: Franchement ça peut être un super date pour ceux qui cherchent quelque chose à faire à Saint-Valentin. Bon j'y vais avec une copine mais voilà.
[01:51:38] Speaker A: Ça peut être un date quoi.
[01:51:39] Speaker D: Non mais en fait ce qui est.
[01:51:40] Speaker B: Marrant c'est qu'il y a l'homosexualité c'est ok.
[01:51:43] Speaker D: Non mais c'est une copine, c'est juste une copine.
[01:51:44] Speaker B: Oui mais tu sais, parce qu'au cas où t'es pas au courant, Pierre est homosexuel, donc si c'est pour avoir des propos homophobes dans cette émission, non merci. Ok, je voudrais que tu le respectes un petit peu.
[01:51:58] Speaker A: Ça fait partie de mes accents, oui.
[01:51:59] Speaker B: Il est parisien, et alors ?
[01:52:01] Speaker F: Bon, je crois.
[01:52:02] Speaker A: Très pas, très très pas. Jusqu'au fond.
[01:52:04] Speaker B: Jusqu'au fond du Red.
[01:52:06] Speaker A: Fais un bisou à Red Bar, qui me vire à chaque fois aussi.
[01:52:09] Speaker D: Bon, alors... Donc oui, du coup, Chargott, qui fait son concert dès 10 ans, qui fête ses 10 ans à La Cigale.
[01:52:16] Speaker A: D'accord.
[01:52:17] Speaker D: Donc voilà, ils vont faire un show de deux heures, qui sera filmé, vraiment.
[01:52:22] Speaker B: Avec des performeurs, Si c'est filmé, on.
[01:52:24] Speaker A: Imagine qu'ils vont aller encore plus loin. Déjà, normalement, en live, sur scène, c'est quand même extraordinaire.
[01:52:28] Speaker D: C'est marrant parce que je ne les ai jamais vus. Etienne, coucou, s'il nous regarde. C'est un pote, mais je ne les ai jamais vus en concert.
Encore.
[01:52:35] Speaker A: C'est bien vendu, vraiment.
[01:52:37] Speaker B: Mais Marcel était allé les voir, il avait dit que c'était super bon.
[01:52:41] Speaker D: J'ai vu des images et tout, et puis franchement, ils ont une super DA. Alors pour ceux qui connaissent pas, c'est l'Indus. Indus Metal.
Alors déjà, ils sont peints tout en noir.
[01:52:52] Speaker A: C'est des personnages.
[01:52:52] Speaker D: C'est des personnages, voilà. C'est très fictif. Il y a un côté très cinématographique aussi.
[01:52:57] Speaker A: Post-apocalyptique.
[01:52:58] Speaker D: Post-apo. Post-apo, merci.
Et même leur clip, celui-là j'ai pas mis le clip le plus long, mais ils ont beaucoup de clips où ça dure 15-20 minutes parce que t'as vraiment une histoire. Ça fait vraiment court métrage. D'ailleurs c'est Teddy, je crois un pote à lui, de ce qu'ils ont fait, école de cinéma ensemble, qui réalise à chaque fois les clips et vraiment, ils ont un super concept. Enfin, j'ai jamais vu ça ailleurs et je trouve que c'est vraiment cool. Et même si on n'aime pas la musique, ça peut arriver. Je pense qu'il y a un truc qui...
Tu peux adhérer au visuel, ça attire quand même.
[01:53:35] Speaker A: Musicalement, je pense que c'est assez entraînant.
[01:53:39] Speaker B: Même si ce n'est pas forcément ton style de prédilection, c'est tellement bien fait, tellement efficace.
[01:53:44] Speaker D: Et justement, c'est ce que disait Etienne, c'est qu'ils ont un public. Même lui, il ne comprend pas le public qu'ils ont parce que c'est tellement large. Il y a un côté très dansant et un côté métal.
C'est assez diversifié.
[01:53:55] Speaker B: D'ailleurs, on les a reçus les chats. N'hésitez pas à regarder l'interview.
[01:53:59] Speaker F: Un gros bisou à Etienne et Clémence qui étaient venus nous voir d'ailleurs.
[01:54:02] Speaker B: C'est disponible sur notre chaîne YouTube.
[01:54:04] Speaker A: Voilà, point d'exclamation. Bang ! Si vous êtes en train de regarder sur Twitch. Voilà, tout simplement.
[01:54:09] Speaker B: Et il faut que vous followez la page parce que...
[01:54:16] Speaker A: Et le titre que tu as choisi donc c'est ?
[01:54:18] Speaker D: « Let me out ». C'est le dernier clip qu'ils ont fait. Alors, c'est marqué au début du clip, mais pour les gens épileptiques, ça clignote beaucoup.
Donc voilà, mais très bien réalisé. Enfin, faut la laisser découvrir, mais c'est très chelou.
[01:54:33] Speaker A: Je digresse, t'as vu, elle a des boucles d'oreilles avec des méduses dedans. Ça me fait penser à ma fameuse salade de méduses. J'ai toujours pas bouffé cette salade de méduses. Mais je veux bien que... Ça te dit ? Non.
[01:54:47] Speaker F: Avant que tu me demandes, moi non plus.
[01:54:49] Speaker B: Je voudrais la salade du docteur.
C'est une private joke ?
[01:54:54] Speaker A: Ça ne viendrait pas plus loin. Parce qu'on est des gens respectables.
Sous-titrage Société Radio-Canada Oh!
[01:58:16] Speaker C: C'est parti !
Let me out. Let me out.
[01:59:26] Speaker F: Let me out.
[02:02:47] Speaker A: Solitariste à l'instant, donc, le tout nouveau solitariste dans Bang Bang, bien sûr, le meilleur du métal, El Dantan, T-Rock, c'est comme ça tous les dimanche soir, j'articule pas. C'est à partir de 19h.
En live Twitch, vous pouvez retrouver cette émission en podcast sur toutes les plateformes d'écoute légales et aussi sur notre chaîne YouTube. On vous l'a dit mais on vous le répétera encore. Point d'exclamation bang pour rejoindre notre chaîne YouTube. C'est comme ça que vous pouvez nous soutenir plein d'autres façons. On parlait du Patreon.
[02:03:16] Speaker B: Vous pouvez acheter des mugs par exemple. Des casquettes.
[02:03:19] Speaker A: C'est mon préféré celui-là.
[02:03:20] Speaker D: Des bonnets.
[02:03:20] Speaker A: J'aimerais la casquette, moi je l'ai là.
[02:03:22] Speaker B: Chris, je crois qu'il va falloir que tu te déplaces un tout petit peu. Je crois que la lumière...
[02:03:30] Speaker A: Rapprochez-vous.
Et le mug ? J'ai l'impression que quelqu'un s'est coupé la tête. Vous êtes mieux là ?
[02:03:38] Speaker F: C'est mieux.
[02:03:39] Speaker A: Très bien.
C'est aussi ça cette émission, c'est du direct, c'est du live. Et donc on parle du Patreon. Alors le Patreon, c'est une plateforme, tu me le corriges si je me plante, c'est une plateforme où il y a des abonnements donnés avec des contreparties, qui est donc une possibilité pour vous d'aider la personne ou l'association ou la chose qui fait du contenu. Et en échange, vous avez des petits bonus comme le choix d'un titre, la possibilité de voter.
[02:04:08] Speaker B: Qui va arriver tout à l'heure d'ailleurs.
[02:04:10] Speaker A: Qui est le prochain morceau, le tout prochain morceau, et justement le fameux morceau des Bangers. Ça, ça fait partie des possibilités données au deuxième, troisième et quatrième abonnement, puisqu'il y en a quatre d'abonnement.
Ça me fait bizarre de dire ça.
[02:04:29] Speaker B: Il y a quatre niveaux d'abonnement, ça va arriver, on va en parler.
[02:04:33] Speaker A: Donc il y a le premier niveau d'abonnement qui vous permet de voter pour le clip de fin d'émission. En vrai, c'est au-delà d'un vote, vous faites des propositions, et je passe plus ou moins dans l'ordre de ce qui a été donné, sauf s'il y en a énormément, à partir de ce moment-là, il y a un vote. Donc si vous avez un groupe, par exemple, c'est le meilleur moyen d'être sûr de passer dans BengBeng, c'est d'aller sur notre Patreon, et donc de vous abonner à ce tout premier niveau. Vous n'êtes pas obligé de rester abonné pendant 15 ans, il n'y a pas d'engagement, je crois, si je ne m'abuse. Donc voilà, ça coûte... hors-taxe !
[02:05:07] Speaker B: 6,66 euros, hors-taxe.
[02:05:11] Speaker A: Non, parce qu'il y a un bonus, j'ai vu les sommes que les gens donnent, c'est pas exactement celle qui est affichée, celle qui est affichée, c'est celle qui nous revient.
[02:05:18] Speaker B: D'accord...
[02:05:19] Speaker A: Celle qui paye, c'est un peu plus.
On va peut-être revoir pour que ça tombe sur le chiffre qu'on voulait. Mais 6,66, oui, parce qu'on a fait un petit peu d'humour, parce que l'intérêt c'était qu'on puisse rigoler déjà ne serait-ce qu'avec les numéros. Le premier abonnement c'est 6,66€, le deuxième abonnement c'est 16,66€, le troisième 26,66€ et le dernier 36,66€.
[02:05:39] Speaker B: Ce qui est moins de 10€ par émission.
[02:05:42] Speaker A: Exactement.
[02:05:43] Speaker F: On n'a pas fait un super abonnement à 66,60€.
[02:05:46] Speaker B: On n'y a pas pensé. Parce que déjà, 36 ans de sortie, c'est trop excitant.
[02:05:53] Speaker F: Il faudrait un super bonus pour le 66-60.
[02:05:55] Speaker A: D'ailleurs, on remercie énormément Romain qui est la première personne à avoir pris le gangbang.
puisque c'est comme ça qu'il s'appelle. C'est un gangbanger. C'est un gangbanger, c'est un peu...
[02:06:06] Speaker B: C'est aussi dans les noms et dans les petites descriptions. Vous pouvez lire, il y a un peu des petites blagues qui ont été placées.
[02:06:11] Speaker A: Voilà, parce que c'est quatre niveaux, on porte chacun un nom. Est-ce qu'on les donne ? Est-ce qu'on laisse les gens aller voir ? Patreon.com slash RSTLSS radio. Voilà, merci à Marcel qui... Non, c'est pas celui-là. C'est pas celui-là.
[02:06:23] Speaker B: Si on te fait une proclamation, Patreon.
[02:06:25] Speaker A: Ah oui d'accord, tout simplement.
[02:06:28] Speaker B: Voilà, puis...
[02:06:31] Speaker A: Le merch se trouve sur notre site internet. Et d'ailleurs le merch peut t'avoir une réduction de 10% si vous faites partie de certains tiers de ce Patreon aussi.
[02:06:40] Speaker B: N'hésitez pas à aller voir les contreparties, y'a plein de petites choses, y'a plein de petites contreparties vraiment incroyables, dont...
[02:06:48] Speaker A: Alors, avant de parler du clip, j'aimerais quand même rentrer dans quelques détails.
[02:06:52] Speaker B: Ah des stickers ça ?
[02:06:54] Speaker A: Oui bah vas-y, tout à fait.
[02:06:55] Speaker B: Dans les contreparties, à partir du... Du 6ème mois.
[02:06:59] Speaker A: Non.
[02:07:00] Speaker B: Non, non, on l'envoie dès le début.
Quand vous prenez le tiers numéro 3 ou 4, vous allez recevoir un pack de 6 stickers, je crois qu'on a dit. Alors il va falloir qu'on regarde laquelle c'est. Marcel, si tu peux montrer. Voilà, regardez.
Alors il faut les incliner un peu vers le bas pour que... Voilà. Donc ça c'est des holographiques, donc il y a le R de Restless. Il y en a un autre que tient Chris qui est une inspiration un petit peu...
[02:07:34] Speaker A: Très luineux, tu le peux le prouver je pense.
[02:07:37] Speaker B: Une inspiration un petit peu Akira.
C'est une référence à la petite pilule dans Akira. Voilà, on peut le voir là aussi, je l'ai mis sur ma gourde moi, vous voyez. Après il y a les classiques, donc vous aurez... On n'a pas encore décidé lesquels c'était. Mais il y aura le R classique comme ça, avec l'autre qui est le petit... Vous pouvez montrer... Voilà, donc il y en aura... Je sais pas si vous aurez le... ce qu'on appelle le combo, c'est celui où il y a les deux en même temps ?
[02:08:05] Speaker A: Ouais.
[02:08:06] Speaker B: Sinon il y aura peut-être juste le noir, le bandeau noir ? Celui-ci là, le bandeau. Voilà. Peut-être celui-là où il y a écrit...
[02:08:14] Speaker A: Restless.com et avec la lettre.
[02:08:15] Speaker B: Restless Till Rock Is Back.
Il y aura peut-être ce logo Black Metal en holographique. Vous pouvez le manger au petit-déjeuner. Il y a aussi le logo Bang Bang. Bouge un peu moins. Le logo Bang Bang avec un petit effet papier froissé comme sur Nominia qui suit l'ADA. C'est tout.
[02:08:46] Speaker A: Bon c'est déjà pas mal quand même. Ça fait déjà bien. C'est déjà très très bien. Ils sont très jolis. Pour le coup c'est vrai que ceux qui sont... Merci, merci. Tous les deux vous êtes magnifiques.
[02:08:56] Speaker D: On fait bien le téléachat quand même.
[02:08:58] Speaker A: Mais moi j'ai toujours rêvé de faire la meuf qui passe au catch comme ça. Et apparemment j'ai trop de poils aux jambes. Ça peut se régler... Oui c'est assez facile à...
[02:09:06] Speaker B: Tu fais un épilateur laser Pierre ?
[02:09:09] Speaker A: Je crois que je l'ai pété.
[02:09:12] Speaker B: Apparemment c'est pas bien pour le cul.
[02:09:17] Speaker A: Il a brûlé mon puits et il s'est brûlé tout seul.
Bon bref, passons les détails. J'imagine bien tous les gens en train de se foutre de ma gueule en entendant ça.
[02:09:30] Speaker B: Les gens ne croyaient pas que c'était vrai jusqu'à ce que tu dises ça.
[02:09:33] Speaker A: N'hésitez pas du tout à nous donner des commentaires sur nos réseaux sociaux pour nous parler de mon public.
[02:09:38] Speaker B: Et si vous avez des recommandations d'épilateurs.
[02:09:40] Speaker A: Laser ou d'instituts à Paris qui font ça correctement et qui ne mentent pas. Ça me coûtera tout aussi cher au final. Qu'est-ce que je voulais dire ? Je ne sais plus.
[02:09:52] Speaker B: Donc ça c'est pour les stickers, c'est les tiers 3 et 4. Donc bang bang et gang bang.
Et vous les avez depuis 6 mois. Et dans 6 mois, quand vous serez abonnés depuis 6 mois, vous recevrez un autre pack. C'est-à-dire qu'on va en faire des nouveaux. Ça, ça va être un peu compliqué, je ne sais pas comment on va faire. Mais on s'engage à trouver des nouveaux stickers, un petit pack de stickers tous les 6 mois.
[02:10:19] Speaker D: Avec nos têtes, ce serait mort.
Non, je ne sais pas si c'est un cadeau.
[02:10:24] Speaker A: J'ai mis quelques doutes, mais attendez. Alors, dans le...
[02:10:28] Speaker F: Tu colles ça sur ta porte d'entrée pour éloigner les cambrioleurs ?
[02:10:32] Speaker B: Dans le fermeture ?
[02:10:33] Speaker D: Ou les témoins de Jehova ?
[02:10:35] Speaker B: Ils te laissent pas parler, moi j'y.
[02:10:36] Speaker A: Trouve vraiment, mais attends, parce que nous on ne couvre jamais la parole ! Sorry not sorry !
[02:10:43] Speaker D: On serait une petite discussion à côté...
[02:10:45] Speaker B: Bah fermez vos gueules ! Et donc dans le dernier tiers, vous avez l'émission dès le lendemain, c'est-à-dire en même temps que sort le Flashback News sur YouTube, vous avez un lien secret qui vous permet de voir toute l'émission avec les clips.
[02:11:05] Speaker A: Comme si c'était en direct, pas de différence.
[02:11:07] Speaker B: Dès le lendemain, vous avez ce que vous avez pu voir en direct, ou pas voir en direct du coup, parce que si vous le regardez, c'est que vous ne l'avez pas vu. Et le podcast aussi. Le podcast est disponible dès le lundi aussi. C'est-à-dire que vous n'êtes pas obligé d'attendre vendredi pour l'écouter. C'est pas mal. Et on a aussi, au bout d'un an...
[02:11:28] Speaker A: Là, au bout d'un an, il y a un sacré cadeau. Parce qu'on a cherché. On a posé la question, qu'est-ce qu'on pourrait faire ?
[02:11:34] Speaker B: En vrai, ça va sûrement arriver au mois de décembre ce cadeau.
[02:11:38] Speaker A: Ça serait logique que ça arrive au mois de décembre.
[02:11:41] Speaker B: Ou tout début janvier.
[02:11:45] Speaker A: On dit ce que c'est ou pas ?
[02:11:47] Speaker B: C'est écrit.
[02:11:48] Speaker A: Ce qu'on offre aussi, c'est écrit. C'est un calendrier de nous.
[02:11:51] Speaker B: Un calendrier d'équipe. Autant au niveau de ça, vous n'êtes pas forcément content de voir des photos, mais là, Voilà, regardez tous ces beaux gosses là.
Beaux gosses, belles gosses. Et il y a Gladys aussi.
[02:12:04] Speaker A: Attention, il y a Gladys aussi.
[02:12:06] Speaker D: On n'est même pas au courant.
[02:12:08] Speaker A: Regardez, il y a Gladys.
[02:12:09] Speaker C: Je suis heureuse de pouvoir être sur le calendrier.
[02:12:14] Speaker A: Je suis au concert, je suis contente. C'est très énervant Gladys, arrête. En plus, t'as plein de bonbons dans le cul. On a dit, ne rentrez pas les bonbons.
Je l'aime Gladys, elle me dit des trucs comme ça aussi !
[02:12:27] Speaker B: Oui bah d'accord, mais peut-être pas en live !
[02:12:29] Speaker A: Et puis elle est pas là, elle peut pas se défendre, c'est vrai, c'est méchant. Gladys aura le droit de me frapper.
Et elle le fera.
[02:12:35] Speaker B: Grand plaisir !
[02:12:36] Speaker A: Je te dois quelque chose d'ailleurs. Bon allez !
[02:12:39] Speaker B: Donc voilà, il y a dans les surprises, il y a un calendrier.
[02:12:42] Speaker A: Mais il n'y a pas que le calendrier !
[02:12:43] Speaker B: Ah non, bien sûr, il y a.
[02:12:44] Speaker A: Aussi... Parce que ça par contre, c'est moi qui dois m'en occuper, alors ne m'en voulez pas. Je suis en train de faire... Donc il n'y a qu'une personne pour l'instant, donc c'est vrai, c'est pas très compliqué. Mais à chaque fois que c'est votre anniversaire, vous allez recevoir une vidéo de nous.
qui vous souhaite un joyeux anniversaire, qui sera original.
[02:13:00] Speaker B: Et vous pouvez demander des choses, si c'est des choses qu'on peut faire.
[02:13:05] Speaker D: Dans la limite quand même.
[02:13:06] Speaker B: Non mais dans la limite bien sûr.
[02:13:07] Speaker A: Dans la limite de ce qui est faisable.
[02:13:08] Speaker D: Parce que là on vient d'apprendre qu'on allait poser en décembre sur un calendrier.
[02:13:11] Speaker A: Enfin je sais pas toi mais... Non mais y'a rien de cochon, ça sera des trucs rigolos mais on est quand même pas comme ça.
[02:13:17] Speaker B: T'es pas obligé de montrer un bout de fesse ? Non.
On ne demande pas ça. Chris oui, parce qu'on nous le demande tout le temps.
[02:13:24] Speaker A: Les gens se battent, les gens bavent quand ils voient Chris. Ah oui, Chris qu'est-ce qu'il est beau. Je l'ai vu dans la soirée, elle était formidable cette soirée.
[02:13:36] Speaker F: Et bien votre gars là, enjoy the boys là.
[02:13:40] Speaker A: Tu.
[02:13:46] Speaker B: Vas être entouré d'hommes avec des petites tenues en cuir et des moustaches et il y aura une parodie d'Enjoy the Boys. On va aller tourner ça en Raid. Je vais signer mon arrêt de mort.
[02:13:57] Speaker A: Le Raid il serait que oui parce qu'ils me connaissent bien.
[02:13:59] Speaker B: Ils ont bien 2-3 danseurs qui accepteraient de participer.
[02:14:02] Speaker A: Après il faudra qu'ils soient habillés parce que dans le Raid ils sont pas habillés les danseurs.
Ah oui, mais d'accord, on voit que le haut des jambes. C'est bien, parce que si on voit le bas, les gens ne verront vraiment que le bas. Parce qu'ils ont une particularité qui fait que les gens ne voient que le bas.
[02:14:18] Speaker B: C'est ça le problème, ça vient perturber.
[02:14:19] Speaker A: Un petit peu la lecture.
[02:14:22] Speaker B: Mais du coup, enjoy the boys. En plus, c'est bien, t'es un graphiste de ton propre logo, tu vas devoir refaire détourner toi-même ton logo.
[02:14:29] Speaker F: Allez, je suis foutu, c'est bon.
[02:14:31] Speaker A: Enjoy the boys.
[02:14:33] Speaker B: Et je propose même de faire un petit clip boys boys boys avec Chris qui chante dans la piscine un remix métal de boys boys boys avec Chris.
[02:14:42] Speaker A: Au milieu de tout ça. Comment s'appelle cet endroit ? Osona.
[02:14:48] Speaker F: Ecoutez, pour une contrepartie à 66,6 on va le faire.
[02:14:55] Speaker A: Je dis ça se négocie. Tu n'auras jamais dû, je te préviens.
[02:14:59] Speaker B: Après ça sera plus enfermé.
[02:15:04] Speaker A: Alors on n'en est pas encore là, je ne sais pas si on a l'autorisation, mais on passera cette idée-là.
[02:15:09] Speaker B: En tout cas, c'est noté.
[02:15:11] Speaker A: Le calendrier, le joyeux anniversaire, franchement je pense que c'est impossible de le regretter. Parce que bon, c'est du travail, mais on est contents.
[02:15:19] Speaker B: Sachez qu'on va tout faire pour que vous soyez contents de votre contrepartie. Vraiment.
[02:15:25] Speaker F: Voyons, on se donne déjà à fond.
[02:15:26] Speaker B: Soit ce sera vraiment pathétique et ça vous fera rire, soit ce sera drôle et ça vous fera rire.
[02:15:31] Speaker A: Je pense que les gens seront contents. J'arrive même à imaginer, c'est hyper prétentieux de ma part peut-être, mais je pense que c'est impossible d'être déçu de ce qu'ils vont recevoir parce qu'ils pourront l'utiliser contre nous. Donc si vous nous détestez, prenez l'abonnement à 36,66 euros par mois. N'hésitez surtout pas. Et sinon, dans les... un peu plus petits, évidemment, parce que tout le monde a le droit de participer, d'avoir un retour d'investissement, il y a le choix donc du morceau de fin et il y a le choix du morceau des bangers.
Alors, comme c'est le début, évidemment, il n'y a pas eu une proposition massive, mais je remercie Romain et Boulinosaur pour leur proposition. Après, il y a un vote qui a été effectué et c'est le choix de Boulinosaur qui a été gardé pour le groupe He Is Legend, avec le titre White Bat. On l'avait déjà diffusé, il me semble. Excellent titre.
Je lui ai quand même demandé, alors...
[02:16:24] Speaker B: Attends, attends, on n'a pas parlé de ça !
[02:16:28] Speaker A: Ah mais si c'est vrai, super !
[02:16:30] Speaker B: On va avancer un truc. Pour les premiers abonnés du Patreon, parce qu'on voit bien qu'il y a des gens qui sont un peu frileux. Pour les premiers abonnés du Patreon, on va vous proposer quelque chose d'exceptionnel. C'est-à-dire qu'il y aura un tirage au sort parmi les premiers, alors on va dire, tous ceux qui seront abonnés au mois de février pourront participer au tirage au sort.
[02:16:50] Speaker D: En vrai, je pourrais en faire gagner trois.
[02:16:52] Speaker A: On les envoie vraiment ?
[02:16:55] Speaker B: Franchement... Bon, ça on verra, on verra les modalités. Mais vous pouvez gagner, au tirage au sort, une photo des pieds d'Amélie. Mais attention !
[02:17:08] Speaker D: Mes pieds sont tout nus.
[02:17:09] Speaker B: Vous allez les voir comme jamais vous avez... Un petit aperçu. Alors regardez, c'est des grandes photos.
[02:17:20] Speaker D: Pour ceux qui préfèrent les profils, nous.
[02:17:23] Speaker A: Avons aussi...
Celle-là va beaucoup plaire, je la connais.
[02:17:27] Speaker B: Je les connais les petits coquins. C'est vraiment de la belle œuvre. Et la dernière.
[02:17:36] Speaker A: C'est pas des pieds, c'est des palmes.
[02:17:38] Speaker B: Il y a quelqu'un qui vient de palmer.
[02:17:40] Speaker A: Et j'ai aussi mon crâne, si ça intéresse des gens.
[02:17:41] Speaker F: On commence déjà par les pieds.
[02:17:42] Speaker D: J'ai mon coccyx aussi.
[02:18:00] Speaker B: Ceux qui sont abonnés au mois de février, vous participerez au tirage de sort et vous pourrez choisir si vous voulez.
[02:18:06] Speaker A: Le profil, la face ou la fesse. On va partir avec un exemplaire.
[02:18:11] Speaker B: Je ne sais pas comment ça s'appelle l'autre...
[02:18:13] Speaker A: Le dessus, le côté... Ça c'est blanc, voilà.
[02:18:17] Speaker B: Soit le 3 quarts, vous aurez le 3 quarts, face ou profil, vous aurez le choix, voilà. Je peux montrer Marcel ? Voilà, vous aurez le choix, tirage unique.
[02:18:27] Speaker A: Alors attention, c'est pour quels abonnements ça ? Non, ça c'est tout le monde.
[02:18:31] Speaker B: Tout le monde, vous participez au... Quel.
[02:18:34] Speaker A: Que soit le tiers, ciseaux, etc.
[02:18:36] Speaker B: Il y aura un tirage au ressort parmi tous les patriots.
[02:18:39] Speaker A: Ce sera signé, évidemment.
[02:18:41] Speaker B: Et ce sera signé, bien sûr.
[02:18:42] Speaker D: Il y a quand même mon nom et tout au-dessus.
[02:18:44] Speaker A: Oui, bah peut-être qu'on coupera les informations...
[02:18:46] Speaker D: Je signerai dessus.
[02:18:47] Speaker B: Voilà, on mettra un petit...
[02:18:49] Speaker D: Voilà.
[02:18:49] Speaker A: Voilà. Comme quoi, vous pouvez pas dire qu'on.
[02:18:52] Speaker B: Donne pas de... qu'il donne pas d'ailes. La Mélisse, c'est la deuxième fois qu'elle vient et elle est déjà en train de... non, troisième.
Troisième fois que tu viens. Troisième fois qu'elle vient et elle est déjà en train de vous montrer son intimité.
[02:19:03] Speaker F: C'est ça, c'est un investissement personnel.
[02:19:04] Speaker A: Elle vous montre déjà son intimité au bout de trois heures.
[02:19:06] Speaker D: Qu'est-ce qu'il faut pas faire, franchement.
[02:19:10] Speaker B: Excusez-moi, c'est assez intime quand même.
[02:19:12] Speaker A: Les radios de pieds, c'est vrai. Encore une fois, c'est pas des photos de pieds parce que je crois que j'aurais dégueulé.
Je supporte pas, c'est un débat, je.
[02:19:19] Speaker B: Sais ce qu'ont mes genoux. Mais personne n'a demandé ton avis.
[02:19:23] Speaker A: Bah les genoux, justement.
[02:19:25] Speaker B: Il y a quelqu'un qui demandait une photo de Ménisque, c'est Bully Nozor je crois.
[02:19:33] Speaker A: Il y a un autre truc que.
[02:19:34] Speaker D: Je pense à quelque chose, je ne sais pas si on en a pas parlé mais par exemple des trucs que j'ai fait pour des clips qui ne servent plus que j'ai chez moi, je peux aussi.
[02:19:45] Speaker B: C'est des trucs qu'on verra, on verra, on verra ça, on va réfléchir.
[02:19:49] Speaker D: Moi ça me débarrasse en même temps.
[02:19:51] Speaker B: Je pense que ce ne sera pas pour des tiers, ce sera plus des trucs... On verra, on verra, mais c'est une bonne idée. Dites-nous si ça vous intéresse aussi en commentaire, dans cette vidéo.
[02:20:01] Speaker A: Sachez que toutes les personnes qui sont abonnées peuvent parler dans un canal de discussion.
Bon bref...
[02:20:11] Speaker B: Un salon hiercier ?
[02:20:13] Speaker A: Un boudoir ! Bref, dans un lieu de chat qui est ouvert à tous les abonnés, voilà, comme ça vous pouvez faire vos propositions, on peut en déconner, moi j'essaie d'y être un maximum de temps, donc je réponds même Romain qui a pris le plus gros abonnement, on se parle tout le temps.
[02:20:28] Speaker B: Et je sais parce que je reçois les notifications à chaque fois qu'il y a un message. Ça m'envoie un email, donc je suis au courant de tout.
[02:20:33] Speaker A: Ah, t'es content alors ? Oh oui, très content, bon ça va, il n'y a pas eu... Depuis ma sortie nocturne, il n'y a pas eu de retour.
Et donc on revient au choix des bangers, donc ce titre de He's Legend...
[02:20:44] Speaker B: Attends, il y a quelqu'un qui dit qu'on veut gagner du Merch Restless. Je crois que dans le dernier tiers, vous avez des réductions.
[02:20:51] Speaker A: Il y a un pourcentage de réduction, oui.
[02:20:53] Speaker B: Il y a 10% de réduction. 10% de réduction sur le Merch Restless.
[02:20:56] Speaker A: Peut-être du nouveau merch qui arrive ? Oui, après on n'est pas à l'abri non plus que des fois on vous offre des trucs, du merch, ça peut arriver en fait, il y a des surprises. Faut pas imaginer que ça se limite uniquement à ça, on discute, on échange et puis selon vos envies et puis ce qu'on peut faire, on vous fera plaisir. Je peux vous assurer que vous serez récompensés quoi qu'il arrive.
[02:21:15] Speaker B: On sera pas radins sur les contreparties.
[02:21:18] Speaker A: Et donc je reviens à ce choix des bangers, parce que les bangers c'est eux qui font le rock, parce que c'est vous qui faites en sorte que cette musique fonctionne et puisse exister en France, donc merci mille fois qu'on puisse aussi faire cette émission. Et donc Boulinosaur, je lui ai quand même demandé, comme j'ai très mal travaillé, je viens juste d'écouter le message avant de préparer ce speak, qui n'est pas préparé, et je me demande est-ce que je passerai pas son vocal comme ça, mais après il y a un petit message perso au début.
[02:21:47] Speaker B: C'est ça qui est intéressant. Et vu qu'il est dans le shmuel, on peut lui demander en diresque. En diresque ?
[02:21:53] Speaker A: J'ai pas entendu la fin du message.
[02:21:54] Speaker B: Boulinozard, est-ce qu'on peut passer ton message vocal à l'antenne ?
[02:21:58] Speaker A: Alors on va attendre 5 heures. Vas-y, vas-y. Attendez, faut que je revienne au début parce que...
Alors, est-ce qu'on entend quand je fais ça ?
[02:22:11] Speaker B: Bonjour Pierre, bonjour c'est Boulinosaur. Comment allez-vous ?
[02:22:16] Speaker A: Bien sûr, vous ne pouvez pas répondre.
[02:22:17] Speaker B: C'Est un message vocal.
[02:22:19] Speaker E: Suive Bêta.
[02:22:22] Speaker B: Écoutez, pourquoi ce titre, White Dat, de Easy Legend ? Parce qu'en fait, c'est un titre que j'avais l'autre jour dans ma Playlist quand je prenais le métro. Il y avait beaucoup de monde, ça m'énervait, donc j'étais très content d'avoir un morceau qui mettait un petit peu de.
[02:22:35] Speaker A: Rythme dans ma journée.
[02:22:36] Speaker B: Et également, c'est un titre qu'on avait chroniqué avec l'ami Jardin.
[02:22:40] Speaker A: Ah non ! Avec la mine d'Arman, parce que quand ça s'éteint...
[02:22:55] Speaker B: Les Legends est un groupe qui a un petit peu disparu ces derniers temps, je trouve ça un peu dommage parce que j'arrivais à trouver un mix de Lolly Melody, pas du tout, et en même temps de trucs très nerveux, ce que j'aime énormément.
[02:23:09] Speaker A: Voilà, je vous embrasse et je vous.
[02:23:11] Speaker B: Souhaite une très bonne soirée bien sûr.
[02:23:13] Speaker A: Et un joyeux Noël Pierre !
[02:23:16] Speaker B: La vie des surprises de cette conversation !
[02:23:19] Speaker A: Alors déjà, pour ceux qui ne le.
[02:23:22] Speaker B: Savaient pas, Boulinosaur est un être incroyable et extrêmement drôle, tout à l'heure, ça on peut le dire. On en profite pour faire un bisou à Germain, avec qui il faisait un podcast qui s'appelle Le Bruit, disponible sur notre page internet, site web.
[02:23:44] Speaker A: Les internets, connectez-vous, clique-clique. H-T-T-P.
[02:23:50] Speaker B: Voilà du coup on en profite pour faire un bisou à tout le monde et merci Boulinosaur d'être un être aussi merveilleux.
[02:23:55] Speaker A: Boulinosaur qui nous aide beaucoup depuis le début, qui fait des visuels extraordinaires pour beaucoup de choses.
[02:24:03] Speaker B: Tous ces petits émotes que vous voyez c'est lui qui les a faits. Voilà beaucoup de choses grâce à lui.
[02:24:08] Speaker A: Et puis il laisse des messages extraordinaires.
[02:24:10] Speaker B: Et il nous soutient aussi régulièrement.
[02:24:12] Speaker A: Depuis le début. Et il fait partie des abonnés Patreon. Avec Maud qu'on embrasse fort aussi. Merci Maud. Et donc voilà, vous savez pourquoi j'ai choisi cette chanson. Je pense que maintenant...
[02:24:24] Speaker B: On peut l'écouter.
[02:24:24] Speaker A: Voilà, parce que ça fait 21 minutes 39 que nous sommes... Non, 42.
[02:24:27] Speaker B: Ah, non, 44. Non, 46.
[02:24:28] Speaker A: Et c'est parti, it's legend.
[02:25:46] Speaker C: C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé !
J'ai toujours eu peur de ce que j'allais voir.
[02:27:01] Speaker B: J'ai.
[02:27:04] Speaker C: Toujours eu peur de ce que j'allais.
[02:27:22] Speaker A: Voir.
[02:28:10] Speaker C: Musique douce C'est parti.
Oh, putain !
Oh, putain !
[02:31:07] Speaker A: C'est génial!
[02:32:12] Speaker C: C'EST LA CHAMPAGNE !
[02:32:51] Speaker A: Et en voilà une !
[02:32:52] Speaker B: Catherine Delara n'a qu'à bien se tenir !
[02:32:55] Speaker A: Surtout à ce slip éminence ! éminence pardon !
[02:32:57] Speaker F: C'est du Discord violonneux !
[02:32:59] Speaker A: Deux blagues !
[02:32:59] Speaker D: Il y en avait une troisième qui.
[02:33:02] Speaker A: Se fout pas ! Ah une troisième c'était laquelle ?
[02:33:04] Speaker D: Je sais pas !
[02:33:04] Speaker F: Oh je vous le disais c'est du Discord violonneux ! Le violonneux !
[02:33:08] Speaker A: Le violonneux ! Le violonneux Ronald ! Il y a un gros nœud ce violonneux ! Tu veux lui manger le mulet ? Ça mange le mulet ! Bon ça va ? Ça suffit maintenant ? Ce ne seraient pas eux les rocus de diamants ? Un petit peu, c'est des feux de diamants.
[02:33:28] Speaker F: En tout cas, quand ils jouent, c'est une nuit magique.
[02:33:32] Speaker A: C'est un festival.
[02:33:32] Speaker B: Les fans de Catherine Lara, là, vous vous régalez. Et dans le dernier tiers du patron, plus de blagues sur Catherine Lara.
[02:33:40] Speaker A: Et je propose d'ailleurs aussi aux personnes dans le dernier tiers qui m'accompagnent manger des salades de méduses.
Et ça c'est quand même pas banal.
Je défie n'importe quelle personne de trouver quelqu'un qui vous invite à manger une salade de méduses avec lui dans son dernier tiers Patreon.
[02:33:59] Speaker B: Et attention, il vous invite.
[02:34:02] Speaker A: Oui, je paye la salade de méduses.
[02:34:04] Speaker B: Par contre, vous devez la finir.
[02:34:05] Speaker A: Elle a 6 balles, ça va, puis c'est à manger.
[02:34:10] Speaker B: Donc toi t'en prends pas, tu lui dis tiens le mec il fait non et après il fait bon ok je vais la manger.
[02:34:20] Speaker A: Bref imminence c'est le nouveau nom de regarder avec Death Shall Have No Dominion.
C'est bien trop long, mais en tout cas... Comme le morceau ! Après c'est pas notre style, nous deux.
[02:34:35] Speaker B: Donc... Non, non, franchement, le titre je le trouve pas mal, j'ai entendu des titres d'éminence que je trouvais moins bien, tu vois, je le trouve pas mal, après je trouve que c'est dommage le violon, c'est un peu un... c'est un gimmick marketing plus qu'une vraie valeur ajoutée, je trouve.
[02:34:51] Speaker F: Moi franchement je connais très peu Eminence, j'étais même surpris de voir du violon.
[02:34:56] Speaker A: Mais tu l'as entendu ?
[02:34:57] Speaker F: Oui je l'ai entendu, il y a.
[02:34:59] Speaker A: Eu... T'as entendu quoi ?
[02:35:02] Speaker F: Il y a eu un petit ostie d'un temps violon.
[02:35:04] Speaker B: On joue pas du violon comme ça.
[02:35:10] Speaker A: C'est un chat qui fait du violon derrière une vitre en regardant un oiseau.
[02:35:15] Speaker B: Je croyais que tu parlais une autre langue.
[02:35:20] Speaker A: Oui mais le violon c'est quand même toujours dégueulasse.
[02:35:26] Speaker B: Attends, il y a une question qui est importante, il y a des gens qui demandent si elle pique ou pas la salade.
[02:35:30] Speaker A: Vous pouvez la demander piquante ou pas piquante ?
[02:35:32] Speaker D: Mais les méduses c'est piquant.
[02:35:33] Speaker A: En tout cas, elle est morte la méduse.
[02:35:34] Speaker B: C'est un peu durtiquaire à cause de la méduse.
[02:35:37] Speaker A: Non, ben non. C'est un petit peu gélatineux et en même temps cartilagineux, ça se dit ? C'est comme du cartilage.
[02:35:45] Speaker B: C'est gluant et ça croque.
[02:35:46] Speaker F: C'est le chef qui a craché dedans quoi, c'est tout.
[02:35:48] Speaker B: Mais non ! Bravo les préjugés sur la cuisine asiatique.
Alors là, bravo, bravo.
[02:35:55] Speaker A: De toute façon, la bonne cuisine, on crache dans les casseroles.
Je sais plus c'est quoi la réplique, mais c'est quelque chose comme ça. Bon allez, le violon dans les groupes, bon, sincèrement, c'est qui ? C'est Rise Against qui met de... Non ?
[02:36:08] Speaker D: Yellowcard.
[02:36:09] Speaker A: Excuse-moi, de toute façon c'est la même musique.
[02:36:14] Speaker F: En metal prog, t'as vu aussi Neoblivis Caris qui faisait ça très souvent.
[02:36:17] Speaker A: Ouais mais je pense que c'est prog, donc le violon peut avoir une...
[02:36:21] Speaker F: C'est bien exploité.
[02:36:22] Speaker A: Voilà. Yellowcard, j'aime bien Yellowcard. Mais les morceaux que j'aime bien, ils n'ont pas de violon.
[02:36:28] Speaker D: Sur les premiers albums, je sais pas si c'est le premier ou le deuxième.
[02:36:32] Speaker A: Tu veux que ça ressemble à Riverdane, c'est ça ?
[02:36:37] Speaker B: Ils vont rejoindre Parkway Drive.
[02:36:42] Speaker A: Avec les petits coffres d'art et le bateau pirate.
Il manquait plus qu'un peu de violon.
[02:36:48] Speaker B: Non, mon chaudron plein d'or !
[02:36:50] Speaker A: Va trouver mon trésor ! Ne dévoilez pas non plus la suite de Parkedrive, ils vont ajouter du violon, ça c'était l'information.
Nous on sait, on est au courant. On a les albums avant tout le monde.
Et celui-là sortira dans 4 ans, donc on est vraiment très nerveux.
[02:37:11] Speaker D: Oui, j'ai pas de suite.
[02:37:13] Speaker A: Non mais Yellowcard, toi t'aimes bien du coup ?
[02:37:15] Speaker D: C'est ce que j'écoutais il y a longtemps. Mais en fait, je trouvais ça étonnant tu vois.
[02:37:22] Speaker A: Alors attention parce que quand on dit je trouve ça étonnant, souvent dans le métier ça veut dire c'est un peu de la merde mais je veux dire que c'est original, c'est différent.
[02:37:30] Speaker D: Non franchement j'aimais bien, oui c'était bien fait, j'aimais bien, enfin je croyais que ça changeait justement. Mais moi je trouve qu'il était quand même assez présent. Là j'avoue que j'ai mis je sais pas combien de temps faisait le morceau.
[02:37:42] Speaker F: 5 minutes environ.
[02:37:43] Speaker D: Donc j'ai mis 4 minutes 30 avant de comprendre qu'il y avait un violon, j'ai fait la connexion.
[02:37:46] Speaker B: En fait tu sais qu'il y a du violon parce que tu le vois.
Si tu regardes pas le clip, tu écoutes le morceau, je suis pas sûr que tu croyais qu'il y a du violon.
Bon ça je trouve que c'est un peu marketing, c'est pas... Ça ne respecte pas l'instrument. Après c'est un style de musique qui est un peu compliqué aussi à... Bon.
[02:38:02] Speaker D: Bah ils ont essayé, quelque chose.
[02:38:04] Speaker B: Ouais non mais ça fait un moment qu'ils essayent.
[02:38:06] Speaker A: Oui et puis ça marche très très bien donc ça a pris... Non mais.
[02:38:08] Speaker B: C'Est un peu, ça a marché... Je trouve qu'avant, ça marche plus depuis qu'on entend moins le violon.
[02:38:14] Speaker A: C'est une façon à eux d'essayer de le diriger vers la sortie. Toutes ces années, tu sais, tu peux encore jouer avec les vieux morceaux.
[02:38:23] Speaker B: C'est le chanteur qui joue du violon ?
[02:38:25] Speaker A: Oui.
[02:38:25] Speaker B: Donc il est là ?
[02:38:26] Speaker A: Oui, il peut juste s'arrêter quoi.
[02:38:28] Speaker B: Non, parce qu'il chante dedans un peu. Pourquoi ça me fait pitié à faire quand même ?
[02:38:35] Speaker A: T'es pas mal, c'est ça ? Bah ouais, il s'est passé plein de choses.
[02:38:40] Speaker B: Il y a un petit côté Thomas BDB dans cette interprétation.
[02:38:45] Speaker A: T'as envoyé des messages à Thomas pour qu'il vienne dans l'émission parce qu'il répond pas. Floudez-le. C'est interdit par la loi.
[02:38:57] Speaker B: Non, on fait pas ça.
[02:38:58] Speaker A: Envoyez-lui juste un message.
[02:39:01] Speaker B: Personne n'envoie de message, il va nous répondre. Moi je vais lui renvoyer un message. Je pense qu'il a un peu oublié d'où il vient.
que j'étais là quand il fallait faire les premières photos de son premier spectacle.
que j'étais là quand il fallait faire l'accapation de son premier spectacle au Sentier des Halles.
[02:39:21] Speaker A: Au Sentier des Halles ! Fille de ton âge ! Des bisous à Vegas-Tard. Donc on parle des façons de nous aider.
Donc le patron, je pense que ça y est, les gens ont compris, on a bien expliqué. Il y a le merch, donc on a dit casquette, bonnet, ça se retrouve sur notre site international.com et on remercie Métisto ? Je m'arrête à ça parce que j'ai pas réussi à écrire tout ton surnom.
[02:39:45] Speaker B: Métistoreload.
[02:39:46] Speaker A: Métistoreload ?
[02:39:47] Speaker B: Métistosreload. Bon bref, merci.
[02:39:50] Speaker A: Merci d'avoir acheté un tote bag pendant l'émission, voilà, c'est extraordinaire. Merci, merci, merci, merci, merci. Il partira...
[02:39:57] Speaker B: Quand Pierre aura le droit.
[02:39:58] Speaker A: Parce que demain ça va être compliqué, mais mardi je pense qu'il partira. Et donc il y a aussi des porte-clés.
[02:40:05] Speaker B: Oui, il y a des portes-clés, il.
[02:40:11] Speaker A: Y a deux modèles de mugs. Il y a les mugs avec l'écriture comme ça que je trouve trop beau.
[02:40:15] Speaker B: C'est mon préféré, celui-là.
[02:40:17] Speaker A: Il y a les mugs comme ça.
[02:40:21] Speaker B: Non, ceux-là, c'est ceux qui sont... Ah, c'est ceux-là, les noirs.
[02:40:25] Speaker A: Et pour ceux qui veulent des exclusivités, il y en a quatre pour la modique somme de 800 euros.
qui sont sur mon bureau, c'est vraiment des exclusivités.
[02:40:37] Speaker F: Germes compris.
[02:40:38] Speaker A: Non, j'ai pas but de dire... Tu me diras, il faudrait que je les lave avant de les envoyer quand même, parce que ça traîne sur mon bureau.
[02:40:43] Speaker B: Les stickers aussi, vous allez pouvoir les acheter, les petits packs de stickers. Ils seront aussi disponibles à la vente séparément et je peux vous dire que c'est plus intéressant de prendre le patron. Moi je dis 16G1.
Et voilà, comme ça vous êtes au courant. Qu'est-ce qu'il y a d'autre ? Bah voilà, il y a plein de choses. Bientôt il y a des bonnets, des casquettes et des tote bags et bientôt peut-être un nouveau truc que j'ai fait en secret. Même Pierre n'est pas au courant. Personne n'est au courant. Il y a un nouveau truc, personne n'est au courant. Petite surprise.
[02:41:16] Speaker A: Ça sera bien et à mon avis amusant.
[02:41:19] Speaker B: C'est bien, c'est cool.
[02:41:22] Speaker A: Oui j'imagine que c'est bien.
[02:41:23] Speaker B: C'est sympa.
[02:41:24] Speaker A: D'accord.
[02:41:25] Speaker B: Vous verrez.
[02:41:25] Speaker A: On peut pas te tirer les verres du nez ?
[02:41:26] Speaker B: Non. Parce que je n'ai pas de verre dans mon nez.
[02:41:28] Speaker A: Ah. Tu veux qu'on te tire les verres du nez ? J'ai seulement des goûts de regarder... Non, je suis là, oui. Coucou.
Sinon bien sûr vous avez d'autres moyens de nous aider. Alors ceux qui n'ont pas forcément les 6 euros tous les mois pour nous aider pour le premier tiers du Patreon, vous pouvez le faire aussi avec 1 euro. 1 euro c'est déjà énormissime aussi parce que tout le monde n'a pas les moyens de donner de l'argent.
[02:41:52] Speaker B: Parce que si les 22 000 personnes sur Instagram donnaient 1 euro chaque mois.
[02:41:58] Speaker A: On peut ne pas licencier Marcel.
[02:42:02] Speaker B: On pourra même lui acheter autre chose que des soupes à 20 centimes pour qu'il mange le midi.
[02:42:08] Speaker A: On n'est pas obligé de tout dire quand même.
[02:42:11] Speaker B: On n'est pas obligé de dire qu'on mange pour 60 centimes à trois.
[02:42:17] Speaker A: 66 parce que c'est 22 centimes. Mais elles sont bien. Beaucoup d'eau chaude quand même.
[02:42:24] Speaker B: Pour que ça cale quoi. Après on mange des boulettes de papier de recyclage pour terminer de caler mais...
[02:42:33] Speaker A: Et les gens c'est nul. Ils sont marrants hein. Alors que c'est vrai, pas les boules de papier. Mais les soupes à vin sont tout ça.
[02:42:40] Speaker B: Des fois quand c'est la folie on en mange deux.
[02:42:43] Speaker A: Bah ça c'est quand je me permets d'en manger une ou deux le soir. Parce que bon avant de dormir ça va, ça me permet d'être un peu chaud.
[02:42:50] Speaker B: Tu disais quelque chose Amélie Légère, on t'a coupé.
[02:42:52] Speaker D: Bah non, je disais une connerie. Je disais pour le choix de vous.
[02:42:55] Speaker B: Aller chez le voisin, c'est bon. On n'a pas besoin d'aller chez lui.
[02:43:00] Speaker A: Il l'envoie directement chez nous.
[02:43:04] Speaker F: Si je mets ton bol dans le studio, t'attends.
[02:43:07] Speaker A: Mais oui, effectivement, si les 22 000 followers d'Instagram envoyaient un euro, C'est vrai que ce serait… Même 50 centimes ! Quoi qu'il arrive, on prend. Généralement, on prenait cher, mais maintenant on se contentera de ne pas prendre cher. Mais tout ça, ça se passe sur le site, vous allez dans Radio.
Alors je crois que c'est écouter radio et en fait vous avez le lien vers Payasso. Notez bien Payasso c'est le crédit mutuel, c'est notre banque.
[02:43:36] Speaker B: Sinon vous le trouvez en description de toutes les vidéos sur YouTube ou là dans le shmul avec don je crois.
[02:43:42] Speaker A: Ah oui, point d'exclamation, don, effectivement. Donc voilà, ça permet, si vous avez très peu d'argent, de quand même participer. Si vous avez envie de donner de l'argent, encore une fois, ce n'est pas une obligation. Mais voilà, ça pourra payer Marcel accessoirement. Le plus rapidement, on saura le mieux. Parce qu'à la fin du mois, on peut pas le payer pour l'instant. Marcel, t'étais pas au courant, continue à bosser.
[02:44:03] Speaker B: C'est une marque de soupe qui va.
[02:44:04] Speaker F: Sponsoriser l'émission, si on prend.
[02:44:06] Speaker A: J'espère que la soupe à 20 centimes a quand même des moyens.
Ah non, c'est pas ça le nom.
[02:44:13] Speaker B: C'était pas loin.
[02:44:19] Speaker A: C'est merveilleux.
[02:44:19] Speaker B: Bon, on va se regarder un petit clip peut-être ?
[02:44:21] Speaker A: Qu'est-ce que je voulais dire d'autre ? Bah c'est tout ? C'est tout, voilà. Bah oui, on va regarder un clip. Ah bah c'est un clip que t'as choisi, Enjoy ! Mais voilà ! Voilà ! Le jour, la nuit ! Mon ami ! Pardon, excusez-moi, j'étais ténor en Espagne.
[02:44:41] Speaker F: Je suis médusé.
[02:44:44] Speaker A: Je vais lui bouffer la méduse à celui-là.
Excusez-moi, je suis allé trop loin. C'était l'enfer. Attends, ça s'appelle comment ?
[02:44:52] Speaker F: Shade from the body.
[02:44:54] Speaker A: Et ben voilà, on y est.
[02:44:56] Speaker F: Shade from the Body, alors qu'est-ce que c'est ? C'est un one woman band, donc c'est une femme toute seule qui gère toute l'ADA de son projet, de la musique multi-instrumentiste, chanteuse, et jusqu'à la réalisation des clips, des pochettes, la peinture, etc. Donc on est vraiment face à un cas d'artiste au total.
Donc, il vient de sortir un album en début d'année, son quatrième depuis 2020, sachant que le projet existe depuis 2018. Autant dire que c'est quelqu'un de productif, en plus. Donc, une Finlandaise qui... Le projet Shade From The Body, on peut appeler ça du... On peut appeler ça du Doom Gaze, en gros. Donc, mélange Doom Metal, Shoe Gaze, avec pas mal de côtés gothiques, pas mal de côtés aussi rock alternatif, un peu folk, etc. C'est vraiment...
C'est quelque chose que je trouve vraiment très envoûtant, notamment grâce à sa voix, sa manière de produire sa musique, l'ambiance qui s'en dégage. C'est vraiment quelque chose de très particulier. Moi, j'ai découvert ça récemment. Elle vient, comme je le disais, de sortir son quatrième album. C'est super beau. Le morceau que j'ai choisi, c'est le dernier qui a été clippé, il s'appelle Sungeiser. Et si ça vous plaît, je vous invite vraiment à aller voir et écouter le reste parce que c'est une très belle découverte. En plus pour une artiste qui fait tout seul, elle n'a pas de label non plus. Donc vraiment c'est de l'artiste jusqu'au consommateur en gros.
[02:46:19] Speaker A: Moi j'ai des questions du coup. Déjà elle a que ça à foutre en Finlande, si elle a du tout mis de la forêt à part les cuillères des autres.
[02:46:26] Speaker F: C'est très ambiance forêt finlandaise justement.
[02:46:29] Speaker A: Coucou les lutins !
[02:46:31] Speaker F: Mais les lutins un peu dépressifs par contre.
[02:46:35] Speaker A: Et du coup c'est une femme instrument, c'est-à-dire qu'elle se balade avec une grosse caisse et tout...
Par rapport à Rémi Broca, j'allais dire Rémi Broca !
[02:46:43] Speaker B: Rémi Broca s'appelle Rémit Brocate !
[02:46:47] Speaker F: Avec des trémas et tout... Non, non, après je ne sais pas ce que ça... J'ai essayé de chercher des dates de tournée, j'en ai pas trouvé.
Je sais pas comment ça se débrouille en live en tout cas, elle fait un maximum de trucs toute seule en studio, elle fait des collaborations de temps en temps aussi, mais elle fait un max de choses toute seule, donc j'imagine que de la production, guitare, voix, batterie, elle se débrouille.
[02:47:16] Speaker A: C'est le seul projet qu'on connaît d'elle, c'est-à-dire qu'elle n'a pas été dans d'autres groupes avant.
[02:47:20] Speaker F: Alors, je ne saurais pas te le dire avec certitude, mais en tout cas, oui, c'est son projet principal, en tout cas depuis 2018.
[02:47:28] Speaker A: Ok, ok, je ne le connais pas.
[02:47:30] Speaker F: Ça s'appelle Shed From The Body, en un seul mot.
[02:47:33] Speaker A: Ce sera écrit sur l'écran, et puis pour les autres, ce sera dans les playlists, bien évidemment, de cette émission, disponible sur notre page YouTube, notre chaîne YouTube, point d'exclamation, bang, dans le ch'meule. On y va ? C'est parti ? Shed From The Body.
[02:50:01] Speaker C: Oh oh oh.
[02:50:49] Speaker A: C'est ça les dames Elle a un visage beau, une langue ambitieuse, un corps fumant, mais vous avez raison Si vous assumez qu'elle peut être la vôtre, non ce n'est pas l'amitié qu'elle a.
[02:52:40] Speaker C: Elle a les yeux sur le grand prix, elle est tellement inspirée et émancipée.
You make me feel so good about.
[02:53:07] Speaker A: Myself She cheers me on as she succeeds She tackles her missteps with ease.
[02:53:14] Speaker C: La dolce vita in her eyes Infectious smile, enjoys her life The days are hers No, you won't break Jesus, you'll break me as well.
[02:55:16] Speaker A: On adore, on est fan bien évidemment et on lui envoie des millions de bisous parce qu'elle est extraordinaire. C'est une artiste entière, vraie et ce morceau est excellent. En tout cas, je trouve ça très très très bon.
[02:55:29] Speaker B: Le clip est très cool aussi.
[02:55:31] Speaker A: Là, il y a un step encore qui est franchi et toutes nos félicitations à Sun, Sun Brutal Pop, si vous voulez chercher sur les réseaux sociaux. La chanson s'appelle, que je ne dis pas ce bêtise, Warrior Riot.
Et un album qui va sortir bientôt.
Warrior, Riot Girl... Ah oui, Riot Girl, j'ai oublié un mot alors, bon vas-y, toi autant pour moi.
[02:55:50] Speaker B: Et Sun, qu'on a reçu, on a invité dans cette émission, vous pouvez retrouver l'épisode, bien sûr, sur notre page YouTube.
[02:55:56] Speaker A: Et c'est un bon épisode.
[02:55:59] Speaker B: Ah ouais, ça balance.
[02:56:00] Speaker A: C'est-à-dire qu'elle lâche pas ses mots, quand elle a envie d'envoyer chier des gens, elle envoie chier des gens et ça c'est formidable. Encore une fois, on lui envoie des millions de bisous.
dans les choses, parce que bon, on a parlé de comment nous sauver, etc. Bon, ça vous avez compris, je pense que ça sert à rien qu'on en revienne deux millions de fois là-dessus. Il y a aussi ce qu'on aimerait bien faire. Alors tout à l'heure, on a parlé d'éventuellement refaire un truc comme le festival Bring the Noise qu'on avait fait à l'époque. Un festival qui était gratuit pour les gens. Il suffisait de jouer sur l'antenne pour gagner sa place, mais c'était gratuit. C'est-à-dire qu'on faisait venir, comme on le disait, neuf groupes.
Il y avait des têtes d'affiches qui étaient souvent internationales. On faisait une journée française et deux journées françaises et internationales. Et il y avait des têtes d'affiches qu'on a reçues. C'est nous qui avons fait revenir Papa Roach, il y a eu Billy Talent, il y a eu quand même des groupes.
[02:56:46] Speaker B: Hunter Chicary, Airborne, il y a eu en français Enhancer, Empire.
[02:56:53] Speaker A: Oui c'est vrai ça aussi.
[02:56:55] Speaker B: Il y a eu beaucoup de groupes.
[02:56:56] Speaker A: Bific l'héros.
[02:56:57] Speaker D: J'avais pas compris parce que tu as dit Enhancer, Empire et j'ai compris dans la même phrase.
[02:57:13] Speaker A: C'était vraiment pour que tout le monde soit rassemblés au même endroit et qu'on puisse passer un moment de bonheur, de musique et aussi de conneries, de franches rigolades. Même si à chaque fois on était bien bourrés, enfin en tout cas moi bien bourré et bien stressé sur scène, ça se voyait pas.
[02:57:30] Speaker B: Non, parce que t'as ta petite veste de costume.
[02:57:34] Speaker A: Ah oui, c'est vrai que je mettais ma veste de costume, je me souviens plus de ça. Bon, je montrais mon cul quand même tout le temps, on fait un coucou à quotidien. Mais voilà, c'est le genre de projet qu'on aimerait bien faire, comme le disait Ben aussi, c'est de permettre aux gens qui veulent faire du contenu, et il y a notre amie Amélie qui a envie de faire du contenu, ça peut.
[02:57:53] Speaker B: Permettre de... Ça fait mille ans que.
[02:57:54] Speaker D: Je suis sur la même vidéo, mais...
[02:57:59] Speaker B: L'idée c'est que si on a un peu plus de moyens, c'est aussi d'aider par exemple Amélie, je t'ai donné un petit coup de main vite fait sur des petits trucs et on parle ensemble de conseils qu'on peut se donner pour faire avancer ton projet parce que tu as un projet d'émission pour toi. Mais peut-être qu'à terme, c'est quelque chose que si on arrive à avoir un peu de moyens, c'est des choses qu'on pourrait mettre des gens pour travailler avec elle pour faire ses propres contenus.
qui serait produit, entre guillemets, par Restless.
Nous, on aimerait bien que... Restless, le but, ça n'a jamais été d'être nous. Le but de Restless, c'est de rassembler toutes les forces vives de cette... C'est comme ça qu'on s'est rencontrés.
qu'on a fait avec Unjoy. Et quand t'avais besoin de tourner une interview, on s'est arrangé pour te mettre dans le studio, les caméras, tout ça. Et le but, c'est d'aider aussi les autres à produire du contenu. C'est pas que pour nous. Et voir nos gueules, si on pouvait s'en passer nous.
Moi, j'aimerais me passer de voir ma gueule. Pierre, lui, il a besoin de nourrir son égo, donc c'est différent.
[02:59:08] Speaker A: C'est vrai que j'ai un égo, ça.
[02:59:10] Speaker B: Je peux pas dire le contraire. C'est très bien. Moi, c'est un problème que j'en ai pas. Mais voilà, ce que je veux dire.
[02:59:17] Speaker A: C'Est qu'il n'y a aucun mensonge dans toutes ces phrases.
[02:59:20] Speaker B: Quoi ?
[02:59:21] Speaker A: J'ai dit, il n'y a aucun mensonge dans toutes ces phrases.
[02:59:23] Speaker B: Non, mais moi, je suis sincère avec les gens. Le but, c'est de faire des trucs et de réunir nos forces plutôt que de les diviser. Donc si, quand on disait que si on arrivait à avoir plus de moyens, c'est pour produire plus de contenu, mais avec d'autres gens. C'est-à-dire les aider à pouvoir avoir des bonnes caméras quand ils veulent tourner en prêtant notre matériel, en mettant à disposition le studio, en mettant des compétences de montage ou de... Pierre, il peut aider aussi sur le contenu, comment amener les choses, comment présenter... Voilà, parce que c'est des choses qu'il faut aussi apprendre à faire, c'est pas forcément facile. Et le but, c'est qu'on puisse mettre notre expérience technique, ou rédactionnelle au service des projets des gens aussi quoi.
[03:00:10] Speaker A: Exactement, et puis faire des tas de choses en fait. Plus ce sera riche et diversifié, plus on sera heureux en plus, parce que c'est ça qui amène, parce que nous ça nous fait découvrir des choses, ça nous apprend des choses et si ça peut le faire auprès des gens c'est cool et puis si ça peut créer une espèce de communauté qui existe déjà, attention c'est pas nous qui allons l'inventer la communauté métal ni rock, Mais cette espèce de communauté qui s'entend et qui partage plein de trucs, ça c'est cool. C'est vraiment le truc qui est vraiment sympa de faire. Je vais utiliser le mot le plus drève du monde mais un 360. C'est-à-dire qu'il y a tout le monde qui participe à tout et nous on est partout en même temps. Ce qui fait que du coup c'est bien. C'était pas français mais les gens ont compris.
[03:00:50] Speaker F: Ce genre de démarche, c'est pas comme si ça s'était jamais vu dans la scène métal française, même entre musiciens. Le fait de mettre en commun des forces vives, des grosses sources, etc. On se doute de quoi on parle.
[03:01:02] Speaker A: Oui, tout à fait. Et puis même, après, Jean en parlait avec Enjoy dernièrement, de ne pas faire que du métal aussi. De partir dans le rock.
[03:01:12] Speaker B: Bang Bang est une émission métal, mais reste là, c'est une radio rock au sens large.
[03:01:17] Speaker A: Au sens très très large, oui.
[03:01:19] Speaker B: Clairement, on a des idées d'émissions qui sont prêtes depuis...
[03:01:25] Speaker A: Depuis longtemps !
[03:01:27] Speaker B: En même temps que Bang Bang, l'idée c'était d'avoir deux émissions. Il n'y en a qu'une qu'on a lancée parce que Bang Bang nous prend déjà beaucoup de temps et coûte déjà de l'argent.
l'argent qui fait qu'on ne peut pas investir ailleurs. Mais le jour où Bang Bang subvient à ses propres besoins, l'argent, l'idée, ce n'est pas de s'en mettre... L'argent que j'investis pour le moment dans la radio, si j'ai pu l'investir dans Bang Bang, l'idée, c'est de l'investir dans autre chose. Donc, clairement, de produire d'autres contenus, notamment peut-être cette autre émission qui serait plus large que Metal.
[03:02:04] Speaker A: Bien sûr, et ça peut aller dans tous les sens, c'est pas que musical aussi, ça peut être juste la culture aussi globale, artistique.
[03:02:11] Speaker B: Avec toujours cet état d'esprit un peu alternatif, parce qu'on vient de là, on vient des cultures un peu plus alternatives. Même si on aime des trucs mainstream, il y a toujours un côté où on aime quand c'est un peu différent.
[03:02:26] Speaker A: C'est ça, moi j'aime beaucoup.
Tu imaginerais quoi en dehors de ton émission, toi Amélie ? Parce que je sais que c'est une question piège. Ah oui, carrément. C'est vrai que ça fait pas si longtemps que ça qu'on se connaît. Du coup, c'est vrai qu'on n'a jamais trop échangé là-dessus.
[03:02:51] Speaker D: En fait, je trouve qu'il y a un moyen de faire plein de choses sous forme de jeu. Je pense que tu peux décliner pas mal de choses, que ce soit le métal ou même, tu parlais peut-être de culture un peu plus générale, mais... Pardon.
[03:03:06] Speaker A: Non, c'est juste entre nous.
[03:03:10] Speaker D: Mais pourquoi pas faire des jeux, je sais que vous faisiez aussi des fausses pubs, des trucs un peu humoristiques, il y a pas mal de trucs. Des petites sessions live, des choses comme ça.
C'est tellement large que tu peux décliner dans plein de choses et ça marchera.
[03:03:29] Speaker A: C'est vrai qu'il y a les sessions live aussi qu'on aimerait bien reprendre et ça, ça fait partie des choses qui nous sont interdites pour le moment parce qu'on n'est pas assez grands.
[03:03:37] Speaker B: On revient au truc des chiffres.
Que un groupe prenne le temps de faire une session, il faut que l'attaché de presse justifie au label que ça fait beaucoup de choses, qu'il ne perd pas son temps à venir faire ça.
[03:03:56] Speaker A: Oui bah déjà, abonnez-vous à Bang Bang, ce serait pas mal. Le reste on verra plus tard.
[03:04:02] Speaker B: Pour ceux qui ne le savent pas, il y a deux chaînes YouTube Restless. Il y a la chaîne Bang Bang et la chaîne Restless. Donc n'hésitez pas à suivre la chaîne Restless. Voilà, comme ça, pour tous ceux qui ne l'auraient pas suivi, il y a cette chaîne où il y a les premières sessions qu'on a faites.
Donc voilà, vous pouvez retrouver des sessions de qualité, c'est joli, c'est bien mixé, le son est bon, l'image est belle.
[03:04:22] Speaker A: Ah oui, et pour le coup, c'est quand même très très bien fait.
[03:04:25] Speaker B: Oui, ça va, c'est franchement pour des trucs... Et on remercie encore d'ailleurs toutes.
[03:04:28] Speaker A: Les personnes qui ont participé à ça, dont...
[03:04:30] Speaker B: On remercie Ilan.
[03:04:30] Speaker A: Ilan, voilà. Ilan, personne qu'on aime beaucoup, qui voyage en ce moment, mais qui, si on avait l'argent pour le pays pour qu'il fasse le mix, je pense qu'il y en reviendrait.
[03:04:40] Speaker B: Après on peut quand même lui envoyer les mix à faire là-bas.
[03:04:42] Speaker A: C'est pas faux, c'est vrai. T'as complètement raison, je dis de la merde.
[03:04:45] Speaker B: Après faut prendre les sons. Faut qu'on ait un ingé son quand même pour faire la prise.
[03:04:49] Speaker A: Ah oui pour qu'il soit correct quand même au début. Bah oui quand même.
[03:04:52] Speaker B: Si on met un iPhone au milieu de la pièce et on lui dit démerde-toi, il va plus faire la gueule.
[03:04:55] Speaker A: Ah mais voilà, moi je connais pas, il faut une console, il faut des trucs, il faut des câbles.
[03:04:59] Speaker B: Ouais des câbles.
[03:05:00] Speaker A: Alors moi j'essaie de dérouler du câble mais par contre les brancher, c'est là où ça devient un peu compliqué.
[03:05:05] Speaker B: Je comprends.
[03:05:08] Speaker A: Et puis parmi toutes ces choses-là évidemment, on tient à remercier toutes les personnes qui depuis le début sont là, les personnes qui ont participé évidemment aussi à Restless parce qu'il y a eu des tonnes et des tonnes d'émissions qui ont été créées, qui ont existé, qui sont parties. Je ne vais pas énumérer tous les noms parce que ça fait quand même beaucoup beaucoup de personnes qui ont participé.
[03:05:26] Speaker B: Et puis surtout on va en oublier parce qu'il y a eu tellement de gens qui sont passés qu'on donnait du temps pour faire des choses et malheureusement au bout d'un moment quand il n'y avait pas assez de retours Et c'est dur de garder la foi. Et là, il faut dire que BengBeng, ça fait deux ans et demi qu'on le fait.
[03:05:40] Speaker A: C'est ce qui a le mieux fonctionné. Et bon, on n'est pas encore non plus... Mais on est très contents quand même.
[03:05:45] Speaker B: On tient bon.
[03:05:46] Speaker A: On est très très contents. Et merci, merci, merci vraiment à toutes les personnes qui partagent, encore une fois, qui commentent et qui en parlent autour d'eux. Toutes les personnes qui viennent nous dire aussi des gentils mots.
Il y en a dans la rue, il y en a vraiment partout. Et c'est toujours très surprenant.
[03:06:00] Speaker F: En festival aussi, en concert, en festival, quand on croise des gens, même moi quand je suis tout seul, il y a des gens qui viennent me parler justement, qui me parlent notamment de Restless, de Bang Bang, et qui nous disent que c'est super bien.
Donc ça fait toujours super plaisir d'avoir ce genre de retour.
[03:06:14] Speaker A: Ça nous encourage quand même à tenir aussi. On ne vous demande pas de vous obliger à le faire. Si vous en avez envie. Mais c'est hyper cool, c'est très très gentil. Et puis voilà quoi, c'est...
C'est une sorte d'armée qui défend finalement une culture qui est trop peu défendue sur les médias classiques. Voilà, c'est ce qu'on s'est tué à répéter pendant tant d'années et c'est encore une vérité malheureusement.
Moi je voulais juste, parce qu'on va faire un petit peu court parce qu'il va falloir quand même...
à un moment que j'allais aux toilettes pendant la musique. Après on se retrouve, attention, c'est loin d'être terminé. J'avais juste envie de passer un goût de Charlotte. Vous allez me dire un goût de Charlotte.
[03:06:49] Speaker F: Mais partir aux toilettes juste après, c'est Mosquin.
[03:06:52] Speaker A: Mais non, j'adore le goût de Charlotte, ça fait partie des toutes premières sessions acoustiques qu'on ait fait aussi à OUI FM pour Bring the Noise quand on avait créé l'émission. Les frères Madden qui sont, et je sais c'est très difficile à croire, mais des gens extrêmement gentils.
[03:07:06] Speaker B: S'En servent. Alors qu'ils étaient énormes quand ils sont venus, et ils étaient hyper gentils, ils ont pris le temps de dire bonjour à tout le monde, de discuter avec tout le monde, pas en mode grosse tête machin, alors qu'ils sont venus, c'était tôt le matin, ils étaient en plein de jet lag, et ils étaient hyper gentils, pas de caprices de stars, pas.
[03:07:28] Speaker A: De réclamations, rien de l'eau, juste il y a des instruments, c'est où, allez on y va. Et en plus à l'américaine, alors les français maintenant sont très bons, mais se sont posés en deux secondes, ils étaient prêts, bon bah on filme quand vous voulez, c'est déjà bon déjà.
[03:07:40] Speaker B: Et on a fait ça dans le hall de WeFM avec du public, il y a des gens qui étaient venus faire... Et d'ailleurs la session est visible sur...
[03:07:48] Speaker A: Je crois qu'elle est disponible sur WeFM.
[03:07:50] Speaker B: Elle a été repostée par d'autres gens que WeFM et ça a fait des millions de vues.
[03:08:01] Speaker A: Je sais pas quoi dire. Tout ce qui est certain, c'est que j'avais envie d'en passer parce que oui, Good Charlotte revient. Ils vont sortir un album. Ils vont faire une tournée.
Et c'est des petits malins. Alors ils ont des moyens. Après ça va là, c'est toujours la même chose.
[03:08:14] Speaker B: Ils ont une agence de management aussi.
[03:08:17] Speaker A: Et en fait, on avait parlé de Good Charlotte dernièrement.
[03:08:20] Speaker D: Je sais plus si c'était avec toi.
[03:08:22] Speaker A: Eh bien, ils ont reposté la vidéo et ils ont liké toutes nos vidéos.
J'ai bien compris qu'il fallait qu'on aille voir ce qui se passait chez eux. C'était un peu un appel sans envoyer de messages privés. Et effectivement, ils ont annoncé qu'il y avait du nouveau. Il y a quelques dates déjà qui ont été annoncées, pas en Europe, mais bon, ça va venir. Et je suis hyper content. Et en fait, c'est des mecs, ils en ont rien à branler, ils sortent de la musique quand ils ont envie d'en sortir. En plus, ils font ce qu'ils veulent. Alors, faire de la musique pour que ça passe en radio, je ne dis pas que c'est le truc le plus créatif ou le truc le plus fou, le plus intello. Évidemment, ce n'est pas Pour ça qu'on écoute « Goûte Charlotte » de toute façon. Mais j'en suis persuadé que ça va être très très bien et j'ai hâte de savoir ce que ça va donner. Et en attendant, grâce à votre aide, « I just want to live ». C'est tout ce que je veux, c'est tout ce que je souhaite aussi à Resslès, c'est que ça puisse exister et que vous puissiez kiffer. Donc on regarde ce petit « Goûte Charlotte », on se retrouve juste après.
[03:09:21] Speaker C: Merci, Baltimore.
[03:09:22] Speaker B: Merci.
[03:10:03] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est la fin de cette vidéo !
[03:11:54] Speaker A: C'Est Supra.
[03:13:21] Speaker C: J'en peux pas, j'en peux rien !
[03:15:50] Speaker A: Voilà un clip qui me rappelle mes années fac. A tous les niveaux, je vous laisserai deviner qu'est-ce que j'y ai fait. Je n'ai jamais eu mes diplômes. Alors, c'était Darko Nuès. Comme vous pouvez le constater, Ben a changé. Bonsoir Ben. Bonsoir. Si vous ne le connaissez pas, c'est Marcel. C'est celui qu'on critique tout le temps.
Il est derrière la console normalement. Et je le félicite parce que vous savez que cette semaine il a travaillé hyper rapidement. Il m'a dit tiens je t'ai tout envoyé. J'étais là, de quoi ? J'ai eu peur, il m'a envoyé, il me chiait. Non, non, il avait fait tout ce qu'il fallait et d'un coup je l'ai avoir. Je t'ai félicité quand même parce que c'est important donc bravo.
[03:16:30] Speaker G: Je vous remercie.
[03:16:31] Speaker A: Ça serait bien que ce soit comme.
[03:16:32] Speaker G: Ça tout le temps. C'est en cours.
[03:16:34] Speaker A: J'ai l'impression qu'il y a des choses qui peuvent te motiver dans la vie.
[03:16:38] Speaker G: Qu'Est passé un clip de Darko ?
[03:16:38] Speaker A: Bah par exemple évidemment ! Ah ça va ça la carotte ?
[03:16:41] Speaker F: Putain ça a bien marché !
[03:16:42] Speaker A: Bravo, bravo ! Non mais tu voulais passer ce clip parce qu'en fait il y en avait une autre version, c'est ça si j'ai bien compris, qui ne pouvait pas être diffusée ?
[03:16:50] Speaker G: Alors non, pas du tout, c'est juste que Darko Ues, donc side project de Tom Barber, le chanteur de Chelsea Green, ainsi que de Baby J, donc Josh Miller de son vrai nom, qui était le batteur de Spite maintenant depuis un an, qui est plus C'était leur side project d'Arco et ils ont sorti...
[03:17:07] Speaker B: Tiens, t'es perdu là !
[03:17:08] Speaker A: Non, j'ai un t-shirt, j'ai un t-shirt, mais le reste... Alors, Spit, je vois bien ce que tu veux dire. On s'en occupe pas après l'émission, t'inquiète pas.
[03:17:17] Speaker G: Spit, rien à voir avec Slipknot.
[03:17:19] Speaker A: Non, non, non, ni les slips sales. D'ailleurs, j'en ai un blanc, j'ai fait des tâches.
[03:17:24] Speaker G: Donc du coup c'était leur side project qu'ils faisaient pour s'amuser un petit peu à un truc un peu expérimental ultra violent comme on a pu le voir et puis au bout d'un moment ils ont fait bon bah ça marche ce truc en fait.
[03:17:36] Speaker A: Attends en fait c'était une blague au début ?
[03:17:38] Speaker G: C'était pas une blague mais c'était un truc un side project pour s'amuser et pour tester des trucs parce que c'est...
[03:17:41] Speaker F: Un truc purement récréatif.
[03:17:42] Speaker G: Ouais purement what the fuck faire des trucs violents pour faire violent c'est enfin il y a plein de gens qui disent oui mais c'est pas jouable en live etc ça n'a jamais été le but c'est des trucs ultra produits vraiment Bien comme ça se fait en ce moment dans le Metalcore mais là c'est vraiment poussé à 11 si je puis me permettre de faire la référence.
Et là du coup ils ont sorti le dernier volet de cette série d'EP slash album court qui s'appelait Death Mask. Donc c'est Death Mask 3 qui vient de sortir la semaine dernière.
[03:18:13] Speaker A: Tu détestes les gens qui font ça ?
[03:18:15] Speaker G: De quoi ?
[03:18:16] Speaker A: Qui mettent des chiffres qui sont des milliards.
[03:18:18] Speaker G: Je suis désolé.
[03:18:20] Speaker A: Non, c'est ta faute.
[03:18:20] Speaker D: Tu devrais payer.
[03:18:22] Speaker G: Et du coup, ce clip de Supra est extrait du coup de cet album court. Et c'est le même réel que pas mal de leurs derniers clips qui s'appellent Norbert Kraufeld, qui est un réalisateur hongrois au passage.
[03:18:37] Speaker A: C'est pour ça qu'il y a autant de choses dans les Pays de l'Est. Des patates, des choux et des cachetons.
[03:18:43] Speaker G: Et du coup, il avait fait, j'invite les gens, parce que ce clip est pas mal, il y a toujours ce truc de bad trip qui revient, que ce soit chez Darko ou dans les clips d'Ozreal. Mais il y a un clip qu'ils ont sorti il y a un an, qui s'appelle Shanghai, qui est celui-ci mais avec beaucoup plus de trucs violents et.
[03:19:01] Speaker B: De trucs qu'on peut pas passer sur Twitch.
[03:19:03] Speaker G: Genre vraiment quand vous allez le voir, il y a YouTube qui vous dit est-ce que vous êtes sûr de vouloir regarder ça ?
[03:19:08] Speaker F: Avez-vous 18 ans ?
[03:19:09] Speaker G: Non, même pas.
[03:19:10] Speaker A: Avez-vous 45 ans ?
[03:19:13] Speaker G: Violence, automutilation, tout ce que vous voulez dans ce clip, épilepsie, est-ce que vous voulez vraiment le voir ?
[03:19:18] Speaker A: J'invite à ceux qui sont plus accrochés. Est-ce que c'est vraiment si... Tu en as vu des trucs dégueulasses, tu nous en as montré un.
[03:19:25] Speaker G: Bah non mais je me souviens qu'on l'avait regardé pour le passer dans l'émission, il t'avait dit ah oui en effet non on va peut-être pas... Je sais même pas.
[03:19:33] Speaker A: Excusez-moi quand je vois une vidéo de ma vie je...
[03:19:36] Speaker G: Mais bref moi j'adore ce style, ça plaît pas à tout le monde mais j'adore ce style d'aller dans les extrêmes bien what the fuck, dans le visuel aussi avec de la 3D complètement difforme et des aliens et différentes créatures complètement what the fuck qui poursuivent toujours les protagonistes.
[03:19:50] Speaker A: Oui ce qu'il peut imaginer selon sa consommation quoi.
[03:19:53] Speaker G: Ouais c'est ça.
[03:19:53] Speaker A: C'est très mauvais pour la santé encore une fois attention c'est de l'art c'est pas vraiment c'est pas vrai.
[03:19:59] Speaker G: Donc voilà et puis sinon je sais plus ce que j'ai noté voilà donc Death Mask 3 qui est sorti la semaine dernière allez écouter ça c'est super.
[03:20:11] Speaker A: Tu l'as déjà vu en live ?
[03:20:12] Speaker G: Bah non, il n'y avait jamais de concert.
[03:20:15] Speaker A: Ils font jamais de live ? Bah non. J'en sais rien, ils pourraient venir avec un bouton et faire...
[03:20:20] Speaker G: Il y a des sessions que vous pouvez trouver sur Youtube pour certains morceaux, notamment BunnySuit, ils font ça chez CalibreTV, c'est-à-dire qu'ils font des sessions. Mais même dans les sessions, en fait, vu qu'ils ne sont que deux, c'est coupé, parce qu'à un moment ils jouent de la batterie, après ils jouent de la gratte.
Du coup, Josh Miller pendant que Tom Barber, il roule dessus.
[03:20:40] Speaker A: Vu tout ce que font les groupes comme ça, avec que des samples, ils pourraient mettre des samples et juste faire les contubes.
[03:20:43] Speaker G: Bah ils pourraient, mais ils le font pas.
[03:20:45] Speaker A: Tu vois, ça m'a énervé. Tu m'as gâché ma soirée, t'es bien jusqu'ici.
[03:20:49] Speaker G: Non mais j'aimerais bien, mais en fait, je pense que ça n'a pas vraiment d'intérêt d'être joué en live, parce que ça serait full band, à moins qu'ils prennent vraiment...
[03:20:58] Speaker A: Tu sais, quand tu vas dans une soirée électro, alors quand bien même les DJ jouent évidemment des vraies choses, ça va de soi, Ça dépend, mais oui. Là, il pourrait faire pareil.
[03:21:08] Speaker G: Ouais, mais est-ce que c'est vraiment... Dans ce cas-là, c'est un DJ set.
[03:21:10] Speaker A: C'Est pas un concert.
[03:21:12] Speaker G: C'est pareil.
[03:21:13] Speaker A: Je trouve que tu méprises les gens qui font de l'électro. T'es quand même de mauvaise foi.
[03:21:17] Speaker G: Non, mais j'écoute de la synthwave, je.
[03:21:18] Speaker A: Vois pas du tout le... Ah, il me dégoûte.
[03:21:20] Speaker G: Je vois pas du tout le problème. Non, mais c'est juste, je pense que ça...
se ramener à deux pour que l'un joue de la batterie et l'autre hurle dessus pendant que c'est full band je trouve que c'est moins bien que.
[03:21:32] Speaker A: Si c'était un vrai concert entre guillemets.
[03:21:38] Speaker F: Il y aurait moyen d'en faire quelque chose...
[03:21:42] Speaker A: Mais non, mais tu amènes un monde visuel.
[03:21:45] Speaker D: Si, t'as quand même des groupes où ils sont que deux et ils arrivent à combler quand même, même s'ils sont pas beaucoup sur scène, ils arrivent à faire quelque chose... Justement, tu peux pousser le truc, au-delà de juste la musique.
Tu peux rajouter des écrans, des hyperformers, plein de trucs à faire.
[03:22:04] Speaker F: Même ça c'est déjà vu, des projets qui sont très électro et métal en même temps, qui jouaient avec machine plus batterie, genre The Algorithm par exemple, qui avait fait ça pendant longtemps, ça marche bien quoi. Et puis il y a qu'à voir aussi dans un ordre d'ampleur un peu différent, mais Igor aussi, pareil, qui mélange électro, performance live, performance vocale, il y a peut-être moyen de faire un truc. Daft Punk sont bien aussi.
[03:22:32] Speaker A: J'les ai payés, mais tu vois !
[03:22:34] Speaker G: Non mais je suis pas contre, c'est juste, je sais pas si ça aurait.
[03:22:37] Speaker A: Vraiment... T'aimerais bien quand même.
[03:22:40] Speaker G: J'aimerais bien voir ce que ça donne.
[03:22:41] Speaker A: Mais... Regardez comme il est blanc cet homme, vous voyez bien qu'il sort toute la nuit. Enfin, il est vert d'ailleurs, sur l'image.
[03:22:48] Speaker G: Voilà, n'hésitez pas à l'écouter, Death Mask 3. D'ailleurs, c'était marrant parce que vu que la semaine dernière ça parlait de De Substance avec Taus, il y a un morceau inspiré de De Substance dans l'album.
[03:23:01] Speaker A: D'accord. Je trouve ça visuellement très intéressant.
[03:23:06] Speaker F: Parce que Pierre, si t'aimes pas les groupes qui numérotent leurs albums au lieu de donner des nombres, ne t'intéresse jamais à la carrière de Chicago. Parce qu'ils font ça depuis les années 70 et y'en a genre 30.
[03:23:18] Speaker A: Après c'est facile à y retrouver du coup, mais... Ou pas.
Et bien voilà.
[03:23:27] Speaker G: Dernière chose à savoir c'est que c'est le deuxième album qui sort cette année parce qu'ils ont fait Starfire qui est sorti en juin qui est un vrai album de plus d'une heure.
C'est l'année dernière, pardon.
[03:23:37] Speaker A: Mon indique discret, venez. On est en février. De cette saison, excusez-moi. Oui, de cette saison d'émission. Non, parce que je vois que c'était la saison d'avant. C'est douze derniers mois.
[03:23:49] Speaker G: C'est douze derniers mois, voilà, merci.
[03:23:50] Speaker A: Voilà, bref. Mais on avait compris, t'inquiète pas. C'est juste qu'on aime bien t'embêter parce qu'il aime bien Chatibien. Et bonjour à Julien ! C'est qui ? C'est qui ce cul ? Bonjour à Julien Mimicicu, il est là ? Ah oui, on love love ! Faites des bisous à Julien ! Faites-lui des love love à Julien ! Non mais c'est quelqu'un qui a fait des chroniques chez nous, il faisait l'actualité rock de New York. Lui, des love love, c'est une personne ultra cultivée, un homme magnifique, j'ai toujours été amoureux de lui mais bon, ça ne peut pas le faire entre nous donc on est amis. C'est une souffrance à chaque fois, il a des cheveux ! Enfin, Ben, attention, je t'aime aussi, mais c'est pas la même chose. BÊCHE TOI MERDE ! Bon, enjoy une petite chose à dire encore une fois ?
[03:24:45] Speaker F: Je vois pas quoi rajouter, si ce n'est abonnez-vous à Restless, donnez des sous, donnez des sious et puis abonnez-vous au Patreon. Il y a de belles contreparties qui arriveront.
[03:24:54] Speaker A: On trouvera toujours plein de conneries à vous offrir.
[03:24:58] Speaker F: Faisez confiance à nos imaginations fertiles.
[03:25:00] Speaker A: Ça fait partie de cette imagination. Ne sois pas choqué si c'est des sketchs, ça fait partie de notre culture en France.
Amélie ?
[03:25:12] Speaker D: Non, j'aurais dit la même chose.
[03:25:14] Speaker A: J'aurais rajouté Prout. C'est créatif.
[03:25:19] Speaker F: C'est un signe de ponctuation.
[03:25:20] Speaker A: Ben ? Oui ? Merci pour tout Ben ! Merci à toi Pierre ! Désolé d'avoir mis ce morceau à ce moment-là.
[03:25:27] Speaker B: C'est pas grave, je sais que tu m'aimes pas !
[03:25:30] Speaker A: Et ben voilà. Tu vas passer du ghost ?
[03:25:32] Speaker F: Tu vas dire Marcel !
[03:25:36] Speaker A: Parce que Marcel, je connais pas la phrase. Magalgalena !
Parce qu'on apprend l'hongrois avec Marcel et c'est la première phrase apparemment que les gens disent quand ils le voient dans la rue.
[03:25:52] Speaker G: C'est pas du tout inventé par une personne à ma gauche.
[03:25:56] Speaker A: Ils soient fiers d'avoir un énorme bazar.
Oui, fallait peut-être pas le dire devant tout le monde.
[03:26:02] Speaker G: On parle du studio bien entendu.
[03:26:06] Speaker A: Il est grand comme le studio, bah dis-donc cet homme devient potentiel.
[03:26:08] Speaker G: Un énorme bazar.
[03:26:09] Speaker A: Oui, quand on a parlé de Bad Baird, on s'en est mis l'autre. T'as vu comment c'est ? C'est le seul. Regardez bien ça. Vous voyez l'argent ? Comme ça pourrit les gens. Non mais nous on nous demande des sous. Parce que c'est lui qui fait les montages. Alors on dit bravo, merci. Mais alors du coup ça lui est monté. Bravo le melon, Mr In Flames, Monsieur En Flamme.
Il est bien monté ! Allez, sur ces bonnes paroles, je tiens à vous dire aussi que le titre de fin d'émission, celui-là là, celui que vous ne voyez pas, eh bien c'est vous qui le choisissez, si vous êtes abonné Patreon, eh bien il suffit, sur la page qui est là pour cela, de nous mettre les clips et on les passera absolument tous, si vous avez un groupe, si vous avez envie, un goût particulier. Alors attention il faut que ce soit diffusable quand même, ne me mettez pas un truc horriblissime où il y a des gens qui font des choses qu'on n'a pas le droit de montrer. Je veux que ce soit quand même correct.
[03:27:00] Speaker G: C'est pas Shanghai de Darko US.
[03:27:02] Speaker A: Non voilà, par exemple, il y en a beaucoup d'autres exemples mais on va pas tous les énumérer mais toujours est-il que voilà. Là c'est Romain, encore une fois, qui l'a proposé. Alors il a mis d'abord un clip de plémo. Et il a dit bah en fait je vous mets ça parce que je voulais passer à un autre groupe qui n'a pas de clip et finalement je lui ai dit Cherchez un peu Romain. Et il a trouvé ce titre de Lycosia. Alors je ne sais pas qui se souvient de Lycosia. Bon, c'est moi.
Très bien, cette émission est de pire en pire. Ça s'appelle All These Words. Romain, c'est pour toi. Merci, merci de ton abonnement. Merci de vos propositions. Il faut surtout jamais hésiter parce qu'on regarde absolument tout. Enfin, en tout cas, moi je regarde et j'écoute tout. Je ne peux pas donner mon avis sur tout, mais en tout cas, j'écoute tout. Et là c'est donc pour Romain, on se quitte là-dessus. Rendez-vous la semaine prochaine, notre invité ce sera Baccarède, je sais qui c'est, et c'est beau il l'a confirmé à l'instant. Donc il sera avec nous, on parlera de son projet musical et bien sûr de son métier. Il y aura beaucoup de choses à dire je pense, parce que depuis qu'on l'avait vu la dernière fois, il a créé beaucoup de choses de très original. Et puis je ne sais pas qui nous accompagnera, Détroit, de Gladys, peut-être Gladys qui reviendra.
Et puis voilà, je vous fais des bisous, encore une fois, un milliard de fois, merci ! Merci, merci de nous aider, merci d'être là, merci de soutenir cette musique, merci d'aller au concert, merci... d'aimer la musique, tout simplement, je ne sais plus ce que je voulais dire. Bon courage pour lundi, allez, on se retrouve dimanche prochain. Bisous, bisous, des coeurs ! Des coeurs ! Nicosia.
Pour le quillou.
[03:32:19] Speaker B: Pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir.
[03:32:39] Speaker D: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant.
[03:32:41] Speaker A: Disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon... N'hésitez pas à vous abonner !