#63 - FLO MyMetalUnicorn en invité

Episode 63 October 11, 2024 03:46:04
#63 - FLO MyMetalUnicorn en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#63 - FLO MyMetalUnicorn en invité

Oct 11 2024 | 03:46:04

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Show Notes

Il y a les professionnels, le public et notre invité, lui, rassemble le tout ! Il n'est pas vraiment influenceur, il est créateur de contenu, il l'explique dans cet épisode. FLO MyMetalUnicorn est un personnage public qui est un passionné, un être ultra bienveillant et une personne qui partage ! Vous ne trouverez pas plus gentil, ni même poli, cultivé et bien d'autres qualités !

Du coup, on raconte son parcours, on parle du Japon ou il s'est déjà rendu, de sa façon de voir les réseaux sociaux et le Metal.

Ben, Didier, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:21] Speaker A: Bonsoir, les bangers. Bonsoir à tout le monde, à vous toutes et à vous tous, j'espère que vous avez passé un excellent week end. Et si ce n'est pas le cas ? Si ce n'est pas le cas ? [00:00:28] Speaker B: Si ce n'est pas le cas. Oui, tu parles France. [00:00:31] Speaker A: Oui. T'inquiète. Oui. Oui. Bah, no comment. Vous allez vous régaler. J'en suis persuadé, puisque cette émission est parfaite. Et je dis ça avec beaucoup de modestie. Toujours beaucoup de modestie. [00:00:43] Speaker B: Bonsoir, Ben, joy. [00:00:46] Speaker A: Bonsoir, Pierre. Ou Piotr, ou comment on dit ? Pietro. On va rester sur Pietre. [00:00:55] Speaker C: Super. [00:00:55] Speaker A: Je me suis vanné tout seul. Ÿ bon. [00:00:58] Speaker B: Nous sommes dimanche. [00:00:59] Speaker A: J'ai une balle dans le pied, comme André. Il est 10 9 h. C'est l'heure de célébrer le metal et l'alternative rock, de le faire ensemble. Et avant de commencer, comme d'habitude, maintenant, je suis désolé, vous allez y avoir droit un petit peu. À chaque émission, vous avez dû voir la précédente, dans laquelle on vous a expliqué que le mois de novembre serait peut être la fin de Bang Bang. Si vous avez envie de faire en sorte que ça puisse continuer. Je suis désolé de vous demander ça. Je sais que personne n'a d'argent et que c'est très compliqué en ce moment pour tout le monde. Mais si vous avez la possibilité de faire un don. Ÿousand, nous sommes au Crédit mutuel. Voilà, je le dis. Mais c'est pour vous. [00:01:32] Speaker B: C'est toujours bien d'avoir cet argument d'autorité. [00:01:34] Speaker A: Voilà. Ça rassure. C'est un vrai compte, et c'est un compte pour notre association. Ce n'est pas un compte qui nous verse l'argent. On n'a pas le droit de toucher cet argent. Nous, ça revient à l'association. Pour pouvoir faire en sorte que nous puissions avoir loué ce lieu dans lequel nous sommes. Parce que ce n'est pas ma chambre. Ce n'est pas la tienne. [00:01:49] Speaker B: Ce n'est pas celle de Ben non plus. C'est très cosy. Mais ce n'est pas ma chambre non plus. [00:01:54] Speaker A: Non. Dommage. Oui, c'est vrai que ça serait cool. Mais bon, un lit, c'est mieux aussi dans une chambre. [00:02:00] Speaker B: Oui. [00:02:00] Speaker A: Voilà. Mais pour pouvoir payer ça. Et puis le petit qui fait vos petits shorts, attention, il fait pas de la couture. Il fait juste des vidéos pour mettre sur les réseaux sociaux. Voilà. Il nous coûte un bras. [00:02:10] Speaker D: Voilà. [00:02:10] Speaker A: Donc on perd un peu moins. Mais si vous pouvez faire en sorte qu'il soit payé, ce serait bien aussi pour lui, parce qu'il a besoin de manger et de payer son loyer. Voilà. [00:02:16] Speaker B: On le paye cher pour que vous nous insultiez sur les réseaux sociaux. [00:02:20] Speaker A: C'est un métier. [00:02:22] Speaker B: C'est un concept. [00:02:22] Speaker A: C'est un métier d'avenir. [00:02:24] Speaker D: Voilà. [00:02:25] Speaker A: Donc n'hésitez pas. Vous avez les liens dans le shmul ou vous avez les liens tout simplement sur YouTube aussi. Et surtout, nos sites Internet. C'est assez simple à trouver. [00:02:32] Speaker B: Et on rappelle que comme Restless est une association, du coup, si vous faites des dons, ils sont déductibles des impôts. [00:02:38] Speaker A: Tout à fait. Exactement. Parce que c'est une association culturelle, même si ça ne paraît pas tout de suite. [00:02:45] Speaker B: Exactement. Et donc du coup, quand vous faites un don via la plateforme du crédit mutuel, en fait, vous pouvez télécharger. Si j'ai bien retenu un oui. [00:02:51] Speaker A: Il doit y avoir un fichier ou. [00:02:52] Speaker B: Un mail qui envoie une preuve de don. Voilà. Vous récupérez une preuve de don qui vous permet ensuite de vous faire déduire des impôts, ce à quoi vous avez. [00:03:01] Speaker A: Droit après avoir fait ce don. [00:03:02] Speaker C: Voilà. [00:03:02] Speaker B: Exactement. [00:03:03] Speaker A: C'est pas mal. C'est plutôt pas mal. C'est pas mal. Et c'est très officiel. [00:03:07] Speaker C: Oui. [00:03:07] Speaker A: Voilà. Il n'y a pas anguille sous roche. [00:03:08] Speaker B: Ou c'est pas un truc à la con. C'est le même principe que si vous faites un don à une ONG ou un truc comme ça. [00:03:14] Speaker A: Tout à fait. Seulement là, c'est pour le métal. Et pour la bêtise aussi, un petit peu, puisque je suis là. Je tiens, d'ailleurs, juste parce qu'on a eu quand même des dons. Donc je vais remercier les personnes qui ont fait les dons. Et franchement, j'ai halluciné. Alors, beaucoup de Romains, j'ai l'impression que Romain, globalement, est un prénom qui donne de l'argent. Voilà. Les Romains sont généreux. Romain d'Antony, en l'occurrence. Sylvain de Mérignac. Jérémy de Gisors. Ton vinyle sera envoyé dans pas longtemps. Il est juste là. [00:03:41] Speaker B: Est ce que c'est le vinyle que j'ai exhibé ? [00:03:46] Speaker A: Tel Maryse du téléphone. Florence de Paris. Romain de Houille. Romain d'Alfortville. Jérôme de Vitry sur Seine. Donc, merci à vous. [00:03:55] Speaker C: Merci beaucoup. [00:03:55] Speaker A: Voilà. Il y en a qui ont donné quand même de belles sommes. Par exemple, sur Tipeee. Je tiens à remercier vraiment tout particulièrement julien. Alors Julien, c'est cool. Il faut pas non plus devenir pauvre. Le but, c'est pas non plus qu'on vous saigne. Si vous donnez 1 €, c'est déjà énorme. Parce que si vous êtes 20000 à donner 1 €, on peut tenir un an tranquille. Donc c'est une tranquille. C'est déjà une bonne nouvelle. Enfin, on peut tenir un an. On sort la ceinture. Mais c'est surtout Marcel qui mangera moins. Et puis, je tiens encore une fois à remercier tous les tipeurs habituels, comme petit Punk, Mahudel, Boulinosaur, Slaming Boy, Christelle C. JB, Tudum foufri. Pardon. À qui je fais des bisous. Et un anonyme qui nous donne de l'argent. J'en suis. On me fait signe que c'est peut être un membre de l'équipe. Tu n'es pas si anonyme que ça. Non, mais si vous passez par Tipeee, ça fait des frais, sachez le. Donc, vous donnez de l'argent à Tipeee. Je n'ai rien contre. Mais si vous passez par Payeasso, qui est donc le crédit mutuel, il n'y a aucun frais, ni pour nous ni pour vous. Donc dans tous les cas, c'est le meilleur moyen. Et c'est secure. Certes, c'est par carte bleue, mais c'est mieux. C'est plus rapide. Bon, voilà. Ceci étant dit, c'est terminé. On vous laisse tranquille. C'est parti pour le métal. Comment vas tu ? [00:05:12] Speaker B: Tu t'es coupé les cheveux ? [00:05:13] Speaker C: Écoute, oui, je me suis coupé les cheveux. [00:05:14] Speaker A: J'ai vu que. J'en ai pas parlé quand t'es arrivé. [00:05:16] Speaker B: J'ai dit. T'as dit que t'allais garder ça pour le direct. [00:05:21] Speaker A: Nouveau look. Ouais, enfin, nouveau look. On va pas non plus déconner pour une nouvelle vie. De toute façon, tu as des cheveux. [00:05:26] Speaker B: Ça m'énerve, mais voilà. Oui, c'est quelque chose que. Enfin bref. Bah, écoute, plutôt. [00:05:33] Speaker A: Bonne semaine. [00:05:33] Speaker C: Semaine assez chargée. [00:05:34] Speaker B: Ah oui, j'allais oublier. [00:05:36] Speaker A: Et. [00:05:36] Speaker B: Oui. Et on. On a vu un concert en commun. [00:05:39] Speaker A: Exactement. Un concert plutôt inattendu, d'ailleurs. Oui. Alors. D'ailleurs, c'est Milan Farmer. [00:05:43] Speaker B: On est allé voir Mylè. [00:05:44] Speaker A: On est allé voir Mylène farmer. Alors moi, peut être que les gens vont se dire. Bah, lui, c'est normal. Bon. Ouais. Eh bien, non, je ne suis pas fan de Mylène Farmer, mais je voulais voir. Et je remercie Romain b. Encore, qui m'a filé une place. [00:05:57] Speaker B: Et c'était fou, quand même. [00:05:59] Speaker A: Et c'était. C'était plutôt ouf, en fait. [00:06:02] Speaker B: La scénographie, elle est incroyable. Alors, pour avoir vu beaucoup de concerts, et même des concerts avec beaucoup de. Avec une grosse prod, je pense que c'est le plus gros. Le plus gros setup que j'ai. Que j'ai vu de ma vie. [00:06:14] Speaker A: Vraiment. [00:06:15] Speaker C: C'est pas mal. [00:06:15] Speaker B: Ça sort de. Il est beau, en plus. Oui. C'est très classe, avec cette espèce de décor mi SF, mi cathédrale, avec de la perspective et tout. Franchement, j'ai trouvé ça très stylé. Et en plus, scénographie évolutive. Selon le chapitrage, entre guillemets, du concert. [00:06:38] Speaker A: C'est vraiment très bien imaginé. Et c'est la 1ʳᵉ fois que je voyais ça. Je ne sais pas si tu avais déjà vu, mais effectivement, la scène, donc vous avez le plafond, vous avez les côtés et le sol. Tout était bouché d'un mur de cathédrale qui était dans tous les sens, avec un écran géant derrière, avec une énorme porte gothique, évidemment. Et c'était ouf. [00:06:57] Speaker B: J'ai trouvé ça incroyable. Ça a coûté un vrai. Ah oui. Je crois que je sais plus combien. Je crois que c'est. La tournée a coûté six ou 9 millions d'euros, un truc comme ça. J'ai essayé de me renseigner. J'ai essayé de trouver quelques infos. Donc évidemment, ça coûte un potion monstre. [00:07:10] Speaker C: Bon. [00:07:11] Speaker B: C'est une tournée des stades en même temps. Je crois que ça se monte en même temps. Ça se monte avec quatre, 20, 10 semi remorques. Et ça se fait pas avec Dicopec. Mais non. Non, mais en tout cas. En tout cas, la plus value spectacle, elle est assurée. Puis même niveau musical, de toute manière. Jolie, cette liste. Et puis ce qu'il y a de bien avec Mylène Farmer, en fait, c'est qu'elle peut faire un concert de quasiment 2 h. [00:07:35] Speaker A: T'auras pas un mauvais morceau dedans. [00:07:35] Speaker B: Alors, je ne connaissais pas tous les morceaux. [00:07:37] Speaker A: Je ne connaissais pas tous les morceaux non plus. Il y a des moments où je faisais. Ah, je connais ça, parce que je connais les vieux que tout le monde connaît par cœur, puisque ce sont des grands classiques. [00:07:45] Speaker B: Ÿousand. Je ne connaissais pas tous les morceaux. [00:07:48] Speaker A: Mais franchement, pas trop de gras dedans. Oui. Non, non. Ça sortait bien. Après. Moi, j'ai un bémol, quand même. [00:07:55] Speaker C: Ouais. [00:07:55] Speaker A: Il y a un moment où je me suis dit. [00:07:57] Speaker B: J'ai l'impression que tout est au ralenti. [00:08:00] Speaker A: Tout est au ralenti à quel moment ? Alors ? Quand il y a des danseurs, parce qu'il y a beaucoup de chorégraphies, et je me suis dit, j'ai l'impression que c'est au ralenti. Elle danse pas non plus à 200 à l'heure. Bon. Elle a 60, deux ans, donc on peut pas lui demander de faire des pirouettes non plus. Mais elle sourit tout le temps. [00:08:18] Speaker D: Ça. [00:08:21] Speaker B: C'Est pas mal, parce qu'il faut l'entendre. [00:08:22] Speaker A: Merci. [00:08:22] Speaker B: Il faut l'entendre. Et puis aussi, il faut la voir quand t'es un petit peu loin dans la fosse. [00:08:25] Speaker A: Ce qui était mon cas malheureusement. Oui, oui, oui. Alors moi j'ai été très bien placé. [00:08:30] Speaker B: Donc j'avoue que j'étais quelqu'un. Je sais, je sais. J'ai vu de loin où tu étais placé. [00:08:34] Speaker A: Je me suis dit putain, le faux. J'ai fait ah là c'est pas mal. Non, non, mais oui. Bon, c'est le seul truc que je trouvais que peut être il y avait des mouvements un peu lents. Un peu. Mais bon c'est peut être parce que je suis pas habitué à ça. En même temps, quand tu compares avec du métal, forcément les mecs ils secouent la tête dans tous les sens. [sos/eos]ousand ça fait plus de mouvement. [00:08:51] Speaker D: Voilà. [00:08:51] Speaker A: Et les danseurs, bon, j'en ai vu des plus jolis. Moi je voulais draguer depuis ma plage là. Je me suis dit bon, il n'y. [00:08:59] Speaker B: A rien que j'ai envie de pécho. [00:09:01] Speaker A: Le jugement est sévère. Oui, oui. C'est très méchant de ma part. C'était très bien quand même. Je veux dire, il n'y a pas. [00:09:07] Speaker B: De problème, c'était juste pour la blague. C'est très très très, très bien. Puis moi je suis pas un grand fan de Mylène farmer non plus, mais j'avais envie quand même de voir ça au moins une fois avant la fin de sa carrière. En tout cas sa carrière de concert. [00:09:19] Speaker A: Et je suis content de l'avoir vu, vraiment. Alors tourné qui s'appelle Nevermore. [00:09:22] Speaker B: Comme l'album, si j'ai bien compris. Si je dis pas de bêtises. Non, le dernier album, c'est pas Nevermore, c'est autre chose. Non, c'est le titre de la tournée. [00:09:31] Speaker A: Qui s'appelle effectivement Nevermore. Voilà. Et normalement, cette date là où nous. [00:09:34] Speaker B: Sommes allés, c'est. [00:09:37] Speaker A: Sa toute dernière date. Toute dernière date annoncée. [00:09:40] Speaker B: Pas annoncée, mais elle ne veut plus, elle est fatiguée. Parce qu'après la fin du concert, en tout cas, ils remettaient sur l'écran géant le Nevermore. Et à un moment le Never s'est effacé. Oui, voilà. Et il reste le mort. Bon, peut être que. Peut être qu'à l'instar de James Bond, Myl farmer reviendra. [00:09:55] Speaker A: Mais bon, c'était pour dire, parce que là on ne pensait jamais. Non, non, mais voilà. En tout cas, c'était un bel événement. Et c'était blindé. [00:10:02] Speaker B: Mais c'était hallucinant. C'était blindé. Il y avait trois soirs. Il y avait deux soirs qui étaient reportés de l'an dernier. Et puis la date où on était. [00:10:10] Speaker A: Donc mardi, c'était une nouvelle date qui avait été ajoutée. Bonus. Voilà. Très, très bien. Sinon, il s'est passé quoi ? Moi, je suis allé à Berlin. Je suis allé fêter un anniversaire. Oui. J'ai bien profité, non ? Mais j'ai pas autant profité que ce que je pouvais profiter avant. Parce que j'ai un peu vieilli, moi aussi. [00:10:27] Speaker B: Je suis un peu la Mylène Farmer du métal. [00:10:31] Speaker A: On appelle ça la sagesse, parfois. Ouais, bon. Parfois, dans certains cas, je regardais les gens. Ils font beaucoup la fête, les Allemands, quand même. Enfin, les Berlinois. [00:10:37] Speaker B: Pas les Allemands, mais les Berlinois. [00:10:38] Speaker C: Ah ouais. [00:10:39] Speaker A: Je me dis waouh. Berlin, c'est connu pour être Ÿousand. Mais j'ai fait un mix où je mettais autant du Lady Gaga, du Britney que du metal, et les gens m'ont j'avais jamais vécu ça. [00:10:47] Speaker B: Et c'est génial. Je me dis bah ouais, c'est moi, c'est bien. [00:10:51] Speaker A: Mais t'as mixé à cet anniversaire, donc. Ouais, à Berlin, dans un bar qui s'appelle le Franken. Si jamais vous avez envie d'y aller, c'est un bar très sympathique. Par contre, ce qui est horrible, c'est que tout le monde fume dans les bars. Et tu vois, j'ai beau être fumeur, c'est insupportable. Dégueulasse, mais vraiment dégueulasse. Je suis presque content d'avoir appris qu'en France, ça allait être interdit de fumer. [00:11:09] Speaker B: Sur les terrasses et peut être même dans certaines rues. [00:11:10] Speaker A: Ah ouais, d'accord. Ok. C'est une voix qui est en train de passer. Donc bon, voilà. Tant pis pour les fumeurs. Sinon, avant de lancer la 1ʳᵉ chanson. Oui, le 1ᵉʳ clip, je vais vous en parler un tout petit peu. Est ce que vous avez vu ce tout dernier clip ? Enfin, tout dernier. [00:11:25] Speaker B: Ça fait deux mois qu'il est sorti. [00:11:27] Speaker A: Le tout dernier, papa roach. Alors non, j'ai pas vu. C'est une. Alors c'est une chanson très particulière qui est là pour faire de la prévention, pour. Pour. Enfin, contre le suicide, évidemment. Ça s'appelle live a light on talk away the dark. Et c'est avec une artiste qui s'appelle Carrie Underwood. Alors je n'ai même pas cherché qui. [00:11:51] Speaker B: C'Était, parce que je m'en contre contrecarre. [00:11:53] Speaker A: Mais c'est bien le. Non, mais l'esprit journalistique. Je pense que les gens qui vont oui, non, mais quand j'ai regardé le clip, je me suis dit ouais, bon, mais c'est très, très. [00:12:01] Speaker B: C'est assez lourd, mais c'est très mignon. C'est beaucoup. [00:12:04] Speaker A: C'est très pop aussi. Comme très souvent avec Papa Roach de toute façon. Ouais. Mais là je pense qu'on est allé à un niveau au dessus. D'accord. Ÿousand. Mais c'est une très belle chanson. Et il y a bien sûr les numéros, parce que, comme en France, il y a des numéros verts pour si vous avez un doute ou une envie un peu sombre, il ne faut surtout pas passer à l'action. Il faut contacter des spécialistes, contacter des gens. Il y a des numéros, il y a des psys. Il y a même des psys gratuits, ça existe. [00:12:29] Speaker B: Donc il faut juste vous renseigner sur ces centres là. Juste renseignez vous. [00:12:33] Speaker A: Vous pouvez avoir plusieurs rendez vous de psy gratuits avant de. Vous pouvez même être suivi. Tu peux être suivi en France pendant plusieurs années gratuitement. Si vous n'avez pas les moyens. En tout cas, Voilà, c'est une solution. Il y en a beaucoup, donc il ne faut surtout pas hésiter. [00:12:46] Speaker B: Et c'est important de prendre soin de sa santé mentale. [00:12:49] Speaker C: Voilà. [00:12:49] Speaker A: Tout simplement. Tout à fait. En plus, par les temps qui courent. Oui. [00:12:56] Speaker B: C'est pas comme ça. Tu vas bien ? Et toi ? [00:12:59] Speaker A: Bon, on va pas se mentir, on est tous arrivés. T'as bien dormi ? Ouais. Ça a l'air un peu compliqué pour tout le monde, donc on va se remonter le moral tous ensemble. Alors vous montez les sons, vous faites chier les voisins. C'est ça l'intérêt avec Bang bang. Bienvenue encore une fois, vous toutes. Et à vous tous, merci pour tous. [00:13:13] Speaker B: Les donneurs, merci pour les F. [00:13:44] Speaker E: Et on regarde ce clip de Papa Roach. [00:13:50] Speaker A: C'est parti. [00:13:51] Speaker E: C'est parti. Papa Roach. Wildfires burning you down to stone Blind eyes turning from a world so cold a million miles apart within my reach It's not like me too worry But when i see you fading in the dark I leave a light on for you Through the long nights I will be right there for you if you drift too far i leave a light. [00:14:48] Speaker B: On for you You in an endless. [00:14:52] Speaker E: Drought to wash away the remnants of all your doubt i hope that you see me looking out It's not like me to worry But when i see you fading in the dark I leave a light on for you through the long night I will be right. [00:16:22] Speaker A: Before. [00:16:22] Speaker E: You give your trip to fly I leave a light on for you bang, bang But that's a long road You gonna be running for reef When i let down surround me and scream Put your head down your heads up but a trigger will squeeze Cause now they losing grip and he ain't gonna let me shine if they ever catch me slipping at my sickness They wanna make me a statistic better wall with the eyes and then push me up against it no respect for authority Cause they making headlines out of dead mind i want peace I want blood i want tragedy, I want love it ain't black and white if y'all livin black between ways it's a watch I won't blind, I won't blur, I won't blurt It ain't black and white if you're living. [00:17:35] Speaker A: Right between what his hands and what's. [00:17:40] Speaker E: Wise I won't blood quiet, you can hear the pin drop shh quiet You can hit a pin drop i'm a premeditated felony there's one in four black men in jail that's what they telling me the funny thing is everything don't mean a thing what you wanted to swim Without anything so fun between ways it's the worst word I won't blame I won't blame It ain't black and white If you're living right Between what it is And what's worse I won't blame I want peace, I want blood i want tragedy, I want love It ain't black and white If you're living right Between what ? And it's a worth word I won't blood, I won't blood It ain't black and. [00:19:29] Speaker A: White If you're living right Between what it is And what was I won't blood Fever 330 trois. À l'instant. Je le dis en français parce que c'est trop compliqué à dire en anglais. Avec ce tout nouveau single, ce tout nouveau clip qui s'appelle Pink Drop, qui fait partie du nouvel album qui est sorti ce vendredi, si je ne m'abuse, qu'il faut absolument que vous écoutiez, parce que c'est très tendance. [00:19:46] Speaker B: Voilà. Si vous aimez bien ce genre musical. En tout cas, c'est très bien fait. [00:19:51] Speaker A: 330 trois. [00:19:52] Speaker B: J'allais dire. J'allais tenter le truc en anglais, mais j'ai abandonné à bord. Michonne. Oui, oui. [00:19:58] Speaker A: Fever 330 trois. Ça marche. [00:20:00] Speaker B: Ÿousand toujours super bien. [00:20:01] Speaker A: En tout cas, niveau popularité. Oui. Ça ne fait que monter difficilement plus. Et puis sur scène, il se passe toujours quelque chose. [00:20:05] Speaker B: Effectivement, on en a parlé un petit. [00:20:05] Speaker A: Peu la semaine dernière, mais c'est un peu pour ça que tout le monde y va. Oui, oui, oui, oui. Et malheureusement, la tournée est annulée. Par contre, tournée européenne et tournée américaine annulée. Et il a besoin de prendre un peu de temps pour lui. Voilà ce qui est important, vous le savez. Il vaut mieux pas passer à côté de ça. On va pas revenir là dessus. On en a déjà parlé dans le bon jour. Mais quand je regarde maman, parce que le temps passe très vite, mon petit benjoy, il est l'heure. Quoi. Il est l'heure du. [00:20:34] Speaker D: Et. [00:20:37] Speaker A: C'Est Didier, bien sûr. [00:20:38] Speaker D: Didier, qui présente ce flashback news qu'on applaudit. Il est formidable. Un t shirt des Beatles. [00:20:43] Speaker A: Ouais. [00:20:44] Speaker D: Je me suis dit, il fallait rajouter une petite touche de douceur, un petit côté plus pop, vu la programmation de l'émission de ce soir. [00:20:52] Speaker A: Je me suis dit, on va mettre un t shirt un peu plus pop. C'est vrai que ce soir, ça va. [00:20:56] Speaker D: Être un peu agressif. Ça va bastonner. [00:20:59] Speaker A: Oui. [00:20:59] Speaker D: Si vous voyez la caméra bouger, c'est. [00:21:02] Speaker A: Que Marcel par faire caca ni vu ni connu. Si on entendait une chasse d'eau. [00:21:05] Speaker D: C'est ça. Non, il a fait à côté, donc. [00:21:09] Speaker A: Il va falloir qu'il nettoie. Il est moins bien éduqué que le chien. [00:21:13] Speaker B: On t'aime Marcel, tu sais. [00:21:15] Speaker A: On t'aime fort. [00:21:16] Speaker D: Pour de bon. Vous pouvez donner sur tipi pour soutenir Marcel. Bah, c'est principalement pour ça qu'on lui. [00:21:23] Speaker A: Paye un éducateur, pour qu'il lui apprenne à être propre au moins la journée et à ne pas mordre Pierre. Parce que quand il se couche au pied du lit, je préfère pas qu'il quelle horreur. C'est des blagues. Attention. De très mauvaises blagues. [00:21:34] Speaker C: Bon. [00:21:35] Speaker D: Les news de cette semaine, au niveau du métal, il y a eu des sujets, cette semaine. Alors c'était le. [00:21:40] Speaker A: Le désert. [00:21:41] Speaker D: Ah, le désert. Il s'est vraiment pas passé grand chose niveau news. Il n'y a pas de potentiel. Non, non, pas grand chose. Ah si. Bah si. Il y a un peu de. Si, il y a un peu. Sur James Addiction, il y a forcément Coret Taylor qui a ouvert sa gueule sur ces différents sujets. Non, mais Dave Grohl, c'est un mec bien. Faut que vous arrêtiez de dire, parce qu'il a trompé sa femme, que c'est pas le mec le plus cool du rock. Correct. [00:22:09] Speaker B: Ah oui. [00:22:09] Speaker D: Sa femme devrait se poser des questions, non ? Mais si. Mais sur le. Sur le fond, il a pas tort de dire que ça nous regarde pas. Et il avait cette réputation de mec le plus gentil du monde du rock. Et le fait qu'il ait trompé. Il était gentil avec cette personne, mais le mec. Non, mais le fait de tromper sa femme, ça a rien à voir avec le fait de regarder sa femme. Ça regarde ses enfants, la rigueur. Mais ça, ça reste un mec sympa dans le monde du rock. Voilà. Ça, c'est. Ça reste une de rockstar aussi, qui a ses problèmes et qui du coup, fait des trucs pas. Pas bien. [00:22:42] Speaker B: Il y a encore une caméra qui. [00:22:43] Speaker A: Va bouger, mais bon, en vrai, on s'en fout. [00:22:47] Speaker D: Au contraire, c'est pas un mec dangereux. C'est pas un mec. C'est ça. Alors sinon, on va commencer avec la 1ʳᵉ news. [00:22:55] Speaker A: Du coup, c'est YouTube qui a bloqué. [00:22:56] Speaker D: Des milliers de clips musicaux aux États Unis. Mais alors, c'est quoi, cette histoire ? Alors en fait, un conflit avec Sesac. Je sais pas. Comment ça s e s a c. Donc en gros, c'est un peu une sorte de Sacem, un truc qui représente les droits qui voulaient leur. Non, non de certains artistes. Parce qu'en gros, tu peux être inscrit sous différentes aux États Unis. Et donc, en gros, là, c'est au cours du week end dernier. Donc les utilisateurs américains de YouTube ont découvert avec surprise que des milliers de clips musicaux avaient été retirés de la plateforme. Donc parmi ces clips, on peut avoir. Il y a par exemple Smile Acting spirit de Nirvana, qui a pourtant été visionné des millions de fois. Oui. Et la raison, c'est que, en gros, c'est Dev Grool. Ouais, c'est Dev Grool. Il a trompé sa femme. Allez hop. Il faut donner de l'argent. On enlève tout Nirvana. Non, c'est que du coup en gros là, c'était la période de renégociation des droits entre YouTube et ses SAC. Donc qui est une organisation de gestion des droits d'auteur et qui représente pas mal d'artistes et d'éditeurs. Même si ça reste c'est pas le plus gros truc, c'est même quelque chose de minoritaire. Mais des fois. Mais des fois en plus ils vont pas forcément représenter les artistes, mais ils vont peut être représenter le producteur ou genre il y a des clips, il y a des musiciens qui sont pas signés chez eux, mais vu que le producteur ou l'éditeur machin est chez eux, ben du coup les clips ils ont sauté aussi. Et donc là ils sont en pleine renégociation pour renouveler leur accord existant. Pour l'instant ça a échoué. Mais bon YouTube ça leur met un. [00:24:28] Speaker A: Gros coup de pression. Donc vu qu'il y a plein de clips qui ont été virés du coup, alors c'est pas à cause de ça qu'ils perdent de l'argent je pense. Non, non. Mais par contre le vrai problème c'est le problème de monopole. C'est à dire que la vraie question. [00:24:40] Speaker D: C'Est ils se permettent de faire ça parce qu'ils savent qu'ils. [00:24:44] Speaker A: Sont les maîtres du monde. [00:24:45] Speaker D: Je peux dire que Nia Nirvana ils ont tout remis sur Dailymotion et là. [00:24:51] Speaker A: Ils se sont dit yes, on va mettre un coup de pression. [00:24:54] Speaker D: YouTube. French. Oui, non mais d'accord. [00:24:56] Speaker A: Mais bon c'est quand même un problème. [00:24:58] Speaker D: C'est un gros gros souci, comme sur plein de trucs. Oui, oui, je sais. Surtout dans le monde de la musique. Ticketmaster, Live Nation, tout ça. On est quand même dans un univers. [00:25:07] Speaker A: Qui est en train de se faire bouffer par des gens qui ont tout quelques grosses boîtes. Après il y a quelques actions qui sont faites quand même contre ticketmaster et Live Nation aux États Unis. Donc je ne dis pas que ça va changer tout de suite, mais en tout cas on en parle. Donc là il va falloir qu'ils commencent à parler aussi du cas YouTube. Après qui peut contrer ça ? [00:25:27] Speaker D: Ÿousand on va compter sur la Chine. Bon après ce qu'ils mettront des clips de Nirvana, je sais pas, mais on sait jamais. J'ai eu peur que tu parles sur un accent et j'ai eu très peur. [00:25:39] Speaker A: Non parce que tu as eu les. [00:25:41] Speaker D: Yeux brillants et je me suis dit ouh là oula oula, très bien. J'ai mal dormi. Donc voilà, autre news du coup, un peu plus, un peu plus festive, un peu plus cool. C'est le week end open Air 2020. [00:25:53] Speaker A: Cinq qui était complet en temps record. Ah le vacances là. [00:25:57] Speaker D: J'ai fait un accent. Tu as eu. J'ai l'impression d'y être. Je suis encore à Berlin. Donc oui, les fans de Mettel sont une fois de plus précipités pour obtenir les places pour le week end. Et ça a été vraiment complet ultra rapidement. Ils ont battu un record. Donc oui en groupe il y aura. Donc comme d'hab c'est des groupes qu'on va retrouver partout. Et je suis sur Owell fest. Donc il y a Machine head, Papa Roach qu'on a écouté tout à l'heure. Gojira. Apocalaptica. Apocalyptica. Pardon ? Remettez les syllabes dans l'ordre. [00:26:37] Speaker B: Ça se dit peut être comme ça. [00:26:39] Speaker A: Saxon within. Temptation. Dimou. Borgir. [00:26:41] Speaker D: Ministry. Tes amis ministries. [00:26:43] Speaker A: Voilà. [00:26:44] Speaker D: C'est ambiance berlinoise ça non ? Ah ouais. Ou bah fit. On a bien compris. Donc voilà. Bravo, bravo. Pressant. C'est bien. [00:26:51] Speaker A: C'est. [00:26:51] Speaker D: Non, il y a d'autres trucs que j'ai mis. Bah bah en même temps les. Les headlines. Enfin vous pouvez aller voir. Il y a plus de prog qui est annoncé, mais il y a quoi ? [00:27:06] Speaker B: Il y a Michael Schenker, My year. [00:27:09] Speaker D: With ufo, ufo Grave digger qui tournait. [00:27:10] Speaker A: Des 40. [00:27:14] Speaker B: Cinq ans. Les vieux de la vieille d'Allemagne quoi. J'ai Tarja et Marco Yetala, je sais. [00:27:19] Speaker A: Même pas ce que c'est, bassiste de Night Wish. Les deux voix de Nightwish quoi, qui se sont remis ensemble. Ÿousand. [00:27:23] Speaker B: Ah bah y'a plus rien du coup à Nightwish. [00:27:25] Speaker A: Enfin ça joue, mais ce que je veux dire ce jour, ils viennent de sortir un album. Mais. [00:27:34] Speaker D: Bon avec ces deux là, moi je peux suivre ce qui se passe dans le symphonique grâce à un compte instagram. Bon, dernière petite news pour ce speak, c'est du coup la tristesse de. Quoi ? Ce qui nous a brisé le cœur là. [00:27:46] Speaker B: C'est arrivé vendredi soir. [00:27:47] Speaker A: C'est frank carter and the radar Snake qui se mettent en hiatus là. [00:27:49] Speaker D: Ah oui mais c'est pour une raison. Ils disent que je l'ai mis en deuxème clip, mais. Mais c'est pas grave. C'est pas grave. Ouais c'est. Bah du coup ils disent qu'ils arrêtent, que le. Qu'ils se mettent, ils finissent la tournée, mais que le. Alors bah je pense que j'ai pas lu la lettre. En gros, il remercie tout le monde, il remercie les fans, il remercie les. Les mus. Les. [00:28:08] Speaker A: Les. [00:28:08] Speaker D: Les autres musiciens. Ils disent vraiment on termine la tournée, mais que. Voilà, genre, ça fait neuf ans, on a sorti, je. Combien, sept albums. Après, je pense que. Il y avait galoz, il y avait. [00:28:21] Speaker A: Frank Carter et Zara Dol Snake. [00:28:24] Speaker B: Je crois que. Il faut vraiment un projet solo. Solo maintenant, quoi. C'est frank Carter tout seul. [00:28:27] Speaker D: Je me suis dit il va partir en tournée avec ce qui reste des Sex Pistols en plus, non ? [00:28:33] Speaker A: Oui, oui, oui. Ouais. [00:28:33] Speaker D: Mais ça, ça va être un petit projet annexe, je pense, pour faire la transition. [00:28:38] Speaker A: Mais oui. Je me suis posé la question après toi, tu connais beaucoup plus parce que tu l'as déjà interviewé plein de fois. On sait qu'ils s'entendent très bien, mais c'est vrai qu'ils sont l'un sur l'autre tout le temps. Donc au bout d'un moment, ça doit être un peu pénible aussi. T'as envie de fraîcheur, de trouver quelque chose de nouveau. Mais moi, j'ai l'impression qu'ils ont dû s'engueuler. Tu penses ? Ouais. Je pense qu'il y a dû avoir un truc qui s'est passé. Ça marche très bien. Le dernier album a très, très bien marché. Ils ont fait des salles beaucoup plus grandes, etc. Ils ont halluciné tellement ça a bien fonctionné. [00:29:07] Speaker D: Il y a peut être eu un ÿousand. Il y a un moment où tu peux basculer aussi. T'es fatigué, tu n'arrêtes pas de tourner. [00:29:15] Speaker A: En tout cas, sur la com, c'est vraiment. Tout va bien. [00:29:16] Speaker D: C'est juste qu'on veut passer à autre chose, d'autres projets artistiques. Ou alors, c'est Dean qui a dit. J'aimerais bien faire un truc solo. Puis en plus, c'est vraiment. En plus, on vous annonce le truc, mais on vous prend pas en traître. On finit la tournée quand même. Donc d'ailleurs, ceux qui. Je crois qu'il reste encore une date à Lille pour les français. Oui, exactement. [00:29:36] Speaker A: C'est ceux qui peuvent y aller ? [00:29:37] Speaker D: Ben ouais. Allez y, parce que. [00:29:40] Speaker A: On sait jamais. Zweitausendein. On sait jamais. Peut être une dernière chance de les. [00:29:44] Speaker B: C'est tombé un peu comme ça, mais c'est vraiment rêver. [00:29:46] Speaker A: A a a oui. Non, non, c'est. La tournée continue. [00:29:49] Speaker D: Juste. [00:29:49] Speaker A: Pas de panique. [00:29:49] Speaker B: Fallait qu'il se batte sur scène. [00:29:51] Speaker D: Ça, c'est rock'n roll. Ouais. Alors, vu le discours qu'ils ont, je pense que. [00:29:56] Speaker B: Je sais. [00:29:57] Speaker A: Je pense que ce serait pas jens addiction qui veut ah. [00:30:01] Speaker D: J'ai cru que c'est une référence au frère Galégard aussi. Se battre comme gen. Addiction, c'est se battre comme mamie avec des patates. [00:30:09] Speaker A: Bon peu importe. Je connais des grand mères qui mettent. [00:30:10] Speaker D: Des bonnes droits de. [00:30:11] Speaker A: Des bonnes patates de forain. Des bonnes patates de for. Bon du coup, on regarde un clip. [00:30:14] Speaker B: Qui n'a rien à voir, mais on. [00:30:16] Speaker D: En parle juste après et ben voilà, comme ça on regarde et puis parce. [00:30:19] Speaker A: Que je connais bien, on regarde la surprise. [00:30:21] Speaker B: Je connais pas ce groupe qui s'appelle. [00:33:14] Speaker A: No Cure. [00:33:15] Speaker B: Ouais bah on en parlera après. Du coup regarde ça. [00:33:20] Speaker A: Et le titre s'appelle the final truth. Je crois que c'est tout récent. C'est bon ça c'est plutôt pas mal. C'est. C'est méchant. C'est comme il faut. [00:33:25] Speaker D: C'était la bagarre. Dans le clip aussi. On a vu qu'il y avait des. [00:33:29] Speaker A: Jambes, des genoux, des cailloux qui volaient dans. [00:33:31] Speaker D: Pour une F que j'amène un truc. [00:33:34] Speaker B: Que tu aimes bien et que j'ai vraiment beaucoup aimé. [00:33:39] Speaker A: Je ne connaissais absolument pas. [00:33:39] Speaker D: J'ai même jamais vu ce nom. J'avoue que donc je connaissais pas non plus avant de. Avec Nobert Smith. [00:33:46] Speaker B: Au début, j'ai cru qu'il avait misé. [00:33:47] Speaker D: Franchement, elle est bien. Je la valide. Merci. C'est là. J'espère qu'elle sera. Qu'elle sera en short. Marcel, tu sais ce qu'il te reste à faire ? [00:33:55] Speaker A: Non. [00:33:56] Speaker D: Alors je les connaissais pas non plus avant de les voir. Du coup, dans le. Dans l'actu de tous les sites metal la semaine dernière, c'est qu'en gros. Donc c'est un groupe de hardcore straight et un de leurs cancers, il me semble. C'était le week end dernier ou un peu avant. Du coup, grosse bagarre qui éclate et en fait ils sont descendus dans la foule pour essayer de les calmer, de calmer les gens, et du coup, il y a deux membres qui se font fait poignarder salement. D'autres membres du groupe, mais vraiment pas. [00:34:24] Speaker A: Bon, il y en a un, je crois que. [00:34:25] Speaker D: C'était où ce concert ? Je sais plus. Non, non, c'était pas en France. Aux États Unis. Des coups de poignard, je suis pas sûr. Non, non. Et en plus, vraiment, il y en a. Bon, il y en a qui. Je crois que c'est le bassiste, c'est le chanteur qui est sorti de l'hôpital. Mais l'autre qui est encore, il me. [00:34:45] Speaker A: Semble, les poumons, l'estomac touché. Et donc déjà, faut avoir les couilles pour descendre pendant ton concert pour arrêter à une bagarre. [00:34:48] Speaker D: Oui, parce que ça devait être un sacré paquet de people. Il n'y en avait pas trois qui se pétaient la gueule quoi. S'il y en a trois. Mais ce qui me fascine du coup dans cette histoire, c'est que là, parce que ça reste un groupe de hardcore stratage et qu'ils n'ont pas des moyens de. Ouf. Enfin toute manière, vivre de sa musique aux États Unis, c'est encore plus compliqué. Enfin, c'est très compliqué, surtout quand tu fais ce genre de musique. Et là, du coup, ils ont lancé une campagne pour se financer et pour financer un peu justement l'hôpital. Et ils ont sorti des t shirts à l'effigie de la cicatrice. En gros c'est le bassiste. On vous mettra du coup Marcel vous le mettra après sur YouTube. Vraiment il soulève son t shirt et une cicatrice qui fait vraiment tout le. Et du coup ils ont sorti un t shirt avec la photo du bassiste qui mange sa cicatrice et un autre t shirt où tu as juste écrit genre no cure avec la cicatrice qui est refaite. Et donc ouais, c'est space hein, c'est. Mais en même temps bah c'est métal et voilà. Et puis du coup c'est pour la bonne cause. Enfin c'est qu'ils ont. [00:35:55] Speaker B: Eux, ils ont fait ça pour arrêter. [00:35:56] Speaker D: Une bagarre et c'est se servir d'un truc un peu triste pour de montrer la bêtise humaine. [00:36:00] Speaker A: Donc voilà, c'était les frais de médecin. [00:36:03] Speaker D: Qui, on le sait aux États Unis. Oui, aux États Unis, oui. Bah toute mer, la moindre prise de sexe, c'est 3 000 $ exactement. C'est l'enfer. [00:36:10] Speaker A: Donc voilà. Mais en tout cas moi ça m'a. [00:36:14] Speaker D: Permis de découvrir le groupe qui est. Qui est vraiment plutôt bon. Donc je vous invite à les écouter. Ok. Il y a un truc un peu plus joyeux. Alors bah du coup, au départ, moi je voulais mettre cette news en dernier parce que je voulais qu'on mette ce clip en dernier pour. Voilà. Ouais mais bon c'est pas grave. Tu ne lis pas mes messages quand j'écris 1ᵉʳ clip, 2ᵉ clip ? [00:36:39] Speaker A: Non. [00:36:40] Speaker D: Alors j'ai pas regardé autre autre petite histoire comme ça. C'est Jake, id de Syrah, qui a neutralisé un voleur qui tentait de cambrioler le tour bus. En gros c'était samedi dernier, donc c'était la soirée l'énergie arena de Louella en Suède. Ÿ et donc il jouait avec. Je crois que c'est evergrey et pendant que Evergreen était sur scène, bah il y a. Alors je sais pas s'ils avaient déjà joué ou s'ils jouaient après, mais en tout cas il y a un mec qui avait pété leur tour bus et qui était en train de se servir dedans, il avait commencé en plus à ramasser les trucs et il. Du coup il l'a surpris et il s'est un peu chié dessus. Normal, il fait bon bah faut que j'intervienne parce que enfin les groupes ont. [00:37:23] Speaker B: Tourné comme ça, quand tu pilles, ça peut mettre fin à leur carrière parce que du coup le matériel coûte très cher et voilà. Est ce que c'était un tour bus qui était partagé entre les deux groupes ? [00:37:31] Speaker A: Parce que Evergrey, ça leur était arrivé il y a genre 10 15 ans. [00:37:34] Speaker D: De se faire taper plus de 10000 balles de matos comme ça. Ah ouais genre pas de chance quoi. Ouais ouais ouais. Ils avaient eu un gros coup dur. Du coup il est intervenu et puis du coup quand la police est arrivée après, il s'est rendu compte qu'il avait. [00:37:46] Speaker A: D'Abord en plus péta des trucs dans des magasins, il avait volé de la. [00:37:50] Speaker D: Bouffe, il avait volé pas mal de trucs. Donc en tout cas bravo à lui d'être intervenu. [00:37:55] Speaker B: Mais oui, bravo à lui d'avoir le coin. [00:37:59] Speaker D: Parce que le mec il avait commencé à ramasser de ce qu'il y avait, de l'argent, des trucs, des téléphones, des instruments, plus le matos. Oui, c'est souvent ça les groupes quand ils se font pétale tout le matos et que du coup ils ne peuvent. [00:38:11] Speaker A: Plus jouer et que tu te retrouves dans un pays sans argent, sans pouvoir faire les concerts qui vont te rapporter de l'argent, c'est compliqué. Après des fois quand il y a des situations comme ça, tu as une espèce de force et de truc, tu ne sais pas d'où ça vient. Zweitausendein et tu fais des choses hallucinantes comme quand il y a le feu. [00:38:26] Speaker D: Ou quoi, tu sais les gens ils peuvent porter des meubles alors que c'est hyper lourd, des trucs comme ça. Donc peut être qu'il a eu cette espèce de. J'ai eu ça dans une grosse baltringue, je suis vraiment la reine des baltringues. Dès qu'il y a des trucs violents, ça me bloque et je crois. Il y a une fois où j'ai vrillé parce que en sortant de la de la maternité avec, ma femme était encore enceinte, mais on faisait des analyses et du coup on a croisé un ado qui faisait du vélo sur le trottoir alors que du coup c'était que des femmes enceintes partout et qui bousculaient les gens. Et genre je l'ai chopé, je fais non mais tu fais pas de vélo là. Alors que genre 50 cm à côté il y avait une piste cyclable. Il faisait du vélo sur le trottoir et donc je commence à l'engueuler et là il me c'est bon votre. [00:39:17] Speaker A: Attends. [00:39:17] Speaker D: On est reparti sur les imitations bébé de chaud. Mais non mais Jean, pour le coup là, j'ai vrillé et Jean, j'ai lâché mon sac et j'ai commencé à le poursuivre. Et là il a vu que. Il allait prendre cher. Et il est remonté sur son vélo. Il est parti très très vite. Oui bah en même temps, s'il blesse. [00:39:34] Speaker A: Des nanas ou des bébés, je pense que si je lui. [00:39:39] Speaker D: Ai fait suffisamment peur pour qu'il fasse plus ça. En plus, je pense qu'au début j'ai râlé comme un après tu as eu le courage d'aller voir un enfant ? J'ai dû faire le dar. Non, mais j'ai fait. [00:39:51] Speaker A: Tu sais que si tu fais du. [00:39:52] Speaker B: Vélo sur le trottoir, c'est 150 € d'amende ? [00:39:55] Speaker A: J'ai dû faire un truc pété comme. [00:39:59] Speaker D: Ça au début et avant de m'énerver. Bon, quand tu t'énerves, ça c'est gentil quand même. Mais ça peut impressionner. Oui mais tu es très grand, donc forcément. Autre news james addiction. Du coup, c'est l'ancien bassiste de Porno for Piros, Martin, le noyau noble, qui du coup s'est réveillé et il a critiqué violemment péripharel et sa femme Etty dont on parlait. Et du coup il s'est lâché, même si du coup, entre temps, il a un peu balancé le truc. Il a. Il a bon, il a. Entre temps il a effacé ses tweets en disant de toute manière les gens savent, pas besoin que ça reste. Mais je peux dire sans équivoque que Perry a été le pire chanteur avec lequel j'ai travaillé. Toujours un mot gentil suivi d'action merdique, le poisson pourri par la tête. Je ne comprends toujours pas comment il a réussi à canaliser certaines de ses paroles et de ses voix géniales sur les deux 1ᵉʳˢ disques de James. Et j'ai travaillé avec des chanceurs, avec des chanteurs difficiles, tous plus gentils, meilleurs et plus talentueux les uns que les autres. Je juge les gens par leurs actions et pas par leur plaisanterie, et sur le spirituel. Et donc ici, Mark Lanegan, Scott Weyland, tout un tas de gens avec qui. [00:41:07] Speaker A: Il a bossé, pour dire voilà, Perry. [00:41:10] Speaker D: C'Est une vraie merde. Alors qu'il y en a qui ont des mauvaises réputations, qui peuvent être des cons, mais qui se comportent bien avec leurs collègues. Non ? Mais oui, il a balancé. Il a dit que Perry ne vient pas aux répétitions, ne vient pas. [00:41:26] Speaker A: Aux. [00:41:26] Speaker B: Balances, il ne vient pas à l'écriture. [00:41:28] Speaker D: Et quand il vient, il arrive en retard avec des paroles de merde. Et quand tu lui dis que c'est pas terrible, il fait les artistes qui. [00:41:37] Speaker A: Slash sur Twitter, c'est toujours un grand moment. [00:41:39] Speaker D: Il n'est pas préparé, il a les yeux écarquillés, n'est pas présent, ans il est défoncé, le fait encore et encore et encore. Ah oui là de toute évidence il était pas juste énervé. Bah je pense qu'il en avait gros sur la patate et que dans la patate je parle du bassiste. [00:41:58] Speaker A: Et je pense que du coup c'était l'occasion de. Allez, toute manière vu que là c'est grillé, on fera jamais de porno pour piros. Donc. Oui, oui oui. Donc allons y. Mais que les gens sachent. Mais les gens savent globalement pour périphériel et sa femme. Surtout parce que sa femme, on pourrait croire que sa compagne est là pour l'aider, mais alors de ça c'est une. [00:42:29] Speaker D: C'est une peste. [00:42:30] Speaker A: Et apparemment elle est violente. [00:42:31] Speaker B: Et elle aime beaucoup, beaucoup, comment dire, les. [00:42:33] Speaker D: Ce qu'on. Ce qu'on prend entre. Voilà pas l'alcool, mais l'autre chose que tu peux prendre. Les fraises tagada. Ouais, ouais. Celles que tu mets dans ton zen. Les chocapic. [00:42:41] Speaker A: Les écrans plats. Oui, les écrans plats. C'est ce qu'on disait. Elle adore. Elle arrête pas d'acheter des écrans plats. Elle regarde la télé tout le temps. Par moi, la narine grande ouverte. Oui, s'il y avait que les narines. [00:42:52] Speaker D: Mais bon c'est triste. Et c'est dommage, parce que apparemment le concert était quand même plutôt pas mal au début de la tournée. Et ça s'est un peu dégradé avec. [00:42:58] Speaker A: L'État de santé, mais bon. Voilà. En tout cas, vous avez vu les news cette semaine. C'était un peu pauvres, mais ça a permis de découvrir un bon groupe. Donc c'est pas une semaine perdue. C'est ça. Voilà la bonne nouvelle. C'était pour vous qui regardez sur la vod. N'hésitez pas à laisser vos commentaires. Vous pouvez critiquer, vous pouvez nous aussi nous critiquer, on adore ça. [00:43:15] Speaker D: Et plus vous laissez de commentaires, plus ça remonte dans les algorithmes. [00:43:19] Speaker A: Donc ça aussi ça compte. Voilà. Exactement. Voilà. Mais les mecs qui vont nous insulter, tu comprends le système. Oui ben je sais. Vu que mes collègues viennent pour m'insulter. [00:43:28] Speaker D: Sur les commentaires, qu'est ce que je me dis ? [00:43:32] Speaker A: Attends, c'est méchant. Ah ça doit être un collègue à lui. [00:43:33] Speaker D: J'ai l'impression qu'il y a un sacré paquet d'humoristes, non ? [00:43:37] Speaker A: Bah c'est toujours la même. Ah oui ? Cécile, si tu nous regardes, on lui fait des bisous. On lui fait des petits cœurs comme ça. [00:43:45] Speaker D: Non pas moi. Quand même pas. Faut pas pousser. Bon bah du coup on se quitte là dessus. [00:43:50] Speaker A: Merci beaucoup encore une fois d'avoir fait. [00:43:52] Speaker D: Toutes ces recherches et ces investigations. Merci à la rédaction de Restless. Voilà, qui s'amenuisent de même en semaine. En semaine là, j'en ai encore viré cinq Ÿ. Voilà. [00:44:03] Speaker B: Et bah il reste plus que combien ? [00:44:05] Speaker D: 20 trois, 20 quatre. [00:44:06] Speaker A: On a encore quelques 60 10 si on compte les s'agir. Oh et pour trouver six news comme ça, il en faut du monde. Il a fallu déployer tous les moyens de la rédaction. En tout cas, merci beaucoup Tchibou. À la semaine prochaine. Et on regarde le clip, enfin, de. [00:44:20] Speaker D: Frank Carter, puisque je devais le mettre. Et puis tu as choisi ce clip là, Mytown, avec. Pourquoi tu as choisi celui ? Parce que je me suis dit. Mais il a sorti un vieux clip là. Ouais bah justement. C'est que je déteste le dernier album. [00:44:33] Speaker A: Non bah c'est pas que je déteste, mec. [00:44:35] Speaker D: Je préfère le rattlesnake. [00:44:36] Speaker A: Un peu plus violent, un peu plus brusque que. [00:44:48] Speaker E: Le dernier album. Ok, même qui est très bien. Mais c'est juste que je préfère un peu. De toute façon, t'as le droit d'aimer. Je préfère Frank carter. La bagarre. [00:45:12] Speaker A: Quoi ? [00:45:13] Speaker E: Bagarre. [00:45:13] Speaker C: Bagarre. [00:45:14] Speaker E: Allez. [00:45:14] Speaker C: Bizarre. Regarde. [00:45:15] Speaker E: Ÿousand what you wait for my town It looks like yours one down, won't I ? Oh shut doors broken windows empty over no one gives a fuck I told my town It looks like yours Never brings the only polls No man's land of evil force and no one gives our fuck at all Yo, you don't know why you never talk about what's deep inside my town It looks like you three I dust it behind those doors Never talk about our fear i'll know why we're living in my town, my town It looks like yours needles got earth on the floor body passing back to wheelie base My town in loose by yours no one who can trust the Lord You win the fight but lose the wall Yo, you don't know why you never talk about what's deeper inside my town It looks like yours beyond those tears beyond those doors Never talk about our fear down now while we live in my town You let your dog sit on the street You kick the roses with your feet You punch each other in a teeth you drink until you all fall, fall down You piss all over sacred ground You hate yourselves and you I mean, yeah, you don't know why you never took a bible deep inside my sound in the side You see, I thought why are you so so why are you so, so fucking good for you savages It's getting on your town as. [00:50:42] Speaker A: Lifted existence Will it ever be enough Are we ever waiting Try to feel the pressure This was the Russia forever. [00:50:49] Speaker B: Your turn to feel the pressure you motherfuckers shattered forever You're turned to feel the pressure Shut up. Tout nouveau clip de la part des. [00:50:55] Speaker A: Stick to your Guns qui reviennent, disparaissent. Jamais vraiment. Mais bon. Bah, ils ont. Ils ont quand même quand même une bonne discographie. Mais là je sais pas depuis combien de temps ils avaient rien sorti. Je t'ai dit, j'ai rien foutu là. Je suis revenu de Berlin, je me suis dit, non, ça c'est cool ce clip. J'avais déjà préparé la semaine dernière parce que ça fait deux semaines, je crois qu'il est sorti. Et je me suis dit, c'est quand même dommage de pas le passer. Oui, je sais. [00:51:15] Speaker B: Bon, j'ai profité de cette solution. [00:51:16] Speaker A: Quand on revient de Berlin, on n'a. [00:51:24] Speaker C: Pas forcément la tête toute claire. [00:51:26] Speaker A: Enfin je veux dire, je suis bien pâle, mais bon, à part ça. C'est l'avion. C'est l'avion. On va mettre ça sur le compte de l'avion. [00:51:36] Speaker C: On reçoit maintenant notre invité. [00:51:37] Speaker A: Je vais dire flo. Tu peux dire flo. C'est très. Bienvenue. Déjà, merci d'avoir fait le voyage pour venir jusqu'ici. Avec plaisir. Tout le plaisir est pour nous. On s'est déjà rencontré ? Quelques fois. On s'est vu quelques fois. Ouais. [00:51:50] Speaker C: Voilà. [00:51:50] Speaker A: Et pour commencer, déjà, bravo. Bravo de t'accrocher, de faire ce que tu fais, chose qui n'est pas facile, tu le sais, d'être sur les réseaux, carrément, d'être content de ce qu'on fait, et puis. Mais tu. Tu fais des trucs. Moi, je sais. Quoi ? Je me suis dit, quand je regarde. [00:51:59] Speaker C: Ce que tu fais, je me dis. [00:52:00] Speaker B: Mais pourquoi les gens, ils savent faire. [00:52:02] Speaker A: Des trucs comme ça, là ? Moi, je. [00:52:03] Speaker C: Je fais une vidéo, déjà, je trouve ça long. [00:52:05] Speaker A: Ouais. [00:52:05] Speaker C: C'est peut être parce que je suis une feignasse. [00:52:08] Speaker A: Bon, mais c'est long à faire. Long à faire une vidéo, c'est. [00:52:10] Speaker C: Ouais, mais tu sais, à faire des découpages et tout, là. [00:52:14] Speaker A: Ouais, c'est. C'est. Ouais, c'est entre 40, 5 min et 1 h 30 par vidéo, donc. Ouais, c'est. Faut bien ça. Peut être parce que je fais une sieste à la place. Ou tu payes quelqu'un pour le faire. Ça marche aussi. C'est vrai. [00:52:33] Speaker B: Merci. [00:52:33] Speaker A: Marc. Marcel, merci. Tu es là. [00:52:35] Speaker C: Envoyer des sous. [00:52:35] Speaker A: Oui. [00:52:35] Speaker C: N'oubliez pas de soutenir Marcel et de soutenir cette émission. Je sais, encore une fois, c'est beaucoup demandé, mais malheureusement, nous n'avons pas le choix. Est ce que tu peux expliquer aux gens ce que tu fais ? Alors ce que je fais, globalement, c'est parler de l'actu métal, que ce soit en France ou à l'étranger, couvrir également des concerts exclusivement sur TikTok et sur. [00:52:54] Speaker A: Instagram, et sur un format vidéos, format. [00:52:58] Speaker C: Reels, du coup, ou format short, comme ils aiment bien appeler dans les termes techniques. [00:53:01] Speaker A: Mais globalement, des vidéos qui font entre 20 s et 40 s, vraiment très condensées et qui partent là dessus, tout simplement. [00:53:07] Speaker C: Et puis ça marche très bien. Ça prend bien. Là, c'est depuis début janvier, ça explose vraiment bien. Donc ça fait plaisir, c'est cool. Tu as de bons retours aussi. Tu as une belle commune qui est plutôt. Je dirais positive, quand même. Ouais, carrément. Non, pour le coup, j'ai beaucoup de chance. C'est que, à chaque fois, les commentaires. [00:53:21] Speaker A: Sont hyper bienveillants, sont très gentils. Alors après, il y a toujours les petits deux. Donc voilà, tu essaies de faire. Mais je m'en sors pas trop mal là dessus, j'ai pas trop de haters ou autres, donc c'est plutôt cool. Tu as des sujets, enfin, tu fais des réactions, des trucs comme ça aussi. Parler de l'actualité mais tu représente aussi. [00:53:39] Speaker C: Je l'ai dit dans la présentation, dans ma story. Mais la bienveillance aussi. Tu as quand même cette façon de présenter les choses qui est toujours très polie, très calme, très douce. Je t'ai jamais vu en tout cas dire des saloperies sur quelques il y a des fois où il faudrait peut être, mais en fait c'est quand j'ai commencé à faire des vidéos, je suis aussi arrivé à un constat où en fait on en prend déjà suffisamment dans la gueule tous les jours, dans notre boulot, dans la vie, etc. On va peut être éviter d'en rajouter encore dans les réseaux, donc essayer de faire quelque chose de beaucoup plus doux, de beaucoup plus sympa, un peu plus. [00:54:04] Speaker B: Safe place ou bah, je suis content de faire cette vidéo, mais que les gens se disent pas oh l'autre connard. [00:54:11] Speaker C: Donc voilà quelque chose de beaucoup plus. [00:54:13] Speaker A: Calme, ça fait du bien, même si on parle de métal. Quelque chose de calme, oui. D'autant que sur les réseaux, comme tu. [00:54:20] Speaker C: Dis, la violence et la mauvaise et. [00:54:24] Speaker B: La mauvaise humeur sont déjà suffisamment présentes. [00:54:26] Speaker C: C'est ça, il ne faut pas en rajouter. [00:54:30] Speaker A: Alors nous, nos followers, ils sont gentils aussi, c'est juste gentil. [00:54:32] Speaker B: Commandent ce pas follower ? Non, malheureusement c'est un problème. [00:54:35] Speaker C: Et donne pas d'argent aussi ? [00:54:37] Speaker A: Non, mais ils font pour notre visibilité sans le vouloir et c'est très bien l'interaction ça fonctionne. Bon, des fois c'est vrai que c'est un peu particulier. [00:54:44] Speaker C: Vous continuez d'être des sacs à main, continuez, soyez gentil aussi. C'est cool. Un peu de paillettes, c'est bien. Je vais poser une question. Tu as quel âge ? C'est un peu particulier, mais c'est juste. [00:54:54] Speaker A: Pour faire la différence. [00:54:55] Speaker B: Moi j'ai 40, quatre ans. [00:54:56] Speaker A: Ans. On n'est pas si loin que ça. Non, ça dépend ce que tu t'appelles. Loin, pas loin. Je suis un peu plus au dessus. 30 ans. Globalement tu es beaucoup plus jeune, donc 31 et neuf mois. Oui, mais on n'est pas si loin. [00:55:09] Speaker C: C'est quand même très très jeune. C'est quand même beaucoup plus jeune. C'est une autre génération déjà. Enfin génération quatre, 20, 10. Tu es né avec des outils, donc c'est pour ça aussi que tu as peut être choisi ce mode de communication. Ouais, d'une certaine façon. En fait je suis parti sur TikTok, la base, au tout début de l'émission. Je me suis amusé à rechercher la toute 1ʳᵉ c'est le côté en fait simplicité, ce côté très spontané qu'on peut avoir de l'outil. Au début je voulais me lancer sur du YouTube ou autre. Mais le niveau de qualité attendu aujourd'hui est tellement énorme que ça me faisait un peu peur. Et même encore aujourd'hui, j'ai une vidéo. [00:55:39] Speaker A: Qui attend depuis un mois d'être montée. [00:55:40] Speaker C: Je l'ai toujours pas touchée. Mais ce côté, voilà, très. Ouais. Très instantané, surtout très concret, on va dire juste. Tu prends ton téléphone, c'est parti, ça part, et. Hyper agréable. Et tu n'en vis pas, non. Comme tous les gens qu'on reçoit. Alors pour le coup, c'est une question qu'on me pose souvent en Ah, mais. [00:55:49] Speaker A: Attends, mais tu as un job à côté, alors. Non, ça, c'est un hobby que j'ai et que j'adore. [00:55:53] Speaker C: Mais par contre, oui, j'ai un travail qui me donne de l'argent et qui me fait des pattes dans les assiettes. C'est vachement cool, ça, c'est vraiment une passion, parce que du coup, tu te rajoutes ça en plus de tes horaires. C'est ça, en plus de mes deux taffes à côté, dans l'événementiel et en informatique. Mais petit à petit, toujours plus. Mais du coup, petit à petit, par contre, ça commence à se professionnaliser. Ou du coup, des groupes ou des. [00:56:12] Speaker A: Labels viennent me voir en me disant voilà, on aimerait bien une vidéo. C'est quoi, tes budgets ? Comment tu fonctionnes ? Donc ça commence à se devenir un peu plus pro et un peu plus cadré, ce qui me plaît aussi, d'une certaine façon, tout travail mérite salaire. [00:56:23] Speaker C: Exactement. [00:56:23] Speaker B: Il y a aucun souci là dessus. C'est. [00:56:25] Speaker A: Il faut arrêter, comme on dit, à chaque fois. C'est vrai que, en France, on n'ose pas trop parler de ça, mais ça, je veux dire, vous avez besoin de manger aussi. Donc il y a un moment, quand on fait du boulot, un concept sympa à manger, voilà. Pouvoir dormir aussi à l'abri, c'est important. Accessoirement, c'est cool. Ouais, mais voilà. Donc c'est. Non, mais c'est cool. Je te souhaite en tout cas que ça continue comme ça, parce que ça ne fait que monter et tout est très agréable. On avait déjà. Enfin, j'avais pris ta connaissance de. [00:57:02] Speaker B: C'était Kelly, qui est chez nous, qui. [00:57:03] Speaker A: Fait les chroniques Asie. Elle adore. Et puis après, du coup, avec Super tartelette, tout à fait ce petit crew. [00:57:09] Speaker B: De gens très, très gentils, toujours et très bon ami, comme quoi les jeunes sont mieux que les vieux. [00:57:15] Speaker C: Encore globalement, vous tirez dans les pattes, tous les vieux. Là, on a une. Quand on était ado, tout était agressif, donc on a gardé un petit peu de cette merde vestige des années quatre, 20, 10, où il y avait les clans. Maintenant, c'est tant mieux. Tu écoutes autre chose que du métal ? Un petit peu. Ça peut aller, par exemple, sur de la BO de films, tout ce qui va être un peu symphonique. Ça peut aller sur du seigneur des anneaux, du Game of Thrones ou autres. Et de temps en temps, un petit peu de jazz peut arriver. Et sinon, pas mal d'électro, un peu. Tout ce qui va être techno hard notamment, ou techno industrie bastonne. Ouais. Soit il faut que ce zweitausendein soit au contraire très calme. Ça dépend. En fait, chaque musique a, on va dire, son utilité d'une certaine façon. Tout ce qui est. [00:57:51] Speaker A: Bost, ça va être vraiment. Quand je vais être dans ma bulle, en train de bosser sur des trucs écrits, et par contre, dès que je. [00:57:59] Speaker C: Bosse tous les jours, c'est. Il faut que ça bastonne. Il faut que je me mette dans ma bulle bien agressive et je suis bien. Ça te met dans ta bulle, c'est quoi. Ça te tient en vie. J'ai envie. Ça te fait tenir un rythme. C'est plus au delà du rythme. [00:58:10] Speaker B: C'est ce côté bulle, en fait, de. [00:58:11] Speaker C: Concentration, où vraiment ça me coupe du reste. Et quand j'ai mon casque et ma musique, c'est. Je peux produire, je peux être créatif. Et zweitausendeinundzwanzig, je peux y aller, quoi. Ça me met vraiment dans un funèle instantané. Et même avec du métal, tu arrives à rester concentré. Bah, ça me crée cette bulle, justement. En fait, c'est. T'entends plus les cons ? Non, mais tu vois, tout à l'heure, on parlait d'asmr. [00:58:27] Speaker B: Certains ont besoin de bruit blanc, par exemple, pour s'endormir. [00:58:30] Speaker C: Moi, j'ai besoin de métal pour me concentrer. Par exemple, si je suis dans un open space, je vais pas me sentir bien, parce qu'en fait, je vais me concentrer sur tous les bruits autour de moi. Et ça me permet vraiment de. J'ai vécu aussi, et j'avais la même technique. Voilà. [00:58:42] Speaker A: Et c'était parti de là, justement quand j'ai commencé à bosser sur Paris, gros open space, en plus dans l'événementiel. Donc ça gueule de partout, dans tous les sens. Tu as besoin de faire ta bulle. Et là, je rentrais dans mon monde pendant 8 h par jour, et c'était parti le problème de l'open space. J'ai eu cette discussion aussi, avant de revenir ici. On était en train de dire que c'est bien, l'open space, parce que tout. [00:58:58] Speaker C: Le monde est en contact, mais il. [00:59:04] Speaker A: Y en. [00:59:07] Speaker C: A certains qui bossent pas en même temps que les autres, donc. [00:59:10] Speaker A: Du coup, ça part un peu en cacahuète. Et c'est vrai qu'il faut réussir à se concentrer. [00:59:13] Speaker B: Et si tu es as tendance, un petit peu, à être distrait facilement. Oui. [00:59:17] Speaker D: Voilà, c'est. [00:59:17] Speaker B: Ça aide pas. Ÿousand moustique. [00:59:19] Speaker A: Non, mais c'est ça. C'est. Au moins, tu te mets dedans et c'est parti, quoi. Ok. Bon. Peut être que les gens aussi ont des moyens comme ça de dites dans le shmul ce que vous utilisez. Quelles sont vos techniques pour survivre aux 8 h de boulot quotidienne ? Quand j'étais à wifm, moi. Alors moi, il me faut pas de musique. C'est vrai qu'il faut vraiment un silence pas possible. Donc l'open space, c'est mort. Mais il faut que je sois dans le noir aussi. D'accord ? [00:59:39] Speaker C: Pour être concentré. [00:59:39] Speaker A: Non, mais c'est ouf. [00:59:40] Speaker B: C'est un vrai problème. [00:59:41] Speaker A: Je. [00:59:41] Speaker B: [Sos/Eos] peut être que je suis bête, je n'en sais rien, mais c'est juste. Il faut que je sois dans le noir, parce que je peux me d'un secours. Être distrait d'un truc de merde, genre. [00:59:55] Speaker C: Une prise électrique, parce que je vais la regarder. Je comprends. Dans une certaine mesure, je suis beaucoup plus productif la nuit, moi. C'est aussi parce que le monde autour de toi ne vit plus au même. [01:00:04] Speaker A: Rythme, et tu n'as plus autant de sollicitations, de diversion, en fait, que tu as dans la journée. Exactement. De toute façon, j'ai jamais été aussi productif que de 20 2 h à 1 h. 2 h de la musique, une petite. [01:00:16] Speaker C: Boisson, et ça part. Je te produis en deux jours, direct. C'est parti. Bon. Moi, ça, j'ai jamais été efficace. Donc de toute façon, ça change pas grand chose. C'est un problème, ça. Tu as commencé à écouter des musiques extrêmes, du métal, à partir de quel âge tu as rencontré cette musique ? Comment, alors ? Deux niveaux de question. Je dirais que j'ai commencé à écouter. Je dirais, V. Mes 11, 12 ans, à peu près. Mais le comment c'est arrivé, c'est. Dans ma famille, on n'est aucun métalleux. C'est vraiment pas parti. J'ai pas les belles histoires de musique. Justement, j'y arrive. C'est. J'ai pas cette belle histoire de mon grand père qui écoutait, je sais pas, du AcdC ou autre. Non. Il n'y a pas. Par contre, avec une maman qui écoute dalida dans la voiture. C'était compliqué aussi. Mais par contre, mon beau père a passé sa vie à écouter RTL à la radio, et donc du coup a commencé un petit peu avec du rock, donc du red dead chili paper, avec également un petit peu, vraiment du pur classic rock. Et surtout l'album de U en boucle pour aller en vacances, boucle. Mais c'est ce qui m'a mis un petit peu sur cette route, gentiment, mais sûrement. Et ce qui m'a fait. Le déclencheur, c'est un film d'art de. [01:01:19] Speaker A: Ville dans lequel tu as Eva naissance et Linkin Park. Et ça a été ma porte d'entrée. Donc j'étais en 6ᵉ à l'époque, sur du un, trois, quatre du numéro in the end pour Linking Park. Et du coup, tout ce qui va bien sur le côté Vanessa ou avec. [01:01:33] Speaker C: Toute la BO qui est dessus, en fait. Et ça t'a apporté quoi ? Enfin, quand tu as découvert ça, ça t'a apporté zweitausendein, ça t'a excité, tu t'es dit c'est différent, j'ai l'impression que personne n'écoute ça, donc j'ai envie d'écouter ça. Il y a eu. En dehors du son, c'est l'émotion que ça t'a procuré, ou l'envie ? L'émotion, je pense. Ça a été une grosse claque dans la gueule déjà. Et ce côté un peu. Quand tu es gamin, tu vois des super héros, tu vois de la musique assez héroïque, justement, qui passe derrière, tu te projettes assez vite dedans, et du coup c'est. J'ai vraiment aimé cette musique très énergique, très violente, justement d'une certaine façon, façon, et qui du coup était dans ma tête, qui était pour moi, j'avais déjà un petit peu. Ce côté de. Ça me met dans ma bulle. Et du coup, quand j'étais gamin, 6ᵉ. [01:02:14] Speaker A: 5ᵉ, j'avais, tu sais, les petits MP là, que tu mettais en clé usb, c'est simple, c'était Bring me to life, Immortal in the end, Break in the. [01:02:21] Speaker B: Habit, qui tournait en boucle, en boucle, quand j'avais la tête posée dans le bus aller retour pour aller au collège, c'était. C'était la maison, quoi. Ah ça, le bus, les transports en commun, voilà ce moment où effectivement on a envie d'être enfin tout seul, parce. [01:02:34] Speaker C: Que la journée a été ÿousand compliqué, c'est ça, surtout au collège. [01:02:36] Speaker A: C'est intéressant l'exemple de Daredevil, justement avec. [01:02:37] Speaker B: Les BO de films à l'époque, qui donnaient beaucoup dans le. Dans le métal, le rock alternatif et tout. Je crois que c'est pas d'où c'est parti. Peut être de the Crow, un truc comme ça. The crow, on avait un petit peu. Ouais, tout à fait. C'était toute une série de films. Alors lequel était le 1ᵉʳ ? Je ne sais pas lequel a été le 1ᵉʳ gros à faire ça, parce. [01:02:55] Speaker A: Que the Crow, il y a eu Matrix, et puis ensuite. Après tu as eu les Marvel de l'époque, donc Daredevil. Il y avait the Punisher aussi. Je crois qu'il y avait beaucoup de new metal, etc. [01:03:06] Speaker B: Dans sa BO. Ça sortait des disques et ça faisait. [01:03:10] Speaker A: Des compilations avec beaucoup d'artistes en fait, que tu pouvais mixer, mélanger avec de. [01:03:13] Speaker C: L'Électro ou du rap. [01:03:16] Speaker A: Il y avait eu. Je sais plus. Merde. Bon c'est pas grave, ça va peut être revenir. Si vous avez le nom, n'hésitez pas dans le Shmul, parce que. [01:03:25] Speaker C: Il a rien dit, mais si vous trouvez, allez y. Je vois le masque, mais je vois pas le. Vois plus le nom. Spawn. Ah, Spawn. Incroyable. Incroyable. Je m'en suis sorti. Alors excuse moi si tu as le droit de pas répondre aussi à certaines questions, n'hésite surtout pas. Le collège, donc c'était une période difficile. Bah je pense, pour le coup, tous ceux qui aujourd'hui qu'on rencontre, qui sont du métal, je pense, ont eu des moments pas simples à un certain moment de leur vie. C'est vrai que ça. On parlait tout à l'heure de ce côté bulle. Alors on a parlé travail, on a parlé trajet. Et c'est aussi ce qui m'a permis. [01:03:51] Speaker A: De rencontrer mes 1ᵉʳˢ proches d'une certaine façon. Mais zweitausendeinundzwanzig 1ᵉʳˢ, on va dire vrais amis, parce que du coup j'étais vraiment le gars habillé tout en noir, au. [01:03:57] Speaker C: Fond de la cour, à jouer aux cartes Magic et à la Gameboy. Donc vraiment le bon stéréotype de. Voilà, on dit, on était bien, c'est cool. C'est cool pour toi, c'est cool. Enfin je veux dire, quand on le voit aujourd'hui, c'est cool. Après c'était peut être pas cool pour les autres de l'école. Bah ça c'est un autre sujet. Mais après tu as ce côté où. Ça m'a permis de rencontrer un ami qui était très fan de Linking Park justement à l'époque. Et c'est l'année où est sorti Minute to mid act, ce qui a apporté son lot de controverses. Dans le métal. Mais ça m'a permis de me rapprocher de cette personne, puis écouter du bon gen, sein fall. Donc découvrir un peu plus tout cet univers. Et des années plus tard comment tu avais ce côté métal. Mais aussi tu avais tous les magazines, donc les Roc one etc. Et autres, avec plein de stickers. Et du coup chaque année en fait j'avais mon petit agenda avec tous mes stickers mis de partout. [01:04:41] Speaker A: Puis en 1ʳᵉ je m'assois, puis un mec fait Hey, il est cool ton agenda, tu viens, on mange ensemble, machin. [01:04:48] Speaker B: C'était il y a 15 ans et. [01:04:49] Speaker A: Aujourd'Hui c'est le père de ma filleule, donc du coup c'est. Voilà c'est ce genre de petites choses, donc c'est plus. Plutôt très cool. Ouais. [01:05:00] Speaker C: Donc ça va apporter pas mal de choses. C'est le 1ᵉʳ à nous parler du fameux carnet où tu colles. Tu mets les stickers où tu dessines les logos des groupes que tu aimes. Exactement. [01:05:07] Speaker A: Je classeur, je refaisais les logos effectivement au stylo, bon, très mal parce que je dessine comme une chiasse. [01:05:11] Speaker C: Mais là j'étais pas mieux. [01:05:12] Speaker A: T'inquiète pour ça. [01:05:14] Speaker C: Tu vois c'est vraiment. J'attendais le requin. [01:05:16] Speaker A: C'était genre la grande planche de stickers. [01:05:19] Speaker C: C'Était un peu le tetris de. Comment bien tout recouvrir comme ça tu es. [01:05:24] Speaker A: Parce queon est différent évidemment. Je mettais des trucs de bière et ma mère me disait aïe aïe aïe aïe. Ah ouais non, là c'est un autre. Pourquoi tu avais des bières ? J'étais en quand même. Oui enfin bon, à 12 ans on ne jugera pas. La colle est danger pour la santé polonaise. Ah, la vodka forcément. Non mais c'est vrai qu'on parle pas de ça, de tous ces trucs. Alors moi dans mon collège j'ai eu de la chance. Al moi ça vient de la campagne, du sud, donc c'est un peu particulier, mais il y avait quand même. C'était les années quatre, 20, 10, donc il y avait du rock partout. Oui c'est vrai que j'ai pas eu ce côté où c'était difficile de rencontrer des gens qui écoutent du rock ou du métal. [01:06:00] Speaker C: Alors effectivement c'était plus Texas U, les Cure, Nirvana of Spring, Blink, des trucs comme ça. Que du gros métal, mais ça reste quand même plutôt cool. Les gens après ils te font découvrir d'autres choses, ils te disent ah ça j'aime pas. Du coup tu vas écouter et puis tu trouves ça cool. Tout à fait. C'est vrai que c'est vu que c'est des périodes collège lycée, tu as toujours ce côté un petit peu on va dire qu'est ce qui doit être à la mode ou qu'est ce qui est pas à la mode ? Et toi du coup, bah tu es à part parce que tu écoutes quelque chose de différent, donc forcément ça marche pas. [01:06:21] Speaker A: Mais petit à petit tu arrives à rencontrer des personnes qui du coup sont dans la même capsule que toi finalement, et tu arrives à créer vraiment des liens, à dire oui, c'est bon, je suis pas tout seul, je suis pas bizarre, c'est. Non, juste nous qui aimons ce que nous aimons, tout simplement. Et c'est vachement cool. Est ce que c'est une musique qui. Alors attention. Je sais, à chaque fois je le pose. [01:06:40] Speaker C: Mais est ce que ça te permet justement d'expulser toute la. Je dis souvent le mot aide, mais c'est peut être pas le bon mot. Mais là oui, la noirceur, le négatif, le moment zweitausendein où dans ta tête tu dis ouh, lui je vais l'éclater. Mais non, ça ne se fait pas. Je vais écouter un peu de métal. Je n'ai pas ce côté violence du tout par contre, là où je peux en écouter, c'est quand je vais être, comment dire. J'ai pas trop de soucis à être social, à rencontrer les gens, être dans des gros événements, et j'ai pas de souci. Par contre il y a un moment où ta jauge sociabilité, c'est un peu compliqué. Et c'est ce côté plus décompression en. [01:07:14] Speaker A: Fait, où j'ai besoin, un peu comme un exercice de méditation, juste que ça. [01:07:17] Speaker C: Ça passe et je repars à zéro et que ça se remette bien quoi. C'est plus dans ce côté relaxation finalement, où un peu comme tu me disais tout à l'heure, est ce que tu. [01:07:25] Speaker A: Arrives à te concentrer ? Bah là pareil, ça m'aide à me poser en fait. Non, ça aussi c'est vrai, on en a jamais parlé de ça non plus. En plus il y a eu des articles sur le côté santé mentale, du. [01:07:35] Speaker B: Fait que les métalleux ont des très. [01:07:37] Speaker A: Bonnes santé mentales, justement, pareil, pas mal d'études qui sont. Vu comme ils sont tristes, globalement, ils sont toujours là. Donc c'est vrai que. Aide à tenir, il y a quand même beaucoup. [01:07:47] Speaker C: Enfin, l'humain globalement est quand même en ce moment. Enfin l'occidental peut être plus que le reste, je ne sais pas, surtout l'occidental, parce que c'est ce qu'on connaît le mieux. Oui, peut être. C'est un long débat. C'est un très, très long débat. Tu as déjà eu de. Des gens qui t'ont traité de gothique ou pas ? Parce que comme tu t'habilles en noir. [01:08:04] Speaker A: J'Ai pas forcément eu cette partie là. Par contre, ce côté plus. C'est plus le. [01:08:09] Speaker C: Le côté incompréhension, on va dire, d'une certaine façon où justement, encore une fois, tu rentres pas dans le moule. Donc pourquoi tu ne rentres pas dans le moule ? Et ce côté un peu pointage de doigts qui arrive un petit peu assez naturellement, on va dire pointage de doigts ou curiosité. Pas que tu sois une curiosité qui soit curieuse. Oui, oui. Non, côté curieux, en général, c'est les personnes qui sont un peu comme toi, finalement, et sur lequel tu vas pouvoir échanger parce que tu es la même personne qui aussi a ton jean qui. [01:08:32] Speaker A: Est troué avec tes vannes, avec ta smith flannel. Donc voilà la bonne mèche bien devant. [01:08:36] Speaker B: On y est tous passés. C'est plus là dire Hey, toi, on a l'air pareil. Ouais. Et les autres, finalement, tu te rends compte que ça match pas, mais c'est pas grave, c'est. Chacun a ses goûts et ses couleurs, et c'est comme ça. Bon. Nice, toi, tu t'habilles pas trop en gothique, donc on t'a jamais traité de. Non, j'ai jamais eu le. [01:08:53] Speaker A: Enfin, surtout pas à l'adolescence. J'avais un look qui est très. [01:08:56] Speaker C: Très casual, en fait, très normal. [01:08:59] Speaker A: J'ai pas. J'ai pas eu non plus de mèche. J'ai pas eu de temo, de trucs comme ça. Non, j'étais plutôt le. J'étais plutôt le random guy, on va dire. Et quand les gens découvraient que j'écoutais du métal, c'était. Tu écoutes du rock, toi ? On dirait pas. C'était vraiment la surprise. Tu sais qu'il y a ça aussi quand tu as pas envie forcément de. [01:09:15] Speaker C: Te grimer ou en tout cas de. [01:09:17] Speaker B: Porter des fringues qui correspondent à la. [01:09:19] Speaker A: Musique, parce que tu t'en fous, parce que tout le monde porte ce qu'il veut en vrai. Bon, ça, c'est la 1ʳᵉ des vérités. C'est des gens qui s'habillent très rock et qui n'écoutent pas du rock, ce qui est très à la mode en ce moment, d'ailleurs. Bah après, j'ai envie de dire repris. [01:09:34] Speaker D: Par la fast fashion. [01:09:35] Speaker B: Dans le rap, ils mettent beaucoup de trucs rock aussi. [01:09:37] Speaker A: Maintenant. [01:09:40] Speaker C: Il y a le côté gothique qui va. Ÿ mais ouais. Quand il découvre que quelqu'un écoute du rock, c'est toujours. Ou alors c'est oh, il nous a caché quelque chose. Il est peut être dangereux. Non, il y avait. Il y avait un peu cette surprise. Non, c'était pas. C'était pas ça. C'était plutôt en mode one of us. One of us. Tu as un peu les deux aspects. Et c'est pour ça, tu vois, sur la chaîne, tu parlais de bienveillance. C'est aussi ce côté là, j'ai voulu aborder. C'est en mode. Bah, t'aimes le métal ? Oui. C'est cool d'écouter du métal. C'est normal d'écouter du métal. Il y a. Tu peux t'habiller de n'importe quelle façon, juste si tu kiffes le son. Tu kiffes. Kiffe le son, quoi. Et certes, tu peux avoir le côté. [01:10:09] Speaker A: Un peu parfois ilitiste. Deux. Tu dois être dans quel cadre ? [01:10:12] Speaker C: Aussi sur certains habits. Bon, ça, c'est plus ancienne génération. Ça, ça va, mais pour le coup, c'est au contraire. Ouais. Habille toi comme tu veux. Et que tu peux être gothique, tu peux. Halte. N'importe quoi. Bah, tant que tu kiffes, toi, c'est cool, quoi. C'est juste kiff et c'est parti. Et puis on peut dire que ce. [01:10:25] Speaker A: N'Est que de la musique aussi. C'est. Alors c'est que de la musique. Oui. C'est qui peut avoir une part plus importante que d'autres dans la vie de certains. Mais oui, c'est ce côté. Parfois, il y a des gens qui mettent un peu des étiquettes un peu faciles, même si petit à petit, on commence à l'enlever. Donc ça, c'est cool. Tu as choisi des clips, puisque c'est. [01:10:44] Speaker B: Le but aussi de cette émission, regarder. [01:10:48] Speaker C: Des clips, découvrir un peu ton univers musical. Et le 1ᵉʳ morceau, donc, que tu m'as mis, c'est. Alors j'ai pas mis les petites informations. [01:10:55] Speaker A: Que tu m'avais donné en plus. [01:10:56] Speaker C: J'ai préféré juste mettre le nom du groupe. Il y a pas de souci. Bullet from a Valentine. Ouais. Avec Hand of Blood. Tout à fait. Ça remonte. [01:11:04] Speaker A: Ÿ travaille déjà. 2000004. [01:11:05] Speaker C: 2005, je crois. C'est. Ils arrivent au 20 ans de l'album, là, à peu près pour justement le concert qui feront en janvier, on y arrive. Et ils font un concert en France. Ils font un concert en janvier. Ils avaient fait une tournée prévue. Une tournée en Angleterre, puis en France pour fêter les 20 ans, justement de. [01:11:22] Speaker B: The Poison, leur 1ᵉʳ album, qui font. [01:11:24] Speaker C: Combo avec Trivium, du coup, qui est fait aussi les 20 ans de leur album. Ah ouais. La date de concert en plus. C'est ça. Puis c'est vrai que ça, on le. [01:11:32] Speaker A: Voit beaucoup en ce moment, des groupes. [01:11:34] Speaker C: Qui font des tournées en mode on fait tout l'album. [01:11:37] Speaker A: Par exemple, Green Day pour American Idiot. [01:11:40] Speaker B: Ou dernièrement aussi Mastodon et. Mastodon et Lamb of God qui ont. [01:11:43] Speaker A: Tourné ensemble exactement au Block Party pour Silent Part, qui avait très bien light. Silent Alarm, pardon, qui avait très bien marché. Bah là, pareil. Du coup. [01:11:52] Speaker C: C'est cool, ça. [01:12:02] Speaker A: Il va. [01:12:02] Speaker C: Un sacré paquet de vieux là dedans. Ah oui. Bon, des trentenaires, en tout cas, il. [01:12:05] Speaker A: Y en aura des. Parce qu'à l'époque, ces groupes là, les vieux disaient non, c'est de la merde. C'est pas. Alors moi, je n'ai jamais été. [01:12:12] Speaker C: Moi, tu sais, quand j'étais la caution. [01:12:13] Speaker A: À wifm, j'avais une mèche aussi, comme ça, blonde. Je faisais exprès de tomber. Je fais le malin pour dans 10 ans, tu vois, quand j'aurai plus rien, tu feras. Tu en auras forcément plus que moi. C'est pas le. Mais je. [01:12:24] Speaker C: Je. [01:12:24] Speaker A: J'aime bien. Ça me fait rire. [01:12:25] Speaker C: Bon. [01:12:25] Speaker A: Je vais pleurer. Après, dans ma chambre, je vais me faire tacler. Surtout, je vais. Je vais non, non, c'est ça. Non, je suis pas comme ça. Mais j'aime bien qu'on me. Qu'on me taquine. Donc ça va, mais bonne forme. Donc je voulais dire ça. Donc j'avais une mèche et j'étais la caution. Un peu émo. On me disait non, mais il faut que tu parles des nouveaux groupes, parce que nous, on n'aime pas. C'est de la merde. Et donc du coup, toi, tu peux en parler parce que tu es plus jeune et que tu dois écouter ça. J'étais là bah non, mais bon, c'est pas grave. Et du coup, j'avais dû me renseigner. [01:12:51] Speaker C: Je les avais fait interview incroyable. [01:12:52] Speaker A: Et j'avoue que ça s'était assez mal passé et que du coup, j'ai gardé ça. Alors peut être qu'ils ont changé. J'avoue que je me suis pas renseigné, puis bon, c'est pas très grave non plus. Fait partie de l'expérience. On rencontre des gens. Des fois, ils sont bien, des fois ils sont pas bien. Bon, c'est comme ça. Sur le moment du groupe, tout est possible. Oui. [01:13:22] Speaker C: Et puis c'était. Ça a explosé. [01:13:23] Speaker A: Ça a eu un gros, gros succès. C'est à dire quand même. [01:13:25] Speaker B: C'est dans la fusée, quoi. [01:13:28] Speaker A: C'est. Voilà. Dans tous les sens du terme. Donc du coup. Du coup, j'avais eu une mauvaise expérience. [01:13:33] Speaker C: Ÿousand, et je pouvais plus écouter. Je peux après. C'est vrai que quand tu passes du B from Valentine en soirée, ça marche systématiquement. C'est pas ça, la Jimmy Oui, oui. Non, c'est pas ça. Je sais bien, mais un peu plus vénère. [01:13:42] Speaker B: Tu dis quoi ? J'écoute des chansons douces. [01:13:45] Speaker C: C'est pas parce que j'aime bon Jovi que tu dis ça. [01:13:47] Speaker B: Fan de Bon Jovi ? J'avoue qu'à l'époque, par contre, où j'étais. [01:13:52] Speaker A: À la campagne chez mon père, c'était l'une des chansons qui est tournée en boucle, Tears don't fall. Je reconnais que. [01:13:56] Speaker C: Elle est bien, cette chanson. Elle est très bien. Elle est très bien. Tears don't fall all day things i hate. Ah oui. Ah bah là, on était dans l'émocor. On était bien, quoi. C'est le metalcore. Le versant gentil du metalcore. Cette chanson, je la connais pas, du coup. J'avoue que je me souviens pas de tout ce qu'ils ont fait. C'est pourquoi cette chanson en particulier, alors ? Pourquoi cette chanson dans le sens où. Bah, on parlait justement de Tears Fall, qui est l'une des plus connues, donc je voulais taper un petit peu ailleurs et je trouve que c'est une où ils se sont un peu démarqués plus. [01:14:19] Speaker A: Sur leur côté technicité, finalement, sur le côté un peu plus violence que sur. [01:14:25] Speaker C: Le côté où justement, on parlait un peu du côté, on va dire, émo de l'époque, qui a pas mal été. [01:14:30] Speaker A: Représenté, bon, par plein de chansons, mais. [01:14:32] Speaker C: Notamment par celle là. Donc c'était partir sur le côté un petit peu plus, on va dire, technique pur et dur, qui est hyper cool en concert. Ouais, ouais. Je me souviens plus si je les ai vu, pour le coup. C'est à recommander. C'est un. C'est une séance de sport, par contre, hein. Tu. Tu ressors tes. [01:14:55] Speaker B: Ils sont passés à l'Olympia, là. Ils sont passés à l'Olympia le 31 janvier 2020. [01:14:58] Speaker A: Trois. Le jour de mes 30 ans. [01:15:04] Speaker D: Donc c'était parfait. [01:15:04] Speaker C: C'était parfait. C'est le 1ᵉʳ groupe que j'étais allé voir en concert à l'époque, donc c'était génial. Ah ouais ? Tu les avais où ? J'avais vu à Lyon, au radion, dans une salle qui à la base était exactement le Lyonnais. C'est ça. Je m'y suis produit quelques fois. J'étais à l'école de musique Ÿousand, qui était juste en dessous toi, aussi. Enfin parlez vous. On va faire une petite thérapie en direct. Mais justement tu vois quand tu parlais d'où venait un peu la musique, c'est venu aussi de là. Aussi où certes j'avais pas une famille métal, mais par contre famille assez dans la musique ou pour le coup un grand père très passionné de piano, pareil ma tante. Et en fait tous mes cousins et moi étions au solfège. Donc solfège à l'école de musique de. [01:15:38] Speaker A: Caluire, plus instrument et du coup au radiant. Alors à l'époque où j'avais pas mué, j'étais solo. [01:15:43] Speaker C: Encore, encore, à chaque fois à ce moment là. Et quand un an plus tard je me retrouve dans la scène et pas. [01:15:48] Speaker A: Sur scène avec bullet en face, je suis là waouh. [01:15:51] Speaker B: Je me suis dit attends, c'est quoi ? [01:15:54] Speaker C: Erreur 404 dans la matrice. [01:15:55] Speaker A: Il y a un truc qui va pas, non ? Ça peut être une continuité. [01:15:58] Speaker B: Il n'y a pas de ça. Ça peut avoir un lien. Il fallait bien commencer par quelque chose. [01:16:03] Speaker C: Exactement. [01:16:03] Speaker B: Et c'est parti de là. Ça a vraiment été la grosse claque qui a enchaîné quoi. Je la connais pas cette salle moi. C'est radiant. Une bonne salle vraiment assez polyvalente. [01:16:11] Speaker A: Tout à fait. [01:16:13] Speaker C: Puis ça le pos. [01:16:14] Speaker B: Tout peut. [01:16:15] Speaker A: Tout peut. [01:16:18] Speaker B: Arriver. C'est à dire toutes les musiques. [01:16:22] Speaker A: Peuvent y passer. Bah même des concerts. Mais il passe pas que de la musique. Il y a par exemple des spectacles, il y a du théâtre, il y. [01:16:32] Speaker C: A des spectacles du humoriste. On rappelle avoir vu Alexandre Astier là bas. Enfin tu vois un petit peu l'étendue de ce qui peut. C'est grand comment ? Alors là, combien de spectateurs ? Je saurais pas dire. Salle moyenne quoi. Ça fait une cigale pour une belle salle. [01:16:44] Speaker B: On leur fait des bisous si ils tombent sur ce petit passage. [01:16:46] Speaker C: Bravo à vous et continuez. [01:16:48] Speaker A: Si j'espère que ça existe encore quand même. Oui, oui ça existe encore. Parce qu'en fait c'est lié justement l'école de musique et du coup qui est comme tu disais bah juste à côté et souvent quand tu fais tes cours que soit instrument haute, bah après tu. [01:16:57] Speaker B: Finis là bas pour les auditions et c'est parti. Les auditions, les spectacles de fin d'année, tout ça ça se passe exactement, ça se passait tout là bas. Je sens que tu as des trucs à nous raconter. On en parlait en antenne. On va regarder quand même ce clip puisque c'est quand même aussi un principe de se faire une petite pause, un. [01:17:14] Speaker C: Petit bullet form Valentine. On va monter le son ici pour que tu puisses kiffer. Morceau que j'aimais bien aussi à l'époque. [01:17:19] Speaker A: C'est un de ceux que, au lycée, j'avais le plus écouté. Ça faisait. [01:18:17] Speaker E: Partie de mes 1ᵉʳˢ morceaux, un bullet form à Valentine. C'était parmi mes 1ᵉʳˢ groupes avec du chant. Scrimé avec switch engage, ce genre de choses. Et end of blood. Je me rappelle du riff un peu trachouille qui était sympa. C'est vrai qu'il est très sympa à prendre à la gratte. [01:25:46] Speaker A: Quand tu commences un petit peu à passer là dessus. C'est trop cool. Et Ben on regarde ça tout de suite. Feu. [01:25:53] Speaker B: My life is for me i saw. [01:25:56] Speaker C: You love the way ÿousand bang bang take it to the grave run it. [01:26:02] Speaker A: The spark you let the flame circle. [01:26:05] Speaker B: Me once it burn into you the. [01:26:07] Speaker A: Only protection i lie on the storm world and until the night when you cry right there on vous l'a dit, on n'a pas menti. [01:26:14] Speaker E: Voilà. [01:26:14] Speaker A: On a envie de. [01:26:22] Speaker B: Passer son gras. [01:26:23] Speaker A: Ça on aime. [01:26:25] Speaker B: Ah Ben voilà. [01:26:26] Speaker A: Philosiste. Ça fait toujours faire des étirements. Ah bah oui. Ça c'est bien le côté un peu de chocfest. C'est bien là que je connaissais pas non plus. C'est plutôt cool. Silosis. Je vois ton regard là, tu fais pas. Il est pétillant là. Tu es en mode en tout cas. Voilà, ça c'était le dernier clip. Ça s'appelle the Path, avec Debbie Goose. [01:26:39] Speaker B: De la semaine dernière d'ailleurs. Je croisis. [01:26:42] Speaker C: Non, Herriot. [01:26:42] Speaker A: Ah oui bah ça on en avait parlé de l'arrivée d'un album. Ouais bon, de toute façon vous avez qu'à faire vos recherches. De toute façon vous savez tout. En vérité, je sais même pas pourquoi on donne des informations. [01:26:56] Speaker C: Parce que les gens savent tout. [01:26:58] Speaker A: On est là vraiment pour dire des bêtises. Sauf toi évidemment, parce que t'as des lunettes. [01:27:02] Speaker C: Je suis là pour le côté cervelle. Mais bon, je me pervertis de plus en plus. [01:27:04] Speaker A: Vous me salissez M. Jalazac. Vous me salissez ce genre de musique. Ouais. T'aimes bien ? Ouais. Parce que quand même, quand. [01:27:14] Speaker C: On le voit comme ça, on sait pas en. [01:27:17] Speaker A: Fait que tu écoutes des trucs si violents. Ÿousand non, ça qui est cool parce que tu écoutes des trucs bien plus violents que ça aussi. Oui. Et là quand j'ai dû faire une sélection, je fais attends, on va trier un petit peu quand même. Parce que moi j'écoute. En fait, c'est moi qui écoute les trucs les plus. [01:27:34] Speaker B: Les plus commerciaux, les plus simples. Moi j'ai rien dit, je bois mon coca. [01:27:38] Speaker A: Non, mais c'est parce que moi j'ai toujours écouté. C'est vrai, j'ai rarement, je suis rarement parti dans les musiques vraiment extrêmes, etc. D'ailleurs, pour ceux qui sont vieux et qui m'ont connu à. Oui FM, quand j'écris Bring the noise, il y avait. Le violent arrivait plus tard dans la soirée lorsque j'avais pris quelques bières, normal. Je me souviens quand Maxwell était venu et que vous aviez un peu débattu sur Morbid Angel. Oui, oui, oui, on est capable. Oui, non, bien sûr, mais je. Ouais, enfin attention, c'était quand même très limité aussi. On était pas parti dans des. Mais je suis toujours épaté, moi de. Pareil que ce qu'on disait tout à. [01:28:05] Speaker C: L'Heure en fait, de voir les. Les gens qui écoutent cette musique alors qu'on ne pas l'imaginer. Et en fait il y en a beaucoup parce qu'en France, c'est une vérité, on dit il n'y a pas le public. Mais si, il y a un public, il y a le Hellfest. Donc de base. Et puis il n'y a pas que le Hellfest, il y a tous ces festivals, il y en a de plus en plus. C'est exactement ça. On est énormément de métalleuses. C'est juste qu'en effet, il y a certains événements qui sont plus, on va dire médiatisés que d'autres. Mais c'était l'année dernière, j'avais essayé de faire justement une mise en avant de tous les fest métal de France. Je m'étais retrouvé à plus d'une cinquantaine d'événements entre juin et septembre dans toute la France. [01:28:41] Speaker A: Alors ça va du festival à 200 500 personnes jusqu'au Hellfest qui. Ok, explose tout avec 60 10000 personnes, quelque chose il me semble. Comme ça. Ouais. Non, une petite garden party, tu vois, un petit truc. Mais voilà, il y a vraiment de tout pour tous les goûts. Avec certains événements qui étaient spécialisés ou non, donc il y a vraiment de quoi faire quoi. C'est juste que c'est pas forcément médiatisé. Est ce que. Alors, c'est pas médiatisé ? Oui. Après est ce que j'ai une question, je la pose aussi aux personnes qui nous regardent. Les métallos, moi je les trouve attention, je vais me faire défoncer. Je les trouve un peu trop pointilleux. Lorsque tu fais une petite erreur ou quoi que ce soit, ils aiment bien corriger. Donc pas qu'ils veulent étaler leur science, je dis pas ça, mais c'est juste que. Ils sont tellement à fond dans ce. [01:29:22] Speaker C: Qu'Ils écoutent parce que je pense que ça leur a apporté beaucoup que en fait ils sont. Ça peut être assez. On peut se sentir agressé, c'est pas forcément le cas, c'est pas forcément la volonté, mais on peut se sentir agresser. Et du coup ils évitent peut être les médias aussi. Alors est ce que c'est parce que les médias n'en parlent pas ou est ce que c'est parce que eux de toute façon ne le regarderaient pas ? Je pense tes différents sujets, tu as déjà le point de vue que pendant aujourd'hui beaucoup moins, mais à une époque quand même beaucoup. Le métal restait aussi très niche, c'est pas forcément quelque chose. C'était très underground, c'était vraiment le style un petit peu fait à droite à gauche là. Aujourd'hui ça a énormément explosé, notamment avec le hellfest, avec énormément de médias qui le mettent en ÿousand avant etc. Donc ça a pas mal bougé après le côté est ce qu'ils veulent pas voir pour pas qu'il y ait d'erreurs. Je pense pas. Je pense qu'après tu peux avoir en effet un événement très perso peut être certains Metalhead qui aiment bien avoir leur cocon qui reste dans leur cocon et. [01:30:14] Speaker A: D'Autres qui au contraire sont hyper contents, dont moi perso, de voir ce style. [01:30:17] Speaker C: Là qui comme tu disais est un peu stigmatisé finalement, s'ouvrir au grand public et ça fait du bien aussi en disant non, c'est pas. C'est une musique comme toutes les autres, elle est juste différente avec ses codes. Et il y a de tout simplement et même dans le métal. Tous on a des affinités sur les 50 60 styles différents. Oui, c'est ça. [01:30:34] Speaker A: En plus c'est vrai que c'est une famille, voilà. C'est très divers et varié. C'est immense quand on revoit la instant pub. Mais la fresque de Fortifm qu'il a fait pour la Philharmonie de Paris, qui est magnifique, je voulais la ramener à la maison. Mais ça va dans tous les sens et t'as plein de styles en fonction. [01:30:44] Speaker B: De ses affinités et ça va du très calme au un peu plus violent. [01:30:49] Speaker C: Et puis voilà c'est tout. [01:30:50] Speaker B: C'est vrai, c'est vrai. C'est vrai que. Il y a beaucoup, beaucoup de familles. C'est peut être pour ça qu'en fait. [01:30:57] Speaker A: Il y a beaucoup de métallo dans tous les pays. C'est juste qu'en fait il y a tellement de familles que du coup peut être que c'est des petits groupes partout, mais rassembler ça fait du monde. [01:31:06] Speaker C: Exactement. En plus le métal tu peux l'assaisonner. [01:31:07] Speaker A: De façon très différente et c'est pour ça complètement salade tomate oignon. Il y a aussi des initiatives, dirons nous exotiques qui peuvent être très très intéressantes là pour le coup et très très sympa. Il faut essayer de toute façon, on verra. Zweitausendein. On ne peut pas savoir si on n'essaye pas. [01:31:23] Speaker C: Et puis d'être original, c'est quand même compliqué. Enfin je veux dire un moment, et puis qu'est ce qu'on appelle l'original en plus ? Oui, voilà, oui déjà bon, c'est vrai, me bâcher 1/2 fois, mais en vérité oui, c'est. Déjà, qu'est ce que ça veut dire ? Et puis est ce que c'est si important que cela ? Parce que quand on fait bien de la musique, même si ça ressemble à autre chose, c'est suffisant, c'est déjà bien, c'est ça. Puis il faut déjà réussir à le faire, alors déjà faut réussir à le faire. Et puis pour le coup, comme on disait, il y a tellement de genres et de ce genre que finalement beaucoup sont niche d'une certaine façon. Mais du moment que tu as trouvé ta niche, que tu as ton public et que ça tourne, peut être que l'essentiel est là finalement après ce qui. [01:31:55] Speaker A: Peut être un peu plus compliqué, c'est si tu évolues. Tu parlais d'innovation justement et d'originalité, c'est. Bah si tu changes un peu de voix, tu as toujours pour beaucoup de. J'aimais bien un peu plus avant, mais finalement ça c'est un sujet un peu récurrent même dans tous les styles d'ailleurs c'est pas que dans le métal, mais ouais, tu as ce côté là. Finalement tu as trouvé ta niche qui est plus ou moins grande d'une certaine façons, puis voilà, après, là tu parles d'innovation sur le fait de changer un petit peu ce qu'on faisait par rapport au début. Mais la vraie innovation, c'est à dire la création aujourd'hui, on a souvent posé. [01:32:26] Speaker C: La question est ce qu'on peut encore faire de nouvelles choses ? Est ce que. Alors on suppose tous que oui, évidemment, mais quoi ? [01:32:33] Speaker B: Voilà. [01:32:33] Speaker C: Mais c'est quand même très compliqué parce qu'il y a quand même le panel qui a été développé musicalement même, sans parler que de rock, je veux dire, il est juste, il est énorme, il paraît presque infini déjà. Donc est ce que tu crois que quelqu'un va avoir cette petite intelligence d'amener ou alors une technologie. Bah pour le coup c'est. Je pense, c'est un peu le. Quand je pourrais dire ça, c'est un peu ce qui doit traficoter dans toutes les thèses de tous les artistes. C'est bon. Allez, qu'est ce qu'on doit faire après ? Est ce qu'on reste dans le même genre ? C'est être un peu un débat constant quand ils bossent leur da. Quand ils bossent leur compo, etc. De qu'est ce qu'on fait ? Comment ça va être accueilli ? Je préfère pas être dans la tête des groupes, franchement les gars, respect à vous, parce que ça doit être un enfer. Et après le côté. Le côté outil. C'est vrai qu'on parle d'ia, on parle un petit peu d'accompagnement, mais j'aime bien ce nom d'outil. Ou pour moi je pense que ça doit rester un outil. [01:33:21] Speaker A: Va rester un outil. Oui. Tu vas voir des petits trucs marrants qui vont sortir. Genre je suis tombé par hasard. [01:33:29] Speaker C: Merci Spotify, sur une reprise du générique. [01:33:32] Speaker A: De Pokémon chanté par Johnny Hallyday. [01:33:33] Speaker C: C'était extraordinaire, c'était magnifique. Mais voilà, tu as soit le côté fun, soit le côté aide pour, on va dire t'aider ou en tout cas t'apporter un petit coup de pouce ou t'ouvrir un peu ton moodboard. Mais je pense pas que c'est ce. [01:33:44] Speaker A: Qui donnera en tout cas le point final. Ce serait quand même l'enfer si c'était une ia qui trouvait un nouveau genre musical. T'imagines le délire ? [01:33:51] Speaker B: Ce serait vexant. Bah oui, c'est ça. [01:33:53] Speaker A: Bah peut être parce que là elle s'en fout, mais. Bah peut être que dans des mis qui vont sortir, on pourra s'en inspirer, potentiellement avoir comme aujourd'hui sur des logos ou autres. Après c'est plus. Comment ça évolue ce qu'on en fait. [01:34:07] Speaker C: Et tant qu'on garde nos bons musiciens sur scène, bah là on est cool quoi. Oui bon après c'est clairement, c'est mieux, c'est plus mieux. On doit aller voir un bon concert, mieux qu'un CD. Tant qu'on garde l'humain dans l'art. En fait c'est exactement important. Ouais mais bon on est bien d'accord que. Pourquoi une IA ne pourrait pas avoir des. [01:34:22] Speaker A: De savoir retranscrire des émotions ? Elle peut. Aujourd'hui peut être pas, mais ce que je veux dire, dans 20 ans, on en sait rien. Tu vois ce que je veux dire ? [01:34:29] Speaker D: C'est possible. [01:34:29] Speaker A: Après je pense, c'est aussi un parti prêt à voir. De bien séparer les deux, de pas aller. Alors j'irai pas jusqu'à dire sur la facilité, mais voilà. [01:34:37] Speaker C: Bien départager les deux et comme ça, au moins, rester dans la créa. Pas stigmatisé non plus, ceux qui utilisent du hack, soit pour des designs ou de la compo. Comme tu as dit, c'est un outil. Tu as utilisé un super mot. J'avoue que je ne pouvais pas trouver mieux. Oui, c'est un outil. [01:34:50] Speaker A: Il n'y a pas de raison de ne pas l'utiliser. Si ça travaille bien, autant se faire aider un petit peu. Puis ça permet peut être d'aller plus vite ou d'avoir un petit truc en plus, de se débloquer parfois, tu es en réflexion depuis x temps d'avoir ce petit coup. C'est pas ce qui va te faire tout ton album, mais potentiellement, ça peut peut être te débloquer à un moment. [01:35:07] Speaker B: Te dire ah ouais, pas con, on va tenter. [01:35:12] Speaker C: Et là, ça débloque peut être mentalement. Et c'est parti. [01:35:16] Speaker A: Bon. [01:35:16] Speaker C: Tout à l'heure, on était en rantaine, vous avez parlé de. [01:35:20] Speaker A: Vous étiez dans la même école ? Ouais. Alors bon, moi, j'ai jamais appris de faire un instrument, encore une fois, parce que je pense que de toute façon, mes parents sont dit aïe, aïe, aïe. Laisse tomber. Ça va être une merde. On va payer pour rien. Ça va être un scandale. Préféré me lâcher dans les champs. Allez, va t'abuser. Voilà. Allez. C'est bien là, là. Oh, le tableau mo version sh. Quand tu cours un peu dans le champ de tournesol, en mode ça, ça fonctionne bien. [01:35:48] Speaker C: J'ai des. J'ai des images. [01:35:49] Speaker A: Pas là, pas pour vous, mais je. J'essaierai de retrouver ça. [01:35:53] Speaker B: J'ai une amie. Ouais. Oh si, c'est rigolo. C'est stupide, mais c'est rigolo. [01:35:57] Speaker C: Et je ne suis pas nu, donc tout va bien. C'est quand même. Le principal m'envoie rassurer, mais oui. Donc vous, vous avez appris des instruments ? [01:36:03] Speaker A: C'est vrai que le rocker, bon, il fait de la guitare, il fait de la batterie, souvent. Bon bah quand il a pas de. [01:36:10] Speaker C: Chance, on l'a mis à la basse. Très bel instrument, la basse. Et sous côté, c'est mon instrument préféré. [01:36:15] Speaker A: Donc je suis. Je défends la basse et très sous côté dans le métal. [01:36:18] Speaker C: Parce que dans d'autres styles, ils savent à quel point elle est essentielle. [01:36:21] Speaker B: C'est ça, ça bazarde. Et dans certains styles de métal aussi, elle est même. [01:36:24] Speaker A: Dans tous les styles, finalement, elle est importante. Quoi. [01:36:29] Speaker B: Qu'Il arrive, il faut des bassistes en prennent plein la gueule. [01:36:31] Speaker A: On est bien d'accord que c'est. C'est les souffres douleurs un peu. Non, ils envoient du pâté. Ils font ce qu'il faut, ça envoie bien. [01:36:39] Speaker C: Il y a plein de gens qui se moquent d'eux à chaque fois. C'est pas bien. C'est la blague récurrente parce qu'on se moque d'eux, mais sans eux, pas de groupe en amont. Qu'elles sont bien produits. On lève la basse. Ah bah tu le changes tout de suite. Mon groupe préféré. T'enlèves la basse, t'enlèves la corde à linge, c'est bon, c'est plus le même groupe. Tu parles de corne ? [01:36:55] Speaker A: Évidemment. [01:36:55] Speaker C: Et donc vous, vous avez fait. C'est quoi ton instrument que tu as appris en 1ᵉʳ ? En 1ᵉʳ ? Je dis bien en 1ᵉʳ. Oui. Bah pour le coup, quand on parlait tout à l'heure de solfège, je devais. [01:37:03] Speaker A: Avoir, je pense huit neuf ans. Donc ce. [01:37:04] Speaker C: À ce moment là, enfin de mon côté en tout cas, je ne savais. [01:37:07] Speaker A: Pas du tout quel instrument faire. [01:37:08] Speaker C: Donc c'est très simple. Avec mes parents, on est allé à. Comment on appelle ça ? Magasin de musique de Bellecour à Lyon. Et on était au milieu du magasin et c'était. [01:37:17] Speaker A: Qu'est ce qui t'intéresse ? [01:37:19] Speaker C: Qu'est ce qui te donne envie ? Tu avais le vendeur qui était là en mode bon bah je sens que ça va être compliqué. Puis j'ai fait ça. C'est joli, ça brille. Tu avais quel âge ? Pardon ? Je me souviens, huit ou neuf ans, dans ces eaux là bas. Tu es en primaire ? Attends, c'est un magasin qui doit être immense, j'imagine. [01:37:36] Speaker A: Relativement. Puis tu avais de tout, tu avais de la percussion, tu avais du vent. C'est le bel musique qui est sur la place. Exactement. Tout à fait comme trois pommes. [01:37:44] Speaker C: J'allais dire. On va dire une dizaine de pommes, mais ouais. Du coup j'ai fait oh ça, ça brille, c'est joli. De la flûte traversière. Et c'est parti pendant quatre ans. Et en vrai ça m'a quand même bien plu. Après, c'est ce qu'on disait tout à l'heure hors antenne, c'est. Bah j'aurais aimé passer peut être sur autre chose plus tôt, mais ça c'est pas forcément. Mais ça t'a appris quand même pas mal de choses. C'est pas parce que cet instrument peut paraître être un choix bizarre, en vrai ça reste un instrument. Et ça reste un très bel instrument avant, dans lequel justement on parlait de certains groupes de hardcore qui utilisent justement des flûtistes en plein milieu d'un break, tu es là. Mais c'est du génie. Ou alors, si j'avais su à l'époque que j'aimerais tout l'univers un peu. Non zweitausendein heure des geeks. [01:38:22] Speaker A: Faire des reprises du Seigneur des anneaux, etc. Mais laisse tomber, j'aurais été comme un fou. [01:38:25] Speaker C: Mais c'est vrai qu'avec du recul, on disait tout à l'heure, le rock arrivait un peu plus tard. Donc. V. Les 15 ans. 16 ans. C'est vrai que si je pouvais rembobiner, plutôt que de prendre la flûte traversière, plutôt prendre de la guitare, pour le coup, classique ou électrique, ou alors avoir fait du solfège plus tard. C'est peut être l'un des regrets que j'ai aujourd'hui, même si j'ai pu faire de la guitare, de le faire plus tôt, pour le coup. Et t'aurais aimé faire ça plutôt pour. Parce que tu aurais aimé faire un groupe plus tôt, Ÿousand. Ouais, pourquoi pas un groupe plus tôt ? Mais même ce côté où. Quand. En gros, la guitare électrice. J'ai découvert via un ami pareil au collège, qui lui était très. Dans l'univers Red Hot, l'univers the Police. Donc vraiment, côté très classique rock. Et du coup, on passe un après 12 h chez lui, il avait sa Gibson qui était posée dans sa chambre. Ouais. Il la branche, il part chercher un verre, une grenadine, à l'époque, parce qu'on avait 15, 16 ans. Mais du coup, il la pose, et tout naïf que je suis, je passe juste les doigts, ÿousand sur les frettes. Et là, la connexion qui se fait à l'ampli, le. Donc les cordes à vide. Et là, tout ce qui passe dans mon corps, les frissons, je fais oh mon dieu, c'est incroyable. Et j'ai eu vraiment ce truc de Ok, c'est ça que je veux apprendre. Maman, je peux faire la guitare, s'il te plaît ? Et ma 1ʳᵉ petite Yamaha pour apprendre. Mais vraiment ce côté de. [01:39:32] Speaker A: J'aurais aimé commencer plus tôt, parce que vraiment, ça m'éclate, ça me plaît, et. [01:39:35] Speaker C: J'Aurais aimé pouvoir y passer encore plus de temps, en apprendre encore plus et pouvoir encore plus m'éclater. C'est plus ce côté là. Et tu as laissé tombé. Elle est à côté de mon bureau. J'ai fait beaucoup de passé. Ouais. Dans ma phrase. [01:39:45] Speaker A: Elle est à côté de mon bureau. [01:39:47] Speaker C: Mais de temps en temps. Ouais. Je récupère ma grade pour. On parlait de end of blood, tout à l'heure. [01:39:54] Speaker A: Voilà. [01:39:54] Speaker C: Réapprendre le riff. Parce que passer un bon moment, plus pour moi, de mon côté. Oui, c'est ça. C'est un très. Voilà. C'est quand même quelque chose de très. Très personnel, très intime. C'est très personnel. Même si du coup, au lycée, on avait essayé de monter un petit groupe. [01:40:07] Speaker A: Justement avec l'école de musique à l'époque, faire quelques fêtes de la musique, des auditions, les petites expériences de scène en toute petite. Mais voilà, c'était cool, il faut bien commencer par quelque chose. Mais du coup, qui m'a vraiment donné ce goût aussi à l'événementiel, à l'univers concert et festival. [01:40:21] Speaker C: D'une certaine façon, c'est parti de là. [01:40:23] Speaker A: Où à l'époque, hyper sympa, mes profs. [01:40:25] Speaker C: M'Avaient permis de faire un peu d'ingé son, justement pour toute une audition, de faire toutes les préparations, les balances, etc. C'est trop bien, comme métier. Donc c'était parti de là, à la base, c'est pas con, j'avais pas pensé à ça, alors que ça paraît très logique. T'as préféré te alors attention, c'est une question. Encore une fois, pas de soucis. T'as préféré te mettre du côté caché que du côté où on te voit ou c'est juste que ça s'est fait comme ça, en faisant extrêmement court, globalement, alors que tu te montres sur les réseaux, en gros, quand je suis passé dans les études, c'était plus des études d'ingénierie, globalement. Donc du coup, je me suis plus concentré là dessus, et aussi beaucoup sur les soirées étudiantes et le côté organisation d'événements. Donc c'est vraiment parti de là où pendant cinq ans, c'était événement sur événement, sur événements, qui est devenu vraiment une passion à proprement parler. Et c'est quand j'ai terminé les études, où là, je me suis remis vraiment dans cette culture métal, à commencer à se remettre dedans. Et tu parlais du côté se montrer. Pas se montrer, justement. Rentrer dans les études. Timide, plus timide que moi, c'était pas possible. Introverti à suec, c'est à dire que juste pour parler à mes potes, je leur demandais l'autorisation si je pouvais discuter avec eux dans le rond. Donc c'était compliqué. [01:41:31] Speaker A: Mais grâce aux assos, petit à petit, en fait, je me suis beaucoup plus sociabilisé. Après, on a parlé Florian et du coup, être beaucoup plus à l'aise, et. [01:41:40] Speaker C: Finalement à finir à organiser des événements, à être maître de cérémonie sur des scènes devant 1003 1000 personnes en anglais, à l'autre bout du monde. Et c'est devenu quelque chose que j'adore aujourd'hui. Mais il y a 12 ans, parler juste à mon voisin, c'était compliqué quoi. Donc c'est possible, c'est possible. Mais merci à toutes les personnes bienveillantes qui m'ont mis là dedans et qui m'ont permis d'être beaucoup plus à l'aise aujourd'hui, tu sais, vraiment parce que tu as été bien entouré pendant toute cette période, tout ce parcours. C'est ça les gens qui t'ont dit t'inquiète ÿ sans même me dire t'inquiète, mais avec qui je me sentais à l'aise. [01:42:04] Speaker A: Et en fait je tenais une coopérative dans laquelle on vendait pour tous les étudiants des boissons. On faisait les mémoires. Donc c'est le mémoire que tu dois imprimer dans 15 min parce que tu dois le rendre à ton prof. C'était moi le Jean Michel qui les imprimait et qui ratais des cours pour lui. Et ben du coup à force, je. [01:42:24] Speaker C: Rencontrais des gens, je discutais, et en fait petit à petit, j'ai commencé à être beaucoup plus à l'aise et à découvrir que j'aimais parler en public, que j'aimais présenter, que c'était peut être une voix qui me plaisait pas mal. C'est cool, c'est cool parce qu'il y. [01:42:36] Speaker A: A plein de gens timides qui pensent que. Alors attention, il y a plein de niveaux différents de timidité. Mais bien sûr. [01:42:43] Speaker B: Mais ce qui est bien comme message, c'est que, il faut tenter quand même, bien que ce soit très très dur, affronter les choses, c'est l'enfer quoi. [01:42:49] Speaker C: Et puis tu as des personnes qui. [01:42:50] Speaker A: Se montent sur les réseaux, qui en parallèle des réseaux et hors caméra entre. [01:42:54] Speaker C: Guillemets, sont très timides aussi, qui pour le coup c'est le jour et la nuit. Et ça se comprend quoi. C'est. Ça leur permet peut être d'être plus à l'aise et zweitausendeinundzwanzig. Oui parce que finalement c'est compliqué de parler derrière une caméra et tout. C'est pas facile, mais par contre t'es seul. Oui mais par contre aussi quand tu, quand tu te filmes et que tu prépares une. [01:43:14] Speaker A: Vidéo, tu contrôles énormément ce. [01:43:16] Speaker C: Que tu fais, ce que tu représentes. C'est vrai ce que tu dis. Ouais. Par contre tu te vois aussi en vidéo et ça c'est horrible au début c'est compliqué quoi. J'ai envie de te dire oui et non, parce que c'est ça aussi la magie, entre guillemets de l'Internet mondial et des téléphones. [01:43:27] Speaker A: C'est que finalement comme tu te filmes avec l'arrière finalement, tu vois juste le. Le capteur, tu vois pas ton visage. Après tu fais le montage. En effet. Et évidemment, je pense qu'on y est tous passé. On ne supporte pas s'entendre clairement, c'est compliqué, quoi. Mais ouais. C'est plus le côté, quand tu publies, de comment les gens vont réagir. C'est plus ça, tu vois, c'est plus l'après, c'est pas tant l'avant et le pendant. C'est. Une fois que c'est publié, tu dis. [01:43:54] Speaker C: À quel saut je vais te manger, quoi. [01:43:56] Speaker A: C'est plus ça au début qui est compliqué. Je me souviens quand j'ai commencé la radio, j'ai fait une école de radio. [01:44:01] Speaker C: J'avais très envie de faire de la. [01:44:03] Speaker A: Radio parce que j'adorais la radio d'époque. Il y avait pas Internet. Et je me souviens que quand je suis arrivé, j'ai fait des cours de. [01:44:10] Speaker C: Radio à Boulogne, dans une école qui. [01:44:14] Speaker A: N'Existe plus, mais enfin, il me semble. Et la 1ʳᵉ fois où tu t'enregistres, en plus avec des micros bruts, donc tu as même pas un peu la voix, c'est pas rendu joli. [01:44:22] Speaker D: Ouais. [01:44:23] Speaker A: Et là c'était brut, pas de compression, rien. Ça a éliminé une bonne salve de ÿousand parce que. Ils se sont dit ah non, je pourrais, je peux pas. Oui, je me vois pas. Ouais. Tu mets. Et tu es obligé de travailler après. Tu apprends à entendre ta voix aussi, parce que quand tu acceptes, tu l'entends plus de la même façon. [01:44:38] Speaker D: Ouais. [01:44:38] Speaker A: À l'appréhender, à l'accepter après avec, etc. Et la voix, c'est une chose, mais le physique, moi, je sais que ça a été très, très dur. Quand j'avais dû faire des trucs à la télé, j'étais chaud aux patates. Ah ouais, trop bien. Ça va être cool. Ah ouais. Quand j'ai vu. Il y les retours partout. Ouais. Oh. Ils m'ont dit tu es chiant. Je fais ah ouais, mais c'est horrible. Faites un truc, quoi. Je sais pas. Ils m'ont dit si tu veux qu'on fasse quelque chose, c'est. Il faut qu'on te vire et qu'on mette quelqu'un peut être. Ça a été très très dur, j'entends. Après, c'est parce que j'ai eu toujours du mal à m'accepter personnellement. Donc c'est. Il y a peut être de ça, tu vois, mais je sais pas comment les gens le vivent. [01:45:16] Speaker B: S'il y a des gens qui sont. [01:45:18] Speaker A: Hyper à l'aise avec eux, et bien sûr, ça veut pas dire qu'ils vont s'apprécier visuellement quand ils seront dans une. Dans une vidéo. [01:45:23] Speaker B: Mais je les envie. [01:45:27] Speaker A: Tellement en fait. Je suis. [01:45:29] Speaker C: Je. [01:45:29] Speaker A: J'avoue je suis jaloux des gens qui sont hyper. On a l'air de s'en. Parce qu'on a pris l'habitude, tu vois. [01:45:35] Speaker C: On est là, etc. [01:45:37] Speaker A: Mais c'est toujours le même. [01:45:39] Speaker C: Je sais que quand il y a les Vod qui sont postés, oh bah je peux pas regarder. Tu redoutes. Je déteste tous mes tics, mes tocs. Mais tous les. Tous les problèmes, les en avant, oui. Ah là là. Et puis alors la tête que j'ai, j'ai l'impression d'être sim. C'est dégueulasse. Donc. Non mais vraiment je me vois comme ça. C'est tombé sur Sim. Non mais c'est très étrange. Faut pas croire que les gens qui font des trucs sur les réseaux, justement, sont hyper centrés ou des trucs comme ça, c'est. Non. Et c'est. Il y en a probablement, potentiellement. Puis c'est aussi un côté très mise à nu aussi, d'une certaine façon, ce que justement, tu acceptes de mettre ton. [01:46:13] Speaker A: Image sur les réseaux. Et pour le coup, bah tu sais que peut partir partout, littéralement. Et ça reste surtout. Voilà. Tu sais qu'une fois que c'est posté, c'est posté surtout. En plus dans une génération, on nous l'a bien expliqué, on l'a bien vu, etc. Et du coup ce côté. [01:46:26] Speaker C: Ouais, tu te mets à nu dans ta façon d'être, ta façon de parler, ce que tu vas présenter, etc. Et ouais. Tu acceptes aussi quand tu appuies sur partager, c'est une petite partie aussi, tellement tu partages. Je pose le téléphone et allez bisous. C'est toujours ça, encore aujourd'hui, aujourd'hui. Parce que moi je sais que ça me. Je regarde plus quand je poste, c'est moi qui les pose souci. Je les poste et puis je me dis bon bah on verra. Je ne regarde pas en entier et puis je regarde plus les. Tous les commentaires non plus. [01:46:48] Speaker A: Ça va plus dépendre des vidéos que je vais poster par rapport au sujet ou autre, où je vais être un petit peu plus anxieux, entre guillemets, de la réaction, potentiellement. Mais sinon, déjà, si je vois que la vidéo me plaît pas au montage. [01:47:01] Speaker C: Je suis pas à l'aise, je vais pas la publier. Je préfère avoir un truc qui me plaît, même s'il peut y avoir, comme tu disais, quelques erreurs, erreur de par le mouvement ou autre, mais c'est pas grave. Des petits tics. Mais si je suis pas à l'aise avec, je fais sur le côté comme ça, au moins ça aussi. Je me suis moi, je me suis forcé à me dire tu t'en fous, tu t'en fous, tu t'en fous, voilà. Tu t'en fous, tu t'en fous. De toute façon ce sera fait. Puis c'est Marcel qui se les coltine, c'est lui qui souffre en vérité. Après, tu vois, c'est justement ça, c'est cette balance à trouver que j'ai aimé. Justement avec les réseaux sociaux, c'est ce côté tu peux être très naturel justement, tu peux juste prendre ton téléphone par. Et c'est parti. Après à force, petit à petit, tu vois le truc grossir, tu fais bon, on va peut être éviter de faire trop de conneries non plus. [01:47:37] Speaker A: Mais c'est ce côté là où tu es quand même un minimum beaucoup plus libre, là où par exemple on repart sur le sujet YouTube où ça demande quand même d'être très cadré aujourd'hui, là où à l'époque c'était un peu plus light. Et du coup je me disais ouais, bah c'est pas agréable, c'est juste avec. [01:47:53] Speaker C: Un téléphone, tu mets pas forcément de filtres ou autre, de cadrage et tout un petit texte et ça part quoi. Et c'est ce qui a fait que ça a tourné sur TikTok au début, puis sur Insta et je fais ok, il y a quelque chose, on peut dire, enfin je suppose que c'est pas comme ça que tu te considères, mais. [01:48:06] Speaker A: Du. [01:48:08] Speaker C: Coup tu es un peu influenceur quand même parce que tu es solo, tu discutes de musique, donc tu parles avec les gens, tu dis des choses et puis te donne des réponses par écrit. Pour le coup il y a deux termes que je préfère un peu plus. C'est le côté alors de par le contenu que je fais aujourd'hui en tout cas, un côté plus média et créateur contenu. Alors créateur, contenu, c'est une énorme boîte dans laquelle on met plein de choses, ça j'en suis conscient. Et du coup c'est vrai que quand on qu'est ce que tu fais ? Créateur de contenu. C'est ça. Mais c'est pour le coup le côté média qui est un peu plus proche dans le sens où vu que je parle plus maintenant de sortie des recommandations de groupe, des présentations de titres et autres, où on parle vraiment pure musique et pas de trend ou autre, je me sens plus à l'aise avec ce terme là. Et en France en tout cas, il a un côté aussi plus pro, je trouve qu'influenceur ou exemple très concret. J'allais à un concert dans lequel j'ai. [01:48:59] Speaker B: Créé Zweitausendein et pour le coup, si on te demande, il te voit, y'a ton appel footus. Mais du coup vous êtes quoi, machin. Entre dire média et dire influenceur, t'as pas du tout la même réaction en face. [01:49:09] Speaker C: Et je ne me considère pas comme influenceur dans le sens où le peu de choses que je vais mettre en avant, qui est hors de mon contenu, restent dans l'univers métal, dans cette sphère là. Et je ne cherche pas à influencer les gens, c'est au contraire, chacun aime ce qu'il veut et à proposer du contenu derrière. Pour le coup, il y a un mot qui revient beaucoup, c'est contenu. Est ce que tu as un rapport un peu particulier avec ce mot ou comment tu le perçois ? Parce que je sais que j'ai un avis assez tranché dessus. Contenu, ce que je trouve assez dingue aujourd'hui, c'est qu'il peut être extrêmement large, c'est à dire qu'autant, ça peut être de la vidéo, ça peut être de la photo ou ça peut être du podcast, même si aujourd'hui, je pense qu'on. Alors c'est vraiment des tu. [01:49:44] Speaker B: Mais je suis très intéressé d'avoir ton retour. Il va peut être s'orienter plus sur de la vidéo, potentiellement soit sur du. Du reels, sur Insta, du TikTok ou du YouTube qui ont chacun leur code pour le coup. Mais ça peut peut être un peu plus s'orienter là dessus, même si on l'a dit encore tout à l'heure, c'est vraiment une case où on peut mettre plein de créateurs différents d'une certaine façon, qui n'ont pas les mêmes objectifs, qui n'ont pas les mêmes types de contenus pour le coup. [01:50:12] Speaker C: Donc c'est un peu. [01:50:17] Speaker A: La boîte à tout, d'une certaine façon. Je suis assez d'accord. Moi ce qui me dérange en fait dans le terme contenu, c'est justement ce que ça implique. Le terme contenu, c'est le fait de remplir un vide d'une plateforme, d'un algorithme, etc. Je trouve toujours ce mot qui est très réducteur en fait, par rapport à. [01:50:33] Speaker C: Ce que des gens comme toi ou comme nous produisons, ou j'ai plus, je sais pas, des termes comme vidéaste ou même créateur de médias, pour reprendre un autre mot que tu utilises, je les trouve beaucoup, plus, beaucoup plus adapté, beaucoup plus juste. Ouais, complètement artiste, je sais pas trop, mais j'essaie des choses. Mais c'est très bien artiste. Attention, c'est juste pour faire la blague puisque on sait très bien que. Ÿ quand on doit expliquer à nos parents ce qu'on fait ils font, mais en fait tu fais rien. Je ne comprends pas ce que tu fais, ça sert à quoi ? Pour le coup j'ai changé souvent de métier, donc ils me demandent toujours quels sont mon métier. Mais du coup c'est vrai que ça permet de poser des mots assez simples, en tout cas de pouvoir un peu généraliser. Justement ils ont pris ça. Ils sont contents. Ouais bah écoute, aujourd'hui ce qui. Comment dire. Là où ils sont contents c'est qu'ils voient que je m'éclate dedans, que je suis heureux. Et c'est pas quelque chose vu que c'est quand même un univers que j'ai beaucoup gardé pour moi. [01:51:21] Speaker A: Malgré tout, j'ai partagé avec très peu de membres de ma famille pour x raisons. Mais en tout cas ils voient qu'aujourd'hui je m'éclate. Et au delà de la taille que ça prend, on s'en fiche. C'est plus ce côté. Bah ok, tu t'éclates. Et au delà de. On parlait tout à l'heure de rémunération parce que bon, tu as toujours la. [01:51:36] Speaker B: Famille. [01:51:38] Speaker A: Qui se pose cette question là, mais du temps. Mais ils disent c'est cool ça, ça marche bien, ça s'apprend bien, c'est. On voit que tu mets de la passion et que tu t'éclates. Bah trop cool quoi. Et ça, ça fait du bien clairement. J'avoue que ça c'est nous. On a déjà parlé à ma mère. [01:51:53] Speaker C: Qui ne comprend absolument pas, qui est hyper. [01:51:56] Speaker A: Alors elle est très gentille ma mère. Je l'adore, je la surkiffe. Elle m'a dit il faudrait que tu te fasses réparer le cerveau. Je l'avais raconté ça la dernière fois. Je lui ai dit envoyer mon cerveau, ça non. Elle m'a dit ce serait bien qu'il y ait des médecins qui réparent le cerveau, ça te servirait. Et je vais. Je lui ai envoyé M. Garrison qui dit Alerte au gogol. Et elle m'a dit ah ouais mais ça vient de quelque part, donc appelle moi gogoline. Voilà, vous comprenez d'où vient. J'adore ma mère. On a parlé d'humour posé, on est bien. Je. La mère, elle est très trash, mais elle est très très cool. Par contre elle est. Elle peut dire toi. Elle ne comprend pas ce qu'on fait là, ça sert strictement à rien. Et elle a peur. Elle a très peur aussi que les gens soient hyper agressifs et un petit peu parano. Mais qu'elle. Parce qu'à l'époque, à WFM, il nous est arrivé des trucs aussi. Il y avait des gens qui venaient pour balancer de la bouffe morte sur les vitres aussi, ou des trucs pour nous menacer, mais bon. Oui. Ou alors qui sont dans un autre monde, celui qu'on ne peut pas connaître, mais. Mais oui, bon, après c'est l'exposition. Elle fait ça, mais je lui ai. [01:53:04] Speaker C: Expliqué que ça, il n'y avait pas de raison. Et elle par contre, mon père, qui normalement est un mec très strict, qui a eu beaucoup de mal à accepter beaucoup de choses qui font partie de ma personne, ancien militaire, donc forcément, ça complique beaucoup de choses. Attention, j'ai rien contre les militaires, c'est juste que je raconte l'histoire de ma vie et lui par contre, il est hyper content et il dit tu kiffes ? Et je lui dis ouais. Il fait fonce, fais le. Donc je sais pas s'il y a un rapport aussi ancien, ancienne population, ancienne. [01:53:30] Speaker A: Génération de rapport homme femme par rapport. [01:53:31] Speaker C: À ça ou de mon côté, c'est très lié aussi aux affinités de la personne, c'est à dire. Par exemple, je sais que les Zweitausendeinundzwanzig, trois personnes qui sont, on va dire, qui me soutiennent le plus dans ce que je fais aujourd'hui, ça va être mon beau père, mon cousin et ma meilleure amie, qui en fait les trois étaient vraiment baignés dans la musique. Mon beau père qui a été, je te disais, RTL, en non stop, du jazz à fond, YouTube. Donc lui, ça lui parle à. Il se dit c'est cool quand même, ça prend forme le vie un peu à travers toi aussi. C'est. Je pense. Je pense que c'est ça. Mais pour le coup, c'est. De toute façon, sans lui, RTL, je serais jamais passé, ça c'est sûr. [01:54:05] Speaker A: Mon cousin qui lui plus dans le côté funk, on va dire, disco, techno, mais qui du coup organisait des soirées, qui a appris à dj sur des vinyles, etc. Donc qui est plus dans cet univers là, qui me dit à. [01:54:18] Speaker C: Chaque fois flo, quand tu vas approcher un concert, dis moi on y va ensemble, je vais découvrir un peu le truc. C'est trop cool. Donc t'as vraiment ce côté là de cette affinité musique qui fait que même s'ils sont pas forcément fans de métal, ils voient, on va dire, les impacts dans les grands éléments. On va dire clairement, c'est chouette, c'est chouette. [01:54:34] Speaker A: Comprenez là, les jeunes parents faites gaffe, les gosses, faut bien les amener. V. La musique, la culture aussi, globalement, ça serait pas mal, parce que j'ai l'impression que ça va pas dans le bon sens. Mais c'est pour ça que quasiment tous mes neveux et nièces. Le 1ᵉʳ cadeau que j'offre. Les parents m'adorent. C'est. Et je l'ai vu d'ailleurs. Tu l'as juste là. C'est le Henry Death metal, le livre musical où quand tu appuies, ça te fait des chansons version métal. Et ça ma filleule l'adore. Bisous les parents, je vous aime. Mais ça, ça fonctionne très bien pour commencer. [01:55:05] Speaker D: Ah moi j'ouvre des trucs qui font. [01:55:06] Speaker B: Du bruit donc comme ça les petites. [01:55:09] Speaker A: Batteries ou les claviers qui font des sons assez affreux. J'ai pas d'enfant donc je m'en fous. C'est juste que je les vois, ils font comme ça. On va te défoncer Pierre. [01:55:18] Speaker B: Mais après ils sont contents. [01:55:19] Speaker A: Un très bon parrain figure toi. Parce que ma filleule a très envie de voir les musées avec moi et de lire des livres avec moi. Alors que je ne lis absolument pas. Mais bon elle est persuadée que je. [01:55:30] Speaker C: Lis, donc c'est pas mal. [01:55:31] Speaker A: Elle se force à apprendre à lire, donc c'est une bonne chose. Je prends pour quelqu'un de cultivé. C'est beau. Ouais. C'est incroyable quand même, non ? Pourtant je bois, je bois des verres. [01:55:40] Speaker C: Je dis des bêtises. [01:55:42] Speaker A: Bon bref. [01:55:42] Speaker C: Non mais je l'adore, elle est. [01:55:46] Speaker A: Elle adorable. Je lui fais d'énormes bisous. Linkin park. Ouais. [01:55:48] Speaker C: Sans transition ? Sans transition. Parce qu il y a un moment il faut qu'on dis je parle trop, c'est juste. [01:55:56] Speaker A: C'est le principe de l'émission aussi, d'être libre, de discuter. J'espère que les gens. Je sais pas, je regarde pas trop les réactions. Je suis désolé. Mais. Bisous le chat. N'hésitez pas à parler aussi entre vous. [01:56:05] Speaker C: Parce que c'est toujours très intéressant à raconter. Comment ça va avec vos parents aussi ? C'est pas forcément tout le temps facile. Alors, Linkin Park. Somewhere I belong. Yes. Carrément d'actualité en ce moment. Linkin Park. Oh oui clairement. [01:56:13] Speaker A: Clairement. [01:56:13] Speaker C: J'ai cru comprendre que tu étais quand même content. Très content. Très très très très content. Je fais partie de la team extrêmement ÿousand content. Oui. Ah ouais. Non clairement. En plus c'est revenu à un son un peu. Un peu bonne. Enfin la période qu'on aime je suppose. Après, toutes les périodes sont bonnes, mais c'est juste que c'est un peu plus musclé quoi. Donc c'est ce qu'on disait sur ces deux morceaux. C'est ce qu'on disait tout à l'heure. C'est que Linkin Park fait partie des groupes où en fonction des albums. Ils ont toujours été. On parlait de créativité, de nommation, tout à l'heure. Ils ont toujours cherché, à chaque album, à sortir un peu du cadre. Et forcément, selon les personnes, soit on aime rester plus dans le météorat hybride theory, soit au contraire. Ah ok, c'est cool, c'est nouveau, etc. [01:56:52] Speaker A: Ou. [01:56:58] Speaker C: Par exemple, à l'époque où tu as minute to minute qui est sorti, l'accueil a été très mitigé. Mais aujourd'hui, tu as des bungers qui ne bougent pas, comme Shadow of the day, no more sorrow, évidemment, Giving up avec ce fameux live ou Chester a fait des 10 7 s en live à chaque fois. [01:57:12] Speaker B: Mais à l'époque, quand c'est sorti, c'était what that ? Et finalement, ça passe bien. Donc en effet, aujourd'hui, on repart un. [01:57:18] Speaker C: Petit peu là dessus avec. Comment il s'appelle, Evie the crown. Ou tu as vraiment ce mélange, justement de given up et de faint. C'est un mix entre les deux. [01:57:26] Speaker A: On entend au niveau des riches, puis. [01:57:27] Speaker C: Ce côté rap qui revient justement de machine. C'est trop bien, là. Franchement, quand j'ai écouté la 1ʳᵉ fois, et si je veux pas faire le. L'extrême machin, mais j'avais ces petites larmes de Ok. J'ai l'impression de redécouvrir un des albums, justement de Météora. Et ça, c'était trop cool. [01:57:42] Speaker A: J'ai pleuré adolescent, à l'époque de Météora. Maintenant, c'est ceux qui vont le plus. [01:57:47] Speaker C: En concert, qui sont vraiment dans la tranche d'âge pour. Ah bah là, j'étais déjà vieux. C'est parfait, être hyper présent. Ah bah, c'est le 1ᵉʳ album que j'ai poncé en long, large et encore aujourd'hui, quoi. Clairement, en même temps, il y a rien à acheter, donc c'est au delà d'acheter, c'est. Il s'enchaîne tout seul, quoi. C'est impeccable. [01:58:02] Speaker A: Bon. [01:58:02] Speaker C: Et là, Somewhere et Bilan, Somewhere et Bilong. Bah. Un petit peu comme BFM de tout à l'heure. Je voulais pas partir sur un breaking the habit ou un homme connaît tous très bien. C'est un gros single, quand même. Pour le coup, tous les singles de LinkedIn Park, Météora, ils se battent tous un peu en duel, quand même. Mais le Somewhere, I belong, dans le côté, où c'est très récent, quand j'étais au Japon, justement, je me baladais, je me sentais extrêmement bien dans le pays. J'ai cette chanson qui passe, et là, ça fait. Ouais, somewhere, I belong ouais je me. [01:58:28] Speaker A: Sens vraiment bien là et même ce côté où maintenant, aujourd'hui, bah je me sens bien dans cet univers justement avec la création contenu que je fais, les. [01:58:33] Speaker C: Concerts dans lesquels je vais, les rencontres. [01:58:35] Speaker B: Donc finalement c'est ça que j'ai trouvé. [01:58:37] Speaker C: Cool en reprenant cette chanson, c'est que. [01:58:39] Speaker A: Bah quand j'avais 12 ans clairement tout. [01:58:41] Speaker C: Ça ça me passait au dessus. Je kiffais la musique que j'écoutais, je comprenais rien à l'anglais. [01:58:44] Speaker A: Mais que tu as des titres qui peuvent un peu raisonner finalement à différents moments de ta vie, je trouve ça vachement cool. Puis elle se situe bien aussi dans le. Dans l'album, donc ça passe bien. Et Ben on va regarder ce clip. Magnifique morceau. Et puis linkin park bon ben je. [01:58:56] Speaker C: Sais qu'il y en a certains qui [sos/eos]ousand pas, mais c'est quand même incontournable. C'est un petit groupe local, c'est vachement bien, tous les jeunes qui débutent, c'est bien de les diffuser. Date de France qui va être annoncée, on a cru voir passer. Je crois que c'est zégut si je sais pas de bêtises. [01:59:10] Speaker A: Qui a posé ça, qui en a parlé ? [01:59:13] Speaker C: J'ai vu que moi c'est sur Alternative News que j'ai vu Brandon qui en parlait, donc que je remercie encore une fois, je fais des bisous à chaque fois parce que c'est quelqu'un que j'aime beaucoup et puis ça lui fait plaisir. Donc c'est bien de faire plaisir aux gens. Ouais. Puis de toute façon quand on voit et puis bosse comme un ouf accessoirement, puis pour repartir sur le stade en même temps quand on voit la vitesse à laquelle c'est parti au niveau de l'aréna, ça m'étonne pas. Bon c'était le bordel. Ça c'est un autre sujet, mais c'est parti très vite. Il y a une attente, il y a une attente même si tu vois on disait ceux qui aiment, ceux qui aiment pas, pas content, pas content. [01:59:41] Speaker B: Bah il y a quand même une. [01:59:43] Speaker C: Énorme partie qui est très content parce que tu vois certains me disent. Beaucoup me disaient en dm non, mais il y a tellement de gens qui sont. [01:59:48] Speaker A: Il y a des gens pas contents, ils vont pas venir. Oui mais il y a tellement de contents aussi à côté que ça partira. On. [02:00:46] Speaker E: Se pose pas de questions. Et la preuve en est à toutes les ÿousand dates partait, je crois que c'était sur Londres. [02:00:54] Speaker A: J'avais voulu me connecter pour tenter 130000. [02:00:55] Speaker E: Connexions et pour Hambourg, qui était 1. [02:00:58] Speaker C: H avant 220000 connexions. [02:00:59] Speaker A: Là, tu fais ah, d'accord. Oui. [02:01:01] Speaker E: Non, mais sinon, les réservations ont intérêt à avoir des serveurs solides. [02:01:06] Speaker A: C'est ça ? [02:01:06] Speaker E: Ah bah là, ticketmaster, ils avaient intérêt à être bien, mais sinon. Oui. Il n'y a personne qui veut y aller. Oui, tout le monde est dégoûté. 220000, ça va. C'est bien. C'est très bien. C'est très bien comme ça. Je m'arrêtais là. On regarde the liquid par my mellow unicorn. I had nothing to say and i'd get lost in the nothingness inside of me and I let it all out to find that i'm not the only. [02:01:42] Speaker A: [Sos/Eos] person with these things in mind. [02:01:43] Speaker E: But although they can see the words revealed is the only real thing that. [02:01:48] Speaker A: I'Ve got left to feel Just stuck. [02:01:51] Speaker E: Halloween alone and the fault is my own and the fault is my own I want to heal I want to feel what i thought was never real i want to let go of the pain I felt so long I want to heal I want to feel like i'm close to something real I want to and i've got nothing to say I can't believe I didn't fall right down on my face I was confused looking everywhere only to find that it's not the way I had imagined it all in my mind What do I have but negativity Cause I can't justify the way Everyone is looking at me Nothing to gain hollow when alone in the fault is my own in the fault is my own I wanna heal I wanna feel what i thought was never real i wanna let go of the pain I felt so long Keep race all the pains in the skull I wanna heal I wanna feel like i'm close to something real I wanna find something I wanted all along somewhere I belong I will never know myself until i. [02:07:58] Speaker A: Do this on. [02:08:04] Speaker C: My own. [02:08:04] Speaker A: And i will never feel anything else Till my wounds are healed i will never faint anything till i break away from me i will break away i'll find myself to death I wanna heal I wanna feel. [02:08:20] Speaker B: What i thought was there for real I wanna let go. [02:08:23] Speaker C: Of the pain I felt so low I wanna heal I wanna feel like i close to something real I wanna find something I want it all alone. [02:08:30] Speaker A: Somewhere I belong I wanna heal I. [02:08:33] Speaker B: Wanna feel like I somewhere I belong I wanna hear I wanna feel like i'm somewhere I belong somewhere i belong bang bang maximum the hormone, ça fait plaisir. On aime bien maximum. [02:08:41] Speaker A: Alors c'est quand même what the fuck. C'est à dire que je les ai déjà vu deux fois concern, je m'en. [02:08:50] Speaker B: Suis pris plein la gueule parce que ça n'arrête pas, c'est vraiment ultra violent, mais ultra festif à la fois. C'est ça qui est festif et très souriant. Surtout les gars sur scène et Mᵐᵉ aussi, ils ont un sourire, mais énorme, ils sont heureux d'être là quoi. Ça c'est trop bien, c'est. En tout cas, faut comprendre quand même. En plus quand il passe en Europe, parce que c'est pas tous les quatre matins non plus. Quand il passe, faut pas, faut pas louper le code chance quoi. Voilà, c'est ça. Mais du coup, Maxime diamant, comment on définit ça à part que c'est japonais, c'est du. J'ai tendance à dire du metal fusion en fait, parce que c'est tellement, parce que il y a du punk hardcore, il y a du new metal, du funk metal, il y a du ska. [02:09:28] Speaker C: Ouais. [02:09:28] Speaker B: Il y a de la j pop aussi. Évidemment il y a des passages qui sont très pop. Ce qu'il y a de bien aussi avec Maximum the Roman, c'est qu'en fait. [02:09:37] Speaker C: Tout le monde chante dans le groupe, tout le monde a son propre registre et ça permet de couvrir une variété de, de style assez impressionnante. Et du coup on disait. Oui, le concept de Maximum d'Urmon, c'est de jouer à peu près tout en fait, et de même alterner beaucoup les genres au sein d'un même morceau et. [02:09:52] Speaker A: D'Avoir des morceaux qui sont construits sur. T'as un couplet de tel, genre, le refrain il fait plus pop. Ensuite tu vas avoir un gros break. [02:09:59] Speaker B: Limite grind, et après repartir sur quelque chose de plus rock et ensuite finir sur quelque chose de limite de la chanson pour enfants. Tu as tout. Tu écoutes une discographie de Maximum Thermon. C'est encore mieux que de mettre en aléatoire ton Spotify. Tu as de tout, tu as tous les styles. C'est génial, comme tu disais. Un coup tu passes sur du sk qui est assez jovial, un coup tu te prends du gros hardcore, Limite grind dans la tronche, c'est Pépite, moi, j'adore. Après, c'est peut être parce que vous êtes une génération aussi qui a eu beaucoup plus le Japon dans les oreilles et dans les yeux que peut être. Puis là, pour le coup Maximum the roman, c'est arrivé en occident en grande. [02:10:35] Speaker A: Partie grâce à un animé en particulier qui est Death Note, du manga Death Note, c'était sorti en 2007. L'animé était sorti en 2007. L'album. L'album Wiki Case de Maximum the Hormone était sorti aussi en 2007, et il y a eu deux morceaux de l'album qui ont été utilisés comme générique dans l'animé. Et comme l'animé était très populaire à ce moment là, du coup, Maximum the hormone, tout le monde a découvert un petit peu à ce moment là et ça leur a donné une grosse cote. [02:11:00] Speaker C: De sympathie assez rapidement. C'était pas leur 1ᵉʳ album, c'était leur 3ᵉ, je crois. Mais c'est à ce moment là que. Ÿ ça les a révélés, quoi. Parce que tu vois, tu disais, il y a tout, c'est génial. Enfin tu peux. Tu passes d'un style à un autre, c'est vrai, mais pour les gens qui sont pas habitués, parce que les oreilles, il faut l'éduquer. On a déjà beaucoup parlé de ça aussi. Ça peut être indigeste aussi, c'est à dire qu'il y a tellement de choses à toi. Là, ça faisait comme ça. [02:11:23] Speaker B: Bon, j'exagère, mais ça faisait un truc. [02:11:28] Speaker C: Un peu comme ça. [02:11:29] Speaker A: Ça peut être très compliqué quand même. [02:11:30] Speaker B: C'est plus dans le sens où je pense comprendre ce qui se passe après, tu vois, c'est un peu comme quand tu as cette question, fais moi écouter. Côté du métal, tu dis bon, je commence par quoi ? Bah, maximum thermon, c'est un peu pareil, ce que selon la chanson avec laquelle tu débutes, tu en as qui sont plus facilement appréhendables. On a compris l'idée, et que d'autres ou. En effet, par exemple, celle du générique de Death Note, elle est quand même assez vénère et c'est vrai que tout. [02:12:01] Speaker C: Le monde ne l'aime pas plus dans. [02:12:03] Speaker A: Le registre vénère plus. Voilà, on est dans le registre. Alors du coup c'est moitié. [02:12:07] Speaker B: Là, c'est registre moitié. Moitié vénère, moitié très pop. C'est ça qui est bien aussi. Tu disais, Maximum Durman, est ce que ça peut pas être indigeste à un moment donné ? L'avantage c'est que comme ils font beaucoup de passages qui sont très pop rock, voire pop tout court, tu retombes très facilement sur tes pattes avec quelque chose de plus accessible, sur quelque chose de très accrocheur. Et en fait t'es jamais vraiment. Tu arrives très rarement à un stade de saturation où tu te dis non, c'est trop n'importe quoi. Je suis. [02:12:33] Speaker A: D'Accord. Ok, ok, ok. Je retiens, je retiens, je retiens. Du coup, c'est toi qui a choisi ça ? J'ai choisi ça parce que le clip vient de sortir. [02:12:42] Speaker C: Pourtant le morceau est vieux. En fait, le morceau il date. Je parlais de l'album Wiki Cas tout à l'heure qui est sorti en 2007, et l'album, enfin le morceau date de cet album. Sauf que Maximum the hormone, en fait en ce moment, sont en train de faire des ressorties de morceaux avec des featurings, avec des collaborations, dont là, du coup, le morceau Chimie qui est. Qui est fait avec. En collaboration avec un groupe, un girl group japonais qui s'appelle Atarashi Gako. Oui, voilà, on a déjà discuté de ce groupe là, et alors moi je du coup, tu parles du Japon, c'est une culture qui te ouf. Ouais, clairement. Bah tu vois, tu parlais de Death Note, je pense, c'est un des 1ᵉʳˢ mangas que j'ai dû avoir entre les mains, le 1ᵉʳ étant. Je vais être original Naruto. Mais pour le coup, ça s'est très vite enchaîné sur Death Note avec ce côté, bah justement un peu sombre qu'on pouvait voir, ce côté policier. [02:13:20] Speaker B: C'était un des 1ᵉʳˢ mangas que j'ai d'entre les mains qui était plus sérieux on va dire. C'était pas juste le côté très shônen. [02:13:29] Speaker C: Que j'adore quand même, mais très. On va dire classique de bah je pars de zéro, je grandis, je. Machin là. C'était vraiment. Tu avais certains tomes, c'était aussi long à lire qu'un bouquin. Ce que les. La taille, je connais pas. J'avoue, moi je suis sur un côté vraiment très policier ou en fait tu sais déjà qui est gentil et qui est le méchant, mais il te retourne un peu le cerveau là dessus. Et c'est très psychologique dans les préparations, tout ça. Donc ce un beau bébé. Beaucoup d'intrigues, de manipulation, de coups en douce, de stratégie, et en fait ça peut. Ça peut vite paraître assez verbeux en fait, mais c'est bien pensé. [02:13:58] Speaker B: Et l'animé qui c'est ça, et l'animé qui est sorti derrière a cartonné et reste je pense, dans le top cinq ou top 10, je crois, des meilleurs animés à un certain moment. Alors si on considère saison un ou saison deux, ça c'est un autre sujet, on se sait, je vous laisse en parler. Mais ouais, c'est vraiment parti de là. Pour le coup, c'est parti des mangas, puis après ça a évolué petit à petit avec les animés, puis la découverte de haku japonaise, et vraiment toute la culture en elle même, que ce soit vraiment la langue, que ce soit le pays en lui même, ça s'est ouvert petit à petit. Et aussi un gros avantage aussi, on. [02:14:32] Speaker C: Peut faire le pont entre les animés et le rock et le métal, parce que dans les génériques d'animés, oui surtout années quatre, 20, 10, années 2000, donc qui sont un peu notre, notre génération de public, il y a eu énormément de morceaux rock ou de morceaux de carrément heavy metal en fait, qui ont été utilisés. Même juste ÿousand jusqu'à aujourd'hui, des animés très, très populaires, du style l'attaque des titans ou ce genre de choses exactement, continuent à utiliser des morceaux qui sont carrément, carrément métal, speed metal, heavy metal, etc. Dans leur. Complètement leur générique. Ça fait de la promo à des groupes qui arrivent à sortir du lot comme ça. C'est ça. Puis désolé, je t'ai coupé. C'est vrai que sur quelques concerts que j'avais pu faire là bas, beaucoup de. [02:15:08] Speaker B: Groupes que tu vois, puis au d'un moment tu les entends juste attends, mais ça c'est tel animé. Attends, mais ça c'était l'animé ou justement sim que Kelly, moi on est allé voir justement grâce à ce. Merci beaucoup. Justement on parlait de la tête des titans, c'était sur la saison cinq pour. [02:15:25] Speaker A: The rumbling, si je dis pas de conneries. Et ça les a fait exploser au. [02:15:30] Speaker B: Niveau européen et ils ont pu venir faire cette date qui a ramené toute. [02:15:33] Speaker C: La communauté justement internationale, japonaise. Et derrière là, ils tournent pour faire leur headline en ce moment. [02:15:39] Speaker B: Mais grâce notamment à Attack on titan qui les a fait exploser en Europe. [02:15:43] Speaker C: Maximum the hormones, justement très peu après Death note je crois, l'année d'après ou pas loin en fait, ils ont commencé ils ont commencé à tourner un peu en Europe et une 1ʳᵉ date, des 1ʳᵉˢ dates en France ont pu être organisées à cette époque là. Ça les a vraiment permis aussi de pouvoir partir à l'étranger, plus loin, en tout cas sans avoir trop peur. Et maintenant on les retrouve sur des mainstage de hellfest, et à chaque fois qu'ils se pointent, c'est l'événement quoi. Exactement. Ah bah c'était en 2020 deux. Ouais tout à fait, 2020 deux. Je crois que j'ai jamais vu autant de slameurs dans un concert. C'était violent, c'était un bordel, mais un bordel joyeux, tu vois. C'est autant nous on était heureux de les voir, que eux étaient heureux d'être sur scène. Surtout qu'en plus, pour la petite anecdote, à la base, du coup ils sont venus en 2020 deux, ce que le FS avait été annulé en 2021 et. [02:16:25] Speaker A: En 2020, et en 2020 sur le. [02:16:27] Speaker B: Warm up quand ils font le tour de France. Ils avaient prévu des dates au Japon à l'époque, avec une line up avec. [02:16:33] Speaker A: Justement Maximum the hormones, etc. Ils avaient prévu une scène full japonaise avec Crossface, Maximum the hormones, baby metal, etc. Et n'est resté entre guillemets que Maximum the roman, qui du coup était bah ravi d'être là pour représenter leur pays, représenter le projet de base. Parce qu'après, bah voilà, ça a bougé pour x raisons, mais ouais c'est. Ils étaient refait, tu les voyais sur scène, mais ils avaient un smile énorme, donc c'était le bordel clairement, mais un. [02:16:56] Speaker B: Bordel joyeux et c'était trop cool. C'est quoi qui. Oui vas y. La même édition du Hellfest. Tu pouvais aller envoyer des patates en toute festivité à Maximum the hormones et. [02:17:05] Speaker C: Puis pour rester dans les groupes sous. [02:17:08] Speaker A: Des patates, en tout respect. C'est vrai que ça aussi c'est compliqué. [02:17:12] Speaker B: Pour les gens qui sont pas dans le métal de saisir le. C'est le côté hardcore voilà. [02:17:15] Speaker A: Parce que tu fais pas exprès de foutre une patate dans la gueule, c'est juste que tu bouges. Bon voilà ça arrive malheureusement. Et tu décides pas de mettre une patate dans la gueule des gens normalement non. Tu deviens tout seul. [02:17:26] Speaker B: Oui c'est ça avec le mouvement on dirait sur cette même édition. Donc tu avais cette ambiance avec Maximum the hormones et puis pour rester dans les groupes japonais, tu avais envie où tu. Oui en pleurant. Voilà c'est un peu ça. Clairement c'est un peu. Le Japon c'est très extrême dans beaucoup. [02:17:42] Speaker A: De points communs entre les deux groupes. [02:17:43] Speaker B: C'est que c'est des groupes jusqu'au boutiste et qui sont extraits, qui sont excellents tous les deux. Est ce que les japonais, c'est pas un peu les meilleurs en prog ? Je me tourne v. Lui, parce qu'il est fan de prog métal. Techniquement, c'est quand même ceux qui vont. [02:18:05] Speaker A: L'Aider qui [sos/eos] vont aller chercher des trucs. [02:18:07] Speaker B: Alors je connais pas beaucoup de groupes de prog japonais, mais par contre, dans des. Mais par contre ils sont très forts pour faire des choses qui sont très élaborées, mais dans des, dans des registres très accessibles, dans des registres limite pop ou des choses comme ça, ils vont pousser le truc vraiment, je ne saurais pas expliquer comment, mais souvent il y. [02:18:30] Speaker A: A une espèce de subtilité, que ce soit dans les arrangements, les compositions, les suites mélodiques, les choses comme ça, qui fait que les groupes japonais se démarquent. [02:18:39] Speaker C: Enfin, les artistes japonais se démarquent et. [02:18:41] Speaker A: Leur musique est souvent très intelligemment faite. Et pourquoi ? [02:18:43] Speaker C: Je sais pas, c'est la question d'enfant, pourquoi ? En plus, le pire, c'est que j'avais vu une vidéo là dessus qui tentait d'expliquer ce phénomène en se servant notamment de l'héritage du jazz au Japon, comment ça avait infusé dans les, dans des styles plus grand public, avec des idées mélodiques, des idées, des suites d'accords et tout qui viennent du jazz. Et effectivement, ça, mais je ne saurais pas le retranscrire parce qu'on sait que dans chaque pays, avec chaque culture, il y a des mécanismes différents qui se organisent. Ça m'intrigue en fait. C'est quand même un pays qui est très complexe. C'est un pays qui est très complexe. C'est pas négatif quand je dis ça avec une grosse culture. Et pour le coup, tu vois, j'essaye de réfléchir un peu en parlant même temps de ta question. Et pour le coup, c'est vrai qu'ils ont quand même un côté très allé dans le what the fuck ? Mais dans le sens où ils vont vraiment tenter des choses, ils sont toujours à tenter. Parfois tu as ce côté très on. [02:19:22] Speaker B: Tente, on voit si ça passe ou ça casse, et sans se préoccuper de ce qui peut donner d'où. Tu as plein de vidéos là dessus, surtout les pubs au Japon, etc. Mais je pense que ça s'est pas mal infusé aussi dans la musique et finalement des nouveaux titres qui sont sortis soit sur des trucs très, on va dire un peu sombres, avec du dev corps, etc. Ou des choses beaucoup plus joviales. On parlait de bb metal tout à l'heure où tu as ce côté un peu kawaii justement qui ressort. Donc finalement, je pense qu'ils sont très à tester et à tenter. Pour le coup, c'est un peu dans leur. Dans leur ADN. Les artistes japonais, il y en a beaucoup qui se démarquent par leur audace, même autant, même au sein d'une scène qui peut être très codifiée, par exemple la scène black metal. Des groupes comme ça, par exemple, qui vont aller explorer des choses, mais complètement musicalement, visuellement aussi, surtout musicalement, parce que bon, visuellement, à part les concepts, en fait, ils font pas vraiment de. [02:20:21] Speaker A: Pas fait beaucoup de clips ou de choses comme ça. Mais après tu as aussi les artworks, la direction artistique qui est très, très à la marge de. Très à la marge du style. Mais oui, c'est dans la scène black metal, par exemple, ça, c'est un groupe qui a été déniché très tôt par les pompes du black norvégien, mais qui ensuite, au fur et à mesure se sont construit une réputation internationale sur le rodas. Et le fait que c'est un groupe qui. Qui tente des choses, qui a un côté très, très foufou fou qu'on. Au sein d'une scène qui est généralement assez. [02:20:51] Speaker C: Parfois assez fermée. [02:20:52] Speaker A: Parfois assez fermée au fait de sortir des cadres. Oui, bien sûr, carrément. Ok. Ok. Le Japon. On continue un petit peu juste là dessus quand même, parce que je sais. [02:20:59] Speaker C: Qu'Il y a ton 2ᵈ morceau, 2ᵈ. [02:21:02] Speaker A: Choix, mais on profite du sujet Japon parce que. [02:21:04] Speaker C: On en parle assez peu et je sais que Kelly sera très heureuse, donc on en discute. Par contre, elle va me dire tu vas pas inviter. Je te p. Ça, je. Je le sais, Kelly, je suis désolé, mais oui. Le Japon, tout à l'heure, en rentaine, tu disais que c'était un endroit où tu te sentais bien. Ouais. Alors j'ai besoin de comprendre, je suis désolé. Non, mais il n'y a pas de souci, t'inquiète. La France du coup, parce qu'on crache beaucoup sur la France, mais ça reste un beau pays quand même. Pourquoi le Japon ? Tu t'y sens mieux ? C'est un très beau pays parce que je suis sauveur, mais je. Plein de choses à la France aussi. Je suis très. Pour le coup, je suis très chauvin de Lyon notamment, ma ville et tout. Mais c'est plus ce côté où je me suis retrouvé dans. J'aime, enfin je pense. J'espère être quelqu'un de relativement carré dans. Quand je bosse, etc. Même dans ma vie de tous les jours. Bon, mise à part d'autre chose. Mais c'est un autre sujet. Mais du coup, c'est le Japon. J'ai retrouvé ces sentiments là de tout est cadré, tout est posé. C'est un sentiment d'ensemble. Alors attention, ils ont aussi leur côté négatif, ils ont pas entre les détails. Chaque culture a ses up et ses down. Mais c'est l'atmosphère en elle même où je me sens. Suis senti vraiment à ma place et. [02:22:07] Speaker A: Chez moi, en fait, d'une certaine façon. [02:22:10] Speaker B: De par les interactions avec les habitants, de par la façon de naviguer dans les villes, de par la façon de manger aussi. Enfin voilà, il y a vraiment plein de choses. [02:22:18] Speaker A: Et ouais, je me sentis. C'est. On parlait des animés tout à l'heure. [02:22:23] Speaker C: Où tu as une catégorie d'animés qu'on appelle les Slices of life. Donc ce côté où ça se passe vraiment aujourd'hui, etc. Ce que tu voyais en animé, je le voyais en vrai. Il me disait ok. C'est l'univers dans lequel tu t'étais déjà imprégné de l'anime, l'univers zweitausendeinundzwanzig que je voyais. Ben en fait, j'étais dedans, je disais mais en fait, ouais. Là, je me sens chez moi, quoi. Ok. Tu es déjà allé au Japon, toi ? Jamais. J'ai jamais eu cette chance. Et pourtant, ça me fait envie depuis que je suis ado. Faut avoir un petit budget quand même. C'est la 1ʳᵉ des barrières. Pour le coup, en bouffe, ça va, tu peux t'en sortir, mais le reste, c'est le billet d'avion qui est un petit peu cher, mais après, tu peux t'en sortir. [02:22:55] Speaker A: Sur place, c'est comme tout. Faut éviter les endroits, tous, etc. Surtout, il y a plein de bars métal, il y a plein de salles de concert métal. Et je m'étais amusé justement dans chaque ville, à aller dans un bar à chaque fois pour découvrir, etc. On arrivait un petit peu à dialoguer en mi japonais, mi anglais, et c'était trop cool. J'ai passé une soirée entière à Kyoto, pardon, où le gérant, en fait m'a donné, je pense, une quinzaine de CD de punk japonais, parce qu'à chaque fois, il me faisait tiens, écoute ça. Ça te plaît ? Allez, tiens le CD. Et je dois voir une quinzaine de cd qui sont repartis chez moi, quoi. C'est cool, ça. Adorable. La bonne rencontre aussi, c'est bien. Seul bar métal où je suis allé, il était au 10ᵉ étage déjà. C'est un truc. Un concept qui était très étrange pour moi. Oui. Et quand je suis arrivé, il y avait personne, donc c'était encore payé. J'étais tout seul. Moi j'aime bien voyager seul. Et j'avoue que quand je suis arrivé, j'ai même pas vu le barman. [02:23:45] Speaker C: J'étais là mais attends, j'ai le droit de rentrer ? Parce que quand même, il faut faire attention à respecter les règles, c'est normal. Moi bien sûr, pas respect pour les gens là bas. Il les respecte beaucoup. Oui, ce qui me plaît beaucoup justement c'est, c'est un peu. Pas comme ici quoi. Mais j'avoue que j'étais tout seul et puis après il est sorti, on n'a pas trop discuté, il était occupé, mais ça m'avait un peu perturbé. Il n'y avait pas de fenêtre, donc on était dans l'étage et il n'y avait pas de fenêtre, donc. Je sais, c'était un peu. Après c'est des concepts au Japon, tu sors de ta zone de confort en termes de découverte et d'expérience. Clairement je crois que l'expérience qui m'a le plus marqué c'était osaka. Là cette fois je me suis pas trompé où. En fait le bar live s'appelle Hokage, qui est un des pontes des lieux. Justement quand tu commences à tourner au Japon, ce qui est vachement drôle c'est que tu es déjà au milieu d'Osaka. [02:24:28] Speaker A: Donc c'est des énormes buildings dans tous les sens, c'est très serré, tu passes. [02:24:35] Speaker C: Par une petite porte, tu descends. [02:24:37] Speaker B: Au moins un c'est là où tu. [02:24:38] Speaker C: Payes ton entrée, au moins deux c'est la salle, au moins trois c'est le bar. C'est tout en hauteur. Tu dis mais qu'est ce qui se passe ? C'est quoi cette histoire ? Donc pareil, sans fenêtre, sans rien. Tu dis comment ça va se passer ? Et des gens adorables et du coup des concerts de punk et de hardcore parce que c'est vraiment les deux styles qui cartonne là bas et c'était trop bien. J'ai passé mes meilleures soirées là bas à terminer à quatre 5 h dans un restaurant de ramen avec les groupes, à discuter. C'était accorder des œufs en machine, c'est un petit peu ça. Enfin des œufs, on a fait le lien. Toi tu y es déjà allé, tu es même allé récemment au Japon. Ouais bah c'était pour le coup l'année dernière où là ça a été un mois et 1/2 quasiment où j'ai pu partir. Et l'idée c'était bon déjà de découvrir le pays, mais surtout quand je commençais à faire mon itinéraire, je me disais bon Ok, tu as les temples, tu as les autres. Mais attends, j'aimerais bien faire un truc qui change, et sur le coup je fais mais t'es con, ça fait des mois, des années que tu kiffes le métal. Bah en fait, profites en. Et donc du coup, j'ai commencé à. [02:25:31] Speaker B: Booker des concerts là bas, à lister justement dans chaque ville où j'allais, où étaient tous les bars métal, pour m'y. [02:25:37] Speaker C: Rendre au moins une soirée à chaque fois, ou plus, selon comment ça se passait. Et du coup, découvrir la culture métal au Japon, voir s'il y avait une différence avec la culture française, voire européenne on va dire, et pouvoir en faire des vidéos derrière, que j'ai pu mettre un petit peu justement sur mon profil d'autres que j'ai toujours pas monté. Justement, tous les bars où je suis allé, j'ai je sais pas combien de kilos de rush que j'ai toujours pas, ça va faire un an, mais ouais, c'était fou. Et oui, des différences, il y en a une bonne quantité quand même. Qu'est ce qui t'a frappé le plus en fait, comme différence entre un public occidental, français typique et japonais ? Tu as tout dit déjà. Le public, ça change tout dans le sens où les. Les pogos sont très différents pour le coup. Dans le sens où quand tu vas un concert de métal en France, alors je vais agrandir un petit peu, mais selon le style de métal que tu vas voir, les pogo vont changer. T'as pas les mêmes pogos en France, si tu vas avoir du hardcore, ou si tu vas avoir du def, ou si tu vas avoir du mélodique. Ça change complètement. Là. Là bas, tous les concerts que j'ai faits qui étaient soit, on va dire. [02:26:33] Speaker B: Un peu punk, ou un limite pop. [02:26:35] Speaker C: Mais qui allait parfois jusqu'au dev core, tout le public, ils sont là pour. Tu vas te prendre une doc [sos/eos] dans la jugulaire. C'est vraiment. Tu es en mode hardcore sur tous les concerts, c'est en mode pied bouche. Ah oui. On y va bien comme il faut. Ça, ça rate pas. Et ce qui m'a fait vraiment le plus rire, et que je pouvais pas filmer ce que. Au Japon, dans les endroits publics, et notamment les concerts, les spectacles, tu n'as pas le droit de filmer. Donc par exemple, un festival à Nagasaki, énorme, interdit de fumer. Je me suis fait engueuler quand j'ai sorti mon téléphone parce que j'avais pas vu la petite annonce. En fait, c'est que des concerts de Tool au Japon, finalement, voilà. Mais ce qui est fou, c'est ÿousand les crowdsurfing. Parce que chez nous un crowdsurfing c'est quoi ? C'est. Bah tu as envie de te lancer, les gens te lancent, on t'apprend à bien rester droit, à faire la planche, etc. On porte, on te voit partir au loin et c'est fini. Et souvent tu sais, tu regardes derrière toi pour voir si quelqu'un arrive pour pouvoir porter. Là tu oublies, tu n'as pas le temps, parce qu'en fait les festivaliers ou. [02:27:27] Speaker B: Les spectateurs montent sur les épaules de leurs copains, ou pas de leurs copains d'ailleurs, et se jettent au dessus de la foule. [02:27:32] Speaker C: Et en fait le crowdsurfing pour eux c'est rouler sur la foule. Donc tu vois des rouleaux, ils font des rouleaux, ils font des roulades. Mais quand on a un. C'est marrant, mais quand on a 20 sur une chanson connue, comme sur un énorme crowdsurfing que tu parlais sur Maximum the hormone au Hellfest, bah le sait tout droit et tout plat, machin. Bah là tu vois des gens qui roulent sur les gens au dessus, qui. [02:27:50] Speaker B: Roulent sur les gens encore au dessus. [02:27:52] Speaker C: Je voulais le filmer parce que l'image était incroyable, mais je pouvais pas. Mais ça restera à vie dans ma tête. C'est magnifique, c'est tranquille, en train de se. En train de profiter du concert. Et puis tu te fais rouler dessus par les chenilles d'un tank. C'est un peu ça par Ÿousand. Mais par contre tu as ce côté très. Les gens savent que telle zone est dédiée justement à ça. Donc le centre, le ventre mou comme j'aime bien l'appeler, ou alors tu vas vraiment être sur les côtés à chiller, à profiter. Donc tu as vraiment une bonne séparation à ce niveau là, où tu sais que si tu es au milieu, c'est pour ta pomme, tu sais que tu vas y aller. Personne qui s'amuse à croque kill. Non non non. Ça pour le coup au contraire c'est ce que j'ai adoré retrouver au Japon. C'est ce côté très bienveillant ou. Bah tu es dans un pit, que ce soit circle ou whatever, tu es à deux doigts de tomber. Bah en fait t'as même pas le temps de capter que tu es en train de tomber, que tu as déjà trois personnes qui te connaissent pas, qui te rattrapent, qui justement vérifient que tu es bien debout, que tout va bien, que tu t'es pas cogné, machin. Donc tu as cette même bienveillance, très. [02:28:46] Speaker B: Forte et toujours dans ce côté bienveillant. C'est ce côté très unicité. On va dire que tu retrouves beaucoup au Japon, c'est sur certaines chansons, c'était notamment sur Annabye, donc gros groupe japonais de hardcore. Pour ceux qui connaissent pas, allez écouter. C'est incroyable quand tu écoutes une chanson en concert et que tu es à fondante et tu es bang. Un petit peu de ton côté là, c'est non, c'est à tous les gens autour de toi que tu ne connais pas qui t'attrapent par l'épaule et en fait c'est communion. Et c'est tout le monde en headbang ensemble et tu es en mode mais c'est incroyable. Et du coup c'est comme ça. Tu discutes après avec des gens que tu rééchanges. Et ça m'avait extrêmement marqué, ce côté très ensemble finalement. [02:29:24] Speaker C: Alors que mon observation personnelle, par exemple, c'est les concerts en France, et surtout ceux que je connais le mieux. Donc là où on est à Paris, j'ai l'impression qu'il y a un côté très individualiste, en fait, quand tu es dans le public, tu es là pour toi ou alors avec les potes avec qui tu es venu. Il n'y a pas une véritable. C'est assez difficile de trouver une véritable osmose dans le public ou une espèce de créer une espèce de mouvement, une espèce de mouvement collectif où t'as parfois un peu du mal à sentir que. [02:29:49] Speaker B: C'Est vraiment la fête d'être, pas d'être à un concert. Alors que d'après ce que tu me dis, en fait, au Japon, ils n'ont aucun mal à se lâcher comme ça. Et ça joue beaucoup avec ces cultures japonaises où justement à l'extérieur, c'est à dire des concerts, alors qu'ils sont au boulot et dans la vie de tous les jours, ils sont très carrés. On parlait de règles tout à l'heure à respecter. Et les concerts, c'est le moment où ils se lâchent en fait, c'est vraiment le moment où ils peuvent tout lâcher, tous donner dans un endroit bienveillant, sain. On parlait tout à l'heure des bienfaits du métal, ça en fait complètement partie. Je trouve qu'il personnifie et énormément ce sentiment, quoi là dessus, c'était fou. [02:30:27] Speaker C: Ça me fait penser. Alors un documentaire que tu as peut être vu, qui s'appelle global métal, qui est sorti il y a, je crois, 15 ans, quelque chose comme ça, et qui va donc dans des pays où on soupçonne pas avec nos yeux d'occidentaux, qui est des groupes de métal, du public métal, etc. Et puis il va au Japon et il met en avant justement le fait qu'il y a des bars où tu as des typiques salarimètres en fait qui. Qui vont en fin de semaine, qui desserre la cravate et puis qui se mettent tous à gueuler sur du deep purple et tout, et qui se lâchent complètement dans un cadre très différent de leur cadre de vie de tous les jours ou travail, métro, etc. C'est exactement ça. C'est exactement ça clairement. Et c'est vrai que tu as ce côté aussi dans les music bar. J'ai trouvé au Japon déjà, il y en a beaucoup. Tu as vraiment une grosse culture de la live music zweitausendein dans des très petites salles et du coup aussi sur le côté métal. Et tu vas retrouver plein de bars. Un que j'avais trouvé incroyable, c'était à Tokyo où pour le coup bon j'étais parti pour juste découvrir le bar. Il était 20, deux 20, 3 h, on est ressorti à 5 h mais parce qu'en fait même pas. Justement en fait si tu veux. Ce qui était fou c'est que j'ai passé la soirée à discuter avec la personne qui m'avait emmené, mais aussi avec les autres gens du bar et les deux gérants, à parler musique et à se faire découvrir des sons. On a fait une soirée Spotify YouTube. Globalement non, mais c'était vraiment ça. Et ça a été tout du long. Alors je descendais alors la bulle d'alcool est dangereux pour la santé. Mais je descendais mes despés, mais du coup de façon très tranquille, avec des petits softs entre temps. Mais moi je leur faisais découvrir du métal français, eux me faisaient découvrir du métal japonais et c'était trop cool. Et il y a plein de groupes. [02:31:59] Speaker B: Que j'ai découvert comme ça. C'était je crois la veille de repartir en France, j'avais mais des étoiles dans les yeux, je c'est trop bien. [02:32:05] Speaker C: C'était hyper bienveillant, hyper gentil. Et eux ils étaient heureux de me partager. Et surtout quand il y avait des groupes que je connaissais, Maximum the hormone ou Crystal lake qu'on verra tout à l'heure. Ah mais attends tu connais ? Mais c'est trop cool. Et eux c'est leur dieu quoi, c'est leur groupe comme nous on voit un gojira ou autre. Bah ils ont la même représentation. Exactement. Ils dirent putain merde. Un gars qui est. Qui vient de France, Europe, etc. Qui connaît, qui en plus qui kiffe et qui lui nous propose. C'était en mode. Mais trop bien, trop, trop cool. Et du coup tu disais que tu leur partageais des groupes français, est ce que tu les sentais réceptifs sur la plupart des groupes ? Ouais dans l'ensemble ça va. [02:32:32] Speaker A: Après j'essayais de rester un peu dans. [02:32:35] Speaker C: Les styles que eux me présentaient pour que ça reste assez carré tu vois. S'ils me présentaient du hardcore, j'essayais de mettre un peu de hardcore. C'était plus du devcore, plutôt du dev core pour rester déjà dans. Un peu comme quand tu fais ta soirée Spotify, t'essayes de rester un peu dans ton chemin. Mais ça leur a permis de découvrir plein de trucs et eux après les rajoutés sur leur playlist et je me disais putain trop cool. Et inversement je les rajoutais. Et quand je scrolle un petit peu mon Spotify, bah du coup je vois, je me dis ah ouais c'est là, c'est quand j'étais à tel bar machin et ça ramène pas ÿousand plein de souvenirs et c'est trop bien. Mais continuez, continuez. [02:33:00] Speaker A: C'était très intéressant. Bah là il me semble qu'on parlait justement de tout ce qui était live bar. On a parlé justement un petit peu de tout ce qu'on pouvait découvrir pour le coup et ouais, non, les live bar, tu vois ce côté de ce qui est cool aussi avec le métal, on en parlait tout à l'heure sur Linking Park. Ce côté où tu associes justement des musiques avec des émotions, avec des moments forts. Exactement. Bah c'est vrai que cette playlist je. [02:33:25] Speaker B: Crois que j'ai ouvert en 2010, sept que je continue de remplir, je crois qu'elle en est à 600 titres, une connerie comme ça. Bah quand je vois les titres passer, je fais ah ouais c'était dans ce bar là. Et c'est trop bien quoi. Ah oui du coup tu as marqué. [02:33:40] Speaker A: Là tu as des vrais marqueurs systématiques de tout ce que tu as pu découvrir là bas. [02:33:43] Speaker C: Et tout à fait. C'est vrai qu'ils sont. Ils sont beaucoup dans le partage. Oui globalement. Après c'est des fois un peu compliqué quand c'est un peu plus root, quand c'est un peu plus dans le. Mais c'est quand même très, très dans le partage. Et ils sont tellement contents de voir qu'en fait on connaît des trucs de chez eux et inversement. Je crois. Je crois savoir aussi que les gens sont assez francophiles d'un point de vue culturel en tout cas. Donc tout à fait, qu'il y ait des échanges entre la France et le Japon, c'est pas nouveau, et que en plus peut être une espèce de sensibilité entre il y a un amour, il y a quelque chose qui s'est opéré. Pourquoi ? Je ne sais pas. Mais tu as un lien entre les deux. Tu vois par exemple, c'était au. Ah, c'était au Nagasaki fest du coup. Donc à Nagasaki, tu avais le un, deux, trois, quatre. Tu avais énormément de groupes un petit peu def qui passaient ÿ mais aussi un peu de variété. Mais je discute avec un groupe qui reconnaît un de mes t shirts. [02:34:29] Speaker A: Je crois que j'étais le t shirt d'Anna Billet à l'époque. Ils Ah, tu connais Anna Billet et tout ça. Puis on discute, ils disent au fait, nous on va voir 10050 six dans deux semaines. Ce qui passait en tournée justement au Japon, je me disais mais incroyable, c'est trop cool. Et du coup mais tu connais toi aussi. Ah, ils sont trop bien. Mais ils sont français. C'était trop bien. Et tu te crées des liens comme ça avec qui j'ai encore justement discussion dm de temps en temps un petit peu en contact quoi. [02:34:59] Speaker C: Même si dans la culture japonaise, et à nos âges surtout, c'est très difficile de nouer des liens, surtout sur du long terme, il y en a quelques uns avec qui ça peut continuer. J'avoue que c'est très compliqué de devenir ami avec moi, j'ai qu'une amie japonaise, j'en ai qu'une seule pourtant bon, après je suis un peu spécial, donc c'est peut être pour ça. Mais c'est vrai que j'ai discuté avec beaucoup de gens, j'ai échangé énormément de choses sur la culture, des questions classiques parce que ça m'intéressait, parce que tu peux pas le vivre. Et puis qui de mieux que, qu'un local pour t'expliquer clairement quand il a un ÿousand de critique et de recul sur, sur son pays et l'amitié, ça va sembler très compliqué quand même. C'est particulier. Puis après ça part même sur un autre sujet qui est le sujet de. Qui est même le sujet des relations d'une façon générale. Mais pour le coup c'est vrai que. [02:35:38] Speaker A: C'Est particulier, ce qui est cool, c'est qu'il n'y a pas le côté froid de 1ᵉʳ abord. Donc quand tu es étranger, que tu découvres le pays, bah déjà c'est une barrière de moins que tu t'enlèves, c'est à prends deux trois mots de japonais. [02:35:49] Speaker C: Tu la brises encore plus. [02:35:50] Speaker A: C'est plus dans le long terme où c'est compliqué. Par contre, quand tu découvres pour la 1ʳᵉ fois ou que tu reviens, bah tu peux rencontrer des gens très facilement que tu vas renvoir en concert, que tu vas voir au bar, qui vont te conseiller des endroits, etc. C'est quand même hyper bien accompagné. [02:36:03] Speaker C: C'est plus pour. [02:36:04] Speaker A: Je crois que c'est aussi au Canada où ils sont un peu comme ça. C'est créer plus une relation long terme qui est plus compliqué. Je veux dire que c'est pas des américains, quoi. [02:36:16] Speaker B: Bon allez. Bon, le Japon, ok, on va arrêter. [02:36:19] Speaker A: Parce que sinon on va rien pour 1000 ans parce qu'il y a des milliards de choses à dire. Très vaste sujet. Très vaste sujet. [02:36:23] Speaker B: Les concerts aussi, c'est que tu souhaites d'y aller. Bien évidemment. Et je souhaite à tout le monde de. D'avoir cette chance. J'avoue que je. Je suis très content d'avoir pu le faire. Et je l'ai fait si longtemps. Je l'ai fait deux fois. J'ai fait d'abord le côté ville et après j'ai fait un peu le côté campagne. [02:36:42] Speaker A: Ouais. [02:36:42] Speaker B: Plus campagne. Ouais, carrément. Notre expérience aussi, clairement, on comprend d'autres choses. Oui. Et je laisserai les gens faire leur découverte parce que. Un très très beau pays. Tu voulais nous parler d'un autre groupe ? Ouais. Alors là, on va aller dans un délire très différent. Je sais pas, tu as des yeux qui sont en train de rire avant même d'en parler. Je sais pas trop, ça me fait un peu peur. Non, non. En plus c'est un groupe qu'on a déjà diffusé, Unto others, je me souviens plus anciennement connu sous le nom de Idle Hands. Et c'est un groupe de rock heavy metal avec un style assez gothique en fait, et qui peut. Qui a un côté un peu. Un peu post punk, un peu cold wave en fait, dans son approche et volontairement kitsch, vraiment avec. Avec le côté gothique assez poussé, avec le chanteur qui a une voix un peu de stentor comme ça, comme ça et qui fait. Qui fait le loup, enfin des trucs comme ça. [02:37:36] Speaker A: C'est un délire. C'est un délire. Moi je trouve ça. Je trouve ça super sympa. [02:37:39] Speaker B: Et là, ils ont sorti un album il y a quoi il y a deux semaines je crois, qui s'appelle Never Neverland et dans lequel il y a un morceau. Alors le morceau, il s'appelle Moma likes d'orchestre close, d'un truc comme ça. C'est le 2ᵉ morceau de l'album et il m'a frappé directement d'entrée de jeu quand je l'ai. [02:38:01] Speaker A: Quand je l'ai écouté pour la 1ʳᵉ fois. C'est un morceau qui est assez varié, qui est. Qui passe par des rives très heavy metal, des passages, ouais, des couplets qui font très. Très post punk. Ça arrive beaucoup. Il ya un passe, il ya un pont qui fait un. [02:38:48] Speaker E: Peu funk metal qui est cassé. [02:38:54] Speaker C: Aujourd'Hui. [02:38:55] Speaker E: C'est une ÿousand sélection un peu. On met tout dans un truc, on fait un coup de shaker et c'est une sélection cocktail, mais. [02:39:10] Speaker C: Ouais. [02:39:10] Speaker E: Unto Others est donc un groupe que je trouve assez talentueux, en fait, et qui arrive à faire de quelque chose de kitsch, quelque chose de très accrocheur et que j'avais déjà un petit peu détecté dans leurs précédentes sorties. Et ce nouvel album, Never Neverland, qui est très sympa, je trouve, c'est bien vendu. Je pense que le mieux, c'est de. [02:43:18] Speaker A: Regarder. C'est de regarder et d'écouter, évidemment. C'est parfait. [02:44:10] Speaker C: On regarde ça. [02:44:12] Speaker B: Unto others, de toute façon, ça va. [02:44:14] Speaker A: Être écrit dans le chemeu, le. Vous pouvez retrouver tout cela grâce à Marcel. Allez, Marcel, on balance la sauce. Every night sleep in your truck man is a swamp knee friendly face romance takes hold rapid pace She's in love and you need a place This is. [02:44:30] Speaker B: Your situation This is your circumstance This is your fork in the road This is what pathways pledge you got your. [02:44:36] Speaker A: Eyes you can keep on your mission But now we trash shaving that collision Those expectations are easy ÿousand this is your walk in the road This is what I play you got your options. [02:44:44] Speaker B: Here you can keep my condition Quite no express shake ÿousand thank you Voilà. [02:44:48] Speaker A: Il est enfin passé. On l'a eu. On l'a eu. Merci, Pierre. [02:44:53] Speaker C: Vous êtes un génie. [02:44:56] Speaker A: Comme quoi, la technique ? Comme quoi la technique ? J'espère que vous pourrez dire à Ben, Pierre a réussi à sauver un clip pendant l'émission. C'est important. Ce sera la seule fois. Très beau clip. J'ai beaucoup aimé. Ça m'a bien fait rire. La chanson, effectivement, est quand même super bonne. Ouais, la chanson est très sympa. Le clip est très sympa aussi, dans son côté grand guignol. C'est rigolo quand ils se font. [02:45:15] Speaker C: Ils sont enlevés le coeur et que. Ils sourient comme ça, c'est. Voilà. Bon, alors. Ça a fait peur à Marcel. On l'a failli le perdre pendant le truc. On va jamais lui montrer Indiana Jones et le temple maudit. Ah non, non. Vous imaginez bien. Aujourd'hui, ça s'est interdit au moins de 30 sept ans. Oui, rien vache près. C'est ça. Au moins, on parlait beaucoup du Japon, évidemment, de cette belle expérience. Parce que voilà, il y avait une question. C'est ces vidéos, alors, parce que je connais pas toutes les vidéos. Je suis désolé, il y a pas de. Tu as déjà sorti des trucs sur ton voyage au Japon ? Ouais, carrément. Et tu as dit j'en ai des kilos et des kilos. [02:45:45] Speaker A: C'est à dire que tu comptes l'étaler ? [02:45:46] Speaker C: Bah, c'est que je suis à la bourre et que j'ai appris à ce moment là qu'il vaut. Qui c'est ? Que du coup, on a du taf, donc c'est bien, mais que. Il vaut mieux que je les sorte directement après je les ai filmés, sinon, bah, j'accumule ce que je dois faire sur le moment et voilà. [02:45:59] Speaker A: Mais ouais, ça va commencer à ressortir. [02:46:00] Speaker C: J'ai deux, trois vidéos sur des bars, sur. Par exemple, si on va au Japon, bah, quelle barre je recommande, en tout cas, que j'ai pu voir et auquel j'ai une bonne expérience. Ÿousand expérience pour qu'il puisse y aller pareil. Là, ce sera vraiment une vidéo YouTube parce que ce sera très long. C'est. Comment acheter une place de concert au Japon ? C'est. Ah oui. Non, on avait été invité. C'est devenu extrêmement compliqué. Alors pour le coup, je dis. Devenu ce que pour toi, ça a l'air plus simple, mais c'est la croix et la bannière. Vraiment, tu vois, je disais de façon toute joyeuse tout à l'heure, allez, je t'ai. J'ai pris trois, quatre billets. Mais la guerre, c'est très, très compliqué, en fait. Pourquoi est ce que ça se vend trop vite ou que c'est un système particulier ? Un système très particulier. Et pour être très, très synthétique, dessus, en fait, tous les systèmes qui sont. Qui sont en place là bas pour acheter en ligne ne sont utilisables que si tu as un numéro de téléphone japonais et une carte bleue japonaise. Ah oui, du coup, effectivement. Donc en soit, tu vois, ils ont plein de plateformes comme nous, la Fnac ou Ticketmaster, mais lors de l'inscription, on te demande. C'est l'un ou les deux éléments ? On te demande aussi ton nom et ton prénom en katakana, donc écrit en japonais, donc faut vraiment se préparer à le vouloir. Et pareil, je te passe les détails, mais j'ai trouvé un site où j'ai réussi à en acheter. Bah, bug notamment, que j'ai réussi à avoir là bas. Mais ça a fonctionné parce que derrière, j'ai réécrit au support en disant vous me confirmez bien ? Ma place est bien validée ? Parce que mon numéro français était passé, et ils m'ont dit oui, c'est bon. Par contre, à tous les tickets, réécrivez nous pour bien nous confirmer. Nous machin pour derrière, aller prendre les billets dans un konbini pour le récupérer. [02:47:30] Speaker A: Là bas, sachant que tu peux les récupérer, c'est au bout d'une semaine. Une fois que les places sont vendues. [02:47:34] Speaker C: Tu as trois jours pour les récupérer dans tous les konbini. Ah non mais c'est un délire. Faut s'accrocher. Et tu vois des places. C'était pour Crystal lake que j'ai vu là bas aussi. Je les ai achetées. J'étais en Indonésie à ce moment là. En fait, cinq jours plus tard, je reçois une notif. C'est bon, vous pouvez bien acheter une place. Par contre, vous avez trois jours pour la retirer. Copain, j'arrive dans trois semaines. En fait, j'ai dû demander à une amie sur place. Merci encore, Charlotte, d'aller dans un konbini pour pouvoir faire le paiement, récupérer la prévente, pour que moi, derrière, après, sur place, une semaine avant le concert, je puisse récupérer la place dans un konbini. Sinon, tu peux te. Sinon tu peux te rendre sur place, à l'entrée de la salle pour acheter des tickets, s'il en reste. Voilà. Si c'est pas sold out, c'est faisable. Bah, on parlait encore une fois du festival à Nagasaki. Je l'ai découvert par hasard. Je me balade dans la rue, là, je vois une affiche sur un bar. Oh ça sympa l'affiche. Oh, sympa les groupes. Ah, c'est un festival. Ah, c'est aujourd'hui. [02:48:24] Speaker A: Et du coup, bah, je fonce à la salle parce que. Impossible d'acheter sur Internet, parce que la plateforme ne. C'était zweitausendeinundzwanzig pia pour le coup. Pia qui t'oblige à avoir numéro de. [02:48:33] Speaker C: Téléphone japonais et carte bleue. Donc j'ai débarqué là bas en mode on va tenter. Et bah ils voient. J'avais vraiment envie de venir me bah écoute, si tu nous ramènes en cash, en effet, on peut te passer une place, il n'y a pas de souci. Donc c'est un peu oculo aussi, d'une certaine façon. Ils fonctionnent beaucoup au cash. Aussi. C'est vrai. Ils sont beaucoup en cash. C'est vrai. À la fin. Et ceux qui sont partis au Japon, on connaît. Tu repars avec des portefeuilles remplis de petites piécettes. Des pièces de 100 ¥, t'en as une quantité pas possible. Et ça, c'est en non stop. Clairement. Bon. On va passer justement à Crystal Lake, puisque tu as dit que tu es allé le voir là bas en concert. Ça doit être une expérience aussi à part. Tu les as déjà vus en France ? Je les ai vus en France, Welphace, cette année, justement. Mais c'était la 1ʳᵉ fois que je les voyais. Ça faisait partie de mes groupes phares que j'avais ratés, encore une fois, avec les annulations, Covid, etc. Et pourquoi aussi, j'ai pris ce titre là ? Et surtout ce groupe, c'est que quand je les ai vus au Japon, dans une toute petite salle, mais quand j'étais une toute petite salle, c'est. On était 40, grand max. Ils faisaient une tournée japonaise, donc dans des grandes salles, Tokyo, etc. Et en fonction de mes dates et comment je bougeais. La seule qui collait, c'était Shizuoka. Une petite ville perdue au milieu du Japon. [02:49:42] Speaker A: 4 h de train pour y aller. Bon. Magnifique, mais genre un petit rock bar. [02:49:46] Speaker B: Alors qu'ils te font une warzone blindée au Hellfest. Il a une toute petite salle. Les gars nous ont joué un concert comme si on était 3000. C'était incroyable, les gars. On était littéralement. Je pense que maxi, ça devait aller. Aller 5 m entre le mur et la scène. Il devait être à 50 cm de surélevé. On veut des. [02:50:04] Speaker C: Qu'on appelle ça. On veut des crowd surfer. On veut des gars qui sautent dans tous les sens. Allez y. Tu as sur les murs marqués de partout. Pas de moche, pile, pas de machin. Au bout de 2 min. [02:50:15] Speaker B: Bon. [02:50:16] Speaker C: Je veux que vous me déstruisez cette salle. D'accord ? C'est parti. Et c'est parti en live. Total Ÿousand. Et c'était incroyable. C'était trop cool. Ah ça, c'est quand même une chance. Un groupe aussi gros dans un si petit endroit. [02:50:29] Speaker A: C'est clair. Moi, je les ai. Je les ai déjà vu. [02:50:33] Speaker C: C'était en Espagne, au Resurrection fest. Énorme. Je connaissais pas du tout Crystal lake à ce moment là. J'avais écouté deux, trois morceaux. Il débarque sur scène direct, le chanteur qui hurle en réclamant des circle P. Et le concert était d'une violence assez inouïe. Et j'ose pas imaginer, dans une salle de 5 m², c'était. Mais incroyable. Mais par contre, encore une fois, certes, c'était très pied bouche, mais très safe en même temps. Bon, ça se joue à quelques centimètres carrés où j'ai vu des dodges passer pas loin de ma tête. Mais c'était génial. Ah non, mais de fou. Et c'est là où, pareil, j'ai découvert un système. Alors on n'ira pas forcément trop dans le détail, mais on parlait d'acheter des places. Mais tes places sont numérotées, même dans la fosse. What ? Ouais. J'ai pas eu ça. Ouais. Et ça a peut être changé. Ouais. Et alors quand je dis numéroter dans la fosse, c'est pas. T'as un petit carré au sol et tu dois rester ÿousand sur l'un, le deux. Mais en fait pour rentrer, tu rentres dans l'ordre que tu as sur ton ticket. Donc en fait quand tu arrives, tu dois arriver genre 1 h avant et. [02:51:24] Speaker A: Te mettre par bloc, genre numéro un à 10, 10 à 50, et on vient te chercher. [02:51:28] Speaker C: Le gars il a un grand panneau où il se balade avec toi. Et du coup. Bah c'est. Alors du coup le gars là, son mégaphone, c'est numéro 11, numéro 12, numéro 13, numéro 14. Alors le tout en japonais bien sûr. Donc. Et tu fais. Alors attends, là on est passé dans les 200, c'est bon. Ok, 230, je capte. [02:51:45] Speaker A: Allez, je tente. Et il regarde bien le numéro. Et du coup tu rentres dans l'ordre de ton billet, qui est donné aléatoirement. [02:51:49] Speaker C: Donc en fait t'as pas ce côté. Tu parlais de Milan farmer tout à l'heure ? On voit beaucoup d'articles comme quoi des gens venaient trois jours avant en camping. Bah là en fait, tu as pas besoin, parce que c'est ça, c'est même pas. C'est aléatoire. Ah ouais c'est aléatoire. C'est vénère parce que si tu achètes, tu es au début que tu te retrouves au fond. Pour le coup, moi, manque de cul, à chaque fois j'étais dans les derniers, j'étais genre 500 ou 550. Mais du coup, même sur un très gros concert comme Limbiskit, j'étais genre 500 et des patates sur Christolek où on était 30. Bah ils l'ont fait quand même, on était 30 lots dehors. Après tu peux te dépasser, une fois que tu es dans le concept, une fois que le concert. Tu peux essayer d'aller devant, le coup, tu vois devant, tu avais une personne qui était. [02:52:28] Speaker A: Alors les billets avec t shirt numéro un, numéro deux, numéro trois, numéro quatre. [02:52:34] Speaker C: Les billets sans t shirt numéro un, numéro deux, pareil. [02:52:38] Speaker B: C'est même système. [02:52:40] Speaker C: Ah, c'est carré. [02:52:41] Speaker A: C'est droit, c'est carré. [02:52:42] Speaker C: Surtout, ça dépasse pas. Mais surtout, ils ont ce côté, étant donné qu'ils ont, comment dire, une culture société pour la société, c'est. Bah en fait, oui, tu as ce moment pour t'amuser, mais tu as aussi le moment pour travailler. Donc tu as ce côté de. Bah, en fait, tu profites. [02:52:55] Speaker A: Tu bosses la journée, mais tu as ton heure qui est prévue pour venir. T'es pas besoin de poser trois jours de congé. [02:53:01] Speaker C: Tu peux bosser. [02:53:01] Speaker A: Ça, il y a pas de souci. Et inversement. Les concerts commencent. [02:54:02] Speaker E: Tôt pour pouvoir finir tôt. Et du coup, tu peux prendre les transports en commun, tu peux rentrer tranquille. [02:58:13] Speaker A: Et ça part, quoi. C'est vrai. Bon ben voilà. Et là, tu as choisi Disobey. Disobey. [02:58:18] Speaker B: Ouais, carrément. Qui est une petite comptine extrêmement calme. [02:58:21] Speaker A: Très sympathique, très gentil troubadour de Lake. Exactement. C'est. Ils invitent leur compatriote à ne plus obéir. [02:58:26] Speaker B: Non, c'est plus ce côté, voilà. [02:58:27] Speaker A: Un petit peu ressortir un petit peu tout ce qui tourne, mais surtout, un, deux, trois, quatre. [02:58:33] Speaker C: Sur certaines chansons, ils vont avoir un côté un peu métal, corps. Là, ils sont. C'est beaucoup plus. [02:58:38] Speaker A: Et ça fait du bien aussi. Et en live, c'est la folie. Et ben on va regarder ce petit clip, Voilà. Un petit peu de sympathie. J'espère qu'il va marcher grave. J'ai trop envie qu'il marche. Je vous le dis direct. Crystal Lake avec Disobey Go There was no escape it's death for submission time for me Something they're calling my name. [02:58:53] Speaker B: I am away Voilà. Là, ça marche. Là, ça marche. Puis. Alors, deux clips, deux chansons délicates. Ouais, ouais. Voilà, c'était. [02:58:58] Speaker A: C'était vraiment les 5 min intellectuelles de la. [02:59:00] Speaker B: De l'émission. [02:59:01] Speaker A: Après, j'avoue que j'ai pas lu les paroles. [02:59:03] Speaker C: Ça se trouve, c'est hyper. Ah bah ça se trouve, oui. [02:59:07] Speaker A: Mais enfin, dans le son, par contre, ça avoine, quoi. C'est le mur de 5 min de gaufres à cinq doigts. [02:59:11] Speaker B: C'est bon. [02:59:11] Speaker A: J'ai vu pied bouche dans le chat. C'est ça, là, c'est. [02:59:14] Speaker C: On est dedans, là. Donc, comme vous l'avez lu, c'est. [02:59:17] Speaker A: C'était Aviana, avec delirium. [02:59:19] Speaker C: Voilà. [02:59:20] Speaker A: J'avais pas pris plus de renseignements non plus. Je me suis juste dit. [02:59:24] Speaker C: Je l'ai. [02:59:24] Speaker A: Par contre, j'ai regardé tout le clip en entier, le seul où je dis Ah ouais. [02:59:28] Speaker B: Et je me suis Ah, c'est bien quand même. [02:59:29] Speaker A: Alors que je suis pas. Musique violente Bah en plus, ça avait le bon goût de. Ça avait le bon goût de. [02:59:37] Speaker C: De durer 1 min 40, huit, je crois. [02:59:39] Speaker A: Donc. [02:59:39] Speaker C: Oui, c'est vraiment. [02:59:40] Speaker A: C'est assez courant. [02:59:42] Speaker C: C'est bon, c'est bonjour, prends. [02:59:46] Speaker A: Pain, au revoir. Du grind. Le bon grind qu'on aime, c'est court, rapide, efficace. In your face. Et nous, on était en même temps en train de continuer de parler du Japon, parce que je crois que c'est un sujet inépuisable. Ouais. [02:59:57] Speaker C: Voilà. C'est juste un peu. Ne jamais s'arrêter. On aurait pu mettre cette thématique, en fait, au début. Comment tu vois ton avenir ? Waouh. Oh, cette question. Oui. Alors ça tombe comme ça. Mais c'est juste que je me suis dit. C'est vrai qu'on a parlé de beaucoup de choses. De ton étape de vie, comment est ce que vous vous voyez dans cinq ans ? Non, mais globalement, je te montre pas précisément, évidemment, tu peux pas savoir. Mais ton envie, en tout cas, par rapport aux médias, et si tu as envie, ou même d'une façon générale. Oui, de. On va rester sur le média. Oui. Est ce que tu te vois développer ça encore plus ? Est ce que tu aimerais faire des choses que t'as pas encore eu l'occasion de faire ? Si c'est des idées originales, tu les dis pas, bien sûr, mais pas de souci. Bah, comment je vois la chose ? J'ai vraiment envie de continuer. C'est à dire qu'au début, c'est vraiment parti d'un kiff, de partager du métal, de faire un petit peu de trend. Au bout d'un moment, je me suis attends, c'est. Il y a une audience, ça leur. [03:00:43] Speaker A: Plaît, mais les gens recherchent quelque chose de plus propre et plus travaillé. Ce que j'ai pu du coup pivoter petit à petit. Donc c'était v. Début janvier, je dirais. C'est quelque chose qui me plaît beaucoup. Qui plaît beaucoup aussi. Donc j'ai vraiment envie de continuer sur les réseaux sociaux à aller un petit peu plus V. Twitch aussi, aller un petit peu plus V. YouTube, pouvoir prendre plus le temps, tu vois ce qu'on vient de faire, d'échanger sur des sujets, de prendre le temps de développer et moins d'être dans l'instantané et dans l'éphémère, d'une certaine façon, avec TikTok et autres. Mais ouais. Continuer à aller à des concerts, à. [03:01:13] Speaker C: Aller à des festivités, festivals, découvrir des groupes. Parce que comme tu disais tout à l'heure, c'est inépuisable. Même si, voilà, on a tous nos affinités. C'est vraiment quelque chose que j'adore. Et si je peux professionnaliser, c'est encore mieux quoi. Clairement, on te le souhaite. On te le souhaite. C'est vrai que tu es sur quand même. Au Hellfest, tu es là. Et c'est vrai qu'on se croise évidemment, parce qu'il y a tous les gens du métier, que ce soit sur Internet ou les médias classiques, qui sont de moins en moins quand même présents, ou en tout cas qui deviennent un peu plus en minorité Zweitausendein par rapport aux gens d'Internet, ce qui semble assez normal. Mais on te reconnaît, on te parle un peu, tu vois un peu des gens qui viennent te voir en vrai pour discuter un petit peu. Du coup, quand tu te balades. Je pense que tu as deux scénarios. Tu as le scénario sur un festival ou sur un concert. Et tu as le scénario, par exemple, dans la partie média d'une organisation, on va dire dans la partie festival concert, très humblement, pas mal en effet. On vient voir, mais attends, tu es. Tu fais les vidéos machin, etc. Donc tu es là en mode oupsie, c'est un peu bizarre, mais ce qui est trop cool, c'est au delà. C'est pas le côté reconnaître qui m'intéresse, mais c'est quand tu as ce côté où ils disent tes vidéos sont cool, elles font du bien, ça apporte du frais. Je dis Ok, je vais dans la bonne direction. Et puis ça fait du bien de l'avoir en vrai. C'est ça, c'est derrière des commentaires, derrière un écran. [03:02:20] Speaker A: Bah c'est hyper cool, même si. Voilà, j'ai mes meilleurs potes, dont mon groupe, enfin, mon groupe, on a un. [03:02:24] Speaker C: Groupe d'amis avec qui on. Depuis quelques années, qui me soutiennent énormément. Et merci encore à vous, les copains, pour le coup. C'est vrai que d'avoir d'autres personnes, pas que leur vie ne compte pas, mais ça, c'est encore plus. Ça apporte encore plus. Et on en parle beaucoup avec Fiona, parce que ça va faire quoi, deux ans maintenant qu'on fait tout ça. On se dit mais est ce que ça vaut vraiment le coup de continuer ? Est ce qu'on est dans la bonne direction ? Et d'aller en concert et d'avoir ces petits moments là. On se dit ouais, on fait pas ça pour rien. On passe pas une à 2 h par jour pour rien non plus. Il y a vraiment des trucs qui se font et c'est trop bien. Et puis les gens globalement sont quand même attention, sur Internet, ils peuvent être méchants, mais globalement ils sont gentils quand même. Bah ouais, en live ils sont vraiment hyper gentils, ils sont hyper cool. Et parfois tu les revois à plusieurs événements, ils te rediscutent, ils te disent ah ouais c'est cool, ça a changé, machin. [03:03:16] Speaker A: Donc c'est hyper agréable, on passe le temps à discuter justement ok, tu vas voir quel groupe, quel concert. Attends, t'as pensé ça comme des gens normaux globalement. Et après sur la partie média pour arriver sur la 2ᵉ partie un petit peu moins dans le sens où. Et ça sentait que ce que je produis sur TikTok et Insta sont des plateformes moins consommées par ces types de médias. Donc du coup c'est plus en mode mais t'es qui ? Ça c'est plus ce côté là. Mais une fois qu'on discute, j'ai un peu deux extrêmes en termes de réaction. Soit un côté un peu comme les personnes en festival qui vont être ah c'est cool, ça change, c'est bien fait. Et doc sont mode. Ouais. Mais ce que j'entends chacun ses affinités, chacun son truc, qu'il y a vraiment pas de sujet, c'est là. J'ai pas de critique là dessus pour le coup. C'est toujours un peu particulier quand même parce que. On a eu affaire à ça aussi parce que nous reçoit les artistes bien sûr. Et bon, il faut qu'ils viennent jusqu'ici. Donc c'est normal que ce soit compliqué, il n'y a pas de ça. C'est toujours très, très complexe. Mais quand on a discuté, qu'on nous a dit, tu sais, parce que comme j'étais à wifm, je connais le côté média du coup, bon après ça a pas la même taille évidemment. Je veux dire, tu travailles dans un média qui. [03:04:29] Speaker C: Des centaines et des centaines de milliers de personnes qui coûtent dans la journée, voir des millions. Bon, c'est sûr que c'est pas la même chose. Mais quand on te dit même si. [03:04:38] Speaker A: Tu étais aussi gros sur Internet, tu aurais pas autant accès aux choses que. [03:04:41] Speaker C: Si tu étais dans un truc qui. Qui est vieux, un média traditionnel. Alors je n'ai rien contre les médias traditionnels, évidemment. J'adore la radio. On va recevoir Marie et Lucas qui anime Bring the noise. Ils vont venir ici. Je suis très ÿousand heureux qu'il le fasse. Et il faut que ça soit fait d'ailleurs partout, quel que soit le. La communication c'est fait pour partager cette musique et qu'elle puisse exister. C'est quand même ça aussi qui nous anime. Mais ce lien qu'il y a, que ce soit américain, britannique et tout, je veux dire quand ils viennent, c'est toujours. Ah oui mais ça c'est Internet. Je pense que ça va dépendre pas mal de culture, tu vois. Par exemple aux États Unis, tu as des très gros créateurs comme take the truck où tu vas avoir. Nickel. Ils ont une perception de truc qui n'est pas comme ici. Oui, c'est là où je veux en venir. C'est justement en fonction des pays, des cultures. Ça change un petit peu là où côté France ça met encore un peu de temps à arriver, mais ça évolue pas mal. On le voit beaucoup justement il. Fiona, de par. Comment on est approché par des prods. [03:05:31] Speaker A: Des labels ou autres qui du coup sont là bas. Ok. C'est un axe intéressant. [03:05:36] Speaker C: Travaillons ensemble, testons, voyons ce qui se passe. Ÿ et aujourd'hui tout se passe bien, donc c'est vachement cool et ça prend son petit bonhomme de chemin. Mais oui. C'est sûr qu'au début on était un peu les extraterrestres en mode mais faites quoi. Là où je me rappelle, j'étais en train de monter une vidéo dans l'espace média et du coup un monteur, un. [03:05:52] Speaker A: Caméraman, pardon, en train de regarder ce que je faisais. Putain mais c'est cool, ça a la gueule sympa. Du coup c'est des vidéos que tu as récupéré un peu à droite à gauche. Non, c'est moi qui les ai filmées. Ah. Et du coup tu as ce côté. [03:06:06] Speaker B: Un petit peu de. Oui oui voilà, là. [03:06:08] Speaker C: Mais ça c'est au final très bien passé, donc c'est cool. Mais c'est toujours ce petit a priori qui est un peu compliqué au début. Ouais c'est bon. Après c'est le jeu, on verra malheureusement. Puis c'est. Voilà, c'est quelque chose de nouveau. Donc forcément il y a toujours. On dit. Tu vois, exactement comme on parlait du collège et du lycée tout à l'heure. Tu as deux façons de le voir. Tu as soit l'aspect curiosité, soit l'aspect un petit peu plus. Je sais pas trop. Bah tu l'as de partout. Et c'est l'être humain qui est comme ça, un peu gate aussi. Je sais, c'est mon métier, je travaille là dedans. S'il y en a d'autres qui arrivent, ça veut dire que je vais forcément avoir moins de trucs parce que je connais, j'en connais pas mal. Je sais que c'est des discours qui existent, tu vois ? Les nouveaux médias, comme des picassiettes, en gros. Ouais. Bah ça me faisait un peu peur au début, pour être honnête. Et puis c'est justement toutes ces rencontres avec les gens que je croise en festival ou en concert qui m'ont fait. Mais en fait, c'est pour eux que je fais des vidéos. C'est eux qui les consomment, c'est eux qui kiffent, qui me ont kiffé dans ce que je fais. Donc je continue. Et j'avoue, je m'étais pris un peu une. Pas une remontrance, mais un mauvais moment sur un fest. [03:07:08] Speaker A: Et bon, bah c'était le Hellfest en. [03:07:09] Speaker C: 2020, trois, je crois, où j'avais une mauvaise interaction avec. Avec un média et qui m'avait un peu mis un peu de down pour le coup, ça m'avait pas mis bien. Et juste derrière, je me balade un peu sur le fesse et je rencontre justement des festivaliers. Ça m'a reboussé la patate en mode. Et c'est pour eux, c'est parti. Et je crois que ça a fait. J'ai dû produire, je crois, entre 50 et 50. Cinq vidéos sur cinq jours, et ça a explosé les. Je crois qu'on était à 12 millions de vues, un truc comme ça. J'étais là ok. Donc j'étais là. J'étais ok, c'est bon. Je suis super content. Mon taf, il est fait, quoi. [03:07:39] Speaker A: C'est. [03:07:40] Speaker C: Ils ont kiffé. [03:07:41] Speaker A: J'ai kiffé. [03:07:41] Speaker C: Ça fonctionne. [03:07:41] Speaker A: Bah à feu. [03:07:41] Speaker C: Et en fait. Bah voilà, partant de là. Non, c'est. [03:07:43] Speaker B: Non, c'était même pas ça. [03:07:45] Speaker C: C'était vraiment. Je vous dis. Mais c'est juste moi qui le fais. [03:07:47] Speaker A: Mais c'est moi qui m'explique. Mais ça. [03:07:49] Speaker B: Ÿ mon côté, je me disais, bah ok. [03:07:53] Speaker C: C'est que ça plaît, ça fonctionne. Et même au delà de fonctionner, c'est que les gens sont contents de le voir, en fait. [03:07:58] Speaker A: Oui. [03:07:58] Speaker C: Puis chacun choisira ce qu'il préfère. Exactement. Et c'est là qui est intéressant aussi, dans la sphère metal qu'on a, c'est qu'il y a plein de médiums différents. T'as du podcast, du twitch, et chacun a ses préférences et point. C'est normal, c'est. J'ai commencé aussi par du média papier. On parlait de guitar part, on parlait de Roc One, et sans eux, je serais pas là aujourd'hui, quoi. Clairement. Même, on parlait de Skyblog tout à l'heure. Le blog n'existe plus. Donc même si je vous dis le nom, vous ne le trouverez pas. [03:08:22] Speaker A: J'ai vérifié. À votre de venir Skyblock n'existe plus. Voilà. Non, mais c'est pour ça. Mais j'ai vérifié, au cas où tu peux pas demander à avoir accès à. [03:08:29] Speaker C: Un site si tu en es le propriétaire. Voilà. C'est si tu sors l'adresse email, machin. [03:08:34] Speaker A: Mais non, j'ai vérifié. J'ai regardé dans les photos, j'ai fait. [03:08:36] Speaker B: Attention, mais du coup, tu vois, on parlait des personnes qui me soutiennent. Tu as mon père notamment, qui. Vivant à la campagne, je passais énormément de temps sur mon ordi. J'avais mon blog Rockflow 60, neuf. Voilà. Bien dégueulasse, mais ouais. 14 15 ans. Je partageais les clips de l'époque, donc les blessures, ma valentine, les atré you, des trucs un peu plus pop punk, comme du simple plan ou autre. [03:08:56] Speaker C: Et voilà. C'était mon petit kiff. J'avais mon petit réseau qui se faisait là dessus, derrière mon ordi, à la campagne. Mais c'est parti de là, quoi. Ouais, bah après, quand tu as la campagne, au moins, ça donne accès à des gens qui cette musique, sans avoir à chercher derrière les peupliers. Je sais pas pourquoi j'ai dit peupliers. Pourquoi pas ? C'est une vache à droite, un pull prairie à gauche. C'est ça. Et ça permet d'avoir accès plus facile. Ÿ facilement. Donc Internet, ou ça mettait en relation des gens à moi, par exemple, qui était. [03:09:20] Speaker A: Qui était dans le sud de la. [03:09:21] Speaker C: France et qui avait pas. [03:09:23] Speaker B: Enfin, qui avait très peu de. [03:09:26] Speaker C: Qui connaissait très peu de gens qui écoutaient la même musique que moi. Enfin, rencontrer des gens et pouvoir en discuter sur Internet, c'était quand même. C'était quand même un gros plus. Et en plus, pour quelqu'un d'introverti aussi, ça aide grave. Très clairement, parlait d'introverti. À 14 15 ans, pareil, tu avais skyblog et allez, on en rajoute une pièce, là. [03:09:38] Speaker A: Pour les années quatre, 20, 10, msn. Et du coup, Bah, tu avais un petit service que j'avais commencé à monter, où c'est. En gros, on me contactait en mode flow i need music et du coup, en fonction des styles qu'on me proposait, je leur donnais des liens YouTube pour. [03:09:55] Speaker C: Qu'Ils puissent découvrir des sons, etc. Ouais, grave. Je me faisais vraiment chier. La campagne, non, alors c'était pas dans ce sens là. Oui, je m'embêtais te casser le cul pour faire des choses, quoi. Un petit peu est né l'algorithme Spotify. [03:10:08] Speaker A: Exactement. [03:10:08] Speaker C: Exactement. Non, mais j'ai raté un business, du coup, ce jour là, à l'époque, il y a 15 ans. Mais ouais, c'est parti de là, ce. [03:10:13] Speaker A: Qui était un fun. Bah maintenant c'est ce que je fais tous les jours, donc c'est cool quoi. Et du coup merci papa d'avoir mis Internet et un ordinateur dans ma chambre, c'est quand même parti de là. Et il y a un groupe que tu aimerais rencontrer ? Waouh, j'imagine plein. Mais un que t'as pas encore eu l'occasion de peut être de croiser ou. [03:10:31] Speaker C: Avec qui tu aimerais parler parce que on dit toujours aussi que quand on rencontre ses artistes préférés, bon ça peut être décevant. [03:10:37] Speaker A: Ou alors tu blackout. [03:10:39] Speaker C: Tu sais pas à quoi dire. Ah oui oui c'est possible aussi. Un groupe que j'aimerais rencontrer. Alors je vais pas du tout être original, mais c'est pas le but un link in park ou un bullet. Pour le coup qu'on disait tout à l'heure, c'est les deux groupes qui m'ont fait démarrer. Bah pouvoir échanger avec eux, j'avoue que. [03:10:53] Speaker A: Ce serait quelque chose d'intéressant. Pour le coup dans ce que tu fais tu aimes bien échanger de toute façon tu aimes bien là, tu discutes, tu présentes souvent. [03:11:04] Speaker C: Mais d'avoir des artistes, de pouvoir leur. [03:11:07] Speaker A: Discuter avec eux et de faire des petits, des petites parties comme ça, un truc qui. [03:11:13] Speaker C: Te plaît. Ouais complètement, complètement. Du coup tu gères. Tu les trouves comment les artistes en règle générale là ? Très honnêtement c'est pas forcément un contenu que je fais énormément, je le fais surtout grâce et via les festival, pour être très honnête. C'est la porte d'entrée tout simplement. Et pour le coup après, je vais essayer de sélectionner des artistes qui sont un peu dans ma da, d'une certaine, d'une certaine façon français ou anglais, ça j'ai pas de. J'ai pas de souci là dessus. Et puis voilà, faire des petites capsules justement qui restent dans mon format et qui tournent, faut que je prenne le. [03:11:41] Speaker B: Temps de les monter aussi, de parler aux artistes. [03:11:44] Speaker A: Il y a toujours, c'est toujours. C'est pas pour nous vanter, mais c'est pas des choses faciles. Et puis préparer l'interview, préparer les questions, réagir selon leur état aussi. Alors attention, je veux dire, tas de fatigue, c'est du concert. Ils sont avant ceux qui jouent avant, après ceux. Où qu'ils en sont, on est. Par exemple c'était sur le motocultor. J'avais croisé un groupe, c'était, je crois que c'était Dain Foetus. [03:12:06] Speaker C: Bah ils en étaient à leur énième concert. Les gars étaient rincés, ils étaient très gentils, ils ont répondu à toutes les questions mais clairement, ils en pouvaient plus. C'était vraiment fatigué. Et ça se comprend. Ils étaient alors 20. [03:12:18] Speaker A: Cinqième date en deux mois. Donc voilà, dans toute l'Europe, dans tout le machin. [03:12:22] Speaker C: Donc oui, tu as ce côté là, mais bon, tu. Tu gères avec. Et c'est parti. C'est un peu ça, ouais. C'est devant tes feuilles. Faire du dying foetus, c'est pas du tout le. Ah oui. Musicalement, je sais pas pourquoi j'ai. Malheureusement, j'ai une image, mais je me. [03:12:36] Speaker A: Suis dit mais pourquoi cette image m'est venue dans ma tête ? Va falloir que j'aille retour voir le psy. Et ouais. [03:12:44] Speaker C: Donc il y a ça. Si on te donnait l'occasion de participer à quelque chose de plus traditionnel ou. [03:12:48] Speaker A: D'Animer, parce que tu travailles dans l'événementiel, mais est ce que tu montes sur scène pour présenter des choses ? Je lui fais pendant quatre ans. Ouais. Là, aujourd'hui, dans le milieu métal. Non, mais par contre, quand j'étais organisateur, j'étais maître de cérémonie. En effet. En français, en anglais, c'est quelque chose que j'aime beaucoup, donc pourquoi. [03:13:04] Speaker B: Pas ? [03:13:05] Speaker A: C'est chaud pourtant. Ah moi j'adore. Moi, ça me. Je me chie dessus. Moi j'adore, je suis une boule d'énergie. C'est trop bien. J'ai mon micro, j'ai les gens, c'est parti. Essayer de l'échauffer un peu. Et je crois que le plus gros. [03:13:16] Speaker C: Je crois que c'était 3000 personnes, en anglais. J'avais 1500 personnes à droite, 1500 personnes à gauche. C'était marrant. C'était très très drôle. Autant devait être 250300. Je sais pas combien on était au festival Bring the noise, mais bon, je sais pas. Ouais, mais c'est déjà propre. Et bon, là, j'ai balancé le chiffre pour. Voilà. Mais en ce moment. Mais c'est juste que. Non, mais parce que pour dire la taille. Parce que c'est impressionnant, déjà quand c'est pas beaucoup de gens. [03:13:36] Speaker A: Enfin, 300, c'est quand même pas mal. Mais je veux dire, tu. Quand tu te retrouves devant cette masse. [03:13:40] Speaker C: Je sais pas, j'ai l'impression que. En plus, ils te regardent. Alors ça, ça me. À ce moment là, tu le sais, mais en même temps, tu sais, c'est. Enfin, je comprends que ce soit galvanisant et tout, parce que ça te donne quand même. Si le public est ouf, ça te donne aussi de l'énergie. Après tu peux avoir des publics très, beaucoup plus calmes. Et là tu essayes un peu d'enchaîner un peu le truc, parce que tu. [03:13:58] Speaker A: As quand même une presta à donner. Mais je trouve que c'est un bon moment de justement faire venir les intervenants, d'échanger avec eux. Donc en effet, sur des formats plus. [03:14:06] Speaker C: Tradis, comme tu dis, faire une table ronde sur un sujet particulier, par exemple. [03:14:11] Speaker A: Sur l'émergence des réseaux sociaux, par exemple sur l'ail, grave de fou, ça, je serais hyper chaud. [03:14:13] Speaker C: Faut que tu sois à l'aise. Il faut que tu sois méga à l'aise avec ton sujet aussi. Alors voilà. Ça, c'est l'autre sujet, après derrière, c'est. En effet, c'est selon le rôle que tu as, on va dire qui, entre guillemets, soit pur présentateur ou alors animateurs de débats, qui sont, je pense, deux rôles complètement différents, là, en effet, tu as intérêt à gérer ton sujet, là. Réseaux sociaux, je peux en parler sur d'autres. Je sais reconnaître ce que je sais et ce que je sais pas, ça, pour le coup, c'est. Il y a des trucs, tu peux pas. Tu as utilisé certaines techniques ou c'est avec le temps, comme tu disais, que ta timidité t'a permis de t'assez estomper pour te laisser parler justement devant toutes ces personnes, je pense, c'est au fur et à mesure où. En fait, c'était sur un événement. Tu disais que c'était tes amis que tu avais accompagné, que du coup tu les remercies. Mes amis m'avaient accompagné, en effet. Et après, c'est au niveau pro où en fait, j'organisais des événements, et il y a eu un moment où on m'a attendu, le micro en mode flo, je dois aller gérer un truc. [03:14:58] Speaker A: Est ce que tu peux juste dire. [03:14:59] Speaker B: Voilà, c'est la pause, c'est machin classique. [03:15:02] Speaker A: C'Est en mode vas y, c'est parti. Et ça, c'est le cadeau empoisonné. Non, mais c'est un peu ça. Et ça s'est bien passé. Du coup, le chef de projet vient me voir, écoute, c'était propre, c'était carré. Donc. Prochain événement, on sent un truc un peu petit. Je crois que c'était une trentaine de personnes. [03:15:16] Speaker C: Tente de le faire de A à Z. Vois ce que toi, comment tu le ressens, comment ça se passe. Et en fait, c'est devenu une de mes missions à proprement parler. Et du coup, on m'envoyait un peu de partout sur les événements en France. [03:15:24] Speaker A: Ou à l'étranger, pour justement être maître. [03:15:25] Speaker C: De cérémonie sur les events. Et plus j'avançais, plus je prenais du plaisir à le faire. Les clients aussi. Donc du coup, c'était trop cool, quoi. C'est là où j'ai vraiment pris de la confidence petit à petit. Je t'applaudis parce que déjà, rien que prendre la parole à un mariage, c'est chaud. [03:15:35] Speaker A: Alors. [03:15:35] Speaker C: Non, mais ouais, mais je sais pas pourquoi. En fait, je sais même pas. Dans ma tête, ne se passe pas le. Souvent, tu dis, j'ai peur qu'ils vont. Qu'ils pensent ça ou. Mais là, même pas. En fait, je suis tétanisé. Il y a rien. Il y a souvent rien dans ma tête. Mais par contre, on va pas se mentir. [03:15:51] Speaker A: Neuf fois sur 10, je me chie dessus juste avant. Je suis pas bien. Par contre, c'est du moment où je suis sur scène. J'ai mon petit rituel, là. Ça part ligne droite. Mais il y a des fois, je suis pas bien. Fois que c'est lancé. [03:16:07] Speaker C: Après, tu es lancé. [03:16:08] Speaker A: Voilà. [03:16:09] Speaker C: Mais par contre, il y a plein de fois au début, et ça, ça vaut devant 10 personnes, ou devant 300, ou autre. Et comme tu disais, un mariage, c'est pas le même impact. C'est ta famille, c'est tes amis. Donc tu te mets une pression assez ouf, tu as l'émotion en plus. Suffit, ce soit un proche ou tes témoins. Perso, je suis en larmes, là. Je. Si un jour je suis témoin, je vous le dis, je suis. J'aurais intérêt à avoir pris une bonne dose de rhum avant pour tenir debout, parce que c'est. Ouais, non, c'est. Voilà. Tu as des situations qui font que. Aussi clairement, tu aurais quoi comme conseil pour les plus jeunes de vie ? Parce que tu es quelqu'un qui a beaucoup travaillé sur toi, j'ai l'impression. Tu as quand même. Tu t'es nourri de plein de choses, tu as été bien accompagné. Il y a forcément quelque chose à dire. La chose je dirais que j'ai trois. Je sais pas si on peut appeler ça des tips, mais peut être trois voies. Pourquoi pas tester ? Il y a trois choses qui me viennent en tête. La 1ʳᵉ, c'est. Vous en foutez de ce que disent les autres. Si vous kiffez votre style vestimentaire, vous le gardez. Si vous kiffez votre musique, vous la gardez. Peu importe le style, c'est continuez où vous allez, il y aura toujours quelqu'un qui aimera pas. C'est comme ça. C'est humain. [03:17:12] Speaker A: Et passer à côté. Si vous avez une idée en tête et vous êtes toujours dire j'aimerais lancer. J'aimerais lancer. J'aimerais lancer tik tok. Cette chaîne, je crois que j'ai mis un an avant d'enfin prendre mon téléphone et de me lancer. J'ai pas je regrette de pas l'avoir fait plus tôt. Mais faut se faire ce déclic. Et le déclic, il viendra pas tout seul. Il faut le faire. Et vous allez voir d'autres gens qui vont le faire. Ça va vous frustrer encore plus. Donc allez y. Si vous avez un projet, une envie, faites le. Au pire. Au mieux, ça marche. Au pire, vous avez essayé. Donc. Feu. Et c'est déjà cool. Et c'est déjà énorme. Et c'est une expérience. On apprend, on avance. Et ça, c'est déjà top. Et j'en avais 1/3, je l'ai perdu. Mémoire courte. Bonjour, j'ai vu un papillon, donc forcément, je l'ai perdu. Mais bon, je pense que déjà, si on a ces deux là, c'est déjà pas mal. Mais je suis complètement d'accord. Faut s'en battre les couilles. Il faut pas garder le côté négatif. [03:18:03] Speaker B: C'est vrai qu'on a tendance à l'entendre que le négatif. [03:18:07] Speaker C: Mais en fait, il y a énormément de positif. Et il faut l'entendre. Ÿ il faut l'accepter aussi. C'est difficile, parfois, d'accepter les gens qui sont gentils avec nous. Non, c'est bien. Ils le font gentiment, justement. Donc autant le prendre. Il faut s'en nourrir pas trop. Il faut quand même garder les pieds sur terre. Mais vous pouvez faire des choses. Tout le monde peut faire des choses. [03:18:22] Speaker A: Complètement. [03:18:22] Speaker C: On se sent souvent pas capable. Je pense qu'on en a déjà parlé. En fait, on en a fait, des choses. Et vous en ferez des magnifiques. Et il faut juste, comme il l'a dit, ne pas traîner. Tu avais une idée. Tentez le. Mettez vous au point sur deux, trois trucs, évidemment, parce que si vous partez comme ça, ça ne marchera pas. Enfin, ça marchera pas. Ça sera pas fait comme vous l'attendiez, mais juste. Faites le, quoi. Traîner ? Au pire, faites une version simplifiée de l'idée, pour commencer. Une version rapide. Et vous lancez, et après, vous profitez. Mais c'est exactement ça. Et tu vois justement la chaîne TikTok. Avant, j'en avais monté deux pareil, juste pour le fun. C'était sur du nerd et du lego, pour faire très simple. Et j'osais pas faire ce métal là. Zweitausendein que j'avais fait une vidéo toute simple. Ou juste je vais au lfes, je suis trop content, je fais Ah, d'accord. Il y a des gens qui s'intéressent. C'est parti. Allons y. Feu. Et j'ai retrouvé le 3ᵉ, grâce à toi. [03:19:06] Speaker B: Merci beaucoup. C'est ce côté. N'hésitez pas. On parlait de tenter des projets de se planter. Bah, c'est pas grave de se planter. Et surtout, dans chaque projet, quand vous essayez d'aller sur un autre, garder ce que vous aimez, virez ce que vous aimez pas. Ça peut être des personnes, d'ailleurs, ça peut être des aspects du projet. Ÿousand projet. Et juste, gardez ce qui vous fait kiffer. Et si ça ne plaît pas aux autres, pour revenir sur le règle numéro. [03:19:26] Speaker C: Une, vous vous en foutez de ce que pensent les autres. Mais voilà, avancez comme vous avez envie et gardez ce qui vous plaît. Ça fera des chemins un peu bizarres, mais c'est ça aussi qui est cool. Mais surtout, ferez ce qui vous plaît. Et on a la chance aujourd'hui de pouvoir le faire. On a les réseaux sociaux, on a Internet, on a tout qui est à dispo presque gratuitement. Donc feu. Faites vous plaisir. Et voilà. Et puis on va. J'ai l'impression aussi que c'est quelque chose de très français, en fait, de craindre l'échec ou de mal, mal voir l'échec, alors que ça peut être. Ça peut être très formateur. Donc souvent, on se lance pas par peur d'échouer et par peur de. Qu'est ce qu'on. Qu'est ce qu'on va en penser ? Qu'est ce que ça va me faire ressentir ? Et il y a un rapport à. [03:20:00] Speaker A: L'Échec qui est à déconstruire, je trouve. [03:20:01] Speaker C: Et qui est peut être assez toxique. [03:20:03] Speaker A: Surtout que tu as, je trouve, un extrême qui est un double extrême, en fait, qui je trouvais assez pervers, justement, c'est que tu as autant ce côté. Tu as peur de l'échec dont tu n'oses pas. Par contre, si tu réussis, mais comment tu as réussi, tu as presque de la jalousie qui apparaît. Les gars, c'est pas apparu tout seul. On a bossé, on s'est donné, on a passé des heures, on a analysé, on a tenté. C'est pas sorti de nulle part, quoi. Ça prend du temps et c'est limite. Tu te dis mais vous êtes content de ce que j'ai fait ? Ou ça se passe comment ? [03:20:31] Speaker C: Et inversement, presque. [03:20:32] Speaker A: On te critique de rien faire. Si jamais tu ne tentes pas, t'es là. [03:20:34] Speaker C: Mais vous voulez quoi, les gars ? Mettez vous d'accord à trouver quelque chose. Donc c'est pour ça, encore une fois, vous faites et vous en foutez. Toi, c'est la route, c'est ça. Tu traces ta route, tu fais ton truc et c'est parti. C'est fou. Tu parles de ça parce que j'ai encore mon exemple de mon petit séjour à Berlin. Non, mais c'est fou cette histoire. Bon, après moi, je suis un peu torturé, mais on devait écrire un mot. [03:20:52] Speaker A: Bien sûr, à la personne qui fêtait son anniversaire. [03:20:55] Speaker C: Ouais. [03:20:55] Speaker A: Et ma meilleure amie. Donc bon, c'est ma meilleure amie, donc je la connais. [03:20:58] Speaker C: Je n'arrivais pas à écrire tant qu'elle était assise à côté de moi, c'est dur. Et je lui ai dit, tu vas me juger. Elle m'a dit, mais je m'en fous. [03:21:03] Speaker A: Je le vois même pas ton message. Je lui ai dit ouais, mais j'ai besoin d'être tout seul. Elle m'a dit, mais tout le monde va lire. Après je fais, oui, mais je ne serai pas là. Oui, non, mais pareil, c'est. J'ai besoin d'être dans mon truc. C'est souvent, genre, sur les mariages, les anniversaires, je serai toujours quasiment le dernier. [03:21:20] Speaker B: Ou alors le matin à 7 h, quand tout le monde pionce, ou des cuves, je suis en train d'écrire mon truc. [03:21:27] Speaker A: Et pareil aux anniversaires, quand je vois. [03:21:30] Speaker C: Tout le monde dehors en train de. [03:21:33] Speaker A: Discuter, je fais ah, là c'est bon, je peux y aller comme ça, je fais mon truc. Et c'est bien la peur de la critique, de la façon dont tu écris ce que tu écris, le contenu. Ouais, mais même, juste être dans ta bulle, faire ton truc, et au moins tu dis c'est bon, t'as eu ton moment, t'as partagé ça. Pas ça, c'est un autre sujet. Mais au moins tu l'as fait et t'es bien. [03:21:53] Speaker C: Oui, généralement ça plaît parce que tu as laissé un mot, donc c'est déjà le principe. Merci, bisous, point. Mais ouais. Non, non, ça doit être le prof qui te regardait en disant Ah, c'est nul. Ah ça. Parce que moi j'en ai eu plus à la fac, aussi bizarre que ça puisse paraître. En collège. Lycée, ils étaient plutôt sympas. Le rapport à l'apprentissage, l'école et tout, c'est. Je pense que ça a détruit la confiance. En la confiance de pas mal de monde. Belle éducation, mais on aime la France. Attention, le système éducatif français n'est pas pas le pire. Et j'ai eu des profs magnifiques, donc je. Voilà, il y en a eu quelques uns qui étaient cons. Ça, je pense que ça arrive à tout le monde. C'est comme ça. On va peut être avancer un petit peu, parce que je vois qu'on a encore explosé les timings. Dernière chanson que tu as choisie avec the one Hundred ? Ouais. Alors je ne sais même pas ce que c'est. Alors the one Hundred, c'est un groupe français qui malheureusement, n'existe plus. Mais pourquoi j'ai choisi pour deux raisons. La 1ʳᵉ, si je voulais mettre un peu en avant quand même notre culture française, c'est important. Et on parlait. Alors je reboucle un peu sur le même sujet. Mais on parlait tout à l'heure de décompression et de calme. Cette chanson là, quand je sors justement d'un gros flux émotionnel ou sociable, c'est cette chanson que je me mets dans le casque et qui me fait mon instant zen. [03:23:01] Speaker A: C'est. [03:23:01] Speaker C: Vous verrez, quand ça gueule. Imaginez d'inspirer et d'expirer à chaque fois, ça marche vachement bien. Et c'est vraiment cette chanson qui allait tomber par hasard dans mon Spotify. Mais c'est encore Spotify. Ceci n'est pas ÿousand sponsorisé, mais ça m'a vraiment énormément servi, je pense, depuis quatre, cinq ans. Facile. Et c'est la chanson. Je sais que si je la réécoute, elle me fait du bien. Et ça vaut. [03:23:15] Speaker A: Même en post mariage ou autre. [03:23:16] Speaker C: Bah, même mon frère, d'ailleurs, le sait. [03:23:17] Speaker A: Il a vu une vidéo de moi là dessus, en mode c'est bon. Je sors de trois jours avec 100 personnes, même s'ils sont proches. Je suis content qu'il y a un M. [03:23:26] Speaker C: Qui est en train de me galer dessus. Je me sens vachement mieux. C'est vraiment ça. C'est bon, ça. J'aime bien. C'est cette chanson là. Puis en France, on a une de scène. C'est là, je l'ai pas trop mis en avant sur les autres sons, mais on a quand même une scène qui explose, qui se je vais du gars, mais qui se casse le cul pour se bouger. Et ça fait du bien. Alors malheureusement, One Android n'existe plus, mais il y a plein d'autres projets. On parlait de frérot link. Tout à l'heure. On parlait d'ashen. [03:23:49] Speaker A: Enfin voilà, il y a plein de groupes qui se lancent et enfin qui se lancent, qui se donnent les moyens, et ça fait du bien, quoi. Oui, puis boss, il faut en parler. Et ils bossent. Ils bossent de ouf sur tout. Là, il y a enfin une da. Il y a. Enfin, il n'y a plus cette honte de faire des trucs qui sont jolis, un peu huge. C'est ça. Puis surtout, il y a eu cette. On arrive sur des groupes, en tout cas sur les plus récents qui ont compris et qui comprennent de plus en plus l'importance des réseaux et l'importance de faire un truc propre. Léché et on a passé ce stade du garage band. Il y en a encore un peu, mais là on est vraiment de ok, on veut un truc avec une identité qui nous corresponde et qui nous représente. Et ça, ils y vont le curseur le plus loin possible et c'est génial. Et ça grossit de plus en plus et c'est trop cool. C'est très bien. Oui. Cette scène française qui est magnifique, je suis bien d'accord. Et tout le monde ça, ça me fascine aussi. [03:24:45] Speaker C: Mais alors parce que moi, à mon époque, quand j'étais ado, la scène française, il fallait la mettre de côté un maximum, à part quand t'écoutais du death ou un truc assez agressif. Mais quand c'était des trucs neométal ou même du rock, il fallait le pousser ou alors c'était le rock FM. Bon, voilà. Mais il y a toujours une critique assez particulière après. Peut être qu'il n'y avait pas l'effort et que c'était pas fait comme les gens attendaient. Mais là aujourd'hui, c'est vrai que tous les acteurs, toutes les personnes qui défendent le métal, l'alternative rock, défendent la scène française clairement. Et ça c'est cool. Et c'est quelque chose dont je suis très content parce qu'on est quand même un pays où on aime bien aussi se tirer dans les pattes. Et donc du coup. Du coup c'est quand même génial que. Qu'on soit là, qu'il y ait des gens qui soient là pour soutenir ça et faire vivre, et que le public soit là aussi parce que le public soit là. Et c'est là où tu as deux sujets encore qui se mettent. Mais tu as déjà ce côté où. En tout cas dans les personnes dans mon environnement, on essaye d'être vraiment rester bienveillant et surtout ce qu'on appelle ça. Pas se marcher dessus, mais à l'inverse, se porter les uns les autres. On est tous en galère, on en chie tous. On sait que c'est pas un milieu facile, la musique, la culture, etc. Autant se porter que s'écraser tout simplement. C'est quand même. [03:25:46] Speaker A: C'est une spirale bienveillante et surtout un cercle vertueux. [03:25:50] Speaker C: C'est le mot que je cherchais. Tu as déjà ce côté là et. [03:25:55] Speaker A: Après ce côté de. Oui, mais on voit toujours les mêmes groupes. Bah en fait il y a plein de concerts qui existent de partout dans des petites salles. [03:26:04] Speaker C: Je pense au Rocken Italian, je pense au Bifrost à Rouen ou. Bah tu as des petits groupes qui. [03:26:09] Speaker A: Passent et qui valent le coup et c'est en. [03:27:34] Speaker E: Allant les voir que. Bah ils vont montrer à des agents ou à des labels que. Ils sont suivis, que ça fonctionne. Ils vont aller dans des salles plus grosses et re ce cercle vertueux de. Donc oui, c'est très bien d'aller sur des gros groupes, mais pas hésiter à aller dans des petits concerts, acheter un t shirt qui va te coûter 15 balles, de prendre l'album qui va pouvoir rentrer dans leur stat et du coup convaincre des productions plus grosses et derrière les voir grossir. Et c'est génial quoi. Tout à fait. J'en ai a ajouté maître, maître Benjoy, maître corbeau sur son arbre perché sur son micro perché. On peut lancer le clip. Eh Ben on va regarder ça. [03:28:09] Speaker C: Donc c'est. [03:28:10] Speaker E: Alors moi je dis easy one and run, mais bon c'est avec chaos and bliss. Bon voilà tout est dit. On reste encore dans la simplicité, on reste dans la finesse et on reste dans la dentelle. [03:28:51] Speaker C: Voilà. [03:28:51] Speaker A: Et pensez yoga. [03:28:51] Speaker C: Alors on va essayer. [03:28:52] Speaker D: C'est parti. [03:28:53] Speaker C: I don't wanna attack. [03:29:56] Speaker E: It'S just a way that i act I can't help it I wish I could change actually fuck it I wish I could fly but i don't know it's just my thoughts of being alone Not knowing if it's weird or clever It's now or never but i can help but know it it's like I live to deal with it I'm thinking of words to rhyme my head losing words at times but now i'm confused trying to grasp and. [03:33:27] Speaker A: Choose like I got things to prove to why get overworldly like i'm a nerd to why you're shitty when i'm hitting quite enough but I apologize. [03:33:40] Speaker B: For saying too much at times but. [03:33:42] Speaker A: I just need was to rhyme the dick go I can never think unless I have a little doubt my mouth was up with thoughts you know it kept the demons out i'm saying words that made me think i'm making things clearer i hope you don't see the things that I see in the mirror right brought it from all the lies man, I take it justifies broad is my guarantee it's time to solve the sea from hell i will rise breakfire from the sky let fire set to free and merge and rain Do everywhere i praise farewell I despain that's where I retaliate Report to devastate from hell away the king of all demise Let's fire Set you free and burst and rain Do everywhere i praise where I define that's where I rise. Et hop. On l'appelle la petite tomate carré king. Évidemment. [03:34:23] Speaker B: Je sais même pas si ça sert. [03:34:28] Speaker A: À quelque chose de dire qui c'est puisqu'on le reconnaît parmi tant d'autres. Un spécialiste du tricot. Exactement. La dentelle, l'air délicat, avec une nuque simple. [03:34:32] Speaker D: Très simple effectivement. [03:34:32] Speaker A: Très très simple. Unibody même. C'est. Ouais. Il est tellement gentil en plus. Enfin après c'est peut être parce que. [03:34:37] Speaker C: J'Ai eu la bonne expérience. Toi, j'ai rencontré beaucoup d'artistes et lui. [03:34:40] Speaker A: Il fait partie des gens. Je me suis chié dessus en me disant ah putain parce que j'ai des tas de conneries, je suis là pour rigoler moi je fais de l'entertainment, je fais pas de la culture vraiment comme on l'entend. Et je me suis dit peut être qu'il va pas apprécier. Parce que ça peut ne pas être apprécié ce que j'entends. En fait non il en avait rien à. Il s'est éclaté. Il était hyper sympa. [03:35:11] Speaker C: Il était c'est rigolo de dire de la connerie. Je ah bah c'est bien. [03:35:13] Speaker A: Ou il m'a pas dit la gueule tout va bien, tu as la bonne adresse mon petit Kerry. C'était la blague que je lui avais fait en 1ᵉʳ. [03:35:23] Speaker C: C'est comme ça que tu lui avais présenté ? [03:35:26] Speaker A: Mais non. Et puis il a pas compris. Puis je voulais vous faire un kiri. Puis on lui a dit bah c'est une. Puis il m'a regardé, il a fait ah ouais waouh. [03:35:39] Speaker C: On est sur ce type de personnes très. [03:35:40] Speaker A: Il a dit ok ok je suis d'accord en termes de mauvaise blague, j'ai toujours été assez fort, je le sais. Mais voilà, c'est ainsi que nous allons. [03:35:49] Speaker C: Dans quelques 2ᵈᵉˢ nous quitter. Merci infiniment d'être venu jusqu'ici, d'avoir accepté l'invitation. Continue. Je te souhaite évidemment que ce soit du fun, du plaisir, et puis que ça se. Comment dire ça correctement ? Parce que j'ai jamais les bonnes phrases, mais que ça se professionnalise encore plus. Voilà, tu as compris ce que je voulais dire. J'ai compris l'idée que ça aille sur la bonne voie. Mais j'ai un vocabulaire de cinq mots, quand même. Mais bon, bref. [03:36:09] Speaker A: Et puis on se reverra de toute façon. Ça, je sais. Carrément. [03:36:14] Speaker B: Tu es toujours le bienvenu. C'est très gentil. [03:36:16] Speaker D: Merci beaucoup. [03:36:16] Speaker B: N'hésite pas à envoyer un petit message de fou. [03:36:18] Speaker A: Nous avons un beau frigo, un bon coca, et tu es toujours. Voilà. Tu suffis de. Tu connais comment, maintenant, je connais. Ouais. Donc tu peux même. Je me suis perdu trois fois. Mais c'est bon. Tu peux t'incruster tranquillement. [03:36:28] Speaker C: Ce sera toujours ouvert. C'est gentil quand même qu'on soit au bureau, mais. Voilà. Et quelque chose à dire ? [03:36:36] Speaker B: Un dernier mot, peut être déjà, te renvoyer les remerciements de merci de m'avoir invité, d'avoir pu échanger, d'avoir été hyper ouvert sur les sujets qui sont très. [03:36:43] Speaker A: Cool, d'avoir pu mettre tous ces sons qui sont bien sympas. [03:36:47] Speaker B: Ça a fait du bien de repartir là dessus. J'espère qu'aux personnes qui nous ont regardé, ça vous a plu, en tout cas. [03:36:59] Speaker A: Et puis regardez les autres émissions de restless les autres semaines, et le replay. [03:37:03] Speaker C: Si vous n'étiez pas là. Et puis voilà. [03:37:04] Speaker A: Merci beaucoup. [03:37:06] Speaker C: Merci beaucoup. [03:37:07] Speaker A: Un petit mot de ouf. Très content de cette soirée. C'était une super émission. Il y a eu beaucoup de sons bourrins, et ça me plaît bien. Oui, c'est vrai que ça peut plaire aux gens aussi. Je crois que c'est ce qu'ils cherchent quand ils viennent ici et que je suis la personne qui passe les sons peut être un peu trop doux. [03:37:23] Speaker B: J'ai entendu du doux, c'est bien aussi. [03:37:25] Speaker A: Peut être de ma playlist, mais il y en a, c'est important. Il y en a beaucoup. Tu sais, ces derniers temps, à la maison, je passe mon temps à écouter du jazz, de la city pop et de l'ambiante. Là, je me défoule. Et cet homme ne se drogue pas, parce que l'ambiance, parfois, c'est très compliqué. [03:37:38] Speaker B: Ah oui. Parfois, c'est. [03:37:38] Speaker A: J'imagine que c'est une autre expérience avec quelques menus substances. Mais non, je m'en contente. Oui. On peut se créer son univers à soi, sans artifice. La fameuse bulle. C'est ça, la bulle. Toujours la bulle. On y revient. Moi, je voulais juste vous remercier, vous. Merci encore une fois à toutes les personnes qui ont fait des dons. Merci, présent, d'être là, à regarder. Je sais qu'il y en a certains qui disent j'ai pas le temps, vraiment, de regarder l'émission, parce que je dois me coucher tôt. Et il laisse. Il regarde le début et il laisse tourner toutes les missions pour que ça fasse gonfler nos stades. C'est génial. C'est gentil. C'est pas très légal, mais en tout cas, c'est très gentil. Il y a une démarche hyper positive. [03:38:20] Speaker C: Et j'ai. [03:38:22] Speaker A: Reçu des messages magnifiques, donc je vais pas redonner tous les noms. [03:38:25] Speaker B: Mais je vous remercie. [03:38:26] Speaker A: Il y a juste arnaud, peut être qu'il n'est plus là, parce que je sais qu'il se lève tôt aussi. Petit temps. Je suis parti trop tôt. Mais arnaud le remercie infiniment, à lui seul. Il nous paye la Sacem sur l'année. Donc merci beaucoup, beaucoup. Et n'hésitez pas. Voilà. [03:38:39] Speaker C: Laisser même 1 €. Vous savez, on vous demande pas de verser des tonnes de thunes. [03:38:42] Speaker B: C'est pas le. [03:38:42] Speaker A: L'année sujet par an, c'est énormissime, et. [03:38:46] Speaker C: Ça peut changer beaucoup de choses pour nous. On n'est pas payé, encore une fois. [03:38:49] Speaker A: Cet argent ne rentre. [03:38:53] Speaker C: Pas dans nos poches. On ne le boit pas, on ne le mange pas. Ça, c'est ce qu'on a à manger avant boire. C'est moi qui l'achète avec mon peu d'argent. Mais le reste, c'est fait pour payer tous les frais annexes, le loyer, et un jeune homme qui travaille très, très bien pour mieux travailler, mais qui travaille quand même très, très bien. Je suis obligé de te traquer, Marcel. Je suis désolé. Fais gaffe. Il peut se venger au montage. Qui le fasse pas, ça me. Ça ne me dérange pas. Il y a beaucoup de choses qui. [03:39:17] Speaker B: Pourraient être fait, qui ne fait pas. Donc je le remercie. Donc voilà, c'est juste pour qu'il puisse vivre aussi, parce que cet homme a besoin de manger et d'être protégé. C'est bien d'avoir des pâtes dans l'assiette. [03:39:27] Speaker A: Ça, on le disait tout à l'heure. Les pâtes ou autres, d'ailleurs. [03:39:31] Speaker B: Mais les pâtes, c'est souvent plus rapide. [03:39:33] Speaker C: Et beurre un petit peu de beurre. Tu changes et puis voilà. On est tous passés par là. C'est ce que tu disais. Tu vois, chaque euro compte. C'est pareil. Quand on parlait des groupes. Je conclurai peut être là dessus de mon côté, mais allez. Des petits concerts, acheter du petit merch, acheter sur les bandcamps. Des sites, c'est. Prenez pas sur de la fast fashion, allez là dessus. Et c'est ça qui vous permettra de continuer à les voir, de les voir grossir, de voir des belles affiches de festivals. [03:39:53] Speaker A: Donc voilà. Merci à vous de faire que nous, on est là. Mais c'est grâce à vous que eux sont là. Donc bonne idée de parler de bandcamp. [03:39:59] Speaker C: Justement parce que c'est la plateforme de vente en ligne ou d'écoute qui laisse. [03:40:03] Speaker A: La plus grosse marge aux artistes. Tout à fait très utile à savoir, que ce soit pour acheter de la musique ou acheter du merch. Il y a des Friday spéciaux où ils regardent tout à fait ne prend pas de marge. Seulement, n'hésitez pas, quand vous voyez du merch d'artistes, allez d'abord sur leur site à eux, parce que c'est là où il y aura le moins de marge pour des sites tiers et ça ira dans leur poche pour produire des clips, pour produire des tournées, et ils en ont besoin. Et voilà. Bon après, vous finirez avec des armoires remplies de t shirts. Ça, c'est un autre problème, mais au moins, vous pouvez vous habiller pendant un an avec plein de t shirts. C'est vachement cool. J'en connais un qui fait ça, d'ailleurs. Tiens, ça me rappelle. Ah, mais c'est Marcel. Franchement, je l'ai entendu pouffer de l'autre côté ou. Je sais pas ce qui s'est passé. Il s'est tout fait. Je dirais rien non plus, là. Franchement, je non, mais c'est bien. Il faut soutenir effectivement la scène locale. Si vous la soutenez pas, c'est bien dommage. Et c'est là, vous découvrez les meilleurs côtés de beaucoup de choses. Bon. Comme je suis allé à Berlin, évidemment, j'avais envie de terminer sur un truc qui me fait plaisir. Et j'ai vu qu'ils venaient de sortir un clip. Alors je ne sais pas si un album. Je crois qu'un album qui est sorti, c'est compromate. Alors c'est très, très doux, c'est électro. Je ne saurais comment définir leur musique, parce qu'il y a assez varié. Mais là, cette chanson est très, très douce. Et je vous conseille d'aller dans les très vieux trucs, parce que c'est un peu. Il y a des sons qui sont un peu roots. J'aime bien quand ça fait un peu bas de gamme, moi. On en parle souvent avec Molchat Doma qui. [03:41:33] Speaker C: Qui rencontre un succès incroyable. D'ailleurs, ils font Olympia. On en parle beaucoup avec mon ami hongrois. [03:41:40] Speaker A: Mais voilà, c'est là, le son est beaucoup plus clean, beaucoup plus produit, mais ils ont fait d'autres choses que j'aime beaucoup. Et. [03:42:03] Speaker E: Je me suis dit ça va me rappeler un peu Berlin, parce que c'est quand même la ville de l'électro en Europe, en tout cas. Et voilà. Je te remercie infiniment. Enjoy d'être encore là et d'avoir assuré. [03:43:46] Speaker C: Merci encore une fois. [03:45:28] Speaker A: À toi. [03:45:28] Speaker C: Merci infiniment. [03:45:32] Speaker A: À vous d'être là, d'écouter cette musique. Ÿousand, comme. [03:45:52] Speaker C: On l'a dit, je le répète, c'est une redite. Mais c'est vous qui faites les choses. [03:45:59] Speaker A: C'Est vous qui décidez. Donc si vous.

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