Episode Transcript
[00:00:14] Speaker A: Bang !
[00:00:18] Speaker B: Bang ! Bang !
[00:00:19] Speaker C: Bienvenue !
[00:00:20] Speaker B: Dimanche soir, ça signifie quoi ? Metal alternative rock en live Twitch, c'est comme ça à partir de 19h.
c'est la dernière de l'année. Ce soir, c'est le 22 décembre et nous sommes donc dimanche et il va falloir s'arrêter. A la fin, il va falloir qu'on parte pour célébrer Noël, les fêtes de fin d'année. En famille, même si ça nous fait chier, et vous aussi, on va quand même devoir affronter ça. On va tous s'engueuler autour de la dinde. Peut-être que certains vont la fourrer avec du poison. Il peut se passer des choses. Non, c'est pas bien. Attention, faut tuer personne.
[00:00:49] Speaker C: Et puis c'est pas bien d'appeler sa mère la dinde.
[00:00:54] Speaker B: Je laisse un petit blanc, c'est le plus marrant parce que ça rajoute un petit peu beaucoup.
[00:00:59] Speaker C: J'aime beaucoup ce que vous faites.
[00:01:00] Speaker B: Quel talent, bravo. C'est une bonne blague. Donc Noël... Je m'en délecte.
[00:01:07] Speaker C: Je mange avec des doigts spatules.
[00:01:10] Speaker B: Bref, ce soir, ça va être une soirée un petit peu tranquille. On va s'amuser, on va passer des clips. Mais surtout, ce soir, ça va être une soirée de découverte de la nouvelle équipe.
[00:01:19] Speaker C: Attends, c'est pas une soirée de découverte de la nouvelle équipe. C'est une soirée casting.
Attention, on va vous demander de mettre la pression au maximum !
[00:01:29] Speaker B: Il va falloir envoyer vraiment des commentaires super désagréables. Vous le faites déjà donc ça c'est pas très grave. Ils font sur les commentaires de la VOD. Les gens dans le ch'meul en direct.
[00:01:40] Speaker C: Sur live Twitch sont tous adorables.
[00:01:43] Speaker B: Par contre sur TikTok... C'est un petit peu le principe. J'ai l'impression oui. C'est quand même très amusant. On peut rigoler au moins. Ne vous énervez pas contre les gens qui sont méchants. Ne perdez pas d'énergie à ça. Laissez-les s'exprimer. Enfin, ça nous fait monter dans l'algorithme.
[00:01:58] Speaker C: Remettez juste des petites pièces dans le jukebox. C'est parfait.
[00:02:02] Speaker B: Bref, ce soir nous allons donc faire un point news évidemment avec Didi, bon ça va de soi, il sera là d'ici quelques petites minutes et nous allons faire donc un casting.
Le cas casting, voilà. J'en connais tu vois. Parce que c'est deux personnes qui ont fort caractère.
[00:02:21] Speaker C: J'espère que tu vas te prendre des tartes dans la gueule, ça sera super pour l'audience.
[00:02:24] Speaker B: C'est vrai que si je me prenais une bonne tarte d'une femme, ça serait quand même mieux.
[00:02:29] Speaker C: Ah putain, tu donnes des indices !
[00:02:30] Speaker B: Bah en même temps, je vais leur donner leur prénom.
[00:02:33] Speaker C: Ah tu l'as dit là ?
[00:02:33] Speaker B: Non, pas encore, mais il faut quand même que j'annonce qu'ils vont être nos invités, non ?
[00:02:37] Speaker C: Attends, parce qu'on a parlé de pseudo, je sais pas si tu te souviens. Non, c'est faux.
[00:02:41] Speaker B: Ah oui, parce que là j'allais dire... Ah je sais plus ! Nous allons recevoir Amélie et Gladys. Voilà, parce qu'il faut le mettre dans l'ordre alphabétique, comme ça il n'y a pas d'ordre d'importance. Mais voilà, deux personnes qui ont répondu à ton appel lorsque tu as demandé à ce que des femmes se manifestent.
[00:03:00] Speaker C: Allô ? Maman est près de toi ? Faut lui dire MAAAAMAAAAN ! Je vais faire un résumé de la carrière.
[00:03:13] Speaker B: Mais voilà, c'est deux personnes qui ont... Oui, ça fait longtemps. Il y a deux personnes qui ont répondu. Et deux personnes qui ont fort caractère, je le disais. Deux femmes, non, forcément. Qui aiment des musiques différentes de nous, globalement.
[00:03:28] Speaker C: Je sais pas.
[00:03:29] Speaker B: On va apprendre ça. Elles ont choisi les morceaux de ce soir. C'est-à-dire que quasiment toute la playlist est faite par ces deux personnes. Et d'une parce que j'avais pas envie d'en foutre une, ça c'est la première raison.
[00:03:37] Speaker C: Ça c'est comme d'habitude.
[00:03:39] Speaker B: Un peu plus même. Je suis allé encore plus loin.
[00:03:42] Speaker C: C'est la fin d'année quoi.
[00:03:43] Speaker B: Bah voilà, moi je suis en vacances déjà depuis quelques semaines.
[00:03:46] Speaker C: C'est-à-dire qu'entre les titres choisis par Didier, Et les titres choisis par nos invités.
[00:03:53] Speaker B: Et puis, les obligatoires, puisque c'est la fin de l'année, donc qu'il y a les deux titres de Noël. Le premier et le dernier. J'ai choisi un morceau. Ah non, deux ! Pardon, deux. Le deuxième qu'on va pouvoir écouter après.
[00:04:03] Speaker C: En tout cas, je suis content que tu m'aies demandé de choisir un titre. Ça me fait très plaisir.
[00:04:06] Speaker B: C'est vrai que je t'ai rien demandé. Bon écoute, au moins t'as pas travaillé. Ah oui, c'est vrai, moi je ne.
[00:04:12] Speaker C: Joue jamais à rien, tu le sais bien.
[00:04:14] Speaker B: Et si tu es l'épicente, tu es l'élément principal, tu es cette petite perle, cette petite perle qui est là.
[00:04:20] Speaker C: Cette pierre en pierre, tous les mots que tu choisis.
[00:04:22] Speaker B: Une perle c'est joli, on l'a trouvé dans la mer.
[00:04:23] Speaker C: Ça dépend, ça dépend.
[00:04:24] Speaker B: Je ne parlais pas d'un vieux pet.
[00:04:25] Speaker C: Je parlais d'une perle qui sort d'une.
[00:04:26] Speaker B: Belle moule, enfin d'une huître.
Elle va être mangée comme ça.
Bon, j'espère que vous n'êtes pas trop tristes d'être avec nous ce dimanche soir.
[00:04:39] Speaker C: Si vous êtes restés en tout cas.
[00:04:44] Speaker B: Ce soir vous allez découvrir ces deux personnes, vous allez pouvoir faire des commentaires pour nous dire si vous les appréciez ou pas. De toute façon vous n'allez pas avoir le choix et ça c'est ce qui nous fait plaisir.
On va donc découvrir deux univers je suppose assez différents. Deux personnes qui ont un caractère assez différent aussi. Ça va compléter finalement tous les caractères de merde de cette équipe.
[00:05:03] Speaker C: J'ai envie de dire quelque part, c'est bien parce que c'est des personnes qu'on a rencontrées, mais à qui on a quand même assez peu échangé.
[00:05:11] Speaker B: Tout à fait.
[00:05:12] Speaker C: Et du coup, les gens vont un peu les découvrir en même temps que nous. On va grandir tous ensemble.
[00:05:17] Speaker B: Oh, c'est beau. C'est un petit peu la magie de Noël.
[00:05:19] Speaker C: N'hésitez pas à les noter sur chacune des répliques. C'est horrible.
[00:05:24] Speaker B: Et n'hésitez pas à nous envoyer des cadeaux et des dons ! Vous pouvez appuyer sur point d'exclamation si vous êtes en direct. Vous tapez donc point d'exclamation, vous cliquez et vous pouvez donner un euro. Déjà un euro c'est beaucoup. Ça sert à rien de vous ruiner. Si vous n'avez pas de sous, ne donnez rien.
[00:05:35] Speaker C: Donnez un euro régulièrement, tous les jours.
[00:05:41] Speaker B: Non mais vous pouvez le faire effectivement ou aller sur notre site internet restless.com, il y a même des liens si vous regardez la VOD sur Youtube pour pouvoir faire des dons, c'est comme ça que nous allons pouvoir survivre. C'est comme ça que nous allons pouvoir.
[00:05:52] Speaker C: Nourrir notre futur équipe.
[00:05:55] Speaker B: Oui, et c'est surtout pour pouvoir continuer parce qu'en fait, s'il n'y a pas de dons, on s'arrête fin janvier.
Je recommence, je recommence à mettre la pression mais c'est une vérité.
[00:06:04] Speaker C: C'est pas de ma faute, c'est lui qui a radar.
[00:06:08] Speaker B: Et on n'a pas le droit de détoucher l'argent nous, c'est-à-dire que c'est de l'argent qui ne sert que pour les factures. C'est interdit que moi je parte avec cet argent.
Toi tu fais pas partie de l'association, c'est vrai, normalement t'es même pas là.
Bon, très bien. Comme c'est Noël, j'ai décidé de commencer avec une chanson de Noël et une chanson de Noël amusante pour pas que ça soit horriblissime pour les personnes qui n'aiment pas les chansons de Noël.
[00:06:40] Speaker C: Mariah Carey ?
[00:06:41] Speaker B: Non, celle-là, je pense que les gens nous auraient tués. Avec The Darkness ?
[00:06:46] Speaker C: Mais oui ! Believing in a thing called love ?
[00:06:49] Speaker B: C'est leur tube principal, mais c'est pas celle-ci que je vais passer. Je vais passer celle-ci, là, regarde. Christmastime, don't let the bells end.
Et quand il parle de Bells...
[00:06:58] Speaker C: On croit bien qu'on sait de quoi il parle.
[00:07:00] Speaker B: Ah bah oui, il y a des.
[00:07:01] Speaker C: Blagues... Sa pandouille et sa baloche. Enfin, ça... Bon, on a compris.
[00:07:06] Speaker B: Voilà, on a compris le principe. Vous allez voir, de toute façon, c'est avec beaucoup d'humour, il est au bord d'une cheminée comme ça, avec son petit collant blanc, et il attend que le Père Noël lui ouvre sa grosse hotte.
[00:07:16] Speaker C: Ah bah si, ça c'est pas chaud.
[00:07:18] Speaker B: Voilà, on lance la machine ?
[00:07:20] Speaker C: Ben quand tu veux !
[00:07:21] Speaker B: Allez, 5, 4, 3... Ah c'est pas le nouvel an pardon ! Bon ben let's go hein, The Darkness !
[00:07:27] Speaker C: Ah j'allais faire une blague !
[00:07:29] Speaker B: 2, 1... Bonne année !
[00:07:32] Speaker C: Ah non c'est pas le nouvel an !
[00:07:33] Speaker A: Attends ! Fading joy and surprise At the gifts we despise Have a mild one With you On the twenty-fifth day Of the twelfth month The sleigh bells are in time Ringing true How we cling each other on To that snowflake's hope in.
[00:08:18] Speaker C: Hell.
[00:08:23] Speaker A: C'est la fin de cette vidéo !
[00:08:46] Speaker B: Merci.
[00:08:50] Speaker A: D'Avoir regardé ! c'est.
[00:09:34] Speaker D: C'est pas moi !
[00:09:35] Speaker A: C'est pas moi ! C'est parti ! Bang Bang ! Wake up, grab a brush and put a little make-up I just got to fade away the shake-off Why'd you leave.
[00:12:06] Speaker B: The keys up on the table?
[00:12:07] Speaker A: Here you go, create another fable You wanted to, grab a brush and put a little make-up You wanted to, I.
[00:12:11] Speaker B: Just got to fade away the shake-off.
[00:12:12] Speaker A: You wanted to, why'd you leave the.
[00:12:13] Speaker B: Keys up on the table? You wanted to Why don't you trust.
[00:12:15] Speaker A: In my self-righteous.
[00:12:22] Speaker B: Suicide?
[00:12:42] Speaker A: I don't think you trust in my self-righteous suicide.
[00:13:09] Speaker B: When angels deserve to die.
[00:13:12] Speaker A: In my self-righteous suicide I cry When.
[00:13:24] Speaker B: Angels deserve to die I commend my.
[00:13:46] Speaker A: Spirit folded to your hands Why have you forsaken me? In your eyes forsaken me In your thoughts forsaken me In your heart forsaken me I'll trust in my self-righteous suicide When angels deserve to die Am I self-righteous suicide? Why cry when angels deserve to die?
[00:14:45] Speaker B: Oh la belle petite chanson ! On est obligé de la chanter, on est obligé de l'enregistrer, on est là, on danse, on s'ambiance ! Sur System Of A Down ! Bah oui parce que là-bas on a l'accent ! Non mais pourquoi j'ai pas mis une nouveauté ? Parce que bon, là c'est un vieux morceau, je suis obstrué, bon on n'est pas non plus dans la célébration de...
[00:15:03] Speaker C: Parce que t'as envie de manger asiatique peut-être ?
[00:15:04] Speaker B: Alors, toujours, parce que c'est quand même la meilleure des cuisines, mais c'est surtout que System of a Down vient d'annoncer une tournée en Amérique du Sud, après avoir fait l'annonce de la tournée en Amérique du Nord, et que, évidemment, On peut se poser la question de... Ne vont-ils pas faire une tournée en Europe ? Et comme on sait... Qu'ils aiment l'argent ? Ah pardon ! C'est vrai, c'est une vérité. Quand on sait qu'ils aiment beaucoup Paris aussi, ce sont de très très grands fans de la capitale française, on peut imaginer que la première date qui pourrait être annoncée, ce serait Paris. J'en suis sûr que ça va arriver.
[00:15:38] Speaker C: Oh là là, toi j'ai l'impression que...
[00:15:40] Speaker B: J'ai deux-trois petites infos ! Et je les garde pour ici !
[00:15:45] Speaker C: Attends, mais qui te donne tes infos ?
[00:15:46] Speaker D: Qui ?
[00:15:47] Speaker C: Qui pourrait nous donner plein de belles infos ?
[00:15:49] Speaker B: Live Nation ?
pardon... Ah non c'est faux, vous ne me l'avez pas dit. Parce que sinon ils n'ont plus rien à nous donner.
[00:15:54] Speaker C: Non, moi je pense que pour avoir des bonnes infos, il faut écouter le... FLASHBACK NEWS !
[00:16:04] Speaker B: Tain j'ai cru que t'allais pas le faire ! Et c'est bien sûr présenté par le seul, l'incroyable, l'unique, le Didi Richard !
[00:16:09] Speaker C: Didi Richard !
[00:16:10] Speaker E: Gilles Debré, bien toi ! Gilles Debré, Ben !
[00:16:13] Speaker C: Gilles Debré !
[00:16:13] Speaker B: Gilles Debré !
[00:16:15] Speaker E: Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré !
[00:16:22] Speaker B: Gilles Debré !
[00:16:23] Speaker E: Gilles Debré !
[00:16:24] Speaker C: Gilles Debré !
[00:16:24] Speaker E: Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré ! Gilles Debré !
[00:16:27] Speaker B: Gilles Debré ! Gilles Debré !
[00:16:28] Speaker C: Gilles Debré ! Gilles De.
[00:16:34] Speaker B: Ou un stade, mais bon...
[00:16:35] Speaker C: C'est vrai qu'à Lyon, il n'y a plus trop de...
[00:16:37] Speaker B: Enfin... Bah vu que maintenant on a la Défense Arena, c'est compliqué de faire plus grand.
[00:16:41] Speaker C: Et le Stade de France ?
[00:16:43] Speaker B: Non !
[00:16:43] Speaker C: Le SDF !
[00:16:44] Speaker B: Mais mais mais mais mais mais... La mienne est plus grande ! Bah alors, quelles sont les infos de cette semaine ?
[00:16:49] Speaker E: Alors, on va commencer avec Slipknot, et surtout avec Jim Root, donc le guitariste, qui était un peu colère, et là il était un peu chafouin.
[00:16:56] Speaker B: Ah bon ? Oh my god !
[00:16:58] Speaker E: En gros, il s'est dit, y'en a marre, y'en a marre d'attendre la sortie de l'album Look Outside the Window, Tu sais, l'album qui... En fait, il a parlé de ça pendant une interview avec nos confrères de Metal Hammer.
[00:17:12] Speaker C: On les salue !
[00:17:12] Speaker B: On travaille étroitement avec eux.
[00:17:15] Speaker E: Il a dit, attention, si ça ne sort pas bientôt, je vais tout balancer sur YouTube. Il a envoyé ce message à Clown, il a dit... Je te l'ai pas fait dire.
[00:17:23] Speaker B: Mais il a envoyé ça publiquement.
[00:17:25] Speaker E: Oui, en tout cas, il a dit en interview, j'ai dit à Clown que s'il sortait pas l'album très vite, moi je le mettrais sur YouTube.
[00:17:31] Speaker B: Mais c'est complètement con.
[00:17:34] Speaker C: C'est quoi ?
[00:17:34] Speaker B: Il fait sa crise, ça y est ?
[00:17:35] Speaker E: On rappelle que c'est l'album expérimental de Slipknot qu'ils ont enregistré en même temps que All Hope Is Gone en 2008.
[00:17:40] Speaker B: Tu veux dire que c'est la bonne version ?
[00:17:43] Speaker E: Et que du coup, ça fait 16 ans que l'album est sur l'ordi de Clown qui est censé le terminer, le peaufiner, finir la production et le mixage.
[00:17:52] Speaker B: Attention, je.
[00:17:55] Speaker E: Veux que ça sorte ! Il y a quelques temps, Clown avait dit que ça sortira en 2024. Sauf qu'en 2024, c'est bientôt fini.
[00:18:02] Speaker C: Ah ouais, mais c'est pas fini encore !
[00:18:03] Speaker B: Il y a encore Noël ! C'est peut-être le cadeau de Noël ?
[00:18:06] Speaker E: Je ne pense pas, parce que du coup, Clown a fait une petite interview entre-temps chez nos autres confrères de NMI.
[00:18:11] Speaker C: On les salue !
[00:18:12] Speaker B: Avec qui on travaille étroitement.
[00:18:15] Speaker E: Et là, du coup, il leur a dit qu'on a du matériel pour faire plusieurs nouveaux albums.
En gros, l'arrivée de Eloy Casagrande, ça a insufflé une dynamique rafraîchissante dans le groupe. Et en fait, tant que j'y suis, sachez que le fameux album va bientôt sortir.
J'ai même envoyé la pochette à Corey Taylor hier.
[00:18:38] Speaker B: Oh bah alors ! Donc là c'est contrairement au manager.
[00:18:41] Speaker C: Oh bah dis donc alors !
[00:18:43] Speaker B: Ça va vite sortir.
[00:18:43] Speaker E: Donc voilà, je pense qu'on va l'avoir en courant 2025, je pense très tôt, et peut-être un nouvel album, même dans la foulée.
[00:18:51] Speaker B: Après quand ils sortent ce genre de trucs, le label est obligé de payer quelque chose. Enfin je veux dire, ça leur coûte de l'argent de sortir ce truc.
[00:18:56] Speaker E: Ils ont plus de label.
[00:18:56] Speaker B: Ah oui c'est vrai, ils ont plus de label. C'est vrai, j'avais oublié ce petit détail.
[00:19:00] Speaker C: Si tu mets juste sur Spotify, ça coûte pas très cher.
[00:19:02] Speaker B: Ouais.
[00:19:04] Speaker E: Parce que même si c'est un truc qui est beaucoup plus mélodique, beaucoup plus calme, expérimental, de toute manière je suis pas sûr que ça marche de ouf.
[00:19:12] Speaker C: En même temps les derniers albums... Pas sûr que ça marche de ouf.
Non mais de toute façon là ils vont faire un truc où ils vont faire genre une précommande, en fait je pense que c'est le temps, maintenant qu'ils n'ont plus de label tout ça.
[00:19:23] Speaker E: C'est pour préparer les bundles avec les sweets, les vinyles dorés.
[00:19:26] Speaker C: Exactement, ils vont faire que des précos, comme ça ils vont pas en printer plus que ce qu'il y a. Ah.
[00:19:31] Speaker B: Oui, ça sera joli.
[00:19:32] Speaker C: Ils vont faire un truc, ils vont vendre une fortune avec plein d'autres trucs à côté, et puis ils vont printer que la quantité qui sera commandée, enfin avec quelqu'un un petit peu plus, mais comme ça ça leur évite d'en faire plein pour un truc qu'ils vont pas vendre.
[00:19:44] Speaker E: Sinon, il y a toujours l'arnaque aussi de le vendre en même temps que t'as tourné. C'est genre, t'achètes ta place de concert et l'album est vendu avec.
[00:19:52] Speaker B: Oh, mais ils gagneront pas assez.
[00:19:53] Speaker C: Alors, généralement, la vraie technique, c'est que tu le vends déjà, tu vends déjà l'album, et tu refais ça après pour augmenter les ventes et passer au disque d'or. Je sais pas s'ils peuvent être disque.
[00:20:08] Speaker B: D'Or, mais... Slipknot, ouais.
[00:20:09] Speaker C: C'est fini, hein.
[00:20:11] Speaker B: À part s'ils sortent un bon album.
[00:20:12] Speaker C: Moi, je suis allé au concert, je peux dire que c'est fini, ouais.
[00:20:15] Speaker B: Terminé, j'irai plus jamais !
[00:20:19] Speaker E: On va parler de Tom Delonge.
[00:20:21] Speaker C: Oh celui-là je le connais Delonge !
[00:20:25] Speaker E: Il a une théorie, on s'en doutait, mais il a une théorie sur les observations de drones sur la côte Est des Etats-Unis. Je ne sais pas si vous avez vu ça, les gros drones qui ont été aperçus plusieurs fois sur la côte Est.
[00:20:34] Speaker B: Qui ont fait peur à la population.
[00:20:35] Speaker C: Communication intergalactique.
[00:20:38] Speaker B: Trump a été élu, donc la communication avec la Lune.
[00:20:41] Speaker E: Lui, il fait le parallèle avec des observations identiques, étranges, d'avions, des gros avions, qui auraient eu lieu dans les années 60. Et pour lui, il pense que ce sont des aliens qui utilisent une technologie de mimétisme. Donc en gros, des aliens déguisés en gros drones humains pour nous espionner.
J'ai pas de preuves pour le moment, mais les lieux où on les a observés correspondent à des endroits où on a observé des gros avions dans les années 60.
[00:21:07] Speaker B: Mais qui ferment sa gueule, c'est tout. Tu vois ce que je veux dire ?
[00:21:09] Speaker E: À un moment, c'est quand même de la merde.
[00:21:12] Speaker B: J'aime les gros avions !
[00:21:14] Speaker E: Sa boîte, son institut de recherche sur la présence alien, Ils ont quand même forcé le gouvernement à reconnaître des vidéos, des trucs, en disant...
Regardez cette vidéo.
[00:21:25] Speaker C: Avec Monica Lewinsky ! C'est vraiment du bon jeu à pépère.
[00:21:28] Speaker E: Sur sa robe !
[00:21:28] Speaker B: Bon bah voilà, la suite sinon !
[00:21:33] Speaker E: Alors on enchaîne avec un chanteur de hardcore qui s'est pris un petit shitstorm. Cette semaine c'est Paul Beerer, le chanteur du groupe de hardcore Sheer Terror.
C'est vraiment un groupe de hardcore new-yorkais, vraiment un des premiers dans les années 80. Et il a été vivement critiqué sur les réseaux sociaux parce qu'il a fait deux vidéos, dont une qui ont été mal prises. Et les gens ont trouvé ça un peu choquant. Il y a beaucoup de fragilité dans les deux camps, je pense.
Il a posté deux vidéos sur Instagram dans lesquelles il exprime ses griefs à l'encontre des promoteurs de concerts. Dans la première vidéo, il se plaint des promoteurs qui prennent des photos de groupes sur internet pour faire des flyers de concerts, mais en prenant des vieilles photos avec des personnes qui ne sont.
[00:22:14] Speaker C: Plus dans le groupe.
[00:22:17] Speaker E: C'est relou, mais en même temps, j'ai regardé un polyhistorique, Le mec il a un peu tendance, apparemment il a un très fort caractère et il s'entend pas bien avec les autres êtres humains et il a tendance à renouveler ses équipes très très régulièrement. Donc à un moment donné t'as qu'à mettre des photos juste de toi sur internet, sur ton site.
[00:22:33] Speaker B: Oui c'est ça, faut que t'y ailles que lui quoi.
[00:22:35] Speaker E: Cette vidéo elle est passée crème mais dans la deuxième vidéo il explique qu'il en a marre que les promoteurs associent Sheer Terror à des groupes de beatdown.
en disant, nous ne sommes pas un groupe de beatdowns, c'est l'accent new-yorkais ça, nous ne sommes pas un groupe de beatdowns et les fans de beatdowns ils aiment pas sheer terror.
[00:22:55] Speaker C: Car beatdown c'est pas ce que tu penses, je te le dis tout de suite.
[00:22:58] Speaker E: Alors techniquement c'est pas vraiment, techniquement il a insulté personne, mais tous les fans, toute la communauté beatdown, ils sont devenus tellement fragiles apparemment récemment, ça a déclenché une shitstorm donc il a dû effacer sa vidéo.
Mais en même temps j'ai envie de dire, quand t'es un vieux groupe qui n'a jamais connu le succès et que tu te fais inviter sur des plateaux hardcore parce que les jeunes groupes ont du respect pour toi, ben ferme ta.
[00:23:28] Speaker C: Gueule et profite parce que tu joueras plus quoi. Juste parce que t'as l'appui de 40 ans.
[00:23:31] Speaker E: Bah oui voilà.
[00:23:32] Speaker B: T'as raison, vous avez raison. Non mais c'est vrai qu'il aurait dû juste se vendre et pas avoir... Ça fait du buzz. Du mauvais mais ça fait du buzz.
Ça fait quand même... Oh parle-le !
[00:23:44] Speaker C: Attends, du buzz. Comme Buzz Aldrin ? Tu te rappelles qu'on n'est jamais allé sur la Lune. Coïncidence ?
[00:23:50] Speaker E: Du coup j'aurais bien mis un clip de Chip Terror pour qu'on en parle encore un peu, qu'il ait une vue sur YouTube. Mais vraiment, ils n'ont fait qu'un seul clip dans toute leur carrière et la qualité est vraiment des années 90.
[00:24:04] Speaker C: On peut pas mettre un bon clip de hardcore plutôt ?
[00:24:06] Speaker E: Bah si, du coup je propose en fait une micro-news où du coup Biohazard est rentré en studio pour leur album de retour avec vraiment le staff original et du coup je propose d'écouter un vieux Biohazard.
[00:24:19] Speaker B: Pour les punir ?
[00:24:19] Speaker E: Voilà.
[00:24:20] Speaker B: Oh putain. Là on a fait un doublé gagnant, merci bien. Non mais c'est un très bon choix et je me souviens déjà plus du nom du groupe. Pour le coup on va regarder ce bon clip dans une bonne auberge, Biohazard avec Punishment.
C'est bien.
[00:25:46] Speaker A: I question not me, it only happens to others I can't deny reality as life gets smarter.
[00:26:21] Speaker B: Why me ?
[00:26:22] Speaker A: My faith has been defiled Black or white, am I better off dead ? Punishment ! For all my sins ! A burning thought into my mind Have me full of pity for all the human kind Have me pulled far, before I'm left behind Fear of death, will my life go on ? Control fate, on the corner rolling dice Punishment ! Bonne nuit ! C'est parti !
[00:28:53] Speaker C: C'est.
[00:28:59] Speaker B: Dans la puissance de mon corps ! Bon moi je suis pas musclé comme eux. Par contre j'ai le bidon de la bière qu'ils ont. Ça je l'ai bien, il est là. Biohazard pour les grands souvenirs est choisi par notre éternel Didi qui nous fait les news tous les dimanches. On est heureux et heureux de te voir.
[00:29:13] Speaker C: Tu es tellement mignon ! Mon petit Poupon !
[00:29:15] Speaker B: Est-ce que tu crois que je peux l'appeler Poupon ?
[00:29:16] Speaker E: T'en veux pour l'autre ? C'est moi le nouveau Poupon ?
[00:29:19] Speaker B: Bah oui ! C'est beaucoup d'amour.
[00:29:22] Speaker C: On donne de l'amour aux poupons. Ils boivent le nouveau Poupy.
[00:29:26] Speaker E: Le chien pute ? Le chien de Pierre qui mettait du maquillage et qui se prostituait ?
[00:29:36] Speaker B: Pauvre Poupy.
[00:29:37] Speaker C: Certaines personnes n'ont pas connu cette époque, ne savaient pas tous les détails de Poupy.
[00:29:43] Speaker B: Oupie, t'es chaleureuse. Bon bref, on va passer aux news comme c'est catastrophe les gens.
[00:29:47] Speaker E: On enchaîne du coup avec...
[00:29:48] Speaker B: On enchaîne ! T'as compris ?
[00:29:49] Speaker C: Ouais, ouais. Attends, on refait.
[00:29:51] Speaker B: Ah pardon.
[00:29:52] Speaker E: On enchaîne. On enchaîne. T'es content ?
[00:29:55] Speaker B: Ouais, merci.
[00:29:56] Speaker E: On enchaîne avec Alice in Chains et Shine Dawn qui sont parmi les artistes qui sont un peu dans la sauce en ce moment. Encore ? Suite à un nouveau rapport sur la façon dont les millions de dollars de fonds de secours Covid-19 ont été réellement dépensés.
[00:30:11] Speaker C: Ah.
Ça j'ai vu, il y a beaucoup de choses qui sont en train de sortir sur tout ça, dans tous les domaines. Pas que dans la musique, partout ! Ah il y en a, apparemment ils ont pu s'acheter des maisons.
[00:30:25] Speaker E: Là, c'est un peu ça, c'est qu'en gros, il n'y a rien d'illégal qui a été commis, mais il y a un léger problème moral. C'est qu'en gros, il n'y a pas que, il y a plein de rappeurs qui sont dans l'eau aussi. Il y a plein de gens qui ont demandé à l'époque du Covid, du coup, qu'on les aide, genre notamment Sleep Note avec le NoteFest, du coup, pour payer les gens, tout le staff.
Et là, il y a certains qui prétendent que ces fonds ont été utilisés pour entretenir le personnel, mais les artistes n'étaient pas tenus de le faire. En fait, ils pouvaient demander l'argent, mais ne pas payer les gens. Et il n'y a aucun moyen de déterminer comment ces chèques en blanc ont été utilisés. Alors là, il y a un rapport qui a été récemment publié par nos confrères de Business Insider.
[00:31:10] Speaker C: On les salue, on travaillait étroitement avec eux.
[00:31:13] Speaker E: Ça a fait la lumière sur au moins une partie de ces fonds, citant des documents comptables qui ont été vérifiés.
Pour les rappeurs, j'ai plus les noms, mais les mecs... Piddidi, est-ce qu'il est dedans ? Non, mais ils ont organisé des méga-fêtes avec hélicoptères et tout, des trucs de malade.
[00:31:30] Speaker B: Ils ont organisé des fêtes avec des hélicos payés par le Covid.
[00:31:32] Speaker C: Est-ce qu'il y avait de la baby oil avec du GHB dedans ?
[00:31:35] Speaker B: Oh, quel horreur, mon dieu.
[00:31:37] Speaker C: Bon, ça ne t'est jamais arrivé, Pierre ? Tu m'as dit que t'adorais ça ?
[00:31:40] Speaker B: Ah, le consommé ?
[00:31:41] Speaker C: Tu m'as dit, moi j'ai passé des soirées avec PDD, c'était incroyable.
[00:31:45] Speaker E: C'était pas le même, tu confonds.
[00:31:46] Speaker C: Ah, j'ai pas bien compris.
[00:31:47] Speaker B: Avec DPD, c'est pas pareil. C'est le transporteur. Le fameux.
[00:31:53] Speaker E: En ce qui concerne.
[00:31:54] Speaker C: Sacrée caisse.
[00:31:56] Speaker E: Bon, vous me dites quand je peux continuer.
[00:31:58] Speaker B: Oh, ça va, et oh, faut rigoler entre nous, non ?
[00:32:00] Speaker C: Eh, pardon, c'est Noël, on a le droit de rigoler.
[00:32:01] Speaker B: Voilà, gling, gling, gling, gling, gling, gling, gling.
[00:32:03] Speaker C: Ah, vive les boules.
[00:32:05] Speaker E: Alors, Alice in Chains.
[00:32:06] Speaker B: Bon, ils ont volé des thunes, ok.
[00:32:08] Speaker E: Non, c'est pas qu'ils ont volé, c'est qu'ils ont reçu des subventions importantes.
[00:32:11] Speaker C: Moi, j'ai ma petite idée.
[00:32:13] Speaker E: Donc, Jerry Cantrell et Sean Kiney, ils ont reçu chacun 1,4 million. 1,4 million ? Pendant que Mike Hynes, lui, il a reçu que 682 000 dollars. Donc, je pense que lui, il ne doit pas composer.
[00:32:25] Speaker C: C'est le batteur, Shane Machin.
[00:32:27] Speaker E: Mais sur 4,1 millions de dollars alloués à la masse salariale, 3,4 millions étaient versés à ces trois musiciens.
[00:32:36] Speaker C: Mais comment ils ont récolté autant d'argent ? Surtout aux Etats-Unis.
[00:32:41] Speaker E: Qui a donné ? Le gouvernement américain.
[00:32:47] Speaker C: On devrait vraiment s'installer aux Etats-Unis.
[00:32:49] Speaker E: Et cette subvention a été accordée alors que le groupe avait enregistré à approximativement 48 millions de dollars de revenus grâce à la vente de leur catalogue. La même année. Et sans parler de la vente des produits dérivés, hautes distributions et bénéfices de 2022. Donc ils réclament de l'argent alors qu'il vient de se faire quasiment 50 millions de dollars.
[00:33:06] Speaker C: Ouais mais tu sais, ça coûte cher de vivre à Seattle. Les prises ont augmenté. Et la choucroute est très très chère là-bas. Parce que ça ne se produit pas localement. Ils sont obligés de l'importer.
D'Alsace.
[00:33:20] Speaker B: De où ?
[00:33:21] Speaker E: De Alsace.
[00:33:21] Speaker B: La ville ?
[00:33:25] Speaker E: Le truc, c'est que le groupe a dépensé une toute partie de l'argent pour payer son personnel et les entreprises externes, genre l'élocation de matos et tout ça.
[00:33:32] Speaker B: Bon, il y a un petit peu de bien, donc.
[00:33:34] Speaker E: Et le peu qu'ils ont utilisé, c'était un peu pour payer les gens, mais ils n'ont pas, par exemple, payé d'assurance maladie à leur personnel. Et ce qu'il faut savoir, c'est que Scott Dash Roden, qui est technicien de guitare et photographe de tournée pour le groupe, il a chopé le cancer. Il a eu le diagnostic fin 2022. Il n'a pas d'assurance maladie.
Et bien que le chanteur du groupe ait dit « Non, non, mais on l'a aidé en coulisses ». En vrai, il y a une source qui indique qu'en gros, il n'a reçu aucun argent. On lui a juste donné le contact d'une association caricative en disant « Vous avez que Peter Kitedron ».
[00:34:08] Speaker B: C'est horrible !
[00:34:09] Speaker E: Il est mort peu de temps après.
[00:34:10] Speaker C: Non, il est mort. Je voulais faire une blague sur le fait de « cancer, cancer ». Tu vois, coulisses. Il y avait plein de blagues. Mais là, du coup, s'il est mort, ce n'est pas drôle.
[00:34:20] Speaker E: Et du coup, alors étrangement, les attachés de presse et les managers d'Alice in Chains, ils répondent pas aux questions, aux demandes de commentaires sur le sujet. On se demande pourquoi. Shindon, c'est un peu pareil, c'est 3 des 4 membres du groupe, ils ont partagé au moins 2,5 millions de dollars sur les 8,3 millions de subventions qui leur ont été versées. D'où ils ont 8 millions, Shindon ?
[00:34:42] Speaker C: Aux Etats-Unis, ça marche mieux que chez nous, mais bon, ça reste tout de même...
[00:34:45] Speaker E: Eux, ils se sont versés 2,5 millions sur les 8 qu'ils ont touchés. Mais après, dans ce qui restait, il y avait du coup... Alors ça, il y a une partie pour le matos, il y a une partie pour les salaires. Dans la partie pour le salaire, on mérite un salaire, nous aussi. Donc ils ont repris encore là.
Ils ont repris 100 000 dollars chacun.
Et alors ce qu'il faut savoir c'est que du coup sur les 15 membres du staff, groupes inclus, qui ont touché de l'argent, donc en gros les membres du staff ils sont partagés 650 000 dollars à 15, sachant que les membres de groupe, enfin ça reste moins que ce que a touché un membre de groupe.
[00:35:20] Speaker B: En vrai, il y a quand même une partie là qui est partie dans ce... Ça m'a l'air moins dégueulasse que l'histoire d'Alice in Chains, quand même.
[00:35:26] Speaker E: C'est ce qu'on disait, c'est que c'est rien d'illégal, mais c'est pas épermoral. Tu demandes de l'argent pour t'aider à survivre, et en fait, tu payes pas vraiment l'argent.
[00:35:33] Speaker C: Et puis c'est un mec mourir d'un.
[00:35:33] Speaker B: Cancer, oui, c'est vrai que c'est pas très...
[00:35:34] Speaker C: Après, c'est pas facile de survivre quand t'as que quelques millions.
Franchement, tu sais, la choucroute, ça coûte très cher.
Non, mais après, ça se demandait s'ils ont aidé certains chanteurs de certains groupes quand ils allaient mal.
Si vous voyez ce que je veux dire.
[00:35:51] Speaker E: En plus moi je pense que cet argent est parti dans les écrans plats mais bon...
[00:35:55] Speaker B: Je ne suis pas sûr, je ne dirais pas que c'est parti dans les écrans plats mais par contre ils ont laissé crever un mec donc c'est quand même pas fameux ça.
[00:36:01] Speaker E: Est-ce qu'on se ferait pas un petit What's the System Of Done ? On a une petite news voici.
[00:36:08] Speaker C: Ah bah alors ! Ah bah là, si on a le droit d'être le voici du métal...
[00:36:11] Speaker E: Alors attention...
[00:36:12] Speaker B: Le voici ! Le voici !
[00:36:14] Speaker E: Alors par contre, attention, trigger warning, pour les gens qui aiment pas les trucs sur le pipi, arrêtez d'écouter pendant 5 minutes.
[00:36:21] Speaker C: C'est un rapport avec la chanson Sweet Pea ?
[00:36:24] Speaker E: C'est ce que j'ai mis sur les vignettes pour Youtube mais... Et on reste en plus avec le voici de la semaine dernière, on reste sur MGK.
[00:36:32] Speaker C: Mjk dans le caca.
[00:36:34] Speaker E: Et donc en fait c'est la star de cinéma pour adultes Amia Maile qui a fait une déclaration intéressante à propos de son ex-petite amie Machine Gun Kelly. Elle est sortie avec lui il y a environ 8 ans et affirmait qu'un jour il a bu son urine lors d'un rendez-vous.
[00:36:48] Speaker C: Son urine à elle ou à lui ?
[00:36:49] Speaker E: Et là je vais vous expliquer ce qui s'est passé.
[00:36:51] Speaker B: Alors attends parce que là je m'installe parce que ça m'intéresse.
[00:36:55] Speaker E: Alors attention, installation ! Je pense qu'elle est new-yorkaise, donc je vais faire l'accent new-yorkais. Alors, nous sommes arrivés chez lui et il m'a dit « Va prendre une douche ! » Et j'ai répondu « Mais non, j'ai pas besoin d'une douche ! » Mais je l'ai fait. Ensuite, il a formé une coupe avec ses mains et il m'a dit… Attends.
[00:37:11] Speaker C: On peut déjà faire une petite pause.
[00:37:13] Speaker B: C'est déjà une histoire intéressante.
[00:37:15] Speaker C: Déjà, c'est… elle est… quand même… Bon. Déjà, il faut se poser une question.
[00:37:21] Speaker B: Elle pue.
[00:37:22] Speaker C: Tu crois que c'est ça ?
[00:37:24] Speaker B: Bah va prendre une douche quand t'arrives, c'est quand même pas très agréable. Tu rencontres quelqu'un, coucou, je t'aime, mais prends une douche quand même.
[00:37:29] Speaker C: Non mais si c'est pour boire son pipi après, j'ai envie de te dire...
[00:37:31] Speaker B: Ouais mais ils ont fait ça pour la douche.
[00:37:33] Speaker C: Attends, attends.
[00:37:34] Speaker E: Va prendre une douche. J'ai répondu non, j'ai pas besoin de douche, mais je l'ai fait. Ensuite, il a formé une coupe avec ses mains, et il m'a dit, ok maintenant fais pipi. Puis il a commencé à tout mettre dans sa bouche.
Alors, Miley a affirmé qu'il n'avait plus fait rien de sexuel après ça.
Et du coup elle rajoutait « peut-être qu'il n'aimait pas le goût et que ça l'a dégoûté ».
[00:37:56] Speaker C: Ah ouais, peut-être qu'il ne fallait pas goûter pour ne pas être dégoûté. Peut-être c'est juste qu'il ne voulait que ça.
[00:38:02] Speaker E: Peut-être qu'il ne savait pas comment la larguer et du coup il s'est dit « tiens, je vais boire sa pisse et après je vais lui dire qu'elle me dégoûte ».
[00:38:08] Speaker B: Ah bah oui, sûrement.
[00:38:11] Speaker C: C'est vrai que c'est le plan le.
[00:38:12] Speaker B: Plus simple qui me vient à l'esprit.
[00:38:14] Speaker E: Parce qu'elle explique que vraiment après ils.
[00:38:16] Speaker C: Ont plus jamais canon. Peut-être qu'il a un fétiche sur ça et elle avait pas... Moi je connais un ami qui m'a... Je dirais pas qui... Mais il m'a parlé de toute une histoire avec le Judas Nanas.
Et apparemment, il était assez strict là-dessus. Il disait, attention, si ça n'a pas le bon goût, moi, je m'en vais.
[00:38:39] Speaker B: Oui, mais cette personne, j'ai l'impression que ce n'était pas de pisse qu'elle parlait.
[00:38:42] Speaker C: Non, mais c'est le même principe.
[00:38:44] Speaker B: Après, il y a un peu plus.
[00:38:45] Speaker C: De protéines et c'est de boire des sécrétions. À un moment, c'est la même chose.
[00:38:50] Speaker B: Bon, passons.
[00:38:52] Speaker E: Elle a quand même rajouté, pour finir sur une touche vraiment voici.
[00:38:56] Speaker C: En plus, jusqu'ici c'était un peu border.
[00:38:59] Speaker E: C'était un peu border, mais bon, elle a laissé entendre qu'il s'était reconnecté un peu, il y a quelques années, alors qu'il était déjà avec Megan Fox. Et que c'est peut-être lié, c'est peut-être des messages à elle qu'elle a vus sur son téléphone, peut-être des photos de son pipi ou je sais pas.
[00:39:18] Speaker B: Mais n'empêche, comme tu dis, ça se trouve, c'est son kink, c'est son délire, mais il n'avait jamais osé en parler, il l'a fait là et en fait.
[00:39:24] Speaker E: Depuis, il était traqué. Ah bah non, finalement, c'est pas ça.
[00:39:27] Speaker C: Non mais je pense qu'il faut qu'il...
[00:39:28] Speaker B: Bah non, il n'a pas été dégoûté, c'est juste qu'il s'est dégoûté de l'avoir fait devant quelqu'un qui peut le raconter.
[00:39:32] Speaker E: Parce qu'après, on ne juge aucun kink. Non, on le juge.
[00:39:34] Speaker B: C'est ce qu'il veut.
[00:39:35] Speaker E: Mais alors les kinks des gens, les gens font ce qu'ils veulent.
[00:39:39] Speaker C: Non, mais tu sais, Pierre, t'as remarqué quand tu promènes un chien, Bon, je dis pas que Machine Gun Kelly... Mais le chien, il renifle toutes les traces de pipi jusqu'à choisir celle... Il fait « Ah ! Celle-là, là c'est bon ! » Non, et après il fait pipi par-dessus. Peut-être que Machine Gun Kelly, c'est pareil. Il a besoin de goûter les pipis pour savoir qui est compatible avec lui.
[00:39:59] Speaker E: Du coup, est-ce que Machine Gun Kelly est un soupeur ? Est-ce que lors de son prochain concert de Paris, est-ce que Machine Gun Kelly va rejoindre les croutards de Gare du Nord ?
[00:40:08] Speaker C: Est-ce que lors des manifestations, Machine Gun Kelly va poser des gobelets ?
[00:40:11] Speaker B: J'ai vu les vidéos !
[00:40:14] Speaker E: Faites vos recherches sur YouTube, on ne le mettra pas, nous.
[00:40:17] Speaker C: Non, ça c'est sûr.
[00:40:18] Speaker E: On enchaîne avec une dernière news.
[00:40:19] Speaker B: Bah oui, vas-y, vas-y.
[00:40:21] Speaker E: Alors, en fait, il y a un catcheur professionnel, un tout nouveau catcheur, qui est un génie, qui se fait appeler Steven Flo, et c'est un hommage au grunge, c'est l'hommage au grunge que les enfants des années 90 espéraient. Moi, quand je l'ai vu, j'ai pleuré de rire et de bonheur. Donc, il y a beaucoup de groupes de rock qui ont inspiré le catch.
[00:40:42] Speaker C: Oui.
[00:40:43] Speaker E: Mais on pensait pas que Pearl Jam, c'est quand même pas tout à fait les mêmes valeurs.
[00:40:49] Speaker C: Après, j'ai quand même le souvenir de Celebrity Deathmatch sur la TV où il y avait le chanteur de Creed contre Eddie Vedder.
[00:40:57] Speaker E: Mais c'était un truc parodique. Là, ça reste aussi parodique. Mais donc, t'as vraiment un look grunge, avec chemise à carreaux, guitare, c'est vraiment fantastique. Et il rentre sur scène avec une parodie du titre de Pearl Jam, sauf que c'est son nom en lui qui est répété en boucle. Alors, j'ai pas trouvé, parce qu'il a combattu le week-end dernier, j'ai pas trouvé d'image où on ferait pas striker, mais j'ai la bande-annonce de la création de son personnage, donc je vous propose qu'on regarde ça.
Et c'est mon cadeau de Noël pour vous et pour les gens.
[00:41:32] Speaker C: J'ai hâte, on y va ?
[00:41:40] Speaker A: Bah oui ! Oui, c'est bon !
[00:42:22] Speaker B: Stéphane Flo !
[00:42:23] Speaker E: Stéphane Flo !
[00:42:24] Speaker B: Stéphane Flo !
[00:42:26] Speaker C: Stéphane Flo !
[00:42:26] Speaker B: C'est énorme !
[00:42:27] Speaker C: Il a complètement le look de... D'Eddy Vedder !
[00:42:31] Speaker B: Cette fameuse chemise, mais avec un t-shirt. T'as une chemise quand même autour de la taille.
[00:42:35] Speaker C: Il manque le pantalon sous le short. C'est pas faux !
[00:42:39] Speaker E: Je pense que s'il refait d'autres matchs, il y a moyen de... Pour moi c'est du génie pur. Et l'autre gars il a un pur flow !
[00:42:45] Speaker B: T'as pété rien ?
[00:42:50] Speaker C: Je t'ai entendu.
[00:42:52] Speaker B: Non j'ai pas pété.
[00:42:52] Speaker C: Ah bah si, je t'ai entendu péter.
[00:42:53] Speaker B: Alors on peut pas m'entendre péter.
[00:42:55] Speaker E: Pierre, je t'ai entendu moi aussi.
[00:42:57] Speaker B: On peut pas m'entendre péter. J'ai pété de la bouche.
[00:43:00] Speaker C: The Hu !
[00:43:01] Speaker B: Bah oui ! Tout le secret de ce groupe.
Merci pour cette investigation.
[00:43:08] Speaker E: C'était les dernières news de l'année. Je voulais bien terminer avec ça.
[00:43:13] Speaker C: C'est la meilleure fin qu'on pouvait espérer.
[00:43:16] Speaker B: Et c'est pour ça qu'on va applaudir Didi !
[00:43:17] Speaker C: Chez vous s'il vous plaît, applaudissez Didi.
[00:43:19] Speaker B: Pour toutes ses news ! Laissez-lui des tonnes de messages sous la VOD de bon anniversaire.
[00:43:25] Speaker E: Insultez-nous sur YouTube, je vous répondrai.
Allez-y les trolls.
[00:43:31] Speaker B: Non, non, mais merci, merci beaucoup pour cette année 2025. Djenko Yebarzo pour toutes ces informations délicieusement trouvées. Et tu nous as apporté vraiment toute cette lumière. Tu es beau, tu es un poupon.
[00:43:43] Speaker C: Djenko Yebarzo.
Il n'a pas pu le placer avant.
[00:43:46] Speaker E: Parce qu'il a fait que lui-même.
[00:43:47] Speaker B: C'est deux personnes ?
[00:43:48] Speaker C: Non, c'est trois.
Jean, Couille et Barjot.
[00:43:54] Speaker E: Bon en tout cas je propose qu'on écoute vraiment Yvonne Flo maintenant de Pearl Jam.
[00:43:58] Speaker C: Ouais parce que c'est une bonne chanson.
[00:43:59] Speaker E: C'est vrai que ça donne envie.
[00:44:00] Speaker B: C'est vrai qu'on a envie tout de suite.
[00:44:02] Speaker E: Mais du coup ça me donne envie de voir Eddie Vedder se battre à nouveau maintenant. Je vais peut-être regarder Celebrity Deathmatch.
[00:44:07] Speaker B: Ouais parce que si tu le regardes aujourd'hui on dirait plus une vieille mamie qui va faire du tricot en fonction de son jardin.
[00:44:12] Speaker C: L'avantage c'est que maintenant elle a des bouteilles de vin pour ça.
[00:44:13] Speaker E: Des bouteilles de vin connard ! Elle peut prendre des télésons de bouteille.
[00:44:19] Speaker B: Bon bah très bien, c'est parti pour ce petit Pearl Jam alors.
[00:44:53] Speaker A: C'est.
[00:45:21] Speaker B: On peut les abîmer, l'autisme, c'est...
[00:45:51] Speaker A: Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah.
[00:46:05] Speaker B: Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah.
[00:46:06] Speaker A: Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, The weather of a winner gone its way, yeah.
[00:49:35] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté.
[00:49:38] Speaker C: D'Amara.Org.
[00:49:58] Speaker A: I swore an oath to myself I would never break The burning blood I picked, take it to the grave I lit the spark, you lit the flame Circle me, watch it burn It's the only protection I have.
[00:52:13] Speaker B: C'est la.
[00:52:14] Speaker A: Fin du monde ! J'ai fait tout pour moi-même, je n'aurai jamais peur J'ai pris du sang, j'ai.
[00:52:44] Speaker B: Pris de l'alcool, j'ai pris la grève.
[00:53:33] Speaker A: C'est la fin de cette vidéo !
[00:54:35] Speaker B: Bang bang, le meilleur du métal avec Alain Stan, ça s'appelle comment ? Alors je vais dire ma petite fiche, Silosis, avec le titre « The Path » est en featuring Déby Gougue, enfin Déby, Déby voilà, ça s'appelle Déby, c'est bien son prénom ça suffit, on n'a pas besoin d'avoir son nom, c'est tout simplement la chanteuse-guitariste de Hériot.
Voilà, un beau featuring, une chanson un peu violente quand même.
[00:54:55] Speaker C: Oh c'est violent.
[00:54:56] Speaker B: Je t'aime dis donc.
[00:54:57] Speaker C: Par contre Déby elle y va mollo.
[00:54:59] Speaker B: Plus que dans Hériot, c'est vrai qu'elle est plus délicate.
[00:55:01] Speaker C: Déby mollo.
Le débit n'est pas si... Putain, et.
[00:55:06] Speaker B: C'Est vraiment Noël, c'est-à-dire c'est un ensemble de cadeaux offerts par Ben ce soir.
[00:55:12] Speaker C: Noël ensemble.
Noël, j'espère que vous l'avez tous dans la tête. On s'en passait Noël.
[00:55:19] Speaker B: Ah putain, la dernière tu l'avais passée en boucle. Je m'en souviens, c'était un enfant. Tu l'avais passée, je te le dis, tu l'avais passée comme ça et tu l'avais repassée. Et comme ça avec ton fer. Voilà, très bien. Superbe blague. Alors, comme je vous l'avais annoncé en tout début d'émission, nous allons recevoir deux personnes.
[00:55:35] Speaker C: En parlant de repassage.
[00:55:37] Speaker B: Oh putain, quel horreur.
Je t'ai dit que je ne vais.
[00:55:39] Speaker C: Pas pouvoir m'en empêcher.
[00:55:40] Speaker B: Il n'y a rien qui va aller dans cette émission. C'est pas moi, je suis innocente. Bah écoute, du coup, comme tout le monde doit être soi... Ah t'as choisi ton camp ! Non mais voilà, nous allons applaudir ensemble. J'aimerais que chez vous, tranquillement, vous vous leviez. Voilà, vous êtes sur ton fauteuil, le canapé là-dedans. Mémé, il est à côté de la table, on s'en fout.
[00:56:01] Speaker C: On vire le chat s'il est sur ton genou.
[00:56:03] Speaker B: Voilà, vous vous levez tranquillement parce qu'il va falloir faire une haie d'honneur pour nos deux invités. Amélie et Gladys, bonsoir ! Bienvenue mesdames !
[00:56:16] Speaker C: Attendez, attendez, j'ai pas ouvert leur micro.
[00:56:18] Speaker B: Bienvenue mesdames ! Merci !
[00:56:21] Speaker C: Je pensais qu'elles allaient pas dire un truc intéressant, alors j'avais peur. Je vais arrêter là les blagues.
[00:56:26] Speaker F: On va y aller en repassage.
[00:56:27] Speaker B: Ça va, on va se faire démonter, mais en même temps ce sont des blagues.
[00:56:30] Speaker C: En même temps toi t'as l'habitude ?
[00:56:32] Speaker B: J'avais.
Ça fait un petit moment.
Mais je n'aime que les gros pénistes, ça c'est une certitude.
[00:56:37] Speaker C: Voilà, donc n'hésitez pas. Si vous êtes quelqu'un un gros péniste, n'hésitez surtout pas. On a fait un appel pour avoir des filles qui rejoignent l'équipe. On en a. Donc si vous avez...
[00:56:46] Speaker B: Si vous voulez travailler avec moi. Si vous voulez me travailler. Voilà.
[00:56:52] Speaker C: Si vous aimez le point soleil.
[00:56:57] Speaker B: Oui, enfin naturel, je n'aime pas le faux point soleil.
[00:57:00] Speaker C: Ah pardon, monsieur est exigeant.
[00:57:03] Speaker B: Bon c'est vrai que n'importe qui finalement... Bon arrêtons de parler de toi là.
[00:57:07] Speaker C: On a des invités.
[00:57:08] Speaker B: Bon mesdames, ce soir vous allez devoir répondre à mes questions, vous connaissez un petit peu le principe de l'émission je suppose.
[00:57:15] Speaker C: Alors par contre faut répondre, ça c'est vraiment le principe de l'émission.
[00:57:19] Speaker B: Peut-être ça marche mais la voix c'est mieux. Parce qu'il y a un podcast derrière aussi donc ils ont pas tout le temps l'image. Non mais voilà, vous êtes ici parce que vous avez répondu à un appel, celui de devenir chroniqueuse ou d'intervenir dans Bang Bang. Donc on va voir comment ça va se passer ce soir.
[00:57:35] Speaker F: L'audition.
[00:57:36] Speaker B: Oui !
[00:57:38] Speaker F: Par contre c'est pas à l'aveugle.
[00:57:40] Speaker B: Vigilemment. Non mais bon...
Non bon ça va aller.
[00:57:45] Speaker C: Bah oui je pense.
[00:57:46] Speaker B: Bon ce titre là silosiste.
[00:57:47] Speaker C: On n'est pas dans The Voice parce qu'en fait on n'a pas le budget pour faire des trucs qui retournent donc désolé. On va être obligés de le faire comme ça.
[00:57:54] Speaker B: On peut faire comme ça.
[00:57:55] Speaker F: C'est vraiment marrant que le canapé il se retourne.
[00:58:02] Speaker B: Tout le monde s'est retourné sur ce canapé par contre.
[00:58:05] Speaker C: Il y a aussi des gens qui se sont fait retourner sur ce canapé.
[00:58:07] Speaker B: Faire un bisou à... Non, je peux pas dire son prénom, on m'a dit la prochaine fois que tu refais allusion à moi sur ce canapé, je t'éclate.
[00:58:12] Speaker C: Tu parles de Béassan ?
[00:58:13] Speaker B: Pardon.
[00:58:13] Speaker C: Voilà, comme ça on a deux nouveaux ennemis.
[00:58:21] Speaker B: Si l'Odyssée a été choisie par toi il me semble Amélie. Ouais.
[00:58:25] Speaker F: Pourquoi ? Parce qu'il fallait choisir un clip.
[00:58:28] Speaker B: Oui, alors ça c'est une première bonne réponse.
[00:58:31] Speaker C: Franchement...
Elle se débrouille bien la petite.
[00:58:34] Speaker B: Je me suis déjà fait vanner par les deux 40 fois hors antenne donc ça veut dire qu'on s'entend déjà bien.
[00:58:39] Speaker C: Je crois que ça va.
[00:58:41] Speaker F: Non parce qu'en fait du coup j'ai pensé à Bleed From Within qui sont passés en première partie de Slipknot la semaine dernière et donc du coup j'ai pensé à ce batteur là Ali, je sais plus son nom de famille, qui joue aussi dans Silosis.
[00:58:56] Speaker B: D'accord.
[00:58:56] Speaker F: Et j'ai vu qu'ils avaient sorti ce nouveau clip.
[00:58:58] Speaker B: En vrai, je suis pas sûr qu'on ait déjà passé du silosisant, parce que.
[00:59:01] Speaker C: Ça ne me disait rien.
[00:59:03] Speaker B: Donc voilà, première, bravo. Si je comprends bien, t'as mis à la musique tabasse ?
[00:59:08] Speaker F: Oh ouais.
[00:59:08] Speaker B: C'est quoi plutôt ton genre de goût ?
[00:59:11] Speaker F: On dirait un panel.
[00:59:15] Speaker C: Ça dépend, souvent c'est fraises, vanille, mais après une fois c'est vanille chocolat.
Ah non, vous parlez des goûts ludicaux ?
[00:59:22] Speaker B: J'ai trop envie de manger des glaces en ce moment horrible. Bah oui c'est normal, il fait chaud. Bah écoutez je marche à l'envers, vous avez compris que bon...
[00:59:33] Speaker C: Bon allez, pardon, c'est Gravisico donc.
[00:59:35] Speaker F: Du coup ça va être du Metalcore, ça va être parfois du Death, Synthwave, enfin c'est surtout quand c'est un groupe qui a un style un peu différent, qui change, qui mélange des choses aussi, j'adore genre Igor, qui font des trucs un peu des mix, des fois ça peut être du Trap Metal, enfin j'aime bien, j'aime beaucoup quand il y a des choses qui sortent de l'ordinaire quoi.
[00:59:58] Speaker B: Bon le point commun entre vous deux par contre c'est que vous aimez les trucs bizarres.
Je vais parler musicalement attention, le reste ne me regarde pas. Qu'est-ce que tu fais dans la vie comme travail ?
[01:00:13] Speaker F: Alors moi je fais des costumes pour des groupes de musique. Enfin à la base je faisais des costumes pour des shootings photos et ça s'est décliné en groupe de musique parce que mon univers est assez sombre et ça correspond pas mal quand même aux groupes de métal. Je fais pas du costume d'époque, je fais plutôt des coiffes.
[01:00:29] Speaker B: Je me suis vu en Marie-Antoinette, je sais pas pourquoi. Bref j'ai toujours rêvé.
[01:00:33] Speaker C: C'est drôle parce que j'ai su.
Avec le truc sur la tête et la robe.
[01:00:42] Speaker B: J'adorerais organiser une soirée Q, excusez-moi, pas avec les gens que je connais mais les gens que je connais pas.
Bon d'accord, on y va, continue.
[01:00:54] Speaker C: Donc voilà. C'est les gens qui savent pas. Tout sur toi.
[01:00:58] Speaker B: Bien que tu le répètes quand même.
[01:00:59] Speaker C: Globalement, à tout le monde. Mais les gens qui savent pas, ils vont dire, ils reçoivent des meufs et ils disent, j'imagine les soirées Q.
[01:01:07] Speaker B: J'ai dit 100 les gens que je connais, mais on se connaît maintenant.
[01:01:10] Speaker C: Oui mais bon.
[01:01:11] Speaker B: Bah je t'inviterais pas non plus.
[01:01:12] Speaker C: Ah bon ?
[01:01:13] Speaker B: Ah bah génial ! Donc oui.
[01:01:17] Speaker C: Donc tu fais des costumes, pas des costumes d'époque, plutôt des costumes.
[01:01:23] Speaker E: Je suis.
[01:01:23] Speaker F: Très inspirée de Giger, j'adore ce qu'il faisait, Alien, tout ça, et je fais des coiffes, des masques, des tenues complètes aussi, pour femmes, pour hommes, ça va être surtout pour les clips, les clips vidéos quand il y a une partie un peu historique, enfin histoire, et sinon pour la scène, voilà.
[01:01:42] Speaker B: T'as mis des trucs qui font peur ? Ouais. J'essaie de... Ça va leur faire un.
[01:01:46] Speaker C: Plan commun ça je crois.
[01:01:50] Speaker B: Mais ok ok, c'est ton travail, c'est quand même chouette comme travail.
[01:01:53] Speaker F: Ouais, alors je travaille aussi à côté dans la mode où je fais du modélisme, pas les petits avions.
[01:02:00] Speaker B: La vanne d'antenne.
[01:02:01] Speaker C: Modélisme, tu peux expliquer ce que c'est pour les gens ?
[01:02:03] Speaker B: Parce que moi je ne sais absolument pas ce que c'est en vrai.
[01:02:05] Speaker F: En gros le modélisme, ça n'a rien à voir avec les avions et les petites figurines, c'est dans la mode en tout cas c'est en gros c'est comme un travail de sculpture on va dire sur mannequin avec le tissu. Le styliste va faire le dessin, il va me donner le dessin et moi je vais essayer de trouver la forme.
[01:02:21] Speaker B: Tu construis sur la personne ?
[01:02:22] Speaker F: Sur le mannequin en bois.
Pas directement sur l'album. Donc ouais je fais ça et puis je fais faire aussi le montage donc des fois je fais aussi on dit premièrement dans la haute couture parce que c'est des termes un peu différents entre prête à porter et haute couture mais voilà.
[01:02:41] Speaker C: C'Est faire passer la forme mais c'est aussi trouver comment on découpe le tissu et tout ça quoi.
[01:02:45] Speaker F: C'est tout le côté technique du vêtement. Enfin le modélisme c'est le côté technique du vêtement mais sans le côté finition on va dire. C'est vraiment la construction en tout cas du modèle pour que ça tombe bien. Et puis en fait dans la haute couture c'est du sur-mesure donc on fait le mannequin, on le remboure aux formes de la personne. Et c'est intéressant parce que du coup on voit des volumes vraiment différents.
[01:03:07] Speaker B: Tu savais même pas qu'on pouvait faire ça ? Non mais je ne savais vraiment pas pourquoi il y avait un mannequin en bois et puis après quand la personne est là tu réadaptes sur la personne vivante.
[01:03:15] Speaker F: Ça c'est la finition. En fait haute couture c'est vraiment sur mesure 100% après ta portée c'est un peu différent parce que on a une taille de base et après c'est des choses de la gradation en fait on décline les tailles donc ça se fait soit sur des logiciels spécialisés là dessus ou sinon avant on le faisait à la main ça se fait de moins en moins à la main mais Ok.
[01:03:36] Speaker B: T'As fait des études pour ça ? C'est quoi qu'il faut faire comme études ?
[01:03:40] Speaker F: Alors t'as plusieurs types d'études. Moi j'avais fait un... à la base j'ai pas fait directement ça, j'ai plutôt fait des études artistiques avant. Et la couture c'est revenu... je sais pas, c'est revenu à un moment où je me suis dit bon bah j'ai envie de faire une formation là dedans. Du coup j'ai fait un BEP métier de la mode mais...
j'avais déjà fait un bac à rappliquer les beaux-arts et tout ça, donc du coup j'ai fait ça que en un an où j'avais vraiment que les cours de couture et tout ça, ce qui était bien parce que j'avais pas envie de refaire des cours de français...
[01:04:08] Speaker B: Tu m'étonnes ! Le truc que tu fuis le plus vite possible.
[01:04:13] Speaker F: Donc du coup ça m'a bien arrangé et puis c'était hyper intéressant et du coup ben voilà après je me suis enfin je me suis d'abord lancé un peu inconsciemment. À l'aventure toute seule ? Ouais voilà je me suis mise à mon compte où je faisais à la base je faisais des corsets, des sacs mais des choses en petite série. J'étais vachement jeune à ce moment là donc j'avais pas ce truc de enfin l'entrepreneuriat c'est quand même quelque chose de particulier quoi.
je voulais juste faire mes accessoires et mes machins et puis je travaillais à côté, je faisais des petits boulots à droite à gauche mais voilà pour vivre au final c'est compliqué de développer ça et puis même au bout d'un moment j'en avais un peu marre de faire des petites séries puis derrière il faut les vendre, faire du stock.
[01:04:56] Speaker B: Ah c'est un boulot où il sait pas juste le faire ouais.
[01:05:01] Speaker C: Tu t'y connais toi ?
[01:05:03] Speaker B: Ben quand je fais mes petits sacs...
[01:05:06] Speaker F: Donc voilà et du coup après j'ai trouvé un boulot qui était vraiment dans la mode où j'ai démarré là-dedans où c'était plutôt... en fait c'était près de la portée de luxe mais c'était l'usine quoi, c'était genre à la Chanel. Donc j'ai démarré comme ça. C'était pas rigolo ? Non, c'était pas fun non. Enfin c'était intéressant sur le moment parce que ben La répétition, le fait de répéter les gestes, ça changeait à chaque modèle, donc du coup j'ai appris la technique aussi comme ça, mais au bout de deux ans je me faisais chier, j'avais envie de faire un vêtement entièrement et pas juste faire des poches pendant six mois.
[01:05:39] Speaker B: On peut comprendre, ça reste assez logique. Les gens sont méchants dans ce milieu-là ?
[01:05:46] Speaker F: Souvent on me dit ça.
[01:05:47] Speaker B: C'est l'image qu'on en a en fait avec la télé et tout.
[01:05:50] Speaker F: Bah je pense que ça dépend parce que moi je suis dans les ateliers, la partie atelier et ça dépend des boîtes. Oui c'est comme partout quoi. Ouais mais je pense que les gens ont cette image là plutôt des studios, je sais pas trop, j'ai l'impression que c'est un peu différent l'ambiance. Après le truc bah voilà la mode c'est Bah c'est, comment dire, on juge sur ce que tu fais, beaucoup. C'est vrai qu'il y a du jugement, mais bon après, enfin, je veux dire, ce que tu fais c'est pas qui.
[01:06:18] Speaker B: T'Es, donc...
Oui, oui, après il faut avoir quand même l'esprit solide j'imagine.
[01:06:22] Speaker F: Ouais, ouais, je sais pas.
[01:06:23] Speaker B: Bah en fait... Bah c'est des heures et des heures de travail !
[01:06:26] Speaker F: Oui bah après moi j'aime bien, enfin, c'est vrai que...
[01:06:29] Speaker C: J'aime bien quand je passe des heures à faire un truc et qu'on me dit que c'est de la merde. C'est vraiment ça, c'est mon petit plaisir.
[01:06:33] Speaker B: Il y a des gens comme ça, ça existe, donc pourquoi pas.
[01:06:36] Speaker C: On pense à MGK qui, lui, lui aussi...
[01:06:40] Speaker B: Voilà, chacun son truc !
[01:06:43] Speaker F: Non mais c'est plus... Bah en fait c'est que la mode c'est très speed et très...
En fait quand je suis arrivée sur Paris, j'ai fait de l'intérim directement. Je savais même pas qu'il y avait des agences d'intérim pour la mode. Et en fait, déjà il y a du travail tout le temps. Parce que là où j'étais avant, en Vendée et tout ça... Enfin Loire-Atlantique, Vendée... Enfin Loire-Atlantique il n'y a rien donc... Vendée il y a quelques...
[01:07:03] Speaker C: Il y a la Loire et l'Atlantique mais... Après ça c'est de l'eau quoi.
[01:07:09] Speaker B: Bah c'est quand même l'essentiel.
[01:07:11] Speaker C: Dans 20-30 ans il y en aura plus.
Celle-là, elle est pour Marcel, j'adore cette...
[01:07:18] Speaker F: Non mais voilà, et du coup, en arrivant sur Paris, c'est vrai que j'avais plus de choix que à la campagne.
T'avais deux, trois boîtes.
[01:07:28] Speaker B: Et il y a beaucoup de gens qui écoutent du métal dans la mode ? T'en as pas trop rencontré ?
[01:07:33] Speaker F: Pas trop, non.
[01:07:35] Speaker B: Non mais c'est vrai que c'est une question intéressante.
[01:07:37] Speaker C: C'est vrai que tu poses des questions intéressantes, Pierre.
[01:07:41] Speaker B: Non parce que quand t'es métalleux t'aimes bien, ça rassure toujours de trouver quelqu'un qui écoute la même musique. C'est le premier contact, c'est comme ça que tu fais un lien en coucou.
[01:07:51] Speaker F: Peut-être l'année dernière, je sais pas si j'ai le droit de dire des noms de marque.
[01:07:56] Speaker C: Sauf si toi t'as pas le droit de l'aider à compter actuellement.
[01:07:59] Speaker B: C'est les endroits où t'as travaillé, on dit pas qu'il faut aller là-bas les acheter, c'est juste les endroits où t'as travaillé, peut-être différent.
[01:08:05] Speaker F: L'année dernière j'étais chez Dior et justement il y a une collègue, je l'étais arrivée, je connaissais personne et tout, puis elle est venue me voir en parlant de musique et en fait elle écoutait un peu du rock, rock métal un peu et puis voilà c'est vrai que ça permet de sympathiser, elle m'a parlé du Motocultor, machin et tout.
[01:08:23] Speaker B: C'est un truc qui rassure dans le rock, dans le métal, plus que dans les autres musiques, non ? Je sais pas, j'ai un peu l'impression...
[01:08:30] Speaker C: Je sais pas, je suis pas dans les autres.
[01:08:33] Speaker B: C'est vrai, je parle moi non plus en ne sachant pas. Et c'est à partir de quel âge que t'as commencé à écouter des musiques un peu plus extrêmes ?
[01:08:42] Speaker F: Alors, j'ai commencé avec Goût de Charlotte.
[01:08:46] Speaker B: Ah oui, tu m'as dit que ce poster tu l'avais aussi.
[01:08:47] Speaker C: Le poster je l'avais.
[01:08:48] Speaker B: Je sais pas, on voit pas là. C'est sur là, regarde. Ah oui, là, juste là.
[01:08:54] Speaker C: Je crois que j'ai des crates de nez.
[01:08:56] Speaker B: Monsieur Madeleine. Monsieur Madeleine. On en revient au costume.
[01:09:00] Speaker C: On est des jumeaux, ah non !
[01:09:03] Speaker B: Donc oui, t'as commencé à les goûter Charlotte ?
[01:09:05] Speaker F: Ouais, bah j'avais vu un magazine, je sais pas, parce qu'à l'époque il y avait des magazines avec des CD et tout. Et j'avais vu un magazine, j'ai fait ah ils ont un look, ça m'a un peu attirée, je sais pas, je me suis dit ah c'est marrant et tout. Et j'avais demandé du coup à ma maman, est-ce que je peux le prendre et tout. Et ben voilà, il y avait un CD, donc il y avait ça et je sais plus trop ce qu'il y avait d'autre. Mais ouais, j'ai commencé avec ça et avec Evanescence aussi.
[01:09:29] Speaker C: Moi c'est ce qui m'a amené à la vie.
[01:09:36] Speaker B: J'écoute encore Evanescence pour les personnes qui nous regardent et qui nous suivent. Faut pas avoir honte, vous avez le droit d'écouter ce que vous voulez.
[01:09:42] Speaker C: Puis finalement c'est pas parce qu'on travaille dans une station-service qu'on peut pas faire des blagues.
[01:09:47] Speaker B: Evanescence. Vous avez compris ?
[01:09:53] Speaker C: Vous avez compris ? Vous l'avez ?
[01:09:56] Speaker F: Merci d'expliquer les blagues.
[01:09:59] Speaker B: Putain j'en connais un autre qui est comme ça.
[01:10:00] Speaker C: Ah bon ?
[01:10:01] Speaker B: Oui, Herbé du Showcase. Il fait une blague et puis il explique directement après. Je peux te dire que sa femme elle en peut plus. Mais ok, t'avais quel âge environ là ? Parce que t'es quand même beaucoup plus jeune que nous.
[01:10:16] Speaker C: Beaucoup, beaucoup, ça va Pierre. Je te rappelle que je viens d'avoir 25 ans. Pardon, excuse-moi.
[01:10:25] Speaker F: Je pense que c'était aux alentours de 15 ans quoi.
[01:10:27] Speaker B: Oui, ok, donc l'âge classique. Avant t'écoutais pas vraiment de musique ? Ou t'as pas envie d'en parler parce.
[01:10:32] Speaker F: Que t'es un peu honte ? J'ai eu une période... Ilona ? Non mais c'est pas... C'est beaucoup trop récent.
[01:10:40] Speaker C: C'est un truc horrible.
[01:10:41] Speaker F: Ouais, et en plus je vais l'avoir en tête maintenant.
[01:10:44] Speaker C: Elle connaît donc c'est vrai qu'elle l'a en tête.
J'entendais que je connaissais mais... T'inquiète, de toute façon j'ai... Apparemment j'ai moyen d'avoir des informations secrètes.
[01:10:54] Speaker B: Ok.
[01:10:55] Speaker C: Non mais je connais des gens qui la connaissaient petite donc... Donc je vais me renseigner.
[01:11:02] Speaker B: On va avoir des dossiers. Ah ! T'as vu le rougi ? L'horreur. Tu veux pas trop en parler ?
[01:11:13] Speaker C: Non mais t'as pas forcément de souvenirs de ce que t'écoutais ?
[01:11:17] Speaker F: Bah je sais qu'il y avait une période où j'avais alors les cassettes audio là. Cassettes audio un peu genre techno machin, FL-65, tout ça quoi.
[01:11:25] Speaker C: Ah ouais, ça va, petit Thunderdome.
[01:11:30] Speaker B: Un petit son d'ordom ? Ah ouais, alors attention, on n'a pas tous écouté. J'étais petite. Et après, ça t'a fait un groupe d'amis d'avoir écouté cette musique ? T'as réussi à développer un groupe d'amis ou alors ?
[01:11:43] Speaker F: Alors pas du tout. Genre au collège, il n'y avait personne qui écoutait ça. J'ai l'impression d'être la seule à écouter du... Enfin, c'était plus Sum 41, Coup de Chariot et tout ça au collège.
[01:11:56] Speaker B: Donc tu ne t'habillais pas encore qu'en noir ?
[01:12:00] Speaker F: Je m'habillais comme un mec, j'avais vraiment des souhaits de mec, très masculin quoi. Mais non, il n'y avait personne qui coûtait ça, à part mon frère du coup. Il y a des trucs qu'on a partagé.
[01:12:14] Speaker B: Ça c'est toujours cool, ça crée des liens.
Bon bah c'est cool en fait, il y avait un petit peu un côté de famille parce que si ta mère t'a laissé acheter un magazine sur laquelle il y avait la gueule des goûts de Charlotte, je connais quelques parents qui auraient dit non non non tu prends pas ce truc là ! Les gens bizarres tu les laisses là !
[01:12:29] Speaker F: Ouais non ça va ils sont assez ouverts mes parents.
[01:12:32] Speaker B: Ils sont contents aujourd'hui ?
[01:12:33] Speaker F: Je pense oui.
[01:12:35] Speaker B: Oui bah si t'as le dispo c'est qu'ils sont contents.
[01:12:36] Speaker C: Eh bien ça tombe bien car ils sont là !
[01:12:37] Speaker B: On va leur demander en direct !
[01:12:40] Speaker C: C'est ton rêve Pierre je le sais.
[01:12:41] Speaker B: Ah bah ça si je pouvais réutiliser ce putain de tapis... Et si tu.
[01:12:44] Speaker C: Pouvais avoir la même moumoute que...
Comment il s'appelle ?
[01:12:48] Speaker B: Jean-Pierre Foucault.
[01:12:49] Speaker C: Jean-Pierre Foucault.
[01:12:50] Speaker B: Je suis un grand fan de Jean-Pierre Foucault.
[01:12:51] Speaker D: C'était Foucault qui présentait ça ?
[01:12:52] Speaker B: Ouais. Sacré soirée oui.
[01:12:55] Speaker C: Un sacré soirée !
[01:12:56] Speaker B: C'est parce que tu es jeune aussi.
Ouais enfin beaucoup plus que moi. J'ai 44 ans, tu veux qu'on fasse un jeu ?
[01:13:03] Speaker C: Bon, c'est pas la provoque là, ça va.
[01:13:07] Speaker B: Je suis désolé, on a un truc girls. Pardon. Bon et après quand t'as dormi...
[01:13:15] Speaker C: Faudrait que j'ai la sonnerie de Secret Girls, tu sais le truc avec le téléphone qui sonne et qui a des messages secrets.
[01:13:21] Speaker B: Il y a Brandon qui a besoin de se dire un truc. Je n'ai pas de Brandon. Raccroche ! Et après tu avais commencé à écouter des trucs un peu plus violents, c'est venu progressivement ou t'as changé du jour au lendemain parce que t'as rencontré quelqu'un qui écoutait ça ?
[01:13:35] Speaker F: Non en fait, alors à chaque fois que je parle de cette émission j'ai l'impression que personne ne connaît, il y avait...
[01:13:41] Speaker C: L'émission !
[01:13:42] Speaker B: Les Brings The Noise !
[01:13:46] Speaker F: C'était une émission de radio, c'était sur Le Mouv qui s'appelait... Ah !
[01:13:49] Speaker B: On leur fait un coucou. Ils seront bientôt avec nous.
[01:13:53] Speaker C: En partie.
[01:13:54] Speaker B: En une partie oui. La moitié.
[01:13:56] Speaker F: Et c'était la Metal Academy.
[01:13:58] Speaker B: Et oui bien sûr.
[01:13:59] Speaker F: Voilà merci parce qu'à chaque fois j'en parle.
[01:14:01] Speaker B: C'était le dimanche soir.
[01:14:02] Speaker C: C'était en même temps que notre émission.
[01:14:05] Speaker B: Mais nous on était sur WeFM.
[01:14:06] Speaker F: Mais à Nantes il n'y avait pas WeFM.
[01:14:08] Speaker B: Oui à l'époque c'est vrai.
[01:14:10] Speaker C: WeFM il n'y avait pas partout.
[01:14:12] Speaker B: Il n'y avait nulle part. Il y avait 5 villes.
[01:14:14] Speaker C: Enfin 5 métropoles.
[01:14:16] Speaker B: À cette époque là je ne suis même pas sûr.
Mais oui t'es à l'académie bien sûr.
[01:14:21] Speaker F: Et du coup d'ailleurs avec McFly et Carlito. Mais c'est Carlito et O'Connell ? Parce que c'était McFly et O'Connell ?
[01:14:28] Speaker B: Oui.
[01:14:29] Speaker F: Ah c'est les mêmes.
[01:14:29] Speaker B: Si si ils ont tous voté ensemble.
[01:14:32] Speaker C: Le duo.
[01:14:32] Speaker B: Ils faisaient une émission métal, ils étaient très jeunes.
[01:14:34] Speaker C: McFly et O'Connell. Tout à fait. Ils avaient 18 ans.
Ils étaient beaux comme un enfant, forts comme des hommes.
[01:14:41] Speaker B: Ouh j'ai des frissons.
Donc oui, bien sûr, c'était dimanche soir, ça commençait à 22h, 21h peut-être, jusqu'à minuit.
[01:14:51] Speaker F: Et en fait, j'enregistrais à chaque fois sur les lecteurs mini disques.
[01:14:55] Speaker B: C'est énorme, génial.
[01:14:57] Speaker F: Ça donne un indice sur l'âge.
Du coup j'enregistrais ça le dimanche soir et le lundi je prenais le train pour aller au lycée parce que j'étais en internat. Et du coup dans le train je cutais tous les trucs comme ça, je notais à chaque fois sur mini disque le nom du groupe et de la chanson. Sauf que des fois ils racontaient que des conneries donc j'arrivais pas à savoir quel groupe c'était.
[01:15:19] Speaker B: T'avais la chanson moi !
[01:15:21] Speaker F: Et voilà du coup j'ai fait, ouais j'en ai enregistré je sais pas combien des mini disques.
[01:15:26] Speaker B: Tu te faisais des compiles comme ça ?
[01:15:27] Speaker D: Ouais.
[01:15:28] Speaker B: Trop bien, ça c'est des souvenirs c'est sûr. Pénèse mais en plus, alors tu viens de dire que t'étais en interne, t'écoutais du métal, tu t'habillais comme un garçon tout en noir. Ah ouais, chaud.
[01:15:38] Speaker F: Bah ça c'était plus au lycée du coup, le lycée ça allait un peu mieux.
[01:15:42] Speaker B: Ah bon, tu étais plus, si tu m'emmerdes je te fous une patate.
Il n'y a pas eu de oui ni de non, donc on va dire oui.
[01:15:51] Speaker C: Il y a eu des patates.
[01:15:51] Speaker B: Ça va.
[01:15:53] Speaker C: Tout le monde ?
[01:15:54] Speaker F: Non mais l'lycée déjà j'étais dans une filière artistique, j'étais en arapthité, donc déjà il y avait ce truc-là.
[01:16:00] Speaker B: Les gens sont plus ouverts d'esprit aussi.
[01:16:01] Speaker F: On est un peu plus barjot.
[01:16:04] Speaker B: C'est le principe de l'art.
[01:16:06] Speaker C: De mettre de la vodka dans les bouteilles d'eau pendant les cours. Ne faites pas ça chez vous ! C'est très mal.
[01:16:12] Speaker B: Et puis ne faites pas ça en cours non plus, c'est pas bien.
[01:16:14] Speaker C: Non mais chez vous, dans votre vie, c'est ça ? Voyons Pierre.
[01:16:20] Speaker B: Mais Pierre ! Bon, justement, on parle d'art. On va continuer dans tes choix musicaux. Gladys, tu seras prête. J'ai choisi de faire l'une après l'autre, comme ça c'était plus simple. Donc désolé. Ça vaut juste un peu de temps.
[01:16:36] Speaker C: Ça vous montre comment ils travaillent.
[01:16:38] Speaker D: Il y a un minimum d'organisation, c'est déjà ça.
[01:16:42] Speaker C: Vraiment un minimum.
[01:16:43] Speaker B: C'est juste pour que dans mon cerveau, il y ait quand même un truc plus simple à comprendre. Mais, Beatring de Martyr, c'est toi quand même. Ah oui, c'est ce qu'ils sont en.
[01:16:50] Speaker C: Train de me dire, de toute façon j'ai tout vu. Betraying !
[01:16:54] Speaker B: Avec Parasite !
[01:16:56] Speaker C: Ah ça Pierre y connaît une arme, c'est-à-dire ? Dans l'œil !
[01:17:01] Speaker B: On en parlera plus tard mais pourquoi ce choix alors ? Parce qu'ils n'existent plus.
[01:17:07] Speaker C: Ils ont arrêté exactement cette année. Non c'était pas en 2024 ?
[01:17:10] Speaker D: Cette année ouais parce que j'ai vu le concert d'adieu cette année.
[01:17:13] Speaker F: Mais alors j'ai choisi ce clip là en particulier parce que j'ai travaillé dessus, c'est le premier clip sur lequel j'avais fait un costume. Donc du coup c'était plus pour le côté souvenir.
Et en fait j'avais, je sais plus comment ça s'était passé, j'avais contacté Igor, c'est Igor O'Moday de Uneven Structure mais ça n'existe plus. Je lui avais envoyé un message je pense pour lui dire voilà je fais des costumes et quelques semaines après il m'avait répondu en me disant bah j'ai un clip qui va se tourner et tout. Il ne m'avait pas dit quel groupe c'était et il m'avait dit ouais j'ai besoin d'un costume de monstre mais c'est tout quoi. Je dis bah je sais pas c'est quoi le titre de la chanson, tu peux m'en dire plus. Il m'a juste dit bah c'est Parasites.
Et en fait je suis partie sur Juste ça, un monstre et parasites, et en fait j'ai fait des petites recherches sur internet, machin, et je suis tombée sur une vidéo des fourmis qui se faisaient... Comment dire ? Avec les champignons, le truc qu'il y a dans le jeu vidéo.
[01:18:09] Speaker B: Ça me dégoûte.
[01:18:13] Speaker F: Les champignons de ça, je trouve ça trop beau. Je suis tombée sur ça et je me suis dit ça fait vraiment un parasite qui pousse à l'intérieur et qui ressort.
Et du coup je me suis dit je peux essayer de m'inspirer de ça. J'ai dessiné un truc vite fait et j'ai commencé à faire un costume et en fait c'est à partir de ce moment là que j'ai un peu développé la technique que je fais maintenant en fait sur les masques et tout ça qui sont de la sculpture vraiment. C'est fait un peu avec du papier mâché, du papier alu compacté et tout ça. Et c'est très léger et en fait je suis partie sur un truc et je me suis dit c'est trop bien en fait je vais faire comme on va voir dans le clip. Il y a le masque, il y a des épaules, enfin au niveau des épaules.
et vraiment je me suis éclatée à faire ça. C'est vraiment arrivé en plus à un moment où dans ma vie c'était compliqué et je trouvais que le thème, c'est un peu comme si je m'étais exprimée dans ce costume là.
[01:19:14] Speaker B: Ça fait du bien.
[01:19:14] Speaker C: Est-ce que quelque part c'est une sorte de catharsis ?
[01:19:18] Speaker B: Et oui.
[01:19:21] Speaker C: On n'a pas besoin de répondre bien sûr à cette question car c'est toujours oui.
[01:19:27] Speaker B: Non mais c'est cool ! Du coup ça n'a pu que t'encourager à continuer à le faire et à vraiment développer le truc parce que si c'était un soulagement et un plaisir...
[01:19:36] Speaker F: En fait je me suis vraiment dit pour le coup ouais c'est vraiment ça que j'ai envie de faire quoi de travailler sur des clips des choses comme ça c'était vraiment chouette en plus j'étais présente sur le clip donc du coup j'étais venue j'avais fait Nantes Marseille Marseille Montpellier Et on avait fait la partie avec Aaron, la partie histoire. Et du coup, d'ailleurs, c'est Arnaud de 1056 le monstre. C'était marrant, le pauvre, on lui avait mis du noir sur le corps, mélangé avec de l'oeuf pour que ça fasse un peu texture glissante. Après, pour la douche, ça devait être chiant.
[01:20:17] Speaker B: Oh bah même pendant l'installation je pense que ça devait déjà être...
[01:20:20] Speaker C: Alors ça dépend, ça dépend.
[01:20:22] Speaker B: Chacun ses ticking. Appel, MGK, bon voilà. Pas que dans le caca quoi. Il faut se faire dans le pic. Non mais c'est la première fois que tu as vu un tournage et tout. On en parlera encore après parce qu'il y aura encore un moment à discuter ensemble. On va regarder le clip. On est d'accord ? On y va ? Betraying the Martyrs avec Parasite dans Bang Bang.
[01:21:12] Speaker A: It's like we're trapped inside an empty room No light of day, a single rake I break this feeling of doom I look across, who do I see? It's you alone, I know But I ain't taking this no, not this time You turn my mind into an ugly sight Oh, qu'est-ce que c'est que ce bordel ? On s'entraîne ! KETSU ! C'est la fin de cette vidéo.
Oh non ! C'est parti ! Réveil !
[01:26:22] Speaker B: Réveil !
[01:26:22] Speaker A: Réveil ! Ouais, t'es toujours dans le frigo, hein ?
[01:28:25] Speaker B: La fin d'une soirée bien arrosée. Attention, l'alcool c'est dangereux pour la santé, à boire avec modération. Vous le savez très bien, Bring Me The Horizon, il y a fort fort longtemps, parce que là c'était des pichounes, des impalés, c'est quand même comme ça !
[01:28:36] Speaker C: Et il savait pas encore qu'il allait s'habiller comme un matador lui !
[01:28:41] Speaker B: Bring me the horizon avec le titre Chelsea Smile qui avait déjà été le virage finalement de la créativité de ce groupe là.
[01:28:49] Speaker C: C'est le premier gros tube.
[01:28:52] Speaker B: Exactement. Et c'est un choix de Gladys. Tout à fait. Alors ce que je constate c'est que tu aimes bien le metalcore.
[01:29:00] Speaker D: Entre autres.
[01:29:00] Speaker B: Oui entre autres. C'est quoi tes goûts musicaux donc ?
[01:29:03] Speaker D: Moi ça va du punk au psycho à la hoye, rockabilly, metalcore, même du classique.
[01:29:11] Speaker B: Bon alors regardez bien, je vous le dis à vous. Je vous le dis vraiment, je vous le dis. Maintenant il y a des gens qui aiment le metalcore dans l'équipe, ok ?
[01:29:19] Speaker C: Mais ça nous empêchera pas de dire que c'est de la merde.
[01:29:21] Speaker B: Non c'est pas vrai, on pense pas.
[01:29:22] Speaker C: Que c'est de la merde. On en écoute aussi. Mais les bons groupes.
J'ai rien dit sur les matadors. Après, on m'empêchera pas de penser que quelqu'un qui a plein de percings sur la gueule, là, c'est quand même qu'il y a un problème.
C'est le moment où j'aimerais pouvoir faire un gros zoom sur ton visage, juste pour que les gens comprennent le second degré qu'ils ne comprennent jamais.
[01:29:50] Speaker B: Surtout sur Internet, effectivement. Bring Me The Horizon, pour quelle raison ? Et ce titre-là, en particulier ?
[01:29:56] Speaker D: Déjà parce que tu m'avais demandé de deux titres qui me définissaient de titres anciens, donc BMTH c'était un peu une évidence pour moi parce que c'est un des groupes que j'écoute depuis le plus longtemps. Je continue de suivre et j'ai accepté tous les virages artistiques qu'ils ont pu faire. Et Chelsea Smile c'est sûrement le premier titre que j'ai entendu de Bring Me. Et c'est aussi la première grosse claque que j'ai prise en live en concert.
[01:30:18] Speaker B: Donc on regardait en dehors du fait qu'on se disait qu'il chante avec une carotte.
[01:30:23] Speaker D: En live il avait pas le micro au rang.
[01:30:28] Speaker C: C'est bien dommage d'ailleurs, moi c'est ça qui a fait que je n'ai jamais accroché. J'étais là quoi ? Il n'a pas amené la carotte ?
[01:30:33] Speaker B: Mais alors !
[01:30:34] Speaker C: Ah zut alors !
[01:30:37] Speaker B: Et c'est un titre de... On avait dit de combien ?
[01:30:39] Speaker C: 2008.
[01:30:39] Speaker E: Album de 2008.
[01:30:39] Speaker D: J'avais 20 ans à l'époque.
[01:30:43] Speaker B: Oh c'était Anne Bellante ! Moi j'avais 28 ans.
[01:30:46] Speaker C: Et tu sais quoi ? Tu sais ce qu'on dit ? À 20 ans, rien n'est impossible.
[01:30:52] Speaker B: Et dis-moi, tu écoutais le rire ? J'adore Laurie, on l'a déjà dit une fois.
[01:30:59] Speaker C: Elle nous laisse des commentaires.
[01:31:00] Speaker B: Elle refait une tournée.
[01:31:02] Speaker C: Elle nous laisse des commentaires.
[01:31:03] Speaker B: Mais elle va venir aussi, elle écoute du métal. J'ai demandé. Après si elle vient pas, je comprendrais. Mais Laurie, tu es la bienvenue. T'as commencé à écouter du métal et des musiques un peu plus extrêmes à partir de quel âge ?
[01:31:13] Speaker D: Alors j'ai retrouvé des photos de moi à 12 ans en gothique. J'étais un peu précoce.
[01:31:20] Speaker B: Il y avait un truc de famille ?
[01:31:21] Speaker D: Non mais j'avais un grand-père qui adorait Alice Cooper.
[01:31:23] Speaker C: Il y avait quand même un truc de famille.
Moi mon grand-père n'écoutait pas Alice Cooper.
[01:31:29] Speaker D: Il était très sage à part Alice Cooper, il n'y avait pas grand chose. Mais j'avais un beau-père qui écoutait Joe Cocker aussi. Du coup j'étais dans le rock.
[01:31:35] Speaker B: Oui.
[01:31:35] Speaker D: À proprement parler, ma mère était dans le New Wave à fond.
[01:31:39] Speaker B: Trop bien.
[01:31:40] Speaker D: Et la variété française, c'était un contrat assez un peu chelou.
[01:31:43] Speaker B: La variété française peut être très triste.
[01:31:44] Speaker C: Donc du coup... Et puis c'est un peu la même époque aussi. Les gros tubes variettes, c'est... Mais ce qui est bien, c'est que le côté New Wave, t'acceptes plus facilement les looks alternatifs. Parce qu'à l'époque c'était aussi des...
[01:31:57] Speaker D: Enfin pour ma mère, j'étais une satanique. Elle a pas forcément adhéré à tout ça. Elle a vite oublié son passé, je pense.
[01:32:05] Speaker C: Après elle n'a pas complètement tort.
[01:32:09] Speaker B: Il y a un truc chez les parents quand même, quand on sait qu'ils ont vécu certaines fois une jeunesse, ils ont tous vécu une jeunesse, peut-être pas aussi débridée que d'autres, mais ils l'oublient.
[01:32:20] Speaker D: C'est surtout aussi que je ne faisais pas les choses à moitié, j'étais très extrême dès le début en fait. J'ai volé l'album d'Alice Cooper de mon grand-père et deux jours après j'ai acheté un album de Pantera.
[01:32:31] Speaker B: Et tu t'es dit, j'aurais bien lui ressembler quand même Alice Cooper.
[01:32:35] Speaker D: Au début, je croyais que c'était une femme. J'étais gamine.
C'était trop bien une femme qui chante du métal, du rock. Et en fait, je me suis aperçue après que c'était un homme. J'étais un peu déçue.
[01:32:46] Speaker B: C'est une vieille dame quand même, elle chante très fort.
On dirait quand même une sacrée mamie. Son grand-grand-grand-papy, il est à fond.
Bon bah non enfin peut-être après bon ça ça nous regarde pas mais ouais Gothic donc 12 ans dans le délire Panthéra ouais donc t'es partie vraiment dans un truc qui était quand même assez agressif.
[01:33:05] Speaker C: C'est ça. Tu te souviens de l'album de Panthéra celui que t'as écouté ?
[01:33:11] Speaker D: Je sais plus quel album, enfin le nom de l'album mais je me souviens que j'avais une chanson préférée dedans c'était Suicide Note partout.
[01:33:17] Speaker C: Ah c'est sûr je sais plus quel ça c'est Far Beyond the Raven non ?
[01:33:22] Speaker B: C'est le bleu ?
[01:33:25] Speaker C: Franchement, je suis désolé pour les fans de Panthère.
On regardera tout à l'heure. Oh, dites-nous dans le chat.
[01:33:31] Speaker B: N'hésitez pas à réagir en direct, c'était important. Donc ouais, Panthère, comment t'as fait ? Alors après t'es restée constante en fait ?
[01:33:37] Speaker D: Pendant longtemps ouais, je suis restée constante dans un peu le métal et puis après j'ai découvert le punk.
[01:33:42] Speaker B: Ah c'est venu après ?
[01:33:42] Speaker D: Ouais c'est venu après le punk.
[01:33:43] Speaker B: Je me suis posé la question quand même.
[01:33:45] Speaker C: Ah ouais ? Bah t'aurais dû la poser.
[01:33:47] Speaker D: C'est venu et j'ai vraiment intégré complètement, enfin j'étais complètement dans la scène punk à fond. C'est mes premiers concerts, c'était dans la scène punk. J'ai vu Gogol en tout premier concert tu vois. Comme ref. Puis je suis restée vraiment dedans et après je suis revenue dans le métal parce que je commençais un peu à me lasser du punk.
Je suis revenue et après je me suis dit tiens je vais faire un multi mode de tout en fait j'aime.
[01:34:08] Speaker C: Tout pourquoi choisir ?
[01:34:11] Speaker D: Et en fait du coup j'ai des racines diverses parce que j'aime tout. J'aime tous les styles après j'aime pas tout ce qu'on fait dans chaque style.
[01:34:21] Speaker B: C'est intéressant parce que tu disais que t'étais extrême mais d'être punk et d'être metalcore c'est quand même être Layla.
A moins que ce soit punk, pas punk.
[01:34:32] Speaker D: Après le punk rock j'aime bien aussi, mais j'étais vraiment plus dans le punk hardcore, la casualty, the unseen, ce genre de bails.
[01:34:38] Speaker B: Oui, il y a du style quand même. C'est vrai que chez Casualty, ils sont habillés en noir, c'est assez sombre comme attitude.
[01:34:45] Speaker D: Ils ont tous la crête ou les spikes quand même.
[01:34:49] Speaker B: Oui, il n'y a que les cheveux. Ceux-ci c'est pas mal, ils en ont.
[01:34:52] Speaker D: Déjà ils en ont encore. Encore aujourd'hui, j'ai vu Casualty c'est le dernier exemple.
[01:34:55] Speaker C: Mollo les réflexions sur les cheveux là.
C'est un choix de me raser le crâne, j'en ai encore plein ! Si je voulais j'aurais une crinière !
[01:35:03] Speaker B: C'est un choix de cacher tous ses cheveux sous ma casquette aussi ! Punk, c'est quoi qui t'avait attiré ? C'était le côté... Contestateur.
[01:35:13] Speaker D: Vraiment le côté on est en colère quoi. Et je ressentais les injustices déjà toutes petites. Je regardais la télé, je regardais les infos, je regardais la rue et les clochards dans la rue et je me disais mais la vie elle est injuste, la société elle est injuste et la musique me permettait de mettre des mots sur ce que je ressentais à l'époque. Comme j'ai aimé BMTH pour les paroles des chansons, ça faisait con.
[01:35:33] Speaker B: T'as passé de la révolte à la déprime quoi.
[01:35:35] Speaker C: C'est vrai qu'il ressemblait un peu à.
[01:35:37] Speaker B: Un clodo au début.
[01:35:39] Speaker C: Pardon, j'ai pas pu m'en empêcher. Oui, bah écoute, j'assume, c'est vrai. J'étais au concert au Bataclan, moi.
[01:35:52] Speaker B: Ça pique ! On l'a pas vu beaucoup, mais le.
[01:35:54] Speaker C: Coup qu'on a eu, on a vu.
[01:35:55] Speaker B: Qu'Il était pas très bien.
Le pauvre. Il va mieux maintenant. Je pense que le déménagement au Brésil peut être un éloignement de ses amis. Comme ça il a dit, si je ne les vois pas, je serai beaucoup plus calme. Je vais me faire des amis au Brésil, ce sera beaucoup plus sain.
Ça c'est Lisbonne, pardon.
[01:36:16] Speaker C: Chocolat, skrraou.
[01:36:18] Speaker E: Pain de cage.
[01:36:19] Speaker B: J'adore cette langue.
[01:36:20] Speaker C: Pain de cage, c'est délicieux. C'est des petits pains à la farine de tapioca avec du fromage, là. Ça c'est incroyable. Ils les mettent même au petit-déjeuner, là-bas.
[01:36:29] Speaker B: Ok. Et au niveau des parents, la musique, du coup, ils étaient pas trop... Parce que bon, il y avait le père, mais il y avait la fille aussi, du coup.
[01:36:41] Speaker D: Ouais après j'ai vite imposé mon truc.
[01:36:44] Speaker B: Ouais t'en avais rien à foutre. T'as toujours eu cet esprit un peu rebelle.
[01:36:47] Speaker C: C'est le côté punk ça. T'es quelqu'un qui écoute du punk, tu vas faire quoi ? Non mais t'as pas le droit de faire ça !
[01:36:52] Speaker B: Ok, je vais le faire.
[01:36:54] Speaker D: En fait, quand j'ai eu ma période gothique, je me souviens qu'à un moment donné, mon beau-père m'avait dit « j'en ai marre, t'as l'air toujours dépressive, t'es toujours en noir, mets de la couleur dans ta vie ». Et peu de temps après, j'ai découvert le punk. Et je crois que d'un coup, d'un seul, je suis rentrée un jour avec les cheveux rasés sur les côtés et une crête verte fluo et... Il avait pété un plomb à l'époque et je me souviens lui avoir dit « bah je croyais que tu voulais des couleurs, il y en a maintenant ». Voilà, dès qu'on me provoquait un petit peu, j'allais encore plus loin, donc ils ont vite compris qu'il valait mieux accepter pour que je reste un peu prestable.
[01:37:28] Speaker B: C'est des logiques !
[01:37:28] Speaker D: C'est comme pour les tattoos, ils m'ont dit il y en a juste un seul, j'ai dit tu m'as mis une limite, bah maintenant je suis recouverte des pieds à la tête.
[01:37:36] Speaker B: Bon ok, il y a un esprit de contradiction. Un petit peu. Après c'est la jeunesse aussi.
[01:37:42] Speaker C: Bon on va boire juste un verre.
[01:37:44] Speaker D: Ça je le dis plus moi.
[01:37:49] Speaker B: Il y a un état d'esprit.
[01:37:51] Speaker C: Il est là, il est là.
[01:37:51] Speaker B: Moi je n'ai même jamais dit que j'allais boire un verre comme ça au moins.
[01:37:54] Speaker C: Non.
[01:37:56] Speaker B: Je ne dis pas demain non plus. Je partirai là-bas, laissez-moi. Ok, ok. Fait tard ?
[01:38:06] Speaker D: Beaucoup moins qu'avant.
[01:38:08] Speaker B: Les années sont passées.
[01:38:09] Speaker D: Je me fais virer un peu. Je travaille trop.
[01:38:12] Speaker B: J'ai cru qu'elle allait dire je me fais virer. Ah bon.
Aussi.
[01:38:16] Speaker C: D'ailleurs en parlant de se faire virer, on lui a pas demandé ce qu'elle faisait dans la vie ?
[01:38:20] Speaker B: Bah oui mais c'était la question suivante et je suis très heureux que tu la poses parce que comme tu suis.
[01:38:23] Speaker C: L'Émission... Ah bah moi je suis l'émission tous les dimanches.
[01:38:29] Speaker B: Oui, si c'est vrai. Moi aussi presque. Parce que des fois quand je suis là je sais pas ce qu'il se passe. Donc que fais-tu dans la vie Gladys ?
[01:38:38] Speaker D: Et bah je travaille dans la musique.
[01:38:39] Speaker C: Ah !
[01:38:41] Speaker B: Enfin tu travailles dans la musique, tu travailles pas que dans la musique, tu fais plein d'autres choses, que fais-tu exactement ?
[01:38:45] Speaker C: Fais-nous un parcours, année par année.
[01:38:50] Speaker D: J'ai été tatoueuse pendant des années mais ma dernière année tatou a été un cauchemar pour moi parce que j'avais quasiment que des covers et le côté artistique je l'avais complètement perdu et avant de complètement détester mon métier j'ai préféré arrêter et j'ai eu l'occasion de pouvoir me reconvertir dans la musique en sachant que j'écrivais déjà des chroniques pour un média j'ai décidé de créer mon média et ensuite on m'a donné l'opportunité de travailler dans une agence de booking pour artistes je vends des artistes pour des concerts et des festivals. Et il n'y a plus de place chez nous.
[01:39:21] Speaker C: Je tiens à le préciser. Les gens ne peuvent pas envoyer de candidature.
[01:39:27] Speaker D: C'est qu'on a tellement d'artistes que si on a un artiste émergent, on ne va pas savoir le vendre, on a beaucoup trop de... Si c'est pour s'en occuper pas correctement parce qu'on n'a pas le temps, ça sert à rien donc...
[01:39:38] Speaker C: Mieux vaut ne pas faire que mal faire.
[01:39:39] Speaker D: Voilà, exactement.
[01:39:41] Speaker B: Et c'est un métier qui te plaît donc j'imagine puisque tu es encore... C'est difficile ?
[01:39:46] Speaker D: C'est frustrant, c'est beaucoup de frustration. Parce que le marché il est ce qu'il est et les promoteurs de salles ou de festivals ils regardent que deux choses, c'est les statistiques sur Spotify, les statistiques sur les réseaux sociaux et des fois tu as des groupes avec des projets en quels tu crois vraiment, tu sais que la musique elle est vraiment géniale.
c'est des putains d'artistes et t'arrives pas à les vendre parce qu'il n'y a pas assez d'auditeurs sur Spotify.
[01:40:07] Speaker B: Ils sont frileux.
[01:40:10] Speaker C: Parce qu'il y a aussi des artistes qui achètent plein de play sur Spotify et qui du coup prennent la priorité sur les groupes qui n'achètent pas de play.
[01:40:18] Speaker D: Exactement.
[01:40:21] Speaker C: Je peux vous dire que dans certains milieux, de certaines musiques dites urbaines, les labels ont des gros gros budgets qu'ils ne mettent pas dans la production de l'album, mais dans les achats de play.
[01:40:36] Speaker B: J'imagine bien qu'ils ne mettent pas ça dans le métal.
À part peut-être des vieux groupes qui sont en train de se ramasser, ils disent il faut quand même leur garder un peu la face, alors on va acheter des play mais bon.
[01:40:45] Speaker C: Non même pas.
[01:40:46] Speaker B: Ah ouais, pas Sabaton ? Ah non, on ne va pas parler de ça. On leur dit un gros coucou.
Travaillez trois de moi avec eux !
[01:40:52] Speaker C: J'ai des affaires, j'ai pas le temps !
[01:40:54] Speaker B: Je suis déçu ! Non mais c'est des choses qui arrivent oui, mais c'est beaucoup moins fréquent dans le métal effectivement.
[01:41:01] Speaker C: Oui bah non, parce qu'il n'y a pas d'argent, on peut pas se mettre.
[01:41:03] Speaker B: De l'argent pour acheter des fourplay !
[01:41:05] Speaker C: Alors qu'il y a des styles où il y a un peu d'argent, en fait c'est assez malin, parce que tu dépenses de l'argent comme ça, que tu vas récupérer en vendant des artistes super chers du coup.
C'est comme les produires des grosses dates, il y a des artistes pour qui on produit des grosses dates à perte.
[01:41:25] Speaker B: Il n'y en a pas un qu'on a passé juste avant ? Bring Me The Horizon, ça a été leur début, à un moment il y a eu cette volonté de les faire monter.
et en fait ça n'avançait plus, c'était bien monté au Royaume-Uni.
[01:41:37] Speaker C: Il y avait un glass ceiling, le plafond de verre.
[01:41:42] Speaker D: C'est des paris qu'on fait, il y a plein de groupes avec lesquels on sait qu'on va faire une tournée à perte mais on sait qu'on va faire connaître le groupe et que potentiellement derrière on va pouvoir le vendre plus cher et récupérer ce qu'on a perdu, quand ils partent pas juste après.
[01:41:56] Speaker C: Ça c'est le fonctionnement normal. Ce que je disais c'est en fait qu'il y a des artistes qui vont faire un Bercy alors qu'ils sont pas du tout au niveau de faire un Bercy mais comme ça et ils vont dépenser de l'argent pour faire un show voilà et derrière du coup ils vont se trouver montés sur des gros festivals. C'est pas dans le métal que ça existe puisque il n'y a pas assez de festivals qui passent du métal pour que ce soit truc mais c'est des artistes du coup ils vont faire un Bercy à perte où ils vont donner beaucoup d'invitations tout ça mais du coup derrière ils se retrouvent programmés en main stage.
[01:42:29] Speaker B: Ça donne une certaine prestance quoi.
[01:42:31] Speaker C: Exactement et du coup ils se retrouvent à faire des têtes d'affiches aux Eurokéennes ou des trucs comme ça alors que en fait les gens n'ont pas en vrai, les gens n'écoutent pas vraiment. Mais du coup, ça... Oui, et puis.
[01:42:42] Speaker B: Finalement, il y a des gens qui finissent par écouter, parce que si c'est un truc qui monte, ça finit par.
[01:42:44] Speaker C: Tourner, et puis bon, ça rentre dans la tête. Et comme les cachets sont aussi liés à ça, en fait, après, ils se remboursent. Parce qu'en festival, les artistes coûtent très très cher. Enfin, aux Eurocaine, c'est payé très très cher, l'état d'affiche. Du coup, en fait, tu rembourses ton merci, enfin, ton accord à Arena, avec l'argent que tu vas te faire sur les festivals.
[01:43:11] Speaker D: C'est des paris.
[01:43:12] Speaker C: Bon là c'est un peu de la magouille, plus que des paris.
Si, parce que si ça finit par être connu. Engager des tournées pour faire connaître ton artiste, c'est un truc. Mais tricher un petit peu sur le truc, c'est comme acheter des play pour moi. C'est le même principe.
[01:43:27] Speaker B: Oui oui, c'est le même principe. Mais si l'artiste est vraiment mauvais, il marchera pas d'autre façon.
[01:43:32] Speaker D: — Ouf, on en connaît plein des mauvais goûts.
[01:43:35] Speaker C: — Je crois que ce n'est plus un argument qui marche aujourd'hui.
[01:43:37] Speaker B: — Ça veut dire que les gens ont mauvais goûts ?
[01:43:38] Speaker C: — Non ! Ça veut dire qu'en live, les gens...
[01:43:41] Speaker B: — J'ai l'impression qu'elles se tiennent encore, hein !
[01:43:44] Speaker D: — Je sers les points, là. Je garde tout pour moi.
[01:43:49] Speaker C: Non mais je pense que les gens sont un peu moins exigeants sur ce qui se passe sur scène et la perception de ce qui est une bonne performance a aussi beaucoup changé, je pense.
[01:44:01] Speaker D: Après il y a des trucs modernes que je vois et que les gens autour de moi adorent mais moi je comprends pas le détail.
[01:44:07] Speaker C: Ouais je suis d'accord avec toi, c'est exactement ce que je dis. C'est qu'il y a des trucs où...
[01:44:13] Speaker B: Il y a des trucs que j'aime en gros et qu'ils comprennent pas pourquoi.
En ce moment c'est Nelly Furtado, je sais, oui, je sais.
[01:44:20] Speaker C: Ça va, elle fait pas trop de concerts.
[01:44:24] Speaker B: C'est pas faux.
[01:44:24] Speaker C: Et je pense qu'en live, Nelly Furtado, ça déboîte.
[01:44:29] Speaker B: Elle doit chanter. Elle est comme un oiseau, tu sais.
Pour ceux qui n'auraient pas compris. Et tout ça, donc tu fais ce métier là aujourd'hui mais tu as appris sur le tas. Donc t'as eu la chance de pouvoir faire ce métier, d'apprendre, de peaufiner. J'ai pas dit que c'était une tata, c'est moi la tata.
[01:44:48] Speaker D: En fait on m'a donné l'opportunité tout simplement parce que j'ai du bas goût et que c'est ce qu'il faut pour vendre tes groupes. Donc on s'est dit on va tester avec elle, on va voir si ça marche. Jusqu'à maintenant on m'a pas virée donc ça va.
[01:45:02] Speaker B: Bon ben voilà, mais ils sont là !
[01:45:08] Speaker C: Quand je t'ai rencontré tu portais des bagou... Ah non des baguilles pardon, ça.
[01:45:10] Speaker B: N'A rien à voir. D'ailleurs en gros parlant de ça, désolé on digresse tout le temps dans cette émission, toi t'es dans la mode, le baguille mais vraiment je ne vois que des gens avec les mêmes baguilles que ce que j'avais mais par contre ils les portent vraiment à la taille.
Ils portent pas sur les genoux. Du coup chaque fois je trouve ça bizarre d'avoir quand même l'entrejambe si haut en ayant un baguit si large. J'ai l'impression que de voir colu.
[01:45:34] Speaker C: Y'a pas les rayures quand même.
[01:45:36] Speaker B: Ouais mais des fois les gens ont les joues roses.
[01:45:41] Speaker C: L'autre fois je suis passé devant un lycée à une heure de sortie de lycée et j'étais surpris de voir plein de mini Gwen Stefani de l'époque, crop top un peu brassière, pantalon taille basse, baggy avec la grosse ceinture un peu en mode skate.
Je trouvais ça drôle de se dire...
[01:46:04] Speaker B: Attends, mais moi j'étais pareil à leur âge. Enfin, pas les mêmes fringues qu'elles, parce.
[01:46:08] Speaker C: Qu'On est des garçons. Mais c'est surtout ce que je trouve drôle, et alors peut-être, enfin je sais pas si vous avez vécu ça à l'époque, enfin, je veux dire, les filles aimaient ce style, et c'était le style qu'on voyait à la télé et tout ça, mais dans la vie de tous les jours, personne s'habillait vraiment comme ça en France. Et aujourd'hui, les filles ont le style qu'il y avait dans les clips, mais qui n'était pas le style qu'on avait vraiment. J'ai l'impression que, alors peut-être que je me trompe, c'était juste par chez moi qu'il y avait, ça n'existait pas, mais j'ai l'impression que le style va plus loin et est plus assumé aujourd'hui, les jeunes assument plus le style Parce qu'elles ne l'ont pas connu à l'époque ?
[01:46:48] Speaker D: Oui c'est ça, il y a ce.
[01:46:49] Speaker F: Côté rétro un peu aussi. Chaque chose, même dans la musique, il y a beaucoup de choses. C'était il y a 20 ans, donc.
[01:46:55] Speaker D: Du coup... Ça tourne.
[01:46:56] Speaker F: Ouais voilà, les jeunes ils écoutent ça comme s'ils découvraient... En fait comme nous à l'époque on découvrait des trucs qui étaient vieux. Il y a ce truc-là, tous les 20-30 ans ça...
[01:47:06] Speaker D: Après moi je ne peux pas me faire une opinion, je viens du Nord donc il n'y a aucun style dans le Nord.
[01:47:09] Speaker C: Et puis ses groupes préférés sont anglais, donc bon...
[01:47:15] Speaker B: C'est l'avantage dans le Nord, t'es pas loin de l'Angleterre. Et puis ils font pousser des carottes aussi. Au Royaume-Uni, c'est vrai qu'il y a.
[01:47:24] Speaker C: Un sacré lot de carottes. Petit scoop. Sachez que j'ai peur. Avant de chanter dans une carotte, il chantait dans un chicon. Parce qu'en fait, il vient de Roubaix. Ou Tourcoing, je sais pas.
[01:47:43] Speaker B: On fait un énorme bisou bien sûr à tous nos amis nordistes et roubaisiens. Tout nos amis roubaisiens.
[01:47:48] Speaker C: Comment on dit ? Roubaisiens ?
[01:47:49] Speaker B: Je ne sais absolument pas.
[01:47:50] Speaker D: Je crois que c'est ça, ouais.
[01:47:51] Speaker B: Mais Roubaix a deux facettes. Et tu en connais ?
[01:47:54] Speaker D: J'ai habité les deux villes, mais...
[01:47:57] Speaker B: Je me suis jamais rendue chez moi là-bas.
[01:48:01] Speaker C: Elle n'a pas menti.
[01:48:02] Speaker B: Et du coup, c'est vrai que comme tu étais dans le Nord, parce que moi j'étais dans le Sud, donc la musique avait du mal à parvenir jusqu'à Aix-en-Provence, mais dans le Nord tu as toute cette culture british.
[01:48:12] Speaker D: On a l'avantage aussi d'être à côté de la Belgique dans le Nord, donc vous prenez la bagnole et tous les week-ends on était en concert en Belgique, et la scène alternative, notamment Punk, Hoy, Hardcore étaient vraiment présentes en Belgique. On avait de quoi faire quoi.
[01:48:25] Speaker C: Elle a toujours été très très active, et même aujourd'hui c'est encore très actif.
[01:48:28] Speaker D: T'avais des squats énormes où tu pouvais avoir des concerts vraiment génialissimes. Moi j'ai vu Casualties dans un petit squat avec des trucs de son comme ça, tu ressortais, t'étais complètement sourd mais t'avais pris place à une putain de soirée quoi.
[01:48:39] Speaker B: Oui ce qui est en France c'est quand même, bon, souvent beaucoup plus rare.
[01:48:43] Speaker C: Il y avait moins de squats déjà.
[01:48:44] Speaker B: Ouais en France c'est jamais été trop trop le délire, il y en avait.
[01:48:46] Speaker C: Bah il y avait la miroir tree quoi.
[01:48:47] Speaker B: Voilà il y avait la miroir tree mais sinon il n'y avait pas...
[01:48:49] Speaker C: Il y avait quelques trucs un peu en banlieue mais...
[01:48:51] Speaker B: C'est fou, c'est bizarre que ça ne soit pas tant développé que ça, cette culture alternative en France.
Bon bah tu vas l'apporter ici ?
[01:48:59] Speaker F: Bah oui !
[01:48:59] Speaker D: Je suis là pour ça.
[01:49:00] Speaker B: Tu seras là pour dire « Ouais, on l'emmerde, salaud ! » Non ?
[01:49:03] Speaker D: Non mais tu vois, par exemple, j'ai dû faire… Avec une bière ! En France, j'ai dû faire 4-5 concerts de Psycho dans ma vie, parce qu'il n'y en a pas, en fait.
[01:49:10] Speaker B: Alors je ne sais même pas ce que c'est, moi, le Psycho.
[01:49:12] Speaker D: En Belgique, le Psycho Billy, c'est en gros… Tu vois le Rockabilly ?
[01:49:15] Speaker B: Oui.
[01:49:16] Speaker D: Tu vois le Punk ?
[01:49:17] Speaker C: Oui.
[01:49:17] Speaker D: Tu vois les mariages des deux. C'est un peu du Rockabilly, c'est du Rockabilly beaucoup plus rapide et violent, en fait. Ils n'ont pas la banane, ils ont des fly, ils ont aussi une contrebasse, mais c'est beaucoup plus violent.
[01:49:28] Speaker B: C'est vrai qu'au niveau du look, ça fait quand même une transition entre tout ça.
[01:49:31] Speaker D: Oui c'est ça, il y a une cohérence.
[01:49:34] Speaker B: Très varié musicalement dans les sujets aussi, mais il y a un lien. Dans les chansons que tu as choisies, je tourne ma page, je vois justement un groupe que nous n'avons jamais passé, un groupe que j'ai jamais écouté.
[01:49:46] Speaker C: Alors on peut le dire, moi j'ai un trauma avec ce groupe.
[01:49:49] Speaker B: Pourquoi ?
[01:49:51] Speaker C: Je raconterai plus tard. D'abord on va parler de... Non, j'aurais plutôt fait...
Mais on va d'abord dire quel groupe c'est avant que je raconte cette anecdote.
[01:50:02] Speaker B: C'est Parabellum, alors moi je sais que tous mes amis à la fac écoutaient Parabellum, je n'ai pas du tout cette culture, j'avoue, et je n'ai rien contre ça puisque c'était mes amis qui écoutent toujours ça, mais ce côté punk français...
avec revendication, non mais je trouve pas mes mots mais c'est très très dans le... je vous emmerde tous et c'est à nous de faire la justice. J'ai jamais été dedans, j'ai jamais trop accroché, moi j'étais toujours dans les musiques commerciales donc forcément bon là on n'y est pas.
Et du coup ça m'a toujours fasciné, c'est quoi qui t'a attiré chez Parabellum ?
[01:50:38] Speaker D: Alors déjà je voulais absolument donner un titre de punk parce que c'est un peu ma culture et je voulais mettre la France à l'honneur parce qu'on sous-cote beaucoup les groupes de punk français et cette chanson là je l'ai prise parce que c'est pas juste une chanson c'est vraiment un hymne. Il n'y a pas un que-ponc en France qui ne connaît pas cette chanson. Il n'y a pas un que-ponc en France qui va pas gueuler les paroles en soi. C'est pas possible. Ou alors c'est pas un que-ponc.
[01:51:01] Speaker B: Après c'est vrai que c'est mythique Parabellum.
[01:51:02] Speaker D: C'est clairement mythique.
[01:51:03] Speaker B: Il me semble qu'il y en a un qui a disparu.
[01:51:05] Speaker C: Pas le site de rencontre encore une fois, je préfère le préciser.
[01:51:08] Speaker D: Non et puis c'est des paroles contestataires, c'est des paroles qui me font encore écho dans ma vie aujourd'hui donc c'était logique de choisir ce titre-là quoi.
[01:51:15] Speaker B: Donc si on a de la famille de policiers, il faut pas te la présenter. Non parce que nous on a rien contre la police.
[01:51:20] Speaker D: J'ai des tatouages qui disent que je les aime pas trop trop.
[01:51:23] Speaker B: Il fallait quelqu'un de différent. Ah bah ça va.
[01:51:27] Speaker C: Bravo.
[01:51:28] Speaker B: J'ai travaillé dans la justice, elle va pas m'aimer je crois. Mais j'étais pas policier.
[01:51:32] Speaker C: Non mais t'étais bien droit comme la justice.
[01:51:36] Speaker B: Non mais donc tu voulais parler de Parabellum ?
[01:51:38] Speaker C: Non mais moi voilà j'ai jamais écouté Parabellum mais un jour j'ai des amis qui jouaient au Transborder à Lyon en première partie de Lofofora et Parabellum et du coup ils me disent ah bah tiens t'as un passe photo donc moi je vais faire des photos et donc je fais des photos et il y a un titre où tout le monde monte sur scène et là je me retrouve à faire des photos des gens sur scène et je me tourne vers le public pour faire des photos du public et là je me retourne vers la scène de nouveau pour continuer à shooter le groupe et là le chanteur de Parabellum est donc en kilt dans la plus grande tradition du kilt si vous voyez ce que je dis Et il avait eu la bonne idée de s'accroupir. De s'accroupir vraiment au bord de scène, juste devant les photographes.
[01:52:39] Speaker D: C'était un petit cadeau surprise.
[01:52:40] Speaker C: Je dirais que c'était deux cadeaux. Et c'est là que j'ai compris l'effet de la gravité avec l'âge. Je me suis retourné et j'ai vu une énorme paire de baloches juste à ça de ma tête et j'ai fait ah ok d'accord. J'ai pas compris tout de suite ce qui se passait. Le truc c'est que je me suis retourné et je ne m'y attendais tellement pas. J'étais jeune, j'étais innocent, je ne savais pas.
[01:53:11] Speaker F: Mais t'as pris des photos quand même ?
[01:53:14] Speaker C: Ah bah c'était trop près, je ne pouvais pas, il n'y avait pas de lumière là-dessous.
[01:53:17] Speaker B: Apparemment elles sont quand même en demande s'il y avait des photos au souvenir.
[01:53:22] Speaker C: Donc voilà, et depuis, ça m'a du coup pas donné masse envie d'approfondir ma connaissance du groupe.
[01:53:34] Speaker D: Heureusement que t'as jamais vu « Tu la vioques » sur scène alors parce que je pense que... « Tu la.
[01:53:37] Speaker B: Vioques » ça s'appelle ? J'ai jamais entendu.
[01:53:40] Speaker D: Ils ont un album de punk, enfin c'est du punk, ils ont un album entier où c'est que des reprises de chansons de cul.
Mais vraiment, tu prends le vinyle, tu l'ouvres, t'as un énorme tub rose. C'est l'esprit punk quoi.
[01:53:53] Speaker B: C'est aussi l'esprit de la France.
[01:53:55] Speaker C: D'ailleurs on a écouté les Frères Jacques il n'y a pas si longtemps, c'était que des chansons payardes, je ne sais pas si vous connaissez. La digue du cul, tout ça.
[01:54:05] Speaker D: Je viens du Nord, je répète.
[01:54:07] Speaker C: Petit conseil, je vous conseille d'écouter le cordonnier Pamphile.
[01:54:10] Speaker B: A chaque parole je me disais, c'est pas possible, mais pourquoi ? Mais c'est la France.
[01:54:17] Speaker C: Je pense qu'il serait consel aujourd'hui.
[01:54:20] Speaker B: Effectivement, il y a plein de mots qu'ils n'ont plus trop acceptés. On va regarder, je sais pas si c'est un clip, c'est du live.
[01:54:25] Speaker D: C'est un live, parce que j'ai pas trouvé de clip.
[01:54:27] Speaker B: J'ai vu un truc aussi qui semblait être un clip, mais l'image est tellement mauvaise que je n'ai pas pu le regarder vraiment. Ça commence à dater.
Bon en tout cas, Parabellum c'est mythique, c'est français. J'avais une question, il y en a un qui a disparu il me semble, parce qu'il y avait eu un hommage à Parabellum.
[01:54:44] Speaker C: C'est le chanteur.
[01:54:46] Speaker B: Je me souviens qu'il y avait un grand hommage et un de mes meilleurs amis qui s'appelle Cédric, l'inspecteur, avait énormément pleuré.
[01:54:53] Speaker C: Je crois que c'était l'année dernière.
[01:54:57] Speaker B: Bon on va regarder quand même la pêche, on va regarder ce clip de Parabellum, c'est choisi par Gladys.
ça va.
[01:57:11] Speaker A: Oh, quand on fait du mieux sans faute à l'épreuve En plus de son état Lui, il a pas enculé la traite à Purita Oh, vache ! Oh, qu'on honte ! Les enfants de Gaillet, l'impassionnat C'est lui ! L'extrême droite ! Je t'aime mon amour ! Merci à vous, bonsoir !
[02:01:05] Speaker F: What would it take to fucking rip.
[02:01:07] Speaker A: Them to pieces ? So many ways to fuck their lives, don't miss !
[02:03:47] Speaker B: Solitaris, c'est ce que nous venons de regarder dans Bang Bang et ce titre je ne l'avais jamais vu, on n'a jamais passé ce clip alors que Solitaris on les soutient quand même et c'est vrai qu'on ne les voit pas, on ne les voit jamais, ils viennent jamais donc bon ça s'appelle alors je sais.
[02:04:02] Speaker C: Pas comment on dit Ignis Bah j'imagine.
[02:04:05] Speaker B: Ignis, c'est ton choix.
Ah oui d'accord, non c'est mon choix mais j'ai pas du tout envie de dire le titre. Ne me demande pas Pierre. Ah merde le con il l'a fait.
[02:04:13] Speaker F: Non mais oui je pense que c'est ça, faudra leur demander peut-être.
[02:04:16] Speaker B: Alors pourquoi Solitaris ?
[02:04:18] Speaker F: Parce que c'est un groupe français que j'aime beaucoup, j'ai découvert il n'y a pas très longtemps.
En fait le nom je l'avais déjà entendu un petit peu mais j'avais pas forcément regardé ce qu'il faisait. Et ce clip je trouvais qu'il était très chouette. J'aime beaucoup la réale, les couleurs et tout elles sont vraiment belles. Et j'aime bien... T'as les couleurs ?
[02:04:38] Speaker B: Ouais.
[02:04:38] Speaker F: Elles sont sombres quand même.
[02:04:41] Speaker B: Ouais, j'en aime bien le noir. J'aime bien parce que pendant ce temps il y a Gladys qui est là qui fait « Ouais vas-y moi j'aimerais bien que les gens voient vraiment ce qu'il y a écrit sur mon pull ».
[02:04:48] Speaker D: Non, je me disais, moi je suis vachement claire comparé à vous tous.
[02:04:51] Speaker B: Très girlie aujourd'hui.
[02:04:56] Speaker D: Et petit détail important, j'ai assorti les chaussures.
[02:05:00] Speaker F: Moi j'ai des chaussettes vertes, elles sont magnifiques.
[02:05:03] Speaker B: Ça va au niveau de la mode ?
[02:05:06] Speaker C: Tu vois, c'est ça, quand on invite.
[02:05:07] Speaker B: Des meufs, ça parle plus. Donc oui, tant que tu les as découvertes il n'y a pas longtemps.
[02:05:12] Speaker F: Ouais, et j'aime bien le concept. C'est un groupe masqué, il y a tout un... Mystérieux. Voilà, c'est le côté mystérieux et je trouve ça plutôt cool. On sent qu'ils ont envie de faire un truc un peu différent.
[02:05:26] Speaker B: Après, du coup, ils ne répondent jamais aux questions. Parce qu'on avait voulu les interviewer, c'est eux qui ne pouvaient pas venir en interview parce qu'ils étaient masqués.
et qu'ils n'avaient pas les masques adaptés au fait de pouvoir apprendre ?
[02:05:36] Speaker C: J'ai un souvenir d'une raison pour laquelle ils ne pouvaient pas venir.
[02:05:40] Speaker B: Il y avait la chiasse !
[02:05:41] Speaker C: Non, je crois qu'il y avait un problème d'alcool.
Je crois que c'était lors d'un festival et qu'au moment où c'était possible, ce n'était plus possible. En festival, c'est un peu la fête, une fois que t'as joué, tu bois quelques coups et quelque part, ça te rattrape.
[02:05:59] Speaker D: Il faut bien décompresser un peu.
[02:06:04] Speaker B: Décompresser tout court, parce que là, un peu, je suis pas sûr.
[02:06:06] Speaker C: Non, mais enfin, non, mais je... Oui.
[02:06:08] Speaker B: Donc critique pas, parce que c'est bon. Enfin, moi, je l'ai fait mille fois, donc je...
[02:06:12] Speaker C: Toi, t'as fait pire.
[02:06:14] Speaker B: À part entrer dans les détails. Donc voilà, oui, Solitarisme, c'est vrai que c'est français en plus et on peut ne pas le savoir lorsque l'on regarde le clip, c'est très très bien fait.
[02:06:22] Speaker F: Ouais, ça fait très pro.
[02:06:24] Speaker B: Du coup, Metalcore ? Ou pas Metalcore, ça ?
[02:06:27] Speaker F: Bah moi je suis un peu... Je sais plus à toi qu'il faudrait demander, mais...
[02:06:30] Speaker D: J'avais pas fait gaffe s'il y avait des moments qui étaient pas scrimés ou pas.
[02:06:32] Speaker B: C'est vrai qu'il n'y avait pas de...
[02:06:34] Speaker C: Mais est-ce que le Metalcore, il faut que ça scrime pas par moments ? Parce qu'au début du Metalcore, il y avait... Regarde, tu prends... Ah ouais, non, c'est du Deathcore, sinon. C'est ça ?
[02:06:45] Speaker B: Bon bah voilà, on est perdu.
[02:06:46] Speaker C: C'est trop compliqué pour moi.
[02:06:48] Speaker D: Dans ma logique à moi, après je dis pas que j'ai raison, dans ma logique à moi, il y a toujours un passage en voix claire dans le métalcore.
[02:06:53] Speaker F: Ah donc j'aime pas le métalcore alors.
[02:06:57] Speaker B: Bon donc là c'est une façon de dire je n'aime que quand ça gueule, c'est ça ?
[02:07:00] Speaker F: Ouais, c'est ça.
[02:07:00] Speaker B: Et pourquoi ?
[02:07:02] Speaker F: Bah trop de sensibilité sinon c'est... Bah.
[02:07:04] Speaker B: C'Est pas parce qu'il gueule qu'il est pas sensible.
[02:07:07] Speaker C: Il y a un mot en deux lettres qui résume ce que c'est quand ça chante.
[02:07:11] Speaker B: Ah bon, je sais pas, ça commence par AP et ça finit par ND ? Je le suis, j'ai le droit. C'est votre team, vous avez choisi.
[02:07:21] Speaker F: En fait, ça me fait penser à ce que tout à l'heure disait Gladys, on en a parlé tout à l'heure, quand elle disait que quand elle a découvert un peu le punk et tout, c'était une sorte de révolte, comme si cette musique-là exprimait en fait ce qu'elle ressentait. Et c'est vrai que je trouve que comment j'ai découvert aussi le métal, j'ai eu cette impression-là, je l'ai un peu encore, que le fait de gueuler c'est un peu une façon d'exprimer quelque chose que je pourrais avoir en moi en fait.
[02:07:53] Speaker C: Tu dirais que c'est une sorte de catharsis ?
[02:07:55] Speaker D: Tu veux dire que tu n'as que de la colère en toi ?
[02:08:01] Speaker B: Ouais donc t'es vénère, faut pas te faire chier.
[02:08:06] Speaker F: Non ça va je suis gentille des fois.
[02:08:08] Speaker B: Des fois.
[02:08:10] Speaker C: Tomber le bonjour.
[02:08:12] Speaker B: Donc ouais, il n'y a pas un seul truc avec un petit peu de voix douce.
[02:08:17] Speaker F: Je pense qu'en vieillissant, peut-être, il y a des trucs qui passent un peu mieux.
[02:08:20] Speaker D: Directement, elle m'attaque sur l'âge, tu vois. Ok, je ne suis pas venue ici pour souffrir, moi.
[02:08:27] Speaker C: Je ne suis pas venue ici pour souffrir, ok ?
[02:08:31] Speaker B: Ne vous battez pas.
[02:08:33] Speaker C: Oh là là tout de suite parce que c'est des femmes elles vont se crêper le chignon. Non mais t'as pas honte Pierre ?
[02:08:38] Speaker B: Bah moi j'ai peur quand les gens se battent.
[02:08:40] Speaker C: Misogyne va !
[02:08:41] Speaker B: J'sais pas quoi répondre. Aubergine va ! En vrai j'essaye de trouver un truc et j'suis là putain j'ai pas la bonne vanne.
[02:08:47] Speaker C: Ah j'ai pas de blague, j'ai pas de blague.
[02:08:48] Speaker B: Et là je sais pas j'suis bloqué. Vous voyez c'est la limite que j'ai. Là y'a un wou qui a fait ça tourne et il est là ah met toi des wou ! Ah non, c'est pas là !
[02:08:58] Speaker C: Ah non, c'est pas là ! Ah non, c'est pas là !
[02:09:01] Speaker F: En plus, y'a pas eu de vannes sur le fait qu'on était deux blondes quand même.
[02:09:04] Speaker C: Ah bah t'inquiète, moi je l'ai laissé pour les commentaires !
[02:09:09] Speaker B: Oui après ça, pourquoi ? Parce qu'on dit que les blondes sont plus bêtes que les brunes, c'est ça ? Parce que ça c'est quand même un vieux vieux truc ça, je sais pas si ça se dit encore.
[02:09:17] Speaker D: Si les hommes ils sont pas du genre à évoluer là-dessus.
[02:09:21] Speaker C: Alors tu sais, j'ai lu, je suis très d'accord avec toi.
Par contre j'ai lu un truc qui expliquerait pourquoi les blagues c'est sur les blondes. Et en fait tu sais au Québec, ma blonde c'est une femme.
Et en fait quand on dit une blonde, en fait ça serait une femme. Toutes les blagues sur les blondes seraient en fait juste des blagues sur les femmes, c'est encore pire.
[02:09:44] Speaker B: Ah ouais c'est vrai que c'est encore pire ouais.
[02:09:48] Speaker C: T'as eu ça dans Paris Match ? Si Paris Match existait mais c'était il y a longtemps.
J'ai jamais lu Paris Match, c'est bien.
[02:09:55] Speaker B: Moi j'adore Paris Match, bon après c'est parce que j'aime les potards mais...
J'adore regarder les nouvelles histoires sur Slimane, je peux te dire qu'il en a plein le nez. Je sais pas vraiment si c'est lui qui en a plein le cul ou s'il en met plein le cul, mais bon, apparemment, s'il en met plein le cul, les gens sont pas trop ok. Ça a l'air d'être quand même compliqué.
[02:10:12] Speaker C: Ouais, t'as vraiment lu des articles.
[02:10:14] Speaker B: Mais oui, il agresse sexuellement dans les tourbus les gens qui bossent avec lui.
[02:10:17] Speaker D: Même sans ça, tout Facebook ou Insta, tu vois les trucs passer.
[02:10:20] Speaker C: Alors, j'ai fermé Facebook et Instagram. Vraiment, tu tombes parfaitement. Mais c'est exactement pour ça que j'ai fermé.
[02:10:27] Speaker B: J'en avais marre de tout ce qui se passe. Oui, c'est normal.
Après, c'est intéressant.
[02:10:33] Speaker D: Après, Facebook, c'est un réseau social qui est complètement mort maintenant. Il ne reste que les vieux.
[02:10:39] Speaker B: Ouais, il y a 2-3 trucs qui fonctionnent quand même.
[02:10:40] Speaker D: J'y gardais juste pour ma daronne, moi, perso.
[02:10:42] Speaker F: Moi, j'y gardais plus pour les événements.
[02:10:44] Speaker D: Ah oui, les anniversaires.
[02:10:46] Speaker F: Non, les concerts, plutôt.
[02:10:48] Speaker B: Bah ça va, j'ai le droit de l'utiliser pour moi, j'ai le droit de...
[02:10:52] Speaker C: Je me suis pas exclu de cette conversation. Moi j'ai plus fait e-book donc je.
[02:10:56] Speaker B: Ne suis pas au courant de rien. Pause, recharge.
[02:10:58] Speaker C: Je vois plus de concerts, je vois plus rien. Plus rien n'existe.
[02:11:00] Speaker B: Mais si les concerts tu les as, je te les donne en retard mais... Ah oui ?
[02:11:03] Speaker C: Ah hier, tu voulais aller voir ce groupe hier ? Ah ouais ?
[02:11:09] Speaker B: Bah j'avais pas demandé de place.
Ce qui est intéressant c'est qu'on n'aura pas à lui dire si tu as besoin de place de concert parce que c'est son métier donc normalement ça nous fait une personne en moins.
[02:11:20] Speaker C: Peut-être qu'on peut lui demander des places plus facilement.
[02:11:23] Speaker B: Je pense qu'on n'a pas trop de problèmes.
[02:11:27] Speaker C: On n'a pas eu trop de refus.
[02:11:28] Speaker B: Non, c'est des gens avec qui on s'entend bien. Donc tu cries, t'as envie de crier, t'as beaucoup de rage en toi. Tu veux l'exprimer qu'en criant ou en.
[02:11:38] Speaker E: Écoutant cette musique ?
[02:11:39] Speaker F: Non, c'est juste que ce genre de musique, ça l'exprime de cette manière-là. Après, dans mes créations, je pense que je l'exprime aussi différemment.
[02:11:48] Speaker B: Tu me fais des rebeses à base de scies et de couteaux.
et puis généralement ils ont des tronçonneuses dans la main. C'est vrai que ça a un petit message.
[02:11:55] Speaker F: Non mais j'ai pas mal de trucs déchirés et tout.
[02:11:58] Speaker B: Ça se manifeste dans la mode plus par des trucs déchirés ? Il a l'air d'avoir une violence ?
[02:12:04] Speaker F: Bah plus dans les sculptures en fait, parce que j'aime bien tout ce qui est texturé, tout ce qui a du volume en fait. Je sais pas, déjà les mains j'ai toujours besoin d'être occupée avec, je suis hyper manuelle. Je pourrais pas faire un métis ?
[02:12:18] Speaker D: Non.
[02:12:19] Speaker B: Non, j'ai rien dit. Effectivement, dans ma vie, ce qui s'est.
[02:12:23] Speaker C: Passé, je me suis dit, le pire.
[02:12:25] Speaker B: N'Était pas de sourire. Et j'ai regardé dans le vide l'extrait pour me dire, il ne faut pas que je croise le regard.
[02:12:32] Speaker F: Moi, j'ai vu les regards et j'ai entendu rigoler, donc bon.
[02:12:34] Speaker B: Non, mais pour une fois, j'ai essayé de te dire.
[02:12:36] Speaker C: Non, je n'ai rien fait, je suis innocent.
[02:12:38] Speaker D: C'est des rires nerveux, c'est pas grave.
[02:12:41] Speaker B: Moi aussi, je suis très manuel, mais pas tout le temps non plus.
[02:12:43] Speaker C: C'est ce que je viens de comprendre, une blague qu'on m'avait racontée hier.
[02:12:47] Speaker D: Je suis blonde.
[02:12:50] Speaker B: Donc du coup, je sais même plus.
[02:12:53] Speaker F: Ce que je disais.
[02:12:54] Speaker C: Tu disais que tu avais besoin de faire des choses avec tes mains dans le volume.
Et il en remet une couche.
[02:13:05] Speaker B: C'est parce que ça monte au cerveau une deuxième fois. Enfin au cerveau, encore une fois.
[02:13:11] Speaker C: Ton cerveau, ça marche vraiment comme les trucs où tu tapes avec un marteau dans les fêtes foraines. Et ça fait chting !
[02:13:17] Speaker B: Ça redescend et puis un gars il dit « Recommence, recommence ! » « T'es plus fort !
[02:13:21] Speaker C: » Bref, pardon. Donc les mains occupées, volume.
[02:13:26] Speaker F: Voilà. Non mais c'est ça, c'est une manière d'expression. Non mais on va pas y arriver.
[02:13:32] Speaker C: Il est con, il est con.
[02:13:33] Speaker B: Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?
[02:13:36] Speaker C: Mais comme ça vous savez !
[02:13:39] Speaker B: Je crois qu'elles avaient compris toutes les deux que j'étais pas une lumière.
[02:13:42] Speaker C: Ah bon ? On sait que t'es pas une lumière, regarde. Voyez, il s'allume pas.
[02:13:48] Speaker B: On n'a pas des bonnes vannes non plus. Mais du coup dans les masques et tout, c'est genre tout le temps...
À part le sang !
[02:13:58] Speaker F: Non mais justement les couleurs c'est un truc que j'ai plus de mal après coup à choisir. Donc c'est vrai que je reste souvent dans des couleurs sombres, du noir ou avec des... J'aime bien la patine parce que ça donne un côté un peu... Enfin c'est comme si ça avait du caractère, ça donnait l'histoire au personnage en fait. Mais tout ce qui va être... Enfin ouais le volume c'est vraiment ce qui me plaît le plus et vraiment mon kiff quoi.
[02:14:20] Speaker B: On peut voir des créations à toi ?
[02:14:23] Speaker F: Oui, tout à fait. T'as ton Instagram ? J'ai un Instagram, j'ai même un site. Mon nom c'est ibisella costume designer. Pas ibicella secours, parce que pour la petite anecdote... En fait, ça fait des années que j'utilise ce nom-là. J'avais un site avant, après j'ai rechangé. Et entre temps, je me suis dit, je vais voir ce qu'est devenu mon site. Et en fait, il y a une nana qui a repris ibicella studio, je crois un truc comme ça. C'est une actrice porno.
[02:14:49] Speaker B: Effectivement, ça peut plaire à certaines personnes, mais c'est pas elle.
[02:14:53] Speaker C: Elle essaie de nous faire croire que c'est pas elle.
[02:14:56] Speaker F: J'ai déjà reçu un message de quelqu'un en pensant que j'étais cette personne sur Facebook.
[02:15:00] Speaker B: Après sur internet, il y a quand même un sacré lot de vislards.
Non mais c'est vrai. Les hommes, elle a dit, ils n'ont pas beaucoup évolué. Au final... Mais je pensais quand même que les expressions et les mots débiles avaient quand même changé. Enfin, j'osais espérer un petit peu. De dire qu'une blonde c'est bête, pour moi c'est un truc qui... Je sais pas.
[02:15:27] Speaker C: C'est bête.
[02:15:28] Speaker B: C'est con.
[02:15:28] Speaker D: C'est stupide mais... T'as encore des hommes qui disent qu'une femme qui chante du métal c'est pas possible. Elle peut pas gueuler comme un homme. J'entends ça tous les deux jours.
[02:15:37] Speaker B: Oui parce que toi tu cries.
Elle avait envie de crier. D'un second ça va hurler. Qu'est-ce que tu penses un petit peu de toute la scène actuelle ? Pas que Metalcore, parce que j'ai bien compris que du coup, comme il y avait un passage clair dedans, finalement on ne défendra pas le Metalcore. Peut-être les groupes de Desk ?
[02:16:00] Speaker C: C'est la vraie question, c'est une bonne question. En commentaire, dites-nous si vous pensez que dans le Metalcore, il faut forcément qu'il y ait un passage chanté ou pas.
[02:16:08] Speaker D: Parce que je suis curieuse de savoir aussi.
[02:16:09] Speaker C: Ouais moi aussi, en fait je ne m'étais jamais vraiment... Pour moi non, mais en fait...
[02:16:12] Speaker D: C'est ce que tout le monde me...
[02:16:14] Speaker B: Quand je vais dans un certain bar qui s'appelle, je vais dire les furieux mon dieu, le Feel Good, excusez-moi je suis tellement vieux, les gens quand on parle de Metalcore ils disent systématiquement mais non il n'y a pas de le passage clair.
[02:16:24] Speaker F: J'ai du mal à dire les styles que j'aime bien parce que c'est plus... je vais plus facilement dire tel groupe j'aime bien, tel groupe j'aime pas mais justement dans tout ce qui est... Il y a tellement de sous-genres que.
[02:16:34] Speaker D: C'Est dur de...
[02:16:38] Speaker B: D'être juste !
[02:16:39] Speaker C: Et puis surtout, le metalcore maintenant, ça fait quoi ? Ça fait 15 ans, au moins 15 ans que ça existe.
[02:16:48] Speaker D: Et c'est surtout que le metalcore qu'on appelle metalcore aujourd'hui, moi je me souviens à l'époque, il y a 15-20 ans, avec des groupes comme For The Fallen Dreams, on n'appelait pas ça du metalcore, on appelait ça du hardcore californien. Et d'un coup il y a eu un virage et même moi j'ai eu du mal à...
[02:17:02] Speaker C: Alors l'autre fois on m'a dit, moderne, moderne hardcore, moderne metalcore. J'ai fait ah ouais, carrément.
[02:17:11] Speaker B: Ah bah on a su, l'étape est là. Ah bah normalement ça arrive après mais bon ça a suivi.
[02:17:15] Speaker C: Je sais pas moi. Je suis perdu moi dans ces histoires, je ne comprends pas pire.
[02:17:20] Speaker B: C'est comme tout ce qui est néo métal qui revient, new metal, ceux qui préfèrent qu'on dise comme ça.
[02:17:24] Speaker C: Maintenant c'est du post-Neo-Metal ?
[02:17:25] Speaker B: Ouais, il y a du post-Neo-Metal, alors que ça n'a rien de l'idée de tout ce qui est post-quelque chose. Enfin bref, c'est juste là que ça arrive après. Et c'est exactement fait de la même chose, de la même façon. Mais pourquoi le changer de nom ?
[02:17:35] Speaker C: Le post-Neo-Metal, c'est quand t'es habillé en jaune et bleu et que tu livres le courrier ?
[02:17:40] Speaker B: Ah, tu parles de Five Figured Death Punch ? Désolé, on a aussi... Excusez-moi, j'ai une question pour vous.
[02:17:47] Speaker C: Est-ce que vous aimiez Five Figured Death Punch ?
[02:17:50] Speaker F: Non.
[02:17:51] Speaker C: Bonne réponse.
[02:17:54] Speaker B: Je note.
[02:17:54] Speaker C: Très bien, un point en plus pour chacune. Est-ce que vous aimez Korn ?
[02:18:01] Speaker B: Alors 10 points moi.
[02:18:02] Speaker D: Je suis pas une grande fan.
[02:18:04] Speaker B: C'est un Korn, vu qu'elle a juste fait un mouvement de tête, ça sera que 10 points, sinon ça aurait été 40 000 points.
[02:18:09] Speaker D: Je les ai vus plusieurs fois, franchement j'ai aimé en live, mais j'écoute jamais chez moi.
[02:18:12] Speaker B: T'as le droit de pas aimer, y'a aucun souci.
[02:18:15] Speaker C: T'as le droit de pas aimer comme t'as le droit de pas revenir dans cette émission.
[02:18:18] Speaker D: Il y a des groupes que je vais vraiment détester, des groupes que je vais vraiment adorer, et t'as des groupes comme ça qui vont me laisser un peu insensible. C'est genre en live, je vais prendre des fois une grosse claque, des fois pas, mais j'ai pas envie de les écouter chez moi.
[02:18:28] Speaker F: C'est un peu pareil, il y a des trucs comme ça.
[02:18:32] Speaker B: On a tous des sensibilités différentes avec les autres.
[02:18:35] Speaker C: Comme on dit, ça m'en touche une sans faire bouger l'autre.
[02:18:38] Speaker B: Bon ça aussi c'est une bonne vieille expression.
[02:18:41] Speaker C: Elle a le mérite d'exister.
[02:18:43] Speaker B: Elle a une belle image.
[02:18:44] Speaker C: Elle est valable pour tout le monde.
[02:18:46] Speaker B: C'est-à-dire qu'on s'est toujours demandé comment c'était possible.
[02:18:48] Speaker C: Attends.
[02:18:50] Speaker B: Je vais essayer. Ah l'autre elle vient avec alors.
[02:18:52] Speaker C: Non mais tu sais c'est des trucs comme ça. Ah pardon j'avais cru que c'était des couilles. Les trucs où t'as les deux boules qui font comme ça.
[02:18:57] Speaker B: Mais y'a celle du milieu qui bouge pas.
[02:18:58] Speaker C: Ouais exactement. Ça en bouge une sans faire bouger l'autre.
[02:19:03] Speaker B: Ok. Tu parles de quoi ? Moi je parlais de burnes.
[02:19:07] Speaker C: Ah d'accord, pardon. Ça veut dire brûler en anglais.
[02:19:11] Speaker B: Ça me rappelle une chanson. Ah tu l'as reconnue ? C'est du metalcore ça non ? Ah non, il criait pas.
Il a empoisonné ! Il y a des groupes que t'aimes pas vraiment ? Tu te demandes pas d'expliquer pourquoi ? T'as le droit de pas aimer des groupes mais il y a vraiment que t'as pas envie de le dire pour pas qu'on t'emmerde parce que forcément il y a des gens qui vont agir.
[02:19:43] Speaker F: Déjà il y a des styles que j'aime pas.
[02:19:45] Speaker C: Ah ouais c'est ça, c'est une meilleure question que la tienne.
[02:19:47] Speaker B: Si c'est pour me dire le reggae.
[02:19:47] Speaker C: On parle les dranks. Félicite-la, elle a posé une meilleure question que la tienne.
[02:19:52] Speaker B: Ah bon j'ai pas entendu.
[02:19:54] Speaker C: Je m'écoutais que moi.
[02:19:57] Speaker F: Ouais non, tout ce qui va être Black, Doom, j'ai vraiment du mal... Trop aiguë, je trouve.
[02:20:03] Speaker B: Ah dans la voix ?
[02:20:05] Speaker F: Ouais, voix trop aiguë. Enfin en fait, tous les sons aiguës, j'ai l'impression d'être plus agressée que... Gueuler grave ça va, les sons graves et tout ça va, mais genre les solos de guitare aiguës j'aime pas, les voix.
[02:20:17] Speaker B: Aiguës...
T'aimes pas Slayer alors ?
[02:20:19] Speaker F: Ouiiii ! Je trouve ça chiant quoi.
[02:20:26] Speaker B: C'est une question de goût, c'est tout.
[02:20:30] Speaker F: Et tout ce qui va être... Alors c'est pas très beau comme terme, mais groupe... Attends je cherche.
[02:20:39] Speaker B: Attention, dans cinq secondes vous allez avoir un mot qui va tous têtous vous énerver !
[02:20:44] Speaker C: Non mais peut-être tu peux dire des noms de groupes... Bah tu sais tout.
[02:20:46] Speaker F: Ce qui est Nightwish avec... Ah le Symphonique ! Voilà, c'est ça que je cherchais.
[02:20:50] Speaker C: J'étais en train de préparer une blague, mais vous aimez le Symphonique ou vous êtes des femmes ? Je voulais la faire. Aucune des deux. Mais bien sûr, mais personne...
[02:20:57] Speaker B: Enfin... Ça cartonne le Symphonique.
[02:20:59] Speaker C: Bien sûr !
[02:21:00] Speaker B: Je connais un compte Instagram.
[02:21:02] Speaker C: Sonata Temptation.
[02:21:03] Speaker B: Il va falloir un jour qu'on aille vérifier quand même.
[02:21:08] Speaker C: Le symphonie.
[02:21:11] Speaker B: Pareil, ça te... C'est quoi le coup d'opéra ?
[02:21:16] Speaker F: Pas plus l'opéra que... Je sais pas, je trouve que c'est.
[02:21:19] Speaker B: Pas... T'as déjà vu en live ?
[02:21:21] Speaker F: Non mais je trouve que c'est pas... Pourtant je vais bien aimer les musiques de films, ce genre de choses.
[02:21:26] Speaker C: C'est le côté Cavalca de Valkyrie.
[02:21:28] Speaker F: Ça fait too much quoi, ça fait...
[02:21:31] Speaker B: Bah t'aimes les costumes pourtant en symphonie ?
[02:21:34] Speaker C: Là y'a du budget.
[02:21:35] Speaker F: Niveau costumes, ça pourrait être mieux je trouve.
[02:21:39] Speaker C: Il y a des gens qui ont.
[02:21:40] Speaker B: Mauvais goût, c'est vrai.
[02:21:41] Speaker C: Mais tu veux pas travailler avec eux aussi, alors ils ont pas moyen d'upscale. Upgrade ?
[02:21:46] Speaker F: Ah ouais, faut qu'ils m'appellent, c'est tout.
[02:21:50] Speaker B: Avec du fric, plein de pognon. C'est mieux, on aime l'argent quand même.
[02:21:53] Speaker F: Non mais il y a des trucs qui sont bien faits, plus ou moins, mais il y a d'autres trucs quand même...
[02:21:58] Speaker B: C'est chiant quand on est une meuf, de voir que dans le symphonique on n'utilise que des meufs, qu'on les mette là, parce que ça a été souvent le cas de prendre une nana chanteuse.
[02:22:12] Speaker C: Alors je ne suis pas sûr que ce soit des mecs qui les mettent dans cette position-là, je pense que c'est juste que c'est des registres qui sont plus classiques.
scrimer quand t'es une fille...
Tu peux me laisser terminer ma phrase ?
[02:22:30] Speaker B: Pauvre merde !
[02:22:37] Speaker C: C'est moins évident de trouver des... En général, de trouver des... Apprendre à faire du chant saturé, c'est pas commun. C'est pas le truc... Maintenant, il y a des profs de ça, mais pendant longtemps, c'était pas le cas. Et du coup, quand t'es une fille et que t'apprends à chanter, tu chantes des trucs plus avec de la voix, au final dans le symphonique, c'est la même technique que si tu chantes de la variette ou je sais pas quoi, c'est un peu vulgaire ce que je dis.
Donc t'as pas d'efforts incroyables à faire pour réussir à faire du métal en changeant ta technique de chant, t'as pas besoin.
Alors que je pense que quand tu veux crier et tout ça, déjà il y a le regard des gens, des gens qui peuvent donner leur avis négatif, qui peut te décourager plus facilement.
Comme tu disais tout à l'heure, il y a encore des mecs qui pensent qu'une fille peut pas crier comme un mec.
[02:23:37] Speaker D: Ou alors que t'es moche quand tu.
[02:23:39] Speaker C: Cries, donc tu devrais pas le faire.
[02:23:41] Speaker D: Ah ouais, ça c'est...
[02:23:42] Speaker B: On va en parler tout à l'heure.
[02:23:43] Speaker C: On va en parler des masques. Non mais du coup il y a...
Qu'est-ce que je veux dire ?
[02:23:51] Speaker B: Mais du coup je pense pas que.
[02:23:52] Speaker C: C'Est des mecs qui les aient mis là-dedans, je pense que c'est juste le truc le plus facile quand tu chantes et que t'es une fille et que tu veux faire du métal, c'est la porte d'entrée la plus...
[02:24:02] Speaker D: Je suis pas forcément d'accord parce qu'en termes de technique vocale, pour gérer ce qu'elles font vocalement en voix claire, c'est beaucoup plus compliqué que ça n'y paraît. Parfois même beaucoup plus compliqué que d'essayer de screamer.
[02:24:12] Speaker C: J'ai pas dit que c'était facile, je dis que c'est plus évident en termes d'approche technique, parce que c'est des techniques que tu retrouves aussi dans d'autres styles, alors que le scream, à part dans le métal, y'a pas vraiment de scream. Pascal Obispo n'en a pas fait par exemple. Pas à ma connaissance, mais après, c'est un homme plein de surprises, je l'ai rencontré plusieurs fois.
[02:24:37] Speaker B: Un peu de surprises, oui.
[02:24:39] Speaker F: Après il y a ce truc là aussi, tu disais, ça s'est un peu plus démocratisé aussi. C'est vrai qu'à l'époque, nous tous je pense qu'on était plus dans cette époque là, mais il y avait Arch Enemy, il y avait pas tellement d'autres groupes où une meuf...
[02:24:52] Speaker D: Il y avait Hetz en France qui était un gros... Une grosse claque dans la gueule à l'époque quand même.
[02:24:57] Speaker F: Mais c'est vrai que maintenant ça se démocratise beaucoup plus.
[02:24:59] Speaker C: Opeth aussi.
Ouai, ouai, ouai, il y avait quelques trucs.
[02:25:04] Speaker D: Mais après, à l'époque aussi, il y avait beaucoup qui se blessaient parce que justement, ils n'avaient aucune technique vocale.
[02:25:11] Speaker C: Aujourd'hui, c'est un grand risque.
[02:25:12] Speaker B: Ça a gueulé pour de bon, vraiment à fond. On parlera technique un petit peu après parce qu'il me semble que tu pourras nous en dire peut-être un peu plus.
[02:25:20] Speaker D: Pas autant que mes profs de chant.
[02:25:22] Speaker B: Oui, c'est normal, c'est tes profs.
Mais du coup on va regarder un clip. On en est où ? Alors ça par contre je ne connais absolument pas.
[02:25:30] Speaker C: Ah bah c'est bien parce que j'en ai passé dans mon émission, j'en ai déjà parlé en plus.
[02:25:34] Speaker B: Mais je ne me souviens pas. Skind. S-K-Y-N-D.
[02:25:38] Speaker F: Je ne sais pas si on dit Skind ou Skind.
[02:25:40] Speaker C: Je crois qu'on dit Skind.
[02:25:41] Speaker B: Je suis perdu.
[02:25:43] Speaker C: Je crois.
[02:25:43] Speaker B: A vous de nous dire pareil.
[02:25:44] Speaker C: Je l'ai vu au Trebendo.
[02:25:46] Speaker F: J'avais vu aux étoiles, c'est trop bien. J'avais un peu peur parce que comme c'est une voix un peu trafiquée, j'avais peur que ce soit trop trafiqué mais en fait tu sens que la Nana elle a une technique quand même. Et puis c'était hyper carré, tous les mouvements qu'elle faisait c'était tout calé sur la musique.
[02:26:07] Speaker C: En fait il y a beaucoup de voix pitchées ou des choses comme ça, donc il y a beaucoup d'effets qui sont calés sur une séquence. C'est aussi ça qui fait que c'est hyper carré, c'est parce que tous les effets sont pré-programmés.
pour qu'elle, en live, elle a juste à chanter et les effets se mettent automatiquement.
Il y a beaucoup de trucs, des voix très aiguës, très graves, il y a beaucoup de voix graves, un peu robotiques, monstres, chelou. Je te laisse en parler, pardon.
[02:26:38] Speaker F: Non mais c'est ça et du coup en live en fait c'est quand même différent je trouve que sur CD, que en écoutant comme ça parce que c'est pas exactement pareil. On pourrait se dire bon bah en fait c'est trafiqué sa voix du coup il lance le machin et puis c'est bon. Tu sens que c'est vraiment travaillé.
[02:26:55] Speaker B: Parce que expliquer comme ça, ça a l'air très riche, mais ça a l'air quand même assez chelou.
[02:27:00] Speaker F: Ah oui c'est très chelou. En fait en gros c'est un groupe qui... alors déjà leur sujet c'est que les true crime.
Donc toute leur parole c'est que sur des tueurs en série, tout ça. Et ils ont à chaque fois un visuel vraiment ultra travaillé, très particulier. En fait c'est une chanteuse, la chanteuse je crois que c'est Skynes, c'est son nom. En fait ils sont deux, c'est un mec qui fait toute la partie instrumentale. Enfin sur scène ils sont plus mais voilà. Et je sais plus comment il s'appelle, Father je sais pas quoi.
Et ouais, ils ont vraiment... En fait, il y a un côté indus, il y a un côté métal, ils mélangent des choses et enfin... Ouais, j'ai adhéré tout de suite. En fait, en gros, je l'ai découvert sur YouTube, le clip qu'on va passer là. Parce que je sais pas, ça s'était mis dans l'actualité. Ils ont fait un featuring avec Jonathan Davis. Je pense que c'est ce qui les a fait connaître aussi.
[02:27:58] Speaker B: Et... Et Pilem l'esture en série. Ouais. Enfin, l'histoire des tueurs enseignes, ils soutiennent pas les tueurs enseignes.
[02:28:03] Speaker F: Il y a un vrai public quand même pour ce genre d'histoire et tout ça, donc je pense qu'ils ont trouvé le bon filon.
[02:28:09] Speaker D: Ils ont kiffé les femmes.
Ah ouais ? Ouais, les trous crimes, ils sont vachement regardés par les femmes. C'est notre côté un peu...
[02:28:18] Speaker B: Je regarde bien comme ça, peut-être que je pourrais faire pareil.
[02:28:20] Speaker D: Alors comment ne pas me faire choper ?
[02:28:24] Speaker F: Ça donne des idées. Non mais voilà et du coup j'avais vraiment trouvé ça chouette l'image du groupe et c'est vrai qu'à chaque morceau, ils n'ont pas énormément de morceaux, mais à chaque fois ils ont un clip différent, même une tenue différente, un maquillage différent.
[02:28:40] Speaker B: Qui est adapté à l'histoire et tout ?
[02:28:44] Speaker F: Pas plus à l'histoire que ça, je pense, mais plus au personnage de la chanteuse.
[02:28:49] Speaker B: D'accord. Ok. Encore une fois, je n'ai pas regardé le clip, donc je vais le découvrir peut-être avec pas mal de gens.
[02:28:56] Speaker D: Je connais pas le nom, je connais.
[02:28:58] Speaker C: Deux noms, mais... Peut-être qu'il sera striké.
[02:29:00] Speaker B: Ah, peut-être que c'est la fin de l'émission alors ! On va bien voir.
Quelque chose encore à dire sur Skyneskin ?
[02:29:09] Speaker F: Ah si, j'ai un truc à dire. J'avais un bonnet que j'ai perdu devant le docteur Feelgood.
[02:29:14] Speaker B: Voilà, donc si vous êtes de bon avenir, n'hésitez pas, envoyez-nous un petit message, on se débrouillera pour le récupérer, ou laissez-le au bar. Oui, peut-être que quelqu'un lui a foutu quelques pouls dedans, tu pourras le nettoyer.
Ça marche quand même, tu seras content de le retrouver, peut-être qu'il sera un peu déformé.
En attendant, on va regarder ce clip, et c'est donc le featuring avec Jonathan Davis. C'est un très bon choix, effectivement.
[02:29:40] Speaker F: Forcément, tu vas aimer.
[02:29:42] Speaker B: Je vais me concentrer.
[02:29:43] Speaker A: Allez c'est parti ! Off with your mix Shut up, shut up, I don't wanna hurt you I don't want to hurt you 35, 20, North, Marshall, 3 One leg in the ground One head in the stone Returned to stand up And the darkness knows All of the thoughts that I feel Oh God He won't be amused Dark.
[02:32:52] Speaker C: Shadows over you.
[02:33:04] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[02:33:40] Speaker B: Le bâtiment est si paisible.
[02:33:41] Speaker C: Tu fais de la musique.
[02:34:12] Speaker A: Now here is one more cracker, devil's cookies in the front.
[02:34:16] Speaker C: Cook your chocolate.
[02:34:18] Speaker A: Shut up, shut up, I don't want to hurt you. I don't want to.
[02:34:35] Speaker E: Hurt you.
[02:34:38] Speaker A: I don't want to hurt you.
C'est la première fois que j'entends ça. C'est incroyable.
C'est génial!
[02:37:43] Speaker C: Bonne chance.
[02:38:17] Speaker A: Bye !
[02:39:05] Speaker B: Que de découverte, parce que ça aussi je ne connaissais pas, enfin il ne me semble pas, ça s'appelle Whispers, je ne dis pas de bêtises, avec Rétribution, je le dis à la française parce que c'est quand même beaucoup plus simple.
[02:39:16] Speaker C: Rétribution.
[02:39:17] Speaker D: Dis le nom de l'album qu'on rigole un peu.
[02:39:21] Speaker B: Le nom de l'album je ne l'ai pas voté. Tu crois qu'il a des notes aussi poussées ? Regarde ce qu'il y a écrit sur Andrew, c'est juste les liens YouTube pour que je puisse cliquer avec mon doigt. Ah ça marche pas.
Vraiment tout ce boulot pour rien.
[02:39:32] Speaker C: Je pense que ça fait deux ans que tu mets les liens YouTube et que t'es pas encore rendu compte.
[02:39:36] Speaker B: J'avais pas encore essayé de cliquer. Bon c'est ton choix Gladys, ce qu'on vient d'écouter. Bon t'es énervée aussi ?
[02:39:43] Speaker D: Ouais aussi un peu. Mais pas que. Non je veux pas tomber au catharsis là c'est bon.
[02:39:51] Speaker B: C'est ça c'est du hardcore ?
[02:39:53] Speaker D: C'est du hardcore de Bangkok.
[02:39:55] Speaker B: Ah bon ?
[02:39:55] Speaker D: Oui, du coup je...
[02:39:57] Speaker B: Dis comme ça, ça me fait rire mais...
[02:39:58] Speaker D: Mais comme quoi, tu vois, mais jusqu'à Bangkok y'a de la bonne musique.
[02:40:01] Speaker C: Alors il y a une scène métal très développée en Asie.
[02:40:06] Speaker B: Le hardcore en plus est très développé en Asie non ?
[02:40:09] Speaker C: Oui le hardcore il y en a encore plus notamment.
[02:40:12] Speaker D: On en parle peu au final alors que tu vois il y a des petites pépites.
[02:40:16] Speaker B: On fait un coucou à Kelly qui fait une chronique sur le rock qui vient d'Asie. Souvent elle passe du metalcore asiatique ou du hardcore. Elle écoute des trucs vénères aussi, je pense que Kelly a envie de tuer des gens aussi.
[02:40:27] Speaker C: D'ailleurs j'ai découvert un groupe de hardcore vietnamien là et ça fait un moment que j'hésite à passer un titre. Là on le fera peut-être la prochaine fois. Le problème c'est de dire les noms. Parce que là c'est en vietnamien le nom. On va vraiment passer pour des Bunia. Un peu plus un peu moins.
[02:40:44] Speaker B: Moi j'aime ça les Bunia.
[02:40:45] Speaker C: C'est bon avec du sucre glace.
[02:40:48] Speaker B: La petite fleur d'oranger, ça nous rappelle le pays.
[02:40:51] Speaker C: Ça nous rappelle le pays.
[02:40:53] Speaker B: Elle est navette. Alors c'est qui ce groupe, c'est quoi ? À part que ça vient de Bangkok.
[02:41:01] Speaker D: Bah en fait moi à la base on m'a demandé de sortir deux albums qui sont sortis ce mois-ci et franchement en décembre il n'y a pas eu grand chose.
[02:41:07] Speaker B: Il y a rarement grand-chose dans ma déception, c'est vrai que c'était un peu.
[02:41:11] Speaker C: Salaud de ma part.
[02:41:12] Speaker D: Et pour le coup, c'est un pote qui m'a envoyé le lien vers ce groupe, je ne le connaissais pas du tout, je l'ai découvert cette semaine.
[02:41:18] Speaker B: Ah oui d'accord.
[02:41:19] Speaker D: Alors vraiment.
[02:41:20] Speaker B: C'est une découverte pour tout le monde, c'est bien.
[02:41:22] Speaker D: Je l'ai découvert cette semaine, mais à la première écoute, j'ai adhéré direct. Dès l'intro, j'ai adhéré, donc je me suis dit, ça vaut le coup d'en parler. Et comme je ne le connaissais pas, c'était l'occasion de le faire découvrir.
[02:41:31] Speaker C: Merci de partager ça avec nous. Puis bientôt, on va aller faire une émission en plus là-bas.
[02:41:37] Speaker B: On va faire bang bang coke. Je serais ravi. J'ai toujours aimé cette nuit.
[02:41:47] Speaker C: Je sais bien.
[02:41:51] Speaker B: Je nage, j'ai plein d'images.
des souvenirs surtout. Mais donc on peut pas parler plus de ce groupe là.
[02:41:59] Speaker D: Je le connais pas en termes de passif, je sais pas depuis combien de temps il existe réellement, s'il est connu ou pas connu, j'en ai pas la moindre idée, ce que je sais juste c'est que c'était agressif, c'était brut, et que c'est tout ce que j'attendais d'un groupe de hardcore en fait.
[02:42:10] Speaker B: Disons un merci à ton ami, il s'appelle comment ? Alexis !
[02:42:16] Speaker C: Ça c'est qu'il y a des pseudos qu'on peut pas dire. Il y a des petits noms que des fois on se donne.
[02:42:21] Speaker B: Pourquoi il s'est appelé comme ça il y a 20 ans ?
[02:42:23] Speaker C: Alors Pierre, là, tu vois, je suis content. Je me dis que c'est un très bon choix pour l'équipe parce que je vois qu'elle prépare presque autant que toi les...
[02:42:32] Speaker D: En vrai c'est le seul que j'ai pas.
Parce que je l'ai découvert moi aussi cette semaine quoi.
[02:42:40] Speaker C: T'as pas besoin de te défendre, c'est une blague gratuite, sans accusation aucune. C'est très bien, tu fais très bien ton travail, quand c'est pas pour nous.
Du coup tu chantes aussi ?
[02:42:56] Speaker B: Parce qu'on a parlé de ce que tu fais comme métier mais il me semble que tu chantes un groupe ?
[02:43:00] Speaker D: J'ai un groupe, mais ça sert à rien d'en parler pour l'instant puisqu'on n'a encore rien créé. Mais effectivement j'ai un groupe et je prends des cours de chant pour gueuler le plus fort possible, le mieux possible.
[02:43:11] Speaker B: Comment on trouve des profs de chant, de cri ?
[02:43:15] Speaker D: Franchement moi ça a été d'abord pour Romain Lebihan qui me donne les cours, c'est le chanteur de Géraud, c'était le bouche à oreille, c'est un pote à moi qui prend des cours avec lui et qui m'a conseillé.
J'ai pris des cours aussi avec Lina, la chanteuse de Paralyx, mais c'était très compliqué d'avoir un créneau avec elle donc comme j'arrivais jamais à en choper, je me suis rabattue sur Romain qui me donne des super bons cours. Et puis j'ai des cours aussi avec David Ferron qui est quand même la référence en termes de prof de chant.
[02:43:37] Speaker B: Il s'appelle comment ?
[02:43:38] Speaker D: David Ferron.
[02:43:39] Speaker B: Ah, j'ai compris, David Furoncle.
C'est quand même pas de chance d'avoir un nom comme ça. Non, Ferron c'est quand même beaucoup plus simple.
[02:43:45] Speaker D: C'est vraiment la référence dans le chant scrimmé, c'est je crois l'un des premiers profs qu'on ait eu en France de scrim.
[02:43:51] Speaker C: C'est l'un des plus grands spécialistes français de la voix scrimmée.
Quasiment tous les chanteurs français sont passés.
[02:43:57] Speaker B: Il est plus connu, ils vont chez lui. Comment on devient prof de chant crié ? C'est parce que tu l'as exercé dans ton groupe et qu'on t'a reconnu une qualité de chanteur ?
[02:44:08] Speaker D: Il était chanteur, David, à l'époque.
Enfin avant, je ne pense pas qu'il continue maintenant. De toute façon, il est tellement demandé pour ses cours que le pauvre travaille tellement qu'il n'aurait pas le temps. Mais ouais, il était chanteur avant. Et il a fait aussi des vidéos pour montrer l'intérieur de ce qui se passait quand tu scrimais, etc. Donc c'est hyper intéressant. Et puis il a capté ce qui faisait que tu ne te blessais pas quand tu faisais ça, mais tu pouvais te blesser si tu faisais ça.
[02:44:30] Speaker B: Donc il était apte à donner des conseils.
[02:44:35] Speaker C: C'est ça.
[02:44:35] Speaker D: Quand on crie mal, on peut se blesser et ça peut être irréversible.
Il y a des chanteurs qui ont eu leur carrière complètement bousillée à cause de ça, parce qu'ils n'avaient aucune technique. Même si le scream était beau, ils n'avaient pas la bonne technique. Ils se flinguaient les cordes vocales.
[02:44:49] Speaker C: Il y a beaucoup de chanteurs qui, sur les premiers albums, crient comme des cris.
Et après, du coup, on peut entendre le changement de chant entre des albums parce qu'entretemps, ils ont rendu compte que ça n'allait pas durer bien longtemps s'ils continuaient comme ça. Du coup, ils changent de chant. Je pense à Architects. Il y a un énorme changement après Hollow Crown où son chant est devenu beaucoup moins agressif.
parce qu'en fait il scrimait vraiment et en fait en live il tenait pas. Et puis surtout à la longueur tu t'abîmes et puis tu peux faire des espèces de... Des nodules sur les cordes. Après du coup ça c'est permanent et si tu les retires il y a toujours le risque de... Enfin, on touche la gorge c'est toujours.
[02:45:37] Speaker B: Un peu... Oui, c'est un endroit sensible.
[02:45:40] Speaker C: Mais même Holly Sykes a changé la chanson qu'on a écouté tout à l'heure. Cette voix, il ne peut plus le faire. Et d'ailleurs, il ne joue plus le titre.
[02:45:52] Speaker D: Si, il en refait. Moi, je sais qu'à la date de Londres et Sheffield, il a fait le titre Diamonds, mais il ne l'a pas fait tout seul, je crois. Il l'a fait en duo.
Je pense pas qu'il soit encore aujourd'hui capable de tenir un titre en entier, mais il le gère encore.
[02:46:06] Speaker C: Parce qu'en plus, des fois, ça change un peu la hauteur à laquelle tu peux aller, parce que la technique, c'est mieux que moi, mais je crois qu'il peut plus atteindre des notes aussi hautes en screamant comme il le faisait à l'époque.
[02:46:19] Speaker D: Il s'est gosé à l'époque, franchement.
[02:46:22] Speaker C: Ça s'entend d'ailleurs sur le titre.
[02:46:23] Speaker D: C'est ce qui étant dit, dans le dernier album, le titre d'Iggy, tu sens un vrai scream à l'ancienne, qui faisait vachement plaisir quand même, avec une autre technique, mais tu sentais la même intensité qu'à l'époque.
[02:46:32] Speaker B: Et il y a des gens qui peuvent, enfin je veux dire, je vais poser une question de merde, désolé, mais comme c'est crié, on pense que tout le monde peut le faire.
[02:46:38] Speaker D: Tout le monde peut le faire.
[02:46:39] Speaker B: Ouais, mais du coup ça dépend pas, parce qu'il y a des voix qui sont jolies, des voix qui sont moches, est-ce que quand on crie du coup toutes les voix passent ? Je sais pas, je me pose une question, j'en sais rien.
[02:46:48] Speaker C: Moi je pense qu'il y a des...
[02:46:49] Speaker B: Dans la variété on sait bien qu'il y a des gens, bon ils ont des voix qui sont dégueulasses, ça passe pas.
[02:46:52] Speaker D: Je pense que la voix n'a pas forcément d'influence sur le scream, il faut savoir chanter juste pour pouvoir screamer juste, ça c'est un fait. Mais moi je déteste ma voix claire. Même si les autres membres de mon groupe me disent qu'elle est bien, moi je la déteste. Par contre mon scream je l'aime bien.
[02:47:07] Speaker B: Ça c'est le principe de la voix.
Quand on entend sa voix, au début on la trouve dégueulasse, après on s'amuse.
[02:47:14] Speaker D: Comme c'est une saturation, c'est pas ta voix de base.
[02:47:18] Speaker C: Après je pense quand même qu'il y a des saturations plus belles que d'autres. Comme il y a des voix, des timbres plus beaux que d'autres, plus harmonieux.
[02:47:24] Speaker B: C'est au niveau de la gorge qu'on travaille ça ?
[02:47:26] Speaker D: Il y a tellement de choses que tu travailles.
[02:47:30] Speaker C: Le souffle, c'est le même que quand tu chantes.
[02:47:34] Speaker D: T'as une respiration ventrale et non thoracique, t'as l'ésigomatique qu'il faut toujours mobiliser, t'as du coup le résonateur, la bouche qu'il faut selon les notes placer comme il faut, la langue avec le placement en importance, le palais pareil, il faut que tes côtes soient au bon endroit au bon moment, même le muscle pelvien il doit travailler aussi.
[02:47:56] Speaker B: D'accord. Bon, c'est pas donné à tout le.
[02:47:58] Speaker C: Monde non plus alors. Oh bah c'est technique. Après quand tu connais depuis longtemps, je pense qu'on t'en fait, après ça devient automatique.
[02:48:05] Speaker D: Moi j'en suis même pas encore là, je suis encore à l'étape où je réfléchis quand je fais. Et je continue de bosser pour que ce soit automatique justement.
[02:48:12] Speaker C: Pire aussi il réfléchit quand il fait.
[02:48:16] Speaker B: Tu parles de quoi exactement Valère ? J'aimerais bien qu'on précise pour les gens. Quand tu fais caca ! Parce que le reste du temps je réfléchis pas. Y'a qu'aux toilettes où j'ai un moment de lucidité.
[02:48:27] Speaker C: Des fois il va aux toilettes, il revient et il fait AH ! C'est ça qu'il fallait que je fasse.
[02:48:33] Speaker E: M'essuyer.
[02:48:34] Speaker C: J'y retourne. Désolé, voilà.
[02:48:39] Speaker B: Faut faire un bisou à mes parents, c'est eux qui m'ont éduqué.
Monique. Voilà. Et Christian, ou Christiane, pour les amis de mon père. Parce qu'ils peuvent pas l'appeler Monique, ils l'appellent Christiane, mon père s'appelle Christian.
La pauvre. Ça c'est une bonne nouvelle. La pauvre, ma pauvre maman. Je sais plus du coup, je suis perdu, je vois les amis de mon père et je vois plein de verres. Papa ? Mais du coup, c'est quoi comme style que vous voulez faire ?
[02:49:07] Speaker D: Alors le reste de mon groupe te dirait Metalcore.
[02:49:10] Speaker C: Mais comme il n'y a pas de chant clair, c'est du deathcore.
[02:49:13] Speaker D: Non, parce qu'ils veulent du chant clair, sauf que comme je disais, je ne suis pas ma voix claire à moi. Donc je dis possibilité 2 si le guitariste m'accompagne à la voix. Mais je veux mettre plus l'accent sur le scream que sur le chant clair, vraiment.
J'ai aucune envie de faire des performances vocales en chant clair tu vois, des envolées lyriques ça m'intéresse pas du tout.
Ce sera plus pour installer un moment de calme avant quelque chose de... Avant la tempête.
[02:49:39] Speaker B: T'as envie de défoncer des gueules ou quoi ?
[02:49:42] Speaker C: Après quelque part c'est une sorte de catharsis.
[02:49:44] Speaker B: Mais non mais ça me fascine, j'ai jamais eu envie de défoncer des gueules.
[02:49:50] Speaker C: T'as pas beaucoup d'envie toi à part... A part quoi ?
[02:49:52] Speaker B: A refaire caca ? Du coup je fais forcément plus caca que les autres.
[02:49:57] Speaker C: C'est à peu près la même zone mais je pensais pas à ça.
[02:50:01] Speaker D: Mais j'écoute pas que des musiques qui cassent des gueules en fait.
[02:50:04] Speaker B: Bah c'est quoi les autres ? Ah bah il y a le punk qu'on casse des gueules aussi.
[02:50:07] Speaker D: Ouais mais regarde le metalcore justement t'as des moments calmes, qui te préparent justement à la montée vénère. Moi j'aime bien la petite préparation.
[02:50:14] Speaker B: Oui c'est juste le moment de préparer.
[02:50:16] Speaker D: Ton poing pour frapper. J'écoute aussi de l'opéra, du classique, d'autres émotions en fait. Des fois t'as envie d'autres émotions tout simplement.
[02:50:23] Speaker B: Mais si t'écoutes toutes les chansons de classique et d'opéra où on a envie de tuer des gens.
[02:50:29] Speaker D: J'écoute même du rap, tu vois.
[02:50:32] Speaker B: Wesh !
[02:50:32] Speaker D: Bah ouais.
[02:50:33] Speaker B: Parce que je suis moderne. Du.
[02:50:38] Speaker D: Vrai bon rap.
[02:50:39] Speaker B: Ouais, t'écoutes pas du hip-hop français, du rap français varié ?
[02:50:42] Speaker C: Non.
[02:50:44] Speaker B: C'est quoi qui te dégoûte ?
[02:50:45] Speaker C: On m'appelle Lovny !
[02:50:46] Speaker D: Les paroles, en fait j'ai besoin quand même que les paroles elles aient un sens. Normalement le rap c'est aussi proche que le punk en termes de paroles, c'est des paroles contestataires et c'est ça que j'aime dans le vrai bon rap.
Selon moi.
[02:50:58] Speaker B: Oui, pas ceux qui parlent de...
[02:51:01] Speaker D: C'est pour l'être frais. De fric ou de meuf, ça m'intéresse pas.
[02:51:05] Speaker B: Ça en même temps je peux comprendre. Nous non plus, nous ne sommes pas forcément tirés... Bon. Après ça dépend s'il est beau ou pas, je l'écouterai sa musique.
J'aime beaucoup ce que vous faites !
[02:51:15] Speaker C: Vous pouvez pas vous mettre plus torse.
[02:51:17] Speaker B: Nu dans le clip ? Il faut bien qu'il y ait des choses qui servent aussi, c'est pas grave. Est-ce que c'est grave de voir quelqu'un de beau à la télé et de se dire tiens il est joli, je vais m'intéresser un peu à voir ce qu'il y a. Beau ou belle, je dis beau, moi je regarde que les mecs.
[02:51:32] Speaker D: Moi le jour où j'ai vu Christina Aguilera, je suis tombée amoureuse d'elle et j'ai été voir tout ce qu'elle faisait.
[02:51:38] Speaker F: Ça permet de découvrir des trucs aussi.
[02:51:41] Speaker B: Tout est bon alors ! Attention pas dans le cochon.
Bon bref, je sens que je vais m'enfoncer.
[02:51:48] Speaker C: En parlant de personnes qui aient belle torse nue.
[02:51:52] Speaker B: Oui mais... C'est pas là ? Si c'est là, si tu veux on peut y aller. Est-ce que t'as un sujet dont t'as envie de parler ? Quelque chose que t'as envie de dire sur toi ?
[02:52:00] Speaker F: Sur moi ?
[02:52:01] Speaker B: Oui, on vous présente ça.
[02:52:02] Speaker C: Ah si attends, on lui a pas demandé des trucs qu'elle aimait vraiment pas. Bon à part le hip-hop qui parle de meufs et d'argent.
[02:52:09] Speaker D: J'aime pas non plus le black metal, c'est vraiment pas ma cam. Le death metal, j'aime pas autant.
[02:52:13] Speaker C: On parle bien de black metal, elle n'aime pas le black metal.
[02:52:16] Speaker F: Je préfère préciser...
[02:52:17] Speaker C: Elle aime le deathcore mais elle aime.
[02:52:18] Speaker B: Pas le death metal.
[02:52:19] Speaker D: J'aime le deathcore mais j'aime pas le death metal. Et tout ce qui commence par poste, en général, je suis pas trop trop fan.
[02:52:24] Speaker B: Ça t'emmerde.
[02:52:26] Speaker D: En général, je m'ennuie un peu. Par contre, tout ce qui se termine par corps, en général, j'aime assez.
[02:52:29] Speaker C: Alors du coup, le post-hardcore ?
[02:52:35] Speaker B: Ah ! Attends, mais le post-hardcore, c'est pas du metalcore ?
[02:52:41] Speaker C: Il y a des groupes post-hardcore qui sont devenus metalcore après.
[02:52:44] Speaker F: Faudrait faire un arbre généalogique.
[02:52:47] Speaker C: Je pense qu'il y a un peu trop de problèmes de consanguinité dans cet arbre.
[02:52:55] Speaker B: Non mais il y a de très belles ramifications faites lors de l'exposition métal. C'était très très bien fait par vos amis.
[02:53:06] Speaker F: C'est là que tu te dis c'est bordélique, il y a tellement de trucs.
[02:53:08] Speaker B: Ben oui j'ai essayé de comprendre et puis j'ai fait c'est beau mais je vais arrêter. Après je trouve que tu ne me comprends pas.
[02:53:17] Speaker C: Il y a autant de définitions que de gens sur cet arbre. Est-ce que ça c'est le fils de ça ou c'est plus le fils de ça ?
[02:53:24] Speaker B: Je trouve que c'est... Oui, après tout est relatif et puis j'imagine que chacun a son petit truc à dire.
[02:53:29] Speaker C: Exactement Pierre.
[02:53:31] Speaker B: Est-ce que dans le rock on est casse-couilles ?
[02:53:33] Speaker D: Dans le rock ?
[02:53:34] Speaker B: Oui, nous les rockeurs, enfin rockeuses rockeurs.
[02:53:36] Speaker E: Avec mon cœur de rockeur !
[02:53:40] Speaker D: Pas plus qu'ailleurs je pense.
[02:53:42] Speaker B: Oui, c'est un avis. Elle dit rien, je sens le...
[02:53:49] Speaker D: Il y a des trucs clichés de cums qui te font des réflexions de merde, mais à part ça...
[02:53:52] Speaker B: C'est vrai que tu parlais des mecs justement là, il y a vraiment des cums qui te disent... Ouais, tu portes.
[02:53:56] Speaker D: Un t-shirt, cite-moi 3 titres. Alors ça c'est cliché de tous les mecs qui vont voir une meuf avec un t-shirt métal qui va dire, cite-moi 3 titres. Comme si tu t'y connaissais pas. Moi quand j'écris des chroniques, c'est toujours des cums qui viennent me dire, ah je suis pas d'accord.
parce qu'ils savent que c'est mon avis personnel, donc du coup je te demande pas d'être d'accord ou pas, c'est juste mon avis personnel sur ce que j'ai ressenti à l'écoute du truc, donc c'est mon ressenti en fait. T'as le droit de pas avoir le même, mais de venir me voir pour me dire « ton ressenti il est pas bon ».
[02:54:23] Speaker B: Ah bon bah excuse-moi, je vais me tuer du coup, c'est plus simple. A ne pas faire évidemment attention, c'était juste une très mauvaise blague de ma part.
[02:54:30] Speaker C: Oui... Après ils peuvent.
[02:54:34] Speaker D: Après t'as des femmes aussi qui te font des réflexions de merde, c'est pas que typiquement masculin.
[02:54:39] Speaker B: Non oui, j'imagine, j'imagine. Et donc on t'a dit aussi qu'il fallait pas crier, que les femmes ne pouvaient pas crier.
[02:54:44] Speaker D: Plus d'une fois on m'a dit, ouais mais une femme qui crie c'est pas joli. Ou... Non mais les femmes elles peuvent pas crier comme des hommes, c'est pas possible. Vous avez pas le même organe. Donc t'étais où ? T'étais dans une grotte ces dernières années, t'as pas vu les dernières grandes chanteuses.
[02:54:56] Speaker B: Qui sont... Bah si t'étais dans une grotte, tu aurais eu une femme des cavernes à mon avis, elle s'est débrouillée et puis elle aurait pas été malin.
[02:55:02] Speaker D: C'est des réflexions qui sont absurdes donc du coup je prends même pas la peine d'y répondre en général parce que... pas le temps.
[02:55:08] Speaker B: Autant de pas utiliser son énergie pour ce genre de merde.
[02:55:10] Speaker C: Mais c'est... on en parlait l'autre fois, c'est la chanteuse de Spiritbox où on lui a dit qu'elle était pas jolie quand elle chantait ?
[02:55:17] Speaker B: Oui, ils ont dit... Ils ont dit... Non, ils ont dit... Non non, ils ont dit qu'elle ne grimace pas quand elle crie donc ça veut dire que c'est pas normal.
Et elle a dit je suis pas obligé de faire une tronche de 4 km pendant que je crie.
En fait j'ai le droit d'être normal. Je fais les... comme t'as dit, je travaille. Mais je suis pas obligé de faire... Oui voilà ça. Parce que c'est des Gremlins dans le Deathcore.
[02:55:46] Speaker C: Tu vois faut que je travaille parce qu'à chaque fois que je fais cette voix là je tousse après.
[02:55:54] Speaker B: Ça me fait des guilis sur le... ça me perturbe.
[02:56:00] Speaker C: Les fausses cordes vocales. Comment ça s'appelle ? Ouais c'est les fausses cordes. Tu vois je m'y connais !
[02:56:06] Speaker B: T'as deux cons ! C'est un pipo et mollo.
[02:56:13] Speaker C: Les deux vieux du Mopetcho.
[02:56:19] Speaker B: On m'a montré juste, je suis désolé de le dire, mais ma sœur, merci Christelle, m'a montré des poules disco qui dansent et qui font des chorégraphies. C'est vieux ça ! Non, c'est un truc qui vient de sortir.
[02:56:29] Speaker C: Des nouvelles poules disco ?
[02:56:31] Speaker B: Parce que tu me l'as déjà montré ça. Oui, mais vous connaissez le Mopetcho ? Vous aimez bien ou pas ?
[02:56:37] Speaker F: Ouais bah j'ai jamais trop regardé mais.
[02:56:38] Speaker B: Bon... Ouais c'est un peu vieux, bon ok.
[02:56:40] Speaker F: Ça me fait rire quand même.
[02:56:40] Speaker C: Bah moi j'ai jamais vu.
[02:56:42] Speaker B: Comment ça t'as jamais vu ?
[02:56:43] Speaker C: Non mais je connais, je sais ce que c'est mais j'ai jamais regardé.
[02:56:45] Speaker B: Bon bah je vais m'arrêter là. Je suis trop jeune.
[02:56:47] Speaker C: Moi je suis trop jeune contrairement à toi. Espèce de vieille rombière.
[02:56:53] Speaker B: Rombière. Guerre.
C'est vrai que j'ai bien envie d'en boire une.
[02:56:58] Speaker C: J'ai une bière sans alcool si tu veux au frigo ?
[02:57:01] Speaker B: Non, non, je... Non, mais j'ai rien contre les bières sans alcool, c'est juste que j'ai envie d'avoir un petit peu le sentiment de cette légère ivresse.
[02:57:08] Speaker C: On sait comment elle va finir cette soirée.
Non mais je vais juste aller dire.
[02:57:13] Speaker B: Bonjour à des amis. C'est vrai que j'ai un petit peu... Bref, on verra bien. Non mais c'est dimanche, faut faire attention quand même. Demain c'est lundi et c'est le début de la semaine, on travaille.
[02:57:20] Speaker C: Je les tasse le dimanche. Une chanson de FFF ?
[02:57:26] Speaker B: Qu'est-ce que je voulais dire d'autre ? Bah on va passer au clip, si tu le veux bien, parce que je crois que tu as préparé beaucoup d'informations sur Until I Wake.
[02:57:34] Speaker C: Alors, fiche numéro 16. Oh oh, attendez, je vous fais un petit zoom.
[02:57:41] Speaker B: C'était comme me dire qu'elle allait me tuer ?
[02:57:44] Speaker C: Comme me te dire, oui.
[02:57:45] Speaker B: Bah excuse-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e-e Donc dites-les pourquoi, comment, où ?
[02:58:08] Speaker D: Déjà, c'est sorti ce mois-ci.
[02:58:10] Speaker B: Donc c'est nouveau.
[02:58:11] Speaker D: Tout à fait. De l'album Renovate, si je ne dis pas. Oui, c'est de l'album Renovate. Alors je l'ai pris parce qu'il y a des points d'un dévastateur dedans. J'adore ça. Évidemment, chants clairs, chants scrimés. Tout ce que tu n'aimes pas, mais tout ce que j'adore.
[02:58:27] Speaker C: Chez les autres ?
[02:58:28] Speaker D: Ouais mais en fait ce que j'aime c'est justement dans le chant clair t'as vraiment un côté émotionnel qui contrebalance vachement justement avec la rage du scream et c'est vraiment une préparation tu vois et c'est ça que j'aime le plus. Les riffs sont archi cool, ils sont super maîtrisés.
Et surtout, ce que j'ai aimé dedans, c'est la prod. Elle est vraiment impeccable. Parfois limite un peu trop. Parce que quand t'as du sang clair et du scream en même temps, ce que je reproche vachement aux Metalcore Modernes, c'est qu'ils ont tendance à baisser vachement le scream. Et c'est presque inaudible et c'est dommage parce que ça serait tellement mieux si c'était équilibré et au même niveau. Mais n'empêche que la prod est impeccable. Et le clip est très joli.
Là c'est pas un clip mais...
[02:59:07] Speaker B: C'est un live, après il aurait pu se tatouer tout le corps.
[02:59:10] Speaker D: Ah c'est ça, il manquait un peu de couleur mais à part ça, ça allait.
[02:59:12] Speaker B: Je digresse. C'est quoi ton genre de tatouage ?
[02:59:15] Speaker D: Moi j'ai beaucoup de full black. J'ai un bras en full black.
[02:59:17] Speaker B: C'est quoi full black ? Ah d'accord.
[02:59:20] Speaker D: J'ai beaucoup de full black.
[02:59:21] Speaker C: C'est tout noir. C'est incroyable non ?
[02:59:22] Speaker B: Non mais je me suis dit, est-ce que c'est ça ou est-ce que c'est d'autres trucs ?
[02:59:26] Speaker D: J'ai un côté quasiment entier full black. J'ai une jambe avec que des insectes. Et ici c'est Buffy contre les vampires. J'ai un dos chelou, je ne saurais pas l'expliquer. Et j'ai pareil le devant assez chelou avec du full black aussi, je ne saurais pas l'expliquer.
[02:59:40] Speaker B: C'est un message, ça veut dire quelque chose quand c'est tout recouvert comme ça ?
[02:59:46] Speaker C: Non, c'est sûrement esthétique.
[02:59:48] Speaker D: En fait, quand t'es au début de tes tattoos, quand t'es jeune et tout, tu fais des tattoos qui ont des significations, tu les regretterais pas, tu vois. En fait, tu les regrettes quand même. Surtout quand t'as 15 ans sur ton premier tattoo. Ne faites pas ça à 15 ans. Et plus tu vieillis, plus t'as de tattoos et plus tu te rends compte que la signification, tu t'en carres l'oignon, t'as juste envie d'avoir un truc beau en fait.
[03:00:10] Speaker B: Merci beaucoup.
[03:00:13] Speaker C: Et c'est drôle, j'ai l'impression que quand tu commences à avoir vraiment beaucoup de tatouages, au bout d'un moment, le full black devient un truc où... En fait, j'ai eu l'ultime tatouage...
[03:00:21] Speaker D: Il n'y a plus de place, alors du coup tu te dis bon ben, vas-y, je vais en faire. Moi c'était ça.
[03:00:28] Speaker C: Et puis je pense qu'il y a aussi, alors tu vas me dire, mais il n'y a pas aussi un côté où au bout d'un moment il y a tellement de gens tatoués que faire du full black c'est vraiment la subversion que tu peux encore, enfin ça devient encore un peu unique par rapport à beaucoup de gens qui n'oseraient pas faire du full black. Je pense que si j'avais commencé à me tatouer quand j'avais eu l'âge de me faire tatouer, je pense qu'aujourd'hui en voyant tous les gens tatoués, Ça me ferait chier, je couvrirais tout en full black juste pour que ce soit...
vraiment... Parce que pour moi, nous quand on a grandi, le tatouage avait une signification qui était vraiment d'être à part dans la société quoi. Et en fait aujourd'hui c'est devenu tellement lambda parce que tous les footballeurs, tous les mecs de télé-réalité sont tatoués. Et du coup je me dis maintenant si tu veux aller encore plus loin, c'est soit t'en as pas, soit parce que du coup ça devient un truc où tu te retiens.
soit tu fais du full black et à ce moment là c'est vraiment un step que tu passes plus loin, je sais pas si... t'en penses quoi ?
[03:01:34] Speaker D: Bah moi déjà la jambe c'est un recouvrement donc j'ai pas vraiment eu le choix, j'avais une énorme pièce comme ça qu'il fallait que je recouvre et je me suis dit quitte à mettre du noir autant en mettre partout tu vois donc là c'était pas vraiment une démarche de quoi que ce soit et je suis tatouée sur le visage, les mains, le cou donc je pense que dans l'extrême j'y étais déjà un peu donc...
[03:01:55] Speaker C: Et l'autre fois j'ai vu une interview de... C'est Kat Von D ? qui est du coup très ancienne tatoueuse. Elle se fait tout recouvrir, tous les portraits. Ah ouais ? Ouais.
[03:02:06] Speaker D: Mais je crois que c'est à cause de sa religion ou je sais pas quoi.
[03:02:09] Speaker C: Ouais, il y a un truc un peu spirituel dedans.
[03:02:11] Speaker D: Qui fait que tu peux pas avoir de portraits tatoués sur toi et c'est pour ça qu'elle se fait recouvrir en noir.
[03:02:17] Speaker C: Mais du coup je crois qu'elle a quasiment, enfin dans le truc que j'ai vu, elle a quasiment tout le corps qui est... Elle a quelques petits trucs qui sont restés mais elle dit voilà ça va pas tarder à partir quoi.
[03:02:28] Speaker B: Mais du coup quand tu recouvres l'encre, elle recouvre l'autre encre qu'il y avait avant ? Du coup c'est impossible de voir vraiment ce qu'il y avait avant ?
[03:02:35] Speaker C: Ça dépend.
[03:02:36] Speaker D: Si t'en as plein de noir, il est vraiment parfait, non. Sauf si la pique en dessous a été piquée trop profonde, tu peux voir les reliefs, mais à part ça...
Ok.
[03:02:45] Speaker B: Ok, ok.
[03:02:46] Speaker C: Tu as réfléchi pour toi ?
[03:02:48] Speaker B: Non, non, moi je ne ferai jamais de tatouage. Déjà, il y a une aiguille, donc... Je tombe dans les pommes direct, donc moi j'aime pas.
[03:02:55] Speaker D: Mais tu sais que quand je fais une prise de sang, tu me mets les pieds en haut, la tête en bas, le petit haricot pour revenir. A chaque fois.
[03:02:59] Speaker C: Le petit haricot pour revenir.
[03:03:03] Speaker D: Thématiquement, je vais finir par faire une petite galette, tu vois.
[03:03:07] Speaker B: C'est marrant. Enfin c'est marrant, c'est pas marrant pour toi.
[03:03:08] Speaker D: Et d'ailleurs les infirmières à chaque fois elles me disent, mais vous êtes tatoués partout quand même.
[03:03:12] Speaker B: Vous me prenez pour des connes ou quoi ?
[03:03:14] Speaker D: Vous devriez pas être dans cet état là. Je dis mais on va pas dans ma veine en fait quand on me tatoue. C'est un millimètre, voire un millimètre et demi de profondeur, ça n'a quand même pas grand chose à voir quoi.
[03:03:23] Speaker B: Oui, et puis vous m'enlevez pas mon sang quoi.
[03:03:24] Speaker F: Moi je trouve que ça fait quand même plus mal.
[03:03:27] Speaker D: Les tattoos ?
[03:03:28] Speaker F: Bah c'est sur la longueur quoi. La prise de sang ça dure même pas 5 minutes.
[03:03:32] Speaker D: Non mais c'est plus intense.
[03:03:36] Speaker B: On va passer le sujet sinon tout le monde va tomber dans les pommes et on va regarder le clip de Until I Wake donc en live avec des images live avec Whole Hearted et puis je me suis dit c'est mieux quand il est habillé voilà il a un très beau visage mais c'est bon c'est méchant on y va ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[03:05:02] Speaker A: C'Est.
[03:05:03] Speaker B: Bon Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[03:06:12] Speaker A: Je suis tombé, je suis tombé Je.
[03:06:28] Speaker B: Suis tombé, je suis tombé Ah pardon, excusez-moi. Bollywood. Mais je ne danse pas assez.
[03:17:09] Speaker C: Habitué d'être dans le gobelet ?
[03:17:12] Speaker B: Ça s'appelait, alors le groupe que nous venons de voir, qui a une longue chanson, un long clip, ok, mais j'ai trouvé ça bien, donc je me suis dit je vais le partager, apparemment c'est pas ultra connu, mais ça s'appelle Obscure Sphinx, ça c'est le nom du groupe, et le nom de la chanson c'est Scare City Hunter.
parce que je le dis avec un accent magnifique, ça vient de Pologne.
[03:17:31] Speaker C: D'accord.
[03:17:31] Speaker B: C'est bien de chez moi. Ben de chez moi aussi. De chez vous. Ginkoui et Barzo.
[03:17:38] Speaker C: Ginkoui et Barzo la Pologne.
[03:17:40] Speaker B: Polski. Parce qu'on est deux. Qu'est-ce que je voulais dire ? Ben voilà, c'était bien. Je trouve ça bien. N'hésitez pas à faire vos commentaires. Si vous n'avez pas encore rejoint notre chaîne YouTube, il est encore temps. Vite, faites le ! Bang ! Et vous vous abonnez, c'est gratuit. Et nous, ça nous soutient. Plus vous êtes, plus vous partagez sur vos réseaux sociaux. J'arrive pas à parler. C'est la fin de l'émission.
Plus ça nous aide.
[03:18:03] Speaker C: Alors ce qui est drôle c'est que la chanson s'appelle Scare City Hunter et City Hunter c'est le nom original de Nicky Larson. Est-ce qu'il y a un point commun ?
[03:18:12] Speaker B: J'ai bien l'impression vu le clip. Ça semble évident. Sur ces bonnes paroles ce soir vous avez découvert, je le rappelle, Amélie Gladys !
[03:18:23] Speaker C: On les applaudit s'il vous plaît. Regardez comme elles sont talentueuses.
[03:18:27] Speaker B: Alors maintenant il va falloir que vous donniez une note. Et puis vous nous dites laquelle on garde.
[03:18:35] Speaker D: Votez un, votez un !
[03:18:38] Speaker C: Alors la question c'est qu'est-ce que vous êtes prêtes à faire pour avoir cette place ?
[03:18:47] Speaker D: Faut pas oublier que j'habite à 4 minutes à pied.
[03:18:51] Speaker B: Chez moi j'ai toute une cuisine et.
[03:18:55] Speaker C: Je peux couper des légumes.
[03:18:59] Speaker B: Elle est bonne celle-là, j'aime beaucoup. Merci infiniment d'être venue, ça va, ça s'est bien passé ?
[03:19:04] Speaker D: Ça va, je ne me suis pas.
[03:19:06] Speaker C: Trop ennuyée, c'est cool.
[03:19:08] Speaker B: Le canapé est confortable ? Ouais. Je tiens juste à dire aussi aux gens qui sont en train de regarder, que ce soit en direct en live Twitch ou sur YouTube en VOD, que nous faisons un énorme bisou à Enjoy The Noise parce que c'est le mois de décembre et qu'ils travaillent beaucoup beaucoup. Normalement Enjoy The Noise est aussi avec nous puisque c'est un petit peu la place que vous occupez là, et vous serez trois maintenant. Donc on va essayer de s'organiser pour savoir qui vient quand.
Vous avez déjà chaud ? Là, si vous êtes trois, ça va être un enfer. Je crois qu'il y en a une.
[03:19:43] Speaker C: Qui n'a pas trop envie de laisser.
[03:19:43] Speaker B: Sa place depuis qu'elle est assise là-bas. Mais ça va, ça s'est bien passé ? Vous vous sentez bien ? Vous êtes prêtes ?
[03:19:51] Speaker D: Ouais, tranquille.
[03:19:52] Speaker B: Allez, 2025, ça va être la vôtre.
[03:19:54] Speaker D: Toujours.
[03:19:54] Speaker B: C'est bien. Non mais il faut... J'aime cette envie. Ben ?
[03:20:02] Speaker C: Oui, quoi.
[03:20:03] Speaker B: Que j'en pense ?
[03:20:05] Speaker C: Je pense que si on avait pris des gens qui étaient compétents et qui connaissaient cette musique, ça aurait été mieux.
[03:20:10] Speaker B: Tu dis ça parce que vous êtes des femmes ?
[03:20:12] Speaker C: Bien sûr. Je dis ça parce que vous êtes des femmes.
[03:20:15] Speaker D: Évidemment.
[03:20:15] Speaker C: Évidemment, puisque les gonzesses, ça connaît rien à part la cuisine. Même pas, elles sont végétariennes, donc elles connaissaient rien à la cuisine non plus.
Je comprends qu'elles s'intéressent à la musique du coup, parce qu'elles peuvent pas cuisiner, donc faut bien qu'elles s'intéressent à quelque chose quoi.
[03:20:29] Speaker B: Dis donc, j'ai l'impression qu'on se dirige de plus en plus vers l'Oise. Attention, j'ai rien contre l'Oise, je suis né dans l'Oise, ok ?
[03:20:38] Speaker C: Tu cherches les noives ?
[03:20:40] Speaker D: Mouais, mouais, mouais... Non mais écoute... Mes.
[03:20:42] Speaker B: Idées de façon de rebondir sont très.
[03:20:44] Speaker C: Mauvaises donc... Achète-toi un trampoline ! Non mais moi je trouve que c'est des personnalités très intéressantes et je pense que du coup c'est bien, ça va amener des nouvelles perspectives. Elles ont l'air assez en confiance, une plus que l'autre, parce que j'ai l'impression que dans sa vie elle aime casser des gueules.
C'est bien parce que vu ce que j'ai dit, on ne sait pas qui...
[03:21:08] Speaker B: On ne peut pas savoir qui c'est. On sait qu'il y en a une qui casse plus des gueules que l'autre, l'autre elle casse des gueules mais dans sa tête. Tu en as bien suivi l'émission. Il y en a une qui fait plus de gestes avec ses bras et ses jambes pendant des soirées hardcore que l'autre.
[03:21:22] Speaker C: Moi je pense que c'est une sorte de catharsisme.
[03:21:26] Speaker B: Est-ce que vous avez envie de dire quelque chose avant qu'on laisse les gens partir en vacances ?
[03:21:30] Speaker E: Attends Pierre !
[03:21:30] Speaker C: Pierre j'ai une petite idée parce que déjà tu dis que l'émission est finie alors que c'est pas fini parce qu'on a encore plein de questions à poser, de choses à dire. Moi je propose quelque chose. Alors ça se fait dans plusieurs trucs mais c'est de... Est-ce que vous avez une petite reco du moment ? Séries, trucs comme ça. Parce que moi j'ai trouvé un truc dont je voudrais parler donc je sais pas peut-être... Ah oui pardon, autant pour moi.
Séries, films, séries, films, Buffy, ce que tu veux... Non mais un petit truc... Bah elle aussi elle a un bras.
[03:22:01] Speaker B: Bah oui je sais bien.
[03:22:02] Speaker C: Enfin elle en a deux mais...
Enfin j'espère peut-être c'est un faux.
[03:22:06] Speaker B: Bah et alors ça fait quand même deux bras.
[03:22:08] Speaker C: Est-ce que t'as fait comme ça pour voir si ça faisait toc toc ?
[03:22:10] Speaker B: Ah comme dans le gendarme de Saint-Tropez et les extraterrestres.
[03:22:13] Speaker D: En reco, moi j'aurais un concert en reco à Bonnet, il y a Tesseract qui joue le 10 janvier, je crois que c'est à Vauréal mais je ne suis plus très sûre de la salle. Je trouve que c'est un groupe sous-côté qui mériterait de jouer dans une bien plus grande salle. Et je crois que c'est pas encore complet.
[03:22:29] Speaker B: C'est quoi ce qu'on font Tesseract, c'est ceux qui font du prog ou c'est.
[03:22:31] Speaker C: Ceux qui... Non, ils font du metalcore.
[03:22:34] Speaker B: C'est du metalcore ?
[03:22:35] Speaker C: Je crois, non ? Dans ma tête c'est du metalcore, mais vénère. Ok.
techniquement très très très très très bon. Je pense que c'est trop technique pour que c'est ça qui les freine. Je pense que c'est un groupe qui est aimé par beaucoup de gens qui font de la musique.
[03:22:57] Speaker D: Bah tu vois, quand c'est trop technique, j'ai justement pas d'émotion et c'est une tendance à me... m'ennuyer un peu, je suis le genre de personne qui va dire, ah techniquement c'était vraiment cool mais je me suis fait chier, peut-être que c'est vrai que je me fais pas chier. Il y a aussi Stick to your guns en janvier.
[03:23:10] Speaker B: Ah bah oui. Stick to your guns, ça c'est bien.
[03:23:14] Speaker C: Le grand retour.
[03:23:16] Speaker B: Colle à ton flingue.
[03:23:16] Speaker C: À tes flingues.
[03:23:17] Speaker B: Ça veut dire que c'est leur slip qui colle ?
[03:23:20] Speaker C: Je suis pas sûr. Après c'est peut-être une sorte de catharsis, mais bon. Je vois, elle n'a pas marché cette fois. Ah si, ça a marché. Est-ce que ça compte ?
[03:23:32] Speaker B: Ah, toi ça appuie le bouton. Ça compte, ça compte pas. Eh oui, ça compte. Tu voulais dire quoi d'autre ?
[03:23:38] Speaker C: Amélie, elle a rien recommandé peut-être ?
[03:23:40] Speaker F: Tu veux dire un truc récent ou pas forcément ?
[03:23:43] Speaker C: Non, peu importe, le truc que tu kiffes en ce moment et tu dis tiens je pourrais partager ça avec les gens ou un truc que t'attends ou voilà, je sais pas, démerde-toi.
On arrête de me poser des questions de merde.
[03:23:55] Speaker F: Tu parlais de séries ou de films, c'est vrai que j'ai du mal à rester assise à regarder une série donc je regarde pas trop.
[03:24:02] Speaker C: Ne parle pas de ça là.
[03:24:03] Speaker A: Non mais...
[03:24:06] Speaker F: Non mais par contre il y a quand même des films que j'adore vraiment beaucoup et dans un film d'horreur mais c'est pas non plus les grands classiques de films d'horreur.
[03:24:15] Speaker C: Ça va lancer un débat là.
[03:24:16] Speaker D: Non j'aime pas les films d'horreur moi, je suis une flippette moi.
J'aime bien les faire mais pas les regarder.
[03:24:24] Speaker F: Là ça fait plus film d'auteur d'horreur je trouve. C'est Hérédité, c'est vraiment mon film préféré. C'est un réalisateur qui a fait quelques films mais pas trop. Celui-là il a fait Midsommar peut-être que vous connaissez mieux. Donc il a quand même un délire assez particulier. Mais par contre le dernier qu'il a fait c'était catastrophe.
[03:24:45] Speaker C: Ah oui c'est quoi le dernier ?
[03:24:46] Speaker F: C'était A Boy Is Afraid. Trois heures de horreur.
[03:24:51] Speaker E: Une punition.
[03:24:51] Speaker D: Déjà trois heures un film c'est un peu une punition. Sauf les très bons films.
[03:24:55] Speaker B: Sauf au temps où on emporte le vent.
[03:24:57] Speaker C: Sauf quand c'est Nolan. Nolan c'est un génie.
[03:25:02] Speaker B: Ne te moque pas de Marcel.
[03:25:03] Speaker C: Il est fabuleux.
[03:25:05] Speaker B: Il est pas là.
[03:25:06] Speaker D: Le Seigneur des Anneaux, version longue, ok.
[03:25:08] Speaker F: Moi je peux pas ça.
[03:25:10] Speaker B: Je peux vraiment pas ça. C'est pas le genre de thématique qui m'accroche.
[03:25:15] Speaker D: Aragorn.
[03:25:17] Speaker B: Autant n'emporte le vent, je vous regarde vraiment par contre.
[03:25:19] Speaker C: Si, si aussi. Tu regardes Autant n'emporte le vent, mais c'est juste parce que t'es colonialiste.
[03:25:27] Speaker B: Je ne sais pas quoi répondre à cette phrase. Oui, parce que j'aime bien y faire des imitations d'Autant n'emporte le vent.
[03:25:35] Speaker F: Si, par contre, en film, le 25 décembre, il y a Nosferatu qui sort et j'ai hâte de le voir.
[03:25:41] Speaker D: Celui-là aussi.
[03:25:41] Speaker B: C'est vrai que ça a l'air pas mal.
[03:25:43] Speaker F: J'avais bien aimé le vrai et l'ancien et j'ai vu l'abonnement, j'ai fait ah ça a l'air pas mal. Pour une fois qu'ils ont l'air de faire un film refait mais qu'il a l'air bien fait.
[03:25:52] Speaker B: Après c'était que la bande-annonce donc peut-être que le film est pourri.
[03:25:55] Speaker C: La bande-annonce a l'air incroyable. Enfin le film a l'air incroyable mais c'est vrai que... En tout cas c'est joli.
[03:26:02] Speaker F: Ça sort quand ? 25 décembre.
[03:26:03] Speaker D: J'ai failli faire ça moi. Moi j'ai l'après-midi. Le soir j'ai la NFL sur Netflix, c'est nickel.
[03:26:12] Speaker C: Et c'était pas lui envoyer des petits messages ?
[03:26:14] Speaker D: Non je crois que c'est le 24 la NFL sur Netflix en vrai.
[03:26:18] Speaker B: Généralement le soir du 24 on est occupé mais des fois c'est bien de regarder la NFL.
[03:26:21] Speaker D: Moi je préfère perso.
[03:26:25] Speaker C: Pierre une petite recommandation ? Une recette ?
[03:26:28] Speaker B: Ah non. Si alors la soupe miso maison c'est quand même vachement bon.
J'avoue, alors c'est pas très compliqué à faire.
Après j'ai pas mis tout ce qu'il fallait mettre, mais j'ai mis l'essentiel. De l'eau ! C'était juste de l'eau chaude.
[03:26:43] Speaker C: C'est pas mal, c'est vraiment sous-côté l'eau chaude. Attention, soufflez avant, sinon ça brûle.
[03:26:49] Speaker B: Il est sous-préparé.
Non, ce qu'on achète là, les nouilles séchées.
J'ai la nouille séchée. Non mais ça c'est bien, 20 centimes, nickel, super alimentation, c'est ma recommandation du moment. Non Jean-Symph, prenez soin de vous, c'est ça que je recommande, c'est juste de vous amuser, d'être bien avec vous-même.
[03:27:09] Speaker C: Quand on parle d'une recommandation, c'est de regarder quelqu'un.
[03:27:11] Speaker B: C'est déjà important parce qu'il y a peu de gens qui prennent soin d'eux.
[03:27:15] Speaker C: Et si tu prenais soin de toi ? Je te fais fermer ta gueule surtout ! Moi j'ai une recommandation, c'est un truc que j'ai découvert cette semaine.
C'est le youtuber Jared Deans. Deans, tu connais ? Qui fait des trucs sur la musique, la guitare, tout ça. Et il a fait, il a lancé, alors c'est la deuxième année, la première année, je l'avais pas vu ce truc là. Ça s'appelle Musician Mansion. Tu l'as vu ?
[03:27:42] Speaker F: En fait j'ai vu des extraits, je me suis dit ah c'est pas mal, c'est un peu télé-réalité mais plus métal quoi.
[03:27:48] Speaker C: En fait, alors, je vous explique le concept.
[03:27:51] Speaker B: C'est quoi, c'est comme les Marseillais ?
[03:27:53] Speaker C: Si tu me laisses, je viens de.
[03:27:54] Speaker B: Dire, je vais expliquer le concept, donc.
[03:27:56] Speaker C: Tu fermes ta gueule. Non mais ça va être comme ça maintenant. Quand on s'est mis d'accord avec les filles, on a dit que tu fermais ta gueule.
Je t'écoute. Du coup c'est un youtubeur, il a invité plusieurs musiciens qu'il connaît, il y a un gros level, c'est des hommes et des femmes, donc ça c'est vachement bien, il y a pas mal de femmes quand même.
Non mais dans le métal c'est quand même... Je pense qu'il a un peu galéré à trouver... Mais là il y a quand même beaucoup de filles. Presque la moitié c'est des filles donc je pense qu'il y a quand même un peu plus de mecs mais... Et du coup il y avait déjà une première saison, là c'est la deuxième saison et en gros il fait venir les musiciens donc ils sont 15 je crois.
et il y a un espèce de... donc il y a le groupe qui avait... en gros il y a un tirage au sort pour former des groupes. Donc là il y a le groupe qui avait déjà gagné la saison d'avant et du coup il y a dix nouveaux... donc eux ils sont déjà... ils restent le même groupe donc ils doivent se trouver un nom et tout ça et du coup il y a dix nouvelles personnes qui viennent et du coup ils vont former deux groupes. En gros tout il y a trois groupes qui sont en compétition et chaque...
[03:29:12] Speaker B: Ils ne se connaissent pas à la base ?
[03:29:13] Speaker C: Il y en a qui se connaissent parce que de la scène, mais ils n'ont jamais joué dans les mêmes groupes. C'est-à-dire qu'ils peuvent se connaître, s'être croisés, être parfois potes. Enfin, pas meilleurs amis, mais voilà. Par contre, lui, il est très pote avec certains d'entre eux. Et du coup, les groupes se forment en batteurs, bassistes, deux guitares, un chant.
et du coup ils ont des défis chaque épisode donc les épisodes durent une heure là il y en a déjà trois qui sont sortis donc ils sont sortis quasiment en 24 heures donc ce qui est bien c'est que tu peux les binger donc je sais pas quand vont sortir les suivants mais il y a un jury de mecs qui s'y connaissent en musique je sais pas trop il y a un producteur les mecs je les connais pas j'ai pas cherché qui c'est eux parce que je m'en fous un peu mais en gros ils vivent tous dans une maison ils sont dans une maison et à chaque fois il y a un défi et il y a une chanson qu'ils doivent performer donc ils ont genre un ou deux jours pour faire la chanson et la jouer ils passent les uns après les autres Donc en gros t'as un défi, genre ils vont faire un défi de batterie et donc tous les batteurs vont faire le défi, celui qui gagne il peut choisir l'ordre de passage quand il faudra jouer le truc où ils vont faire un truc où ils vont enchaîner tu vois trois guitaristes de trois groupes différents et ils doivent faire des solos chacun leur tour et ils doivent à chaque fois step up et s'adapter au style du solo d'avant. En gros, la musique continue. Il y a plein de petits trucs comme ça, donc quand on aime la musique, c'est hyper intéressant de voir, ça montre des trucs différents. Et après, ils font le...
Il y a le défi de la chanson, donc des fois ils se retrouvent avec des gages. Genre il faut qu'il y ait un solo de basse, il faut qu'il y ait un solo de batterie, il faut qu'il y ait un passage a cappella au chant. Et à chaque fois, il y a des petits défis pour réussir.
Et du coup, c'est super drôle de voir comment avec des... Après, les mecs sont tous hyper drôles en plus. Ils ont des défis entre eux, genre aller se voler des vêtements, des trucs comme ça.
Et franchement c'est très très drôle, c'est tous des personnages très marqués et ils sont surtout tous très très bons. Il y a notamment quelqu'un qu'on peut connaître, c'est Nick Nocturnal, qui avait déjà fait la première saison et qui est encore là du coup, lui qui joue de la guitare. Mais en fait c'est assez drôle parce qu'on voit aussi des trucs internes de comment les groupes composent, comment les tensions qu'il peut y avoir, parce que les mecs se connaissent pas. Donc ils se retrouvent à devoir...
Donc il y a tout ce truc de... Quand je ne suis pas le guitariste principal ? Il y a des trucs un peu comme ça. Il y a des mecs qui font des fois...
Là c'est un peu une situation de... Je ne veux pas jouer un truc que ce n'est pas moi qui l'ai écrit quoi. Tu sais quand tu as un autre qui vient avec une idée et du coup il y a des tensions et tout et du coup c'est comment ils arrivent à surpasser le truc et tout ça. Et franchement les chansons qui sortent elles sont super bien. Il y a un côté... C'est pas produit comme une vraie télé-réalité.
Déjà c'est moins voyeuriste.
On voit qu'il y a moins de budget, c'est un truc un peu YouTube, mais franchement la volonté derrière elle est géniale. Ce qu'on découvre, même quand moi je connais, parce que je fréquente beaucoup de musiciens et tout ça, mais même en connaissant je trouve que c'est hyper intéressant de voir comment ça se passe.
t'apprends des trucs donc je me dis si moi j'apprends des trucs tout le monde peut apprendre et surtout les mecs sont incroyables, tous les vocalistes ils sont trop bons, les guitaristes ça joue trop bien les mecs en 24 heures ils arrivent à faire une compo, à la jouer en live après tu vois qu'il y en a qui sont plus à l'aise que d'autres, il y en a ils ont toujours joué dans leur chambre, ils ont jamais joué sur scène mais ouais super intéressant donc je vous conseille ça, ça s'appelle Musician Mansion et du coup c'est la saison 2 là je trouve que j'avais regardé des trucs de la saison 1 mais bon tu vois qu'il y avait encore moins de moyens et tout là je trouve la saison 2 c'est un peu mieux fait.
[03:33:29] Speaker F: Ouais le concept il est vraiment cool en fait moi j'avais vu alors je sais pas si c'est la saison 1 ou 2 J'avais vu un extrait, en fait, et ils avaient justement, ils tiraient au sort un mot, ou un... je sais plus si c'était un mot ou quoi, mais ils avaient un accessoire. Genre, il y en avait, c'était un chapeau de cow-boy, d'autant... je sais pas, n'importe quoi, un marteau, je sais pas quoi. Ils avaient des accessoires différents pour leur groupe, et en fait, ils devaient faire un clip avec cet accessoire-là, et du coup, en fait, ils adaptaient, par exemple, le chapeau, je sais plus, ils avaient fait un... dans un style de musique, un peu style panthère, ce genre de choses. Ils s'adaptaient, en fait, en fonction de l'image, quoi.
Et le concept, je trouvais que c'était vachement marrant. C'était assez sympa et comme tu dis, au moins tu vois sa part d'une idée et tu vois la création d'un morceau, la création d'un projet. Il y a un vrai intérêt je trouve.
[03:34:13] Speaker D: Visiblement c'est en avant chaque instrument parce que tu m'as dit solo de basse. La basse c'est quand même pas un instrument qu'on met beaucoup en valeur dans un groupe de manière générale, ce qui est assez dommage.
[03:34:21] Speaker C: Donc là ça peut être carrément cool. Et puis il y a aussi les défis individuels où du coup un coup c'est la batterie, un coup c'est la guitare et je pense qu'ils vont tous, là j'ai vu que trois épisodes donc le premier n'y en avait pas mais Là il y a eu guitare, il y a eu batterie, donc je pense qu'après ça va être un défi pour les bassistes. Il y avait un truc pour les batteurs, ils ont la même track sans batterie et ils devaient tous, chacun, proposer leur truc de batterie. Et là tu vois la différence entre, il y a une fille qui vient du pop punk, et t'as un mec qui fait que du blast beat, des trucs comme ça, et du coup tu vois comment chacun essaye de... Et en fait c'est vachement bien parce que c'est des styles différents mais y'en a aucun qui est nul, c'est juste que tu vois que chacun essaye de jouer le truc à sa manière, avec ses forces.
[03:35:17] Speaker D: Avec ses influences quoi.
[03:35:19] Speaker F: Et puis ça a pas l'air d'être vraiment un concours pour montrer qui est le meilleur, c'est plus pour montrer...
[03:35:23] Speaker C: C'est de très bonne ambiance.
[03:35:24] Speaker F: Ouais voilà, c'est plus pour montrer la création en fait.
[03:35:28] Speaker C: Et là, dans l'épisode 3, ils échangent les chanteurs.
Donc ça veut dire que les chanteurs doivent...
[03:35:38] Speaker B: Prendre la technique de l'autre ?
[03:35:40] Speaker D: Ouais.
[03:35:40] Speaker C: Non non, ils doivent jouer avec un autre groupe, donc la question c'est est-ce que le groupe s'adapte au style du chant, parce qu'il y en a qui hurlent, et il y en a qui font que du scream, et il y en a qui font que du chant clair, et qui se retrouvent pas forcément dans le groupe qui permet de faire la même chose. Donc ça aussi c'est hyper intéressant, c'est est-ce que le groupe s'adapte, est-ce que le chanteur s'adapte, et du coup, ah oui, et à chaque fois qu'il joue sur scène, le jury en fait ils donnent, donc ils ont un budget chacun, donc ils disent sur 50 dollars combien tu donnes, tu sais c'est genre une note sur 50 quoi, et en gros tout l'argent qu'il gagne va dans une cagnotte et à la fin le groupe qui gagne, gagne l'argent de sa cagnotte. Les sommes c'est bon, c'est des... En fait le premier épisode c'est 50, après c'est 75, après c'est 100 et dans l'épisode où du coup le chanteur échange de groupe, ils font ce truc où il y a de l'argent pour le groupe et de l'argent pour le chanteur et après le chanteur doit choisir s'il le garde pour lui ou s'il le met dans son groupe original qu'il va rejoindre après.
[03:36:45] Speaker F: Ça c'est un peu plus better quand même.
[03:36:47] Speaker D: Après si c'est 25 dollars, on le garde pour lui.
[03:36:50] Speaker B: Comme c'est un chanteur, il le garde pour lui.
[03:36:52] Speaker C: J'ai envie qu'il n'y range pas le matos. Je trouve que c'est hyper bien.
Là j'attends avec impatience les prochains épisodes.
[03:37:05] Speaker B: Eh ben très très bien, de toute façon vous allez retrouver toutes ces informations en description de l'épisode vendredi normalement.
[03:37:13] Speaker C: C'est ça.
[03:37:13] Speaker B: On verra. On vous préviendra. Il n'y a pas de raison. Il n'y a pas de raison. Très intéressant. Puis si vous avez des questions, de toute façon vous pouvez nous rejoindre sur Discord et on vous donnera toutes les informations encore plus rapidement. Point d'exclamation Discord. Vous êtes de plus en plus nombreux, franchement, tout le monde est hyper sympa. Un bel endroit pour discuter, voilà.
[03:37:30] Speaker C: Exactement.
[03:37:30] Speaker B: Rempli de belles personnes.
Tout va bien.
[03:37:34] Speaker C: Cette fois je veux bien qu'on arrête Pierre. J'ai vu que t'étais en train de bailler, de t'endormir quand je parlais.
[03:37:38] Speaker B: Mais je baille tout le temps quand les gens parlent, on en a discuté.
C'est parce qu'il montre de l'intérêt.
[03:37:45] Speaker C: Je crois qu'il en a rien à foutre et qu'il voit sa bière là-bas et qu'il a envie d'aller la picoler.
[03:37:49] Speaker B: Mais je vois pas que la bière.
Je vois aussi un bonhomme assez joufflu avec un bonnet. Tiens, un paquet de chocobons.
[03:37:57] Speaker C: Un mélange parfait. Je vous ai dit une fois un.
[03:37:58] Speaker B: Truc, c'était de la liqueur de chocobons. Dans un bar.
[03:38:00] Speaker C: C'était hyper bon. Ça doit être bon.
[03:38:02] Speaker F: Je te donnerai l'adresse.
[03:38:08] Speaker B: On va boire avec modération, encore une fois, l'alcool c'est pas bon pour la santé.
Tu vois, je le dis, je crois que j'ai une déformation professionnelle. Merci mesdames. C'est de bonnes fêtes de fin d'année, en tout cas une bonne fin d'année quoi qu'il arrive. Et puis on se retrouve l'année prochaine, on va s'organiser et puis voilà. Vous qui êtes en train de regarder souhaitez la bienvenue. C'est important d'être poli s'il vous plaît, du respect. Prenez soin de vous, je le redis du coup parce que c'est quand même très important. Amusez-vous bien, essayez de kiffer. Je sais qu'il y en a quand même énormément qui détestent les fêtes de fin d'année parce que ça les rend tristes ou ça les énerve. Bah c'est juste un moment, voilà, il faut faire un petit effort pendant un instant et puis après tout ira bien.
[03:38:48] Speaker D: Et puis de toute façon...
[03:38:52] Speaker B: Et l'année prochaine, de toute façon, ça va être une année extraordinaire, j'en suis persuadé. Et de toute façon, je vais venir vous embêter parce que je compterai sur vous. Ben, merci encore une fois pour toute cette année.
[03:39:02] Speaker C: — Merci à toi, Pierre.
[03:39:03] Speaker B: — Bravo.
[03:39:03] Speaker C: — Bravo à toi, Pierre.
[03:39:04] Speaker B: — Et merci beaucoup. Et on se retrouve l'année prochaine.
[03:39:08] Speaker C: — C'est ça.
[03:39:09] Speaker B: — Tu feras des bisous à tes parents ?
[03:39:10] Speaker C: — Oui, je vais faire ça.
[03:39:11] Speaker B: — Ça leur fera rire. Tu leur feras écouter deux, trois chansons ? — Je ferai des bisous à mes parents ?
[03:39:18] Speaker C: — Ouais.
[03:39:19] Speaker B: — Pas sûr que ça les fasse rire non plus.
Je suis pas d'accord du tout avec.
[03:39:25] Speaker C: Eux, mais par contre je les aime beaucoup.
[03:39:28] Speaker B: Sur ces bonnes paroles, on va se quitter avec une chanson de Noël. Alors, normalement je m'oblige à passer. Je suis obligé, mais je sais qu'il y a énormément de gens qui n'en peuvent plus. Et puis elle gagnait assez d'argent. C'est pas avec vous qu'elle va en gagner ? On va passer Wham ! Du coup, c'est bien.
[03:39:52] Speaker C: Ah, toi ?
[03:39:52] Speaker B: De toute façon, il y en a un sur deux qui est mort. What ? Non, Wham ! Bah oui, what ? Avec Last Christmas. I gave you my heart.
[03:40:01] Speaker C: Est-ce que vous avez lu le film Last Christmas ?
[03:40:06] Speaker D: Non.
[03:40:06] Speaker C: Il y a un film avec Khaleesi. Emily Clark. Vous l'avez déjà lu ?
[03:40:12] Speaker D: Ah oui, oui.
[03:40:13] Speaker C: C'est un film, il est vachement bien. Moi, j'ai pleuré.
[03:40:17] Speaker B: C'est un film de Noël. Comme ça commence à partir du début du mois d'octobre.
[03:40:21] Speaker C: Non mais... Maman, j'ai raté l'avion, tu l'as vu tous les ans pendant 20 ans.
[03:40:25] Speaker D: Oui, je continue. Ça et les Gremlins, tous les ans.
[03:40:28] Speaker C: Ça me fait peur les Gremlins. Regarde Last Christmas, tu vas pleurer.
[03:40:30] Speaker D: Je crois que je l'ai vu, ce truc-là, en fait, quand on a parlé, quand elle a dit le nom de l'actrice, je suis en mode... quelque chose.
[03:40:35] Speaker B: Par contre, on est d'accord que la scène qu'on préfère chez les Gremlins, c'est le mariage.
[03:40:40] Speaker D: Ça fait partie de mon top, ça. Mais ma préférée, c'est Gizmo caca.
[03:40:46] Speaker B: Tout est dit, cette émission est au complet.
[03:40:48] Speaker C: Est-ce que MGK et Gizmo ne seraient pas...
[03:40:52] Speaker B: Il y en a un qui est plus beau que l'autre. Tu me diras, MGK il n'est pas dégueulasse non plus. Il y en a.
[03:40:59] Speaker C: Un qui est plus poilu que l'autre. On ne va pas se mentir.
[03:41:08] Speaker B: C'est un entraînement. Sur ces bonnes paroles, on va vous faire des gros bisous. Bon courage, bonnes vacances, et si vous n'êtes pas en vacances, bon courage pour le travail, c'est le début de la semaine demain. Mais on vous aime, love, love, love, love. L'amour c'est important, la passion c'est bien aussi. Du cœur pour le rock. On y va là, parce que j'ai mal aux doigts.
[03:41:24] Speaker A: ... ... ...
[03:42:43] Speaker B: C'est la fin de cette vidéo.
[03:43:16] Speaker A: J'espère que vous allez bien.
oh non ... ... ... ... ... ... ... ... ... Un pour le caillou.
[03:45:57] Speaker C: Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir.
[03:46:17] Speaker F: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant.
[03:46:19] Speaker B: Disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées.
[03:46:23] Speaker D: Spotify, Deezer, Apple, Amazon.
[03:46:25] Speaker B: N'hésitez pas à vous abonner.