#67 - ROMAIN NIGITA en invité

Episode 67 November 08, 2024 03:10:35
#67 - ROMAIN NIGITA en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#67 - ROMAIN NIGITA en invité

Nov 08 2024 | 03:10:35

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Show Notes

Peut être que la 1ère question que vous vous posez est de savoir qui est ROMAIN NIGITA ? Eh bien c'est que vous n'êtes pas fan de séries... Comment, vous adorez les séries ?!? Eh bien sachez que cet homme est LE spécialiste série de France ! De Canal+ à Télé Star en passant par la presse spécialisée et des la création d'évènements autour des séries... Bref, il est incontournable et fan de ROCK & de sons plus alternatifs !

Pour tout vous dire, on s'est bien marré et l'homme est un spécialiste de DREAM THEATRE.

Ben, Didier, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:21] Speaker A: Bienvenue à vous toutes et à vous tous. Vous êtes bien dans Bang Bang. Nous sommes en live Twitch. Enfin en live Twitch. C'est le live Twitch. Il est dimanche 19h. Vous êtes au rendez-vous. Bon, est-ce qu'on le dit ou est-ce qu'on le dit pas ? J'avoue, c'est enregistré. Je suis désolé. [00:00:35] Speaker B: On est hier. [00:00:36] Speaker A: Voilà, on est hier. C'est juste que je pouvais pas m'empêcher d'aller à Linkin Park. En fait, j'ai pleuré, j'ai fait chier, j'aurais cassé les bonbons. Bon, au final, peut-être que ça aurait été mieux que je ne sois pas là. Mais bon, je suis là et je suis très content de te voir Ben et de retrouver tous les bangers ! Ah les bangers ! Mal ou femelle, on s'en fiche, de toute façon l'essentiel c'est qu'on soit là, réunis autour d'une musique qui nous anime, c'est le métal, l'alternative rock, oui autre oui, je faisais... [00:01:00] Speaker B: Toute catégorie confondue quoi ? [00:01:02] Speaker A: En vrai, nous on s'en fout. [00:01:03] Speaker B: On s'en bat les... [00:01:04] Speaker A: On s'en bat les cacahuètes. [00:01:06] Speaker B: Toutes les choses. [00:01:08] Speaker A: Bon, vous aimez le métal, vous aimez le son qui fait du bruit, montez tout simplement un tout petit peu le volume sur votre téléviseur, votre ordinateur, votre je ne sais quoi, on s'en fout aussi. [00:01:16] Speaker B: Mettez à onze ! [00:01:17] Speaker A: Voilà ! Haha, blague ! Ça tombe bien que tu dises ce genre de références parce que ce soir on a un invité qui pourrait nous faire plein de références télévisuelles, de séries et de tas de choses. Est-ce que tu sais qui est là ce soir pour nous parler un petit peu de sa passion du rock'n'roll ? [00:01:30] Speaker B: Je ne sais pas Pierre. [00:01:31] Speaker A: Et bien c'est tout simplement, quelle belle soirée, Romain Nijita qui est donc Je dis quoi, journaliste, chroniqueur, on verra avec lui de toute façon comment il se définit. [00:01:41] Speaker B: Il va se définir. [00:01:41] Speaker A: Oui, il sera là puis de toute. [00:01:43] Speaker B: Façon... Laissons les gens se définir. [00:01:44] Speaker A: Oui, c'est toujours mieux quand c'est moi qui essaye de dire un truc. [00:01:49] Speaker B: Toi c'est valable pour tous. [00:01:50] Speaker A: Ouais c'est ça, ça ne marche jamais en fait. Je suis un peu alerto, les enfants. Parce qu'on ne peut pas tout dire. [00:01:57] Speaker B: On ne peut plus le dire. [00:01:58] Speaker A: Qu'est-ce que je voulais dire d'autre ? [00:02:00] Speaker C: Comment s'est passé ta semaine ? [00:02:02] Speaker B: Très bien, je suis allé à un concert. Ah oui, c'est vrai, j'ai compris. Je suis allé avec le petit Marcel, on est allé au concert de Guiltrip, Foreign Hands, Sorcerer et un groupe grec dont j'ai oublié le nom. [00:02:19] Speaker A: A priori, le groupe Rake, c'était pas très grave. [00:02:22] Speaker B: C'était pas le meilleur groupe du... Non mais c'était bien. [00:02:24] Speaker A: Après, ça peut plaire à certaines personnes. [00:02:25] Speaker B: C'est bien que la Grèce essaie d'être sur la scène métal. [00:02:29] Speaker A: Après... C'était que du hardcore. Enfin, que du gros son. [00:02:33] Speaker B: Ah oui, c'était plutôt tendance hardcore. C'était très très bien. Sorcerer, que j'ai enfin pu voir dans une petite salle parce que je les avais vus seulement au Hellfest. Très très bien. Il y avait tous les copains qui sont venus faire une petite phrase sur leur morceau. Il y a le chanteur de Guilt Trip, le chanteur de Worst Out, tout le monde est venu faire un petit happening sur chaque chanson quasiment. Donc c'était cool. Après, Foreign Hands, alors c'est très drôle, je connaissais pas ce groupe et j'étais très surpris de... En fait c'est de l'émocore quoi, c'est vraiment... Bah t'as foutu quoi là-haut ? Bah non non mais y'a le côté hardcore mais y'a le côté un peu, tu sais, émo, y'a du chanclair... Mais non mais c'est pas émo dans le sens... Mesh ? Mesh mais mesh qui fait du hardcore quoi. [00:03:19] Speaker A: Ah ouais, mesh qui est un peu vénère. Je suis triste mais j'ai envie de te péter la gueule. [00:03:22] Speaker B: C'est pas Black Parade quoi, c'est pas ce genre là. [00:03:25] Speaker A: D'accord. [00:03:26] Speaker B: Ça tabanne quand même, mais il y a du chant clair. Et c'est très drôle parce que du coup, quand je les ai regardés, je me suis dit mais ils n'étaient pas nés quand cette musique existait. Et c'est quand même assez drôle. Avec un petit côté un peu Poison the Well, un petit côté un peu... Il y a des morceaux qui me faisaient penser un peu à du 36 Crazy Fist, le côté un peu plus hardcore, mais avec des lignes de chant clair. Le chant clair n'était pas au top. Mais c'était très agréable à regarder. Et puis Guild Trip qui est arrivé... Paf, pas de steak. Je peux dire qu'ils sont venus avec des gros sabots. Ils n'ont pas eu le temps. J'ai vu Marcel qui s'est retourné et qui a fait « Moi je vais y aller ». Il y est allé. J'ai vu des jambes volées. [00:04:14] Speaker A: Je constate que ça a eu des séquelles. [00:04:18] Speaker B: Mais au moins cette fois il a de la voix. [00:04:20] Speaker A: Ah oui c'est déjà pas mal c'est vrai. [00:04:22] Speaker B: Voilà donc c'était très très bien. [00:04:23] Speaker A: Bon bah conseillez donc la prochaine fois qu'ils passeront de ne surtout pas se gêner pour aller voir Guiltrip etc. Sorcereurs aussi à qui on fait d'énormes bisous puisqu'on les aime fort fort fort. Qu'est-ce que je voulais dire ? Moi j'ai fait des fêtes donc bon voilà. [00:04:35] Speaker B: Oui bon c'est déjà pas mal. [00:04:36] Speaker A: Par contre ce qui est intéressant c'est que plus je fais la fête, enfin plus je fais la fête je fais pas d'étonnement non plus mais plus les années passent et quand je sors faire la fête. [00:04:44] Speaker B: Enfin deux fois dans la semaine c'est quand même pas mal. Sur quatre jours, c'est quand même la moitié des jours. [00:04:52] Speaker A: J'ai l'impression que c'est pas beaucoup. Par rapport à avant. C'est juste qu'en fait ma façon de faire la fête a un peu changé. Mais du coup je vois les autres faire la fête. C'est particulier. [00:05:02] Speaker B: Bienvenue dans ma vie. [00:05:05] Speaker A: Quand t'es pas saoul, alors attention c'est très mauvais d'être saoul, tout ça c'est mauvais, attention à ne surtout pas faire. La butte d'alcool est dangereuse pour la santé. Mais tu vois les gens, tu fais oula je comprends pas ce qu'il se passe, y'a des gens qui tombent, y'a des gens qui... Et puis alors quand ils font plus que boire, ils sont. [00:05:22] Speaker C: Très câlins des fois. [00:05:23] Speaker B: Ah bah ça ouvre de nouveaux horizons. [00:05:24] Speaker A: Y'a 2-3 personnes qui viennent vers toi et qui font... [00:05:31] Speaker C: J'étais un peu gêné. [00:05:32] Speaker A: Et bon, on est en 2024, donc je n'osais pas trop pousser les gens de peur qu'on me dise que j'ai fait un truc. Donc j'avais les mains en l'air, j'étais assis sur un fauteuil un moment comme ça. [00:05:40] Speaker C: Et il y avait des gens qui. [00:05:41] Speaker A: Disaient « Ah mais la musique ! [00:05:42] Speaker C: » Et il y avait quelqu'un gardant. [00:05:43] Speaker B: Un bise qui disait « Oh ! [00:05:43] Speaker A: Concombre ! » Et il lâchait, il a fait « Merde ! » Bon bref, toujours est-il que c'était assez spécial, mais j'ai passé un très bon moment et je suis quand même ravi de faire cette émission. Encore une fois aussi, merci à vous toutes et à vous tous pour les dons que vous faites, que ce soit via Payaso, via Tipeee ou encore via l'achat de merchandising. Vous avez notre Discord, point exclamation Discord, dans le ch'meul en direct. Et puis si jamais vous voulez l'information que vous ne trouvez pas, posez la question en commentaire sur YouTube, on vous répondra gentiment. Marcel vous dira que vous n'aviez qu'à regarder parce que ça l'énerve, mais n'empêche que, gentiment, il vous donnera l'adresse. J'ai décidé de commencer avec un petit Linkin Park. Ah oui, il y aura les news et il y aura Enjoy The Noise évidemment, il y aura Biggie, attention, il y aura tout l'habituel, on est quand même... C'est une grande émission ! [00:06:26] Speaker B: Oh bah attention ! [00:06:27] Speaker A: Il y a des moyens ! On se moque pas de vous ! J'ai décidé de commencer avec Linkin Park. Alors, j'ai regardé Numb, tu sais à combien de vues il est le clip ? [00:06:35] Speaker C: Beaucoup. [00:06:37] Speaker A: Plus de 2 milliards et je crois que ça s'approche même de 3 milliards, c'est quand même pas mal, non ? [00:06:39] Speaker B: Et ce qu'il faut te dire, c'est que la chanson est sortie avant la création de YouTube. [00:06:44] Speaker A: Oui, c'est vrai. Oui, donc ça aurait pu être beaucoup plus. C'est un truc de malade. [00:06:48] Speaker B: Coup plus ! [00:06:49] Speaker A: Bon voilà, j'ai décidé d'ouvrir avec ça. J'espère que ça vous fera plaisir et puis ne pleurez pas si vous n'êtes pas au concert. Il repasse au Stade de France, ce sera l'occasion pour tout le monde de pouvoir s'y rendre et puis il y a plein d'autres dates qui vont être annoncées. Je ne peux pas en dire plus. On lance OK ? Vas-y. Allez, Numb de Linkin Park. [00:07:32] Speaker D: I'm tired of being what you want me to be Feeling so faithless, lost under the surface Don't know what you're expecting of me Put under the pressure. [00:07:44] Speaker C: Of walking in your shoes Every step. [00:07:46] Speaker D: That I take is another mistake to. [00:07:48] Speaker C: You. [00:08:03] Speaker D: Je ne peux pas te sentir là-bas Je deviens tellement fatigué Tellement plus conscient Je deviens ceci Tout ce que je veux faire C'est d'être plus comme moi Et d'être moins comme toi Tu ne vois pas que tu m'étonnes ? Tu me tiens trop tôt Afraide de perdre le contrôle ? Parce que tout ce que tu pensais que je ferais Every step that I take Is another mistake to you Caught in the undertow Just caught in the undertow And every second I waste Is more than I can take I've become so numb I can't feel you there I've become so tired So much more aware I'm becoming less All I want to do Is be more like me Et je sais que je peux finir malin aussi Mais je sais que tu étais juste comme moi Avec quelqu'un de désappointé en toi Je suis devenu si moche Je ne peux pas te sentir c'est bon C'était génial, c'était génial ! Comment ça va ? [00:10:34] Speaker A: On filme aujourd'hui une vidéo de musique pour notre nouvelle chanson qui s'appelle Bad Behavior. Le plan pour aujourd'hui c'est d'aller sur le train Marta. On va vous donner un carte de vent et on va faire un défilé dans le train pendant qu'il bouge. J'ai acheté une batterie pour qu'il n'y ait pas de générateur dans le train. Personne ne va mourir. Comme vous pouvez l'imaginer, Marta n'a aucune idée de ce qui se passe. Donc si Marta vous demande ce que vous faites ou ce qui se passe, nous sommes tous un grand groupe de amis, nous sommes une bande et nous avons un défilé à l'Atlantique et c'est un grand délire. C'est la histoire. Évidemment, à partir du moment où nous jouons, ils sauront. [00:11:20] Speaker D: Nous aurons peut-être besoin d'aides pour récupérer tout. [00:11:22] Speaker C: Nous devons tous monter dans le même train. [00:11:24] Speaker D: C'est ça ? C'était une expérience incroyable ! C'était génial ! [00:11:49] Speaker A: C'était génial ! [00:11:55] Speaker C: No I don't regret it Cause when. [00:11:56] Speaker A: I was a kid My life was. [00:11:57] Speaker C: Out of control Picked on and bullied. [00:11:59] Speaker A: And left us all alone Smarter than. [00:12:01] Speaker C: Everyone I couldn't fight back I just. [00:12:02] Speaker D: Wanted some love But I never fucking got that Maybe that's when I morphed. [00:12:07] Speaker C: Into a villain Started metaphorically killing Everybody in my way Now who's out of place? You say I got an ego problem? [00:12:15] Speaker D: Well fuck you Cause I like my. [00:12:17] Speaker C: Attitude Or did you say narcissistic? [00:12:19] Speaker D: I wasn't listening I was too busy. [00:12:21] Speaker C: Just dreaming of a day With no more manual labor When I got old so you couldn't control me I'm surprised my parents didn't disown me And when my mama leaved to visit a man's. [00:13:05] Speaker D: Out of town We cleared out the. [00:13:06] Speaker C: House and then turned up the sound Growing shorts in our own living room Three separate times and I never got caught Until I did, fuck, the cops showed up I walked out, I ain't. [00:13:13] Speaker D: Wearing pants So burn this motherfucking town Cause now I'm getting paid for my bad behavior You can't stop me now So hit her with the left, right, see you later C'est parti pour le match ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:14:52] Speaker C: Bang. [00:14:52] Speaker A: Bang, le meilleur du métal est de l'alternative rock en live Twitch, c'est tous les dimanches soir, ici même. Invitez donc vos amis, dites-leur de venir là tout de suite, de nous offrir leur présence, de nous offrir leur bonheur, leur passion. D'accord, sur ma gueule. Silly Goose, c'est ce qu'on vient de regarder et d'entendre, peut-être que vous venez de le découvrir. [00:15:10] Speaker B: Tu connaissais ? [00:15:12] Speaker A: Non. C'est marrant quand même. [00:15:13] Speaker C: Oui oui. [00:15:13] Speaker A: C'est des petits gamins. [00:15:14] Speaker B: La voix est un peu trop forte pour moi dans le mix je trouve. [00:15:17] Speaker A: Ah oui c'est pas faux, c'est pas faux, c'est pas faux. Après il s'appelle Silly Goose. Bah voilà. Ça veut dire quoi ? [00:15:24] Speaker B: C'est loi Silly, c'est un peu... [00:15:28] Speaker A: Un peu conne ? [00:15:29] Speaker B: Bizarre, bizarre, bizarre. Non c'est plus bébête ou qui fait un peu le bébête ouais. [00:15:36] Speaker A: Bon bah voilà, c'est vrai que si la musique pourrait rappeler l'Imbiscuit, après c'est un petit peu plus vénère, c'est plus à l'ancienne de l'Imbiscuit alors. Et plus, ils ont leur meilleure santé mentale. En tout cas, c'est un groupe qui a commencé à faire sa carrière post-Covid. Ils ont sorti le premier truc en 2021. Ils sont d'Acenta. Je vous laisserai donc checker ce qui vous intéresse ou pas. En attendant, lorsque je regarde la petite montre que j'ai sur mon bras, qui n'existe pas mais c'est une montre en poil. Il est pile poil. [00:16:08] Speaker D: L'heure du flagbang ! [00:16:23] Speaker E: Merde, il a buggé, t'as plu dans le dos. [00:16:34] Speaker A: On s'en laissera jamais. C'est bien, on m'a toujours dit, en radio et en télé, fais bien un truc, il faut qu'il y ait toujours un gimmick. Ah ouais, bah donc là on l'appelle. [00:16:43] Speaker E: Les privés de jokes, c'est bien, faisons le maximum, les gens adorent. [00:16:46] Speaker B: Des gimmicks, des flash-shocks. [00:16:47] Speaker A: Exactement. Mon petit Didier, est-ce qu'il s'est passé des choses cette semaine dans les informations internationales nationales de Rock'n'Roll ou de Metal ? [00:16:53] Speaker E: Il s'est passé plein de choses dans les informations internationales de Rock'n'Roll ou de Metal. [00:16:57] Speaker A: Alors dis-moi tout, dis-nous tout. [00:17:02] Speaker E: Silly c'est vraiment ce que madame Tyrion me disait toujours en cours d'anglais, elle me disait DJ, don't be silly. [00:17:06] Speaker A: Ah oui ? [00:17:09] Speaker E: Voilà. Alors on commence avec Pierre, il sait. [00:17:12] Speaker B: Pas ce que lui disait sa prof d'anglais parce qu'il y allait pas en cours. [00:17:15] Speaker E: Je n'ai pas été à l'école. Il est allé en cours de tracteur, je te rappelle. Alors, on commence avec 50 000 billets d'Oasis qui vont être annulés. Je ne sais pas si vous avez vu ça. [00:17:24] Speaker B: Ah, Oasis is not good. [00:17:26] Speaker A: Annulés de quoi ? [00:17:28] Speaker E: En fait, c'est Live Nation qui organise. [00:17:34] Speaker A: La vente et la tournée d'Oasis. [00:17:36] Speaker E: Et ils se sont rendu compte que, comme ça arrive souvent, mais là ils viennent de s'en rendre compte qu'il y a des gens, ils ont acheté plus que les 4 billets autorisés, qu'ils se sont créé plusieurs comptes pour en acheter plus et les revendre après sur des sites non autorisés. Parce que normalement, il y a vraiment ces Ticketmasters, qui appartient à Live Nation, qui vendaient les billets, et il y a l'équivalent, genre Ticketswap, je ne me rappelle plus le nom, c'était le seul site où on pouvait revendre ses billets. Mais là, ils se sont rendus compte qu'il y a plein d'endroits où les gens revendaient avec une énorme plus-value et que du coup, ils ne touchaient rien là-dessus. Et ils ont fait « Ah, si c'est ça, on annule ces billets ». Et donc, il y en a plus de 50 000 qui vont être annulés et qui vont bientôt être remis sur le marché. [00:18:16] Speaker A: Ça fait un paquet quand même ? [00:18:17] Speaker C: Ouais. Il avait 60.000 en vente. [00:18:18] Speaker B: Non mais ça grenit sur toute la tournée. [00:18:22] Speaker E: Oui. La tournée UK je pense. Non parce qu'il faut voir c'est que normalement il y a un million et demi de billets, enfin de places sur toute la tournée. Et il y avait plus de 11 millions de demandes. [00:18:33] Speaker A: C'est vrai que ça donne envie d'en acheter puis d'en vendre. Même si c'est un truc de salaud bon... [00:18:38] Speaker E: En tout cas ceux qui sont fans d'Oasis, surveillez bien, il risque d'avoir des places qui vont être remises en vente bientôt. [00:18:45] Speaker B: Et peut-être un nouveau goût qui arrive aussi. [00:18:48] Speaker A: On sait jamais, moi je reste sur le truc de ils vont faire des. [00:18:51] Speaker E: Dates en France donc faut pas chier. [00:18:56] Speaker A: Voilà. La suite ! [00:18:59] Speaker E: Petite news, alors... Petite news, qui paye pas une mine, mais bon, ça fait toujours plaisir. C'est Desfafara qui va mieux. [00:19:05] Speaker C: Ah non ! [00:19:07] Speaker E: Il va quoi ? Il va mieux ! [00:19:08] Speaker A: Il va mieux de quoi ? Il a une tête humaine maintenant ? [00:19:11] Speaker E: Non, ça c'est... [00:19:11] Speaker A: On avait dit pas le physique, pardon, excusez-moi. [00:19:13] Speaker E: Oui, on avait dit pas le physique déjà, mais c'est qu'il avait eu... Attends. [00:19:15] Speaker B: Si c'est des tatouages, ça compte, parce que... [00:19:18] Speaker A: Tu l'as voulu ! Ok. [00:19:21] Speaker E: En tout cas, il n'allait pas bien, ils avaient annulé pas mal de concerts de Devil Driver et même de Cold Chamber. Et donc là, il va mieux, il s'est fait soigner et il dit que surveillez bien les réseaux sociaux de ces deux groupes, il y a des choses qui vont arriver, je vais mieux. [00:19:38] Speaker B: Ça va être complètement loco-loco. [00:19:41] Speaker A: Tisé, je pense qu'il n'est pas encore au point. [00:19:42] Speaker B: S'il commence à tiser, il va retomber. Il ne faut pas qu'il soit sober. [00:19:46] Speaker E: Vaut mieux qu'il soit sober. [00:19:47] Speaker B: Bah non, s'il recommence à tiser, il va plus être sober. [00:19:49] Speaker E: Ah bah oui. [00:19:50] Speaker A: C'était mental ou c'était physique ? [00:19:52] Speaker E: Mental. Je pense que c'est surtout mental. [00:19:53] Speaker B: C'est un... C'est un sacré fléau. [00:20:02] Speaker E: C'est dans le monde de la musique, c'est Hollywood, à force d'acheter des écrans plats et de regarder des écrans plats, ça rend fou. [00:20:11] Speaker B: Ils ont les yeux plats après. Et les œufs au plat quand ils mangent. [00:20:16] Speaker E: Alors on enchaîne avec Slipknot qui modernise son logo. [00:20:20] Speaker A: Quoi ? Attends, il faut qu'ils arrêtent. [00:20:24] Speaker B: Attends, c'est la tournée anniversaire et ils changent le logo ? [00:20:27] Speaker E: En fait ils sortent du merch avec un nouveau logo, le S il est modernisé et du coup les fans ils sont pas contents parce que c'était Jordison qui avait dessiné le logo Tribal. [00:20:36] Speaker B: Après il est plus dans le groupe, je sais pas s'ils sont au courant les fans. [00:20:37] Speaker E: Ouais ouais ça les empêche pas, enfin si t'as vu les news quand t'étais aux Etats-Unis, ils se font pas mal de thunes sur Jordison, sur tout ce qu'il a pu faire et ils exploitent bien son image alors qu'ils l'ont viré comme une merde. Et donc là juste les fans sont vraiment pas contents, ils disent mais rendez-nous le vieux logo. [00:20:54] Speaker A: Rendez-nous le S. En fait ça sert à quoi ? [00:20:56] Speaker E: Mais c'est toujours un S, mais c'est juste qu'il est... Non mais c'est juste. [00:20:58] Speaker A: Pour vendre du merch, des différences et tout. En fait y'a vraiment pas d'autres raisons. [00:21:01] Speaker B: Que juste de faire de nouveaux produits avec un autre. Non mais c'est surtout que c'est bizarre de faire ça au moment où tu célèbres l'anniversaire. [00:21:06] Speaker A: Bah en plus et puis... [00:21:07] Speaker B: C'est qu'il y avait un moment où tu te regardais le vieux logo. [00:21:09] Speaker A: En plus il est vraiment dégueulasse. [00:21:10] Speaker B: Ah ouais il est nul. [00:21:12] Speaker A: Merci Marcel nous avoir montré ça, mais il est vraiment dégueulasse. [00:21:15] Speaker B: Il est nul à yesh. [00:21:15] Speaker A: On est d'accord. [00:21:17] Speaker E: Et pourtant, le tribal, c'est tellement marqué 90. [00:21:20] Speaker B: Après, j'ai envie de dire, le tribal revient à la mode. [00:21:33] Speaker E: On a vraiment un cerveau pour deux. Alors là, on va parler d'un groupe qui n'est pas très très connu, mais qui a fait parler de lui la semaine dernière. Du coup, c'est le groupe Bunny The Beer, qui était en concert à Chicago. Et il y a eu une grosse bagarre entre l'ingénieur du son et la femme du chanteur. Et ensuite, l'organisatrice du festival, c'est qu'en gros, le chanteur Matthew Tybor, il évoque une intercation au cours de laquelle il affirme que l'ingénieur du son a commencé à réprimander sa femme qui était là et après elle l'a attaqué physiquement. Et il a attaqué la promotrice du festival avec un pied de micro, il lui a éclaté la tête. Donc lui, il s'en est mêlé. Et voilà, et donc l'ingénieur du son est en prison. [00:22:15] Speaker A: Bah oui, ça semble assez normal. [00:22:18] Speaker B: En tout cas, le groupe peut le remercier parce que c'est grâce à lui qu'on entend parler de ce groupe. [00:22:23] Speaker E: On parle d'eux, et tu sais qu'il y a 3K News, on a découvert un groupe qui était pas mal comme ça. [00:22:27] Speaker A: Oui, c'est vrai. [00:22:29] Speaker B: Bon celui-là apparemment il était moins bien vu que tu n'as pas choisi le clip. [00:22:33] Speaker E: J'ai pas choisi pour le clip parce que je préférais mettre des vieux trucs, parce que je suis un vieux et je veux mettre des vieux trucs. Et puis là je vais annoncer une mauvaise nouvelle aussi, donc c'est Fesno Mort qui en pose vraiment semi-permanente selon Roddy Bottom, le clavieriste du groupe, qui a répondu à une interview et qui dit que c'est mort le groupe, il y a peu de chances qu'il revienne. [00:22:55] Speaker A: Toujours la santé mentale ? [00:22:57] Speaker E: Bah non, c'est parce qu'en plus, justement, il s'est soigné. Il s'est soigné, mais du coup, il va faire des trucs avec Mister Bungle, mais avec d'autres de ses projets, mais pas avec Face No More. [00:23:07] Speaker A: Ça veut peut-être dire que Face No More, c'est un petit peu son poison, dans sa tête. [00:23:09] Speaker B: Non, je pense que c'est juste que du coup, il a redémarré d'autres trucs et qu'il y reviendra. Ils ont déjà disparu pendant plus de dix ans, dix ou quinze ans. [00:23:21] Speaker E: Oui, mais après, faut pouvoir être... Est-ce que t'as envie de voir Face No More à 80 ans ? [00:23:25] Speaker B: L'avantage, c'est que musicalement, c'est pas non plus... Je pense que c'est dans les groupes de l'époque, c'est pas le groupe qui est le plus dur à jouer quand t'es vieux. C'est pas la musique qui est la plus dure à jouer quand t'es vieux. [00:23:37] Speaker A: T'as quand même quelques morceaux où tu. [00:23:38] Speaker B: Sais... Oui, mais bon, c'est surtout le batteur, quoi. Les autres... Et Mike, il est en forme, il n'y a pas de soucis. [00:23:47] Speaker A: Eternel est là, demain, boum ! [00:23:49] Speaker B: Il a des dreads, donc forcément... Bon. [00:23:51] Speaker E: En tout cas, je... Il pourrit du crâne ! Je propose qu'on s'écoute un petit Fest No More avec Digging The Grave. [00:23:57] Speaker A: Ah le classique, c'est bon ça ! Mais Didi, mais merci ! Là il faut lancer le clip Marcel en ce moment. [00:25:02] Speaker D: C'est parti ! Oh c'est bon ça ! [00:27:15] Speaker B: C'est quand même mieux avant. [00:27:18] Speaker C: Faut le dire, c'est tout. C'est pas bien con de dire que. [00:27:20] Speaker A: Manon écoute de la merde. [00:27:22] Speaker B: Si c'est vrai, c'est pas méchant. [00:27:25] Speaker A: Faut retenir cette phrase. Surtout, vous venez d'entendre ça dans le podcast partout, n'hésitez pas à le ressortir. C'est vraiment... [00:27:31] Speaker B: Si c'est vrai, c'est pas méchant. [00:27:32] Speaker E: Comme le disait Eben. [00:27:33] Speaker A: Alors par contre, no citation. Je le dis en anglais parce qu'il faut quand même... Citation, c'est mieux. [00:27:38] Speaker B: Ah d'accord, no citation. [00:27:41] Speaker E: Five tations ? [00:27:42] Speaker B: Pour brouiller les pistes. [00:27:44] Speaker A: Ah oui d'accord. [00:27:45] Speaker B: Elles ont bien brouillé. [00:27:46] Speaker A: Comme les oeufs. On en parlait tout à l'heure, ils étaient déjà écrasés. Bon petit Didier, il y a quoi d'autre comme news ? [00:27:51] Speaker E: Alors bah là on va faire la suite de la série de la semaine dernière, As I Lay Dying. Où là du coup on a eu deux épisodes cette semaine. En début de semaine, ils ont fait une première déclaration, ils étaient censés revenir pour dire ou pas s'ils annulaient la tournée, ce qui allait devenir du groupe. Ils ont fait une première déclaration juste pour dire que L'album de leur retrouvaille en 2019, Shaped by Fire, il avait disparu des services de streaming. Et du coup, ils ont juste fait une déclaration pour dire, ouais, c'est qu'en gros, on avait un contrat de distribution de cinq ans. Et là, du coup, on a récupéré les droits de l'album. Donc, ne vous inquiétez pas, ça va bientôt revenir. Ah oui, au fait, et sinon, on réfléchit encore sur ce qu'on doit vous dire sur l'avenir du groupe. Et du coup, en fin de semaine, Phyllos Grosso a dit « ça y est, je démissionne du groupe ». Je vais faire la citation en entier. « Les actions récentes ont montré qu'Azailea et Dying n'offrent plus qu'un environnement sain et sûr pour quiconque y participe, que ce soit sur le plan créatif, personnel ou professionnel. Après avoir été témoin de certains comportements inquiétants, j'ai réalisé que je ne pouvais plus en toute bonne conscience Permettre d'autres actions qui pourraient affecter négativement quiconque travaille dans cet espace. Pour ces raisons, j'estime qu'il est de mon intérêt de me distancier complètement, tant sur le plan créatif que personnel, de Azaïlé Daïng. Je tiens également à exprimer mon soutien total à Ryan Kenenick. qui ont récemment décidé de se retirer, je suis reconnaissant pour nos réalisations et nos amitiés au cours de ces trois dernières années. [00:29:54] Speaker A: C'est vrai, c'est vrai. Ouais donc maintenant il est tout seul, et lui il va annoncer bientôt qu'il. [00:29:58] Speaker E: Part du groupe aussi ? Bah je sais pas, je pense que lui il va continuer. [00:30:01] Speaker B: Il va faire une scission avec lui-même ? [00:30:03] Speaker E: Il va, ouais, bonsoir. En tout cas ça serait bien qu'ils annoncent clairement que la tournée s'arrête. [00:30:09] Speaker A: Bah je pense que les gens ils ont compris quand même. [00:30:11] Speaker E: Sauf que tous les autres groupes qui sont sur la tournée ont clairement dit que c'est annulé, sauf le tête d'affiche quoi. [00:30:16] Speaker A: En même temps l'autre il est... [00:30:17] Speaker B: Je pense qu'il est un peu dans le déni, on va pas se mentir. [00:30:20] Speaker E: Il est quelque part... Qu'est-ce que le groupe va devenir ? On n'en a un peu rien à faire quelque part, j'ai envie de dire. Je pense qu'il va prendre des musiciens de tournée, des musiciens de studio pour continuer tout seul et voilà quoi. [00:30:30] Speaker B: Je pense que ça va juste s'arrêter. Parce que je pense que ça n'a pas suffisamment de succès pour que ça demande un tel travail, je pense. [00:30:39] Speaker A: Je sais pas. J'avoue que je pensais moi aussi. [00:30:41] Speaker B: Je pense qu'il va écrire des livres. [00:30:44] Speaker A: En prison. [00:30:45] Speaker B: Comment faire tuer sa femme et ne pas se faire choper. Je pense qu'il va faire ça. Ça peut marcher. [00:30:50] Speaker A: Les bons conseils de la vie. [00:30:51] Speaker E: En tout cas, moi j'ai fait ça. Ça n'a pas marché. À vous de voir. [00:30:56] Speaker A: Quoi d'autre ? [00:30:59] Speaker E: Ghost. Ghost en tournée mondiale 2025. Sans téléphone pour une immersion totale. [00:31:07] Speaker A: Il n'y aura pas le groupe téléphone ? [00:31:08] Speaker E: Il n'y aura pas Jean-Louis Aubert. Personne. [00:31:12] Speaker A: Louis Bertignac, non plus. Pas là. [00:31:16] Speaker B: Et puis les autres, on ne sait. [00:31:18] Speaker A: Pas leur prénom ni leur nom. [00:31:19] Speaker B: Il y avait la meuf là. Géraldine, on n'a qu'à l'appeler. [00:31:24] Speaker E: Géraldine de téléphone. [00:31:26] Speaker A: Géraldine de téléphone, non mais... Oui, j'ai. [00:31:28] Speaker E: Vu qu'il fallait donner des poches. Il communique, c'est qu'on ne veut pas du tout de téléphone parce que le concert qu'on avait fait, le live qu'on a enregistré, sans téléphone c'était tellement bien que... [00:31:37] Speaker A: C'est comme ça que les gens se reconnectent à la musique. [00:31:40] Speaker E: Bon, c'est peut-être pas faux. Ça annonce aussi un nouvel album qui va bientôt sortir parce que la tournée n'a pas encore de nom. Ce sera un nouveau pape qui va chanter. [00:31:52] Speaker B: C'est un nouveau chanteur du coup ? C'est juste un nouveau costume. [00:31:55] Speaker A: C'est un nouveau costume qui sera peut-être encore plus simple que le précédent. [00:31:59] Speaker E: Il sera toujours un pape avec une tête de mort. Ça sera Emeritus 14 ou 15. [00:32:07] Speaker B: Après je trouve ça bien, c'est vrai que dans certains concerts, on voit quand même des gens qui vivent quand même beaucoup à travers leur téléphone et qui profitent pas forcément du moment. Après, j'ai envie de dire, un concert de Ghost, si tu peux pas te faire un petit Candy Crush pour pas te faire chier, là c'est un peu le risque, il risque d'y avoir beaucoup. [00:32:28] Speaker E: De gens qui dorment quand même. Bah non, c'est pas ça moi, en concert de Ghost, surtout j'allume Shazam, pour essayer de trouver... Il a piqué quoi ? Quel groupe des années 70 ? [00:32:37] Speaker A: Oh là là, les méchants ! Vous êtes mauvais ! [00:32:42] Speaker B: Mais en même temps, c'est pas complètement faux. [00:32:44] Speaker A: Non mais c'est de l'inspiration. [00:32:46] Speaker C: En tout cas, il y a trois dates en France. [00:32:48] Speaker B: On sait qu'il est fan de Dua Lipa qui fait exactement la même chose. D'ailleurs, on les a déjà vus dans la même pièce ? [00:32:54] Speaker E: Non. [00:32:54] Speaker A: Oh ! Oh la révélation ! [00:32:57] Speaker C: Oh my god ! [00:32:58] Speaker B: Pourquoi j'ai pas peur de dire les choses ? [00:33:00] Speaker E: En tout cas, ils seront à Lyon, à Toulouse et à Paris. [00:33:02] Speaker A: Ça c'est bien, ça fait trois dates, tout le monde pourra se disperser. Mais il y a beaucoup beaucoup de fans de Ghost, comme il a récupéré effectivement des petits trucs des groupes les plus connus. Ça rassemble. Après les derniers trucs sont moins intéressants, enfin, je le trouve moins intéressant, mais même le tout début, vraiment, t'avais même pas aimé le tout tout début. On passe à l'âge nu, celui-là. [00:33:21] Speaker E: Alors c'est le festival When We Were Young 2025 qui a annoncé, qui a balancé sa prog. [00:33:28] Speaker B: Ils ont dit qu'ils allaient prendre un stagiaire qui n'est pas dyslexique pour écrire. [00:33:34] Speaker E: Le nom des groupes ? Ouais, peut-être. [00:33:36] Speaker B: Ils ont déjà annoncé. [00:33:37] Speaker E: En tout cas, il y a Panic! At The Disco, Blink-182, Knot Lose, Let Live. Let Live, je ne sais pas comment on dit. Let Live, il réexiste. [00:33:47] Speaker A: Du coup, ils sont là, du coup ils ne sont pas là. [00:33:48] Speaker B: Quand il y a de l'argent, ça réexiste. C'est quoi le line-up du coup ? Parce que c'est pas écrit sur l'affiché. Non mais bon, c'est bizarre quand même. [00:33:57] Speaker E: Et là en plus ça sera donc, comme je vous avais dit il y a 15 jours, le concept où du coup les groupes jouent un album. [00:34:06] Speaker B: Oui du coup il y a une. [00:34:07] Speaker E: Paniquette de disco, ils vont jouer A Fever You Can't Swell Out, Blink ils vont jouer In Mouth The Statement. [00:34:12] Speaker A: Mais les paniquettes de disco ils n'existaient plus. [00:34:14] Speaker B: Non mais là, l'idée c'est que c'est concert anniversaire. [00:34:19] Speaker E: Tu viens, tu joues un... Voilà, même si t'existes pas, tu peux. [00:34:21] Speaker B: Te transformer pour la moule. Même si tu peux pas plaire les gens, c'est que le temps d'un concert. [00:34:26] Speaker A: C'est vrai, et puis c'est un album, donc ça peut aller vite. [00:34:29] Speaker B: Généralement, les gens se parlent pas trop pendant un concert. Les musiciens... Généralement ça enchaîne un peu. [00:34:33] Speaker A: T'as acheté du PQ ? [00:34:34] Speaker B: T'as acheté du PQ parce que là. [00:34:35] Speaker A: Je crois que j'ai la crotte au cul. [00:34:38] Speaker C: Non, ils disent pas ça ? [00:34:39] Speaker E: Non. Quel groupe ? J'ai jamais à savoir quel groupe. [00:34:40] Speaker A: Quand tu t'es rendu en doute, ça t'a gêné. [00:34:43] Speaker E: Ok, bah on va parler justement d'un groupe où ils ne se parlaient plus trop et là en 2025 ils se reforment et ça fera plaisir à notre invité tout à l'heure. Du coup c'est Pintansen qui confirme le retour des OU en 2025. C'est qui ? [00:34:54] Speaker C: Comment ils s'appellent ? [00:34:54] Speaker A: PIN ? [00:34:54] Speaker E: The OU. [00:34:55] Speaker A: The OU. Ah le groupe... le groupe... Pongole. [00:35:01] Speaker E: Les Experts. Non ça c'est The U. Ah pardon. Non mais voilà donc... Robert U. Voilà. [00:35:11] Speaker B: Je fais toutes les vannes. [00:35:12] Speaker E: En plus, Robert Rue, c'est un peu toi. Non, j'ai une moustache. Bref. [00:35:15] Speaker B: J'ai une moustache, moi, monsieur. [00:35:21] Speaker E: Petite dernière news. [00:35:22] Speaker A: Mais avant, je voulais te remercier pour ton t-shirt. Parce que je ne sais pas si les gens l'ont vu. [00:35:26] Speaker E: Je l'ai mis pour la maman de Pierre, si jamais elle regarde l'émission. [00:35:29] Speaker A: Du coup, elle ne peut plus voir son écran, parce qu'à mon avis, ça vient de partir dessus. Mais voilà. Allez, la suite. Squart ! [00:35:44] Speaker E: C'est Primos qui est choqué par le départ soudain de son batteur Tim Alexander. Il s'est barré du groupe. [00:35:53] Speaker A: Du coup ils ont plus de soupe. Bon vas-y. [00:35:56] Speaker E: Non, mais il est là depuis le début. Après, il avait déjà quitté le groupe plusieurs fois, mais il était revenu. Alors, au début, les gens se disaient c'est à cause parce qu'il a eu des problèmes cardiaques. Il a fait deux crises cardiaques dans les années 2010. Et en fait, non. Parce qu'apparemment, ils ont essayé de le contacter. Ça va et tout. Ils ne répondaient pas. Et un jour, ils ont juste reçu un mail. Ouais, j'ai perdu mon envie, ma passion pour la musique. [00:36:24] Speaker A: Ça s'appelle une dépression. [00:36:25] Speaker E: C'est honnête. Mais voilà, le truc c'est que Primus tous les ans, enfin pour le nouvel an, ils faisaient un concert et donc là ils se demandaient s'ils allaient l'annuler ou pas. Finalement ils vont le faire et du coup ils vont même avoir une version augmentée du groupe avec d'autres groupes qui viennent jouer avec eux. [00:36:43] Speaker B: Je pense que c'est un peu, ça a été inspiré par la tournée qu'ils ont fait avec Pussy Fur, tu sais, il y avait la tournée d'anniversaire de Maynard. Et du coup, il y avait Primus, il y avait plein de groupes et ils n'arrêtaient pas d'échanger, tout le monde venait jouer avec tout le monde. [00:36:58] Speaker E: Et pour le coup, ils vont faire aussi un concert en République Dominicaine, du coup, le festival de Toul, organisé par Toul. Et du coup, il y a le batteur de Toul, Danny Carey, qui a essayé de proposer de remplacer, sachant que quand il... Quand Alexander avait fait ses premières crises cardiaques, il l'avait déjà remplacé à l'époque. Donc voilà, il connaît les morceaux, c'est des copains, donc c'est lui qui remplacera. Au moins pendant quelques dates. [00:37:29] Speaker A: En tout cas, on souhaite à l'ancien batteur de Prémus quand même d'aller bien. [00:37:33] Speaker E: Bien sûr, on espère qu'il va bien. [00:37:34] Speaker B: Il va trouver son goût pour la musique. [00:37:36] Speaker E: Et puis s'il le retrouve pas, tant pis s'il est heureux comme ça. C'est vrai. [00:37:38] Speaker B: Un coup pour la musique ! Voilà, c'est tout pour les news ? [00:37:47] Speaker A: C'est tout mais merci Didi de nous donner autant d'informations et merci à toutes ces personnes qui t'envoient tant de messages d'amour et de bonheur lorsqu'elles regardent ta petite VOD qu'il y a tous les lundis à partir de 19h. [00:37:58] Speaker B: Et merci à toute la rédaction bien sûr. [00:38:01] Speaker E: Il y en a un qui m'envoie des news de temps en temps pour de vrai, il y a Marcel qui m'envoie des petits trucs de temps en temps. [00:38:07] Speaker A: Tout ce qu'il envoie c'est inintéressant. [00:38:09] Speaker E: Non c'est ça, c'est pas vrai, c'est pas vrai. [00:38:11] Speaker B: Toi t'es méchant. [00:38:12] Speaker E: C'est pas vrai mais là des fois... Depuis que tu rebestes t'es devenu vraiment méchant. Ouais, t'es vraiment mauvaise. Bon en tout cas je propose qu'on s'écoute un petit Primus avec grand plaisir. [00:38:25] Speaker A: Ah oui et puis alors ce clip. [00:38:27] Speaker E: Et cette chanson c'est pas mal, tout est parfait. Winona's Big Brown Beaver. [00:38:32] Speaker A: Y'a une explication ? [00:38:33] Speaker E: Oui, ils avaient une amie qui s'appelait Winona, qui avait un gros castor, bien marron. [00:38:39] Speaker A: Allez, on va regarder ça. [00:38:44] Speaker B: C'est parti pour le castor. [00:39:04] Speaker D: A plus ! [00:39:33] Speaker E: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:40:12] Speaker C: Sous-titrage. [00:40:12] Speaker E: Société Radio-Canada. [00:41:25] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté. [00:41:28] Speaker E: D'Amara.Org. [00:43:26] Speaker A: Sous-titrage Société Radio-Canada. [00:44:22] Speaker C: Oh! [00:46:21] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:47:22] Speaker C: Let me out. [00:47:23] Speaker D: Let me out. Let me out. Let me out. Let me out. [00:47:40] Speaker A: Ah, mais oui, voilà les amis, les copains, les copines, tout le monde réuni dans un petit clip de Chargott, parce qu'il y a plusieurs A, donc je ne sais pas comment on dit exactement, je n'ai toujours pas compris. Mais on aime ! Let me out, c'est d'ailleurs le clip et le titre de leur dernier album que je vous conseille encore une fois d'écouter. Puis si vous n'avez pas vu leur interview dans Bang Bang, je vous conseille d'aller jeter un oeil. Et par là même de vous abonner à notre page YouTube, si vous êtes là dans le ch'meule, vous pouvez taper point d'exclamation. Bang ! et vous tombez sur l'adresse qu'il faut. Et si vous n'avez toujours pas compris, parce qu'il y en a qui n'ont toujours pas compris que sous les shorts et tout on mettait toutes les adresses qu'il fallait. [00:48:14] Speaker B: Ouais. [00:48:15] Speaker A: Bon. [00:48:16] Speaker B: C'est tout dans les descriptions. [00:48:16] Speaker A: Il y a un problème de concentration. Mais tout est dans la description. En tout cas on les embrasse très très fort Chargotte qui sont en tournée jusqu'à mars 2025 donc regardez un petit peu, ils passent même par la Belgique. Donc peut-être que vous aurez l'occasion de les voir sur scène, c'est incroyable. Mais quelle heure est-il encore ? Parce qu'à chaque fois il y a un rendez-vous qui se passe dans cette émission, un truc très important. [00:48:32] Speaker B: C'est un rendez-vous, il y en a beaucoup aujourd'hui. [00:48:34] Speaker A: Bonjour, I would like to have a rendez-vous. [00:48:40] Speaker B: Tu viens de le gêner, tu viens de gêner notre invité là. [00:48:43] Speaker A: Je crois que ça fait longtemps qu'il est gêné là. [00:48:45] Speaker C: Let me out, c'est peut-être ce que je vais dire d'ici la fin de l'émission. Libérez-moi. [00:48:49] Speaker A: On verra. C'est bien sûr Romain Nijita, bravo ! Ah Romain, Romain, déjà merci. [00:48:58] Speaker C: Eh ben merci à vous de m'avoir invité. [00:48:59] Speaker A: Merci d'être là, merci de faire le déplacement, d'accepter de répondre à quelques questions. Si je comprends bien, tu es fan de métal ? [00:49:06] Speaker C: De métal et de rock d'une manière générale. Pas les trucs les plus hardcore, j'avoue. Certains groupes dont vous avez parlé depuis le début de l'émission, je n'en avais jamais entendu parler, j'avoue, voilà. [00:49:16] Speaker A: C'est pas grave. Il y a plein de groupes que je passe que je ne sais pas qui c'est. C'est parce que c'est mon professionnalisme qui fait bien les choses. Bon alors on va commencer par des questions assez simples puisqu'il faut quand même que tu te présentes parce que tout le monde, toutes les personnes qui sont en train de regarder peut-être ne savent pas qui tu es. [00:49:32] Speaker C: Ils étaient tout de suite leur ordinateur, c'est pas la peine de parler des gens qui ne me connaissent pas. [00:49:38] Speaker B: Restez quand même parce que c'est quelqu'un de très intéressant, s'il vous plaît. [00:49:43] Speaker C: Et de modeste. Non, je pense que la plupart des gens qui regardent cette émission ne me connaissent pas puisque je ne suis pas du tout impliqué dans le milieu de la musique, en tout cas pas au niveau professionnel. Moi, je suis journaliste, mais dans le domaine des séries télé. Donc ça n'a pas grand chose à voir. Et c'est via ce métier que j'ai fait la connaissance du monsieur qui est assis à ma gauche, Didier, qui a œuvré quand même dans le domaine des séries. Les gens connaissent peut-être sa carrière dans la série Nerds, dont il était le co-auteur et la co-modète. Et j'ai eu l'occasion déjà de regarder la série avant et j'ai été... franchement, fan de la série, je trouvais ça absolument génial. Et j'ai eu l'occasion de l'interviewer, lui et l'équipe de la série. Et c'est comme ça qu'on est par la suite restés en contact. Et c'est comme ça que Didier a eu l'idée, quelques années plus tard, de m'inviter dans cette émission. [00:50:31] Speaker E: En fait, tous les quelques mois sur Facebook, je vois des photos de concerts, de trucs, tous les gros trucs. À chaque fois, je dis « Ah bah tiens, Romain Elie ! » Ou même, genre, j'y suis et je fais « Ah bah tiens, sur Facebook, il y a une photo de Romain, donc j'essaye de le repérer par rapport à ça. » Donc Monsieur se fait plaisir, il fait pas mal de concerts. [00:50:51] Speaker A: Tu fais quand même, tu es quand même présent, c'est-à-dire que tu n'es pas dans la scène, mais tu la consommes beaucoup. [00:50:55] Speaker E: C'est un fan, il aime la musique. [00:50:57] Speaker C: Ah oui, j'en joue aussi parce que je suis batteur par ailleurs, mais là aussi à un niveau amateur. [00:51:02] Speaker A: Oui, je ne savais pas par exemple, tu vois ça, je l'apprends, t'es batteur dans un groupe. [00:51:06] Speaker B: On s'est bien fait cette interview. [00:51:08] Speaker C: C'est très pro. Moi qui suis du métier... Non, j'ai joué dans un groupe, on n'a plus trop répété depuis le Covid, mais un groupe qui s'appelait les Steakhouse Chainsaw, donc la tronçonneuse du resto à steak. Très bon. [00:51:28] Speaker E: Déjà, je veux du merch. [00:51:31] Speaker C: On avait quand même quelques compos, notre chanteur et bassiste, voilà, composé, parolé de musique, donc c'était assez sympa, on était plusieurs du milieu justement du journalisme dans ce groupe-là, donc c'était assez sympa, mais voilà, avec le Covid, la fermeture des salles de répét' et tout, c'est vrai qu'on s'est un petit peu perdu du vœu à ce niveau-là, c'est un peu dommage, mais voilà... [00:51:51] Speaker A: Mais tu fais un appel pour leur dire que ça serait bien que vous venez ? [00:51:54] Speaker C: Voilà, les mecs, quand même... Au moins. [00:51:56] Speaker A: De temps en temps, histoire de... Au. [00:51:58] Speaker B: Moins pour faire du merch qu'on puisse en acheter ! Au moins un steak et une tronçonneuse. [00:52:02] Speaker E: Je prends quoi ! [00:52:03] Speaker C: Non, je pense que le truc où on est le plus bossé, c'était le nom du groupe. [00:52:07] Speaker A: C'est pas grave, il y a beaucoup de groupes qui font ça aussi, même des très très pros. Bon bref, on va pas revenir sur certains noms. [00:52:14] Speaker C: Tout à fait. [00:52:15] Speaker A: Et donc tu es journaliste, donc ça c'est le titre qu'on peut te donner. [00:52:18] Speaker C: Exactement, je suis journaliste dans le domaine des séries télé depuis une bonne vingtaine d'années, même un petit peu plus, pour pas mal de médias différents. J'ai eu bossé pour France Inter, Une époque pour le site web de Canal+, pour Mad Movies pendant quasiment 20 ans, pour... Qu'est-ce que j'ai fait d'autre ? Pour le JDD, avant ce qui s'est passé il y a un an. Le journal n'est plus tout à fait le même. Pour Téléstar, depuis de nombreuses années, j'ai fait des docus sur les séries qui ont été diffusées sur France 4. Notamment pour des bonus DVD, également, voilà. Sur tout type de support. [00:52:53] Speaker B: C'est quand même une belle liste. Alors moi j'avais une petite question. Donc t'as travaillé pour Téléstar. [00:52:59] Speaker C: Et je travaille toujours pour eux. [00:53:01] Speaker B: D'accord. Quand j'ai su qu'on te recevait, j'ai posé une question à Pierre et il m'a dit tu lui demanderas. Est-ce que tu as déjà rencontré Zed de TéléZed ? [00:53:10] Speaker A: Ou pas ? [00:53:11] Speaker C: C'est pas le même groupe, c'est la même occurrence. [00:53:13] Speaker B: Peut-être que dans ta carrière, t'as travaillé. [00:53:15] Speaker C: Aussi... Non, non, non. Malheureusement, j'aurais préféré rencontrer Zed de Police Academy, mais malheureusement, ça m'a coupé l'occasion non plus. [00:53:23] Speaker A: Voilà. [00:53:23] Speaker B: Parce que... [00:53:24] Speaker E: Interview terminé, en romballe. [00:53:28] Speaker B: Écoute, j'espère qu'il y aura des bonnes nouvelles, parce que là, pour le moment, c'est une déception. [00:53:31] Speaker E: Tu peux changer ta réponse et dire que tu l'as croisé une fois de loin ? [00:53:34] Speaker C: Oui, mais je pense que c'était... Oui, oui, oui, mais... Je m'en rappelle, oui, mais oui ! Ok, ah, ça c'est vraiment une bonne émission. Mais j'ai rencontré des stars à Téléstar. [00:53:43] Speaker E: Heureusement, c'est vrai qu'il y a une sécrète liste de stars internationales qu'il a interviewé. [00:53:50] Speaker A: Dans le cadre des séries. [00:53:52] Speaker C: Déjà soi ! [00:53:56] Speaker E: Mais moi, chaque fois que je rentre en Ardèche et que moi, j'ai pas de programme, j'achète pas de programme télé. Ma mère est abonnée à Téléstar et chaque fois, je cherche l'article et je dis « Hé maman, regarde, c'est Romain ! [00:54:09] Speaker A: » C'est une façon de faire comprendre aux parents qu'on est quand même quelque part. [00:54:15] Speaker B: J'ai une anecdote excellente. Donc j'ai filmé, j'ai travaillé sur une soirée Instagram. [00:54:22] Speaker A: Ça commence déjà bien. [00:54:24] Speaker B: Cette semaine et donc je filmais pour Instagram et il y avait la Starac qui était là. Et hier soir, il y a une cousine qui habite à Annecy d'ailleurs, je la salue, Mélissa, elle m'a envoyé des photos de sa télé où je passe dans le fond et elle m'a fait... SPOTÉ ! [00:54:46] Speaker A: Et je lui ai dit c'est quand. [00:54:48] Speaker B: Même incroyable, elle a réussi à trouver des images où je passe dans le fond. Et voilà, je trouve ça... [00:54:53] Speaker E: En plus, elle ne savait pas que tu y étais à cette soirée, donc... Non, aucune... [00:54:56] Speaker B: On n'a pas parlé depuis... Oh putain. [00:54:58] Speaker E: Il y a mon cousin ! [00:54:59] Speaker B: Exactement, c'est exactement ça. C'est drôle quand même que les gens spottent des trucs de ouf. [00:55:05] Speaker A: Bon voilà, excusez-moi, j'ai digressé. De toute façon, ça nous intéresse pas trop. Quand Didier dit que t'as interviewé des tas de stars, j'imagine que t'avais beaucoup aussi qui étaient fans de rock'n'roll. Est-ce que ça t'est déjà arrivé en faisant une interview d'un acteur ? que vous parlez musique un petit peu ? [00:55:19] Speaker B: Il est arrivé avec un t-shirt Slayer par exemple ? [00:55:21] Speaker A: Oui, voilà, tu vois qu'il est venu. [00:55:23] Speaker C: Avec un t-shirt Slayer, c'est pareil. Non, j'ai parlé de musique avec Steve Van Zandt, qui est le guitariste et acolyte de Springsteen et qui a joué dans Les Sopranos. Donc lui, évidemment, on a parlé de musique avec lui. [00:55:32] Speaker E: Qui a une gueule. [00:55:33] Speaker C: Mais qui est génial. C'est le mec avec le bandana, avec une grosse moumoute dans Les Sopranos. Avec Kiefer Sutterland aussi, qui a son propre groupe. Qui a joué en France il n'y a pas longtemps. Je l'ai vu, pas la dernière fois, mais la fois d'avant. Et d'ailleurs, à la fin du concert, c'est très drôle parce qu'il dit aux gens « Ok, je sais que vous êtes là parce que vous avez 24h chrono, vous ne connaissez pas ma musique, mais bon, essayez de vous amusez ». [00:55:50] Speaker E: Et alors, t'as kiffé ? [00:55:50] Speaker A: C'est vrai que ça peut faire mal au cœur, mais t'as kiffé ? [00:55:54] Speaker C: Ouais, non franchement, bah oui, avec Sutterland, bah oui. Il y a un petit jeu de mots là, je pense. Ah, voilà. Non, avec qui d'autre ? [00:56:01] Speaker E: 24H chrono, qui revient d'ailleurs, bientôt. Ils sont en train de, non ? [00:56:04] Speaker C: Ça fait des années qu'il parle d'un film, mais non... [00:56:06] Speaker E: Mais là, j'ai vu un truc cette semaine. [00:56:08] Speaker C: Il y avait eu un spin-off avec un autre acteur, mais non, là, pour l'instant, il n'y a rien de... [00:56:13] Speaker E: C'est peut-être un vieux truc qui est remonté. [00:56:16] Speaker C: C'est Jack Ryan, un film avec le lecteur de la série, avec John Krasinski. Mais sinon, on est en interview musique. J'ai interviewé Gene Simmons. Monsieur Kiss, quand même. Très, très, très grand et très impressionnant. Et j'ai failli me prendre une mandale de la part de L.L. Kudjé. très énervé d'une de mes questions. [00:56:37] Speaker E: Qu'est-ce que t'avais dit ? [00:56:38] Speaker C: Parce qu'il était dans un festival... T'as. [00:56:40] Speaker B: Dit, alors, vous jouez aussi dans Bodycount, non ? [00:56:42] Speaker C: Non, j'ai pas osé. Non, en fait, dans le même festival où il était présent, il y avait Ice-T qui était là. Que j'ai aussi interviewé et qui, lui, pour de bon, est très très cool. Ice-T, absolument génial. Elle est le coup de J, donc elle est là. Et je lui demande... À cette époque-là, il jouait dans NCIS Los Angeles. [00:57:04] Speaker A: Pas bien du tout, du tout, du tout. [00:57:05] Speaker C: Alors que Ice-T joue dans New York Unité Spéciale, qui est par contre une très bonne série policière. Et je dis à El El Koolje, dans ce même festival, il y a Ice-T qui maintenant, depuis une vingtaine d'années, joue un rôle de flic quand même dans une série. Vous aussi maintenant, vous jouez un rôle de flic avec NCS LA. Ce n'est pas banal pour un rappeur de jouer un rôle de flic quand même, le côté gangsta, etc. Est-ce que vous pensez que Ice-T a été précurseur dans le fait de jouer un rôle de flic. Qu'est-ce que j'ai pas dit ? Les coachers qui commencent à me regarder vénère me disent qu'ils avaient déjà ma sitcom il y a 25 ans, j'ai fait je ne sais combien de saisons, etc. Donc le mec me déroule tout son CV mais qui n'a strictement rien à voir avec le fait de jouer un rôle de flic. Donc si vous voulez dire qu'il était le premier, vous pouvez le dire si vous voulez, mais je ne suis pas d'accord. [00:57:49] Speaker B: Après, il est de notoriété publique, LL Coogee n'est pas un mec très cool. [00:57:53] Speaker C: Il se déplace avec son propre ventilateur, donc tu vois le... Pour l'image de gros dur ! [00:57:59] Speaker A: Or que Ice-T... [00:58:03] Speaker C: Ah non mais pas le petit truc, le gros machin de concert... [00:58:06] Speaker A: Il y a un mec derrière qui. [00:58:09] Speaker B: A un générateur électrique ! [00:58:12] Speaker C: Je sentais dans son regard que c'était... [00:58:14] Speaker A: Oui, il blaguait pas, qu'il pouvait basculer, t'as fait OK... Très bien, très bien. [00:58:19] Speaker B: Ce n'est qu'il avait fait une chanson à propos de lui, ça s'appelle Cool Thing, et c'est justement une rencontre de... C'est Kim Gordon qu'il a rencontré sur un festival, et il lui avait mal parlé, et du coup ils ont fait une chanson un peu pour se foutre de sa gueule. [00:58:34] Speaker C: Bien fait pour lui. [00:58:38] Speaker B: L'avantage c'est que tu peux te dire que t'es dans la même situation que Sonic Youth, et ça c'est plutôt pas mal. [00:58:44] Speaker A: C'est quoi le genre de groupe que t'aimes bien ? C'est quoi tes groupes préférés ? [00:58:47] Speaker C: Mes groupes préférés, je pense qu'on va les décrire un peu plus tard avec les clips. Je suis comme très classic rock, donc Queen qui pour moi est franchement au-dessus. ACDC aussi, numéro 2 sur le podium. Et numéro 3, là par contre rien à voir, c'est du métal progressif, c'est Dream Theater. [00:59:04] Speaker E: On a un autre fan de Progis. [00:59:08] Speaker A: Pour ça il viendra après, parce qu'Enjoy là, attention tout va se passer normalement, il arrivera pour parler de ce passage-là justement, c'est prévu. [00:59:15] Speaker C: Donc voilà, ça te donne un petit peu la diversité de ce que j'aime bien. Tu rajoutes par-dessus un petit peu de who, un petit peu de police, des groupes dans ce genre-là, puis voilà. [00:59:25] Speaker A: T'es jamais parti dans le métal extrême parce que ça t'a jamais parlé ? [00:59:29] Speaker C: J'ai tenté, j'entends deux fois quelques trucs, je trouve ça sympa cinq minutes mais... [00:59:34] Speaker B: Tu ne fais pas des albums entiers quoi ? [00:59:37] Speaker C: Non, je ne fais pas d'albums entiers. Après voilà, en concert, c'est pas du extrême extrême mais j'ai fait du Motorhead, du Metallica plusieurs fois, des trucs comme ça mais pour moi voilà, c'est un peu la limite. [00:59:47] Speaker A: Ça envoie quand même. Justement, tu parlais de Queen. Bon, comme ça fait partie des choix que tu as eus. Le fameux Queen. Alors, je me suis dit que tu avais quand même choisi des trucs qui étaient assez cinématographiques aussi, non ? Il y a un rapport ou c'était juste le hasard ? Parce que le Bohemian Rhapsody, moi forcément, ça me rappelle un film. [01:00:01] Speaker C: Ah oui, et d'où... J'ai spoté la cassette dès que je suis arrivé tout à l'heure. Parce que c'est à peu près la même époque où j'ai découvert ce groupe, ce film. Enfin voilà, tout ça est un petit peu lié. J'ai failli choisir comme clip Princess of the Universe, qui est la chanson de... [01:00:17] Speaker E: Elle me rend fou, quand je l'écoute en faisant mes courses, j'ai une espèce de montée en moi, je me sens supérieur et je regarde juste, allez-y, qu'est-ce que tu veux toi, la caissière, t'es pas contente ? [01:00:29] Speaker C: Tant qu'il ne coupe pas la tête, ça ira ! [01:00:30] Speaker E: J'ai envie de prendre le quickening de tout le monde. [01:00:33] Speaker C: En plus, le clip est dément parce que t'as Christophe Lambert dans le clip qui fait un combat d'épée, c'est-à-dire que t'as Freddie Mercurité qui a toujours d'habitude son micro avec le pied de micro, et bien il le retourne et ça fait l'épée avec laquelle il se bat avec Lambert. Et ça, le clip, ils l'ont tourné sur le toit du studio Silvercup, dans lequel se déroule le combat final du film. Tu sais que le grand nom en néon rouge, c'est là qu'ils font le clip de la chanson. Donc du coup, j'ai failli choisir ce clip là pour ça, plus pour le visuel que pour la chanson. Mais non, je suis reparti sur un classique, Bohemian Rhapsody, parce que s'il y a une chanson Queen à diffuser, c'est quand même celle-là. Il y a tout qui est dedans. [01:01:09] Speaker A: Est-ce que, comme tout le monde, si tu l'écoutes dans la voiture, c'est dangereux ? [01:01:15] Speaker E: Ou Wensworld, ça fait du mal. En Ardèche, dans les années 90, avec Davy, dans sa voiture, on passait toujours dans la gare routière, on calait vraiment le morceau et on faisait comme dans Wensworld. [01:01:25] Speaker C: Est-ce que t'as le petit pot en plastique, si tu veux m'y mettre dedans ? [01:01:28] Speaker E: Je me porte garante, ça donne évacuation. [01:01:30] Speaker A: Non parce que c'est vrai que, alors attention je digresse un tout petit peu avant de passer le clip, mais c'est vrai qu'il y a quand même beaucoup beaucoup de séries et beaucoup de films qui ont fait la part belle au rock et au métal. On va en parler après parce qu'il y en a quand même un sacré paquet, mais voilà, Windsworld ça fait partie des choses qui ont nourri je pense beaucoup de notre génération. On connaît pas son âge mais je pense qu'on a à peu près le même âge. [01:01:49] Speaker C: Ouais je pense qu'on a à peu. [01:01:50] Speaker A: Près la même génération. [01:01:51] Speaker E: Entre 25 et 28. [01:01:52] Speaker A: Pas plus que 29. Avant de balancer Queen, ça serait quoi la série ou le film qui a le plus pour toi partagé le rock'n'roll ? [01:02:04] Speaker C: Il y en a deux ex aequo, parce que franchement je ne peux pas les départager, c'est des films que je revois quasiment une fois par an, c'est Phantom of the Paradise de Brian De Palma et Tommy, le film d'après le concept album des Who, que je découvère d'abord à travers la scène de nage dans les haricots rouges qui avait été diffusée dans La nuit du mauvais goût sur Canal+. J'ai lu cette scène, je me suis dit qu'est-ce que c'est que ce truc ? Et quelques mois plus tard, Arte a diffusé le film, je crois que c'était, vous avez fait une programmation spéciale Woodstock. Et donc je me suis dit mais faut que je vois ce film avec les haricots, évidemment ça va bien au-delà, c'est culte pour moi, album culte, voilà quoi. [01:02:38] Speaker A: C'est les films que tu te fais une fois par an. Putain, nous ça fait longtemps qu'on s'est pas refait nos petits favoris. Va falloir qu'on refasse ça. Tu viendrais dormir chez toi ? [01:02:46] Speaker C: Sur les pyjamas ? [01:02:48] Speaker A: Sans pyjama ! [01:02:48] Speaker E: Et en série, il n'y a pas de... [01:02:52] Speaker C: Une série vraiment rock... Par exemple, j'ai. [01:02:55] Speaker E: Envie de voir la série de Cameron Crow sur l'univers des Roadies, qui est génial. [01:03:01] Speaker C: Moi, j'ai trouvé vraiment bien. Comme série vraiment rock, t'as les Monkeys, dans un genre un petit peu différent. T'as un truc canadien qui date d'il y a une dizaine d'années qui s'appelle Todd and the Book of Pure Evil. Imagine, c'est jamais passé en France, moi je l'ai passé dans un festival, j'ai récupéré les droits pour le passer dans un festival, le Comic Con version Japan Expo à l'époque. Imagine un espèce de truc genre Evil Dead mais dans un lycée. Un mélange d'Evil Dead et Parker Lewis. [01:03:26] Speaker A: Et c'est trop bien. [01:03:27] Speaker E: Du coup c'est Buffy quoi. Et Buffy qui était effectivement une série très rock. [01:03:31] Speaker C: Mais avec l'humour, t'as Dee Snider qui apparaît dedans, donc le chanteur des Twisted Sisters, t'as une scène avec des grosses quéquettes géantes en caoutchouc, enfin voilà. [01:03:38] Speaker E: Là tu viens de trouver le truc qui va faire que Pierre va chercher la série. [01:03:42] Speaker A: C'est marrant, je vais retenir un seul truc de l'interview. Non non mais je ne connaissais pas. [01:03:48] Speaker C: Donc... Ah mais je pense que personne en France ne connaît à part les 4 personnes qui étaient dans la salle alors que le producteur était là. [01:03:54] Speaker A: Voilà. C'est des choses qui arrivent. Et au moins c'est passé. C'est passé, ouais. T'as réussi à faire ça. Bon on va regarder ce petit clip de Queen, on va se régaler, on va sûrement chanter, on va sûrement bouger dans tous les sens. Attention quand même à la nuque, vous aviez vu tout ce... [01:04:08] Speaker B: On s'est chauffé un petit peu avant. [01:04:09] Speaker E: Vous savez qu'au départ la production de Wayne's World voulait mettre les guns ? [01:04:14] Speaker A: Ah ouais ? [01:04:14] Speaker E: Il voulait mettre un titre des Guns N'Roses parce que c'est ce qui marchait à l'époque. Et du coup, Wayne, le comédien, a dit si vous ne mettez pas Queen, Bohemian Rhapsody, je me barre du film. Il a vraiment fait le forcing et il a eu raison parce que ça cartonne et que ça a relancé aussi les écoutes de Queen de ouf dans les années 90. Une nouvelle génération a redécouvert le groupe. [01:04:39] Speaker C: C'est magnifique. [01:04:41] Speaker A: On va partir là-dessus. Queen. [01:04:47] Speaker D: Is this the real life ? [01:04:51] Speaker C: Is this just fantasy ? [01:04:54] Speaker D: Caught in a landslide No escape from. [01:04:59] Speaker C: Reality Open your eyes Look up to. [01:05:06] Speaker A: The skies and see. [01:05:12] Speaker D: Just to move on I need no sympathy Because I'm easy come, easy go Little high, little low Any way the wind blows Doesn't really matter. [01:05:45] Speaker C: Just killed a man Put. [01:05:49] Speaker D: A gun against his head Pulled my trigger, now he's dead Mama, life had just begun. [01:06:19] Speaker C: Si je ne reviendrai pas. [01:06:21] Speaker D: Cette fois-ci, demain, Continuez, continuez, comme si rien ne m'importait. [01:06:50] Speaker C: Paris I see a little silhouetto of a man Scaramouche, Scaramouche, will you do the fandango? Thunderbolt and lightning, very, very frightening me Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo. [01:08:06] Speaker D: Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo. [01:08:10] Speaker C: Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo. [01:08:11] Speaker D: Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo. [01:08:15] Speaker C: Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo. [01:08:17] Speaker A: Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo. [01:08:18] Speaker D: Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo, Galileo. [01:08:21] Speaker C: Galileo, Galileo Galileo, Galileo Galileo Bismillah! [01:08:25] Speaker D: No! [01:08:25] Speaker C: We will not let you go! [01:08:26] Speaker D: Let him go! [01:08:28] Speaker A: Bismillah! [01:08:29] Speaker C: We will not let you go! [01:08:30] Speaker D: Let him go! [01:08:31] Speaker C: Bismillah! [01:08:32] Speaker A: We will not let you go! [01:08:33] Speaker D: Let me go! [01:08:34] Speaker C: We will not let you go! Let me go! [01:08:36] Speaker D: We will not let you go! Never let me go! [01:08:41] Speaker C: Oh mamma mia! Mamma mia! [01:08:43] Speaker D: Mamma mia! [01:08:43] Speaker C: Let me go! [01:08:44] Speaker A: Beelzebub has a devil put aside for me! For me! [01:10:06] Speaker D: Nothing really matters Nothing really matters to. [01:10:18] Speaker A: Me. [01:10:48] Speaker B: Musique douce. [01:14:58] Speaker A: C'est vrai qu'il crache comme un dégueulasse. Bang bang, bah oui c'est ça bang bang, un bon bang bang envoyé comme ça en pleine face, ça nous fait toujours du bien. [01:15:07] Speaker B: On comprend pourquoi ils mettent un anti-pop devant le micro, parce que sinon... [01:15:10] Speaker A: Il aurait fallu qu'il soit un peu plus grand même je pense. [01:15:12] Speaker E: Un parapluie carrément. [01:15:15] Speaker A: Avec une récupération, un recyclage, pardon. Oups, là je reviens. Touché amoureux. [01:15:20] Speaker B: Voilà, Touché amoureux, featuring Julien Baker, qui est une femme. [01:15:25] Speaker A: Oui. [01:15:26] Speaker B: Malgré le nom... Julien. [01:15:28] Speaker C: Voilà. [01:15:28] Speaker B: Et bah non, mais écoute, il y a un nouvel album de Touché amoureux qui est sorti le 11 octobre. Et moi j'étais pas trop con, ils ont commencé à... Je crois qu'il y a un premier titre qui a été sorti cet été. et l'album est sorti. Moi j'étais pas trop là, mais je suis passé complètement à côté. Et en fait, je suis pas un méga fan de Touché à mourir, mais j'ai été curieux parce qu'il y a le feat avec Julian Baker que j'adore. Et je trouve le titre très sympa, je me suis dit autant partager. C'est pas un vrai clip, c'est un peu un visualiser. Mais bon, je trouve que c'est bien, on voit les gars, les images sont jolies, c'est agréable, on rentre dans la chanson, voilà. [01:16:06] Speaker A: Ça me paraît plus... Alors attention, je vais me faire engueuler par les fans de Touche-moi, mais ça me paraît un peu plus pop. Enfin plus accessible, parce qu'il y a des chansons quand même de Touche-moi qui sont ouf. [01:16:15] Speaker B: C'est un peu moins maniéré, je dirais. [01:16:18] Speaker A: Ah, c'est ça, un peu moins... Oui, maniéré, c'est mieux. Je vais dire exagéré, mais ça ferait pas gentil. [01:16:24] Speaker B: Oui, oui, avant, il y avait un côté très marqué. Après, j'ai pas écouté tout l'album encore. Du coup, j'écoutais que quelques titres, mais voilà, ce titre est sympa. [01:16:31] Speaker A: Apportez la curiosité d'aller écouter justement ce. [01:16:32] Speaker B: Nouvel album qui est sorti déjà. Allez-y, je n'ai pas le nom parce que je n'ai pas mon téléphone avec moi. [01:16:37] Speaker A: C'est pas grave, les gens cherchent à un moment. Ils sont sur internet, ils nous regardent, ils sont sur un ordinateur, ils peuvent bien chercher l'album. On n'est pas là non plus pour faire ce boulot correctement, ok ? Alors, il en a marre. Minute papillon couleur de neige. Blanc. [01:16:49] Speaker B: Ou pissant, ça dépend de... La neige ça dépend. [01:16:54] Speaker A: J'espère que tu passes un bon moment Romain. [01:16:56] Speaker C: Moi je suis au spectacle. J'ai l'impression d'être au théâtre des deux ânes. [01:17:02] Speaker E: C'est exactement la bonne référence. [01:17:04] Speaker B: Alors c'est le théâtre des trois ânes, parce que je te rappelle que Didier est là aussi. [01:17:08] Speaker C: Mais Didier est très grand, je le respecte. [01:17:29] Speaker E: Dès que je ramène un invité, à chaque fois ça finit comme ça. [01:17:31] Speaker B: C'est toi qui lances le truc aussi. [01:17:34] Speaker A: C'était pas parti dessus pour une fois. Juste avant qu'on regarde les deux clips qui viennent de passer, on parlait de rock et de séries et de films. C'est vrai que j'ai... Alors, j'avoue, je vais pas te mentir, je regarde plus de séries aujourd'hui. Je suis pas un consommateur de séries aujourd'hui, mais j'étais adolescent, j'étais étudiant, donc j'en ai consommé ce qui passait à la télé en tout cas. Et c'est vrai qu'à l'époque, dans les années 90, 2000, enfin début 2000, il y avait quand même énormément de rock et de métal. Quand je dis métal, attention, c'est très ouvert. Hard rock, alternative rock, etc. Bon, peu importe. Mais est-ce qu'il y en avait plus à l'époque qu'aujourd'hui ? Parce que comme je regarde pas, je ne peux pas répondre à cette question. [01:18:09] Speaker C: Aujourd'hui il y a tellement de contenu que forcément t'as beaucoup de musique partout. Alors t'as peut-être eu une mode à une époque dans pas mal de séries ados, notamment à cause d'une chaîne qui aux Etats-Unis s'appelait WB qui ensuite est devenue CW, c'est la chaîne sur laquelle tu avais des séries comme Buffy, Supernatural, Dawson, etc. Et c'est vrai qu'ils avaient l'habitude de toujours mettre des chansons en fin d'épisode, notamment des groupes qui étaient à la mode à l'époque, même ils tournaient des clips avec eux. Donc c'est vrai que t'avais de très très grosses présences de la musique à ce niveau là. Mais tout ça en fait, ça remonte, si tu remontes un peu le fil, les premiers qui ont vraiment mis comme ça des tubes à la mode dans les séries, en fait c'est Michael Mann de Flicka Miami. C'est vraiment le premier qui a fait ça. Qui était la première série en stéréo à la télé américaine. Donc tu vois, on remonte très très loin. Et c'est lui qui a créé des séquences dans lesquelles les personnages ne parlaient pas, qui étaient quasiment des mini clips. où c'est la chanson qui va créer l'ambiance. Typiquement, c'est dans le pilote de Miami Vice où t'as une scène comme ça avec In The Air Tonight de Phil Collins où t'as les deux flics qui sont dans leur bagnole, qui roulent et qui sont le regard perdu dans le vide et t'as quasiment la séquence dure quasiment deux minutes comme ça. À l'époque, ça se faisait pas dans une série d'avoir une séquence de deux minutes avec juste de la musique et des personnages qui ne parlent pas. Ensuite, tout ça a été récupéré avec de la musique un peu plus teenage, 15 ans plus tard, dans les séries dont j'en parlais un peu avant, mais tout ça remonte vraiment à Mimi Weiss. C'est vraiment les premiers qui ont utilisé la musique comme des chansons existantes. [01:19:35] Speaker A: Et puis là, c'est carrément la série qui se déroule, mais c'est la musique qui habille Kinara, comme tu l'as dit. C'est marrant parce que dans les trucs des années 90, c'était quand même plus un concert. Moi, je me rappelle de Charm d'Avec Orgie. [01:19:46] Speaker E: Dans Buffy, pour le coup, même si maintenant il s'est fait cancel, justement, Josh Whedon était quand même... Il a voulu un groupe de Los Angeles, un groupe local pour faire le générique, donc il venait à refaire d'erreur. [01:19:56] Speaker C: Et il changeait à chaque saison, d'ailleurs. [01:19:58] Speaker E: Ouais, et que du coup, il y avait le... J'en parlais beaucoup quand je faisais le Mola Mola à l'époque. Du coup, c'était mon... Mon émission où, quand j'intervenais dans l'émission de Pierre, où du coup je parlais de séries télé, de musiciens rock dans les séries télé, voilà. Et du coup, Le Bronze, qui était la salle de concert dans Buffy, avait des vrais artistes qui venaient jouer. Il y a eu les Breeders, il y a eu plein de... Il y a plein de groupes qui sont venus jouer et qui étaient des groupes soit locaux, soit qui cartonnaient à ce moment-là. Mais effectivement, c'est très années 90 où, enfin, même en France, comme on en parle souvent, il y avait du rock tout le temps à la télé. [01:20:31] Speaker A: Attends, les jeunes et les garçons, c'était des rockeurs ? [01:20:32] Speaker E: Bah oui ! [01:20:33] Speaker A: Non mais je te rappelle qu'il y. [01:20:36] Speaker B: Avait des blousons noirs dans Le Mique des Réveils. [01:20:39] Speaker C: T'avais juste à la fin de la répète, c'était super répète les gars. [01:20:44] Speaker E: Des fois il y avait une minute où il y avait vraiment du grand n'importe quoi où les comédiens étaient vraiment genre en train de shredder de ouf des solos de malade en se roulant par terre alors que Je dis ça. [01:20:54] Speaker A: Parce qu'aujourd'hui, souvent les gens ont dit que le rock était mort. Bon, je pense pas que ce soit une réalité. Je pense qu'il y en a beaucoup comme nous qui pensons que c'est pas du tout une réalité. Mais du coup, c'est quand même un peu moins présent. [01:21:03] Speaker B: C'est moins de samedi aussi. À l'époque, ça passait peut-être un peu plus à la radio. [01:21:07] Speaker C: Voilà, c'est moins présent, je pense, de la même manière qu'on disait tout à l'heure avec le fait de placer des disques vraiment dans les séries. Mais t'as plus des mecs qui viennent du rock et qui vont faire des BO de séries. T'as les mecs de Nine Inch Nails qui ont fait des B.O. pour le ciné, qui maintenant en font aussi pour les séries. Il y a un mec comme Bermack Crary, qui est pour moi le meilleur compositeur de musique de séries actuelles. C'est le mec qui a fait la musique de Galactica, la nouvelle version. Walking Dead, c'est lui qui fait actuellement les musiques de la série Les Anneaux de Pouvoir, c'est-à-dire Le Seigneur des Anneaux. [01:21:38] Speaker E: On en a fait un article sur le site de Restless. [01:21:42] Speaker C: Et ce mec-là vient de sortir un concept album qui s'appelle Singularity, dans lequel, au casting, t'as le chanteur de System of a Down, y'a Slash, y'a Joe Satriani, y'a Rufus Renwright, t'as des acteurs qui font des interludes dialoguées. Franchement, écoutez-le, cet album, c'est absolument génial, ça accompagne un comic book qui te raconte l'histoire du truc. Singularity, c'est sorti cette année. [01:22:05] Speaker A: Donc ça veut dire qu'ils sont encore à l'envers. [01:22:08] Speaker E: Même dans ce qu'il a fait, des trucs qui sont plutôt métal, notamment sur les Anneaux de Pouvoir, mais il a fait des génériques, genre le générique de Black Sails, qui a une énergie métal alors que c'est juste de la cornemuse et de la rythmique. [01:22:23] Speaker B: Comme Korn ! [01:22:24] Speaker E: Voilà, c'est Korn. Il a une énergie, il te fait ressentir des émotions à travers sa musique. Effectivement, je trouve que c'est un génie aussi. [01:22:34] Speaker C: Et sur Galactica, il a utilisé tout un motif à partir de la chanson All Along the Watchtower, mais qui vraiment est intégrée à l'intrigue de la série dans la dernière saison, parce que t'as un personnage qui se rappelle des notes et le fait qu'elle se rappelle des notes, ça va déclencher des souvenirs, etc. [01:22:48] Speaker E: C'est bon, on peut spoiler, ça fait quand même plus de 15 ans que la sortie. [01:22:54] Speaker C: Donc ouais, c'est Starbuck, les Sylons qui. [01:22:58] Speaker E: Se rappellent et c'est souvent même des. [01:22:59] Speaker C: Fois juste quelques notes. Quand tu sais, c'est utilisé en... Ça devient motif, ouais. Donc ces mecs-là, maintenant, c'est pas juste qu'ils vont faire des chansons, c'est des mecs qui croisent toutes leurs influences et qui sont vraiment, qui font de l'ABO derrière. [01:23:14] Speaker A: C'est vachement plus riche alors, du coup c'est quand même plus intéressant. [01:23:17] Speaker C: C'est pas juste un guest, t'as eu des trucs rigolos, t'as eu Kiss dans l'épisode de Millenium par exemple, la série de la série de série de Killers du créateur de X-Files, des trucs marrants comme ça. [01:23:26] Speaker E: Il y en a plein, des petits caméos, dans mon téléphone j'ai préparé une liste pour te faire un quiz au cas où. [01:23:31] Speaker C: Ok ! [01:23:32] Speaker E: Non mais on a même des choses... Michael Michael Romans, le chanteur qui est à la base d'Umbrella Academy. [01:23:41] Speaker C: C'est le comique qui a écrit le comique et qui est aussi impliqué dans la série. [01:23:43] Speaker E: Très sympa. [01:23:47] Speaker A: Est-ce que ça reste toujours dans un cadre très sombre, gothique ? Ou de l'humour ? [01:23:53] Speaker C: C'est un mélange des deux, c'est une espèce de satire des trucs de super-héros avec une bande de gamins qui a été adoptée par un mec qui va créer une équipe un peu façon X-Men mais tu comprends que derrière le type est un peu barré. [01:24:08] Speaker A: D'accord. [01:24:08] Speaker C: Ça part un peu dans tous les sens mais c'est sympa. [01:24:11] Speaker A: C'est un peu cliché après que le rock soit tout le temps associé à ça, mais comment l'associer à autre chose en même temps ? Il y a l'humour, moi je pense que quand même l'humour. Il y a beaucoup de rock dans l'humour, il y a beaucoup d'humour dans le rock aussi. On parlait de Wayne Sward, il y a eu des films dont on parlait aussi hors antenne. Singles, c'est... C'est pas fait pour être comique, mais c'est quand même... Voilà, c'est léger. C'est pas un méga grand film, mais ça fait rire. Il n'y a plus ça, aujourd'hui. [01:24:38] Speaker C: Il n'y a plus ça ! [01:24:39] Speaker A: Alors, maintenant c'est nul ! C'était mieux avant. Cette émission l'aura dit deux fois et peut-être plus. Jamais de deux fois. Sans trois. Sans trois, sans deux. [01:24:48] Speaker C: La voiture ! [01:24:50] Speaker A: C'est bon. Il peut rentrer dans l'équipe, ça y est. Peut-être, peut-être. Est-ce que tu trouves que cette culture, le rock est plus, dans les séries, tu me diras en même temps c'est américain, ma question elle est nulle. [01:25:18] Speaker C: Je m'inscris en faux, il n'y a pas que des séries américaines, il y a des séries anglaises qu'on parlait de rock aussi. Il y a un truc pas très connu, mais j'ai adoré, qui est passé sur Jimmy, donc toi tu l'as connu, qui s'appelait « Comment devenir une rockstar ». Je ne sais pas si tu l'as vu. C'était en pleine époque Britpop. Si tu suivais l'histoire d'un jeune groupe amateur et qui, d'un seul coup, connaissait la gloire grâce à un tube et tu suivais la progression de toute leur carrière et à la fin, ça se pétait la gueule. Mais surtout, dans le dernier épisode, tu as le chanteur, au moment où il comprend que ça se pète la gueule, il est dans une soirée où personne ne lui parle. Il n'est qu'une guitare dans un coin. Il essaye de gratter Wonderwall. Il n'arrive pas à trouver les accords. Et t'as un mec derrière lui qui dit non mais là c'est, je sais pas, c'est un Fadiez, je sais pas quoi, et le mec de la série dit non non c'est pas ça, c'est pas un Fadiez. Et derrière lui t'as la caméra qui monte, c'est Noël Gallagher, il fait si si je sais que c'est un Fadiez. [01:26:01] Speaker A: C'Est moi qui l'ai composé, espèce de connard ! Ouais, un côté britannique est plus amusant. Et c'est vrai qu'il y a quand même beaucoup de séries britanniques où on retrouve l'ambiance rock ou l'ambiance punk, quand bien même il n'y a pas la musique. [01:26:14] Speaker B: C'est culturel aussi. Je trouve qu'il y a même des séries aujourd'hui où il n'y a pas une B.O. forcément. [01:26:20] Speaker A: Oui c'est ça. [01:26:21] Speaker B: Il peut y avoir du rock, mais. [01:26:23] Speaker A: Pas tout le temps. [01:26:24] Speaker C: Tu vas avoir l'esprit, ouais. Mais par contre, il y a... On parlait de super-héros, t'as la série Misfits, qui a vraiment cet esprit un peu punk, un peu thrash. Et d'ailleurs, t'as un des acteurs de Misfits, qui est dans Bradley Academy, Robert Sheehan, qui est le mec un peu barré avec les cheveux bouclés. Et qu'est-ce que t'as d'autres que je peux citer ? Il y a eu une mini-série, il n'y a pas très longtemps, il y a 3-4 ans, sur l'histoire de Sex Pistols, et qui a été réalisée par Danny Boyle. donc l'organisateur de Trainspotting, Slumdog Millionnaire, etc. et qui a été fait en collaboration avec le guitariste des Pistols. [01:26:53] Speaker A: Tu ne savais même pas qu'il y avait eu ça. [01:26:54] Speaker C: Il s'appelle Pistols tout court et c'était sur Disney+. Disney. J'ai interviewé Danny Boyle sur la série, j'ai demandé comment est-ce qu'on fait un truc sur les Sex Pistols pour Disney+, en termes de liberté. Il m'a dit qu'on a pu tout faire, sauf un truc qui était de montrer un t-shirt que portaient vraiment les Sex Pistols à l'époque, dans lequel tu as les sept mains qui faisaient un fist-fucking. [01:27:17] Speaker A: J'ai envie de te dire, Disney+, ils. [01:27:19] Speaker E: Ont fait une série avec la bite de Tommy Lee qui parle. [01:27:22] Speaker C: C'est vrai, c'est vrai. Et qui était pas mal du tout d'ailleurs, la série. [01:27:25] Speaker E: Très belle bite. [01:27:26] Speaker B: Elle était quand même pas mal. Elle parle déjà, donc c'est bien fait. J'ai une petite question parce que du coup, j'ai l'impression que dès qu'on te parle d'un truc, tu sors beaucoup de références. Enfin, c'est ton travail. Mais comment tu fais pour voir autant de séries ? [01:27:44] Speaker C: Je suis payé pour. [01:27:46] Speaker B: Tu fais des heures sup ? [01:27:48] Speaker C: Non, ça fait partie de mes heures de boulot. En gros, ma semaine, c'est moitié visionnage et moitié rédaction. [01:27:54] Speaker E: Mais par contre, le soir, quand il rentre chez lui, il fait des tableurs, il fait des trucs chiants. [01:27:57] Speaker C: Je fais ma compte à tout ça. [01:28:01] Speaker B: Est-ce que tu regardes encore des séries pour le plaisir ? [01:28:06] Speaker C: Oui. En plus... [01:28:09] Speaker B: Genre le soir, tu te mates des. [01:28:11] Speaker C: Séries des fois ? J'essaie de concilier ce que j'ai envie de voir pour pur plaisir et ce dont je vais parler. Il y a moitié de trucs que j'aurais eu envie de voir et l'autre moitié, c'est des trucs que j'aurais peut-être pas regardé. Et dans l'eau, il y a des bonnes surprises et dans l'eau, il y a des tannées. Je ne vais pas donner de nom, ce ne serait pas sympa. [01:28:34] Speaker A: Mais quand même, celle-là, elle est nulle. [01:28:36] Speaker E: Qu'est-ce que ça t'arrive, du coup, dans tes moments de loisirs, de revoir des trucs, de revoir des séries ? Genre là, moi, je viens de me refaire pour la énième fois The Office. Et je suis en train de me refaire Buffy. [01:28:50] Speaker C: Mais malheureusement, c'est le truc que je regarde, c'est que j'ai tellement de trucs nouveaux à regarder que je n'ai pas le temps de revoir des trucs ou alors un épisode par-ci par-là. Mais voilà, je ne veux pas non plus faire pleurer dans les chaumières. Je ne bosse pas à la mine de Gabuzi. [01:29:03] Speaker E: Il est payé pour mater des séries. [01:29:06] Speaker A: C'est plutôt sympa. C'est plutôt sympa, sauf quand t'as l'échantille, parce que t'es obligé de te la taper en entier. [01:29:10] Speaker C: Mais c'est aussi, c'est... Pas forcément, mais. [01:29:13] Speaker A: C'Est aussi mon boulot. [01:29:14] Speaker C: C'est aussi mon boulot, justement, de faire ça avant vous, pour dire, ben non, vous perdez pas votre temps à la regarder, celle-là, c'est vraiment... Ou alors, si vous aimez les trucs de merde, mais... [01:29:23] Speaker A: Bon, médicament, parce qu'elle est vraiment mauvaise. Non mais c'est vrai que ça doit être chiant. Dans les morceaux que tu as choisis, je te donne la page et là je pense que ma mère va être heureuse parce qu'elle regarde un petit peu l'émission de temps en temps la pauvre. [01:29:35] Speaker C: Bonjour madame ! [01:29:36] Speaker A: Monique, on connaît la phrase qui va avec. Mais ACDC. ACDC avec Hard As A Rock. Bon ma mère aussi. Et c'est Didier en tout cas qui le dit. [01:29:46] Speaker B: Didier devant ta mère surtout. [01:29:49] Speaker A: Pourquoi ce titre-là ? Tu parlais de ACDC parce que c'était parmi ces grands groupes qui font ta vie. [01:29:54] Speaker C: Pourquoi cette chanson-là ? Parce que c'est avec cette chanson-là que j'ai vraiment découvert le groupe. C'était un peu leur gros comeback en 95. C'est l'époque où, comme beaucoup de gens de ma génération, donc les gens de 27 ans comme on disait tout à l'heure, J'ai écouté Fun Radio, l'époque comme Hot N Play, on va dire les 2-3 ans qu'ils ont été un peu rock, vraiment. L'époque de Love & Fun, de Max, le Star System, etc. Et c'est à cette grosse époque-là que tu avais les Red Hot, les Foo Fighters, tu avais tout ça. Et il y avait la grosse promo de l'album Ball Breaker, avec Hard As The Rock, et c'est vraiment à partir de là que je suis rentré dans le groupe. J'avais la cassette que j'avais copiée... T'es rentré dans le groupe ? Complètement, ouais. [01:30:33] Speaker E: C'est vrai qu'ils sont souvent de batteurs. [01:30:36] Speaker C: J'aurais bien aimé. Mais ouais, j'avais la cassette que j'avais copiée à un pote de collège que j'écoutais sur mon Walkman. [01:30:42] Speaker E: Dans tes années 90, on a tous fait ça. [01:30:45] Speaker A: Faut le dire, c'est important de le rappeler. C'est ça. [01:30:47] Speaker C: Et après, j'ai découvert tout le back catalogue. Et puis voilà, dès que j'ai l'opportunité de les voir en concert, j'y vais. Donc je les ai vus 5 fois jusqu'à présent. [01:30:56] Speaker E: Est-ce que t'as les petites cordes rouges ? [01:30:57] Speaker C: Je les ai, ouais. J'ai les cordes rouges qui clignotent. [01:31:01] Speaker B: C'était aussi l'album qui était la BO de Last Action Hero, non ? [01:31:05] Speaker C: Non, Big Gun, non, c'était sur un autre album. Non, c'était sorti avant, c'était hors album. Donc pour l'avoir, t'étais obligé d'acheter la BO de Last Action Hero. Et depuis, maintenant, c'est dans le coffret Backtracks. [01:31:15] Speaker E: Il y avait un CD de titres quand même. [01:31:17] Speaker C: Oui, t'avais le single, ouais. Mais la grosse différence, c'est que Big Gun, c'était encore le batteur qui avait fait l'album précédent. Donc Chris Slade, le grand crâne rasé. Alors que « Ball Breaker », ça marque le retour de Phil Rudd, qui est le batteur historique, qui depuis est de souci avec la justice, donc ne fait plus les tournées avec eux. Donc ils ont fait revenir Chris Slade pour l'avant-dernière tournée. Là, sur la dernière tournée, c'est un mec qui n'est que sérieux sur les tournées, qui n'est pas sur les albums. [01:31:41] Speaker E: D'ailleurs, il n'est pas très content qu'on ne l'ait pas rappelé récemment. [01:31:44] Speaker C: Phil, écoute, il a qu'à se pointer aux répètes. Angus Young a dit « quand on l'appelle, il ne vient pas ». Il a un bracelet électronique et tout. Mais il a sorti un album solo qui est pas mal, par contre, Phil Rod. Il a sorti ça il y a 6-7 ans. Pas mal du tout, son album. [01:32:01] Speaker A: À CDC, je suis méchant, mais j'adore à CDC. Moi aussi, j'ai commencé le hard rock et le metal avec ça. C'est un peu tout le temps la même chanson, non ? [01:32:08] Speaker C: Et tant mieux ! [01:32:08] Speaker E: Même eux ils le disent ! [01:32:10] Speaker B: C'était mieux avant eux ! [01:32:12] Speaker E: François Lavanne, Angus Young fait l'avane quand un journaliste lui a dit CDC c'est un peu 25 fois le même album. Il fait non, excusez-moi c'est 27 fois. [01:32:21] Speaker A: Le même album ! Ah mais c'est bien alors ! [01:32:26] Speaker E: Tu en as pensé quoi du coup ? Est-ce que tu les as vus quand c'était Axel qui était au champ ? [01:32:29] Speaker C: Ouais, c'était à Marseille, au Vélodrome. [01:32:31] Speaker E: Et du coup t'as bien aimé ? [01:32:32] Speaker C: J'ai vu ce concert là. Bah écoute, ce qui était chiant c'est qu'il était en fauteuil parce qu'il s'était pété la jambe. [01:32:36] Speaker E: Avec le fauteuil de Dave Grohl. Avec le fauteuil des Foo Fighters. [01:32:41] Speaker C: Bah non franchement ça le faisait. Ça le faisait grave avec Axel Rose, je l'avais déjà vu quand il avait refait la première tournée avec les Guns, où là il était un peu plus statique alors qu'il n'était pas en fauteuil. Non franchement le concert avec lui était top, mais bon c'est quand même plus sympa avec Brian. [01:32:59] Speaker A: C'est pas pareil, mais ils s'en étaient très bien sortis. [01:33:00] Speaker B: On avait eu plein de gens qui disaient que c'était parmi les meilleurs concerts de ACDC qu'ils avaient vus. [01:33:06] Speaker A: Et en fait je pense qu'il y avait le truc aussi où on voyait le visage d'Axel Rose qui était quand même très discret, on s'était mis derrière tout. Pourtant c'est Axel Rose, on sait bien qu'il aime bien être devant. Et il avait tellement le smile à ce concert qu'on était hyper contents. On voyait un gamin en fait en train de kiffer. [01:33:21] Speaker E: Même le groupe disait qu'ils étaient surpris de son professionnalisme par rapport à sa réputation. Toutes les années 90 où il arrivait à des concerts à quatre heures en retard et qu'il était complètement bourré ou il faisait n'importe quoi, là il était à l'heure, il connaissait les textes, il connaissait les placements et tout, tout était parfait, ils étaient très contents de ce remplacement. [01:33:40] Speaker C: Je pense qu'il est en humilité maximum parce que voilà, quand t'es invité à jouer par un groupe que t'écoutais quand t'étais ado, ouais, tu te la pètes pas quoi ! [01:33:49] Speaker A: Mais ça se voyait et c'était vraiment très très très bon concert. [01:33:51] Speaker E: On verra quand t'auras vraiment fini ta tournée avec Chaka Ponk et que tu vas jouer avec Korn. [01:33:55] Speaker A: Ah oui, ouais. Quoique je n'aurais pas dû me couper les cheveux sales alors. Donc on va regarder ce petit clip. On passe à la suite. Hard as a rock d'ACDC. [01:35:04] Speaker D: POSSIBLE. [01:35:42] Speaker A: Well, it's hard. [01:37:29] Speaker D: C'est parti ! If you say so, I'm out of tune Your criticism, your misfortune I'll do my best to make you dance But only with some dissonance Musique rock I may not be as good as you C'est parti ! C'est parti ! [01:42:32] Speaker A: Bang bang, le meilleur du métal est le date alternatif ! [01:42:47] Speaker F: Bah écoute, il est parti… En vacances ! [01:42:50] Speaker A: Voilà. Il est reparti en vacances. [01:42:52] Speaker E: Il avait oublié son emploi aux Etats-Unis, du coup il est allé le chercher. Il est parti le chercher. Il revient dans 20 minutes à peu près. [01:42:58] Speaker A: C'est moi qui ai forcé pour rester assis là, alors que c'est quand même vous trois qui vous y connaissez plus en série, moi je n'y connais absolument rien, puisque notre invité ce soir est Romain. [01:43:07] Speaker C: J'ai une oreillette. Je suis un escroc. [01:43:11] Speaker E: Alain Karazik. [01:43:13] Speaker C: Allo Alain, mais de quoi je dois parler ? [01:43:16] Speaker A: Bon, Enjoy, évidemment, pourquoi tu es ici ? Et bienvenue d'ailleurs, bonsoir. Pourquoi tu es là ? C'est parce que ce petit choix, cette petite comptine, ce petit titre tout délicat, comme ça, qui nous fait nous envoler comme des petits papillons qui vont crever d'ici dix minutes. [01:43:28] Speaker F: Oh, t'es gentil ! [01:43:29] Speaker A: C'est positif ! C'est sûrement triste, non ? [01:43:32] Speaker F: C'est peut-être sûrement triste mais en tout cas ça fait du bien en cette période où il fait super moche et tout. [01:43:38] Speaker A: Ah bah là il y a de la brume. [01:43:39] Speaker F: Ah bah là il y a un peu de brume mais c'est onirique, c'est lumineux. [01:43:43] Speaker A: Ça s'appelle comment ? [01:43:44] Speaker F: C'est français. C'est français ça ? C'est français exactement. Ça s'appelle Borealwood. Borealwood. [01:43:51] Speaker A: Ils disent qu'avec Bollywood ou ça Hollywood ils se sont dit tiens on va faire un truc. [01:43:55] Speaker F: Je ne sais pas s'il y a un rapport. [01:43:57] Speaker A: Qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce qu'il y a ? [01:44:00] Speaker E: Qu'est-ce qu'il y a ? [01:44:02] Speaker C: Non, je te juge, je te juge. Ambiance de merde dans cette émission ! [01:44:06] Speaker A: Vous savez quoi, dans cette équipe, tout le monde se battait. [01:44:08] Speaker C: On m'avait dit, viens, tu vas te marrer et tout. [01:44:10] Speaker E: Non, je t'ai menti, je suis désolé. C'est que je voulais vraiment que tu viennes. [01:44:13] Speaker C: Mais je t'écouterais plus. [01:44:15] Speaker A: En fait, toxique de ouf, ils ont perdu ma confiance. Non, mais vas-y. Donc ils sont français ? [01:44:19] Speaker F: Ouais, c'est français. Donc à la base, c'est un duo qui est devenu quintet, du coup, qui va sortir un EP le 29 novembre. Ils ont mis du temps avant de sortir cet EP parce qu'ils en avaient sorti un il y a neuf ans, qui était à l'époque... Peut-être qu'ils sont. [01:44:35] Speaker A: Pas bons compositeurs, ou peut-être qu'ils prennent bien leur temps. [01:44:38] Speaker E: Ils sont fans de Tool. [01:44:41] Speaker F: Ils sont fans de Tool, c'est leur rôle modèle. [01:44:42] Speaker A: C'est très beau. [01:44:43] Speaker F: C'est joli. À la base, c'était un projet qui était un peu plus minimaliste que ça, un peu plus électro même. Leur EP d'il y a 9 ans était produit par Robin Guthrie, donc de Cocteau Twins, histoire de caler le petit argument d'autorité, Dream Pop, etc. Et du coup, ils reviennent avec un EP le 29 novembre, qui est plus comme on a entendu, Dream Pop, True Gays, tout ça, très 90's. J'ai choisi ça parce que je me disais, c'est lumineux, ça fait du bien, voilà. Alors on pourrait s'attendre, vu le style, que ça sorte en plein été, par exemple, mais bon, ça sortira un peu à contre-temps, mais vu le temps qu'il fait, bon bah, je me suis dit, ça fera du bien à la tête. [01:45:23] Speaker E: Ça fera du bien au cœur. [01:45:24] Speaker A: Ça nous fait voir ce temps-là d'une autre façon. Voilà. On est dans la bruve, on a froid, c'est humide, mais en même temps, il y a des belles couleurs dans les vêtements. [01:45:31] Speaker F: C'est une bruve, mais multicolore, voilà. [01:45:33] Speaker A: Non mais c'est très très bien. C'est français donc, Boreal Wood. [01:45:36] Speaker F: Exactement. [01:45:37] Speaker A: Bon, comme c'est ton petit moment à toi, parce qu'on a toujours ce petit moment. [01:45:42] Speaker C: Je respecte. [01:45:42] Speaker A: Dans l'émission, il y a son petit moment où il nous sort un petit peu de notre musique habituelle, parce qu'il n'écoute que des choses qu'on déteste. Et non, du coup... [01:45:50] Speaker F: Dont du prog, comme ça t'es... Non. [01:45:52] Speaker E: Des fois il parle de stoner, moi ça me gêne pas le stoner. [01:45:54] Speaker A: Non, mais j'adore ce qu'on vient d'écouter, je trouve ça trop bien, moi je suis hyper fan, mais c'est juste que c'est vrai que tu sors les choses que je ne pourrais pas sortir moi. Je parle bien des clips, hein. Et donc la suite, qu'est-ce que tu nous réserves ? C'est pas français. [01:46:06] Speaker F: Ça c'est pas français pour le coup. Je vais donner des nouvelles d'un certain Ren Aoki. Est-ce que tu vois qui c'est Ren Aoki ? Est-ce que vous voyez qui c'est ? C'était le clavieriste d'un groupe qui s'appelait Dead Sea. Ah, je savais que ça te parlait. [01:46:20] Speaker E: Ça, Dead Zee ! [01:46:21] Speaker A: Pardon, excusez-moi, je... Déjà, je veux pas... Dead Zee, j'adore Dead Zee, c'est tellement quiche ! [01:46:26] Speaker F: Donc, ce qui ne se quitte pas, groupe de néo-metal, avec assez Indus, assez New Wave même, avec du clavier, etc. Donc, c'était ce fameux Ren Aoki qui était au clavier. Donc, qu'est-ce qu'il est devenu depuis, ce Ren Aoki ? Alors déjà, il s'habille un petit peu mieux, voilà, un petit peu plus sobre. Il s'est marié depuis, donc bravo à lui, et il a surtout épousé une certaine Vera Farmiga. Alors Vera Farmiga, qui c'est ? Je vois que... Actrice ? Je vois que monsieur Hoch, exactement, voilà. [01:46:55] Speaker C: On a vu notamment jouer la mère de Norman Bates dans la série Bates Motel. qu'on a vu dans les Infiltrés de Scorsese. Donc ouais, Chris qui a une carrière quand même assez sérieuse. [01:47:06] Speaker F: Et qui joue dans tous les films de l'univers The Conjuring. [01:47:10] Speaker E: Et qui est le chanteur de metal aussi. [01:47:13] Speaker F: Et donc du coup, on y vient justement. Voilà, belle transition puisque du coup, Ren Aoki et Vera Farmiga viennent de sortir le premier single de leur groupe de metal qui s'appelle The Yagaz. Et donc, du coup, voilà, comme il y a la petite curiosité de actrices qui chantent, etc. Forcément, ça tourne un petit peu depuis quelques jours. Et donc, du coup, ça a attiré ma curiosité. Je me suis dit, généralement, les acteurs, actrices qui se mettent à chanter, surtout du rock ou du métal, parfois, c'est... [01:47:42] Speaker E: Dis pas de mal de Kevin Costner, ok ? [01:47:45] Speaker C: Non, mais t'as Taylor Momsen qui est. [01:47:46] Speaker F: Pas... Taylor Momsen, qui tourne énormément. [01:47:49] Speaker C: Qui est en première partie de la CDC, d'ailleurs, à Longchamp. [01:47:51] Speaker E: Qui s'est fait mordre par une chauve-souris. [01:47:55] Speaker A: C'est son côté gothique un petit peu. [01:47:57] Speaker F: Pour les plus désagréables on pense à Jared Leto par exemple. [01:48:01] Speaker C: Mais lui il est mauvais en musique comme en acteur. [01:48:06] Speaker A: Non mais il joue très bien, il chante très bien, il joue très bien, c'est juste que c'est un gros fils de... [01:48:11] Speaker F: C'est quelqu'un de très désagréable. [01:48:13] Speaker A: C'est juste que c'est un chien quoi. [01:48:15] Speaker E: C'est quand même étonnant qu'il soit pas encore cancel d'ailleurs. C'est très étonnant d'ailleurs que... [01:48:19] Speaker F: C'est très étonnant qu'il tourne sans avoir de casserole au cul pour de vrai mais bon... C'est parce qu'on se perd dans ses yeux bleus ? Ouais, sûrement. [01:48:28] Speaker A: Tiens, j'arrête. [01:48:31] Speaker F: Entre les deux yeux. Donc du coup, The Yagas, qu'est-ce que ça donne ? Franchement, c'est pas mal. Il y a une origine, on va en parler justement. The Yagas, c'est un groupe de, on va dire, rock ou métal gothique. très gothique en fait, ça me fait penser à des trucs comme The Gathering, des trucs comme ça. Vera Farmiga donc, elle est au chant et elle s'en sort bien en plus. Il y a un bon timbre, il y a quelque chose d'assez envoûtant en plus et vu le style, ça sort plutôt bien, ça justement. Ils viennent de sortir leur premier single et leur premier clip pour le morceau qui s'appelle The Crying Room. et qui a pour particularité d'être dédié, ils le disent à la fin du clip, aux Ukrainiens. Et ça a quand même plusieurs explications. Déjà, Vera Farmiga, elle vient d'une famille chrétienne ukrainienne, à la base. The Yagaz, le nom du groupe vient de Baba Yaga, le personnage du folklore slave, qui est plutôt connu. Et puis dans le clip, on a aussi une apparition du chanteur de Gogol Bordello qui est lui-même ukrainien, donc il y a une espèce d'ukrainian connection, si tu veux. Et en plus, le morceau est sorti en partenariat avec une association américano-ukrainienne de défense des droits de l'homme. Donc, il y a quelque chose de très fort, très symbolique et un petit peu politique là derrière. Mais en attendant, le morceau est plutôt cool, j'ai trouvé, et ça mérite de passer, je trouve, dans Bang Bang. Pour la curiosité d'avoir une actrice qui chante bien, qui a un groupe qui commence tout juste à faire parler de lui, bien parler de lui parce que forcément, comme c'est une actrice assez connue, ça tourne pas mal, le clip il est déjà à plus de 700k sur YouTube donc il y a du play. Mais premier single plutôt prometteur je trouve. [01:50:25] Speaker A: Il a des lunettes. Vous êtes des gens qui êtes intelligents, c'est tout, ça se sent. [01:50:30] Speaker C: Ça aide, ça aide. [01:50:31] Speaker A: Désolé, il n'a pas de lunettes. [01:50:33] Speaker E: J'ai failli les prendre du coup. [01:50:34] Speaker C: Pour te dire à quel point je ne suis pas intelligente, depuis qu'il a prononcé la phrase « Vera Farmighetto change », j'imagine, sur une moissonneuse batteuse, donc. [01:50:41] Speaker A: Je n'ai pas du tout écouté la suite. [01:50:45] Speaker E: J'imagine faire des courses, moi. [01:50:49] Speaker A: Voilà, très bien. On va regarder le clip maintenant. Le Yagas dans Bang Bang. [01:50:55] Speaker D: 1 1 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titrage Société Radio-Canada C'est quoi ce truc ? [01:59:09] Speaker A: Solitariste à l'instant dans vos yeux et dans vos oreilles sur... dans Bang Bang, pas sur Bang Bang, dans Bang Bang bien sûr, si vous avez envie d'avoir de plus amples informations sur ce qu'on fait sur SLS, vous allez sur notre site, vous faites pas trop chier, on vous les donnera pas ici parce que non non non non, bougez-vous un peu le derche, non je rigole mais on fait beaucoup de choses, il y a des super chroniques... Comment tu parles ? Tu parles à ma sœur ? [01:59:31] Speaker E: Quand ta mère sera l'invité, j'espère que tu vas parler un peu mieux que ça. [01:59:36] Speaker A: Ça sera pire. [01:59:37] Speaker E: Elle va te choper par le cou, elle va te laver la bouche avec du savon. [01:59:40] Speaker A: Elle va pas me choper par le cou. Tu sais, j'ai une famille spéciale, c'est le côté polonais. Tu sais ce que c'est le côté polonais ? [01:59:46] Speaker E: Oui. Va te remplir le pirogue ! [01:59:51] Speaker A: Allez ! Très bien ! Bon, c'est français, donc ce qu'on nous venait de voir, c'est très très bon, ce nouveau, tout nouveau single, là, comme ça, moi j'ai trouvé ça très agréable. Je... Bon, c'est... Quoique cette chanson-là est un petit peu douce, quand même. [02:00:03] Speaker C: Un petit moment macabre, par contre, le single de Madame Vera Farmiga, pas mal du tout. Ouais, ouais, agréablement surpris. [02:00:09] Speaker A: La dame dans les fougères. [02:00:10] Speaker C: Exactement. [02:00:11] Speaker E: Parce qu'en plus, il y avait le petit synthé Yagaz avec Romain Nijita. [02:00:19] Speaker C: Ça y est, je suis dans le clip. C'est moi qui faisais la troisième fougère. [02:00:24] Speaker A: C'est un grand moment de tournage. [02:00:25] Speaker F: En partant de la droite du cadre. [02:00:27] Speaker C: Ma grande carrière. [02:00:29] Speaker A: On va parler un petit peu aussi quand même de ton parcours. Comment t'en es arrivé là ? Comment t'as réussi à faire ta place ? [02:00:36] Speaker C: La drogue ? [02:00:37] Speaker A: Comme dans la musique donc ! [02:00:38] Speaker E: Sauf que lui, il vendait. [02:00:41] Speaker A: Voilà. C'est plus facile parce que moi t'es pas défoncé. [02:00:45] Speaker C: Non, plus sérieusement, j'ai toujours regardé évidemment beaucoup de séries depuis tout petit, depuis gamin. J'ai commencé à écrire sur un site web à la fin des années 90, enfin même à co-fonder un site web qui s'appelait à l'époque le Front de Libération Télévisuelle, le FLT. On était des fans d'X-Files, de Millenium, de séries dans ce jour-là. Et puis, parallèlement à ça, moi je regardais beaucoup Canal Jimmy, donc on en a parlé tout à l'heure. [02:01:10] Speaker A: Qui était une chaîne de Canal Sat, Canal Plus. [02:01:13] Speaker C: Une chaîne sur les câbles, qui passait des séries comme Les Sopranos, comme Dremon, comme Friends, comme Seinfeld, comme les séries Star Trek. [02:01:20] Speaker E: C'est les premiers à passer Friends. [02:01:22] Speaker C: Et qui passait en VO en plus. Et en plus, sur cette chaîne, il y avait une émission qui s'appelait Destination Série, qui était présentée par Alain Carazé et Jean-Pierre Dionné et qui était vraiment la première, voire même encore aujourd'hui, la seule émission qui parlait vraiment sérieusement de séries télé, des reportages, des interviews, tout ça. Donc moi, j'étais... à fond dans ce genre de trucs-là. Et en fait, par le site sur lequel je bossais, le FLT, on est rentré en contact avec Alain Carazé, qui, au bout de quelques années, a lancé un magazine papier. Et donc, quand il a recruté un peu des... des gens pour écrire dans ce magazine. Il a demandé un peu à l'équipe du site et j'ai commencé à bosser avec lui en parallèle de mes études. Et puis, j'ai fini par faire des études de journalisme. Pas du tout dans le côté série télé, mais bref, voilà, tout ça a débouché sur le fait que j'ai commencé à bosser notamment avec Alain. On a fait pas mal de trucs ensemble, des bouquins, des documentaires, etc. Puis voilà, le reste fait partie de l'histoire. [02:02:16] Speaker A: Du coup, c'est le culot un petit peu. C'est ta passion qui t'a amené faire le site, c'est une chose. Bon, on le fait. Après vous avez envoyé un message, il y a beaucoup de gens qui n'oseraient pas en se disant ça va faire chier ou alors c'était une époque où. [02:02:28] Speaker C: Les gens étaient sympas et ils répondaient. Pour tout te dire, je ne sais plus si c'est lui qui est tombé un jour sur le site ou si c'est nous qui avons... Non, je crois que c'est lui qui est tombé sur le site. Parce que dans l'émission, il y avait une rubrique internet où il parlait des sites et il nous appelait les sauvageons du web. Donc du coup, en fait, je crois que c'est lui un jour qui a débarqué sur le site. [02:02:46] Speaker E: Ça me fait rire, mais c'est tellement. [02:02:47] Speaker C: Alain en même temps. Il y a eu un truc où on l'a rencontré un peu comme ça, quasiment par hasard, et puis voilà quoi. [02:02:56] Speaker A: C'est cool, du coup là aujourd'hui tu vis de ta passion et ça c'est quand même une belle chose. A chaque fois dans cette émission, on essaie de faire comprendre aussi aux jeunes qu'ils peuvent faire les choses. Par contre, il faut travailler aussi. J'imagine que comme tu disais tout à l'heure, c'est beau de regarder des séries toute la journée. [02:03:08] Speaker C: Bah c'est pas toute la journée, c'est moite moite, regarder et puis regarder des trucs des fois qui sont pas terribles. Et puis il y a un moment, il faut écrire les articles, il faut faire les interviews, il faut se documenter, il faut faire de la veille. Enfin exactement comme vous faites ici, c'est pas toute votre vie en concert. Il y a aussi, il faut préparer l'émission, il faut écrire des fiches, etc. [02:03:28] Speaker E: Alors là je vais t'expliquer, Pierre non, c'est pour ça qu'il s'est entouré, c'est pour ça qu'avant il faisait une émission tout seul et que maintenant il y a plein de gens autour de lui. [02:03:35] Speaker A: Quand j'étais sur WFM j'étais entouré de beaucoup de gens aussi, sinon c'était nul. [02:03:40] Speaker C: Mais c'est un talent aussi. [02:03:44] Speaker A: Et dans toute ton évolution, est-ce que le rock a une place particulière pour te faire des amis ou rencontrer des gens qui auraient pu t'aider ? Il y a une histoire derrière le rock et toi ? Parce qu'on pose cette question systématiquement, c'est. [02:04:00] Speaker C: Vraiment la question habituelle. Je comprends. [02:04:04] Speaker A: Je te montre, ça t'a éloigné de plein de gens. [02:04:10] Speaker C: Non, mais c'est une très bonne question. J'avoue que je n'ai pas réfléchi. Non, ça m'a permis à la fois de, comme je l'ai dit tout à l'heure, comme je joue de la batterie, ça m'a permis de jouer d'un instrument de musique, ce que font beaucoup de gens dans ma famille. Il y a tout un historique par rapport à ça, mais pas dans le côté rock. Donc à la fois, j'ai suivi un peu une espèce de tradition familiale où c'était plus le côté conservatoire, musique classique, etc. Mais dans ma propre voix. Même si j'ai commencé au départ... T'as. [02:04:38] Speaker A: Commencé à l'instrument et après c'était rock ? [02:04:39] Speaker C: Ouais, au départ, c'était percus classique, donc en orchestre symphonique. Quand j'étais en école de musique, j'avais 9-10 ans. Donc c'est bien parce que t'es planqué au fond en fait. Et tu joues pas forcément sur tous les morceaux. Donc quand tu joues pas, tu sors ta Game Boy. Véridique. Et puis après, j'ai plutôt pris des cours de batterie. Donc c'est là que j'ai plus développé le côté rock. Puis c'est super facile. T'es chez toi avec ta batterie. Tu te mets une cassette dans ton casque et tu joues par dessus. Non mais c'est beaucoup plus simple que de jouer de la guitare par-dessus un morceau, je pense. Jouer de la batterie par-dessus une cassette, je trouve ça beaucoup plus simple. Donc ouais, moi j'ai passé beaucoup d'heures à jouer tout seul avec des cassettes. [02:05:22] Speaker A: Moi t'étais dans une maison quand même, parce que jouer de la batterie dans un appartement c'est jamais... Oh, au début. [02:05:26] Speaker C: C'Était en appart ! Mais même avec des trucs pour étouffer un peu le son et tout. [02:05:31] Speaker A: C'était le bordel ! [02:05:32] Speaker C: À un petit peu d'effort t'es rentré dans une splende. [02:05:35] Speaker A: C'est génial, en même temps c'est cool que tes parents aient accepté que... Parce que même si c'est un instrument, après ils ont vu que tu basculais vers le rock, ils ont rien dit, ça va, ça s'est passé, ils s'en foutent. [02:05:44] Speaker C: Non, parce que mon père, j'ai pas mal écouté au début, quand j'étais gamin, les cassettes de mon père, des trucs qu'il lui avait enregistrés quand il était ado avec des vinyles qu'il empruntait. Donc il avait plein de cassettes dont il faisait lui-même les pochettes. Trop bien calligraphiés, il y a des dessins qu'il dessine aussi vachement bien. Donc en fait, il avait tout un stock de cassettes avec du Beatles, Rolling Stone, Deep Purple, Led Zepp, les Who, tout ça, à côté de cassettes où t'avais du, je sais pas, du Braille, du Brassens, etc. Donc moi, j'ai plutôt... Je suis plutôt allé chercher les trucs, genre les houes, les zèpes, etc. Donc oui, déjà, il y avait un côté un peu éclectique. [02:06:19] Speaker E: Ça va, il t'a pas renié, quoi. [02:06:20] Speaker A: Non, non, pas du tout. [02:06:22] Speaker C: Même s'il écoutait de Michel Fugain sur sa chaîne Ify à côté, mais... [02:06:26] Speaker A: C'était divers et variés, mais il y avait déjà une petite part de rock'n'roll quand même. Et c'est trop cool qu'il avait ce genre d'activité. Qui nous a raconté qu'il avait ses parents qui faisaient des dessins pour faire des cassettes et tout comme ça ? Je pense que ça m'est jamais arrivé. [02:06:38] Speaker F: C'est une carrière dans le bootleg qui. [02:06:40] Speaker A: Ne s'est probablement pas faite. [02:06:42] Speaker E: Moi je faisais ça. Moi je faisais mes compiles justement à l'époque où Fun Radio passait du rock. j'enregistrais des morceaux sur ma cassette et une fois qu'elle était complète, après je me faisais ma jaquette, je dessinais des têtes de mort, des trucs, et je calligraphiais, je mettais des noms d'albums que j'inventais, genre ma compil de... Moi je. [02:07:01] Speaker C: Faisais ça pour les VHS de séries, je faisais mes propres jaquettes d'X-Files ou de Star Trek, avec des photocopies couleur, des montages, des trucs que je découpais dans les magazines... Ouais, un petit côté. [02:07:10] Speaker A: Artistique donc déjà aussi... Ouais, quand tu revois les trucs aujourd'hui... Ça va avec l'âge ! [02:07:16] Speaker C: Il y a le côté collectionneur un peu où t'as envie de faire tes propres trucs. [02:07:20] Speaker A: Moi j'ai juste fait ça avec les clips mais j'ai pas refait les cassettes. J'ai enregistré tous les clips sur MTV. Puis après je les repassais et puis après ça faisait des images de merde puisque la bande était complètement bouffée. Et est-ce que le rock, qu'est-ce que ça te procure comme émotion quand t'écoutes du rock ? Alors t'écoutes des trucs très variés quand même parce que t'as le classique, on a vu, et t'as le prog qui arrive. Mais du coup, qu'est-ce que ça te procure cette musique ? T'es exalté ? C'est un moment où tu peux te concentrer ? Tout le monde a une émotion et une utilité différentes. [02:07:54] Speaker C: J'écoute souvent beaucoup les mêmes trucs. Je dois avouer que j'ai du mal à découvrir des nouveaux groupes. J'écoute assez peu. Sur la radio que j'écoute c'est France Info, donc tu vois le côté un peu chiant. [02:08:03] Speaker A: Il y a moins de découvertes musicales. Voilà. [02:08:06] Speaker E: Maintenant il va écouter Restless. [02:08:08] Speaker C: C'est vrai, c'est vrai. Tu t'engages. Je vais signer en sortant. Non, j'écoute souvent beaucoup les mêmes albums, beaucoup les mêmes groupes. Dans mon téléphone, t'as l'intégrale de Queen, l'intégrale de ACDC, l'intégrale de Dream Theater, voilà. Et donc c'est souvent beaucoup les mêmes trucs que j'écoute. J'aime bien réécouter les mêmes trucs, donc déjà t'as ça. Je joue la batterie par dessus, mais juste ne serait-ce que soit sur mes cuisses, je tape avec les doigts, soit sur un bouquin que je suis en train de lire. Donc t'as aussi le fait que je rejoue ça. Et puis après oui, des fois, certaines chansons, je me rappelle la première fois que je l'ai entendue, dans le contexte que je l'ai entendue. J'aime beaucoup écouter les lives aussi, des fois même presque... [02:08:40] Speaker A: Alors j'ai vu que t'avais choisi des lives, c'est parce que ça c'est toujours le sujet ici, parce que moi j'ai toujours détesté... C'est comme ça, je sais pas... [02:08:48] Speaker C: Mais parce que souvent dans les albums des fois t'as trop de fioritures, t'as trop de prod, et je préfère entendre le vrai truc tel que c'est joué. Donc c'est vrai que souvent j'écoute plus souvent les albums live que les albums studio des artistes que j'aime bien. [02:09:03] Speaker E: Malheureusement ça veut plus dire grand-chose maintenant. [02:09:05] Speaker C: Oui, oui, t'as tellement d'overdubs. [02:09:08] Speaker E: Il y a tellement de bandes en live de Metallica maintenant, enfin ils réenregistrent toutes les batteries après. [02:09:12] Speaker A: En live ? Mais bon, toutes les parties de batterie, quel enfoiré. [02:09:17] Speaker E: Ça a été prouvé que les derniers lives qu'ils ont sortis, avec des gens qui avaient filmé, Et du coup, tu compares ce qu'ils ont sorti et ce que les gens ont filmé, c'est pas la même batterie. [02:09:29] Speaker A: Oui, bon, c'est fréquent. [02:09:31] Speaker C: C'est l'Ars. [02:09:33] Speaker A: On lui pardonne. [02:09:33] Speaker E: Jurisprudence, l'Ars. [02:09:34] Speaker A: Et quand t'étais gamin, ça t'avais... Ouais. [02:09:35] Speaker E: Mais il fait des belles grimaces, alors ça va. [02:09:36] Speaker A: Et quand t'étais gamin, ça t'avais procuré quoi comme émotions ? Ce que tu dis, je me souviens de la première fois où j'ai entendu certains morceaux, etc. C'est marquant, du coup. [02:09:48] Speaker C: Ouais, c'est un truc que je n'entendais pas forcément, du coup, chez moi, parce que mon père avait toutes ces cassettes, mais il ne les écoutait plus forcément. C'est des fois de découvrir des visuels aussi qu'à l'avec. Je parlais des Who, tout à l'heure, avec la fameuse scène des Beans. Donc, t'as aussi les clips, t'as les costumes. Et aussi, je pense, le fait que c'est des groupes qui avaient déjà 20 ou 30 ans de carrière quand je commençais à les découvrir. J'ai ce côté un peu, et j'ai le même avec certaines séries ou certaines franchises de séries, le côté, waouh, il y a tout un monde à découvrir. Il y a tout un truc, je vais aller gratter. Ouais, avant, il y a cinq ans, ils faisaient ça. Le look du groupe, il n'était pas du tout comme ça, mais parce que les chansons étaient différentes aussi. Et j'aime bien, toi, le côté un peu archéologie. Ce qui est peut-être pour ça que finalement, les groupes actuels ou nouveaux groupes, ça ne m'intéresse pas parce qu'il n'y a pas encore d'histoire. [02:10:33] Speaker A: Il n'y a pas l'histoire, il n'y a pas tout le véhicule. [02:10:35] Speaker F: Donc Ghost ou ce genre de groupe à concept. [02:10:38] Speaker A: Oui parce qu'ils ont copié d'autres trucs, du coup c'est ça. [02:10:40] Speaker F: Ils ont repris un peu l'idée de Kiss et d'autres. [02:10:43] Speaker C: Ouais voilà, mais alors là du coup toi dans des groupes comme Ghosts, mais que je connais moins, mais que je connais vraiment juste superficiellement, pour moi, et je me trompe peut-être, ça manque d'humour. Dans tous les groupes que j'aime, t'as un côté, alors peut-être pas dans Dream Theater, t'as pas franchement d'humour, que Portnoy a quand même pas mal d'humour, mais que ce soit Queen, ACDC ou même les Who, t'as un certain second degré à la britannique. T'as un truc, ils savent se moquer d'eux-mêmes. C'est ça que j'aime bien aussi. Les groupes qui se prennent trop au sérieux, pour moi, ça me laisse de marbre. [02:11:14] Speaker A: Oui, c'est vrai que peut-être que les groupes un peu plus récents ont moins de second degré ou moins de... Même. [02:11:19] Speaker C: Certains anciens, dans certains groupes des années 70 qui se prenaient aussi très au sérieux. Mais du coup, je ne rentre pas dans tout ça. Je suis un gros fan des Monty Python. Ah bah ! Donc pour moi, il y a... [02:11:30] Speaker A: Il faut quand même avoir ce... Du coup, la Grande-Bretagne se porte plus musicalement aussi à ça que les Ricains. Il y a toujours eu cette notion de pouvoir s'en sortir. C'est une musique souvent qui a aidé les gens à se sentir mieux, à ne pas se sentir seul ou en tout cas à être compris. Toi non, ça n'a jamais été ça. Du coup, comme c'est ce genre de groupe, c'était l'humour mais... Ouais, comme je. [02:11:53] Speaker C: Te dis, c'était pas... Tu me demandais si ça m'a permis de rencontrer des gens ou autres. Pas tant que ça, mais ça, c'est plus ma nature à moi. C'est aussi pour ça que j'ai toujours été passionné par les séries télé. C'est un truc que tu regardes tout seul chez toi quand même. J'ai toujours eu un côté un petit peu ours. C'est pour ça que le côté Internet m'a aussi pas mal aidé pour communiquer un petit peu plus, même si ça va mieux aujourd'hui. Mais est-ce que ça m'a aidé ? [02:12:19] Speaker A: Non mais c'est marrant que tu dis ça, que t'es timide quand même. Ouais, ouais. [02:12:23] Speaker C: Mais donc du coup, c'est vrai que je vais peut-être plus me lâcher en concert dans un stade, parce qu'il y a 60 000 personnes, qu'en boîte ou dans un bar, où là c'est vraiment pas mon truc du tout, du tout. Non, ça m'a aidé aussi peut-être à me tenir un petit peu éveillé dans certaines phases de mes études, notamment quand j'ai dû rédiger un mémoire de de fin d'études où j'ai carrément remercié Metallica à la fin parce que ça m'a permis de tenir certaines nuits blanches pour écrire mon truc. Mais après, est-ce que ça m'a aidé vraiment dans certaines phases de ma vie ? Ouais, par moments, c'est des périodes où j'écoutais vraiment ça dans le métro, quand tu vas au boulot, que tu tapes une heure de métro et que t'as pas forcément envie d'y aller. Bah ouais, t'es content d'écouter le... [02:13:06] Speaker A: C'est évident de voir les cons. [02:13:08] Speaker F: C'est marrant que tu parles du côté timide et tout parce qu'à une époque, si je ne me trompe pas, tu faisais des chroniques vidéos où tu apparaissais toi-même. Il y avait quand même un côté, quand même, s'affranchir de ça et se mettre en avant à ce moment-là. [02:13:21] Speaker C: Mais ça, ça ne m'a jamais gêné, tu vois, le côté faire de la vidéo, de la radio, même faire des conférences. On parlait tout à l'heure de Japan Expo, des trucs comme ça, où des fois, j'ai fait une conférence devant la super grande salle de Japan Expo. Ils font les concerts où c'est plusieurs milliers de personnes. Ça ne m'a jamais gêné, ce genre de truc-là. [02:13:35] Speaker A: Moi, je suis comme ça. [02:13:36] Speaker C: Ce qui me fait fouetter, c'est le côté interaction sociale avec quatre personnes ou un cocktail. [02:13:43] Speaker E: Exactement, comme toi. Des fois, pareil, moi, à Japan Expo, quand on faisait le Sushi Quiz, j'ai pu animer le truc devant plusieurs milliers de personnes et aucun problème de mettre à poil même devant tous ces gens, alors que des fois, juste appeler mon banquier au téléphone, ça me stresse et je suis bloqué. [02:13:59] Speaker C: Voilà, exactement pareil. [02:14:01] Speaker E: Il y a ce truc, c'est qu'à partir du moment où c'est un truc que tu choisis, Mais il y a des trucs de la vie où on est nul et puis il y a des trucs où c'est pour le boulot ou quand on parle d'une passion. Du coup, tu peux faire n'importe quoi, tu t'en fiches, ça ne te gêne pas du tout. [02:14:14] Speaker C: Ou parce que tu te sens légitime, parce que c'est le truc que tu l'as bossé, c'est dans ta sphère, c'est ce que tu ressens. T'as l'impression que c'est de la sphère de compétence, donc aucun souci. Mais quand il s'agit juste de voir des gens dans un cocktail où tu te dis, putain, faut que je parle au mec parce que peut-être pour le boulot, il peut m'aider, etc. Qu'est-ce que je vais lui dire ? Bref, voilà. [02:14:36] Speaker A: Je peux comprendre quand même, c'est pas le truc le plus simple, surtout plus s'il y a une attente éventuelle. [02:14:42] Speaker C: C'est ça, tu te mets trop de pression, trop d'enjeux et puis voilà. [02:14:44] Speaker A: C'est vrai, c'est vrai. Dans les clips que tu as choisis, donc on y arrive, ça va être le moment où tu vas pouvoir échanger quand même un max. [02:14:51] Speaker E: Tout de suite, je sais exactement. [02:14:52] Speaker A: On va vous laisser tous les deux. On arrive sur du live parce qu'on est sur les deux derniers morceaux aussi, c'est du live les deux. Et c'est Dream Theater. Qu'est-ce qui t'intéresse dans ce qui est prog ? C'est la technique ? Ou c'est juste vraiment le son, la musique ? [02:15:08] Speaker C: Alors c'est pas le prog pour le prog, ça n'a jamais été ça. Je suis rentré sur Dream Theater d'abord à partir des interviews de Mike Portnoy, qui est le batteur historique du groupe, qui s'est fait virer il y a 12-13 ans et qui là vient de revenir. C'était la grosse news en début d'année, donc je suis très impatient de voir le concert qui va avoir lieu fin novembre, puisque c'est la grosse tournée des 40 ans et c'est le grand retour de Portnoy. Et donc au départ je lisais des interviews de Portnoy dans Batter Magazine, comme je jouais de la batterie, ça m'intéressait de dire ça. Et je trouve... [02:15:37] Speaker F: Je te disais tout à l'heure que tu rejouais certains morceaux, est-ce que tu as suffisamment de tomes sur ta batterie pour refaire du... [02:15:42] Speaker C: Je n'ai pas suffisamment de tomes et pas suffisamment de talent, parce que là clairement il faut quand même avoir un certain talent. Mais au départ, j'étais intéressé par les interviews qu'ils donnaient et parce qu'en plus, le mec a l'air d'avoir de l'humour. Il a plein de références aussi cinématographiques et télévisuelles. Il parle souvent de Lynch, de Twin Peaks et des choses comme ça. Et justement, l'extrait qu'on va entendre, c'est un extrait de leur concept album Scenes from a Memory, Metropolis Partout, qui est un truc qui est vachement inspiré de certains films, notamment Dead Again de Kenan Branagh. Et quand il commençait les concerts, t'avais un extrait de la B.O. de Twin Peaks. Alors si j'ai choisi du live, c'est parce qu'il n'y a pas de clip officiel de cet album-là. Et malheureusement, les puristes vont râler, c'est que la seule vidéo officielle où il y a un extrait de cet album-là, qui est un live, mais un live avec le batteur qui l'a remplacé, Mike Mangini. Donc c'est pas Portnoy dans cet extrait-là, désolé. Mais c'est un live qui est assez sympa parce qu'ils ont avec eux un orchestre symphonique et des choristes. C'était un concert spécial à Boston, Breaking the Fourth Wall. Donc briser le quatrième mur. Et donc, c'est le début de cet album-là. C'est un album qui, au-delà du côté prog et du côté concept album, a vraiment un côté cinématographique. C'est ça qui m'a vraiment plu dans cet album-là. Il y a vraiment des thèmes super épiques. T'es pas du tout dans la démonstration technique pour la pure technique. Ce qu'ils ont pu faire par moment dans certains autres albums, en tout cas pas dans celui-là. [02:16:59] Speaker A: Pas les pires en tout cas. [02:17:02] Speaker C: Moi, c'est vraiment avec cet album-là que je les ai découverts. C'est le premier album d'eux que j'ai acheté et que j'écoute toujours en boucle. Et pour moi, ça reste clairement mon album préféré. Je trouve que c'est vraiment pour eux, le début de leur période la plus intéressante, qui, pour moi, va de cet album-là jusqu'à Black Clones, Active or Lightning, qui est le dernier avec Portnoy. Donc, en gros, c'est toute la période où tu as à la fois Jordan Redes, qui était le nouveau clavier qui arrivait à cette époque-là, et jusqu'au départ de Portnoy. Après, je trouve qu'avec l'arrivée de Mangini, Mangini est techniquement très, très bon, mais c'est limite une boîte à rythme tellement il est carré. Le son qu'ils ont mis dans la prod avec Mangini est un son, pareil qu'un son de boîte à rythme. [02:17:44] Speaker A: Je suis pas du tout spécialiste de. [02:17:54] Speaker F: Dream Theater mais je vois un petit peu la différence qu'il peut y avoir entre les deux en fait. [02:17:58] Speaker C: Tu sens qu'ils ont voulu moderniser le son mais en tout cas sur la batterie proprement dit t'as vraiment un son très synthétique. [02:18:03] Speaker F: Un son un peu carton... [02:18:04] Speaker C: C'est ça, ouais, qui moi me gêne un peu. Alors après c'est quand même avec Mangini qu'ils ont gagné leur Grammy Award pour The Alien sur le dernier album, donc quand même respect malgré tout. Mais je suis quand même bien content de voir que Portnoy revient, même si le premier extrait qui est sorti, parce que l'album sort en février-mars il me semble, il y a un premier extrait, un premier single qui est sorti il y a 15 jours si je ne dis pas de bêtises, qui s'appelle Night Terror. Et malheureusement, il a un son de batterie qui ressemble au son de son djinn. [02:18:31] Speaker F: C'est pas que l'interprète. [02:18:32] Speaker A: C'est peut-être la transition, il le fait peut-être bien. [02:18:36] Speaker C: Il a clairement dit en interview qu'il était un peu... Il faut comprendre que Portnoy dans le groupe, c'est un peu comme Lars Ulrich sur Metallica, c'est vraiment lui qui dirigeait tout. C'est lui qui faisait les pochettes, c'est lui qui faisait les clips. C'était vraiment les deux têtes pensantes, lui et le guitariste John Petrucci. [02:18:52] Speaker F: Lui qui écrit la plupart des textes. [02:18:54] Speaker C: Aussi, qui s'inspire de ses propres livres. C'était eux les deux boss qui produisaient les albums, etc. Et sauf que là, quand il est revenu, il est revenu un peu avec humilité en disant maintenant je vais la jouer plus collectif. Donc j'ai peur qu'il ait un peu cédé du terrain sur le son de sa batterie, alors que sur tous les autres projets qu'il a fait... [02:19:09] Speaker E: Ils ont dû laisser les réglages d'avant. [02:19:11] Speaker C: Non mais t'as vraiment l'impression que c'est ça. Alors qu'il a fait plein d'autres groupes en parallèle et c'est pour ça qu'il s'est fait d'ailleurs le roi des Dream Theater, c'est qu'il avait au moins 4 ou 5 groupes en parallèle. Notamment Wainry Dogs, qui a un truc vraiment de pur rock, il a fait Sons of Apollo, que moi j'adore, avec Jeff Scott Soto, avec Bumblefoot, Jeff Scott. [02:19:34] Speaker F: Soto au chant, Derek Cherignan, qui avait. [02:19:37] Speaker C: Été clavier de Dream Theater sur un album. Moi je les ai vus en concert au Trianon, c'était l'un des meilleurs concerts que j'ai fait. Mais tout confondu. Il a fait Transatlantique aussi, qui est un groupe de prog très classique avec Neil Morse. Ils ont fait leur concert d'adieu à l'Olympia, ils étaient tous en larmes. Mais du coup, il fait tellement de trucs en parallèle que Dream Theater lui a dit, mais attends, on ne peut pas t'attendre. Il a cru que c'était du bluff. Il a dit, attendez, moi, je prends un an hors Dream Theater pour faire le groupe. Vous m'attendez. Non, on ne t'attend pas. Il n'y a pas de rue ! [02:20:08] Speaker A: C'est l'enfer ! Bah si en fait tu n'es plus là, bah bonjour, au revoir ! C'est horrible comme histoire de jarter quelqu'un comme ça. [02:20:15] Speaker F: Et puis après il allait faire un album avec Avenged Sevenfold. [02:20:18] Speaker A: Après il faut bien qu'il mange aussi, on peut pas lui en vouloir. C'était sûrement le meilleur album d'Avention Fall. [02:20:23] Speaker F: C'était un remplacement un peu de Luxe parce qu'il a peut-être décédé. [02:20:27] Speaker C: Il a fait Twisted Sister, je sais. [02:20:31] Speaker F: Il a effectivement tourné avec Twisted Sister et je l'avais vu avec Twisted Sister. [02:20:34] Speaker C: Mais le mec est un workaholic, il bosse tout le temps. Mais très content de le voir revenir dans Dream, même si le premier single pour l'instant est un poil décevant, mais le concert va être mortel. Tourné dès 40 ans, ils vont balayer toute la carrière. [02:20:47] Speaker E: Ils ont l'air d'être contents du résultat en tout cas de l'enregistrement, ils en parlent bien quoi. [02:20:52] Speaker C: T'as aucun groupe qui dit que le nouvel album est de la merde ? [02:21:00] Speaker E: Il y a des fois où tu veux être comme une nuance. Genre Deftone avec l'album Gore ? Ils le vendaient pas de la même manière qu'ils ont vendu les autres albums, tu vois. Et clairement maintenant ils disent non, clairement on a merdé, on l'a sorti dans la précipitation. Ça aurait été un bon EP mais pas forcément un bon album. [02:21:20] Speaker C: Non mais je pense qu'il faut surtout de faire la tournée avec lui, là je pense que c'est vraiment le truc... [02:21:24] Speaker A: Oui il y a un petit peu un retour, ça va faire naître quelque chose peut-être. en Dream Theater, en tout cas les membres qui sont encore là. [02:21:30] Speaker C: Ils sont tous là. [02:21:31] Speaker F: C'est plutôt stable en fait. Depuis la fin des années 90, il y a juste Portnoy qui est parti et qui est revenu. [02:21:38] Speaker C: Tu as le chanteur qui a juste changé après le premier album. Mais depuis c'est toujours le même. C'est le clavier qui a changé. T'as le clavier d'origine qui est parti après trois albums. T'as eu Derek Cherignan pour un album. Et depuis t'as John Andredes qui n'a jamais bougé. Et voilà quoi. [02:21:54] Speaker A: Bon alors j'espère que j'ai pris la bonne chanson. C'était bien la première. Parce que c'est un live en fait, l'extrait est un live. J'ai pas chié dans la colle là parce que j'étais en train de dire putain le truc est long et j'ai lu jusqu'à 6 minutes et quelques mais est-ce que c'était ça ? [02:22:06] Speaker C: Parce que la vidéo fait 27 minutes et... Tu veux répondre professionnel ? [02:22:11] Speaker A: On met pas son téléphone sur ma table ! Toujours une bonne ambiance dans cette émission. En tout cas très calé. C'est l'heure du clip, c'est pour ça. C'est l'heure du clip, tout à fait, avec donc ce Métropolis Partout Live. [02:26:12] Speaker D: C'Est Bang Bang ! Musique du générique de fin Sous-titres réalisés. [02:30:00] Speaker C: Para la communauté d'Amara.org. [02:31:17] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:32:13] Speaker A: Ah le petit choix qui va bien, oui c'est moi qui ai choisi de passer ce morceau là, j'aime bien les trucs catchy, j'aime bien. [02:32:19] Speaker F: Les trucs qui me donnent envie de. [02:32:21] Speaker A: Danser, qui me donnent envie de sortir. Ça se sent que c'est toi. [02:32:24] Speaker C: C'est un peu téléphoné comme balle. [02:32:26] Speaker E: Ça c'est fait deux fois qu'on fait des notes sur le même groupe. [02:32:29] Speaker A: Beaucoup trop de références à ce groupe là. Non mais voilà, ce groupe là s'appelle Virgin Marys et le titre qu'on vient d'écouter c'est When the Lights Go Down. De toute façon maintenant c'est très bien fait, Ben et Marcel ont fait en sorte que vous puissiez avoir toutes ces petites informations en bas de l'écran. Comme ça si vous êtes un peu perdus, vous pouvez toujours aller vous renseigner. [02:32:45] Speaker F: Utilisez vos yeux. [02:32:46] Speaker A: Voilà, sauf pour ceux qui sont sur YouTube puisque vous n'avez pas ça et ceux qui écoutent en podcast aussi via toutes les plateformes d'écoute légale, vous ne pouvez pas l'avoir. Donc écoutez-nous un petit peu mieux et vous irez chercher vos groupes après. [02:32:57] Speaker C: Ah mais sur le 3615... [02:32:59] Speaker A: Alors ça j'aurais adoré. Mais malheureusement on m'a dit non non. [02:33:04] Speaker C: Tu sais Pierre c'est fini. [02:33:05] Speaker A: Attends mais moi je l'ai toujours. On en a un derrière. Il est bien là. Il ne marche pas mais il est là. Romain tu es notre invité ce soir encore une fois merci beaucoup. [02:33:13] Speaker C: Mais de rien c'est avec plaisir. [02:33:14] Speaker A: J'espère que niveau musical et tout... Ça se passe bien. Tu m'en veux pas trop ? [02:33:19] Speaker C: Non. [02:33:19] Speaker A: Alors on a aussi discuté de tas de choses, parce que tu es journaliste, tu parles de séries, on te retrouve absolument partout, mais il a si bien dit notre Didi international, tu fais aussi des podcasts, c'est ça ? [02:33:32] Speaker C: Je fais des podcasts avec une équipe, je ne suis pas tout seul, consacré à l'univers Star Trek. L'une des séries chères à mon cœur. Pas uniquement la première série des années 60, mais il y a eu beaucoup de séries dérivées. Il y en a surtout beaucoup en ce moment grâce au phénomène du streaming et la plateforme Paramount+, qui est le studio qui est derrière Star Trek. Ils ont multiplié les séries actuellement. Il y en a quasiment 5 en ce moment, que ce soit des séries en actes réels ou animés. Bref, ça donne vraiment beaucoup de... Lower. [02:33:57] Speaker E: Deck, c'est vraiment une pépite ! [02:34:00] Speaker C: C'est Futurama dans l'univers de Star Trek ! [02:34:03] Speaker A: Ah oui ? [02:34:04] Speaker C: D'accord ! [02:34:04] Speaker F: J'en ai déjà fait une chronique dans. [02:34:05] Speaker E: Ton émission, rappelle-toi ! [02:34:06] Speaker A: Oui, bah écoute, je ne sois pas de tout ce que... déjà ce que je dis moi, donc alors... Et bah. [02:34:11] Speaker C: Du coup, avec l'équipe de ce podcast qui s'appelle le Quadrant Pop, on fait les critiques de chaque épisode le lendemain de la diffusion. On en est à plus de 120 numéros. On fait des événements en live ou carrément avec un crowdfunding, on prend une salle de ciné où on projette un film de Star Trek, puisqu'il y a eu des films évidemment de ciné. Et derrière, on fait le podcast en public dans la salle de ciné. Donc on se marre bien, l'équipe est cool, on a tous un vécu un peu différent par rapport à Star Trek, il y en a qui viennent de le découvrir, il y en a qui connaissent depuis quasiment 40 ans. Donc voilà, si vous aimez la SF et si vous aimez un peu découvrir ce genre d'univers, venez, venez comme vous êtes, c'est vraiment ouvert à tout le monde, c'est pas que pour les spécialistes. Vraiment, on essaye de faire découvrir ça. [02:34:55] Speaker A: Ça s'appelle quoi le podcast ? [02:34:56] Speaker C: Le Quadrant Pop. [02:34:57] Speaker A: Quadrant Pop. Et on vous retrouve donc partout sur toutes les plateformes, mais il y a un site où on peut aussi s'inscrire ? [02:35:03] Speaker C: Certainement, j'ai pas eu à relancer. Vous cherchez sur Google, ou alors le Coin Pop, qui est le réseau en fait dont fait partie le Quadrant Pop. C'est un réseau de podcasts dans lesquels il y a pas mal de trucs qui sont un peu dans le même univers. Il y a des podcasts sur X-Files, sur les Tortues Ninja, il y a un podcast sur le ciné qui s'appelle Shitlist qui parle des plus mauvais films. [02:35:23] Speaker F: Je connais bien, j'écoute beaucoup le ciné. [02:35:24] Speaker C: Ben voilà, Shitlist, c'est un peu la même équipe. Il y a Manu dans Shitlist qui est aussi dans le Quadrant Pop. [02:35:29] Speaker E: Mais sinon, suivez Romain sur les réseaux sociaux et dès qu'il y a un nouveau podcast qui sort, il en parle. [02:35:34] Speaker C: Je le partage en général, que ce soit sur Facebook, sur Blue Sky. Ça dépend s'il y a des séries qui sont en diffusion à ce moment-là ou pas, mais en général, on essaie de faire ça toutes les semaines. [02:35:43] Speaker A: Ah oui, c'est un rythme quand même assez souple. [02:35:46] Speaker C: Oui, des fois on fait des pauses quand on n'en peut plus, mais quand vraiment la série est en diff', c'est chaque semaine quand il y a le nouvel épisode. Donc là, on est en plein dans Lower Decks, dans la saison 5. Donc voilà, chaque semaine, on décrypte l'épisode. [02:35:57] Speaker A: En plus maintenant, sur Spotify... [02:35:59] Speaker C: Je suis pas dans tous les numéros, on est assez nombreux pour être un peu en roulement. [02:36:03] Speaker A: Et puis maintenant sur Spotify, les gens peuvent commenter même sans qu'il y ait de validation, donc ils peuvent vous laisser des petits messages s'ils écoutent, c'est le côté pratique aussi, pour pouvoir échanger un petit peu ensemble. Et alors aussi, au tout début, avant même qu'on commence l'émission, Moi j'ai eu 2-3 petites infos. Que tu m'as donné toi, mais il. [02:36:20] Speaker C: Y a eu du scoop. [02:36:21] Speaker A: Et là j'ai eu des... Tu peux même pas imaginer. On se connait pas mais je sais que les gens vont dire, attends mais c'est vraiment un boulet ce Pierre, il aime que les trucs qui sont particuliers, pour pas dire d'autres mots. Mais là t'as joué aussi dans des séries ? [02:36:35] Speaker C: T'as tourné ? J'ai tourné dans Nerds, la série co-créée par monsieur. [02:36:40] Speaker A: Qu'On peut retrouver quelque part peut-être ? [02:36:43] Speaker E: Oui, sur YouTube. [02:36:44] Speaker C: En DVD aussi, il y a des DVD ? [02:36:47] Speaker E: Oui, oui, après il n'y a plus beaucoup d'endroits où ça se vend, mais oui. [02:36:50] Speaker C: Moi je les ai toujours sur mes étagères. [02:36:52] Speaker A: Moi aussi. [02:36:55] Speaker C: Donc j'ai joué dans Nerds, et plus récemment j'ai joué dans non pas un, mais deux épisodes de Amour, Gloire et Beauté. [02:37:04] Speaker E: Amour, Gloire et Beauté ! [02:37:05] Speaker A: Ah, je suis devenu heureux ! [02:37:07] Speaker E: Parce qu'il faut rappeler que tous les gens de nos âges, donc qui ont entre 25 et 28 ans, quand on était à l'école et qu'on était malades et que du coup on restait à la maison, que nos mamans, nos grands-parents nous gardaient, et que du coup t'es en train de commoter avec ta grippe, tu regardes quoi à la télé parce qu'il n'y a que ça ? Tu regardes Amour, Gloire et Beauté où t'entends le générique qui passe parce que. [02:37:30] Speaker A: Ta mère ou ta grand-mère écoute et... Mais là, tu ne peux même pas imaginer la jamie. [02:37:36] Speaker C: Alors, jouer est un bien grand mot. C'est plus une figuration. Voilà. Mais parce qu'en fait, il se trouve que les acteurs viennent tous les ans faire de la promo des interviews lors du festival de télévision de Monte Carlo. Et moi, je suis tous les ans à ce festival-là pour faire des interviews. C'est là qu'il y a plein d'acteurs. Elle est le coup de G, c'était là-bas. J'en parlais tout à l'heure. Et en fait, ils en profitent également pour tourner quelques scènes dans les épisodes suivants. Voilà. Et là, cette année, ils devaient tourner une scène de conférence de presse parce que Brooke Logan, Annoncer un nouveau projet pour Forrester's Creation, sa société de mode. Et donc, ils avaient besoin de journalistes pour faire le côté « Une question, une question s'il vous plaît, Brooke ! [02:38:18] Speaker E: ». [02:38:18] Speaker C: Donc ils ont demandé aux journalistes du festival si ça les intéressait d'apparaître dans l'épisode. Et finalement, c'est devenu deux épisodes carrément, parce qu'ils ont expliqué le truc avec un cliffhanger. Donc je suis passé l'été dernier sur CBS, la grande chaîne américaine CBS. Les américains ont pu voir ce doux visage. Et ça passera l'été prochain sur TF1 parce qu'il y a un an de décalage. C'est moins que pour les Feux de l'amour, il y a deux ans et demi de décalage. Donc quand il y a des crossovers, c'est sûr. Non, ils n'ont pas compris le livre. [02:38:49] Speaker A: Bon bref. Mais parce que là, dernièrement, attendez, parce que là, on est sur les grandes séries. Mais parce qu'on parlait aussi en rentrée... [02:38:58] Speaker C: Oui, de ton projet ! [02:38:59] Speaker A: C'est bien ça qu'on entend parler ! [02:39:01] Speaker E: On rappelle qu'on avait lancé une campagne Il y a très longtemps, pour que Pierre puisse jouer, puisse vivre son rêve et de jouer dans la série Les. [02:39:12] Speaker A: Mystères de l'Amour, j'en rêve toujours. [02:39:14] Speaker E: On a lancé des campagnes sur Twitter pour que Jean-Luc Azoulay le contacte, l'engage. [02:39:19] Speaker C: Je t'ai promis de te dévoiler un trix pour être embauché par Jean-Luc Azoulay et tout ça est véridique. Si tu regardes bien ces différentes séries, et tout ça est décrypté sur un site qui est absolument génial qui s'appelle les sites comologues. Les sites comologues ont décrypté toutes les séries produites par Jean-Luc Azoulay. Et tout, tout, on va dire ça pour rester poli, tous ces kinks. Et Jean-Luc a un kink en particulier qui revient de manière très régulière dans ses séries et c'est son point commun avec Quentin Tarantino. Il est fétichiste des pieds, mais tout à fait. Jean-Luc Azoulay est fétichiste des pieds. Dans ses séries, il y a souvent des plans de pieds nus, mais vraiment, c'est limite malaisant. C'est quand même dans les mystères de l'amour, quand tu regardes, il y a des histoires de troubles, t'as José qui met enceinte deux femmes en même temps, t'as Annette de premier baiser qui se retrouve au lit avec le père d'Hélène. Jean-Luc Azoulay a un esprit particulier, donc je te suggère, si tu lui envoies des vidéos d'audition, des vidéos de tes pieds. Je suis sûr que ça va le convaincre. [02:40:24] Speaker A: J'imagine que ça me sent un peu mal. J'ai de très jolis pieds par contre. D'autant plus qu'ils sont profités. [02:40:31] Speaker F: Ça va t'aider à avoir de l'avancement. [02:40:33] Speaker C: Mais c'est pas encore un Odorama, donc tu vois bien. [02:40:36] Speaker A: Non, parce qu'en plus, les Mystères de l'amour, il y a la chanteuse, comment elle s'appelle, je ne sais plus... Elzaïe Snout. Elle joue dans... Alors c'est soit Mourgloire et Beauté, soit... [02:40:43] Speaker C: Mourgloire et Beauté, mais j'en ai parlé en interview aux acteurs en question. [02:40:46] Speaker A: Et là, on m'a envoyé, imagine, alors c'est comme quoi les gens savent que j'ai un gros problème, parce que j'ai reçu des messages, parce que je ne suis pas, je ne vais pas mentir, je ne suis pas, j'ai reçu des messages qui m'ont dit « Regarde, regarde, elle est dans Mourgloire et Beauté, tout est linké Pierre-Guillaume ! » Et ça m'a fait beaucoup rire, c'est un truc dont tout le monde se fout. C'est pas très rock'n'roll. [02:41:06] Speaker E: Non, mais ça fait partie de notre adolescence aussi. Ça veut dire, quand t'as découvert Korn, il y avait Lenny et les garçons qui passaient à la télé. Et même si t'étais déjà un peu trop vieux, c'était dans la même époque. [02:41:20] Speaker C: Et Johnny Koukou, c'est très rock'n'roll. [02:41:23] Speaker A: Ben oui, avec Johnny Roquefort. C'est vrai que ça fait du bien. [02:41:28] Speaker E: Moi ça me rappelle, j'ai fait un rendez-vous avec Davy il y a très longtemps dans les bureaux de AB Productions, c'était le mec en dessous d'Azoulay. Avec nos courts-métrages, on a eu quelques diffusions en télé. Et on a fait notamment, on a refait le clip de « Comme d'habitude » avec Batman et Robin. Avec du coup, Batman qui se tape Robin à la fin. On l'a encrypté comme sur Canal, logique. Mais comme nous, j'ai juste des cons d'art des choix, c'était juste des super-héros qui s'enculent. Nous ça nous faisait rire, c'était juste ça le gag. Mais c'est que... Parce que voilà, on n'était pas... C'était notre niveau quoi, c'était pipi caca et puéril, mais il y a plein de gens de chaînes de télé et donc AB Productions à ce moment-là qui nous ont démarché, qui nous ont fait venir parce qu'ils pensaient qu'on était des gays qui revendiquions une certaine... On revendiquait notre geekitude et notre homosexualité, alors que nous c'était juste des gags de « on s'encule ». Mais du coup ils nous ont reçus et nous on était « putain cool », on essayait de se vendre en tant que scénariste et tout, machin et tout. Ils nous ont clairement dit « non mais Jean-Luc a besoin de personne pour écrire sa série ». C'est la même chose quand Canal avait fait « La nuit gay », ils ont diffusé un court-métrage qu'on a fait horrible où pareil c'est que des gags d'humour noir et pipi caca où on s'encule avec des vies. [02:43:07] Speaker A: Non mais c'est horrible ! [02:43:09] Speaker F: Il y a un paterne quelque part quand même. [02:43:11] Speaker E: Moi je fais non je veux pas, j'ai peur d'attraper le sida. Il fait ben non quand c'est la première fois on peut pas attraper le sida. De toute manière le sida... [02:43:19] Speaker A: C'est de l'humour de l'époque. [02:43:20] Speaker E: Non c'est vraiment de l'époque. Après on dit des choses encore pire. Canal pensait vraiment qu'on était gay et qu'on était dans un humour revendicatif et ils nous ont passé dans la soirée gay juste avant le film porno qui pour la première fois diffusait un porno gay donc la plus forte audience de la soirée et il y a notre court métrage juste avant. [02:43:46] Speaker A: Ça a dû faire rire la communauté à l'époque. [02:43:48] Speaker E: Mais en tout cas, on était des petits pecs noirs des choix. On est montés à Paris, on est rentrés dans les locaux d'Abbé Productions. Il y avait à l'époque le tournage de la copie ratée de Friends. Les années bleues ? Non, c'était pas le même. C'était pas un truc genre Les Copains ou un truc comme ça. [02:44:04] Speaker C: Ah oui, il y avait eu ça, ouais. [02:44:05] Speaker F: C'est littéral. [02:44:06] Speaker E: Mais c'était vraiment un truc qui n'a pas du tout marché. [02:44:10] Speaker A: Je connais pas. [02:44:11] Speaker E: Et en plus, ils l'avaient marketé vraiment comme le Friends français, alors que non, c'était la... [02:44:17] Speaker A: C'est pas facile d'écrire de vrais trucs vraiment marrants. [02:44:21] Speaker F: C'est trop drôle, c'est pas facile. [02:44:22] Speaker A: Non, parce que bon, c'est censé être marrant, le mystère de l'amour, mais bon... C'est marrant de sa façon quoi, mais. [02:44:27] Speaker E: Pas pour les bonnes raisons. On a fait aussi une parodie d'un gars et une fille, c'était un gars, une fille et un autre gars. Mais du coup, t'avais la production d'un gars et une fille qui nous avait contactés, pour voir qui en était quand même, pour gratter. Par contre, ils se sont rendus compte très rapidement qu'on était juste des débiles, qu'on faisait des gags. [02:44:50] Speaker A: Après, tu peux être des débiles et faire des gags. [02:44:53] Speaker E: Il y avait toujours les gags avec l'habillage et tout. Et puis juste que là, tu as un troisième habillage avec juste un gars qui est au milieu et qui lâche des caisses. [02:45:06] Speaker A: C'est l'humour de notre âge. Je ne sais pas quel est l'humour des plus jeunes. [02:45:09] Speaker E: Mais quelque part, c'est cet humour qui a fait qu'on a commencé à faire des trucs, qui a finalement fait que je connaisse. [02:45:18] Speaker A: Tu sais quoi, en froute, ça ne fait toujours rien. [02:45:19] Speaker C: En 2024, je pense que ça marche toujours. [02:45:21] Speaker E: L'humour de paix, c'est universel. [02:45:24] Speaker F: Voilà, c'est la forme d'humour la plus universelle et la moins offensive. [02:45:28] Speaker A: Après ça dépend pour qui, ça dépend. [02:45:31] Speaker E: Pour ce qu'on a mangé. Mon fils a un an, quand il a lâché sa première caisse et éclaté de rire derrière, il a un an, ça y est, il a atteint mon niveau déjà. C'est-à-dire que tout ce qui est prêt après, c'est déjà mieux que moi, quoi. [02:45:48] Speaker A: Ça promet pour les années à venir. Et cette émission est vraiment très très constructive. Mais merci de nous avoir raconté tout ça, mon petit Didi, je ne savais pas. Donc ça me rapproche encore plus de toi et de Azoulay. Je vais On va tenter. [02:45:59] Speaker C: Ça se tente. [02:46:00] Speaker A: Je vais tenter une histoire de yêpe. [02:46:02] Speaker F: Suite et rêve. [02:46:03] Speaker E: Bah non, on recommence sur Twitter à le contacter pour lui dire qu'il faut qu'il t'engage, mais en mettant des photos de yêpe à chaque fois. [02:46:11] Speaker A: Ah mais ça va dégoûter les gens qui sont en train de regarder là. Restez là, attention, on va pas les mettre là. [02:46:16] Speaker E: On s'en fout que les gens ça les dégoûte, tente-lui ça le dégoûte pas. [02:46:19] Speaker A: Ok, bah rendez-vous sur le Twitter de Restless. Désolé si vous voyez des pieds apparaître. N'hésitez pas à rejoindre Restless Radio, c'est tous les réseaux sociaux. Restless Radio en un seul mot, R-S-T-L-S-S Radio. [02:46:35] Speaker F: Et pour chaque don à Restless, une photo de pied. [02:46:40] Speaker E: Vous avez vu le sujet avec Lily Allen qui en a parlé cette semaine ? [02:46:44] Speaker F: Oui, c'est vrai. [02:46:45] Speaker E: C'est vrai qu'il y a beaucoup de. [02:46:46] Speaker A: Gens qui ont des pieds, moi je. [02:46:47] Speaker C: M'En fous, c'est pas le problème, les. [02:46:48] Speaker A: Gens font ce qu'ils veulent. [02:46:48] Speaker C: Oui, c'est juste qu'il y a quelqu'un. [02:46:49] Speaker E: Qui était en train de la clasher parce qu'elle avait un OnlyFans où elle vendait des photos de ses pieds, et elle explique qu'elle a beau avoir je crois 18 millions de listeners par mois sur Spotify, elle gagne plus d'argent avec son compte OnlyFans en ayant juste 1000 personnes qui sont abonnées. [02:47:07] Speaker A: Le sexe et puis les fantasmes, ça marche toujours mieux que la musique. C'est-à-dire que c'est des trucs qui importent facilement. Est-ce que tu aurais quelque chose d'autre à nous présenter, messieurs ? Est-ce que vous avez une dernière question à poser à notre invité ? Est-ce que tu as un cri ? [02:47:20] Speaker C: Un dollar ? [02:47:21] Speaker A: Quelque chose à raconter ? [02:47:28] Speaker C: Non. Non, j'aurais des choses à vous annoncer l'année prochaine. Je tease un peu. Je suis en train de travailler à l'écriture d'un livre qui parlera d'une série en particulier. Et voilà, je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant. [02:47:43] Speaker A: Tu as déjà écrit des livres ? [02:47:45] Speaker C: J'en ai co-écrit un avec mon compère Alain Carazé, un bouquin qui s'appelle « Séries anatomies », qui explique comment sont écrits, produits, tournés et marketés les séries télé. En partant de plein d'exemples et d'interviews qu'on a fait l'un et l'autre, en partant surtout des idées reçues. Chaque chapitre, c'est une idée reçue qu'on démonte. C'est un bouquin qui est sorti il y a quelques années et là je suis en train d'écrire le prochain. qui vraiment s'intéresse à une seule série en particulier. Je suis en plein dedans, ça m'amuse bien, mais pour l'instant, je suis un petit peu... [02:48:17] Speaker E: Je ne veux pas vous dire, c'est Marqué-Sophie. [02:48:20] Speaker A: Mais Marqué-Sophie, il n'y a pas de pire. Le petit tiote de la tête se. [02:48:38] Speaker F: Synchronisait, il était magnifique. [02:48:39] Speaker E: La femme de ménage là, Marie-Pierre Cazet, je pense qu'il y a moyen de voir ses guêpes. [02:48:48] Speaker C: Elle ne voulait pas entendre ce genre de phrase. Donc non, ce n'est pas marqué. [02:48:53] Speaker E: Je suis désolé. Je le ferai moi-même. [02:48:54] Speaker A: Je te présenterai l'éditeur. [02:48:56] Speaker C: Mais voilà, j'espère pouvoir vous en reparler l'année prochaine. [02:48:59] Speaker A: Avec grand grand plaisir. [02:49:01] Speaker C: Podcast on est bon, Téléstar quand tu rentres chez toi en Ardèche. [02:49:05] Speaker E: Noël, fait qu'il y a des articles pour le début de Noël. [02:49:11] Speaker A: Disponible uniquement papier ou aussi web ? [02:49:13] Speaker C: Téléstar, il y a une version numérique. Sur kiosque.com je crois. [02:49:19] Speaker A: Je crois qu'il n'y a plus que kiosque.com. Mais c'est hyper intéressant effectivement et c'est à lire pour toutes les critiques. Si on a envie d'en savoir plus, on peut suivre tes réseaux sociaux. [02:49:30] Speaker C: Ouais, sur Facebook, je suis sur Insta, je suis quasiment plus actif sur Twitter par contre, j'ai décidé, je fais la grève de Twitter depuis qu'Elon Musk fait n'importe quoi donc... Ça pourrait faire une. [02:49:44] Speaker A: Bonne série sur l'homme, enfin c'est folie. Le dernier morceau, parce qu'on n'en a rien fait, il y en avait 4. [02:49:50] Speaker C: Il serait temps quand même parce que là j'ai... [02:49:53] Speaker A: Tu vois ? [02:49:54] Speaker C: Ouais ! Il est sympa mais bon... The Who. [02:49:57] Speaker A: Les fameux The Who, tu en as parlé, avec ce titre Pinball Wizard. [02:50:03] Speaker C: Pinball Wizard, qui est une des chansons de Tommy. Beaucoup de gens connaissent la version chantée par Elton John dans le film, mais évidemment, dans l'album, au départ, c'est Roger Daltrey lui-même qui la chante. Là, c'est la version live au festival de l'Isle of Wight, donc en 71, c'est vraiment quand ils sont au top de leur forme. Et les Who, parce que voilà, comme j'ai dit tout à l'heure, Tommy, pour moi, est l'un des films les plus marquants pour moi. J'aime beaucoup ce groupe. Évidemment, l'album suivant Who's Next, qui est un pur chef d'oeuvre. Évidemment, il y a plein de points que les séries, les génériques de toutes les séries des experts, des Roger Daltrey, même apparus dans un épisode en tant qu'acteur. Mais voilà, chacune de ces séries des experts, c'est une chanson différente des Who. Pete Townshend avait même fait une chanson originale pour Miami Vice, donc on y revient, j'en parlais tout à l'heure. Et puis voilà, pour moi, c'est le... Il y a évidemment pour tout le monde dans le rock britannique des années 60, il y a les Beatles et les Stones, et eux, ils sont sur la troisième marge du podium. Et pourtant, ils ont une carrière qui est tout aussi intéressante, tout aussi folle, avec tout autant d'humour, j'en parlais tout à l'heure. ce qui est une dimension vachement importante. Et puis, l'histoire de Tommy, c'est quand même un truc, l'homme de Tommy, c'est un truc complètement frappadingue. Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est l'histoire d'un gamin qui devient sourd, aveugle et muet après avoir assisté à un assassinat où on lui dit qu'il ne faut pas en parler et qu'il n'a rien vu. Donc, il se referme complètement et il devient champion de flipper. Et c'est en fait toute une réflexion sur le culte de la personnalité, sur le succès, etc. Et donc, il y a une scène avec des amers qui nagent dans les haricots, dans le film. [02:51:34] Speaker A: C'est à avoir. [02:51:35] Speaker C: C'est à avoir, ça c'est à avoir. [02:51:37] Speaker A: Il ne faut pas s'en priver. De toute façon, nous aurons encore une fois dans la VOD toutes les informations qu'il faudra pour pouvoir ne pas rater ça et ne pas oublier de le regarder. En tout cas, mille merci encore une fois. [02:51:48] Speaker C: Avec grand plaisir. [02:51:49] Speaker A: Et attention, ce n'est pas terminé l'émission parce qu'on va quand même regarder ce clip et on revient juste après. [02:52:24] Speaker D: Ever since I was a young boy I played the silver ball From Soho down to Brighton I must have played them all But I ain't seen nothing like him In any amusement hall That deaf, dumb and blind kid. [02:52:46] Speaker A: C'est un peu comme ça. [02:53:09] Speaker D: Il s'agit d'un wizard de la peur et de la tristesse Un wizard de la peur et de la tristesse. [02:53:29] Speaker C: Ain't. [02:53:29] Speaker D: Got no distractions Can't hear no buzzin' bell Don't see no lights flashin' Things by sense of smell Always gets replayed Never seen him fall Like death on a blanket Short days leave pitfalls I thought I was a value-taking I just ended my pitfalls Oh, my favorite table He can't be my best But his soul will lead him in And he just doesn't rest He's got crazy flippin' fingers I've never seen him fall That. [02:54:29] Speaker A: Deaf, dumb and blind kid. [02:55:51] Speaker E: Sous-titres réalisés. [02:55:52] Speaker D: Para la communauté d'Amara.org. [02:56:48] Speaker E: J'adore le soleil, j'ai l'air calme Victor's pretty flush, he's. [02:56:53] Speaker A: Riding away J'ai envie de danser, j'ai. [02:56:56] Speaker C: Cru danser. [02:58:01] Speaker A: Oh, c'est un nouveau ! J'étais pris dans ce clip. [02:58:05] Speaker C: Retour à l'antenne, Pierre. [02:58:06] Speaker A: Oui, c'est mon professionnalisme qui parle encore une fois. « Into Others », qui est un groupe que tu m'as fait découvrir, que tu nous as peut-être tous fait découvrir. [02:58:15] Speaker F: J'en suis très heureux. En plus, quand on l'a fait découvrir, nous, nos auditeurs, je me rappelle que le clip a eu beaucoup de mal à marcher. [02:58:22] Speaker A: Ah oui, c'était celui-là très précisément. Et qu'il a fallu télécharger. Mais bon bref, on va pas raconter l'histoire. Mais là, c'est Pet Sematary, vous l'aurez compris. [02:58:32] Speaker E: Une reprise de Ramones. [02:58:33] Speaker A: Voilà. [02:58:33] Speaker F: Tout à fait. [02:58:34] Speaker E: D'ailleurs, je trouve que pour le coup, ça apporte pas grand-chose par rapport au Didier Ramones. [02:58:38] Speaker A: Oh le cognon ! [02:58:40] Speaker F: C'est littéral, oui. [02:58:41] Speaker A: Ça fait tout... [02:58:42] Speaker E: Un peu plus gothique. En tout cas, il faut savoir que ce titre a été écrit par Didier Ramones lors d'un repas avec Stephen King. C'est pas pour rien que je veux me faire appeler Didier. Les Ramones étaient fans de Stephen King, et Stephen King était fan des Ramones. Ils se sont fait un dîner, ils se sont parlé de projets et tout, et Didier Ramones s'est vraiment descendu dans la cave, il s'est isolé, et il a écrit le morceau vraiment en même pas une heure. Et donc il faut savoir qu'après, la version d'Eramon, ça a été utilisé dans la première version du premier film de Cymthia. [02:59:21] Speaker A: C'est dommage qu'on ne puisse pas filmer d'ici, parce que la vue de Ben est bien meilleure de ma place. que quand on met la caméra, voilà, celle-ci. [02:59:35] Speaker F: Il faudrait une quatrième caméra volante si tu veux. [02:59:37] Speaker E: Il faudrait que j'ai une GoPro sur la tête là. Un truc avec une courbe focale qui rende vraiment hommage à Ben. [02:59:48] Speaker F: Théo V, Ben est sur ton épaule. [02:59:50] Speaker A: Ce qu'on peut garder clairement de ta venue, c'est que le rock'n'roll et les séries, ce sera quand même toujours lié et il y a toujours des millions de choses à te dire, que ce soit avec des acteurs ou musicalement. [03:00:03] Speaker C: Ou musicalement, il y a plein de gens dont on n'a pas parlé, Stuart Copeland, le batteur de police qui a fait des BO des années 80, notamment Equalizer, Babylon 5, Dead Like Me, voilà, on pourrait rester encore pendant une heure à parler de tout ça. [03:00:14] Speaker F: Et même des BO de jeux vidéo, la série Spiro, dans les années 90, c'est lui qui composait les musiques de Spiro. [03:00:24] Speaker A: On aurait beaucoup de choses à dire. [03:00:25] Speaker C: Beaucoup de... Ça va Ben ? [03:00:27] Speaker A: Comment ça va ? La rentrée c'est bien, non c'est les vacances pour toi ! Je cherche le lait ! [03:00:36] Speaker C: Désolé, le naturel revient. [03:00:39] Speaker A: En tout cas merci mille fois d'être venu, il faut absolument le suivre sur ses réseaux sociaux, il y a plein plein de choses à venir et plein de choses marrantes, cool, intelligentes, beaucoup plus cultivées que l'équipe. Et enfin, je dis ça surtout pour moi, excusez-moi, vous avez peut-être des lunettes. Et Ben aussi. Bon, Didier, désolé. Et n'hésite pas à revenir, quand tu passes dans le quartier, tu es toujours le bienvenu. [03:01:03] Speaker C: Avec grand plaisir. Et s'il y a un concert où. [03:01:05] Speaker A: Tu vas, n'hésite pas à nous envoyer un petit message, comme ça on peut y aller en chœur. Enfin, si t'as encore envie de nous voir. [03:01:09] Speaker C: Écoutez, 23 novembre, à la Didier Sarena, Dream Theater. Ah ben voilà, venez tous, ça va être cool. [03:01:15] Speaker A: Pourquoi pas. Tu veux venir à la Dream Theater, mon petit Ben ? [03:01:18] Speaker C: À moi ? [03:01:19] Speaker B: Ça va. [03:01:20] Speaker A: Ça veut dire non. [03:01:23] Speaker B: Je sais pas si je serai encore en vie à ce moment-là. [03:01:26] Speaker F: Vous pourrez faire un concours de barbe avec Jordan Rhodes. [03:01:29] Speaker B: Qui c'est ? [03:01:30] Speaker A: Le clavieriste. Ah ouais, d'accord. Ceci dit, ça doit être intéressant de. [03:01:35] Speaker C: Les voir dans cette salle-là. Premier concert pour moi dans cette salle. Je ne sais même pas s'il y en a déjà eu pour l'instant. [03:01:42] Speaker A: Si, il y a eu des concerts, beaucoup de pop-musique et de hip-hop. Il n'y a pas eu encore Within Temptation ? [03:01:47] Speaker F: C'est déjà passé. Quand c'était prévu pour cet automne, je ne sais plus à quelle date. [03:01:53] Speaker A: Voilà, donc ce sera l'occasion de te découvrir. Nous on va se quitter avec un groupe qu'on m'a conseillé, je vous dirai pas qui parce que sinon on va me dire bah super tu fais de la pub pour les amis. Ce n'est pas de la pub, c'est juste que j'ai beaucoup apprécié cette chanson. [03:02:07] Speaker B: Pierre, avant, est-ce qu'on peut lui demander une petite recommandation de série ? Qu'est-ce qu'il faut regarder en ce moment ? [03:02:14] Speaker C: Qu'est-ce qu'il faut regarder en ce moment ? [03:02:15] Speaker B: Si on aime le rock qui plus est ? [03:02:18] Speaker C: Si on aime le rock qui plus est ? J'ai absolument pas réfléchi à ça. [03:02:24] Speaker B: Moi je suis là pour poser les questions. Vous savez bien que j'étais pas là parce que je posais des questions trop difficiles, c'est pour ça qu'on m'a fait sortir, mais je suis quand même revenu parce que voilà. [03:02:36] Speaker E: La déontologie. [03:02:36] Speaker C: Si on aime le rock en ce moment, non mais là je vraiment... Même dans l'univers. [03:02:40] Speaker B: Ou de Bob Serry, tout court. [03:02:43] Speaker C: Qu'est-ce que j'ai vu de bien à. [03:02:46] Speaker A: Voir... Ça veut dire qu'elles sont toutes pourries là. [03:02:49] Speaker C: Non, je ne vais pas vous parler de Fifi Brandacier qui est disponible sur France.tv, la série des années 60. Non, qu'est-ce que... Ah, c'est une blague, acier, métal. Mais même pas, je n'y ai même pas pensé. [03:03:04] Speaker B: Tu sais que dans toutes les autres. [03:03:06] Speaker C: Langues, elle s'appelle... Pipi Longstocking. Pipi Longstocking. [03:03:12] Speaker B: En italien aussi, c'est un truc genre calzone lungo ou un truc comme ça. [03:03:15] Speaker A: Pardon, calzone ? Non, calzone. [03:03:19] Speaker B: C'est drôle qu'en France, c'est le seul pays où elle n'a pas un nom. [03:03:23] Speaker C: Qui est lié au fait de ses gens. T'as un esprit punk avant la lettre. C'est une gamine qui fait ce qu'elle veut. C'est une gamine qui est super forte, qui a des super pouvoirs, qui vit toute seule et qui envoie chier tout le monde, qui ne va pas à l'école, qui met les doigts dans le gâteau parce qu'elle a envie de goûter. C'est une proto-punk en fait Fifi. [03:03:43] Speaker E: La biographie de Pierre pour quand tu décris. [03:03:45] Speaker C: Il manque juste les couettes. [03:03:46] Speaker A: Ça peut se faire, j'ai quelques perruques. Bon bah écoute, tu le regarderas ? Non mais j'ai déjà vu à l'époque. [03:03:58] Speaker B: Mais il y a une nouvelle version ? [03:03:59] Speaker C: Non non c'est bon, il y a une nouvelle disponible sur France 3 TV, ça vient de revenir, ils l'ont mis en ligne il y a 15 jours. [03:04:04] Speaker B: France 3 ils ont vraiment investi là, ils ont pété la tiernière des droits. [03:04:08] Speaker A: C'est bien moi, c'est dispo, ça permet aux gens de se rattraper. On vous aime France Télévisions, n'hésitez pas à nous contacter. On ne sait jamais peut-être qu'il pourrait nous diffuser quelque part. Ou pas. Encore une fois, mille fois merci d'être venus. [03:04:24] Speaker C: Vraiment de rien. [03:04:24] Speaker A: Merci Didi d'avoir eu cette idée, parce que j'ai passé un très bon moment, j'ai découvert des choses aussi. [03:04:28] Speaker E: Il nous faut un spécialiste de série tous les ans. L'année dernière c'était Charlotte Blum, là maintenant c'est Alex et Romain. On verra qui est-ce qu'on invitera l'année prochaine, ou peut-être les deux en même temps, on verra. [03:04:37] Speaker A: Attention, ça va faire une fusion. Merci Ben... De rien ! Pour ce moment de plaisir. [03:04:45] Speaker B: Merci pour ce moment. Ça me rappelle quelque chose. [03:04:48] Speaker A: C'est. [03:04:50] Speaker F: Un livre peut-être. [03:04:51] Speaker A: Merci Enjoy. [03:04:54] Speaker F: Ou BenJoy ou Enjoy. [03:04:55] Speaker A: Non parce qu'il est là, je ne. [03:04:56] Speaker E: Peux pas me permettre. [03:04:56] Speaker F: On a défusionné, voilà. [03:04:57] Speaker A: Mais de rien Pierre. Du coup il a encore un peu de trauma, il lui faut de l'aider. [03:05:00] Speaker E: Du coup il a fusionné avec mon SL. [03:05:03] Speaker A: Bientôt avec le nombril aussi. Et l'odeur du nombril qu'on aime tous. Merci Marcel ! C'est super ! Allez ! Donc c'est pas encore passé. [03:05:15] Speaker C: Deux jours avant. [03:05:16] Speaker A: Deux jours avant. [03:05:17] Speaker E: Sinon Pierre, alors qu'il est là, c'est fini Linkin Park ou pas ? Ou t'es encore en plein dedans là ? [03:05:22] Speaker A: Non, là je suis encore en plein dedans mon gars. [03:05:23] Speaker E: T'es en train de chialer là. [03:05:25] Speaker A: Alors vous voyez ça, ça va pas louper. Ne me regardez pas et ne me jugez pas lorsque je serai là-bas. Je vais chanter faute. [03:05:31] Speaker E: Si vous voyez un mec avec une casquette restless qui chiale, c'est Pierre. [03:05:34] Speaker A: Ouais. Bah je chialerai même avant de rentrer dans la salle sûrement. Je le sens déjà venir. C'est en train de monter en moi. comme un nouvel orage. Bon, on peut y aller, c'est bon ? Tout le monde a dit son petit mot ? [03:05:49] Speaker B: Moi je suis pas très à l'aise là, donc si ça peut se terminer vite, ça marche. [03:05:51] Speaker A: On se quitte avec ce groupe, je vous conseille vraiment de vous concentrer dessus, ça s'appelle Baikal. C'est très très beau. Le nom de la chanson, je vais te laisser dire parce que je vais s'en... Rorschach ! Comme le test. [03:06:04] Speaker F: Ou le personnage. [03:06:07] Speaker A: C'est beau. Tu la connais cette chanson ? [03:06:10] Speaker E: Non. [03:06:10] Speaker A: Tu vas l'aimer toi et puis vous allez toutes et tous l'aimer. On se donne rendez-vous la semaine prochaine, bon courage à vous, bon courage pour ce lundi, la semaine de boulot c'est chiant je sais, mais vous allez vous réveiller d'un bon pied puisque vous nous avez regardé. Et n'oubliez pas, vous pouvez nous faire un don, c'est pas obligatoire, partagez nos contenus, faites des commentaires, c'est déjà ça l'essentiel, sinon un euro via notre site internet. Et puis bah bonne nuit. [03:06:30] Speaker D: Bye ! C'est ce qu'il y a de plus important dans la vie. Il se bat encore ! Un pour le caillou. [03:10:04] Speaker C: Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir. [03:10:24] Speaker A: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant. [03:10:26] Speaker C: Disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. [03:10:29] Speaker A: Spotify, Deezer, Apple, Amazon. N'hésitez pas à vous abonner.

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