Episode Transcript
[00:00:21] Speaker A: Vous toutes et vous tous les bangers, fans de métal, passionnés par l'alternative rock, vous êtes au bon endroit, c'est ici que nous allons parler d'une façon... C'est la maison !
[00:00:35] Speaker B: C'est la maison, non je parlais juste.
[00:00:37] Speaker A: C'Est avec mon accent américain ! Bref, qu'est-ce que je voulais dire ? Bienvenue à vous. J'espère que les vacances se sont bien passées. Oui, on est le 12. Bon, nous on a fait un peu de temps.
[00:00:52] Speaker B: Voilà, il y en a qui étaient dans le sud. Et là-bas, le temps dure longtemps.
[00:00:55] Speaker A: Il y en a sûrement plus d'un million d'années, mais ce qui est certain... Mais toujours en été ! Bon, du coup, ça ne marchait pas. Mais il y avait du soleil.
[00:01:01] Speaker B: Et des ananas ?
[00:01:02] Speaker A: Non, parce qu'il faisait trop froid. Ça dardait partout. J'ai une vraie piste de ski rouge. Et bah dis-donc, attention les plots ! Ça m'a perturbé, j'ai vu des images aussi.
[00:01:14] Speaker B: Comme d'habitude.
[00:01:15] Speaker A: Parce que Lewoski, on plante toujours le bâton. Ce qui est certain, c'est que j'espère que ces vacances se sont bien déroulées, que vous vous êtes amusés, que vos parents, vos grands-parents ou la famille ne vous a pas fait chier. Ok, j'arrête là parce qu'en fait, c'est ce qui s'est passé. Donc on est là pour vous remonter un peu le moral, c'est la première de l'année. Merci d'avoir été nombreux et nombreux aussi à réagir pendant toutes ces vacances parce qu'on a posté des choses et les gens étaient présents.
[00:01:37] Speaker B: Et on peut déjà souhaiter une très bonne année à tous nos auditeurs, tous nos voeux de bonheur, de santé, de réussite, voilà, avec des cœurs.
[00:01:47] Speaker A: Mais bien sûr, le meilleur, le meilleur, tout simplement, parce que vous êtes les meilleurs. Et merci de nous accompagner encore pour cette année 2025. Merci déjà pour les personnes qui viennent de faire quelques dons via le chemelot. Et merci à toutes les personnes qui.
[00:02:01] Speaker B: Viennent de nous rejoindre. Et merci pour le raid aussi, qui est déjà arrivé.
[00:02:06] Speaker A: Merci infiniment. Je vous invite, dès le début, parce que je suis agressif, à faire des dons via notre banque. Comme ça, il n'y a pas de frais. Il suffit de taper !don si je ne dis pas de bêtises et vous aurez le lien pour pouvoir en faire. Mais je vais vous embêter un peu plus dans les semaines à venir, ne vous inquiétez pas.
[00:02:22] Speaker B: Pendant qu'on est là-dedans, Pierre, on peut tout de suite dire aux gens de rejoindre notre Discord. !discord car quelque chose se trame dessus !
[00:02:29] Speaker A: Mais oui, bien sûr !
[00:02:31] Speaker B: Quoi donc ? On vient de créer un nouveau salon qui s'appelle Patratreon.
Et voilà, c'est parce que normalement le mois prochain, le mois de février, on va lancer notre Patreon. Comme ça, vous êtes beaucoup à nous l'avoir demandé. Et du coup, vous pourrez donner... Donc le principe de Patreon, c'est que les gens s'abonnent. Et tous les mois, l'abonnement se continue. Et en échange, ils ont des contreparties. Donc nous, on a déjà pensé à pas mal de contreparties.
Ce qu'on voudrait, c'est que vous vous donniez votre avis sur qu'est-ce que vous aimeriez avoir, au cas où on n'aurait pas pensé à des choses et tout ça. Donc on l'a lancé cet après-midi, on a déjà vu quelques trucs qui sont assez en accord avec ce qu'on imaginait, donc n'hésitez pas à demander. Et puis voilà, nous on est encore en train de réfléchir sur les prix, c'est un peu compliqué, mais voilà, n'hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez, toutes les idées que vous avez par rapport à ça.
[00:03:23] Speaker A: C'est toujours bien que vous participiez aussi puisque c'est vous qui allez le consommer, donc autant que ça vous plaise, voilà, c'est le principal.
[00:03:28] Speaker B: Pour les gens sur YouTube, le Discord est aussi disponible dans la description, bien sûr.
[00:03:33] Speaker A: Partout. Partout. C'est vrai qu'il y a des gens qui regardent. Et puis si vous êtes sur un podcast, vous vous débrouillez, vous allez sur notre site internet. Ça sera beaucoup plus simple. Tout s'est bien passé pour toi, Manu ?
[00:03:44] Speaker B: Eh ben écoute, ça va. Voilà, j'ai travaillé cette semaine. Hier, j'ai aidé un très bon ami à moi à déménager. C'était vraiment très agréable. On a beaucoup rigolé.
[00:03:52] Speaker A: Ah, je te djinkuyé barzo à toi.
[00:03:53] Speaker B: Ah ben, à Gilles Debré. J'ai jamais compris quoi veut dire quoi.
[00:04:02] Speaker A: C'est pas grave.
[00:04:04] Speaker B: Non, tu sais ce que... Tiens, je vais te raconter un petit truc. Hier, du coup, je rentrais de chez cet ami à qui j'avais fait écouter une petite chanson de Tool qu'il ne connaissait pas. Celle où ça parle en allemand, tu sais, parce que c'est assez drôle. Et du coup, c'est ce qu'il y avait dans mon Spotify, ce qui était en route. Et du coup, j'ai écouté ce groupe-là en rentrant, j'ai écouté Aynima de Tool.
Et quand j'arrivais chez moi, je suis arrivé sur la chanson 46 and 2, et là j'ai mis le son à fond.
Et je me suis rappelé, ça m'a rappelé pourquoi on faisait cette émission en fait. J'écoutais la musique à fond dans mon casque, ça pouvait pas être plus fort. J'avais mis tout pour que ça coupe le bruit extérieur.
[00:04:46] Speaker A: T'avais des alertes sur ton téléphone qui.
[00:04:47] Speaker B: Disaient « trop fort, trop fort ». Heureusement non, sinon ça m'aurait un peu cassé le truc. Et j'avais juste la musique à fond et je suis rentré dedans et au moment du pont complètement fou là, J'ai eu des frissons dans tout le corps et j'ai failli chialer juste de réécouter cette chanson et d'être dedans.
Et je me suis dit, en fait, c'est pour ça qu'on fait ça. C'est juste pour partager ces petits frissons qu'on a quand on écoute de la musique.
[00:05:13] Speaker A: Et c'est bon signe, ça veut dire que tu n'es pas totalement bout du rouleau. Alors, ça veut dire que t'as encore un peu d'émotion avec les vieilles chansons.
[00:05:19] Speaker B: C'est peut-être... Non, mais avec de la récente, ça m'arrive. Mais c'est juste que c'est rare que j'écoute aussi fort ce truc où tu te mets vraiment dedans et ça t'emporte, quoi. C'est quelque chose que je n'avais pas fait depuis très longtemps. Et qu'est-ce que c'est bon ?
[00:05:37] Speaker A: Je suis content.
[00:05:40] Speaker B: Mais pas la petite autruche. Un émeu.
[00:05:43] Speaker A: Ah oui, un émeu. C'est vrai qu'on en avait déjà parlé.
[00:05:48] Speaker B: Je vais t'acheter un petit livre avec les animaux.
[00:05:52] Speaker A: Alors, c'est lequel ? Bon, moi, je souhaite juste un bon anniversaire à Octavie. Voilà qu'une amie à moi appelle tout le temps Ovidie. Je fais quand même aussi un bisou à Ovidie. Elle est la bienvenue dans cette émission. Je vais lui envoyer un message. J'ai jamais pensé à lui envoyer un petit SMS. Bref, voilà. Toujours est-il aussi qu'aujourd'hui, nous allons recevoir un invité qui devient un rituel puisque c'est quand même la deuxième fois.
[00:06:14] Speaker B: Non, troisième.
[00:06:15] Speaker A: Oui, mais deuxième fois dans le canapé. C'est Eric, le chargé de communication, le responsable de la communication du Hellfest Festival. On a déjà posé des questions, je vous invite à regarder la vidéo YouTube sur notre chaîne de l'année dernière, mais de rester là puisque j'ai pas mal d'autres petites questions. Je vais essayer de le piéger.
Alors je fais rarement ça, mais je pense que je vais essayer de faire des petites questions pièges, voilà, pour faire monter un petit peu la moutarde, c'est pas ça les explications ? Non, la mayonnaise.
[00:06:45] Speaker B: La moutarde, elle te monte au nez par contre.
[00:06:46] Speaker A: Voilà, c'est ça, je voulais que ça picote un peu le nez.
[00:06:48] Speaker B: Mais si ça lui monte au nez, c'est pas bon signe pour nous.
[00:06:51] Speaker A: Ça veut dire qu'il va être colère, fâché tout rouge. Et puis quand il est colère, Eric... Alors je sais pas s'il fait pas mon cucul, ça, je m'avancerai quand même pas jusque là, mais...
Mais en tout cas c'est une personne qu'on aime énormément.
[00:07:02] Speaker B: On pourra lui demander.
[00:07:04] Speaker A: Bah ok, ça sera partie des questions piège. Mais voilà, c'est quelqu'un qu'on aime beaucoup et je suis très très content de le recevoir. On va essayer de le souder pour avoir quelques petites infos aussi et puis pouvoir avoir un stand magnifique. Qu'on sera pas là avec un avion qui tourne avec marquerss.com, ça serait bien.
Bon, à part ça, nous allons avoir.
[00:07:24] Speaker B: Bien sûr… Laurent Carilla qui fait bang bang !
[00:07:26] Speaker A: Mais il sera là ! J'espère !
[00:07:28] Speaker B: J'aimerais qu'il soit tout le temps là avec nous !
[00:07:29] Speaker A: D'ailleurs, je pense qu'on peut lui faire coucou parce que je crois qu'il regarde. Il a envoyé un petit message, donc coucou Laurent, on te fait des gros bisous et bang bang !
[00:07:37] Speaker B: C'est vrai qu'on peut dire que depuis qu'il est passé dans l'émission et qu'il nous a fait bing bing comme ça, depuis, à chaque fois, on pense à lui. Il est inscrit à chaque jingle, on le voit.
[00:07:50] Speaker A: Il y a un détour comme ça de sa coupe de cheveux.
Bon, nous aurons bien sûr aussi Didier qui sera là, notre Didi d'amour, qui sera là pour nous parler de l'actualité métal que vous retrouverez également en vidéo sur notre chaîne YouTube dès demain. Et c'est comme ça tous les lundis de toute façon. Et puis nous aurons aussi pour une première vraie émission Gladys qui sera là pour nous casser le dos ou faire des kicks et puis surtout pour péter des mâchoires parce qu'elle est fan de Metalcore et que nous non.
[00:08:25] Speaker B: À ce qu'on m'a dit, elle est spécialiste pied-bouche. C'est-à-dire retourner, bam !
[00:08:29] Speaker A: Et puis retourner. Je crois que j'ai saisi qu'elle n'est pas dure. Elle a du caractère !
[00:08:34] Speaker B: On peut dire ça comme ça.
[00:08:36] Speaker A: Je me suis dit, bon, je ne vais pas faire le malin non plus parce que je ne sais pas me défendre. Ah, ce n'était pas une bonne affronte.
[00:08:41] Speaker B: Je pense que si c'était un comté, elle serait au moins 36 mois.
[00:08:45] Speaker A: C'est ça.
[00:08:46] Speaker B: De caractère, quoi.
[00:08:47] Speaker A: Elle brûle le palais.
[00:08:49] Speaker B: Ça picote. Les petits cristaux de sel.
[00:08:54] Speaker A: Pour commencer l'émission, on va lancer des clips parce que c'est quand même le principe de cette émission. On discute, on passe un peu de musique et de vidéos.
[00:08:59] Speaker B: On parle très peu.
[00:09:00] Speaker A: Toujours. C'est vraiment dans mon cadre très personnel. Mais j'avais aucune idée de ce que j'allais passer et dans cette émission, je me suis dit je vais éviter de passer vraiment tout ce que je choisis systématiquement. Bon, il y a quand même une couleur qui revient fréquemment.
Je voulais commencer avec un corne, je me suis dit non, allez non, ne fais pas ça Pierre s'il te plaît, ils en ont marre les gens qui passent du corne tout le temps, et je me suis dit on va passer du sceptique flèche, alors c'est pas du tout mon cadre, personne ne pouvait s'y attendre, avec le titre Psychohistory, qui est le tout dernier clip qui est sorti il y a deux jours, il me semble, si je ne dis pas de bêtises. Et on s'envoie le pâté. Je me suis dit que peut-être tous les fans de métal qui sont là parce qu'ils veulent entendre parler du Hellfest ont peut-être envie que ça envoie du pâté. D'ailleurs, on parlera de Muse. J'en suis sûr qu'il va y avoir de la polémique.
[00:09:45] Speaker B: Oh, attention !
[00:09:48] Speaker A: Est-ce qu'on y va mon chou ?
[00:09:49] Speaker B: Quand tu veux. Je m'accroche.
[00:09:52] Speaker A: On a un bon départ ! Bienvenue à vous toutes et à vous tous. J'avais envie.
[00:10:37] Speaker C: Oh, putain ! C'est parti pour le tournage ! Maladresseur de la psychologie ! J'ai refroidi ma peau et je n'ai pas envie de mourir J'ai fait mon devoir, je n'ai pas peur de mourir Je n'ai pas peur de mourir, je n'ai pas peur de mourir Je n'ai pas peur de mourir, je n'ai pas peur de mourir Je n'ai pas peur.
[00:16:13] Speaker A: De.
[00:16:15] Speaker C: Mourir, je n'ai pas peur de mourir Je n'ai pas peur de mourir, je n'ai pas peur de mourir Je n'ai pas peur de mourir, je n'ai pas peur de mourir Je n'ai pas peur de mourir, je n'ai pas peur de mourir Oh putain !
[00:17:13] Speaker A: Ça faisait du bruit. Il n'est pas content, il tapait du pied.
[00:17:17] Speaker B: Il a secoué la tête. Mais par contre, il avait l'air d'avoir froid quand même.
[00:17:21] Speaker A: Parce que c'est un gros bomber. C'était un bomber ou c'était une petite veste avec un peu de laine mouton nature ?
[00:17:29] Speaker B: C'est toi le spécialiste des doudounes.
[00:17:32] Speaker A: Ma doudou de Mariah Carey, je suis trop content ! Depuis qu'elle m'a volé mon haut rose, désolé, je suis obligé de me rattraper en lui volant une veste. Ça va de soi. Bienvenue donc dans Bang Bang, pour ceux qui nous ont rejoints, je remercie toutes les personnes qui se sont abonnées à notre chaîne. Plus de 2000 personnes maintenant, on a presque 2100. Ça a beaucoup beaucoup augmenté. J'ai l'impression qu'il y a une hype.
[00:17:53] Speaker B: Oh là là, bravo, on le vient de dépasser !
[00:17:59] Speaker A: Bon et puis ce qu'on vient de regarder pour ceux qui n'auraient pas compris, ça s'appelle... SoulSplitter !
[00:18:05] Speaker B: C'est-à-dire le séparateur de... le séparateur de dames. Ah bah attention !
[00:18:11] Speaker A: Mais comment ils font ? Ah bah... Ah bah ils font comme ça. Bah voilà. Voilà, n'hésitez pas donc encore une fois à nous rejoindre sur Discord pour discuter de toutes ces chansons. Oui allô ? Oui ?
[00:18:24] Speaker B: Non... Pierre, on vient de me signaler quelque chose.
[00:18:26] Speaker A: Ah bon ? Quoi ?
[00:18:27] Speaker B: C'est... C'est... Je... Attends... C'est quoi ? Oui, bah écoutez, on annonce tout de suite et puis on passe tout de suite pour le duplex. Pierre, c'est l'heure de quoi c'est ?
[00:18:35] Speaker C: C'EST L'HEURE DU FLASHBACK NEWS !
[00:18:43] Speaker B: Oui, allô Didier ? Est-ce que vous nous recevez Didier ?
[00:18:45] Speaker D: Oui, je vous reçois très bien.
[00:18:46] Speaker A: Mais où sont mes lunettes ?
[00:18:48] Speaker B: Non mais, Marcel, il fallait mettre le plan juste sur Didier là, les gens ont vu qu'on était dans la même pièce.
Et là, les gens ne le voient pas.
[00:18:56] Speaker D: Oh là là...
Quel réalisateur d'auteur !
[00:18:58] Speaker A: Bah c'est une émission qui est bien faite du début à la fin, bien animée tout, il y a vraiment... Avant.
[00:19:03] Speaker B: Moi je faisais comme ça, les gens se foutaient de ma gueule, mais au moins on voyait les gens qui parlaient.
[00:19:07] Speaker A: Ça faisait un peu comme le chef dans l'Inspecteur Gadget.
[00:19:12] Speaker D: Docteur Gang ?
[00:19:12] Speaker A: Hé nous on est Docteur Gang Bang... Bang Bang ! Oh ! Bow bow bow !
[00:19:20] Speaker E: Hey !
[00:19:20] Speaker D: J'ai une debré Pierre toi ! J'ai une debré Ben !
[00:19:22] Speaker A: J'ai une debré !
[00:19:23] Speaker D: J'ai une debré Gladys !
[00:19:24] Speaker F: Également.
[00:19:26] Speaker B: Mais t'es polonaise !
[00:19:27] Speaker F: Ouais mais je parle pas un mot de polonais.
[00:19:29] Speaker B: Ben non plus !
[00:19:29] Speaker A: C'est vrai qu'on est trois. Non, c'est vrai que toi t'es pas la polonaise.
[00:19:32] Speaker B: La personne la moins polonaise, enfin du coup non.
C'est celui qui s'est dit. Par le sang, par l'injection.
[00:19:41] Speaker A: Oh là là.
[00:19:42] Speaker B: Je voulais pas dire ce mot.
[00:19:43] Speaker D: Mais c'est ça qu'il pense.
[00:19:47] Speaker A: Par la cyprine ! Cette année commence merveilleusement bien. N'hésitez pas à nous donner des dents pour continuer à dire ça.
[00:19:56] Speaker B: En tout cas, il y a deux Polacks dans l'équipe, et ben ils ne parlent pas polonais.
[00:20:01] Speaker F: C'est compliqué, il y a plus de consonnes que de voyelles dans un mot.
[00:20:04] Speaker A: Les accents au milieu des lettres.
[00:20:06] Speaker F: Ils inventent même des lettres.
[00:20:08] Speaker A: Sur les L. Les barres sur les L.
[00:20:09] Speaker D: T'es pas obligé de le lire pour le parler ?
[00:20:13] Speaker B: Ça c'est vrai aussi.
[00:20:13] Speaker F: Oui mais quand t'as 15 consommes, 3 voyages dans un mois.
[00:20:15] Speaker A: Pourquoi tu dis ça en te marrant dans tes yeux ? Je vois bien que t'essaies de me rabaisser. Mais j'aime bien.
Soumis. That's right. Mais j'aime pas lécher les pieds. Par contre les bourses... Ça.
[00:20:34] Speaker E: Me dit.
[00:20:35] Speaker A: Oh là là, mais stop ! J'ai l'impression qu'il y a 2025...
[00:20:37] Speaker D: On était au pire de l'année dernière, là on recommence pareil.
[00:20:39] Speaker A: Tu sais qu'après le show de Nouvel An, où j'ai dansé d'une façon un.
[00:20:42] Speaker F: Peu particulière... Moi j'ai beaucoup apprécié le spectacle.
[00:20:46] Speaker A: Le mot, le mot !
[00:20:47] Speaker F: J'étais assise sur le canapé, je passais ma soirée comme ça, le regard...
De.
[00:20:51] Speaker B: Le fait que ce soit qualifié de spectacle, quand un mec passe de la musique déjà, c'est...
[00:20:56] Speaker A: J'avais un déhanché, bon, pas forcément très gracieux, mais en tout cas, j'ai essayé.
[00:21:01] Speaker E: Il y avait beaucoup de chœurs. Il y avait vraiment beaucoup de chœurs.
[00:21:03] Speaker D: Est-ce qu'il y avait du lever de jambe ?
[00:21:04] Speaker F: Beaucoup de boissons aussi, je crois.
[00:21:05] Speaker E: Il n'y avait pas trop de lever.
[00:21:06] Speaker A: De jambe ni de lever de fesse, mais c'est d'austro-technique.
[00:21:08] Speaker F: J'ai cru voir pas mal de shots passer aussi.
[00:21:10] Speaker A: Ouais, bah, de toute façon, j'ai fait un blackout, donc je ne sais plus trop. Mais il y en a eu beaucoup d'abonnés au moins, juste après mes danses. C'est vrai ? Oui.
Donc je me suis dit peut-être qu'il fallait qu'on arrête de parler de ça.
[00:21:25] Speaker B: Peut-être que tu arrêtes.
[00:21:27] Speaker A: Moi j'en parle jamais. Surtout pas de moi.
Bon, on est là pour les news. Et Didier, que s'est-il passé depuis notre départ en vacances ?
[00:21:35] Speaker D: Cette semaine il s'est pas passé grand-chose, du coup j'ai gratté un peu sur les semaines de nos vacances aussi.
[00:21:41] Speaker A: Donc t'as bien fait, tu as bien fait. Tu fais extrêmement bien ton travail.
[00:21:43] Speaker B: Un peu de rattrapage.
[00:21:44] Speaker A: La rédaction travaille d'arrache-pierre.
[00:21:46] Speaker D: Toute l'équipe de rédaction de Restless.
On s'est mis d'accord, toi tu t'occupes plutôt de ce qui s'est passé aux Etats-Unis, toi un peu en Europe.
[00:21:54] Speaker A: C'est quand même très bien organisé.
[00:21:57] Speaker D: Alors on commence avec Atomic Rule, donc c'est les ex Everytime I Die. Et en fait ils ont confirmé sur leur réseau qu'ils recherchent un chanteur. Et en fait ils galèrent un peu.
[00:22:09] Speaker B: Mais alors attends, c'est les quels de Everytime I Die ?
[00:22:12] Speaker D: C'est pas le chanteur.
[00:22:15] Speaker B: Il y a le chanteur, oui, parce que du coup, ils en cherchent un autre, donc j'imagine que ce n'est pas lui, qui a lancé un projet aussi qui s'appelait quelque chose, Eyes, je ne sais plus quoi. Mais normalement, il y a une partie des autres qui sont dans Better Lovers avec Greg Pucciato.
[00:22:36] Speaker D: Écoute, je ne saurais t'en dire plus.
[00:22:38] Speaker A: Donc Better Lovers est terminé.
[00:22:40] Speaker B: Comment ça s'appelle le jeu ? Atomic Rule.
[00:22:43] Speaker A: Moi je préfère Atomic Kitten, c'est chacun son truc.
[00:22:49] Speaker D: En fait, en gros, ils auraient essayé plusieurs chanteurs et étrangement, il n'y en a aucun qui matchent. Ça ne se passe pas bien avec le reste du groupe.
[00:23:00] Speaker A: Tu veux dire que l'histoire, c'était vraiment qu'eux étaient chiants à la base ? Non, j'ai rien, je ne dis rien.
[00:23:08] Speaker D: Je ne sais pas.
[00:23:09] Speaker A: C'est des suppositions.
[00:23:10] Speaker D: C'est vrai que je ne m'entends pas très bien avec mes frères. Mais bon, à Noël, on fait un effort.
Après, si quelqu'un m'en remplaçait auprès d'eux, je pense que ça serait pareil. Un peu comme avec Evritamadime.
[00:23:26] Speaker A: Ok, ok. Non mais je vois, j'ai le truc. Vos recherches se passent bien, professeur ?
[00:23:30] Speaker B: Eh bien écoutez, il y a au moins, de ceux que je reconnais, il y a au moins le deuxième guitariste qui fait du catch. Andy. D'ailleurs, il s'est laissé pousser les cheveux et la barbe et du coup, il fait peur.
[00:23:42] Speaker D: Ouais, il faisait peur un peu avant déjà.
[00:23:45] Speaker B: Ouais, il était déjà balèze, non ?
[00:23:46] Speaker A: Bon et du coup ouais, ils ont fait ça et puis personne... Donc si.
[00:23:49] Speaker B: Vous voulez aller chanter et rejoindre ces trois musiciens pour être le quatrième, c'est ce que j'ai lu sur le... Ça fait rêver, ouais. Ouais, il faut aller les...
Bah arrête, c'est bien le Rhythm High Die !
[00:23:58] Speaker F: Ah mais j'adore Rhythm High Die !
[00:23:59] Speaker A: Elle a bien compris que de toute façon la nouvelle équipe elle faisait chier.
[00:24:01] Speaker B: Mais peut-être ça peut être toi, hein ?
[00:24:02] Speaker F: Non.
[00:24:04] Speaker B: Ah bah d'accord, s'ils sont pas assez bien... Parce que t'aimes pas les catcheurs, c'est ça ? T'aimes pas les gens qui ont des barbes, peut-être ?
[00:24:10] Speaker A: Ça, par contre, j'aime beaucoup moins, ouais.
[00:24:19] Speaker D: Alors, on va enchaîner avec la news suivante.
[00:24:22] Speaker A: Malaise !
[00:24:24] Speaker D: C'est Tommy Lee.
qui est un gros crade. En gros, il y a sa meuf qui a fait une interview et qui a expliqué que Tommy Lee ne prenait qu'une douche par semaine.
[00:24:34] Speaker B: Ah mais peut-être qu'il se lave avec un gant de toilette le reste du temps.
[00:24:39] Speaker A: La news, moi je la connais, donc je dis rien, mais je te laisse y aller. Du coup, c'est ce qu'elle dit, c'est qu'en fait, il est d'origine européenne et que donc en Europe, on ne prend pas trop de douche. Donc en fait, c'est un peu ça qu'elle raconte. Et qu'il se lave au gant de toilette.
[00:24:53] Speaker D: Lave à la lingette, ouais.
[00:24:54] Speaker B: Ah la lingette, c'est un peu crado, ouais.
[00:24:57] Speaker D: Parce qu'on sait très bien qu'en festival, les mecs qui se lavent à la lingette, ils sont nickels après. Tu peux manger sur eux.
[00:25:05] Speaker A: C'est vrai que tu peux manger sur eux.
[00:25:09] Speaker B: Alors, par contre, il y a beaucoup de gens qui disent que prendre des douches tout le temps, tous les jours, c'est pas bon parce que ça te décape la peau. Moi, j'arrive pas à prendre de douche. Oui, en fait, tu perds la peau. Non, mais tu tues toute la flore.
[00:25:25] Speaker A: La protection.
[00:25:26] Speaker B: Voilà.
[00:25:27] Speaker D: On est d'accord que ce n'est peut-être pas forcément bien de se laver tous les jours, mais après, une fois par semaine ?
[00:25:33] Speaker B: Non mais il faut te laver tous les jours, mais pas avec des douches. C'est ça le truc. Mais par contre, si lui, il utilise des lingettes, ça c'est horrible parce que un, ça tue tout. Mais en plus, c'est un peu de grado quoi. Et ça pollue. Moi, je veux être quand je regardais mes vidéos des mecs qui débouchent les canalisations.
[00:25:53] Speaker D: Tu retrouves que ça, du maïs et des lingettes.
[00:25:56] Speaker B: Exactement.
[00:25:57] Speaker A: Alors attendez, j'essaie d'imaginer... Non bah c'est.
[00:25:59] Speaker B: Bon, je crois que...
[00:25:59] Speaker D: C'est vite, t'auras rien.
[00:26:00] Speaker A: On part de corne. Allez vas-y ! Donc ouais, mais on tournait aussi Slav' qu'une fois par semaine, Prends une douche qu'une fois.
[00:26:06] Speaker D: En vrai, je sais pas, je suis pas dans le tourbus avec lui, mais...
[00:26:09] Speaker A: Non, parce que ça doit être le cas. Mais là, du coup, c'est encore plus crade.
[00:26:11] Speaker D: Et en plus, c'est la meuf avec qui tu vis qui balance ce genre d'infos.
[00:26:14] Speaker A: Ouais, mais elle avait pas l'air de le vivre mal.
[00:26:18] Speaker D: Il y a des gens qui aiment bien les odeurs corporelles.
[00:26:20] Speaker A: Aldi non ? Il pue pas.
Aldi ?
[00:26:24] Speaker D: Le 1 ?
[00:26:25] Speaker A: Lidl. Faut donner 3, on n'a pas le droit à la concurrence.
[00:26:30] Speaker D: Si on avait eu du public, ça rigolerait de ouf.
[00:26:31] Speaker F: Je suis pas sûre. Je suis franchement pas convaincue.
[00:26:39] Speaker B: On va mettre la boîte à arrière là.
[00:26:42] Speaker A: L'enfer. Bon oui, donc il est dégueulasse.
[00:26:45] Speaker D: On enchaîne avec une petite news cinéma.
[00:26:48] Speaker B: Ah bah on adore le cinéma.
On se trompe pas une toile ?
[00:26:53] Speaker D: Et pourquoi pas ? Il y a la bonne vieille Jared Leto qui va incarner Skeletor dans la prochaine adaptation en ciné des Maîtres de l'univers.
[00:27:02] Speaker B: Elle a bien fait d'arrêter de manger.
[00:27:05] Speaker A: C'est une perception de la chose effectivement, je croyais pas ça comme ça. Mais pourquoi ils nous volent les trucs qui sont censés être bien et qu'à chaque fois ils les transforment en trucs de merde ?
[00:27:12] Speaker D: J'arrête les trous ?
[00:27:13] Speaker A: Ouais. Il veut pas devenir chanteur de nouveau.
[00:27:17] Speaker B: Groupe de Métamidai ?
[00:27:20] Speaker A: Ça serait un beau mensonge.
Ouais, bah de toute façon on le déteste donc...
[00:27:26] Speaker D: Toi surtout.
[00:27:27] Speaker B: J'aime pas non plus.
[00:27:28] Speaker A: Ah parce que t'aimes bien Jared Leto toi ? Non !
[00:27:30] Speaker D: Mais toi t'as plus de raisons de le détester, enfin t'as été plus en contact avec lui que nous.
[00:27:34] Speaker B: Bon je vais mettre tout le monde d'accord, 2025, Jared Leto. Oh putain !
[00:27:36] Speaker D: Quel géant !
[00:27:36] Speaker A: Attention une cascade de blagues ! T'entends les rires, t'entends les rires !
[00:27:42] Speaker B: L'enfer !
[00:27:42] Speaker A: Bon, ok. Donc c'est une bonne ou une mauvaise nouvelle en vrai ?
[00:27:52] Speaker D: Et dans le reste du cas, il y a des gens qui sont plutôt pas mal. Après, je pense que vu que c'est le mec le plus connu, on va beaucoup axer la com sur lui. Donc le mec qui a été pris pour faire Musclor, il n'est pas ultra.
[00:28:02] Speaker A: Connu et du coup... Tarnold Schwarzenegger ?
[00:28:07] Speaker D: Tout va être axé sur lui et puis ça va foirer, comme quand ils avaient fait Suicide Squad.
[00:28:13] Speaker A: Ouais, c'est ça. C'est ce à quoi j'ai pensé immédiatement. Pauvre Skeletor.
[00:28:17] Speaker B: Ils vont prendre un mec musclé pour faire Musclor ou pas ?
[00:28:20] Speaker A: Il est vert ?
[00:28:21] Speaker B: Oh non ! Pourquoi il faudrait...
[00:28:23] Speaker D: Après c'est qu'en français il s'appelle Musclor, en anglais c'est Imane.
[00:28:26] Speaker B: Ouais.
[00:28:28] Speaker D: On prend Imane ?
[00:28:30] Speaker A: Je peux pas.
[00:28:31] Speaker B: Allez on va enchaîner parce qu'il y a trop de blagues qu'on peut pas faire.
[00:28:34] Speaker A: Laissez-moi tranquille !
[00:28:35] Speaker F: Je n'ai rien dit.
[00:28:39] Speaker D: On va enchaîner avec des petites news immenses.
Malheureusement, il y a plein d'autres choses entre temps.
Il y a un bâtiment du centre-ville de Los Angeles qui a pris feu le 26 décembre.
et ça a nécessité l'intervention de plus de 100 pompiers pour maîtriser l'incendie.
Sauf qu'entre temps, du coup, t'as d'où Los Angeles qui crame. Mais ce bâtiment, en fait, il a été rendu célèbre parce qu'il était la pochette de l'album des Doors de Morrison Hotel.
Donc il n'a plus de pochette. Il n'a plus de pochette. Il s'est passé une chose équivalente en Australie. C'est que la maison des frères Young dans la banlieue de Sydney a été détruite par accident alors qu'elle était classée monument historique en raison de son importance culturelle. En gros, le début d'ACDC s'est fait là-bas.
Et le promoteur a expliqué qu'en gros, l'ancien propriétaire de Longue Dette, il ne m'avait pas prévenu que c'était un monument classé. Du coup, nous, on a tout pété parce qu'ils veulent faire des habitations. Bon, par contre, maintenant, vu qu'on sait que c'était la maison d'ACDC, on va peut-être faire un bar du coup pour que les gens, avec les matériaux qui n'ont pas été totalement détruits, Comme ça, les gens, ils pourront venir voir la poutre des escaliers d'Aung San Suu Kyi. Comme ça, on pourra faire de la moula sur leur dos.
[00:30:05] Speaker B: Ah ouais, c'est sympa.
[00:30:07] Speaker A: C'est bidon.
[00:30:08] Speaker B: C'est là où tu te rends compte que même ce qui se passe à Los Angeles, il y a plein de trucs cultes qui sont détruits. Parce qu'en fait, il n'y a pas de plan d'urbanisme comme chez nous. Là-bas, tu peux un peu faire ce que tu veux.
[00:30:20] Speaker A: À partir du moment où tu payes...
[00:30:28] Speaker B: C'est pas tant question de payer, c'est question de...
C'est pas question de payer, c'est question de... C'est pas réglementé quoi. C'est comme il y avait le mur peint où il y avait ces spirales, la figure 8 de Elliot Smith. Le truc a été repeint.
Alors que tout le monde venait en hommage et a signé le truc et c'était toute une fresque murale et il avait fait la pochette de son album parce que la photo c'est lui devant ce mur. Donc tout le monde était venu mettre des messages d'amour pour Elliot Smith après sa mort. Et le truc a complètement été repeint. Alors que ça ne gênait personne.
[00:31:10] Speaker A: Mais en fait, ça peut être protégé que si une personne surveille, quoi.
Et qu'il arrive à tenir les personnes qui arrivent.
[00:31:16] Speaker B: Mais non, mais ça n'a pas été fait par des gens... C'est le propriétaire qui a repeint, c'est pas... C'est pas des méchants qui sont...
[00:31:24] Speaker D: Il y en a marre à tous ces gens qui viennent faire des photos devant mon mur là, je vais te repeindre.
[00:31:28] Speaker B: Exactement. Sauf qu'ils étaient pas belges, apparemment.
[00:31:33] Speaker D: La diaspora belge à Los Angeles, elle est meilleure.
[00:31:35] Speaker B: D'ailleurs, elle est un peu pire maintenant.
[00:31:38] Speaker A: Très bien, passons à l'anus suivant.
[00:31:40] Speaker D: Je pense qu'on va s'écouter un petit ACDC.
[00:31:43] Speaker A: Très bien, oui. Un bon choix, lequel de chansons ?
[00:31:46] Speaker D: J'ai mis Big Gun.
[00:31:47] Speaker B: Pourquoi ? Parce qu'il aime bien les gros pistolets.
[00:31:49] Speaker D: J'aime bien les gros canons.
[00:31:51] Speaker A: J'en étais sûr. Je n'ai rien d'autre à dire, balançons la sauce.
[00:31:54] Speaker B: Tu peux dire moi aussi ?
[00:31:55] Speaker A: Moi aussi.
[00:33:29] Speaker E: Oh!
[00:36:20] Speaker A: C'est ce que j'appelle l'action.
Ah c'est vrai ? Mais peut-être que des gens sont arrivés entre temps et puis ils n'ont pas compris. Pourtant bon, pas de doute, c'est ACDC, c'est la même chanson que les autres.
Mais est-ce que c'est pas le chanteur qui écarte le plus les jambes quand il chante ? Il fait... Est-ce qu'il ne voudrait pas faire caca ? Depuis très longtemps, il est constipé.
[00:36:56] Speaker D: En tout cas, j'ai remarqué que son look, je me suis imaginé, toi avec son look là, le jean moulax, le petit veston bien échancré et la petite casquette avec la nuque longue derrière, ça tirait très bien.
[00:37:10] Speaker B: On n'est déjà pas loin. J'ai un peu plus de bite que lui. Ah oui, j'avais pas bien entendu le mot.
[00:37:17] Speaker A: Oui, dans le jeans.
[00:37:21] Speaker B: Non mais à un moment t'as eu la nuque longue pareil là.
Ouais, je me souviens, je sais, quand tu faisais tes petites expérimentations là.
[00:37:33] Speaker A: Au pire même avant.
J'ai testé plein de choses.
[00:37:37] Speaker B: Oui mais je parle de cette nuque longue dégueulasse là.
[00:37:40] Speaker F: Emulez quoi.
[00:37:41] Speaker D: D'accord. C'était même pas tant ça. En fait c'était aussi les côtés longs.
[00:37:46] Speaker A: Il y a quoi d'autre comme news ?
[00:37:48] Speaker D: Alors on va parler des trois anciens membres de James Addiction qui travaillent ensemble sur de nouveaux morceaux. Je vais vous laisser deviner quel membre original n'est pas impliqué.
[00:38:01] Speaker A: L'homme qui fait du triangle.
Non, je me suis gouré.
[00:38:04] Speaker B: Le chanteur.
[00:38:06] Speaker A: Gagné ! Bravo !
[00:38:07] Speaker B: Je me demande bien ce qu'il m'a mis, la puce à l'oreille.
[00:38:10] Speaker D: Donc vraiment, ils ont kiffé leur retrouvaille et c'est juste que Péry-Farel...
[00:38:14] Speaker B: Il restera en Péry-Péry. J'ai lu qu'il était toujours... Ah, t'es dégoûté, hein ? Ah, ça t'a coupé la chic !
[00:38:26] Speaker A: Donc tu as vu que... Non mais j'ai vu qu'il était toujours en cure ou mis de côté ou en traitement, je sais pas quoi...
[00:38:33] Speaker D: En périphérie ! Bon, de toute manière, ils ont pas l'air d'avoir envie de la... qu'ils reviennent dans le groupe.
[00:38:40] Speaker A: Donc eux, ils vont continuer de leur côté. Je suis vraiment désolé.
[00:38:51] Speaker E: Il y a eu un rire trop fort.
[00:38:53] Speaker D: Bienvenue dans l'émission.
[00:38:56] Speaker A: Ouf, c'est beaucoup d'émotions. Alors...
[00:38:57] Speaker B: J'vois des étoiles, c'est normal.
[00:39:01] Speaker A: Donc oui, tu disais pardon.
[00:39:02] Speaker D: Bah c'est tout, j'ai rien d'autre à dire.
[00:39:03] Speaker A: Ah oui bon bah tant pis pour Péripharèle. Stop, on passe à la nuit suivante. À la nouille suivante !
[00:39:09] Speaker D: Alors la nouille suivante, il y a un enregistrement de caméra corporelle qui a été récemment dévoilé, qui montre Ice-T, donc le leader de Bodycount, dans une intercassion verbale plutôt tendue avec la police lors d'un contrôle routier.
[00:39:25] Speaker B: Alors qu'il bosse dans la même boîte ?
[00:39:27] Speaker D: C'est ça, c'est que ça fait 25 ans qu'il est keuf à la police, et en fait donc c'est un truc.
[00:39:32] Speaker F: Qui...
[00:39:38] Speaker A: Aïe, attention ! Je suis content parce qu'on m'en parlera plus de mon rire !
[00:39:56] Speaker D: Donc en fait c'est un truc, il s'est fait contrôler il y a plus d'un an, ça s'est un peu mal passé, et c'est juste que la vidéo, les flics ils ont tous des caméras maintenant, et le truc est sorti là, et en gros au début il.
[00:40:13] Speaker E: Est.
[00:40:13] Speaker D: Plutôt coopératif, Mais le ton est vite monté et donc ils ont dû faire venir un supérieur pour venir régler le truc vu que c'est un mec un peu connu et qu'il cherchait un peu la bagarre. Alors le contrôle a été déclenché en raison de l'absence de papier en règle, pas de permis, immatriculation expirée ainsi que pas de plaque sur la voiture.
[00:40:35] Speaker B: Ouais, après on peut pas dire qu'il cherche pas un peu la merde quand même.
[00:40:39] Speaker A: Le mec il s'est dit quoi ?
[00:40:41] Speaker D: Lui c'est justifié en disant, ouais mais justement là j'allais à la préfecture pour régler le problème.
[00:40:45] Speaker A: Ah bah oui avec quoi ? Comme de par hasard. Il a eu une seule voiture.
[00:40:49] Speaker F: Bah il a juste manqué de chance quoi.
[00:40:51] Speaker A: Ah bah oui c'est ça, c'est un truc t'as pas de chance.
[00:40:55] Speaker F: Tiens la police là toujours ils sont méchants et tout, ils n'ont pas le temps d'aller à la préfecture.
[00:40:59] Speaker B: Ouf t'es glacé.
[00:41:00] Speaker D: Ouais mais je pense qu'il leur envoyait coco, ça sera peut-être mieux passé.
[00:41:03] Speaker B: Ah ça c'est sûr.
[00:41:06] Speaker A: Je ne sais pas quoi dire, j'attends.
[00:41:07] Speaker B: Coco, c'est sa femme.
[00:41:09] Speaker D: Elle est très belle, très distinguée.
[00:41:11] Speaker A: Je sais qu'elle est très distinguée.
[00:41:12] Speaker F: Calipige, c'est le terme.
[00:41:16] Speaker D: On enchaîne avec une autre... S'il vous plaît. Si, il en reste encore un peu.
[00:41:20] Speaker A: J'étais en train de me dire, je ne t'ai pas imprimé toutes les idées.
[00:41:22] Speaker B: Il y en a encore un peu ?
[00:41:23] Speaker D: Vous pouvez nous le mettre ? Non, c'est Jerry Cantrell d'Alice in Chains qui révèle que James Hetfield, lui, en fait, ils ont en quelque sorte parlé de faire équipe, de faire un truc ensemble peut-être un jour.
[00:41:33] Speaker B: Ah ouais ? Pourquoi pas ?
[00:41:35] Speaker A: Ils sont amis amis.
[00:41:36] Speaker B: On ne peut pas faire des jeux.
[00:41:38] Speaker D: De mots surtout Pierre.
[00:41:39] Speaker A: Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa Attendez, je me remets en place.
[00:42:08] Speaker B: Metallica et SNCF ont fait des tournées ensemble ?
[00:42:10] Speaker D: Oui, et ils ont déjà jamé ensemble plusieurs fois.
J'ai déjà dormi chez James plusieurs fois. On a joué de la guitare dans sa cuisine, sur son Porsche. Et il dit que ça serait plutôt pas mal et qu'en fait il aime bien sa manière de penser, de jouer, d'écrire.
et qui pensent qu'en fait ils seraient curieux de voir ce que ça donnerait. Même s'il dit que vu son taf chez Metallica, il y a peu de chances que ça arrive, qu'on prenne le temps de faire ça. Mais en tout cas, lui, il serait grave open pour le faire et ils sont... C'est pas des potes à la mort, mais ils se connaissent suffisamment pour... Moi j'ai deux questions.
[00:42:51] Speaker B: Un... Qui chanterait, des deux ? parce que les deux chantent et les deux jouent de la guitare.
[00:42:58] Speaker A: Après, ils peuvent le faire tous les deux.
[00:42:59] Speaker B: Ouais, mais par contre, je ne vois pas trop comment tu peux matcher les deux voix. Mais peut-être que ça obligerait à James Seedfield à chanter un peu différemment de ce style qu'il a développé avec Medellica. Et la deuxième question.
Enfin, la deuxième chose que j'allais dire, c'est Metallica, ils ont quand même bien eu le temps de faire Lulu. Donc à la limite, je pense qu'il peut prendre lui tout seul le temps de faire ça. Je pense qu'on lui en voudra moins.
[00:43:24] Speaker A: Je pense que ça peut l'intéresser, James Hetfield, de faire un truc avec... Peut-être.
[00:43:27] Speaker B: Que Lars, il va lui faire une scène de jalousie.
[00:43:29] Speaker D: En le coup, à part Lars qui...
[00:43:31] Speaker B: Une espèce de Tinkman danois.
[00:43:34] Speaker D: Lars, il n'a pas fait grand chose, mais tous les autres, ils ont fait des petites excursions, des projets solos, des trucs ailleurs. Pourquoi pas ?
[00:43:41] Speaker A: Oh James il est gentil.
[00:43:43] Speaker D: J'ai jamais eu le contraire.
[00:43:44] Speaker B: C'est l'art, c'est le problème.
[00:43:46] Speaker D: C'est juste que... Non mais lui il a pas écouté ce que t'as dit.
[00:43:50] Speaker B: Il a un film qui... Regarde là il l'entend pas.
[00:43:56] Speaker A: Pardon ?
[00:43:56] Speaker D: Non là pour le vrai il m'écoutait mais quand il est ailleurs ça se voit dans son regard.
[00:44:03] Speaker A: Continue.
[00:44:04] Speaker D: Alors dernière petite news du coup, c'est System of a Down. Je sais pas si vous avez eu, il y a eu une petite blague au Golden Globes le week-end dernier. En gros, il y a une humoriste qui était en train de faire un speech et qui a fait une vanne comme quoi Glenn Close était le premier batteur de System of a Down.
[00:44:22] Speaker B: What ?
[00:44:24] Speaker D: Elle a fait cette vanne et le.
[00:44:26] Speaker A: Truc est arrivé tout de suite.
[00:44:28] Speaker D: Non, c'était une vanne, mais il y a Darren Malakian qui a réagi.
[00:44:32] Speaker B: Cafard démenti sur X ?
[00:44:33] Speaker D: Non, au contraire. Du coup, l'humoriste était Nicky Glazer et Darren Malakian s'est mis direct sur les réseaux sociaux pour dire qu'elle avait effectivement joué de la batterie pour le groupe et qu'elle était putain de douée.
Et quelques jours plus tard, là, le batteur John Dolmayan a aussi lâché son petit message humoristique sur le sujet en disant, ouais, c'est vrai qu'il y a plein de pistes qu'on pense où c'est moi qui les enregistre en studio, mais non, c'est elle et tout. Ils ont réagi plutôt avec humour.
Surtout pour John Dolmayan, qui n'est pas le mec le plus drôle du monde.
[00:45:04] Speaker B: En plus, il joue avec un masque à gaz quand même. Entre autres.
[00:45:09] Speaker A: Voilà, c'est ce que je veux dire. Mais du coup, ça veut dire qu'ils ont de l'humour et ça veut dire qu'ils s'entendent bien.
[00:45:19] Speaker D: On le savait pour certains qu'ils avaient de l'humour.
[00:45:23] Speaker B: En plus là, ça fait un petit buzz gratos.
[00:45:25] Speaker D: C'est un petit buzz gratos, on parle.
[00:45:26] Speaker A: D'Eux au Golden Globes. Golden Globes, c'est plus gros que System.
[00:45:29] Speaker D: Oui, c'est pas faux.
[00:45:36] Speaker B: C'est pas forcément des gens qui écoutent...
[00:45:37] Speaker A: C'est un GLOB !
[00:45:38] Speaker B: Même si aux Etats-Unis... Putain...
Dès que ça parle de ça, ça me fait penser à une de ses dernières interventions de... De la rue ? Ouais !
[00:45:47] Speaker D: Avec les... Vos GLOB !
[00:45:49] Speaker B: T'as jamais vu ce truc-là ?
[00:45:51] Speaker A: C'est très gênant.
[00:45:53] Speaker D: C'était pour les globes de cristal. Il remettait un prix et du coup il y avait une...
[00:45:57] Speaker B: Il voulait que je tienne votre globe ou vos globes. Parce que c'est une femme qui avait un décolleté.
[00:46:04] Speaker A: La gênance du truc quoi.
[00:46:05] Speaker B: Et du coup, c'est juste après ça qu'il y a eu tout le truc de la... Ah ! La sorcière bien-aimée.
[00:46:15] Speaker A: Moi j'aimerais bien voir Systeme, j'aimerais les revoir un jour.
[00:46:20] Speaker D: Là, à priori, il n'y a rien d'annoncé encore pour l'Europe, mais c'est potentiellement la rumeur pour une grosse tournée mondiale, ils font déjà l'Amérique du Sud l'année prochaine, enfin non, cette année, et il y a des chances qui passent aussi par l'Europe.
[00:46:36] Speaker F: On espère.
[00:46:38] Speaker A: En vrai pour les gens qui aiment système, parce qu'il doit bien y avoir des gens qui aiment pas système.
[00:46:41] Speaker D: C'est mieux qu'ils fassent une tournée plutôt que Serge Tankian sorte un EP quoi.
[00:46:45] Speaker A: Alors ça effectivement on le souhaite.
[00:46:47] Speaker B: Après il peut sortir des EPs si on nous oblige pas à les écouter. Parce que c'est de la merde.
[00:46:55] Speaker D: On est même prêt à se foutiser de lui acheter des charentaises pour le faire venir.
[00:46:58] Speaker B: Pour pas qu'il aille sortir des EP pour s'en payer. C'est sûr que ça va pas marrer.
[00:47:03] Speaker A: T'es un sacré collègue.
[00:47:04] Speaker D: Serge, viens dans l'émission, on t'achètera des charentaises.
[00:47:07] Speaker B: Et des vraies, des charentes.
Est-ce qu'on a le budget même ?
[00:47:15] Speaker A: Est-ce qu'on a le budget même ? Ça va, elle arrive direct la première émission.
[00:47:20] Speaker B: Les gens nous ont percé un jour dans les commentaires, ils ont bien compris que les Nouvelles Recrues prenaient des gros salaires.
[00:47:26] Speaker D: Apparemment les Nouvelles Recrues sont payées.
[00:47:30] Speaker A: Et bien payées. Grassement. C'est le secret.
[00:47:35] Speaker F: La qualité se paye.
[00:47:37] Speaker A: Oh là là, disons, mademoiselle chante le blues et pas jamais le brody rouge.
[00:47:41] Speaker F: J'ai eu des M&M's tout à l'heure, je suis trop contente.
[00:47:42] Speaker D: Ça parlait de top qualité dans les commentaires.
Qu'est-ce qu'elle est belle Gladys.
[00:47:47] Speaker B: Non, il y a quelqu'un qui dit qu'elle est trop belle, on voit qu'elle sait de quoi elle parle.
[00:47:50] Speaker F: T'as vu ? C'est une pote.
[00:47:53] Speaker B: Bah oui, on avait bien compris parce que sinon elle aurait pas dit ça.
[00:47:59] Speaker A: Mon Didi, on s'arrête là-dessus, on va.
[00:48:02] Speaker D: S'Écouter un petit système.
[00:48:04] Speaker A: En tout cas, je te remercie infiniment. Je suis content de te revoir. Merci beaucoup.
[00:48:09] Speaker D: Merci beaucoup.
[00:48:11] Speaker B: Merci beaucoup.
[00:48:15] Speaker A: Pareil.
[00:48:16] Speaker D: Je donnerai des cours de polonais.
[00:48:18] Speaker A: Bientôt, dans l'émission en direct.
[00:48:19] Speaker B: Tu vas faire une classe spéciale.
[00:48:22] Speaker D: J'ai ramené un ami très chéri dans un restaurant polonais.
[00:48:25] Speaker E: Ah oui ?
[00:48:26] Speaker A: Vous avez mangé quoi ?
[00:48:28] Speaker D: Alors du Jourek, enfin lui il a mangé du Jourek, donc c'est une soupe très très riche avec des saucisses, des oeufs, avec tout un tas de choses dedans. Et après des pierogis à la viande.
[00:48:39] Speaker A: Ah bah tiens c'est original. C'était pas au chou.
[00:48:43] Speaker D: Bah non, il m'a demandé de choisir pour lui donc moi j'ai commandé ce que je préférais moi.
[00:48:48] Speaker A: Oh c'est mignon. Vous devez vous entendre vraiment bien. Ouais.
[00:48:53] Speaker E: Ah ouais.
[00:48:53] Speaker B: Dis-je joue ? Bon on y va ?
[00:48:57] Speaker A: Bah ouais moi j'attendais juste que quelqu'un… Sugar ! Ah elle est bien celle-là mon petit chéri ! On y va et puis à la semaine prochaine ! Et on retrouve les news demain !
[00:49:05] Speaker D: Oui comme tous les lundis !
[00:49:06] Speaker B: C'est l'habitude qui revient !
[00:49:08] Speaker A: Allez on y va, let's go ! Bonsoir, je suis Erika Lost. Les armées natales ont bombardé la Serbie et le Kosovo. Un homme inidentifié est interrogé par l'FBI. Il est suspecté d'avoir été lié à la mort du virus biologique de l'année dernière. Dans les médias locaux, un héros nommé Dog prend le grand prix à l'annuaire... J'aimerais pouvoir vous donner des nouvelles plus pertinentes. Mais nous sommes dans un système de raid. Et la facture clé est... Le sensationnalisme. Ils t'ont fait courir dans des cercles de 9 à 5. Dans 5 to 9, you're mine. I tell you what they want you to know, and you consider it the truth.
[00:49:49] Speaker C: Nobody is opening their eyes!
[00:49:52] Speaker A: Our global economy is depleting the world of our lives and natural resources!
[00:49:58] Speaker E: And are you happy?
[00:50:00] Speaker C: Come on! I work for the system!
La Cambodia!
Y'a des conneries ! Y'a des conneries !
[00:51:12] Speaker E: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[00:51:53] Speaker C: Brrr I'm feelin' !
[00:57:26] Speaker A: Somme à l'instant dans Bang Bang, oui pour cette rentrée 2025, un très très bon morceau, ça envoie du pâté, on est content, Nightmares, des cauchemars. Bon ce soir vous le savez, on vous l'a annoncé en ouverture d'émission, nous recevons comme à l'habitude, début d'année, on se doit de l'inviter.
[00:57:47] Speaker B: C'est la tradition maintenant.
[00:57:48] Speaker A: C'est une tradition.
[00:57:48] Speaker B: C'est un peu notre galette des rois quelque part.
[00:57:52] Speaker A: J'hésitais avec le Père Noël, mais bon c'est vrai que... Bah non, le Père.
[00:57:54] Speaker B: Noël c'est à la fin de l'année.
[00:57:56] Speaker A: Oui, mais comme on en sort... Bon bref, peu importe, la galette des rois, t'as raison. Mais où se trouve la fève ?
[00:58:01] Speaker B: Ah bah, j'ai bien ma petite idée !
[00:58:04] Speaker A: Non, voilà, on reçoit donc, comme vous le savez, Éric Willielfest ! Bonsoir ! Bonsoir.
Merci encore une fois de... Et bonne année. Oui merci, meilleurs voeux que les choses se passent à merveille. Bon, pas trop de doute sur cette chose là.
[00:58:19] Speaker E: Bah espérons-le quand même.
[00:58:20] Speaker A: Enfin pour toi aussi personnellement.
[00:58:21] Speaker E: Oui bah pour vous aussi voilà.
[00:58:23] Speaker A: C'est important. Ce soir tu reviens puisqu'on va discuter bien sûr du Hellfest, des nouveautés, de l'affiche, du warm-up aussi évidemment.
[00:58:32] Speaker E: Tout à fait.
[00:58:32] Speaker A: Mais avant de parler de tout ça moi j'avais quand même deux trois petites questions parce que j'ai regardé l'émission qu'on avait déjà fait en début d'année dernière.
Tu étais notre deuxième invité de l'année. Et je me suis dit, attends, je ne lui ai pas demandé toutes mes petites questions, je n'ai pas été chercher, fouiner dans sa vie personnelle, parce que j'aime tirer les verres du nez pour savoir des petites choses comme ça. Et je voulais savoir si tu avais des souvenirs d'un délire avec des copains d'école ou de lycée qui tournaient autour du métal.
[00:58:59] Speaker E: Petites bêtises ou un truc fun ? Petites bêtises, ouais.
[00:59:02] Speaker A: Pas toutes, une ça suffit.
[00:59:04] Speaker E: Non, pas ce temps-ci.
Du coup j'ai pas assez préparé ça mais il faut que je fouille un peu dans mes souvenirs.
Des souvenirs de concert effectivement, toujours cool.
Peut-être le premier Hellfest que j'ai fait dans Festivale donc c'était en 2011, donc c'était encore sur l'ancien site. Je crois qu'il y avait, si ma mémoire est bonne, c'est la première année où Scorpion venait.
Il y avait aussi Rob Zombie, il y avait des trucs un peu plus... Il y avait Cavallera Conspiracy aussi je me souviens, enfin moi j'ai le souvenir d'un... d'un Circle Pit et comme dans le Seigneur des Anneaux t'sais t'es au milieu de la bataille, il y avait tellement de poussière et tout, tout le monde avait des bandanas et t'sais tu perdais tes potes et tu sais... Oui.
[00:59:48] Speaker A: C'Est vrai qu'il y avait de la poussière ouais.
[00:59:49] Speaker E: Ouais ouais c'était un peu plus roots quoi on va dire. Donc ouais et puis bah je sais plus pour tenir on se faisait des... des Jack Daniel's gronzants au camping quoi.
C'est une très mauvaise idée voilà mais on faisait avec les moyens du bord. Et les idées du moment.
Pas forcément les meilleures.
[01:00:12] Speaker A: Quand on est jeune on fait des bêtises.
[01:00:14] Speaker E: Ouais on teste des choses mais voilà c'est pas une bonne idée.
[01:00:21] Speaker A: Du coup les journées étaient un peu rudes.
[01:00:23] Speaker E: Ouais cette émission, voilà grand souvenir. Non ouais plein de petits moments un peu comme ça.
[01:00:30] Speaker A: T'es du genre à enfoncer dans le pit quand t'étais plus jeune, peut-être plus maintenant.
[01:00:34] Speaker E: Maintenant je fais un peu gaffe, j'ai 6 ans, je fais attention à mon intégrité physique. Mais ouais je pense que c'est le principe de cette musique, tu vois on aime bien entrer dans le tas, être avec nos copains et puis Non, enfin, on aime bien rentrer dedans mais en sachant que ça va bien se passer, que s'il arrive un truc, voilà, même si je me casse une jambe, il y aura des gens pour me soulever.
[01:00:54] Speaker A: Mais il y a cette excitation, c'est vrai, dans cette musique, c'est un truc où tu dis, j'ai envie d'aller avec les autres, quoi.
[01:00:58] Speaker E: Un peu bestial, de vivre un truc et tout, et puis ouais, d'autant plus en festival où dans une salle, voilà, c'est très...
t'es un peu compact et tout, là en festival t'as un peu plus de place pour faire des conneries. Tu peux courir par là. Ouais, c'est ça, quoi. Et avoir de bonnes chaussures.
[01:01:11] Speaker A: C'est important. Et puis tenir correctement ses genoux. Et puis s'habituer aux patates qu'on peut prendre dans la gueule. Tu t'es déjà pris des sales coups ?
[01:01:19] Speaker E: Ouais je m'en suis pris mais pas des trucs trop vénères tu vois. Non justement c'est le truc qui est cool je trouve dans le métal où les gens font, même si c'est le bordel, c'est un bordel un peu organisé tu vois. Bon ça arrive hein les accidents. J'ai des potes qui se sont pétés les arcades, des trucs comme ça. Ouais c'est un coup de couteau. Et puis une chaussure qui vole. ou d'autres sujets.
[01:01:41] Speaker B: C'est rarement volontaire mais ça arrive.
[01:01:43] Speaker E: Non mais c'est ça qui est drôle quoi.
[01:01:45] Speaker B: Un peu goût du risque en même temps.
[01:01:47] Speaker A: Moi je me suis toujours demandé quel était l'intérêt de jeter des verres en l'air pendant le... Je ne pense pas l'avoir fait ou alors c'est parce que j'étais bourré.
[01:01:57] Speaker B: J'entendrai chez Flechers si je t'ai déjà vu le faire mais je crois pas.
[01:02:01] Speaker E: Non, il faut pas faire ça.
[01:02:02] Speaker A: Bah ouais, parce que tu te prends dans la gueule, ça se voit quand même.
[01:02:05] Speaker E: C'est un gobelet plastique.
[01:02:06] Speaker A: Quand ça vient de haut, tu te prends dans la tête, ça peut être dangereux. Bon. Personne n'a de réponse.
[01:02:13] Speaker D: C'est pour ça que les verres en.
[01:02:13] Speaker E: Verre sont maintenant pas autorisés en salle.
[01:02:16] Speaker A: Oui, c'est mieux.
En plus, elles volent encore plus loin. Le danger. Et ton premier concert, c'était quoi ?
[01:02:23] Speaker E: C'est marrant, on m'a posé la question il y a deux jours. C'était, je crois... Alors, j'hésite entre deux, je suis pas sûr.
Il y en a un, je suis peut-être un peu moins fier, mais...
[01:02:33] Speaker A: C'est pas grave, tout le monde a vu. Tout le monde a allé voir Laurie.
[01:02:35] Speaker B: C'Est vrai que c'était une grande chanteuse.
[01:02:37] Speaker E: C'était Superbus, je crois. Oh bah ça va ! Ouais, c'était l'époque Superbus en 2007, je crois, un truc comme ça. Et sinon un autre, c'est Winston McAnuff et Java. Donc tout autre style, voilà. Ouais, concerts reggae, ska, chansons françaises un peu quoi.
[01:02:55] Speaker A: C'est lequel qui du coup est pour toi un peu moi ?
[01:02:57] Speaker E: Je veux laisser choisir !
[01:03:00] Speaker A: Non mais c'est très bien, ça montre aussi qu'on passe par... Du coke à l'âne ! Lequel des concerts que tu as vécu t'as le plus coaché en 100 mètres le Hellfest ?
[01:03:12] Speaker E: Ouais. J'en vois pas beaucoup de façon, donc...
[01:03:15] Speaker A: Oui, c'est vrai aussi.
[01:03:16] Speaker E: Mais ouais, qui m'a le plus...
[01:03:18] Speaker A: Un truc même, où t'as eu des étoiles... Ouais, ouais... Peut-être que c'était pas le meilleur en vrai, mais que toi tu l'as vécu comme le meilleur.
[01:03:25] Speaker E: J'en ai vu tellement que c'est un peu... C'est pas toujours évident de...
de se redire ouais en fait ça change un peu d'année en année tu sais tu t'envoies un et puis ah non en fait celui-là c'est le meilleur ah bah non c'est bon c'est bon non moi j'ai un super souvenir de un des premiers je pense déjà qui m'a marqué c'est c'était Metallica à Bercy en 2000 je crois que c'est pour Death Magnetic où il y avait Machine Head en première partie et Vsauce World aussi où c'était la scène centrale tu sais avec les cercueils qui faisaient la lumière je trouvais ça hyper impressionnant je crois que c'est une des premières un premier gros concert avec une scène autre tu vois importante que j'avais vu et ouais j'étais scotché quoi c'était c'était vraiment cool quoi, enfin moi j'aime beaucoup les concerts en scène centrale tu vois, je trouve c'est un peu, tu vois j'ai vu Linkin Park au mois de septembre à Londres en scène centrale, je trouve il y a vraiment un truc qui se passe, ça rend un peu le concert, il y a peut-être moins de scéno, des décors etc, par rapport à une scène un peu classique mais je trouve ça amène une une ambiance parce que déjà le groupe est tout le temps obligé de bouger donc t'as vraiment une proximité qui avec le public est plus intéressante.
[01:04:25] Speaker B: L'énergie qui est différente de ce qu'on a l'habitude du coup c'est un peu plus divertissant, c'est moins attendu quoi.
[01:04:31] Speaker E: Ouais donc c'était en 2000, putain Death Magnetic ça devait être 2009, 2008-2009 par là.
[01:04:39] Speaker A: On laissera les gens dans le ch'meule, en direct, nous préciser la date. Il y a aussi un truc dans le monde de la musique, quand on rentre dans ce monde-là, on découvre que c'est un monde professionnel.
Et donc parfois il y a des choses qui sont un peu moins magiques.
Des fois on se dit, ah ça se passe comme ça. Toi, à quel moment tu as découvert ce truc-là ? Avant le Hellfest ? Est-ce que tu travaillais au Saloon Concert ?
[01:05:04] Speaker E: Oui, j'ai pas commencé ma carrière dans le... Enfin j'ai fait mon stage de fin de master en... Donc c'était en 2012 au Hellfest. Mais t'étais déjà à Orléans. Et avant j'avais déjà fait des stages dans d'autres festivals et tout, et... Et comment dire, après j'ai travaillé aux Unes de Paris, j'ai fait 4 ans aussi à l'Astrolab, une scène de musiques actuelles à Orléans. Et donc ouais, le truc un peu dérangeant c'est le...
En fait, tu vois un peu les coulisses, tu vois le fonctionnement de comment ça se passe, certaines choses, tu t'attends, je vais pas citer de noms... Non.
[01:05:36] Speaker A: Non, c'est pas le but.
[01:05:38] Speaker E: Non, tu vois effectivement des discours ou des comportements sur scène où voilà, certains artistes ont des convictions, des engagements politiques hyper forts et tout, puis en fait...
en coulisses tu te rends compte que oui c'est un peu de la poudre aux yeux ou ou juste un argument un peu marketing donc voilà c'est un peu mais c'est vraiment une minorité pour le coup je trouve oui c'est plus certains artistes qui sont très formatés je pense par des par des labels des majors ou autre donc donc voilà mais c'est plus un peu le revers de la médaille des fois c'est un peu ce côté là c'est que tu vois aussi comment sont les gens dans la vraie vie et des fois il y a une différence entre sur scène et la réalité quoi C'est vrai que c'est.
[01:06:16] Speaker A: Ce qui est le truc le plus marquant.
[01:06:17] Speaker B: Moi j'ai une petite question qui est, est-ce que, enfin qui suit ça, comment t'as fait, est-ce que ça t'a un peu démystifié mais c'était ok ? Ou est-ce que t'as eu vraiment une phase où ça t'a foutu un peu les boules ? Moi je sais que quand j'ai commencé à bosser dans la musique, je bossais avec une major, vraiment une grosse. Et c'était le moment, tu sais, c'était un peu la transition digitale, tout ça. Et du coup, c'était la période où ils disaient, ouais, là, on n'a plus d'argent, tout ça. Et t'allais quand même dans des trucs où il y avait des caisses de champagne à gogo. Tu voyais...
[01:06:57] Speaker E: C'est pas le même budget.
[01:06:59] Speaker B: T'avais des stagiaires qui étaient exploités pendant un an, qui étaient payés 200 balles par mois, enfin c'était une autre époque, et il y avait aussi énormément de gaspillage, ils pressaient des trucs, ils les balançaient à la poubelle, ils avaient des tonnes, enfin c'était vraiment l'ère du gaspillage à gogo, et je sais que moi quand j'ai vu ça, j'ai eu une phase où j'étais... Ah ouais mais c'est vraiment... Ouais, en fait t'es déçu de te dire, enfin, Tu dis, putain, tout ce qu'on pourrait faire avec tout ça, et ce que vous en faites, c'est quand même... Est-ce que t'as eu ça, toi ?
[01:07:29] Speaker E: Non, je l'ai pas vraiment eu, parce que je pense que j'ai eu de la chance. Je suis tombé dans des structures à chaque fois assez à taille humaine. Tu vois, même si le Hellfest, c'est une grosse machine et tout, nous, ça reste très humain, c'est une... Ça agrossit progressivement. On est quand même des gens, à la base, qui sommes fans de cette musique, donc il y a déjà un intérêt, tu vois.
Et oui effectivement il y a toujours un côté business qui peut des fois pas marcher selon tes croyances ou tes idéaux.
Mais moi j'ai pas eu ce côté dégoût de me dire c'est un milieu de merde, qu'est-ce que je fous là ? Je n'ai pas encore eu ça, mais ça m'a duré encore longtemps. C'est un métier, je pense, qui n'est pas simple. C'est un secteur professionnel qui n'est pas simple et qui est un peu mystifié, des fois, avec la poudre aux yeux.
[01:08:24] Speaker A: Le champagne et les paillettes. Quand on est enfant, on voit ça.
[01:08:27] Speaker E: Comme un truc magique. Et puis derrière, il y a tout, un tas de métiers, métiers parfois ingraves aussi, des gens qui travaillent dur pour que des spectacles aient lieu, etc.
Donc non, moi j'ai la chance d'être tombé dans des structures assez bienveillantes et à taille humaine et surtout où les gens se parlent et comprennent aussi que certains trucs sont pas ok. Donc pour le moment ça va, voilà, espérons que ça dure encore un peu de temps. Mais après je comprends... Nous on est encore différent du milieu de la... Nous on est dans le live, on est dans la musique spectacle vivant tu vois, donc c'est encore un milieu différent du disque. Moi je connais pas du tout le disque pour le coup, j'ai pas travaillé dedans mais...
Mais voilà, je sais que dans le live, dans le spectacle vivant, il y a un peu plus ce côté humain et voilà, parce qu'on est sur le terrain quoi, on n'est pas... Et puis.
[01:09:21] Speaker B: Tu peux aussi moins tricher parce que c'est assez direct le rapport avec l'audience et tout ça. Sur un album, enfin dans un label et tout ça, il y a tellement d'étapes de contrôle, enfin de filtres qui vont se passer entre ce qui se passe dans une maison de disques et ce qui arrive aux gens.
que tu peux un peu faire des choses, ça peut être un peu plus complexe.
[01:09:44] Speaker A: Est-ce qu'entre le début du moment où t'as commencé à faire tes études en communication et aujourd'hui, le monde a vraiment totalement changé ?
[01:09:51] Speaker E: Ah ouais, ouais. Je trouve, ouais. Oui bah moi je suis arrivé...
[01:09:56] Speaker B: Déjà MySpace ça a disparu.
[01:09:57] Speaker E: Ouais alors moi j'ai arrivé dans... Moi j'étais dans la génération fin MySpace, tu vois, nous... Moi c'était plus la génération Facebook, tu vois. Dès qu'on va à Facebook, quand je finissais mes études, ouais tu vois, dans les Etats-Unis ils ont tous ça, c'est génial et tout.
Donc ouais, tu l'installes au début, t'écris sur les murs de tout le monde, genre en fait c'était là avant les messages, parce qu'il n'y avait pas Messenger à l'époque. Donc ouais, pour moi c'était même quasiment un autre site que ça l'est actuellement. Et ouais, ça a clairement changé. On était un peu, enfin moi je suis arrivé dans une période où il y avait un peu ce début de transformation digitale, tu vois. Il y avait un peu l'ancienne génération qui disait ouais mais nous il faut garder de la com très présentielle, physique, tu vois aller coller des affiches, Il.
[01:10:43] Speaker A: Y avait encore les vieilles idées, oui.
[01:10:45] Speaker E: Parce que tout le monde n'avait pas un compte Facebook, et voilà, ceux qui avaient un compte Facebook c'est les nerds, et puis, comment dire, ceux qui étaient un peu plus anglophones et tout, etc. Donc le monsieur et madame tout le monde n'avait pas forcément un compte Facebook. Et puis ouais, ça arrivait au fur et à mesure, donc après ce qui était intéressant c'est qu'il y avait tout à construire. Moi je suis arrivé en stage au Hellfest en 2012, J'ai eu les mains du Facebook très vite et j'étais là, je peux faire ce que je veux, c'est cool. Enfin non, il n'y avait pas vraiment de code, on ne savait pas comment utiliser les réseaux quand tu as un festival. Alors certes faire de la com pour dire il y a des billets à vendre, etc. Mais un moment aussi pendant le festival, qu'est-ce qu'on fait en fait sur les réseaux ? Et il y a ce côté un peu reporting, live, on ne savait pas trop comment ça marchait.
[01:11:27] Speaker A: Il fallait être créatif quoi.
[01:11:28] Speaker E: Voilà, on partait un peu d'une vaille blanche et donc voilà maintenant il y a beaucoup de... c'est très cadré, voilà, il faut faire des réels, faire des stories, des reports, etc. Il faut poster la photo à tel moment, etc. Donc c'est un peu plus cadré mais à l'époque ouais, on faisait un peu plus ce qu'on voulait. Effectivement maintenant déjà il y a beaucoup plus de réseaux, il y en a qui ont disparu, il y en a qui sont en voie de disparaître, d'autres qui apparaissent, etc.
ça change même tous les ans pour moi je trouve tu vois on se retrouve à adopter une stratégie différente en fonction des éditions parce que tu vois il y a encore trois ans tu m'auras dit il faut faire un compte tiktok je t'aurais dit.
[01:12:01] Speaker A: Mais qu'est-ce que tu vas faire là-dessus ?
[01:12:04] Speaker E: Je vais pas faire des chorés de danse tu vois et puis en fait après ah oui en fait tu digères tu dis ah bah non on peut faire autre chose des contenus un peu différents etc mais faut toujours être alerte ouais c'est très prenant quoi Et puis.
[01:12:18] Speaker B: Suivre aussi les changements de politique des plateformes en termes de contenu mis en avant.
[01:12:24] Speaker E: Là, je t'avoue, l'annonce de Meta, je ne sais pas du tout vers quoi on va aller.
Si ça va devenir comics, ça va être très compliqué.
Donc écoute on verra et c'est pour ça que moi je suis un fervent défenseur de garder des réseaux à soi tu vois un site internet, un forum, un discord parce que pour le coup même si discord voilà on sait que ça appartient à une compagnie etc au moins tu as des objets sur lesquels enfin des contenus même des supports sur lesquels toi tu as encore la main et tu peux faire vraiment ce que tu veux. D'être dépendant à 100% des réseaux qui sont détenus par des énormes compagnies, c'est un risque à prendre. Ça peut effectivement t'amener à beaucoup de visibilité très vite, etc. Mais aussi, du jour au lendemain, ça peut s'arrêter parce que t'es ultra dépendant.
[01:13:09] Speaker B: D'Algorithmes, de décisions... Et de devoir payer...
C'est beaucoup plus avec Facebook où les events, c'était le meilleur moyen d'annoncer son concert. Et on en est arrivé à un point où tu vois même plus... Ouais.
[01:13:23] Speaker E: C'Est ce que je remarque. Depuis six mois, les events sont passés à la trappe.
[01:13:25] Speaker B: Moi, ça fait même plus longtemps. J'apprenais les concerts le lendemain. Même des potes à moi... Ouais, c'est hyper complexe. Tu vois parce que les mecs... Ah, j'étais vraiment trop content de notre concert hier. Et tu fais...
[01:13:36] Speaker E: Je n'étais pas au courant.
[01:13:37] Speaker B: Je n'ai pas vu.
Juste parce que si tu ne payes pas d'ads à fond, ton event n'est pas mis en avant.
C'est le problème de ce que tu dis, c'est une situation de monopole, et à partir du moment où les gens ont le monopole, maintenant vous allez devoir payer pour en profiter.
[01:13:55] Speaker E: C'est un peu ça et après ça a permis à je pense beaucoup de petits groupes de structures de faire la com à pas cher et c'était très bien.
[01:14:02] Speaker B: C'était un super outil.
[01:14:04] Speaker E: Mais maintenant là je pense qu'il faut peut-être commencer à réfléchir à des stratégies un peu alternatives. Je vois pour moi un peu l'avenir, je sais pas si j'ai le bon terme mais ils appellent ça les dark social. Tu vois c'est un peu genre les whatsapp, en fait les messageries où en fait tu t'abonnes à une chaîne et en fait tu reçois les infos comme si tu recevais des on peut lancer des newsletters quoi tu vois, tu reçois en fait dans ta messagerie, ah bah tiens il y a telle actu et tout etc.
[01:14:32] Speaker B: Il y a beaucoup de modèles de startups qui sont là dessus où du coup au lieu de faire payer, enfin les entreprises vont payer ces boîtes là et en fait c'est des communications qui sont entièrement faites à travers les DM.
Parce qu'en fait tu sais que le reach que t'as, l'accessibilité aux gens par les DM, il est beaucoup plus grand que par les stories.
[01:14:54] Speaker E: C'est ça, et puis en fait ça, pour le coup, touchera peut-être moins de monde, mais ça sera plus des gens qui sont plus intéressés aussi par ce que tu fais.
[01:15:03] Speaker B: T'as aussi tout le truc où tu peux, enfin c'est avec des bots et tout ça, mais du coup tu peux cibler carrément, enfin tu peux demander aux gens ce qu'ils les intéressent d'avoir comme info et juste cibler le truc. C'est hyper efficace quoi.
[01:15:16] Speaker A: Après, il y a eu ce retour de la newsletter aussi. Parce que la liste de contacts que.
[01:15:21] Speaker B: T'As, tu l'as quoi.
[01:15:22] Speaker E: Ça marche plutôt bien en plus.
Oui, carrément. Je sais que ça marche plus, et puis surtout t'as des gens qui s'intéressent vraiment à ce que tu fais.
Alors oui, ils sont peut-être moins nombreux, mais c'est aussi un truc qui grossit, t'as de plus en plus de monde. Alors que ouais, avant les Facebook et compagnie on voulait toucher de la masse et on se disait ouais même si ça t'intéresse pas tu vas forcément vouloir venir à ce concert, ben non en fait la réalité c'est que t'écoutes pas tel style musique, tu vas pas déjà aller payer 20, 30, 40 euros pour un concert qui te touche pas quoi.
[01:15:52] Speaker A: On va passer à la musique ! Tu as choisi des clips ! On aime pas ça ! Et je vois le premier choix. Apparemment Ben, ça t'a plu.
[01:16:01] Speaker B: Ouais, ouais, j'ai trouvé ça bien.
[01:16:03] Speaker A: Amiral fait qui ?
[01:16:04] Speaker E: Ouais, c'est mon petit coup de cœur de cette année.
[01:16:06] Speaker B: Ouais, c'est cool.
[01:16:07] Speaker E: Ouais, parce qu'en plus, cette année, j'ai récupéré une nouvelle mission. Je programme un peu sur les mainstage en duo avec Ben.
Et du coup, ouais, c'est un des artistes qui m'a qui m'a marqué sur la fin d'année, je ne l'ai pas vu venir, c'est un pote qui m'en a parlé et qui m'a dit écoute tu vois c'est cool et moi quand je le vends un peu aux gens je dis ben c'est Deftones rencontre B.A. Lish.
[01:16:32] Speaker B: Ouais c'est ça.
[01:16:33] Speaker E: Tu vois c'est un peu ça et je trouve c'est hyper cool, c'est assez frais, ça montre aussi un peu le côté revival du néo grunge depuis depuis un ou deux ans.
et donc on la programme cette année sur la journée sur la journée dédiée aux femmes sur la mainstage 2 vendredi et donc voilà. Elle n'a pas encore fait beaucoup de concerts donc c'est aussi un petit pari.
[01:16:56] Speaker B: Elle a commencé à sortir des titres assez récemment, là elle a été signée je crois que je sais pas si l'album n'est pas encore sorti je crois, il n'y a que des singles qui sont sortis mais c'est une artiste qui est assez récente et c'est bien.
[01:17:07] Speaker E: Ouais ouais, et puis voilà, tout un univers avec des codes Hebo, Grunge, Neo, enfin c'est hyper cool je trouve et voilà j'ai hâte de voir ce que ça donne sur scène.
[01:17:21] Speaker A: Tu vas la découvrir pour la première fois sur scène ?
[01:17:23] Speaker E: Ah ouais c'est ça ! Ça arrive pas souvent les groupes effectivement, nous on essaie toujours de... Alors il y avait quand même quelques lives sur Youtube donc j'ai quand même pu voir un peu ce que ça donnait. Et en discutant aussi avec l'agent voilà, bon c'est sûr c'est son métier de vendeur d'articles qu'il va te dire que c'est génial.
[01:17:37] Speaker B: Non bah ça va, ça va être ouf !
[01:17:38] Speaker E: Mais non mais voilà on sent qu'il y a... Il y a quand même un peu une émulsion. Tu vois, je pense qu'il y a aussi d'autres artistes comme Kim Dracula qui n'ont pas fait beaucoup de concerts, mais qu'on prend quand même.
Il y a aussi un peu cette notre génération d'artistes, tu vois, qui n'a pas encore fait vraiment ses preuves sur scène. Donc ouais, pour nous, c'est un peu une prise de risque, parce qu'on aime bien plutôt avoir des groupes qui, on sait que ça cartonne sur scène. Mais voilà, on sait que c'est quand même, je pense qu'elle est entourée par des gens qui la conseillent bien et tout.
[01:18:04] Speaker B: C'est aussi l'occasion pour eux d'offrir un show qu'ils n'auraient pas forcément l'occasion d'offrir dans le reste de ce qu'ils font quoi.
[01:18:12] Speaker E: Bah ça je sais que tu vois sans discussion à Paris pour jouer dans un petit club c'est voilà je pense que ça va ça va encore faire des petites salles et tout mais ça risque peut-être de pousser assez vite quoi.
[01:18:24] Speaker A: Et ben on va découvrir ça peut-être pour beaucoup d'entre vous sur dans Bang Bang et sur SLS alors on dit le titre c'est Save Yourself C'est bon.
[01:20:03] Speaker F: C'Est.
[01:20:36] Speaker E: A SUIVRE.
[01:22:30] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Now I give up on life because you won't make it.
[01:25:24] Speaker F: Y.
[01:25:24] Speaker A: A-T-Il un message dans cette chanson ? Je ne sais pas, mais le titre c'est Snow Lover. Je laisserai les gens deviner et écouter ou aller chercher les paroles. Et le groupe c'est Unprocessed, dans Bang Bang.
[01:25:35] Speaker B: Tu crois que lui aussi voulait être un ours polaire ou pas ?
[01:25:39] Speaker A: Je ne sais pas. Peut-être qu'il est suisse. Il va falloir faire quelques recherches. Pour ceux qui comprendront, on a écouté tout à l'heure un artiste suisse, franco-suisse.
[01:25:50] Speaker B: Stéphane, si tu nous regardes.
[01:25:52] Speaker A: Stéphane Echard évidemment.
[01:25:57] Speaker B: Il avait un groupe de post-punk avant, où il y a une chanson qui s'appelle Ours Polaire.
[01:26:03] Speaker A: On essaie de comprendre ce qu'il vient de nous raconter.
[01:26:08] Speaker B: C'est un tube.
[01:26:09] Speaker A: Mais c'est vraiment un son que tu as déjà entendu dans des gros gros artistes électro. C'est très vieux par contre là. C'est un concept, c'est vraiment très post-punk. On va vraiment dans le fin fond du post-punk. Je pense qu'il était très loin. Il devait voler avec l'ensemble de la neige. Eric, tu es notre invité ce soir, encore une fois merci. Bravo aussi encore une fois au Hellfest pour ce que vous faites et puis merci de votre soutien parce que vous avez fait beaucoup pour nous donc c'est extrêmement gentil. On va passer un petit peu justement à l'affiche de ce Hellfest.
Avant de me prononcer... Tu m'as fait la blague, donc j'ai beaucoup ri. Mais quelle est la nouveauté de cette affiche 2025 ? On le voit, mais...
[01:26:58] Speaker E: On a fait un fond blanc, tu vois, sur l'affiche. On a voulu casser un peu les codes du métal, peut-être, je sais pas.
La nouveauté de cette année...
[01:27:08] Speaker A: Déjà toi tu participes à la programmation.
[01:27:10] Speaker E: Ouais du coup effectivement j'ai participé un peu sur la programmation donc on est quatre maintenant à faire la programmation du festival donc il y a Christy qui s'occupe de l'Altar Temple, Yohann toujours sur la Warzone Valley et moi et Ben du coup sur les mainstage Ben Grace sur les la partie headliner, moi je suis un peu plus sur les groupes d'ouverture jusqu'à 15-16 heures à peu près quoi on va dire. Donc voilà, après effectivement on a peut-être, on est peut-être sorti un peu de certains sentiers battus au niveau de la programmation. Non, après on est hyper heureux d'avoir déjà Linkin Park, c'est le seul pays où, je leur précise, où le groupe va faire à la fois un festival et un stade. Parce qu'en général la tournée qu'ils ont choisie cette année c'est soit ils faisaient un stade, soit un festival, mais pas les deux.
Et la France, du fait peut-être que le Hellfest soit déjà complet, qu'on ait aussi un point important sur la carte des tournées des artistes, ils tenaient quand même à faire le festival, ils tenaient aussi à proposer leur show de leur côté sur une plus grosse jauge.
Donc voilà et effectivement le retour de cornes après voilà, le retour en grâce même je dirais de cornes qui passent maintenant à statut de headline en mainstage 1, le retour des scorpions voilà, incroyable. 15 ans après l'arrêt.
[01:28:29] Speaker A: On en parlait déjà l'année dernière.
[01:28:31] Speaker E: Non mais après c'est des groupes qui font toujours plaisir à voir et qui marchent toujours, il y a toujours un public. C'est des groupes mine de rien encore fédérateurs, il y en a plus beaucoup. Et puis un groupe anglais qu'on a programmé effectivement, un trio un peu plus rock alternatif je dirais, qui a peut-être coulé un peu d'encre je dirais.
[01:28:54] Speaker A: Ils sont peut-être connus là-dessus.
[01:28:56] Speaker E: Mais voilà un groupe qui remplit quand même des stades, qui joue aussi dans d'autres festivals de métal. Je vois ça jouer à Tones of Rock en Norvège. Moi je les ai vus il y a deux ans à l'Aftershock en Californie où ça jouait en compagnie de Kiss, de Day to Remember, de Slipknot, voilà donc un peu dans une veine que nous on fait aussi.
[01:29:19] Speaker A: Non mais Muse à sa place donc.
[01:29:21] Speaker B: Ah c'est Muse ? Je me demandais de qui on parlait.
[01:29:23] Speaker A: Depuis tout à l'heure. Je suis allé, je me lance.
[01:29:27] Speaker E: Non mais Muse effectivement, Welfest voilà.
[01:29:29] Speaker A: Parce que c'est marrant, enfin c'est marrant. Je sais pas si vous vous percevez comme marrant mais la réaction qu'il y a eu, alors que moi j'étais hyper content. En vrai je te dis on était tous hyper heureux parce qu'on sait qu'en fait ils sont au métal dans leur tête déjà. qu'ils aiment balancer des gros sons, ils font toujours des reprises, on dirait de Deftones, c'est des trucs comme ça.
[01:29:45] Speaker E: Ah ouais, entre les morceaux, c'est...
Enfin, je vois les enchaînements de concerts, et là cette liste même qui avait été faite à l'aftershock, bah... Ouais, y'avait du riff quand même. T'en vois. Non, enfin, on s'attendait aux réactions, on savait que ça allait de façon à ne pas faire l'unanimité, c'était un...
c'était un risque pleinement qu'on avait en tête.
[01:30:05] Speaker B: Déjà il y avait le petit avant-goût de l'année dernière avec Foo Fighters, mais.
[01:30:12] Speaker E: Quand tu vois le monde qu'il y avait, les réactions...
[01:30:16] Speaker A: Après Foo Fighters n'a pas, en France je parle, n'a pas l'image d'un groupe comme Muse, il a plus l'image d'un groupe de métal alors que c'est tout aussi...
[01:30:24] Speaker E: Je pense qu'en France Muse a choisi aussi une stratégie, tu vois ils sont beaucoup passés sur des radios mainstream, ils ont eu une époque très pop, voilà ils ont fait aussi un pas de côté en choisissant de faire un truc plus mainstream parce que peut-être pour pour leur carrière, bah ils avaient besoin aussi de s'ouvrir et pour recueillir plus de fans.
[01:30:42] Speaker B: En France ça serait pas passé s'ils avaient sorti que des titres ?
[01:30:44] Speaker E: Bah non, ça aurait pas eu le même succès. Et je vois, enfin moi j'ai écouté les premiers albums quand j'étais au lycée, bah ça défonce quoi. Et puis même le dernier album est un peu plus justement retour aux sources sur ce côté là. Donc ouais pour nous ça ça a sa place au Hellfest, c'est effectivement ça a fait un peu grincer des dents certains puristes qui pensent que le Hellfest doit rester dans un métal très sombre et très de niche en fait, mine de rien on va pas se mentir. Et puis un peu cliché aussi. Et aussi un peu cliché, mais voilà, nous on le redit, on a quand même, voilà, on va pas faire Coldplay, on va pas faire Yannick Hamon, on va pas faire Duel.
Enfin non mais je crois que vous.
[01:31:28] Speaker A: Pouvez faire un call play mais vous leur demandez de faire un 7-6.
[01:31:30] Speaker E: Moi y'a un truc qui m'a beaucoup fait marrer c'est quand y'en a certains qui ont pris l'affiche du cabaret vert et qui ont mis Hellfest.
[01:31:36] Speaker A: Ah moi j'ai vu avec Croque en scène.
[01:31:41] Speaker E: Moi ça fait plus marrer qu'autre chose.
[01:31:42] Speaker A: Bah c'est surtout que ça fait de la con. en plus.
[01:31:47] Speaker E: Nous on avait conscience que ça n'allait pas être un choix qui allait mettre tout le monde d'accord, mais on n'est pas là aussi des fois pour cocher certaines cases et puis on efface aussi une réalité. Nous on a fait le choix de prendre un groupe qui n'est jamais venu au festival, qui est assez rare en France, qui remplit un stade.
[01:32:08] Speaker A: C'est ça, deux français entendus.
[01:32:09] Speaker E: Je crois qu'ils en ont fait même deux là. Et en plus, il n'y a pas tout le monde qui arrive à avoir des places.
[01:32:12] Speaker F: Oui, plus.
[01:32:18] Speaker E: Et donc on a choisi ça plutôt que de refaire venir des groupes qui sont venus peut-être il y a deux ans, trois ans, et en fait d'avoir une affiche qui est tout le temps la même, parce que pour nous ça c'est vraiment signer l'arènement du festival. Si on tombe dans une banalité où en fait tous les ans t'as les mêmes noms, bah en fait, à quoi bon continuer ? Parce qu'on est aussi effectivement un carrefour, je pense, dans cette musique où il y a une génération qui est en train de disparaître, il y en a une nouvelle qui essaie de prendre sa place, c'est pas toujours évident, mais nous on est là en fait pour faire un peu les aiguilleurs et dire bah ok en fait peut-être que ce groupe qui maintenant a 5-10 ans de vie, on va dire, à sa place maintenant, à telle scène, t'as le niveau quoi et je vois il y a certains commentaires sur internet et autres personnes en live qui ont dit ouais non mais t'as dit que le métal était en train de mourir alors j'ai jamais dit que le métal était en train de mourir mais je pense qu'il y a certains types, certains styles qui sont peut-être en déclin et il faut pleinement en avoir conscience. Nous c'est pas juste, enfin voilà, il faut suivre aussi les tendances parce que c'est notre métier et notre but c'est de faire perdurer le festival le plus longtemps possible.
[01:33:34] Speaker A: Oui, puis c'est une diversité.
[01:33:36] Speaker B: Oui, et puis ramener des gens un peu plus jeunes aussi. Yous, c'est pas forcément le meilleur exemple, mais c'est vrai qu'il y a eu ça.
[01:33:43] Speaker E: Non, mais effectivement, tu vois, quand on met des Falling In Reverse, des Electric Cowboys qui touchent un peu plus le public jeune, bah si, c'est l'idée. Et puis, il n'y a qu'à regarder les chiffres, tu vois, tous les huit noms. Donc, j'intègre aussi les headliners de Main2.
en fait c'est ceux qui font le plus de tickets en France maintenant à l'heure actuelle donc en fait c'est aussi une photographie à l'heure H de ce qui fonctionne en métal maintenant et donc c'est à nous de le mettre aussi en avant sans oublier pour autant les anciens, comme on dit, les légendes qui ont fait le succès aussi de cette musique.
Voilà, on crache pas non plus sur.
[01:34:18] Speaker B: Le passé, mais...
Ça permet aussi aux jeunes de découvrir les groupes cultes et tout ça, et en même temps de voir des trucs qu'ils aiment plus.
[01:34:28] Speaker E: En plus, ce qui se passe au Hellfest, c'est qu'on a un public assez intéressant. Donc nous, pour information, la moyenne d'âge d'un festivalier au Hellfest, c'est 38 ans. C'est hyper élevé par rapport à d'autres festivals, des collègues comme les Eurock, les Echarus, etc., qui sont plus dans les 25-30 ans.
mais qui eux voient aussi un peu la population vieillir, entre guillemets. J'ai mis un grand dégui à vie, à 38 ans, voilà. Et donc, en fait, il faut voir aussi que le Fes, c'est aussi un lieu où t'as beaucoup de générations qui se mélangent, contrairement à d'autres festivals, ou qui ont une programmation peut-être un peu plus, qui suit un peu plus les tendances, les artistes du moment. Nous, on a choisi d'être dans une niche déjà, et aussi de ne pas mettre de côté les anciens. Et donc des fois tu as deux, trois, quatre générations qui viennent ensemble au Hellfest. Et donc maintenant ce qui se passe c'est que tu as un peu les jeunes qui amènent leurs darons. Ah bah tiens viens voir écouter Oui c'est ça, ça partage un échange. C'est ça, et inversement t'as les anciens qui se disent bah attends on va aller voir Scorpion, tu vas voir ça c'est cool, ou Judas Priest, et voilà. Et nous c'est ce qui est aussi marrant, c'est une musique que tu découvres un peu par cooptation, tu vois c'est toujours apparemment un tonton qui te fait écouter un CD, un vinyle, voilà, ou qui te fait écouter tel morceau.
Comme c'est une musique qui n'est pas très médiatisée, on se passe un peu les bons plans. Donc pour nous, ce côté intergénérationnel est important. Et voilà, si on le voulait, on pourrait faire la journée, par exemple, du samedi sur les Men's Stage, qui est très un peu old school, on va dire. On pourrait ne pas la faire et ça n'impacterait pas tellement la fréquentation du festival. Mais pour nous, c'est important de la garder parce qu'on veut aussi montrer qu'il y a le métal d'avant, le métal maintenant, le métal de demain, etc. Et.
[01:36:16] Speaker A: Que le spectre soit plus large.
[01:36:17] Speaker E: Et voilà de toute façon c'est une musique où il y a tellement de... limite il y a un style de musique par groupe que de toute façon on n'arrivera jamais à satisfaire tout le monde.
Mais voilà on regarde toujours aussi ce côté, voilà on n'a pas que les mainstage parce que je pense qu'il y en a beaucoup qui s'arrêtent au mainstage, ils regardent pas le reste de l'affiche parce que j'ai vu des commentaires...
Quand on dit qu'il n'y a pas l'Hotel Hotel Seal, alors oui, on ne peut pas aller non plus précisément dans certaines choses, mais voilà, je pense qu'on n'oublie pas certains styles de musique assez extrêmes, quand tu vois l'Altar, tu vois la Temple, la Warzone qui est une scène très punk, donc il n'y a jamais eu vraiment de métal sur la Warzone, à part quand tu fais du hardcore, qui lorgne un peu sur le métal, mais voilà, et encore plus la Vallée où t'as des...
où c'est la scène là où on peut encore aller plus loin et pousser vers des trucs même qui frôlent l'électro, etc.
[01:37:05] Speaker A: Après c'est un festival.
[01:37:07] Speaker F: Il y avait même un groupe de Psycho Billy. C'était le seul festival avec un groupe de Psycho.
[01:37:12] Speaker E: Ouais, c'était de Chromantics l'an dernier. Mais ouais, c'est pour ça, je voyais des commentaires, c'est plus metal le Hellfest.
[01:37:19] Speaker A: Après, est-ce que c'est pas ceux qui n'ont pas de place qui du coup...
[01:37:21] Speaker E: Je sais pas, non, je pense que c'est un public qui peut-être ne vient plus déjà au Hellfest depuis un moment parce que devenu trop grand, commercial, etc. Et j'entends les critiques, ça y a pas de problème, mais tout le monde a le droit de ne pas adhérer forcément au festival.
Et donc non, après c'est la magie d'internet, tu sais, les commentaires et tout ça.
[01:37:41] Speaker A: On connaît bien, oui.
[01:37:43] Speaker E: Après je me dis, écoute, si tu trouves plus notre page chez nous, il y a pléthore d'autres festivals et tant mieux, va dans ces petits festivals-là qui ont justement besoin de remplir pour continuer.
[01:37:53] Speaker B: À exister, etc. Ça m'a fait penser à ce commentaire qu'on a eu quand même sur la vidéo où on a présenté nos nouvelles recrues, où quelqu'un a dit, ah, tant mieux, vos remplaçantes, comme ça on arrêtera de voir vos sales gueules. C'est génial, le mec nous déteste mais regarde quand même ! Moi je les aime les gens comme ça.
[01:38:12] Speaker A: C'est tout le paradoxe. Il y en a beaucoup des commentaires, je fais plus trop attention.
[01:38:18] Speaker B: Moi j'ai une petite question par rapport à la programmation de Muse. Est-ce que dans la discussion, vient la question de l'orientation de la setlist, enfin est-ce que eux disent ouais on va faire un truc un peu plus... je crois avoir entendu dire qu'ils avaient prévu un set plutôt heavy mais est-ce que c'est un truc qui rentre dans les discussions ou est-ce que les groupes...
[01:38:45] Speaker E: Non, alors ça rentre dans les discussions quand les agents... Alors nous déjà, je casse un peu le truc, on n'a pas le numéro des artistes.
[01:38:53] Speaker B: Non, je parlais bien, je parlais bien avec les agents.
[01:38:55] Speaker E: Je préfère le dire, il y en a certains qui disent, ben attends, t'as le numéro de James Hetfield ?
[01:38:59] Speaker B: Allô Mathieu ?
[01:39:00] Speaker A: Pourquoi t'es encore en Italie ?
[01:39:04] Speaker E: Non, on n'est pas en contact direct avec les artistes ici. Ce qu'on appelle des agents ou des managers qui représentent le groupe.
En plus t'as des agents pour certains territoires. L'agent anglais gère l'Angleterre, l'agent européen l'Europe, qui fait remonter après au management, qui fait après remonter au groupe, etc. Donc c'est pour ça qu'il y a...
des discussions des fois qui prennent du temps mais donc non la discussion rentre pas, enfin l'asset list rentre pas dans les discussions c'est plus quand ils viennent avec un projet genre ah ouais là on fait les 20 ans de tel album donc là on sait que l'album va être enfin l'asset list va être orienté sur tel ou tel album là dans le cas de Muse je sais que c'est eux enfin c'est eux qui sont venus nous voir directement c'est eux qui nous ont dit ben on est disponible est-ce que vous Vous pouvez nous faire un jouet, voilà. Bon bien sûr contre effectivement l'essence de Monétaire. Du coup donc c'est eux qui sont venus à nous, donc ils ont dit non on fait une tournée, une très petite tournée, du coup on sélectionne des festivals et on a envie plutôt de faire des festivals un peu énervés. Donc voilà, je sais pas à l'heure actuelle quelle setlist ils vont faire mais.
[01:40:08] Speaker B: Ils savent déjà, je pense qu'ils sont.
[01:40:10] Speaker E: Assez intelligents pour se dire on va faire une setlist T et pas arriver avec les tubes. Donc non, pour le coup, je pense qu'on peut s'attendre à... Moi je les ai vus il y a deux ans à un festival de métal et ouais, la setlist elle tabasse quoi. Et puis en plus ils ont une scéno qui est assez impressionnante, un peu futuriste et tout, donc voilà. Ça aurait bien marché.
[01:40:35] Speaker A: Bon, c'est eux qui vous ont démarché, mais est-ce que c'est une prise de risque ? Parce que tu parles que le festival se remplit, oui, on le voit bien, ça semble être une évidence, mais vous ne vous posez pas cette question, il n'y a pas des réunions de... Est-ce que si on fait jouer ces artistes-là, l'année d'après, est-ce que ça va pas...
[01:40:52] Speaker E: Non, c'est une prise de risque, mais modérée je pense, parce que tu vois on regarde aussi, on en profite pour regarder quand on avance à programmation s'il y a beaucoup de revente, s'il y a une évolution, s'il y a une tendance, on est très au fait de là-dessus.
Il y a tellement de demandes pour le Hellfest que je pense que si t'es pas satisfait de la programmation que t'as à ton billet, tu peux le revendre très facilement.
Mais ouais, on se pose toujours la question.
Il y a certains groupes, certains styles, on sait que ça a sa place, il n'y a pas de problème et tout.
il y a certains groupes qui veulent jouer chez nous tu vois et on se pose la question tu vois je sais que Chaka Pong l'an dernier ça fait au moins dix ans qu'ils voulaient venir chez nous donc voilà et c'était non non non non et puis bah là effectivement le fait qu'on avait cette journée ce créneau qui bah ouais là ça déclenche un truc il dit bon ok là il y a peut-être une ouverture on peut y aller Mais non, on se pose, on réfléchit quand même, on a le temps. En fait, nous aussi, c'est la chance qu'on a, c'est qu'on n'est pas pressé de faire la programmation dans le sens où on n'a pas un objectif de billetterie, voilà, parce que les autres festivals doivent annoncer très rapidement des groupes pour vendre du billet. Et nous, comme tout est déjà vendu, c'est pour ça qu'on garde aussi ce côté où on balance tout d'un coup, parce que voilà, on trouve que c'est plus cool pour le public d'avoir un peu tout le menu. plutôt que de balancer par-ci par-là. Donc on... Presque tout le menu. Ouais, il reste un groupe, ça va. Non mais voilà... Donc on essaye de garder ce côté, on veut tout balancer d'un coup, donc ça nous permet de prendre plus de temps et de recul, parce que des fois on te propose un truc, tu dis ah ouais ça peut marcher, puis en fait tu prends un peu de recul, tu fais ouais en fait, bah non, avec le reste de la journée ça fonctionne pas, c'est bizarre et tout quoi.
[01:42:40] Speaker A: On est d'accord, de toute façon je suis content, je compte sur toi !
[01:42:47] Speaker E: Ils sont en plein comeback, ils ont fait le tournée de Gojira, il y a plein d'actus. Il y a un peu ce côté nostalgique sur le nu metal, j'ai l'impression.
[01:43:01] Speaker B: En fait je pense que le côté honte d'aimer le nu metal s'est disparu.
Et là, maintenant, tout le monde se revendique de Korn, de Deftones... Ouais, et.
[01:43:10] Speaker E: Puis même les nouvelles générations, tu vois, commencent à découvrir ça. Parce que t'as aussi un peu dans la mode, un peu ce revival années 90, tu vois... Ah oui, ils portent des baguilles !
[01:43:19] Speaker B: Il n'y a qu'à voir le succès des collections Korn Adidas, là.
[01:43:22] Speaker A: Bah ouais, c'est vrai aussi.
[01:43:23] Speaker B: Qui sont vendues... Qui se revendent une fortune, en fait.
[01:43:26] Speaker E: Et qui se revendent un peu à fond, ouais. Donc ouais, il y a un peu ce côté revival 90 qui est cool.
[01:43:33] Speaker A: Bon, et puis ma vraie question, c'est qui choisit à quel moment passent les groupes, parce que Cornemuse, c'est quand même là, je me suis dit, il y a forcément une blague. Alors ça, qui a fait en sorte...
[01:43:45] Speaker E: Je n'ai même pas vu la blague. Je suis tellement...
Avec nos graphistes, on regardait tellement l'affiche, tu vois, parce qu'après, il y a la bataille des logos. Mais pourquoi mon logo à la taille ? C'est vrai qu'il y a ça aussi. C'est pas forcément la période la plus cool. Mais du coup, le cornemuse, moi je l'ai pas vu du tout. Et c'est quand la fiche est sortie que j'ai vu cornemuse, je fais ah ouais merde. Et là j'ai vu les blagues, les mèmes, j'ai fait bah tant mieux.
[01:44:12] Speaker A: Moi je me suis dit attends mais c'est du génie les mecs. Bon on va dire que c'est fait exprès.
[01:44:19] Speaker B: Pendant qu'on parle des affiches et des noms sur les affiches, il y a un festival américain qui nous demande c'est quoi votre petit secret pour pas qu'il y ait de fautes dans les noms. Eux apparemment ils n'ont pas réussi même sur leur merch.
[01:44:35] Speaker E: Ah putain c'était quel... Attends faut lire l'autre... Oui, je vois. Un festival qui... sur une journée, voilà. Bah je sais pas, on fait relire.
[01:44:44] Speaker B: C'est ça en fait.
[01:44:50] Speaker E: C'est la base dans la com, c'est que tu relis parce que tu... Oui.
[01:44:53] Speaker A: Tu vérifies plusieurs fois.
[01:44:54] Speaker E: C'est comme quand t'écris un livre, tu vois, à un moment tu vois tellement les choses que tu vois plus les petites coquilles et tout etc. Bah tu fais relire par quelqu'un d'extérieur qui a un oeil neuf et voilà.
Ça se passe bien en général.
[01:45:04] Speaker A: Il y a des gens qui travaillent quoi.
[01:45:05] Speaker E: Ça n'empêche pas les petites coquilles des fois mais on fait tout pour qu'il n'y en ait pas. Mais oui c'est un peu dommage. C'est surtout sur le merch.
[01:45:14] Speaker A: C'est con. Après ça le rend unique. Pas forcément bon mais unique. On va passer un petit peu de musique. On va continuer avec les clips que tu as choisis. Alors on va peut-être en parler de ce groupe là après. Mais c'est Novelist.
[01:45:27] Speaker E: Oui, Novelist avec leur dernier clip sorti à Coda. Pourquoi eux ? Parce que groupe la nouvelle scène un peu metalcore française avec les Landmarks, les Resolve, les Hushun etc. qui sont en train de prendre de plus en plus de place et même à l'international surtout, c'est ça qui est hyper intéressant. Et c'est un des deux groupes qui aussi fera la tournée Warm Up au mois de mars prochain, qui va suivre la petite caravane du tour du Hellfest.
Et non avec un clip moi que j'ai bien apprécié. Alors j'ai vu des commentaires, c'est marrant, genre Paramore Spiritbox. Tu vois après Billie Eilish, Deftones, voilà c'est marrant. Mais du coup il y a un peu cette nouvelle vague du métal aussi qui s'inspire de plus en plus de codes de la pop, de musique un peu plus entre guillemets mainstream, mais qui garde vraiment ce coeur métal on va dire entre guillemets. et je trouve que ça apporte quelque chose de nouveau, de frais, et puis voilà, et en plus Novelis avec leur nouveau line-up et l'arrivée de Camille, je trouve que c'est un groupe qui était presque voué à disparaître quand les gars en parlaient, et là maintenant ils sont vraiment sur le retour à fond la caisse, et ça fait plaisir à voir, et puis ça permet aussi de voir que c'est une scène aussi qui se féminise, et justement j'en parlerai peut-être plus tard, mais nous aussi on a voulu le mettre en avant cette année.
[01:46:55] Speaker A: Très bon, une nouvelle liste qui, à mon avis, vont vraiment devenir très gros. Ça semble quand même bien se profiler pour eux. On va regarder le clip.
[01:47:03] Speaker C: C'est parti, Koda ! Abonnez-vous !
[01:50:26] Speaker F: Lose your mind.
[01:51:33] Speaker C: Je n'ai pas l'intention d'en parler, mais j'ai l'impression qu'il n'y a pas d'autre chose à dire.
Assez d'élites, c'est ça ! C'est quoi ce bordel ? C'est quoi ce bordel ? C'est quoi ce bordel ? C'est quoi ce bordel ? C'est quoi ce bordel ? C'est quoi ce bordel ? C'est parti !
[01:53:57] Speaker A: Oh, l'oeil qui s'ouvre Avant qu'il s'effondre Avec ce titre, alors là, c'est le mot, je ne peux pas le prononcer.
[01:54:13] Speaker B: Colate flingue ?
[01:54:15] Speaker A: Severed forever. Je vais dire ça comme ça. Parce que c'est mon accent américain qui est délicieux. Also delicious. J'ai appris ça avec John Didi. Tu vas nous en parler Gladys, parce que c'est tes choix maintenant, pour cette nouvelle année, les nouvelles recrues et Enjoy The Noisy. Il n'a pas disparu, il est toujours avec nous. Ça va tourner, vous présentez vos petits coups de cœur. Et ça, c'est le tien.
[01:54:37] Speaker F: Tout à fait. De l'album Keep Planting Flowers qui est sorti il y a deux jours.
[01:54:43] Speaker A: Alors très bon titre d'ailleurs.
[01:54:44] Speaker F: Oui.
[01:54:46] Speaker A: Mais c'est important de planter des fleurs.
[01:54:47] Speaker B: Bah oui, souvent on l'oublie, on le revendique pas assez.
[01:54:51] Speaker F: C'est leur côté hippie qu'ils font.
[01:54:52] Speaker A: Ah oui sûrement. J'ai pas de doute là-dessus.
[01:54:56] Speaker F: Donc j'ai choisi cet album parce que déjà il vient de sortir il y a deux jours et que j'adore. C'est du metalcore engagé pour ceux qui connaissent pas.
[01:55:04] Speaker A: Ah oui ? Je savais pas que c'était engagé.
[01:55:06] Speaker F: C'est très conscient socialement. Et j'ai choisi ce titre là parce que le début est un peu punk.
Ça me parle. Les refrains sont super accrochés. En plus, il y a les voix claires qui sont doublées par le guitariste, il me semble. C'est le guitariste. Donc c'est une recette à la Stick to Guns. Forcément. Ce clip-là est sorti sur YouTube il y a trois mois déjà parce que ça faisait partie des petits singles. Mais il n'y avait pas de clip des nouveaux titres, donc forcément j'ai choisi celui-là.
[01:55:42] Speaker A: Elle se fait plaisir à la bière.
[01:55:45] Speaker F: Après du coup c'est pas une découverte pour pas mal de gens puisque ça fait trois mois qu'il est sur YouTube, moi je l'ai déjà séché des dizaines et des dizaines de fois mais bon, il n'y avait pas d'autres clips alors qu'il y avait des titres hyper intéressants comme Ennouse, je sais pas si les gens l'ont entendu mais c'est très... Il y a des passages très rap à la Insane Clued Post. Franchement c'est une petite pépite mais il n'y a pas de clip donc voilà. J'invite à écouter vraiment tout l'album parce qu'il y a vraiment des pépites, ils se sont fait plaisir sur plein mal de choses.
Il y a pas mal de feats aussi, avec Scott Vogel par exemple, de terror, n'est-ce pas ? Et j'ai noté le nom parce que là j'arrive pas à le dire, il y a Konis Garbosa.
[01:56:20] Speaker B: Qui est Konis Garbosa ?
[01:56:23] Speaker F: C'est dans See You Space Cowboy.
[01:56:26] Speaker B: Très très bien. Un groupe revival émo 2010 quoi.
[01:56:31] Speaker A: Ah oui là ça me vient aussi un truc.
[01:56:33] Speaker E: Il y a plein de groupes là, j'ai vu I was alone by her once. Je crois qu'ils vont se reformer et tout.
[01:56:39] Speaker F: D'ailleurs petit Edith vient de dire une bêtise. And now c'est pour le prochain groupe, c'est pas pour ce groupe là. Je me suis mélangée. Mais du coup j'en reparlerai.
[01:56:47] Speaker B: D'accord très bien. Le titre avec le chanteur de Terror il est bien bien heavy. J'ai écouté ça hier.
[01:56:57] Speaker A: Mais ça faisait un petit moment qu'ils n'avaient rien fait Stick to your guns, il me semble qu'il y avait eu un moment.
Ils ont pris un peu plus de temps qu'à l'habitude.
[01:57:05] Speaker F: Ouais par contre ils n'ont jamais cessé de tourner parce qu'on les a vus déjà l'année dernière, là ils rejouent cette année du coup dans pas longtemps, le 25 janvier.
[01:57:12] Speaker B: C'était au Trabendo la dernière fois je crois.
[01:57:14] Speaker A: Ouais.
[01:57:15] Speaker B: C'était pas avec Landmarks ? Il n'y avait pas Landmarks. C'était qui ?
[01:57:21] Speaker F: Il y avait aussi le groupe belge...
Nasty, non ?
[01:57:25] Speaker E: Nasty, tout à fait.
[01:57:27] Speaker A: Pas beau.
[01:57:28] Speaker E: On les a aussi cette année, c'est pour ça.
[01:57:32] Speaker F: Et du coup j'ai pris ce titre-là aussi parce que le break il est vraiment, vraiment, vraiment très cool.
[01:57:37] Speaker A: Ça c'est ton truc. Pourquoi ? Parce que t'as envie de frapper ?
[01:57:42] Speaker F: Peut-être. En vrai le break il est vraiment hyper sympa mais ça se termine sur quelque chose de très très doux. Après le break c'est vraiment que de la douceur mais ça prépare pour le titre qui suit.
[01:57:52] Speaker A: Voilà. C'est intelligent. Je ne l'ai pas écouté j'avoue.
[01:57:57] Speaker B: En même temps il est sorti il.
[01:57:58] Speaker F: N'Y a que deux jours donc moi j'ai passé la soirée à l'écouter.
[01:58:02] Speaker A: Je sais mais tout le monde en parle quand même. C'est vraiment la sortie dont tout le monde a parlé.
[01:58:05] Speaker F: Moi à minuit pile j'étais avec mes écouteurs.
[01:58:12] Speaker A: On s'envoie, on s'envoie. Est-ce qu'on peut danser dessus ? Parce que c'est ça qui m'intéresse. Oui, à ma façon. Tu connais.
Oh, touch me, touch me ! Ça casse ton truc !
[01:58:25] Speaker B: I want to feel your body.
[01:58:27] Speaker F: En tout cas, il y a beaucoup de diversité dans l'album, notamment grâce au feat. J'engage tout le monde à l'écouter vraiment.
[01:58:33] Speaker A: Bon, coup de cœur de début d'année. La suite c'est ? La suite bah y'a un autre clip. Parce que ça je sais que tu fais plaisir à notre petit Marcel.
[01:58:42] Speaker F: Oui le prochain clip c'est PL Face mes petits chouchous.
[01:58:46] Speaker A: Les petits Suisses.
[01:58:47] Speaker E: Les petits Suisses ?
[01:58:48] Speaker B: T'as compris la blague ? C'est par rapport aux petits Suisses.
Les yaourts.
[01:58:53] Speaker A: Ou yogourt. Ou ya-your. Elle peut en parler ou pas ?
[01:58:59] Speaker F: Donc c'est l'album Cursed. Et c'est le titre Love Burns.
[01:59:05] Speaker A: Oui alors je reviendrai pas sur ma blague parce qu'elle était nulle mais... Et donc pourquoi ?
[01:59:09] Speaker F: Pourquoi ? Bah déjà, de toute façon, dès qu'il y a un album de... Dès qu'il y a un album de Pearlface, moi je suis sur les starting blocks, pareil à minuit j'étais déjà comme ça, j'attendais que ça. Il joue d'ailleurs encore aussi en France le 2 février.
Oui, le 2 février, si. Je ne dis pas de bêtises. Je ne rate jamais aucune date de Pell Face non plus. C'est quand même un groupe qui est assez récent, il date de 2017, mais ils ont grimpé archi vite. Ils ont une énergie sur scène qui est incroyable et ça se ressent aussi dans l'album. Et là, pour le coup, il y a des sonorités qu'ils n'avaient jamais explorées avant. C'est vraiment plein de surprises comme album. Parce que Pell Face, c'est vraiment archi vénère du début jusqu'à la fin en général. Là, tu as des titres qui sont un peu plus à la Deftones, comme le dernier titre de l'album qui s'appelle River of Sorrows.
Il est vraiment très très très calme celui-là, tu t'attends pas, je crois qu'il n'y a même pas de scream du tout.
Alors que c'est un peu sa spécialité. Et je reviens sur le titre, Ain't House justement, point interrogation, où effectivement il y a une partie rappée, parce que c'est un peu la spécialité aussi de Zelly, de rapper en screamant, là c'est juste rappé. Mais vraiment là, Insane Clown Post, j'étais genre méga surprise.
[02:00:15] Speaker A: Il y a eu quelques petites critiques sur cet album, des gentilles critiques on va dire. Il y a eu ce côté, c'est eux, qu'on a critiqué de copier un peu Slipknot aussi ?
[02:00:22] Speaker F: Oui j'ai entendu ça aussi.
[02:00:24] Speaker B: Il y a quelques titres où le début c'est quand même très très Slipknot.
[02:00:27] Speaker A: Sur internet je l'ai vu beaucoup.
[02:00:29] Speaker B: Tapis de double.
[02:00:30] Speaker E: Parler de Revival ou alors.
[02:00:32] Speaker A: C'est pas grave.
[02:00:34] Speaker B: Le fait qu'il y ait aussi un peu du Deftones, enfin là en ce moment les groupes, il y avait Somme tout à l'heure, il y a beaucoup de groupes en ce moment qui ont beaucoup de titres très Deftonesiens.
[02:00:45] Speaker F: Après, ça reste du Pell Face, rien que la signature vocale, tu capes direct que c'est Zelly, il y a quand même toujours ces accords hyper vénères grinçants à la Pell Face. Donc même s'il y a des influences, c'est quand même une exploration qu'ils ont fait, on les attendait pas du tout là. Et moi, j'aime beaucoup les surprises et c'est des bonnes surprises parce que c'est.
[02:01:01] Speaker A: Bien fait en fait. Je n'écoute pas Pell Face, donc je me suis toujours dit c'est quoi qui a attiré les gens, c'est quoi qui a motivé les gens, en dehors de la qualité de la musique.
[02:01:12] Speaker F: Déjà, c'est hyper moderne.
[02:01:14] Speaker A: Tu peux pas la dire à l'antenne.
C'est dommage quand même, mais bon après c'est peut-être dommage de le dire à l'antenne aussi.
[02:01:21] Speaker B: Toi t'as jamais été trop pen face quoi.
[02:01:27] Speaker A: On parle pas de ma vie privée, tu sais que je refuse à l'antenne.
Tu dirais que c'est surtout l'énergie qu'il y a sur scène ?
[02:01:38] Speaker F: C'est les deux. Tu sens qu'ils ont envie de se bagarrer tout le temps. Que ce soit sur scène ou même en album. Quand tu l'écoutes sur Spotify ou peu importe où tu l'écoutes, t'as envie de te bastonner en fait. T'as vraiment envie de casser des bouches.
Ça te ronde dedans. Et ça reste en tête. Ça c'est un petit peu aussi la formule qui fonctionne avec Pelfeist. C'est que ça reste bien en tête. Tu l'as pendant toute une journée quand tu écoutes un titre le matin avant de partir au boulot. Et du coup t'as envie de casser la gueule tout le monde au bureau. Mais ça reste.
[02:02:05] Speaker A: Il ne faut pas casser la gueule aux gens d'eau.
[02:02:08] Speaker F: Et en com, ils sont vraiment super bons parce qu'ils jouent la carte de l'humour tout le temps. Je ne sais pas si vous les suivez sur les réseaux sociaux, mais leurs petites vidéos, le promotionnel, c'est une dinguerie à chaque fois, ils te font marrer.
Ils sont hyper doués, c'est des jeunes qui sont hyper doués, ils ont tout compris à comment communiquer avec le public et comment partager l'énergie. Mais de ouf ! Ils se distinguent de ouf en fait.
Et puis en plus Zelie est super charismatique, mais pas que lui, tous les membres de groupe sont hyper charismatiques et vont au contact du public, donc c'est exactement ce qu'un public veut.
[02:02:37] Speaker B: Bravo. C'est bien analysé ça.
[02:02:39] Speaker A: Bien analysé. S'ils vont au contact du public et qu'ils ont envie de péter des gueules, ce que je comprends c'est qu'ils vont donner des coups de poing à leur public.
[02:02:44] Speaker F: Mais à côté de ça, ils sont aussi hyper mignons par exemple. Zelie et le batteur, là j'ai oublié son prénom, c'est horrible de ma part. Mais ils ont tendance à se faire un petit bisou sur la bouche à la fin du set. Ah ouais, ça marche bien pour eux. Vraiment, ils sont choupis. Ils sont choupis et en même temps ils te rentrent dedans, tu vois. Donc c'est le combo parfait.
[02:03:01] Speaker A: On va arrêter la discussion maintenant. Ils se font des bisous sur la bouche et après ils te rentrent dedans.
Je vais commencer à avoir des oeufs de transpiration.
[02:03:11] Speaker B: Je comprends mieux pourquoi c'est le groupe préféré de Marcel. Ça, et pourquoi il est toujours violent quand il arrive au bureau, tu sais, quand il nous menace avec des armes.
[02:03:19] Speaker A: C'est vrai. Mais il est en gros, hein. Et non pas en gras. Il n'a pas les mêmes cheveux, en tout cas. Pardon, c'est que des private jokes, désolé.
[02:03:29] Speaker B: En gras, c'est pas trop private.
[02:03:35] Speaker F: Non mais du coup voilà, moi je dis allez les voir tout comme Stig Jürgens en concert et vous n'allez pas rester insensibles du tout au concert parce que vous n'allez pas pouvoir vous empêcher de bouger et d'avoir envie de casser des bouches.
[02:03:46] Speaker A: Des places sont encore disponibles donc faut pas se gêner.
[02:03:48] Speaker F: Non, Pell Face il y a longtemps c'est complet mais Stig il y a encore effectivement quelques places donc elles vont pas rester longtemps.
[02:03:55] Speaker A: Puis c'est à voir sur scène. On balance le clip ? Ouais. Ça te va ?
[02:03:58] Speaker B: Ouais.
[02:03:58] Speaker A: Merci beaucoup, bravo. Applaudissez-la s'il vous plaît, c'est sa première ici, en solo, en solo, sans les copines. C'est pas ma copine.
[02:04:08] Speaker F: Je la connaissais pas avant quoi, mais...
[02:04:11] Speaker C: Allez c'est parti, Pale Face ! c'est quoi ce bordel So wonderful, so beautiful So I don't live free Because I want that to be Would you come and light our fucking love burn? Would you come and light our fucking love burn?
Et quand on se regarde, on voit un feu, un feu qui s'éteint avec vous Et quand le soleil s'arrête, l'environnement s'arrête J'adore !
[02:09:04] Speaker E: J'adore !
[02:09:05] Speaker C: J'adore ! Mais c'est tout ce que je sais ! J'essaie de s'échapper de l'amour ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme !
[02:11:25] Speaker E: J'ai l'air d'une femme !
[02:11:25] Speaker C: J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme ! J'ai l'air d'une femme !
[02:11:44] Speaker A: J Memphis Mayfire avec cette grosse patate et un titre très séduisant, Overdose, avec en featuring Blindside. Parfois il faut parler des choses qui ne sont pas belles pour pouvoir dire attention, ne faites pas de bêtises parce que la drogue c'est mal.
[02:12:05] Speaker B: Oui c'est vrai. Moi je reconnais qu'on en prie. C'est pas une réussite.
[02:12:11] Speaker A: Ah bon, à quel niveau ? Oh, plein.
Mais il faut le dire aux gens.
[02:12:16] Speaker B: Ah bah je leur dis.
Moi je le dis, il y en.
[02:12:23] Speaker D: A qui le montrent.
[02:12:23] Speaker A: Tu n'es pas obligé de dénoncer Marcel ? En dehors de Memphis Mayfire, ce soir notre invité c'est Eric du Hellfest Festival.
qui nous fait le plaisir de venir, on rigole toujours, toujours un très bon moment. Merci encore une fois pour tout.
[02:12:42] Speaker E: Et merci à vous pour l'accueil, toujours un très bon canapé.
[02:12:45] Speaker A: Il est toujours bien, ça va ? Il n'a pas été détruit par toutes ces fesses qui sont passées pendant l'année ?
[02:12:48] Speaker E: Non, ça va, je la coudoure un peu, je fais un peu rampe dans sa voiture.
[02:12:53] Speaker A: Il commence à prendre un petit peu. Quand j'ai regardé la dernière émission, celle de l'année dernière, quand tu étais venu, tu disais que l'équipe s'agrandissait. Je vois qu'il y a des annonces qui sont postées aussi sur les réseaux. Vous faites appel à personne, vous demandez aux gens de venir.
C'était censé passer à 30 personnes, est-ce que c'est passé au-delà ? Est-ce que vous êtes encore plus ?
[02:13:14] Speaker E: Ouais, on doit être aux alentours de 30 à peu près maintenant. Ça grossit, effectivement, parce que le festival prend de l'ampleur avec des projets un peu transversaux.
savoir bien se staffer et s'équiper pour organiser tout ça, parce que même si on le fait, maintenant ça va être la 18ème édition, c'est toujours un peu un challenge quand même d'organiser un festival de cette taille-là. On est à 70 000 personnes quand on compte tous les staffs, bénévoles, artistes, etc.
Donc on avait regardé avec les gars de la technique il y a 2-3 ans, c'est comme si on montait le centre-ville de La Rochelle en 2 mois et qu'on le démontait en 3 semaines. Donc voilà, c'est une ville...
et donc du coup il faut des infrastructures, de l'électricité, de l'eau potable...
[02:14:12] Speaker A: Mais du coup c'est des gens dans ce domaine là spécifiquement ?
[02:14:15] Speaker E: Ouais, on essaie de s'entourer des meilleurs, donc on a la chance d'être un festival qui attire aussi du monde dans le milieu.
On arrive à tomber sur des bons profits, surtout des gens qui sont passionnés. C'est aussi la chose importante pour nous, c'est d'avoir des gens qui mettent aussi un peu de leur âme dedans et qui portent le projet vers le haut.
[02:14:35] Speaker A: Tu veux dire qu'ils mettent un peu de leur âme, ça veut dire qu'ils seront pas bien payés ? Je plaisante évidemment.
[02:14:41] Speaker E: Ils vont jusqu'au bout du travail. C'est un métier où il faut quand même t'investir un peu dedans parce que c'est un métier entre guillemets passion comme on dit. Même si je déteste ce terme. Mais voilà la réalité c'est que j'ai perdu ma voix.
Ouais, c'est la mue post-maladie. Non, donc du coup, je pense que c'est un métier où c'est tellement où les affinités personnelles se mettent dedans, donc t'as envie d'y mettre du tien aussi.
[02:15:11] Speaker A: Oui, ça mélange un peu, ouais.
[02:15:12] Speaker E: C'est ça, quoi.
[02:15:13] Speaker A: Et du coup, dans le recrutement, parce que vous faites des annonces, c'est bien écrit aussi, dites-vous qu'il va falloir s'investir, c'est bien écrit ce que vous demandez, mais du coup, toi, les personnes qui recrutent, je sais pas qui le fait, mais ça se passe comment, vous ? Il y a les questions. Moi quand j'ai été recruté à OUI FM, on m'a dit pourquoi t'as des dreads ? Et quand j'ai dit c'est parce que j'aime Korn, on m'a dit c'est bon t'es pris donc je...
[02:15:36] Speaker E: Bonne réponse ouais.
[02:15:38] Speaker A: Je ne sais pas si c'est une bonne réponse.
[02:15:39] Speaker E: Non mais on essaye de... alors ça dépend un peu des métiers tu vois quand t'es au pôle administratif compta t'as pas forcément...
C'est toujours cool, parce que pour les discussions... Quel est le meilleur album de Metallica ?
[02:15:51] Speaker B: Non, tu es viré !
[02:15:52] Speaker E: Non voilà, pour les pauses déj' c'est plus sympa quoi, mais non, maintenant on a moins en moins de gens qui sont non plus à fond métal et tout, après ça dépend des secteurs, moi je sais qu'effectivement sur la com, quand on prend des personnes en stage, on essaie quand même d'avoir une affinité pour la musique parce que c'est des personnes qui vont devoir publier sur les réseaux donc faut aussi savoir de ce que tu vas parler. Si tu n'as pas les bases, les codes, c'est un peu compliqué. Il y a aussi toute cette partie là. Donc on essaie d'avoir... Des codes pour.
[02:16:20] Speaker B: Se connecter au réseau ? C'est vrai que si t'as pas les codes, tu peux pas faire des postes.
[02:16:29] Speaker A: Non c'est vrai, les codes de chaque style de musique, code visuel, code orange...
[02:16:37] Speaker E: T'as les codes du festival aussi, parce que le festival est une culture à part entière. Donc voilà, on essaie quand même d'avoir, en fonction des certains postes, oui effectivement il faut avoir plus ou moins une... Mais après, il y en a des gens qui écoutent du métal et qui travaillent chez nous.
Quand l'équipe s'agrandit, à un moment tu peux pas avoir que des gens qui cotent du métal, c'est impossible.
[02:17:00] Speaker B: À un moment il faut qu'ils soient compétents dans leur métier aussi.
[02:17:05] Speaker E: Tu connais la discographie de Slayer, mais si tu sais pas faire telle ou telle tâche, ça va être compliqué.
[02:17:11] Speaker A: Est-ce que de prendre des gens en fixe, des CDI, ça permet justement de sécuriser le travail qui est fait ? Parce que vous ne renouvelez pas la personne, donc du coup, elle connaît l'essentiel après, ça va plus vite.
[02:17:25] Speaker E: Oui, pour nous, ça permet de gagner du temps. Pas tous les postes sont CDI non plus, parce qu'on fonctionne aussi avec des gens qui sont qui sont en intermittence, qui sont en contrat court, ça dépend des... parce que c'est aussi des gens qui viennent faire d'autres choses à côté. Mais oui, ça permet déjà d'avoir une récurrence sur les personnes, ça permet d'avoir des habitudes qui se créent, des fonctionnements qu'on n'a pas besoin de remettre à zéro chaque année, donc on gagne du temps sur l'organisation et ça permet aussi de pousser soit des projets, soit des habitudes de travail, c'est quand même plus cool. Tu sais ce que tu fais, on fait comme d'habitude et puis ça fonctionne.
[02:18:05] Speaker A: Y'a tout le monde qui amène des idées ou c'est compliqué de faire comme ça ?
[02:18:09] Speaker E: Non, ça dépend des sujets, c'est sûr qu'en fonction des spécialités de chacun, je dirais pas, moi je vais pas me permettre de donner des idées sur les scènes par exemple, j'y connais rien en technique, je vais pas me permettre de faire ça.
On a des réunions d'équipe où c'est des temps un peu d'échange où on permet déjà de suivre un peu ce qui se passe parce que c'est tellement tentaculaire maintenant le festival que même moi je suis pas au courant de certains projets et de ce qui se passe parce que je suis pas dans toutes les discussions et sinon je passerais ma vie en réunion mais...
mais voilà ça permet de se tenir au courant un peu des choses et puis d'avoir un retour des fois bah ouais mais attends nous d'un point de vue ça me permet de donner mon avis sur certains sujets mais après s'il est pris en compte tant mieux ou pas mais l'idée voilà c'est ça permet d'avoir des échanges quand même et de suivre un peu ce qui se fait parce qu'il y a Il y a tellement de choses maintenant, entre les réunions avec les préfectures, des réunions techniques, des études d'impact, plein de sujets qui... Maintenant c'est impossible de.
[02:19:14] Speaker A: Tout suivre à l'intérieur du festival. Et Ben suit tout ? Il a délégué des trucs ?
[02:19:19] Speaker E: C'est pour ça qu'il se retire un peu de certaines missions. Moi j'ai récupéré sur la partie porte-parole et un peu programmation. Il a tendance à lâcher un peu du laisse parce qu'il y a maintenant cette mission de...
d'être un peu tour de contrôle de tout ce qui se passe, sans non plus rentrer dans le détail de tout, mais au moins qu'il sache un peu tout ce qui se passe partout, et bah t'es obligé, avec le plus ça grossit, t'es obligé de te rentrer, de lâcher un peu de l'opérationnel, de prendre plus des parties, on va dire, de direction.
[02:19:48] Speaker A: Est-ce qu'un directeur comme lui, il y a beaucoup de politique aussi ?
[02:19:53] Speaker E: Ouais, de plus en plus. En fait, je pense qu'il passe maintenant 60% de son temps à faire ça, des réunions.
Non mais les réunions, tu vois, parce que les gens voient la partie mergée de l'iceberg, c'est comme toujours. La programmation, la com, ce qui fait un peu briller.
mais derrière on a des réunions avec la préfecture pour parler des... comment dire... des eaux usées, tu vois. Des réunions autour des eaux usées. Pendant trois heures. Et puis voilà qu'il faut des poches pour stocker les eaux usées parce que la station d'épuration n'est pas assez grande à Clisson pour tout accueillir donc il faut qu'on stocke pour pouvoir faire usure les camions.
[02:20:37] Speaker B: Toute sorte de méga bassines !
[02:20:39] Speaker E: Non, c'est des choses temporaires, voilà.
[02:20:43] Speaker B: C'est juste pour la blague, imaginez une piscine de caca.
[02:20:47] Speaker E: Il y a des réunions de caca, voilà. Donc je te laisse imaginer, mais c'est des sujets hyper sérieux parce que s'il n'y a pas ça, il y a des émanations de gaz qui peuvent impacter les populations, ça va hyper loin, c'est des sujets...
et donc voilà on a un peu plus aussi de voilà on doit faire attention aussi à tout ce qui est terre agricole voilà il y a des études sur les... enfin je vois par exemple la question c'est bah la nouvelle vallée quand est-ce qu'elle serait où bah en fait là on est en train de faire des études avec un comment dire j'ai perdu le terme mais c'est pas une écologie c'est un un écho bref j'ai pu et qui doit étudier sur les quatre saisons s'il n'y a pas des espèces animales qui sont sur une zone, parce que par exemple il y a des chauves-souris, il y a des oiseaux qui pondent des nids, etc. Donc voilà, il faut étudier les quatre saisons.
[02:21:46] Speaker A: Donc du coup pendant un an... Non.
[02:21:50] Speaker E: Mais ça permet d'expliquer aussi pourquoi il y a certaines choses qui se font pas. Et en fait du coup pendant un an tu ne peux rien faire parce qu'il faut voir l'étude de la nature sur un an, donc après derrière on a un rapport, bah voilà ils préconisent de faire ci, de faire ça, etc. Donc après derrière il faut faire des travaux, après il faut des autorisations.
Donc voilà, c'est toutes les joints un peu administratives françaises que tout le monde connaît. Donc des fois ça prend du temps, on ne peut pas juste prendre une pelleteuse, faire un trou et faire une nouvelle scène.
[02:22:19] Speaker B: Ben c'est bien ça le problème.
[02:22:22] Speaker A: Non mais après je comprends parce que.
[02:22:23] Speaker E: Voilà, maintenant le festival atteint une telle taille qu'on a un impact conséquent et justement on veut faire de plus en plus attention. Un écologue, cher Thauvin terme.
Et du coup on doit étudier tout ça et faire attention aussi à l'impact que peut avoir le festival. Donc il y a plein de sujets divers et variés qu'effectivement ils passent beaucoup de temps maintenant en réunion avec des élus aussi, pour dès qu'il faut, pour des parkings, pour des constructions, etc.
C'est pas la partie la plus fun, j'avoue.
[02:22:56] Speaker A: J'imagine aussi, enfin j'imagine après je sais pas si c'est vrai, mais j'imagine qu'il y a aussi ce côté relationnel politique pour pas avoir d'emmerdes ou... enfin je.
[02:23:04] Speaker E: Veux dire qui viennent nous faire chier pour rien. On a des réunions obligatoires avec la préfecture pour faire des points précis sur le plan de sécurité, le plan RSEC, tu vois. Parce que oui, effectivement, organiser un festival comme ça, ça amène du monde, ça peut amener aussi des...
Beaucoup de monde à un même endroit, c'est forcément beaucoup de menaces, surtout dans le contexte dans lequel on est.
Je sais qu'il y a des réunions qui se tiennent, à savoir quel est le plan de sécurité mis en place, s'il se passe tel scénario, qu'est-ce qu'il y a mis en place. Ce sont des réunions très sensibles et très anxiogènes, mais c'est nécessaire pour que le festival ait lieu dans de bonnes conditions. Le but, c'est qu'on prévoie le pire, mais qu'il se passe le meilleur.
[02:23:48] Speaker A: Il faut gérer toutes les bonnes sœurs qui pourraient venir attaquer le Festival. Je plaisante évidemment, on leur fait des bisous parce qu'elles sont nombreuses à nous regarder.
Non mais on peut donc trouver, pour revenir aux emplois que vous proposez, on peut trouver ça sur vos réseaux et sur votre LinkedIn.
[02:24:04] Speaker E: On passe un peu plus sur LinkedIn notamment, c'est un peu plus adapté pour la partie. Sinon, bah on va avoir des commentaires sur les fils. Voilà. Voilà, sur Edhoff en tout cas.
[02:24:15] Speaker A: Des trucs qui n'ont rien à voir. Non parce que quand on voit ces trucs là, c'est vrai que quand on est fan de métal, on a trop envie d'entrer dans le staff du Hellfest.
[02:24:21] Speaker E: Bah ouais ouais, j'entends bien.
[02:24:23] Speaker A: Il doit y avoir une masse de candidatures, non ?
[02:24:26] Speaker E: Bah ouais effectivement, il y a beaucoup de candidatures, après ça dépend en fonction aussi des postes notamment. Mais après en même temps, si t'es trop fan de métal, c'est un peu frustrant parce que tu vois pas les concerts.
[02:24:39] Speaker B: On a remarqué ça !
[02:24:43] Speaker A: Oui après c'est vrai que peut-être qu'ils ne le savent pas, sans doute pas.
[02:24:48] Speaker E: Non bah oui, il y a un côté, tu te dis ouais je travaille à Whole Fest, je vais en profiter, pas trop. Au contraire, déjà t'es pas dans le mood, t'es en plein... Ah bah t'es.
[02:25:01] Speaker A: Dans le rush, t'es comme ça.
[02:25:02] Speaker E: Voilà, tu travailles pour un truc qui a lieu 4 jours dans l'année donc...
pas que tu te plantes non plus. Et puis ouais, t'as pas forcément la tête à te poser avec une bière devant le concert. Et ton téléphone qui sonne, oh, je m'en fous, non.
[02:25:15] Speaker A: Je vais en prendre 4-5.
[02:25:15] Speaker B: Après, il y a ce truc aussi des fois, juste d'avoir la satisfaction de faire quelque chose pour un style que t'aimes.
[02:25:22] Speaker E: En fait, c'est plus ça maintenant. C'est plus ça, tu vois, moi je prends plus maintenant de plaisir à regarder la réaction des gens. Je regarde plus limite le public plutôt que la scène.
je suis au festival parce que je vois tout le monde avec la banane ou tu sais quand on ouvre les portes tous les gens qui limite sont en pleurs en train d'embrasser le sol tu vois c'est hyper émouvant quoi c'est hyper touchant d'avoir cette satisfaction et de dire ok je travaille pour ça en fait je travaille pas pour que pour forcément les gens sur scène bon voilà c'est cool quand même que les artistes se sentent bien etc mais eux ils ont leur truc et voilà nous on travaille pour les gens qui sont dans le public et de voir qu'ils sont contents et qui passent un bon moment bah c'est hyper satisfaisant aussi quoi Donc.
[02:26:01] Speaker A: Voilà, donc si vous avez juste envie d'aller serrer des pinces d'artistes que vous adorez, ça ne marche pas comme ça.
[02:26:06] Speaker E: Non, venez pas chez nous.
[02:26:07] Speaker A: Ça ne sert à rien.
[02:26:08] Speaker E: C'est pas comme ça que ça marche.
[02:26:09] Speaker A: C'est très important.
[02:26:10] Speaker B: Vaut mieux travailler dans une petite salle de concert où vous avez plus de.
[02:26:13] Speaker E: Chances de rencontrer des artistes. C'est ça, avant qu'ils soient trop connus.
[02:26:17] Speaker A: Il y a une bonne ambiance j'imagine dans l'équipe quand vous êtes tous... Bah.
[02:26:20] Speaker E: Oui on est quand même une petite.
[02:26:22] Speaker A: Équipe... Non mais non mais j'imagine... Plus.
[02:26:25] Speaker E: Personne, ça se passe bien, non ? Non non on est quand même...
[02:26:28] Speaker A: Eh connard ! J'imaginais l'ambiance justement hyper festive, très...
Non.
[02:26:32] Speaker E: Voilà après on reste très pro voilà tu vois. C'est pas parce qu'il y a marqué le fesque que c'est la fête à Deneux quoi tu vois.
[02:26:40] Speaker B: Ah pire j'espérais pouvoir boire des bières toute la journée.
[02:26:43] Speaker A: Bah je sais pas c'est pas ça de travailler. J'ai jamais rien compris alors.
Ça fait longtemps ! Je sais pas si j'ai déjà effectivement travaillé. Est-ce que, je vais revenir aussi à ton parcours, est-ce que justement depuis le moment où t'as vu des annonces et que tu as fait tes stages etc, le cheminement que tu as mené t'as construit toi personnellement différemment ? Est-ce que t'es devenu quelqu'un d'autre ?
[02:27:10] Speaker E: Ah ouais, moi je pense que clairement j'ai plus rien à voir avec... Enfin, pas non plus à l'inverse mais je... Des traits de personnalité qui sont développés, moi je suis plutôt quelqu'un d'assez réservé, timide à la base.
[02:27:22] Speaker A: Dans la com' c'est bien plus toi.
[02:27:23] Speaker B: T'as été un peu forcé de changer quoi.
[02:27:25] Speaker E: Ouais donc je suis obligé un peu, non mais ça s'est fait naturellement tu vois et donc rien que ça tu vois d'être à l'aise en public, parler avec les gens et tout c'est un truc qui m'a beaucoup aidé là dessus quoi donc et puis ouais après c'est plein de traits de caractère un peu plus organisé tu vois par exemple parce que t'es c'est un peu... c'est mieux quand même quand t'as les infusions d'être organisé mais ouais plein de choses comme ça effectivement c'est comme je pense dans plein de métiers où voilà quand tu... ça fait partie aussi du cheminement, d'acquérir des nouvelles compétences personnelles je dirais.
[02:28:02] Speaker A: Ça transforme forcément une personne.
[02:28:04] Speaker E: C'est ça. Toi t'as coupé tes dreads tu vois par exemple.
[02:28:08] Speaker A: Alors il y avait d'autres raisons mais après on va rentrer dans les détails. Mais l'odeur.
[02:28:13] Speaker B: Il y a des croûtes aussi.
[02:28:17] Speaker A: Ma mère, elle a pleuré, maman, bisous.
[02:28:18] Speaker B: À cause de tes croûtes ?
[02:28:21] Speaker A: Non, à cause du fait que j'ai enlevé mes draines. Elle en a pleuré. Elle était hyper triste. Mon père était très heureux, par contre.
[02:28:26] Speaker B: Parce que du coup, il n'y avait plus qu'elle qu'on avait dans la famille.
[02:28:32] Speaker A: On va passer à la suite.
On va passer à la suite, Knock Lose, je respecte beaucoup ma maman, j'aime beaucoup les blagues sur les mamans. Tu as choisi dans les clips Knock Lose, avec Suffocate et le featuring de Poppy. Donc là, on est dans un ensemble de nouveautés, de rafraîchissements de la scène.
[02:28:49] Speaker E: Bah ouais en plus c'est un groupe qui a je pense tout explosé en 2024. Nous on les avait déjà accueillis en 2022 et encore une autre année je sais plus laquelle. Et tu vois 2022 ils ont dû jouer à 13h mainstage, je me suis laissé une chaleur à crever.
Le premier week-end de 2022 là où il y avait 42h. C'est un groupe qui a tout ravagé, donc là on les fait revenir cette année et on les met en headliner de la Warzone. C'est un groupe qui voulait revenir mais en mainstage.
C'est un peu la problématique qu'on a, il y a plein de groupes qui ne jouent que par les mainstage. Je pense que c'est une question de position de l'affiche. Et puis ils se disent on va jouer devant plus de monde mais maintenant notre travail c'est un peu de leur dire mais non mais on ne va pas te faire jouer en mainstage, on préfère te faire jouer sur une autre scène et à un niveau encore plus haut parce que il y a quand même du monde devant ces scènes donc on est obligé d'envoyer des photos et des vidéos des scènes parce qu'ils se disent ouais c'est une scène c'est une troisième, quatrième scène, il n'y aura personne devant, ben non regarde c'est quand même un peu trop... ok c'est pas une même stage de 30 mètres de long mais voilà c'est quand même une scène...
[02:29:54] Speaker A: Je serais content !
[02:29:55] Speaker E: Voilà donc non et c'est cool ils ont accepté et puis en plus ça va être de nuit donc avec les flammes voilà Je pense que ça va taper.
[02:30:04] Speaker B: Personnellement, je trouve que pour des groupes comme ça, souvent sur une grande scène, il y a un côté un peu... Tu perds l'impact.
Il faut aussi pouvoir faire une scène...
[02:30:15] Speaker A: Et occuper la scène.
[02:30:16] Speaker B: Si t'as pas une scéno vraiment gigantesque, c'est assez dur quand même.
[02:30:20] Speaker E: En fait, c'est ça le problème des mainstage, c'est que si tu viens pas avec un...
Un décor, c'est un peu compliqué. Puis en plus, quand tu viens sur les mainstage, tu t'adaptes aussi au kit du headliner. Donc tu peux pas mettre non plus ce que tu veux. Il faut être un peu bricoleur et imaginer un truc qui te fasse tenir toute la scène.
Et alors que jouer sur une warzone en position de laner, je pense que ça leur apporte plus que... L'impact est plus important. Mais ce n'est pas le cas encore de tous les managements qui comprennent ça. Donc voilà, on essaye de... Donc c'est cool, c'est pour ça que cette année, on a voulu mettre aussi des turnstiles, des francs carters avec des six pistols. Ça permet aussi de gonfler parce qu'en fait, on avait un peu depuis quelques années des groupes qui se nommaient un peu ces scènes-là et qui voulaient jouer vraiment que par mainstage. Et nous, du coup, on passait à côté de certains groupes et des fois on se retrouvait sur des Warzone ou des autres scènes qui étaient un peu en deçà de ce qu'on voulait mettre en avant. Donc voilà, là c'est cool. Je vois par exemple aussi Ginger qui a accepté de jouer en Headline de Altar, donc c'est cool.
Il y a des groupes qui comprennent aussi que le truc tout bête, c'est que ça permet d'avoir un logo sur l'affiche, rien que ça.
Donc voilà, on essaie d'avoir ce cheminement. Et pour revenir avec notre loose, le feat avec Poppy, tubes, reggaeton, core de l'année quoi, tu vois, le petit break là, hyper cool. Et Poppy aussi qu'on accueille sur le Hellfest, sur la même journée que notre loose, donc peut-être...
[02:31:55] Speaker A: On compte sur toi, on compte sur toi !
[02:31:58] Speaker E: Si vous nous entendez, n'hésitez pas. Non mais ça serait mortel, je sais pas, j'en sais rien, je sais pas s'il y a eu des discussions ou autre, mais ça c'est pour le coup.
[02:32:09] Speaker B: Ces artistes, ils sont mortaux.
[02:32:11] Speaker E: Voilà exactement, mais ça serait cool d'avoir un feat ouais.
[02:32:14] Speaker B: Ouais, la gueule. On croise les doigts. Pour moi, Poppy, c'est l'album de Poppy.
[02:32:20] Speaker E: J'ai hésité à mettre un morceau de Poppy d'ailleurs, mais je ne m'attendais pas du tout à ça.
[02:32:30] Speaker B: Je suis très très content de l'avoir dans des bonnes conditions. Enfin, un vrai set, je l'ai vu en première partie de Bad Omens. C'était un peu limité, je pense que là ça va être un beau...
[02:32:43] Speaker E: J'espère, ouais.
J'espère de voir ça.
[02:32:45] Speaker B: J'espère l'avoir surtout.
[02:32:48] Speaker A: On va essayer de bloquer ce moment là.
[02:32:49] Speaker E: Ce sera le dernier jour donc tout le monde sera en fin de vie et j'ai l'impression que c'est la journée la plus bourrine sur les messages en plus.
[02:32:58] Speaker A: La régalade. Eh ben on va regarder ce clip. Ton choix donc, celui d'Eric, No Clues avec Suffocate.
[02:34:38] Speaker C: SAUVE LA QUEEN ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org L'éternel jugement crucifie les infidélités.
C'est génial ! C'est la fin de cette vidéo !
[02:37:40] Speaker F: C'Est bon.
[02:38:11] Speaker C: C'est génial!
c'est.
[02:39:52] Speaker A: Lacuna Coil à l'instant donc dans Bang Bang et sur notre chaîne Restless. Nous avons une radio également, il faut le lire. Si vous allez sur notre site rstlss.com, vous allez tout en haut. Si vous appuyez sur le petit haut-parleur, vous avez le son. Et c'est très divers et varié, plus de 17 000 morceaux différents. Ça change des top 40 habituels qu'il y a en radio.
[02:40:11] Speaker B: Voilà. Et puis pour ceux qui nous découvrent sur Twitch maintenant, sachez que tous les épisodes sont disponibles sur YouTube. Ici, il y a des petites exclus sur YouTube.
Il y a des interviews qui sortent sur YouTube qui ne sont pas passées dans l'émission et puis c'est aussi disponible en podcast sur les plateformes de podcast.
[02:40:26] Speaker A: Merci Ben, c'était extraordinaire. Notre invité et on est heureux encore une fois de t'avoir parmi nous, c'est Eric du Hellfest. On te pose souvent cette question et tu peux souvent ne pas y répondre mais je continue quand même à m'acharner.
[02:40:46] Speaker B: Est-ce que, à chaque fois que t'entends le mot Hellfest, tu penses à Elphesse ? Non, on lui pose pas cette question ?
[02:40:53] Speaker A: Bah on m'a mal informé ! Je suis désolé, j'ai cherché à un.
[02:41:00] Speaker B: Truc stupide, c'est le premier truc qui m'est venu par la tête.
[02:41:02] Speaker E: On m'a écrit des fois des mails à Hellfest avec un seul L. Donc là je me dis que c'est des gens qui ont pas bien regardé.
[02:41:08] Speaker B: Ou peut-être qu'ils croient que vous êtes un restaurant mexicain.
[02:41:10] Speaker E: Et qui ont configuré le bot automatique pour le mail.
[02:41:16] Speaker A: Non mais les aménagements, est-ce qu'il y a quelques petites nouveautés qu'on peut attendre ?
[02:41:19] Speaker E: Ouh là, c'est encore un peu tôt mais... Non non, là on a l'ouverture d'une brasserie qui a lieu à l'entrée du festival là où il y a l'ancien Luxor. Luxor d'ailleurs qui est pour la petite anecdote... Au bar du Luxor. Non, la chanson de Philip Catherine.
[02:41:36] Speaker B: Au bar du Luxor.
[02:41:39] Speaker E: Voilà, c'était le Luxor en question, donc c'était la boîte qui est à l'entrée du festival. Meilleure boîte de nuit je crois en 1984. Et ça va.
[02:41:53] Speaker A: Devenir un merveilleux endroit du coup.
[02:41:54] Speaker E: Et du coup ça va devenir une brasserie, bar, restaurant, où sera brassée la bière la Hellfest IPA. Donc c'est un projet qui n'est pas mené par Hellfest Productions, donc moi je ne suis pas salarié de cette brasserie. c'est vraiment un projet à côté avec d'autres associés et donc du coup ça va être à l'entrée du site et en fait c'est dans l'idée où le site va vraiment de plus en plus vivre à l'année parce qu'il y a déjà beaucoup de monde qui vient le visiter voilà un peu en mode pèlerinage et ben vous le savez on a eu la gare d'année ténèbres cette année avec la gronce aux bêtes qui est venue cette année et qui a fait une petite excursion à Toulouse pendant trois jours en octobre dernier. Elle va venir à la fin du Festival 2025 en permanence sur le site à travers un abri déjà pour le moment temporaire pour la stocker. L'idée c'est d'avoir des grandes nefs qui sont à la place de l'Extrême Marquette actuellement pour l'accueillir.
Donc il y a vraiment un projet presque touristique, culturel, à l'année, autour de ce site, que le site du festival en fait devienne un site touristique un peu à l'année pour les clissonner, donc faire vivre aussi l'économie locale, et puis bien sûr que pendant le festival on garde cette fonction de festival.
[02:43:13] Speaker A: Mais c'est grand, ça paraît immense quand même.
[02:43:16] Speaker E: C'est un très grand projet, je crois qu'on a 300 couverts par service. C'est une sorte de Hard Rock Café version Hellfest pour donner un peu dans l'idée avec une déco très travaillée autour des éléments du festival.
On en profite aussi pour refaire un peu le parvis du L.C.T. voilà je sais que c'est par exemple on est en train de travailler ça va ressembler un peu comme une sorte de citadelle un peu l'entrée voilà j'en dis pas plus mais ça va être un peu très impressionnant en termes de déco enfin voilà comme on sait faire et l'idée c'est toujours de garder cette logique de nouveauté de ouais effectivement de transformer de plus en plus le festival en sorte de parc mais pas parc côté péjoratif mais vraiment C'est le monde du métal, c'est un peu le monde du Hellfest. C'est ça, parce qu'on est vraiment dans une logique maintenant de dire que le Hellfest c'est un lieu où tu y vas pour voir des concerts et dans une atmosphère particulière, un univers...
Ouais, c'est ça, ce comité. Côté Disney, on a un peu du métal, on l'assume totalement maintenant. Mais c'est aussi ce qui permet de faire perdurer le festival, parce que le fait est que maintenant, se différencier sur une programmation, c'est de plus en plus compliqué, parce qu'il y a une espèce de surenchère aussi au niveau des cachets des groupes, les disponibilités. Le fait aussi qu'il y a cette génération, on sait pas trop où ça va aller, tu vois. Par exemple, des Iron Maiden, est-ce que dans 5 ans, ils seront encore là ? Il y a un changement vraiment dans la programmation dans ce monde du métal et on sait pas encore où ça va aller, ça se trouve peut-être dans quelques années on aura moins de groupes autant fédérateurs qu'avant et donc ce sera peut-être plus compliqué pour certains festivals de remplir juste avec des gros noms, il faudra peut-être avoir Un truc en plus c'est le site du festival, c'est le fait d'être dans une atmosphère, un univers un peu particulier.
[02:45:19] Speaker A: C'est toujours plaisant de voir des policiers danser et chanter sur les toits du village.
T'en as vu ?
[02:45:29] Speaker E: J'en ai vu. C'était de la prévention.
[02:45:35] Speaker A: Ils étaient pas sous, ils dansaient sur le toit mais avec un coup de sécurité.
Est-ce qu'il va y avoir une ventilation améliorée dans l'endroit où on vous vendait, où il y a tous les marchands ? Dans la tente ? Parce que moi je transpire très facilement et je demande juste est-ce qu'il y.
[02:45:51] Speaker E: A 2-3 petits ventilos ? Non il n'y a pas trop d'améliorations cette année sur l'extrême market parce que justement il y a cette idée de construire des vrais nefs, un vrai bâtiment mais du coup c'est sympa pour cette année. Donc tu prendras un petit ventilateur de poche, je sais pas.
[02:46:04] Speaker A: Une solution, on verra pas trop la différence. Je sais, je dors à côté de lui. Sinon oui, la tournée Warm-up, il faut en parler quand même, on en a parlé un tout petit peu déjà.
[02:46:17] Speaker E: Oui, nous c'est encore un projet qu'on renouvelle cette année, alors on le fait un peu plus tôt parce que ça nous simplifie aussi la vie en termes d'organisation, parce que le faire en mois d'avril-mai c'était un peu petite balle dans le pied.
On va pas se mentir. Donc là, on l'a fait plus tôt, on part à la mi-mars pour une quinzaine, pour 16 dates même, très précisément.
Et donc cette année, pas de gros changements en termes d'organisation. On a choisi deux groupes qu'on emmène sur toutes les dates. Et sur la date de Paris et Nantes, on renforce avec Skin Dread en special guest.
et non la particularité c'est peut-être d'avoir une programmation qu'on a voulu vraiment pour le coup corrélée avec le festival c'est à dire qu'on voulait vraiment les groupes de la warm-up vont jouer aussi Welfest donc je pense pour les gens qui notamment qui ne viennent pas à Welfest cette année au moins ils ont vraiment pour le coup un spectacle voilà un petit morceau du Welfest on est toujours un peu à à rebours, on avait soit des groupes qui étaient déjà passés au Hellfest, soit des groupes qui étaient sur une actu discographique, etc. Donc là, on a voulu choisir d'abord des groupes qui allaient jouer chez nous et ensuite qu'on mettait sur la warm-up. Et après, le choix s'est fait surtout sur des groupes novelistes. On les avait bien sur notre radar, on savait qu'on allait les faire sur le festival.
et on s'est dit que ça collait bien avec la partie warm-up parce que c'est pas un groupe mine de rien qui est hyper connu.
[02:47:47] Speaker A: Oui, c'est connu pour nous, mais effectivement.
[02:47:49] Speaker E: Tout le monde n'est pas encore...
[02:47:50] Speaker B: Ils peuvent encore être découverts par pas.
[02:47:52] Speaker E: Mal de... Et étrangement, c'est un groupe qui joue partout dans le monde, qui a une fanbase incroyable à l'étranger, et en France, je pense qu'ils ont skippé un peu la France pour se concentrer sur l'étranger.
comme on peut le faire des Gojira, des Lord Marks aussi, qui sont hyper gros à l'étranger. En France, il y a un peu cette méconnaissance, donc on se disait qu'il y avait un côté intéressant de les mettre à l'affiche. On voulait éviter un peu de reprendre des groupes qu'on voit assez souvent dans des petits festivals ou qui tournent beaucoup déjà.
C'était ça et puis après comme on avait un groupe Metalcore moderne, moi je voulais un groupe qui soit totalement à l'opposé pour les peut-être pour les puristes, pour les générations un peu moins jeunes aussi, on va pas se mentir. Voilà tout ce qui est thrash et death metal et Nervosa c'est un groupe qu'on avait aussi un peu sur le radar, on voulait faire donc elles étaient disponibles et intéressées pour une tournée en France.
[02:48:54] Speaker A: C'est très bon d'ailleurs.
[02:48:56] Speaker E: Et ouais c'est hyper cool.
Et puis ça fait qu'on a une programmation à majorité féminine sur la tournée, donc c'est assez rare pour le mentionner. C'est hyper cool, ça montre aussi qu'il y a un petit mouvement en plus de cette nouvelle génération de groupes qui vient, c'est aussi un style musical, le métal, qui est en train de se féminiser de plus en plus, et tant mieux je pense.
ça a été longtemps laborieux sur ce côté là voilà même nous on s'est fait taper dessus en mode bah ouais mais il y a pas assez de meufs chez vous bah ouais mais en fait il n'y a pas de groupe enfin on n'allait pas mettre pour le coup faire du pinkwashing comme on dit et mettre des groupes juste parce qu'il y en a là dedans pour nous au contraire ça desserre plutôt la cause au lieu de la faire avancer, donc là on a de l'âge où il y a un vrai mouvement, il y a des groupes qui sont en train d'exploser où il y a des femmes dedans et elles n'ont plus rien à envier, je pense à des groupes avec uniquement masculin quoi. Donc il y a encore du boulot, mais il y a une vraie marge de manœuvre.
[02:50:00] Speaker B: Mais il y a aussi du boulot du côté des labels, enfin des...
gens qui produisent les albums et tout ça, parce qu'il faut que les artistes puissent exister aussi. Mais ces dernières années, il y a quand même... Surtout dans la scène, excuse-moi, mais tout ce qui est un peu la scène hardcore, metalcore, tout ça, là, il y a quand même beaucoup, beaucoup de choses. Enfin, je pense au Djell, Throne, Skol... Non, Throne, Skol. Puis même ce qui se passe avec Poppy, où ça devient quand même des gros...
[02:50:30] Speaker A: Après, c'est comme un message qui est donné aussi par le Hellfest, je pense qu'il y a ce rôle-là aussi d'amener ça pour que les gens voient que ça existe, et peut-être donner envie à des gens qui ne savaient pas de faire cette musique déjà, mais en plus on a hâte de dire que c'est possible.
[02:50:45] Speaker E: On nous a posé la question de faire une journée 100% féminine, mais justement, le but ça serait d'en programmer plus, et comme ça vous n'aurez pas besoin de Enfin voilà, c'est comme la journée entre guillemets du droit des femmes, voilà, il faut pas la célébrer un jour par an mais c'est toute l'année. Bah ouais mais en fait c'est juste que là il faut aussi malheureusement arriver à faire des actions comme ça pour montrer qu'il y a une évolution parce que sinon elle n'est pas assez visible et justement on se retrouve derrière nous à justifier bah ouais mais il n'y a pas de programmation féminine chez vous. Si en fait tu vas pas voir mais tel groupe qui joue à 15h.
[02:51:18] Speaker A: Sur la Temple, c'est des nanas voilà.
[02:51:21] Speaker E: De toute façon, nous on avait en tête de faire cette journée féminine depuis pas mal de temps, mais ça ne l'a pas fait à cause des... toujours des histoires de disponibilité, d'agenda, de tournée, etc. Et donc là, ça s'est plutôt bien mené, et les Planètes sont en lignée, donc c'est cool, on a pu faire une journée pour le coup qui... Alors nous on a d'habitude... on fait plutôt des journées à thème, en fonction d'une esthétique.
Et là le fil rouge en fait c'est juste que c'est des front women ou des formations 100% féminines. Et donc pour le coup ça permet de voir un peu tout le spectre aussi de ces groupes là. Tu vas avoir du Spiritbox, comme du Epica, comme du Heilung, comme je vois Amiral Feky aussi. Donc voilà ça montre aussi que les femmes sont pas cantonnées en style musical, oui du metal sympho. Voilà y'a pas que ça, y'a plein de trucs.
[02:52:12] Speaker F: C'est vrai pendant très longtemps les femmes c'était que du metal sympho dans le métal.
[02:52:18] Speaker A: On t'écoute ! Non mais c'est cool.
[02:52:27] Speaker B: Elle nous a séchés.
[02:52:30] Speaker A: Je suis concernée. Les dates que vous faites, il y en a 16 t'as dit environ ?
[02:52:34] Speaker E: Ouais, c'est ça.
[02:52:35] Speaker A: C'est en France ?
[02:52:36] Speaker E: Ouais, exclusivement en France. On a 16 dates, donc on passe de Morlaix à Châlons-sur-Saône, à Marseille, à Bordeaux, Oignies à côté de Lille, Caen, Orléans.
[02:52:48] Speaker A: Il n'y a pas une envie de Belgique, pays entre guillemets francophone, attention.
[02:52:54] Speaker E: Ça dépendait des disponibilités et ouais c'était l'occasion aussi des fois d'en faire mais là bon là ça n'a pas pu se faire mais ouais on a un public quand même très francophone au Hellfest donc on ne pourra pas non plus partir au fond de l'Allemagne ou autre on n'a pas besoin en plus beaucoup c'est pas une tournée promotionnelle parce que le festival est complet donc on n'est plus dans une tournée où on veut garder ce lien avec les festivaliers, entretenir quelque chose donc on n'a pas d'objectif d'aller chercher un public précis donc Par contre on avait aussi à coeur de mélanger la fois des grandes villes et des villes un peu plus éloignées ou qui sont totalement hors des radars des tournées. Et ça c'est cool et c'est des villes en plus où on fait des très bons scores parce qu'il se passe pas grand chose et donc les gens sont hyper contents qu'il y ait un truc qui se passe pas très loin de chez eux ou même de faire des fois une heure de route pour aller voir un concert parce que... Ah.
[02:53:42] Speaker A: Bah là c'est l'occasion.
[02:53:43] Speaker E: Moi c'est l'occasion quoi.
[02:53:45] Speaker A: Grave, ça fait toujours plaisir. Le Sud, pense au Sud.
[02:53:47] Speaker E: Renate dans le sud, Nice Marseille et Nîmes. C'est déjà pas mal.
[02:53:55] Speaker A: Je râle encore mais c'est déjà pas mal. L'année dernière... Mais qu'il vienne un malheur mort ! Il faut venir un malheur mort ! Ça parle bien son nom, c'est un bled qui s'appelle malheur mort. Comme le groupe ? Comme le groupe d'ailleurs aussi, avec deux L pour le village. C'est là d'où je viens en fait.
C'est dans les bouches du Rhône.
[02:54:13] Speaker E: Ok.
[02:54:13] Speaker A: Y'a beaucoup de monde, pas dans le village mais y'a du monde autour. Je me suis toujours dit que ce serait bien de faire un truc métal là-bas parce que ça va être quand même mal mort. Y'a un truc. D'ailleurs là-bas on t'appelait la bouche du Rhône non ? Et j'ai des images. Sous le pont là. C'est faux, je ne suis jamais allé sous ce pont. Si, mais avec le chien. L'année dernière aussi, dans l'émission, tu as dit que tu ne désespérais pas que System of a Down, un jour fasse des tournées, puisse éventuellement revenir faire des concerts.
[02:54:52] Speaker E: C'est un des groupes qu'on n'a pas encore coché.
sur la liste qui se réduit d'année en année, mais là ils font des dates. D'un coup t'en as un quart de System of a Down de l'année. Il y a ce qui est à Seven Hours After Violet qui joue, et c'est le groupe du bassiste, donc Shave, c'est pour ça Seven Hours After Violet, ça fait Shave.
[02:55:12] Speaker B: Putain le mec il est malin !
[02:55:13] Speaker E: Un peu mégalo mais... Et donc il joue en ouverture le jeudi. Donc ça fait à dire un quart. Donc on espère que peut-être ça lui donnera des idées et il en parlera à Serge Stankian et à Darian quoi.
[02:55:26] Speaker A: Non parce qu'ils font la tournée nord-américaine, la tournée sud-américaine. Bon... Ouais peut-être c'est pas le décalage.
[02:55:32] Speaker E: Horaire, je sais pas.
[02:55:33] Speaker A: Il manque... Ouais c'est la même...
C'est possible.
[02:55:38] Speaker E: C'est un bon signe déjà de voir que c'est un groupe qui se remet à tourner donc peut-être peut-être que je sais pas pour quelles raisons ils se remettent à tourner.
[02:55:50] Speaker B: Sûrement pas la bonne mais...
[02:55:55] Speaker E: L'argent fait pas tout quand même. Il faut qu'ils aient aussi quand même envie de jouer. Je sais que c'est plutôt niveau Serge je crois que c'est un peu compliqué. Peut-être qu'il a envie de repartir sur la route et tant mieux.
[02:56:07] Speaker A: Il veut s'acheter des nouvelles Charentès.
[02:56:08] Speaker E: Non mais on espère bien qu'il sera...
[02:56:13] Speaker A: En 2026 en Europe peut-être ?
[02:56:15] Speaker E: Espérons-le.
[02:56:17] Speaker A: J'essaye de lui faire dire qu'ils sont en train de préparer l'apprentissage et qu'il.
[02:56:20] Speaker B: Prépare l'apprentissage super longtemps d'avance. On sait qu'il est solide.
[02:56:23] Speaker A: C'est vrai qu'ils ont bien fait de le sélectionner parce que le mec toujours...
[02:56:28] Speaker E: Tant que j'ai pas bu la chanteuse ça va.
[02:56:30] Speaker A: Alors ça tombe bien ! Bon bah je n'ai pas plus de questions. On arrive tranquille. Il va falloir le laisser partir parce qu'à un moment il a un train. Bah non il reste un dernier morceau qu'il a choisi.
[02:56:44] Speaker B: Ah oui d'accord.
[02:56:45] Speaker A: L'émission n'est pas terminée.
[02:56:46] Speaker B: Ah oui d'accord.
[02:56:47] Speaker A: C'est juste qu'il va falloir le laisser partir.
[02:56:48] Speaker B: J'ai cru.
[02:56:49] Speaker A: Et il a choisi, alors ça je ne connais absolument pas pour le coup, Prayers avec La vida es un sueño.
[02:56:56] Speaker B: La vie est un rêve.
[02:56:57] Speaker E: C'est ça, t'as fait espagnol au LV2 toi, ou au LV1 même.
[02:57:00] Speaker A: Moi aussi, pendant huit ans, mais je ne sais pas par où je suis allé.
[02:57:03] Speaker B: J'ai eu 14 bacs en espagnol.
[02:57:04] Speaker A: Ouais, moi j'ai dû avoir un.
[02:57:05] Speaker E: Préhears qui vient de jouer sur la Vallée le dernier jour.
Alors c'est de l'électro-gotte... Oui parce que.
[02:57:14] Speaker A: J'Ai regardé et je me suis dit...
[02:57:16] Speaker E: Chicano c'est un peu tu vois... Un peu doux !
[02:57:19] Speaker B: Mais on l'a écrit sur le papier.
[02:57:21] Speaker A: Ça me régale !
[02:57:22] Speaker E: Imagerie un peu gangsta, gang sud-américain.
[02:57:26] Speaker B: D'accord, ok.
[02:57:27] Speaker E: Et ouais c'est marrant mais... Ouais en plus c'est un truc que pour le coup tu vois ça me fait marrer quand je vois le fait que c'est pas métal. Enfin tu vois genre, ou que tel ou tel groupe c'est pas métal mais je pense qu'ils sont pas tombés en plus sur ces groupes là parce que pour le coup quand t'écoutes c'est...
C'est à l'opposé du cliché métal quoi on va dire.
[02:57:44] Speaker B: Parce que je trouve très drôle, enfin je digresse un tout petit peu, mais sur le fait que les gens disent ouais il n'y a pas de métal ou il n'y a pas de femmes ou de trucs comme ça, en fait le truc qui est hyper compliqué avec les groupes, quand tu regardes l'affiche du Hellfest il y a quand même beaucoup de noms.
et à moins de checker tous les groupes un par un, tu peux pas présupposer de ce qu'ils font comme musique ou de quel line-up il y a dedans. Parce que tu peux t'appeler Nécro-Destruction et être 4 filles quoi. Et le préjugé c'est que ça va être du pas quoi et que ça va être que des mecs et en fait pas du tout. C'est vrai que c'est très dur, enfin je sais pas si les gens vont vraiment tout checker un par un.
[02:58:25] Speaker E: C'est pour ça qu'on essaie sur les réseaux aussi de faire des petites capsules, on met plus en avant les groupes qui sont passés vraiment sous les radars des gens et qui sont moins connus mais qui pour nous ont tout leur place chez nous. Et tu vois genre Prayers ça fait partie de nos petites pépites un peu cool parce que c'est Alors là ouais, je prends pleinement partie, ça digresse totalement des codes du métal, mais c'est hyper frais, c'est hyper cool, c'est l'électro, t'écoutes ça à 17h-18h le dimanche avec une petite bière, c'est cool, sous la vallée au soleil, ça va être mortel je pense.
[02:59:04] Speaker F: Prias avec le mari de... Et c'est.
[02:59:07] Speaker E: Le mari de Kat Von D, c'est ça. Donc voilà c'est quand même un peu l'esthétique, tu vois Los Angeles, rock, métal tu vois, underground.
Et ça marche hyper. En plus je crois qu'il a fait des feats avec Deftones il me semble. Pas sûr, j'ai peut-être dit une énorme connerie.
mais enfin voilà c'est un gars aussi qui est impliqué un peu dans la scène métal et tout mais qui fait un truc qui n'a rien à voir avec du métal et tu vois quand on a programmé des perturbateurs, des carpenters bruts sur le papier c'est pas métal mais tu vois tout le monde dansait il est fou sérieux quoi donc voilà c'est juste pour montrer que la scène elle est en constante évolution il y a aussi des trucs qui sont totalement rien à voir avec l'idée qu'on se fait de base du métal, batterie guitare et du growl voilà bah t'as aussi des trucs comme ça qui pour nous rentrent dans les cases du festival quoi.
[02:59:56] Speaker B: Et puis au delà d'un style c'est un état d'esprit aussi, on fait une.
[02:59:59] Speaker E: Approche de la musique. Et je pense que c'est un peu tout notre travail, c'est de montrer que le Hellfest c'est musiques extrêmes et on met un peu ce qu'on veut dedans, du moment que pour nous c'est une attitude et un truc qui est en corrélation avec ce qu'on fait.
[03:00:14] Speaker A: Mais les gens sont quand même contents. Donc on le voit bien à chaque fois. Et un petit peu de fraîcheur, ça fait du bien.
[03:00:21] Speaker E: Exactement.
[03:00:21] Speaker A: D'originalité. Parce que quand vous allez voir le clip, je pense que vous allez trouver ça très original.
[03:00:25] Speaker E: Vite, vite, vite.
[03:00:27] Speaker A: En tout cas, merci infiniment de prendre du temps, de venir à chaque fois ici.
[03:00:31] Speaker E: Merci à vous, c'est toujours un plaisir.
[03:00:32] Speaker A: On a hâte de te croiser du coup au Hellfest.
[03:00:35] Speaker E: Et avant la warm-up, du coup, on se voit peut-être.
[03:00:37] Speaker A: Ah oui, oui, bon.
[03:00:38] Speaker E: Dans l'Isy-Montmartre, quand on passe à Paris, donc c'est le vendredi 28 mars, avec Skinred en bonus.
[03:00:44] Speaker A: Très bon sur scène aussi.
[03:00:45] Speaker E: Une belle soirée pour se mettre dans l'ambiance.
[03:00:47] Speaker B: Excellent.
[03:00:48] Speaker A: Eh bien on fait comme ça. Merci. Bon courage encore.
[03:00:51] Speaker E: J'ai un peu de boulot.
[03:00:53] Speaker A: J'imagine que ça peut être le moment le plus simple. Mais on va regarder ça et puis à la prochaine.
[03:00:58] Speaker C: Prayers !
[03:02:12] Speaker E: C'est la fin ! Et après, ils t'emmènent beaucoup à la.
[03:03:19] Speaker A: Chingada Ils m'ont mis des couteaux dans l'espade Alors n'y va pas avec tes bêtises Si tu as quelque chose à.
[03:03:28] Speaker E: Dire, dis-le à la tête Quand je.
[03:03:30] Speaker C: T'Ai retrouvé, putain, tu n'as rien dit.
[03:03:33] Speaker A: Quand je t'ai retrouvé, putain, tu n'as rien dit Je suis l'herbe mauvaise Personne.
[03:03:39] Speaker E: Ne m'étonne La vie est un rêve.
[03:08:24] Speaker B: Après le chemin, la lave, elle revient, elle est au début, à la fin, au milieu, on sait pas pourquoi.
[03:08:29] Speaker A: C'est parce que c'est l'enfer.
[03:08:31] Speaker B: C'est l'enfer, ils étaient dans le froid à la fin, c'était bleu.
[03:08:34] Speaker A: Avant que le micro, il meure. Qu'il a jeté comme ça au sol. Tu sais combien ça coûte un micro ?
[03:08:40] Speaker B: C'est le micro, il s'est jeté tout seul.
[03:08:43] Speaker A: Parce qu'il était vivant.
[03:08:45] Speaker B: J'imagine.
[03:08:46] Speaker A: Parce que c'est le trou de l'enfer comme dans le pays.
[03:08:47] Speaker B: Ah le trou !
[03:08:50] Speaker A: Oui, voilà.
[03:08:51] Speaker B: Au Turkménistan.
[03:08:51] Speaker A: Voilà, merci parce que je ne savais plus le nom du pays.
[03:08:54] Speaker B: Au Turkménistan, à l'époque, donc ça faisait partie de l'URSS, ils ont fait un forage pour trouver du gaz. Et en fait, un jour, le truc a explosé. Ça a fait un cratère. Et les mecs, ils ont eu la bonne idée de dire non, mais c'est pas grave. Tout le gaz est quasiment parti dans l'explosion. Donc, on va juste faire brûler le reste du gaz. En fait, ça fait 40 ans que tu as un cratère avec des flammes.
Et le truc, il fait genre 200 mètres de large. C'est énorme.
[03:09:22] Speaker A: C'est très grand.
[03:09:22] Speaker B: Ça s'appelle les Portes de l'Enfer.
[03:09:26] Speaker A: Merci Marcel si on t'a entendu. Son groupe là s'appelle pas les Portes de l'Enfer, il s'appelle Drown in Sulfur.
[03:09:32] Speaker B: Ah, noyé dans le suffre.
[03:09:34] Speaker A: Et le titre de la chanson c'est Seed of Hate.
[03:09:37] Speaker B: Ah, la graine de la haine.
[03:09:40] Speaker A: Mais attend, d'où nous viennent seed of.
[03:09:43] Speaker B: Hate, of sulfur ?
[03:09:45] Speaker A: Il y a des choses dans la vie qui ne me trompent pas. Et alors là, attention, je vais me faire juger parce que je juge et j'accepte.
[03:09:52] Speaker B: Tu as d'ailleurs souvent une petite perruque et un petit marteau.
[03:09:59] Speaker A: C'est vrai que des fois je mets des perruques et j'ai un gros marteau.
[03:10:02] Speaker B: Mais c'est pas le tien.
[03:10:04] Speaker A: Par contre, qu'est-ce que tu tapes avec ? Bon bref, il y a des choses qui ne... On a vu qu'ils étaient tous bruns, avec des barbes brunes, peut-être un peu typés. Ils ne sont pas français. Ils ne sont pas français parce que les clips qui sont un peu loupés comme ça ne sont pas loupés comme ça en France.
C'est vrai que c'est une autre louperie. Chaque pays a un peu sa spécificité. Celui-ci, pas très loin de la France, il est méditerranéen.
Oh sole mio ! C'est italien !
[03:10:43] Speaker B: Ah bah, comme quoi Maneskin...
[03:10:45] Speaker A: Ils s'en sortent bien.
Non, non, mais c'est italien. Après, moi, j'ai bien aimé la chanson. J'avoue que les petits solos, c'est pas...
[03:10:53] Speaker F: C'est mélo.
[03:10:53] Speaker A: Non, mais je me suis dit, j'essaye de trouver un truc un peu différent.
[03:10:56] Speaker B: Non, mais la musique n'est pas assez... Bon, il y a un côté un peu technique. Moi, je suis pas hyper client.
[03:11:03] Speaker F: Moi non plus.
[03:11:05] Speaker B: Mais bon, la scison, la prod et tout, c'est pas mal. Moi, ce que je trouve le problème, c'est un peu le clip.
Je trouve qu'il y a vraiment... En fait c'est drôle parce que moi il y a des trucs que je vois directement, je vois que tout le monde ne le voit pas.
[03:11:16] Speaker A: Alors j'avoue que je n'avais pas trop laissé mes yeux posés sur ce clip.
[03:11:20] Speaker F: Mais une fois que tu fais remarquer le détail, on ne voit plus que ça.
[03:11:23] Speaker B: Ouais, il y a plein de petits trucs et tout de suite tu te dis, ah ouais c'est vrai que ça pourrait être mieux s'il n'y avait pas ci, ça, si ça c'était plus comme ça.
[03:11:29] Speaker F: Ça pourrait être bien même.
[03:11:30] Speaker B: Ouais, ça pourrait être bien ouais. Enfin, à une certaine mesure quoi.
Bah là apparemment c'est pas... Après il y a des trucs pas mal.
[03:11:37] Speaker A: Ah non mais moi le clip je le trouve à chier donc je le.
[03:11:39] Speaker B: Dis tout de même.
[03:11:40] Speaker A: J'ai même pas regardé vraiment le clip parce qu'il m'a un peu gêné.
[03:11:43] Speaker B: Il y a des trucs pas mal mais après je trouve ça manque un peu d'une idée à quoi.
[03:11:47] Speaker F: C'est un peu kitsch quoi.
[03:11:48] Speaker B: Ouais c'est ça que je voulais dire.
[03:11:51] Speaker A: Et les solos de guitare c'est pas kitsch ?
[03:11:53] Speaker F: Ah si aussi.
J'ai pas particulièrement aimé. C'est pas trop ma cam.
[03:12:01] Speaker A: Non mais voilà, que ce soit Kitschouba ça j'en sais rien mais effectivement c'est pas trop mon délire.
[03:12:05] Speaker E: Kitschouba.
[03:12:07] Speaker B: Que ce soit Kitschouba.
[03:12:10] Speaker A: Voilà. Et je ne sais plus quoi dire en tout cas donc j'avais envie de trouver un truc un peu différent de ce que je passe d'habitude. Et ça c'est bien différent. Ça c'est très très différent. Vraiment beaucoup.
Voilà ! Gladys !
[03:12:29] Speaker F: Oui ?
[03:12:29] Speaker A: Bon... Quoi ? Comment tu t'es sentie pendant cette émission ?
[03:12:33] Speaker E: Ça va... Parce que c'est la vraie.
[03:12:34] Speaker F: Première en vrai... Bah à part le petit plantage de chronique là, ça va ?
[03:12:38] Speaker B: Bon ça va...
[03:12:39] Speaker F: J'ai renversé mes notes, voilà...
[03:12:40] Speaker B: Mais Personne...
[03:12:42] Speaker F: Si, tout le monde l'a capté.
[03:12:44] Speaker A: T'as de la chance, comme je me plante à chaque speak que je fais, du coup ça passe.
[03:12:48] Speaker B: Les gens sont habitués ici.
[03:12:49] Speaker F: Ils sont rodés, ils sont rodés, ouais.
[03:12:51] Speaker A: C'est ça, les deux cons, c'est bon...
[03:12:53] Speaker B: Moi je l'ai trouvé très bien.
[03:12:54] Speaker A: Moi je l'ai trouvé très bien aussi.
[03:12:56] Speaker B: Je mets la note de 10.
[03:12:56] Speaker A: Moi je te... Mets 10. Mets 10.
[03:12:59] Speaker B: Lève ta petite palette.
[03:12:59] Speaker A: Non, je mets 8.
[03:13:00] Speaker B: Ah, peut mieux faire.
[03:13:02] Speaker A: Peut mieux faire. Je vais juste te dire, je pense que tu peux vraiment te relaxer.
N'hésite pas à nous balancer des trucs à la gueule.
[03:13:10] Speaker B: Bah si, elle a lâché des petites caisses et tout, elle est toute bien relaxée.
[03:13:16] Speaker A: Non c'est faux évidemment mais enfin je ne sais pas.
[03:13:19] Speaker F: Je ne dirais rien.
[03:13:20] Speaker A: Mais elle ne peut pas péter.
[03:13:23] Speaker F: Je suis une femme donc je ne pète pas.
[03:13:25] Speaker A: Ça fait des papillons.
[03:13:26] Speaker B: On aurait vu des papillons voler.
[03:13:27] Speaker A: J'ai des petits papillons dans ma tête.
[03:13:31] Speaker B: J'avais pas vu les petits papillons.
[03:13:35] Speaker A: C'est elle qui va me maquiller pour les prochaines émissions.
[03:13:39] Speaker B: Du coup on verra les émissions où elle est là, où elle n'est pas là.
[03:13:44] Speaker A: Oui parce que tu vas pas venir exprès pour me maquiller non plus.
[03:13:46] Speaker F: Après j'habite pas loin mais bon.
[03:13:48] Speaker B: Des yeux comme ça, ça t'irait bien Pierre ?
[03:13:50] Speaker A: J'adore ! J'ai pas arrêté, je suis désolé, je t'ai fixé dès que t'es arrivé j'ai fait...
Et j'ai fait...
[03:13:55] Speaker F: C'est pas trop trave ? Mais non j'adore, j'adore. Parce que je force le trait tout le temps quoi.
[03:14:01] Speaker A: Après ma description était vraiment pas sympa quand je te l'ai dit mais pour moi c'était vraiment positif mais ça apparaissait pas, j'ai dit dis donc t'as des yeux huîtres.
[03:14:08] Speaker F: J'ai connu une meilleure compliment.
[03:14:12] Speaker A: Pour moi c'est hyper positif mais j'ai.
[03:14:15] Speaker E: Réalisé quand je te l'ai dit, je.
[03:14:16] Speaker A: Suis désolé quand même.
[03:14:17] Speaker B: T'aurais dû dire intérieur de coquille d'huître ou irisé.
[03:14:20] Speaker F: C'est toujours mieux qu'un regard de bovin.
[03:14:23] Speaker A: Nacre. Nacre.
[03:14:27] Speaker E: Nacre.
[03:14:28] Speaker A: Non mais moi pour vrai c'était super parce que ça fait chic.
[03:14:30] Speaker F: Bah oui tu t'as chié.
[03:14:33] Speaker A: Vous avez assuré.
[03:14:34] Speaker E: Merci bien.
[03:14:36] Speaker F: Merci bien.
[03:14:37] Speaker A: Vous pourrez revenir la prochaine fois.
[03:14:41] Speaker F: D'accord. Oh le boss.
[03:14:42] Speaker A: Je suis pas encore virée, putain. Si je te virais pour une mini-mini-faute qui ne s'est même pas entendue.
[03:14:50] Speaker F: J'ai entendu au moment où je l'ai dit en fait.
[03:14:52] Speaker B: Ça a corrigé tout de suite, c'est bon.
[03:14:54] Speaker A: Moi je te virais depuis Milan, un vaisseau. C'est peut-être pour ça que j'ai pas d'emploi.
[03:14:57] Speaker B: Milan en Italie ? Ah j'adore. J'en profite avant que ça se termine.
[03:15:02] Speaker A: Tutti quanti pizza.
[03:15:04] Speaker B: Pizza cannelloni. Ah, l'autre fois j'ai vu un québécois qui faisait une recette de pizza spaghetti bolognaise.
[03:15:11] Speaker E: Oh, mais qu'est-ce qu'il y a ?
[03:15:15] Speaker D: Et le roulet... Non mais ça c'est.
[03:15:16] Speaker F: Plus qu'on a inventé en vrai.
[03:15:17] Speaker B: Il fait une pizza dessus, il met des spaghettis, il met de la sauce, il met plein de fromage et il.
[03:15:20] Speaker A: La met au four. Ah ouais, excuse-moi j'ai un... Et après...
[03:15:26] Speaker B: Ouais, je sais pas si je vais la retrouver mais je sais pas.
[03:15:29] Speaker A: T'as été éliminé d'internet pour pas que les gens...
[03:15:31] Speaker B: Je voudrais reparler d'un petit truc dont on a parlé au début d'émission, Pierre.
Sur le Discord, nous avons créé avec Marcel, je dis pour tous les gens qui nous regardent, donc point d'exclamation, Discord, pour rejoindre notre Discord, un nouveau salon dans la catégorie Bang Bang concernant, pas une manucure, mais bien... Parce que j'ai bien compris, toi.
[03:15:55] Speaker A: Non, mais non, parce que j'étais en mode, je trouve pas les mots. Et il trouve tout, il trouve tout, il est fort.
[03:16:01] Speaker B: Un nouveau salon dans la catégorie Bang Bang pour le Patreon que nous allons lancer très prochainement où on demande à tout le monde de donner leur avis sur qu'est-ce que vous aimeriez comme contrepartie. Nous on a déjà travaillé dessus, il y a déjà un truc qui est prêt mais on se dit si vous aviez une bonne idée qu'on n'avait pas eue et ben on l'implémentera dans le... implémenter ? Dans le... j'ai bien dit implémenter, c'est un mot technique.
[03:16:28] Speaker A: Mais il est juste !
[03:16:31] Speaker B: Donc voilà, n'hésitez pas à rejoindre le Discord pour nous dire ce que vous pensez qu'on devrait faire.
[03:16:39] Speaker F: Et moi je prépare les photos des pieds de toute l'équipe.
[03:16:43] Speaker A: Je t'ai dit que c'était pour mon OnlyFan et pour pouvoir jouer dans les mystères de l'amour. Ne mélange pas tout ! Parce que je sais la pose, je me dis comme ça. On a commencé un petit peu à donner des petits pensées.
Mais oui, très bien. Et les gens sont tous adorables sur Discord. Vous pouvez nous partager des clips. Je sais, je le dis, mais quand vous avez un groupe, au lieu de me l'envoyer, par exemple, sur Instagram, ça va se noyer au milieu de 160 millions de messages parce que je ne mets rien de côté. Donc, je fais très mal mon travail. Vous allez sur Discord. Il y a des... Il y a des... Il y a un salon...
[03:17:29] Speaker B: Non mais oui, sur le Discord déjà, les autres gens de Discord vont le voir et Pierre le verra aussi.
Et bientôt peut-être des petits salons encore plus spécifiques pour nous parler sur Discord. Peut-être dans le Patreon.
[03:17:43] Speaker A: On sait jamais. Mais partagez vos clips, partagez vos chansons préférées, venez discuter, il y a des gens qui donnent des billets de concert gratos, des fois ils vous les vendent au prix normal sans vous faire arnaquer, ça se passe toujours très bien. C'est comme ça chez Restless.
[03:17:56] Speaker B: C'est la famille !
[03:17:57] Speaker A: Tout simplement.
Ah je l'ai regardé ! Pendant Noël, pendant les vacances. Tu sais qu'il y a encore des téléfilms de Noël ? Pourquoi ça aurait été interdit si c'est l'impératrice ?
[03:18:09] Speaker B: Je sais pas, il n'y a pas un truc de...
[03:18:11] Speaker A: Il y a plein de choses qu'il faut pas. Mais après ça passe un peu inaperçu au milieu de 17 heures de...
[03:18:17] Speaker B: C'est vrai que c'est long.
[03:18:19] Speaker A: C'est pas forcément super... 17 heures de quoi ? Cicile Impératrice.
[03:18:22] Speaker F: Ça dure 17 heures ?
[03:18:23] Speaker A: Non mais ça dure super longtemps. C'est parce que je suis du sud de la France donc en fait... Mais ça doit durer... Cicile Impératrice, bah c'est... 3 heures, il y en a plusieurs.
[03:18:30] Speaker B: Et puis c'est Nolan. C'est un film de Nolan j'imagine.
[03:18:34] Speaker A: Ah bah oui ! Je sais pas quel agi il avait à ce moment-là mais à mon avis...
[03:18:38] Speaker B: Rien ne l'empêche lui.
[03:18:40] Speaker A: Même dans les coucougnettes de son daron, il était déjà là... J'ai des idées ! Bon, qu'est-ce que je peux dire ? Bah ta gueule ! Non, je le dis pas mais il faut me le dire. Ah oui, c'est ça.
Et donc, ce Discord, et il communique avec nous ses nouveaux clips, me permet d'en faire un tout petit peu la promo, et ce groupe-là m'a demandé de les aider un petit peu, et j'ai trouvé qu'ils étaient extrêmement gentils, et quand les gens sont gentils, polis, et que leur musique est bonne, eh bien moi je partage. Bon, même quand elle est pas si bonne que ça, mais là c'est bon, donc c'est au moins le bon avantage. Ça s'appelle Apocryphal... Tu veux dire que c'est à bon goût ? Le clip, peut-être pas. Ne m'en voulez pas, le groupe.
[03:19:19] Speaker B: C'est pas à ton goût.
[03:19:20] Speaker A: Mais c'est la chanson, si j'aime bien le groupe. Je leur ai dit que j'ai trouvé ça très, très bien et que j'allais le partager. Donc, j'ai juste dû rechercher où j'avais laissé ce message. Ça a duré beaucoup de temps, un trajet en TGV. Ce qui est très fatigant pour moi, parce que normalement, je dors.
[03:19:34] Speaker B: C'est parce que t'as aussi commencé à ouvrir une messagerie. C'est vrai que lui...
[03:19:40] Speaker A: Dans le TGV, je ne le fais pas, sinon je me perds sur le chemin. Je ne sais plus où ils habitent.
Donc oui, Apocryphale, pendant le clip ce sera écrit donc vous regarderez parce que si je vous l'épèle ça va être trop long. Et le titre c'est My Hero Inside et c'est avec Björn de Soilwork. Donc ça envoie vraiment bien et la chanson est très très bonne et tout ce qu'ils font d'ailleurs musicalement c'est très très bon. Je les félicite donc n'hésitez pas à vous renseigner ou à les rejoindre sur les réseaux sociaux. C'est important de soutenir la scène locale, voilà c'est tout ce que je voulais dire.
Et retrouvez d'ailleurs Chris pour la nouveauté rock française. Voilà, j'ai fait la totale. Si vous avez rien compris, c'est normal. Mais vous allez sur notre site, vous trouverez tout.
[03:20:15] Speaker F: Encore une fois, merci beaucoup Claudie.
[03:20:19] Speaker E: Avec plaisir.
[03:20:20] Speaker A: Et encore une fois, meilleur vœu à vous, à toi, à toi, à toi, à toi des petits cœurs comme ça. Et passez une excellente semaine. Bon courage pour demain. C'est lundi, je sais, on n'a pas envie. Mais pourtant, il faut y aller. Donc un peu de courage.
[03:20:39] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Un pour le caillou.
[03:25:44] Speaker B: Deux pour le spectacle.
Et voilà, c'était mon souvenir.