Episode Transcript
[00:00:03] Speaker A: Eh.
[00:00:21] Speaker B: Bah heureusement que t'as arrêté de fumer !
[00:00:25] Speaker C: Prévo !
Bonsoir à tout le monde, bienvenue à vous toutes, à vous tous, j'espère que vous allez bien, que le week-end s'est très bien déroulé, que vous vous êtes amusés, malgré la pluie et le beau temps, peut-être, bon, ça dépend où vous étiez, mais voilà, on est avec vous, on est dimanche soir, c'est un peu relou, demain il va falloir aller bosser, mais on va vous donner un tout petit peu de bonheur, de l'amusement, de la distraction, et puis on va vous donner des informations, car oui, comme d'habitude, nous allons faire un point sur les news. Avec Gladys qui va être là, elle va pouvoir nous foutre un bon coup de poing dans la gueule comme d'habitude. Vous allez voir, c'est très agréable. Et il va y avoir aussi Amélie qui sera là pour nous faire découvrir deux belles chansons avec des clips, puisque c'est un peu le principe de cette émission, de la discussion et de la musique en vidéo. Et qu'est-ce qu'il va y avoir d'autre ? Un invité évidemment ! Mais oui, nous avons ce soir un invité qui va vous faire rire, en tout cas j'espère ! Non mais on va le tester, parce que je sais, c'est vraiment le truc, c'est le mec qui te fait pas rire en interview, du coup tu te dis, mais il ment !
[00:01:22] Speaker B: Heureusement qu'il n'est pas déjà dans le studio, sinon on se lui foutrait grippe la pression !
[00:01:28] Speaker C: Non mais voilà, nous allons recevoir Louis Emery. Vous le connaissez forcément parce que dès que j'ai fait Ella Story, j'ai reçu beaucoup de messages de gens divers et variés avec beaucoup de petits cœurs. Donc apparemment, il est fortement apprécié. On va voir ça et puis on va découvrir.
[00:01:43] Speaker B: On verra si on l'apprécie nous aussi.
[00:01:46] Speaker C: D'ailleurs tiens on fait un petit coucou tant qu'à faire à Lama Lavalamp puisqu'il a fait un nouveau jeu autour du métal si vous avez envie de vous amuser et surtout de participer parce que ça donne envie de participer. Le rock jeu ! Avec Lama Lavalamp, il est extraordinaire, il est gentil et c'est quelqu'un de merveilleux donc il faut regarder ce petit jeu, cette première édition.
[00:02:06] Speaker B: Tout à fait.
[00:02:07] Speaker C: Je pense que vous allez bien rigoler. et que ça va vous faire du bien. Mais pour ceux qui sont en podcast, débrouillez-vous pour le trouver. Pour ceux qui seront...
[00:02:14] Speaker B: C'est assez simple, vous tapez Lama Lava Lamp, Roquejeu, voilà, ou sinon c'est la dernière vidéo qui l'a sortie. Voilà, sur YouTube, bien sûr.
[00:02:22] Speaker C: Et puis sinon pour les autres, c'est en description. Qu'est-ce que je voulais dire Ben ? Bonsoir !
[00:02:26] Speaker B: Bonsoir Pierre !
[00:02:26] Speaker C: C'est vrai qu'on se dit même plus bonsoir.
[00:02:28] Speaker B: Oh non, peut-être parce qu'on est ensemble depuis quelques heures maintenant.
[00:02:31] Speaker C: Quelques ? Une petite... Une sacrée belle paire de...
[00:02:35] Speaker B: Je sais pas, moi le temps passe si vite à tes côtés.
[00:02:38] Speaker C: Ah oui. J'ai un peu chaud et en fait, mon dos est rempli de flotte. Mon dos ? Parce que... Parce que j'ai mis un pull, parce que je suis un peu stupide.
[00:02:51] Speaker B: T'as cru que c'était le...
[00:02:52] Speaker C: Mais non, mais quand je suis sorti ce matin, enfin ce matin, vers 11h, il faisait mais froid, je trouvais il faisait 20 degrés.
[00:02:58] Speaker B: Ah bah il a fait froid à un moment. 20 degrés, c'est pas froid, mais non. Mais oui, il fait plus froid qu'hier. Parce qu'il a plu.
[00:03:06] Speaker C: On va continuer sur la météo ?
[00:03:07] Speaker B: Bah je sais pas, c'est toi apparemment, c'est le sujet.
[00:03:10] Speaker C: J'ai toujours rêvé de faire le téléachat mais pas la météo.
[00:03:14] Speaker B: Ah bon, bah d'accord, je ferai la météo et toi le téléachat.
D'ailleurs, on le dit, si vous voulez acheter de l'espace publicitaire dans BengBeng, à partir de maintenant, c'est possible. Donc, vous nous dites, vous envoyez un chèque et puis vous nous dites ce que vous voulez. Et nous, on tourne la pub. C'est nous qui l'écrivons, c'est nous qui la tournons. Et on la diffuse pendant l'émission.
[00:03:35] Speaker C: Voilà, n'hésitez pas. Si vous avez envie de connaître les tarifs, parce qu'on ne les donnera pas là, sinon vous n'aurez pas envoyé de message. Pierre Arrobas, laisse-moi.
[00:03:41] Speaker B: On ne les connaît pas encore non plus.
[00:03:44] Speaker C: Tierre.Com, n'hésitez pas si vous avez un bar, un festival, n'importe quoi, on peut faire de la pub sous forme de vraie publicité comme à la télé.
[00:03:52] Speaker B: Ah oui, fond vert et tout, on peut mise en scène, perruque, accessoire, attention.
[00:03:58] Speaker C: Oui, alors oui, c'est vrai que ça peut être amusant.
[00:04:02] Speaker B: Oui, non, mais on reste, voilà.
[00:04:04] Speaker C: On est à l'écoute, c'est surtout ça. En tout cas, voilà, on a besoin de votre soutien et on compte un petit peu aussi sur les entreprises parce qu'il n'y a pas que les particuliers et les fans qui doivent faire ça.
[00:04:14] Speaker B: Il y a Jacques Chiwak qui vient de nous envoyer un raid. Voilà, merci beaucoup pour le raid. Bienvenue à tous les Jacques Chiwakers.
[00:04:22] Speaker C: Écoutez... Non, je vais jouer à la crotte de caniche. J'en ai encore plein d'autres. Non, on va s'arrêter là je pense. Bref, qu'est-ce que tu as fait de ta semaine ?
[00:04:32] Speaker B: J'ai travaillé.
Voilà, je suis allé filmer une compétition de cocktails, voilà, à Angers.
[00:04:39] Speaker C: Alors, de cocktails en un seul mot ?
[00:04:40] Speaker B: Oui.
[00:04:40] Speaker C: Ah oui, d'accord.
[00:04:41] Speaker B: Pas le même mot dans une langue étrangère.
[00:04:44] Speaker C: C'est dommage, le mot que je voudrais préférer...
[00:04:47] Speaker B: Eh bien, je mets génial, ouais.
[00:04:48] Speaker C: Eh bien, et ça s'est bien passé ?
[00:04:50] Speaker B: Ça s'est très bien passé.
[00:04:52] Speaker C: Quand il y a une compète de cocktails, les gens finissent bien ou ils finissent mal ?
[00:04:55] Speaker B: Non, ça va, ils sont assez raisonnables quand même.
[00:04:57] Speaker C: Les barmans, généralement...
[00:04:58] Speaker B: Ils sont assez raisonnables. Une fois qu'il y a eu les résultats, il y a quand même des gens qui buvaient du... Tu sais, avec les petits becs verseurs de trucs de barman et ils faisaient comme ça.
Voilà.
[00:05:08] Speaker C: Aïe, aïe, aïe, aïe.
[00:05:08] Speaker B: Donc là, c'était plus alcoolisé. Mais non, les gens sont très raisonnables. Je pense que tu sais... Oui, si.
[00:05:16] Speaker C: C'Est ton métier, je suppose que tu maîtrises un peu plus. Et surtout, tu sais qu'en représentation, tu ne vas peut-être pas non plus faire trop n'importe quoi. Très bien, très bien.
[00:05:23] Speaker B: Et toi, Pierre, tu as fait quoi cette semaine ?
[00:05:24] Speaker C: Eh bien, moi, ce que j'ai fait cette semaine, pas grand chose. Non, j'ai préparé le Hellfest parce que c'est la semaine prochaine. D'ailleurs, nous allons faire dimanche prochain une émission spéciale Hellfest avec nos invités. Vous aurez les différentes interviews qu'on aura pu faire. Peut-être pas toutes, mais il faudra vous inscrire sur notre page YouTube si ce n'est déjà fait. Vous tapez point d'exclamation bang pour le direct. Et le lien est en description pour ce qui est des gens qui nous regardent en VOD. Et puis pour ceux qui nous suivent en podcast, vous allez sur YouTube, vous tapez Bang, bang, restless. Ça va être cool. On a pas mal déjà d'interviews prévues. On a décidé d'upgrader un petit peu notre façon de travailler. On en a parlé tout à l'heure, d'ailleurs, sur notre Patreon.
[00:05:59] Speaker B: Ah oui, parce que les gens, ça va, mais quand vous suivez sur Patreon dans les tiers supérieurs, vous avez le droit à des contenus supplémentaires, notamment Pierre qui vous explique les coulisses dans son émission Les Coulisses.
[00:06:11] Speaker C: Comme le pied à coulisses.
On est très franc, donc du coup si vous êtes professionnels, ne regardez pas, sinon vous allez nous détester !
[00:06:20] Speaker B: Par contre, si vous voulez savoir comment ça se passe, allez-y !
[00:06:23] Speaker C: Si vous voulez les potins du milieu, alors là, vous allez être servis. Qu'est-ce que je voulais dire d'autre ? Non, en tout cas, le fest se prépare et je suis très, très content. On va partir mercredi, on reviendra lundi, donc il n'y aura pas de coulisses, bien sûr, dans ce week-end-là, mais en tout cas, on va vous préparer plein, plein de belles choses et on va faire en sorte que ça puisse être fluide et rapide à vous offrir. Donc, n'hésitez pas à rejoindre notre page YouTube, tout simplement, et puis à liker la page Twitch pour ceux qui viennent nous rejoindre. Merci pour tous vos petits messages. Sinon, je suis allé au cinéma, ça n'intéresse personne mais je vais quand même le dire. J'ai été voir The Phoenician Schemes.
[00:06:54] Speaker B: Ah, le nouveau Wes Anderson.
[00:06:56] Speaker C: Exactement. Alors tout le monde, lorsque j'ai dit que j'allais voir ce film, tout le monde m'a dit « Ah ouais, c'est nul, de toute façon... » Schemes. Schemes ? Ouais. Bah, je l'écoute. Bien de me corriger, je te remercie parce que...
[00:07:05] Speaker B: Je t'en prie.
[00:07:05] Speaker C: Et tout le monde, je ne sais pas pourquoi tout le monde déteste, j'ai trouvé le film trop bien.
[00:07:09] Speaker B: Bah tant mieux.
[00:07:10] Speaker C: J'ai trouvé ça super beau, une belle image.
[00:07:12] Speaker B: Non, super, mais c'est de la merde, donc...
Non mais Wes Anderson, c'est forcément beau.
[00:07:18] Speaker C: C'est spécial.
[00:07:19] Speaker B: C'est forcément beau, c'est forcément symétrique.
[00:07:22] Speaker C: Tout à fait.
[00:07:22] Speaker B: C'est Wes Anderson.
[00:07:24] Speaker C: Mais c'est très intéressant. Par contre, le message du film, je ne suis pas totalement sûr. Voilà. Peut-être que comme ma condition est de prendre ça à moi et prendre soin de moi, j'ai l'impression que c'était un peu ça.
[00:07:35] Speaker B: Après, c'est toujours le truc de l'art. C'est qu'on ne comprend pas toujours le message.
[00:07:40] Speaker C: On s'en fait sa propre interprétation.
[00:07:41] Speaker B: Voilà. C'est comme le polytope.
[00:07:45] Speaker C: C'est comme le polytope effectivement que nous avons vu, où on m'a invité d'ailleurs. Je remercie cette... Comment on appelle ça ? Une performance ? Une expo musicale sonore ?
[00:07:54] Speaker B: Une pièce audiovisuelle.
[00:07:56] Speaker C: Voilà, qui avait lieu au 104. Et je crois que c'est terminé malheureusement.
[00:08:01] Speaker B: Oui, le dernier jour c'était samedi. Là, il va y avoir un workshop pendant une semaine, mais les représentations sont finies jusqu'à ce que le polytope revienne peut-être. Et alors t'en as pensé quoi ? J'en ai parlé la semaine dernière. Le polytope c'est donc une oeuvre immersive où vous arrivez dans une pièce toute noire, vous vous allongez dans des petits fauteuils sur le sol et là il y a une pièce du coup audiovisuel, donc avec des lumières, des lasers, des LED et du son spatialisé qui tourne tout autour de vous. Et il se passe plein de choses. Donc, voilà, il y avait quatre pièces qui étaient représentées. Il y en a deux qui datent de 2022, dont une qui était une réinterprétation d'une pièce de 76. Voilà. Et il y avait deux nouvelles créations, une de Chloé Thévenin avec la musique de Chloé Thévenin et une avec 665 99. Qu'on va peut-être recevoir un jour ici.
[00:09:00] Speaker C: Oui, tout à fait, avec grand plaisir. Alors, ce que j'en ai pensé, c'est que, bon, celle d'origine, celle de 76, effectivement, est chouette, intéressante à voir, mais elle est un peu, du coup, plus légère. C'est vrai qu'en vrai, moi, je trouvais qu'il ne se passait pas grand-chose. C'est mon avis. Je ne dis pas que ce n'est pas bien.
[00:09:17] Speaker B: C'est très expérimental.
[00:09:19] Speaker C: Voilà.
[00:09:20] Speaker B: On peut dire ça comme ça.
[00:09:21] Speaker C: J'imagine qu'en 76, la technologie n'était pas la même.
[00:09:25] Speaker B: Alors, ça reproduit les mêmes effets. C'était pas fait de la même manière, mais ça reproduit les mêmes effets. Par contre, je pense que la drogue était beaucoup plus disponible.
[00:09:36] Speaker C: Ah oui, alors peut-être qu'avec une scène différente, la vision était... Alors moi je m'amusais à bouger mes yeux dans tous les sens, donc ça donnait une espèce de truc très étrange mais très intéressant. Et puis après ça va crescendo, c'est-à-dire qu'au fur et à mesure des représentations, ça monte, jusqu'à la dernière qui est complètement folle. Alors celle de Chloé est déjà cool, parce que c'est très coloré, ça se mélangeait, il y a des effets au plafond qui... on perd de vue le fait que c'est des leds, enfin que c'est des lumières. Il y a l'impression qu'il y a des nuages et tout qui se déplacent. C'est hyper bien fait. On a vraiment l'impression de se perdre dedans. Puis il y a des lasers qui nous font nous envoler. Donc, même sans produit, eh bien, on rentre dans une espèce de trance et de situation personnelle, émotionnelle qui est complètement folle. Puis après, ça part en cacahuète. Alors, ça ne veut pas dire que ce n'est pas bien, parce que c'est hyper bien et c'est un bienfait intelligent calculé. Il y a... Enfin, c'est fait aussi...
comme on en discutait après, ça change à chaque représentation, parce qu'il y a une interprétation de la musique par la lumière.
[00:10:33] Speaker B: En fait, c'est de l'art génératif, c'est-à-dire que c'est des ordinateurs à lesquels on génère de la data qui génère la réaction des lumières et du son. Et tout est synthétisé informatiquement, mais du coup, ça crée de la musique. La dernière pièce est vraiment plus dans une vibe de musique extrême, Noise, metal, voilà.
[00:10:59] Speaker C: Mais c'était hyper cool.
[00:11:00] Speaker B: Ce qui fait que beaucoup de gens n'ont pas compris, notamment Liberation qui est venu et qui a comparé du blast beat à un simili blast beat, où c'est donc une espèce de guitare avec juste une batterie qui fait kakakaka. à des tirs de AK-47. Ce qui montre le niveau de l'ouverture d'esprit, de la culture des gens face au métal. C'est que si c'est un peu violent, c'est que c'est des armes. Il n'y a pas de... Voilà.
[00:11:31] Speaker C: Je confirme que ça ne ressemble pas du tout à ça. Je connais bien le son.
Malheureusement, mais ça ne retombe pas du tout.
[00:11:38] Speaker B: C'est pour ça que je voulais que tu viennes voir, parce que je pense que c'est fort, mais que c'est pas... Contrairement à ce que les gens, certaines personnes qui sont, à mon avis, un petit peu trop matrixées par tout ce qu'on leur dit, tirent des conclusions sans comprendre ce que c'est vraiment.
[00:11:53] Speaker C: Complètement. Et je trouve que pour un analyste d'art, c'est de la merde. C'est un peu agressif, mais c'est vrai. Il y a un moment quand tu analyses de l'art, t'es censé être ouvert et essayer de comprendre, même si tu ne l'as pas apprécié forcément. Il faut comprendre. C'est ça le principe. C'est pas juste de dire c'est nul ou merde.
[00:12:10] Speaker B: Ce qui est très drôle, c'est que du coup, dans Libération, c'était une interview et la personne a dit quand on dit à l'artiste que c'est trop violent, il sourit. d'un sourire malsain. Et moi, je trouve ça génial parce que, en fait, c'est des gens qui viennent voir de l'art et qui sont choqués que l'art fasse réagir.
[00:12:33] Speaker C: C'est vrai, je pense que c'est le principe.
[00:12:34] Speaker B: Ah bah ouais, c'est vrai. On aurait pu faire juste des petites fleurs qui dansent, peut-être.
[00:12:38] Speaker C: Ça fera un jour aussi, mais c'est pas le même principe.
[00:12:40] Speaker B: Non, parce que les gens, ils s'en foutent, en fait. Tu l'as vu et puis t'as fait ah bah trop bien. J'ai regardé Oui Oui avec ma fille, ça faisait la même chose. Ouais.
[00:12:48] Speaker C: C'est vrai que...
[00:12:49] Speaker B: L'art, quoi.
[00:12:50] Speaker C: Oui, bon, en tout cas, voilà, c'était super.
[00:12:52] Speaker B: En tout cas, on les félicite parce que c'est incroyable. Moi, j'ai...
[00:12:54] Speaker C: Franchement, j'ai été les féliciter à la fin. J'étais vraiment impressionné parce que ça m'a fait penser à un gros tableau décomplexé de Nine Inch Nails, par exemple. Tu vois, j'avais vraiment cette impression de voilà, on peut faire vraiment ce qu'on veut et on peut y aller sans se dire bah, ça ne va pas vendre. En se disant c'est cool et on le fait à fond. Parce que bon, on est bien d'accord que Nine Inch Nails, aujourd'hui, c'est de la merde. Alors bon, du coup...
[00:13:16] Speaker B: On ira quand même les voir, mais...
[00:13:19] Speaker C: Ah, on me dit dans l'oreillette qu'on nous a enlevé les tickets d'invitation.
[00:13:22] Speaker B: Alors moi c'est bon, c'est Guérin qui m'offre une place, donc je peux y aller.
[00:13:25] Speaker C: Moi aussi, donc ça va.
[00:13:27] Speaker B: À Trent, dans les Dampans.
[00:13:30] Speaker C: Eh, bisou Anne-Michel.
[00:13:31] Speaker B: On vous aime bien quand même quand vous nous donnez des places.
[00:13:35] Speaker C: Voilà, à part quand vous nous insultez. Alors sinon...
[00:13:37] Speaker B: Alors... Ah bah tiens, j'ai pas branché.
[00:13:39] Speaker C: Ça, ça pue de lumière ici.
[00:13:40] Speaker B: Bah oui, ça fait un petit moment que ça s'est éteint.
[00:13:42] Speaker C: Ah bah voilà, tu vois, je viens de rebrancher. Oh ! Ah bah ça change tout !
[00:13:45] Speaker B: J'attendais qu'on termine ce speak pour... Ouais.
[00:13:48] Speaker C: Mais je trouve que c'est toi, c'est.
[00:13:49] Speaker B: Ça la réalité du direct. Bon, on peut regarder un petit clip ?
[00:13:53] Speaker C: Alors oui, j'ai choisi Biffic Lairo parce qu'ils ont sorti une nouvelle chanson et que comme on est des lovers de Biffic Lairo et que ce sont des amis et qu'on les aime fort fort fort...
[00:14:02] Speaker B: On verra si c'est toujours des amis s'ils viennent nous voir quoi !
[00:14:04] Speaker C: Si, ça va !
Je me suis permis d'envoyer le petit WhatsApp qu'il ne faut pas envoyer. C'est un peu gênant pour le groupe quand ça fait très longtemps que tu n'en as pas parlé. Et les gens disent « Hey les gars, c'est super !
[00:14:13] Speaker B: » Ça fait très longtemps qu'ils n'avaient pas d'actu, donc on n'avait pas trop d'envie.
[00:14:16] Speaker C: Je me suis posé une question, je sais c'est un peu long, mais je me permets. Je me suis dit pourquoi ils ont attendu tant de temps ? Alors il y a eu les projets parallèles, je suis bien d'accord, enfin au moins un, parce que je ne sais pas s'il y en a eu plus. Mais est-ce que, parce que cette chanson, on en pense quoi ?
[00:14:34] Speaker B: Je ne l'ai pas écouté moi.
[00:14:35] Speaker C: Ah oui ? Alors, moi je l'ai écouté, je l'aime bien parce que je suis fan de Biffy Clareau, mais je pense que du coup, c'est pas très objectif. Elle ressemble un peu à tout ce qu'on a déjà entendu d'eux. On n'est pas dans l'originalité, on n'est pas dans le truc décortiqué, tordu.
[00:14:47] Speaker B: Quand t'es parti aussi longtemps, c'est bien de revenir avec un truc que les gens peuvent comprendre assez facilement.
[00:14:52] Speaker C: Ah oui, j'ai pas pensé à ça.
[00:14:53] Speaker B: Peut-être que les surprises seront dans la suite, Pierre.
[00:14:55] Speaker C: J'ai pas pensé à ça, t'as bien raison.
[00:14:57] Speaker B: Parce que là, il y a eu le Covid, il y a eu Empire State Bastard, Bon bah voilà, ça fait huit ans qu'ils sont pas venus quoi.
[00:15:06] Speaker C: Ça fait déjà huit ans.
[00:15:06] Speaker B: Je m'en sers rien, j'exagère.
[00:15:08] Speaker C: Ça fait longtemps. Mais en tout cas, le morceau il est bien quand même. Et puis, on les voit sourire, on les voit s'amuser. Et ça, ça fait plaisir parce que c'est aussi leur qualité. C'est-à-dire que quand vous les voyez en live, vous ressortez avec de la bonne énergie en vous. Et ça, c'est plutôt cool. Donc voilà, c'est pour ça que j'ai décidé de passer ce A Little Love pour ouvrir cette émission. Tout simplement, Ben, parce que je t'aime fort, tu sais.
[00:15:28] Speaker B: J'aimerais pouvoir en dire autant.
[00:15:30] Speaker C: Allez, bienvenue à vous toutes, à vous tous, montez le son !
[00:16:21] Speaker A: C'Est bon C'est parti pour le tour du monde !
Je ne peux pas faire ça tout seul Cette fois, mon esprit a tout fait en morceaux J'ai cassé mon cœur, tu m'as décrédité We can conquer all I forgive all the things that you said And all the things that you've done With a little love Just for everyone Bang Bang !
[00:19:47] Speaker C: Sous-titres.
[00:20:17] Speaker A: Réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres.
[00:22:07] Speaker C: Ça c'est de l'épée mon salope !
[00:22:14] Speaker B: J'aime citer Boulinosor.
[00:22:16] Speaker C: Oui parce qu'on l'aime, on lui fait des cœurs. Boulinosor qui a fait le visuel pour le Picnic Rock. Vous êtes invités d'ailleurs, ça se passe le 19 juillet si vous êtes en Ile-de-France ou pas, si vous avez envie de venir. C'est le samedi 19 juillet à partir de 10h30-11h. On se retrouve au Bois de Vincennes, on donnera l'adresse exacte bien évidemment. Et puis on pique-nique réalisés para la communauté d'Amara.org vraiment. Le principe est simple, c'est un pique-nique, on écoute de la musique, je me déguise en homard et puis voilà.
Ouais.
[00:22:41] Speaker D: Entre autres.
[00:22:42] Speaker C: Il y a plein de choses. Des activités, quoi. Donc venez avec nous, on rigolera. C'est l'occasion de se rencontrer. Je sais déjà qu'il y a pas mal de gens qui sont pas encore venus, qui seront là. Et donc, du coup, on va pouvoir mélanger tout ce beau monde.
[00:22:51] Speaker B: La nouveauté.
[00:22:52] Speaker C: Et oui, c'est bien, c'est agréable. Ce que nous venons de regarder, c'était Horror, le tout dernier Horror, qui vient tout juste de sortir, qui s'appelle Upside Down. Plus calme.
[00:22:59] Speaker B: Boy, you turn me.
[00:23:02] Speaker C: Plus calme.
[00:23:05] Speaker B: Plus doux. Plus calme. Je pense qu'ils ont écouté Turnstile.
J'sais pas, j'pensais qu'il y avait une petite vibe un peu... La voix avec l'espèce de flanger, j'sais pas quoi...
[00:23:18] Speaker C: J'pense qu'ils avaient besoin de se calmer un peu aussi, peut-être.
[00:23:20] Speaker B: Ouais, ouais. Bah, ça va faire... Ouais, j'sais pas.
[00:23:22] Speaker C: Je sais pas.
[00:23:23] Speaker B: Je sais pas quoi en penser. J'trouve que c'est le titre où il y a le moins leur identité.
[00:23:28] Speaker C: Ah, c'est beaucoup moins punk, même s'il y a quand même un petit côté punk électrique, mais très très léger. Plus chic, entre guillemets. Quand bien même, il y a toujours ce petit côté, il y aura bientôt plus d'eau, ils font un petit clin d'œil aussi...
[00:23:39] Speaker B: À Marcel.
[00:23:40] Speaker C: Voilà.
Je vous disais est-ce que je dis le nom ? Non, je vais dire Marcel. Mais voilà, c'est bien plus amusant. Ben, tu sais, ce qui se passe généralement à ce moment-là de l'émission, il y a un gros problème. C'est que tout va être piraté par quelque chose d'assez troublant. Et je pèse mes mots. C'est l'heure du Flashbang !
[00:24:09] Speaker B: Motherfuckers !
[00:24:11] Speaker C: Et oui, ça fait vivre un peu les tabacs. Et c'est présenté bien sûr par Gladice ! I am alive ! Eh ben quand les deux sont ensemble c'est encore pire. Bonsoir mesdames. Bonsoir. Comment ça va ?
[00:24:30] Speaker E: Assez bien.
[00:24:31] Speaker D: Assez bien.
[00:24:33] Speaker C: Bah tu disais pas Sarantène.
Tu me racontais aussi que tu étais en festival le week-end dernier.
[00:24:42] Speaker E: Oui tout à fait, sous la pluie, c'était génial.
[00:24:44] Speaker C: Il a plu ?
[00:24:45] Speaker E: Quasiment tout le week-end.
J'ai pas gâché le plaisir, mais c'est dégueulasse quand même.
[00:24:50] Speaker C: T'as fait le Rock'n Park. Tu sais que j'ai jamais foutu les pieds là-bas, c'est bien ?
[00:24:54] Speaker E: C'était la première fois, pire organisation du festival de tous les temps.
[00:24:59] Speaker C: On a un ami à nous qui a fait une émission avec nous, Tim, qui a fait le Rock'n Park et le Rock'n Ring. Apparemment c'est pareil. Ah c'est pas pareil, il m'a dit le Rock'n Park c'est chiant, le Rock'n Ring c'est super bien organisé.
[00:25:10] Speaker E: Parce que j'ai un pote qui était au Rock'n Ring qui m'a dit c'est pareil ici, c'est vraiment la merde.
[00:25:13] Speaker C: Tim tu es un menteur.
[00:25:14] Speaker B: Après ça dépend peut-être de quel côté tu te trouves.
[00:25:18] Speaker E: Après j'ai parlé avec beaucoup d'Allemands là-bas en leur disant justement je comprends pas, c'est vraiment un gros bordel. C'est vraiment un énorme bordel alors que pourtant les Allemands sont réputés quand même pour être carrés surtout en termes d'orgas tu vois. Et en fait, les autres années...
[00:25:33] Speaker C: À une époque !
[00:25:34] Speaker E: De ce que j'ai compris, les autres années, ça se passait vachement mieux que cette année. Et là, ça a été racheté par un fonds d'investissement suisse, ce qui explique peut-être le bordel, d'autant qu'ils ont vendu beaucoup plus de places qu'il n'y avait réellement de places dispo.
[00:25:47] Speaker B: Les Suisses, on ne peut pas leur faire confiance.
[00:25:48] Speaker C: Je me souviens, il n'y a pas eu pas moins d'heures pour la visite. Finalement, on y revient tous les jours. Mais ouais, les Allemands sont organisés. C'est souvent une légende aussi.
[00:26:00] Speaker E: Il n'y a même pas d'eau, putain ! Un festival sans eau, t'as déjà vu ça ?
[00:26:03] Speaker B: Ah ça, il y a aussi à Paris. Le Lola Paris à l'époque.
[00:26:07] Speaker E: Non mais même à la sortie des shots, t'as pas d'eau, tu peux même pas te laver les mains.
[00:26:10] Speaker B: C'est une dinguerie.
[00:26:12] Speaker C: Parce que tu pensais que t'allais te laver les mains dans la pisse. Par contre, les Allemands, de ce côté-là, sont très libérés.
[00:26:18] Speaker B: Non mais parce qu'en fait c'est des festivals où ils veulent que t'achètes de l'eau en bouteille.
[00:26:24] Speaker E: Mais ils vendent pas d'eau plate, ils vendent que de l'eau gazeuse. Et c'est un verre, et c'est 7 balles le verre de gazeuse. Moi j'aime pas l'eau gazeuse. J'ai envie de me laver les mains. Je fais comment ?
[00:26:32] Speaker B: Non mais je suis... Je cherche pas à me convaincre.
[00:26:35] Speaker E: C'est un truc, ça m'a énervé de ouf.
[00:26:36] Speaker B: Je t'explique juste pourquoi ils le font, je te dis pas que... Ne serait-ce.
[00:26:39] Speaker F: Qu'En termes d'hygiène quoi.
[00:26:41] Speaker B: C'est irrespectueux.
[00:26:43] Speaker C: Bon, eh bien voilà la petite news sur ce festival.
[00:26:46] Speaker B: En plus maintenant il n'y a que des toilettes sèches, tu peux même pas utiliser la cuvette pour te laver les mains.
[00:26:50] Speaker C: Alors qu'avant tu pouvais récupérer un peu ce qui traînait autour.
[00:26:53] Speaker E: Par contre en termes d'affiches, c'était pour moi la meilleure affiche cette année. Il n'y a pas photo. Mais ouais, leur gars, leur quoi.
[00:27:00] Speaker C: Ok, c'est quoi que t'as préféré ?
[00:27:02] Speaker E: MTH.
[00:27:03] Speaker C: Ah, comme par hasard.
[00:27:07] Speaker E: Moi qui appelle aussi que je retourne voir le 18. On n'en a jamais assez de moi qui appelle, non.
[00:27:13] Speaker C: J'en ai pas beaucoup, mais enfin bon. Mais non, tu fais bien. Je te donne ma place.
Qu'est-ce que je voulais dire ? Donc il s'est passé quoi dans les news ? Parce que tu es quand même là pour ça, s'il te plaît.
[00:27:25] Speaker E: Alors, entre départ, censure, comparaison inattendue et gros comeback, j'ai gratté les fonds de tiroir parce qu'il n'y avait pas grand-chose. On commence par la France. H&M repousse Chimera au 12 septembre. Je pense que vous en avez tous entendu parler. Mais les Français repoussent leur premier album à cause de soucis de fabrication. L'album devait initialement sortir le 13 juin.
Moi je l'ai déjà écouté et je comprends pourquoi les fans sont impatients, mais ils vont devoir du coup patienter deux mois de plus.
[00:27:51] Speaker C: Ça c'est parce qu'il y a un problème de fabrication de... de quoi ? De vinyle ?
[00:27:55] Speaker E: Ouais, de tout ce qui est vinyle CD.
[00:27:57] Speaker C: Putain. Ah ouais, alors c'est que non, ça doit pas être très agréable à apprendre. On a tout notre soutien d'ailleurs, mais...
[00:28:04] Speaker B: Surtout quand t'as une stratégie de com' qui a déjà tout calé depuis des années.
[00:28:08] Speaker C: Putain, et ouais... Alors j'ai envie de dire aussi, quand tu sais que c'est les CD et les vinyles, c'est pas ça qui va faire l'éclat.
[00:28:15] Speaker E: Après, je pense que...
[00:28:16] Speaker C: C'est des beaux objets de collection.
[00:28:17] Speaker E: D'un autre côté, c'est peut-être pas plus mal parce que le sortir en juin en période de festival, c'est peut-être pas forcément le meilleur moment.
[00:28:23] Speaker B: C'est quitté double.
[00:28:24] Speaker C: Après le septembre, c'est la rentrée, c'est la guerre. Il n'y a pas vraiment de bon moment.
[00:28:28] Speaker E: Du coup, il sort le 12 septembre.
[00:28:31] Speaker B: Ah ouais.
[00:28:33] Speaker C: De toute façon on en parlera, puisqu'on l'aura en interview pour le Hellfest, donc on va pouvoir en discuter un tout petit peu avec lui.
[00:28:40] Speaker E: Moi je l'ai déjà écouté du coup, je l'ai eu deux mois à l'avance du coup, plus.
[00:28:44] Speaker C: C'est juste pour te la péter.
[00:28:45] Speaker E: Non mais parce que tu sais quand t'as la petite carte presse, tu reçois deux trois semaines à l'avance, des fois un mois, mais là du coup j'ai eu le temps d'écrire une très très belle chronique.
[00:28:53] Speaker C: Attention la tirade ! En tout cas on est de tout cœur avec eux et puis on espère que ça va très bien se passer pour eux en septembre. Qu'est-ce qu'il y a d'autre ?
[00:29:04] Speaker E: Ensuite, malévolence censurée, le clip Salt The World retiré. Alors je sais pas, vous avez vu ?
[00:29:09] Speaker B: Non.
[00:29:10] Speaker E: Alors le clip a été supprimé de la chaîne Nuclear Blast suite à des menaces juridiques du National Trust pour un tournage sur un site public. Mais les fans l'ont déjà replaudé, donc soutien massif à Malévolence.
[00:29:20] Speaker C: Ok, mais donc c'est juste...
[00:29:22] Speaker E: C'est juste parce qu'en fait ils ont tourné...
[00:29:24] Speaker C: Dans un lieu où ils n'ont pas demandé d'autorisation. Mais c'est pas bien, il faut respecter les règles.
[00:29:27] Speaker E: Là on a déjà eu des milliers de vidéos prises mais... Avec des autorisations.
[00:29:31] Speaker B: Des fois, c'est juste quand il y a des oeuvres d'architectes ou des trucs comme ça, qui sont protégées par le droit d'auteur. Du coup, il faut payer pour avoir le droit de le poster. Par exemple, la tour Eiffel, quand elle est éclairée, t'as pas le droit.
[00:29:47] Speaker E: T'as pas le droit de faire des vidéos.
[00:29:49] Speaker B: T'as pas le droit de... Si tu fais un clip sauvage et que tu tournes devant la tour Eiffel et qu'il y a la tour Eiffel en deux jours, ça va. Si c'est de nuit quand elle clignote, il faut que tu payes.
[00:29:59] Speaker E: C'est sérieux ça ?
[00:30:00] Speaker B: La grande arche de la défense, si tu la filmes, il faut que tu payes.
[00:30:05] Speaker F: Parce que c'est à des fins commerciales, tu veux dire que c'est pour promouvoir un truc ?
[00:30:08] Speaker B: Non, si c'est une utilisation commerciale ou promotionnelle, il faut que tu payes. Parce que l'éclairage, c'est l'oeuvre d'un architecte.
[00:30:23] Speaker E: Moi le délire de la Tour Eiffel...
[00:30:25] Speaker B: Non mais je suis d'accord avec toi, il faut que t'arrêtes de t'en prendre à moi.
[00:30:28] Speaker C: Moi j'explique juste pourquoi le monde c'est de la merde.
[00:30:31] Speaker B: C'est pas de ma faute, c'est pas mon choix.
[00:30:33] Speaker E: Mais le délire de la Tour Eiffel...
[00:30:34] Speaker B: Je suis pas venu ici pour souffrir, ok ?
[00:30:36] Speaker E: De devoir payer même pour visiter la Tour Eiffel alors que nous, parisiens, on paye des impôts locaux pour l'entretenir, ça c'est un truc...
[00:30:42] Speaker B: Elle n'est pas entretenue. T'inquiètes, il n'y en a plus pour longtemps, elle va s'écrouler.
[00:30:48] Speaker E: J'espère, franchement.
[00:30:49] Speaker C: Le mec a des bonnes nouvelles.
[00:30:50] Speaker B: Ils n'ont pas refait la peinture depuis beaucoup trop d'années. Elle est en train de rouiller.
[00:30:55] Speaker C: Ça va bien se passer. C'est quand même la dame de fer. La dame de rouille.
[00:31:01] Speaker B: Ce n'est pas la dame d'inox, justement.
[00:31:03] Speaker E: Avec toute la thune qu'ils se font en visite, ils ne sont même pas foutus de l'entretenir. Ils en font quoi de l'argent ?
[00:31:08] Speaker B: Je veux savoir.
[00:31:09] Speaker E: Rendez l'argent.
[00:31:10] Speaker C: Entretenez les soirées parisiennes.
Il se passe plein de choses, ça coûte de l'argent.
[00:31:14] Speaker B: Ils ont remis le ballon des Jeux Olympiques, voilà où passe l'argent.
[00:31:19] Speaker C: En Suisse, c'est joli.
[00:31:20] Speaker B: Je m'en fous.
[00:31:22] Speaker C: Bon, voilà, très bien.
[00:31:26] Speaker E: Ensuite, on a David Ramis Affelt.
[00:31:30] Speaker C: C'est bien vendu déjà. Si tu ne dis pas fort, essaye.
[00:31:37] Speaker B: De le dire au moins dans le micro.
[00:31:39] Speaker E: David Ramis Affelt quitte The Ocean. Le guitariste quitte le groupe après 7 ans pour raisons personnelles. Le groupe se veut rassurant. The Ocean. continue. Un nouveau line-up à venir du coup.
[00:31:57] Speaker B: C'Est pas du tout lequel. Ils sont en tournée pendant le... Ils font la tournée ? Ils sont pas en tournée là ?
[00:32:05] Speaker C: C'est quoi on a déjà dit Ocean ? C'est un peu...
[00:32:07] Speaker B: Je m'en rappelle plus, à chaque fois.
[00:32:08] Speaker F: Je confonds avec deux.
[00:32:11] Speaker C: Ah bon ?
[00:32:11] Speaker B: Non, non, ils sont anglais je crois. Ou américains.
[00:32:15] Speaker C: Vous voyez, ça veut dire que tout le monde s'en fout.
[00:32:17] Speaker B: Dites-nous en commentaire.
[00:32:19] Speaker D: Quand j'ai dit que j'avais un téléphone.
[00:32:19] Speaker E: De tiroir, j'ai pas menti.
[00:32:21] Speaker C: T'as pas une nuit sombre là, j'espère ?
[00:32:24] Speaker B: Dites-nous en commentaire, voilà, on attend que vous nous corrigiez. Ah bah non, ils sont allemands. C'est Francis Munster qui nous l'a dit.
[00:32:30] Speaker E: Elle avait raison.
[00:32:31] Speaker C: C'est Francis Huster ?
[00:32:32] Speaker B: Non, Munster.
[00:32:34] Speaker C: Merci Francis. C'est incroyable. Très bien, The Ocean, bah tant pis. Dommage, pour des raisons personnelles, il a peut-être mal au pénis.
[00:32:42] Speaker E: Peut-être.
[00:32:43] Speaker F: Pourquoi tout de suite ?
[00:32:44] Speaker C: Tu sais ce que ça fait ? Tu sais ce que ça fait ? Tu sais c'est comme quand t'as envie de te gratter les burnes.
[00:32:52] Speaker B: Tais-toi !
[00:32:52] Speaker F: Tais-toi !
[00:32:52] Speaker C: Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi !
[00:32:54] Speaker B: Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi !
[00:32:58] Speaker E: Tais-toi !
[00:32:59] Speaker C: Tais-toi Tais-toi !
[00:32:59] Speaker E: Tais-toi ! Tais-toi !
[00:32:59] Speaker B: Tais-toi !
[00:32:59] Speaker C: Tais-toi !
[00:33:00] Speaker E: Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi Tais-toi !
[00:33:01] Speaker C: Tais-toi !
[00:33:02] Speaker B: Tais-toi Tais-toi !
[00:33:02] Speaker E: Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi Bah elle a été bien payée.
[00:33:12] Speaker C: Oh pardon. !
[00:33:12] Speaker B: T En même temps, c'est pas le mec de Townstyle qui a fait son dernier clip ?
[00:33:18] Speaker C: Si. Voilà. Ils sont très amis.
[00:33:21] Speaker B: Alors tu peux dire les deux, mais je me suis renseigné quand j'étais aux Etats-Unis et c'est Townstyle qui revient le plus.
[00:33:27] Speaker E: De toute façon, il n'y a pas un nom de groupe que je vais prononcer correctement.
[00:33:29] Speaker B: Non mais je te donne des tuyaux, après tu refais ce que tu veux.
[00:33:36] Speaker C: J'ai rien dit.
[00:33:37] Speaker B: Je me suis tué.
[00:33:38] Speaker C: Par contre, je crois que ça a fait un gros bruit dans mon crâne.
[00:33:41] Speaker E: Moi, j'ai vu un truc passer aussi.
[00:33:42] Speaker C: Un gros tuyau ? Un gros tuyau, oui.
[00:33:45] Speaker F: Et moi, j'ai une chanson des tuyaux dans la tête, maintenant.
[00:33:47] Speaker C: Ok.
[00:33:48] Speaker B: J'ai le corbeau derrière.
[00:33:50] Speaker C: Dans Nicky Larson ?
[00:33:51] Speaker B: Oui, exactement.
[00:33:52] Speaker C: Oui, écoute, oui, j'ai vu ça. C'est juste que je pense qu'elle était là aussi pour vendre le groupe. Après, l'album n'est pas si horrible que ça.
[00:33:59] Speaker B: Non, mais quelque part, elle a raison.
[00:34:01] Speaker C: Ouais, il y a un truc qui...
[00:34:04] Speaker B: Ils ne se posent pas de... Ils ne se mettent pas vraiment de limites. Après, est-ce que c'est bien, est-ce que c'est pas bien, ça c'est une autre question. Est-ce que c'est sincère ou est-ce que c'est pas sincère, ça c'est une autre question.
[00:34:14] Speaker C: Si on trouve les e-turn style, il y en a un groupe qui a choisi quand même de gagner des sous. Je me laisserai deviner lequel.
[00:34:20] Speaker E: En tout cas, sur le dernier turn style, je suis un peu mitigée.
[00:34:23] Speaker C: Ah bon ?
[00:34:23] Speaker E: Ouais, je suis dubitative. Il y a des choses que j'aime beaucoup, d'autres qui me manque.
[00:34:28] Speaker C: J'arrête pas de leur cracher à la gueule, mais j'ai quand même apprécié l'album parce que c'est quand même rigolo de cracher à la gueule des groupes qui marchent. Mais bon, en vrai, j'ai bien apprécié l'album.
[00:34:34] Speaker E: Il est bien, mais il y a des trucs qui me manquent.
[00:34:36] Speaker B: J'ai pas envie de l'écouter.
C'est ce que j'ai entendu, il y a des passages que je trouve cool, et il y a des trucs que je trouve c'est de la branlette, du coup ça me donne pas envie. C'est un peu comme Sleep Token. Sleep Token, je l'ai écouté, j'ai fait ah il y a des trucs cools, et puis il y a des passages.
[00:34:50] Speaker C: Où je me suis dit ah c'est de la branlette.
[00:34:52] Speaker B: Non mais, je dis pas que c'est la même chose, je dis que c'est le même principe.
[00:34:55] Speaker C: Oui, oui, j'ai entendu, j'ai entendu.
[00:34:56] Speaker B: Chacun fait ce qu'il veut.
[00:34:58] Speaker C: Play, play, play, play.
[00:35:00] Speaker E: Ensuite on a notre mamie préférée, Sharon Osbourne, qui a viré un groupe de tournée.
[00:35:06] Speaker C: Oui !
[00:35:07] Speaker E: Un groupe non nommé a été éjecté de la tournée Back to the Beginning pour avoir été irrespectueux envers l'équipe Sharon Tranche Sans Etat d'âme.
[00:35:16] Speaker C: Alors oui, et puis il y a des rumeurs. Il y a des rumeurs qui disent que c'est Tool. Et c'est ce que j'ai lu. Après, je ne sais pas si c'est vrai ou pas.
[00:35:25] Speaker E: Je n'ai pas cité le nom parce que je n'ai aucune certitude.
[00:35:27] Speaker C: On ne sait pas. Mais ce qui était écrit, c'était qu'apparemment, c'était Toul et qu'elle les a virés. Après, est-ce que c'est parce qu'ils s'étaient respectués envers l'équipe ou parce que c'est une vieille conne ? Bon, ça, c'est une possibilité aussi.
[00:35:40] Speaker E: La question se pose.
[00:35:41] Speaker B: Peut-être qu'elle est allée les racketter après un concert et ils n'ont pas donné assez de bac chiche à la fête. Bah vous dégagez !
[00:35:47] Speaker E: Ou alors elle en a dragué un d'eux et puis elle s'est fait envoyer bouler.
[00:35:50] Speaker B: J'espère que c'était minable.
[00:35:52] Speaker C: Toutes les théories sont possibles.
[00:35:55] Speaker F: Ça mérite d'être enquêté quand même.
[00:35:56] Speaker C: Ouais, si vous avez des renseignements secrets.
[00:35:58] Speaker B: Top secrets british, mettez-les dans le cheveu.
Ou en commentaire sur cette vidéo. On veut tous les dramas.
[00:36:07] Speaker C: Voilà, dites-nous tout s'il vous plaît, on vous en supplie. Qu'est-ce qu'il se passe Marcel ? Il est en train de secouer tout notre écran, je suis perturbé. Bon Sharon Osbourne, on s'en fout de toute façon, elle a toujours fait des trucs méchants, elle n'a jamais été très agréable. Elle pense qu'elle a son fric, même pas à son mari, c'est une teigne. Après elle a de la force du caractère, mais elle n'a pas utilisé abonné-scient je dirais.
[00:36:27] Speaker E: C'est une vieille mamie aigrie depuis au moins 40 ans quoi.
[00:36:29] Speaker C: Au moins depuis 80 ans.
[00:36:32] Speaker B: Avant sa naissance.
[00:36:33] Speaker C: J'ai vu un article sur la science qui disait qu'on allait d'ici 2100 vivre 1000 ans. Bah elle t'imagines si elle vivait 1000 ans ? L'enfer !
[00:36:40] Speaker E: Même pour moi j'aimerais pas vivre 1000 ans, ça va être chiant.
[00:36:44] Speaker C: T'imagines on met cette émission pendant 1000 ans ? Oh les dieux ! Depuis 1000 ans ?
[00:36:51] Speaker B: La ville ?
[00:36:51] Speaker E: Après si je vieillis pas plus que j'ai pas de ris de tout ça, pourquoi pas ?
[00:36:56] Speaker B: Oh la cougar ! Regarde là la cougar !
[00:37:00] Speaker C: Il n'y aura pas de nouveau-nés apparemment. Ils seront obligés de se taper ceux qui ont 900 ans. C'est quand même 100 ans de moins.
[00:37:09] Speaker B: Ok, on enchaîne ?
[00:37:11] Speaker E: Du coup, on enchaîne avec un clip que Amélie va présenter.
[00:37:17] Speaker F: Le clip, c'est The Prestige.
[00:37:18] Speaker B: Et pourquoi ?
[00:37:19] Speaker E: Parce que j'avais envie.
[00:37:21] Speaker F: C'est parce qu'ils sont très gentils, c'est des copains. Voilà, tout à fait.
[00:37:25] Speaker B: C'est vrai qu'on les connaît d'ailleurs. Vous verrez sûrement le chanteur avec nous au Hallfest.
[00:37:29] Speaker C: Voilà.
[00:37:30] Speaker E: Et du coup, le titre, c'est « Voir dire ».
[00:37:32] Speaker C: Alors oui, parce qu'il y a eu de l'actu.
[00:37:33] Speaker B: Qui est issu de la réédition de l'album « Amère », qui a été remasterisé et qui est ressorti. Et du coup, ils ont fait des petits clips pour présenter le titre.
[00:37:43] Speaker C: C'est ça la question, c'est un nouveau clip ?
[00:37:45] Speaker B: C'est un nouveau clip d'une vieille chanson remasterisée. Et alors, autant des fois le remastering, Bof ! Autant là, ça a une vraie valeur. Vraiment, t'écoutes le titre avant, après tu fais, ah oui ok ! Donc écoutez-le, écoutez tout l'album d'ailleurs. Très bien. Je vous conseille aussi d'écouter la chanson Cris de Cœur qui est la meilleure chanson de cet album.
[00:38:05] Speaker C: A savoir que grâce à cette réédition, cette remasterisation, ils ont plein plein de superbes articles au Royaume-Uni sur leur musique. Ils ont même été élus grosse révélation et truc à écouter absolument. Donc on les félicite.
[00:38:19] Speaker B: Avec un album qui a 10 ans, ça c'est quand même balèze.
[00:38:21] Speaker C: Les Anglais ne sont pas forcément tout le temps au taquet.
[00:38:24] Speaker B: Même à l'époque, quand c'est sorti, ils ont eu de très bonnes prestiges.
[00:38:29] Speaker C: Je ne me souvenais plus.
[00:38:30] Speaker B: C'est vraiment un groupe excellent. Je vous conseille d'aller le voir en live puisque c'est aussi excellent. Ces concerts sont produits de mains de maîtres. Et puis, vraiment, plein de dates et plein de bons concerts.
[00:38:43] Speaker E: Petite fierté du coup.
[00:38:46] Speaker C: T'as compris ? C'est parti, deux prestiges.
ARRÊTE DE VOUS ATTENDRE !
[00:41:46] Speaker B: Alors j'ai dit une bêtise, c'est un encyclique.
[00:41:52] Speaker C: J'ai fait une goutte, c'est l'émotion.
[00:41:55] Speaker B: Pas la première, pas la dernière.
[00:41:56] Speaker C: Non, j'en fais depuis tout à l'heure. J'ai un flux continu.
[00:42:00] Speaker B: On l'appelle le maître gouttier.
[00:42:02] Speaker C: Quelle horreur. The Prestige, donc, c'est ce que nous venons de regarder, d'écouter pour ceux qui sont en podcast. Donc, il y a une réédition. N'hésitez pas à aller l'écouter. Puis bon, le clip, pour ceux que vous avez vu, oui, en fait, c'est le vieux clip, mais c'est pas grave. La chanson a été remasterisée et c'est ça qu'il faut garder. Le petit Alex. Ben oui, Alex sera avec nous au Hellfest et je suis bien content parce qu'on le voit trop peu. Et pourtant, on a passé tant de moments forts ensemble. Qu'est-ce que je voulais dire d'autre ? Je ne sais plus.
[00:42:28] Speaker B: Je ne sais pas, tu voulais peut-être demander à Gladys la suite des news.
[00:42:30] Speaker E: La prochaine news, elle va vraiment plaire à Marcel parce que ça concerne Ice Nine Kills qui décroche un disque d'or. A Grave Mistake vient de passer la barre des 500 000 ventes aux USA. Une première pour le groupe et une victoire pour le Metalcore horrifique.
[00:42:46] Speaker C: Alors, on me signale qu'il faut que je mette le micro comme ça.
Bah écoute, 500 000, vente !
[00:42:53] Speaker B: Mais t'es vraiment...
[00:42:54] Speaker C: Mais il était là, il m'a dit qu'il fallait pas que je le mette là !
[00:42:57] Speaker B: Non mais faut que tu parles en face !
[00:42:58] Speaker C: Mais quand il est là... Trop bêta ! Mais il est où ma bouche ?
[00:43:02] Speaker B: Bah, bah... Je sais que tu la confonds souvent avec autre chose, mais... Ah, pourquoi t'as.
[00:43:08] Speaker C: Enlevé le zoom sur ma bouche ?
[00:43:10] Speaker B: Oh, je suis fatigué... Heureusement que l'émission est bientôt finie !
[00:43:15] Speaker E: C'est nul là, non pas du tout.
[00:43:17] Speaker C: 500 000 ventes, non c'est pas mal. Oh franchement c'est pas mal.
[00:43:19] Speaker B: Bravo, bravo, bravo.
[00:43:20] Speaker E: Disque d'or c'est cool.
[00:43:21] Speaker C: Non mais quand il dit 500 000 ventes, c'est 500 000 vraies ventes ou c'est calculé avec les écoutes ?
[00:43:25] Speaker E: Oh non c'est 500 000 vraies ventes.
[00:43:25] Speaker B: Bah si c'est des ventes, c'est des ventes.
[00:43:26] Speaker C: Ok d'accord.
[00:43:28] Speaker B: Bravo Ice 99 Kinschnels.
[00:43:30] Speaker E: Même si ils ont fait appel à une IA la semaine dernière pour faire des tracks.
[00:43:34] Speaker C: Oui. C'était il y a deux semaines peut-être.
[00:43:37] Speaker B: C'est pour un visuel promo pour une des soldes.
[00:43:39] Speaker E: Ça m'est resté en travers la gorge.
[00:43:40] Speaker B: Oui bah on en connaît d'autres qui utilisent des IA.
[00:43:43] Speaker E: J'ai cru qu'il allait dire... Non mais.
[00:43:45] Speaker C: Voilà, je sais bien, mais moi tu.
[00:43:47] Speaker B: Vois je me suis tué, je me.
[00:43:48] Speaker C: Suis fait suffisamment des blancs... Bon c'est gardons d'incompris ! Bon la suite, flic latisse ! Je sais pas si je vais y arriver...
[00:44:00] Speaker E: Alors BABYMETAL en tête d'affiche aux USA cet été. Le groupe japonais enflammera le Mohan Sun Arena le 27 juin avec Black Veil Bride et Bloody Wood. Un nouvel album, Metal Force, est prévu le 8 août, entre autres avec Spirit Box, Storm Morello. Ouais, j'ai dit 8 août.
[00:44:19] Speaker C: Mais moi, c'est les choses simples me font rire.
[00:44:23] Speaker E: Bref, ils vont sortir un nouveau truc avec plein de feats.
[00:44:25] Speaker C: C'est un album où ils font que des feats ?
[00:44:28] Speaker B: C'est un album avec que des pieds.
[00:44:31] Speaker E: Moi je démissionne.
[00:44:34] Speaker C: Mais ça marche bien aux Etats-Unis.
[00:44:37] Speaker E: Bah apparemment.
[00:44:39] Speaker B: De toute façon là c'est un peu la... Ils ont fait l'Europe avec le feat avec Electric Cowboy. Ils ont fait le feat avec Poppy. Le but c'est d'aller marcher les US full ball. Parce qu'ils savent que c'est la fin, ils ont plus 15 ans.
[00:44:54] Speaker E: Je pense que ça va être comme un soufflé, ça va retomber très Ah.
[00:44:57] Speaker B: Bah de toute façon c'est... Le but n'est pas de faire une carrière comme à Osieusbourg.
[00:45:02] Speaker E: C'est juste de ramasser le plus de moulas possible.
[00:45:04] Speaker F: Elles étaient pas censées arrêter y'avait un moment ou j'sais pas quoi.
[00:45:06] Speaker B: Bah si mais elles sont revenues. Non non je crois qu'elles sont revenues. On pouvait pas juste arrêter... Non non je crois pas.
Après, ce qu'il faut bien comprendre, c'est que ce n'est pas un groupe... C'est des idoles, donc ça ne marche pas pareil. Il y a des producteurs derrière, il y a des trucs comme ça.
[00:45:25] Speaker E: C'est comme la K-pop ou la J-pop, c'est pareil.
[00:45:26] Speaker B: Exactement.
[00:45:29] Speaker C: Elle sait tout.
[00:45:31] Speaker B: N'hésitez pas à regarder le documentaire sur Netflix sur Catsize.
[00:45:35] Speaker E: Oh, il est génial.
[00:45:36] Speaker B: Très intéressant, si vous voulez voir un peu les coulisses.
[00:45:39] Speaker E: C'est trop cool.
[00:45:40] Speaker B: Ça permet de comprendre des choses.
[00:45:43] Speaker E: C'est vraiment cool, puis tu vois que c'est des bosseurs putain. Les français sont incapables de faire ça.
[00:45:47] Speaker B: Bah d'ailleurs, dedans il y en a une qui a du mal à suivre le rythme et c'est une suisse. C'est la plus proche des français. Par contre, il n'y a aucun français sélectionné.
[00:46:00] Speaker E: On se demande bien pourquoi.
[00:46:01] Speaker C: C'est pas grave, c'est pas grave, on restera dans notre fromage.
[00:46:04] Speaker B: Déjà il faut chanter en anglais, apparemment c'est compliqué.
[00:46:07] Speaker C: Yes, I am in the bilouc.
[00:46:08] Speaker E: Tu n'arrives déjà pas à dire un autre goût ?
[00:46:11] Speaker C: Bon, qu'est-ce qu'il y a d'autre, s'il te plaît ?
[00:46:13] Speaker E: Ensuite, Alestorm, sans H, prépare un nouvel album plus tourné, donc l'album The Thunderfist Chronicles.
[00:46:22] Speaker C: Mais tout est pervers dans ce...
[00:46:24] Speaker B: C'est surtout le moment où elle fait les pauses. On dirait Thunderfist Chronicles. Bon, ça passe un peu. Mais là, Thunderfist...
[00:46:36] Speaker C: C'est puissant.
[00:46:39] Speaker E: L'impact des mots, c'est important. Bref, il sort le 20 juin. Le premier single « Killed to Death by Piracy » est déjà dispo et une tournée mondiale est à suivre.
[00:46:49] Speaker C: Alors attends, sans le « H », c'est pas ceux qui se prennent pour des pirates ?
[00:46:54] Speaker B: C'est les pirates. Parce que c'est « Killed »… Ah oui, voilà.
[00:46:59] Speaker C: Ça se passe mal pour le bateau, apparemment.
[00:47:01] Speaker B: En plus, c'est Thunderfist, c'est pas Thunderfist.
C'est un un seul mot.
[00:47:06] Speaker E: Oui, c'est ce que j'ai dit.
[00:47:07] Speaker C: Donc t'as dit Thunder, FIST ! Du coup, on a compris que t'avais accentué sur FIST.
[00:47:12] Speaker E: Il y a des syllabes qui sont importantes.
[00:47:14] Speaker B: Après, il y a des mots qui t'intéressent plus que d'autres et on n'est pas là pour juger.
[00:47:16] Speaker C: Parce qu'elle aime foutre des patates dans la gueule les gens, c'est pour ça.
[00:47:18] Speaker F: Au moins, on va retenir le nom de l'album.
[00:47:21] Speaker E: Ça a eu un impact.
[00:47:22] Speaker C: On t'a demandé quelque chose Amélie ?
[00:47:23] Speaker E: Elle est là pour me soutenir.
[00:47:27] Speaker F: J'aime bien donner mon avis.
[00:47:29] Speaker C: Bon d'accord, ok, je me tais. Vous avez gagné.
[00:47:31] Speaker E: Ensuite, Dark Angel revient après 30 ans. Le légendaire groupe de thrash sort Extinction Level Event.
Premier single de leur futur album et le premier depuis les années 90. Donc c'est un énorme retour.
[00:47:47] Speaker C: Extinction, c'est la fin quoi. Et bien dire vraiment au revoir.
[00:47:52] Speaker B: J'savais même pas que ce groupe... Combustion spontanée ! J'connais même pas le groupe... Dark Angel ?
[00:47:57] Speaker C: Si... Au début j'ai cru qu'elle parlait...
[00:47:59] Speaker E: Moi j'connais la série mais pas le...
[00:48:00] Speaker C: Eh bah... Merci d'me voler ma blague ! Parce que bon... Comme musicalement on y connait rien...
[00:48:08] Speaker B: Les comères là...
[00:48:11] Speaker C: Les deux là... Oh là là...
[00:48:13] Speaker B: Mais vous... Un p'tit ballon de rosé, une plage là, c'est parfait !
[00:48:17] Speaker C: Oh bah vous laissez, arrête... Moi j'ai.
[00:48:18] Speaker D: Plus le droit de boire... Bah moi.
[00:48:19] Speaker E: J'Suis plus à la vodka mais... Ça.
[00:48:20] Speaker C: Fait dix jours que j'ai pas bu...
[00:48:22] Speaker E: Oh mon pauvre, ça va ?
[00:48:23] Speaker C: C'est pas facile.
[00:48:24] Speaker E: Bah ouais, je m'y doute bien.
[00:48:24] Speaker B: Moi ça fait 20...
[00:48:26] Speaker C: Mais au bout d'un moment tout s'en vire.
[00:48:28] Speaker B: Ah bah d'accord, bah merci de pas respecter ma sobriété.
[00:48:31] Speaker C: Soyez pas jalouse, elle boit du rouge, toi tu t'en fous.
[00:48:33] Speaker B: Ah non.
[00:48:34] Speaker E: Moi j'ai bu hier soir, voilà.
[00:48:36] Speaker C: Attention l'alcool c'est bon pour la santé, c'est important de le rappeler.
[00:48:38] Speaker E: Bon ça va, c'était du gin.
[00:48:40] Speaker C: Ça c'est des vêtements. Elle, elle a fait des soupes de jeans.
[00:48:44] Speaker E: Dernière news, Svalbard annonce sa séparation. Le groupe post-metal britannique se sépare après 13 ans. Dernière tournée mondiale prévue pour 2026. Coup dur pour les fans.
[00:48:58] Speaker B: Balbard on les avait reçus au Hellfest.
[00:49:02] Speaker C: Très très gentils.
[00:49:05] Speaker E: Bon.
[00:49:06] Speaker C: Y'a pas de raison, c'est juste on s'arrête.
[00:49:08] Speaker E: Ils ont pas donné de raison ou alors je les ai pas trouvés. Ou je les ai peut-être pas cherchés.
[00:49:13] Speaker C: Moi je suis fan.
[00:49:16] Speaker B: Après l'info c'est que ça s'arrête quoi.
[00:49:19] Speaker C: Quelqu'un soit la cause, non.
Non, parce que c'était tout choupite.
[00:49:25] Speaker B: Quand on va dire que Bang Bang, ça s'arrête, on va pas forcément donner une explication.
[00:49:28] Speaker C: Non, mais les gens n'ont rien à foutre.
[00:49:29] Speaker E: On saura que c'est à cause de moi, de toute façon.
[00:49:31] Speaker B: Quoi ?
[00:49:31] Speaker E: On saura que c'est à cause de moi, de toute façon.
[00:49:33] Speaker B: Non.
[00:49:33] Speaker E: Elle est toujours la blonde de l'histoire.
[00:49:34] Speaker B: Remarque, en même temps, peut-être qu'elle sera animatrice de la dernière émission.
[00:49:37] Speaker C: Alors, excuse-moi, qui est plus blonde entre toi et moi ?
[00:49:40] Speaker E: Toi, t'as pas assez de cheveux pour concurrencer avec moi.
[00:49:42] Speaker C: Je te montrerai le poil de mon cul, tu verras.
[00:49:49] Speaker B: J'suis pas revenu des Etats-Unis pour ça !
[00:49:51] Speaker C: Ah bah on parlait pas de tes.
[00:49:56] Speaker B: Poils de cul, ça c'est sûr !
[00:49:57] Speaker C: Ça c'est bien ce que tu crois, mais mon uniform il cartonne là-bas ! Tu voulais dire quelque chose Ben ?
[00:50:03] Speaker B: Vu comme t'es pauvre, ça m'étonnerait !
[00:50:07] Speaker C: Oh, ça va ? Bah non, t'es pas censé me soutenir. Bon, on termine sur mes poils de.
[00:50:12] Speaker E: Cul, donc... Ouais, on termine sur un clip sympa, du coup, parce que j'étais vénère et du coup, de pas trouver des bonnes news qui m'intéressent moi, du moins. Du coup, j'ai choisi The Plot In You avec le titre Take Me Away. Voilà.
[00:50:22] Speaker C: C'est tout ? T'as rien à dire ? Juste, on le passe sur ce que t'aimes bien ?
[00:50:25] Speaker E: Ouais.
[00:50:26] Speaker C: C'est un vieux clip, ça, non ?
[00:50:27] Speaker B: The Plot In You ?
[00:50:28] Speaker E: The Plot In You. T'as vu, celui-là, je le prononce pas trop mal.
[00:50:31] Speaker B: Ouais.
[00:50:31] Speaker E: Take me away, t'as vu ?
[00:50:32] Speaker B: Parce que t'aurais dit Plotting You, là, c'était drôle.
Toi, par rapport à Plotter, Pierre, il est homosexuel.
[00:50:41] Speaker C: C'est vrai, c'est drôle.
[00:50:44] Speaker B: Vous avez vu, je n'ai pas dit pédé pour une fois.
[00:50:49] Speaker C: Aïe, aïe, aïe. Aïe, aïe, aïe. Ma communauté va me tomber dessus.
[00:50:58] Speaker B: Oh, j'espère pour toi !
[00:51:00] Speaker E: Il attend que ça, il attend que ça.
[00:51:01] Speaker C: D'ailleurs, je suis toujours célibataire, je commence à redevenir vierge, donc n'hésitez pas. Je prends que du gros calibre, sinon ça ne m'intéresse pas du tout. Merci beaucoup pour ton aide.
[00:51:10] Speaker E: Avec plaisir.
[00:51:11] Speaker B: Tu as l'impression de faire un téléachat.
[00:51:13] Speaker C: Alors, est-ce que je peux vous dire que j'essaye tout ce qu'on m'envoie ?
[00:51:17] Speaker E: Envoyez plus de photos, envoyez plus de photos.
[00:51:20] Speaker C: Alors, oui, on est en 2025, je ne vais pas demander aux gens d'envoyer des photos.
Alors on fera une visio ! Je fais attention maintenant ! Bon, Gladys, en tout cas merci beaucoup d'avoir fait tous ces efforts et d'avoir cherché cette formation. Merci de ton humour et de ta beauté, de ta merveilleuse présence. Et merci à Amélie d'être à côté.
[00:51:40] Speaker F: Super déj-cu quoi !
[00:51:43] Speaker C: Amélie elle reste, elle reste pour toute l'émission.
[00:51:47] Speaker B: Elle nous parlera de ses petits coups de cœur de la semaine d'ailleurs.
[00:51:50] Speaker C: Et puis de ce qu'elle a fait aussi parce qu'elle a fait plein de choses. On y va, je vous rappelle juste que notre invité c'est Louis Emery et qu'il arrive d'ici quelques petites minutes. C'est parti !
[00:52:38] Speaker A: Le jour où tu es parti, Quelque.
[00:52:43] Speaker C: Chose à propos de ce lieu a changé Nous nous attendions pour des signaux.
[00:52:49] Speaker A: D'Amour Mais tu étais froid et je.
[00:52:53] Speaker C: Pensais que tu en avais assez Tu.
[00:52:54] Speaker A: M'As appelé, j'ai ressenti ta douleur quand tes yeux s'effondraient Et puis ton sourire a poussé toute ton âme C'est bon, c'est bon.
[00:54:39] Speaker F: Je sais que tu t'es battu fort.
[00:54:44] Speaker C: Et que tu as gardé ta fierté.
[00:54:46] Speaker A: J'aimerais que tu connaissais mes pensées et que tu m'entendais car j'étais en train de mourir de folle quand tu m'as appelé Et quand tu m'as dit ton nom, j'ai senti ta douleur Quand tes yeux s'effondraient, j'ai senti ta douleur.
[00:55:33] Speaker C: J'ai.
[00:55:56] Speaker D: Envie d'un truc classique J'ai envie d'un truc classique You know, classic shit like this.
[00:56:20] Speaker A: Black, black, low, it's a duché, God in a new wave, I said, Catch.
[00:56:27] Speaker D: Rich, come into my dance if you.
[00:56:29] Speaker A: Do said, I said, Better be my d*** when I'm wicked, Lucid dream, well I shot in a big head, Look into my eyes, well I shot in a big tear, Monsters, blossom to the grave, it's a good shit, I'm a bitch just in the living room, I'm.
[00:56:45] Speaker C: So fucked.
[00:57:11] Speaker A: J'am' back in a new day, I said Typical new day, like typical, you said, you said Believin' a man with a new dread He dread steppin' in a bed with a new friend Oh God, forgive me this day with a new gun Workup body stance and I come with a new pad Follow man while I'm takin' crack Listen to me while I take this track Your face, your face, your face, hide Your face, your face, your face, hide Your face, your face, your face, hide Your face, your face, your face, hide Your face, your face, hide Your face, your face, your face, hide Your face, your face, your face, hide Your face, your face, your face, hide Your face, your hide Your face, your hide Your face, your hide Your face, your face.
[00:58:23] Speaker D: Your face, hide Your face, your face.
[00:58:23] Speaker A: Hide Your face, your face, hide Your.
[00:58:23] Speaker C: Face, your face, hide Your face, your.
[00:58:24] Speaker A: Face, hide Your face, your face, hide Your face, your face, your face, hide.
[00:58:26] Speaker D: Your face, your hide Your face, your.
[00:58:27] Speaker A: Face, hide Your face, your face, hide Your face, your face, C'est parti !
[00:59:38] Speaker C: Mais qu'est-ce que j'ai dans le siffle ?
[00:59:39] Speaker B: Ah bah ouais !
[00:59:39] Speaker C: Ah bah ouais ! Il se passe beaucoup de choses ! Il se passe beaucoup de choses !
[00:59:43] Speaker B: Y'a des mains qui volent, y'a des...
[00:59:44] Speaker C: Oh j'en ai encore plein la barbe !
[00:59:45] Speaker B: Ça va être mal perçu ça.
[00:59:48] Speaker C: Je parlais de fromage blanc.
[00:59:50] Speaker B: Oui bah j'ai bien compris.
[00:59:51] Speaker C: Ah c'est vrai que t'es de mal en pie. Ben, qu'est-ce que nous venons de...
[00:59:55] Speaker B: On peut arrêter ces blagues comme ça un petit peu ? Je trouve que le changement de lignes éditoriales est un petit peu abusé.
[00:59:59] Speaker C: Ah déchirant ! Alors, qu'est-ce que nous venons de regarder mon petit Ben ? Nous venons de regarder...
[01:00:05] Speaker B: Je sais pas moi. C'était vachement bien.
[01:00:07] Speaker C: C'est très bien, ça s'appelle, alors j'espère le dire correctement du coup, j'ai un peu peur... Mannequin ?
[01:00:13] Speaker B: Non ! Manesquine !
[01:00:17] Speaker D: C'est vrai qu'on a eu beaucoup de monéquins... Attends, il ne faut pas mettre.
[01:00:20] Speaker C: Encore son image parce qu'il n'existe pas encore mais il peut le dire.
[01:00:23] Speaker D: C'est vrai qu'on a eu beaucoup de monéquins... Non, c'est monéquine.
[01:00:28] Speaker C: Bah ça, oui.
[01:00:29] Speaker B: Bah tu le dis comme ça c'est créé en fait.
[01:00:31] Speaker C: Oui, mais on sait jamais. Et donc, pourquoi on a passé ce clip ? Parce que dans ce clip, évidemment, il y a une personne qui est notre invitée ce soir, c'est Louis-Héberman !
[01:00:39] Speaker B: Ah j'ai craché.
[01:00:45] Speaker C: Ah c'est ça.
Bonsoir.
[01:00:50] Speaker D: Bonsoir.
[01:00:51] Speaker C: Merci d'avoir accepté l'invitation. Merci d'être là.
[01:00:53] Speaker D: Mais avec plaisir.
[01:00:55] Speaker C: Tu connais déjà un petit peu les studios puisque il y a peu de temps, tu étais ici pour un jeu vidéo, un jeu vidéo, un jeu, un jeu rock.
[01:01:02] Speaker B: Le rock jeu de la Malabar.
[01:01:04] Speaker D: Oui, oui. Et d'ailleurs, Aziz reviendra.
[01:01:10] Speaker C: Il ne faut pas dire le résultat. Il faut que les gens aillent voir. Mais il y a une grosse bataille.
[01:01:16] Speaker D: Il y a une grosse bataille, voilà. On reviendra avec ce Fair Food.
[01:01:23] Speaker C: Bon, dis-moi, pour les gens qui ne te connaîtraient pas. On demande toujours ça aux invités, c'est de se présenter, de dire un petit peu tout ce qu'ils font à l'heure actuelle.
[01:01:34] Speaker D: OK. Alors moi, c'est Louis Mriss. Quelques petites vidéos sur les réseaux sociaux. Ça parle métal, ça parle musique, des fois en général. Je suis musicien. Chanteur dans deux groupes, Money King et Digital Death. Un petit projet à la cool, tranquille, entre amis. Et puis voilà quoi, son prise de tête. Voilà.
[01:02:01] Speaker C: Principalement donc de la culture.
[01:02:05] Speaker D: Yes.
[01:02:05] Speaker C: De la plaisanterie. C'est ça.
[01:02:08] Speaker B: Du divertissement.
[01:02:09] Speaker C: Du divertissement, ouais. De la vulgarisation.
[01:02:11] Speaker D: Beaucoup.
[01:02:12] Speaker C: Et puis tu cries. Enfin, tu chantes.
[01:02:14] Speaker D: Je chante. Je crie et je chante.
[01:02:16] Speaker C: Les deux.
Parce que c'est vrai qu'il y a ces deux groupes, celui qu'on vient de passer, qui existe depuis combien de temps, Mannequin ?
[01:02:24] Speaker D: Oula, Monekine, ça fait... On va sur nos 4 ans d'existence. 4 ans... Sachant qu'avant ça, on avait déjà un groupe. Avec la formation actuelle, on s'est splités parce qu'on était jeunes, on avait aussi d'autres préoccupations. Mais on a reformé le groupe, on l'a appelé Monekine. Grosso modo, si on accumule les deux, ça fait au moins, ouais, facile, presque 10 ans, quoi.
[01:02:48] Speaker C: Ah oui ?
[01:02:49] Speaker D: Ok. Ouais, facile.
[01:02:50] Speaker C: Et alors, t'en es où ?
[01:02:52] Speaker D: Bah écoute, là on a sorti un album version remasterisé.
Mon dieu !
[01:03:01] Speaker C: Y'a des rats, y'a des rats, y'a des rats !
[01:03:03] Speaker D: Y'a des rats ! Au secours ! En sécurité ! Sortez-moi de là ! Après voilà, on a sorti un album remaster de notre premier album Ape Home, avec des versions un peu plus propres au niveau mastering, avec une version bonus d'une musique qu'on a jouée fréquemment live. qu'on a mis là en version studio. Voilà après j'en dis pas plus parce qu'on n'a pas plus d'infos là-dessus mais peut-être des concerts là en septembre à la rentrée.
[01:03:36] Speaker C: Donc on pourra peut-être vous voir en live, en tout cas il faut rester alerte et vous rejoindre sur les réseaux pour pouvoir être au courant.
[01:03:41] Speaker D: Ouais ça va arriver très vite là.
[01:03:42] Speaker C: Bon, mon équine, notez-le. Et puis si vous cherchez... Ah bah, Marcel est en train de donner l'information. Pour ceux qui sont en live Twitch, pour les autres, tout sera en lien dans la description. Bien sûr, YouTube et autres. Ok, tu fais de la musique depuis longtemps ? Juste pour l'information.
[01:03:59] Speaker D: Je fais de la musique depuis que j'ai l'âge de... Depuis que j'ai l'âge de 15 ans, ouais. Ça doit faire une vingtaine d'années, quoi.
[01:04:06] Speaker C: Qu'est-ce que tu chantes uniquement, que tu fais guitare ?
[01:04:10] Speaker D: Alors je fais surtout du beatmaking. J'ai commencé, je pense que s'il y en a qui font de la musique, ils vont au Audacity. Le truc où on découvre tous les effets, on met de l'écho, de la reverb, ça n'a aucun sens. Et puis au fur et à mesure, à force de s'éclater avec des amis, tu commences à prendre ça au sérieux. Tu commences à faire des sons de ton côté qui n'ont... Si on les réécoute maintenant, Ça pue la merde, tu vois ?
[01:04:39] Speaker C: Ça reste à voir, mais après... On s'essaye, quoi.
[01:04:41] Speaker D: Ouais, on s'essaie. On met des notes au hasard et tout, et puis après, ça commence à prendre forme. Là, je te résume ça comme ça, mais ça a pris des années, tu vois. Le temps de maîtriser son truc, de...
[01:04:51] Speaker C: De t'apprendre tout seul ?
[01:04:52] Speaker D: Ouais, je me suis formé sur le tas, on va dire. Donc je suis... J'aime pas dire ça comme ça, ça fait un peu prétentieux, mais je suis plus autodidacte.
[01:05:01] Speaker B: Ça n'empêche pas que tu poses des questions à des gens que tu rencontres, avec tes potes qui découvrent des trucs, vous échangez des tips. Mais ouais, autodidacte... Oui voilà, après les.
[01:05:11] Speaker D: Vidéos sur YouTube, les tutos et tout.
[01:05:13] Speaker B: Ça c'est un truc qui est... On peut conseiller d'ailleurs à tout le monde, il y a des tutos pour tout sur Internet.
[01:05:18] Speaker D: Exactement.
[01:05:19] Speaker B: Il n'y a plus les excuses de non, je ne sais pas faire, machin.
[01:05:23] Speaker C: Merde.
[01:05:23] Speaker B: YouTube, ouais. Non mais toi, je sais que t'es trop vieux ou trop con, je sais pas. Donc je l'ai laissé tomber. Mais en vrai, il y a des tutos sur tout.
[01:05:33] Speaker F: Mais justement, je me demande s'il n'y en a pas un peu plus maintenant, que c'est un peu plus démocratisé, qu'il y a plus de gens qui se mettent à expliquer justement les techniques et tout ça.
[01:05:40] Speaker C: Plus de merde, peut-être.
[01:05:40] Speaker F: Parce qu'il y a longtemps, c'était pas... Bah ouais.
[01:05:43] Speaker B: Moi, j'ai appris à faire de la photo et de la vidéo à une époque où il n'y avait pas YouTube. Bon bah, c'était plus compliqué. C'était sur des forums, fallait aller chercher. Mais j'ai l'impression que maintenant que... Merci. C'est vraiment gentil. Mais par contre, j'ai l'impression que maintenant que c'est disponible, il y a aussi beaucoup de gens qui se disent...
[01:06:08] Speaker C: Je sais faire.
[01:06:09] Speaker B: Non, mais qui se disent, je pourrais apprendre plus tard.
C'est énorme, ça existe, c'est bon. Je pense qu'à un moment, il faut quand même pratiquer quoi.
[01:06:18] Speaker D: Et puis ça s'est démocratisé aussi. C'est-à-dire qu'avant, comme tu disais, il fallait aller sur des forums, il fallait aller questionner des professionnels, etc. Et puis t'avais.
[01:06:26] Speaker F: Pas une réponse tout de suite en plus.
[01:06:28] Speaker D: Et en plus, acheter le matériel, c'était quand même excessivement cher. Là où maintenant, tout est abordable si on veut commencer quelque chose. Et maintenant, t'as des tutos de partout. Si tu veux tout savoir, mettre des poils sur des trucs, Poil sur air. Tu veux dire par rapport à ses.
[01:06:46] Speaker B: Poils de cul ?
[01:06:50] Speaker C: Bon, on continue.
[01:06:51] Speaker D: Avec Lya, on peut tout faire maintenant. Mais voilà, maintenant, avec les tutos YouTube, on peut quand même... Je pense que pour devenir musicien maintenant, c'est pas le plus dur. Je pense que le plus dur, c'est de s'installer et de rester quand même.
[01:07:05] Speaker C: Ouais, enfin, devenir musicien, c'est peut-être pas dur. Avoir du talent, c'est peut-être plus compliqué.
[01:07:08] Speaker D: Ça, c'est autre chose.
[01:07:09] Speaker C: Est-ce que justement, le talent, on peut le choper ou est-ce que c'est quelque chose d'inné ? Ah, j'ai lancé. Attention, voilà. Vous avez trois heures.
Non, parce qu'on peut être bon, mais pas savoir faire quelque chose de...
[01:07:23] Speaker B: Mais est-ce que le talent, c'est inné ou est-ce que ça se travaille ? C'est la même chose. C'est vrai que, par exemple, il y a tout ce truc de travailler son oeil, travailler son oreille.
[01:07:34] Speaker C: Il faut que tu écoutes beaucoup de.
[01:07:35] Speaker B: Choses, que tu fasses des recherches de sonorités. Et là, du coup, ça débloque des trucs dans ton cerveau, tu vois, par exemple.
[01:07:40] Speaker C: On s'était déjà dit que oui, justement, quand on était plus petit, on s'était intéressé à des trucs précisément et qu'on avait développé notre curiosité là-dessus.
Mais je pense que tu peux avoir cette curiosité, peut-être si t'as pas déjà un petit peu ce... Peut-être pas du talent, mais au moins ce truc qui te...
[01:07:56] Speaker B: La flamme. Faut avoir le goût de créer, ouais.
Si t'as pas le goût de créer...
[01:08:01] Speaker D: Ouais, ça va vite s'arrêter. Je pense que si t'as pas... T'es déçu très rapidement.
[01:08:05] Speaker C: Ah putain, j'aime pas la scène !
[01:08:08] Speaker D: Et puis je pense que tu vas te retrouver sous un plafond de verre à bout d'un moment si t'essayes pas de creuser à chaque fois un peu plus dans ta création. Je pense que c'est ça qui t'arrête... Moi c'est ça qui m'animait quand je... C'est la création en fait. J'avais tout le temps envie de pousser le truc, de rechercher plus loin et je pense que chaque musicien, quand il pousse le truc, il arrive à un niveau qui se différencie des autres en fait, parce qu'il y en a beaucoup qui font de la musique, ils savent faire de la musique, mais il n'y a pas le truc en plus.
[01:08:37] Speaker B: Est-ce que cet amour de la création dans la musique, c'est ça aussi qui t'a amené à la création de contenu ? Est-ce que parce que quelque part, il y a quelque chose de beaucoup plus immédiat que la musique où il faut que tu répètes avec tes potes, que tu travailles le truc, après tu l'enregistres, après tu le mets...
[01:08:54] Speaker C: Il est seul.
[01:08:55] Speaker B: Bah oui, c'est ça, c'est ce que je veux dire. C'est ce que j'étais en train de dire.
[01:08:59] Speaker C: Je n'ai pas compris ta question.
[01:09:03] Speaker B: C'est pour ça que ce n'est pas.
[01:09:04] Speaker C: Toi que je la pose.
[01:09:07] Speaker D: Non, c'est vrai qu'en termes de visu, vidéo, tout ça, comme je suis tout seul à trouver les idées, parce que j'ai quand même ma bande de potes des fois qui m'aident en termes d'acting, etc. Mais c'est vrai que des fois, je suis dans mon lit et tout d'un coup, je suis en mode... Ah putain, j'ai une idée ! Je l'écris et comme ça je l'oublie pas et je la mettrai en forme. C'est vrai que c'est beaucoup plus instinctif de créer des vidéos, on va dire, que de la musique en elle-même où il faut la travailler, il faut travailler les parties, les couplets, les refrains, que ça s'enchaîne, les intros, les breaks. C'est pas pareil, c'est vrai.
[01:09:41] Speaker C: Enfin là, il y a quand même une dynamique à trouver dans une vidéo, il y a une rythmique, il y a quelque chose qui n'est pas si simple que ça.
[01:09:46] Speaker D: C'est vrai.
[01:09:47] Speaker C: Parce que je veux dire, faire des vidéos, il y a plein de gens qui en font.
Il y en a plein qui se font pourri.
[01:09:52] Speaker D: C'est vrai, mais même moi...
[01:09:53] Speaker C: C'est bien qu'ils fassent l'effort. C'est bien qu'ils fassent l'effort. Mais ce que je veux dire, c'est qu'il faut avoir quand même un truc.
[01:09:58] Speaker D: C'est vrai, mais même moi, dans mes vidéos, quand je fais des vidéos, des fois, je vois que ça marche moins ou ça marche pas. Et c'est des choses qui arrivent. C'est comme ça. Ça peut arriver.
[01:10:08] Speaker F: Après, travailler un morceau aussi, c'est peut-être... Enfin, un morceau en général, c'est à peu près 3, 4, 5 minutes. Les vidéos, elles sont peut-être plus courtes aussi. Du coup, à mettre en place, c'est différent aussi.
[01:10:17] Speaker D: Exactement. C'est vrai que... Je pense à Aliama, quand il doit penser à des gros formats, à des 20-30 minutes. C'est vrai que c'est pas pareil que quand tu fais une vidéo de 30 secondes.
[01:10:27] Speaker B: Lama Lavalamp, pour ceux qui ne savent pas...
[01:10:29] Speaker D: Exactement, allez le voir sur YouTube, c'est un gars exceptionnel.
[01:10:32] Speaker C: Et puis c'est pas un mec qui crache à la gueule.
[01:10:34] Speaker B: Contrairement au lama.
[01:10:35] Speaker C: C'est vrai.
[01:10:37] Speaker D: Mais oui, c'est vrai que quand t'as une vidéo de 30 secondes, généralement, c'est que tu pars d'une idée et que tu la mets en forme. T'as pas ce truc de dire, alors si j'enchaîne avec l'intro, qui va durer ? C'est vrai que... Oui, j'ai de la chance d'avoir un format court, donc c'est vrai que les idées viennent plus vite.
[01:10:53] Speaker F: Et puis c'est plus facile justement à réaliser du coup.
[01:10:55] Speaker C: Oui.
Est-ce que c'est quoi qui t'a amené à faire ça en vrai ? À quel point tu t'es dit tiens j'ai envie de faire des vidéos, j'ai envie de faire... Je sais pas comment on peut te nommer, faire de l'humour, influenceur... Non, oui.
[01:11:08] Speaker D: Non je suis pas influenceur parce que mon but c'est pas d'influencer les gens en vrai, mon but c'est vraiment créer du contenu. C'est vraiment, j'ai pas envie de dire aux gens tu vas écouter ça, tiens ça, tiens achète ça et tout, non vraiment les gens ils font ce qu'ils veulent tu vois. Moi, je suis plus dans le but où je crée quelque chose. Voilà, t'as 30 secondes dans ta journée et tu regardes, tu rigoles. Voilà, ça s'arrête là, tu vois. Après, moi, c'était quoi la question ?
[01:11:32] Speaker C: Non, mais t'as répondu, t'inquiète pas. Ce choix de l'humour, il était là depuis le début.
[01:11:37] Speaker D: En fait, j'hésitais beaucoup au début parce qu'au début, je faisais beaucoup de covers et j'étais vraiment dans un truc pas sérieux, mais on va dire, je voulais faire les trucs bien.
Je voulais pas faire un truc un peu humoristique etc de base je voulais vraiment partir que sur de la musique et puis à un moment j'ai vu un truc j'étais en mode j'ai vu un mec en fait avec un t-shirt corne Et je savais qu'il n'écoutait pas Korn, en fait. Et à un moment, je me suis dit, c'est ça, il faut que j'en parle. C'est plus fort que moi. Et en fait, j'avais une idée directe. Je me suis dit, putain, il me faut un gosse. Il me faut un mioche. Je vais faire une vidéo. Et bah, elle a marché. Et puis, je me suis dit, bon, bah, je pense que aussi, ça parle aux gens au-delà des musiques, de parler d'une culture en général. Et je me suis embourbé là-dedans. Et puis, voilà, me voilà. Et puis, voilà.
[01:12:27] Speaker C: Parce que ça mélange l'humour et le fait qu'on aime bien aussi critiquer des choses. C'est ça qui fait que c'est amusant. Il y a plusieurs niveaux de lecture.
[01:12:40] Speaker D: Si c'est un truc que j'adore, c'est critiquer.
[01:12:42] Speaker C: Gentiment, bien évidemment.
[01:12:45] Speaker D: Bien évidemment, avec un son. Pas critiquer méchamment. Il y en a beaucoup.
de créateurs, non, de gens qui font de la critique, mais qui sont tout le temps dans le mode, oh c'est bien, c'est beau, c'est gentil, machin, moi j'ai envie quand même de rajouter une petite nuance, et quand même de mettre des petites crottes de nez, de mettre des petites piches de nez, tu vois, sans blesser, bien évidemment je veux blesser les personnes. Mais voilà, qu'on rigole tous ensemble autour d'un truc, d'un fait de société, voilà.
[01:13:18] Speaker B: C'Est le but, c'est tout.
[01:13:19] Speaker C: Je pense que c'est ce qui fait que ça marche aussi bien, parce que ça marche très bien quand même. Là, il y a eu une espèce de montée.
[01:13:26] Speaker D: Oui, c'est vrai.
[01:13:27] Speaker C: Et c'est cool, tant mieux, c'est mérité, parce que c'est bien fait. Il y a ce truc où à chaque fois, on se dit à quel moment il a imaginé ça. Alors moi, je t'imagine avec tes potes. Oh vous jouez et puis il y en a toujours un qui dit une connerie. Et elle te fait... Ça je vais les garder dans un coin.
[01:13:42] Speaker D: C'est vrai que le quotidien, d'être dans un groupe de métal, c'est vrai que ça aide pas mal. Parce que forcément, t'as tout sous le nez. T'as le guitariste, t'as le bassiste. J'avais fait une vidéo sur un bassiste parce qu'effectivement, le bassiste, à chaque fois qu'il prend la parole, c'est en mode... C'est bon. Donc du coup, ça donne des idées. Comment ça le bassiste ? Enfin, à chaque fois, c'est vrai que quand on est dans le truc, Ça donne des idées, le fait de faire de la musique, le fait de traîner avec d'autres groupes, le fait d'être entouré de gens qui connaissent beaucoup la musique. C'est vrai que ça aide pas mal d'être dans l'inspiration, en fait.
[01:14:16] Speaker B: Est-ce que des fois, tu trouves des blagues et tu fais ça, c'est vraiment trop niche. Est-ce que tu essaies quand même de continuer à faire des trucs que tout le monde peut comprendre ou est-ce qu'il y a des fois, il y a des trucs où tu dis ça, c'est vraiment trop musicien ?
[01:14:31] Speaker D: C'est une très bonne question. En vrai, j'essaie quand même. C'est une bonne question.
[01:14:37] Speaker B: Non, en vrai, j'attends le moment où après, il va dire un truc méchant.
[01:14:42] Speaker D: Non, j'essaie quand même que tout le monde y trouve son compte et que c'est vrai que si on parle beaucoup de niches, il y en a beaucoup qui le font, mais qui le font mieux que moi et je préfère leur laisser que de parler de groupes précis écoutés par 100 personnes. Ce sera intéressant, mais je préfère laisser ça à des personnes qui maîtrisent mieux le sujet. Et moi, je sais que je parle de groupes, c'est vrai qu'ils ont une grosse portée, genre les Deftones, Linkin Park, System, etc.
[01:15:08] Speaker B: Comment t'en es parlé ?
[01:15:09] Speaker D: Voilà, c'est un groupe pas trop connu, je pense que ça va arriver en France dans quelques années, je pense. Mais oui, ça parle plus de gens et puis c'est plus facile à rebondir sur des blagues et des trucs comme ça, où tu sais que les gens, direct, ils vont capter le truc, tu vois. D'ailleurs, tu parles de Nicki Park, Chester, les gens vont dire, ah ouais, ouais, tu vois.
[01:15:28] Speaker F: Puis le fait que ce soit mainstream aussi, les gens, déjà, ils connaissent forcément mieux, il y a peut-être plus d'histoires et de choses qui gravitent autour, en fait, de choses connues, quoi. Donc tu peux rebondir plus.
[01:15:36] Speaker D: Bah oui, oui, tout à fait.
[01:15:38] Speaker C: C'est un choix aussi, je veux dire, si tu choisis de faire de la niche, dès le début, tu resteras là-dedans. Multiplier les cadres et les volontés, ça brouille les pistes aussi. Donc je pense qu'il y a un peu de ça.
[01:15:50] Speaker B: Globalement, tu fais plus des trucs quand ça te parle, quoi. Tu te mets pas de grosses... Ah.
[01:15:56] Speaker D: Bien sûr, moi je fais que lorsque ça me parle. Je peux pas faire un truc où...
[01:16:00] Speaker B: Non mais ce que je veux dire, c'est que t'es pas en mode je calcule tout ce que je vais faire, c'est assez... Enfin moi, ça a l'air très spontané.
[01:16:07] Speaker C: Après, il écoute que des groupes de vendus, donc... Non mais après oui je.
[01:16:12] Speaker D: Fais quand ça me parle, je peux pas faire un truc où je connais pas, où on m'avait proposé de faire des groupes, de parler de groupes, je connais pas, je les écoute pas, ça va pas m'inspirer, je vais laisser ça à d'autres personnes qui vont maîtriser mieux le sujet que moi.
[01:16:27] Speaker F: Est-ce que tu te sers de l'actu des fois, par exemple, justement, désolé je t'ai... Non, non, non, non, vas-y, vas-y. Des fois de l'actu de certains groupes, je sais pas, qui vont sortir un album, et tu te dis, ah bah tout le monde en parle, du coup, bah je vais peut-être faire un truc orienté sur ça, ou tu préfères justement te mettre à part, en fait ?
[01:16:44] Speaker D: Ça dépend, si ça me parle, si déjà le groupe déjà de base me parle, ouais. Parce qu'il ne faut pas se le cacher, parce que tout le monde en parle. Il y a peut-être des sujets marrants à aborder, etc. Je vais en parler. Si c'est un groupe qui, de base, je ne les écoute pas trop, comme je disais tout à l'heure, je vais laisser ça à d'autres. Ça serait hypocrite de ma part. C'est un truc que je n'aime pas faire, c'est faire genre je connais ça, alors que pas trop en fait.
[01:17:15] Speaker C: Ce qui n'est pas forcément tout le temps le cas sur les réseaux sociaux. Les gens parlent souvent. Déjà dans une émission comme la nôtre, on est souvent très positif aussi. En radio classique, en FM, on est très positif aussi. Même quand on ne connaît pas, on va dire que c'est bien, etc. Il y a quelque chose qui est soumis comme ça. Toi, tu dis plutôt ton avis quand même.
[01:17:31] Speaker D: Je pense que c'est plus intéressant pour vous, les auditeurs. Non, je pense que c'est plus intéressant pour les gens d'avoir un avis nuancé et de pas... Parce que si tu leur dis que tout est beau, tout est gentil, tout est machin, et qu'ils vont écouter, ils vont se dire « Oh, c'est pas cool !
[01:17:46] Speaker C: » « Salaud, il m'a menti !
[01:17:48] Speaker D: » Je pense qu'infantiliser les gens en leur disant « Oh, c'est beau ça, c'est mignon, tu verras... » Je pense que, ouais, c'est un peu les infantiliser et je pense que les gens ont besoin quand même d'entendre la version face et la version pile aussi. Il y a un dessous de cloche en fait.
[01:18:03] Speaker C: Et tu dirais quoi des gens qui vont dire ah mais du coup ils parlent que de trucs connus parce que dans le métal on sait très bien que c'est quand même très fréquent. On se le prend aussi dans la tronche. Ah ouais mais ils passent que des trucs connus ce qui est faux mais il y a souvent cette critique un peu agressive du métalleux. On a l'impression qu'ils ont que ça à foutre.
[01:18:18] Speaker B: Attends je comprends pas, il parle de System of a Down, il a pas parlé de Destruction Putrid ? Pourtant, ils ont fait un concert en 86 et il y a une démo sur cassette avec deux chansons mal enregistrées.
[01:18:31] Speaker C: Evidemment, ils ne sont pas tous comme ça les métallos, mais il y en a quand même quelques-uns.
[01:18:34] Speaker D: Il y en a beaucoup, mais ce que j'ai fait à part, c'est que j'ai commencé à monter des live TikTok en fait. où vraiment je donne le choix aux gens de qu'est-ce qu'on écoute. Les gens donnent des titres de groupes. Des fois, je vois, il y a trois écoutes et on écoute tous ensemble. On donne notre avis, on donne une note. Bien sûr, la note, c'est pour de l'humour, pour rigoler, etc. On dit ce qu'on pense. On écoute le son. Voilà, c'est pour ça que j'ai créé ce TikTok pour vraiment écouter un peu de tout, qu'on sorte un peu du système, du Deftones, du machin, du Korn.
[01:19:07] Speaker B: Sur TikTok, tu peux passer la musique que tu veux pendant les lives ?
[01:19:10] Speaker D: Bah écoute, je le fais. Pour l'instant ça va.
[01:19:13] Speaker F: Jusqu'à demain.
[01:19:14] Speaker D: J'ai déjà eu des restrictions parce que je diffuse le clip en même temps. Donc c'est vrai que des fois dans un clip métal, la bière... Ah oui.
[01:19:24] Speaker C: D'Accord, plus parce qu'il y a des passages un peu gênants.
[01:19:26] Speaker D: Exactement. Voilà, après, sur les sons, les droits d'auteur, j'ai pas eu tant de soucis de ça. Après, je diffuse pas toute la musique. Je diffuse un extrait pour que les gens écoutent.
[01:19:35] Speaker C: Pour faire un avis, quoi.
[01:19:36] Speaker D: Voilà, exactement. Mais souvent, j'ai des gens qui écoutent pas de métal de base, qui viennent et qui disent « Oh, mais en fait, c'est pas mal ! » Et ça, c'est vraiment cool.
[01:19:43] Speaker F: Et du coup, ça veut dire que, justement, sur TikTok, t'as peut-être pas le même public que sur Insta ?
[01:19:48] Speaker D: J'ai pas vraiment le même public. C'est vrai que je le ressens. C'est pas du tout la même chose. Au début, je pensais que c'était la même chose, mais en fait, pas du tout.
Et c'est vrai que sur TikTok, le public est peut-être légèrement plus jeune. Mais justement, moi, ça me redonne foi, tu vois, en me disant ils ne sont pas que dans la musique électro-pop, Jul, pwet pwet pwet, tu vois. C'est intéressant.
[01:20:10] Speaker C: J'espère qu'ils ne sont pas en train de me regarder du coup.
[01:20:12] Speaker D: Ouais, mais je vous embrasse. Ne prenez pas mal. Beaucoup de love.
[01:20:17] Speaker B: Et n'oubliez pas Jul pwet pwet pwet. Je suis allé en ressortir celle-là, elle.
[01:20:21] Speaker C: Est très très bien.
J'ai eu une discussion avec une personne hier qui a 75 ans et qui me parlait de Jul. Il travaillait sur Marseille avec des jeunes et puis il me disait, ah oui, alors, ce que je lui dis que j'ai écouté du métal, il m'a dit, ah oui, du coup, il joue le... J'ai pas compris le lien, mais bon...
[01:20:38] Speaker B: Et du coup, il joue, bah c'est de la merde.
[01:20:41] Speaker C: On a une belle discussion. Bref, on va pas partir là-dessus. C'est un petit clip parce que tu choisis des clips comme tous nos invités. Je t'ai demandé d'en choisir. Bon, la sélection est pas mal. Tu m'as eu sur le dernier choix, mais on en parlera à la fin parce que c'est le choix qui m'a fait dire.
Mais là, tu commences avec System Of A Down et Chop Suey. Pourquoi ce choix ? Ça représente quoi ?
[01:21:04] Speaker B: Grab a brush and put a little...
[01:21:06] Speaker D: Pas la suite ! Non, c'est vraiment le... Au début, j'ai écouté Nickelback. Bon, voilà, je le dis pas trop, mais... Non, c'est vraiment le clip qui m'a mis dans le métal. C'est la musique, la première vraie musique qui m'a mis dans le métal où je me suis dit, ça, je vais pas le lâcher.
[01:21:24] Speaker C: C'est le premier truc... Avant, il n'y avait pas le métal ?
[01:21:27] Speaker D: Très peu. C'est du rock.
A peine. C'est-à-dire que vraiment, j'écoutais même pas de musique de base. De base, j'étais vraiment... Je m'intéressais qu'aux Power Rangers, aux Pokémon. C'était ça mon délire en fait.
[01:21:42] Speaker C: Mais attends, t'étais à quel âge du coup ?
[01:21:44] Speaker D: Non, j'avais 10 ans. J'avais 10 ans et mon délire c'était Pokémon, Digimon... J'écoutais pas de musique, ça m'intéressait pas. J'en entendais, mes sœurs en écoutaient, mais voilà. Et puis voilà, un jour, MCM a débarqué. Et puis la variété de clips, je tombe sur Nickelback, je me dis « Oh c'est pas mal, c'est pas la cutie story ! » Et puis j'allume la télé, je vois System of a Down. Oh, c'est quoi ça ? Là, je me suis pris une claque. Tu sais, dans le clip, ils sont torse nu. J'ai fini pareil, torse nu, pareil, en sueur. Je me suis retourné, j'ai fait « Maman !
[01:22:17] Speaker C: » « Ah, mon Dieu, qu'est-ce qu'il a fait ?
[01:22:18] Speaker A: C'est un drame !
[01:22:19] Speaker D: » J'ai couru dehors, torse nu, dans mon jardin. J'ai couru, j'étais comme ça, torse nu dehors. J'étais en mode « Mais c'est quoi ça ? » J'avais jamais entendu de métal, en fait.
[01:22:29] Speaker F: Et du coup, la claque que tu t'es prise, c'était ta mère, en fait.
[01:22:34] Speaker D: Non même pas, elle était là, elle me regardait, elle me disait mais t'es fou toi ? Qu'est-ce que c'est que ce truc de démon ? Mais j'étais en mode, j'ai jamais entendu un truc comme ça. Donc voilà, ça m'est resté et ce clip pour moi c'est... Voilà, c'est du métal quoi.
[01:22:49] Speaker B: Et du coup, tu découvres le clip, qu'est-ce que tu fais ? Tu notes le nom ? Comment tu cherches ?
[01:22:54] Speaker D: Mais même pas, en fait je suis tombé comme ça par hasard.
Le titre est passé, j'ai pas retenu mais CMCM c'est des trucs qui passent en boucle. Je suis retombé dessus, j'ai fait ah c'est mon System of a Down, en plus c'est très facile à retenir. Après il y a eu l'arrivée d'internet direct, System of a Down, Toxicity, R.I.O.L.S. Et là j'ai pété mon crâne, là j'en pouvais plus.
[01:23:16] Speaker B: Là j'étais en...
[01:23:18] Speaker C: On va reparler de tout ça dans la suite de l'émission, puisque le côté famille, etc. Ce qu'on écoutait avant, comment tout ça t'a nourri pendant des années, on va en reparler. Mais d'abord, on va regarder ce clip. Comme ça, on va passer un bon moment avec les System of a Down, parce que c'était mieux avant.
[01:24:23] Speaker A: Wake up, grab a brush and put a little make-up I just got to.
[01:24:27] Speaker C: Fade away the shake-off Why'd you leave the keys up on the table?
[01:24:30] Speaker A: Here you go, create another fable You.
[01:24:32] Speaker C: Wanted to, grab a brush and put a little make-up You wanted to, I.
[01:24:34] Speaker A: Just got to fade away the shake-off.
[01:24:35] Speaker C: You wanted to, why'd you leave the keys up on the table? You wanted to Why don't you trust.
[01:24:39] Speaker A: In my self-righteous suicide?
Je.
[01:25:14] Speaker C: Ne crois pas que tu as.
[01:25:18] Speaker A: Confiance dans mon suicide self-righteous Je pleure quand les anges méritent de mourir Self-righteous suicide, I cry When angels deserve to die I commend my spirit Fall into your hands Why have you forsaken me? In your eyes, forsaken me In your thoughts, forsaken me In your heart, forsaken me I'll trust in my self-righteous suicide Quand les anges méritent de mourir Est-ce que je suis un suicide ? Je pleure Quand les anges méritent de.
[01:26:57] Speaker C: Mourir.
[01:27:11] Speaker A: It's cold and dark and everywhere I go I see your face, it's.
[01:27:16] Speaker C: Cool I'm dead, more pills, more pills.
[01:27:20] Speaker A: More pills, more pills It's cold and dark and everywhere I go I see your face What's happening? What is this awful place? Where's the drain? I'm slow.
[01:27:51] Speaker C: C'est J'ai.
[01:28:16] Speaker A: Parti !
juste envie d'écouter Oh yes I think I'm just a little bit possessed It's a big day when the king lays dead From a supersonic missile to the chest C'est parti pour le tournage !
[01:30:30] Speaker C: « Highly Suspect » à l'instant. Avec le titre « Run For Your Death, More Pills » qui est évidemment une chanson qui dit aux gens de faire attention, qu'il ne faut pas tomber dedans.
[01:30:41] Speaker B: Alors il y a beaucoup de chansons par rapport à la drogue car le chanteur a apparemment quelques petits problèmes. Du coup, j'ai vérifié, c'est sorti il y a quasiment un an, c'est l'histoire de leur dernier album, donc juillet 2024. Et du coup, par contre, le clip est nouveau. Et je vous conseille d'aller écouter. Ouais mais c'est vachement bien, il suspecte, c'est très très peu connu en France. Mais c'est vachement bien, ça a décontencé un peu plein de gens au début parce qu'il avait un look, plus un look de rappeur, genre cheveux décolorés avec des sapes un peu street, alors que la musique est quand même très rock. Mais non, je vous conseille d'aller écouter même les albums d'avant. D'ailleurs le premier, je sais plus si c'était un EP ou un album, a été enregistré au Silvercord Studios. donc le studio de Joe Duplantier, et il y a une chanson où il fait un feat dessus, il vient chanter. C'est un groupe de New York qui est excellent. Après, les performances sont un petit peu étranges.
[01:31:45] Speaker C: Si il est éclaté, c'est plus compliqué.
[01:31:47] Speaker B: En fait, il y a des trucs où il est éclaté, il y a des trucs où il est un peu dans son monde. et un peu genre je fais on joue entre nous quoi et donc c'est bizarre moi je les ai eus en live au Lola Paris l'année où il y avait Pearl Jam là et bah c'était bien mais c'est vrai que c'était...
[01:32:08] Speaker C: C'était bien mais pas top.
[01:32:08] Speaker B: J'étais un peu déçu. Après il y a des chansons, il y a une chanson qui s'appelle Upper Drug qui est incroyable. Je vous conseille d'écouter avec un solo à la fin qui est prenant de ouf. Il y a de très très bonnes chansons. Il y a des chansons qui sont sorties là après, c'est assez dark quand même. Je pense qu'il a arrêté sa consommation et que du coup, voilà.
[01:32:31] Speaker C: C'est toujours intéressant. Je vous conseille d'écouter. Tu connaisais ?
[01:32:35] Speaker D: Pas du tout.
[01:32:37] Speaker C: Tu écoutes vraiment de toutes sortes de métal ?
[01:32:40] Speaker D: J'essaye.
[01:32:42] Speaker C: C'est vrai que... Non mais de part... Alors t'écoutes mes deux... Ouais, j'voulais dire, pardon, tu aimes tous les sounds, toutes les sortes de métal ?
[01:32:48] Speaker D: Ah y'a des métals que j'apprécie moins ! C'est vrai. Mais j'essaye quand même...
[01:32:52] Speaker B: Le nickel, le zinc, c'est vrai que c'est des métaux qui... Le cuivre ! Ah le cuivre c'est utile quand même.
[01:32:57] Speaker D: Non, en vrai, de part mes lives TikTok, c'est vrai que je me suis beaucoup plus ouvert à des... Genre par exemple le folk métal, c'est un truc que j'écoutais très peu.
[01:33:07] Speaker C: Ah bah moi ça me débecte.
[01:33:09] Speaker B: Tous les trucs un peu pagane.
[01:33:10] Speaker D: Voilà exactement.
[01:33:11] Speaker C: Il y a de très beaux festivals.
[01:33:13] Speaker D: Ouais mais j'étais dans...
[01:33:16] Speaker B: Toi t'écoutes pas un peu de pagane toi ?
[01:33:18] Speaker C: L'accusation.
[01:33:19] Speaker F: Non, d'écouter du pagane. Ah non pas du tout.
[01:33:21] Speaker B: L'accusation alors.
[01:33:22] Speaker D: Mais toi là je te demandais.
[01:33:23] Speaker B: Je te demandais comme ça.
[01:33:24] Speaker C: Attention vous avez le droit d'écouter du pagane. C'est pas parce qu'on dit ça qu'il faut qu'on écoute.
[01:33:28] Speaker F: Pour moi ils jouent avec des os de poulet sur scène.
[01:33:32] Speaker E: Voilà.
[01:33:32] Speaker D: Ouais mais voilà justement.
[01:33:34] Speaker B: Quand ils te demanderont de faire des costumes tu diras pas non.
[01:33:37] Speaker F: Par contre la DA souvent est très chouette, mais la musique ça me touche pas.
[01:33:40] Speaker C: Il y a des poils sur les doigts de pied, le mec dit toujours la même chose.
[01:33:42] Speaker B: Surtout ça sert pas à grand chose en musique.
[01:33:46] Speaker D: Visuellement ça peut rajouter un petit style. C'est vrai que de par mes lives, justement, j'avais ce genre de clichés aussi, le métal, un truc un peu beau. Voilà. Mais en fait, en écoutant, à force d'en écouter, j'étais plus... Il y a des trucs, c'est pas mal. Je me vois bien, ouais, être dans un bar avec une pinte et...
[01:34:11] Speaker B: Une corne de viking.
[01:34:13] Speaker D: Ouais, tu t'éclates, quoi. Non, en vrai, il y a des sons que ça va, ça passe. Même du black metal, des trucs très granuleux. T'écoutes, tu dis, ça va, c'est plutôt pas mal et tout.
[01:34:24] Speaker C: C'est quoi la musique, alors, qui te touche le moins, on va dire, pour rester poli ?
[01:34:31] Speaker D: En vrai, c'est vrai que j'ai encore un peu du mal.
[01:34:33] Speaker C: C'est du niocum ce frappin.
[01:34:33] Speaker D: Non, je vais peut-être me faire des ennemis, mais c'est vrai qu'il y a encore du mal encore avec le black. C'est vrai qu'il y a des musiques black metal, j'ai encore un peu du mal, même si je commence à m'ouvrir et qu'il y a des trucs, franchement, je suis agréablement surpris. Et les styles un peu présidents, Slip Token et tout, j'ai encore un peu du mal. La pop métal, on peut dire ça. Le pop métal.
[01:35:02] Speaker C: Le R&B métal.
[01:35:05] Speaker D: Je suis encore en train d'un peu froncer les sourcils en écoutant. Mais bon, il y a des trucs, il ne faut pas tout jeter non plus.
[01:35:14] Speaker F: Oui, tu arrives à comprendre un peu la démarche sans forcément pour autant y adhérer.
[01:35:18] Speaker D: Exactement. Pour l'instant je suis en mode, ouais les trucs pas mal, on verra après.
[01:35:23] Speaker C: C'est quoi la démarche dans le reggae ? Ah pardon.
[01:35:26] Speaker B: Généralement c'est de fumer des gros joints.
[01:35:29] Speaker C: Et puis tu te dises, oh ça passe.
[01:35:33] Speaker F: Tu dis Babylone Babylone ?
[01:35:35] Speaker C: Mais cette émission est horrible, y'a rien qui va.
[01:35:39] Speaker B: On peut parler de Jul sinon.
[01:35:41] Speaker C: Non mais c'est bon.
Tout à l'heure tu disais que t'avais découvert le rock aux alentours de 10 ans si je me souviens bien avec System of a Down, donc on était là-dessus. Tu disais que t'avais tes soeurs qui écoutaient quoi ?
[01:35:53] Speaker D: Alors j'ai mes sœurs qui écoutaient beaucoup de R'n'B et de rap, donc ça m'a donné une culture un peu, bah, tout ce qui est rough, djams, les snipers, Psychiatre de la Rime, tout ça.
[01:36:07] Speaker B: Mais dans la Roche, tout ça quoi.
[01:36:08] Speaker D: Exactement. Très bon album en vrai. Et c'est vrai que ça m'a donné un peu cette culture, même Zouk, R'n'B, hip-hop. Et elles écoutaient ça. Et j'ai une de mes sœurs aussi qui écoutait beaucoup de Marilyn Monson.
[01:36:22] Speaker C: Ah, il y a eu un bug dans la matrice !
[01:36:25] Speaker D: Il y a eu un bug, mais je pense que...
[01:36:27] Speaker B: Mais après que t'aies commencé à écouter System...
[01:36:29] Speaker D: Un petit peu après, c'est là que j'ai découvert Marilyn Monson. C'est grâce à ma sœur. Bon, après Marilyn Monson, les histoires qu'il a, bon, voilà.
[01:36:36] Speaker B: Mais musicalement... À l'époque, tu savais pas.
[01:36:37] Speaker D: À l'époque, on savait pas. Et surtout qu'à l'époque...
[01:36:40] Speaker B: On aurait pu se douter un petit peu.
[01:36:41] Speaker D: Je pense qu'on a tous eu affaire à ce genre de légende urbaine. J'écoute Marilyn Monson. Ah, le mec qui s'enlève des côtes, là ! Qui égorge des poussins, là !
[01:36:50] Speaker C: Alors moi, je me suis fait enlever les côtes, ça marche pas, mais...
[01:36:54] Speaker D: C'est bizarre quand même.
[01:36:54] Speaker C: Après il y a d'autres... Non mais c'est... Voilà.
[01:37:00] Speaker D: Non et puis voilà, mes sœurs quand même m'ont un peu formé musicalement. Je les entendais chanter, j'entendais leur musique. J'étais à fond dans Crash Bandicoot, j'entendais ça.
[01:37:13] Speaker C: Non mais c'est cool et du coup quand t'as commencé à écouter tout ça, en dehors de celle qui a réussi à écouter Marilyn Manson, c'était quoi leur réaction ?
[01:37:19] Speaker D: En vrai ?
[01:37:20] Speaker C: Quand t'écoutais dans ta chambre, si t'avais ta chambre, des trucs qui faisaient... Parce que bon, c'est un peu ce qu'entendent les gens qui n'écoutent pas cette musique.
[01:37:27] Speaker D: C'est vrai que de loin on peut.
[01:37:29] Speaker C: Entendre juste du brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr Surtout l'album Toxicity, bon, ça va.
[01:37:44] Speaker D: Mais c'est vrai que chez moi, c'était plus... En fait, chacun avait son espace. C'est-à-dire qu'il y avait mes sœurs qui écoutaient du rap et R'n'B et tout ça. Mes parents, ils étaient plutôt Saul, Zouk, Michael Jackson, Lionel Richie et tout ça. Et moi j'étais dans mon espace où j'écoutais, bah je me découvrais en fait musicalement, donc j'écoutais du System, après j'ai écouté du Linkin Park, etc. Après j'ai buffurqué aussi sur un peu de rap, du Dancehall. Donc vraiment c'était un mélange de plein d'influences.
[01:38:15] Speaker C: T'es pas resté enfermé dans le métal ?
[01:38:17] Speaker D: Ah non, non pas du tout.
[01:38:18] Speaker C: Parce que ça, ça arrive souvent quand on écoute du métal.
[01:38:20] Speaker D: C'est vrai.
[01:38:21] Speaker B: Du coup la découverte, parce que du coup t'as découvert que t'aimais bien le métal. Ouais. Et après les autres groupes, c'est comment ? C'est des gens que t'as rencontrés à l'école ou c'est internet ou c'est... Ah c'est... Bah c'est...
[01:38:34] Speaker D: J'avais une bande d'amis qui écoutait du métal mais j'arrivais pas à poser le nom là-dessus parce que ça m'intéressait pas. En fait dès que je leur ai dit que je connais System, oh tu connais System ? Bah tiens y'a ça, y'a ça. Et c'est là que j'ai découvert un peu plus de groupes, etc. Et c'est vrai que c'est là que j'ai... En même temps, il y a eu la culture skate qui est arrivée, donc les Tony Hawk et tout. Je me suis mis au skate, j'ai pratiqué le skate. Donc forcément, tu traînes avec des skateurs. Ah bah tiens, il y a ça, il y a ça. Après, il y a toute la culture skate qui vient, la culture métal, la culture rock. Et voilà quoi. Après, j'ai baigné dedans. Mais tout en gardant aussi un œil sur les autres cultures, le rap, la dancehall, voilà quoi.
[01:39:10] Speaker C: Le fait que tu aies les yeux sur d'autres cultures, ça prouve aussi que tu t'es pas mis dans le métal pour être différent du reste de la famille. T'es adhérenté pour avoir ce truc, parce que des fois on a envie quand on est enfant de trouver ce truc qui nous fait sortir de la famille. Parce que t'as une famille qui apparemment était cool, alors des fois la famille elle est moins cool, et donc du coup le métal permet aussi de sortir de ça. Toi c'était juste parce que t'as bien aimé l'énergie quoi.
[01:39:33] Speaker D: J'ai pas eu besoin d'avoir une émancipation parce que tout de suite mes parents, mes soeurs étaient très compréhensifs. C'est plutôt plus l'entourage à l'école qui comprenait pas trop, surtout ma couleur de peau.
je suis gris.
[01:39:54] Speaker C: Non, il n'a pas le maquillage.
[01:39:56] Speaker D: On n'a pas encore eu le temps de me maquiller. Normalement, je ne suis pas de cette couleur. Non, non, mais forcément, quand t'arrives et tu dis oui, j'écoute Linkin Park. Et t'as les gens qui font Ah.
[01:40:06] Speaker B: T'Es sérieux toi ? Après, le problème, c'était peut-être ta voix, en l'occurrence.
[01:40:10] Speaker D: Oui, pardon, j'avais pas cette voix là. Mais les gens ne comprennent pas trop.
[01:40:16] Speaker B: Parce que les clichés, quoi.
[01:40:18] Speaker D: Ouais, les clichés, mais à l'époque, on était beaucoup dans la musique. C'est la musique de blanc, c'est la musique de noir. Bon, un peu moins maintenant, je trouve. Mais à l'époque, tu te disais que t'écoutais du rock. Direct, on te mettait dans une... Juste, tu faisais du skate. Moi, à l'époque, je faisais du skate. Les gens me disaient, oh, sale skater. Comme si c'était une insulte, le skate.
[01:40:37] Speaker C: D'accord, carrément.
[01:40:38] Speaker D: Donc oui, effectivement.
[01:40:41] Speaker B: C'est vrai, je prends pas des douches tous les jours, mais...
[01:40:43] Speaker D: Je suis sale, j'ai skété, j'ai fait ma session, je suis rentré, je me suis allongé, je me suis endormi. Non, non, ben, en fait, c'est mon... Comme la famille, c'était... Ça va, ils étaient ouverts d'esprit, ils sont... ne m'ont pas critiqué. C'est plus l'entourage, le lycée, le collège qui comprenaient pas trop en fait. Mais sinon le reste, accepté.
[01:41:05] Speaker C: C'est un peu que t'écoutais d'autres musiques qui t'as sauvé ou c'est juste que t'en as eu rien à foutre en vrai au bout d'un moment tu t'es dit ?
[01:41:11] Speaker D: Je m'en foutais en fait. En fait tant que la sonorité me plaisait je la mettais dans mon... À l'ancienne c'était MP3 avec tu peux mettre 20 chansons. Donc les 20 chansons, il fallait que ce soit les bonnes. Et effectivement, je mettais ce qui m'intéressait en fait. Il y avait du métal, de la dancehall. Ça n'avait ni queue ni tête, mais ça me plaisait. Et je savais qu'il n'y avait que moi qui allais écouter. Donc le reste, je m'en fous.
[01:41:35] Speaker C: Ouais c'est parce que généralement quand on est gamin on aime bien partager aussi les choses pour parler d'un... avoir des sujets en commun je veux dire c'est le principe de la sociabilisation c'est de trouver des sujets et la musique c'est quand on est fan de métal je trouve que c'est quelque chose qui est hyper important on a trop envie d'en parler tu vois comme si on était vraiment tout seul dans un coin et quand on en trouve un on fait oh putain Ou toi, je vais te parler. C'est moi, c'est mon groupe, c'est moi.
[01:41:58] Speaker D: Non, après, j'ai eu la chance quand même très vite. Quand j'étais au collège, j'avais quand même quelques potes par-ci par-là qui écoutaient un peu de métal. Et quand je suis arrivé au lycée, j'avais d'ailleurs dédicace à toi Stéphane. Petit bisou. Où je suis tombé dans un groupe très vite qui écoutait aussi du Limbisky, du Korn, etc. Donc j'avais pas...
la honte ou la gêne d'écouter du métal.
[01:42:21] Speaker B: Oui, le fait d'être en groupe, ça donne un peu de force.
[01:42:23] Speaker D: Exactement. Et surtout d'être dans un groupe, ça donne une position de je suis dans un groupe, je suis légitime, entre guillemets. Donc ça va, ça m'a pas trop perturbé, même s'il y a eu des remarques comme tout le monde. Je pense ici présent, on a eu des remarques Ah bah on les montre ça ! Ouais voilà, oh le sataniste !
[01:42:44] Speaker F: Ah non le gothique !
[01:42:45] Speaker D: Ouais gothique, t'as bien l'air !
[01:42:46] Speaker C: C'est vrai que généralement il y a un petit problème, c'est-à-dire qu'à partir du moment où t'es rock, t'es gothique en fait ! Y'a même pas le... Y'a pas de juste milieu !
[01:42:52] Speaker D: En plus gothique ça veut rien dire !
[01:42:54] Speaker C: Bah oui, c'est très très large, mais.
[01:42:55] Speaker F: Bon après... Et ça se dit encore !
[01:42:57] Speaker C: Oui oui je sais, j'étais dans la rue avec une copine qui s'est fait insulter de gothique, j'ai pas... Elle a un tatouage.
[01:43:02] Speaker B: C'est pas une insulte ?
[01:43:03] Speaker C: Pour eux c'était une insulte. Bah oui alors ! Qu'est-ce que tu veux, si je réagis ça lui donnait de l'importance donc qu'il aille se faire foutre je le pense c'est suffisant. Est-ce que c'est comme ça aussi dans toutes les musiques ? Parce qu'il y a beaucoup de nos invités qui disent j'ai besoin de cette légitimité. Est-ce que dans les autres musiques aussi il y a ce truc ? Parce que je ne côtoie pas les autres musiques.
[01:43:26] Speaker B: Alors apparemment quand t'écoutes Jul, c'est un peu comme Magno Tiva, comme tu y es quoi.
[01:43:33] Speaker C: Non mais est-ce que je parlais, par exemple quand tu es en rap ou dans d'autres styles de musique, alors j'imagine dans le jazz, oui, il y a ce truc parce que c'est un peu plus vieux.
[01:43:41] Speaker B: Parce que j'écoute du jazz.
[01:43:42] Speaker C: Voilà, il y a un peu plus ce côté-là. Non mais même si c'est sur une très ouverte.
[01:43:46] Speaker B: C'est vrai que j'aime beaucoup écouter du jazz.
[01:43:50] Speaker D: Le jazz, ne parlons-en.
[01:43:52] Speaker C: Et dans le métal, c'est vrai qu'on a souvent l'impression que... Je sais pas si c'est vrai, est-ce qu'on se fait pas un film de ça aussi, parce que les gens jouent un peu, piquent un peu, parce qu'ils ont besoin de savoir si t'es vraiment métalleux, entre guillemets. Mais on a toujours cette envie d'être de légitimité, et je me disais, mais dans les autres musiques, j'ai jamais entendu mes potes qui écoutent du rap me dire, putain, je suis obligé de prouver aux gens qui sont autour de moi qu'après on n'a pas eu cette discussion, donc peut-être que... Il n'en parle pas.
[01:44:15] Speaker D: C'est vrai qu'il y a ce système un peu d'être un prouveur. Mais après, quand je disais légitime, c'est plus dans le sens où je fais partie d'un groupe de métal. Donc aimer le métal, en fait, ça paraît logique d'être dans un groupe de métal et d'aimer le métal.
[01:44:30] Speaker C: Sinon, tu ne fais pas partie de l'équipe. T'écoutes pas de métal, dégage.
[01:44:34] Speaker D: Mais c'est vrai que c'est un truc qui revient fréquemment. C'est de dire, t'aimes le métal ? Vas-y, prouve-le moi.
[01:44:42] Speaker B: Cite-moi cinq groupes.
[01:44:43] Speaker D: Ouais, cite-moi cinq groupes. Et le nom du chanteur. Ouais, j'en rigole de ça, mais oui, il y a un peu de vrai, c'est vrai.
[01:44:49] Speaker C: Alors je sais qu'il s'appelle Noah, c'est le chanteur... Attends, Noah, c'est l'un des.
[01:44:54] Speaker B: Plus grands chanteurs de sa génération.
[01:44:56] Speaker C: C'est une blague bien évidente. Enfin, tout le monde pense qu'il veut... Bref !
Ok, donc Lully c'est la société qui...
[01:45:04] Speaker B: Non mais c'est une bonne question ça. Mais en fait le truc c'est que je pense que dans le métal il y a ce truc où tu... En fait t'es tellement challengé en permanence d'avoir le droit d'aimer, enfin tu vois ce que je veux dire. C'est une culture qui est tellement peu existante que quand quelqu'un est en train de voir si c'est vraiment... Qu'il fait.
[01:45:23] Speaker D: Partie des nôtres quoi.
[01:45:24] Speaker B: Ouais ouais, je pense qu'il y a un truc comme ça. Après moi je m'en fous mais... De toute façon, la plupart des gens qui me disent qu'ils écoutent du métal, ils écoutent System of a Down, donc... Oui, c'est très bien. Mais ils écoutent que ça. Ah oui, oui. Donc là, tu vas... Ah oui, bon bah... Ouais, bah t'écoutes du métal, oui.
[01:45:39] Speaker C: Au moins, il sait ce que c'est. Enfin, le son.
[01:45:41] Speaker B: Exactement.
[01:45:42] Speaker C: La force de cette musique. Non, mais parce que je me... Ouais, j'ai demandé si on se faisait pas un film, parce que souvent, quand on écoute du métal, On a souvent cette image du son qui est très fort, très puissant. Mais souvent, les gens sont assez fragiles, quand bien même ils ont leur tête d'hystérique et les fringues qui sont hyper exubérantes et tout. Mais il y a souvent quelque chose de plus sensible au fond. Et du coup, est-ce qu'on ne se fait pas un film parce qu'il y en a un autre qui va juste dire « T'écoutes vraiment du métal ? » Alors qu'en fait, non, c'était une discussion assez classique, juste entre névrosés.
[01:46:18] Speaker D: Bah je pense que... Non mais c'est vrai, après, le métal c'est tellement vaste qu'il y a des personnalités différentes. Il y en a qui le prennent en mode, le métal ! Il y en a qui le prennent en mode, le métal ! Enfin je pense que...
[01:46:36] Speaker C: Pour le podcast c'est parfait.
[01:46:37] Speaker D: Mais après je pense que voilà, il y a chaque personnalité. Le métal est tellement... Entre les black métalleux, les mecs qui écoutent du néo métal, La psyché elle est différente, les gens qui écoutent du folk métal qui sont là pour s'amuser, les mecs qui écoutent du death métal qui sont là pour... Je pense que c'est...
[01:46:58] Speaker B: On t'essaie ?
[01:46:59] Speaker C: Fais gaffe à la côté de toi, c'est un peu comme du death métal. Elle va me foutre des patates dans les gueules par contre, ça je peux te le dire, elle est de violences inouïes. Ça se voit pas tout de suite mais elle est dangereuse.
[01:47:11] Speaker B: Louis est maintenant tout peinot. Je fais de l'audiodescription.
[01:47:17] Speaker C: Après donc t'as été au lycée avec tes potes et tout ça, donc c'est cool. Skate, groupe, début de la musique. À l'école ça se passait bien, les notes, les cours.
[01:47:26] Speaker B: Attends d'abord, parce que du coup début de la musique aussi ? Oui. Et du coup tu fais du chant en direct ?
[01:47:32] Speaker D: Je fais du chant en direct. En fait j'ai fait les scrow avec mon pote.
[01:47:37] Speaker B: J'ai fait vraiment l'escroc et heureusement que.
[01:47:42] Speaker D: J'Ai fait l'escroc avec lui parce qu'en fait lui il était en train de créer un groupe et moi je chantais dans ma chambre et je lui ai dit mais moi je chante comme Serge Tankian de System of a Down En.
[01:47:53] Speaker B: Tout cas, quand je m'écoute, pas.
[01:47:55] Speaker D: C'est comme ça. En tout cas, quand je ferme les yeux, c'est Serge.
[01:47:58] Speaker B: Et qu'il y a le CD qui tourne.
[01:48:01] Speaker D: Et que je fais du playback, c'est Serge. Et lui, il a pris ça pour un rachat en comptant. Et un jour, il m'a croisé, il m'a dit « Hey, je suis en train de monter un groupe, je cherche un chanteur. Tu m'as dit que tu chantais comme Serge.
Ouais ! » Tu sais, avec la goutte.
[01:48:12] Speaker C: Ah non, pardon, je me suis trompé, c'est de la polyphonie corse.
[01:48:14] Speaker D: Du coup, je lui ai dit « Ouais, vas-y ». Il m'a dit « Ouais, vas-y, répète la semaine prochaine, tu viens. » Ouais, ouais, je serai là, t'inquiète. Et du coup, on a fait le premier repet, je chantais comme une merde.
[01:48:25] Speaker B: Mais eux, ils jouaient comme des merdes.
[01:48:27] Speaker D: Tout le monde jouait comme des merdes. On était tous là, torse nu, dans un petit studio, un studio à l'ancienne, mal chauffé, mal traumatisé. C'était génial. Du coup, je me suis dit, mais ça, toute ma vie, c'est ça.
[01:48:40] Speaker C: C'est ça le rock.
[01:48:42] Speaker D: J'adore, t'as la musique, tu ressors, t'as des acouphènes. J'en veux encore, tu vois. Et du coup, voilà, après, on a remis ça et puis... commence à prendre ça un peu au sérieux au bout d'un moment. Et puis voilà, ça avance. Et puis voilà quoi.
[01:48:56] Speaker C: Bon, je parlais de fragilité. Là, on va passer à un groupe que tu as choisi, qui quand même représente beaucoup cette parole. Oui, sur la santé mentale. On en parle beaucoup dans l'émission de cette santé mentale. Malheureusement, n'existe pas assez grand monde.
[01:49:11] Speaker B: Ça se dit aussi que c'est bien d'en parler et que des fois, ça ne suffit pas.
[01:49:16] Speaker C: Oui, malheureusement. Linkin Park ? Linkin Park, bon, groupe très ouvert qui fait partie des groupes les plus connus au monde, des artistes aussi les plus connus au monde. C'est quoi chez Linkin Park qui t'a attiré ? C'est les paroles, la musique, la sensibilité, la fusion ?
[01:49:32] Speaker D: La fusion, déjà. Déjà, la première fois que je les ai écoutées, j'avais jamais... J'avais jamais entendu de rap métal, en fait. Enfin, du rap mélangé avec du métal. J'étais très système.
[01:49:45] Speaker B: Aussi poussé que ça.
[01:49:46] Speaker D: Aussi poussé vraiment à Mike Shinoda qui va te poser des coups de plaidrap.
[01:49:50] Speaker B: Ouais, puis t'as des beats, enfin, c'est vraiment...
Non mais... Des fois ça fait...
[01:49:57] Speaker C: Non mais je suis un blanc là, c'est-à-dire que ça fait... Un bouton dans ma tête fait... B-E-A-T, B-E-A-T.
[01:50:01] Speaker D: Oui, on parle de musique, oh là là, je suis désolé. Mais oui, oui, effectivement, la voix de Chester, les riffs très simples mais qui t'amènent direct dans le truc, le rap de Mike, les scratchs, enfin tout ça, quand ça arrive en France, ça fait l'effet de ma météora.
Et du coup, bah ouais, c'est ça qui m'a plu direct en fait, j'ai accroché direct. Plus les mecs, bien sapés, ils arrivent. Le clip, à l'époque, au niveau des effets spéciaux, In The End, c'était... Moi.
[01:50:34] Speaker C: Il me débecte ce clip.
[01:50:36] Speaker D: Ah ouais ?
[01:50:36] Speaker C: Ouais, alors moi, ça faisait longtemps que j'écoutais du métal.
[01:50:39] Speaker B: Mais à la fin, ça compte pas vraiment.
[01:50:40] Speaker C: Non !
[01:50:41] Speaker D: Oui.
[01:50:42] Speaker C: C'est ce qu'il faut se dire.
Mais ce clip me dégage, mais par contre, la chanson est magnifique. Ce qui est bien avec Linkin Park, c'est ce côté aussi très pop, très ouvert, sans prétention, mais qui est ultra bien calibré pour que tout le monde puisse se sentir concerné, même quand on n'écoute pas du rock.
[01:50:57] Speaker B: D'ailleurs, pour les gens qui ne connaissent pas vraiment Linkin Park, je vous conseille la vidéo de Le Règlement, qui est un mec qui fait des vidéos plutôt à base sur le hip hop, le rap et tout ça. Il a fait son coming out en disant que finalement, il aimait bien aussi un peu le métal. Et du coup, il a fait une super vidéo sur toute l'histoire de Linkin Park, qui est hyper intéressante. C'est-à-dire, même moi, en connaissant des trucs, j'ai appris des choses.
[01:51:23] Speaker C: Ah ouais, trop bien.
[01:51:24] Speaker B: Peut-être qu'il les a inventées pour rajouter des trucs que personne ne connaissait, mais...
[01:51:29] Speaker C: Si c'est vrai, c'est un super brillant, parce que...
[01:51:32] Speaker B: C'est un fucking genius. Non, non, mais elle est hyper intéressante. Donc c'est le règlement, et puis vous tapez Linkin Park, et puis c'est sorti il y a un ou deux mois, je pense.
Voilà.
[01:51:43] Speaker C: Très bien. Merci professeur. Du coup, autre chose à dire sur Linkin Park ?
[01:51:52] Speaker B: C'est bien.
[01:51:53] Speaker D: C'est bien.
[01:51:55] Speaker C: Le nouveau aussi ?
[01:51:56] Speaker D: Les premiers albums. Attention.
[01:51:59] Speaker B: Oh là là.
[01:51:59] Speaker D: Je rigole.
[01:52:00] Speaker B: C'est à cause de gens comme toi qu'il est... Ça va nous faire un.
[01:52:03] Speaker C: Short, ça va nous rapporter des fouloirs.
[01:52:05] Speaker D: Je révèle toutes les... Non je rigole, après il y a eu différents Linkin Park mais que dire de plus en vrai, voilà quoi Linkin Park.
[01:52:13] Speaker C: T'as déjà, alors excuse moi c'est polémique mais t'as déjà senti un Linkin Park qui était moins bon ?
[01:52:20] Speaker D: Ah oui !
[01:52:22] Speaker C: Parce que ceux qu'on sentait moins bons à l'époque et quand on les réécoute aujourd'hui, ça m'a même resté dans la tête, je ne sais plus ce que je veux dire et je sais qu'il faut lancer le clip, mais j'ai ma question. Aujourd'hui, quand tu la écoutes, justement, ils sont brillants. Il y a un truc qui est ouf. Et puis cette prise de risque, surtout. C'est un groupe qui a gagné des milliards de dollars. C'est un groupe qui est blindé, qui a rempli des stades dans le monde entier, mais ils ont toujours sorti des trucs. qui à chaque fois se faisaient mais défoncer. Donc c'est quand même culotté.
[01:52:52] Speaker B: Tu veux dire, est-ce qu'ils étaient pas un peu trop d'avant-garde, c'est ça que tu veux dire ?
[01:52:55] Speaker C: Je sais pas, mais enfin, il y a des artistes qui disent, dans 20 ans vous comprendrez mon album, par exemple les Smashing Pumpkins, pardon, la chanson de.
[01:53:03] Speaker B: Bumbo là, on l'a toujours pas compris.
[01:53:05] Speaker C: Non mais tu vois, lui il le dit, eux ils le disaient pas, ils le faisaient, puis en fait ils s'en foutaient, ils voulaient faire des trucs différents et s'essayer.
[01:53:11] Speaker D: Non mais après, il y a eu Météor, après il y a eu Minute.
[01:53:14] Speaker C: To Midnight là, On sent qu'il n'est pas dedans.
[01:53:18] Speaker D: En fait, je l'ai écouté et je sentais déjà que Linkin Park était déjà parti.
[01:53:23] Speaker B: Que c'était plus que toi qui t'avais.
[01:53:26] Speaker C: Habillé à la base.
[01:53:27] Speaker D: Pour aller au bout de ce que je voulais dire, c'est vraiment que le Linkin Park qu'on a connu au tout début, que les deux premiers étaient plus là. C'était un autre Linkin Park. Pas forcément moins bon, mais que ça me parlait moins. Mais que forcément les mecs, ils sont mondialement connus, ils commencent à faire des scènes un peu partout, ils sont obligés un peu de se standardiser. pour gagner une plus grosse communauté.
[01:53:55] Speaker B: Il y a toujours la question de savoir est-ce que c'est ça ou est-ce que c'est que vu que déjà toutes les... En fait, il y a un truc chez les artistes, c'est que tout ce qu'ils ont déjà fait, ils vont continuer à le faire sur scène. Donc, à un moment, c'est si tu veux... trouver de nouvelles sensations, il faut aussi aller chercher des trucs différents. Je suis pas sûr que ce soit forcément, enfin c'est pas toujours pour la thune.
[01:54:16] Speaker C: Surtout qu'ils ont gagné déjà des tonnes.
[01:54:18] Speaker B: Je pense que juste avec les droits à radio, ils sont un peu tranquilles.
[01:54:22] Speaker D: Non je pense pas que ce soit pour la thune, je pense que c'est plus pour une ouverture de niche justement. Et moi ça me parlait moins et c'est vrai que pour moi, après Minute to Midnight, Pour moi, il y a eu un Linkin Park que j'ai pas trop kiffé, trop pop pour moi. Après, je peux comprendre, ils ont pensé, il y a des gens qui aiment.
[01:54:41] Speaker C: C'était moins ton truc.
[01:54:43] Speaker D: C'est moins mon truc.
[01:54:44] Speaker C: Bon. Eh ben alors, on va regarder celui qui te plaît. Avec Indian Linkin Park.
[01:55:09] Speaker A: C'est parti !
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[01:56:06] Speaker C: Je.
[01:56:06] Speaker A: Ne sais pas pourquoi, ça ne m'importe pas combien de temps tu as essayé, gardes ça en tête, j'ai conçu ce rythme pour me rappeler de comment j'ai essayé. J'ai essayé si dur, malgré la façon dont tu me moquais, actant comme si j'étais une partie de ta propriété, te souvenir de toutes les fois que tu t'es battu avec moi, je suis surpris qu'elles n'aient pas été telles qu'elles l'étaient auparavant. Tu ne me reconnaisrais même plus, pas que tu me connaissais à l'époque, mais tout revient à moi à la fin. Tu as gardé tout à l'intérieur sans.
[01:56:35] Speaker C: Même le savoir.
[01:57:02] Speaker A: J'ai mis mon confiance en toi J'ai poussé aussi loin que je peux Pour tout ça Il n'y a qu'une chose que tu devrais savoir.
[01:57:16] Speaker F: J'ai mis mon confiance en toi.
[01:57:43] Speaker A: Mais au final, ça n'a pas de sens C'est parti !
C'est pas d'la connerie mais moi pourtant C'est la tête, c'est la tête, c'est la tête, c'est la tête.
[02:01:31] Speaker C: Oh, ça t'abasse, hein ? Ça allait te dire, j'étais là, tranquille, et puis... Eh ben oui, alors !
[02:01:36] Speaker B: J'avais mis un jour, lui, sur la plage. Le mec, il est arrivé, il est avec sa musique de sauvage, et je fais, c'est quoi, ça ?
[02:01:43] Speaker C: Ah ben, c'est un truc de Tchapacan. De toute façon, je te l'avais déjà dit, ça nous a tous emboucanés, c'était l'enfer.
[02:01:48] Speaker B: Oh, franchement... Oh !
[02:01:51] Speaker C: Bref, ce choix, c'est... Oh ! C'est vrai qu'on fait beaucoup ça... Oh ! ... dans le Sud. Oh ! Oh ! Bon, ça s'appelle Gay, voilà, G-A-I, avec... Alors je sais pas si c'est vraiment le titre, Vive la Déception.
[02:02:05] Speaker F: Si.
[02:02:05] Speaker C: Ah très bien, bon bah voilà. Moi j'ai dit juste qu'on s'y connaît.
[02:02:07] Speaker F: Au début il dit Vive la Déception. Pareil avec un accent... Ouais, bon, on.
[02:02:11] Speaker B: Fait pas les accents ici. C'est des coups à avoir des problèmes ça.
[02:02:14] Speaker C: Moi je fais l'accent... Alors ce qui est bien c'est que ton accent ne ressemble à rien donc.
[02:02:17] Speaker B: Déjà au moins... Bah oui, c'était plutôt espagnol.
[02:02:19] Speaker F: Ah bon ?
[02:02:20] Speaker C: Bah oui j'ai compris un truc espagnol.
[02:02:21] Speaker B: Moi j'ai cru entendre ça mais...
[02:02:22] Speaker F: J'ai tenté quelque chose mais... Ouais, bon.
[02:02:24] Speaker B: Après des fois faut pas... De toute.
[02:02:24] Speaker F: Façon ils sont vietnamiens.
[02:02:26] Speaker C: On adore le vietnamien. Le vietnamien partout.
[02:02:32] Speaker B: Petite soupe feu.
[02:02:33] Speaker C: J'adore le vietnamien, j'adore la bouffe.
[02:02:36] Speaker B: Un beau boune, c'est si beau.
[02:02:38] Speaker C: Bon, parlons du groupe.
[02:02:40] Speaker F: Donc oui, c'est un groupe vietnamien. New Deathcore fusionne des éléments Deathcore, New Metal, des beatdown hardcore. Ils n'ont pas l'air contents, comme on a pu entendre. Le groupe est formé en 2023. J'ai le peur, à chaque fois que je vois ta tête.
[02:02:57] Speaker C: Ah merci ! Je vois ta gueule, je suis obligé de rire.
[02:03:01] Speaker F: C'est parce que t'as une tête de.
[02:03:04] Speaker B: Con Pierre, c'est pas de sa faute.
[02:03:05] Speaker C: T'as une tête de clown, le clown triste.
[02:03:08] Speaker F: Donc ils ont un album et un EP. C'est quand même assez jeune comme groupe. Je ne sais pas si on dit gay, gay ou je ne sais pas. Après c'est écrit en anglais. Je ne sais pas lire.
[02:03:19] Speaker C: Je ne les connais pas donc je ne les ai jamais vus dans le marais.
Ni dans des backrooms, bon après il n'y a pas trop de lumière, c'est pas ça qu'on regarde en premier.
[02:03:27] Speaker F: Et ça signifie épine en vietnamien.
[02:03:31] Speaker C: Ça va très bien avec ce que tu me dis.
[02:03:35] Speaker F: C'est pour symboliser la dualité entre la fragilité et la résilience, comme une rose avec ses épines.
Ils ont fait plusieurs featurings dont un avec Mathéo Gelsominaud, le chanteur de Salem qui était avant dans Novelist. Et ils ont fait aussi un autre featuring avec le chanteur des murs, Francky Palmeri.
Donc oui, c'est quand même un jeune groupe, mais ils ont quand même des petits featurings à droite à gauche. Plutôt cool. Je ne sais pas pourquoi ce morceau est écrit en français, parce qu'à part vivre la déception qu'il y a au début, mais qu'on ne comprend pas.
[02:04:15] Speaker C: Parce que quand on vient en France, on est toujours déçus.
[02:04:16] Speaker F: Oui, peut-être. Ça peut être une inspiration, j'en sais rien. Mais en tout cas, ce morceau, oui, ça exprime la déception collective, les sentiments de trahison et de perte. En fait, ça reflète une quête de sens dans un monde souvent décevant et qui appelle aussi à la résilience face aux épreuves difficiles.
[02:04:35] Speaker C: Bon, il y a quand même un message positif dans l'ensemble.
[02:04:38] Speaker F: Oui, oui, voilà. La vie c'est de la merde, mais pas que.
[02:04:40] Speaker C: Il faut s'énerver un peu. C'est bien de s'énerver en musique que de s'énerver sur qui que ce soit. Ce n'est pas très constructif. Donc à la fin, on est bien.
[02:04:47] Speaker F: Et il y avait un autre morceau que j'ai failli mettre, mais en fait celui-là je l'ai mis parce que c'est le premier que j'ai découvert.
[02:04:53] Speaker C: C'est celui que j'ai trouvé le plus mignon.
[02:04:56] Speaker F: Non mais j'aime beaucoup le groove qu'il y a dedans et les passages de voix un peu, enfin je sais pas, c'est pas vraiment rappé mais il y a un truc assez groovy dans ce sens-là, j'aimais beaucoup. Mais l'autre morceau aussi, ce que j'aimais bien, il s'appelle « Same Old Story ».
C'est toujours aussi percutant, violent, tout ce que vous voulez. Mais le thème c'est sur la répétition des erreurs humaines. Et je trouvais ça intéressant. La frustration face à l'immobilisme social. Et tout le questionnement qu'il y a autour des schémas répétitifs. Et puis l'incapacité de l'être humain à...
[02:05:30] Speaker C: Mais sans s'arrêter de nos erreurs, mais finalement on aime bien l'improviser quoi.
[02:05:34] Speaker F: On est des merdes, voilà.
[02:05:37] Speaker C: Ah bah je voyais ça d'un peu plamé en vrai, mais bon écoute, je dis comme ça, une lavite, une tartine de merde, j'ai un ami qui me le dit souvent.
[02:05:43] Speaker F: Vive la déception, voilà.
[02:05:45] Speaker C: Voilà, si vous aussi qui êtes en train de regarder, d'écouter, je ne sais où vous êtes, et que vous êtes complètement dépressifs, bienvenue. Ça va ou tu es tché ?
[02:05:52] Speaker B: Non mais j'aimerais, j'aimerais, alors excusez-moi, j'essaye de faire le travail qu'elle a pas fait, savoir comment ça se prononce.
[02:05:59] Speaker F: Ah oui, bah tu vas sur Google Trad.
[02:06:01] Speaker B: Bah oui, d'accord, mais il faut taper le caractère.
[02:06:03] Speaker F: Non mais si tu mets épine en français, parce qu'apparemment c'est ce que ça veut dire en italien.
[02:06:08] Speaker B: Ouais mais bon après je te fais pas forcément confiance sur la traduction non plus quoi.
[02:06:12] Speaker C: Mais moi j'ai adoré ta description, c'est formidable. Et puis je reconnais bien ton style parce que c'était vraiment très vénère. Le côté gros, peut-être un peu moins senti immédiatement, mais on les voit sur scène. Ah c'est bon, je l'ai.
[02:06:26] Speaker B: Ah ouais bah ça marche pas non. Attention.
[02:06:30] Speaker C: Gai.
[02:06:32] Speaker B: Gai.
[02:06:33] Speaker C: Gai. Gai. C'est pas gai ? Ecoute-le au moins. Gai. Gai.
[02:06:41] Speaker F: Gai.
[02:06:43] Speaker B: Pas gay. Gai.
[02:06:44] Speaker F: Gai.
[02:06:45] Speaker D: Moi j'aurais dit gay.
[02:06:47] Speaker C: Bon, en français c'est quand même plus simple.
[02:06:49] Speaker B: Chacun se sent trop d'enfer.
[02:06:50] Speaker C: C'est vrai que c'est peut-être moins facile d'en parler si tu sors dans un lieu métal. Tes coups de guêpe ! Non, c'était pas ça que je voulais dire ! Sois un peu plus ouvert, enfin, sans mouver... Bon, bref. Donc, ok. Vietnamiens.
[02:07:06] Speaker F: Oui.
[02:07:06] Speaker C: Très très bien. Tu sais pas s'ils ont déjà fait des tournées aussi jeunes qu'ils sont en Europe.
[02:07:11] Speaker F: Franchement, je sais pas trop.
[02:07:12] Speaker B: C'est à moi aussi de chercher ça ?
[02:07:17] Speaker C: Non, pas du tout.
[02:07:18] Speaker F: Après, ils sont jeunes et tout, mais je ne sais pas s'ils ont fait en Europe.
[02:07:21] Speaker B: 2023, je pense que c'est un peu short pour tourner dans le monde entier.
[02:07:25] Speaker C: Après, c'est un son très, très malgré tout occidental, le son qu'ils font.
[02:07:29] Speaker F: Oui, ça passerait bien chez nous, quoi.
[02:07:32] Speaker B: C'est plus un problème de distance, je pense.
[02:07:34] Speaker C: Oui, il faut avoir les moyens, c'est sûr. Puis c'est pas en faisant ce genre de musique. Bon, forcément, ils auront les sous pour venir jusqu'ici.
Et quand on fait le choix de faire du métal, de toute façon, c'est pas pour gagner de l'argent. À part quand on est connu, là ça marche très très bien. Tu as fait quelques activités ces derniers temps ? Eh oui !
[02:07:51] Speaker F: Alors cette semaine, j'ai même fait un premier concert. Alors je ne sais plus si c'était lundi ou mardi, mais bon bref. J'étais au club. Je n'étais pas prévue.
[02:07:58] Speaker C: Il y avait encore des rats ?
[02:07:59] Speaker F: Je n'en ai pas vu en tout cas. Mais il y avait un groupe qui s'appelait Mantra. Avec TS à la fin. Parce que je crois qu'il y a plusieurs groupes qui s'appellent Mantra.
[02:08:09] Speaker C: C'est possible.
[02:08:10] Speaker F: Et franchement, c'était très bien. Un groupe qui est tout jeune aussi, ça fait que un an qu'ils existent et c'était leur quatrième concert. Et franchement, le club, c'est tout petit. Il n'y a pas forcément beaucoup de monde, mais je trouvais que sur scène, le chanteur, il bougeait de ouf, il se roulait par terre.
[02:08:26] Speaker C: C'est pour ça qu'il n'y a pas l'air râle.
[02:08:30] Speaker F: Non mais franchement ça a bougé super bien. Présence scénique vraiment super. J'ai discuté avec d'autres gens qui avaient vu leurs trois autres concerts avant et qui disaient qu'au fur et à mesure ils évoluaient bien. Donc franchement très cool.
[02:08:44] Speaker C: Quel genre de musique ?
[02:08:45] Speaker F: Je suis un peu nulle pour dire les styles.
[02:08:48] Speaker C: Non mais on s'en fout approximativement. C'est très violent ?
[02:08:53] Speaker F: C'est violent mais...
[02:08:55] Speaker C: Dans sa bouche c'est très...
[02:08:56] Speaker F: Mais après si tu compares avec ce que moi j'écoute je sais pas mais oui c'est quand même violent.
[02:09:01] Speaker C: Ça s'envoie le pâté ?
[02:09:02] Speaker F: Ouais.
[02:09:02] Speaker C: Bon ok d'accord.
[02:09:03] Speaker F: Ça pourrait être plus dans une lignée de clone mais en plus violent je dirais.
[02:09:06] Speaker C: Ah oui parce que clone c'est pas très violent.
[02:09:08] Speaker F: Oui mais en version plus énervée. Il y a un truc un peu... Je pense qu'il y a un peu de prog dedans enfin il y a des choses vraiment très cool.
[02:09:14] Speaker C: Ok.
[02:09:15] Speaker F: Mantra avec un S. Ouais, ATS à la fin. Et par contre, la Progra, je n'ai pas trop compris parce que c'était eux en premier. Après, il y avait un groupe qui s'appelait Ex... Je ne sais plus si c'était Exceda ou Exessa, je ne sais plus trop, qui était encore plus vénère. C'était pas mal aussi. Et le dernier groupe, c'était vraiment du rock et ils faisaient des reprises. Ça n'avait rien à voir et ça.
[02:09:34] Speaker B: Faisait... Peut-être que t'es restée trop longtemps, il y a eu une autre soirée qui a commencé.
[02:09:39] Speaker F: Non mais en fait avec mes potes...
[02:09:40] Speaker C: Elle est tombée en rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.
[02:09:54] Speaker F: Il.
[02:10:07] Speaker C: Y avait des jeunes, ils avaient 12 ans.
[02:10:08] Speaker B: Jeune, vieux, ça veut dire quoi ? J'ai pas 12 ans. Je veux dire aujourd'hui, il y a 40 ans, c'est le nouveau 20, quoi. Je veux dire 50, t'as l'assurance toi, quoi.
[02:10:21] Speaker F: Attends, j'ai pas fini.
[02:10:24] Speaker B: Oh, elle n'a pas fini, attends, parce qu'elle a fait un autre concert hier, elle a joué dans la pub. Tu t'imagines bien qu'elle y allait ?
[02:10:30] Speaker C: C'est vrai qu'elle a joué dans la pub, alors raconte-nous.
[02:10:32] Speaker F: Alors du coup hier je suis allée voir plusieurs groupes, donc c'était à Compiègne, alors je vais essayer de dire dans l'ordre, il y avait Broken Face, je connaissais pas du tout, je savais pas à quoi m'attendre, et en fait c'est un groupe, alors je pense c'est plus métal, un peu rock, et franchement l'énergie et tout, c'était ouf parce qu'il n'y avait pas beaucoup de monde au début, et petit à petit...
[02:10:52] Speaker C: Ils ont quand même tout donné.
[02:10:53] Speaker F: Et ouais franchement, et en fait c'est une femme trans qui chante, et franchement mais... Elle est ultra sexy, moi je sais pas, danser comme ça quoi, vraiment, elle fait des trucs, t'sais là t'sais, waouh. Et toute l'énergie qu'elle a sur scène, franchement c'était assez incroyable, alors qu'il n'y avait pas beaucoup de monde. Tu regardais pas le public, tu savais pas en fait la jauge quoi.
[02:11:15] Speaker C: Ça t'a embarqué quoi ?
[02:11:16] Speaker F: Ouais franchement j'ai trouvé ça vraiment cool. C'était chanté en français et un peu en anglais aussi. Deuxième groupe c'était, merde je sais plus, Fix Stuff. C'était plus trap hardcore donc il y avait plus de morceaux, il y avait plus le côté rap qui était présent. C'était pas mal aussi, j'aurais juste pas mis un morceau plus hardcore et après deux morceaux rap. Je trouvais que la répartition des morceaux n'était pas forcément bien faite, à mon goût en tout cas pour la setlist. Mais sinon globalement c'était...
[02:11:48] Speaker B: Je pense qu'ils prennent des notes là, ils t'écoutent et puis... Ah bah ouais.
[02:11:50] Speaker F: Prenez des notes, attention ! Et après il y avait Encounters, ça j'ai pris une putain de claque franchement, la nana là je sais plus comment elle s'appelle, c'est Lola, j'allais dire Laura mais Lola, franchement elle a une voix de dingue, elle envoie du pâté.
[02:12:09] Speaker B: Ah ouais ? C'est-à-dire que si tu viens avec des baguettes et que t'as faim ?
[02:12:17] Speaker C: Tu finis le concert, déjà tout le monde pue de la gueule à la fin d'un concert, mais alors là, avec du pâté, ça doit être enfermé.
[02:12:20] Speaker F: Moi, je suis végétarienne, donc je suis végétarienne.
[02:12:22] Speaker B: Ah, c'était peut-être un pâté végétal ?
[02:12:24] Speaker C: Ah oui, c'est vrai.
[02:12:24] Speaker F: J'ai pas voulu goûter. Mais bon, bref, en tout cas, c'est...
[02:12:28] Speaker C: Ça doit être cool, hein ?
[02:12:30] Speaker B: Ça a l'air d'une carotte !
[02:12:32] Speaker C: Moi, je m'en fous, j'ai ramené un pâté en croûte. Oh, c'est qui la croûte ?
Très bien. C'est la vieille.
[02:12:41] Speaker F: Ils sont belges et franchement c'était ouf quoi. Vraiment. C'était super.
[02:12:48] Speaker C: J'aime bien le... Ah bah oui Pierre, ils sont belges.
[02:12:50] Speaker F: C'est pas pâté en croûte. C'est pas belge.
[02:12:53] Speaker B: C'est pas si belge le pâté en croûte.
[02:12:55] Speaker F: Non.
[02:12:56] Speaker C: Je ne sais pas.
[02:12:57] Speaker B: C'est plutôt lion.
[02:12:57] Speaker F: C'est de lion oui. Alors la culture un peu... Oui, j'aime.
[02:13:01] Speaker B: Bien la bouffe de lion.
C'est du plus l'oignon que le lion.
[02:13:07] Speaker F: Et après il y avait au parfait que vous avez reçu la semaine dernière.
[02:13:10] Speaker C: Ah c'est vrai ?
[02:13:11] Speaker B: Vous avez reçu la tête d'affiche ?
[02:13:12] Speaker F: Ouais ouais. C'était pas la tête d'affiche, c'était la pré-tête d'affiche.
[02:13:15] Speaker B: L'anti-pénultième.
[02:13:16] Speaker C: Ah bon ? Y'a eu qui ?
[02:13:17] Speaker F: Les derniers c'était les copains de Camino et Kari.
[02:13:20] Speaker C: Ah bah oui !
[02:13:22] Speaker B: Elle était dans la pub pour eux.
[02:13:23] Speaker C: Bah oui.
[02:13:24] Speaker F: Eh oui. Et ouais bah du coup moi je les avais déjà vus et tout ça mais toujours aussi bien. D'ailleurs je tease un petit truc. Possiblement que le 4 juillet il y a un clip qui sort.
Sur lequel j'ai bossé.
[02:13:37] Speaker C: C'est pas sûr, mais on sait jamais. D'accord, ok, donc 4 juillet.
[02:13:39] Speaker F: Je dis ça comme ça, mais voilà. 4 juillet, il y a quelque chose qui va sortir et franchement, il est top.
[02:13:44] Speaker B: On pourra le passer le 6. C'est bien ?
[02:13:47] Speaker C: Oui. Tout à fait.
[02:13:48] Speaker F: Je ne sais même pas quel jour ça, le 4.
[02:13:49] Speaker B: C'est un vendredi.
[02:13:51] Speaker F: Ah bon, ben voilà.
[02:13:52] Speaker C: Et le jour des sorties. Tu sais.
[02:13:54] Speaker B: Généralement, les titres, ça sort le vendredi. Généralement. Maintenant, il n'y a plus vraiment de règles. Oui, mais c'est vrai, souvent c'est vendredi. 2025.
[02:14:03] Speaker F: Et du coup, franchement, l'organisation, c'est Dark Song Prod qui a fait l'organisation, donc c'est Émilie qui est vraiment super top. À chaque fois, elle fait des dates. Je trouve les plateaux sont super intéressants. Ça fait beaucoup de groupes, mais c'est vachement à la cool. Même les groupes, ils ne sont pas pressés à faire leur checksound, ils sont vraiment détendus, je trouve.
[02:14:24] Speaker C: Ça se passe bien.
[02:14:25] Speaker F: Ça se passe super bien.
[02:14:28] Speaker C: Soundcheck.
[02:14:29] Speaker F: On comprend quand même.
[02:14:30] Speaker B: C'est pour toi.
[02:14:32] Speaker C: C'est juste pour montrer notre niveau de professionnalisme.
[02:14:34] Speaker F: Moi je m'en fous.
[02:14:36] Speaker B: Pierre, il s'est branché un micro.
[02:14:38] Speaker D: J'avais compris.
[02:14:39] Speaker F: Ok, voilà, merci.
[02:14:40] Speaker C: Et au Fayot, ça va ? Tu te calmes dedans ?
[02:14:42] Speaker F: Mais voilà, c'est une astro qui existe depuis 2023. Et franchement, ils font à peu près 4 ou 5 dates par an pour avoir la salle du Zicodrome à Compiègne.
[02:14:55] Speaker C: Et la salle, elle est comment d'ailleurs ?
[02:14:57] Speaker F: C'est assez grand, le son est plutôt pas mal. Ouais franchement, alors la capacité je saurais pas te dire, je sais pas jauger, mais franchement ça pourrait être l'équivalent de quoi ? C'est plus grand que l'empreinte je pense.
[02:15:11] Speaker C: Ah oui ?
[02:15:11] Speaker F: C'est quand même présent alors. Ça me paraît en tout cas moi plus grand.
[02:15:15] Speaker C: Bon très bien, très bien, c'est bien qu'ils dessalent comme ça et qu'ils fassent aussi du métal, qu'ils acceptent d'en faire. Et puis Dark Song Prod, on est souvent avec eux et on les soutient à fond aussi. 300 personnes, nous dit notre amie Marcel.
[02:15:26] Speaker F: Ah bah merci.
[02:15:27] Speaker B: Attends, il manque un bout là.
[02:15:29] Speaker F: Ah oui, il y a des super transats.
[02:15:34] Speaker C: Ok, c'est quel groupe que t'as pas voulu regarder que t'allais pioncer ? Bah vas-y, dis-nous.
[02:15:39] Speaker F: Ça va la foutre mal.
[02:15:40] Speaker C: Non mais des fois on a besoin de se reposer. Imparfait c'était bien ?
[02:15:44] Speaker F: Bah justement j'étais...
[02:15:46] Speaker C: Merde, j'ai mis les pieds dedans !
[02:15:48] Speaker B: Après, elle n'écoute que du death, alors forcément un groupe qui est moins métal...
[02:15:52] Speaker F: J'étais un peu fatiguée, j'avoue.
[02:15:54] Speaker B: Mais c'est moins ton style aussi.
[02:15:56] Speaker F: Mais oui, c'est vraiment mon style. Mais par contre, sur scène, ils étaient top aussi. Mais c'est moins ce que je vais écouter.
[02:16:01] Speaker C: Dit-elle depuis le transat.
[02:16:02] Speaker F: Ah c'est vrai, oui je le sais bien moi.
[02:16:04] Speaker C: Mais non, mais t'as raison, y'a pas de soucis, y'a aucun problème avec ça. En tout cas on fait des gros bisous. Si vous connaissez pas Imparfait, ils étaient là la semaine dernière donc vous pouvez...
[02:16:12] Speaker B: La VOD est disponible. Voilà, checkez ça sur notre chaîne YouTube.
[02:16:15] Speaker C: Ben top alors, il faut soutenir ce genre d'association, ce genre d'action en province et à Compiègne encore plus.
On va peut-être enchaîner. Est-ce que tu expliques la suite ?
[02:16:27] Speaker B: Et bien, bien sûr. Chaque semaine, les auditeurs peuvent voter pour le clip des Bangers. Vous pouvez les proposer et voter. Et cette semaine, quelqu'un a sûrement gagné avec son clip.
[02:16:38] Speaker C: On remercie encore une fois Kevin, Parent Maxime, Evan et Alain Guido qui sont des personnes qui soutiennent à fond Restless et Bang Bang. Merci à toutes les personnes d'ailleurs qui sont abonnées à notre Patreon et encore Non pas que je minimise les autres, mais ceux qui sont headbangers parce qu'ils peuvent faire ses propositions. Et c'est Maxime qui a gagné.
[02:16:56] Speaker B: On peut rappeler juste très rapidement que cette émission ne vit que grâce au Patreon. Donc on ne reçoit pas d'argent de Label, on ne reçoit pas de l'argent de groupe, on ne reçoit pas de l'argent de qui que ce soit, c'est que les Patreons. Et nous, du coup.
[02:17:09] Speaker C: Et puis si vous voulez faire de la pub.
[02:17:11] Speaker B: Voilà. Et si vous voulez faire de la.
[02:17:12] Speaker C: Pub, par contre, là... Sous forme de publicité.
[02:17:15] Speaker B: On les tournera, on les diffusera. Si tu veux une pub, tu n'hésites pas. On te fera un prix.
[02:17:19] Speaker C: Oui.
Vous remarquez qu'il parle sous la menace.
[02:17:25] Speaker D: Je cligne des yeux, le signe.
[02:17:29] Speaker C: Souvenez-vous ma Britney. Bon bref, c'est Maxime qui a réussi à avoir le plus de votes et puis donc la chanson qu'il a choisie c'est Redneck de Lamb of God. Et du coup il a laissé un petit message. Voilà parce que vous avez le droit à ce moment de technologie moderne future 2000. C'est-à-dire je mets sur mon téléphone le vocal qu'il m'a envoyé et c'est parti.
[02:17:52] Speaker D: Bonsoir tout le monde, bonsoir l'équipe. Mon choix pour cette semaine est le titre Redneck de Lamb of God. Le morceau est sorti sur l'album Sacrament en 2006, donc il y a presque 20 ans, hier. Le clip est cool, voilà, je choisis ce morceau parce que le clip est cool.
déjà rêvé d'avoir un groupe de métal pour faire l'animation de notre anniversaire. C'est du Lamb of God, c'est la même recette depuis le début mais c'est cool. Pas grand chose d'autre à ajouter, on a un petit passage rapide. Sur ce, bonne émission à tous, bonne semaine et comme disait Giscard, au revoir !
[02:18:36] Speaker C: J'aime bien cette référence de vieux. Maxime, bravo, merci beaucoup pour ce petit message. Quelle voix aussi !
[02:18:43] Speaker B: Oui, très belle voix.
[02:18:44] Speaker F: Et très bon choix, le clip.
[02:18:47] Speaker C: Très bien. Alors à la mode, il y a quand même eu des aventures capillaires. Alors c'est moi qui me permet de dire ça. Mais bon.
[02:18:52] Speaker F: C'est marrant parce que c'est un clip, je me suis tâtée à le passer un jour. Je me suis dit, je me suis réécoutée un peu les albums là.
[02:18:58] Speaker C: L'agneau de Dieu.
[02:19:01] Speaker B: Eh bien allez-y !
[02:19:03] Speaker C: On balance l'assaut, c'est parti !
What do you think, honey? No. I know what I could play for your birthday. Mary had a little lamb... That's sweet, dear.
[02:19:19] Speaker F: But I think we should get some professional entertainment for Mary's birthday this year.
[02:19:24] Speaker C: They seem perfect.
[02:19:26] Speaker F: Hello?
[02:19:28] Speaker E: Lamb of God?
[02:20:22] Speaker A: Mais je n'ai pas de limite ! Je n'ai pas de limite ! Je n'ai pas de limite ! Je n'ai pas de limite ! Je n'ai pas de limite !
C'est quoi ce bordel ?
So close your eyes once more and once more Believe that they all still believe in you Just one time This is a motherfucking invitation The only one you could ever need This is a motherfucking invitation.
[02:23:16] Speaker C: Lamb of God, le choix de Maxime, si vous avez envie de proposer des morceaux, aidez-nous et proposez via notre Patreon, le lien est en description pour ceux qui regardent la VOD. Et sinon vous tapez point d'exclamation, Patreon, ou sinon Marcelle vous donnera le lien, tout simplement.
[02:23:37] Speaker B: Et on passe le bonjour à Sahel !
[02:23:39] Speaker C: Mais oui ! Mais qui est Sahel ?
[02:23:42] Speaker B: Elle est dans la place.
[02:23:43] Speaker C: C'est un joli prénom d'ailleurs, très joli prénom.
[02:23:47] Speaker B: Ben on enchaîne !
[02:23:49] Speaker C: J'espère qu'on dit pas trop de bêtises !
[02:23:51] Speaker B: Lamb of God que t'auras pu choisir du coup ?
[02:23:54] Speaker F: Oui mais j'ai pas choisi, voilà !
[02:23:55] Speaker B: Mais t'as choisi autre chose peut-être !
[02:23:56] Speaker C: Attends mais t'en penses quoi toi de Lamb of God ?
[02:23:58] Speaker D: Excellent ! Franchement lourd, très lourd, très granuleux, très... Tu sens la haine quoi ! Tu sens que t'as envie de te frapper les têtes !
[02:24:10] Speaker B: Ah bah dit comme ça.
[02:24:11] Speaker F: Là c'est plus des enfants dans le.
[02:24:12] Speaker B: Clip mais bon... Ouais bah moi j'ai souvent envie de frapper des enfants.
[02:24:15] Speaker D: Bon alors on va passer à la.
[02:24:16] Speaker C: Tronche Méli parce que c'est en train de basculer.
[02:24:20] Speaker B: Non mais c'est vrai que c'est chiant les enfants quand même.
[02:24:21] Speaker C: Bah moi j'adore, c'est trop chouine.
[02:24:22] Speaker B: Ouais bah tout le monde a bien compris.
[02:24:24] Speaker F: C'est peut-être pour ça que j'aime bien le clip aussi.
[02:24:27] Speaker B: Ouais bah on est d'accord. Bon on va continuer.
[02:24:29] Speaker C: C'est quoi que tu veux nous présenter ?
[02:24:31] Speaker F: J'ai choisi Orbit Culture.
[02:24:32] Speaker B: Bah c'est pas pour les enfants je pense.
[02:24:37] Speaker F: C'est un groupe de death metal mélodique qui vient forcément du berceau du death mélo, la Suède.
[02:24:44] Speaker B: Déjà des grands sourires, des couleurs vives, du saumon. Des zérelles.
[02:24:52] Speaker F: Ça fait un moment qu'il existe, je crois. Je ne sais plus trop de quelle année il existe.
[02:24:59] Speaker B: Tu chasses ton boulot encore ?
[02:25:01] Speaker C: Non, parce qu'elle aime manger des bonbons, les daims. J'en cherche d'autres.
[02:25:10] Speaker F: Oh la vache !
[02:25:13] Speaker B: Je te meule !
[02:25:14] Speaker C: Je te meule ! Désolé. Dégage, j'arrête.
[02:25:17] Speaker F: Et donc du coup, là j'ai choisi... Donc ils ont sorti deux nouveaux clips. Donc ça veut dire qu'il y a un nouvel album qui va sortir. J'ai vraiment hésité entre les deux, mais j'ai plutôt choisi le dernier parce que le dernier morceau, c'est vraiment... Ils le disent eux-mêmes, ils sont en train d'évoluer vers quelque chose de différent. En gros, si vous voulez, Orbit Culture, ils ont souvent été comparés, vraiment à juste titre, à un mélange entre Gojira et la voix de James Hetfield, Metallica.
[02:25:45] Speaker B: Et Lamb of God, ils disent, sur Kuman.
[02:25:49] Speaker F: C'est bien, ça fait un super lien avec le clip d'avant.
[02:25:52] Speaker B: Bah oui, c'est pour ça, le hasard.
[02:25:53] Speaker A: Fait bien les choses.
[02:25:53] Speaker F: 2013. 2013, ouais, ça fait longtemps. Ah putain, 2013 ! Moi, je crois que j'ai les découvertes pendant le Covid.
Mais en tout cas, ils ont une idée qui est super chouette. Je sais pas pourquoi il se marre à chaque fois que je le parle.
[02:26:05] Speaker B: C'est parce qu'il est con.
[02:26:07] Speaker C: C'est les anxiolytiques, ça me rend heureux, j'arrête pas de rire. Je pleure plus, je fais que me marrer, c'est quand même plutôt bien.
[02:26:12] Speaker F: Je suis contente d'apporter du bonheur dans ta vie.
[02:26:14] Speaker C: Mais toujours Amélie, toujours.
[02:26:15] Speaker F: C'est super.
[02:26:15] Speaker B: C'est surtout les anxiolytiques, ne me prends pas trop de...
[02:26:19] Speaker F: Je peux repenser comme ça, c'est sympa.
[02:26:21] Speaker C: Tu m'apportes du bonheur.
[02:26:22] Speaker F: Très bien, merci. Du coup, je ne sais plus où j'en étais, mais ils ont vraiment une idée qui est super chouette. Par exemple, les pochettes d'albums, c'est des sortes de peintures un peu numériques, super jolies. La personne qui fait ça s'appelle Martha.
Baroul.
[02:26:38] Speaker C: Son nom.
[02:26:47] Speaker F: D'Artiste c'est Abomination Imagery.
[02:26:50] Speaker B: Ah bah oui !
[02:26:51] Speaker D: Ah je préfère Marta Barul !
[02:26:53] Speaker C: On a plus envie de rencontrer Marta.
[02:26:55] Speaker B: Que de vous dire que c'est vraiment deux salles, deux ambiances.
[02:26:59] Speaker F: Et la personne qui fait tous leurs clips, enfin la personne, je sais pas, j'ai noté Rivatar Visuals, donc je pense que c'est la même agence qui fait toujours les mêmes clips. C'est toujours un côté, il y a toujours un côté cinématographique assez sombre, des couleurs froides. Voilà, franchement la musique elle est super puissante.
[02:27:18] Speaker C: Ils sont suédois après, donc bon. La joie et la bonne humeur, bon c'est pas... À part dans des pubs à la télé pour nous faire croire que c'est des gens heureux mais sinon ils sont dans les bois.
[02:27:27] Speaker B: C'est vrai que c'est des... C'est très très chouette.
[02:27:29] Speaker C: C'est stylé.
[02:27:32] Speaker F: C'est hyper stylé.
[02:27:33] Speaker C: C'est très beau mais... Oui oui moi.
[02:27:34] Speaker F: Je trouve ça incroyable.
[02:27:35] Speaker D: Bah roule !
[02:27:37] Speaker B: Elle quand elle dit bah roule ça met l'ambiance.
[02:27:39] Speaker F: Ah putain j'ai failli faire la même.
[02:27:41] Speaker D: Bon en fait vous détaignez trop sur moi.
[02:27:44] Speaker B: Elle vient de dire vous détaignez trop sur moi.
[02:27:50] Speaker F: Non mais c'est bien, j'aime bien.
[02:27:51] Speaker B: Tant que tu ne deviens pas obsédée comme Pierre, c'est bon ?
[02:27:55] Speaker C: Les gens ne pensent pas remarquer.
[02:27:57] Speaker F: Donc le morceau qui va passer, ça s'appelle Death Above Life. C'est aussi le nom de l'album qui va sortir. Je suis vraiment perdue dans mes notes, je ne sais plus ce que je voulais dire.
[02:28:09] Speaker B: C'est pas grave.
[02:28:10] Speaker F: En fait, le premier morceau qu'ils ont sorti en clip, c'était Tales of War. Il ressemblait vraiment à ce qu'il faisait habituellement, mais comme là ils essayaient d'évoluer vers autre chose, ça servait un peu de pont en fait, de transition entre les deux. Et là celui-ci est beaucoup plus brutal. J'ai une grosse gueule.
[02:28:31] Speaker C: Déjà que c'était violent, du coup avec Gabala c'est un gros virage, c'est brutal !
[02:28:36] Speaker F: Le riff du début est très entraînant, il y a un côté un peu groovy et je trouve qu'il sort du commun. Il y a vraiment un truc en plus. J'ai une blague en tête, je ne vais pas la faire.
[02:28:49] Speaker C: Non, mais on a tout compris, même les gens qui écoutent IKR l'ont compris, donc on passe à la suite.
[02:28:54] Speaker D: Non, moi je sais pas.
[02:28:55] Speaker F: Un petit truc en plus, voilà, et j'avais pas prévu.
[02:28:59] Speaker B: En tout cas, on est vraiment impatients de l'écouter, tu le vends très bien.
[02:29:01] Speaker F: Ouais, ouais, non mais voilà.
[02:29:03] Speaker C: Attention aux oreilles, parce que si c'est ultra violent, plus brutal, ça va débarouler.
[02:29:09] Speaker F: Ce que j'aime beaucoup, c'est qu'ils ont vraiment ce truc assez puissant, c'est très sombre, ça englobe vraiment une ambiance, en plus avec les visuels. Alors ce clip-là, il est moins cinématographique, je trouve, que les autres clips. C'est plus un truc basique, le mec il filme les gars qui jouent, bon bref. Mais le morceau est vraiment chouette.
[02:29:27] Speaker C: Et c'est ça dans le clair ou dans les bois ?
[02:29:28] Speaker F: Je sais plus, mais je crois que c'est ni l'un ni l'autre, c'est plus un regard.
[02:29:35] Speaker C: Avec un peu d'originalité. Mais c'est très sombre, c'est vrai qu'on a pu voir les pochettes, etc. C'est très joli, mais on sent que, vu les titres qu'ils font, c'est pas très positif. On est pas dans la vie à l'écoule.
[02:29:47] Speaker F: J'avais noté un truc par rapport à le titre de celui-là.
[02:29:51] Speaker C: Après, il fait nuit très longtemps là-bas.
[02:29:53] Speaker B: Surtout... Alors, ils sont quand même du sud de la Suède.
[02:29:57] Speaker C: C'est de la Suède, franchement les mecs, ils sont à Cannes quoi, vraiment.
[02:30:05] Speaker B: Ils bronzent avec de l'huile d'olive, tout ça.
[02:30:08] Speaker C: C'est à Nice, c'est pas à Cannes.
[02:30:09] Speaker B: Excuse-moi.
[02:30:11] Speaker C: À Cannes, on est... Non, je peux pas...
[02:30:12] Speaker B: Un peu plus élégant ? Non, pas du tout. Il y a quand même des vieilles fripées, je suis désolé.
[02:30:17] Speaker C: Ah oui, à Cannes, il y a quand même des vieilles dégueulasses, c'est sûr.
[02:30:19] Speaker F: Il y a moins l'accent. Petit truc que je voulais dire aussi. Sur un des deux morceaux, donc pas celui-là mais l'autre, ils disaient qu'ils étaient partis de leur processus en fait en live. Ils mettaient souvent des intros assez cinématographiques pour mettre une ambiance et tout ça. Et ils se sont dit, pourquoi pas le faire aussi dans les morceaux. Donc ils ont instauré ce truc-là, en fait, plus dans ce sens-là.
[02:30:39] Speaker B: Pour le nouvel album.
[02:30:40] Speaker F: Voilà. Et pour eux, en fait, le nouvel album, il représente vraiment un changement, du coup. Ils disent un nouveau départ. Ça évoque beaucoup les bonnes et mauvaises émotions. Mais c'est plus dans le sens d'une transformation qui est nécessaire pour le meilleur. Et voilà, ils ont l'impression de renaître. Donc on est content.
[02:30:58] Speaker B: Moi, j'ai très envie d'écouter ça.
[02:31:00] Speaker C: Ils ont l'air de vouloir être un tout petit peu plus positifs, si j'ai cru comprendre ce que tu nous disais.
[02:31:04] Speaker F: Moi, j'ai super hâte de découvrir justement vers quelle direction ils vont, parce que déjà, c'était très bon, je trouvais. Et là, ça donne encore plus envie.
[02:31:12] Speaker B: Oui, puis je viens de me rendre compte que dans Orbit Culture, il y a quand même Culture Beat. Et je pense que c'est ça la ref.
[02:31:19] Speaker C: En fait, c'est que des reprises en long verre.
[02:31:23] Speaker B: Et en or. Parce qu'il y a Orbit.
[02:31:27] Speaker C: C'est très important. Merci beaucoup.
[02:31:31] Speaker F: De rien.
[02:31:31] Speaker C: Je te dis merci parce que je n'ai pas encore écouté.
[02:31:33] Speaker F: Après, tu vas pleurer peut-être.
[02:31:34] Speaker C: Si vous ne voyez plus Mehdi sur le speak suivant, c'est qu'on n'a pas apprécié. On va découvrir ça. Orbit Culture, donc. C'est parti.
[02:33:21] Speaker A: C'est la condamnation ! C'est la condamnation ! C'est la condamnation ! C'est la condamnation ! C'est la condamnation !
Sa gueule est forte !
C'est.
[02:35:16] Speaker C: Parti !
[02:37:33] Speaker A: C'Est.
[02:38:03] Speaker B: Parti pour le test !
[02:38:03] Speaker D: I'm hating you like a cheesecake I'm.
[02:38:06] Speaker A: Bitching you like a bitch, punk I'm feeling you like a drink Spending my time like a display Spinning my legs Can't flip any more hands I see this flip on a mosh pit I see this bitch on a black dream I'm not full, punk Love is so toxic for me 1, 2, 3, 1, 2, 3, 4 Squad good 1.
[02:39:03] Speaker D: Hey.
[02:39:03] Speaker A: 2, 1, 2, 3, 4 !
[02:39:22] Speaker D: Dude, do you feelin' my waves?
[02:40:32] Speaker C: Ah ça c'est la petite bande de copains qui rigolent, qui font du bien et qui font les idiots, on a bien reconnu.
[02:40:41] Speaker B: C'est la fraîcheur.
[02:40:42] Speaker C: C'est la fraîcheur, coquillette de fraîcheur.
[02:40:44] Speaker F: Fraîcheur du livre.
[02:40:47] Speaker C: Monekine, on t'a vu dans le clip, je pense que les gens ont fait le lien.
[02:40:52] Speaker D: Je crois que c'est moi. Je ne suis pas encore sûr.
[02:40:56] Speaker C: Le principe de Monekine, c'est de se marrer ?
[02:40:58] Speaker D: Exactement, c'est une bande de potes avant tout.
[02:41:00] Speaker C: Est-ce que c'est un petit clin d'œil à Limp Bizkit et NNSR ? Plus Limp Bizkit.
[02:41:06] Speaker D: C'est vrai qu'on a grandi avec Limp Bizkit. Forcément, ça se ressent dans nos rives, dans le champ, etc. Ouais, Limp Bizkit à fond.
[02:41:16] Speaker C: M-O-D-E-Z-E-K-Y-N.
Ça c'est pour les personnes qui suivent le podcast pour qu'ils puissent faire une petite recherche et vous suivre bien sûr sur les réseaux pour voir tout ce qui va se passer dans les semaines à venir. Et c'est plutôt de bonnes nouvelles qui arrivent donc je conseille à tout le monde de rester autour de Monekin.
[02:41:33] Speaker F: Qu'est-ce qui se passe ? Ça veut dire quelque chose Monekin ?
[02:41:35] Speaker D: Alors en fait ça vient de l'ancien anglicisme pour dire monkey.
[02:41:40] Speaker F: Ah ok.
[02:41:41] Speaker D: Et donc du coup c'est vrai qu'on cherchait un nom de groupe. Avant on s'appelait Aya.
Et du coup on voulait... Et ça.
[02:41:49] Speaker B: T'Es pris par une chanteuse ?
[02:41:50] Speaker D: Exactement ! En plus, non mais c'est vrai, parce que quand on a créé Aya, elle existait pas. Et après elle est apparue.
[02:41:56] Speaker B: Enfin, elle existait. Mais elle était pas connue.
[02:41:59] Speaker D: Musicalement, elle existait pas. Et donc du coup on s'est dit, une fois notre truc Aya, parce que ça va... Évidemment, ça va coïncer.
[02:42:07] Speaker B: Mais Nakamura, c'est pas dans Heroes, c'est pas le mec qui peut apparaître ?
[02:42:13] Speaker D: Ah peut-être ?
[02:42:14] Speaker C: Alors là, moi je... Voilà. Parce que Hiro, c'est pas tout récent non plus.
[02:42:18] Speaker B: Non, bah non.
[02:42:19] Speaker C: C'est vrai, c'est un peu, ouais.
[02:42:21] Speaker D: Et ouais, du coup, on s'est dit, on a cherché un nom de groupe et tout ça, on était là, ouais, putain. Et puis à un moment, on s'est dit, mais on est une bande de potes. On est une bande de singes, en fait. Et on va pas dire Monkey, on a cherché Money King. Oh, ça sonne bien. Money King. Allez hop, c'est parti.
[02:42:39] Speaker C: Parce que c'est un calvaire de trouver un nom.
[02:42:41] Speaker D: C'est un calvaire en vrai.
[02:42:42] Speaker B: Moi, les premières fois qu'on m'a parlé de ton groupe, je croyais que la personne prononçait mal et que c'était Money Kings.
[02:42:51] Speaker D: Ah ouais non, c'est vraiment Monequin.
[02:42:54] Speaker B: Moi j'ai vu écrit j'ai fait ah bah oui non ok.
[02:42:56] Speaker D: Mais il y en a qui prononcent Monequin, Monequin aussi on a eu Manesquin, presque.
[02:43:04] Speaker C: Parce que David il est trop beau.
[02:43:07] Speaker B: Lui c'est un des plus grands chanteurs de sa génération.
[02:43:11] Speaker C: Putain, mais attends, attends.
[02:43:12] Speaker B: Il y en a plein.
[02:43:13] Speaker D: Mais ouais, du coup, c'est vrai que dès qu'on a trouvé le nom du groupe, ça a parlé à tout le monde. OK, c'est validé. Vas-y, c'est parti. Let's go.
[02:43:20] Speaker B: C'est cool. Puis au moins, t'es sûr que quand ils cherchent, les gens ne tombent pas sur un autre truc.
[02:43:26] Speaker D: Ouais, c'est vrai. Aussi, très important.
[02:43:29] Speaker C: Alors que nous, ils ne savent déjà pas écrire un autre nom. On s'est dit tiens, On va prendre ce nom-là, puis quand on va l'écrire, les gens vont dire Rstlss, alors que c'est pas très compliqué.
[02:43:41] Speaker D: Moi, la première fois que j'ai vu RSTLSS, c'est vrai que ça m'a fait penser à RTL9, à l'époque.
[02:43:46] Speaker C: Arrête !
[02:43:47] Speaker B: Je te jure ! Alors que nous, on a plus de SS qu'eux !
[02:43:51] Speaker C: C'est parce que je voulais... Oh !
[02:43:56] Speaker D: Oh !
[02:43:57] Speaker C: Oh !
[02:43:57] Speaker D: Oh !
[02:43:57] Speaker B: Oh !
[02:43:58] Speaker C: Oh !
[02:43:58] Speaker F: Oh !
[02:43:59] Speaker A: Oh ! Oh !
[02:43:59] Speaker C: !
[02:43:59] Speaker D: Oh !
[02:43:59] Speaker A: Oh Oh !
[02:43:59] Speaker B: Oh Oh !
[02:43:59] Speaker C: Oh !
[02:44:00] Speaker D: Oh !
[02:44:00] Speaker A: Oh ! !
[02:44:00] Speaker D: Oh !
[02:44:01] Speaker A: Oh !
[02:44:01] Speaker C: Oh ! Oh !
[02:44:02] Speaker D: Oh ! Oh ! Oh Oh !
[02:44:03] Speaker C: Oh !
[02:44:04] Speaker D: Oh Oh Le !
[02:44:05] Speaker C: Rouge Oh !
[02:44:05] Speaker E: !
[02:44:05] Speaker C: !
[02:44:06] Speaker D: Le noir !
[02:44:06] Speaker B: On a encore les logos d'avant si tu veux, où c'était beaucoup plus... C'était beaucoup plus carré ? Avec des ongles !
[02:44:17] Speaker D: Avec quatre ongles ! Je suis gêné un peu quand même.
[02:44:22] Speaker C: Alors que les blagues sur le cul ça me dérange pas. Et pourtant c'est beaucoup plus gênant pour les enfants.
[02:44:26] Speaker B: Pour tout le monde en fait.
[02:44:28] Speaker C: Ah bon ? Je suis un sondage. J'aimerais vraiment sonder tout le monde.
[02:44:32] Speaker B: Non mais c'est une blague. Marcel est vraiment allé chercher notre premier logo.
[02:44:40] Speaker D: Oh merde !
[02:44:42] Speaker C: Il ne ressemble évidemment pas du tout.
[02:44:44] Speaker B: À ce qu'on disait. Ça ressemble plus à Joy Division. Ouais.
[02:44:48] Speaker F: Il y avait le E là du coup.
[02:44:49] Speaker C: Quoi ?
[02:44:49] Speaker D: Comment ?
[02:44:49] Speaker F: Il y avait le E là dans le logo.
[02:44:51] Speaker C: Non.
[02:44:51] Speaker B: Ah non, en dessous c'était écrit avec des E. C'est pour que les gens sachent le prononcer.
Après, on s'est dit comme on est vegan, on peut retirer les oeufs.
[02:45:00] Speaker F: C'est marrant cette blague, je crois que tu l'as déjà fait.
[02:45:02] Speaker B: Ouais, je l'ai déjà fait plein de fois.
[02:45:04] Speaker C: Au moins, les gens retiennent. Cette blague, les gens retiennent. C'est vrai.
[02:45:07] Speaker B: Bah oui.
[02:45:08] Speaker C: Voilà. Bon, c'est pas très intéressant.
Qu'est-ce qu'il s'est passé ensuite ? Donc là, tu commences à faire le groupe.
[02:45:17] Speaker B: Le lycée.
[02:45:17] Speaker C: Le lycée. Tony Hawk.
[02:45:19] Speaker D: Le skate.
[02:45:20] Speaker C: Là, tu te pètes un genou.
[02:45:22] Speaker D: Pas du tout, même. Je ne me suis jamais rien cassé, mais...
[02:45:25] Speaker C: C'est parce que tu regardes les auteurs du skate et que t'as jamais été très bon.
[02:45:27] Speaker D: Ah, ça c'est le poison ! Les femmes ! Non, Non, le point... Attends, attends... Je tiens parce qu'on, voilà...
[02:45:34] Speaker C: Sinon, c'est après le clip d'après, vous voyez qu'il a des tartes dans la gueule, mais on va...
[02:45:37] Speaker D: Voilà, non, en couple, hein, bien évidemment.
[02:45:40] Speaker B: Bien sûr... Non, mais à l'époque, à l'époque, c'était différent. On savait pas encore trouver de la bonne personne.
[02:45:45] Speaker D: Ouais, exactement.
[02:45:45] Speaker C: Il va chercher un truc, ça va raconter. Non, mais parce que moi, on m'a.
[02:45:48] Speaker B: Dit... Ah non, bah rien de différent.
[02:45:50] Speaker D: Non, je suis dans la merde, bah c'est bon.
[02:45:51] Speaker B: J'ai vu les photos.
[02:45:54] Speaker C: Non mais ouais, vous avez fait ce groupe avec ton pote, c'était déjà ce groupe là.
[02:45:59] Speaker D: Alors, avec Steph, on a créé Outstep. C'était son groupe de base, Outstep, qu'il avait créé avec son cousin à l'époque. C'était vraiment à l'époque pour déconner.
[02:46:10] Speaker C: Oui bah on a compris que c'était pour essayer de, soi-disant, vivre cette espèce.
[02:46:14] Speaker B: De délire rock, torse nu dans un.
[02:46:16] Speaker C: Studio, il fait 1000 degrés avec l'instrument, c'est pas très agréable en vrai.
[02:46:18] Speaker D: Ouais, plus, voilà, de néo-metal, etc. Et puis, au fur et à mesure, on a rencontré Cédric, à l'époque, qui est maintenant le guitariste de Moneykine, Gubz, qui est le deuxième chanteur de Moneykine. On s'est greffés à un projet. Il y avait Riad, enfin bon, il y avait d'autres membres de groupe. On a créé Aya. On s'est séparés. Il y a eu des années qui sont passées. Et ensuite, en fait, pendant la...
[02:46:46] Speaker C: La séparation, elle a été due à quoi ? Parce que vous deviez travailler ?
[02:46:49] Speaker D: Non, je pense à plein de choses. On était jeunes. On n'était pas prêts à assumer quelque chose de... Comment dire ?
[02:46:57] Speaker C: De travail suffisamment ou parce que ça devenait sérieux et que c'était passé ?
[02:46:59] Speaker D: Ça devenait sérieux, on commençait à avoir du merch, etc. Et on avait à peine la vingtaine. Je pense que nous, on voulait juste s'amuser de base.
[02:47:08] Speaker C: OK, OK.
[02:47:09] Speaker D: Et donc, on s'est dit, on arrête, c'est trop. Et on a fait une pause, on a fait une longue pause. Il y a eu le Covid.
[02:47:20] Speaker C: C'est à l'excuse.
[02:47:22] Speaker D: C'est vrai, mais en vrai, nous, musicalement, C'est vrai que pour le Covid, pour beaucoup de personnes, il y a des gens, ça a été un calvaire.
[02:47:31] Speaker B: Pardon, excuse-moi, mais j'ai quand même un peu l'impression que le Covid pour les musiciens, c'est les ligues au moins croisées des footballeurs.
[02:47:37] Speaker C: C'est tellement bien dit.
[02:47:40] Speaker B: J'allais percer et puis... Ligament croisé ! Je connais l'histoire ! Nanani nanana !
[02:47:50] Speaker D: Non en fait justement le Covid nous ça a été bénéfique pour nous parce qu'on a pu se confiner et se concentrer sur notre musique et on s'est dit mais pourquoi on remonterait pas le projet qu'on avait de base où il y avait quand même des trucs on pouvait partir avec des morceaux déjà prêts, déjà machin, et on a repris le groupe, on a créé Monekin, etc. Et on est reparti.
[02:48:13] Speaker C: Ok, donc cette séparation c'était un moment difficile entre vous ?
[02:48:18] Speaker D: C'était un coup dur, c'est vrai parce qu'on avait beaucoup d'espoir. Forcément quand tu montes un groupe, un collectif entre amis, direct, tu te vois faire le Bercy, faire le tour du monde, le van entre potes.
[02:48:34] Speaker C: C'est bien que tu le dises parce qu'il y en a beaucoup qui font non mais moi j'ai toujours voulu rester modeste.
Tu fais de la musique, t'as pas du tout envie que les gens t'applaudissent dans une salle et puis te vénèrent parce que t'as pas besoin de cet amour, alors t'en as plein autour de toi et que tu veux pas te nourrir de ça, mais ta gueule !
[02:48:49] Speaker D: Mais bien sûr, c'est important quand même de se dire, d'avoir des rêves, tu commences un projet, surtout entre amis. Forcément tu t'imagines faire des tourbus.
[02:48:57] Speaker C: Et puis t'es jeune donc ça fait des tourbillons d'or.
[02:48:59] Speaker D: C'est encore pire, tu t'imagines avec la bouteille.
Bah forcément ça s'arrête, tu te dis bon bah voilà... Mais bon après on avait nos vies professionnelles, les vies sentimentales... Sentimentaux ?
[02:49:14] Speaker B: Sentimentales ?
[02:49:15] Speaker D: Sentimentales avec un S ? Sentimentales ?
[02:49:16] Speaker B: Je crois, je sais pas...
[02:49:18] Speaker C: En vie c'est féminin ça... Sentimentales qui.
[02:49:21] Speaker D: Commençaient pour certaines personnes à se construire, donc forcément moins la tête dans la.
[02:49:25] Speaker C: Musique... Du coup les meufs étaient là pour faire chier.
[02:49:27] Speaker D: Et bah forcément... Quand t'as 20 ans...
[02:49:29] Speaker C: Tu peux arrêter ton groupe pourri, s'il te plaît.
[02:49:32] Speaker D: Ça va pas payer mes factures.
[02:49:33] Speaker C: C'est déjà que t'es qu'avec des béros. Plus tu traînes avec eux, plus t'as l'air con. Je suis désolé, mais...
[02:49:37] Speaker B: Tu fais des concerts tout le week-end, moi je voulais aller à la brocante.
[02:49:39] Speaker D: Ouais, mais attends, ça se fait pas.
[02:49:41] Speaker B: On l'avait prévu.
[02:49:41] Speaker C: On l'avait prévu celle-là.
[02:49:42] Speaker D: On avait prévu d'aller à Ikea, ok ? Et toi tu vas à une répétition, non mais n'importe quoi.
[02:49:47] Speaker C: Et puis tu reviens, tu pues l'alcool. Je voulais aller chez les mouches de mules.
[02:49:50] Speaker D: Ah là là, tu pues la guitare. Tu pues l'instrument, tu pues la poussière. Non, c'était à base de ça, quoi, donc...
Donc forcément, à bout d'un moment, on s'est dit bon on arrête là, on n'est pas prêts en fait, on n'est pas prêts à vivre tout ça, donc peut-être, voilà. Mais on s'est reformés et puis voilà.
[02:50:06] Speaker C: Il y a l'autre groupe aussi, il y a juste, je fais une transition mais on n'en a pas beaucoup parlé finalement, ça s'appelle Death.
[02:50:12] Speaker D: Digital Death.
[02:50:12] Speaker C: Digital Death, ouais. Et ça c'est, vous êtes combien, vous êtes deux ?
[02:50:15] Speaker D: On n'est que deux.
[02:50:16] Speaker B: Est-ce que c'est un rapport avec les baignoires ?
[02:50:18] Speaker C: Est-ce que c'est un rapport avec Death Tones ?
[02:50:20] Speaker D: Oui.
Non en fait, c'est quand je commençais à faire mes covers sur Instagram. J'ai Julien d'ailleurs, je te fais un gros bisou Julien si tu regardes.
[02:50:28] Speaker B: Ouais, gros bisou Julien.
[02:50:30] Speaker D: Gros bisou Julien qui dit love.
[02:50:31] Speaker C: Moi j'en connais un autre mais bonjour Julien aussi.
[02:50:33] Speaker D: Jul, Jul, Jul pour être précis.
[02:50:35] Speaker F: Moi j'en connais deux aussi, bonjour les Juliens.
[02:50:37] Speaker C: Non pas tous, c'est des nuls.
[02:50:39] Speaker D: Mais on connaît tous Julien je crois.
[02:50:42] Speaker C: Oui bah c'est un prénom de merde.
[02:50:44] Speaker B: Je présente un jeu sur France 3 ! Je suis, je suis, je suis !
[02:50:48] Speaker D: Non en fait c'est vraiment Joel. En fait je faisais mes covers et il est venu, il m'a envoyé un message, il m'a dit mec je kiffe ce que tu fais, moi je fais de la guitare, je fais un peu de musique et tout et il m'a dit je fais des prods, je t'envoie deux trois trucs et tu me dis ce que t'en penses. A l'époque j'étais en mode ouais non...
Je préfère me concentrer sur ce que je fais. Il m'a dit je t'envoie quand même. Il m'a envoyé et j'ai écouté. Je me suis dit putain, c'est fort ce qu'il fait quand même. Donc j'ai posé sur deux, trois trucs. Il a bien kiffé. Il a dit mec, on a trois, quatre sons là. Déjà là, tu m'as posé. Vas-y, viens, on fait quelque chose avec. C'est vrai qu'il n'avait pas tort. Je me suis dit, ça sera un gâchis. Et du coup, on a créé un peu ce... De base, c'était un projet. Après, on s'est dit bon, vas-y, viens, on fait un petit groupe comme ça. On fait juste de la musique pour déconner. Voilà, après ça s'est transformé comme ça.
[02:51:37] Speaker C: Et puis... Ouais, parce qu'un petit groupe musique pour déconner, quand on va un petit peu sur les réseaux, on voit bien qu'il y a un travail quand même sur les visuels. On voit bien que ça se la pète un peu. Pardon.
[02:51:46] Speaker D: Non, ça j'avoue, c'est moi.
[02:51:47] Speaker C: Non, mais il y a un vrai travail quand même, c'est ça que je voulais dire.
[02:51:50] Speaker D: J'aime bien quand même quand les gens, ils vont écouter de musique qui a un visuel, que ce soit bien fait quand même, que même au niveau de l'écoute, que ce soit audible.
[02:51:58] Speaker B: Oui, de prolonger un peu le truc.
[02:52:01] Speaker D: Oui, qu'il y ait une petite image que j'aime bien. Je n'aime pas poser la musique comme ça et dire vas-y, écoutez. Et puis après, rien à foutre. C'est vraiment, j'ai envie quand même que les gens aient un petit truc à quoi se rattacher.
[02:52:13] Speaker C: Donc, tu vois plus quand même comme un projet que qu'un divertissement, que tu sois un psychopathe du travail et que t'arrêtes pas de faire mille choses à la fois.
[02:52:23] Speaker D: Mais j'aime bien quand les choses sont bien faites. Voilà, j'aime bien.
[02:52:27] Speaker C: Merci. Ah non pardon ! Ah putain il est à côté de moi, j'ai cru que c'était Amélie.
[02:52:36] Speaker B: C'est vrai qu'elle cherche pas comment on prononce les noms. Vous êtes bien trouvés tous les deux.
[02:52:43] Speaker C: Donc... Non mais c'est... Tu parlais aussi, t'envoies juste des sons, toi t'enregistres, ça se passe comment le fait de créer... Vous avez ces sons là, mais après vous enregistrez quelque part.
[02:52:51] Speaker B: Bah lui il envoie des beats.
[02:52:52] Speaker C: Je...
[02:52:53] Speaker D: Exactement. Mais en musique du coup.
[02:52:55] Speaker B: Bah oui.
[02:52:56] Speaker D: Oui, oui.
[02:52:56] Speaker C: C'est ça que je parle.
[02:52:57] Speaker D: On parle que de musique.
[02:52:58] Speaker B: Moi je parle que de musique.
[02:52:59] Speaker C: Oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui.
[02:53:00] Speaker B: Oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui.
[02:53:01] Speaker C: Oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, Heureusement que.
[02:53:10] Speaker D: C'Est un live métal et que personne n'arrive en plein oui, oui milieu, t'envoie des beats.
[02:53:15] Speaker C: Et alors on a le droit d'être guillemets à eux, ok ?
[02:53:17] Speaker D: C'est vrai, ok. Parlons-en des beats avec un E et un A.
[02:53:21] Speaker C: Par contre quand on les voit dans le métal, on part en courant parce que c'est pas très joli.
[02:53:25] Speaker B: Non, en vrai... Bah il a dit E et A.
[02:53:28] Speaker D: E et A.
[02:53:29] Speaker C: On peut pas l'écrire comme ça ? Non mais comment, la vraie question, donc c'était, il t'a envoyé des sons, toi t'as écouté, t'as dit c'est cool, t'as posé tes voix, mais après il a bien fallu le mettre au propre. Je veux dire enregistré correctement.
[02:53:38] Speaker B: Bah je pense qu'il a un équipement...
[02:53:39] Speaker C: Ah tu lui as posé des mots ?
[02:53:41] Speaker D: Il a un équipement sommaire ma foi, mais j'ai un équipement où je m'enregistre. J'essaie quand même de faire du mixage, du mastering, etc. Et après, je m'occupe du reste. Il m'envoie les prods faites carrés. Il fait tout. Il fait la guitare, la basse, la batterie. C'est du prog, mais c'est bien fait. En vrai, je n'ai pas à rougir. Je n'ai pas à me dire putain, merde, on va voir que c'est du prog.
[02:54:04] Speaker C: En fait, vous n'êtes pas le seul à utiliser ça.
[02:54:06] Speaker D: Effectivement. Et puis, il le fait bien. Et puis, ce n'est pas non plus abusé. Et après, je pose dessus. Et voilà, ça lui plaît, ça lui plaît pas, on voit ce qu'il y a à corriger, etc. Je fais le mixage, je fais le mastering, je lui fais écouter, il voit ce qu'il plaît, ce qu'il plaît pas, on corrige. Voilà, c'est un petit truc, on se prend pas la tête.
[02:54:22] Speaker C: Ouais, mais enfin, tu as quand même cette capacité. Ça aussi, tu l'as appris tout seul ?
[02:54:26] Speaker D: Je l'ai appris tout seul.
[02:54:27] Speaker C: Vraiment tout ? Mastering, préparation ?
[02:54:30] Speaker D: Ah oui, tout tout seul.
[02:54:30] Speaker C: Technique de chant, matériel, choix de matériel, tout ?
[02:54:33] Speaker D: Ouais, ouais, ouais.
[02:54:34] Speaker C: Non mais, je suis agressif là, mais...
[02:54:37] Speaker B: T'as pas un CV ? T'as pas un CV de ce que tu sais faire bordel ? Comment nous on fait pour savoir ? On fait une interview, on est obligé de poser des questions pour savoir et on est obligé de demander précisément chaque étape. Est-ce que tu détruis aussi les toilettes par exemple ? T'as appris sur internet ?
[02:54:55] Speaker C: Alors Tom ne vole pas mes questions après. J'en ai parlé avec une nouvelle amie à moi.
[02:55:01] Speaker B: Oh le mec, il est impossible !
[02:55:03] Speaker C: Mais non, mais c'est juste que je...
[02:55:04] Speaker B: Sois pas énervé comme ça ! Y'a des gens qui ont du talent, bah voilà, sois pas jaloux !
[02:55:08] Speaker C: Alors, y'a un peu de ça.
[02:55:09] Speaker B: Bah oui, j'ai bien compris.
[02:55:10] Speaker C: Y'a un peu de ça.
[02:55:11] Speaker D: Bah en vrai, je me suis servi de... Après, selon mon budget aussi, mais je regarde ce qui peut être intéressant, ce qui peut ne pas être intéressant, je compare. Après j'essaie toujours de faire au mieux, je fais écouter à des gens, voir ce que... Ça fait des années que je fais ça et donc du coup il y a des trucs, c'est par automatisme que je les fais. Et puis voilà, après bah... Je sais très bien que c'est pas parfait, bien évidemment, je vais pas dire oui mon EP est parfait, le son...
[02:55:38] Speaker C: Donc ça veut dire que tu le penses.
[02:55:40] Speaker D: Ah non, du tout !
[02:55:42] Speaker C: Mais t'es content !
[02:55:43] Speaker B: Tu fais le mieux que tu peux et voilà, c'est cool !
[02:55:46] Speaker D: Comme je suis arrivé à un niveau où je me dis, je suis satisfait parce que les gens peuvent le mettre dans les oreilles sans faire... Voilà. Tant qu'il y a ça, moi ça me va.
[02:55:56] Speaker B: Et comment tu dirais que c'est quoi les influences de Digital Death ?
[02:56:03] Speaker D: Ah bah déjà, très deftonienne.
[02:56:05] Speaker C: C'est Toi t'es fan de Deftones ?
[02:56:07] Speaker D: Ah je suis... Je suis un gros fan de Deftones, ouais. Pour les gens, on me fait signe.
[02:56:13] Speaker C: Alors que ça fait chier tout le monde.
[02:56:14] Speaker B: Pas si gros.
[02:56:16] Speaker D: Oui, pas si gros.
[02:56:17] Speaker B: Je suis plus gros fan de Deftones que toi.
[02:56:19] Speaker D: Attention, on va faire un rock-jeu sur Deftones.
[02:56:23] Speaker B: Ah non, je parlais juste du poids.
[02:56:24] Speaker D: Ah ! Ah oui bah oui !
[02:56:27] Speaker B: Il m'a pas vu venir !
[02:56:28] Speaker D: Ça dépend les époques !
[02:56:30] Speaker C: En fait je pense qu'en ayant vu, je te connais pas vraiment mais on t'a observé pendant qu'on enregistrait le jeu et je pense que Louis en fait a peut-être pas cette notion de méchanceté parce que je suis sorti boire aussi un verre avec tout le beau monde et c'était le plus calme et le plus serein. Y'a pas eu de mots déplacés. C'est très étrange de rencontrer ce genre de personnes. Je suis très poli !
[02:56:50] Speaker B: Ça c'est psychopathe !
[02:56:53] Speaker C: Alors me fait signe que oui !
[02:56:56] Speaker B: Genre poli, généralement, c'est pas un bon signe.
[02:56:59] Speaker C: Mais c'est quelque chose qui m'a surpris. Bon bref, donc vous êtes un très grand fan de Deftones.
[02:57:02] Speaker D: Oui.
[02:57:03] Speaker C: Genre accro.
[02:57:05] Speaker D: Pas accro non plus, mais c'est vrai que ça m'a beaucoup inspiré. Il y a eu un chamboulement dans ma façon de voir la musique quand j'ai écouté Deftones. Et du coup, c'est vrai que quand on a monté Digital Death, Il y a beaucoup d'influences Deftones, beaucoup de Korn, beaucoup de Linkin Park, beaucoup de groupes auxquels on s'est accrochés quand on était plus jeunes. Du coup, c'est naturel. Il n'y a même pas de « Attends, je vais faire comme Shester ».
[02:57:31] Speaker B: Ça remonte tout seul.
[02:57:32] Speaker D: Ça remonte tout seul. Il y a des riffs, des machins.
[02:57:35] Speaker F: C'est inconscient.
[02:57:36] Speaker D: Donc du coup, c'est vrai qu'on s'inspire beaucoup de ça sans vraiment faire attention.
[02:57:41] Speaker B: Dans ton parcours musical, Deftones, ça arrivait assez tôt ?
[02:57:47] Speaker D: Ça arrivait tard. J'ai découvert le métal à 10 ans, on va dire.
[02:57:51] Speaker C: Pour ça, c'est tôt.
[02:57:53] Speaker D: Et j'ai découvert Deftones, je devais avoir 14 ans. Il y a eu une petite latence.
[02:57:59] Speaker C: Pour comprendre Deftones à 14 ans, Bon.
[02:58:03] Speaker F: J'Ai jamais compris, moi.
[02:58:04] Speaker D: T'es pas toute seule.
[02:58:07] Speaker C: Bah, le coup du death metal, qu'est-ce que tu veux qu'elle comprenne d'Deftones ?
[02:58:09] Speaker F: T'as l'impression qu'il y a une tulipe.
[02:58:11] Speaker C: Qui pousse quand elle entend Deftones.
[02:58:13] Speaker F: C'est particulier. Je sais pas, la voix, ça me transporte pas.
[02:58:17] Speaker B: C'est une info pour tout le monde.
[02:58:19] Speaker D: Bien sûr, bien sûr.
[02:58:20] Speaker B: Tous les trucs de merde qui nous passent, on n'en a pas.
[02:58:23] Speaker C: C'est horrible. Alors pour ceux qui n'ont pas l'image, si vous aviez vu la tête d'Amélie en train de dire j'aime pas trop Death Tones, elle était en train de se recroquiller sur elle-même pour sentir qu'il y avait un trauma quelque part.
[02:58:34] Speaker F: C'est un peu ce qu'il fait quand il sort, il fait des trucs, je sais pas, ça m'a jamais...
[02:58:38] Speaker C: C'est surtout qu'il gémit à chaque fois, on a l'impression qu'il est en train d'éjaculer. C'est un truc un peu spécial quand même Death Tones.
[02:58:42] Speaker B: Et alors du coup t'es rentrée dans Death Tones avec quelle chanson ?
Non mais j'essaye de faire avancer l'émission. C'est vrai que c'est la scène la.
[02:58:48] Speaker C: Plus sexuelle qu'on ait faite jusqu'au début.
[02:58:50] Speaker D: Je pense comme beaucoup de gens, change. Quand j'ai écouté, je me suis dit, waouh, j'avais jamais entendu. Je dis beaucoup ça dans l'émission, mais j'avais jamais entendu un truc comme ça. J'ai entendu du Korn, du Limp Bizkit, machin, mais un truc aussi planant, aussi introspectif à l'époque, j'avais jamais entendu. Et du coup, la première fois que j'ai entendu, j'ai fait Si vous regardez en podcast...
[02:59:23] Speaker C: Le son suffit !
[02:59:25] Speaker B: Et du coup t'as découvert avec Change et après t'es allé chercher les autres époques ou comment ça s'est passé ?
[02:59:31] Speaker D: Ah bah du coup tu rentres Change, il y a White Pony, donc j'ai écouté White Pony, je me suis dit waouh putain la claque ! Forcément, après, tu reviens un peu dans le passé, t'écoutes, tu regardes des lives, c'est la machin. Et puis même le personnage chinois est quand même très charismatique. Il a un style et tout. Et je me suis très vite identifié à lui. Et donc voilà, après, il y a eu des éponymes qui sont sortis juste après où j'ai tout de suite accroché. Et puis après, les autres albums qui sont arrivés, du coup, après, je n'ai pas lâché. Et puis voilà.
[03:00:00] Speaker C: Une question c'est quand t'as écouté Adrenaline tu t'es dit tiens c'est sacrément mal enregistré ou ?
[03:00:05] Speaker D: Ah non justement j'ai bien aimé ce petit côté vintage en fait.
[03:00:09] Speaker C: Ah bah c'est au-delà de vintage. Moi j'adore, je suis hyper fan de ce son.
[03:00:12] Speaker D: C'est au-delà de vintage mais quand même à l'époque quand tu te replaces à l'époque c'était quand même très avant-gardiste et du coup tu le ressens quand même ce petit côté les effets sur la voix, sur la guitare etc qui n'y avait pas à l'époque sur les autres albums.
même d'autres groupes. Et du coup, c'est vrai que tu te dis, c'est un peu vieux, mais quand même.
[03:00:35] Speaker C: Le côté brut est super intéressant.
[03:00:37] Speaker B: Et puis le coquillage sur la pochette.
[03:00:40] Speaker D: Oui, oui, Adrenaline, j'ai confondu avec Rundefur.
[03:00:43] Speaker B: J'adore ce truc de... Rundefur continue sur...
Et dernière petite question sur Deftones, est-ce que du coup, ça t'a amené à écouter tous ces trucs qui influencent Chino, c'est-à-dire tout ce qui est un peu cold wave ?
[03:01:03] Speaker D: Ah bien sûr, genre The Cure et tout, je connaissais pas avant et donc du coup, quand j'ai entendu la cover qu'il avait fait sur Beside, voilà exactement. Ça m'a amené à écouter The Cure, Shady, que je connaissais pas. Et du coup, effectivement, oui, c'est très New Wave et machin, et j'aimais beaucoup. Très Synthwave, très New Wave et ça m'a aussi ouvert d'autres portes musicalement à ce genre de style que je connaissais pas du tout.
[03:01:30] Speaker C: Ce qui est amusant.
[03:01:31] Speaker B: Et Crossy, t'aimes bien aussi ?
[03:01:33] Speaker D: Crossy, j'aime bien, mais c'est vrai que j'écoute moins. Parce que du coup, quand j'entends Chino, il y a des trucs que j'ai envie d'entendre de lui. Que sur Crossy's, que j'entends moins. Et donc du coup, c'est vrai que je ne me suis pas penché sur le cas. Je connais quelques musiques qui sont pas mal, mais après, voilà, c'est pas non plus... Il manque un truc pour moi.
[03:01:55] Speaker C: Oui, on va balancer Deftone. C'était juste que j'ai envie de me dire, moi, ce que je me suis toujours fasciné avec Chino, c'est qu'il a du charisme. C'est quand même pas non plus le mec le plus sexy du monde. Enfin, aujourd'hui, c'est le mieux.
[03:02:03] Speaker B: Le charisme, je crois que tu confonds la classe à la coquetterie, toi.
[03:02:08] Speaker C: Mais non, mais je sais que le charisme ça fait la séduction, mais le chino, c'est son chant, il y a quelque chose qui est très sensuel aussi. Au delà de sexuel, très sensuel. Personne n'a parlé de sexe celui-ci.
[03:02:22] Speaker D: Ça a bien marché pour lui en tout cas.
[03:02:26] Speaker B: Ouais, bah j'imagine.
[03:02:27] Speaker C: Tu connais toutes ces petites histoires.
[03:02:29] Speaker B: J'en connais quelques-unes.
[03:02:31] Speaker C: Bon allez, on va balancer donc Change, puisque c'est un morceau que tu as choisi. Comme ça on se fait un Deftones et nous on se raconte ces petites histoires, comme ça personne ne sera au courant.
[03:02:37] Speaker B: Parce qu'en fait, ce qui se passe c'est que là tu dois balancer le clip et...
[03:06:52] Speaker A: C'est pas votre faute que vous mouriez, c'est ma faute ! Faites ce que vous devez ! Ou faites ce que vous devez ! Ce soir ! Ce soir, ce soir, ce soir ! Ce soir, ce soir, ce soir !
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Tonight, tonight, tonight, tonight Tonight, tonight, tonight, tonight C'est pas ta faute que tu ailles lentement Go be what you do tonight Go do what you do Or be what you do tonight Tonight, tonight, tonight, tonight.
[03:10:43] Speaker C: Nozis, K-N-O-S-I-S, avec Do-Ku-Nu-Ma. Bon, Do-Ku-Nu-Ma, je ne sais pas comment ça se dit en vrai. Je ne sais pas ce que ça veut dire en plus, je n'ai pas fait de recherche, mais j'ai trouvé le morceau très bon. Donc j'avais envie de le partager avec vous.
[03:10:57] Speaker B: On va tirer avec Amélie sur le bandit loser.
[03:11:00] Speaker C: Là n'est pas le sujet, je laisserai à chacun le choix d'aller en chercher un peu plus. Si vous avez apprécié, en tout cas, n'hésitez pas à en discuter dans les commentaires. Très original. Mais j'aime bien.
[03:11:10] Speaker B: Très original.
[03:11:11] Speaker C: Ça me donne envie de pleurer.
[03:11:13] Speaker B: C'est une espèce de mélange de metalcore ancien moderne avec des mélos un peu émo. Oh, j'ai trouvé ça bien.
[03:11:20] Speaker C: C'était beau.
[03:11:21] Speaker B: Ouais, c'était original. Un peu au début on sait pas trop et après on sait pas non plus.
[03:11:26] Speaker C: Et vous Louis ?
[03:11:28] Speaker D: On se vouvoie maintenant. Oh, dis donc !
[03:11:30] Speaker C: C'est parce qu'on parle certain genre de musique pour une fois de suite alors.
[03:11:33] Speaker D: On est dans le jazz.
[03:11:35] Speaker C: Non, c'est le genre de musique qui te parle ?
[03:11:37] Speaker D: Ouais, j'aime beaucoup. Il y a des vibes très solaires, très... J'aime beaucoup.
[03:11:42] Speaker C: T'es quelqu'un de sensible ?
[03:11:45] Speaker D: Oui et non.
[03:11:47] Speaker C: Super la réponse.
[03:11:48] Speaker B: Est-ce que tu pleures quand t'écoutes Deftones ?
[03:11:50] Speaker D: Non.
[03:11:50] Speaker C: Non, bah non, il se branle. Enfin, on peut voir ça sur ses vidéos.
[03:11:56] Speaker B: Il fait pleurer le cyclope, quoi.
[03:11:58] Speaker D: Il fait pleurer le cyclope ! Je vais transpirer Yannick Noir.
[03:12:02] Speaker C: Bon. Bernard Puchène.
Très bien. Le contenu, quand tu le fais, tu le fais tout tout seul ou t'es un peu épaulé par une personne par exemple qui pourrait être dans cette pièce ?
[03:12:19] Speaker D: Bien sûr, je suis épaulé quelques fois par ma chère compagne que vous voyez hors champ.
[03:12:28] Speaker B: Vous ne la voyez pas. Si vous écoutez le Pause 4, podcast pour le coup. Vous la voyez encore, moi ?
[03:12:34] Speaker D: Voilà, exactement, je lui fais des gros bisous. Après... Attends, on en voit un, tu.
[03:12:39] Speaker B: L'As pas attrapé ?
[03:12:40] Speaker D: Si, regarde. Je l'attrape, je le mets dans mon cœur.
[03:12:43] Speaker C: Non, parce que la vérité, c'est que quand on fait ce boulot-là, c'est vrai qu'on cherche beaucoup d'idées, on fait beaucoup de choses, mais souvent, on fait chier aussi nos compagnons, enfin, les personnes avec qui on est.
[03:12:50] Speaker D: Bah, souvent, on a l'impression de faire chier.
[03:12:52] Speaker C: Tu m'as promis que j'avais posé cette question.
[03:12:54] Speaker D: Non, non, mais c'est vrai. Au-delà du compagnon... Compagnonne. Compagnonne, compagnon. Non, au-delà de ça, même quand t'envoies un message à tes potes et que tu dis, ouais, tu serais dispo pour faire une vidéo, c'est vrai que t'as l'impression de faire chier parce que il faut que la personne soit disponible et tout. Mais en vrai, je suis tout seul sans être tout seul parce que j'ai quand même mes amis qui sont là. J'ai ma campagne qui... Ma campagne ! Ma campagne, ma partenaire de crime qui est ici, j'ai mes amis, j'ai la famille, je suis pas tout seul non plus quand même. Mais c'est vrai que souvent pour trouver des idées, acheter le matériel, machin, bah.
[03:13:33] Speaker B: Je suis tout seul. Il pourrait quand même le faire quoi. Tiens, je t'ai acheté une nouvelle caméra, tiens, elle vaut que 5000 euros.
[03:13:41] Speaker D: Bah ouais, il pourrait quand même me financer.
[03:13:44] Speaker C: Est-ce que je pose la question à la compagne ?
C'est facile tous les jours ou ça va ? Alors elle répond rien, c'est un calvaire donc on comprend que ça va mais des fois c'est vrai que c'est pas toujours facile. J'adore ce qu'il fait, j'ai beaucoup de respect pour ce qu'il fait, je l'encourage dans ce qu'il fait et moi il me fait pas chier parce que comme j'ai un pied un peu dans le game aussi du coup ça passe crème.
[03:14:13] Speaker D: Oh, que du love !
[03:14:14] Speaker B: Je ne sais pas si les gens ont bien entendu, si les micros ont pris quelque chose. Mais en gros, elle dit que c'est bien. C'est très rapide, mais elle a dit.
[03:14:25] Speaker C: Qu'Il y a un truc à revenir, c'est qu'elle a dit quand même aussi qu'elle connaît le game et qu'elle fait partie un peu du même milieu. Il y a un peu de la musique, de l'art et de la créativité. Donc c'est peut-être aussi pour ça que c'est possible, parce que c'est vrai que ça doit pas être facile tous les jours pour les personnes qui sont avec ce qu'on a déjà entendu. des influenceurs qui sont là et qui disent mon mec ou ma meuf sont partis parce qu'ils en avaient plein le cul de tout le temps que je leur dise prends le téléphone, filme-le-moi là, maintenant, dans la rue, filme-moi ça.
[03:14:52] Speaker D: Ah je suis pas du tout comme ça.
[03:14:53] Speaker C: Non, toi c'est pas ça.
[03:14:54] Speaker B: Oui, alors après ça c'est plus, je pense que c'est plus un problème dans l'influence que dans la création de contenu.
[03:15:01] Speaker C: Oui, oui, bien sûr.
[03:15:02] Speaker B: Parce que la création de contenu c'est des trucs où t'écris avant, c'est un peu scénarisé, machin. C'est moins genre, aujourd'hui je vais faire du shopping, suivez-moi.
Je résume très vite.
[03:15:12] Speaker D: Moi je suis pas dans cette catégorie.
[03:15:14] Speaker B: Ah tu fais pas de shopping ? Apparemment tu fais du shopping mais t'es pas assez malin pour le monétiser. Ah non pas du tout.
[03:15:28] Speaker D: Non, moi je suis plus dans la catégorie où je vais faire le mort parce que je suis sur un montage ou parce que je suis occupé à être sur une musique et je vais être concentré dedans et je vais fermer les portes à tout. Donc voilà. Mais sinon après, ça peut m'arriver de dire, tiens filme ça, ça peut être intéressant. Mais je suis pas là tout le temps à dire, tiens regarde, je suis en train de manger un truc, filme moi.
[03:15:50] Speaker C: C'est de temps en temps.
[03:15:51] Speaker D: C'est de temps en temps, oui, voilà.
[03:15:53] Speaker C: Quand il y a un moment amusant ou un truc où vous avez eu un délire, vous avez partagé ensemble, allez vas-y.
[03:15:58] Speaker D: Oui voilà, je pense pas que ça intéresse les gens en vrai de savoir que je mange là au Flunch ou au McDonald's.
[03:16:05] Speaker B: Tu manges au Flunch ?
[03:16:06] Speaker D: Non mais... Non mais excuse-moi, je balance.
[03:16:09] Speaker B: Des affronts intéressants, t'as pas dû les retirer là !
[03:16:11] Speaker C: Non mais voilà... Attends, il se passe des marques qui ont payé, tu crois que nous on se fait encore avoir là-dedans ? Alors qu'on pourrait être sponsorisé par Flunch, c'est quand même juste... Qui a mis.
[03:16:20] Speaker B: La foire fouille ! Ils ont pas coulé qui a mis ?
[03:16:22] Speaker C: Je sais pas, bah la foire fouille, par contre, j'y existe plus. Non, je crois qu'ils existent toujours.
[03:16:24] Speaker D: Qui a mis, je crois qu'ils existent toujours.
[03:16:26] Speaker C: Oui, oui, c'est sûr.
[03:16:26] Speaker D: Je crois que ça existe.
[03:16:27] Speaker B: Pas la foire fouille, non.
[03:16:28] Speaker D: Ouais, non, je suis pas trop du genre. Non, je pense que les gens s'intéressent pas à ça, en vrai. Je pense que voilà, de temps en temps, c'est intéressant. Mais bon, voilà, il y a tellement de gens qui créent du contenu que normalement, tu te noies dans tout ça. Et de savoir que le mec a acheté un vase chez Ikea, bah le mec, il s'en fout, quoi, en vrai. Donc je suis pas trop du genre à dire, tiens, filme-moi, je suis en train d'acheter...
[03:16:48] Speaker B: C'est vrai que moi, je Donc un vase.
[03:16:50] Speaker D: Non mais voilà, bah oui, c'est pas intéressant. Franchement... Non mais du genre, ouais, bah...
[03:16:55] Speaker B: Non mais si c'est pour faire ça, arrête.
[03:16:56] Speaker C: Bah oui, non, non.
[03:16:58] Speaker D: Pas faire ça.
[03:16:59] Speaker B: Je suis un follow.
[03:17:00] Speaker C: Quand t'es en train de faire ton montage et tout, tu sais donc ce que tu vas avoir à la fin. Est-ce que t'es facilement content de ce que tu fais ou t'es du genre quand même à être un peu relou avec toi-même et à recommencer, à vouloir affiner ? Est-ce que t'es dur avec toi-même ?
[03:17:14] Speaker D: J'essaie quand même d'être dur avec moi-même.
[03:17:16] Speaker B: Mais moins qu'avec Deftones.
[03:17:19] Speaker D: Non, j'essaie quand même de me dire qu'il faut que je regarde et que je me dise « Waouh, putain, j'ai fait ça ! » Si j'arrive pas à me dire ça... Ouais, mais ça va, t'es pas.
[03:17:27] Speaker C: Méchant avec toi non plus.
[03:17:28] Speaker D: Non, je suis pas méchant, mais à chaque fois, quand même, je regarde les détails de voir qu'est-ce que je peux corriger, qu'est-ce qu'il y a à faire... Est-ce qu'il y a un truc, ça vaut la peine que je rentre dedans ?
Je parle de vidéo.
[03:17:40] Speaker C: Oui, j'ai arrêté les blagues.
[03:17:42] Speaker B: Tu sais, il a débranché son cerveau et c'est un truc assez incroyable. Ça arrive rarement qu'il ne puisse pas rebondir là-dessus.
[03:17:52] Speaker D: J'avoue, il n'y a pas eu un petit regard.
[03:17:55] Speaker C: Non, non.
[03:17:56] Speaker D: Non, après voilà, je pense que c'est important quand même, dans n'importe quel domaine artistique, quand même de voir où on peut s'améliorer ou machin. Et moi, je suis pareil avec mon travail.
[03:18:08] Speaker C: C'est un vrai travail.
[03:18:09] Speaker D: Je prends ça comme un travail quand même. Parce que je passe des heures quand même sur du montage. J'achète du matériel. Enfin voilà, je fais déplacer des gens quand même. Je trouve des idées, j'écris.
[03:18:20] Speaker C: Ça prend pas deux minutes quoi.
[03:18:22] Speaker D: Ah non, ça prend pas deux minutes.
[03:18:22] Speaker C: Non, ouais, ça prend beaucoup de temps. C'est quelque chose que tu retravailles.
[03:18:26] Speaker D: Ah oui, carrément.
[03:18:27] Speaker C: J'imagine plein d'idées que tu commences et que tu dis bon en fait là ça me...
Ou alors t'es plutôt, ça va, tu tombes pile sur le bon truc de l'agence peut-être.
[03:18:35] Speaker D: Quand j'ai une idée, je la mets sur papier, je leur lis. Si ça me fait pas rire, je l'abandonne. Si j'ai un petit sourire, je me dis, c'est qu'il y a un truc. Donc j'essaie de peaufiner, de voir machin, de voir si c'est possible, parce que des fois, tu as des idées. Mais tu te dis, attends, il faut quand même que je paye ça, qu'il faut qu'on aille là, machin.
[03:18:52] Speaker C: Je vais faire une blague dans l'espace. Bon, ça va me coûter environ 400 000 euros. Non, ça va pas.
[03:18:55] Speaker D: Tu la mets de côté, tu te dis, bon, à l'avenir, Peut-être que si t'as le budget...
[03:19:00] Speaker B: Quand ça ne vaudra plus que 300 000 d'allées dans l'espace...
[03:19:02] Speaker D: Quand Elon Musk se sera calmé, peut-être qu'il y aura moyen de négocier. Mais oui, je mets de côté, je vois ce qui est réalisable, ce qui est... J'essaie quand même, des fois je ne vise pas juste, ça arrive, des fois je vise juste. Bah tant mieux, après tant que moi je régale les gens qui me suivent, c'est plus important en fait.
[03:19:20] Speaker C: Non, c'est très bien fait encore une fois. Moi, je sais que je le regarde bien en régulièrement. Je ne connaissais pas il y a si longtemps que ça. J'ai juste regardé quand j'ai su que tu étais invité par la Malava Lamp. Et je me suis dit, j'avais déjà vu des trucs, mais je ne m'étais pas trop penché dessus parce qu'on évite globalement les réseaux sociaux parce que sinon je me perds dedans. Je regarde tous les chatons et tous les mecs torse nu. Du coup, bon, ça fait quand même une grosse perte de temps.
[03:19:43] Speaker B: Techniquement, les chatons, ils sont aussi torse nu.
[03:19:46] Speaker C: Ouais, c'est pas pareil. J'aime bien voir les chatons se casser la gueule, voir un mec torse nu se casser la gueule, moins.
[03:19:55] Speaker B: Il y en a moins aussi.
[03:19:56] Speaker D: Il y en a moins ouais.
[03:19:58] Speaker C: L'offre n'est pas très débarraissante.
[03:19:59] Speaker B: Peut-être que t'aimeras bien.
[03:20:00] Speaker C: Je sais pas, bon c'est très compliqué cette discussion, les gens qui aiment le métal s'en foutent. Mais non mais...
[03:20:05] Speaker B: Alors, ça aussi c'est un débat qu'on pourrait avoir. Ah non ? Non d'accord.
Non mais d'accord, on en parlera au Hallfest. Avec les artistes qu'on aura en interview, on leur demandera tous.
[03:20:18] Speaker C: On leur demandera ce que c'est qu'une question. Ce nul qui se casse la gueule sur Instagram. Pardon. Nul, nul. Non mais elles sont chiadées les vidéos. C'est vrai qu'on rigole tout le temps. Il y a toujours un truc. Tu n'en sors pas tous les quatre matins. Donc ça aussi, ça fait qu'on a une certaine volonté d'avoir la suivante. Et je ne sais pas si tout ça s'est calculé, mais...
[03:20:36] Speaker B: Crée le manque.
[03:20:37] Speaker D: Pour moi, j'ai l'impression que je... Je sais pas, que j'en sors pas beaucoup, mais à la fois que j'en sors beaucoup, dans le sens où... En fait...
[03:20:46] Speaker C: C'était une grande phrase. Ouais, c'est vrai, mais...
[03:20:49] Speaker B: Il a l'impression qu'il a... Oui, j'ai compris. Il a l'impression que par rapport au temps que ça lui prend, vu que ça lui prend déjà tout son temps, c'est déjà beaucoup.
[03:20:57] Speaker C: Oui, et puis à la fin de l'année, il est content d'avoir encore tout son temps.
[03:20:59] Speaker D: Déjà, quand tu sors la vidéo, quand tu la mets sur les réseaux, C'est vrai que direct derrière, tu te dis ah mais putain, mais faut enchaîner en fait. Faut pas s'arrêter parce que du coup, si tu t'arrêtes, du coup, ça veut dire que tu prends du retard sur ta production, etc. Et qui fait que tu vas sortir une vidéo par mois. Et on sait très bien que sur les réseaux, ça va très vite.
[03:21:18] Speaker C: Il faut une fréquence quoi.
[03:21:20] Speaker D: Il faut une fréquence et du coup, tu sors une vidéo, il faut déjà penser à la suivante. Donc oui, effectivement, c'est un truc qui s'arrête jamais en fait.
[03:21:28] Speaker C: Eh ben écoute, très bien, c'est ton boulot, c'est ton boulot à plein temps ou tu as un vrai travail à côté ? Enfin un vrai travail, c'est méchant ce que je dis.
[03:21:36] Speaker D: Non, non, non, pas du tout.
[03:21:38] Speaker C: Et c'était pas la volonté.
[03:21:39] Speaker D: Non, non, pas du tout. J'ai eu la malchance de perdre mon boulot l'année dernière parce que mon entreprise a fermé. Enfin, pas la mienne, mais la boîte où je travaillais a fermé. Et du coup, je me suis dit bah tiens, ça va me permettre de me plus concentrer sur mon contenu.
[03:21:56] Speaker C: D'accord. T'as ce laps de temps qui te permet, pour être franc, il y a du chômage. Bien sûr ! Voilà, c'est ça qui te permet de pouvoir le faire.
[03:22:03] Speaker D: D'avoir plus de temps, d'être plus... De moins stressé ! De moins stressé, d'être plus concentré, de me dire, ah ça je peux le faire demain.
[03:22:11] Speaker C: C'est cool. Ça te permet de le construire et puis après... Parce qu'il y a un problème, c'est qu'à un moment, il faut monétiser tout ça. On est tous conscients que c'est le truc le plus difficile, parce que tout dépend de ta façon de vouloir le faire. Il y a l'éthique, il y a la volonté, il y a la direction que tu veux prendre. Chacun fait comme il veut, je ne juge absolument personne, mais c'est quand même le truc le plus chiant.
C'est le plus dur.
[03:22:34] Speaker D: C'est surtout... Je vais rentrer dans une phase où au bout d'un moment, il va falloir dire aux gens, si vous voulez me soutenir, faites des dons quoi.
[03:22:43] Speaker B: Ouais, on connaît, on connaît.
[03:22:45] Speaker D: En vrai, c'est dur.
[03:22:46] Speaker B: C'est pénible.
[03:22:47] Speaker C: C'est horrible en fait.
[03:22:48] Speaker D: C'est horrible parce que t'as l'impression de.
[03:22:49] Speaker F: Dire, s'il vous plaît...
[03:22:51] Speaker C: Tu dis s'il vous plaît parce qu'en fait t'es dans la merde.
[03:22:54] Speaker D: C'est ça de dire s'il vous plaît alors que tu fais du boulot, tu divertis les gens, tu fais des vidéos, du contenu. Mais moi je serais obligé de venir à un moment donné à ce point là. Mais là je me dis je le fais pour le kiff.
J'ai envie de faire sourire les gens, que les gens kiffent mon contenu. Bon voilà, je demande rien. T'as envie de donner, tu donnes. Si t'as pas envie de donner, tu donnes pas. Y'a des gens qui me suivent, qui malheureusement n'ont pas les moyens. Ils auraient bien voulu, mais... Ils peuvent pas, voilà, je vais pas leur mettre une pression. Donc faites ce que vous voulez, voilà. Si vous voulez me soutenir, soutenez-moi. Si vous voulez pas me soutenir... Y'a.
[03:23:27] Speaker C: Des façons d'être manant, on peut te soutenir de certaines façons ?
[03:23:30] Speaker D: Bah bien sûr, vous venez, vous me faites un paypal. Vous me faites un virement, un paypal.
[03:23:38] Speaker B: Déjà, te suivre sur tous les réseaux, c'est une bonne façon d'aider.
[03:23:42] Speaker D: D'ailleurs, tous les gens qui me suivent, qui me suivent depuis des années même, je vous fais de gros bisous. Merci beaucoup, parce que sans vous, je pense que je serais à bout du rouleau. Je serais en mode je fais des vidéos. Merci beaucoup.
[03:23:58] Speaker C: Coucou. Allô.
Il y a quelqu'un derrière ? Non mais et puis il y a TikTok quand même qui permet de gagner un tout petit peu. Alors attention, j'ai dit à Ben la dernière fois, ça y est, on a éclaté sur TikTok, on a gagné 4 euros.
[03:24:14] Speaker B: Bon, après, c'est pas la plateforme où on fait le plus d'efforts non plus.
[03:24:17] Speaker C: Non, non, mais c'est vrai que c'est un moyen aussi de trouver des fonds.
[03:24:22] Speaker D: C'est un moyen comme un autre, exactement. C'est vrai que... Après, TikTok, comme je l'avais dit tout à l'heure, des fois, c'est des personnes très jeunes qui sont sur TikTok. Forcément, on n'est pas là à dire, ouais, faites des dons, faites des dons.
[03:24:33] Speaker B: Putain, ces enfoirés qui n'ont pas de carte de crédit.
[03:24:34] Speaker D: Ouais, c'est ça, je me sens... Ouais, voilà, ces petits cons.
[03:24:37] Speaker C: On a vraiment de la chance de toucher que des vieux connards.
[03:24:39] Speaker D: C'est ça, comment ça se fait que vous ne voulez pas vos parents ? Non, mais en vrai, Je me sentirais mal de dire « faites des dons ».
[03:24:47] Speaker C: Sur TikTok, c'est plus naturel.
[03:24:49] Speaker D: C'est plus naturel. Après, les gens qui font des dons... Quand je fais mon live, je les fais passer en priorité quand il fait des dons, etc. Mais ce n'est pas obligatoire.
[03:24:59] Speaker B: C'est un peu la même mentalité qu'on a. C'est-à-dire qu'on continue à proposer le contenu. Pour les gens qui ne veulent pas donner, il y a toujours la même chose. Et c'est juste essayer de trouver des petits trucs en plus pour les gens qui donnent ou des choses comme ça. Si personne n'est lésé, tu peux continuer à kiffer juste comme ça. Tu peux avoir des petits trucs en plus.
[03:25:22] Speaker D: On est dans un milieu où on ne peut pas se taper sur le fric. On ne peut pas se taper dessus pour le fric, c'est impossible.
[03:25:29] Speaker F: C'est un but pour toi ou pas d'essayer d'en vivre ? De gagner de l'argent ?
[03:25:33] Speaker D: Dans la finalité, oui.
[03:25:35] Speaker B: Si tu peux en vivre, c'est mieux.
[03:25:36] Speaker D: Si je peux en vivre et faire que ça de ma vie, bien sûr. Après, je sais qu'au bout d'un moment, c'est très difficile, surtout dans le métal. Ce n'est pas un milieu où on est là pour l'amour du métal. Il y a des milieux où l'argent, ça circule très vite. Nous, on est dans un milieu où c'est plus la passion avant tout. Donc oui, effectivement, je ne fais absolument pas ça pour l'argent.
Après, comme je l'ai dit, si vous.
[03:25:59] Speaker C: Voulez faire des dons... Non mais bien sûr, personne ne crache sur de l'argent. Tu ne peux pas dire je suis contre... Bien sûr. Enfin, tu peux le dire, mais bon, à ce moment-là, tu vis dans la rue. Tu mens. Mais non, mais bien sûr que tout le monde a envie de gagner un jour sa vie grâce à un truc qui l'anime. C'est quand même le rêve de tout le monde, j'imagine. Mais ce n'est pas chose facile. Dans le métal, c'est vrai qu'il y a... Ce qu'on dit beaucoup avec nos invités, c'est qu'on est quand même une communauté qui... On est déterminés. En plus, on va jusqu'au bout des choses, c'est-à-dire, tu vois, tu t'es fait chier à apprendre plein de logiciels, à trouver des solutions, à faire des trucs, à trouver aussi ton cadre, parce qu'il a fallu essayer plein de choses. Mais on s'accroche, on s'accroche, et même si y'a personne qui est là pour dire, y'a pas un gros business qui vient derrière en faisant, oh là, lui, je peux me faire de la maille sur son dos, parce que nous, ça n'arrive pas. Parce qu'en France, dès qu'on parle, dans les autres pays, oui, mais en France, dès qu'on parle de métal, les gens font, ah non, mais peut-être qu'il est dangereux, ils crient. Alors que dans tous les autres pays, ils font, oh, ils font de la pop, bon, c'est, voilà.
[03:26:50] Speaker F: Je ne sais pas si c'est que dans le métal, mais c'est vrai que c'est très DIY quoi. En général dans les groupes et tout ça, la plupart des groupes, au sein du groupe, il y en a un qui fait du son, qui est un G-son, l'autre qui fait des clips. Il y a vraiment ce côté DIY.
[03:27:05] Speaker C: C'est souvent les métallos qui sont un G-son d'ailleurs aussi, qui sont light, il.
[03:27:09] Speaker F: Y a quand même des jonctions. Après dans les autres styles de musique, je ne sais pas, je ne m'y connais pas plus que ça.
[03:27:14] Speaker C: Ça doit exister, mais c'est un peu.
[03:27:16] Speaker B: Par la force des choses. C'est que le métal, quand il va, déjà, c'est une musique qui coûte cher. Enfin, juste les instruments, tout ça, ça coûte cher. Pouvoir répéter, c'est un truc tout con. Alors maintenant, avec les ordinateurs, les gens peuvent faire des trucs chacun de leur côté. Mais bon, ça veut dire que tout le monde doit être équipé. Enfin, soit tout le monde doit être équipé, soit tu dois avoir une salle de répétition. Donc, il faut le louer, il faut payer à chaque fois. Mine de rien, c'est des sommes, ça grimpe vite. Et puis derrière, si t'as personne...
s'il faut que tu payes un studio pro pour enregistrer un truc, forcément tu peux pas. Donc les gens, je pense qu'il y a beaucoup de gens, comme tu disais tout à l'heure, qui t'apprend un peu sur le tas en faisant toi-même parce que tu vois le prix d'un studio.
[03:28:02] Speaker D: Tu fais bon bah... Bah oui, si en plus de ça, il faut payer le matériel, les tournées, machin... Ouais parce.
[03:28:09] Speaker C: Que c'est ça, y'a la tournée aussi. Faut pouvoir partir à 15 000 avec tous les instrus et tout le matos.
[03:28:13] Speaker D: Les instrus, le véhicule et tout, au bout d'un moment t'es obligé d'avoir plein de casquettes. Tu peux pas être juste musicien, c'est impossible. En tout cas dans le métal, c'est impossible.
[03:28:22] Speaker F: Et c'est intéressant du coup, parce que ça veut dire que la plupart des gens, en tout cas dans ce milieu-là, ils ont cette envie aussi d'apprendre des choses qui se connectent en fait avec leur idée de base et leur passion de base. Et du coup, ça ouvre des champs vraiment.
[03:28:37] Speaker B: En fait, je pense que c'est la passion de la musique qui pousse à apprendre des trucs qui vont te servir pour continuer cette passion en fait. Et d'ailleurs, il faut plein de casquettes, mais n'oubliez pas qu'on vend aussi des casquettes !
[03:28:50] Speaker C: Ah, cet enchaînement !
[03:28:53] Speaker D: Un placement incroyable.
[03:28:55] Speaker C: Achetez-en plein, parce qu'on en a plein.
[03:28:57] Speaker F: Il y a aussi des mugs.
[03:28:59] Speaker B: On a des mugs aussi, oui, tout à fait. Des très beaux mugs.
[03:29:02] Speaker F: J'ai absolument rien dans ma tasse, mais c'était juste pour vous.
[03:29:04] Speaker D: Moi aussi, mais je fais semblant.
[03:29:05] Speaker C: J'ai absolument rien dans ma tasse.
Bon, en tout cas, encore une fois, bravo. C'est super marrant et de trouver des idées, je vois à peu près le truc. C'est des blagues. Nous, on aimerait bien sortir plein d'idées, mais à chaque fois qu'on fait des blagues, on se dit, ça ne peut pas. On ne peut pas, parce que si on fait ça, en fait, plus personne n'en parlera. De toute façon, on ira en prison.
[03:29:27] Speaker B: On manque un peu de temps aussi.
[03:29:28] Speaker C: Oui, bien sûr, c'est vrai. Aussi.
[03:29:31] Speaker F: Et le temps, c'est de l'argent. On en revient même, probablement. Vas-y, enchaîne.
[03:29:35] Speaker C: Tu veux le faire souffrir.
[03:29:38] Speaker B: Non mais je crois qu'elle dit que je travaille pas assez.
[03:29:40] Speaker C: Bon, dans les choix musicaux que tu as fait, alors là du coup j'étais très content parce que je suis un énorme fan de Korn. Et en plus ça c'est juste pour moi la pépite de toutes les pépites, même si ce film est une merde.
[03:29:56] Speaker D: Faut le dire.
[03:29:57] Speaker C: Non mais c'est nul à chier, à part cette sublime apparition de Jonathan Davis. Ils vont au black des tickets de concert, c'est ça ?
[03:30:04] Speaker D: Oui c'est ça, ouais. Il a fait un caméo.
[03:30:06] Speaker C: Très très mauvais acteur, mais bon c'est pas grave. Il chante bien au moins, puis il écrit encore mieux. T'as choisi l'estate, entre guillemets, corne pour le titre four second de La Reine des damnés.
[03:30:16] Speaker D: Queen of the damned.
[03:30:19] Speaker C: Je mange la gelée de mort, et.
[03:30:21] Speaker B: Je prends la capote de la gelée de mort vivante.
[03:30:26] Speaker D: J'ai choisi ce titre parce que c'est vraiment ce film.
l'ABO.
[03:30:34] Speaker C: Non mais t'as le droit d'aimer les films, c'est parce que j'ai cru bien que les gens ont le droit d'aimer les films. Non, non, non, le film j'ai trouvé à chier aussi.
[03:30:40] Speaker D: C'est un film des années 2000 quoi. Mais c'est vraiment l'ABO qui m'a vraiment... J'avais le corps là, au métal, quand j'ai écouté l'ABO. À la ceinture ?
[03:30:55] Speaker B: Je dis pour les cheveux de l'audio description.
[03:30:57] Speaker D: J'avais le métal à la ceinture.
[03:31:01] Speaker B: Il montre la zone pelvienne avec ses mains.
[03:31:05] Speaker D: Mais du coup, quand j'ai écouté La Reine des Danés...
[03:31:07] Speaker B: Il bouge ses mains.
[03:31:08] Speaker D: La BO, du coup...
[03:31:10] Speaker B: Là, il met ses mains au niveau du cou.
[03:31:13] Speaker D: Mais du coup, là, je me suis dit, ah putain, là, ça, jusqu'à la fin de ma vie, c'est bon, c'est bon. Je connaissais pas Korn, par exemple, tu vois. Je connaissais Deftones.
[03:31:22] Speaker C: Ah Pierre, tu découpes pas vraiment non plus avec ces chansons-là, de La Reine des Danés, parce que c'est plus Jonathan Davis que Korn.
[03:31:27] Speaker D: Oui, exactement !
[03:31:29] Speaker C: Et moi je suis... Pardon !
[03:31:31] Speaker B: Le mec qui vient de réveiller le gatekeeper ! Cite trois chansons de corne où il a écrit les paroles et un peu.
[03:31:38] Speaker C: La musique et il a dit Pain dedans ! Ah putain c'est toutes les chansons !
[03:31:41] Speaker D: C'est parce qu'il adore la France !
[03:31:44] Speaker B: J'adore le pari !
[03:31:45] Speaker D: Non mais tu sais, toute cette sonorité un peu très métal oriental, etc. Là, j'ai vraiment découvert le Jonathan Davis. C'est là où j'ai découvert Deftone Change. C'est sur cette B.O. là. Et du coup, c'est vrai que ça m'a fait un... C'était mon style sonore. Vraiment le style, l'arène des damnés, j'ai kiffé.
[03:32:06] Speaker C: Il aime bien le truc un peu sexy mais douloureux.
[03:32:10] Speaker D: Exactement.
[03:32:11] Speaker B: Pain for pleasure, yes.
[03:32:13] Speaker C: Bon, alors, du coup, ce clip en plus, il est plutôt amusant, enfin amusant, il n'est pas très bon, mais vu qu'il sort du film, enfin plus ou moins, puisque c'est un clip qui a été tourné en plus du film, c'est ça.
[03:32:26] Speaker B: Il étale sa science en permanence.
[03:32:29] Speaker C: C'est un truc que je sais.
[03:32:30] Speaker B: Vas-y, brille. En plus que d'habitude.
[03:32:34] Speaker C: En plus que quand j'ai du c'est bon. Exactement. Bon bah du coup... Du coup on va le passer, comme ça on arrête d'en parler.
[03:32:41] Speaker D: Let's go.
[03:32:42] Speaker C: Et bah c'est parti.
[03:33:14] Speaker A: C'est la fin de cette C'est vidéo.
J'ai parti !
fini ! Pourquoi ne pouvons-nous pas être ensemble ?
C'est la fin de cette vidéo.
C'est génial!
La force de l'incendie s'éloigne C'est parti C'est !
parti!
Sans seconde d'arrêt.
[03:40:43] Speaker C: Je m'en suis régalé ! Nous venons d'entendre et de regarder, pour ceux qui sont en image, Atlas avec Anodyne. Une chanson que j'ai choisie parce que j'ai trouvé que le clip était plutôt joli. Assez simple, je sais pas si c'est facile à faire, mais en tout cas de belles couleurs. Cette espèce d'effet froid, de neige comme ça, c'était tout joli. Je sais pas comment c'est fait, on dirait que c'est fait dans l'eau.
[03:41:05] Speaker B: Je sais pas.
[03:41:06] Speaker C: Et ben voilà !
[03:41:08] Speaker B: Demande à un professionnel de la vidéo. Attends, faut peut-être remettre un peu ton micro là, je crois que... Sans te.
[03:41:14] Speaker C: Péter la jambe, c'est mieux. Ah là ! Il s'est rafalé, non ? Là ça y est, il est installé.
[03:41:20] Speaker D: Il a la maison... Non, je suis.
[03:41:21] Speaker C: Comme d'hab', non ?
[03:41:22] Speaker D: Je suis pareil ?
[03:41:23] Speaker C: T'es tranquille, hein. Ça te parle, ce genre de musique, aussi ? J'imagine que oui, parce que c'est assez...
[03:41:29] Speaker D: Oui, c'est très léché. C'est très... C'est propre, la production, elle est propre.
[03:41:34] Speaker C: Ça te... On parle souvent de ça aussi, parce que c'est un truc qui nous tient à cœur, la surproduction de... De bien lécher, ouais.
On avait dit que je ne devais pas faire 30 minutes sur ce speak.
[03:41:46] Speaker B: On a une minute 8, c'est bon.
[03:41:48] Speaker C: Ah, ça va. J'avais cru que le temps allait se passer si vite. C'est foutu dessous le train.
[03:41:53] Speaker B: Donc... I just want to ride a limo.
[03:41:56] Speaker C: Parce que le Metalcore, c'est très produit. Et c'est un débat qu'on a. Est-ce que c'est bien ? Est-ce que c'est pas bien ? Là, c'est très produit.
[03:42:06] Speaker B: Ouais, mais il y a produit et produit.
[03:42:10] Speaker C: Alors ça, c'est un bon chasseur !
[03:42:13] Speaker B: Non mais il y a produit... Je sais pas, il y a des trucs où... En fait, il y a le côté un peu trafiqué des fois où trop...
[03:42:21] Speaker C: Ah oui, là, il n'y a pas trop d'effet sur la voix, à part les...
[03:42:23] Speaker B: Tu vois, genre Slip Token, pour moi, la voix, elle est trop produite.
[03:42:27] Speaker D: Surproduite. Ah oui.
[03:42:29] Speaker B: Et moi, c'est ça le truc qui me dérange. C'est vrai que là, ça m'a moins choqué. Après, je n'ai pas écouté à fond parce que j'étais en train de manger un morceau de comté avec du pain. Mais...
C'est très bon ce comté. Il vient tout mou là comme ça. Je peux plus t'en parler qu'une morceau.
[03:42:47] Speaker C: J'ai essayé de la mettre au réfrigérateur, je me suis dit il va être.
[03:42:49] Speaker B: Bien bleu bleu bleu. Un peu bleu bleu le cul de ma mère. Ah bah ça je sais pas.
[03:42:54] Speaker C: Elle a 81 ans, je suis désolé, t'es un bon vieux comté, allez, viens !
[03:42:59] Speaker D: Viens du fromage !
[03:43:01] Speaker B: Tant que c'est pas en Roquefort...
[03:43:03] Speaker C: C'est en train de tourner ! Maman, je t'aime. Elle regarde et elle adore quand je fais des blagues comme ça. Elle dit un bonne fête papa ! Oui !
[03:43:10] Speaker B: Bonne fête à tous les papas !
[03:43:11] Speaker D: Oui, bonne fête papa ! Moi aussi.
[03:43:13] Speaker C: Bonne fête papa ! Ben lui il regarde pas parce qu'il déteste donc... Je lui ai envoyé un SMS...
[03:43:18] Speaker B: Je crois qu'il regarde pas parce qu'il te déteste mais...
[03:43:22] Speaker D: J'échoue.
[03:43:24] Speaker C: Ça fait pas de bruit.
[03:43:25] Speaker B: C'est bien, ça fait pas de bruit.
[03:43:27] Speaker C: Ah bon ?
[03:43:28] Speaker B: Oh putain. Je comprends ton père. Il te déteste.
[03:43:33] Speaker C: Non, c'est avec ça.
[03:43:34] Speaker B: Ouais.
[03:43:35] Speaker C: Il en reste aussi, tu le comprends ?
[03:43:36] Speaker B: Oh oui.
[03:43:37] Speaker C: Oh putain. Bon. Je ne sais plus ce que je voulais dire.
[03:43:43] Speaker B: Couscous, je voulais dire.
[03:43:45] Speaker C: Benjamin, le couscous, c'est pas ça.
[03:43:45] Speaker B: Bah oui, c'est vrai.
[03:43:46] Speaker C: Le meilleur couscous de Paris.
[03:43:48] Speaker B: Alors, quel est le meilleur couscous de Paris ? Quelqu'un le sait ?
[03:43:52] Speaker D: Je crois à la Cité des Sciences, à l'Institut du Monde Arabe, il y a un truc qui est pas mal.
[03:43:55] Speaker C: C'est facile, super.
[03:43:57] Speaker D: J'ai pas choisi la difficulté, mais... Ben.
[03:44:00] Speaker C: Dis donc, à la maison de...
[03:44:01] Speaker D: La maison du Maghreb.
[03:44:02] Speaker C: La maison du Maghreb.
[03:44:03] Speaker B: Bon, changement de sujet, puisque j'ai l'impression que ça va faire un flop.
[03:44:07] Speaker C: C'est déjà un flop. Non, je vous conseille le Berber, qui est à côté de Lourdes.
[03:44:12] Speaker B: C'est vrai qu'il est pas mal. Ils sont bien généreux.
[03:44:14] Speaker C: Ils sont très gentils en plus, donc je vous conseille d'y aller. Pourquoi on y retourne ?
[03:44:17] Speaker B: Qu'est-ce que vous faites après l'émission ?
[03:44:20] Speaker C: Est-ce que tu as des choses à dire sur ce qui va se passer dans les semaines à venir ? Est-ce que tu veux prévenir les gens qui nous regardent pour qu'ils viennent te rejoindre sur tes réseaux ?
[03:44:36] Speaker D: Bien sûr, tout d'abord le Hellfest. Le Hellfest, je compte beaucoup faire de petites stories. de filmer, de faire des lives, pour vraiment que les gens... C'est pas très français comment je m'exprime, mais... Pour les gens qui n'y vont pas.
[03:44:57] Speaker B: Ouais.
[03:44:58] Speaker D: Qu'ils ont l'impression d'y être.
[03:45:00] Speaker B: Qu'ils aient.
[03:45:01] Speaker D: Qu'ils aient. Qu'ils aient l'impression d'y être.
[03:45:03] Speaker C: Voilà.
[03:45:04] Speaker D: J'aimerais bien faire ça parce que je pense que c'est important pour certaines personnes. J'ai une personne qui m'a envoyé un message qui m'a dit moi je n'y vais pas, j'ai revendu mes places. Ça fait mal au cœur parce que si elle a revendu ses places, il y a eu des galères parce que vu le prix que ça coûte, tu ne revends pas tes places comme ça.
[03:45:21] Speaker C: Il y a des côtés qui émusent sur l'affiche.
[03:45:25] Speaker D: Moi je pense que Muse ça va être un carton.
[03:45:28] Speaker C: Moi je pense que ça va être trop bien.
[03:45:29] Speaker F: Moi je comprends pas pourquoi les gens sont choqués. L'année dernière il y avait Chaka Pong, c'est pas du métal non plus.
[03:45:34] Speaker B: Il y avait Foo Fighters, c'est pas.
[03:45:37] Speaker F: Du métal non plus.
[03:45:37] Speaker B: Il y avait Queens of the Edge, c'est pas du métal non plus.
[03:45:40] Speaker C: Et Muse c'est bien plus lourd.
[03:45:41] Speaker F: Moi j'aime bien Muse.
[03:45:42] Speaker C: C'est très très lourd.
[03:45:43] Speaker F: Je connais pas les derniers trucs mais les premiers trucs j'aimais bien.
[03:45:46] Speaker D: Il y a un passif assez limite métal même quand même.
[03:45:50] Speaker B: Ils ont toujours joué un peu des... Il y avait ce truc qu'ils faisaient à la... Jouer un riff d'Aftones d'ailleurs.
[03:45:57] Speaker D: Oui en plus.
[03:45:58] Speaker B: David Hupp là. Et ils l'avaient même fait à nulle part ailleurs. Quand ils étaient passés, ils avaient fini en jouant ça.
[03:46:04] Speaker D: Ouais, et puis même ils sont très talentueux.
[03:46:06] Speaker F: Ouais, c'est des très bons musiciens.
[03:46:07] Speaker D: Voilà, donc je vais organiser des petits lives. Je pense que je vais aller voir les gens, les interroger. J'aimerais bien quand même que ça reste quelque chose de... Pas d'élitiste, en fait. Qu'on ouvre ça à tout le monde. Et que, voilà, puis... Que je montre l'envers du décor.
[03:46:25] Speaker C: Quand les mecs sont en train de pisser sur les murs. C'est très propre en vrai, je suis en train de dire ça mais tu vas voir le festival est excessivement propre quand même.
[03:46:35] Speaker B: Après il y a un mur de pisseautières.
[03:46:38] Speaker C: Sur les murs ils ont mis des pisseautières pour que les gens aient envie de pisser vraiment conjustement.
[03:46:41] Speaker B: Enfin dans une zone, pas dans tout le festival non plus.
[03:46:43] Speaker C: Pas là où il y a les foutres.
[03:46:44] Speaker B: Non mais il y a un endroit où c'est... Au bois.
[03:46:48] Speaker C: Il y a un petit bois, c'est pas comme les bois à Paris.
[03:46:52] Speaker D: Il est enchanté mais pas pareil.
Parce que j'imaginais quelque chose d'autre, moi. Mais oui, voilà.
[03:47:01] Speaker B: C'est à côté des petites fées du muscadet.
[03:47:05] Speaker D: Est-ce qu'on y va normalement ? Non, tu peux.
[03:47:10] Speaker B: Tu vas comme tu es. Tu reviens peut-être différemment.
[03:47:13] Speaker D: Je prends une note. Non mais en vrai voilà, et puis je pense que faire des petites vidéos, histoire quand même que les gens se sentent proches du Hellfest sans y être. Et puis voilà, quoi dire d'autre ?
[03:47:28] Speaker F: C'est la première fois que tu vas ?
[03:47:29] Speaker D: C'est la première fois que je vais. À chaque fois j'étais en mode spectateur de très loin. Là je suis vraiment en plein dedans du coup pour le coup.
[03:47:36] Speaker C: Immersion.
[03:47:37] Speaker D: Immersion vraiment totale et j'aimerais bien faire partager ça parce que je pense à des gens qui comme moi n'ont jamais eu la chance peut-être même d'aller au Hellfest et qui rêveraient d'y aller. Voilà, leur partager un peu l'expérience quoi.
[03:47:50] Speaker F: Si tu veux des petits tips sur Clisson, je te donne des ananas.
[03:47:52] Speaker D: Ah ouais ? Bah ok.
[03:47:54] Speaker C: Comme ça il va montrer aussi que le Hellfest c'est un tas de vieux qui sont tout autour.
[03:48:00] Speaker F: Ouais parce que moi je suis de ce coin là en fait et le Hellfest je l'ai vu à partir de 2006. Donc rien à voir avec ce qu'il y a aujourd'hui. Ça fait des années que j'ai plus trop envie d'y aller parce que c'est vrai que bon je l'ai vu un peu évoluer et c'est devenu trop pour moi, trop de monde, trop de groupes, trop cher aussi.
[03:48:14] Speaker B: Oh tu préfères quand c'est plus intimiste ?
[03:48:16] Speaker F: Ouais, ouais, ouais. L'intimité, tout ça.
[03:48:18] Speaker B: Ah bah tiens, quand on est avec... votre merde là !
[03:48:22] Speaker C: C'est moi l'autre merde.
[03:48:23] Speaker F: Cette année j'y vais. Moi je m'étais dit que je n'y allais plus, mais cette année. Je vais faire ma grosse relou parce que je le dis à tout le monde. Cette année j'y vais parce qu'en 2006, j'y suis allée avec mon petit frère. On était mineurs tous les deux. Et cette année, 19 ans après, j'y vais alors qu'il est sur scène et donc je suis grave fière.
[03:48:39] Speaker B: C'est trop mignon !
[03:48:42] Speaker F: Il joue dans The Chainsaw Motel.
[03:48:44] Speaker C: On les aura en interview d'ailleurs.
Enfin qu'il y en ait un qui l'ait pas dit à l'autre, mais bon... Moi ils m'ont rien dit, mais bon...
[03:48:55] Speaker F: Non mais voilà, j'ai vu en famille avec mes parents et tout... Oh trop mignon ! Je pense pas qu'il va rester toute la journée... D'ailleurs je pense qu'il nous regarde, je fais des gros coucou. Ma mère elle regarde tout le temps, même quand je suis pas dans l'édition.
[03:49:06] Speaker C: Très gentil tes parents. Très très gentil.
[03:49:08] Speaker B: Très cool.
[03:49:09] Speaker F: Non mais ça va être marrant, voilà.
[03:49:11] Speaker B: Voilà.
[03:49:13] Speaker C: Très bien, non mais je...
[03:49:14] Speaker F: Une parenthèse, je raconte ma vie.
[03:49:15] Speaker C: Non mais comme c'est la première fois, c'est vrai qu'il va découvrir plein de trucs. T'es quoi tes festivals en général ? Tu fais souvent des festivals ?
[03:49:20] Speaker D: Pas du tout.
[03:49:22] Speaker C: Ah ouais, donc là tu vas en prendre plein la gueule.
[03:49:24] Speaker D: Non, pour vous dire, moi je suis quelqu'un que je m'enferme beaucoup dans mon laboratoire. Donc je suis beaucoup chez moi, sur mon studio, sur mes logiciels de montage, etc. Et c'est vrai que je vais très rarement à des... Enfin, fut un temps, j'allais beaucoup dans les trucs techno-électro. mais c'est vrai que festival métal etc j'allais à des petits concerts par ci par là mais sans plus en fait j'étais beaucoup concentré sur ma musique sur ce que je faisais et c'est vrai que là bah du coup bah là tout d'un coup métal hellfest allez hop on va te mettre dans le bain pourquoi pas j'ai toujours rêvé de faire le hellfest donc que ce soit sur scène ou dans le public donc voilà.
[03:50:00] Speaker C: Ah, le message est lancé...
[03:50:01] Speaker D: Pour les enregards du Hellfest !
[03:50:03] Speaker C: Eric, comme tu regardes dans l'émission... De.
[03:50:04] Speaker B: Toute façon, cette année le public se sera fait, donc pour l'année prochaine...
[03:50:07] Speaker D: Voilà, exactement ! Voilà, invitez-nous sur scène !
[03:50:12] Speaker C: Gratuitement ! Pas besoin de nous payer, ok ? Ça, ça sent le parking de Leclerc. Non, attention, avec tout respect, je dis ça parce que c'est une première étape. Voilà, bien évidemment.
[03:50:24] Speaker B: Il y a les stages aussi.
[03:50:26] Speaker C: C'est vrai qu'il y a la L Stage aussi, c'est vrai, j'ai oublié tout le temps.
[03:50:28] Speaker F: Cette année, il y a un nouveau truc. Alors, je ne sais plus le nom, mais le mercredi, il y a des concerts gratuits pour ceux qui ont un pass. Mais c'est dans une cage, je ne sais pas quoi. D'ailleurs, le groupe de mon frère, il joue le mercredi et le dimanche sur la L Stage.
[03:50:42] Speaker C: Dans une cave ?
[03:50:42] Speaker B: Une cage.
[03:50:44] Speaker C: Une cave, attends, mais c'est... Excusez-moi de particuler.
[03:50:47] Speaker B: Non, mais c'est un nouveau truc.
[03:50:48] Speaker F: Ouais.
[03:50:49] Speaker B: Parce que je crois qu'il y a aussi la brasserie qui a ouvert.
[03:50:51] Speaker C: Oui, la brasserie, c'est bon.
[03:50:52] Speaker F: Mais est-ce que c'est un truc du Luxor, la brasserie, là ?
[03:50:55] Speaker B: Oui.
[03:50:56] Speaker C: Et c'est vrai qu'il y a eu pas mal de polémique aussi autour de cette histoire.
[03:51:00] Speaker B: Je l'apprends.
[03:51:00] Speaker C: Oui, on s'en fout, je m'en fous.
[03:51:02] Speaker B: Moi j'ai pas suivi, on verra quand on y sera.
[03:51:04] Speaker C: Non mais c'est très beau, c'est le prix du menu qui a été critiqué. C'est de la vraie bouffe et c'est bien servi, donc tu vas pas payer 5 balles.
[03:51:11] Speaker F: En tout cas la boîte de menu c'était de la merde, voilà.
[03:51:13] Speaker C: Ok, bah écoute... Ça dénonce par ici, je veux dire... Bah écoutez, c'est la dernière fois qu'on va au Hellfest...
[03:51:22] Speaker B: Je peux dire que le patron du Luxor, bon, il est à la retraite depuis 20 ans, mais il a les oreilles qui sifflent, là... Enfin, s'il est encore vivant...
[03:51:30] Speaker C: Il siffle d'autres façons... Bon, donc, vivre le Hellfest avec des lunettes méta ?
[03:51:38] Speaker D: Non, non plus, mais je vois l'image. Effectivement, oui, je vais essayer quand même un maximum que ce soit immersif.
[03:51:49] Speaker C: Parce que très rapidement, ça peut faire comme dans Smack My Bitch Up de Prodigy, quand t'es là-bas.
[03:51:55] Speaker B: C'est-à-dire ?
[03:51:57] Speaker C: Non mais les gens sont heureux, c'est festif.
[03:51:59] Speaker B: C'est festif, mais ce mec m'a mis de shop, c'est pas festif.
[03:52:01] Speaker C: C'est vrai que c'est violent. C'est juste glauque. C'est pas glauque.
[03:52:05] Speaker B: Bah si, prends la coke, elle dégueule, après elle se bat, après... Bon bah voilà, excuse-moi.
[03:52:10] Speaker C: On s'ensemble à une soirée parisienne, excuse-moi. Et puis c'est à Londres, donc c'est encore pire.
[03:52:14] Speaker B: N'importe quoi, n'importe quoi celui-là. Non mais alors.
[03:52:16] Speaker C: Non mais alors.
[03:52:17] Speaker B: Non mais alors.
En tout cas, on a un passion de te voir là-bas et puis peut-être qu'on viendra te poser des petites questions pour avoir ton ressenti.
[03:52:27] Speaker D: Bien sûr, on va se trouver, forcément.
[03:52:29] Speaker B: On va se trouver.
[03:52:30] Speaker D: Mais oui.
[03:52:31] Speaker B: On ne va pas se rater, t'inquiète.
[03:52:34] Speaker C: Et puis le dernier jour on va le chercher et puis il sera déjà parti, il va se dire non en fait j'ai passé un très mauvais moment.
[03:52:39] Speaker D: Grosse histoire, on est parti.
[03:52:41] Speaker C: Non non c'est très cool, c'est cool que tu le fasses et tu vas bien t'amuser et je pense que ça va être même très difficile à gérer parce que tu vas vouloir pouvoir et il y en a beaucoup trop.
[03:52:50] Speaker B: Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui vont être contents de te voir et qui vont voir te payer des verres. Et il faut que tu t'entraînes à trouver des excuses pour dire non, pour que tu puisses continuer à faire des choses.
[03:53:00] Speaker D: Là, je vais les accepter bien volontiers.
[03:53:02] Speaker F: Mais tu ne vas pas avoir à faire ça.
[03:53:02] Speaker C: Tu ne vas plus rien faire.
[03:53:06] Speaker D: Non mais en tout cas je vous fais de gros bisous les gens qui me suivent, voilà, ceux qui, je répète mais voilà, ceux qui me suivent. Même n'hésitez pas à venir me dire coucou Hellfest, je serais ravi de... T'inquiète pas ils vont. J'en serais ravi, voilà. Il y a de l'amour, voilà, je serais ravi et puis voilà.
[03:53:25] Speaker C: Très bien. Bon, et puis la suite, il suffit de te suivre un peu. Il va y avoir du son, des concerts et puis tout un tas de choses à venir.
[03:53:32] Speaker D: Du son, des concerts, tout un tas de choses. Des fois, c'est prévu sur le tas, donc voilà, n'hésitez pas.
[03:53:37] Speaker C: De toute façon, c'est mieux de se suivre directement sur ton Insta.
[03:53:39] Speaker D: Exactement.
[03:53:40] Speaker C: Tu donnes toutes les infos même pour tout le reste.
[03:53:41] Speaker D: Exactement.
[03:53:42] Speaker C: OK, le lien est donné sur le Shmuel et puis surtout sera donné en description si vous êtes sur la VOD. Et si vous êtes sur le podcast, Louis, donc c'est pas compliqué à écrire, Emrys, on dit le S, hein ?
[03:53:54] Speaker D: Emrys, ouais.
[03:53:55] Speaker C: E-M-R-Y-S.
[03:53:57] Speaker D: Exact.
[03:53:58] Speaker C: Voilà, c'est pas très compliqué. Et donc, n'hésitez pas à le rejoindre, je pense que vous allez vous marrer, puis tous les âges, hein. Parce que c'est des blagues quand même qui parlent aux plus jeunes, mais qui parlent aussi aux plus vieux. Ouais. C'est pas vraiment fermé sur une génération. Donc, encore une fois, bravo. Merci d'être venu ici, nous avoir rejoints.
[03:54:14] Speaker D: Merci, c'est tout un honneur.
[03:54:15] Speaker C: Et puis, continue, parce que ça nous fait bien marrer.
[03:54:17] Speaker D: Merci.
[03:54:18] Speaker C: Bon courage, toi. Tu reviens quand tu veux. Voilà. Tu connais la porte, tu me connaissais aussi. Sonnez pas un.
[03:54:22] Speaker D: Ok, j'ai les codes maintenant, c'est bon.
[03:54:24] Speaker C: Voilà, t'as les codes secrets, c'est un peu un labyrinthe. Ouais. Et puis quand on rentre, ça fait toujours un peu peur, mais après ça va, on est habitués. Mais voilà, vous connaissez, là je dis ça aussi pour madame, vous connaissez la maison, donc vous êtes les bienvenus quand vous voulez, quand vous êtes dans le coin, voilà. On va se quitter, on va laisser enfin les gens tranquilles. Juste, chaque fin d'émission, c'est un groupe français qui est mis en avant, et par vous. Pareil, via le Patreon, donc n'hésitez pas à nous rejoindre sur Patreon. Vous pouvez choisir ce morceau-là à partir du tiers le moins cher, donc ça ne coûte pas grand-chose. Et si vous avez un groupe et que vous avez envie de passer votre clip sans que vous ayez à nous demander l'autorisation ou quoi que ce soit, vous nous obligez en gros à le passer, vous allez vous abonner au premier tiers, et puis on passera votre clip. Et là, c'est un choix de Alain Guido qui nous envoie donc ce message, et là, je propose Marsh of Skilla, je pense, Skyla, Skilla, je sais pas. Si, là peut-être. Vu ce week-end à Nantes, un groupe incroyable qui manque de reconnaissance vu la qualité de ce qu'il propose. Donc voilà, c'est un beau clin d'œil pour le groupe et puis bien sûr pour Alain qui est un fidèle banger comme on dit. Merci Amélie.
[03:55:28] Speaker F: Merci à vous.
[03:55:29] Speaker C: Et puis on se retrouve au Hellfest, on se retrouve en enfer.
[03:55:33] Speaker F: Eh oui.
[03:55:34] Speaker C: On va bien brûler parce qu'il va faire chaud. Attention, si vous y allez, ça va être la calicule et pour l'avoir fait... Non, non, c'est pas encore... Ouais.
[03:55:42] Speaker F: Moi, c'était mes pires coups de soleil de toute ma vie, c'était Manifest 2006.
[03:55:45] Speaker C: Bah, nous, c'était les pires.
[03:55:48] Speaker F: Trois jours après, j'étais en train de m'aimer vraiment du crâne jusqu'au pied.
[03:55:52] Speaker C: Mais il faut se protéger.
[03:55:53] Speaker B: Au milieu de la crème solaire.
[03:55:54] Speaker C: Tout à fait. Il ne faut pas hésiter à en acheter plein. Parce que même s'il y a des endroits d'ombre, il fait très très chaud très rapidement.
[03:56:00] Speaker F: Il n'y en a pas beaucoup quand même.
[03:56:01] Speaker C: Tu rigoles, il y a un bois. Il y a un bois et puis il y a des cascades géantes de flottes.
[03:56:05] Speaker F: Mais tu as vu la taille du site, le bois à côté, ce n'est pas grand chose.
[03:56:07] Speaker C: Ils ne vont pas mettre des arbres partout ?
[03:56:09] Speaker F: Bah si.
[03:56:09] Speaker C: Exactement. Non mais elle est un peu con mais bon.
[03:56:14] Speaker B: C'est une femme.
[03:56:16] Speaker F: Mais en plus elle est blonde.
[03:56:20] Speaker C: Un jour on va parvenir sur les poils de cul. Bon, merci Ben.
[03:56:25] Speaker B: On a failli s'en sortir.
[03:56:26] Speaker C: On a mis le bâton dedans et ça sent la merde. Enfin non, c'était pas l'image que je voulais donner.
[03:56:34] Speaker B: Non mais juste ferme ta gueule et puis on arrête.
[03:56:37] Speaker C: Merci Ben.
[03:56:37] Speaker B: Ah bah de rien.
[03:56:39] Speaker C: Merci Marcel !
[03:56:41] Speaker B: Vas-y, elle t'a envie de crever, tu nous le dis !
[03:56:44] Speaker C: Non mais Marcel, en fait, à partir de 21h, elle se dit j'ai hâte qu'ils aient terminé parce que j'aime pas travailler pour eux.
[03:56:48] Speaker B: C'est vrai qu'il est tard quand même.
[03:56:49] Speaker C: Bah oui, je sais qu'il est tard. Des bisous, bon courage à vous, je sais que demain c'est lundi et que c'est chiant, mais grâce à nous, ça va s'améliorer.
[03:56:55] Speaker B: Et puis blablabli, blablabla, blablabli.
[03:56:58] Speaker C: On vous aime, au revoir !
[03:57:34] Speaker A: A.
[03:58:04] Speaker C: Plus !
[03:59:07] Speaker A: C'est la victoire les gars !
C'est parti.
[04:00:21] Speaker C: !
[04:01:26] Speaker A: C'est parti.
[04:01:56] Speaker B: !
[04:02:05] Speaker D: Pour le spectacle.
[04:02:07] Speaker B: Et voilà, c'était mon souvenir.
[04:02:12] Speaker A: Toutes.
[04:02:25] Speaker F: Nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées.
[04:02:30] Speaker E: Spotify, Deezer, Apple, Amazon.
[04:02:33] Speaker C: N'hésitez pas à vous abonner.