#62 - MANUX We Care Booking en invité

Episode 62 October 04, 2024 04:17:58
#62 - MANUX We Care Booking en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#62 - MANUX We Care Booking en invité

Oct 04 2024 | 04:17:58

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Show Notes

On a toujours envie d'en savoir plus sur les dessous du métier, la musique, les tourneurs, les labels et surtout, on a envie d'en savoir plus sur les arnaques et les abus de certains... Pour se protéger en tant que groupe, en tant qu'artiste !

MANUX travaille dans le punk depuis bien longtemps, il vient d'Occitanie et désormais depuis Paris, il a organisé, travaillé pour, des concerts et des festivals punk ! Il connaît donc les rouages, les combines et il n'a clairement pas sa langue dans la poche, donc vous allez en apprendre des choses ! Pour le soutenir, n'hésitez pas à aller sur ses réseaux et suivre aussi sa boite "WE CARE BOOKING" ! En gros, si vous aimez NOFX, vous allez l'aimer !

Ben, Didier, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:18] Speaker A: Motherfucker. Il était demandé, celui là. Bonsoir à vous toutes et à vous tous. Bienvenue dans Bang bang. Vous, les bangers, vous, les rois du métal, vous, les reines de l'alternative rock, vous êtes là pour célébrer cette musique avec nous, tous les dimanches à partir de 10 9 h. C'est donc Bang Bang, votre rendez vous dominical plutôt sympathique. Bonsoir, Ben Joydenoys. [00:00:37] Speaker B: Bonsoir, Pierre. [00:00:39] Speaker A: Oui. Je reste la même personne. Tu es la même personne aussi, mais tu es un mélange. Puisque Ben n'est toujours pas rentré, ça ne saurait tarder. Mais pour l'instant, tu le remplaces comme il se doit. [00:00:50] Speaker B: En vacances. [00:00:51] Speaker A: En vacances. [00:00:51] Speaker B: Qu'il profite bien. [00:00:52] Speaker A: Il faut qu'il se repose. C'est très, très, très important, cette semaine. Ah là là. Cette semaine. Il s'en est passé, des choses, cette semaine. On va vous parler, bien évidemment de ce qui s'est passé dans les news avec Didi Didier, qui sera là d'ici quelques petites minutes pour faire le point et pour qu'on en rigole, bien évidemment, puisqu'on est ici pour être léger, on n'est pas là pour se prendre la tête. Je tiens à vous rappeler une chose, c'est que moi, je n'y connais rien en musique. Juste, j'aime ce que ça me fait ressentir. Lui, il fait beaucoup plus de recherches. Et puis vous, vous êtes les spécialistes. C'est vous qui savez vraiment toutes les petites choses. Donc n'hésitez pas, dans le shmul, c'était dans le chat, en direct, dans le live twitch, à nous raconter des choses, à nous expliquer, à nous corriger, ÿousand on est là pour ça. [00:01:32] Speaker B: Ou alors à nous dire qu'on a tort, à préciser tout ce qu'on n'a pas dit. [00:01:36] Speaker A: Non, mais c'est intéressant, parce que finalement, c'est important aussi qu'on échange. Et n'hésitez pas à le faire également dans les commentaires sur notre page YouTube. Et n'hésitez pas aussi à vous y abonner gratuitement, puisque plus vous serez dessus, mieux ce sera pour nous cette semaine. Alors avant de commencer à s'amuser, je vais passer un petit message. Un message qui est important. Enjoy, parce que la situation de l'émission est un petit peu grave. Alors pas de panique, personne n'est dans un état proche de la mort, etc. C'est juste que financièrement, là, c'est assez catastrophique. D'habitude, je sais que je fais toujours appel à vous pour des tas de choses. Je suis toujours là à gratter, à dire oui, hein ? Toi, gnagnagna. Là, on est dans un point assez décisif. C'est à dire que si vous souhaitez qu'on continue à mettre des shorts sur nos réseaux sociaux et que vous souhaitez qu'on ait toujours ce décor, parce qu'on est dans un bureau qu'on loue, on n'est pas la maison. C'est un vrai endroit. [00:02:35] Speaker B: Malheureusement, non. Ce n'est pas notre chambre d'adolescent qui est resté en l'état. [00:02:39] Speaker C: Non. [00:02:39] Speaker A: Malgré les apparences. Si vous avez envie que tout ça puisse continuer, si ça vous plaît, il y a des moyens de nous soutenir. Alors il y a tipeee. C'est vrai, mais tipeee, ça fait des frais, donc ça fait de l'argent perdu. On ne vous demande pas de donner des tonnes d'argent. 1 €, vous savez, c'est déjà gigantesque. [00:02:57] Speaker D: Vraiment. [00:02:57] Speaker A: Si tout le monde donnait 1 €, ce serait juste extraordinaire. Pour clore l'année, il nous faudrait en gros 4 000 €. Je sais, c'est une énorme somme. Ÿ. Mais si vous avez envie de faire un don, il y a un lien sur notre site Internet, restless. Com. Vous allez dans radio et il y a un lien V. Le Crédit mutuel, qui est notre banque, et c'est gratuit. Vous pouvez faire des dons et vous avez un papier qui vous fait une réduction d'impôt. Bon, si 1 €, ça va vous faire, je crois, 60 0,06 € ou 30 0,03 € d'euro. [00:03:25] Speaker B: Oui, mais c'est déjà ça de prix. Puis bon, histoire de rappeler que c'est une association, ce qui explique pourquoi vous. [00:03:30] Speaker A: Avez droit à une réélection. D'un point. Ça vient pas dans nos poches. [00:03:33] Speaker C: Attention. [00:03:33] Speaker A: Nous, on gagne que dalle. [00:03:34] Speaker B: Justement, les restousand, c'est un but non lucratif. Mais vous pouvez avoir une déduction d'impôt de ce que vous donnez à une association. [00:03:42] Speaker D: Restless en études. [00:03:42] Speaker A: Donc vous pouvez donner à restless. Exactement. Et si vous avez envie de soutenir tout cela, n'hésitez pas à passer ce message auprès de vos proches, à aller changer en story sur votre Instagram, à le mettre sur votre Facebook, votre Twitter. Enfin, X. Aujourd'hui, tous les moyens sont bons pour rassembler un petit euro de chaque fan de métal. Et ça pourra continuer au moins jusqu'à la fin de la saison. Sinon, malheureusement, tout va un peu changer à partir du mois de novembre. Voilà. Dès le 1ᵉʳ novembre, ce sera un peu compliqué et il y aura beaucoup moins de contenu, peut être que du son. Malheureusement, c'est des aléas. Et Ben aura fait tout ce qui est en son pouvoir. Je pense qu'il a vendu l'appartement. Il a tout fait. C'est à dire que là, il est à sec. C'est pour ça qu'il lui faut un peu de repos, sinon, ce serait une catastrophe. Voilà. J'avais besoin de passer ce message, et. [00:04:28] Speaker B: Comme quoi c'est toujours compliqué, en fait, de produire du contenu gratuit, de qualité et d'arriver à perpétuer un petit peu l'activité, quoi. [00:04:38] Speaker A: C'est partout pareil. Nous, on fait pas exception. Non, non, non. On met de l'argent tous les mois dedans, mais ça n'est pas suffisant. Voilà. Pour moi, en. [00:04:49] Speaker B: Étant, vous voyez, un petit peu, l'émission, le décor, la qualité de réalisation et tout, tout ça, forcément, ça a un coût, ça a du matériel. C'est de l'espace qui est alloué et loué exprès pour ça. Donc forcément. [00:05:02] Speaker A: Bon. Voilà. Je sais que c'est chiant. Ça, c'était le message. C'est le truc. Vraiment. Maintenant, on va pouvoir s'amuser. [00:05:08] Speaker C: Oui. [00:05:09] Speaker A: Vivre le métal. [00:05:10] Speaker B: Ah non. Qu'on a évacué un petit peu les occupations nazes. [00:05:13] Speaker A: On peut retourner dans le fun. Il faut qu'on profite quand même de la musique, puisque c'est ça qui nous anime. C'est ça qui nous donne envie de vivre, de nous amuser, et qui nous a parfois fait rencontrer la personne de notre vie, ou alors les amis de notre vie. Et cette semaine, qu'as tu fait, mon petit ? [00:05:27] Speaker D: Enjoy. [00:05:27] Speaker B: J'ai beaucoup travaillé. J'ai sélectionné deux petits morceaux qu'on va. [00:05:31] Speaker A: Passer tout à l'heure, comme d'habitude, bien. [00:05:33] Speaker B: Sûr, qui sont des sorties récentes, en tout cas de cette année et une de cette semaine. Donc voilà. [00:05:40] Speaker A: Suspense. Il va y avoir de la boy, ça va envoyer vénère. Et il va y avoir une artiste qui est extraordinaire, aussi. Oui. Pour faire le teasing un peu plus complet, moi, j'ai été. Enfin, à l'expo. À la Philharmonie. L'expo métal, qui est donc terminée, puisque c'était aujourd'hui. [00:05:58] Speaker B: Eh bien, Ben a fait l'ouverture. Toi, tu fais limite la fermeture, en fait. [00:06:01] Speaker A: C'est ça. Alors c'est Marcel, notre monteur vidéo, Ÿousand, qui a fait la fermeture. Extraordinaire. Je tiens à féliciter vraiment toutes les personnes qui ont participé. Je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui ont prêté des objets. J'ai vu leur nom, j'ai fait. Ah Ben, je les connais. En l'occurrence, on fait un énorme bisou à Christian Lamé, qui est un acteur incontournable de la scène métal en France, et c'est un homme qui a participé, bien sûr, à la communication auprès de cette musique. Et puis voilà. C'est quand même chouette. C'était hyper bien organisé. C'était pas trop pompeux, c'était pas trop complexe ? Ÿ peut être que les grands spécialistes diront oui, mais c'était pas assez précis là dessus. On s'en fout, en vrai. J'ai vu des tas de personnes âgées, moi, quand j'y suis allé, qui était en train de visiter et qui des fois disaient oh là, ça fait du bruit. Et puis le pilote non, mais attends, regarde. Parce qu'en fait, c'est mieux quand tu regardes les visuels, ça dépend des goûts. Et ils checkaient. Et franchement, c'était cool de voir des gens qui ne sont pas dans le métal s'intéresser à cette exposition. Et ça a été un grand succès. Un grand succès. Donc c'est cool que ça puisse exister. [00:07:00] Speaker B: C'était la 1ʳᵉ. C'est cool, oui. C'était la 1ʳᵉ exposition du genre, je crois, avec cette ampleur en France, et qui a mobilisé pas mal de gens de grand talent pour son élaboration, des artistes, notamment le duo Fortifem, qui est très présent sur la scène française et qui a notamment, si vous avez vu l'exposition, tous les vitraux illustrés de toutes les sous chapelles du métal, c'est illustré par eux. Et c'était un gros taf, avec énormément de références. Moi, j'ai pu passer, je pense, 20 min juste à ÿ aller regarder et essayer de choper toutes les références à des pochettes, à des artistes et tout. [00:07:34] Speaker A: C'est. Attends, toutes les références, c'est ça. On regarde vraiment tous les détails en disant mais ça, je sais plus ce que c'est. [00:07:38] Speaker B: Et ça t'énerve un petit peu. [00:07:39] Speaker A: Grand jeu, grand jeu, ce truc, mais magnifique, très, très beau. On espère d'ailleurs les recevoir un jour, bien sûr, dans cette émission, pour discuter de tout cela. Ce serait cool. D'ailleurs, j'en profite, parce que quand on passe sur la section néo metal, il y a bien évidemment Chester Bennington qui est au centre du vitrail. Et cette semaine, c'était la vente des billets de concert pour aller voir Linkin. [00:08:01] Speaker B: Park à Paris, à la Défense. [00:08:02] Speaker A: Pour les billets de concert de Linkin Park. [00:08:04] Speaker B: Alors à savoir que c'est plutôt ça. [00:08:06] Speaker A: Le terme, si j'ai bien tout compris. Alors je dis juste que j'ai regardé, vu passer très rapidement. Ce n'est rien de précis, mais il me semble qu'il y a plus de 10000 billets qui ont été vendus en pré vente auprès des inscrits au fan club. Donc ça fait quand même 1/4 du. [00:08:21] Speaker B: Même fan club qui a pu assister au concert de la reformation avec l'annonce. [00:08:25] Speaker A: Celui qui a été streamé. [00:08:28] Speaker C: Voilà. [00:08:28] Speaker A: Il y en a beaucoup, quand même. Et tout s'est vendu en moins d'une heure. Et le lendemain, il y a eu encore une petite vente. Il y a eu quelque chose qui a encore été mis. C'est vrai que les gens n'étaient pas prévenus qu'il y allait avoir cette 2ᵈᵉ partie. Donc il y a quelques personnes qui ont pu se procurer des billets. Moi, je n'en ai pas eu. Je te jure. C'est un dimanche. Le concert a lieu le 3 novembre. Si je ne dis pas de bêtises. [00:08:52] Speaker B: C'est un dimanche, c'est tout. [00:08:54] Speaker A: Bientôt, je préviens, mais je ne serai pas là. Alors soit on enregistrera l'émission, soit il y en aura pas, soit ce sera ben ou vous. Je ne sais pas. Mais moi, je ne sais pas. Même si j'ai pas de billets, je vais aller devant la salle et je vais essayer de m'incruster en Louzée. Je sais pas. J'ai demandé des invites. J'ai demandé à tous les gens qui travaillent dans la musique. J'étais le relou de service. Mais ça me je suis tellement ému qui passe que je ne peux pas louper ce moment là. [00:09:21] Speaker D: Voilà. [00:09:21] Speaker A: Et j'ai envie d'y aller avec ma sœur. C'est l'occasion, bien évidemment, d'être en famille. [00:09:25] Speaker B: Et de se rappeler de bons souvenirs. Se sont fait découvrir le métal l'une l'autre. C'est ça, exactement. [00:09:31] Speaker A: C'est un beau symbole. Racontez nous si vous avez réussi, si vous avez galéré, si vous êtes en recherche de billets, etc. Il faut absolument tout échanger. [00:09:38] Speaker B: Si votre banquier vous appelle pour vous. [00:09:40] Speaker A: Insulter aussi parce que vous avez réussi à l'acheter. [00:09:43] Speaker B: C'est vrai que les billets, comme les gros concerts, généralement, maintenant, ça coûte une burne. [00:09:47] Speaker A: Cette semaine, je crois qu'il y a eu aussi les pré ventes. Enfin, les ventes d'Iron Maiden, si je ne dis pas de bêtises. Il me semble que. Oui, oui. J'en ai entendu. C'est pareil, mais ils ont rajouté 1/2 date, si je dis pas de bêtises, aussi. Bon, ça, j'ai pas vérifié. C'est un ami qui s'appelle Herbé qui m'a donné ce renseignement là, à qui je fais d'énormes bisous. Et donc j'ai décidé de passer un petit Linkin park quand même, parce que. Bon, c'est pas parce que les billets ont été mis en vente qu'on ne peut pas passer ce nouveau clip. Nouveau clip. Donc pour le titre Heavy, he's the crown, alors je sais pas si tu l'as vu ou pas. [00:10:17] Speaker B: Je vais le découvrir. J'ai volontairement pas écouté ni regardé rien du morceau, parce que je me disais bien qu'on allait le regarder ce soir. [00:10:27] Speaker A: Je suis gardé vierge de toute surprise. Je vous laisse faire des commentaires. Gentil ou pas gentil, vous pouvez vous lâcher. Même si vous trouvez que c'est de la chiasse, vous avez le droit de le dire. Ici, on est assez libre de dire ce qu'on pense, à partir du moment où vous insultez personne. [00:10:38] Speaker B: Vraiment ? [00:10:38] Speaker A: Précisément à partir du moment où on reste courtois. Voilà. Expliquez nous pourquoi vous aimez pas, quand même. [00:10:42] Speaker B: On ne dit pas c'est de la merde. On dit je pense que c'est de la merde. [00:10:46] Speaker C: Voilà. [00:10:46] Speaker A: D'abord, on dit je ne suis pas le public. [00:10:48] Speaker B: Je ne suis pas le public, ce. [00:10:49] Speaker A: N'Est pas pour moi. Non, non. Mais alors, la chanson, au final, elle est géniale. Elle est extraordinaire, énorme. Ça marche très bien. J'ai mixé aussi jeudi, à la rock maille. Tout le monde était hystérique. [00:11:01] Speaker B: Tout le monde a joué ce morceau. [00:11:02] Speaker A: En particulier tout le monde. Ah ouais, ouais, ouais. Ça vient de sortir. Tout le monde l'a déjà en tête, par cœur. Donc c'est que c'est efficace. Le morceau est très, très bon. Ce n'est que mon avis. Encore une fois, attention, je ne parle qu'en mon nom. Mais par contre, ce clip, moi, c'est pas possible. C'est pas possible. Je sais. Alors Marcel m'a expliqué, m'a dit. Mais non, Pierre. Mais c'est pas le jeu vidéo, mais c'est l'événement. Mais c'est le bidule. Je lui ai dit, je comprends rien. [00:11:21] Speaker C: Voilà. [00:11:21] Speaker A: En plus, je te dis ça comme ça. Ça se trouve, c'est même pas ça qu'il m'a dit. Ÿ je m'en fous, en fait, je m'en fous. Je n'ai aucune explication. Quand je vois ce clip, j'ai envie de dégueuler et de devenir ultra violent. [00:11:33] Speaker B: Je pense que je vais m'éloigner pendant le clip. [00:11:34] Speaker A: En fait, je vais quitter le canapé. Non, mais j'ai un cerveau quand même, donc je ne deviens pas. Mais tu sais, j'ai des crispations. Je pense que c'est. Alors parce que Marcel a besoin d'éléments très précis pour pouvoir valider des choses. Et je lui dis, je sais pas, je sais pas, mais je pense que c'est juste que. Ils sont incarnés dans le clip avec des personnages qui doivent ressembler, j'imagine, au personnage. [00:11:57] Speaker B: Alors connaissant notre monteur, est ce qu'il y a une esthétique cyberpunk dans ce clip. [00:12:05] Speaker A: Non, non, même pas. Ah, voilà. Parce que le jeu ne me gêne pas. Le jeu. J'ai rien contre le jeu. Je m'en fous du jeu. De toute façon, je joue pas. Mais je m'en fous du jeu. Il est bien, il est beau, mais c'est le fait que eux soient là. Ÿousand. Et quand il chante, je te jure, j'ai envie de. Je sais pas, j'ai envie de tout péter, voilà. Je le ferai pas parce que la violence est pas beau, mais. Mais voilà, c'est ce qui se passe dans. [00:12:26] Speaker B: En moi. Mais du coup, il y a un vrai lien avec l'animé Arcane. [00:12:29] Speaker A: Du coup, tu vas voir la saison qui va sortir. Oui, oui. Enfin, ça reste un clip, quand même. Donc voilà. Mais je sais pas, je me sens mal, là. Je commence à avoir des frissons. Bon, on va le passer. Je vais juste fermer les yeux. Ferme les yeux. Ouvre grand les yeux. La chanson est extraordinaire. Donnez nous vos commentaires. N'hésitez pas à nous dire si vous aimez ou pas, si vous y allez ou pas. Bref, Linkin Park, c'est un petit peu quand même l'événement de cette année 2020. Quatre. Cette fin d'année 2020. Quatre. Donc on regarde tout de suite pour ouvrir. Bang bang. [00:13:46] Speaker E: Heavy is the crown and laid on the floor again one knock at the. [00:13:49] Speaker C: Door and then we both know how. [00:13:50] Speaker E: The story ends You can't win if your wife flags out when the war begins aiming so hobbits ringing so low Trying to catch fiber feeling so cold Hold it inside and hope it won't show i'm saying it's not but inside I know today's gonna be the day you notice cause i'm tired of explaining what the joke is This is what you asked for Emmy is the crowd fire in the sunrise as she's raining down Try to hold it in But it keeps cleaning out This is what you ask for heavy is up. [00:14:27] Speaker C: That. [00:14:27] Speaker E: Is a crowd turn to run now look what it's become out Number ten to one back then should have bit your tongue Cause there's no turning back this path once it's begun You're already on that list so you don't want what you can't resist Waving that sword When the pen won't miss Watch it all falling apart Like this is what you ask for heavy is the crowd Fire in the sun rise as you bring it down Try. [00:15:53] Speaker D: To hold it. [00:15:54] Speaker E: In what you ask for happy is that. [00:16:45] Speaker A: Heavy is the crowd I am fighter six feet under I am. [00:16:57] Speaker D: Lover. [00:16:58] Speaker E: Kung fu lover I am. [00:17:03] Speaker A: Fighter six feet under i'm. [00:17:09] Speaker E: A fighter cartoon buyer You see me without emotions I see. [00:17:15] Speaker A: You across the oceans We. [00:17:20] Speaker E: See us, but we you see me after your potions I see you across the oceans We see us above these oceans they are us and we are them today Nah, nah, nah, tonight we're going home Nah, nah, nah When all of a sudden mind the horse of being apart Apply the forest to see the park Make your move and kill the park you see me after your potions I see you across the we see us above these notions they are us and. [00:17:56] Speaker A: We are them today i'm. [00:18:02] Speaker B: Another six. [00:18:03] Speaker A: Feet under i'm. [00:18:08] Speaker E: A fighter cartoon boy I'm a. [00:18:16] Speaker A: Fighter Six free under kung. [00:18:22] Speaker E: Fu level you see me without emotions. [00:18:26] Speaker A: I see you across the oceans we see us but. [00:18:32] Speaker E: We are them today you see me after your potions I see you across the oceans We see us above these oceans They are us and we are them today Nah, nah, nah Tonight we're going home right on the horse to be the part apply the force the city but make your move and kill the bus You see me after your potions I see you across the oceans Crazy as above these notions they are us and we are them today california to Argentina They are us and we are them They are us and we are them Saudi Arabia to Tunisia They are us and we are them They are us and we are them From Armenia to Australia They are us and we are them They are us and we are them Israel, too Indonesia They are us They are us and we are there Make your move and count upon you See me after your potions I see you across the ocean We see us above these notions they are us and we are them They are us and we are them They are us and. [00:20:30] Speaker A: We are them today Bang Bang. [00:20:33] Speaker B: À l'instant. Serge Tankian. Je te rejoins. Je sais pas, je connais. Je suis pas du tout familier avec League of Legends, mais le M. À barbu. Le M. À barbiche était vachement. [00:20:43] Speaker A: Mal fait, je trouve, parce que sinon, on va me dire que je critique encore le physique. Serge Tankan, bien sûr, on l'aura reconnu à sa voix, à son physique, à la musique, à tout ce que vous venez de. D'avoir dans les oreilles, dans les yeux. Très sincèrement, personnellement, je le passe, parce que cette chanson, je la trouve bien et que. Je trouve que ça fait un moment, quand même, qu'on n'a pas une chanson potable et que c'est plutôt pas mal. [00:21:06] Speaker B: J'ai vu apparaître certains kyoun. J'ai fait. Je me suis dit, ça va être chiant. Et en fait, ça va. En fait, ça va. [00:21:15] Speaker A: J'ai plutôt notre. Bon, en fait. Ouais, voilà. Ÿ il en fait pas. Il en fait. Bon, il en fait des kilos, mais pas tant que ça. Je n'ai rien. On l'a déjà connu en faire beaucoup plus. Et là, c'était. Ça, c'est équilibré. La musique est assez punchy, agressive. C'est cool. On n'est pas non plus dans un truc. [00:21:32] Speaker C: Voilà. [00:21:33] Speaker A: Juste retour après, quand on regarde le clip, c'est vrai que je me suis posé la question, attends, mais c'est qui. Qui est en train de jouer ? On en parlait en rantaine, mais le batteur, est ce que c'était le batteur de système, le bassiste ? Bon, bref, on. Au final, on s'en fout, de toute façon. Ce qui est à garder comme information, c'est que Serge n can vient de sortir. Ÿ un ep qui s'appelle Foundations. Voilà. Dans lequel vous retrouvez cette chanson. Alors je n'ai pas du tout écouté le p, par contre. Voilà. Parce que j'ai regardé l'information pendant que. [00:21:54] Speaker B: Le clip était en train de passer. Moi non plus d'ailleurs. D'ailleurs spoiler. La chanteuse avec beaucoup de talent dont je vais parler. [00:22:02] Speaker A: Tout à l'heure, c'est pas lui. Bien vu. J'aime cette vague. Bon alors attendez, je regarde ma montre que je n'ai pas. Mais c'est l'heure de quoi ? C'est l'heure du flashbang. [00:22:17] Speaker D: Et pour cela il y a notre ami Didi. [00:22:22] Speaker C: Didier. Bonsoir. [00:22:23] Speaker A: Jindobre Piotr. Jindobre Benjoy. Oh là là, quel bel homme. Quel bel être. Voilà c'est celui qui a toutes les informations. C'est celui qui sait tout. C'est celui qui dirige la rédaction si. [00:22:32] Speaker D: Immense de Restless qui est composée de. Bah là du coup on est un peu réduit. [00:22:36] Speaker A: Restriction du budgetaire. [00:22:37] Speaker B: On est plus que 15. [00:22:38] Speaker A: On a dû faire un petit plan social malheureusement. Voilà 15 jusqu'à la fin du mois. Oui. Donc MM. Dames, à votre bon courage. [00:22:47] Speaker D: Alors, que s'est il passé cette semaine ? Alors on va commencer avec une petite news. Andreas qui sort, qui a un peu parlé sur les frères cavalera ou Popopop. Je l'ai pas vu cette info. Non. Alors ouh là, qu'est ce qui se passe ? [00:22:59] Speaker A: Il y a quelqu'un qui rampe sous les caméras. [00:23:01] Speaker D: On a Marcel qui va essayer de te recadrer, alors du coup je vais bouger juste pour lui faire chier. Là il y a une récente interview d'Andreas Kisser, donc qui est le guitariste et le dernier membre originel de Sepultura. C'est le seul qui reste. Et donc il s'est exprimé sur l'état de ses relations avec les frères Cavallera et la réponse a été claire. Bah pas d'amitié, juste du respect. Il n'y a aucune relation entre lui et les fondateurs de Sepultura. [00:23:34] Speaker B: Il communique. [00:23:37] Speaker D: Uniquement via manager, tant que c'est pas par avocat. Mais le truc c'est qu'après je pense qu'ils ont encore une partie des thunes qui le revient. Enfin il doit y avoir des trucs de moula à gérer malgré tout. Et donc ça se passe comme ça. Après il y a eu un petit changement. C'est que. Il y a encore, il y a pas longtemps, dès que ça parlait des frères Cavalera, c'est. Non, c'est bon. Faut qu'ils arrêtent de nous faire chier. C'est bon Max, il a été moins longtemps dans Sepultura que Derrick Green. C'est pas faux qu'il arrête de l'ouvrir. Ouais, mais bon en même temps c'est le fondateur. Donc tout le succès, c'est le fondateur. Et tout le succès. Tous les albums de Sépultura qui ont marché, c'était les albums de Max, les. [00:24:15] Speaker A: Albums avec Derek Green, voilà. [00:24:17] Speaker D: C'est parce qu'on le voyait pas dans la pochette, mais il y a. En tout cas, il y a un petit changement qui s'amorçait. Donc là il dit pas d'amitié, mais juste des respects. En gros il dit. Alors déjà, ils expliquent que la tournée d'adieu, elle va s'étirer jusqu'à 2020 six. Ah oui, bon d'accord, c'est vraiment. On étire au maximum. [00:24:35] Speaker A: En même temps, pour une fois on vend. [00:24:38] Speaker D: Ouais mais ça peut. En tout cas ça va s'étirer jusqu'en 2020 six. [00:24:42] Speaker A: Et il espère. [00:24:42] Speaker D: Alors il dit pour l'instant il n'y a rien qui est fait, mais il aimerait bien que pour le tout dernier concert qui se passera au Brésil, il aimerait bien qu'il y ait les frères cavalera, alors qu'il y a encore pas longtemps, c'était jamais de la vie. Je les veux sur scène, ils ont plus rien à voir avec le groupe, ils sont. Ils se sont barrés, tant pis. [00:24:57] Speaker A: Là c'est. [00:24:57] Speaker D: Ouais, ça serait quand même bien. Donc on voit que M. Met de l'eau dans son vin pour. [00:25:04] Speaker A: Pour les avoir. Pour le symbole. [00:25:07] Speaker D: Oui. Après notre théorie, après notre théorie de. Ben, c'est que le groupe va s'arrêter. [00:25:14] Speaker A: Et les frères cavalera vont reprendre le groupe, ils vont reprendre le nom, mais. [00:25:17] Speaker D: Peut être qu'il aura ce qui s dedans. [00:25:20] Speaker A: Tu sais, franchement, ils vont faire une Slayer. [00:25:24] Speaker D: Bah ouais. Mieux, parce que. Ils vont revenir. Vraiment le truc que Slayer il. Non mais ouais, mais ouais. Je suis pas aussi sûr parce que Slayer, vraiment il y avait pas de haine entre eux. Là ils sont partis sur un gros. [00:25:33] Speaker A: Clash où les mecs ils sonnent, ils s'adressent plus la parole. Mais là ils n'ont pas besoin de s'adresser à la parole. Le nombre de groupes connus qui font des tournées où ils ne se parlent pas, où ils arrivent chacun dans une bagnole différente, etc. C'était le cas encore d'Aerosmith avant que ce soit fini, mais il ne se parle pas, chacun est dans sa bagnole, ils arrivent et ils montent sur scène. Et dès que c'est fini, ils n'ont pas le droit de se croiser, ils doivent rentrer chacun dans une voiture. [00:25:56] Speaker D: Ils ne sont pas dans les mêmes hôtels. Du coup ça m'a fait penser à une donc pourquoi pas sépultura ? Une petite news, là, que je n'ai pas noté, mais que j'ai vu cette semaine, où du coup, vu qu'on a parlé de vos amis, Serge Tankian, c'est qu'il a. Il a fait. Lors d'une interview, là, il a expliqué. En fait, son pire concert avec système, c'est que du coup, en fait, déjà, parce que ça date au début 2000. [00:26:17] Speaker A: Donc déjà. [00:26:17] Speaker D: En fait, ils avaient chacun leur tour bus, ils ne se parlaient pas, et que là, il y a. Du coup, c'était l'anniversaire de Daronne qui a fait. Serge, viens, on va se faire un bang avant le concert. Et que du coup, il avait pas fumé depuis des années. Et du coup, il a fait un concert où il se rappelait plus des paroles, où il avait l'impression que c'était pas du système qui jouait la musique, mais que. [00:26:39] Speaker A: C'Était de la dance music, et que tout le concert ok. Comme quoi c'est pas bon pour la santé. [00:26:44] Speaker D: On est bien d'accord. Qu'est ce qui s'est passé d'autre, sinon ? Alors, après 40 ans, il y a Mike Dean qui quitte Corrosion of Conformity. Je ne sais pas si vous avez vu ça. Non, non, j'ai pas vu passer ça. Donc Corrosion of Conformity, qui est un des piliers du metal, il se prépare un futur sans leur bassiste fondateur, Mike Dean, qui du coup, a décidé de se barrer, en gros, vu comme plein de groupes aux États Unis, en fait, ils sont dans des villes très loin les uns des autres, et qu'en gros, il en avait marre d'être loin de tout le monde, et que du coup, pour répéter, c'est plus la même chose. [00:27:19] Speaker A: Qu'Avant, que le groupe. [00:27:20] Speaker D: Il a combien d'années ? Il a 40 ans. Ah oui. Voilà. En gros, depuis le décès du batteur Rydmeline, en 2020. Du coup, en gros, il a perdu son meilleur pote dans le groupe qui n'est plus là. Les autres, voilà, ils sont loin du coup. Bon, ça me gonfle, je préfère arrêter. Et il va continuer la musique, mais plutôt au niveau local. Il va refaire un groupe, mais avec. [00:27:40] Speaker A: Des gens de sa ville, et voilà, quoi. Il va jouer que dans les clubs et les bars du village. Après, je pense qu'il a plus besoin vraiment de. C'est sûr que c'est toujours. [00:27:53] Speaker D: Ça doit être particulier de quitter un groupe, quand même, parce que. Surtout quand tu es un des mondes. [00:27:57] Speaker A: Fondateurs et que ça fait 40 ans. [00:27:58] Speaker D: C'est 40 ans de ta vie après, si tout le monde te fait chier aussi. Non, mais c'est surtout qu'en fait, les mecs sont loin. C'est que comme tu disais tout à l'heure, ÿ au bout d'un moment, quand tu commences, tu fais de la musique, c'est avec des groupes de potes, et après, ça devient un business et que tu vois, c'est comme Deftone avec. Il y en a un qui. [00:28:14] Speaker A: À Los. [00:28:17] Speaker D: Angeles, il y en a un qui est sur une terre plate. C'est qu'en gros, à partir du moment où même juste, tu votes jamais, il faut prendre des billets d'avion, faut se mettre. [00:28:25] Speaker A: Donc c'est que c'est compliqué. [00:28:27] Speaker C: Enfin, c'est plus. [00:28:27] Speaker A: C'est un business. Ah oui, oui, oui. [00:28:29] Speaker C: Ok. [00:28:29] Speaker A: Bon. Il est à l'ancienne. Bon. [00:28:31] Speaker C: C'est. [00:28:35] Speaker A: Une mauvaise nouvelle pour les fans. [00:28:37] Speaker D: De quand je ne conforme. [00:28:39] Speaker A: Voilà. [00:28:39] Speaker D: C'était eux qui rapportaient trop d'argent. Alors sinon, petite news. [00:28:42] Speaker A: Guns N Roses, il y a des nouveautés qui seront en route. [00:28:46] Speaker D: Selon Daf, McKagan, qui a sorti son album solo, je crois. Oui. En fait, c'est ça. C'est qu'il a sorti son 3ᵉ album solo et qui part bientôt en tournée, d'ailleurs, pour le défendre. [00:28:57] Speaker A: Passe au Trianon. [00:28:58] Speaker D: Et dans une récente interview accordée aux médias polonais. Ah bah oui. Le fameux. Le bassiste des Guns. [00:29:05] Speaker A: Le bassiste des Guns a révélé que de nouveaux morceaux étaient en préparation. Oui, bah ça, ça va. [00:29:10] Speaker D: Ça fait 15 ans qu'on le sait. [00:29:12] Speaker A: C'est. Non, attends, on n'est pas sur Chinese Démocratie. Non, non, non, mais ils en ont déjà parlé. C'est juste que. C'est juste que le journal polonais. [00:29:24] Speaker D: Vient d'avoir l'information. Ils ont reçu un fax qui était mal passé. Le mec, il veut promouvoir son album solo et sa tournée, tout le monde s'en fout. Il est obligé de répéter des news sur les Guns qui vont intéresser que du coup, les gens vont parler de ça. Les Guns vont sortir un nouveau morceau. Ah oui. [00:29:38] Speaker A: Au fait, le bassiste, il passe en tournée dans la ville dans pas longtemps. Tu sais, on sait, on sait. Quand un artiste ne marche pas, c'est quand tu reçois beaucoup de demandes du label. Ils non, mais tu veux des cadeaux, tu veux des trucs. Tu veux que je te non, mais tu es sûr, tu veux pas. Tu veux pas venir avec des amis, généralement ? Et je ça se passe en ce moment, pour un groupe terriblement. [00:30:00] Speaker C: Non. [00:30:00] Speaker D: Et c'est hyper triste. Mais pour Duff McKagan, non. Pour l'instant, ils ont l'air plutôt confiants. Dans une autre vie, j'ai connu ça avec une actrice française très connue qui fait de la musique, et avec du coup le label qui est. Vous êtes sûr, vous voulez pas faire une session acoustique ? Non, ça. [00:30:19] Speaker A: Allez. [00:30:19] Speaker D: Mais si. [00:30:20] Speaker A: Du coup. Après, on vous donne des groupes plus importants. [00:30:25] Speaker D: Non ? Un peu plus important. Attends, tu prends. Tu es un malade ou quoi ? En 1ʳᵉ partie, elle. [00:30:33] Speaker A: A dû faire. [00:30:34] Speaker D: 30 fois Bercy d'Affilia en Ÿousand, 1ʳᵉ partie de Dorothée. Donc c'est énorme. Allez. Alors on retourne sur System of Dawn, là, qui cette semaine a atteint les 1 milliard d'écoute. [00:30:43] Speaker A: Sur Spotify, sur Toxicity. Tout à fait. Donc 20, trois ans après sa sortie. Sur le morceau. Sur le morceau. Et Mike et Michael Romans aussi. [00:30:51] Speaker D: Leur 1ᵉʳ milliard pour Teenager. J'ai vu ça sur. Sur le Facebook de Alternative News. En tout cas c'est. Voilà, c'est très bien. Le nombre de groupes de méta qui. [00:30:58] Speaker A: Arrivent à atteindre ce jalon, il y en a pas. Il y en a. [00:31:09] Speaker D: Pas tant que ça. Donc c'est bien. Écoutons. On les félicite pour s'acheter de nouvelles charentaises. Alors autre petite news là, que je viens de voir, que je n'ai pas du tout noté dans mes fiches. C'est. L'enfant des années quatre 20 10 vient de naître. C'est en gros la fille de Kurt Cobain et le fils de Tony Hawk viennent d'avoir un enfant. Ils ont un petit garçon hier. Et donc voilà. [00:31:29] Speaker A: C'est vrai ? Vraiment ? [00:31:31] Speaker D: L'enfant des années quatre 20 10. Enfin, le petit enfant des années quatre 20 10. [00:31:36] Speaker A: Ouais. Il sera équilibré lui ? S'il prend du côté Tony Hawk. Oui. [00:31:39] Speaker B: Il leur a mis beaucoup d'équilibre. [00:31:41] Speaker A: Je suis pas totalement sûr. [00:31:43] Speaker D: Après je connais pas Tony Hawk. [00:31:47] Speaker A: Mais je. Voilà. Vu le métier. [00:31:47] Speaker C: Oui. [00:31:47] Speaker A: L'équilibre c'est important. [00:31:48] Speaker D: Oui. [00:31:48] Speaker A: C'était ça la vanne. C'était ça la blague. [00:31:50] Speaker D: C'est pas de ma faute si je suis con comme un pied. Sans déconner. Bon allez. Ça m'a fixé. Vas y, glace huit. Bon alors la semaine dernière, on a parlé du coup de Rise of the north Star qui allait faire l'Olympia Zweitausendein, et du fait qu'il fallait encourager les gens à soutenir la scène française et à acheter des places. Et ben du coup là, je vais vous refaire une. Une petite Reddit avec Gojira qui annonce une tournée des grosses salles en France. [00:32:14] Speaker A: Mais là c'est 13 dates avec des zéniths, des arénas. Ils vont enfin voir la tournée qu'ils méritent en France. [00:32:19] Speaker C: Ouais. Après. [00:32:19] Speaker A: Oui. J'ai beaucoup de respect pour Gojira. [00:32:20] Speaker D: Il n'y a pas de problème. C'est juste. C'est quand même des salles qui sont énormes. Bah oui mais je pense que là c'est zweitausendeinundzwanzig. Ils sont gros partout dans le monde sauf en France. [00:32:30] Speaker A: Alors qu'ils sont français, je pense qu'ils surfent sur les Jeux olympiques pour enfin. [00:32:33] Speaker D: Avoir le niveau qu'ils méritent. Je me doute bien, mais c'est quand même des très grandes salles. C'est pour ça les gens allez acheter vos places pour Gojira, allez y tout de suite. Je crois que c'est des gens en vente. Et dans la lignée aussi. [00:32:44] Speaker A: Du coup il y a landmarks qui annonce aussi une série de concerts en. [00:32:48] Speaker D: France pour début 2020. [00:32:49] Speaker A: Cinq. [00:32:49] Speaker D: Oui. Alors après eux ils n'ont pas annoncé des zéniths. Donc non, non c'est pas des aussi. [00:32:56] Speaker A: Grandes salles, mais pareil, même niveau. Rice Gojiral en Landmarks. Soutenez, achetez vos places de concert. Voilà. En plus ça fait trois. Bon peut être que Landmarks et Rails ça se ressemble un peu plus que Gojira. [00:33:07] Speaker D: Il faut soutenir pareil. Oui. [00:33:09] Speaker A: Après je pense pas que ce soit super cher. Ah Gojira. Si c'est assez cher. [00:33:13] Speaker D: Bah faut les payer. Il faut les louer les salles. [00:33:18] Speaker A: Gojira, j'ai vu. C'est un petit peu cher, mais bon. Après c'est les jeux olympiques qu'il faut. Non mais très bien. Attention je critique pas le fait que les artistes veulent gagner de l'argent. Ça je m'en fous. Enfin je veux dire c'est normal, tout le monde veut gagner de l'argent. Il faut bien qu'ils bouffent. Et puis s'ils sont habitués à manger de la saucisse faite à l'autre bout du monde. [00:33:35] Speaker D: Ah non c'est vrai, il. [00:33:38] Speaker A: Mange pas de viande. De la saucisse vegan, de la toundra. On sait pas où il partait avec Fatiha. 150 balles la place. [00:33:45] Speaker D: C'est quand même. [00:33:46] Speaker A: Attends, tu fais 13 dates de Zénith. [00:33:49] Speaker D: Et tu mets aussi cher ? C'est quand même. [00:33:51] Speaker A: Mais c'est dû prendre exemple sur un dauphine. Voilà. Je suis pas sûr que ce soit. [00:33:55] Speaker D: Les 150 balles partout par contre. Non mais c'est 60 15 en faux. C'est 150 dans les. Donc tu es à Paris, mais dans. [00:34:01] Speaker A: Les autres genre le Zénith de Dijon. Enfin, je sais pas si ils font. [00:34:05] Speaker D: Le Zénith de Dijon. Payons. Pot de moutarde. Ça c'est bon. Ça c'était ma meilleure vanne de la soirée. J'espère que vous êtes contents. Je te rappelle qu'il y a deux ans. Il y a deux ans, on était en pénurie de moutarde. S'ils avaient été payés en moutarde. [00:34:21] Speaker C: Ils. [00:34:21] Speaker D: Auraient pu se faire des couilles en or. Et aux États Unis, ramener de la vraie moutarde française. [00:34:28] Speaker A: Bon, je propose qu'on regarde un petit lendemain Marx, le self made black hole fit resolve. [00:34:32] Speaker D: Et bien voilà. [00:34:33] Speaker A: Bah, deux gros français ensemble pour un clip assez cool. Une chanson très très bonne. [00:35:21] Speaker E: Oui, c'est pour ça, je me suis dit, allez, profitons. [00:35:24] Speaker F: C'est vrai. [00:35:25] Speaker E: Allez, c'est parti pour l'un de Marx. I'm losing yet I'm losing y'all. [00:36:22] Speaker C: To. [00:36:23] Speaker E: Blow i feel the buzzing running through my pose the weather voids and greg forever Shack, shack motherfucker Oh, ÿousand me so bad and all this works out alone i'm nothing but my own mind I don't. [00:38:15] Speaker C: Think I want this anymore. [00:39:23] Speaker A: It gives me all night I know it's all my fault Never felt like home It never felt like home le turfu. On entend même des robots dire, peut être même 2001. Bon, non, mais voilà Landmarks à l'instant. Donc avec resolve pour illustrer cette tournée française, qui font avec tant de dates. [00:39:43] Speaker B: Et on leur souhaite bien sûr que ce soit rempli et que les gens. [00:39:47] Speaker A: S'Amusent énormément, ce qui est souvent le cas avec. On leur souhaite surtout que ce soit rentable. Je leur souhaite ce soit rentable aussi, surtout aux tourneurs, parce que bon, eux, eux, ils vont. [00:40:01] Speaker B: Ils vont toucher l'argent, je suppose. [00:40:03] Speaker A: Le principe, oui, normalement, si le mec part pas avec la caisse. Non, mais la musique, c'est pas un. [00:40:12] Speaker D: Métier, c'est un hobby, c'est une passion. Je sais pas moi. Bref, passons, passons, mon petit Didier, cette semaine. Alors comme chaque semaine, un peu dans le 2ᵉ speak des news, je vous. [00:40:23] Speaker A: Fais un peu une plus belle histoire. [00:40:25] Speaker D: Un peu plus grande, là, je vais vous passer en détail, parce que la semaine dernière, c'était déjà fameux, non ? Là, c'est le procès entre la succession de Joey Jordison et Slipknot qui se termine par un règlement, un règlement à la mise. Ÿ je sais pas si vous avez vu cette affaire ? Non, j'ai pas suivi non plus du tout. Ça montre à quel point clown et corettait Laure sans vraiment désenflure. Alors Slipknot avait initialement cherché à faire annuler la plainte, mais comme ils ont pas réussi, ils ont été déboutés. Ben comme par hasard, les deux parties sont parvenues à un règlement à l'amiable. [00:40:59] Speaker A: Les termes de l'arrangement n'ont pas été. [00:41:01] Speaker D: Rendus publics, mais bon, je vais vous faire un petit résumé quand même. Ah bah oui s'il te plaît. Oui oui. Quand on s'en frotte les zweitausendeinundzwanzig. [00:41:11] Speaker A: Slipknot a viré Jordison comme une merde. [00:41:13] Speaker D: On s'en rappelle tous. Sauf que quand ils l'ont viré, ils ont gardé ses affaires. Ses affaires, c'est à dire sa batterie. Je prends ses batteries. Du matos, enfin ses masques je pense. [00:41:22] Speaker A: Tout un tas de trucs à lui. [00:41:23] Speaker D: Qui étaient je pense dans le local de répète. Ils l'ont viré un moment où il était un peu malade aussi. [00:41:28] Speaker A: Oui parce qu'il était que eux avaient dit. [00:41:30] Speaker D: Ouais on pense qu'il avait des problèmes de drogue et d'alcool. Non, il était malade et puis je pense qu'il le savait. Et donc lui il a commencé à réclamer ses affaires et réclamer d'autres choses comme. Bah du coup j'ai quand même composé ça, donc j'aimerais bien être sur le toucher droit. Donc il y a eu un 1ᵉʳ raccord qui avait été donné, c'est. [00:41:50] Speaker A: On te rend tes affaires, mais t'arrêtes. [00:41:53] Speaker D: De réclamer d'autres trucs. Donc déjà ça montre à quel point l'honnêteté c'est vraiment des rats. Ouais non mais c'est horrible. Et donc ils ont signé cet accord, mais qui est. Alors je. Peut être qu'ils ont rendu quelques trucs, mais en tout cas il y a plein de trucs qu'ils ont pas rendu. Jordison est mort, du coup c'était l'année dernière. Et là qu'est ce qui se passe ? [00:42:12] Speaker A: Slip note. Ils se rendent compte que les fans. [00:42:14] Speaker B: Adoraient Jordison et du coup. Bah alors je sais pas si vous. [00:42:17] Speaker D: En rappelez, mais ils le remarquent après sa mort. Bah oui. Et du coup ils le remarquent trois ans après, ils ont. Ils ont surfé comme des bâtards sans aucune race sur la mort de leur. [00:42:30] Speaker A: Ex batteur en disant ouais, notre nouvel album lui est donc. [00:42:35] Speaker D: Il faut bien vendre cet album de merde. Donc oui oui. Donc on donne juste notre avis. Attention, notre avis n'est pas réalité. Et puis c'est même pas mon avis à moi, c'est l'avis de la rédaction. C'est moi je fais ce que les ont écrit pour moi. Et ils ont poussé le cynisme. Alors vous voyez là du coup, là, pour leur festival itinérant là, le. Leur fest. Et ben du coup ils font des. [00:43:00] Speaker A: Ils ont des. Des expositions aussi itinérantes avec le truc. Et du coup ils ont exposé les affaires de Jordison qui lui ont jamais rendu. Non mais c'était obligé qu'ils allaient utiliser ça comme ça, j'en suis sûr qu'ils l'avaient prévu. À partir du moment où ils l'ont. [00:43:11] Speaker D: Viré, qu'il était malade, ils se sont dit on garde les affaires parce que ça va nous servir quoi. Non mais t'imagines là ? Et du coup il y a la famille qui avait dit ça justement rendez les affaires, parce que non seulement vous avez pas rendu les affaires, mais en plus vous l'exploitez, alors que vous les exploitez, alors que vous faites de la thune dessus. Ÿousand alors que c'est censé nous revenir. C'est qu'ils avaient dit aussi qu'après sa mort, ils avaient eu beaucoup de contact avec la famille et tout la famille a dit ben non c'est pas vrai, il n'y a eu aucun contact. Donc il faut arrêter les conneries. Et donc là ça s'est réglé. Je pense que du coup clown et Coretellor, ils ont sorti le chéquier. Donc à voir s'ils ont fait un gros chèque pour se faire pardonner et s'ils ont rendu les affaires ou pas, ou s'ils ont fait un encore plus. [00:43:56] Speaker B: Gros chèque pour avoir le droit de garder les affaires encore pour, pour continuer à les exposer. [00:43:59] Speaker A: Les exposer, c'est bien parce que le chèque il fallait le faire du vivant. [00:44:03] Speaker D: De Jordison, quand il avait besoin de payer des soins. Bah ouais. Nos comments effectivement là, je sais pas quoi dire parce que c'est vraiment, c'est vraiment des. Après on savait déjà que c'était des bâtards, comme on disait tout à l'heure le monde de la musique. [00:44:18] Speaker B: Tu commences souvent en étant copain avec. [00:44:19] Speaker A: Et puis au bout d'un moment, ben. [00:44:24] Speaker D: Voilà, ça devient un business et t'encules les autres. [00:44:28] Speaker A: Tu commences dans un garage, tu finis au tribunal. De quoi quand on s'encule, tu finis en prison. Pardon. [00:44:34] Speaker D: Enfin, sauf si tout le monde est d'accord. Oui après, si les gens sont d'accord, bien sûr. Quoi d'autre ? Alors là, bah du truc peut être je vais faire deux petites news un peu rigolotes du coup, sur des petits ouin ouin sur des petits fragiles. Donc là, je vais d'abord parler de Phil Labonte, de All That Remains, qui s'est exprimé sur la crise des hommes dans une tribune sur Fox news news. La crise des hommes, donc le. [00:44:59] Speaker C: Masculinité. [00:45:00] Speaker D: Voilà. En gros, le chanteur du groupe de metalcore All That Remains. C'est une nouvelle fois, parce que c'était pas la 1ʳᵉ fois, une nouvelle fois exprimé en dehors de l'univers musical. Donc il est. Il est assez connu pour ses opinions plutôt bien à droite, bien conservatrice. Et donc il a écrit une tribune où il s'interroge sur la manière. [00:45:32] Speaker A: Dont la société moderne traite les hommes et les garçons, affirmant que celle ci. [00:45:38] Speaker D: Les laisse tomber. [00:45:38] Speaker C: Tomber. [00:45:38] Speaker D: Je sais pas quoi répondre à ça. Il a le droit de parler. En vrai, il a le droit de parler. [00:45:49] Speaker A: On est dans un monde où vraiment, les hommes qui ont été vraiment convaincus de viol, ça nuit vraiment à leur carrière. [00:45:56] Speaker D: Ouais, bon, je sais pareil. Je peux pas rebondir. J'ai juste envie dans la gueule, donc je me sens mal. Bon, la dernière. La dernière, c'est pareil, c'est Journey, qui sont aussi des petits fragiles. Donc Journay, et surtout leur nouveau. Leur chanteur. Enfin, leur chanteur, qui ont fait un peu un concert de merde au Rock in Rio Festival, mais au lieu d'assumer, parce que. [00:46:18] Speaker A: Bah, des fois, ça arrive. [00:46:20] Speaker B: Tu es pas en forme. [00:46:21] Speaker D: On a fait des fois des émissions de merde. On assume une raison. Émissions de merde. Pas une raison. Faut pas arrêter d'y croire. Et là, du coup, il y a eu. Il y a eu beaucoup d'histoires sur les réseaux sociaux parce que du coup, le concert était vraiment nul. Avec le guitariste qui fait. Si, c'est ça. Bah, les fans de. Les fans de journée, vous avez qu'un. [00:46:39] Speaker A: Dire si vous voulez que je parte. [00:46:42] Speaker B: Et si vous êtes plus d'un million. [00:46:43] Speaker D: À dire que je dois partir et ben je partirai. Non, non. [00:46:46] Speaker A: Il y a eu vraiment 1 million. [00:46:47] Speaker D: De fans de journée. Il a vraiment dit ça ? Donc que ce donc déjà ça ? Oui. Non, non. [00:46:52] Speaker A: Ils ont 2700 ans. C'est quoi le. [00:46:59] Speaker D: Délire ? Le nouveau chanteur, enfin le. Je sais pas depuis combien de temps il y a, mais il est plus. Quand tu. On dira Abraham Simpson, alors. Et du coup, il y a Nilchon, le guitariste, qui a répondu aux critiques concernant la performance de son chanteur Arnel Pineda, en affirmant que Aven Chevenfold avait limité le niveau du volume pendant le. [00:47:19] Speaker A: Set de John Journée et que c'est. [00:47:21] Speaker D: Voilà, c'est de leur faute. Si le mec, il a pas su chanter comme il faut, c'était à cause d'Avenge Heaven Fold ? Mais non. Mais qu'est ce que. Alors c'est quand même marrant que la. [00:47:35] Speaker A: Limitation décibel fasse que le groupe joue moins bien. Enfin, le groupe joue bien. [00:47:44] Speaker B: Mais pas le chanteur. J'ai envie de dire. Enfin moi, ça me. Ça me donne soif. [00:47:49] Speaker A: Tout ça, c'est vraiment. Ÿousand. Voilà, ça sera la tasse de la dénonciation. Selon le théorème de Journée. En fait, Manowar est le meilleur groupe du monde. En tout cas, vous pouvez commenter, n'hésitez pas. Là, vous le faites dans le chemin, en direct, comme ça ça vous permet de discuter entre vous. Mais vous pouvez le faire également en contact, en commentaire, pardon. [00:48:04] Speaker D: Dans nos VOD, sur YouTube. [00:48:05] Speaker A: Comme ça on peut vous répondre. [00:48:08] Speaker D: Et on peut dire des tas de conneries, n'hésitez pas. Vous pouvez nous clasher aussi, on adore ça. Surtout nous clasher. Moi j'aime bien les fesses, donc. Merci. Bah du coup, je. Moi je propose qu'on s'écoute quand même journée. Bah oui, on va les encourager. Bah du coup, vu qu vu que. [00:48:21] Speaker A: À cause d'aven fold, on n pas. [00:48:23] Speaker D: Bien pu les écouter à Rockin Rio, je propose qu'on. Qu'on s'écoute un petit don stop beliving quand même. Cette chanson est magnifique. [00:48:33] Speaker A: Et puis on t'applaudit. On applaudit. C'est vous. [00:48:37] Speaker D: Moi en attendant, je vais continuer à. [00:48:38] Speaker A: Me désaltérer grâce à eux et grâce à. [00:48:42] Speaker D: C'est vraiment trop dur. [00:48:45] Speaker A: D'Être un homme. Trop. [00:48:56] Speaker E: Trop dur dur d'être bébé. C'est dur d'être un homme dans un monde comme ça. Bon allez, c'est compliqué. À la semaine prochaine, les amis. C'est parti pour journey. [00:50:05] Speaker C: Zweitausendein. [00:50:06] Speaker E: He took the midnight train go and leave away a singer in a smoke hair room I smell a wine and sheep of you for a smile They can share the night it goes on and on and on and on Everybody wants a real pair Anything to roll the dice Just one more time Some will win Some stop believing Hold on to that feeling be like deeper Don't stop believe it I feel it sacrilegious Put your arms around me i stab you in the back you'll never see a. [00:56:39] Speaker A: Skeleton Christ, I'll be the one in Bible black you should have treated your savior's better at the tombs that you left behind Do you think that conference God ? Le tout nouveau single de Marilyn Manson à l'instant dans Bang Bang, donc avec ce titre, s'appelle sacrilegious et qui fait partie de son nouvel album qui sortira le 20 2 novembre prochain. Marilyn Manson, qui a annoncé une tournée et qui pour l'instant ne passe pas par la France, même si les fans français se sont manifestés apparemment ÿousand en masse et ont presque porté plainte pour une non date française. Voilà, on parle beaucoup de Marilyn Manson, évidemment. En bien, en mal, ça. Je vous laisserai chacun choisir, mais le moment est venu de recevoir notre invité. [00:57:25] Speaker C: Puisque c'est ça le plus important. C'est. [00:57:32] Speaker A: Manux. Bonsoir. Il est avec cette mini main que je déteste. Tu sais. [00:57:37] Speaker C: Que ça me. [00:57:43] Speaker A: Ça me. Ça me traumatise, en fait. Marcel, le film, c'était quoi ? [00:57:46] Speaker C: Scary movie. J'ai vraiment un problème avec ça. Je ne sais pas pourquoi, mais voilà. [00:57:50] Speaker A: Je te remercie. Si tu veux me punir, tu suffis d'approcher cette main. C'est assez simple, non ? [00:57:55] Speaker C: Mais oui. [00:57:55] Speaker A: Mais je sais que tu aimes être puni. J'ai pas envie. Bon, ça fait très longtemps qu'on s'est pas vu. C'est vrai, on a parlé il n'y a pas longtemps, mais ça fait très longtemps qu'on ne s'est pas vu. Ça fait longtemps par contre, qu'on se connaît. Et il s'en est passé des choses depuis. Des tonnes de choses. Mais d'abord, avant toute chose, avant de discuter de notre vie, de tout cela, de ton parcours et de ton avis. [00:58:18] Speaker C: Sur des tas de choses, il faut. [00:58:21] Speaker A: Expliquer aux gens un petit peu ce. [00:58:25] Speaker B: Que tu fais dans la vie, pourquoi tu es ici. Parce qu'on te connaît. [00:58:32] Speaker C: Pour le punk. Mais à quel niveau ? Des chocolatines ? Oui, ça va. Nous aurons déjà dit chocolatine. Voilà. Tiens. [00:58:39] Speaker A: C'est un provocateur. Non, non. Toutes nos excuses. [00:58:43] Speaker C: À nos spectateurs du nord. Il manque juste la pizza à l'ananas et on aurait fait un le bon combo. On aurait fait un le combo, ça peut s'arranger. La soirée n'est pas terminée. Je sais pas comment tu veux que je me présente. Tu aimes le punk déjà ? Voilà, j'aime le punk rock. Surtout le punk rock mélodique. Ça fait une petite vingtaine d'années maintenant que je suis plus ou moins dedans de manière différente. J'ai commencé en tant que musicien j'ai été tourman, j'ai été merch guy, j'ai été driver et bon musicien. J'étais quand même pas très bon. Donc je me suis dit à un moment, il va falloir que j'arrête. Et donc j'ai arrêté. Et en fin de compte, le fait d'avoir booké mon groupe et le fait d'avoir essayé de faire bouger les choses m'ont fait rencontrer des gens. Et au fur et à mesure, ÿ aimé être plutôt. [00:59:38] Speaker A: Plutôt dans l'ombre et d'être. Et donc je suis devenu plus ou moins agent, où je m'occupe de groupes, et aussi promoteur, producteur, où j'organise des concerts aussi. [00:59:46] Speaker C: Voilà. [00:59:46] Speaker A: C'est quand même déjà pas mal. Je pense que c'est un résumé qui. Voilà, ça veut dire bon, il chôme pas. C'est quelqu'un qui a toujours beaucoup bossé. Juste moi, de mon point, point de vue, tu m'as dit tu en fais des kilos quand même, sur mon compte. Je sais que tu as toujours été celui qui était le seul. Peut être qu'aujourd'hui, il y a un peu plus de monde, mais qui était le seul à défendre des groupes américains qui venaient de loin, à te saigner pour réussir à faire en sorte qu'il y ait des tournées, des dates en France, ce qui n'est pas chose facile lorsque les groupes ne sont pas les plus connus du monde, mais qui sont quand même des grands groupes. Et quand j'étais à Wifm, etc. C'était celui qui aussi taper du poing pour dire putain, mais il y a ça, il faut le faire, il faut qu'on y aille et tout. Non, mais c'est ce que j'appelle un défenseur. Et il y en a assez peu finalement, des gens comme ça, parce que tu es un méga passionné, et c'est pour ça que je suis très content de te recevoir aussi parce que je sais que tu n'as pas ta langue dans ta poche, mais c'est surtout que tu es un vrai passionné et que ça fait du bien de voir. [01:00:45] Speaker C: Ça. [01:00:46] Speaker A: Parce que ça peut inciter aussi de nouvelles générations, parce qu'on va pas le faire non plus toute notre vie, et que ce serait bien de montrer un petit peu la voix aux autres. Ÿousand moi, j'aime bien. Et en fait, je. J'ai discuté avec quelques amis en disant Voilà, tu te souviens de Manuk, c'est tout. Il va venir, je suis content, ça fait longtemps. On avait des discussions, puis on râlait, puis on était là à se dire il faudrait que lui, il se barre et tout ça parce qu'on avait, voilà. On avait des histoires en commun. En commun. Et j'ai parlé à des amis, même, qui sont aux États Unis. Et quand j'ai dit gens, ils ont dit oh, manus m attends. Mais je [sos/eos] sais, mais c'est le mec qui a réussi à faire qu'en France, c'est du punk, parce qu'en vrai. [01:01:25] Speaker C: Il y a tellement d'endroits où. [01:01:31] Speaker A: Il y en a pas, et qui disait, je, j'habite dans un État américain où il y a moins de concerts de punk que tout ce qu'il a pu organiser à Paris. Ça compte pas. C'est pas l'Alaska. Peu de français qui ont envie de partir en Alaska, normalement, mais non, non, mais voilà. Et. Et tout le monde avait cette réflexion de ce mec, s'il avait pas été là, la France n'aurait pas eu le. [01:01:55] Speaker C: Même visage en termes de concerts et. [01:01:57] Speaker A: D'Événements autour de cette musique punk. Donc voilà, c'est pour ça que je. [01:01:58] Speaker C: Te fais des louanges. Mais c'est parce que c'est mérité, parce que, écoute, je prends, hein, je veux pas. Parce que ça, tu peux pas me dire le contraire. Je pense que t'en as chié aussi. Ouais, j'en ai chié. J'en ai chié sous plein d'aspects possibles. Ÿ j'en ai chié parce que déjà, je viens du sud ouest, je viens du Béarn et du Pays basque, et c'était assez compliqué. Tout se passait à Paris. Donc quand je suis arrivé à Paris, après mes études pour travailler dans l'audiovisuel, c'est là où les choses ont un peu changé. On m'a mis à l'essai avec quelques groupes. Ça a plutôt matché. J'ai rencontré des gens ici qui m'ont beaucoup, beaucoup aidé. Parce que je suis peut être celui qui organise, mais si j'ai pas mon entourage à côté, je suis incapable de faire ce que je fais. Et en fait, je me suis rendu compte qu'il y avait une manière de faire, quand je suis arrivé à Paris, que telle salle devait être estampillée tel style, telle salle devait faire ça. Et moi, en fait, j'en avais absolument rien à foutre, du moment que je pouvais faire passer mes groupes et que la salle était cool et que les gens, c'était ça, en fait, quoi. Donc, si tu veux, j'ai été un petit peu. Je suis un peu. J'ai rué dans les brancards, quoi, si tu veux. Je suis arrivé, alors j'ai pris des claques, j'ai pris des gifles moi même, j'ai eu des remises en question. J'ai beaucoup de gens qui m'ont. Qui m'ont expliqué comment ça se passait et compagnie. Et c'était très bien. Certains sont restés, certains sont partis. Et le truc qu'il y a, c'est par contre, c'est que je suis pas. Ça a jamais été mon travail, en fait, juste pendant une mini passade, ça a été mon boulot. Mais en fin de compte, quand j'étais déjà plus petit, les 1ᵉʳˢ concerts que j'ai fait, c'était mes parents qui faisaient le catering, quoi. Tu vois, il m'aidait, il faisait le catering. On allait acheter la bouffe ensemble. Ouais. C'était super cool. Mais je pense que c'est parce qu'ils voyaient que j'étais. Et tout à l'heure, quand je disais que j'étais musicien et qu'on n'était pas très bon. Non, mon groupe, on n'était pas très bon. Mais beaucoup, beaucoup de gens nous ont aidés et soutenus par rapport à l'envie. En tout cas, moi, j'avais. Et du travail que j'avais mis. Et je le prends personnellement, parce que. Parce que c'est ça qu'ils m'ont dit, moi, après. Ça enlève pas le travail des autres, mais il y a toujours quelqu'un, tu sais, qui fait avancer le bateau. Et beaucoup de gens qui aiment pas cette position, d'ailleurs, elle est difficile. Et je pense que ça s'est fait naturellement. En fait, voilà, j'ai fait un 1ᵉʳ groupe qui s'est bien passé, 1/2 groupe, puis j'ai eu un peu le trophée après. Et c'est vrai que c'était en descente en France, le punk rock melod, parce. [01:04:31] Speaker A: Que c'est là dessus, quand même, que je suis le plus spécialisé. C'est pas une musique qui résonne bien ici. C'est pas une musique qui marche à bloc. C'est pas une musique. [01:04:36] Speaker C: Désolé. [01:04:36] Speaker A: Coupe. J'ai l'impression que c'est plus une musique qui marche dans le sud de la France que dans le nord. [01:04:44] Speaker B: C'est fou, parce que je viens du sud est, moi, donc c'est pas le. [01:04:48] Speaker A: Même coin, mais toutes mes potes étaient toutes des fans de punk. [01:04:51] Speaker C: Alors. Punk américain, attention un peu. Est ce que c'est parce que le sud de la France, c'est notre Californie à nous. J'ai bien l'impression que le soleil joue beaucoup. Dans l'envie d'écouter cette musique, écoute pour moi, l'endroit rêvé pour cette musique là. C'est anglais, c'est biarritz, c'est ces endroits là. Et pourtant c'est extrêmement compliqué de faire des choses. Et en fait il y a un espèce de void entre le, entre Paris et l'Espagne. Enfin oui, oui, je veux dire quand tu descends par Bordeaux, Bordeaux c'est de plus en plus mort, Toulouse, il y a quand même une vie. Mais je parle vraiment là du sud ouest, ouest et côte basque et. Ouais, ouais, c'est très compliqué pour plein de raisons qu'on pourra évoquer et plein, plein de raisons. Mais donc il y a des gens qui ont fait bien plus que moi avant moi, et je pense qu'à ce moment où c'était un peu en descente, ils avaient besoin. Il y a certains groupes, c'est vrai. [01:05:37] Speaker A: Qui m'ont dit on revient aussi parce qu'on a quelqu'un qu'on sent motivé et qui ont envie. Et c'est vrai qu'il y avait beaucoup de groupes qui skippaient la France et qui partaient dans un autre pays. [01:05:45] Speaker B: Bon donc voilà, il y a quand même un boulot qui a été fait, il y a quand même quelque chose qui était. Est ce que tu connaissais son existence ? Ng, pas du tout. Mais moi je suis pas vraiment impliqué ou connaisseur de la scène punk, donc je vais découvrir, je pense, pas mal de trucs. [01:06:00] Speaker A: Mais par contre le fait qu'il y ait des zones en France qui manquent clairement de concerts, qui manquent de représentation de la scène que ce soit métal ou punk, ça oui, c'est une réalité, je la connais très bien. [01:06:12] Speaker C: Après des styles de musique, voilà, il y a des styles qui marchent mieux dans certains coins, etc. Bon, à Paris, globalement, un peu tout qui fonctionne entre guillemets, je veux dire, c'est parce qu'il y a beaucoup de monde. Je suis tellement pas d'accord avec ça. Vas y mais dis moi, dis moi. Je suis pas d'accord avec ça. C'est un truc sur lequel je lutte aussi depuis des années en. En gros, en vrai, en tant que tourneur et en tant que promoteur, quand une agence veut te faire plaisir, elle te dit Hey, je te file un samedi ou un vendredi à Paris. Paris, s'il y a bien un endroit où j'ai pas envie de faire des concerts, c'est le week end déjà, parce que les gens partent parce que tous les clubs, toutes les salles à h, ils te mettent dehors parce qu'il y a les clubs et Claire de Rhin, c'est ça qui les fait vivre. C'est pas les concerts, mais c'est des clubs jusqu'à sept, 8 h, du mat. Donc déjà, c'est un enfer. Et deuxièmement, je pense que les gens en. Et c'est peut être parce que je suis pas parisien, mais les gens hors. [01:07:07] Speaker A: Des grandes villes, ils n'ont pas grand. [01:07:08] Speaker C: Chose à se mettre sous la dent. Je sais pas pourquoi les groupes et les management veulent absolument faire à Paris. Paris, c'est super plus cher que n'importe où. C'est vrai que c'est très cher, c'est. [01:07:20] Speaker A: Indécent sur plein de niveaux. [01:07:21] Speaker C: Alors que tu vas aller. [01:07:22] Speaker B: Je sais pas, ils disaient les zénith de Dijon, les trucs comme ça. Et tu vas cartonner parce que les gens, ils ont faim, ouais. Comme ils ont moins d'offres. Du coup, c'est l'offre et la demande. Une des raisons pour lesquelles aussi le. [01:07:32] Speaker A: Hellfest, ça marche super bien, c'est qu'il y a beaucoup de gens qui n'ont pas de concert à l'année près de chez eux. [01:07:37] Speaker C: Et en fait ils se font tout en un week end chaque année. Ouais. Et puis ça coûte moins cher, les billets aussi, peut être en province, étant donné que les frais sont moins élevés, je sais pas. Alors oui, ça c'est un vaste sujet sur lequel je veux bien, tu vois, à un moment dans la. Dans la soirée, de faire une analyse sur pourquoi les. Non, mais parce que. On va arrêter de se mentir, on va se parler français. À un moment, les gens qui ralent sur le prix des billets, et je suis le 1ᵉʳ à le faire sur certains cas, mais parce que derrière, je sais ce qu'il y a, mais il y a certains concerts où on me dit c'est super cher. Non mec, en fait non, c'est pas. [01:08:07] Speaker A: Cher par rapport à ce que c'est. Mais je pense que la plupart des gens ne savent pas ce qu'il y a derrière. [01:08:14] Speaker C: En fait, je pense que les gens ne savent pas combien ça coûte un concert. Non, mais c'est vrai. Les gens ne savent pas comment tout s'organise. Et puis le nombre de personnes qui travaillent dessus, j'ai l'impression pas vraiment le savoir non plus. [01:08:27] Speaker A: Alors après qu'il y a un énorme. [01:08:29] Speaker C: Foutage de gueule des agents, des salles, des groupes, oui, on va arrêter de se mentir. [01:08:33] Speaker A: Un t shirt à 30 balles, c'est absolument pas justifié. [01:08:35] Speaker C: Faut avoir un t shirt à 100 balles. Ouais, mais ça, ça, encore une fois, ça dépend quelle salle. Mais à un moment, en vrai, ils vendent ça à l'extérieur de Berc. [01:08:43] Speaker A: Je sais qu'il y a plein de groupes qui pourraient me sauter dessus pour ça, mais tu veux vraiment savoir si. [01:08:50] Speaker C: Un groupe respecte ses fans. Tu vas au merch, tu regardes le prix. [01:08:53] Speaker A: Ouais, tu regardes le prix. [01:08:54] Speaker C: Après tout dépend peut être aussi la qualité du T shirt. Je sais pas. En vrai, ça dépend. En vrai, ça dépend vraiment de la salle. Tu as des salles, mais parce que tu prennes pas de pourcentage sur le marche et à des prods qui payent. [01:09:07] Speaker A: Moi je sais que dans certaines salles. [01:09:09] Speaker C: Parisiennes, il y a un prix à payer. Moi, en tant que producteur, je le paye. Je veux pas qu'on taxe mon groupe. Je veux pas qu'on taxe aucun de mes groupes à la place de. Du groupe en pourcentage. Ÿousand cher. Non mais je me suis battu. Ouais, pour, pour, entre guillemets, les. Les trois, les deux. Trois. Punk in the rubik que j'ai fait. Ouais, je me suis battu pour qu'il y ait. Alors après, est ce que les groupes font moins cher ou pas ? Ça c'est eux qui choisissent. Mais moi en tout cas c'est. Un des points sur lequel je me suis battu, c'est qu'on peut prendre de. [01:09:38] Speaker A: L'Argent surtout, mais pas sur le Merch. Le Merch c'est pour le groupe qui. [01:09:41] Speaker C: Soit, qu'il soit gros, ce que tu veux. Le Merch est sous le groupe en tout. Touche pas au Merch. Est ce que ça c'est un avis de punk ou est ce que c'est globalement. Ah non mais moi alors moi je t'arrête, je suis pas du tout punk. Non, non, je pense que c'est un avis. [01:10:01] Speaker A: C'est un avis. Ouais. Il y a des organisateurs qui prennent sur le Merch, mais ils s'en mettent plein les fouilles aussi. Donc ça dépend si c'est la salle, ça dépend. [01:10:10] Speaker C: Il y a. Parce que celui qui organise, alors la salle peut demander une location ou un prix de location de lieu de vente. [01:10:19] Speaker A: Mais le mec qui organise le concert peut demander un pourcentage sur le merchandising. [01:10:22] Speaker C: Demain j'organise un concert et je dis je prends du merge du groupe, qui c'est qui va m'en empêcher ? Oui, enfin le groupe si, mais bon s'il y a que toi, effectivement, ils vont le groupe. Mais ok, le groupe qu'est ce qu'il va faire le groupe ? Il va mettre son t shirt plus cher. Et il y en a beaucoup qui justifient qu'ils ont augmenté leur prix pour ça, alors que en fait on leur prend. Et puis tu as beaucoup de groupes. [01:10:49] Speaker A: Sur Internet qui font les. [01:10:50] Speaker C: Qui vont sur les réseaux qui disent c'est scandaleux, on nous taxe et compagnie, mec. Il n'y a rien qui t'oblige à le faire ça aussi. Il y a une vaste pantalonnade entre. [01:11:04] Speaker A: Les gens pour faire le peu cher. [01:11:05] Speaker C: Si tu savais comment la communication aujourd'hui, elle fait ton groupe. Pour moi, honnêtement, aujourd'hui, la musique, elle est devenue limite secondaire dans ton groupe, en fait plus que ce qu'ils racontent et ce qu'ils veulent faire passer comme image. De là, on peut rentrer dans un vaste sujet qui est énormément vaste. Mais en vrai, en France, pour moi, le. Enfin en France et dans le monde, mais le vrai pour moi, le vrai sujet il est là le vrai, vrai sujet. Et pourquoi la musique elle est plus ou moins en train pas de se casser la gueule ? Parce que finalement ça a jamais aussi bien marché qu'aujourd'hui. Tu as des salles aujourd'hui qui sont bookées pour un an, an et 1/2. Ça devient, ça devient n'importe quoi. Mais en vrai, ouais. C'est pour moi c'est les actes versus le message. Le message versus les actes. Et quand tu regardes les actes, le message, tu rigoles. Ouais. [01:11:51] Speaker A: Ça dépend à qui tu t'adresses, ça dépend à qui tu, à ce que tu fais. Mais. [01:11:58] Speaker C: Je suis pas en train d'artiller tout le monde. Je dis juste qu'à un moment pourquoi ne pas être transparent ? C'est vraiment une maladie. C'est ce qu'on dit du monde moderne. C'est que normalement il y a une transparence totale. C'est ce qu'on dit. Il n'y a pas de maladie à gagner de l'argent si tu remplis des sacs, c'est honteux. Tu te fais payer pour ce que tu vaux et ce que tu remplis. [01:12:23] Speaker A: Et dans un monde, dans un monde idéal, ça devrait être ça. Tu ramènes 200 personnes, tu es payé pour 200 personnes. [01:12:29] Speaker C: Je tourne la tête et aller là bas aussi je sens que ça va m'éclater ça. Ÿ oui évidemment, parce qu'il y en a qui demandent beaucoup plus pour une salle de 200 personnes. Comme si en plus pour moi. [01:12:52] Speaker A: Je te dis, la maladie d'aujourd'hui là, c'est des management. Et j'arrive pas à comprendre comment un groupe arrive à lâcher tout son groupe, toutes ses décisions à un management. Aujourd'hui tu vas avoir quatre ÿousand en France aussi. [01:13:04] Speaker C: Ah oui. [01:13:05] Speaker A: Cette confiance et l'utilisation du management, du. [01:13:07] Speaker C: Manager pour faire la com, pour prendre de grandes décisions. Parce que les américains, je le savais, bon, ça a toujours été une machine, mais tu crois pas qu'on l'a toujours copié ? Les américains oui, mais mal maintenant ça a l'air de copier. En vrai, il y a des groupes qui ont percé, il y a des groupes qui sont montés très vite, de par ce qu'ils envoyaient comme images, de par ce qu'ils envoyaient comme discours. Dans un monde où aujourd'hui ce que tu dis prend plus de place que la qualité de ta musique. Ouais. Et en même temps je fais exactement cette analogie là. J'ai regardé il y a pas longtemps le documentaire sur Netflix, sur Vince mcmahon, le chef de la WWE, que je ne connaissais absolument pas ce monde du catch, et je suis tombé là dessus. Et en vrai tout ce que j'ai vu je me suis dit mais c'est exactement ça le monde de la musique quoi. C'est à dire, on est dans l'entertainment. Aujourd'hui tu payes 150 balles pour aller voir des [sos/eos] mecs qui jouent pas, qui sont sur bande ou en auto tune. Par contre tu as des flammes de partout, tout le monde a les mêmes flammes, tout le monde a les mêmes trucs. Il y a un nouveau business qui s'est monté, ça fait des énormes salles avec des scénographies de fou, alors que la musique est la même. Est ce que vraiment on vient voir un spectacle, ou est ce qu'on vient voir des musiciens ? Est ce qu'on vient écouter de la musique ? Et moi la vraie question elle est là. Et c'est aussi pour ça que les billets ont énormément monté. Et aujourd'hui les gens signent tout avec un plus ou moins certains management commun qui font les décisions à la place du groupe. Et moi dans mon. En tout cas dans mon. Dans mon fantasme, ça a toujours été le groupe qui était leader de ce qu'il faisait. Et en fait je me rends compte aujourd'hui que même quand je book des dates, je dois attendre les réponses du management et pas du groupe. Et souvent le groupe me dit mais non, nous on veut le faire. Mais le manager a dit non mais mec, en fait c'est pas toi qui paye ton manager. Et si, mais en même temps c'est lui qui a le final, le final cut. Et ça, ça a changé tout le monde. Pour moi ça a changé tout le monde de la musique. Et la France change aussi avec ça, parce qu'on veut faire comme. Comme les grands frères américains, parce que. Parce qu'il y a un groupe qui a cartonné en faisant ça, comme Turnstyle par exemple, qui sont passés d'un gibus à un arena. Et ce que tu veux, les gens c'est le management. Et quand tu vois qu'il y a. [01:15:21] Speaker A: En management de Turnstyle, tu as terror. [01:15:24] Speaker C: Tu as knock loose ÿousand. Oui, oui. Vo. Les chemins qu'ils font, les groupes français. [01:15:26] Speaker A: Ou de partout, ils voient ça, ils. [01:15:27] Speaker C: Se disent c'est ça la solution. Mais le management va en fait sauver ma carrière. Ça va marcher. Et en même temps, c'est. Oui, c'est lui qui va te caler dans une salle, c'est lui qui a les contacts. [01:15:39] Speaker A: En tout cas, c'est lui qui a le pouvoir et c'est lui qui va te caler dans une salle où tu vas jouer avant que les portes ouvrent. Mais tu seras content, sera sur l'affiche. Ouais. Et tu vas payer le bus au groupe. J'avoue, j'avoue, j'avoue. C'est vrai que c'est un très gros sujet. [01:15:54] Speaker C: On. [01:15:59] Speaker A: Pourrait pas. Arrête, ça pourrait. Ça pourrait être très long parce que j'ai envie de poser des mini questions parce que. Oui, on a souvent parlé. Ben n'est pas là, c'est dommage, parce que. [01:16:07] Speaker C: Alors là, je pense qu'il se serait frotté les mains. C'est vrai que c'est un sujet qui touche beaucoup Ben aussi, qui est qu'il énormément et qui là, dont il a envie de parler beaucoup, parce que c'est. On en parle pas. [01:16:22] Speaker A: Assez, que la. [01:16:23] Speaker C: Vraie question que je me pose, c'est pourquoi les gens nous disent pas les choses ? En quoi il y a du mal à dire les choses et en quoi on voudrait que ton discours soit exact, soit exactement pas édulcoré. Mais il faut pas que tu dises les choses. Il faut. Il sait, c'est. Tout le monde le voit, c'est obvious, c'est sous les yeux de tout le monde, mais surtout faut pas le dire. Et le jour où c'est su, le management, il te dit d'aller sur Internet. [01:16:44] Speaker A: Et de faire un message et compagnie. Mais en vrai, les gens, les groupes engagés, les groupes dans ce que tu. [01:16:51] Speaker C: Veux engager dans ce quoi que ce. [01:16:54] Speaker A: Soit, c'est quand il y a quelque chose qui se passe qui montre leur engagement. Oui. Il l'a pas montré avant, mais pas vu, pas pris. Oui, oui. On connaît le monde de la musique, effectivement. Et aujourd'hui, bah, c'est central. Bon. On va passer un petit peu de musique quand même, parce que c'est. Le but aussi, c'est de savoir ce. [01:17:13] Speaker C: Que tu as envie d'écouter puisque tu as choisi des clips. Et le 1ᵉʳ que tu as choisi, c'est la gun. Bon, qui correspond. Je me suis dit bah évidemment. Mais après pourquoi tu choisis cette chanson, Razor Burn ? Et que représente la gun pour toi ? Alors c'est une de mes chansons déjà préférées dans tout le punk rock mélodique. C'est une chanson que j'ai écoutée dans mes années lycée parce que j'ai connu le punk rock un peu plus tard. V. 10 sept ans. Et je me souviens singer ces mecs là avec mon propre groupe et avec des mecs. J'ai une image de collègue à moi qui m'avait fait découvrir le punk rock, justement en train de faire les oiseaux dans l'escalier avec ce clip. [01:17:56] Speaker A: C'était une chanson. [01:17:57] Speaker C: C'était une chanson qui était sur une cassette de Fat Records, une compil qui s'appelait Peep Show. Et il y avait des clips de groupes parce qu'à l'époque, c'est comme ça qu'on découvrait. Il n'y avait pas Internet, mais c'était pas encore ultra, ultra démocratisé. Je suis pas un yov non plus, mais quand même c'était beaucoup moins. On avait ce truc de cassette, tout ça. Ben ouais, c'était déjà. C'était une cassette, c'était même pas un DVD. Et donc voilà. Et c'est cette chanson, elle m'a marqué. Et la guen, c'est devenu. C'est un des 1ᵉʳˢ gros groupes que j'ai vu à Seignosse, au Deconstruction Tour, je ne sais plus quelle année. Et ça, ça m'a complètement marqué. Et en fait ça m'a marqué toute ma carrière parce que c'est aussi le 1ᵉʳ gros groupe que j'ai fait en arrivant à Paris. Et je pense que si j'en suis là aujourd'hui, c'est grâce à leur chanteur, Joey Cape, qui est un des rares mecs dans ce milieu que je considère comme un ami. Je vais aux États Unis le voir, il m'héberge, on se parle. Et bon, j'ai fait sa rencontre plusieurs fois, mais le 1ᵉʳ concert que j'ai fait, c'était quelques mois après la mort de mon père. Et je lui ai expliqué que justement. Et ça fait. Ça fait mélo. Est ce que tu veux. Mais c'est le mélo. Sa musique et cette chanson là m'ont aidé à. M'ont aidé pendant le cancer de mon père. [01:19:11] Speaker A: Et zweitausendeinundzwanzig ça. Et je pense qu'il ya eu un déclic quand on s'est rencontrés. On a fait ce concert à petit Bain, et voilà. Et après ce concert là, bas j'ai eu Pennywise et quelques temps après j'ai reçu un mail avec marqueno fx dessus. Voilà, et ça on va en parler bien évidemment puisque c'est la suite de cette émission. Et c'est pour ça aussi qu. [01:19:53] Speaker E: Il est intéressant que tu sois là, parce que c'est un genre musical finalement qu'on traite assez peu aussi dans les médias français. Bon déjà c'est alternatif, on en parle pas, mais de punk encore moins. Allez c'est parti pour ce lag wagon. Choix de manux Razoburn She has a new man I have a new mustache now all my friends are gonna call me Mountain man Everyone will think that i'm a stupid drifter Do I be under love i'll never shave again on the night she left me bitch your egg room ÿousand miraculously I dressed in black like Johnny cat and cruises beard of shade i heard it said she looks a lot. [01:25:20] Speaker A: Like jellyfish it's over She left me and she will to forget me She found out I was safe I grew up here to check come all be faithful joyfulness triumph I am a new man i never fear again I will show you when you die bang Bang. À l'instant avec Spirit Box. Le tout dernier Spirit Box qui vient tout juste de sortir ce clip en noir et blanc, voilà avec le groupe. [01:25:38] Speaker B: Qui revient en force encore une fois et qui mon avis va cartonner. Et puis bon bah voilà, ça va remplir les salles et puis les gens. [01:25:44] Speaker A: Vont être heureux en même temps sur scène. [01:25:47] Speaker B: C'est vrai que c'est assez impressionnant. [01:25:48] Speaker A: Spirit Box c'est pas de souci pour eux sur le fait que ça marche. Et il y a une date qui est annoncée, je crois avec périphérie et je sais plus qui. Ah bah ça c'est pour toi périphérie. Oui, Spirit Box. Je suis un peu moins fan mais bon je suis pas un grand fan de Spirit Box, mais j'ai vu sur scène et j'ai entendu. Il y a une araignée. Excusez moi. J'ai été impressionné par la chanteuse parce que ça chantait vraiment. Donc déjà je suis content parce que c'est vrai qu'on en parlait. Bon quand ça crie qu'il y a beaucoup d'effets sur la voix. [01:26:23] Speaker C: C'est vrai que bon, on connaît. J'ai déjà été à des concerts de mes groupes préférés, et. [01:26:29] Speaker A: Lorsque j'étais sur le côté, que j'ai vu le M. Qui appuyait sur le bouton pour lancer les rounds et que j'ai dit mais c'est quoi la musique ? [01:26:38] Speaker C: Et je te fais partie des gens. [01:26:41] Speaker A: Qui payent 150 € pour aller voir au spring ou c'est comme, ouais, mais au moins c'est juste maintenant. Alors là on peut en parler. On peut en parler vraiment. Mais la dernière fois, j'ai fait attends moi j'ai trouvé que le concert génial, super cool sera ça et pour l'inclusion. Et j'ai dit c'est super cool, offrir. On m'a dit ah oui, oui, oui. J'ai fait non, mais si c'est sur. [01:27:01] Speaker C: Bande, je suis trop content, parce qu'en vrai c'était. C'était limite supportable. Après, ce n'est que mon avis. Encore une fois, je n'ai rien contre les fans de off swing, et s'ils prennent plaisir, aller à un concert où ça chante faux ou ça chanterait, je m'en fous. L'essentiel c'est qu'il soit heureux. Franchement, je voudrais poser une question, est ce que tu préfères ? Et les gens peuvent répondre aussi. Mais est ce que les gens préfèrent aller voir un truc authentique qui sonne faux ? [01:27:26] Speaker A: Le chanteur, il sonne. Voilà, il chante faux. Ça arrive. Tu vieillis, t'as les cordes vocales qui. [01:27:33] Speaker C: Ont changé. [01:27:37] Speaker A: En studio, t'as fait des miracles. [01:27:39] Speaker C: Ou alors il préfère voir une bande qui a. [01:27:46] Speaker A: Enregistré, préenregistrée en studio et qui passe en live où le mec fait un playback que lipsync. Ouais. Non, je préfère que ça soit faux en vrai. La preuve, j'adore dafton. Donc tu préfères blink. Encore blink. Ça s'est beaucoup amélioré. C'est du genre à enregistrer en studio, mais faux. Je me suis déjà posé la question parce que des fois je me dis attends, avant ils étaient sur bande, et là maintenant ça sonne faux. Donc il doit y avoir un truc. Soit il y a une amélioration, soit les mecs sont pervers à ce point là, et je pense que ça doit arriver quand même. [01:28:13] Speaker C: Mais je sais qu'il y a des groupes que j'aime énormément, et quand j'ai vu qu'il y avait des bandes et qu'il y avait la voix, etc. Qui étaient en double, pas qui étaient uniques, j'avoue que j'étais un peu déçu. Et ça m'a. Ça m'a éloigné de ces groupes le dernier groupe qui m'a flingué, où j'ai eu honte pour eux, franchement, quand je suis allé au sound check, c'était Lionhardt. Mec, il y a des fausses guitares, il y a des faux packs vocals, et les mecs sont en train de faire. Les sont en train de se préparer, enfin de faire soundcheck. Et puis tu vois un chant, il y a pas de mec qui chante. [01:28:44] Speaker A: Et des guitares, il y a pas de mec qui joue. Et c'est quoi l'intérêt, en fait, de sonner super gros sur scène avec des fausses guitares en plus, des faux trucs et compagnie ? Tu as pas juste envie de poser. [01:28:54] Speaker C: Ton ampli et d'envoyer le truc, en fait, juste. [01:28:59] Speaker B: C'est surtout que si. Joue fort, qui montre qu'il joue fort. [01:29:01] Speaker A: Pas qu'il passe de la musique qui est forte. Parce que je veux dire, s'ils veulent montrer qu'ils sont puissants, il faut qu'ils le jouent en vrai, alors que là, c'est une bande, c'est nul. Non, mais joue. [01:29:09] Speaker C: Oui, mais tu peux jouer fort, mais sans bande aussi. Oui, c'est ce que je dis. Non, mais c'est ce que. J'y ai mal formulé ma phrase. Mais je préfère que le groupe. [01:29:19] Speaker A: Le groupe sur album, on sait bien. [01:29:21] Speaker C: Qu'Il y a tout le tralala de la production, etc. Donc ça, c'est. Tout est corrigé. À l'époque, il y avait quand même des groupes comme Green Day et compagnie. [01:29:31] Speaker A: Qui avaient des guitaristes cachés, en fait, sous. Derrière des rideaux, aujourd'hui, les montres. Mais avant, c'était caché. [01:29:37] Speaker C: C'était caché avant. Pourquoi tu crois qu'on entend pas qu'il y a un mec qui. Qui joue autre chose que ce qu'il joue là, sur sa guitare en vrai ? [01:29:44] Speaker A: Je sais pas si les gens sont moins exigeants sur le. [01:29:47] Speaker D: La vérité. [01:29:48] Speaker A: Pourtant, ils sont demandeurs de transparence, comme tu dis. Combien il y a de gens, vraiment, qui vont voir Rammstein pour la musique. [01:29:52] Speaker B: De Rammstein, s'il y avait pas toutes les flammes et s'il y avait pas. [01:29:54] Speaker D: Tout le truc derrière. [01:29:56] Speaker C: C'est vrai. Moi, je sais que j'ai mes amis qui m'ont accompagné à. Ils m'ont toujours dit. Je viens parce que. Il y a le show. [01:30:07] Speaker A: Mais j'aime pas du tout la musique. Beaucoup de gens qui sont pas du tout attirés par le métal, mais qui vont juste pour le spectacle. Je crois que. Je crois que le groupe le plus fake que j'ai vu de ma vie, et je comprends toujours pas, c'est fiverr. [01:30:20] Speaker C: 330 trois désolé pour les fans de Fever. 330 trois et je suis très triste qu'ils soient en dépression totale, total. J'ai émis quelques doutes sur la véracité de ça, mais bon, après je n'ai pas à chercher. Et si c'est vrai, je lui souhaite bien sûr d'aller très très bien. Mais ce mec là, c'était. C'est un tueur au champ avec son ancien groupe. J'ai oublié le nom, et les fois où je les ai vus, c'est. Alors moi j'ai un gimmick, malheureusement. Bon, tout le monde m'appelle le grinch. J'ai un très beau tatouage avec marqué. On dit chocolatine avec une tête de grinch en dessous. Faut le savoir, il faut le savoir. Et en vrai, si tu veux, c'est le genre de truc où je me dis mais pourquoi ? Quoi ? Et un jour, je vois ce groupe là, je connaissais pas. Et je vois une espèce de mec faire des roulades, s'accrocher à tout. Et je vois pendant le concert, le mec est en train de chercher qu'est ce que je vais pouvoir faire ? Et je me dis putain, mec, t'as une voix de fou, tu es un tueur sur scène. [01:31:17] Speaker A: Je sais pas, tu as un swag quand même de fou. Donc tu envoies qu'est ce que tu as besoin d'aller faire des roulades sur ton batteur, d'aller. [01:31:22] Speaker B: Tu sais qu'en fait, ÿousand tu vois que le mec, il est en train de chercher, qu'est ce qu'il va faire ? Il n'y a pas de spontanéité. [01:31:29] Speaker C: Tu le vois qu'il est en train de chercher parce qu'il sait qu'il faut qu'il fasse ça, mais tu vois pas qu'il cherche parce qu'il est fou. Et en vrai il sait que c'est parce que c'est ça qui va être filmé par les spectateurs, qui va être. Qui va être transmis sur les réseaux sociaux et qui. [01:31:47] Speaker A: Va. [01:31:47] Speaker C: Donc on est bien d'accord qu'en fait, c'est un show. [01:31:49] Speaker A: Et donc en fait, ce que je disais souvent, et que je pourrais coller, mais à pas mal de groupes en. [01:31:58] Speaker C: France, malheureusement, dans le métal français, c'est que si un moment j'ai envie d'aller au cirque, je vais lapin d'air, je vais pas concert si je veux voir des clowns faire des roulades. Tu vas pas en dire. C'est sûr que c'est en plus amusant. Les musiciens ont souvent le nez rouge aussi. Mais non mais sans déconner, je comprends pas en fait. [01:32:13] Speaker A: Ou alors c'est vraiment parce que c'est loin de moi. Mais si des gens me disent mais mec en fait moi c'est ça que j'aime. Mais aucun souciousand on en revient au catch. On vend un entertainment où tout le monde sait que c'est faux, mais par contre ils ont des beaux costumes, ils ont des beaux scénarios. Et je vais te prendre, je prends un exemple dans les années quatre, 20, 10, à l'époque où ils avaient la forme physique, pearl jam et niveau d'air montaient sur les. Il y avait beaucoup de groupes qui faisaient ça. Ils montaient sur ce qui est complètement interdit aujourd'hui parce qu'évidemment c'est extrêmement dangereux. Mais je pense qu'il y avait un petit peu d'entertainment mais il devait y [sos/eos] avoir aussi cette espèce de. D'enthousiasme qui le menait à faire un peu des bêtises. Aujourd'hui c'est vrai que c'est un peu plus calculé mais c'est quand même cool sauf quand on sent que tout est faux et là parce que tu peux faire de l'entertainment si tu en es convaincu toi en le faisant ou tu t'es excité, mais il y en a. [01:33:06] Speaker C: Ça se voit vraiment sur leur gueule. Et on reparle de fever 330 trois. J'avoue qu'à chaque fois je me dis le pauvre du coup c'est peut être pour ça aussi qu'il est en dépression parce que à force que ce soit fake, fake, fake, il se perd mais. Et puis le discours aussi il a viré ou alors tout le monde est parti de son groupe. Tu sens qu'il y a pas d'homogénéité, enfin tu sens qu'il y a vraiment envie d'avoir envie de passer un message sur. Sur les choses. Mais tu sens que tu as envie de faire du fric, tu as envie. [01:33:33] Speaker A: De marcher alors que, mec, si tu. [01:33:35] Speaker C: Faisais juste ta musique avec ta voix de tueur et certaines chanson, tu serais juste un tueur. Sauf pourquoi mettre des bandes et prendre des gens qui savent pas faire de la musique et jouer donc avec des fausses bandes. Oui avec des faux. Ça se voit de toute façon quand on les regarde jouer sur. Voilà c'est une question. Alors encore une fois, voilà, si les gens vont voir un spectacle comme le catch, j'ai aucun souci avec ça. Par contre si je paye pour aller voir un concert, j'ai envie d'aller voir des. Et je préfère des mecs qui jouent, qui vont faire des fausses notes, qui vont être dans le toit, qui vont être dans le. Dans le moment, dans le truc. On n'en veut pas à quelqu'un qui joue pas forcément bien. Ça arrive. À part s'il est flingué ou si c'est drogué ou ce que tu veux, et que là, il se fout de. [01:34:18] Speaker A: La gueule des gens. [01:34:19] Speaker C: Ça arrive malheureusement avec des groupes que j'adore, mais sinon, je comprends pas ce truc là, en fait. Et pourquoi. Pourquoi le cacher, en fait ? Pourquoi cacher des trucs derrière ? Pourquoi cacher des guitaristes ? [01:34:31] Speaker A: Pourquoi cacher des gens qui font des. [01:34:32] Speaker C: Rereux et un mec qui chante derrière ? Pourquoi ? Pourquoi le mentir ? Ÿ en fait, c'est ça. Si tu l'assumes, mais il y a aucun souci. Mais assume le. Et c'est là où moi, j'ai l'impression qu'on est sur une. Comme avec les Sex Pistol, qu'on est sur une pantalonnage. Il va falloir passer des lois où ce sera écrit tel pourcentage de. Mais non. Il y a un moment. Voilà. C'est juste ça, en fait, c'est. Voilà. C'est. Si tu as envie d'aller. Encore une fois. Si tu as envie d'aller voir de la lutte, tu vas voir de la lutte avec des gens qui se battent vraiment. Si tu as envie d'aller voir du. Une, de la fausse lutte, tu vas voir du catch. Ÿousand ça n'empêche pas que ces mecs là, par exemple, ils sont super bons. [01:35:04] Speaker A: C'est des athlètes de ouf. Mais c'est du spectacle. Voilà. Et moi, un mec qui joue ultra bien de la guitare, mais qui préfère s'assurer de pas faire d'erreur, donc il joue en baissant le volume et quoi que ce. J'ai du mal à comprendre. Mais encore une fois, ça, c'est peut être par mes goûts et mes choix. Ah oui. Non, mais ça, après, effectivement, j'imagine que la plus jeune génération est plus fan de. De show et de. Et de donne entertainment. Je fais une généralité, attention. Je ne dis pas que c'est le cas, vraiment, de. Des gens, mais que nous. Nous, on aime bien ça. Mais c'est vrai qu'on a eu l'habitude aussi de voir. [01:35:32] Speaker C: Parce qu'on est. Je suis plus vieux que toi, mais j'ai eu l'habitude de voir des vrais concerts. C'est ce que j'appelle vrai concert. C'est où ils jouent vraiment et où, effectivement, tu as des plantates, tu as des trucs, mais ça donne un peu de relief, ça donne un peu de vie, ça donne un peu de réalité, effectivement. Et en plus, ce que je veux dire c'est qu'on est dans un. Aujourd'hui on est dans un monde où les gens cherchent la transparence. On trabat les oreilles sur. Et grand bien leur face. Il n'y a pas de souciousand sur l'écologie, sur comment améliorer le truc. Je veux dire quand tu vois un groupe comme Chaca Ponk, mais tu as envie de leur donner un nez rouge et des cheveux frisés rouges, quoi. Tu vas. Tu fais une tournée et Dieu sait que ça c'est pas les chiffres en l'air parce que je connais des gens qui bossent dedans. [01:36:26] Speaker A: C'est huit tourbus, trois ou quatre semi remorque. [01:36:29] Speaker C: Tu comptes l'impact écologique que t'as juste pour mettre trois écrans de deux mers qui puent la merde, qui servent à rien à ton show, ou alors qui couvrent ta pauvre musique de merde. Par contre ça fait quatre semi remorques, ça fait huit tourbus. Et moi personnellement ça je m'en fous, juste ferme ta gueule oui, quel est tourbus etc. Ça fait du boulot pour plein de gens. Il y a 60 10 personnes en tournée et compagnie. Comme les groupes qui disent non. Mais l'écologie, mec, tu prends un bus pour toi tout seul parce que t'as pas envie de voir les gens et compagnie. Grand bien te fasse si t'as la tournée d'adieu, parce qu'on arrête parce que c'est pour l'écologie. Et c'est pas la main que tu vas mettre là, c'est les trois. Arrête. Tu fais 50 dates dans tous les zéniths, dans tous les arenas de France qui consomment de ouf. Tu vas au hellfest qui prend, je sais pas, cinq, 400, 300000 litres de fuel, je sais pas quoi. Tu fais le truc où vraiment tu vas limite ravager tout le truc avec ton. Avec tes tournées. Mais encore une fois pas de souci. Mais arrête de faire le. Arrête de faire le miskin zarma. C'est pour le. C'est pour le. C'est pour l'écologie. Arrête un peu. Tu as juste envie d'arrêter. Tu as juste envie de. Mais ça ma mec, en fait je sais pas qui sont à blâmer. Est ce que c'est des gens qui le croient ça ? Et donc ils sont là j'ai perdu mes lunettes, une petite canne. Ÿousand ou alors. Ou alors c'est vraiment. Ils croient vraiment à leur message. Moi j'y crois pas 1 s. Moi je pense que. [01:37:59] Speaker A: Moi je pense que cette image là, elle fait vendre. [01:38:01] Speaker C: Quand ça fait vendre, tout est bon pour faire du pognon. C'est leur image de marque, clairement. Mais alors comment. Comment ça c'est de l'illusion ? Alors c'est des David Copperfield. C'est je te fais disparaître la tour Eiffel sans la faire disparaître, mais je te le fais devant tout le monde, et tout le monde m'applaudit. Ouais, je me fous bien tous de votre gueule. En plus, quand tu montes. Quand tu montes à la télé, tu piques la chanson d'un groupe suédois de punk rock. Et le pire c'est que ce mec là, dans mon quartier, je le vois souvent dans le bar où je vais, et compagnie. Et à chaque fois j'ai envie. J'ai envie de lui serrer la paluche en disant mon gars. Mais franchement, d'un côté, respect, respect. Parce que soit tous les gens qui viennent vous voir, c'est des gros teubés, ils mangent du grillage et je le crois pas 1 s ÿ, soit vraiment, les gens, ils s'en foutent en fait de ton message. Tu vois ce que je veux dire ? Voilà. Et ça te permet de faire des vidéos le matin en se levant, en disant aujourd'hui j'ai pensé à ma taxe carbone, je pense que j'ai sauvé 1/2 ours. Mais j'ai eu ça. J'ai eu des vegans qui mangeaient de la viande. J'ai eu des straight edge qui se mettaient des bouteilles de vodka. À quoi ça sert tout ça ? Tu essaies de vendre un putain de produit, mec. J'ai bossé dans une agence française pendant deux ans qui était là en train de te dire Hop, ça, ça disparaît. Ça apparaît là en te disant on est les mecs les plus réglo, ce que tu veux. À un moment, tout le monde te voit, tout le monde voit les choses. Arrête d'avoir un discours en disant je fais de la. [01:39:21] Speaker A: Je fais. [01:39:22] Speaker C: Je fais des tournées caritatives alors que c'est. Alors que c'est déductible d'impôts. Alors que finalement, derrière tout ça, il y a. Il y a un truc que tu vas vendre derrière et compagnie. Fais le, mais en le disant. Combien il y a de groupes qui donnent de l'argent ou qui font des trucs mais qui le disent pas ? Tu as pas besoin de le dire. Si vraiment tu as envie d'être motivé, de faire un truc, tu le dis pas, tu le fais. Non, par contre si ça te ramène du business, et là faut le dire. Tu vois ce que je veux dire ? Ça j'en peux plus. En fait, je préfère un gros connard qui me dit Ouais, je suis un gros connard plutôt qu'un gros connard qui me dit non, non, non, moi je suis pas du tout un connard. [01:39:54] Speaker A: Des fois, moi je le dis moi, je suis un sale con. Ça nous arrive à toutes et à tous. Mais par contre, je pense qu'il faut essayer d'être droit dans ses bottes. Ouais. Je pense que quand tu fais. Quand tu dis des choses, il faut essayer de les faire le plus possible. [01:40:07] Speaker C: Sinon, juste ferme ta bouche. En fait, vraiment, ferme ta bouche. Ah oui, oui. Non, il est clair et net que je pense que. Ÿ tu es d'accord aussi que si tu as un discours, si tu le fais pas, il vaut mieux pas que tu aies ce discours. Et en même temps, pourquoi ? Si tu appliques pas les ordres et les choses que tu donnes comme exemple et en même temps pourquoi pas le faire ? Ça te ramène du monde, ça te ramène de la popularité et tout le monde s'en fout. Personne te dit jamais rien. Oui, c'est ta conscience. Oui, mais ça, la conscience. J'ai eu des groupes qui disent, qui étaient en contre l'intermédiaire qui faisait faire des contrats au Black pour être intermittent. J'ai vu, j'ai vu tout. J'ai eu des. J'ai vu des groupes débuter et se dire ouais, nous on fera jamais comme les gros groupes. On est, tu vois, on préfère jouer dans les squats, on préfère jouer pour, tu vois, pour des misères, pour des trucs. On est là avec le peuple el pueblo je sais pas quoi, et en fait tu te rends compte que c'est des gens qui pensaient ne jamais réussir et aujourd'hui on leur a mis un petit chèque devant les yeux. El Pueblo, il s'est transformé en Olympia, il s'est transformé en zénith, il s'est transformé en 1ʳᵉ partie de. Et les mecs, ils étaient là on va dormir dans les squats, mec, comme n'importe qui, quand on t'offre un hôtel quatre étoiles, tu préfères aller à l'hôtel quatre étoiles ou dans ces cas là, logique. Ou dans ces cas là, tu te tais. Mais en même temps, c'est quand même hallucinant de voir que la plupart des gens qui ont une gueule comme ça, c'est ceux qui font le plus vite le contraire dès qu'ils en ont l'opportunité. Et moi, j'ai rien contre les gens qui vont dans les hôtels, j'ai rien contre les gens qui gagnent du pognon. C'est pas un mal de gagner de l'argent si tu le prends pas sur le dos des gens. Et qu'encore une fois, je te dis, si tu remplis des salles, tu remplis des salles, tu vois, tu vas avoir des groupes comme des Frank Carter, des gens comme ça qui vont te monter sur scène, qui vont te faire un putain de discours et tout le monde va être là ouais, regarde, c'est les mecs qui disent ça, qu'il faut faire ci, qu'il faut faire ça, qui te disent ouais, telle, telle personne non raciste, non au truc, évidemment. Sauf que quand tu vas voir avec quel agent il bosse, quel management il a et compagnie, tu te rends compte ÿ que tous les mecs et tous les groupes qui sont dans la sauce, ils ont le même management que toi, mec. Donc si vraiment un moment tu as ton discours, casse toi de tour, casse toi de ton agence. Sauf qu'à un moment, le discours c'est bien, les réseaux sociaux c'est bien, dire les choses c'est bien au contraire. Il faut par contre couper le robinet qui fait tomber l'argent. Non, ça, il faut pas, aucun moment. Juste tais toi. Parce que finalement, le fait de dire les choses, donc oui, c'est super bien et ça aide. Par contre, quand les gens se sont. [01:42:34] Speaker A: Rendu compte, parce qu'un jour, la bulle. [01:42:35] Speaker C: Elle éclate, qu'en fait t'es un mytho et que tu as fait tout l'inverse, ça les dégoûte encore plus. [01:42:42] Speaker A: Et je pense que les pas en avant qu'on a fait avec ces discours là, s'ils sont faux, entre guillemets, et que les gens, les gens, ils reculent. [01:42:52] Speaker C: Ils se. [01:42:56] Speaker A: Disent ah ouais, on s'est fait prendre pour les pigeons. Tu sais quoi ? Voilà, maintenant on va tout faire. Et moi je revendique, tu vois, j'ai un pigeon tatoué, c'est mon totem. Je revendique d'être un pigeon et de l'assumer. Voilà, on va, on va parler un petit peu, on va sortir un petit peu du business pour. Pour apprécier. Même si c'est hyper intéressant et que je qui deviens petite caresse, moi je rêverais vraiment de donner les coulisses de ce que je vivais à oui fm. La semaine prochaine, je reçois oui fm. Donc je vais pouvoir en parler. Non, non, mais c'est juste. Ouais, on vit des choses, on voit des choses. Et c'est vrai que c'est très, extrêmement malheureux que. Qu'on ne puisse pas juste. Mais c'est pas bien sous prétexte que tu veux pas être grillé sur ça ou tu pars là dedans, en fait tu te mens à toi même, tu mens aux gens, et puis en fait. [01:43:51] Speaker C: Tu te perds dans un tourbillon de merde avec des gens qui sont de merde. Quand tu. [01:43:57] Speaker A: As un boss qui est complètement hystérique, si tu veux juste. Ce dont je veux parler, c'est moi. [01:44:03] Speaker C: Mon boss me foutais des coups. Physiquement. Physiquement, il me jetait des bouquins à la gueule. C'est pas son corps qui me touchait, mais je croyais que c'était des biscuits qui volaient. [01:44:13] Speaker A: C'est ce qu'on appelle le poids des mots. Mais ça, c'est parce que ça avait. [01:44:17] Speaker C: Trop de drogue dans ta radio. C'est vrai. C'est totalement vrai. Bon, ça, tu l'as été témoin aussi, donc. Mais pas tant que ça, parce que t'es pas venu souvent. Et tu sais que je suis absolument pas streeted. Je fais pas la morale, mais je suis complètement anti drogue. Je le sais très bien. Je sais très bien ça. On pourrait en parler aussi puisque tu ne bois. [01:44:38] Speaker A: Pas d'alcool non plus. Non, j'en bois, j'en bois. J'ai arrêté. J'en bois un peu, mais c'est vrai que ça m'a. 40. Deux ans le matin, je suis déglingué. Je me suis dit à quoi ça sert en fait ? Et le problème, c'est que j'aime pas le vin. [01:44:52] Speaker C: J'aime pas la bière. Donc quand je bois, c'est des trucs forts. Ah oui. Et après, c'est moi le clown. C'est moi pinder. Alors. Donc ce que je voulais dire, c'est qu'on va revenir au début, parce que ça nous intéresse aussi. On va faire une 1ʳᵉ partie sur ta. Ton enfance, à quel moment tu as rencontré les musiques extrêmes, quel âge tu avais ? Et c'est quoi ? C'est la famille, c'est un pote. Alors souvent, je vois beaucoup de gens en interview qui disent Ouais, ma famille, elle écoutait du. [01:45:28] Speaker A: Rock. J'avais des parents rocker. [01:45:29] Speaker C: Pas du tout. D'accord, pas du tout. J'ai une mère psy. Donc déjà, tu vois un peu le décalage entre tous les trucs. J'avais un père qui était surtout musique du monde, prof d'espagnol, anglais, tout ça. Donc vraiment dans la. Donc ma mère écoutait plutôt du quai de bouche et de la musique classique, et mon père écoutait du Jacques Braël et. [01:45:49] Speaker B: Ou des Buena Vista Social Club, ce qui est cool aussi. [01:45:51] Speaker C: Ah oui, non, mais aucun. Et en vrai, j'ai commencé la vraie, le vrai truc qui m'a passionné. J'étais petit. Michael Jackson et Prince. Ouais, vraiment. Je voulais danser comme Michael Jackson et tout. J'avais mon petit chapeau, j'avais faire le moonwalk et tout. Et je pense que c'est là où. [01:46:23] Speaker A: J'Ai découvert vraiment le truc un peu. [01:46:24] Speaker C: Fanitude, tu vois, d'être vraiment. Est ce qu'on a des petits gants blancs pour les petites mains ? Michael Jackson, les petites mains. Et donc. Non, non. Donc j'ai aimé ça. J'écoutais. J'avais. J'ai une sœur. J'écoutais du world apart avec ma sœur. Je me suis toujours. En vrai, jusqu'à. Jusqu'à un certain âge, j'ai toujours cherché la musique que j'aimais. J'étais pas trop logique, tu écoutais un peu tout, quoi. Ce qui était là, c'est ça. J'ai commencé le skate et étrangement, j'ai été dans le. Dans le hip hop en parallèle. Donc j'étais mi pop, Miss Kate, et j'ai commencé avec. En faisant du rap, voilà. Je faisais du rap. J'avais un groupe de rap où j'étais extrêmement mauvais et compagnie. Mais j'aimais être sur scène. J'aimais faire le clown, j'aimais faire l'idiot. [01:47:13] Speaker A: Je sais pas si j'aimais être regardé. Je pense que oui, à un moment comme. [01:47:16] Speaker C: Comme tout le monde, j'ai été partie du truc. J'étais bon, voilà. Moi, je l'assume. J'ai été un. J'étais la tête de turc. On me tapait, on me raquetait. J'étais le gros à lunettes et compagnie. Et merde. Oui et non. Parce que je pense que c'est ça qui a fait aussi ma. Qui a fait aussi ma vie. Mais c'est dur. Ça reste quand même quelque chose de dur à vivre. Ouais, ouais, ouais. Et je suis sorti de mon cocon, en fait, tristement. J'ai toujours été. Mais sans méchanceté, sans être méchant, sans être. L'injustice. En fait, j'ai toujours détesté l'injustice. Et j'étais un casse couille. Et en gros, mes parents, un jour, m'ont mis à l'internat dans un baccalato pour un feu en plus, à 10 min de chez moi. À 10 min de chez moi. Donc je voyais mon appartement de l'internat. Et là, ça a été. En fait, ça a été le meilleur move qui ont fait de leur vie. Parce que finalement. Finalement, j'avais un mec dans ma zweitausendein chambre qui venait du Pays basque, qui s'appelait Julien et qui un jour, m'a mis du moi, j'ai du rap. À ce moment là, je connaissais rien au métal, rien. Il m'a mis du. Il m'a mis du deftones, il m'a mis du limbiskit, c'est un mec qui revenait des États Unis. Il avait ramené ça. C'était pas encore ultra, ultra connu. J'avais quelque chose comme 10, sept ans, je pense que j'étais un suiveur à ce moment là. Donc j'ai écouté son truc, j'ai trouvé ça super cool. Il avait, il avait un style de ouf, il avait une vibe et tout, voilà. Il avait les tatouages, les trucs et compagnie. Je sais pas pourquoi. [01:48:50] Speaker A: Je pense, je me cherchais à ce moment là. J'étais un peu dans la, dans le truc rebelle. [01:48:55] Speaker C: Donc j'ai découvert un peu la picole, les trucs avec ces gens là et tout ça. Et j'ai eu un faible. J'ai eu un faible pour une, pour, pour une meuf de cette bande là, en fait, qui un jour m'a fait écouter nos Fx sans sortie de nulle part. Et je suis littéralement tombé amoureux d'elle. Ça a été le lien quelque part, forcément, ça provoque chimiquement quelque chose qui. Tout a toujours été un lien avec le. [01:49:17] Speaker A: Et le mélo pour moi, c'est ça, en fait. [01:49:18] Speaker C: Donc vraiment, j'ai une définition du mélo qui est exactement ça, en fait. Et ce jour là, après, j'ai monté un groupe de punk et j'étais à Pau, donc dans une petite Ÿousand, et j'ai dit un jour, je bosserai avec ce groupe là. Et tout le monde s'est foutu de ma gueule, forcément, le petit bouseux libéarne et compagnie. Parce que les gens en province pensent que c'est impossible, et je le comprends. Puis mon groupe était tellement mauvais et compagnie à l'époque. Et mon 1ᵉʳ groupe et tout ça où j'avais fait. [01:49:46] Speaker A: J'avais mon 1ᵉʳ concert de punk. [01:49:47] Speaker C: J'avais une crête verte dégueulasse. J'ai été plus ou moins à l'école des punks, mais vraiment punk huit, six, tu vois, avec un groupe qui s'appelait P. Et compagnie. Et un groupe qui s'appelait plus Mélos cas. Qui s'appelait. Ok. Et en gros, j'ai grandi un peu là dedans, donc j'ai commencé à traîner avec ces gens là. J'avais pas encore ma personnalité, si tu veux, mais j'avais déjà. Tu faisais partie d'une communauté en tout cas, c'est ça en fait, je pense que c'est ce que je cherchais aussi. Moi, j'ai toujours voulu être le gars cool au bahut, tu vois. Donc je voulais être comme les skateurs et compagnie. Mais il m'acceptait pas, j'étais pas dans leur bande. J'étais pas dans leur bande, mais je voulais je voulais ça, je voulais. Et en gros. Donc j'ai commencé à avoir un groupe, j'ai commencé à faire des trucs, et. [01:50:23] Speaker A: Je me suis dit, j'ai bossé comme. [01:50:28] Speaker C: Un arraché, j'ai bossé comme un arraché. Je me suis dit je vais. Je crois en ce que je fais. [01:50:31] Speaker A: Et je vais combler en fait pas besoin d'être très bon musicien pour faire des choses. Et ouais, je pense que j'ai touché des gens, je pense que j'ai touché. [01:50:40] Speaker C: Des gens et dans ma manière de faire et dans ma manière de. [01:50:43] Speaker A: Parce que tu avais l'énergie, la volonté objectif qui était beau, vraiment. Et donc j'ai découvert le punk rock comme ça, avec ces gens là qui m'ont pris un peu sous leur aile. Ok. [01:50:52] Speaker C: Et donc tu es passé de cette envie de ressembler aux gens à une communauté qui d'un seul coup t'accompagne au final tu as pu te dire j'ai le droit aussi. Donc j'étais le petit kid un peu, tu vois. Ouais. Mais ça se passe, on est souvent épaulé, je veux dire un moment. Enfin épaulé normalement il y a toujours un moment, une personne qui intervient pour. Pour te guider un peu je suppose. Enfin c'est. Et aujourd'hui je rends hommage à cette personne là qui. Elle s'appelait Virginie the pau. Et sans elle, je pense que j'aurais jamais fait ce que j'ai fait si elle m'avait pas présenté ce groupe là à ce moment là. Et compagnie. Et je me souviens, ouais, mettre les places de concert sur la porte, avoir, tu vois, envie d'aller absolument à Paris voir le groupe et compagnie. Et no fx, tu vois, c'était vraiment le truc ultra ouf. La musique me parlait, j'avais jamais ressenti un truc pour de la musique et j'avais jamais fait surtout partie de quelque choses. Et je pense que c'est ça qui m'a beaucoup, beaucoup plu surtout. Bon, à la fin du. À la fin du 1ᵉʳ trimestre, j'ai dit à ma mère faut que tu me retires de l'internat parce que je deviens trop carnage. Exactement. Et je l'ai senti venir. Donc je dis c'est bien, c'est intelligent. J'ai toujours fait 1/2 tour avant de tomber moi, et je pense que ça c'est ma force. C'est bien j'ai pris la falaise, mais en fait j'ai pas de. Un mental de ouf. Mais en même temps aussi je suis un. Je suis un espèce de bab tout fragile de la mort. Et je sais que si je fais quoi que ce soit, tu vois, j'adore le jeu. Je vais à Vegas, je suis un flambeur. Je sais que si je teste la drogue et compagnie, j'ai trop peur de ça. Et je pense que voilà, je veux pas essayer parce que je sais que. [01:52:29] Speaker A: Je vais kiffer et je veux pas. Et quand je vois certaines personnes, malheureusement. [01:52:31] Speaker C: Où elles en sont, ça fait mal, ça fait. [01:52:34] Speaker A: Voilà. [01:52:34] Speaker C: Donc voilà, c'est comme ça que j'ai rencontré le punk rock. J'ai commencé à organiser mes 1ᵉʳˢ concerts. Je te disais, dans la scène locale à Pau et compagnie, où mes parents faisaient le catering, faisaient la bouffe pour les groupes, ça aussi je pense que ça a touché les groupes. Et eux ils étaient là au 12 h punk. Du coup au milieu, il me faisait à manger à la maison, je ramenais, tu vois, le jour où on est parti en tournée en Californie avec mon groupe et enregistrer un album avec le. Ils nous laissent ça quand même. Ÿ avec un des producteurs, avec un des producteurs noéfiques. Justement, c'est mon père qui nous avait avancé les billets d'avion parce que. Parce qu'on n'avait pas forcément. Les gars de mon groupe avait pas forcément les moyens et que j'étais pas. On n'était pas une famille non plus, extrêmement riche, mais un petit peu aussi un rêve, voilà. On était. Et donc mon père nous a avancé les billets pour. Et sans ça, il m'a dit. Il m'a dit, et ton bac, le jour où tu as ton bac, tu fais ce que tu veux parce que tu pourras revenir dans les études, ce que tu veux. Et donc j'ai des parents qui m'ont absolument ultra aidé, et mon père qui m'a dit par contre, voilà, qui m'a appris aussi 1 CHF, 1 CHF, 1 €. Voilà. Il m'a dit, si tu veux t'acheter une guitare, c'est quoi ? Tu vas bosser, tu vas te l'acheter, tu seras encore plus content de jouer dessus. Donc quand tu vois, c'est aussi ça. Je vais pas renier le. Je vais pas renier que tous ces. J'en suis là parce que plein de gens m'ont aidé, et aujourd'hui, tu vois, je pourrais pas faire les concerts sans, sans toute la bande de potes de Paris, j'en parlerai après. Mais. Donc j'ai découvert punk rock comme ça. Et petit à petit, ben voilà, je suis allé à. Je suis allé à la fnac acheter un CD parce que la couverture ressemblait à ça. Puis tel groupe faisait un featuring avec tel groupe. Donc j'ai acheté ça. Je me suis vite. Je suis pas tombé dans le bon. [01:54:22] Speaker A: J'ai adoré le néo métal et compagnie. Je trouvais que c'était ultra cool, et j'en écoutais en parallèle avec. [01:54:27] Speaker B: Avec du punk rock. Je pense que cette espèce d'appartenance, à. [01:54:30] Speaker C: L'Époque, à ce truc de néo métal. [01:54:33] Speaker A: A été extrêmement puissante sur les gens. [01:54:34] Speaker C: Alors elle est arrivée en différé en France et compagnie. Mais je pense qu'elle a. Elle a fait un tremplin à plein de gens. Les gens qui disent je suis jamais passé par là. Arrête. Il l'avoue aujourd'hui, ça, on a remarqué. C'est ce qu'on disait aussi. Alors on parle revenu à la mode. Comme c'est redevenu acceptable, on va dire. [01:54:48] Speaker A: Voilà. [01:54:48] Speaker C: Socialement acceptable. Non, mais je dis la quarantaine, ils font. Ÿ bon. Je peux le dire maintenant. Il y avait pas le clip de punk rock. Je regardais les colchumber, les trucs comme ça. Et tu sais quoi ? Il y a un truc, je pense que vous l'avez vécu aussi, et je pense que les gens l'ont vécu aussi. C'est que finalement, un truc qu'on voit plus aujourd'hui et qui me manque, c'est quand tu te mettais devant la télé, MTV, MCM et compagnie, le moindre clip de métal que tu moi, j'ai toujours détesté Nirvana, par contre. Tu vois. Donc le moindre truc de métal que tu voyais, tu étais mes Joyce de Ÿousand fou, tu vois. Tu étais super content. Alors que finalement, aujourd'hui, tu ouvres YouTube, tu ouvres n'importe quoi, tu mets là le clip qui avait à la fin des CD que tu mettais dans ton ordinateur. Le truc on l'a perdu, ça, tu vois ? Le truc de voir une émission sur MTV et voir trois clips de Système of Down, toujours les mêmes. Le truc, on l'a perdu, ça. Moi, je kiffais ça. Voilà. Tu vois le voir les mecs de Colchumber qui avaient l'air complètement dézingués avec leur piercing, leur truc, et puis on voulait leur ressembler. Je suis une caricature. Je suis une caricature, tu vois, et ça me gêne pas, j'aime. Mais je suis une caricature. Et ma personnalité, elle s'est affinée au fil du temps et au fil des trucs. Et aujourd'hui, je vois plus du tout les choses de la même manière que je les voyais avant. Mais c'est vrai que c'est cette culture là qui. Et je pense que cette affiliation avec un groupe de gens, des bons, des mauvais, ce que tu veux, des hauts, des bas et compagnie. Mais ça a toujours été ça, le mélo, et du haut caché derrière mon hypersensibilité, qui a un peu drivé aussi ma vie. Il y a toujours eu des histoires d'amour derrière la musique. Pour moi, il y a toujours eu cette. Derrière, c'est marrant parce que derrière chacun de mes. Chacune de mes étapes et compagnie. [01:56:39] Speaker A: Ça a été. [01:56:40] Speaker C: Tu vois, l'album que j'ai écrit ou les chansons que j'ai faites, ou même la tournée en Californie, il y a toujours eu, entre guillemets, une muse derrière. Et je pense que sans ça, j'aurais pas pu. Et pour moi, le mélo, c'est ça. En fait, quand tu écoutes du no use for a name, du. Du lac vague ou tous ces groupes là, ça parle que d'amour, mais ça parle surtout que de dépression, de post amour. C'est ça. Et j'avais écrit une chanson à l'époque qui s'appelait smile and cry, et c'est exactement pour moi, ça. La définition du punk rock mélo, c'est. [01:57:09] Speaker A: Que c'est une musique qui te fait sauter partout, danser partout, parce qu'elle est rapide et compagnie. Mais si tu écoutes vraiment les trucs. [01:57:20] Speaker C: Et les mélodie qu'il y a dedans. Moi, il me fait chialer, cette musique. Et en vrai, c'est. Voilà, c'est ça, pour moi, l'essence du mélo. Et je pense que quand c'est arrivé dans mes oreilles, ça a fait. C'est moi. [01:57:32] Speaker A: Ça m'a. Voilà, ça a résonné. [01:57:34] Speaker C: Ça a résonné en moi, en fait. Quoi, tu as choisi straight Away en clip avec Never Surrender ? Justement. Exactement. Tu en discuter l'explication, j'imagine que tu viens de la donner quelque part, en fait. Donc Never Surrender, c'est déjà. C'est un truc que je me suis je me suis fait tatouer sur les. Aussi pathétique que ça puisse être de se faire tatouer des mots ou ce que tu veux, c'est le principe du tatouage. Après, en vrai, Never Surrender et Straightaway, surtout, c'est surtout qu'il y a une personne dans ce groupe là qui s'appelle Lodfi et qui a été et qui est toujours aujourd'hui mon phare, mon bras droit, mon meilleur ami et ma plus belle rencontre de ma vie. En fait, aujourd'hui, clairement, sans lui, je sais pas si je. Si je serai là où j'en suis. C'est comme un vieux couple, c'est. Voilà. Dès que je prends une décision ou que j'ai besoin de quelque chose, c'est v. Lui que je vais, dès que j'ai besoin de quoi que ce soit. Et en fait c'était son groupe que. C'est son groupe. Et je trouve que c'est un des. C'est pas parce que c'est mon pote, mais je trouve que c'est un des meilleurs groupes qui se soit fait en Europe dans l'écriture. Déjà, c'est un groupe français qui chante en anglais, mais t'as pas l'impression qu'il est français parce qu'il a un accent de ouf. Et ça pour moi c'est primordial dans la zik. Je n'écoute aucun groupe qui chante en français. Du moment que tu chantes en français, c'est mort, ça passera pas sur aucun de mes concerts. On en parle et voilà. Donc en fait, et cette. Et ce mec là, bah c'est pareil voilà c'est. Je vais pas raconter sa vie perso, mais c'est, c'est quelqu'un qui vit des choses, qui travers, ouais. Qui traverse là quelque chose. Mais never surrender il a jamais abandonné, il abandonnera pas. Et aujourd'hui si je suis debout encore et si j'ai de la force aussi grâce à cette rencontre là. [01:59:21] Speaker A: Et vraiment c'est mon âme sœur amicale quoi. Vraiment c'est vraiment, et je lui dois énormément. Et en même temps, ce qui est drôle c'est que j'ai. [02:00:58] Speaker E: Aimé son groupe avant de le connaître. Donc c'est pas parce que s'il avait eu un groupe de merde, je l'aurais pas mis là ce soir. Et quoi que ça m'aurait pas. Ça m'aurait pas empêché de penser la même chose sur lui. Mais son groupe c'est une tuerie en plus. Voilà, c'est le bonus qui fait que c'est cool. Et Ben. [02:06:55] Speaker A: On va regarder ça. Peut être que vous ne connaissez pas encore Straight away avec Never surrender. It brings me back to life when. [02:07:13] Speaker B: The dawn beds over. [02:07:16] Speaker A: Your chords hear. [02:07:16] Speaker C: Me from this desert shelter useless to cut out the slides women are children to pass it. [02:07:22] Speaker A: Has been its shall die the riders of. [02:07:26] Speaker C: Right in our. [02:07:26] Speaker A: Way We sound like reclaim our lives there as well yes ria don't come back and cleverly accept your light the black Dahlia murder. Eh oui. The black Dahlia murder avec Mammoth End. Alors c'est pas celle ci ça me fout des frissons. Ÿousand pensé pour la miniature, je pense qu'il va se régaler. J'aurais pas pensé que des doigts et des mains, ça te mettrait les frissons. [02:07:45] Speaker C: Qu'est ce que je dois répondre à ça ? Je sais que normalement, dans mon camp, dans. Dans mon côté. [02:07:53] Speaker A: De mon camp, on. [02:07:55] Speaker C: Aime ça, mais non, moi, je suis pas très friand. On parlera de ça une autre fois. Ce soir, les blagues dahlia murder, ce genre de musique comme ça, ou les trucs qu'on a passé depuis tout à l'heure sans faire bouger l'autre, ça ou juste en termes de goût, je te parle pas. Le jour où j'arriverai en toucher une sans faire bouger l'autre, quoi que ce sera cool. Mais j'ai pas encore le jedi. Il a répondu. Et je mettrai les gros lots comme ça je pourrais jouer Noël sans bouger. Non, non. Il y a des trucs comme ça où juste. Je la comprends pas. Je comprends pas. Cette musique, par contre, elle me met des émotions. Et en fait, peu importe quel style de musique, du moment qu'elle me met. [02:08:36] Speaker A: Des émotions, m'en fout de la comprendre ou de pas la comprendre. [02:08:39] Speaker C: Après. [02:08:39] Speaker A: Bon, tu vas voir les mecs qui vont être comme ça. Oui, mais tu comprends, il y a une peintre catatonique. M'en fous. Voilà. J'ai du katy Perry qui me fait autant d'émotions que ça. Voilà. Il y a des trucs que j'aime bien, donc j'aime bien. [02:08:52] Speaker B: Je trouve qu'il y a une violence assez celle. Comment on dit, cathartique ou qui se défoule, qui me parle, quoi. J'aime bien quand les gens disent j'aime bien la musique parce qu'elle me donne. [02:09:01] Speaker A: Des émotions et pas parce que je peux raconter plein de choses dessus. [02:09:03] Speaker B: Toi, tu es là pour ça. C'est parce que moi, je ne peux pas le faire. Je ne cherche pas à le faire. [02:09:14] Speaker D: Donc tu as choisi. [02:09:15] Speaker A: C'est toi, Enjoy, qui a choisi. C'est ton moment à toi. [02:09:18] Speaker B: Parce que j'aime bien black Dahlia Murder. Et en plus, là, du coup, ils viennent de sortir 1/2 leur. Leur nouvel album. Donc il s'appelle Servitude. Il est sorti ce vendredi. Ah ben ça, par contre, je le savais pas. Ouais. Et c'est leur 1ᵉʳ album depuis la. Depuis le suicide de leur chanteur. [02:09:38] Speaker C: Trevor Stronad, donc. [02:09:39] Speaker A: Ouais, ça, ça a jamais été en a. [02:09:44] Speaker C: Fallait pas le dire. Pardon. Non, oui, mais c'est pour faire de la. [02:09:50] Speaker A: Prévention. Attention. [02:09:51] Speaker C: Voilà. [02:09:51] Speaker A: C'est pour faire de la prévention. D'ailleurs, quand le groupe l'avait annoncé. [02:09:54] Speaker B: Ils avaient pas dit qu'elle était la cause du décès, mais ils avaient mis un lien. Ils avaient mis dans leur communiqué un numéro d'aide aux personnes concernées pour. Pour faire de la prévention. [02:10:09] Speaker D: Etc. Donc c'est. [02:10:12] Speaker B: Leur 1ᵉʳ album depuis ce bruit là. Il se ça pourrait surprendre beaucoup de monde. Ça veut dire que quand tu pètes, ça fait plus. Ça fait plus. [02:10:20] Speaker A: Pardon. [02:10:20] Speaker B: Désolé. On était sur un sujet très grave. Ÿ avec le nouveau chanteur, donc. Oui, avec le nouveau chanteur, qui n'est autre en fait que le guitariste, Brian. [02:10:30] Speaker A: Eschbach, donc qui a repris le micro. [02:10:32] Speaker B: Ça faisait longtemps qu'il baquait, en fait. Les voix, carrément Jean Sébastien, quoi. [02:10:34] Speaker A: Aucun. [02:10:35] Speaker B: Aucun lien, donc ça fait longtemps. Ça fait longtemps qu'il faisait les backing vocals, donc bon. Et puis ce qui advient, c'est que c'est un groupe qui revient après. Après le décès d'un membre fondateur et qui revient avec une passation de micro. Mais ça reste en famille et ça reste avec les mêmes valeurs, c'est à garder le même style. En tout cas, apparemment, ça a gardé le même style. Ça a gardé le même style. C'est toujours du. C'est toujours du death mélodique avec. Avec beaucoup de brutalité et en même. [02:11:01] Speaker A: Temps beaucoup de mélodies. Des riffs très catchy. [02:11:02] Speaker C: Ça arrive beaucoup. [02:11:03] Speaker B: Ça speed pas mal. Ça mélange pas mal de choses, qu'on retrouve dans plusieurs niches. Du métal extrême, et toujours avec pas mal d'intérêt, toujours avec pas mal d'intelligence et avec vraiment un côté de. C'est violent et en même temps, c'est hyper accrocheur. C'est hyper défoulant, et en même temps, c'est très mélodique. Et the black d'Al Murder, c'est beaucoup de choses comme ça. Tous les morceaux ne sont pas faciles à écouter. Tous les morceaux ne sont pas faciles à celui là, donc c'est cool. Celui là, il est plus tranquille, avec des gros guillemets. Il est plus tranquille que beaucoup d'autres. Donc le morceau s'appelle Mammoth End, donc. [02:11:35] Speaker A: Qui est sorti sur ce dernier album, donc qui s'appelle Servitude. [02:11:40] Speaker B: Et on avait déjà passé un autre single dans l'émission, je me souviens, qui s'appelait Aftermath, que j'avais beaucoup aimé, qui. [02:11:47] Speaker A: Était, lui, beaucoup plus. Beaucoup plus vénère que celui là. [02:11:48] Speaker C: Et. [02:11:48] Speaker A: Ouais. Mais the black Daria Murder, j'ai. J'ai écouté l'album, ça reste de la très bonne. En plus, ils ont le bon goût de faire des albums qui sont pas trop longs. Généralement, ça tourne autour de 30, 30, cinq. [02:11:58] Speaker B: En jouant comme ça, il fat une chanson. [02:12:00] Speaker A: Donc tuas tu as ton shot et puis, et puis, et puis tu en. [02:12:04] Speaker B: As assez, tu en as assez. Est ce que c'est la zone qui. [02:12:07] Speaker A: Est bon à écouter le matin quand. [02:12:09] Speaker C: Tu prends le métro et que bon, au lieu de t'aider, énerver contre les gens, tu le mets comme ça, ça t'apaise au milieu de totalement de cette jungle. Bon bah parfait, c'est un conseil. Alors écoutez the Black Dania Murder. [02:12:21] Speaker B: Ça fait du bien. Attention, il faut que ça reste à l'intérieur. Ne réagissez pas comme la musique, non. [02:12:27] Speaker A: Écoutez de la violence, écoutez de la violence. Et ça c'est comme on disait, c'est cathartique, voilà. Et en même temps on a rigolé. Mais c'est un vrai sujet quand même. [02:12:37] Speaker C: Le nombre de gens là qui sont en train de se mettre fin à leur jour, qui sont dans le milieu de la zik ou dans les trucs comme ça, qui communiquent ou qui ont des sujets de santé mentale de plus en plus explicite. C'est vrai que c'est un sujet. Est ce que c'est dû au rythme. [02:12:56] Speaker A: Est ce que c'est dû à des. [02:12:59] Speaker C: Consommations un peu débridées qui s'arrêtent et qui reviennent et qui s'arrêtent parce que bon, il y a eu. Je pense qu'il y a eu un. De par ce que je peux, ce que je peux voir, pas dans les groupes, mais un lien dans la vie en général et compagnie. Je pense qu'il y a eu une. [02:13:19] Speaker A: Recrudescence énorme de gens qui sont en train de payer le. [02:13:22] Speaker C: L'occident et le fentanyl. Ah oui, oui, ça, oui. Je pense aussi qu'il y a un autre verre de la médaille qui est assez triste. Mais ça par contre, je l'ai vu en expérience, c'est que beaucoup de gens aussi se mettent dans ce truc là, dans le je suis en détresse mentale et compagnie, mais qui le sont pas, mais qui veulent aussi faire partie d'un. Oui, qui ont suivi un petit peu et qui finalement se retrouvent enfermés dedans. Ça donne un côté humain qui est assez impressionnant. Je dis pas que c'est une généralité, mais je l'ai vu, ça donne une bonne excuse sur certains trucs, je dis pas que tous attention. Et ça donne aussi une bonne raison de te mettre en break ou en pause sur quelque chose qui va pas parce que je ne sais pas pourquoi les gens ne disent pas on semble. On s'embrouille avec le groupe, on veut plus voir, ils préfèrent dire pour x ou y raison, mais je pense que oui. Il y a quand même. Tristement, je vois quand même plus en plus de gens passer sur des trucs comme ça. Et je sais pas si. Parce que ces gens là n'ont pas de gens à qui parler. Et en vrai, dans la musique, il y a un lien commun avec ce que j'ai quand même beaucoup croisé et vu. C'est la dépression énorme de beaucoup de zicos, en fait, qui sont. Et plus t'es connu, plus c'est peut être toute ta vie en tournée. J'ai l'impression que les gens, ils pensent que c'est un peu la zoubida en backstage et qu'on compagnie, mec, c'est ultra, ultra lancinant. Tu passes ta journée à attendre, tu arrives dans un bus, tu arrives le matin, tu te réveilles tous les jours dans un. Dans une autre ville pour l'avoir fait. Confortable. Non plus, c'est même pas une histoire de confortable. Je veux dire, tu as les gens qui vont à l'hôtel, qui prennent un jet, des gros groupes, sauf qu'ils sont tout seuls. Ils passent leur vie en Skype avec leur famille, avec les. Et puis. Et puis c'est les. T'as pas le droit, quoi. Enfin, tu. T'es là, sur scène. Je regarde les gens comme Green Day, ils sont là 3 h sur scène tous les soirs. C'est pas la teuf, quoi. Les mecs, ils jouent, ils repartent à l'hôtel. C'est ultra compliqué. Puis tu perds tes repères. T'as tout à portée de main. [02:15:15] Speaker B: T'as tout. [02:15:15] Speaker C: Tu as des gens qui. Tu sais même plus de changer une chaussette, quoi. Enfin, je veux dire, les gens, ils sont là, ils te font aller ci, ils te font tout. Et le fait de te réveiller quand les gens disent, tu vois, ouais, j'aimerais être connu et putain, mec, détesterait ça, quoi. Tu peux plus sortir tranquille sans faire. Quoi ? Toutes les choses de la vie habituelle, tu peux plus les faire. Et en vrai, lourd à gérer, en fait. Ouais. Ouais. C'est. Quand je suis arrivé, j'entendais l'histoire sur Slipknot. Pour moi, Slipknot, c'est le meilleur exemple de gens qui se détestent, qui ont je sais pas combien de tourbus pour pas se croiser. Ils ont tous un manager différent et un avocat différent. Ils se parlent même plus entre eux. Ils se parlent entre avocats, comme Blink fut un temps et compagnie. Qu'est ce que tu as envie d'être sur les routes, tous les. C'est comme quand tu vas au boulot et que tu as d'autres employés que tu supportes pas. [02:16:02] Speaker A: Sauf que là tu es h vac. [02:16:04] Speaker C: [Sos/Eos]Ousand 20, quatre avec eux, tu vois ? Je veux dire. Et tu es obligé de faire le. [02:16:09] Speaker A: Dos rond et compagnie, parce que c'est ton gagne pain et que finalement, un mec, à un moment, tu pètes les plombs, tu pètes les plombs, tu. [02:16:16] Speaker D: Et donc. [02:16:16] Speaker A: Bah ouais, l'alcool. Et c'est même pas que l'alcool, la. [02:16:18] Speaker C: Drogue, je pense que c'est le manque, le manque d'affection, surtout pour moi. Et tu as beau être adulé par des gens, tu as beau être adulé par des gens tous les soirs, finalement tu es seul, mec. Et ces gens là, pour moi, ça fait encore plus les montagnes russes. Parce que quand tu es avec ton public, tu montes en amour, et de ça tu montes. Donc du coup tu as un plaisir. Et puis tu as toujours peur de redescendre aussi. Puis dès qu'un groupe commence à vendre moins et compagnie, voilà. Et puis. Et puis imagine quoi, imagine déjà à ton, à ton niveau, quand tu es juste un petit groupe, que tu es en couple ou quoi que ce soit que ce soit, n'importe quel couple, c'est difficile pour la personne quand elle est loin. Et puis tu es adulé, tu as l'impression. Les gens, ils ont ton conjoint, ta conjointe, ils ont peur, mais en fait ça crée des problèmes. Et le moindre petit truc, quand tu es loin, ça crée un truc de. Je pense qu'il y a vraiment une pression énorme, donc. Mais oui, malheureusement, j'ai vu, j'ai vu et je connais des cas où les gens sont absolument pas mal, mais voulaient faire partie du. Voulaient faire partie du truc aussi, parce qu'ils ont l'impression que ça leur donne un côté plus humain ou que les gens vont s'apitoyer sur eux. Et encore une fois, on est sur le truc de l'image, quoi. Et je trouve que ça dessert encore plus. Mais oui, par contre, vraiment, je te garantis. Et vraiment, ouais, je trouve que. [02:17:35] Speaker A: Ouais, non, il y a, c'est glauque, mais je trouve qu'il y a de plus en plus de gens. Alors est ce qu'il y a de moins en moins de discussions ? Je sais pas. [02:17:44] Speaker B: Mais je sais que maintenant, dans certains labels, tu as un suivi psy, dans certaines tournées, tu as un truc. Et bon, peut être pas. Je suis fils de psy, j'ai grandi là dedans, mais jamais eu un mal en fait à aller voir quelqu'un ou quoi que ce soit, il ne faut surtout pas garder pour soi. Il faut parler. [02:18:04] Speaker A: Quand ça va mal, il faut vraiment aller voir des spécialistes. C'est eux qui sont le mieux placés pour pouvoir vouloir. [02:18:10] Speaker C: J'imagine. [02:18:10] Speaker A: En plus, quand tu es artiste, en dehors de toutes les addictions possibles dans lesquelles tu. Auxquelles tu peux répondre, etc. [02:18:15] Speaker C: J'imagine que l'addiction aussi à l'amour du public, peut être très forte. Et ça peut être très difficile à gérer quand c'est absent, ou quand c'est tout ce qui te reste dans ta vie quotidienne, en fait, pour tenir le coup. Les artistes nous ont souvent dit ici, en fait, c'est assez moche à le dire, mais le public, quand on a beaucoup, c'est une drogue, et tu en veux parfois plus, alors que tu n'en as pas besoin. [02:18:35] Speaker B: C'est d'autres choses dont tu as besoin. [02:18:36] Speaker C: Puis tu vois aussi des gens qui ont beaucoup d'yes man autour d'eux. [02:18:39] Speaker A: C'est à dire des gens qui sont là juste pour faire la teuf, ou alors des gens qui disent à des gens sortis du concert mais venez dans le bus, venez. Ils sont juste peur d'être tout seul. Et en fait, quand ils sont tout seuls, le soir, pour aller se coucher. [02:18:56] Speaker B: C'Est insupportable pour eux. [02:18:59] Speaker A: C'est insupportable. [02:19:04] Speaker C: Et c'est hyper important, entre les 1 h 30. [02:19:13] Speaker A: Sur scène, voire plus, et je pense qu'il y a beaucoup de gens qui le voient pas, ce truc là. [02:19:24] Speaker D: C'est compliqué. [02:19:24] Speaker A: Bon. Ça, c'est aussi un grand sujet, mais oui. [02:19:26] Speaker C: D'être connu et de réussir. On le paye différemment. [02:19:27] Speaker A: On va dire quoi, parce que tu as. [02:19:33] Speaker B: Beaucoup d'argent non plus. Que tu es très heureux. C'est ton petit discours, quoi. Mais c'est bien. On a développé un sujet super intéressant et important. Il y a encore un clip avec des mammouths, en tout cas. Excellent. Maintenant, tu vas nous parler d'une artiste. Oui. Alors, Ben n'est pas là, mais je pense fortement à Ben, parce que Ben est fan. Absolument. Est ce qu'en le prochain clip. Ce que j'ai envie de pisser, c'est dans 3 min. Ok. Ça va ? [02:20:02] Speaker C: Excellent. [02:20:02] Speaker B: Donc oui. Bah, du coup. Julie Christmas. Julie Christmas. Julie Christmas. Donc une figure new yorkaise de. Du noise rock et post métal à l'échelle mondiale, on va dire. Donc qui a joué dans les groupes Battle of Miles et Made out of Babies, qui a fait un album qui a bien marché avec Cult of luna en 2016, qui s'appelait mariner donc qui est un album qui est très aimé du public et qui a sorti cette année, donc son 2ᵉ album solo qui s'appelle. Comment il s'appelle déjà ? Ridiculous and full of blood je crois. Et tout un programme, tout un programme donc je rappelle, c'est du post métal. [02:20:39] Speaker C: Donc il y a vraiment le côté écorché. [02:20:42] Speaker A: Vif qui est très présent et qui est une artiste qui est pour. [02:20:47] Speaker B: Le coup vraie performeuse là, du coup. [02:20:48] Speaker A: Grande performeuse, avec une voix, avec une voix très particulière, une voix avec une espèce de fausse naïveté et qui en même temps peut partir dans des. [02:20:57] Speaker B: Qui peut partir dans des délires, dans des espèces de cris perçants, dans des. Enfin il y a vraiment quelque chose d'écorché et de très particulier avec cet artiste et je sais que je pue, mais quand même je ne répondrai pas à cette phrase, c'est juste que la petite, la main qui tue, moi j'ai plein de mecs qui me viennent à l'esprit, mais j'ai pas le droit de les dire. Donc. Donc oui, elle fait des. Elle peut faire des choses qui peuvent être surprenantes, qui peuvent être très surprenantes. Donc a sorti son 2ᵉ album solo cette année, qui a été, qui a été pas mal encensé justement. [02:21:29] Speaker C: Elle a tourné dans les festivals en Europe, notamment au Hellfest, etc. Et donc. [02:21:32] Speaker A: J'Ai choisi, j'ai choisi de passer le. [02:21:35] Speaker B: Nouveau clip qui est issu de cet album, qui s'appelle. [02:21:41] Speaker A: The Ash et qui est, qui est un morceau qui est une espèce de boucle très hypnotique et. [02:21:46] Speaker C: En même temps un petit peu malsaine. [02:21:51] Speaker A: Ce morceau c'est un peu comme si tu es comme si tu revoyais la. [02:21:56] Speaker B: Lumière du jour pour la 1ʳᵉ fois après avoir passé plusieurs années enterré dans une tombe, voilà. Et toi t'es un bon, toi, t'es. [02:22:03] Speaker A: Un peu le Bernard pivot de la zig, toi. Faudrait que je, faudrait que je, que. [02:22:06] Speaker C: Je travaille mon jeu de lunettes. Alors. [02:22:11] Speaker A: Voilà, vous faites des recherches sur. [02:22:14] Speaker B: Internet pour. [02:22:39] Speaker E: Les plus jeunes parce que. [02:22:41] Speaker C: Bon. [02:22:44] Speaker E: Bernard qui vaut rester en pes. Mais c'était zohan effectivement. Mais oui. Donc oui, c'est une chanson qui peut brûler les yeux, qui peut briser un petit peu les yeux et les oreilles en même temps. Bon, c'est beau à sa façon. Jolie Christmas, c'est toujours très intéressant. Et ben on va regarder ça. Tu connais un petit peu joli Christmas ou zweitausendeinundzwanzig ? Tu crois que sa sœur c'est Marie Hanouka ? Balance le clip, Marcel, sur cette vanne. Extraordinaire. I can unleash like a train roaring down a track You don't want me in your face When I knocked a couple back these days I quiet you make me still my head fills up with words I bend your will. [02:30:03] Speaker A: And you're just. Ben you're just. You crawl divine from the minute that you wake deep breaths and solitary states hear thunder roar hear raindrops home my big old empty house Because as the streets like the warm enough we are sounding take my breath away When I cloud down like a fool holy turn pray i'll leave and break When I. [02:30:19] Speaker B: Fall down like a bone i'll leave her grace i'll leave her when i. [02:30:23] Speaker A: Fall down like a bow bang bang i'm my lady alone j'aime bien voilà. Bah écoutez, moi aussi je viens de me faire des petits plaisirs. Moi j'aime la musique commerciale. J'aime ce genre de son. Ce petit clip il est mignon. Ça s'appelle Star Benders avec le titre Tokyo. Voilà. Je n'ai absolument rien à dire de plus parce que je n'ai pris aucun renseignement. Je me suis juste dit cette chanson, je n'ai. [02:30:44] Speaker C: Pris aucun plaisir. Mais c'était. [02:30:45] Speaker A: C'était incohérent avec ce que tu venais de dire juste avant. [02:30:47] Speaker C: Non ? Ben non. Oui non j'aime beaucoup, j'aime beaucoup. [02:30:54] Speaker A: Ÿ simple c'est mignon. Bon je me suis dit, il y a quand même des morceaux qui envoient, se vénèrent. [02:30:59] Speaker C: Il y a du punk. Faut un petit peu varier les plaisirs. Je peux au moins je vais pas passer un corne parce que sinon on va encore m'insulter. Mais non, parce que j'en place tout. [02:31:06] Speaker A: Le temps, c'est comme une obsession. J'ai trouvé le tien. [02:31:10] Speaker C: Ça y est. N'oublions pas que leur nom vient d'un fils. [02:31:13] Speaker A: Fucking. [02:31:14] Speaker C: Alors je ne savais pas. Mais je ne savais pas. Il y avait du maïs partout sur. Bref digère pas le maïs. [02:31:19] Speaker A: Ah c'est pour ça que tu avais fait une vanne comme ça une. [02:31:25] Speaker C: Fois ? Je la comprenais. [02:31:30] Speaker A: Pas. Et moi je pensais que c'était parce que quand tu manges du maïs, tu. [02:31:34] Speaker C: Le chie souvent il y a un petit grain de maïs. Mais non, non c'est. Enfin oui mais c'était pas salarié donc the children of the corn. Quoi ? C'est. Ouais. Alors là, non. C'était carrément les enfants qui ont été. [02:31:47] Speaker A: Faits avec des. [02:31:51] Speaker C: Points. [02:31:52] Speaker A: Je ne savais pas que ça se faisait comme ça. Avec des rançons de maïs. Zweitausendeinundzwanzig coller sur. Mon dieu, quelle horreur. Quelques petits coquins américains et le pop corn. [02:31:59] Speaker C: Bon, bref, on revient à toi, Manux, puisque c'est ça, le sujet qui nous intéresse. [02:32:04] Speaker A: Déjà, tu m'as accueilli avec Marine Monson, maintenant, tu me fais une transition comme ça. Mais je sais que tu me kiffes, mais quand même, il y a un moment. Bon, ok. Allons y. Bon. Tu m'as dit le travaux mythe, même. Oh non, c'est bien. [02:32:21] Speaker C: On a le droit de bâcher. Tout le monde a le droit de. [02:32:26] Speaker A: Dire ce qu'il pense, du moment que ça reste évidemment dans la sympathie. Si t'as un groupe, tu fais de la pub. C'est pas faux. C'est vrai que c'est pas monétisé. Ah, punaise. Vous voyez, c'est ça, le business. Et non, je ne me ferais pas une blague. Mais celle là, bad buzz, ça reste du buzz. Effectivement. Tout à l'heure, tu nous racontais donc il y avait des gens qui faisaient. [02:32:47] Speaker B: Ceci, des gens que celaient passés pour beaucoup de conneries. [02:32:51] Speaker A: Donc, tu me resitues bien ? C'est très large, ce que je dis là. Mais bon. Bref. Ça m'étonne pas, c'est ce que je préfère. Mais bon, là, le sujet. Je suis tombé amoureux dans le métro, quand même. Je tiens le signal. Ÿousand si ces personnes, qui sont très grandes et que je fixe un peu d'une façon bizarre, pouvaient venir me parler, ça serait très gentil. [02:33:08] Speaker C: Il est dégueulasse, ce truc. Je sais pas si c'est une super idée de. [02:33:11] Speaker A: De le toucher ou de l'approcher de son visage. Allô, mamie ? Tu reviens de l'au delà ? Elle a pas envie de me parler. Bon, tu as fait plein de groupes, et cetera. Est ce que tu as des groupes qui. Qui ont fait des caprices ? On parle. Où sont des stars, et cetera. Il y a des non, parce que je sais que ça intéresse quand même les gens. Je te demande pas de donner des noms. [02:33:35] Speaker C: Forcément. [02:33:36] Speaker A: Ça veut du sale, ça veut du requin, ça veut du potin. Ça veut du potin. Ouais, mais pas forcément en donnant des noms, juste en disant ouais. [02:33:48] Speaker C: Il y a déjà des groupes qui m'ont. [02:33:55] Speaker A: Demandé si. Ou pour voir un peu si t'as vécu. Bon, moi, je connais quelques histoires, mais je sais pas si c'est celle dont tu vas parler, donc je dis rien, mais je dis toujours que la pire personne. J'ai mixé avec Yann Watkins. Oula. Donc là, j'ai fait déjà un set de DJ avec lui. C'est qui ? C'est une personne qui est vraiment horrible ici, mais qui mérite bien sûr le pire. Mais c'était le chanteur de l'os prophète. [02:34:14] Speaker C: Qui est donc accusé, condamné et condamné en prison. Oui, oui, recommence en prison. C'est une chien. Et je déteste notre ami Jared Leto parce que c'est vraiment un chien et qui frappe son frère. Et puis c'est une secte aussi. C'est vrai que ça peut être paraître une secte, mais toi, qu'est ce que tu as vécu ? Est ce qu'on a. [02:34:40] Speaker A: Tu as déjà eu des artistes, même que tu aimes beaucoup, qui t'ont dit. [02:34:44] Speaker C: Ah non, mais j'aimerais bien ça. Ou alors est ce que tu peux pas faire ça ? [02:34:48] Speaker A: Ou. [02:34:49] Speaker C: Ah non, je. Alors après, toute proportion gardée, parce que je m'occupe pas non plus de groupes. Oui, les gros du monde, étrangement, le. Alors on va pas se mentir, les plus casse couilles, ÿousand les plus relous et les moins professionnels, c'est les 1ʳᵉˢ. [02:35:05] Speaker A: Parties la plupart du temps. Et les groupes français, c'est clairement. [02:35:07] Speaker C: Voilà, on va pas se mentir, on disait. On avait beaucoup ce problème là aussi à ufm, quand on. Je pense que ça fait partie de la ultra mauvaise réputation qu'on a dans le monde, on va pas se mentir. [02:35:18] Speaker A: Ouais. [02:35:18] Speaker C: Non respect du temps, non respect des trucs. Enfin tu vois, je me suis retrouvé avec des gens dans les loges qui n'avaient pas à être là. Vraiment, c'est pas. C'est pas que typique français, après. En même temps, j'ai pas tourné beaucoup dans les groupes, mais ce que je veux dire, c'est. En France, on sait que c'est quand même. Vraiment. Quand même, il y a des fois des. Il y a des fois des réputations qui sont pas volées. Non, non. J'ai eu. Je crois que le pire groupe que j'ai eu, vraiment, t'es pas obligé de dire de non, attention, alors moi, j'en ai absolument rien à. Quand tu es. Quand tu es redneck et con à ce point là, c'est un. Qui s'appelle zik ou Ziki, je sais pas comment tu. [02:36:00] Speaker A: Zeke. [02:36:00] Speaker C: On les avait fait au gibus avec. Avec. Avec Tanguy, mes potes de sigmydeck. Donc déjà, c'est. Voilà, c'est les gens que je parlais tout à l'heure, avec qui je ne pourrais pas faire quoi que ce soit si ils étaient pas là non plus pour m'aider et tout ça. Et en gros, les mecs. Donc j'ai été arrivé déjà un peu vénère, puis avec des avions différents. C'est leur 1ʳᵉ date ou 2ᵉ date, je sais plus. Enfin bon, le chauffeur, déjà de. Depuis deux jours, il était déjà. Il avait envie de se barrer. Le mec arrive en uber, tu sais, c'est un groupe qui ramène quoi, 100 personnes à tout péter, quoi. Tu vois, c'est pas non plus le. Ce qui veut pas dire qu'il faut leur manquer de respect. Ah oui. Non, bien sûr. Le mec arrive déjà. Il descend de son Uber de qui l'emmenait de l'aéroport, limite, il nous demande de le payer ton taco. Voilà. Il arrive, il se bat Ÿousand avec son chanteur, avec son chanteur. À un moment, un petit fan qui vient dans. Un petit. C'était un petit. Un petit minot quoi, qui vient dans la. Dans le backstage, qui lui tape sur l'épaule et qui dit je pourrais faire une photo avec toi et tout. [02:37:04] Speaker A: Et le mec se retourne, il fait. [02:37:05] Speaker C: Non, je te jure, j'étais comme ça. J'étais. Et le lendemain. Et le lendemain, mon pote du Gibus m'appelle. Elle me fait mec, on petit problème. C'est qui qui a pissé dans les frigos du Gibus ? Les mecs avaient pissé dans la chambre froide. C'est un grand frigo qui est dans le Gibus. Ils avaient pissé dedans parce qu'il y avait pas de chiotte, certainement à l'étage, et qu'il fallait descendre. Et je me suis dit mais à. [02:37:30] Speaker A: Quel moment tu peux te retrouver avec des gens comme ça ? Quelle est l'idée, quelle est l'envie ? Ils avaient balancé les chaises dans les backstage, ils étaient disputés, ce que tu veux, ça arrive des groupes. J'ai eu un mec un jour, de Toulouse qui m'a appelé, qui me dit ton groupe il était cool. [02:37:46] Speaker C: Mais ils se sont battus dans mon salon, ils ont tout cassé. Ils m'ont laissé de l'argent le lendemain pour racheter mes meubles. Puis le bassiste, en fait, il est parti. Non, j'ai eu des. J'ai eu à une excellente. C'est chaud. Parce que du coup tu. Toi, tu fais attention à ce que. Soit pas des groupes qui soient dans une situation ou dans des attitudes comme ça. Mais comme tu dis, ça peut arriver et des fois ça peut basculer, ça peut. Ça peut déraper. Alors quand je dis déraper, attention, c'est à casser un truc ou alors ça racontait un peu. Ouais, je me souviens. Je me souviens. Ÿ manager, qui je pense me testait aussi ce jour là et m'a balancé un poulet à la gueule en me disant il est pas. Il est pas cuit comme je veux. Il l'a balancé. On est devenu après extrêmement proche au fil du temps. Ou pas. Non, je suis parti franchement, honnêtement, je suis parti pleurer. Je suis parti pleurer en backstage. Ça a été. Je suis extrêmement stressé en concert. Je suis extrêmement. Je n'arrive pas, par exemple, à manger, à m'asseoir ou à. Je suis toujours en train de bouger à droite à gauche, toujours en train de vérifier si tout va bien. Ouais. Mais ça en devient maladif, ça en devient limite. À un moment j'ai arrêté à cause de ça. Et j'ai toujours peur que ça se passe pas bien. J'ai toujours peur de. Tu vois, voilà, il faut garer un tourbus pendant deux jours. J'ai une hantise qu'on puisse pas garer le tour bus parce que c'est des trucs qui me sont arrivés et où, tu vois, le mec super vénère et tu sais déjà avant même de commencer que ça va être un enfer. Ouais. Tu te projettes de hypersensibilité, ça. Tu sais, ce qui fait mon mentor, entre guillemets dans la musique, qui a fait. Qui m'a donné la possibilité de faire tout ce que je fais. Il m'a dit, tu sais mec, en fait je suis pas le meilleur organisateur du monde, je suis pas le. Mais il m'a dit, c'est ton énorme cœur, c'est ce qui t'amènera en haut, mais c'est ce qui t'amènera en bas. Et c'est une vérité. Et donc, ouais, j'ai eu des gens qui. Qui m'ont demandé. Qui m'ont laissé leur poche de linge sale en disant Tiens, il faut faire ça. J'ai eu des groupes qui m'ont dit si j'ai pas de drogue, je monte pas sur scène. J'ai eu des groupes qui m'ont ouais, j'ai un groupe qui m'a dit faut absolument qu'on mange de la viande de cheval. Donc il a fallu que je trouve de la viande de cheval à Paris. C'était pas un caprice, c'était juste une demande. Après j'ai jamais eu vraiment de. J'ai jamais eu vraiment de truc vraiment what the fuck où je me suis dit putain, mais ouais, les trucs de on veut des chaussettes, des t shirts, des piles. Il n'y a pas marqué Darty quoi. Tu vois, je suis très sympa. Je suis très sympa. Et je pense que. Un bon promoteur et un bon booker, c'est quelqu'un qui est parti en tournée. Et malheureusement, il y en a beaucoup qui l'ont jamais fait. Donc je sais, en tant que groupe, des fois, ce qui compte. Donc je suis très regardant sur les riders et les membres des groupes. Quand je veux pas ou que je peux pas, je leur dis en amont. Il n'y a pas de surprise quand ils arrivent. [02:40:46] Speaker A: Et je pense que c'est ça aussi qui a fait aussi que je suis. Je fais pas d'économie là dessus. Il y a plein de gens qui. [02:40:57] Speaker C: Essayent de gratter sur tout. Tu grattes pas sur ça. Tu grattes pas sur ça. Maintenant, voilà, on est. Mais tu sais. Non, non, mais je préfère limite perdre de l'argent, mais ne pas avoir une prise de tête majeure que de. Que de faire des économies sur des trucs. [02:41:14] Speaker A: Donc j'ai pas forcément eu. Demande aberrante. Désolé de pas faire. Tu vois. Attends. [02:41:19] Speaker C: Fraisier. Les petits doigts de tirer. Non, mais justement. Bon, après, t'as déjà dit deux, trois trucs. Bon. [02:41:28] Speaker A: Voilà les cils. Dans l'essentiel, ça s'est toujours bien passé. [02:41:30] Speaker C: C'est aussi un bon signe. C'est aussi. Il y a deux, trois trucs énigmatiques quand même. Je me suis retrouvé à la fin d'un concert avec. Avec une poubelle plein de couches de merde. Jusqu'à aujourd'hui, je ne sais pas ce que c'était, est ce que ça foutait là. Je pense qu'on s'est tous demandé ce que c'était. Les gens ont des délires, mais après, si tu es mis dans le sachet maladie, ce que tu veux. Où il y avait un bébé caché quelque part. Je ne sais pas. Ils ont pas déclaré pour pas qu'on leur dise. Non, non, non. Je ne sais pas. J'ai eu le truc le plus. [02:42:05] Speaker A: What the fuck ? Je l'ai pas vécu, mais j'en ai vu des images. [02:42:10] Speaker C: Je dirais pas qui c'est, mais c'est un guitariste qui, pendant un soir s'est mis en tête qui pouvait se battre avec un éléphant et gagner. Ils sont entrés dans un zoo en Allemagne et ils l'ont empêché d'aller, mais il y allait. Et ensuite, il a eu la lubie de le faire avec un tigre. Heureusement, les gens lui ont dit à un moment non. Alors même si c'est une marmule, il aurait pas fait le poids. Tu as vu une topaz ? Pas d'éléphant, mon gars. C'est sûr. Voilà. Et bon. Oui, effectivement, il était monté, quoi. Ah ouais. Non, mais hallucinant. Voilà. J'ai plein de petites anecdotes, mais j'ai pas de. Je pense qu'il y a. Non, il y a. Après, peut être que c'est le level au dessus et tu as des choses, mais en vrai, grosse frayeur. La plus grosse frayeur que j'ai eu en tournée, c'était avec un groupe de. De sk punk. On était en Allemagne, à Hambourg, quartier rouge. On visite la ville, et un des gars qui était avec le groupe, qui connaissait pas bien les trucs, a pris en photo les vitrines, tu sais, comme Amsterdam ou quoi que ce soit, et 2 min après, on s'est retrouvé avec des espèces de golgoths qui ont voulu détruire tous nos appareils photos. Il y a eu un lost in translation et j'ai cru qu'on allait se faire découper. Cette soirée ça. Ça a été un mauvais souvenir. Ouais, ouais, ouais. Déjà que je suis pas bien courageux, mon gars, donc. Non, non, après, voilà plein de. J'ai eu un mec qui m'a dit je suis en train de faire une crise cardiaque avant de monter sur scène. Va gérer ce truc, mec. T'as attendu sur scène. Je peux pas, j'ai fait une crise cardiaque, ok ? Crise de panique ou quoi que ce soit. [02:43:48] Speaker A: Je ne sais pas. Il a fallu que j'appelle un gars de la sécu et compagnie. [02:43:51] Speaker C: Un gars, voilà, enfin, un chanteur un peu parano qui pensait qu'on voulait lui. Un mec dans le public qui a fait un geste comme ça et qui a cru que c'était pour lui. Et j'ai dû le faire sortir par la salle devant tout le monde et compagnie, parce que. Traumatisme de ce qui s'est passé et compagnie, et qui pensait être. Pouvoir être potentielle cible ou quoi que ce soit, des trucs un peu what the fuck où tu sais pas comment réagir, bien sûr. De toute façon, il n'y a pas vraiment de. Si la bonne action, c'est d'essayer de. Je crois que le truc le plus pire que j'ai eu, mais le fait, c'est pas le pire. C'est vraiment dans l'arrogance et dans la petitesse, quoi. C'était le groupe ho. Qui est un groupe que j'aime bien, mais que je ne veux pas forcément refaire à cause de ça. On les avait fait à Paris, au petit bain, et ça m'a marqué parce que. Parce que les gars, je m'attendais. C'est des mecs qui font. Qui revendiquent la PMA. Le truc super bonne attitude, super truc. Les mecs déjà nous font des tronches jusqu'à par terre, parce que je pense qu'ils attendaient un autre organisateur. [02:44:54] Speaker A: Et finalement, c'était pas leur organisateur habituel. [02:44:55] Speaker C: Donc bon, les mecs nous font une tronche et c'était leur remplaçant batteur. C'était le batteur de Rancid, donc plus ou moins potentiellement le mec le plus connu du groupe. Ça a été le plus sympathique. Et le mec me fait on mange quoi ? Je dis il y a le resto petit bain, compagnie. C'est vegan, c'est tout. Et le mec me dit Ouais, c'est très, très bon. C'est voilà. Généralement, on accueille bien les groupes. [02:45:25] Speaker A: Et le mec me dit Ÿousand, non. [02:45:28] Speaker C: Mais tu sais, moi, je mange que du macrobiotique. Je dis ok. Après oui, mais bon, c'est possible. Et il me dit avant, tu avais qu'à lire dans Rider. C'est la 1ʳᵉ fois en je sais pas combien de concerts que je fais, mec, bouge pas, je reviens. Je suis allé imprimer le Rider. Il faut savoir que limite, avant le concert, je le connais par cœur. Et je lui dis Où est ce que c'est, dans le rider ? Et le mec me regarde et me fait si t'es un vrai fan, tu le saurais. Et je me suis dit mais mange pas. Je me suis dit, avec tout le respect que j'ai pour toi, mais qu'il y a 200 personnes qui sont venues. [02:45:59] Speaker A: Te voir et tu me traites comme. [02:46:01] Speaker C: Un sous caca pour à la fin me dire c'était trop bien, on veut rejouer avec vous et compagnie. Bah non, parce qu'en fait, je fais pas du macrobiotique. Et je pense que de plus en plus, je perds. Je perds patience avec les trucs. Je perds patience avec les trucs. J'ai de. Parce que c'est pas ÿousand, parce que ça me stresse. Par contre, autant énormément de choses se sont empirées depuis le Covid, autant ça. Je me suis rendu compte que les riders s'allégeaient de plus en plus, que les demandes d'alcool se faisaient de moins en moins. Ah, c'est une bonne nouvelle qui avait tué. Avant, tu pouvais te retrouver quand même avec certains groupes qui te disaient je veux de la. Je veux de la grégouse, de la belvédère. C'était 50 € la bouteille, il en faut trois, t'es déjà 150 balles. Je pense que c'est ça aussi que les gens, tu vois, calculent pas. Et tout à l'heure, vraiment, à un moment, je prendrais 5 min pour expliquer le coup bout d'un concert comme ça. Peut être qu'il y a des gens qui arrêteront de dire ça coûte trop cher, les concerts. Je fais super bien le mec en rad qui parce que c'est moi derrière mon oreille. Mais c'est trop cher, ce concert. [02:47:01] Speaker A: C'est pas cool. Bon. Et donc voilà. Non, non. J'ai jamais eu de. Pas aussi voilà. [02:47:05] Speaker C: À ce que je me souvienne, j'ai pas eu de. J'ai eu des mecs qui. [02:47:10] Speaker A: Arrivaient en retard. J'ai eu toutes les excuses du monde. [02:47:12] Speaker C: J'ai eu des mecs qui arrivaient flingués. J'ai eu des. J'ai eu des gens qui. Qui m'ont laissé les loges dégueulasses. J'ai eu des. [02:47:18] Speaker A: Mais. [02:47:21] Speaker C: Tu sais quoi ? Vraiment, la plupart du temps, ça va. Ouais. J'ai eu des mecs qui m'ont balancé leur serviette sale en descendant de scène, du genre et tiens, Gofio, ma serviette. Tu es là, tu fous. Ok. Bon. Ouais, bah après, c'est pas cool, mais c'est. C'est pas la fin du monde non plus. Non, non, mais c'est ça, en fait, j'ai eu. Ouais. J'ai eu des teubés, quoi. Dans le monde de la musique. Il y en a quand même eu des manches pierres. J'ai eu des manches pierres. Tu leur mets deux pierres dans les loges, tu reviens, ils y sont plus. Tu vois qu'il y a les dents, elles sont cassées. Mon gars, si tu veux garder ton grillage, tu le mets pas en loge. Ce qui se pourrait qu'il l'ait mangé. Ouais, j'en ai eu. J'en ai eu. Et tu sais quoi ? La plupart du temps, c'est pas les groupes, c'est leur entourage. C'est le mec qui a pas forcément de pouvoir dans sa vie, qui a pas connu de se donner une valeur. Souvent, les merch guy, les. [02:48:07] Speaker A: Les. [02:48:07] Speaker C: Alors c'est pas une généralité, attention, mais c'est souvent le genre de gens, tu sais, qui sont un peu. Qui sont un peu, comment dire, pas maltraités par le groupe. Mais tu sais qu'ils sont les employés un peu du groupe et compagnie. Et les mecs, ils viennent te voir en disant on veut ça, ça, ça. On a besoin de ça. Le groupe, il veut ça. [02:48:23] Speaker A: Et puis tu vas voir le groupe. [02:48:24] Speaker C: Tu leur dis vous avez besoin. Non, mais qui c'est qui t'a dit ça ? Bah, je sais pas, en fait. C'est votre merge. Gary m'a demandé ça. Puis ils vont le voir, ils font. [02:48:38] Speaker A: Mais d'où tu parles ? [02:48:39] Speaker C: Aux promos. Enfin, tu sais. Et parce que ça a été dit, d'une certaine manière. Et en fait, c'est marrant, parce que c'est vraiment. Ouais. [02:48:45] Speaker A: Tout le. Généralement, le crew, les techos et compagnie, qui parlent comme un caca, alors que. [02:48:51] Speaker C: Le groupe, il est super cool, sauf qu'au final, tu retiens que le groupe, tu le feras plus, alors qu'ils sont bien. Tu le mets. Il y a une espèce de généralité de. Le tour manager ou manageuse doit être méchant. Tu sais que si tu demandes un truc gentiment et poliment, il arrivera 5 min plus tôt. Si tu le demandes avec. C'est une leçon. Et je dis ça et je dis ça. Et en même temps, tu me demandes un truc, je le fais, parce que c'est mon taf aussi. Et en tout cas, tu fais le maximum. Après, tout dépend la demande. Et tout dépend la bêtise de. Ça m'est arrivé de regarder vraiment la personne et faire. Sérieusement, je me demande. [02:49:26] Speaker A: Quoi. [02:49:26] Speaker C: Enfin, tu vois, tu me demandes comme ça, quoi. [02:49:28] Speaker A: Ok. [02:49:29] Speaker C: Bon, tu le fais, mais tu as pas forcément envie, quoi. Donc. Oui, il y a vraiment des gens où. Je me suis dit quand même. Même avec les riders, je me suis. [02:49:35] Speaker B: Dit, mais tu crois que ces gens. [02:49:37] Speaker C: Là, chez eux, le soir, quand ils rentrent, qui sont pas en tournée, ils ont 40, huit bières Heineken à température ambiante dans leur. Dans leur. Dans leur salon, qui les attend. Ils ont trois bouteilles de whisky qui les attend. Ils ont des glaçons à profusion. Ils ont un petit shaker. Mec, tu es sérieux ou quoi ? Ils ont 20, 5 € pour manger tous les soirs. Tu es sérieux ? Arrêtez. Enfin, chez toi, tu fais comme tout le monde, quoi. Tu te mets une pizza au micro ondes et puis tu fermes ta bouche. Et là, en tournée, c'est vraiment le truc. C'est la compagne qui prend. Il y a pas ma bouteille de vodka. Non, mais. Ok. Mais tu en as déjà bu deux. Enfin, il y a le truc, vraiment, où je me dis 60, quatre bières. Vous êtes cinq, six. Bon, mon collègue, il me fait. Ça se fait, hein ? Bah non. Tu vois la panne, quand tu vas jouer. Tu vois ce que je veux dire ? C'est. Le truc, c'est. Est ce que vraiment. Et puis en fait, tu te retrouves dans. Alors, la 1ʳᵉ fois où je me suis vraiment fait. Enfin, je me suis senti vraiment parti de ce monde, c'est la 1ʳᵉ fois où je suis parti en tournée, en tour bus, avec un groupe. Je crois que c'était avec me first and the gaming gimmies, où je me suis retrouvé en tourbus, ou peut être lagwagen, et en vrai. Déjà je ronfle. [02:50:47] Speaker A: Maintenant j'ai une machine, mais avant je. [02:50:49] Speaker C: Ronfle, donc déjà j'osais pas dormir. Deuxièmement, deux quand t'es dans un tourbus tu sais pas, mais t'oses pas enlever tes pompes parce que si tu pues, tout le monde. [02:51:02] Speaker A: C'était un enfer pour moi. Je suis resté dans le salon comme. [02:51:04] Speaker C: Ça sur le canapé, et je me souviens, Joey Cape, le chanteur, qui est venu me mettre une petite couverture sur moi et qui m'a limite fait un petit bisou sur le front en disant dors bien. J'étais. J'étais pas chez moi. En fait t'es dans le tourbus de quelqu'un, donc c'est gênant. [02:51:15] Speaker A: Voilà. [02:51:15] Speaker C: Et en gros tous ces trucs là, tu penses pas. Ah ben non bien sûr c'est très petit, c'est super compliqué. Tu peux pas iech dans le tourbus, tu peux que pisser. Personnellement moi en tournée c'est le plus. Alors je suis désolé. Puis picaca. [02:51:24] Speaker A: Mais c'est. [02:51:25] Speaker C: Ah bah ça fait partie de la vie malheureusement c'est horrible. C'est que moi je peux pas. [02:51:28] Speaker A: Yes. Quand il y a des gens autour. [02:51:32] Speaker C: Donc ça m'arrive de pas chier pendant quatre, cinq jours en tournée, ce qui. [02:51:35] Speaker A: Est très mauvais pour la santé. J'ai pas d'hôtel et quoi. Non mais c'est une dinguerie. Mais on n'y pense pas, tous ces petits détails à la con. Et c'est quand tu le vis, que tu fais. [02:51:48] Speaker C: Peut être que le groupe en fait il a besoin de ça. Et c'est pour ça qu'en fait c'est important d'avoir une loge aussi souvent pour les groupes, d'avoir des chiottes à part d'avoir des trucs. Et c'est quand tu pars en tournée que tu te rends compte que c'est pas starlet, c'est juste le minimum. Et on parle de concert, on parle de tourbus. Vas y rebondis sur ça mec. Non non non non non. Je rebondis pas parce que tu as assez dit. Mais tu fais des festivals aussi ? Ouais tu as. Tu as fait partie d'organisation de festival et tu fais un festival. Enfin il y a lesquels déjà ? Alors j'ai fait. Si ceux qui existent. Ceux qui ont existé, j'ai fait. Tu as bossé sur deux édition du Punk in the rublic. Bon je fais depuis. C'était la 7ᵉ édition cette année. Le Paris punk rock summer, avec mes collègues de Sick my dog. Justement c'est sur deux jours, c'est un lundi, mardi exprès ou en semaine, qui nous permet d'avoir des groupes moins chers qui sont entre les festivals et qui ont pas forcément de concert, des fois décent entre les festivals, parce que c'est compliqué. Donc ils jouent le jeu ÿousand on les paye moins cher. Ça permet aux gens aussi à Paris qui n'ont pas de festival ou qui peuvent pas bouger dans les festivals ou quoi que ce soit, d'avoir huit groupes sur deux jours qui sont pas excessivement chers. Le prix du billet. Il faut savoir que nous, personnellement, voilà comment nous, on agit sur les concerts, c'est simple, on a un prix. Bon, maintenant, je vais rentrer dans le truc du voilà, imaginons. Tu as un groupe qui vaut 2 500 €, ok ? Voilà. Plus ou -2000 500,01 €, salle qui vaut 2 500 €, ça te fait 5000. Il faut compter les déclasses à sème, les trucs, les déclarations, tout ça, c'est un pourcentage des billets. Tu comptes la bouffe pour, je sais pas moi, des fois 20, cinq personnes. Tu comptes au moins 20 € par personne. Tu comptes les loges, tu comptes tout le catering, ce qu'ils ont besoin de manger, boire et compagnie. Tu trouves, tu te retrouves souvent avec un billet pour garer le. Pour garer soit le bus, soit le parking, la promo, des frais à droite à gauche, des frais de production. Parce que l'air de rien, tu bosses six mois sur un concert, t'as quand même envie de te mettre au moins un petit billet ou quoi que ce soit. Au final, ça te fait un prix. Et ce prix pour nous, par exemple, on pense qu'on va faire dans les 250, 300 personnes. Ce prix, on le divise par à. [02:54:15] Speaker A: Peu près le seuil de rentabilité qu'on pense faire. [02:54:16] Speaker C: Et le prix du billet, il est là. Voilà. Il n'y a pas de. Donc généralement, on vise entre 250 et 300 personnes. Si on dépasse ça, tant mieux, on break, c'est cool. Et on file un pourcentage aussi au groupe. Et on essaie de payer les gens qui nous ont aidés. On essaie d'être assez réglo là dessus et de rincer tout le monde. Ce n'est pas nos boulots, c'est pas nos vies, donc on n'a pas. Et ça demande du courage aussi, parce que mettre 10, 8 000 € sur la table quand t'es deux clampins, bah c'est de l'argent. C'est moi, je l'ai fait une fois. La 2ᵉ fois, je me suis cassé la gueule. Je me souviens plus petit, j'ai demandé à ma mère de me faire. Après et je l'ai remboursé. Voilà. Enfin je veux dire, c'est des trucs où. Par contre, quoi. Voilà le prix d'un concert pour moi, c'est ça. Il y a plein de choses que les gens voient pas. Et Ben, faire une. Faire un concert dans une salle décente, faire un concert avec un accueil. J'ai toujours pensé que la manière dont tu accueilles le groupe, la manière dont tu les. Dont tu t'occupes d'eux, va. Ça va ressortir sur scène. Je suis persuadé que si tu as des bonnes vibes, le groupe va être content et va offrir un meilleur concert à des gens. Et ben, je suis désolé, mais si c'est bonne vibe, ça coûte 5 € par billet. Pour avoir une belle accueil en loge, pour avoir de la bonne bouffe et compagnie, faut comprendre que ces mecs là sont en tournée pendant trois semaines, ne voient pas leur famille, ne voient pas leur truc, les moments où ils bouffent un petit peu, où ils ont un régime particulier parce qu'ils veulent pas non plus s'engraisser ou autre chose, plein de choses. C'est ces petits trucs là en plus qui vont faire le truc. Les 10 1ʳᵉˢ minutes d'accueil, c'est souvent ce qui se fait et je pense que ça ressort sur le concert. Des fois ils font une chanson en plus ou des trucs. [02:55:52] Speaker A: Donc je pense que c'est très important. [02:55:54] Speaker C: Et ben si je dois monter mon billet pour ça, je le ferai, il y a absolument aucun souci. Et si les gens me disent c'est trop cher et ben sans méchanceté vient pas. Mais moi personnellement, je me fais pas du fric sur le dos des gens. J'ai rarement gardé Zweitausendein gagné ma. Voilà. J'ai rarement gagné de l'argent sur les concerts. Le dernier concert no fx complet, plus de 5000 personnes. J'ai touché 0 € sur ce concert. J'ai touché 0 € sur ce concert. Et ces gros groupes que je vends des fois dans les festivals et compagnie me comblent. Ce que je perds à l'année. Oui. Tu es content, quoi ? C'est pas grave. C'est pas grave parce que finalement, et malheureusement de moins en moins. Mais ça me faisait plaisir aussi d'offrir des groupes à des gens qui méritaient de le voir ou quoi que ce soit. Et je trouve que les gens sont devenus tellement cons sur les réseaux sociaux, moi, avec attention, mais critique tout, que t'as plus envie de te casser le cul pour eux. [02:56:43] Speaker A: Sauf que s'il n'y a plus personne. [02:56:46] Speaker C: Qui se casse le cul pour les gens, il n'y a plus de concert et tu vas te retrouver qu'avec des groupes moisis qui tournent à l'année, français, pour faire leur, pour faire leur intermittence, qui vont jouer dans tous les mêmes trucs, tu vas avoir des tourneurs qui vont me dire ça. C'est un revers de la médaille que j'ai jamais supporté dans les agences. Tu vois, la dernière agence dans laquelle j'étais c'est limite. T'as un trombinoscope des festivals avec une petite étape, une petite étoile, un petit rang ou un carré, en sachant que telle personne c'est un teubé, on peut lui vendre le groupe quatre fois plus cher. Ah ouais, ça c'est pas beau. Tu vois, donc quand t'es en réunion et que t'as le mec qui te fait non mais le groupe il vaut 1500. Bah lui tu peux lui mettre à 5000. Et après ça vient chialer devant les caméras, ça devient faire des interviews en disant non, mais tu comprends, il faut aider la scène et compagnie. La scène elle céderait déjà si t'arrêtais de les carottes à tout va, si t'arrêtais de vendre des groupes qui valent 1000 balles à 4000 balles, parce que le groupe t'es en train de le tuer. Et puis tu vas arrêter d'aller chialer avec les smack elle ferme parce que tu leur as sucé le venin pendant des années à leur vendre des groupes 50 fois plus cher et compagnie. Parce que quand tu vois qu'un groupe il joue dans un festival à 10 7000 balles pour jouer le lendemain à 6000 balles, tu crois que les gens ils se parlent pas et tu crois qu'ils sont cons. Mais ça. Voilà, moi c'est ça que j'ai à longueur de temps au téléphone, des gens qui disent ah mais y en a marre, c'est trop cher et compagnie. Ouais, moi des fois je vends des groupes ultra chers. C'est pas moi en fait, je le dis, c'est l'agent. Et par contre j'aimerais qu'il y ait une transparence. Il y a un seul truc que j'aimerais faire et que moi j'essaye de faire en tout cas. Ÿousand sais que d'autres le font, mais malheureusement c'est pas l'apanage des agences. C'est que. En fait non, c'est qu'il y a un truc qui est très simple et c'est ce que j'ai vécu pendant deux ans. Et je tire pas à boulet rouge, je m'en fous. C'est aussi pour ça que je me suis barré de cette agence. C'est qu'à un moment il y a une transparence qui n'est nulle part. C'est à dire que personne ne demande. Tu vas moi par exemple, on me vend un groupe, ok ? L'agent il me dit parce qu il y a peut être des gens qui se demandent comment ça se passe. Au moins voilà, ils seront il y a une agence européenne qui gère le groupe. En Europe, chaque pays il y a un petit manux ou une petite agence. Donc chaque pays gère son, son truc. Donc déjà toi le mec il se dit pourquoi déjà ? Ça commence de plus en plus pourquoi ? Je demande à en fait tu fais du dropshipping. C'est à dire que le mec il te vend un truc, il te dit moi il me faut à peu près 3 000 € par date. Et toi tu [sos/eos] toi tu prends ou. Donc tu rajoutes tes. Et tes. Par contre quand tu commences à avoir des agents qui te vendent un groupe, qui appellent le festival, qui disent ah, le groupe c'est 8000. Oui. Alors qu'en fait l'agent il t'a demandé 3000. L'agent tu lui files 4000, il sait pas que tu l'as vendu à 8000 et tu lui dis pas et personne le sait. 4 000 € dans ma petite fouillasse. Donc le mec de la salle il va dire putain, c'était cher ce groupe. Il se prend pour qui c'est trop cher et compagnie. Pas le groupe, mec. Sauf que l'agent européen il fait confiance, il te demande pas combien tu l'as vendu. Oui, bien sûr. Moi par exemple, il t'a dit non, c'est un truc que j'ai toujours fait. Voilà, je montre toujours à l'agent européen combien j'ai vendu le groupe au truc. Comme ça tu peux voir, mec, combien j'ai pris exactement de pourcentage. Tout se sait un jour, mec. Et le pire c'est que les gens le savent mais ils disent rien. Et ça c'est pour moi. C'est ça qui se passe et qui est en train de tuer la musique aussi quand on dit ouais, les groupes sont de plus en plus gourmands. Tout le monde se sert et compagnie. C'est vrai, il y a des groupes de plus en plus gourmands. Il y a aussi des gens qui se mettent bien et qui se rincent bien la couenne comme des bip bip, en vendant des trucs à un prix de ouf et en se disant ouais, de toute façon lui et tu vois, au lieu de. C'est des gens qui pensent à court terme au lieu de penser à long terme, tu vois, tu vas avoir un nouveau petit festival qui se monte avec des petits jeunes qui ont envie au lieu d'aller les carottes et de leur vendre un truc parce qu'ils y connaissent rien et de frotter les mains en disant je me suis fait 500 balles de plus en leur vendant beaucoup plus cher. Mec, t'es un gros con. Tu sais pourquoi ? Parce que son festival il va se casser la gueule. Et j'en ai trois en tête qui se sont cassés la gueule cette année. Parce que certains leur ont vendu des groupes démesurément trop chers. Et que quand les mecs ont appelé en disant ah ouais mais on est en galère. Ouais, c'est pas mon problème mec. En fait t'as un contrat, tu as signé. Voilà ça au lieu de dire tu sais quoi mec, on va t'aider cette année on va pas te le faire trop cher, mais l'année prochaine tu vas nous prendre d'autres groupes. Tu fidèles, tu fidélises et tu fais monter les trucs en même temps que toi, ça c'est super important. Est ce que je dis que moi j'ai jamais vendu trop cher ? [03:01:02] Speaker A: Non, non. [03:01:03] Speaker C: Est ce que par contre j'ai jamais forcément fait d'argent ? De toute façon je n'ai jamais eu une structure qui me permettait de faire de l'argent. Et quand j'étais salarié, j'étais salarié, qu'est ce que j'en ai à. Et j'ai jamais compris pourquoi les gens, ces gosiers a essayé de vendre le beaucoup plus cher alors qu'ils étaient salariés. Ça change rien dans leur truc ça, tu vois ? Et c'est la même chose que j'ai connu ça en me disant aujourd'hui tu as des groupes. Vous êtes jamais demandé pourquoi il y avait des groupes qui ramènent 300 personnes mais qui se font un Olympia ou qui se font un zénith alors que c'est pas du tout ÿousand cette taille là ? Je suis tombé sur le cul en fait j'étais trop naïf pour ça, on m'a dit non mais attends mec, si on fait ça, tu sais pourquoi ? C'est parce qu'après on va pouvoir se. [03:01:37] Speaker A: Vendre trois fois plus cher en festival. Parce qu'on a fait l'Olympia. Et moi j'ai envie de dire bah mec, en fait le fait que tu fasses l'Olympia, j'ai l'impression que ça va faire chuter l'action de l'Olympia. Pour me dire que même un groupe de manches couilles comme toi, ça arrive. [03:01:51] Speaker C: À faire l'Olympia en fait. Et tu vois ça en fait, quand je vois ça et que le discours c'est non, mais c'est trop bien. On est fier d'avoir fait l'Olympia. Et que derrière, par contre, c'est non, mais tu comprends, maintenant, on va pouvoir se vendre beaucoup plus cher. Pourquoi tu le dis pas ? Et en fait. Donc tu fais du dumping comme ça, tu mets des groupes dans des salles plus grosses. Oui, c'est ce qui s'est passé. C'est ce qu'ils avaient fait au début avec Bring me the horizon. Ils avaient mis ce groupe là dans des très grandes salles en donnant énormément d'invitations pour faire croire que le groupe était gros. Et du coup ça bon, ça a fonctionné dans leur cas. Non, mais j'ai pas dit que ça marchait pas. Mais on revient à du catch, on revient à du faux trucs et compagnie. À un moment, dis le moi, je me des fois, je vois des groupes qui ramènent 100 personnes dans des salles de. De 800. Je me dis en fait, c'est juste parce que tu as du fric, et c'est pas un mal. Par contre, si ça foire, tu vas faire encore plus mal au groupe, quoi. Le problème qu'il y a, c'est que quand tu perds de l'argent comme ça, sur un énorme gros concert, comment tu le récupères ? Bah, tu le récupères en carottant les gens. Et voilà ce qui m'a emmerdé et ce qui m'emmerde dans ce milieu là. Alors je sais pas. Je n'ai pas dit que tout le monde était comme ça. Je pense même que les grosses firmes, elles mentent pas. [03:03:00] Speaker B: Quand elles perdent de l'argent, elles perdent de l'argent. [03:03:04] Speaker C: Elles sont là pour faire du fric. Et tu sais quoi ? Il n'y a pas de mal à ça. Le capitalisme, ça existe. Il n'y a pas de mal quand c'est fait d'une manière. Par contre, pourquoi tu veux te faire passer pour le. Pour le gentil. Oui, pour le gentil. Pour le mec, tu comprends ? Punk à fond et compagnie. T'as un crevard, t'as un crevard, tout le monde le sait. Par contre, le manque de courage des. [03:03:29] Speaker A: Gens qui disent non, mais nous, on. [03:03:31] Speaker C: Veut pas bosser avec ces gens là. On en a marre. Arrête de leur prendre des groupes, arrête de jouer leur jeu. Donc ça. Voilà, tu vois, on dérive sur un truc. Du coup, c'est pas difficile de garder la motivation. Bien sûr, c'est difficile. Mais si j'avais pas cette espèce d'amour pour le truc, ça ferait. Si je me suis si j'ai décidé d'appeler mon truc we care, c'est parce que je m'occupe des groupes, j'aime les groupes, j'essaye de faire faire les groupes que j'aime. Je viens de rejoindre une nouvelle agence qui s'appelle Stronger Booking, qui fait du hardcore, un peu plus engagé, qui fait du business aussi. Il y a pas de mal à ça. Ah bah c'est le but parce que sinon il meurt. Donc par contre c'est de la transparence quoi. On voit un groupe, tel prix, c'est tel prix. Moi je suis, tu sais, moi je serais pour dire que un groupe, ça vaut tel prix en semaine, ça vaut tel prix en week end, ça vaut tel prix. Que les prix soient affichés et que. Bouge pas en fait. Parce que quand j'entends certains festivals qui me disent catalogue quoi. Ouais et bien sûr tu peux mettre un peu plus, un peu moins, il y a des mots comment. Oui, prier, le. Mais par exemple tu vois tout le monde et c'est pas un mal. Mais mec, l'endroit où tu es certainement le moins payé en tant que groupe, c'est le fest ou c'est les gros festivals qui payent énormément les têtes d'affiches et c'est normal, mais qui vont pas payer grand chose. Et par contre là, tu acceptes de venir parce que ça te met une aura de fou et que ça te fait de la pub et compagnie, et en même temps le lendemain. C'est ça. Moi qui m'a toujours, qui m'a toujours gêné, c'est. Et pourtant c'est la base même de mon. [03:04:56] Speaker A: Du métier de vendeur. Mais comment tu peux vendre un truc à 20000 à quelqu'un et à 5000 le lendemain à un autre ? Il se parle entre eux. Donc tu supputes que lui il a les 20000 et lui il les a pas. [03:05:09] Speaker C: Et en même temps c'est pas parce que lui il les a qu'il faut lui taxer en fait. Donc il y a un truc vraiment un jeu de dupe qui est vraiment, qui est vraiment de la merde en fait. Et ça, voilà, ça, ça m'a. Ça m'a beaucoup, beaucoup, beaucoup hérité. J'ai essayé d'en parler, j'ai essayé de faire évoluer le truc. Ça évoluera pas. Si c'est ça le milieu, c'est ça le milieu. On peut jouer avec ces règles là. Moi personnellement j'ai pas envie dans ces cas là. Les gens. Enfin toi tu as envie de t'éloigner de ça. Mais est ce que tu as déjà senti les gens qui font ça vouloir t'éloigner ou en tout cas vouloir faire en sorte que tu te mettes plus loin et que tu sois. Combien de fois on m'a dit ferme ta gueule ou alors mes mecs en fait non, non mais pas comme ça. Mais on m'a fait comprendre que, tu sais, c'est comme les gens qui arrêtent pas de râler en disant les salles de concert à Paris elles sont démentiellement chères, on nous vire à telle heure, on nous file pas de pourcentage sur le bar. C'est vrai, c'est le jeu. En même temps, si tu as vraiment du courage, tu fais comme les syndicats, c'est à dire que tous les gens de la musique, comme les mecs qui. Les gens qui écrivent les scénar aux États Unis qui ont fait grève. Tu sais quoi ? Tu fais grève. Les salles elles vont faire comment s'il y a plus de concert ? Les groupes, ils vont faire comment si. [03:06:19] Speaker A: On arrête de les faire jouer ou quoi que ce soit ? Parce que si ça en vrai c'est une utopie, personne le fera. Oui, ça coûte cher à Paris. [03:06:26] Speaker C: En même temps le loyer, les démentiellement cher aussi. Et c'est répercuté sur le prix des billets. C'est vrai. C'est vrai que rares sont les salles. Il y a peut être le club et une ou deux salles qui te filent un pourcentage du bar quand ça marche bien, et c'est magique je trouve. C'est normal que tout le monde s'y retrouve. Quand t'as fait du monde, en fait tu ramènes 2000 personnes dans une salle, pourquoi tu croquerais pas ? C'est toi qui a. C'est ton boulot qui a fait que tu les as ramenés quand même. Pourquoi tu croquerais pas dessus ? J'ai déjà entendu que les salles à Londres étaient moins chères, bon, après elles sont un peu moins gentil sur. [03:07:09] Speaker A: La réception, de moins agréable sur la réception des gens. Mais pour une même salle entre à Paris et en province, je passe de 500 à 3000. Ouais. C'est le prix de. Il y a quand même tout un espèce de jeu de dupe qui. Qui pour moi a toujours été difficile en fait. Et plus tu revendiques quelque chose flux. En fait, tu es un carotteur quoi. [03:07:30] Speaker D: Malheureusement. [03:07:30] Speaker A: Mais tu as besoin de cette image de. Tu as besoin de cette image lisse pour un mec. En même temps, un moment tu fais du business, tu fais du business, qu'est ce que ça peut. Quand j'ai entendu. Ouais, mais nous on n'est pas live nation. Ouais, mais peut être que live nation ils prennent pas 100 balles à un groupe qui vaut 500 balles, quoi. Bon, on va passer à quelque chose de plus joyeux. Ça fait petit moment qu'on discute à ce fameux moment où. Lorsque je t'ai demandé quels étaient les clips que tu. [03:08:05] Speaker C: Que tu allais diffuser, j'ai vu le titre, j'ai fait. Tu m'as. Tu m'as dit. Est ce que j'ai le droit ? Parce que je veux en parler. C'est pas pour diffuser le clip, le film ou le clip ou machin. C'est pour. Est ce que c'est quelque chose qui t'a marqué dans la vie et donc que tu aimerais le diffuser pour présenter. Présenter un moment de ta vie ? Voilà. C'est compliqué ce que je dis, mais c'est l'opinion. Ÿousand titles de Dirty Dancing. Alors Dirty Dancing, le film, évidemment, Dirty Dancing et mythique. Et cette intro, le générique et l'arrivée sur le. Qu'on appelle ça le resort où ils sont. Merci. Voilà. Et order teencing, c'est quoi pour toi ? Non, parce que là, du coup. C'est vrai que sur le coup, je me suis dit, bah, Dirty Dance, une photo. J'ai fait. Ok. Le poster au dessus de mon lit. Dirty Dancing. J'ai 12 14 ans, je sais plus exactement, ou peut être un peu moins. Je découvre ce film, une soirée pyjama ou je sais plus où, vraiment, et j'ai les yeux écarquillés. Même chose avec Grease et compagnie. Et je vois en fait que c'est un des. Un de mes films préférés parce que ça m'a marqué. Je pense que c'était un peu l'interdit, parce que c'est quand même. C'est un peu ça. C'est un peu sexuel, sans être sexuel. Tu as cette espèce d'intro en noir et blanc, en ralenti, avec le titre. [03:09:26] Speaker A: En rouge et compagnie. [03:09:29] Speaker C: Tu as dirty dedans, même si tu as 12 14 ans. Tu sais ce que ça veut dire. T'as pas trop de connaissances sur les trucs, tu vois. Tu découvres la vie un peu, parce qu'il y avait pas Internet, enfin, c'est pas. Tu vois la vie avec Internet. Et tu vois ça, tu vois des gens qui dansent, dansent lassive. Je crois que c'était au Canada. Bon, tu vois des gens qui dansent et. Et finalement, ça. Ce film m'a énormément marqué. Et plus je le. Plus je l'ai vu en grandissant, plus j'ai fait une analogie avec. Avec ce que je vivais dans la musique et ce que. Est ce que je vis, en fait. C'est marrant parce que ce film, en fait, c'est quoi, c'est bébé qui est une. C'est bébé qui ne devient plus bébé. Non, c'est la passation d'un truc. [03:10:12] Speaker A: Truc. [03:10:12] Speaker C: C'est. C'est le moment où. D'ailleurs, j'ai toujours rêvé qu'on me demande deux pastèques dans un rider et que je puisse rentrer en mettant un coup de fesse dans une salle de conseil avec deux pastèques. Avec. Et en étant capable de la rattraper avant qu'elle tombe. Non, bébé, quand elle rentre dans cette. Truc, pour moi, c'est l'analogie des backstage. Oui, c'est l'envers du décor. Ah oui, c'est l'interdit. Mais c'est ce que je voulais connaître. C'était le monde de ce qu'il y avait derrière le. Le monde où finalement, tu rentres avec un pass, tu rentres avec quelque chose, tu. Et elle, d'ailleurs, elle rentre pas sans le pass humain qui est. Quel bonhomme avec ses pastèques et compagnie. Et à l'intérieur, elle rencontre ce Johnny qui est en train de danser. Et toi, tu penses que c'est un peu démoniaque parce que c'est. En fait, c'est rien, c'est juste des gens qui dansent. Même chose que truc de concert et compagnie. Et en gros, quand j'étais plus petit, quand c'est plus jeune, je voulais le blouson noir, je voulais la coupe un peu à la grise, à la dirty dance et tout ça. Et en fin de compte, au fur et à mesure du temps, je me suis rendu compte que j'étais pas un Johnny, j'étais un bébé. J'étais un bébé. Finalement, j'étais là, dans mon coin, je voulais faire partie d'un monde. J'avais l'air complètement empoté avec mes trucs et tout ça. Et puis. Tu as déjà vu un film, toi, qui finis avec un stage dive ? C'est pas faux. Et en fait, c'est l'histoire d'amour parfaite. Pour moi, c'est le bad boys par excellence. Sans être bad boys quand à un moment, il pète la vitre et qu'elle lui dit you wild. Et il est pas wild, il est con, il a laissé des clés dans sa moitié. Il pète une vitre. De quoi tu parles ? Et en vrai, tu vois l'espèce de. De tendresse de la personne, bien sûr, tu vois. [03:11:54] Speaker A: Et en fait, finalement, tu vois que le serveur, c'est l'espèce de gros con. [03:11:57] Speaker C: Alors qu'il est un fan de médecine à yel. Tu vois que finalement, les carotteurs, c'est les. Ou carman, c'est deux petits œufs, des portefeuilles. En fait, ce film, et puis quand tu, quand tu creuses un peu, tu vois qu'il y a autre chose derrière et en fait, vraiment, ce truc du, ces portes qui s'ouvrent avec cette. Et puis la BO, c'est un des trucs qui tourne le plus dans mon, dans mon Spotify, en fait, vraiment, j'adore. Et c'est un film que je regarde, que je regarde ultra souvent, que j'ai en fond. Et en fait, c'est vrai que. Voilà, en évoluant, je me suis rendu compte que j'étais pas un joli, j'ai pas la classe comme ça, je suis un bébé. Toi, au début, tu t'es identifié v. Lui, mais au final, après, t'as compris que t'étais pas lui. Non, je suis la personne qui avait envie de découvrir le truc, qui finalement le découvre, qui finalement se rend compte que les gentils, c'est pas les gentils, les méchants, c'est pas les méchants, que tout n'est pas manichéen, que tout n'est pas noir ou blanc, qu'il y a des zones de gris, que tout n'est pas facile, et qu'en fin de compte, bah, tu peux venir d'une famille aisée, voilà. Tu vas dans un, dans des vacances et on dit, on dirait que c'est un film à la base, on dirait que c'est un film de Teubé, ce truc. Mais en fait, quand tu grattes et que tu vois d'ailleurs comment elle a. [03:13:10] Speaker A: Été réalisée, tout ce qu'il y a. [03:13:12] Speaker C: Derrière et tout ça, c'est intéressant, mais c'est surtout, c'est que, c'est que bébé, c'est la reine des cupons, quoi. C'est bébé, elle a le courage d'aller chercher son. D'aller chercher son rub. C'est vrai. Et c'est parle d'avortement. Qui parlait d'avortement à ce moment là, c'est le courage d'aller voir son père et d'aller dire quelque chose. C'est ce courage que tu vois pas et que tout le monde alors je vais trop loin, mais parce que j'aime ça aussi, parce que j'ai fait des études d'audiovisuel aussi, de trucs. Mais ce film, il m'a marqué. Ce film, il m'a marqué. Je pense qu'il est responsable de cette intro là avec cette chanson là, les ronniettes, c'est. Voilà, c'est, c'était l'interdit, quoi. C'était. Ça frétillait, quoi. Ça danse et compagnie. Et vraiment ce truc, évidemment, en plus. [03:13:53] Speaker A: C'Est le moment où ce truc du. Ce truc du backstage, de ces portes. [03:13:59] Speaker C: Qui s'ouvrent et je te dis avec un espèce de ralenti qui avance au milieu des. Ça m'a. Tu vois, c'est. Et c'est vraiment. Et c'est vraiment un de mes films préférés avec Casino, tu vois. Donc c'est à l'opposé. Et j'ai vraiment, moi, les deux posters dans ma chambre, sur chaque mur, avec understanding. Et j'adore. Et ouais. Je trouve que bébé, c'est pas une actrice en plus qu'ils ont pris, tu sais, avec les. Vraiment le truc de la super grosse poitrine, super méga, tu vois, elle est vraiment dans le. Et lui, il a une sensibilité de ouf. Et en fait, c'est pour moi, c'est. [03:14:27] Speaker B: Ça le rock, vraiment. [03:14:31] Speaker A: Cette espèce de sensibilité que tu vois pas, en tout cas le mélo, parce que le reste, je. Oui, l'espèce de carapace, le déguisement, mais derrière. [03:14:38] Speaker C: Et en fait, tous les groupes, des. [03:14:40] Speaker A: Fois, les plus violents ou ce que tu veux, c'est. Des fois, ça, en fait, c'est pas. [03:14:43] Speaker C: Moi, c'est comme ça que je le vois et c'est comme ça que j'ai envie de. De le voir. Ça veut pas dire que c'est pas des cons ou quoi que ce soit. [03:14:51] Speaker A: Sensible, ça veut pas dire pas con. Mais pour moi, en tout cas, Dirty Dancing, ouais, c'est. Voilà cette scène de je veux le prochain groupe que je veux. Je veux deux pastèques dans mon rider et je veux ouvrir une salle de. [03:15:01] Speaker B: Concert avec mes fesses. Avec deux pastèques. Voilà. C'est un appel de détresse, je crois. Ben voilà. [03:15:05] Speaker A: Et qui aurait pu croire que dans. [03:15:06] Speaker C: Bang bang, on aurait eu une analyse de. De Dirty Dancing qui pourrait rester gravée dans votre tête ? J'en suis persuadé. Elle vaut pas le. Maintenant, maintenant, vous allez avoir ça tout le temps qui va tourner dans votre tête. Vous allez dire ah ouais, mais re regardez Dirty Dancing avec un. Avec un point de vue de. De console, de backstage et de truc. Et je te jure que c'est différent. Qui ne regarde pas Dirty Dancing tous les ans, il y a la diffusion habituelle. On est obligé de le regarder. Je veux dire, quelle que soit la raison, après. Voilà. Chacun analyse comme il le veut, mais on garde. Prendra cette idée en tête la 1ʳᵉ fois que j'ai vu Dirty Dancing. [03:15:40] Speaker A: C'était il y a moins d'un an. [03:15:42] Speaker B: Je l'ai vu que. Je crois qu'on en avait parlé. [03:15:44] Speaker A: Non, je sais plus. Un des plus beaux cadeaux aussi, qu'on m'a fait, c'est qu'on m'a amené. Une copine à moi m'a amené comédie musicale. Non, au Rex. Un truc de cara. Enfin, pas karaoké, mais film en fait. Ils te font des quiz, ils te filent des cotillons, des trucs. Et tout le monde se lève et danse et compagnie. Bon, trop honte pour le faire, donc j'ai pas fait. Mais en tout cas. Et je regardais tout le monde comme. [03:16:04] Speaker B: Ça, en disant alors que je mourais. [03:16:06] Speaker A: D'Envie de danser, mais comme je suis un espèce de gros con, je l'ai pas fait. Et tout le monde. [03:16:45] Speaker E: Était là en train de chanter. Il faut se lâcher, il faut se surpriser. [03:16:52] Speaker C: Voilà, c'est ça. [03:16:53] Speaker E: Il faut se laisser vivre. En plus, on va passer les ronnettes dans Bang Bang, alors. Ouais. [03:17:19] Speaker C: Vraiment. [03:17:19] Speaker E: J'avais préparé le clip des ronnettes au cas où, mais j'ai demandé à notre. Notre monteur vidéo, à Marcel, est ce qu'on a le droit sur Twitch de faire ça ? [03:18:01] Speaker A: Comme ce n'est pas le film que nous diffusons, mais que c'est cette opening que c'est pour montrer et que ça puisse expliquer ce que tu viens de nous dire, c'est. [03:18:18] Speaker C: Logique qu'on ait le droit de le passer. Voilà, si j'ai bien dit. J'ai fait un résumé un peu bâtard, mais. [03:18:33] Speaker F: C'Est un but éducatif. [03:18:35] Speaker A: Voilà. [03:18:35] Speaker C: Exactement. Merci. On connaît les règles. Allez, on regarde ça. Et juste après, vous aurez une petite surprise. C'est parti. So won't you say you love me. [03:18:42] Speaker A: I'Ll. [03:18:54] Speaker C: Make you so proud of me we'll make them turn their head every. [03:19:21] Speaker E: Place we go so won't you please i'll make you happy baby just wait and see for every tip you give me i'll give you three Oh, since the day I saw you I have been waiting for you You know i will for you Hi, everybody This is your. [03:22:51] Speaker A: Cousin Bruce Whoa our summer romances are in full bloom and everybody But everybody's in love So, cousins here's a great song from the four seasons that was the summer of nineteen sixty three When everybody called me baby And it didn't occur to me to mind That was before president Kennedy was shot before the beatles came when i couldn't wait to join the Peace corps and i thought i'd never find a guy as great as my dad that was the summer we went to Kellerman All you Sandy kopeks bang bang never wait around for the day won't come you celebrate your frown Rachel and i'm a bad. [03:23:23] Speaker C: From the ones you love you take. [03:23:27] Speaker A: Your hands and you great gun Rancho Rachel Rachel you know you can't trust no one you say yourself you motherfucker say right now rainbow c'est le plaisir d'être sur un bon canapé zweitausendein. Donc vous l'aurez reconnu. Poppy qu'on adore, Poppy que j'ai décidé de diffuser, bien sûr, pour faire un. [03:23:37] Speaker B: Énorme bisou à Ben, qui est aux. [03:23:39] Speaker A: États Unis, comme vous le savez. Voilà. C'était parce que je sais qu'il est fan, je sais qu'il adore et je. [03:23:46] Speaker F: Sais que c'est un ferment dépenseur de cet artiste. [03:23:49] Speaker C: Et là, le morceau quand même bien vénère. Et comme elle varie énormément dans ses styles, et cetera, tout en gardant un fond sur. Sur le métal corps, en l'occurrence. [03:24:05] Speaker A: Voilà. Je sais pas si tu connaissais Popi, a priori. Non, pas du tout. Voilà. [03:24:07] Speaker D: Bon. [03:24:07] Speaker A: Ben, j'aimais bien le visuel du clip, en tout cas. Simple, mais efficace. J'ai envie. [03:24:11] Speaker C: Il y a eu des questions qui ont été posées, alors j'ai pas. J'ai rien suivi parce que Marcel a dit. [03:24:17] Speaker A: Il y a des questions. C'était quoi ? Quel est ton groupe ? Quels sont les groupes de punk que. [03:24:20] Speaker C: Tu écoutes en ce moment ? C'est ça que c'est sur les groupes. Dans les groupes de punk actuels, c'est quoi qui. Bah oui. Bon. Ok. Pour moi, c'est les qualités plus des groupes de punk que des groupes en particulier. Après, c'est quand. [03:24:30] Speaker A: Comment vous interprétez la question ? [03:24:33] Speaker C: Carrément. Marcellus Wallace. Qu'est ce que j'aime dans le groupe. [03:24:37] Speaker A: De punk actuel ? Je sais pas tellement, en fait, parce que j'avoue que. [03:24:39] Speaker C: De quoi ? Non, mais l'autre, il a voulu jouer son intellectuel. [03:24:40] Speaker A: C'est juste des noms de groupes qui. [03:24:43] Speaker C: Voulaient des groupes que tu aimes ? Des groupes récents de punk que tu aimes. Des groupes récents de punk que j'aime bien, il y en a pas des masses parce que j'écoute Ÿousand que des. Est ce que quand on vieillit, on s'enferme pas un peu dans nos vieux groupes ? [03:24:56] Speaker A: Parce qu'on est. Non, c'est juste que je trouve que la nouvelle scène est pas. [03:24:59] Speaker D: Ouais. [03:24:59] Speaker A: Elle est pas à ton goût et. Pas à mon goût, non, elle est pas. Alors, il y en a peut être plein que j'oublie, mais en même temps. [03:25:06] Speaker C: Elle se régè pas, elle se. Ou elle se renouvelle pas. Elle se régénère pas des masses, la sc mé. Ouais. [03:25:12] Speaker A: Il doit y avoir quand même. [03:25:16] Speaker C: Des trucs. Ouais. [03:25:16] Speaker B: Mais il y a pas d'ovnis comme ça qui arrivent. [03:25:19] Speaker A: Tu as l'impression que c'est plus du côté britannique ? Non. [03:25:22] Speaker C: Maintenant que côté us, en. [03:25:25] Speaker A: France. Non, ça, c'est sûr que non. Mais j'ai une aversion déjà pour le. Pour le chant français, si tu veux. C'est. Dès que ça chante en français, je peux pas. Ouais. [03:25:34] Speaker C: Puis ça va pas du tout avec le punk mélo pour moi, déjà, tu. Voilà. Oui. C'est vrai que. Bon, je sais pas. Il y a quand même des groupes punk mélo un petit peu, non ? [03:25:43] Speaker A: Après, j'arrive pas à savoir s'ils sont. [03:25:45] Speaker C: S'ils sont plus métal ou punk mélo, parce que des fois, ça se perd. [03:25:49] Speaker A: Un peu dans tous les styles. Mais punk mélo quand même. Tu fais un espèce de grand écart. [03:25:53] Speaker C: À la van dame sur deux tonneaux, là, quand même. [03:25:57] Speaker A: Petit Loulou. [03:25:57] Speaker C: Oui, mais c'est carte. Les exemples que j'ai en tête, par contre, c'est pas des groupes qui sont tout jeunes. Ouais, je sais pas, en fait, j'arrive pas à. Genre. Loulou, en plus, notre intellectuel. Non, mais oui, bon, bah. Ok. Dans le groupe français, il y a pas. Ou alors dites des noms. Peut être Burning Heads. Excuse moi. C'est quand même pas très récent. Non, c'est pas récent. C'est quand même très vieux. Et puis ça a plus le charme que ça avait depuis que ça a changé de chanteur à mon goût. Après, c'est comme ça encore. Il me semble bien avoir vu que ça excellent groupe, avec des excellents icos. Mais après, j'étais attaché à la voix. [03:26:38] Speaker A: Du chanteur, comme ça. [03:26:41] Speaker C: Comme ça, oui. Puis en groupe à l'étranger, non, il y a pas. Tu resteras sur les français. Oui, oui. Non, non, mais non. Il y a eu la. Pour moi, il y a eu la grande époque des Seven Eight, des Commandement from mars, Burning Gates. Évidemment, c'est des groupes que j'écoute toujours, mais je trouve que ça se régénère pas. En fait, il y a pas de. Il y a un groupe que j'adore, les Dead Krasuki qui viennent du sud ouest et Compagnie, que je trouve extrêmement bon. C'est pas non plus un groupe que j'écouterai tous les jours. Et tout ça c'est pas dans mon. Pas dans ma playlist, mais je trouve que c'est très bon et que ça se. Ça sort. Ça sort du paysage français. Ensuite toute la veine guérilla, asso, guérilla, poubelle, tous ces groupes là. Bah poubelle quoi, voilà. J'ai jamais apprécié non plus. Aimé. J'ai jamais aimé toute cette mouvance là déjà, ne serait ce que par le. Par la mentalité. Genre nos concerts ils sont pas chers pour que. Venez tous par contre. Bah ouais, on se met plein d'argent avec les t shirts et on en fait un gros commerce et c'est pas. Voilà. Ça rejoint le truc du. Du. Non, tu comprends, nous on est engagé. Le truc. Ouais, ouais ouais. Je comprends surtout que tu en as plein les fouilles et encore une fois c'est pas une honte, mais le cache pas. Toute cette mouvance là en fait. [03:27:52] Speaker A: Et ça a été important aussi parce que dans. [03:27:55] Speaker C: Dans mon. Dans ma rencontre avec le punk et compagnie, il y a beaucoup de choses ou limite, tu sais, il faut suivre parce que c'est le truc qui marche. J'ai toujours pas été à contre courant volontairement. C'est juste que ça m'intéressait pas en fait. J'aimais pas et j'ai pas été. Le truc du. Non mais tu comprends pour. Tu vois, je suis pas un fan du Hellfest. Je vends mes groupes quand je peux au Hellfest parce que c'est important, important pour eux. Je suis pas un fan des gros trucs comme ça de. Voilà. C'est. [03:28:37] Speaker A: Pas le. Tu viens ? [03:28:38] Speaker C: Non. Tu vois, tu viens ? Le fest. Ben non, en fait si je peux après. Voilà. [03:28:44] Speaker A: Mais mes groupes. Et les gens sont extrêmement contents d'y aller. Pas de souci. Mais tu vois je vais pas aller faire de. Si j'aime pas une bêtise. Tu as bossé pour l'extrême fest ? J'ai pas bossé pour l'extrême fesse, j'ai proposé des groupes. J'ai proposé des groupes et à l'époque, j'ai surtout aussi commencé à monter Wicar Booking avec David du. À l'époque, il y a quelques années. Ouais. [03:29:02] Speaker C: Ouais. [03:29:02] Speaker A: J'ai fait le mélange qui m'aidait. [03:29:04] Speaker C: Qui m'aidait sur le. Sur le. Sur ce que je ne savais pas faire. En fait, c'était tout ce qui était administratif et compagnie, parce que ça, c'est pas mon. Donc, voilà. Donc. Mais. Et puis nos chemins se sont un peu séparés pour diverses raisons, tout en étant toujours. Toujours. Enfin, tu vois, présent, mais non, non, mais je mets le micro, j'ai une voix de canard avec mon air enrhumé, mais. [03:29:28] Speaker A: Ouais. Et quand. Et pour travailler là dedans, parce qu'on a. [03:29:31] Speaker C: On a parlé de tout ça, mais toi donc, tu t'es saigné pour proposer des lives, pour commencer à faire un concert de ci de là, sûrement avec beaucoup de difficultés, parce que quand on organise son 1ᵉʳ concert, on connaît pas toutes les valeurs et puis on se fait un peu bousculer par tout le monde, voire parfois que la porte se ferme, alors qu'on a des choses intéressantes. À propos, le jour où j'ai fait. Où on m'a donné nos Fx, et je m'y attendais pas clairement, l'ancien tourneur, il m'a appelé, il m'a dit si je te crois, je te. [03:30:08] Speaker A: Casse tes. [03:30:08] Speaker C: Deux jambes et je vais te faire tomber. Bon, écoute, j'ai toujours mes deux jambes, elles sont pas cassées. J'ai eu de la chance. Il y en a qui m'auraient dit ça, je serais parti en courant parce que j'aurais c'est une chose qui menace et. Ou qui disent des conneries. Vraiment, j'ai été bon, voilà. C'est pas grave. C'est. Je pense que. Est ce que je réagirais pas ? Est ce que je réagirais pas comme ça ? Non, mais est ce que je le penserai pas ? Oui, oui. Non, non, mais après. Après. Voilà. J'y étais pour rien. C'est pas moi qui ai choisi. C'est. Voilà les choses. Choses qui se font derrière, j'en sais rien, mais c'est vrai que. Ouais. Mon arrivée dans ce truc là, il a été comme ça, mais il a été vraiment petit à petit, quoi. C'est à dire que. Il y a un truc que j'ai toujours compris. Il y a une personne dont j'étais vraiment fan, où j'ai pas osé, c'était le chanteur de No use for a name, paix à son âme, Tony, qui avait vraiment une personne. Je n'osais pas, quand je le croisais, aller le voir et compagnie. Pour les autres groupes, j'ai toujours été. En fait, je suis un fan, mais sans être fan c'est à dire que j'adore le groupe, toutes les chansons et compagnie. Et j'ai toujours compris que quand tu étais promoteur, t'es pas là pour. T'es pas là pour emmerder le groupe. Donc par exemple, no fx me souviens sur le 1ᵉʳ concert que j'ai fait avec eux, c'était à l'autre canal, à Nancy. J'avais fait réouvrir la salle parce qu'elle était fermée et que les gens étaient revenus de vacances plus tôt pour faire le concert. [03:31:30] Speaker A: Et je remercie l'autre canal d'avoir accepté de faire ça et compagnie et que les intermittents soient revenus. Et en fait, quand j'ai croisé le. [03:31:37] Speaker C: Groupe, quand j'ai croisé fat Mike, qui quand même le big boss pour moi, incontestable, incontesté, ce que tu veux, incontestable du punk rock, je ne lui ai pas adressé la parole tant qu'il me l'a pas adressé. Et encore aujourd'hui, quand je le vois, je ne vais pas lui parler s'il vient pas me parler, parce que je pense qu'il n'a pas envie d'avoir un espèce de petit Françoise qui vient lui, qui vient dans ses pattes et qui voilà. Donc c'est aussi ça. Et je pense que ça a joué aussi dans le truc d'être. Par contre, quand les mecs viennent me voir, tu vois, il m'invite à jouer, à chanter les Champs Elysées, même si je chante faux. Il y a un truc qui s'est créé entre nous, quand même, tu vois. Donc le conseil, c'est de ne pas lâcher, mais surtout d'être respectueux et de. De savoir que vous allez en chier parce que c'est pas facile. Il y a aussi, tu vois, il y a, c'est sûr, il y a. Je veux dire, tu es sûr, c'est ton moment, c'est difficile. Enfin, tu vois, il faut, il faut. Il faut assurer le truc et compagnie. Le fait de remplir une salle, c'est ça qui fait peur au début aussi. Mais une fois que tu l'as rempli et qui a plus de problèmes financiers, c'est un gros poids, mais c'est pas là que ça se joue. Pas là que ça se joue. Je préfère, moi, personnellement, et c'est pas parce que j'en ai les moyens, parce que je vois les gens, j'imagine direct les gens qui disent ah non, mais tu dis ça quand t'as de l'argent, que tu es facilité. Est ce que tu veux non, je. [03:32:49] Speaker A: Préfère perdre de l'argent, mais qu'un concert. [03:32:51] Speaker C: Se passe super bien que gagner de l'argent, mais que le groupe ne veuille plus me parler après parce que ça se soit super mal passé et je le digérerai pas, tu vois ce que je veux dire ? Et perdre de l'argent avec un groupe que tu kiffes. [03:33:06] Speaker A: Et on parle pas de perdre de l'argent ou tu vas devoir faire un prêt et compagnie. Oui, oui. [03:33:11] Speaker C: Parce que moi clairement zweitausendein un truc que je ferai jamais. [03:33:13] Speaker A: Et ça je le dis aujourd'hui. [03:33:14] Speaker C: Si ça doit m'arriver, j'arrêterai. Je ne le ferai jamais. Je trouve que c'est la honte interstellaire. C'est faire un kiss kiss bang bang. Quand tu fais un concert, que ce soit en amont ou en aval, ou en amont, tu perds de l'argent. Tu demandes aux gens de payer tes pertes, Coco, fallait pas y aller si tu pouvais pas assumer. Ah oui, tu veux dire s'ils font un concert qu'ils ont perdu. Je vais organiser un festival. Et des mois on fait une cagnotte. Te lance pas dedans si t'as pas les moyens. Et on parle pas de. Quand je dis moyen. Ça peut être 100 balles. Comme ça peut être 10000 balles. Chacun fait des trucs à sa hauteur. Donc tu conseillerais aux gens quand même de juste se lancer dans le truc. Si je conseillerais aux gens que ça coûte 5000 balles ? Et les 5000 balles parce que tu peux les perdre. Pas peur de les perdre. Et n'aie pas peur de les perdre, mais n'y va pas en disant je vais réussir alors que tu as rien. Parce qu'après elle est gratter sur Internet. Je le comprends pas ce truc là. Peut être c'est parce que c'est pas ma génération. Et encore une fois c'est pas un manque de respect pour ceux qui le font. Mais c'est juste qu'à un moment, et je pense que c'est aussi ça par contre, lequel on est lié avec. On a eu des gars là récemment sur le Paris punk rock summer, qui a été compliqué cette année, parce que notre tête d'affiche est arrivée vraiment au dernier moment, et on voulait pas prendre les têtes d'affiches qu'on nous proposait pour des raisons qui sont très précises. Et avec Tanguy et ses collègues de Sip My Duck, on a pris pris des décisions et on s'est dit à un moment les ventes c'est pas bon. On était à ouais. Tu vois en budget on est à 10 8000 balles, voilà. Pas peur des chiffres. C'est ce que ça coûte sur deux jours sur les trucs 10 8000 balles. Un billet à 30, cinq, 40 € pour huit groupes, c'est pas trop cher, mais faut les rentabiliser. Tu peux vite manque 200 personnes, tu perds vite 8000 balles et Dieu sait que 8000 balles. Franchement c'est très compliqué. On pas voulu annuler même s'il y avait les JO et que c'était très compliqué. On a dit qu'on le ferait, on le fait. On a discuté, on a dit est ce qu'on annule ou pas ? On a dit vas y, on y va. Il y a des gens là qui nous ont appelés, qui nous ont envoyé des messages en disant ouais, on veut faire des dons, on veut vous aider, j'ai une entreprise. On a tout refusé, on a tout refusé. C'est extrêmement gentil de le faire et c'est adorable, mais on prendra pas d'argent des gens. Si on fait un truc, c'est parce qu'on sait pas ce qu'on peut le faire même si ça va nous tuer. Si on perd l'argent, on va arrêter de faire des concerts. Moi demain je perds huit ou 10 000 €, j'arrête de faire des concerts, déjà il faudra que je rembourse, mais par contre je me mettrai pas dans un truc. Et c'est d'ailleurs pour ça que quand j'ai eu des plus gros trucs, je me suis rapproché d'entreprises ou de boîtes. [03:35:44] Speaker A: Qui pouvaient avoir l'air insolites pour le. [03:35:45] Speaker C: Faire et que des fois il vaut mieux être avec des gens et savoir que tu vas même si c'est vendre son âme au diable ou vendre son cul à un moment. Qu'est ce qui est le plus important, faire le concert et et rendre les gens heureux ou ne pas le faire avec l'ego. Moi personnellement je vais pas sauter sur un concert à 100 000 € alors que je les ai pas. Ah oui. Donc je vais taper à des portes, je vais taper à des portes qui les ont. S'ils décident de m'aider, c'est très cool. S'ils veulent pas, le concert, il se fera malheureusement pas ou il se fera avec quelqu'un d'autre. Jusque là je touche du bois, j'ai réussi, mais voilà. Oui. Donc non. Le conseil que je donne par contre c'est je vois plein de gens comme ça qui disent bon ben on va annuler le concert, il y a pas assez de préventes, pouvoir faire la suite, ça par contre c'est très important aussi. [03:36:30] Speaker A: Les gens je pense qu'ils se rendent pas assez compte. Mais les préventes en tant qu'organisateurs, ultra important. [03:36:34] Speaker C: Et quand il te reste une semaine et que tu es à -10 ou -15000, mais que tu te dis à une chance que ça vende ou pas. Je comprends qu'on puisse être en panique. Par contre, à un moment, pourquoi tu. [03:36:47] Speaker A: T'Es lancé là dedans ? Si t'as pas les moyens, tu vas. [03:36:51] Speaker C: Pas au resto alors que tu sais que t'as pas assez d'argent pour payer l'addition. Non, mais tu vois ce que je veux dire, c'est des paris tendus. Mais tu crois qu'on a commencé avec des budgets à 10 8000 ? Non, on a commencé avec des petits budgets. Et en fonction de. Voilà, je gagne ma vie, je travaille. Ça me permet. Si ça me permet de. Voilà, d'être un petit écureuil à droite à gauche et de faire mes concerts. Et si je perds, bah je perds en fait. Mais non, il faut bien dire que là, tu sais, c'est surtout un hobby, quoi. Enfin, surtout un plaisir. Plus que je l'ai fait. Je l'ai fait pendant deux ans en tant que salarié et ça pue de la gueule. Jamais je voilà, je veux pas le refaire, je veux jamais plus. Je toucherai avec un bâton, quoi, maintenant. Mais c'est une vérité. Moi, j'ai les images, je les ai vraiment, j'ai voulu essayer, j'ai voulu voir ce que c'était. On m'a vendu du rêve et naïvement, j'ai voulu le croire, même si je suis pas dupe. Mais je pensais pas que c'était à ce level là. Ouais. C'était dégueulasse humainement, humainement. Valeur de merde, mensonge à tout va et voilà. Et je pense que ça gangrène pas mal à plein d'endroits. Mais qu'est ce que tu veux que. [03:37:55] Speaker A: Je te dise ? C'est le. [03:37:56] Speaker C: À ce moment là, qu'est ce que tu fais ? Tu arrêtes ou alors tu te dis je vais essayer de changer le truc. Tu pourras pas le changer, mais tu peux essayer de le faire comme toi tu le sens. Et même si pour toi, ce que. [03:38:08] Speaker A: Tu fais toi, pour certains, c'est de la grosse merde et c'est ce que tu veux, il n'y a pas de souci. Moi je les prends, les critiques, je les ai pris. J'ai évolué sur certains trucs. On s'est fait démonter sur le concert. [03:38:22] Speaker C: De NOFX, à cause du bar, à cause des bières et compagnie. J'ai personnellement décroché mon téléphone sur certaines personnes qui ont mis des commentaires. [03:38:29] Speaker A: Je les ai appelés, je leur ai. [03:38:33] Speaker C: Expliqué, parce que ça m'arrive, ça m'arrive. J'essaye de répondre le plus possible sur les events, j'essaye de montrer que je suis présent quand je vois certains organisateurs qui viennent même pas à leur propre concert, ou les groupes ça fait 10 ans qui bossent avec eux savent même pas quelle gueule ils ont. Je le comprends pas. Alors oui, il y a tellement de cons. C'est peut être tellement gros, mais en fait, il est où l'humain, là dedans, entre guillemets. Moi, si j'ai plus cet humain, ça m'intéresse pas. C'est. Tu regardes, que ça reste dans ce domaine et que ça reste à ce niveau là, finalement, ça te met bien et t'es d'accord en accord avec ça, parce que c'est humain, ça reste une taille humaine. Et ça reste surtout que je fais des groupes que j'aime et personne n'a envie de manger son vomi, en fait. Donc je vais pas essayer de vendre des trucs aussi, mais bon, pas moi, où personne n'a envie de manger son propre caca. Donc en fait, à un moment, quand tu représentes des groupes dont tu crois pas, en fait, c'est pareil, je suis pas chez Darty, je ne vends pas d'électroménager, en fait. Donc à un moment, oui, tu peux faire des concessions, et je pense que c'est important d'en faire, et je pense que ça fait partie de ça aussi. Et il y a des groupes qui m'ont extrêmement déçu et que j'adore, bien sûr. [03:39:46] Speaker A: Je veux dire, il y a des trucs sur lesquels tu t'assieds des fois et tu te dis ça fait mal. [03:39:52] Speaker C: Au cul, mais en même temps, je suis obligé de passer par là. Par contre, c'est à toi de fixer tes limites. Voilà. [03:39:58] Speaker A: Et on en revient toujours à ce serpent là entre qu'est ce que tu. [03:40:02] Speaker C: Dis et qu'est ce que tu fais ? Et où est ce qu'elle est vraiment l'inverse de ce que tu dis est ce que tu fais. En fait, c'est vraiment ça, quoi. Enfin, tu vois, tu vois, aller gueuler partout que t'es anti macron, anti truc, et bosser avec un groupe qui est. Produire le groupe et soutenir le groupe qui clairement a fait l'inverse. On s'en fout, en fait, de savoir pour qui, pourquoi. C'est un moment juste. On discours. Oui. Voilà, c'est tout. C'est un moment. Si tu crois que les gens le voient pas, arrête un peu. Descendre. Descendre ton. Descendre ton astre. Voilà. [03:40:37] Speaker A: C'est. [03:40:37] Speaker C: Je vois que tu as un t shirt de sorcerer. Tu as donc des groupes de jeunes groupes qui viennent v. Toi. C'est moi qui suis allé v. Eux. Ah, c'est cool. C'est moi qui suis allé v. Eux. Ah, c'est cool. Ouais. Donc tu as quand même encore cette énergie d'aller. Attends, ça j'aime bien. Je vais d'ailleurs. Mais d'ailleurs, c'est cette énergie là que je groupe là me change complètement ma vision aussi, parce que. Bah, tu vois, je vais prendre cet exemple de ce groupe là. Un pote à moi qui s'occupe plus ou moins d'eux, qui vient me voir et qui me dit mec, tu devrais rencontrer ce groupe. Ils veulent. Ils sont cools, ils sont réglo. Moi, à ce moment là, je suis dans une agence qui connaît Zob à ce genre de truc, mais qui justement me fait venir aussi pour ça. [03:41:17] Speaker A: Et je trouve que c'est très cool. [03:41:19] Speaker C: Je propose. Ils acceptent de venir au sein d'un truc où à la base, je pense qu'ils seraient pas allés. Mais ça m'a aussi touché parce que c'était une marque de confiance avec moi, j'imagine, et mes idées ou. De toute façon, je les protège un petit peu parce que je suis leur référent. Donc je les mets un peu à part de. Voilà, les mecs se disent que. Ben voilà, on peut donner la chance au truc. Finalement, ça marche pas mal. C'est des gens qui sont très. Comment on dit dantours ? Qui sont très. Je déteste. Je parle anglais, pas pied sur terre, mais tu sais, qui ont. [03:41:56] Speaker A: Qui ont vraiment conscience des trucs. [03:41:57] Speaker C: C'est. Et c'est cette. Toute cette nouvelle un peu mouvance aussi, ces nouvelles, ces nouveaux un peu jeunes, tu sais, mais il y a pas de manque de respect. Tu dis jeune, tu sais, c'est. On est pas les vieux cons, quoi. Ils sont jeunes, ils sont jeunes. Moi, je. Je rêve de devenir le vieux du Muppet Show. Je suis le 3ᵉ larron caché et celui qui a la main qui fait bouger les marionnettes. Je t'ai vu venir. T'inquiète pas, je rebondirai pas sur cette phrase. Attention, c'est le retour. Et donc ce groupe là. Ce groupe là, il me touche parce que. Parce que leur musique, elle est authentique, parce qu'elle est vraie, parce que c'est mecs là ont l'air vrais. Parce que finalement, tu sais, il y a toute cette mouvance dans le. Je regardais une fois ton émission et ça parlait de Get Kipping et compagnie. Moi, je suis pas pour ça, en fait, je suis pas pour le. Ah oui, non. Puis il faut que. Moi, j'ai toujours voulu que ça s'ouvre à plein de gens, à plein de trucs. Plus il y a de monde, plus ça marche, mieux c'est pour tout le monde en fait. Et c'est facile de dire ah non, mais ces gens là, ils écoutent des trucs, mais en même temps faut leur faire découvrir. Donc je pense aussi que moi j'ai cette dualité qui pense qu'on peut être indépendant tout en étant dans des plus gros trucs. Si tu te fais pas manger par les idées d'un management et compagnie, tu peux encore. Tu peux encore driver ta carrière tout en faisant des. Tu vois. Je veux dire là, il y a deux jours, ils ont été invités par le groupe Rendez vous. J'avais jamais entendu parler de ce groupe de ma vie. Ils les ont invités, tu vois qu'il y a un décalage d'univers sur les prods, sur les trucs et compagnie, même la manière de. De faire et compagnie. Et pourtant les mecs, ils m'ont claqué le beignet. Enfin tu vois, ils m'ont claqué. Ils ont su jouer dans une salle comme ça, qui était pas forcément là pour eux, ils ont su. Ouais. Ils ont su gérer avec ce. Avec le public. C'est un jeune groupe quand même, faut pas déconner. Oui, oui, bien sûr. Mais les mecs, ils sont là, ils. Ils jouent de la même manière dans une énorme salle, dans un énorme festival que dans un petit. Dans un petit cafcon. C'est beau quoi, franchement, c'est beau. Et je leur ai dit je comprends pas votre musique, elle me touche parce qu'il y a des choses, des mélodies que derrière j'entends. Mais le truc et tout, je sens l'authenticité du truc. [03:44:03] Speaker A: Mais ouais, en fait c'est ça. En fait, c'est vraiment le truc. Alors moi il y en a, il y a le discours, toujours du mais qu'est ce que tu viens faire dans le hardcore ? Tu fais du punk rock mélo et compagnie ? [03:44:16] Speaker C: Je suis un fan de Comeback Kids, je suis un fan de plein de groupes. Oui. Par contre, tu sais quoi, quand je. [03:44:25] Speaker A: Sais pas, j'appelle mes collègues qui savent et je leur dis qu'est ce que tu penses de ce groupe là ? [03:44:32] Speaker C: Oui, c'est ça. J'ai su aussi m'entourer de gens qui savent et moi je sais pas tout, je suis même loin de là quoi, tu vois ? Et je suis. Je suis un espèce de teubé avec des idées arrêtées des fois sur certains trucs et tout ça. Mais en vrai je sais que ça fait. Ça fait mec qui déballe des trucs, on s'en branle. En fait, c'est pas ça. Le truc c'est que vraiment, j'aimerais vraiment qu'il y ait plus de transparence. Oui, oui, ça finalement, c'est quand même le maître mot de cette émission. [03:45:03] Speaker A: Ce serait juste que les gens soient. [03:45:05] Speaker C: Peut être plus sincères, ou en tout cas, que sa transparence puisse amener à comprendre qui ils sont réellement, plus que ce qu'ils veulent montrer. J'aimerais que les concerts soient moins chers, que ce soit plus facile. J'aimerais que des gens portent pas leur propre merche quand ils te reçoivent. Achetez en plein. Nous, on a besoin d'argent, d'accepter, dont je voulais dire, on est dans la merde. [03:45:21] Speaker A: Et. Non, non. [03:45:21] Speaker C: Et le fait de retrouver des fait. [03:45:24] Speaker A: De retrouver des groupes qui ont des. [03:45:26] Speaker C: Idées que je les partage, que je les partage pas, je m'en fous, en fin de compte. Vraiment, on parle de tant que. Par contre, tant que les gens sont droits dans leur botte. Et malheureusement, bien heureusement et malheureusement, dans ma carrière, j'ai rencontré deux groupes qui étaient droits dans leur botte et qui. Mais vraiment, qui ont vraiment. [03:45:39] Speaker A: Non, mais il y en a d'autres. Peut être, mais en tout cas, ceux. [03:45:42] Speaker C: Qui ont revendiqué des trucs très forts. Oui, voilà. Quand c'est des gros levé le point, ils ont suivi ce qu'ils avaient à faire. Parce qu'aujourd'hui, quand tu vois un groupe comme Red the game the machine, où tout le monde se les bran dessus en disant Ah, les mecs, ils étaient engagés. C'était engagé que dalle, mon gars. Le jour où ils ont. [03:45:57] Speaker A: Le jour où ils ont pu prendre des millions, ils ont pris des millions. Vous dépend qui dans le groupe. Mais oui, non, mais ok. [03:46:04] Speaker C: On a eu des explications. Tu es libre de faire comme tu veux. Quand tu vois un mec comme Def gros qui se fait prendre en photo parce qu'il sert des barbecues à des gens, je crois que c'était des SDF. C'est très, très bien. Mais qu'est ce que tu as besoin de te faire prendre en photo là dessus et de montrer que tu le fais, fais le. C'est peut être pour montrer un message aussi, pour que c'est un message. Je ne dis pas qu'il faut pas le faire. Je dis juste qu'à un moment utilisé pour se donner la réalité, elle ÿ croisement du truc, tu sais, c'est limite. On dit waouh, putain. [03:46:34] Speaker A: Regarde. [03:46:34] Speaker C: Tu vois Green Day qui vient faire un bataclan. C'est 100 €, tout le monde est là putain, c'est trop cher. Arrête. C'est une expérience que tu vivras pas deux fois. Oui, oui, oui. Puis c'est sûrement moins cher que ce qu'ils auraient pu faire payer s'ils avaient gardé le même cachet, j'imagine. Tu vois ce que je veux dire ? C'est ça en fait. Je veux dire, tout a un prix, mais ça a pas la même. [03:46:55] Speaker A: Faut relativiser sur ce que c'est et compagnie. Puis il y a une expérience, il y a des trucs ÿousand je dis pas. [03:47:01] Speaker C: Enfin je. Il y a des trucs où on se bat pour faire des trucs moins chers, pour faire des trucs qui. Mais ça changera pas par contre. Ouais. J'aimerais tellement que les gens. Je pense que les gens sont arrêtés sur leur image et compagnie. Et je pense que même si c'était des. Même si c'était des cons ou ce que tu veux, du moment qu'ils seraient transparents. Maintenant il y a une espèce d'antagonisme entre les promoteurs et les agences qui. [03:47:23] Speaker A: Se fait de plus en plus. [03:47:24] Speaker C: Pourquoi ? [03:47:24] Speaker A: Parce que a tiré dessus à bloc. Parce qu'on a tiré sur leur finance, on a tiré sur leur truc. Mais la réalité du truc c'est quoi ? [03:47:37] Speaker C: C'est que les très gros festivals se portent bien, mais tous les petits. Y en a un qui s'éteint tous les jours. Pourquoi ? Parce qu'on les a artiller sur les prix, mec. [03:47:52] Speaker A: Oui ça c'est mal. [03:47:53] Speaker C: Pas. Il y a eu de mauvaises intentions qui ont fait que ça les a assassiné la pas du gain. Mais c'est pas un mal si tête derrière moi. Ça m'est arrivé de. Ça. [03:48:06] Speaker A: M'Est arrivé de couper ma com. [03:48:09] Speaker C: Et de pas prendre mes pourcentages parce que si je les prenais, ça faisait vraiment trop cher. Ça m'est arrivé. Maintenant est ce que je peux le faire ? Oui, parce que j'en vis pas maintenant. Certains qui en vivent, c'est plus difficile. Je le conçois totalement. À un moment, si déjà tu vendais pas le groupe trois fois trop cher par rapport à ça. Oui, c'est ça. Prends ta commission. Ok ? Mais ne transforme pas les prix. [03:48:37] Speaker A: Ne les gonfle pas pour te rincer. [03:48:39] Speaker C: Bon, un clip et le dernier no fx avec question aimerais tu faire jouer quel groupe ? J'aimerais faire jouer ? Oui. Donc que j'ai jamais fait jouer ? [03:48:50] Speaker A: Bah oui. Alors la réponse va peut être paraître étrange pour beaucoup de gens, mais j'adorerais faire jouer sublime avec le fils du chanteur à la tête. Ouais j'adorerais faire jouer sublime parce que je trouve que c'est la bande son parfaite de la. De la Californie cruising sur aspect ou sur une voiture. C'est un truc que j'adorerais faire. [03:49:09] Speaker C: Who knows qui sait peut être ? Bah ça, ça a failli, mais ça s'est pas fait. [03:49:13] Speaker A: Et qui d'autre comme ça ? Je sais pas. Parce que je suis assez content d'avoir. [03:49:23] Speaker C: Fait quand même tous les groupes que je kiffais. Et je crois que les trucs qui. [03:49:29] Speaker A: Sont beaucoup plus gros, en fait, ça me. Ça me plaît. Plairait pas forcément. Et là, comme ça, de abrut pour. [03:49:34] Speaker C: Point, je ne vois pas trop, mon cher Marcellus. Mais non. Je crois que. Je crois que j'ai. Tu as fait déjà pas mal le tour. Ouais. Je crois que j'ai quand même réalisé pas mal de mes rêves et j'ai coché pas mal de croix sur ce que je voulais faire. Tu peux réfléchir. On a encore un speak. Après se faire des bisous et puis de répondre à cette question, ça va donner l'occasion de réfléchir. Mais là, c'est nofix avec Sticking in my eye, no fx. Donc forcément, on a parlé plein de fois. Mais c'est vrai que je peux pas dissocier ce nom de toi, moi. Enfin, depuis, surtout, qui joueront leur dernier concert, les trois derniers concerts de toute leur existence, et croyez moi, reviendront pas ensemble. Et voilà. C'était ma question, ça. T'as pas. T'as fait quoi ? Enfin, tu as été touché ? Blessé. Top là, mon chou. Est ce que j'ai été blessé ? Est ce que j'ai été touché ? Parce que c'est un groupe qui fait partie de ta vie ? Je veux dire, vous êtes vous fusionné, quoi ? Alors si je vais te répondre, maintenant que j'y pense, le seul groupe que j'aurais surkiffé, faire jouer et que je ne pourrais plus, parce qu'il n'existe plus, paix à son âme, le chanteur, c'est no use for a name, qui restera à jamais mon groupe préféré et que je n'ai pas pu faire jouer, même si je représentais leur agence, Ÿousand arrivé un peu trop tard. [03:50:45] Speaker A: Voilà. J'ai fait un featuring avec ce mec là, qui est venu sur mon album à l'époque, en studio. Alors contrairement à ce que disent les. [03:50:56] Speaker C: Gens, je n'ai pas payé. Je lui ai amené une bouteille de vin et voilà. Mais j'ai jamais pu faire jouer son groupe. Et no fx. Non, écoute. J'ai été invité là, aller à Los Angeles voir les trois shows. Et finalement, je me suis dit, je ne veux pas. Je veux rester sur le dernier concert que j'ai fait pour eux, où ils ont joué Ÿousand pour la 1ʳᵉ fois en 10 ans, sur un de mes. [03:51:14] Speaker A: Concerts, the decline, qui était la chanson qui est pour. [03:52:45] Speaker E: Moi la chanson de ouf. Ils me l'ont dédicacé et je voudrais emporter ça dans leur carrière. [03:52:53] Speaker C: Voilà, c'est tout. [03:52:53] Speaker E: Donc je suis aussi. Je suis touché que ça joue plus. Et en même temps, tu sais quoi ? Je vais être un petit peu un collard. Et je vais être un petit peu un égoïste. Mais tu sais quoi ? Ils arrêtent. Et au moins, ce groupe là, personne me le piquera. [03:58:47] Speaker A: Parce que je l'aurais super mal vécu. [03:58:49] Speaker B: C'est une bonne réponse. [03:58:51] Speaker A: Voilà. Et ben, manuk. [03:58:52] Speaker C: Et donc on regarde ce qu'il. Cette chanson en particulier, peut être pour clôturer une carrière d'un groupe comme ça, mec, honnêtement, j'étais pas là à leur début, et je suis pour rien de tout ce qui s'est passé. Mais. [03:59:11] Speaker A: Je pense que pendant 10 ans, j'ai quand même donné. Et je pense que j'ai aidé aussi, en France en tout cas, là dessus. [03:59:17] Speaker C: Et de clôturer. [03:59:27] Speaker A: Leur carrière et savoir que ça leur a fait plaisir, que c'était moi, parce que ça aurait pu être quelqu'un d'autre. Mais c'est aussi leur choix. Ça fait plaisir. On regarde le clip ? Ouais. C'est parti. [03:59:42] Speaker B: I feel. [03:59:58] Speaker A: Unusual for faking bouncing underground chain God help me feel beneath the camera Watch the world begin to cry y duérmete mi niño tico duérmete mi niño chico duérmete y no llores más y te vienen los angelitos que vienen. [04:00:12] Speaker F: Los angelitos del cielo y te llevará y en los brazos de su madre en los brazos de su madre un pobre niño unión put the fucking bullet through my head Ouh là là. Ouh là là. T'es pas content ? [04:00:22] Speaker B: Les MM. [04:00:23] Speaker F: Ça secoue un petit peu. [04:00:24] Speaker A: Je vois juste un truc. Green death. 100 balles, c'est pas abusé ? Bah non, mec, en fait, c'est pas abusé. [04:00:32] Speaker F: 1500 places dans une salle, 100 balles, c'est pas abusé. [04:00:35] Speaker A: C'est mon gros fiac qui prend de la place. [04:00:37] Speaker F: Tu peux même te pousser encore un peu plus pour qu'il soit un peu plus à l'aise. Pommanux quand même. [04:00:42] Speaker A: Soyons encore montrer que je suis gros. Tu fais ce que tu veux. Mais c'est dommage. Pale face. Oui. C'est donc ton petit choix, Marcel ? [04:00:49] Speaker F: Parce que j'ai accepté. Parce qu'aujourd'hui, il n'est pas encore 0 h. Et donc on peut chanter Joyeux anniversaire Joyeux anniversaire. [04:00:56] Speaker A: Oh là là. 20, trois ans. L'âge de raison, comme on dit. [04:01:03] Speaker C: Alors non. [04:01:04] Speaker A: Voilà. [04:01:05] Speaker F: Donc du coup, tu fêtes ton anniversaire, tu es allé voir l'exposition. [04:01:08] Speaker B: Bon. [04:01:08] Speaker F: Ça, vous allez qu'à aller sur Discord. Pas mal de photos de l'expo métal de la Philharmonie, pour ceux qui ont raté ça, vu qu'aujourd'hui, c'était le dernier jour. Donc j'ai glissé pas mal de photos de tout ça sur Discord, si vous n'êtes pas dessus. Discord, dans le chat, bien entendu, ou. [04:01:25] Speaker A: Dans la description sur YouTube. [04:01:26] Speaker C: Voilà. [04:01:26] Speaker F: Parce que nous, on s'y prend toujours à l'avance, c'est à dire le dernier jour, pour en faire la promo. C'est ça. Ben en avait parlé, vu qu'il était allé à l'ouverture. Pourquoi pas le fails ? Alors c'est ton petit groupe que tu aimes bien. Exact. Donc c'est un de mes groupes de l'été, comme j'appelle ça. Un sur deux, on va dire que j'ai beaucoup signe. Quand on dit c'est un groupe d'été, pour moi, c'est un groupe d'été. J'aime bien l'écouter. Je dis ça parce qu'il y a deux groupes que j'ai beaucoup, vraiment saigné, tous les albums et tout cet été. Il y avait Paleface, du coup, ça fait un peu perdre. Oui, on peut voir ça comme ça. Et du coup, Paleface, qui ont sorti un peu de nulle part ce single là, qui ont annoncé dans ÿ jour à l'autre, qui ont teasé ce clip, et le lendemain, c'est sorti. Et du coup, c'est sorti jeudi, qui s'appelle donc je vais tricher hatred. Et donc c'est le 1ᵉʳ single de leur prochain album, qui s'appellera Cursed, qui est le 3ᵉ album, ce qu'on a vu, qui était créé à la fin de. Exactement, qui sortira le 3 janvier 2020. Cinq. Mais alors pourquoi un single sitôt, entre guillemets ? C'est parce que du coup, c'est le mois de septembre et le mois de prévention du suicide. C'est pour ça que je disais zweitausendein disaient qu'on allait en reparler. Et du coup, Paleface. Ils étaient toujours un petit peu impliqués là dedans, de par aussi les sujets traités, etc. Dans leur album et dans leur texte, et tout. Et alors pour ceux que ça intéresse et qui veulent en savoir plus, je vous recommande d'écouter le podcast avec le guitariste de suicide silence, qui les interview, où ils en parlent plus en détail. Et du coup, ils ont fait il y a quelques semaines aussi, avant de sortir ce, ce single, du coup une. On va dire une collecte, une collecte plus ou moins pour la National Alliance on Mental, il ne. La plus grande association aux États Unis qui permet d'accéder à des soins, etc. Parce qu'aux États Unis, on sait que c'est compliqué. Et donc ce qu'ils ont fait pour. [04:03:26] Speaker A: Pour amener de l'argent, c'est qu'ils ont. [04:03:28] Speaker F: Ressorti les prestes de leur vinyle, donc avec plein de motifs et tous les. Tous les prestes de leur deux 1ᵉʳˢ albums avec donc une collection de plusieurs dizaines de vinyles ou en gros c'était des couvertures qui étaient peintes à la main par une tatoueuse et peintre qui s'appelle Max Holland Tattoo. Et donc c'était des exemplaires, c'est une pote à eux. Et donc c'était des exemplaires, chaque exemplaire de vinyle était unique, donc il y en avait pas deux parce que c'est peint à la main. Du coup c'était chaque exemplaire vraiment unique qui était vendu à 100 € pièce. Et c'est parti en même pas 2 h je crois. Et du coup c'est. Tous les fonds étaient revenus ÿousand à. [04:04:06] Speaker C: Cette association et. [04:04:09] Speaker A: Voilà. [04:04:10] Speaker C: Donc c'était. C'était vraiment un succès. Et donc les gens commencent à recevoir. [04:04:13] Speaker F: Un petit peu les publications qui commencent. [04:04:15] Speaker C: À apparaître un petit peu sur insta. [04:04:17] Speaker F: Si vous allez voir sur leur page de ces fameuses, ces fameuses, ces fameux. [04:04:23] Speaker C: Vinyles, je vous le mettrai pour ceux qui regardent sur la Vod au montage, voilà. [04:04:27] Speaker F: Et c'est très sympa. Et ils passeront, ils passent à Paris. [04:04:29] Speaker A: Le 2 février 2020. [04:04:32] Speaker F: Cinq du coup en headline, ils seront à la maroquinerie pour. Bah du coup je pense que ça va être le. La tournée de cet album. Tout simplement, ils avaient déjà annoncé la tournée avant d'annoncer l'album, mais du coup ça fait sens. Donc voilà. Ok. Et j'avais juste un truc à rajouter, c'était que. Alors c'était quand Trinity était pas. Trinity était passé qui avait paleface et qui avait dit que c'est. On dirait vraiment que c'est slip notes, s'il faisait encore de la bonne musique. Et dans le morceau, alors si dans ce morceau il y a certains passages. [04:05:03] Speaker A: Je trouve qu'il y a certains passages. [04:05:05] Speaker F: Du cri de celly de chanteur ressemble vraiment à du early Corey Taylor pour. [04:05:08] Speaker A: Moi, côté swiss, depuis que c'est plus pale face, mais paleface swiss, c'est son petit côté. Mais tu sais pourquoi ? C'est parce que je pense que paleface, ça doit être déposé par un autre groupe de country ou de folk américain qui. Qui. [04:05:18] Speaker F: [Sos/Eos], genre de 100 auditeurs. [04:05:21] Speaker A: Sur Spotify. C'est pas comme Eskimo, Callboy ou je sais plus quoi. Alors. [04:05:24] Speaker F: Oui, c'était autre chose, je crois. [04:05:28] Speaker A: C'était pas le même, c'était pas. [04:05:33] Speaker D: Ah oui. [04:05:34] Speaker A: Et j'avais encore juste un dernier truc sur une précision sur Powerflow, parce que j'avais pas toutes les infos la dernière fois, du coup. Effectivement. Donc il y a un nouveau guitariste qui démentit du démenti, du coup. [04:05:49] Speaker C: Powerflow. [04:05:50] Speaker B: Un nouveau guitariste, c'est Earn ici connu. [04:05:51] Speaker A: De Body Count, tout simplement. Et leur batteur, c'est. Alors j'ai plus le nom, je suis désolé. Mais qui était leur batteur du coup ? Qui était en tournée avec eux après que leur batteur, Fernando Schaeffer je crois, il s'appelait, qui les a quittés. Et du coup maintenant, il est vrai, il fait vraiment partie du coup. Voilà, c'est ça. Il prend partie à la composition, etc. [04:06:11] Speaker C: Et il travaille avec eux sur le nouvel album. Il a vraiment un contrat ? Non, parce qu'on sait très bien qu'il. [04:06:18] Speaker A: Y a des artistes qui ont entré dans des groupes et qui n'ont pas signé de contrat et qui sont retrouvés. [04:06:25] Speaker F: Éjectés en disant qu'ils ÿousand un contrat, il voulait être payé. C'est écrit sur la page qui commence par un D, par exemple, c'est écrit. [04:06:35] Speaker C: Sur la page web du. Du batteur en question, qui s'appelle. C'est fou ça comme histoire. Tu prends. [04:06:42] Speaker A: Un bassiste, tu t'entends bien, c'est Deftones, et ils ont un bassiste, je sais plus c'est quoi son nom. Celui qui a remplacé. Celui qui a remplacé Cheeching. [04:06:46] Speaker C: Celui qui a remplacé parce qu'il est un peu parti. [04:06:48] Speaker A: Il est parti dans le coma, puis il est parti ailleurs. Il est mort et il a remplacé. Et il a. Bon, il a. Il a fait du très bon travail. [04:06:55] Speaker C: Ils l'ont fait composer, etc. Puis un jour il a dit en fait je suis pas payé comme. Comme vous donnez que quelques. Quelques deniers. [04:07:08] Speaker A: Et moi en fait j'ai besoin de vivre quand même. Puis l'on dit ah bon ? [04:07:12] Speaker C: Ah bah tu dégages. [04:07:12] Speaker B: J'en connais d'autres comme ça. Et là tu fais connaissais, mais avec Arab. [04:07:16] Speaker C: Tu l'as celle là ou pas ? Non, la haine, les gars, la haine je l'ai pas. Mais bon, tu nous raconteras en tête. C'est compliqué. Donc voilà. Mais merci, Marcel, pour tous ces renseignements. Merci d'avoir accepté ce clip quand il y a même. Je sais que tu as du mal avec pelle face, en général, le mec, tu as mis du popi ou je sais pas quoi avant, tu voul pas le faire. Et si j'en passe pas, il y a quand même des gens qui aiment. Donc c'est parce que j'aime pas que je vois pas en passer des trucs. [04:07:43] Speaker A: Cool dans le métal corps, quand même, il y a des trucs cool, mais il y a des trucs qui ne me touchent pas. Donc voilà. Après, il y a des trucs que je trouve très cool. Oui. Bon. Bref, j'ai du sens, parce qu'il fallait au moins que je passe un peu pour un gentil. Ventes dynamiques qu'est ce que c'est que les ventes dynamiques ? Je crois que c'est le prix d'une place. 30 5 €. Moins il y a de place, plus le prix monte. Le même principe que les. Que les billets d'avion, par exemple. [04:08:10] Speaker C: Ouais. Je trouve que c'est. Mec, j'ai même. [04:08:22] Speaker A: Pas de réponse à ça. Je trouve qu'une place de concert, ça. [04:08:26] Speaker C: Doit avoir un prix. S'il y a des coins vip ou des places or, et qu'il y en a qui ont l'argent, tant mieux. Mais je trouve que ça devrait pas le. [04:08:31] Speaker E: Et. [04:08:34] Speaker A: Je trouve, honnêtement, à un moment, faudra aussi arrêter ça. C'est qu'à un moment, si ça existe et que les groupes sont d'accord. Donc à un moment, moi, je suis pas. Moi, je trouve que ça se fait pas et je trouve que les groupes devraient pas accepter. [04:08:48] Speaker C: Voilà. [04:08:48] Speaker A: Le respect, donc, de personnes qui les suivent et des personnes qui les aiment. [04:08:52] Speaker C: Bon. [04:08:52] Speaker A: Bref. Allez, c'est un petit peu la fin de cette émission. Je vous rappelle. Encore une fois, je suis désolé. Je sais que tu aimes pas ça, mais pour le mois de novembre et. [04:09:04] Speaker B: Le mois de décembre, nous avons besoin de votre aide. [04:09:09] Speaker A: Si vous voulez faire un don, vous pouvez le faire. Le lien vous sera mis dans le Shmul ou alors dans la Vod, vous retrouverez ça. Voilà. Ça sert à rien de donner une somme astronomique. 1 €, c'est extraordinaire. [04:09:23] Speaker D: T'inquiète. [04:09:23] Speaker A: Je pense que personne t'aurait donné une somme astronomique. Mais voilà, on va tout faire pour. Évidemment. Mais c'est juste. Voilà, pour essayer de. Attention. Je suis pas non plus contre tout. Quand tu as besoin, tu as besoin. Si je dis. [04:09:36] Speaker C: Là, je parlais pour les cons. Non, en fait, non, j'aime pas. J'ai aucun problème avec ça. [04:09:39] Speaker A: Ça ne m'empêchera pas de le demander quand même. Non, mais voilà. Et j'ai envie de terminer avec un groupe lyonnais, voilà, qui s'appelle v Amsterdam Red Light District. J'en ai passé, je sais, la semaine dernière. Mais j'aime vraiment beaucoup ce qu'ils font en live sur scène. Ça a vraiment une très bonne énergie. Je pense que c'est des gens qui se saignent beaucoup aussi et qui ont pas le retour qui mériterait. Bon après ça s'appelle la vie, c'est comme. [04:10:01] Speaker C: Nous, on aimerait avoir un peu plus de retour. Bon bah peut être qu'on manque de talent aussi. [04:10:05] Speaker A: Je sais pas. Ta gueule. J'ai rien à dire. Donc on va regarder cette reprise qui vient de sortir en clip, qui s'appelle Forest. Donc la reprise de the Cure. Voilà, c'est très bien. Donc j'ai rien d'autre à dire. Je. Je n'ai pas envie de m'étaler là dessus. Je te remercie infiniment, manus, d'être venu, d'avoir discuté gimme five, de m'avoir torturé avec ces mini mains que ben c'était. [04:10:22] Speaker C: Un plaisir à acheter pour pouvoir me torturer aussi. Et que Marcel, dont Marcel a pris le relais. [04:10:34] Speaker A: Je tiens à dire que je ne. [04:10:35] Speaker C: Le savais pas avant de les. [04:10:37] Speaker A: Tu ne le savais pas ? C'est totalement. Et regardez, enfin vous voyez pas, mais sur la table il y a un espèce d'amas de minima très étrange, on dirait. [04:10:52] Speaker C: Voilà, juste derrière le micro, on. [04:10:54] Speaker F: [Sos/Eos] Marcel. Mais on a les mains. [04:10:59] Speaker C: Bonjour. [04:10:59] Speaker A: Voilà. [04:11:00] Speaker F: Donc merci. Maintenant tu sais où est le bureau. [04:11:02] Speaker C: Si un jour tu veux venir boire un café ou même une petite bière. [04:11:05] Speaker F: Ou je ne sais quoi. [04:11:07] Speaker A: Ah non, c'est vrai que tu aimes pas la bière, mais je pense que. [04:11:09] Speaker F: J'Ai ruiné ma carrière, donc plus personne me ravitera. C'est peut être pour ça aussi qu'on marche pas. [04:11:13] Speaker A: Parce que nous on se ruine notre. [04:11:16] Speaker C: Propre carrière dans cette émission. Non mais voilà. Bah écoute, en tout cas tu hésitez le bienvenu. [04:11:20] Speaker F: Avec grand plaisir. Et je te souhaite de faire encore des tonnes de choses cool. Et tu veux peut être faire la. [04:11:25] Speaker C: La promo de quelque chose là, avant qu'on. [04:11:37] Speaker A: Se quitte. Enfin la promo de dire quelque chose qui arrive ou que tu aimerais. Ouais. Prochain concert, 20 2 novembre. Glazar comme Bakid pro. C'est bien. Voilà, c'est pas mal. Ben peut être que Ben viendra parce que je crois qu'il aimerait. [04:11:47] Speaker C: Qui m'appelle sera avec grand plaisir. Et encore bon. [04:11:51] Speaker A: Anniversaire Marcel aussi. [04:11:51] Speaker C: Bien. [04:11:52] Speaker A: Donc merci beaucoup que tout le monde le sait. Notez le dans votre agenda et souhaitez lui gros anniversaire. Ça, c'est extrêmement offensant. Alors c'est pas triple. Je sais que j'ai des potes hongrois qui regardaient le stream, donc ils sont toujours là. Tu viens de perdre la Hongrie pour tes subventions et ton argent. Des potes bilingues hongrois français, donc. Mais non, mais je sais plus comment on dit. Mais non, mais je vais pas le dire. Parce que sinon, y'a un modérateur YouTube hongrois, il va faire. [04:12:21] Speaker F: Bon bah la vod, elle passe pas. [04:12:22] Speaker A: Donc arrêtez un petit peu. Je pense qu'il y a des gens. [04:12:26] Speaker F: En Hongrie qui vont regarder notre onya avec mon nez rouge. [04:12:28] Speaker C: Écoute, on s'est bien fait censurer la dernière fois par Ameco States parce. [04:12:33] Speaker A: Qu'On a parlé de Jovi qui savait une nana du suicide. Ouais, je l'ai vu. [04:14:15] Speaker E: Ça. Passez une bonne semaine. Bon courage. Même si c'est lundi demain. [04:17:34] Speaker C: Je sais, c'est moche, mais travailler, c'est bien quand même. Ça donne un rythme.

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