#64 - MARIE & LUCAS de BRING THE NOISE OUIFM en invités

Episode 64 October 18, 2024 04:18:52
#64 - MARIE & LUCAS de BRING THE NOISE OUIFM en invités
Bang!Bang! RSTLSS
#64 - MARIE & LUCAS de BRING THE NOISE OUIFM en invités

Oct 18 2024 | 04:18:52

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Show Notes

Retour à la case départ pour Pierre puisque dans cette émission il reçoit Marie & Lucas qui sont les animateurs de BRING THE NOISE, la seule émission alternative rock de la bande FM en nationale... Emission inventée par Pierre & Aurélie en 2009. Les sujets abordés sont naturellement les avantages et les contraintes de travailler sur une radio FM nationale, comment est choisie la musique, comment on devient animateur et plein d'autres sujets autour des artistes reçus...

Ben, Didier, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:01] Speaker A: Bang bang bang. [00:00:05] Speaker B: Bang. [00:00:08] Speaker A: Bang bang bang. [00:00:10] Speaker C: Bang bang. [00:00:14] Speaker A: Bang bang. [00:00:19] Speaker C: Ah là là. J'avais envie de le faire d'une façon un peu ténor. Bonsoir à toutes et à tous. Bienvenue dans Bang bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, en live twitch. Comme tous les dimanches à partir de H, on se réunit pour passer des clips, discuter musique et surtout, dire plein de bêtises. Avec ce soir, des invités qui me font bien plaisir. Alors, avant de te dire bonjour, j'ai envie de dire de qui il s'agit. [00:00:40] Speaker D: Oui, vas y. [00:00:40] Speaker C: Il s'agit. Bon. Et puis avant de dire que t'es très malade. [00:00:45] Speaker D: Je suis là pour le 1ᵉʳ speak, et après, vous me retrouverez dans le chat et à la technique. Mais je ne vous ferai pas cette phrase. [00:00:51] Speaker C: Elle était. Vous me retrouvez dans le chat. Wow. Ça devient chaud. [00:00:57] Speaker D: Ça devient chaud. Qu'est ce qu'il faut pas faire pour appâter le chaland, maintenant ? [00:01:01] Speaker C: Tu as quand même beaucoup d'humour en étant très mal à nain. Il faut compenser. Ce soir, nos invités, ce ne sont pas moins que mes enfants. Vous allez voir, ils me ressemblent comme deux gouttes. C'est ça qui est quand même complètement fou. Il s'agit de Marie et Lucas, de Bring the Noise, sur WeFm. Vous savez, cette station qui diffuse beaucoup de rock et qui est la seule station à vraiment diffuser. Même si j'ai envie de travailler sur Rob, c'est quand même vachement mieux, WFM. Mais toujours est il que. Ils ont quand même intérêt à m'engager, parce que j'ai envie d'être en phase deux. On en parlera, de tout ça. De toute façon, c'est une tambouille, la radio. Nous allons parler, ce soir, parce qu'il y a des choses à éclaircir, à mettre au clair auprès des personnes qui regardent, parce qu'ils aiment bien un petit peu les potins. Je peux vous dire, j'en ai un paquet. Ils n'auront pas l'obligation de répondre. Je peux vous rassurer parce que vous avez encore un emploi. Qu'est ce que je voulais dire d'autre ? Qu'est ce qui s'est passé ? [00:01:50] Speaker D: Mon bon Benjoy. Mon bon Benjoy, il est tombé malade, celui ci. Je suis tombé malade. Donc, sa 1ʳᵉ nouvelle et 2ᵉ nouvelle, on s'est retrouvés avec Marcel à un concert, cette semaine. [00:02:00] Speaker C: Ÿ oui. Tu vas essayer de. Ah bah non. [00:02:02] Speaker D: Tu vas partir avant d'en parler. Je vais partir avant d'en parler. Mais il y aura une petite référence tout à l'heure dans mes choix de morceaux. On est allé voir la soirée au Zenith, soirée full suédoise, avec Soul, work in flames et archme. [00:02:14] Speaker C: Il faisait même des. Apparemment. Il faisait même des sandwichs au saumon. [00:02:17] Speaker D: Ah ça j'ai pas. [00:02:19] Speaker C: Je suis pas allé checker. C'est la plus mauvaise blague de cette émission, mais j'avais très envie de la faire. [00:02:23] Speaker D: Les sandwichs avec le pain. [00:02:23] Speaker C: Avec les trous, là. C'est ça. Et les fameux suédois. Exactement. Ouais. [00:02:29] Speaker D: C'était bien. Et c'était très bien. Ouais. Nous, on venait essentiellement pour Inflames, le groupe qu'on partage pour notre fanatitude, et qui ont fait un très beau set avec une belle setlist avec quelques morceaux issus de leur 1ʳᵉ période, la période dorée des années quatre, 20, 10, on va dire. Et ouais, c'était chaud, il y avait du monde. [00:02:50] Speaker C: En fait, c'était au Zénith. [00:02:51] Speaker D: C'était au Zénith. C'était prévu pour être à l'Olympia à l'origine, et ensuite après, ça a été surclassé au Zénith parce qu'il y avait. [00:02:56] Speaker C: Encore de la demande. Bravo, bravo, bravo, bravo à live nation. D'ailleurs, je crois que c'est eux qui organisent ce concert. Donc merci à eux d'organiser ce genre d'événement avec autant de très bons groupes. On a mis quelques stories sur notre Instagram, si vous avez envie de regarder cela. Et c'est vrai que ça avait l'air d'envoyer, puis les gens avaient l'air d'envoyer. C'était à une certaine moyenne d'âge, quoi. [00:03:16] Speaker D: Ah ben c'est pas des groupes tout jeunes, mais il y avait quand même un peu des jeunes. Je pense qu'ils étaient surtout là pour Archme, qui est le groupe qui cartonne peut être le plus en France parmi les trois, on va dire, qui étaient à l'affiche. Puis c'était eux qui finissaient la soirée, on va dire. Et ouais non, très très belle soirée. Moi j'étais content de revoir seul work aussi, qui est un groupe que j'aime beaucoup et qui avait un peu la place du con dans la. Dans la soirée, parce que c'est eux qui font la 1ʳᵉ partie des deux autres et qui jouent le moins, qui jouent le moins longtemps, mais qui ont. Qui ont délivré, qui était super bon. Et Beyond Street, toujours excellent chanteur, bon. [00:03:50] Speaker C: Et toi tu as donc forcément crié comme un putois, étant donné que tu n'as plus de voix. Voilà. Tout ça en t shirt, en se disant mais non, mais il fait bon, dans Paris il fait 5 ° et puis j'ai transpiré. Je ressemble à une méduse, mais je m'en fous, je vais quand même me balader dans Paris. [00:04:02] Speaker D: Je sais pas dans quel état est Marcel aujourd'hui, mais je lui souhaite d'être. [00:04:05] Speaker C: En meilleur état que moi. Il m'a envoyé une photo. J'ai bien l'impression qu'il est bien parce que Marcel fête son anniversaire en retard avec ses amis hongrois. Voilà, c'est tout ce que je sais. J'ai vu qu'il avait des néons dans la tête, sur la tête avec des lunettes cyberpunk. Et puis c'est l'esthétique Marcel. J'ai fait. Ok, donc il n'est pas là ce soir et on lui souhaite de beaucoup s'amuser. Donc la technique va être rassurée par toi en cachette pour qu'on évite d'utiliser ta voix. Si tu te sens le courage à un moment quand même de venir faire ton speak encore une fois sur le groupe, d'après je te dirai, tu feras comme tu peux. Voilà. Par contre je tenais à dire quelque chose. Voilà, on a fait un appel. Ça fait deux fois que nous faisons un appel au don via l'émission en direct. On a posté un short et vous avez été extrêmement nombreuses et nombreux à reposter ça sur Instagram, sur Facebook, sur Twitter également. Enfin x. Excusez moi, je dis encore Twitter, pardon. Et ça me touche énormément parce que je ne pensais pas qu'il allait avoir un tel engouement. Non pas que je dénigre le travail, etc. C'est juste qu'il y a eu vraiment énormément de gens qui ont repartagé. Je n'ai pas eu le temps de répondre à tout le monde parce que je tiens à le faire quand même. Et il y a beaucoup de repartages. Je pense qu'on est à. On a dépassé la centaine. [00:05:17] Speaker D: J'ai vu que tout à l'heure on avait été repartagé par le Hellfest aussi. Voilà. Ça fait une exposition qui est pas mal. [00:05:22] Speaker C: Il y a beaucoup de festivals qui nous ont. Voilà, regardez les dons. C'est tous les dons qu'on a reçus. Ça fait un joli bulletin. Je peux d'ores et déjà vous dire que grâce à vous, le mois de novembre existera. Ça c'est une certitude. Donc au moins on est là. Encore en novembre. Je pense que j'ai pas encore eu le temps de tout calculer parce que vous savez en match je suis un peu le mec le plus pourri du monde. C'est vrai que j'ai un rat ça. Et j'arrive à dépenser quand même 1 500 € par mois. Apparemment il y a un mauvais calcul. Apparemment. Je plaisante bien sûr, sinon je serais en prison ou en tout cas sans compte bancaire. [00:05:56] Speaker D: Mais ouais. C'était extrêmement touchant de voir tous les gens partager, nous envoyer du soutien, puis nous envoyer des dons. En fait, c'est pour cette raison que je voulais participer, au moins au début de l'émission, même avec ma voix complètement niquée. C'était pour remercier toutes les personnes qui ont repartagé, qui ont fait des dons, etc. C'était très touchant. Et grâce à vous, en fait, l'émission va avoir en tout cas un sursis. [00:06:16] Speaker C: Un sursis d'un mois au mois. Pour le moment, je vous dirai. Je vais essayer de calculer d'ici la fin de l'émission. Et à la fin de l'émission, je donnerai tous les prénoms et les villes ÿousand des gens qui ont participé pour les remercier parce que c'est un petit geste. C'est pas grand chose, mais c'est important. [00:06:30] Speaker D: Quand même de vous faciliter le générique façon club Dorothée, tu sais, avec les prénoms et tout. [00:06:33] Speaker C: On m'a parlé de patreon, ben a énormément travaillé là dessus aussi. Je sais que. Voilà, c'est censé arriver. Les épisodes avec les clips, on travaille aussi dessus pour trouver la technique de. Comment vous les partagez, parce que je sais que c'est quelque chose qui vous dérange un petit peu, ce qui est. [00:06:50] Speaker D: Normal pour réussir à gruger. [00:06:53] Speaker C: Voilà, à gruger les embargo en termes de droits, on puisse en sortir et puis quoi qu'il arrive. J'ai eu plein aussi de messages hyper gentils de personnes qui ont proposé leur aide. J'ai eu des services du 10/8 arrondissement et qui m'ont contacté pour proposer des choses, des locaux, de l'aide, etc. Il y a vraiment beaucoup de grosses choses qui se sont déployées et c'est pas sans émotion. Alors là je me tiens parce que ceux qui me connaissent savent que je pleure. Mais j'ai beaucoup pleuré en regardant tous vos messages. Je suis resté scotché sur mon canapé en me disant putain, j'y crois pas. Et c'est beau. Cette communauté prouve encore une fois qu'elle est belle et qu'elle a envie de soutenir les choses, les événements. Et nous ne sommes pas seuls, nos invités de ce soir pourront parler également parce qu'ils se battent aussi pour que ça puisse exister à la radio. [00:07:44] Speaker D: C'est vraiment cool. J'ai vu aussi qu'on avait eu des messages de soutien et tout, d'invités qu'on avait reçus dans l'émission, de groupes qu'on. [00:07:50] Speaker C: A reçus au studio, des messages, des partages et des dons. Ÿousand on a reçu des dons aussi, des artistes que nous avons reçus. Et ça, j'avoue que. Alors non pas que les artistes sont dépeints, c'est pas ça. Je veux dire, évidemment. C'est juste que d'habitude. Bon, voilà, ils partagent, c'est un truc qui est entre nous, ils font le même boulot, etc. Mais non, non, là, ils ont carrément fait des dons. Comme je l'ai toujours dit, ne vous ruinez pas, s'il vous plaît. Ce n'est pas le but. Si vous n'avez pas les moyens, ce n'est pas grave. Vous ne faites qu'un partage, c'est déjà énormissime, parce que j'ai vu certains dons qui sont très, très grands, et je ne sais pas si vous en avez les moyens. C'est très gentil, mais il faut faire juste comme vous pouvez. 1 €, c'est gigantesque. Parce que si on est 20030, 1000 à faire 1 €, je peux vous dire qu'on peut faire la saison, mais alors léger. Donc le but, ce n'est pas de vous ruiner, c'est vraiment de faire comme. [00:08:39] Speaker D: Vous pouvez, en sorte de conserver un toit et de quoi manger. Parce que si vous mangez pas, en fait, vous mourrez et vous ne pourrez pas voir l'émission, et c'est un peu bête. [00:08:45] Speaker C: Et puis si vous n'avez plus de toit, vous ne pourrez plus nous sauver la saison d'après. Donc c'est juste que. Voilà, tout ça, c'est des choses qui vont forcément se recommencer si on ne trouve pas de sponsors. D'ailleurs, si vous connaissez des grosses entreprises, des grosses marques, n'hésitez pas à leur dire de venir v. Nous pour proposer des partenariats ou en tout cas des services. J'ai reçu quelques propositions. Je ne sais pas trop encore. Je n'ai pas encore eu le temps de répondre, parce qu'il y a eu vraiment beaucoup, beaucoup de messages, mais voilà, je ne sais pas encore ce que je peux dire et ce qu'il en est, mais n'hésitez pas. De toute façon, c'est toujours la même chose. Cette musique, elle ne marche que parce qu'on en parle et on partage ça avec les gens qu'on aime et avec les gens qui aiment cette musique, voilà. C'est une passion. Je ne vais pas parler de mon week end pour l'instant. Je vais attendre que Didier arrive, parce que c'est celui qui pourra me vanner excessivement sur ce qui s'est passé. Mais je peux vous dire que j'ai le sourire en dehors. Il a dû se passer des belles choses. Ah j'avoue. En tout cas, je transpire un peu moins depuis ce week end. J'ai bien l'impression que j'ai déchargé toute l'énergie que j'avais en moi. Des petites toupies, vraiment, je vous raconterai ça juste après. J'avais juste aussi envie de remercier avant de lancer la musique puisque les clips est important et qu'il ne faut pas être trop, trop long. Je sais, ça fait déjà 10 min. Ben qui est sur le chemeul doit se dire putain. Mais ça parle et ça parle. On t'aime putain Ben. Et je suis très content que tu sois là la semaine prochaine. Et c'est son grand retour. [00:10:08] Speaker D: Fini les vacances. [00:10:10] Speaker C: Fini les vacances. Je remercie le super Sonic aussi, qui ont envoyé des messages extrêmement gentils, dont tiff évidemment, qui est déjà venu ici. [00:10:20] Speaker D: Qui est une amie qui est venue. [00:10:23] Speaker C: Dans l'émission aussi avec Visual Music. Exactement, avec qui aussi je mixe au Rock my. Je tiens à lui faire un gros bisou. Et elle m'a envoyé un clip, le nouveau clip de Ocean Grove qui s'appelle donc Last dance. Alors effectivement c'est peut être pas le meilleur message qu'elle m'a envoyé, mais je pense que c'est juste parce qu'elle voulait me partager quelque chose de très beau. Ocean Grove qui a cette espèce de. C'est à la fois hyper doux, délicat, c'est comme des envolées, c'est un peu shugaze sur certains points et puis après ça envoie un peu plus du lourd en une espèce de devtone j'ai envie de dire. J'ai toujours cette comparaison facile, mais je. [00:11:01] Speaker D: Vais vous laisser, ça fait très new metal, un petit côté sensible, un petit côté australien, les cheveux dans le vent, tu vois. Parce que je crois qu'ils sont australiens. [00:11:10] Speaker C: Si je me gourpe. Alors là c'est une excellente question. [00:11:14] Speaker D: Peut être que je dis une grosse bêtise, vous me corrigerez dans le chat. [00:11:17] Speaker C: Tout ce que je sais c'est que cette chanson, quand elle me l'a envoyée, j'ai chialé aussi. Oui bon je sais je suis une chialeuse, vous avez le droit de m'insulter là dessus, ça fait partie du jeu. Mais c'est magnifique, ouais c'est magnifique. Et je me suis dit que tout ce que nous vivons là grâce à vous, et bien c'est magnifique. Donc c'était un petit peu ce petit bijou de début d'émission pour vous remercier. Voilà, on lance le tout et puis on se retrouve peut être un peu plus tard. Ok, ça marche. Allez, c'est parti pour Bang Bang avec Ocean Grove. C'est à toi de. Tonight I step into this. [00:12:02] Speaker A: Feeling i'm. [00:12:04] Speaker C: Alive going eyes descending from high cause. [00:12:10] Speaker A: There is only one thing on your. [00:12:20] Speaker C: Mind tonight hold that feeling now maybe. [00:12:28] Speaker A: We can dance together can you see the fire lighting out the water breathing in and out you. [00:20:04] Speaker C: Stop the sun et oui voilà je suis seul abandonné sur mon bateau comme un capitaine. C'est pas ça les paroles ? Tides from Nebula, à l'instant. Clip et chanson uniquement instrument mental. J'avais envie ce soir de partager ce beau morceau parce que j'ai trouvé ça magnifique. Je suis pas trop groupe instrumentaux etc. Je. Des fois je trouve ça un peu long et je peux m'ennuyer parce que j'aime beaucoup la voix, c'est comme ça je peux chanter sous la douche et tout. Et en vérité, c'était pour faire plaisir notre ami Enjoy the Noise ainsi qu'à vous. Donc n'hésitez pas dans le Shmul. Ouais. Si vous avez pas entendu, il a dit qu'il est très touché. Voilà. Et je n'ai rien fait. Et sans les. Qu'est ce que je voulais dire d'autre ? Ce qui est certain, c'est que ce groupe là, je vous conseille d'aller checker tout ce qu'ils font parce que c'est énorme ici. Ça vient tout juste de sortir. C'est un nouveau clip. Donc, Tides from Nebula. Si vous n'avez pas retenu ce titre, vous le retrouverez bien évidemment sur notre page YouTube. Notre chaîne YouTube. Si d'ailleurs vous voulez vous y abonner, je vous invite à le faire puisque c'est comme ça aussi que vous pouvez nous aider en faisant grimper ce chiffre, puisque c'est ça qui malheureusement intéresse les sponsors. Et quand je regarde ma montre que je ne possède pas la Bionic Steve Austin, et bien je. Je vois qu'il est l'heure du flashback news motherfucker. [00:21:22] Speaker E: Et c'était avec Didi, bien sûr que nous connaissons. Écoute, ça va, c'est juste que là, je sais pas. J'ai croisé Jeanne Moreau qui faisait la. [00:21:35] Speaker C: Technique. Du coup ce soir, ça fait bien aussi des talents d'imitateur. J'ai regardé un reportage ce jour, Laurent. [00:21:40] Speaker E: Gérard ce week end, parce que j'ai eu Ÿousand que tu as. Parce que tu adores. [00:21:44] Speaker C: Il y a pas besoin d'en dire plus. C'était l'enfer. L'enfer. Je regardais, je me disais. [00:21:50] Speaker E: Waouh. [00:21:51] Speaker C: Dire que je dois ressembler à cette personne. Bon, sans son argent. Mais après. Voilà. Sans son succès. Bon, c'est pas grave. Après ça, c'est pas ça qu'on cherche. Mais par contre, son talent d'imitateur. [00:22:00] Speaker E: Vraiment, parce que si on pouvait en avoir que déjà. [00:22:03] Speaker C: Tu sais que quand il imite. Quand il fait ses spectacles auxquels on m'a invité, je remercie herbé de me convient à ce show qui aura lieu au casino Ÿousand de Paris. Il y a le nom des gens qui limitent derrière qui s'affichent, au cas où tu dirais. [00:22:19] Speaker B: Bon. [00:22:19] Speaker C: Je ne sais pas qui c'est. [00:22:22] Speaker E: Ah oui, c'est lui. Pour qu'il soit pas obligé de faire. Écoutez. Crac crac. [00:22:26] Speaker C: Je suis Jacques Chirac. Non, ça, c'est les miennes. L'imitation. Bon. Didier, dans les news de cette semaine, je vais commencer par les miennes. Oui. J'ai eu ma 1ʳᵉ relation sexuelle depuis quatre ans, et je peux te dire. Waouh. Le ridicule ne tue pas. Je tiens à le dire. Mais voilà. Non, je suis pas rouillé. Je peux te dire que. On m'a même dit. Oh là là. Calme toi. Peut être que les années de manque ont fait que. Voilà. On m'a dit. Tu transpires beaucoup, aussi. [00:23:04] Speaker E: J'ai dit ça ? C'est pas nouveau. Mais je le sais. Tu sais, parce que tout à l'heure, je t'ai vu. T'as pas fait gaffe sur le catering. Tu t'es assis sur une pomme. Ça a pas touché les bords à nouveau. Quelle horreur. [00:23:16] Speaker C: Comme à mes tout débuts ici. Et j'ai craché quelques cacahuètes. Enfin bon. Voilà. Donc, je tenais à le dire. Ce n'est pas grave. [00:23:25] Speaker E: De ne pas avoir de relation. Je suis content. [00:23:26] Speaker C: Je suis fier de toi. Je pense que c'est l'intégralité des dons et cet élan qui m'a dit. Il faut que j'accepte. Non, parce qu'on me donne des rendez vous. En fait, c'est pas ça, le problème. C'est que beaucoup de gens. J'ai pas envie de me la péter, mais il y a quand même des gens. On est gay, donc bon. Voilà. Ça va très vite, mais les rendez vous sont donnés. Mais j'y vais jamais, parce que j'ai peur. Et là, j'y suis allé. Bravo à toi, la machine à décapsuler. Je te dire bravo, mon champion. Bon. Passons. Aux choses sérieuses, puisque ça, ça va rester quand même sur YouTube. Je suis très fier que ma mère tombe dessus. [00:23:57] Speaker E: Quelles sont les news métal de cette semaine ? Alors, autant la semaine dernière, c'était un peu pauvre en news, il payait pas beaucoup d'actu, autant cette semaine, j'ai dû. [00:24:04] Speaker C: J'ai dû en mettre de côté. En plus, j'ai rien regardé. [00:24:06] Speaker E: Alors vas y, dis moi tout. Alors, on commence avec Stéphane Carpenter. Stéphane le charpentier, en fait. Stéphane Charpentier, là, il était chez Beryl. [00:24:16] Speaker C: Dans son émission sur l'herbe. Sur l'herbe. Voilà, voilà. [00:24:19] Speaker E: Et puis il est tombé du bout de la planète. Il était sur le bord du coup. Donc là, non, mais c'est pas grand chose. Il a. Il a juste parlé un tout petit peu du nouvel album de Deftone et il a dit que du coup, ça ressemble. Ressemblerait à une continuation de hommes et de Coinoyokan. [00:24:36] Speaker F: Avec. [00:24:36] Speaker E: Ça ressemblera du Deftone, avec quelques petites touches d'inattendu. Ah, il y a Biryl qui lui a demandé. Mehdi, du coup, est ce que tu nous vas rapper ? Est ce qu'il trouve toujours un moment, un moyen de rapper ? [00:24:49] Speaker C: Non, pas cette fois ci. Mais il va vous surprendre. Ouais. Enfin, l'autre, il était. Pourquoi il est allé voir Beryl ? Parce que l'autre, il a offert de l'herbe gras gratos. C'est tout. Il a eu 200 têtes gratos. [00:25:02] Speaker E: Il est reparti avec un baluchon. [00:25:03] Speaker C: Ils sont copains, ils ont les mêmes passions. [00:25:05] Speaker E: Il y a pas d'argent. Pardon. Pour moi, s'il y avait un autre animateur de radio qui faisait une émission juste sur les cacahuètes, tu serais ? Je serais l'invité de 1ʳᵉ manche. [00:25:16] Speaker C: Le 1ᵉʳ à ne jamais refuser une invitation. Bon, très bien. On espère que l'album sera bon. Ceci dit, le dernier était pas si mal que ça, mais il passe quand même un petit peu inaperçu. [00:25:25] Speaker E: Les derniers albums de Deftones, je dis pas qu'ils sont mauvais. Gore était un peu en deçà, mais celui d'avant, il était homs. Il était quand même pas mal, non ? On verra bien. Autre petite news rapide. Un nouveau documentaire sur Iron Maiden arrive sur Netflix début 2020. Cinq pour fêter les 50 ans du groupe. [00:25:41] Speaker C: Il n'y a pas grand chose à dire. [00:25:44] Speaker E: C'est juste qu'on va. Ils sont vieux, quoi. [00:25:46] Speaker C: Mais ils ont des cheveux. Ils ont des cheveux. [00:25:47] Speaker E: Non, je crois que c'est un reportage sur scène. Ils sont peut être allés en conception. Ils envoient encore pas mal en concert. Et puis pour le coup. [00:25:55] Speaker C: Voilà c'est quand même pour le coup, ça joue pour de vrai Iron Maiden. Il n'y a pas de bande. [00:25:58] Speaker E: C'est vrai que c'est l'un des rares groupes qui ne triche pas. Et. Et puis pour. Alors du coup le documentaire va retracer toute leur vie et donc toute leur carrière. Il y a vraiment. [00:26:07] Speaker C: Mais ça va être long Épisodes j'espère peut être. [00:26:11] Speaker E: Non mais une centaine. Et chacun doit prendre quatre ans de leur existence. [00:26:16] Speaker C: L'histoire du mariage en Pologne qui me fascine à chaque fois. Oui bon ils vont sûr, j'en suis sûr qu'ils vont parler de l'avion à chaque fois ils en parlent pendant des heures alors qu'on s'en fout, on s'en bat. Les rousseaux. Bon bref, Iron Maiden qui sont bientôt. [00:26:25] Speaker E: En concert, achetez vos places, il en reste. Je crois que c'est sol. [00:26:29] Speaker C: D'ailleurs ils seront même aux European. [00:26:32] Speaker E: Il y aura une soirée armetal le jeudi métal aux Eurocannes avec Maiden et. [00:26:37] Speaker C: Des groupes dont on. Oui un peu, un peu. [00:26:38] Speaker E: Je me souviens pas des noms. Mais c'est que de la. [00:26:42] Speaker C: Bah justement parce que tu te souviens pas des noms. [00:26:43] Speaker E: Merde je me suis fait niquer par moi même. [00:26:45] Speaker C: Bon allez vas y. [00:26:48] Speaker E: La suite. Ah mais c'était ça du coup la news. Une petite news envoyée par Marcel, du coup comme quoi il y a vraiment une rédaction qui travaille ici. [00:26:59] Speaker C: C'est une entreprise, une entreprise allemande avide. [00:27:01] Speaker E: D'Argent à déposer la main. [00:27:04] Speaker C: Marque bleg. [00:27:04] Speaker E: Ah oui alors attends, ce bleh c'est le hardcore, c'est le cri du hardcore, l'onomatopée, on peut utiliser très souvent dans le metalcore. Et du coup il y a. Pardon, excusez moi. Il y a une boutique de vêtements indépendante appelée Def Sentence qui faisait des t shirts et des sweats et plein des stickers, plein de trucs, qui avait sa boutique Etsy. [00:27:23] Speaker C: Et du coup ils sont fait tout enlever à cause d'eux parce que la. Et quand tu déposes une marque, tu. [00:27:31] Speaker E: Déposes, tu le déposes pour une certaine catégorie de choses. Du coup ils ont aussi tapé dans. [00:27:35] Speaker C: Justement dans tout ce qui est textile. [00:27:39] Speaker E: Ah ouais. Et donc voilà c'est salaud quand même. C'est vraiment n'importe quoi. Et puis du coup est ce que les groupes de metalcore vont faire le truc ? Et du coup il y a des vannes comme ça où on voit des groupes qui du coup font. [00:27:50] Speaker C: Parce que du coup ils veulent pas se prendre de procès. Mais ça c'est déposé par. [00:27:57] Speaker E: Comment s'appelle le dessin animé. Voilà. Très bien. [00:27:59] Speaker C: Ça s'appelle un bide. Voilà. J'ai envie de te dire. [00:28:01] Speaker E: Voilà. Mais ton fils, il en regarde plein, des trucs, là. [00:28:03] Speaker C: C'est le chien qui est policier. Ah. La patte patrouille. [00:28:06] Speaker E: Pas de patrouille. Merci. Bah, voilà. Excusez moi. Ce week end m'a perturbé, vraiment, que la patte patrouille qui a déposé des aboiements de chien peut être plein d'autres choses. Passons. Alors, on enchaîne. Moi aussi, du coup. Mais c'est avec ce que tu as annoncé, là, j'ai chaud. Alors, il y a poppy qui lance sa série. Sa série. Une série. Une série télé, là, c'est donc documentaire. ŸOusand Poppy. Une série originale en six épisodes sur Vips. [00:28:35] Speaker C: Alors il y a le 1ᵉʳ épisode qui est passé la vendredi sur Vips. V. E. E. P. S. Ok. [00:28:45] Speaker E: Super. Et voilà. Je me maintiens, mais là, carrément, je m'envole. Non, mais on s'en fout, ce show. Si. En gros, ça fait un peu écho à ses débuts sur YouTube. La bande annonce, on y voit. C'est ultra starbé. Il y a des mélanges de. [00:28:57] Speaker C: Elle va chanter, elle interview des clowns. Enfin, ça va être un peu. [00:29:00] Speaker E: Il s'en passe, des choses. Elle a la poissonnerie, ça va être du gros n'importe quoi. Un peu comme ses débuts sur YouTube. Et on sait qu'il y a des. [00:29:09] Speaker C: Fans, et notamment chez nous. [00:29:11] Speaker E: Ben, était quand même. [00:29:11] Speaker C: Non. [00:29:11] Speaker E: Puis dernièrement, ce qu'elle a sorti, c'est cool. Franchement, pour le coup, il y a un peu de musique de ce qu'elle fait, et il y aura un peu. [00:29:17] Speaker C: Des trucs starbés, comme elle faisait à ses débuts. Donc, est ce que ça veut dire qu'elle a envie de revenir aux sources. [00:29:21] Speaker E: Ou ça veut dire que musicalement, comme elle a gagné plus d'argent. Non, mais c'est. Son album sort bientôt. Son album, elle sort bientôt. [00:29:27] Speaker C: Et du coup, ces gens, c'est que. On sort le petit truc avant. [00:29:33] Speaker E: Ça fait un ensemble pour la promo. C'est bien. Bien, bien joué. Sinon. Bah, du coup, pour. Pour lancer un petit clip que tu aimes bien. On l'explique, c'est. Du coup, c'est henry Rollins qui a. Qui a expliqué dans une interview pourquoi il ne reviendrait pas sur scène malgré sa. Sa carrière légendaire. Malgré les. Les demandes. Musicalement, oui, parce pour du théâtre ou pour ces. Ces trucs où il engueule les gens. Mais en gros, malgré sa carrière de. Voilà. Culte. Il explique qu'en fait, s'il revenait, ce serait vraiment pour l'argent, et que non, mais s'il dit si je revenais, ça serait pour l'argent. Et le truc c'est que les musiciens avec qui j'ai bossé toute ma vie, en fait on se parle pas, on se parle que via nos avocats. Et du coup, si on revenait vraiment, ça serait clairement que pour le fric. Et ça se verrait tellement que ça serait ridicule. Et donc j'ai pas envie d'être ridicule. [00:30:24] Speaker C: Donc je reviendrai pas. Donc voilà, allez vous faire foutre. Alors par contre, tu vois, autant il y en a beaucoup qui disent ça et on sait qu'il y a. Ÿ. [00:30:31] Speaker E: Je pense que lui, ce mec, de toute façon, il me fait flipper. Il a même dit ouais, je serais. [00:30:36] Speaker C: Que pour l'argent, ça serait tellement vulgaire et putassier que je le ferais jamais. Bon, c'est bien parce qu'il prend son. [00:30:41] Speaker E: Exemple à lui, mais en gros, il est en train de basher un peu tout le monde quoi. En même temps ça lui ressemble un peu parce qu'il s'en bat les couilles. J'ai envie de dire, Kerry King, qu'est ce qu'il va faire le bouboule ? [00:30:58] Speaker C: Il va aller en rire. Olim, il va faire quoi ? [00:31:00] Speaker E: Tu veux te battre ? Vrai qu'Erik King, Ben, c'est. C'est. [00:31:06] Speaker C: Henri Rollins. Même à 60, 10 ans, il sera. [00:31:10] Speaker E: Toujours capable de lui péter la gueule. Ok, on a lancé plusieurs infos, mais. [00:31:14] Speaker C: Tu es de bonne humeur, ça soit tu as une brillance dans les yeux et tu ne m'écoutes pas. J'ai les poils lisses, il brille et tout. Non, non. [00:31:20] Speaker E: Mais oui. [00:31:21] Speaker C: J'ai pas entendu ce que tu as. [00:31:22] Speaker E: Dit parce que j'ai pensé à Krilin et que c'était Kerry King en fait, c'est tout. [00:31:27] Speaker C: Je. [00:31:27] Speaker F: Voilà. Ok. [00:31:27] Speaker C: Bah je pense qu'elle a pas mieux. Autant lancé un. Et ce clip me fait peur aussi. Oui, mais tu l'aimes bien. Mais je l'aime bien. Je l'aime bien parce que je l'ai. [00:31:36] Speaker E: Tellement vu quand j'étais gamin. [00:31:38] Speaker C: Ça tourne en boucle. [00:31:52] Speaker E: Sur MTV. [00:31:52] Speaker C: Oui, sur M aussi. [00:31:53] Speaker F: Voilà Henry Rollins avec l'ir dans Bang bang, bang bang. [00:32:00] Speaker A: So you think you're gonna live your. [00:32:02] Speaker F: Life alone in darkness and seclusion Yeah. [00:32:04] Speaker C: I know you've been out there and. [00:32:08] Speaker A: Tried to mix with the animals and. [00:32:11] Speaker C: It just left you full of humiliated. [00:32:14] Speaker F: Confusion but the feeling of loneliness never leaves you it haunts you everywhere you. [00:32:21] Speaker C: Go and then you meet me and. [00:32:24] Speaker D: Your whole world changes Because everything I. [00:32:27] Speaker F: Say is everything you've ever wanted to. [00:32:30] Speaker A: Hear so you drop your defenses and you drop all your fears. [00:32:39] Speaker C: And you're. [00:32:39] Speaker A: So busy feeling good that you never question why things are going so well, you want to know why cause. [00:32:55] Speaker F: I'M. [00:32:56] Speaker A: A liar, yeah, i'm a liar i'll tear your mind out i'll burn your soul i'll turn you into me i'll turn you into me Cause i'm a liar, a liar, a liar, a liar i'll hide behind a smile ÿousand and understanding eyes And i'll tell you. [00:33:36] Speaker C: Things. [00:33:37] Speaker A: That you already know so you can say I really identify with you so much i'll come to you like an affliction But i'll leave you like an addiction you'll never forget me you want to know why Cause i'm a liar, yeah, i'm a liar i'll rip your mind down i'll burn your soul i'll turn you into me i'll turn you into me Cause i'm a liar, a liar, liar, liar, liar, liar I don't know why i feel the need to lie and cause you so much pain Maybe it's something inside Maybe it's something I can't explain cause all I do is mess you up and lie to you I'm a liar, oh, i'm a liar But if you give me just one more chance I swear I will never lie to you again Because now I see the destructive power of a lie that's stronger than truth I can't believe I ever hurt you I swear I will never lie to you again Please just give me one more chance i will never lie to you again I swear I will never tell a lie I will never tell a. [00:35:51] Speaker C: Lie. [00:35:54] Speaker A: No, no liar Yeah, I like it I feel good Oh, I. [00:36:09] Speaker C: Am a. [00:36:11] Speaker A: Liar Yeah, I lie, I lie, I lie Oh. [00:36:33] Speaker C: I lie i'll lie again and again i'll lie again and i'll keep lying I promise Henry Rollins à l'instant avec liar. Excellent clip. Grand, grand clip des années quatre, 20 10 qui me faisait toujours flipper. À chaque fois que je le voyais, je me disais putain, ce mec, je. [00:36:43] Speaker E: Le croise dans la rue, je pense qu'il me pète la gueule direct. Non, mais il a des lunettes, il. [00:36:47] Speaker C: A l'air d'être en intello, mais en même temps il a l'air d'être musclé en poche. Je comprends pas. À l'époque, on pouvait se poser ce genre de questions stupides. Bon, après, non pas que j'ai un. [00:36:58] Speaker E: Jour été intelligent, mais toujours est il que ça m'impressionnait de voir ce mec. [00:37:01] Speaker C: Mais je pense, c'est. Par moments dans la journée, tu as. [00:37:04] Speaker E: Des si j'ai fait une micro sieste, d'un seul coup, j'ai un éveil, je pense tu peux avoir des fois des. [00:37:11] Speaker C: Petites plages de 10 min où tu es un génie, et après c'est 10 min. [00:37:14] Speaker E: C'est 10 min, faut le saisir 10 min. Si je. [00:37:18] Speaker C: Le saisis pas, ça passe. Le problème, c'est que c'est souvent quand ÿousand tu dors, quoi ? Autant pour moi. Je tiens aussi à dire une chose. Il y a des personnes qui m'ont envoyé des messages que j'ai trouvé. Que j'ai trouvé rigolo, mais parce que je me suis dit les gens sont vraiment très gentils. Je remercie toutes les personnes qui se connectent le dimanche soir à H sur Twitch, qui disent j'allume dans mon bureau ou dans la chambre, mon ordi, je mets Twitch, je regarde souvent le début avec les gamins, etc. Parce qu'il y a beaucoup de famille. [00:37:48] Speaker E: Désolé pour les mots vulgaires utilisés. Et après je laisse tourner, comme ça, ça vous fait vous remercier en même temps. Moi, je fais ça. Je fais ça avec nos YouTube, c'est. [00:37:57] Speaker C: Que je mets le son au minimum et puis je les balance et puis je. Alors je le dis, même si c'est pas légal, mais parce que normalement ça peut pas être comptabilisé. Mais en tout cas, merci à vous. Ça fait chaud au cœur de voir des fois vous passez comme ça en cachette. Moi, j'ai pris le dessert. Je vais faire comme si j'ose c'est quoi, ce clip ? Ouais. [00:38:15] Speaker E: C'est mieux que quand il parle, quand même. [00:38:19] Speaker C: Bon. La suite des news, c'est quoi ? Didier ? Alors, c'est un petit retour mouvementé pour. Pour Manson. [00:38:23] Speaker E: Ah. J'ai pas suivi non plus. Je sais qu'il y a beaucoup de dates, sauf que les festivals le rejettent. Oui. C'est qu'en gros, il y a la division des crimes sexuels du procureur du district de Los Angeles qui examine des nouvelles pistes et des preuves supplémentaires concernant les allégations. [00:38:38] Speaker C: Le. [00:38:38] Speaker E: Ÿ concernant, bien sûr, car on rappelle que si sur toutes les plaintes, il y a une présumée victime qui s'est rétractée, il y en a toujours qui sont en cours. Beaucoup. Il y en a deux qui ont été retirés suite à un accord. Et enfin, c'est ce qu'on disait tout à l'heure avec Jeanne Moreau, c'est que. C'est qu'à un moment donné, quand tu es obligé de donner de la thune. [00:38:57] Speaker C: Pour que la personne retire sa plainte, c'est qu'il y a quand même eu quelque chose. On est d'accord. Oui. Et ça s'appelle les États Unis aussi, parce que ça veut pas forcément dire qu'il y a quelque chose. Ÿ, ça veut dire que tu. Alors généralement, ça veut dire qu'il y. [00:39:07] Speaker E: A quelque chose, mais souvent, ça veut dire aussi. J'ai pas envie de chercher plus loin, j'ai des tunes, je lâche. Sauf que là, par exemple, avec son ex, il a contre attaqué et d'ailleurs, il a perdu. Il a perdu et il a dû raquer 1/2 million de frais d'avocat à son ex. Donc c'est que dalle. En tout cas, voilà. Donc c'est. C'est son retour. [00:39:27] Speaker C: Et c'est aussi son retour au tribunal. [00:39:30] Speaker E: Enfin, il y a des nouveaux trucs qui tombent. [00:39:36] Speaker C: Et puis voilà. Bon. Chacun fait son choix. Séparer l'artiste de l'oeuvre. Chacun fait ce qui lui plaît. [00:39:42] Speaker E: Plaît, plaît. Bientôt un set spécial. Ah oui, tiens, je voulais. Ah oui, j'en parlais plus tard. Alors sinon, un peu plus sérieux, c'est forbes. [00:39:49] Speaker C: Oui, Forbes, qui a fait un article. [00:39:51] Speaker E: Et qui a classé les 30 huit plus grands groupes de heavy metal. Plus grand groupe, mais au niveau des thunes ? Non, non. En fait, ils ont dressé une liste des plus. Des groupes de heavy metal qui, selon. [00:40:05] Speaker C: Selon Forbes, avaient eu l'impact le plus significatif dans le genre du métal. En prenant en compte leur histoire, la tune qu'ils font, c'est hyper intéressant. [00:40:10] Speaker E: Et alors du coup, ils ont. Je m'accroche un petit peu pour savoir qui est numéro un. Non mais c'est ça qui est, on s'en doute. Qui est. Tu t'en doutes. [00:40:19] Speaker C: Qui est. [00:40:19] Speaker E: Qui est ce ? Mais c'est étonnant c'est que pour le coup, leur liste elle est plutôt. [00:40:22] Speaker C: Plutôt correcte. Il y a des gens que j'aurais pas mis là. [00:40:24] Speaker E: Tu veux que je te fasse toute la liste ? [00:40:25] Speaker C: Non, non pas tous. Parce que s'il y en a 2 millions. [00:40:28] Speaker E: Non, il y en a. C'est 30 huit. Oui mais 30 huit c'est quand même beaucoup. C'est ce que j'appelle 2 millions. Mais en tout cas j'entre dans les. Dans les 20. Dans les 20 derniers, il y a typo négatif, Motorhead, Def Dio, Megadef, Gojira. [00:40:41] Speaker C: Corn Rammstein, Deftone, System of Dawn avant Seven Fall. [00:40:42] Speaker E: Eux par contre je comprends pas ce qu'ils foutent là. Mais bon voilà. Bah oui, parce que. [00:40:50] Speaker C: Ils ont été influencés. Ils ont jamais rien influencé. [00:40:54] Speaker E: Tool, Slayer, Slipknot, Ozzy Osborne, Judas Priest, Pantera, Aaron Maiden, Black Sabbath. Et Metallica. Oui ça va, ça va. Après Metallica. Oui bah Metallica non mais ils ont. C'est une d'industrie. Et puis ils ont influencé quand même plein de gens et qui continuent même malgré le. [00:41:11] Speaker C: Malgré des albums de merde quand même. Ils font disque d'or à chaque fois. [00:41:14] Speaker E: Très vite ils font. Voilà c'est les tauliers. [00:41:19] Speaker C: Quoi. Et puis en plus ils ont un. [00:41:21] Speaker E: Bon batteur, c'est quand même unique. C'est plutôt qu'ils arrivent à avoir cette carrière malgré. C'est comme nous je l'aime beaucoup là. On arrive à avoir des dons malgré notre animateur vedette. Je t'emmerde. Alors on parlait de procès en début de speak. Là on y revient. C'est Fred durst qui intente un procès de 200 millions de dollars à UMG, affirmant que Limbiskit n'a jamais reçu de royalties en tout cas. Donc il y a une plainte. Donc 200 millions. Donc c'est universal Music Group. La plainte est déposée le 8 octobre et en gros lui il a engagé un nouveau mec pour gérer cette une. Et le mec a fait bah tiens c'est bizarre, il y a plein de trucs qui sont pas tombés ou là. Du coup il a un peu poussé et ils se sont rendu compte que c'est beaucoup 200 millions de dollars quand même. C'est que là genre. Par exemple, il y a un paiement de 1 million de dollars qui devait tomber et qui n'est pas tombé. Et que le message pour leur dire. [00:42:17] Speaker C: Que ça devrait tomber n'est pas parti aussi. Donc là t'as UMG qui fait. [00:42:23] Speaker E: Ah ouais on a eu une erreur de logiciel. Les messages sont jamais partis. Et donc Universal Music c'est français. Donc ils se sont rendu compte qu'en. [00:42:33] Speaker C: Fait il y a beaucoup ÿousand d'argent qu'il aurait dû. [00:42:36] Speaker E: Qui n'est. Qui n'est jamais parti. Et que c'est. Ça vaut aussi pour plein de groupes. Et que donc là si un coup de pied dans la fourmi cycle, ils arrivent à faire crasher. [00:42:51] Speaker C: La thune, ça. [00:42:52] Speaker E: Veut dire qu'il y en a plein. [00:42:54] Speaker C: Derrière qui vont s'engouffrer dans le truc parce qu'ils. Apparemment ils ont arnaqué. [00:42:58] Speaker E: J'avais envie d'être très Disney. Ah bah t'es une vraie princesse pour moi. [00:43:01] Speaker C: Non mais du coup. Du coup ça s'est engagé où ? [00:43:06] Speaker E: Il a dit non, là ça commence. Ça a été déposé huit octom. D'accord. [00:43:10] Speaker C: C'est. [00:43:10] Speaker E: Enfin pardon. [00:43:10] Speaker C: Punaise. [00:43:11] Speaker E: Non, parce qu'ils ont enfin un dossier. Ils ont même montré genre attends, j'ai le chiff là. [00:43:16] Speaker F: La ré rien que pour. [00:43:17] Speaker E: Rien que pour cette année, ils ont. [00:43:18] Speaker C: 704, 20, 13 millions de stream. C'est quand même pas mal. Dis donc tu m. Qu'en fait ils aient plus envie de. [00:43:23] Speaker E: Se faire chier à faire des albums ni des trucs comme ça. Ils peuvent gagner suffisamment d'argent pour pas juste avec. S'acheter deux trois hot dogs. Bah ouais, au goût bien sûr, mais en tout cas. Enfin oui effectivement. Si quand ils étaient au top top de leur carrière, la thune qu'ils auraient dû avoir, ils l'ont jamais eu. Genre on leur a fait. [00:43:43] Speaker C: Oui là on a tout dépensé en marketing. Comment ça ? [00:43:48] Speaker E: 20 5 millions de dollars en marketing pour avoir collé quatre pauvres affiches et tout. [00:43:52] Speaker C: C'est vrai, tu machines. Ah ouais. Il se serait rincé sur la poule aux odeurs. Surtout tous les groupes, apparemment c'est pas les seuls. Mais moi, ce que ça veut dire, quelque part au fond de moi, au fond de mon cœur, parce que j'adore les biscuits, je sais que beaucoup de gens détestent Freddy, etc. Ce qui est compréhensible. Pas mal en vouloir, mais limisquit, j'adore ça. Parce que pour moi, c'est festif et. [00:44:09] Speaker E: C'Est quelque chose qui me remplit de positivité, de joie. [00:44:13] Speaker C: Ça fait partie de ce retour dont j'ai parlé. J'ai dit je parie qui prépare ? Pointe pas du doigt quand tu parles. Je parie. Je vous le dis, moi, les cocos, je parie que Limbiskid va sortir un album de malade avec ses 200 millions. [00:44:27] Speaker E: De dollars et que. [00:44:28] Speaker C: Ils vont faire ça en indé et ça va être huge massive, comme j'adore. Et là, ça va être la grosse fête. Bon. [00:44:36] Speaker E: On leur souhaite en tout cas finger crossed. Oui, je leur souhaite. Vu son burn out, Freddy, c'est bien s'il commence à en sortir. C'est pas mal, non ? Déjà, ça fait quelques temps que, au niveau concert, ils sont en train de refaire, de reconstruire quelque chose en se moquant un peu de leur image, en faisant des trucs un peu rigolos. [00:44:54] Speaker C: Ils recommencent à faire des [sos/eos]. [00:44:55] Speaker E: Trucs pas mal. Oui, oui. Ce qui était pas le cas il. [00:44:57] Speaker C: Y a encore quelques années, où c'était pas. Ouf, quoi. Ah oui. Donc là, à nouveau, c'est bien en concert, donc c'est. Ce qui est déjà pas mal. Oui, c'est. Alors peut être qu'ils font moins de reprises maintenant. Je suis pas sûr, quand même, parce que c'est quand même la fête à. [00:45:12] Speaker E: La saucisse, à kermesse, les biscuits. Pas les seuls. Excuse moi. Tu veux parler de qui ? Si c'est pour parler de. Non, non, même pas. Même pas. Tu vois. Enfin, il y en a plein. Enfin, genre wither, la dernière fois qu'ils sont venus, tu avais la moitié du set. C'était des. De reprises. Pod. Qu'est ce que je dis ? [00:45:32] Speaker C: Pod. [00:45:32] Speaker E: Il ninho. La dernière fois en France, là. [00:45:34] Speaker C: Oui, oui. Au même festival. [00:45:36] Speaker E: Au. Même si festival. Les 3/4 du. Du set, c'était des. C'était des reprises. [00:45:38] Speaker C: Ça va aller, quoi. Bon, ok. Il fait cher, quand même, le groupe de reprise. Ils ont peut être pas assez de. [00:45:44] Speaker E: Tube pour faire tout un set en entier. J'avais plein de blagues et je me dis que c'est pas bon, en faire, ça. [00:45:52] Speaker F: Voilà. [00:45:53] Speaker E: On y va. On continue. Alors là, c'est Max Cavalera qui a dit que. Qui ne réenregistrera pas ni Sadi ni Roots. [00:46:02] Speaker C: Ah oui. [00:46:03] Speaker E: Pour gagner du. Non, non, parce que justement. Non, mais justement, c'est que là, il a refait avec son frère les enregistrements d'état. Encore une preuve de. Je m'emporte. Tu sais que Ben, avant de partir, avait dit. Arrête de parler. Arrête de couper, Didier, sinon les news, elles durent 40 min. Donc en gros, là, les frangins Cavalera, ils ont. Ils avaient réenregistré Morbid vision, Bestial devastation et Schizophrenia. Mais en gros là en interview, Max, il dit qu'on s'ils ont réenregistré ça, c'est que les enregistrements de l'époque, ils étaient faits au Brésil, sans vraiment de gros moyens, et du coup c'était un peu pourri. Mais que pour toute la suite c'était fait aux États Unis avec un vrai producteur, et que pour lui la qualité est suffisante. Ça serait débile de le refaire, ça apporterait rien de nouveau. Mais que par contre il serait pas compte faire une petite tournée. Chaos a dit avec son frère. [00:46:53] Speaker C: Donc les réenregistrer, non. Son frère oui. Les réenregistrer non. Mais par contre faire une tournée derrière comme il l'a fait là pour schizophrénia, pourquoi pas ? [00:47:00] Speaker E: Ok. C'est donc pour prouver que les précédents c'était pour la qualité du son et non pas pour se faire plus de. [00:47:07] Speaker C: Mailles sur les rééditions à la télé. Parce que clairement si refait kéo, Sadie ou. Voilà, enfin, ou Benat de Riemann. [00:47:15] Speaker B: Il. [00:47:15] Speaker C: Serait plus de fric qu'avec les trois. [00:47:19] Speaker E: 1ᵉʳˢ qui sont pour prouver que c'est pas pour l'argent qu'ils ont fait les précédents. Et peut être qu'ils sont en réconciliation, on verra. C'est mon intervention après. En plus ce qui me fait rire, c'est qu'il a. [00:47:30] Speaker C: Fait genre on connaît nos limites, ce qui est une bonne. [00:47:32] Speaker E: Chose, certains groupes ne les connaissent pas, certains ne s'arrêtent jamais. [00:47:35] Speaker C: C'est une autre pique. Mais en même temps au niveau des coupes de cheveux, ça sent bien qu'il arrête aussi. [00:47:41] Speaker E: Bah il a arrêté. Il a coupé mon andread là. Ah oui dieu merci. Qui l'a coupé ? Parce qu'il y avait son crâne qui partait avec. Bon allez vas y. [00:47:50] Speaker C: Alors là, on va parler de Carla. [00:47:52] Speaker E: Hervey, des Butchers Baby, qui est. Enfin qui est parti. Qui a quitté les Butchers Baby là il y a quelques semaines, groupe qui est assez peu connu en France. Butchers Babies. Et en gros, elle a enfin dit ce qu'elle allait faire et en fait. Non, mais c'est que. C'est qu'en fait elle a. Elle a. Elle a rejoint une entreprise. En fait avant les Butchers Baby, elle avait déjà fait une école mortuaire et elle bossait dans le business des pompes funèbres avant parce que du coup elle n'arrivait pas à vivre de la musique. Elle a rejoint les butchers baby, elle arrivait à en vivre, et là du. [00:48:28] Speaker C: Coup elle en a marre d'être. [00:48:28] Speaker E: Non mais les butchers baby, ça marche pas suffisamment pour. Du coup elle est obligée d'être en tournée 10 mois sur 12 pour pouvoir envisager des gens. [00:48:36] Speaker C: Et du coup elle a quand même une famille et tout. Et elle s'est dit bon bah je vais peut être retourner au. [00:48:48] Speaker E: Truc. Elle a rejoint une entreprise ÿ après c'est un choix. Non mais attention, je fais beaucoup de blagues. Je n'ai absolument rien contre Carole Barbé, qui a fait ça aussi à nouveau. Mais là c'est. Donc l'entreprise qui a la rejoint propose un service qui permet. Qui permet de récupérer les restes incinérés. [00:49:06] Speaker C: D'Un être cher, qu'il s'agisse d'un humain ou d'un animal, et de les solidifier. [00:49:10] Speaker E: Dans une collection de pierres qui offre une expérience plus intime, permettant une connexion plus physique et tangible. [00:49:16] Speaker C: Mais non, mais j'ai des images. [00:49:18] Speaker E: Mais qu'est ce qu'ils font avec tes cailloux ? Tu as ton petit tas de cailloux après. [00:49:28] Speaker C: Bah, c'est papy ou c'est kiki ton Yorkshire quoi. Non, mais si c'est du Yorkshire, je. [00:49:31] Speaker E: Pense que c'est du gravier plutôt, non ? T'as envie de balancer les vannes ? Ouais, je suis trop pervers je pense. Donc du coup on va passer à la suite. Elle a pas totalement abandonné la musique. Un autre groupe et du triangle qui s'appelle Violent hour, mais ce sera plutôt un truc local. [00:49:51] Speaker C: Je pense qu'elle va pas tourner après. Elle garde un pied dans la. Dans le monde du métal, vu que son mec c'est Charlie Bennett, entre axe, anthrax, pantera. [00:50:03] Speaker E: Oui, oui, oui, oui. Donc voilà, c'est juste que. C'est bon, ça va, ça va. Ils vont pas. Ils vont pas les cultiver des patates en Arkansas. Bien compris. Ok. Petite news Kamoulox de la semaine. Le groupe Mexican Coke a été viré de la tournée qu'il faisait avec Fentanyl. C'est quand même chouette, c'est une belle tournée. Et asbestos. Donc asbestos, ça veut dire amiante. Donc tu as vraiment amiante, Fentanyl et Mexican Coke. Apparemment, c'est Fantanyl. C'est horrible. C'est fantanil, la tête d'affiche et en gros le chanteur de mexicain de coke. Il a fait n'importe quoi, genre trop bourré. [00:50:37] Speaker C: Ils sont brouillés avec des mecs dans le public, donc ils l'ont viré. Moi je trouve ça très bien qu'il. [00:50:44] Speaker E: Y ait des groupes comme ça qui se réunissent pour faire une tournée ensemble, c'est. Il faut avoir de l'humour ou alors il faut vraiment être bizarre. Je connais pas CC group. Ça me rappelle le hellfest qu'on avait fait ensemble, où il y avait une scène où tu avais reltal smegma et tu avais. Enfin, tu avais que des noms en rapport avec. Le. Voilà le piou piou. Voilà le piou piou. Dernière petite. Dernière petite news pour toi. Bah, c'est la. C'est corn et Adidas qui sortent une nouvelle paire. Oui. Alors. Une nouvelle collaboration en hommage à Blind. [00:51:18] Speaker C: Du coup, l'album éponyme. [00:51:19] Speaker E: Alors j'ai. Regard les chaussures. Elles sont inspirées des chaussures que portait jonathan à l'époque. [00:51:23] Speaker C: Ouais. B. Avec en dessous la pochette de l'album qui est imprimé sous la semelle. Super. Ça, c'est une brillante idée. Des jolies strass, des. Des belles paillettes. Et voilà. C'est de la merde. Je le dis. Je suis hyper fan de. Quand tout le monde sait. Mais c'est. J'ai regardé les. Parce qu'on m'a dit regarde les chaussures, jette toi dessus. Parce qu'en plus, il faut s'inscrire. [00:51:39] Speaker E: Il y a des moyens de. Il y avait un truc un peu. [00:51:48] Speaker C: Chelou pour pouvoir avoir les préventes. [00:51:49] Speaker E: J'ai regardé juste les godasses. J'ai fait. Mais les précédentes, c'est sympa, mais celle là, vraiment, toute leur connaissance, tout est éclaté. Tout est ch. [00:51:54] Speaker F: Non, attends. [00:51:54] Speaker C: Il y avait des trucs. Pourquoi ils ont pas refait juste les designs qui eux, portaient à l'époque ? Mais non, ils ont. [00:51:58] Speaker E: Ils ont foutu des trucs. Truc. [00:52:00] Speaker F: C'est. [00:52:00] Speaker E: Non, une semelle à l'effigie de la. [00:52:02] Speaker C: Pochette, c'est bien parce que comme tu. [00:52:04] Speaker E: Marches, tout le monde la voit. Bah oui. Bah oui. [00:52:07] Speaker C: C'est mieux à la rigueur, si tu es en relief et que quand tu marches dans la boue, ça fait des. [00:52:17] Speaker E: Images de la poche. Rien qu'en 30 s de brainstorming, on a fait mieux que. Ça coûte très cher, comme chaussures. N'empêche. [00:52:24] Speaker C: Mais bon. Après, c'est pas n'importe quel chaussure. C'est les adidas de corn. Bon, après cette news, c'était. C'était vraiment pour l'excuse de mettre un petit corne. [00:52:31] Speaker E: De te mettre un petit ÿousand, blind. [00:52:32] Speaker C: Voilà. [00:52:32] Speaker E: Tu es gentil, mon didi. Tu travailles très, très bien. Je te remercie de toute ton aide. [00:52:36] Speaker C: Et tu es beau. Dites lui qu'il est beau. C'est pas la peine. Puis les gens après, je vais encore me faire. Je vais encore me faire insulter par Cécile dans les commentaires. C'est ta collègue. Je t'adore Cécile. Sache que. Que tu me fais beaucoup rire. [00:52:48] Speaker E: Bon allez on va laisser parce que. [00:52:49] Speaker C: C'Est vrai que ça dure très longtemps. [00:52:50] Speaker E: Et que je vais me faire couper la tête par Ben. Merci beaucoup. On se retrouve la semaine prochaine. [00:52:58] Speaker C: On se retrouve tout à l'heure. Ah oui, c'est vrai que tu restes à côté de moi. [00:53:03] Speaker A: Pardon. Je vais remplacer Ben Joy, donc je suis remplaçant du remplaçant. Du coup je vais être didi. On va voir. On va réfléchir au nom. Allez c'est parti pour blind corne dans bang bang bang. I can see, I can see i'm going blind i can see, I can see i'm going blind. [01:02:00] Speaker C: I can see, I can see i'm going blind i can see, I can see i'm going blind i can see, I can see i'm going control so good job it goes back at the. Il y a une personne qui se travaille. Excusez moi, je ne dis pas le nom du groupe pour. Il y a une personne qui s'appelle John Moreau. [01:02:15] Speaker E: Enjoy the noise qui est derrière. [01:02:20] Speaker C: Qui lance les clips et qui ouvre les micros. Et là il a fait. [01:02:24] Speaker F: J'ouvre les micros. [01:02:24] Speaker C: Il y a eu un son très étrange, j'avais envie de chanter. On s'est connu, on s'est reconnu. Bon en tout cas merci. Enjoy. Ne te fais pas chier à nous dire que tous les micros on le capte. [01:02:34] Speaker E: Voilà. [01:02:34] Speaker F: Ne t'inquiète pas. [01:02:34] Speaker C: Ce que nous venons de regarder c'était pas mal. Non, c'était bien. Je suis tombé là dessus par ÿousand hasard et je me suis dit en dehors de cette vilaine moustache c'est quand. [01:02:44] Speaker E: Même plutôt pas mal. Et. Non parce que bon bah des fois on n'est pas gâté, mais musicalement là on l'est. Et c'est important. Ce groupe s'appelle, tenez vous bien, Neck Breaker. Ah ben voilà on est con. [01:02:52] Speaker C: Ouais mais on commence quand même le clip par un gros plan. [01:02:55] Speaker E: Moustache. [01:02:56] Speaker C: C'est quand même dommage parce que du coup tu as du mal à l'oublier. Heureusement que le clip est un peu long. Oui bon le clip est un peu long. La chanson 2 min pour l'oublier cette moustache. C'est à dire qu'au début je me suis dit attends, quand j'ai entendu le début de la musique je me suis dit ça va claquer. À mon avis ça va être des vieux vénères, des gourous musclés. Ils étaient tout mignons alors. [01:03:19] Speaker B: Mignons peut être pas, mais en tout. [01:03:21] Speaker C: Cas c'était des enfants. Oui, voilà, on va plus dire ça. Enfin, des enfants. En même temps, nous on est des vieux dégueulasses, donc c'est pas très grave. Parle pour toi, s'il te plaît. Neck breaker, ça s'écrit avec deux cas. Voilà KK, vous comprenez ? Et cette chanson s'appelle Shackle to a corpse. [01:03:36] Speaker E: Bon bref, si vous avez envie de plus de renseignements, n'hésitez pas pas à vous abonner à notre chaîne YouTube. Tu es à côté de moi, Didi. Ça me. Ça me perturbe un peu. Mais tu écoutes. Je trouvais que d'habitude. Regarde, je suis pas si petit avec. [01:03:48] Speaker C: Avec Ben, Joy. Du coup, il est un peu maigre pour remplacer Ben. Donc là, il y a le bon. [01:03:54] Speaker E: Gros ventre à pépère. Comme ça tu te sens comme. Comme à la maison ? [01:03:57] Speaker C: Je ne répondrai pas de ces choses là. [01:04:00] Speaker E: Écoute. [01:04:01] Speaker C: Vous êtes tout à fait magnifique, M. Comme belle. Tu fais toujours des blagues en disant je suis gay, j'ai le droit. Bah moi je suis gros, j'ai le droit. Droit. C'est pas faux. Je suis noire, j'ai le droit. On va peut être éviter. Bien sûr, vous les avez reconnus. Ils sont apparus avant qu'on les annonce. Mais ce sont nos invités de la soirée Bring the Noise. Coucou tout le monde. Marie et Lucas. [01:04:24] Speaker B: Qui sont donc là, dans nos studios. [01:04:30] Speaker C: De Bang bang. [01:04:31] Speaker F: Parce que dans le métal, on est très créatif. [01:04:34] Speaker C: On passe de Bring the Noise à Bang bang. [01:04:35] Speaker B: Il y a un truc avec les. [01:04:37] Speaker C: B. Oui, on adore les B. B. Les bébés. Bon, je vous ai invité. On va les laisser tous les deux. On va aller boire un café tous les deux. [01:04:45] Speaker F: On se recentre. [01:04:46] Speaker C: C'est bon. Je vous ai invité parce que. Évidemment, on se connaît très bien. Vous avez repris Bring the noise ? [01:04:50] Speaker B: Ça fait quoi ? Ça fait un an. Ça fait un an ? Ouais. Plus d'un an maintenant. Oui, parce que le mois de septembre est passé, donc ça fait un an et un mois, on va dire. Et comment ça se passe ? Waouh, j'ai l'impression. Non, alors plus sérieusement, ça se passe bien. Ça se passe très très bien avec Lucas. On s'entend super bien. Et puis on a deux univers totalement différents. Oui, n'est ce pas ? C'est à dire que moi, je suis. [01:05:17] Speaker C: Un petit peu doudou. Lui il est un petit peu énervé. Et donc du coup, ça fait qu'on a 2 h bien distinctes. On capte tout de suite. Qui fait la programmation ? De quelle heure, quoi, à chaque fois. [01:05:27] Speaker F: Ah, vous avez 1 h chacun. Oui. [01:05:28] Speaker A: D'accord. [01:05:28] Speaker C: Ce que j'allais dire. Sinon, c'est bien parce que ça n'a pas changé les habitudes de Bring the nose quand je l'animais, où on passait d'un style à un autre sans vraiment savoir pourquoi, il y a un peu plus de cohérence peut être quelle encore après, c'est un style. C'est mon côté artiste qui a envie de mélanger, vous allez voir, c'est ce. [01:05:53] Speaker B: Qui se passe dans cette émission, parce qu'il y a des trucs bourrins, puis d'un seul coup derrière, ça fait. Il en faut pour tous les goûts, c'est tout. Donc Marie, ça fait combien tu fais ? Donc vous êtes tous les deux animateur radio ? Journaliste aussi, ouais. Alors lui, d'origine, il est journaliste ? [01:06:10] Speaker F: Oui, tout à fait. Voilà, il est journaliste, mais don't bring. [01:06:13] Speaker C: The noise ÿousand moi, j'insiste vraiment. Pour moi, c'est un super co animateur. C'est un super animateur en réalité. [01:06:21] Speaker F: Et plus le temps passe, et plus il est. Il est meilleur, quoi. Donc tout simplement, en fait, je progresse finalement. Oui, tu progresses avec le temps. Si on progresse pas, c'est vraiment mauvais signe. Et parce que tu avais au début ce côté journaliste quand tu animais. Ouais, beaucoup trop. Moi, j'écrivais déjà absolument tout ce que je voulais dire. Non, c'est pas grave, il y a des gens qui le font comme ça. [01:06:39] Speaker C: Et qui le font très bien, il. [01:06:40] Speaker F: N'Y a pas de souci. C'est vrai que moi, ça m'allait pas du tout. Et il y avait ce truc très didactique, un peu professeur, quoi, tu vois. C'était hyper étrange et pas naturel du tout. [01:06:49] Speaker C: Le ton journalistique n'est pas le même que le ton de l'animateur. D'autant qu'en plus, à ce moment là. [01:06:56] Speaker F: Quasiment tout ce que je savais faire en tant que journaliste, c'était vraiment faire des flash info, quoi, à la radio, donc vraiment un format très précis. Bonjour, vous êtes dans brise. Nous allons écouter Henry avec. [01:07:07] Speaker C: Donc en 1904 20 six soudez vous. Non, c'était hyper bizarre. Donc maintenant, oui. Heureusement, j'ai pu prendre un peu exemple quand même, sur Marie qui fait ce métier depuis un moment, qui a de l'expérience, qui le fait bien en plus, donc. Bah ouais, c'est pas là non plus. [01:07:20] Speaker B: Ça fait quand même paquet d'années que. [01:07:21] Speaker C: Tu fais de l'animation, je suppose, et tu es passé par plein de radios différentes. On va en parler. C'est vrai, mais tu serais, tu aurais pas fait tout ça ? Si tu étais nul. Enfin, je pense. [01:07:34] Speaker F: Oui, effectivement. [01:07:34] Speaker C: Ouais. À un moment donné, faut tuer le syndrome de l'imposteur. On va discuter un petit peu de. [01:07:42] Speaker B: Votre part, parcours, etc. [01:07:47] Speaker E: Je vais d'abord commencer par Marie, à. [01:07:49] Speaker C: Chaque fois, et puis ce sera toi, Lucas, qui enchaînera. Donc retiens la question. Oui. [01:07:55] Speaker B: Ça marche souvent, mes questions sont très bizarres. J'ai pas une mémoire incroyable. En plus, elles sont très lourdes. Elles sont intenses, musclées. Toi, mar, comme ça, ça fait bizarre. Ouais. Bon. C'est. Ouais. Bon. Bref, façon. Ça va être très long. Non, ça va. Elle. Juste la radio. Pourquoi ? Parce que mon papa, il faisait de la radio. Il faisait de la radio. Alors au Congo. Je suis d'origine congolaise. Et en fait, quand il arrivait en France, il faisait de la radio associative. Cette fois ci, avec. En. [01:08:33] Speaker C: Fait, il y avait une sorte d'association d'immigrés. [01:08:36] Speaker B: Et quand j'étais petite, je l'accompagnais, en fait. Donc apparemment, je faisais déjà des. Dans le micro. Et quand j'étais. [01:08:42] Speaker C: Incroyable. [01:08:42] Speaker B: Une incroyable émission. Et en grandissant, en fait, je faisais des fausses émissions de radio. Je forçais mon frère. [01:08:47] Speaker C: La famille, c'est important à répondre à des questions. Et en fait, je trouvais ça trop. [01:08:52] Speaker B: Cool de pouvoir parler dans un micro, tout simplement. [01:08:53] Speaker C: J'aimais beaucoup parler dans un micro. Et au fur et à mesure, je me suis juste dit, bah, autant tenter un truc, quoi. Voilà pourquoi, la radio. Et donc après, c'est enchaîné. [01:09:02] Speaker B: Comment tu as fait une école de radio ? J'ai fait une école de radio parce qu'il y a des écoles de radio. Elle n'existe plus, les toutes. Non. Parce qu'il y en avait pas qu'une. Nous, on a eu la même. Mais normalement, il n'y en a pas qu'une, d'école radio. Mais en fait, pour le coup, le studio école de France. Donc l'école à laquelle j'ai été formée, elle m'a été présentée après que je sois allée à un concert de Yumi Atix. C'est très. En gros, je tenais le fan club ou un truc comme ça, du groupe de la 1ʳᵉ partie de Yumi Atix. [01:09:40] Speaker C: Et la nana qui était. Qui les accompagnait. [01:09:42] Speaker B: Ÿ m'a fait écoute, tu as une bonne voix. Tu devrais essayer cette école. Moi, j'ai fait ok, d'accord. Et donc finalement, j'ai fait le casting, l'inter, enfin, l'interview, enfin, on se comprend. [01:09:54] Speaker C: L'Entretien et tout ça. Et j'ai fait somme astronomique. Il faut payer pour aller dans une école de radio. Étudiant que j'ai terminé de rembourser en 2010 huit. Et donc voilà comment pour le coup j'ai vraiment mis les deux pièces dans. Dans la radio quoi. C via cette école. [01:10:12] Speaker B: Alors moi j'ai fait la même école. Donc on peut. [01:10:16] Speaker C: On peut en parler. Effectivement M. Marchionne parle pas de lui. Mais c'est pas ça vraiment l'intérêt de cette émission. Bah, il faut, faut donner le nom des gens importants. Et enfin ceux qui ont les links, les contacts. I know, everybody I know, you know, they know. Voilà. En tout cas, ils s'achetaient de belles. [01:10:29] Speaker B: Voitures avec notre argent. [01:10:30] Speaker C: Mais ce qui est certain, je règle un peu les comptes en même temps en ligne, si tu as des questions, n'hésite surtout pas. Mais ce qui était bien, c'est qu'on rencontrait plein de gens différents. Moi j'étais en cours du soir qui coûtait moins cher et parce que moi en vérité on m'a dit, je ne sais pas si j'aurais dire, il y a une personne qui travaillait au move. [01:10:45] Speaker B: Avant et qui m'avait demandé de venir. [01:10:48] Speaker C: Etc. Et qui m'a dit prends pas les cours la journée, tu vas payer super cher pour la même chose que si tu payes moins pour un an seulement de cours du soir. Donc déjà, tu sentais qu'il y avait une arnaque dedans. T'étais pas au courant quand. [01:10:59] Speaker B: Absolument pas au courant. [01:11:03] Speaker C: Mais du coup, parce que j'ai quand même réussi à aller en radio. Oui, c'est ce que je vois. Oui effectivement. Après, avec beaucoup de chance quand même, parce que bon, c'était quand même très très mauvais. En réal j'ai eu un sur 20, ok. Ah oui effectivement. Voilà. Donc comme quoi, vous voyez, c'est qu'il faut croire en ce que vous faites. [01:11:17] Speaker F: Même si vous avez un sur 20 des examens, il faut croire que vous pouvez le faire. C'est technique en tout cas, parce que ça s'apprend sur. Sur le tas après aussi. Puis quand vous êtes dans la pratique, c'est vachement moins chiant que quand c'est dans. Non mais c'est clairement un métier qui s'apprend pour le coup, en pratique je trouve vraiment toutes les formations c'est hyper bien et tout. J'ai été formé dans une école aussi classique, on va dire, mais clairement j'ai jamais autant appris qu'en juste en faisant ce métier, ça c'est indéniable. Pourquoi ? Je sais pas, je pense que déjà, juste le fait d'être confronté au direct, juste ça c'est genre la meilleure école quoi. Parce que t'as pas le choix en fait. C'est vrai que quand tu enregistres, tu peux un petit peu, on va dire. [01:11:53] Speaker C: Remanier un peu tout ce que tu. [01:11:54] Speaker F: Dis, ce que tu fais, etc. [01:11:55] Speaker C: Le direct, tout de suite, t'es plongé. [01:11:58] Speaker F: Dedans et t'as absolument pas le choix. [01:11:58] Speaker C: Même si tu dois trouver un moyen de rebondir. En tout cas, si jamais tu te. [01:12:01] Speaker E: Plantes, et je pense que ça, c'est. [01:12:02] Speaker F: Une mécanique qui se met en place. Mais oui, c'est ça, vraiment. [01:12:04] Speaker B: Et puis tu passes le stress de il y a trop de gens. Il y a trop de gens. [01:12:10] Speaker C: Non, en fait, regarde, il y a juste un micro. Oui, vraiment, il y a un moment où carrément, le direct, ça devient ce. [01:12:18] Speaker B: Que tu préfères, quoi, au final. [01:12:20] Speaker C: Oui, c'est totalement vrai. [01:12:22] Speaker B: Mais t'oublies en plus que tu parles à des gens, parfois, voir tout le temps. En réalité, est ce qu'animateur radio, c'est. [01:12:28] Speaker C: Pas non plus être une personne qui. [01:12:31] Speaker B: Parle dans le vide à soi même ? Non, mais en vrai, soyons francs. Moi, j'ai ma petite théorie. Oui. Ben voilà. C'est qu'en gros, on est animateur radio parce qu'on a un ego surdimensionné et qu'on peut pas l'exprimer dans la vie. [01:12:46] Speaker C: De tous les genres. Je suis complètement d'accord. Suis moi. Et je me dis quelle personne normalement constituée va se dire Ah, c'est génial. Tous les matins, je vais avoir un casque et je vais m'écouter. Non, mais en vrai, parce qu'on a notre casque, on entend notre propre voix. C'est déjà la démarche de dire tiens, j'ai envie d'aller. Alors attention, c'est pas vulgaire ni agressif. Non, du tout. Parce que d'avoir un surego, c'est pas forcément négatif non plus. [01:13:06] Speaker B: Parce que ça, c'est ce qui fait. [01:13:08] Speaker C: Qu'Il y a des artistes et qu'il y a des groupes qui sont connus et qu'il y a des gens qui font. Qui sont animateurs télé, etc. Sinon, ces gens ne seraient pas là. Cette espèce d'envie indirecte ou directe de briller, bon. Parce que beaucoup vont dire et de se faire entendre aussi. Surtout depuis deux semaines. Il y a beaucoup de choses. Le sujet est très large, mais ça n'a rien de négatif, encore une fois. C'est juste que c'est une description. Mais il y a cette voix, aussi. C'est vrai que la 1ʳᵉ fois, quand. [01:13:34] Speaker B: Tu t'entends dans un micro, c'est à l'école, surtout. Surtout qu'ils ont des traitements de merde. Parce qu'après, quand on est en radio. [01:13:40] Speaker C: On va pas se mentir. Il y a plein de mensonges, mais. Mais il y a cette fois où on entend sa voix dans le micro, on se dit que c'est mort. Quelle angoisse. Moi, la 1ʳᵉ fois que j'ai entendu ma voix, j'ai fait non, mais en fait, plus jamais. C'est normal qu'il y a quelqu'un qui me regarde. Ouais. Mais quand elle est malade, fait une grosse soirée, non, non, mais c'est vraiment affreux. Et après, en fait, je. Alors, on va. Je sais pas comment développer notre. Entre notre entrevue, parce que c'est. Il y a tellement de choses à dire. Il y a beaucoup, beaucoup. J'ai à la fois aussi l'impression que c'est un métier d'arnaqueur animé. Animateur, je parle parce que si tu parles facilement, quand tu. [01:14:22] Speaker E: As compris le. [01:14:22] Speaker C: Truc et que tu es à l'aise dans le fait de discuter en imaginant qu'il y a des gens en face de toi, parce que bon, tu te parles à toi, mais tu penses qu'on va pas se mentir. Tu fais quand même. Parler aux gens, c'est facile. [01:14:36] Speaker B: Je dis pas que tout le monde. [01:14:39] Speaker C: Alors attention, parce que je dis que c'est facile à faire. [01:14:42] Speaker B: Je dis pas que le boss qui te. La personne qui t'engage aime la façon dont tu as de parler au micro, parce que ça, il y a des techniques de parler de façon de. Tu parles de projeter quelque chose, en fait, de parler derrière micro, de juste savoir le faire, de savoir le faire. Effectivement, ça peut être facile. Après, je dirais que moi, je suis pas d'accord avec le côté où c'est un métier d'escroc, souvent, je l'entends et je suis pas totalement ÿousand totalement d'accord dans le sens où effectivement, oui, il y a quand même des techniques à avoir. Il y a une façon de s'exprimer aussi, parce que, on va pas se mentir, on peut pas s'exprimer de la même manière quand il se met genre il est con. Mais c'est un métier dans lequel il faut aussi savoir prendre sur soi, je pense, parce que je sais pas si t'es d'accord avec moi, mais par exemple, toutes les émotions traversent la voie, en fait. Donc, si t'es en pleine période de dépression, il va falloir quand même que tu trouves le moi, en plus, je suis en morning. Donc les périodes. Quand tu es quelqu'un qui est cyclothymique ou bipolaire, ou en tout cas, si tu as. [01:15:54] Speaker F: Ou même si t'as pas le moral tout court, en fait, sans avoir de. [01:15:58] Speaker C: Pathologie même, eh bien, il va falloir quand même que derrière ton micro, tu sois hey, comment ça va ? [01:16:03] Speaker B: Je suis. [01:16:05] Speaker C: Tellement heureuse de vous retrouver aujourd'hui. C'est un métier hyper compliqué en réalité. Il y a ce truc de normalité qu'il faut réussir à renvoyer alors que. On n'est pas normaux. Être derrière un micro, ou en tout cas dans le poste. [01:16:19] Speaker F: Le poste à galène, j'ai ouais, je suis un. [01:16:24] Speaker E: Ouf, je suis vieux aussi. C'est de donner du bonheur aussi. Les animateurs d'entendre des voix. C'est pour donner de l'énergie, de l'entrain, pour que les gens aient envie de bien affronter leur journée. Surtout cas sur des radios musicales. Oui en plus. Ouais. Le reste il y a l'info, donc oui, t'amènes toujours quelque chose même si t'es malade. [01:16:44] Speaker C: Un avocat pareil, c'est pareil quand il fait sa plaidoirie. S'il est malade, il faut pas que ça se voit. Sauf que là en radio, vous apportez quelque chose aux gens, même si c'est une musicale, même si c'est les infos, même si c'est. Voilà, c'est quand même vous apportez quelque chose. C'est du positif quoi. Mais tu fais bien de souligner. Ça me rappelle une anecdote dans une ancienne ÿ radio où j'avais appris une très mauvaise nouvelle. [01:17:06] Speaker B: Parce que tu peux aussi apprendre de mauvaises nouvelles. [01:17:07] Speaker C: Tu te réveilles, tu vas au boulot, puis tu apprends la mort de quelqu'un de proche. C'est quand même l'enfer. On te dit quand même de venir et on te dit quand tu franchis la porte, j'en ai rien à foutre. Souris. Ouais oui. Non mais c'est vrai que j'avais oublié. [01:17:20] Speaker F: Cette petite anecdote qui quand même on ne le sait. [01:17:24] Speaker B: Pas. Alors attention, je fais pas une généralité, mais c'est quand même fréquemment qu'on dit ÿ sois bien consciente ou conscient que tu as de la chance d'être ici. Oui. Tu souris, tu fermes ta gueule et tu fais ton truc. Oui bah ça c'est tout le truc des métiers passion quoi. À chaque fois on nous dit tu. [01:17:41] Speaker F: As tellement une chance incroyable de vivre, de faire ce métier là, que en fait tu oublies ce qui se passe derrière tes problèmes, tu les laisses en fait chez toi. On ne veut rien ressentir. Tu ne ressens en tout cas tu ne dois rien laisser transparaître. Moi maintenant, j'ai un peu effet inverse avec ça. C'est à dire que j'ai, comment dire, à partir du moment où je suis derrière le micro, peu importe ce qui m'arrive. Alors peut être pas jusqu'à un certain degré, parce que je n'ai pas trop. [01:18:01] Speaker B: Expérimenté heureusement ces dernières années. Mais même si ça va pas trop et truc comme ça, à partir du moment où je suis derrière le micro, en tout cas avec quelqu'un et tout, bah je suis content du coup ça va tu vois. Oui j'ai un peu cet effet inverse maintenant, du. [01:18:15] Speaker E: C'est un côté thérapeutique aussi, c'est vrai. Non, tu as raison. Non mais je comprends parce que tu rentres dans un autre univers, c'est comme si tu switchais et tu disais bon ben on fait, ça va être mon safe place pendant, pendant un certain temps. [01:18:27] Speaker F: Et c'est vrai que ça aide beaucoup. C'est que du coup c'est plus toi, c'est ton personnage. Ouais un peu, c'est un peu ton trotto toi, et du coup lui là justement t'as plus besoin de ressentir quelque chose. Donc ça me fait des vacances de pas ressentir. Puis mine de rien tu ressors de ça et ça fait du bien aussi quoi parce que enfin souvent quand on. [01:18:41] Speaker B: Fait les émissions ensemble, tu vois genre derrière, enfin si je peux être un peu genre agacé ou j'en sais rien, avant, tu vois, et au final après l'émission, vu qu'on s'est marré, qu'on a. [01:18:54] Speaker E: Parlé de trucs qu'on kiffe et tout, au final derrière tu chantes, bois, c'est. [01:18:57] Speaker C: Cool, mais c'est thérapeutique, c'est. Bah. [01:19:00] Speaker E: C'Est comme. Je pense que, comme les musiciens au final quand ils vont pas bien et qui sont sur scène, ils délivrent absolument tout et puis après ils disent ça m'a fait des descentes. Après est ce que vous avez des descentes ? [01:19:10] Speaker C: Comme les musiciens, moi je raconterai pas. [01:19:11] Speaker E: Mon passé, mais les musiciens qui sont sur scène pendant 2 h et qui. [01:19:15] Speaker F: Ont un échange avec le public, public qui se donne de ouf, et puis après il retourne, alors on va à l'hôtel et puis il se passe rien avant. Bah demain soir, j'ai jamais été seul moi. Après une émission. Est ce que la descente est dure parfois ? Après une émission ? En fait je pense que ça dépend vraiment de l'émission que tu fais. [01:19:28] Speaker C: Ouais. [01:19:28] Speaker F: C'est à dire que par exemple si tu fais une délocalisation sur un gros événement et tout, je sais pas, dans un festival ou des trucs comme ça, je pense qu'après ce genre d'émission tu peux avoir ce genre de descente effectivement, parce que tu as toujours un côté un peu colo, déjà sur une des logs, puisque il y a des techniciens qui sont là aussi, etc. Enfin voilà, il y a tout. [01:19:50] Speaker C: Non mais je pense que tu vois, tu peux avoir ce côté un peu famille, tu vois aussi, qui se crée. [01:19:57] Speaker B: Puis c'est des événements exceptionnels, etc. [01:19:59] Speaker C: Après une émission lambda, on va dire. [01:20:01] Speaker B: Classique en studio, je sais pas, moi en tout cas, j'ai jamais vraiment eu ce truc là, quoi. Je sais pas toi, mais marie toi, tu as expérimenté ce qu'on appelle le pouce disque, oui, qui est quand même lourd en fait, c'est hyper intense parce que tu es seul, tu es tout seul et généralement t'es tout seul, donc en fait on est là. Pour être honnête, j'ai eu une grosse période très très, très sombre de ma vie, qui s'est passée en 2016, 2016, 2010 sept. Et je faisais l'émission du soir, j'étais toute seule la nuit, et donc il fallait parfois, c'est véridique, j'annonçais un titre ÿ à l'antenne. Et pendant les quatre, cinq titres que j'enchaînais après ou qui s'enchaînaient, quoi, je pleurais en fait. Et puis après, quand je devais rallumer le micro, il y avait mes larmes et tout, mais j'étais ah, c'était vraiment. [01:21:02] Speaker C: Génial, c'était trop cool. Et c'était hyper difficile, c'était vraiment très très dur. [01:21:04] Speaker B: Mais en même temps, même si les médecins me disaient il faut que tu t'arrêtes, arrête toi. Et je disais bah non, parce que je vais être vraiment toute seule avec ma tête sinon. [01:21:16] Speaker C: Ÿ je préférais pousser, faire le pouce. Tu avais quand même cette rencontre avec les gens, c'est ça, virtuellement, mais en tout cas. Et donc je me disais bon, bah écoute, ça va être compliqué, je suis dans une période terrible, mais au moins je diffuse de la musique, quoi. Et après il faut pas se perdre, c'est ça dans entre la vie et. [01:21:38] Speaker F: L'Antenne, parce que ça, ça peut très vite switcher aussi. Je pense que n'importe quel animateur télé connu, les gens qui sont tous connus aujourd'hui, et je pense qu'ils ont tous et toutes une histoire avec ce genre de dérive au moment où ils commencent à s'oublier dans leur personnage. C'est des gens qui souvent font quand même beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses. Donc je pense qu'ils ont quand même assez peu de temps pour leur vie personnelle. Et ça, je pense que vraiment, au bout d'un moment, ça doit être. Ouais, ça doit être très très dur, quoi. Alors peut être que tu es dedans. [01:22:00] Speaker B: Et tu t'en rends plus trop compte au bout d'un moment, je sais pas. Mais oui, je pense que là, il y a quand même des gens qui. [01:22:07] Speaker C: S'Oublient un petit peu, tu vois, et c'est. [01:22:10] Speaker B: Alors après, s'ils sont ok avec ça, voilà, tu vois. Mais je pense que ça peut être délicat à gérer. [01:22:15] Speaker C: Ouais mais tu penses pas que s'ils. [01:22:19] Speaker B: S'Oublient un petit peu, c'est parce que. [01:22:20] Speaker C: Justement leur vraie vie, entre guillemets, est trop compliquée ? Donc du coup ils disent. Bon bah ce tableau là oui il y a beaucoup. Franchement il y a beaucoup de cas de figure où. Bah voilà. Donc vous avez bien compris, tous les animateurs sont des barges. Oh j'en ai connu deux, trois qui. [01:22:38] Speaker B: Sont vraiment des techniciens aussi. [01:22:39] Speaker C: On peut en parler si vous voulez. Les dessous de la radio. Oh my god. [01:22:45] Speaker B: On peut avoir de gros problèmes. Non mais bring the noise, donc ça existe depuis 2009. Vous avez repris ça il y a un an et un mois. C'est tous les dimanches à partir de. [01:22:55] Speaker C: De h jusqu'à 0 h. Donc vous pouvez suivre ce soir, c'est ça, en simultané, votre présence ici et sur l'antenne, on le dit. C'est une émission spéciale aujourd'hui parce qu'on diffuse l'interview de the Spring. Donc cette interview qui a été enregistrée en août dernier. Donc du coup ça sera pas en direct les amis, on le dit, donc ça peut arriver. Oui c'est vrai. La radio c'est aussi ça. Des fois vous avez l'impression qu'ils sont là. Mais non, ça a été enregistré. [01:23:21] Speaker B: Mais c'est enregistré aussi dans ce qu'on. [01:23:23] Speaker C: Appelle les conditions du direct. Alors conditions du direct, ça dépend comment on le traduit. Parce que vous pouvez imaginer qu'on fait l'émission complète. Non, il n'y a pas la musique. [01:23:31] Speaker F: Non, il y a le début des chansons et la fin des chansons. Les 15, ça dépend de l'un autre, de l'intro. Ah oui parce que oui, c'est vrai qu'il y a ça aussi, j'avais oublié moi. En même temps j'ai jamais calé une seule intro, donc je m'en fous. Mais non. Mais surtout il faut comprendre qu'avec les artistes internationaux, comme on reçoit quand même, on reçoit beaucoup de français, mais on. [01:23:52] Speaker C: Reçoit quand même aussi beaucoup d'internationaux. C'est quand même souvent compliqué de leur dire bah viens le dimanche soir à h, quoi. Voilà, c'est un peu délicat souvent. En plus ils ont quand même des employés, du temps hyper, hyper serrés et tout, très programmés etc. Donc c'est quand même souvent des interviews enregistrées celles ci pour le coup. Donc enregistrées, elles sont en podcast de toute façon, l'émission. Oui, sur le site de Oui Fm. Exactement. Merci. Et sur les plateformes ou pas ? Ou que sur Oui fm ? Sur Oui Fm. Ok. [01:24:15] Speaker B: Oui Fm fr. Exactement. [01:24:16] Speaker E: Merci. [01:24:16] Speaker C: Donc non, mais c'est important de le dire, quand même, parce que je me suis dit. Tu as oublié quand même de dire ou quand est ce que se passe l'émission ? C'est quand même la base du début d'une discussion avec des invités. Mais bon, c'est un petit peu ma patte à moi. C'est ton truc. C'est pour ça qu'on. Comme le disait Didier, voilà. Il y a des gens qui savent travailler, d'autres peut être pas. Bon. Vous avez choisi, bien évidemment, des chansons, des clips pour illustrer un moment important. [01:24:51] Speaker B: De votre vie ou pas. Mais bon. On va commencer par toi, Marie, puisque. [01:24:56] Speaker C: Tu es la leadeuse de l'animatrice. [01:24:57] Speaker B: Vraiment, à la base. Et toi, tu es son accompagnateur. Et bon, sans surprise, je te vois arriver avec Good Charlotte. Je n'imaginais pas cette chanson, ÿousand, par contre. C'est vrai ? Non, parce que je ne la connais même pas. Tu la connais pas ? The Motivation Proclamation. Eh bien, pas du tout. Donc je la connaissais pas du tout. Je la connais pas. C'est du 1ᵉʳ album de Good Charlotte, de 2000. Et en fait, cette chanson, je l'aime tellement, parce que ça a été pendant toutes mes années collège. Mon réveil, en fait, c'était mon réveil. Ça t'a pas saoulé ou dans. [01:25:32] Speaker E: Non. [01:25:32] Speaker B: Non, parce que. Non. Parce que moi, j'étais très heureuse d'entendre Joël et Benji Madden me chantaient c'est l'heure de te réveiller. Et en plus, c'est une chanson qui te met vraiment dans la tête d'un adolescent qui en a marre de tout, mais qui super pour le réveil. [01:25:47] Speaker C: Ouais. Mais ça me parlait et je m'identifiais énormément à Joël et Benji Madden et à toute l'équipe. Et jusqu'aujourd'hui, quand j'ai envie, si vous voulez, de me mettre dans la peau de moi adolescente, eh bien, j'écoute cette chanson. Elle me fait du bien. Rien. [01:26:04] Speaker B: Que l'intro, elle est mignonne. Tu as envie de faire des petits câlins. Charlotte, c'est un groupe qui. Souvent mignon, quand même. Bah oui. Puis ils sont gentils, en vrai. Mais oui, parce qu'on peut croire. [01:26:14] Speaker C: Ce sont des gros cons. Mais non, c'est là, c'est. Les artistes sont. Sont très désagréables. Les Américains, je parle pas souvent. Non. [01:26:20] Speaker B: C'est méchant. Tu déchantes quand tu les rencontres. Et ça fait mal, parce qu'on nous dit toujours ne jamais rencontrer ses idoles. Mais franchement, avoir rencontré Joël. Et j'étais vraiment, pas vraiment, j'ai pas fait le mauvais choix, j'étais trop contente. C'est vrai qu'ils sont très gentils. Et écoute, c'est un petit peu ce qui nous a unis aussi tous les deux, totalement. Je peux raconter l'anecdote ? Alors nous sommes en 2010, je m'apprête à faire mon entrée en école de radio justement. Et là en fait, Good Charlotte. Je sors l'album Cardiologie. Et j'étais un peu une fan girl, donc j'investiguais un petit peu partout, et. [01:26:59] Speaker C: Je vois une info qui dit Joël. [01:27:00] Speaker B: Et Benji Madden seront en session live acoustique sur Oui FM. [01:27:03] Speaker F: Alors là, j'écris à ma meilleure amie. [01:27:06] Speaker B: Je fais Sabrina, il va falloir que. Qu'on fasse quelque chose. Et donc on est allé dans les locaux de Oui FM, on attendait neuf ans. Et c'est là que je rencontre Pierre en fait, et avec une coupe de cheveux bizarre évidemment ça, ça va, oui, mais ce n'est pas grave. Elle devait être rassurée, Marie, du coup je pense. Et donc à ce moment là, et bien on nous autorise à assister à la session live acoustique et ils organisent même un meet and greet avec. Avec les fans. Donc on réussit à prendre des photos avec eux. Ah seigneur, quel bonheur. Et je rencontre Pierre à ce moment là, et je lui explique Ouais, je vais entrer dans une école de radio. Il me donne son adresse mail et allez, six mois plus tard, on va dire six mois plus tard, je renvoie. [01:27:51] Speaker C: Un mail, on me dit non, et pas moi, pas toi. Et l'année d'après, l'année d'après je deviens. [01:27:55] Speaker F: Stagiaire, vraiment, sur oui FM. [01:27:56] Speaker C: Et je me dis purée, Good Charlotte c'est tellement le groupe de ma vie que même grâce à Good Charlotte, et bien je vais devenir stagiaire dans ma radio qui deviendra celle à laquelle je. [01:28:04] Speaker E: Suis encore aujourd'hui quoi. On va regarder ce clip et après on parlera beaucoup de beaucoup d'autres choses. Il faut vraiment que je me fasse. [01:28:14] Speaker C: Un petit papier plus sérieux, parce que là c'est vraiment le bordel. Mais si vous avez des questions. [01:28:29] Speaker A: N'Hésitez pas dans le shmul à nous les poser. N'importe lesquels. N'hésite pas aussi toi quand même, parce que je. Je vous laisse. S'il faut intervenir, j'interviendrai. S'il faut résumer une de tes questions, je le ferai. Pour le moment je vous laisse avoir en trouvaille. C'était le petit 1ᵉʳ pour ça. Allez c'est parti. Good Charlotte. C'est un choix de Marie. You're so selfish you're not the only Why do you think she's there ? I'm on trial for what you think I said But I never said that everything would be okay I never say that we with love See another day yeah, yeah Motivating me i want to get myself out of this bed Captivating me i want to cut off inside of my head if I fall down take me right up on the ground I fall down to come around Take me right up off the ground Realistic and narcissistic you say i'm selfish and absurd Try to change me Try to save me you say i'm gonna learn i'm so blind i'm out of time You're so unkind sometimes i never lied i never lied i never lied because I never said that everything would be okay and I never said that we would see another day motivate me i want to get myself out of this bed captivate me i want to. [01:35:17] Speaker C: Lose. [01:35:38] Speaker A: Inside of my head if. [01:35:45] Speaker C: I fall down Come around, take me right up off the ground if i pop down would you come around, take me right up on the ground Right up off the ground Trying to live to see another day motivating me i want to give myself out of this motivating me i want to give myself out again I will need you there Bienvenue à. [01:36:04] Speaker E: Toutes les personnes qui viennent de nous rejoindre. Oui, oui. Moment metalcore. [01:36:07] Speaker C: Moment intense, non ? [01:36:08] Speaker F: J'adore. [01:36:08] Speaker C: J'adore ce groupe là. Ils sont français. Resolve à l'instant. Donc dans vos yeux et vos oreilles, grâce à Bangbeng et ce titre Sandman résolve, qui cartonne quand même et qui. [01:36:15] Speaker B: Commence à faire son petit, sa petite. [01:36:18] Speaker E: Place comme ça à l'international. Il y en a de plus en. [01:36:21] Speaker B: Plus là, des groupes français qui commencent à cartonner. [01:36:24] Speaker C: La french touch est devenue métal, à savoir qu'elle n'est plus électro. Et ça, quand on. Quand tu es à l'étranger, on te dit ça, tu fais ah, ah. Il se passe quelque chose, là. Mais ça fait plaisir. Oui. Enfin, sauf qu'à l'époque de l'électro, l'électro marchait. En France, c'est des groupes qui marchent plus à l'étranger que dans leur propre pays. C'est triste. Après, il y a un gros, gros travail. Et c'est très ce que j'aime dans le métal aujourd'hui. En tout cas, dans le rock en France, c'est cette professionnalisation qu'il y a eu, cette volonté de faire des choses. [01:36:52] Speaker B: Avec une direction artistique, du travail. Ah oui. [01:36:54] Speaker F: Mais si je fais ça, ça fait trop ricain. Ah non. Si je fais ça, je vais être invendu. [01:37:02] Speaker E: Ah. [01:37:02] Speaker F: Si je fais ça, on va me juger. Non, non. Ils le font et c'est assumé. Et du coup, c'est extrêmement bien. Donc on les félicite. Rizol, j'imagine, c'est un groupe que vous aimez pas mal. [01:37:10] Speaker C: Ouais. [01:37:11] Speaker F: On allait les diffuser. [01:37:12] Speaker B: C'est ce que tu disais. En plus, alors je voulais les diffuser aujourd'hui, du coup. Mais au final, je sais plus pourquoi, il y avait d'autres actus qui. Qui m'intéressaient. C'est pas grave, on pourra les diffuser une prochaine fois, évidemment. Mais en tout cas. [01:37:24] Speaker F: Oui. [01:37:24] Speaker B: C'est clairement un groupe qui passe dans BTN. Ouais. Elle dure 3 h, l'émission, au total. [01:37:29] Speaker C: Ouais. Alors c'est 2 h où on fait le tour de l'actu, Lucas et moi. [01:37:36] Speaker F: Donc la 1ʳᵉ heure programmée par moi. [01:37:39] Speaker C: Et la 2ᵉ, programmée par Lucas. Et la 3ᵉ, en fait, c'est un mix rock alternatif. [01:37:42] Speaker F: C'est à dire personne ne parle, juste on se dit allez, c'est dimanche, on balance du son et let's go, 1 h de musique. [01:37:49] Speaker C: Voilà. [01:37:49] Speaker F: C'est cool. [01:37:50] Speaker C: Ouais. [01:37:50] Speaker F: Ça fait plaisir. Alors, la radio. Oui. Tu as fait combien de radios, toi, Lucas ? Bah, en fait, parce que je connais pas ton parcours. Je suis désolé ou tu m'en as déjà dit, mais j'étais sûrement bourré, en fait, oui. FM, c'est. Comment dire, en fait, oui. Fm, ça appartient à un groupe de radio. Oui. C'est une radio qui appartient à un groupe qui s'appelle le groupe 1904 20 un. Et dans ce groupe, il y a aussi une autre radio qui s'appelle Voltage, qui est peut être assez connue pour ceux qui habitent en Île de France, en région parisienne, c'est une radio historique de la région pour le coup, qui diffusait dans les années quatre, 20, 10, 2000, beaucoup de dance, qui a diffusé même de la funk à un moment donné après, c'était une radio plus top 40, etc. Et moi j'ai commencé là dessus. En fait, j'ai été embauché par le groupe pour travailler sur cette radio, là où il y avait vraiment de l'info, je présentais les infos, et au fur et à mesure des discussions, etc. On a compris que j'aimais les musiques un petit peu extrêmes. Le pauvre, on le fait souffrir, c'est nous. Mais bon. Et au final, au final, au bout. [01:38:46] Speaker B: D'Un moment, quand Aurélie, du coup, qui. [01:38:49] Speaker F: Animait Bring the noise avant nous deux. [01:38:50] Speaker C: A décidé d'arrêter de présenter l'émission, elle a pensé à nous deux quoi. Donc c'est comme en fait quand j'ai commencé à travailler pour Oui FM, et aussi avant ça, Aurélie m'avait envoyé faire quelques interviews aussi pour Oui FM, notamment de Bruce Dickinson ou des gens comme ça quoi. Donc ça va. Bruce Dickinson c'est l'une des personnes que. [01:39:05] Speaker F: J'Ai le plus interviewé du coup. Vraiment je te jure, je crois que je l'ai jamais eu après. Je pense que je l'ai jamais demandé. [01:39:12] Speaker C: Il est super gentil. [01:39:13] Speaker F: Désolé. Tous les goûts sont dans la nature. Encore une fois, j'avoue que je dirigeais beaucoup l'émission, en tout cas artistiquement. Je faisais ce que j'avais envie et pas vraiment ce qu'on me demandait de faire. En plus je l'ai eu pour Iron Maiden, pour le dernier album de Maiden et aussi pour son dernier album solo quoi. [01:39:29] Speaker C: Voilà. [01:39:30] Speaker F: Et alors une personne sympathique, franchement. Ouais. Vraiment hyper accessible, tu sais. Il me paraît hyper humble en fait, ce gars, à chaque fois que je. [01:39:35] Speaker B: L'Ai rencontré, c'était ça. Très souriant. Il essaye vraiment de faire l'effort en tout cas d'être. [01:39:41] Speaker C: Parce que je sais pas si le. [01:39:44] Speaker E: Comment dire, s'il est vraiment comme ça. [01:39:46] Speaker F: À ce moment là. Mais d'être vraiment le plus souriant possible. [01:39:48] Speaker C: Le plus gentil possible, etc. Et zweitausendeinundzwanzig. Et c'est quand même agréable quand tu interviewes des artistes, parce que c'est pas toujours le cas, non. Tu en as eu quelques uns là. [01:39:58] Speaker F: C'était pas peut être pas envie de donner des noms, je sais pas, balancer tous des noms top trois des pires, franchement. [01:40:04] Speaker C: Fiche en plus maintenant je l'ai même. [01:40:06] Speaker F: À l'antenne, je défonce donc. [01:40:07] Speaker C: Ah ouais. [01:40:07] Speaker E: Bon bah d'accord. C'est bien. [01:40:08] Speaker F: Alors c'est qui vote. [01:40:12] Speaker C: L'Écrou ? Ah ouais. Bon ça après lequel le mote l'écrou ? Niki six. Parce que c'est généralement niki six qu'on en interview. En fait Ÿousand j'ai d'abord. [01:40:21] Speaker F: Alors il s'est passé un truc. C'est que j'ai d'abord eu en interview le chanteur. Ah oui ? Mais il savait qu'il était là. Vraiment ? Et bah figure toi que c'est une question que je me suis posée pendant l'interview. Parce que oui, les artistes quand on. [01:40:36] Speaker C: Les rencontre, c'est des gens qui sont. [01:40:41] Speaker E: Dans un autre monde et parfois naturellement, parfois chimiquement. Alors en plus le. [01:40:49] Speaker C: Style il a quand même pas eu une vie très simple et tout. Donc je pense que. Voilà. Mais en fait il me donnait des fausses informations, carrément sur le groupe quoi. Non je pense qu'il était sincère, mais qu'il était juste perdu quoi. [01:40:58] Speaker F: C'est ça le problème en fait si tu veux, c'est encore pire s'il commence à confondre avec un autre groupe. C'est là où ça commence, à ce moment là, que ce métier, ÿousand, un. [01:41:10] Speaker B: Vrai métier, c'est parce qu'on doit rester. [01:41:11] Speaker C: Pareil, souriant, agréable et c'est ça, c'est vrai dans ta tête. Mais là il me dit de la merde parce que c'est pas du tout ça, mais bon. Ah oui c'est ça quoi. En fait c'était. [01:41:22] Speaker F: C'était tellement lunaire qu'on est carrément revenu v. Moi pour me dire on va reprogrammer une interview parce que là ça allait pas du tout. L'équipe s'est excusée auprès de Lucas quand même. Et parce que généralement quand vous faites une interview il y a toujours le manager ou quelqu'un de l'équipe du groupe qui est là Zweitausendein presque là pour plus ou moins chapeauter ou même surveiller l'interview. Mais là en l'occurrence, en plus ça se passait hyper bien avec eux, ils sont. Ils étaient hyper cool. [01:41:45] Speaker C: Il y a juste ce truc là pendant l'interview c'était hyper bizarre. Et 2ᵉ interview c'était pareil quoi. [01:41:49] Speaker F: Et en plus c'était avec. Et c'était avec Nikisx aussi. Alors faut savoir juste. Je précise quand même. Moi je respecte mote les crou pour le coup. [01:41:56] Speaker C: Il y a une période de ma vie où j'ai beaucoup écouté Maud les crou. J'étais même content de les interviewer tu vois ? [01:42:03] Speaker F: Moi j'ai jamais écouté, j'ai toujours trouvé ça à chier. [01:42:04] Speaker C: Mais j'étais très content d'avoir Nikis X, voilà. En plus, c'est des persos quand même. Ils ont une vie de ouf et tout. Mais là. Enfin, ouais. J'étais un peu. Un peu surpris, quoi. Un peu désarçonné. [01:42:14] Speaker B: Ah. [01:42:14] Speaker F: Mais en fait, il est déjà mort. [01:42:15] Speaker C: C'est ça qu'on m'a pas dit. C'était un peu linéaire, quoi. Mais bon. Ouais. C'est triste. [01:42:20] Speaker B: Du coup, les interviews n'ont pas été. [01:42:22] Speaker C: Diffusées, tu vois ? Ben non. Non, non. [01:42:23] Speaker B: Oui. Il y a plein de raisons. [01:42:25] Speaker C: Des fois, quand on ne diffuse pas les interviews. Des fois, on les enregistre pas pendant qu'on la fait. Ça vous est déjà arrivé ? [01:42:32] Speaker E: Moi non, en tout cas. Tous les deux, non. Ah bah moi, oui. Je sais. [01:42:37] Speaker B: Quand tu rentres au bout. [01:42:39] Speaker C: Quand. [01:42:42] Speaker E: Tu rentres en putain, t'es trop bien. L'interview. Et en. [01:42:49] Speaker C: Fait. [01:42:50] Speaker F: Mais y a rien sur. [01:42:59] Speaker C: La machine. Mais comment tu avais réagi à ce moment là ? [01:43:01] Speaker E: J'ai pleuré. [01:43:01] Speaker C: J'ai eu envie d'assassiner tout le monde. Après, j'étais peut être un peu excessif à cette époque là, pour de multiples raisons. Mais alors que tu aurais pu tout refaire de mémoire en faisant tes imitations, quoi. [01:43:12] Speaker B: C'est vrai. T'imagines ? Écoutez, je suis de Jonathan Davis. Par Pierre, en fait, c'était juste Pierre, entendez quelqu'un qui tournait ses donnes. Et toi, c'était quoi ? Si tu veux le dire. Parce que tu as le droit de pas dire le pire artiste. Enfin, le. Et la raison pour laquelle c'était gênant. Ce qui veut pas dire qu'ils sont comme ça tout le temps non plus. Tu peux tomber le mauvais jour. C'était même pas que c'était gênant, c'est. [01:43:41] Speaker F: Que l'interview n'a pas eu lieu. [01:43:42] Speaker B: En fait, c'était Young Guns. Je sais pas si vous vous rappelez de Young Guns. C'était un petit groupe britannique. Ils étaient venus il y a quelques années au Trianon. Et en fait, je devais les interviewer et on me disait oui, ils arrivent, ils arrivent. T'inquiète pas, ils arrivent. Et en fait, au bout d'une heure et 1/2, ils ont dit ils arrivent. J'ai fait bah non, ouais. [01:44:01] Speaker C: Là, ils arrivent plus, j'ai d'autres choses à faire. Et là, en fait, j'ai juste dit bah non, tant pis. [01:44:05] Speaker B: En fait, moi, ça me fait plaisir. Moi, encore une fois, interviewer des artistes, c'est parce que j'adore faire la promo de la musique que je diffuse, parce. [01:44:12] Speaker F: Que ça me parle. Donc je veux qu'on parle de ces gens là ? Mais si après ils me prennent pour une conne, bah ciao. C'est pas grave. C'est pas grave. Il y a beaucoup d'artistes qu'on diffuse quand même. Même si on sait qui nous ont pris pour des cons. [01:44:25] Speaker C: Oui bien sûr. Mais pour le coup j'ai de la chance, je crois que j'ai pas eu. Est ce que je t'ai raconté des trucs ou. Non non moi j'ai rien en tête. Et surtout ce qui est, ce qui est cool, c'est que tous les deux, en tout cas depuis qu'on fait BTN. [01:44:39] Speaker B: Franchement on n'a jamais eu de problème avec. Avec des interviews avec des artistes. Franchement ça s'est toujours bien passé. Parce que vous êtes carré. C'est peut être. Je sais pas. J'espère que non, mais je. C'est bien. Il faut. [01:44:51] Speaker F: Parce que c'est un métier où il. [01:44:52] Speaker B: Faut quand même être sérieux, faut se renseigner. [01:44:56] Speaker C: Il. [01:44:58] Speaker B: Ne faut pas partir comme ça, à l'arrache, faire des interviews, sinon ça se passe pas tout le temps bien l'interview. J'ai eu par contre un énorme stress où j'ai paniqué, où je me suis dit oh putain j'ai fait de la merde. C'était Liam Gallagher et John Squire. Et donc j'ai paniqué comme pas possible. J'étais vraiment dans un stress. Il y a aussi que t'es fan de Oasis. Et donc le truc c'est que je sais pas de quoi vous parlez. Et donc je me mets une pression dingue, je me dis ils vont être horribles, ils vont être méchants. En plus Liam galère, il doit faire peur, c'est horrible. Et en fait je perds mon anglais, je ne les comprends pas. Et à la fin de l'interview, les deux ils se comportent en papa en fait avec moi en mode alors qu'est. [01:45:39] Speaker F: Ce que tu fais ? À quelle heure tu dois te lever toi le matin ? [01:45:43] Speaker C: Et je me rends compte en fait. [01:45:45] Speaker F: Que tout se passe bien. Mais je sors de cette interview en larmes. J'écris à Lucas, je suis qu'une merde, je suis nulle, plus jamais je veux faire d'interview. [01:45:54] Speaker C: D'accord. [01:45:54] Speaker E: Et j'écoute. [01:45:54] Speaker F: Finalement deux semaines plus tard, les rushs de l'interview. Et je suis rassurée parce qu'en fait tout ça c'était dans ma tête. Est ce que ça te rappelle pas l'interview de Mike Muir qu'on a fait au Hellfest ? C'était exceptionnel. Ah ben un homme extraordinaire aussi avec lui. Sauf que nous on le connaissait. Enfin, on l'avait jamais rencontré en fait. Et quand tu le connais juste de. [01:46:12] Speaker C: Réputation, tu peux être impressionné. C'est un peu ce qui est arrivé avec nous. [01:46:16] Speaker E: C'est à dire que vraiment on a. [01:46:18] Speaker C: Su qu'on allait pouvoir l'interviewer, que. [01:46:21] Speaker E: C'Était le jour même en plus. Et tous les deux on était en. [01:46:24] Speaker B: Mode faut vraiment. [01:46:27] Speaker C: Qu'On taffe. Mais à balle et tout. [01:46:29] Speaker E: Faut qu'on soit sûr de ce qu'on dit et tout. [01:46:35] Speaker C: Parce qu'on avait peur de lui en fait. [01:46:37] Speaker F: Sauf qu'au final le gars s'est pointé. [01:46:38] Speaker C: Déjà physiquement il nous faisait peur. [01:46:42] Speaker F: Il a toujours la tête enfoncée dans les épaules. [01:46:47] Speaker B: Ouais, complètement. Il est pas très grand pourtant. [01:46:49] Speaker C: Ça, il est pas si petit non plus. La photo que j'ai fait avec lui, il m'arrive. Oui mais tu mesures 4 m 50. Je pense qu'il fait. Il fait. Il fait 3/4 de marie quoi ? [01:46:58] Speaker F: Non, 3/4 de mois. Bon bon passons. Alors après il a un bandana, donc c'est impressionnant, ça grandit un peu. Le nier en dessous après c'est un cube. Ouais vraiment. Non mais c'est sans méchanceté, juste. Il est. [01:47:07] Speaker B: Impressionnant, il est composant, il est massif quoi. Et puis il est vieux aussi. Non mais c'est vrai qu il est. [01:47:13] Speaker F: Vieux finalement il fait moins vieux que quand il intervient 20 ans avant. Donc je sais pas ce qui s'est passé. Et puis il a ce truc vraiment. [01:47:19] Speaker C: Un peu, je trouve. Tu me dis ce que tu en penses ? [01:47:23] Speaker F: Je trouve qu'il a vraiment ce truc de gangster un peu, tu vois, et que tu sens qu'il peut même sans raison. [01:47:29] Speaker C: Tu lui as mal dit bonjour, c'est fini, tu vois, on a été pas bien. Et au final. Donc on commence l'interview. [01:47:33] Speaker B: Marie elle commence à lui parler de famille et tout. Et le mec se met à chialer, tu vois ? Et vraiment. [01:47:40] Speaker C: Mais c'est. Ah ça il va sortir un couteau. Respire, respire. Souris surtout. Non mais en fait. En fait je crois que j'ai. [01:47:45] Speaker B: Zweitausendeinousand. [01:47:46] Speaker F: Vraiment j'ai rarement vu quelqu'un. [01:47:49] Speaker E: Presque d'aussi. [01:47:50] Speaker F: Humain que ça, tu vois. C'est vrai, il est vraiment, il a un cœur de ouf. [01:47:54] Speaker C: Ça a été quelqu'un qui n'avait pas de cœur avant et qui en a un aujourd'hui, donc. [01:47:59] Speaker A: Exactement. [01:47:59] Speaker C: Oui, mais ça s'est ressenti dans sa façon de parler, de fondre en larmes finalement. Donc voilà, il y a des moments magiques comme ça. C'est un métier aussi. On peut vivre de beaux moments malgré tout. Malgré tout, c'est vrai. Du coup, l'interview. Bon bah l'interview du coup pas utilisable qu'on a préparé et tout ça servait à rien, le mec parlait tout seul. Alors en interview, quand tu prépares une interview, dites moi si je me trompe, parce que je ne sais pas le faire. [01:48:22] Speaker F: Tu prépares des choses, mais tu dois rebondir sur ce qui est dit. Il y a une part d'improvisation. [01:48:30] Speaker E: C'est pour ça que la difficulté c'est de pouvoir saisir l'instant, surtout quand c'est en anglais, même si t'es bilingue. [01:48:40] Speaker C: Il faut quand même saisir le fond. [01:48:42] Speaker E: De ce qu'il dit et de rebondir. [01:48:43] Speaker B: Avec l'histoire, etc. Et plein de l'actualité. Enfin, il faut quand même pas non. [01:48:49] Speaker C: Plus être isolé dans un coin et ne pas savoir ce qui se passe. Il faut savoir écouter et réfléchir en même temps et ça fait bizarre comme ça, mais c'est vraiment pas facile. Alors Mike, Los Angeles, les années quatre 20, nom de gang et tout, vous seriez pas un peu des branquignoles ? Moi, j'avais posé des questions comme ça. Oui, mais toi, c'était ta marque de fabrique. Oui. Toi, tu comptais le nombre de 2ᵈᵉˢ avant qu'on te frappe. C'est vrai que des fois j'attendais vraiment. [01:49:11] Speaker F: Mais j'attendais que ce soit plus v. [01:49:12] Speaker C: La fin quand même. J'avais une progression. C'est une intelligence. À un moment, il faut réfléchir quand même. Je suis con, mais j'essaie de faire rester. De rester en vie quand même. Ce que je disais. Mais je prévenais les artistes aussi. Oui. Quand ils arrivent, il y a la réception de l'artiste. [01:49:22] Speaker F: Il y a ce. [01:49:23] Speaker C: Bonjour. Ce moment où tu es en dehors du métier humain, mais c'est un autre métier. [01:49:26] Speaker F: C'est à dire que c'est le moment où tu fais du RP. [01:49:30] Speaker E: Salut. Ça va ? [01:49:30] Speaker C: Oui. [01:49:30] Speaker E: J'espère que tu vas bien. Tu as un peu d'eau ? [01:49:34] Speaker C: Non. Une petite bière, quelque chose ? [01:49:35] Speaker E: Ah oui. Tu te sens bien ? Un petit café ? Tu veux t'asseoir ? On va discuter. Alors je vais t'expliquer le déroulé. [01:49:42] Speaker C: Ça va être nickel. [01:49:44] Speaker E: On va se marrer. [01:49:47] Speaker C: Gens dont c'est le travail. Ouais. Oui. Il y a des gens qui sont. Qui s'occupent de réceptionner les gens à ta place. [01:49:51] Speaker E: Oui, bien sûr, en télé, et cetera. Enfin, c'est. Je rappelle que c'est ce que je. [01:49:56] Speaker C: Fais pour les Restles awards pendant que. [01:49:57] Speaker B: Vous êtes à l'ent. C'est vra. [01:49:59] Speaker C: Et puis je. [01:50:03] Speaker B: Fais ça pendant. Pendant 5 h. Je réceptionne les gens, je les envoie. [01:50:11] Speaker C: Quand c'est quand c'est leur tour, je les raccompagne à la porte. Genre on est multifonction ici. Je coupe le saucisson. Bon, tu fais un peu tout effectivement. Mais bon, c'est pas la peine de te la raconter comme ça. On était en train de parler. Raconte nous, c'est quoi ton groupe ? Ils ont dit non, moi j'en ai interview la pire. Je l'ai déjà dit 1000 fois, la pire. C'était pas br. Non. Oh non. Mais oui, c'est vrai. Fromage, saucisson. Il voulait pas répondre aux questions, il avait frappé son frère aussi, donc c'était. C'était gênant. Et ça, tu t'es bien, tu regardes, tu fais. Quand je pense que je n'ai pas le droit de dire tout ça et qu'il faut que je ferme ma gueule, parce que sinon. Parce qu'en vérité, dans notre métier, si tu racontes des choses qui se passent, tu perds des interviews, tu perds des opportunités de faire du contenu intéressant, etc. Parce que. Un peu moins aujourd'hui quand même, parce que c'est moins. En 2020, quatre, les gens sont quand même beaucoup plus sérieux et sympas. Mais en 2010, c'était il n'y a pas si longtemps, c'était très très, très violent. Tout était toujours un peu agressif. Dites moi si je dis de la merde. Non, non, c'est vrai. Mais il y avait plein de moments où tu devais fermer ta gueule. Et même ta direction venait te dire tu te tais, tu te tais et toi tu dis waouh. Alors il n'y a jamais eu. Il a frappé son frère, il lui a foutu une tarte dans la gueule. Je ne dis pas que c'est pas violent, c'est grave. D'ailleurs après, je me suis pas gêné pour l'insulter. C'était pas un souci. C'était cette fois aussi où après, devant les fans, il m'avait roulé une pelle. Donc c'était un grand n'importe quoi. Mais. Mais à l'époque, c'était comme ça. On nous disait ça tu peux le dire ça, tu le dis pas. Et c'est pour ça que moi je refusais qu'il y ait des attachés de presse ou le manager pendant que je faisais l'interview. Ça met une pression de dingue. En fait déjà ça me moi en plus j'y suis complètement angoissé, ça me fait mais tu peux pas poser ta question que tu as pas le droit de poser. Et l'artiste il s'en fout de répondre si tu le prépares. [01:51:58] Speaker B: Encore une fois, c'est toujours une question de respect, c'est à dire que tu peux lui poser la question méchante, mais tu le préviens, tu dis il va peut être avoir des moments où je. [01:52:10] Speaker F: Vais te poser des questions agressives. Si tu ne veux pas y répondre. [01:52:13] Speaker C: Tu as le droit de me dire. [01:52:15] Speaker F: Va te faire foutre. J'ai pas envie de répondre. C'est pas un souci. Par contre si tu y réponds, c'est cool parce que en vrai, c'est là où les gens vont te connaître un peu mieux. [01:52:26] Speaker C: Exactement. Et il suffit d'expliquer. [01:52:27] Speaker F: C'est ce qu'on fait en général nous aussi. Toi tu as eu un souci aussi avec une artiste dont on terra le nom. Mais j'ai pas eu un souci avec elle, c'était vraiment avec sa manageuse pour le coup. Mais c'était souvent les managers qui font chier, c'est une artiste qui est même pas en plus ÿousand dans l'univers du rock, etc. Mais c'est donc sur voltage pour le coup à l'époque. [01:52:47] Speaker C: Et one non, c'était pas loan, mais elle est blonde aussi. Mais c'était. [01:52:49] Speaker F: Ça en fait beaucoup. Ouais. En gros, c'est juste que j'avais une question à poser sur un truc assez, comment dire, assez touchy et en plus qui était très populaire. Et je voulais absolument poser une question sur ça parce que je trouvais que elle même en avait été victime. Et du coup j'ai juste trouvé une façon de tourner ma question pour que ce soit vraiment elle qui puisse parler de ce truc là, d'accord ? Pour que tu l'amènes, que tu la diriges v. Cette question sans poser la question. [01:53:12] Speaker C: Voilà. Exactement. [01:53:12] Speaker B: Et d'ailleurs elle avait hyper bien répondu à la question. Et je pense que ça lui avait fait du bien. Du bien de pouvoir parler de ça de cette façon là, tu vois ? Mais malgré tout, au moment pendant que je pose ma question, je vois la manageuse qui sort du studio et qui va voir notre directeur, etc. Et on. [01:53:31] Speaker F: Sort de l'interview et on me dit cette question là elle va être dégagée. Alors que l'artiste aurait très bien pu me dire non, je réponds pas ou voilà. [01:53:38] Speaker C: Tu vois ? [01:53:39] Speaker F: Mais. [01:53:42] Speaker C: Surtout que dans ces moments là, ce qui est bien dans le fait qu'on puisse faire des interviews, c'est que justement les artistes peuvent s'exprimer. Ils peuvent exprimer leurs émotions les plus sincères. Et la nana, ça lui faisait juste du bien de pouvoir enfin s'exprimer d'elle même. Et c'est vrai que parfois c'est l'équipe autour qui. Je précise juste que je comprends le fait que la direction les fait. Oui, parce que eux ils ont besoin quand même de garder des relations avec les managers etc. C'est pas du tout contre eux. Ce que je veux dire c'est que c'est quand même hyper maîtrisé et que par conséquent il y a des choses qui sont pas bien parce que cette artiste je connais pas. Mais si elle avait envie de s'exprimer, peut être que ça lui faisait du bien aussi mentalement, mais que son management et puis son équipe peut être s'en battait les roustons, qu'elle se sente bien mentalement mais qu'il fallait quand même faire de l'argent. [01:54:30] Speaker F: Et ta direction qui fait son métier. [01:54:32] Speaker C: Assure ce que le manager a dit parce qu'ils avaient envie évidemment de ne pas être froissés ou de ne pas avoir de conflit avec. Parce que quand il y a un conflit entre label et radio, etc. Ça va très loin parce que c'est des délires de t'auras plus le roi machin. Je vais te refuser cette diffusion. Il y a beaucoup de choses et c'est très agressif, on réalise pas, mais en fait c'est hyper violent. C'est quand même tous des bâtards. C'est hyper violent. C'est une bonne conclusion je trouve. Non mais quand on. J'en ai fait partie et je souhaite refaire de la radio, j'adorerais parce que c'est un métier qui est quand même merveilleux. Je vais pas mentir parce que c'est vrai qu'on voit pas ta gueule. Donc du coup tu peux jouer un. [01:55:07] Speaker B: Peu plus, il y a quelque chose. [01:55:09] Speaker C: De plus, quelque chose de plus magique. [01:55:10] Speaker B: Parce que quand on te voit, bon bah du coup tu es là ouais. [01:55:16] Speaker C: Tu dis oh là là c'est merveilleux. Bon on voit quand même que t'es pas touché quoi. Par contre quand tu es à la radio tu peux un peu plus jouer et j'aime bien ce jeu, j'aime bien. C'est peut être hyper hypocrite mais peu importe, mais j'aime bien ce jeu. Et puis on peut faire des. Jouer avec sa voix etc. Mais tu crées des histoires en fait et c'est trop bien. Comme je suis complètement barge, ça me crois complètement pareil. On a écrit les plus belles histoires ensemble. Ah ouais ? Ben moi il y avait beaucoup de personnages. [01:55:44] Speaker E: Ouais. [01:55:44] Speaker C: On me demande, certains me demandent encore comment va Sophie ? Mais oui c'est très violent. Et en fait je sais que. On en a beaucoup parlé quand les stagiaires arrivaient à la radio ou quand, quand on est jeune, qu'on arrive, il y a des passages par lesquels on passe, où on se pose la question vraiment de qu'est ce que je dois faire ? Parce qu'on voit plein de choses, on entend plein de choses. Et en fait tout ça il faut que ce soit. Ça te reste dans la tête, tu. [01:56:10] Speaker B: Peux pas les passer. Mais par contre ça n'existe pas. [01:56:13] Speaker C: Et ça c'est quand même très, très, je trouve. [01:56:15] Speaker B: C'est grave, c'est grave. Aujourd'hui, il y en a beaucoup qui. [01:56:19] Speaker C: Sont en train de défendre la transparence. [01:56:21] Speaker B: Etc. Et qui sont les 1ᵉʳˢ d'ailleurs. [01:56:23] Speaker C: Être des bâtards. Ÿousand non mais pour se voiler, pour se cacher un petit peu, je me demande vraiment quand est ce qu'il va y avoir un vrai coup dans le fourmilière et que ça va vraiment foutre le bordel. [01:56:37] Speaker E: Par contre, il y aura plus rien. Il y aura plus rien. C'est vrai. Mais j'ai quand même bien hâte. [01:56:48] Speaker C: Ah ouais. [01:56:48] Speaker E: Parce qu'il y en a qui méritent beaucoup. Il y en a vraiment qui méritent. Allez deux, trois, quatre procès. [01:56:53] Speaker F: Ouais. [01:56:53] Speaker B: Puis que ce soit fini. [01:56:55] Speaker E: Plus, ce serait génial. Mais je pense que. Artiste manager ÿousand labels encore que dans les labels, ça a beaucoup changé. Enfin je sais pas si nous comme on est web, c'est pas les mêmes personnes qui travaillent avec l'Afm que le web, mais tout le monde reste adorable dans le web. Dans mon expérience, c'était pas non plus carré, très propre non plus. M. Trègle, j'ai fait. Je sais pas. En tout cas moi j'ai fait quelques articles qui m'ont valu de plus avoir de passe à rock on scène pendant des années. Sérieux ? Ah ouais. [01:57:25] Speaker C: Parce que justement certaines attachées de presse s'étaient très mal comportées avec nos équipes et que du coup j'ai fait. J'en ai parlé dans mon article. Oui, voilà. Et du coup moi c'est artiste très bien. Mais en même temps on était censé avoir ça. On n'a pas eu ça et on s'est fait traiter comme de la merde. Notre photographe s'était fait mettre plus bas que terre. T'es juste une attachée de presse. Je comprends pas ça. Et qui après venait vraiment nous lécher. [01:57:47] Speaker B: Le cul pour qu'on fasse de la. [01:57:48] Speaker C: Promo sur d'autres trucs comparé à. Je me souviens pas tu me dire parce que je vois plus du tout, je suis perdu. Après on efface vite les choses aussi, parce que de toute façon il faut que ça roule et que. Et que ça marche avant de passer à la chanson suivante. Parce que c'est très long et que je. J'ai bien peur que vous restiez un peu plus longtemps. Donc je vais essayer de faire. Bah tu travailles du matin quand même. Oui. [01:58:21] Speaker B: Mais il y a pas de souci, ça me fait plaisir, t'inquiète pas. [01:58:23] Speaker C: La musique en radio, oui, c'est un vaste sujet. Tout à fait. Les gens qui regardent, qui nous suivent. [01:58:28] Speaker B: Qui écoutent, qui vous écoutent, se disent souvent c'est formidable. Ils choisissent vraiment cette musique, vraiment, que leur goût. Et elles passent là, dans l'émission, et c'est formidable. Bon, alors attention. Bien évidemment, là où je veux en venir, c'est qu'il y a ce qu'on appelle les rotations. Exactement. Ça, c'est la journée. Parce que la journée, il y a. [01:58:48] Speaker F: Des accords, peut être. [01:58:49] Speaker B: Il y a des accords. Il y a des règles aussi. Il y a des règles. Voilà. C'est quoi le. [01:58:56] Speaker C: Racontez nous un petit peu si vous arrivez à faire un résumé. Alors effectivement, il y a des rotations qui sont faites par rapport à des tests également. C'est à dire qu'il y a des. [01:59:06] Speaker B: Morceaux que certains auditeurs vont préférer plus que d'autres. Des titres que les auditeurs vont avoir en coup de cœur, par exemple. [01:59:17] Speaker C: Et qui vont avoir un certain succès. [01:59:19] Speaker B: Ceux là, on va les mettre en forte rotation. Ouais. Haute rotation. Haute rotation. Merci. Ce qui est pareil. Il y a plusieurs catégories aussi. Donc il y a les fortes rotations du début, on va faire large parce que si on rentre dans tout le détail, c'est très compliqué. Mais forte rotation, en gros, c'est que. [01:59:39] Speaker C: Ça peut passer une fois par heure, peut être même plus que d'autres. Et IFM, pour le coup, fait partie des rares radios où on vous mettra traque pas le. Parce que si j'y travaille plus, je sais pas si vous pensez. Franchement, je me dis que sur oui Fm, on est plutôt assez cool, assez large, parce que si on va par exemple sur énergie, vous vous rendez compte à quel point la rotation, vous allez entendre Kinvey à h. À h, vous allez retrouver. C'est dans ce sens là que je veux que je. Que je veux parler. C'est pas un top, un. Non, c'est un top 40, généralement. [02:00:05] Speaker B: 40 chansons qui sont choisies, qui tournent en boucle, avec certaines qui sont beaucoup diffusées. Certaines sont, entre guillemets, un peu moins diffusées. Mais ça tourne sur 40 chansons sur la journée, sur des stations comme. Enfin, en gros, je fais une vulgarisation, peut être que ça a changé, mais en gros, sur NRJ ou sur Fun ou sur des trucs comme ça, qui sont des grosses nationales, c'est ça, oui, ça tourne. Ça tourne parce que les gens normalement n'écoutent pas bien longtemps et que du coup, c'est pas grave de passer 40 fois le même morceau. C'est vrai qu'on oublie ce côté là parce que nous en fait dans notre studio, on l'entend la chanson 1000 fois. Mais l'auditeur par exemple qui va arriver à H, c'est pas le même que celui qui sera à 40. [02:00:49] Speaker C: Cinq. [02:00:49] Speaker B: Et donc il va pas capter qu'on a passé deux fois, trois fois le. Et puis il y a des fois. Et là. Et c'est ça qui est hyper intéressant en radio, c'est qu'il y a des fois où nous on va avoir passé un morceau pendant trois, quatre mois, le gars ou la nana, il va le découvrir pour la 1ʳᵉ fois au bout du 6ᵉ mois et là ça sera une nouveauté pour cette personne. Ÿ là. Et donc là on se dit oh waouh, j'ai déjà entendu 3700 fois, là, j'en peux plus. Ok, très bien, très bien. Ok, je comprends le délire, ok, il y a pas de souci. Donc c'est vrai que c'est hyper délicat. [02:01:18] Speaker F: Mais c'est un vrai travail, la programmation musicale, c'est un vrai, c'est un vrai job parce qu'il faut prendre le risque également de choper un artiste par exemple que tu, t'as envie de découvrir, que tu veux, que tu veux faire découvrir. [02:01:30] Speaker C: Donc faut le choper au bout moment et puis encore une fois, c'est encore. [02:01:35] Speaker F: Un risque, ça se trouve il va pas marcher. Mais tu paries sur cet artiste là et donc tu vas le diffuser. Et nous c'est la chance qu'on a dans Bring the noise, c'est que. On choisit les titres. Juste une petite précision, il y a les fameux 40 titres qui tournent en gros et qui changent assez régulièrement. Au delà de ça, il y a quand même toute une programmation aussi de classique, de goals comme ça, qui vient un peu plus rapidement. Ça c'est spécifique à. Oui FM sur les. Ça peut arriver aussi sur des radios par exemple aujourd'hui Voltage qui est une autre radio du groupe, c'est une radio qui est revenue à diffuser de la dance music, de l'eurodance principalement. Tu as des années quatre, 20 10 ou des trucs comme ça. Alors Voltage diffuse toujours les nouveautés qu'il y a aujourd'hui etc. En revanche c'est teinté effectivement de gold comme ça, des années quatre, 20 10 qui arrive parfois comme ça, un peu comme un bonbon en fait, c'est le principe, c'est vraiment. Le titre arrive et juste. Tout le monde est content de l'entendre se dire ah putain, ça fait longtemps que je n'ai pas écouté ce truc là et tout machin. Il y a aussi ces titres là. Et c'est juste pour répondre à une. [02:02:21] Speaker C: Pas une question, mais quelqu'un a dit quelque chose dans le chat en disant ça fait 15 ans qu'il y a les mêmes chansons qui tournent sur Wifm. Je pense que c'est ça, en fait. [02:02:29] Speaker F: Le truc que tu veux dire, c'est qu'en fait, il y a beaucoup de chansons, effectivement, qui tournent depuis longtemps, mais qui sont des gold, des classiques, on. [02:02:35] Speaker C: Appelle ça des gold. En tout cas, nous en radio, ça veut juste dire que c'est les the Wall, enfin les Pink Floyd ou des trucs comme ça, voilà. Les classiques absolus. En fait, tu peux pas les connaître. C'est à dire que quel que soit la personne, c'est ça, que ce soit sa culture ou pas, cette chanson, elle a déjà entendu et ça fait partie de son inconscient. Zweitausendein. La programmation, ce truc là, qu'en tout cas quand tu es. Oui, FM. Radio, radio du rock, c'est compliqué, quoi, de l'enlever, ce morceau, tu vois, après, il faut quand même aussi avouer que c'est bien. C'est très important de bien choisir parce que c'est une prise de risque. Prise de risque parce que les gens peuvent partir. Et si les gens partent, n'écoutent pas. [02:03:10] Speaker B: La pub, tout à fait. S'ils n'écoutent pas la pub, vous n'avez plus l'argent et tout le monde ferme. Voilà, c'est exactement ça. Et la pub fait chier tout le. [02:03:20] Speaker C: Monde, ça, on est bien d'accord. Mais tout le monde met. [02:03:22] Speaker B: Malheureusement, c'est ce qui fait tourner la machine, quoi. [02:03:25] Speaker C: Exactement. Et c'est ce qui permet sûrement à des petits artistes, de temps en temps. [02:03:28] Speaker B: Des découvertes, en l'occurrence dans Bring the. [02:03:29] Speaker F: Oys, vous avez la chance de le faire comme vous voulez. C'est encore différent. C'est très différent. Pourquoi ? Parce que c'est le soir, on a plus de liberté. La liberté. On est vraiment en mode yolo, donc. Et c'est ça qui est cool. Et après. C'est pour ça qu'il existe également les web radio aussi. Oui. C'est vrai que toutes les radios ont une série de radio thématique, c'est ça. Et donc ça, pour faire plaisir un. [02:03:46] Speaker C: Peu à tout le monde. On connaît d'autres trucs que ce que vous entendez tout le temps. Exactement. En plus, c'est des programmations qui sont vraiment faites, qui sont vraiment taffées. Faut comprendre que faire une programmation, ça prend vraiment beaucoup de temps. C'est fastidieux à faire. Et pour le coup, un programmateur taffe super bien là dessus. Et vraiment, toutes les web radio, elles ont. Il y a des titres qui rentrent constamment et tout. Enfin, c'est tout le temps alimenté. [02:04:13] Speaker F: Et pourtant, il y en a beaucoup. [02:04:15] Speaker C: Franchement, bravo, parce que c'est un sacré taf, quand même. [02:04:17] Speaker F: On peut devenir fou, oui, à écouter toutes ces chansons. Il y en a beaucoup, c'est vrai, pour les classiques et puis les nouveautés, il y a de quoi s'y perdre, surtout aujourd'hui. Alors on va passer à la musique. [02:04:28] Speaker B: Quand même, parce que je vois que ça fait 20, 8 min qu'on parle. [02:04:32] Speaker F: Ça va être à ton tour avec Gojira, évidemment. [02:04:36] Speaker C: Gros, gros classique. Avec Vacuity. Ouais. [02:04:38] Speaker F: Alors, le mammouth ou la baleine ? [02:04:40] Speaker E: Comme tu veux, mais plutôt, je trouve. Ouais. Le mammouth aussi. C'est vrai, parce qu'il y a le. Mais je trouve que la baleine représente bien ce truc là. Je trouve qu'ils ont vraiment rayé Zweitausendein. [02:04:53] Speaker C: Réussi à mettre, comment dire, à coller cet imaginaire, quoi, dans la tête des gens, justement, tu vois, avec tout le truc. Non, mais c'est vrai. [02:04:59] Speaker F: Moi, j'adore regarder les yeux de Lucas quand il parle de Gogira. Regarde le. Absolument fan du groupe. C'est un. Pour moi, c'est un. Appris que du plantier pétait pendant que. [02:05:08] Speaker C: Voilà. [02:05:08] Speaker F: C'est exactement ce qu'on se disait. J'avais ça dans la tête. Quand Marie rigole quand tu parles de. [02:05:18] Speaker C: Gojira, c'est qu'elle se rappelle la discussion. [02:05:20] Speaker F: Ÿ on a eu en antenne avec le petit déclencheur anal qu'il avait. On a énormément de respect pour du plantier. S'ils veulent venir ici, ils sont les bienvenus. Évidemment, s'ils ont des problèmes d'aérophagie, on peut en parler aussi. C'est des sujets qu'on connaît très bien. Petite précision, si jamais vous entendez un cochon, c'est quand Marie rigole, en fait. Et c'est juste quand les blagues sont drôles et que ça la fait vraiment rire. Elle fait le cochon. Voilà. [02:05:42] Speaker C: Bref. [02:05:42] Speaker F: Voilà. Groupe comment dire. Est ce que c'est eux qui t'ont. [02:05:45] Speaker E: Amené au métal ? Ouais. [02:05:46] Speaker F: Alors, je pense que c'est plus. J'ai plus une voix classique, genre. J'ai écouté des Metallica et trucs comme ça. En revanche, c'est clairement eux qui m'ont emmené sur le métal. Vraiment extrême, pour le coup. Et après, j'ai commencé à écouter plein, plein, plein d'autres trucs et tout. Mais ce qui est certain, c'est que c'est un groupe qui a marqué ma vie sur plusieurs plans, ne serait ce que sur la conscience écologique par exemple. Alors ils n'en parlent pas concrètement, est très spirituel chez eux. Mais c'est un truc qui m'a. Oui, enfin si dernièrement un peu plus. Oui, dernièrement un peu plus. Mais je trouvais qu'en tout cas, dans ces albums là, dans From mars au. [02:06:20] Speaker C: Sérieux ou les trucs comme ça, c'est. [02:06:24] Speaker E: Quand même tout le truc de l'ésotérisme et tout. [02:06:27] Speaker C: Enfin, truc très de rêve, c'est beaucoup. Je trouve que c'était plus subtil, on va dire, dans l'approche, dans le discours et. Ouais, enfin, sur ça, sur. Je sais pas, je crois que la. La brutalité du truc, en fait, quand. [02:06:37] Speaker B: Je l'ai découvert, vraiment, ça m'a fait un truc, quoi. [02:06:40] Speaker C: Je sais pas comment expliquer, je sais. [02:06:42] Speaker E: Pas comment exprimer ce truc là avec. [02:06:44] Speaker C: Des mots, mais c'est vrai que ça a changé. [02:06:47] Speaker F: Vous êtes un superbe. [02:06:48] Speaker C: Ils seront accolés au pet maintenant. [02:06:49] Speaker F: Ben non, c'est bon. C'est un bon. [02:06:51] Speaker E: C'est le compte. [02:06:51] Speaker F: Les meilleurs du métal français et des gros péteurs. C'est horrible. S'ils regardent en plus, c'est possible qu'ils. [02:06:55] Speaker C: Tombent sur cette vidéo en disant y'a tout le monde qui les a soutenus. On va peut être regarder ce que c'est. Et là ils tombent pile sur ce moment là. Mais non, non, non, non. Si vous aime, on vous aime. On va en faire un short sur Instagram, on parlera que de ça. Voilà. Même Gojira. Non, non. Puis on adore vraiment plus. C'est juste pour faire des blagues nulles. [02:07:11] Speaker F: C'est vraiment le groupe de ma vie. À partir du moment où tu me demandes de citer un groupe, je citerai forcément celui là. T'es touché par la violence et cette douceur, cette poésie en même temps. Ouais, bien sûr, il y a beaucoup de trucs dans le métal finalement, qui sont un peu comme ça. Beaucoup, beaucoup de violence, pour pas mal de messages qui sont quand même plutôt. J'allais dire mignons, non, mais en tout cas qui essayent d'intense et qui essayent de réveiller quelque chose d'autre que de la brutalité, en tout cas. Oui, oui, c'est clair. Mais en plus, surtout Gojira, je trouve, quand tu les écoutes parler, il y a ce truc là, tu vois aussi, je sais pas si vous avez déjà regardé vraiment quelques interviews des frères du. [02:07:47] Speaker C: Plantier, mais c'est exceptionnel, quoi. Ils sont hyper calmes, quoi. Ils sont d'une douceur. [02:08:31] Speaker A: Absolue. Alors que bon, évidemment, tu les mets derrière une batterie, derrière un micro derrière. C'est n'importe quoi, mais je trouve ça trop bien, quoi. [02:08:49] Speaker C: Et. [02:09:51] Speaker A: En plus, ils ont vraiment une approche complète de l'art aussi. Ça que j'aime bien, je crois. Même eux font plein de trucs à côté. Ils dessinent, ils peignent, ils font de la photo, de la vidéo. Ils font tellement de choses. Ils produisent aussi maintenant, depuis quelques années et. Ouais, je sais pas vraiment une passion absolue pour ce groupe. Bon. On va regarder ce joli clip. Ce petit clip Vacuity de Gojira. For the song the race of congregation Communicate reaction the local heart of man i know the sun from the poor this morning for a long I find the will to win Strength no one can tell you how you'll go and let all the way but you were the only one that once there in your soul apart you'll finally find yourself We didn't just go away Remember who you were on the very last night the torso collision are fair when. [02:17:25] Speaker C: Ending inside your fear so persistently pulling me in and starts tonight when you sound so tell yourself that they are new to me i watch it far now that my vision is clear I never take like. [02:17:38] Speaker B: A man make faithful forever. [02:17:39] Speaker C: Tonight to embrace the fault of them so tell yourself as they are too pass They will never pulling me in the realm of my world i'm living life oh now that my vision is clear I love the change I come back so tell yourself and stick out so tell yourself and say I do not. Oh là là. La dame, elle met le feu. Oh là là. Elle fait comme ça. Brûle et cuisson. Brûle et cuisson. On nous prend un peu pour des papillons de lumière. On est au des babas, là. Ÿ de lumière sous les projecteurs. Non, juste babala sous les projecteurs. C'était en moi. Ok. Tu sais, elle sera bientôt notre invitée, d'ailleurs. Non, je rigole. [02:18:30] Speaker D: J'aimerais tellement. Alors. Oui ? Je suis fan de dimoubourguir. Ah oui ? C'est bien ton. Attends, c'est bon. Ah bah donc, je disais. Un coup, il y a Didier, un coup, couple son, un coup et on remet le son morceau de je sais pas quoi. Hop, je jette au sol parce que je veux pas savoir. Alors bon, bref, est ce que c'est filandreux ? Non, c'était croustillant. [02:18:51] Speaker C: Du coup il devait avoir des noix de coco avec. Bon, ceci dit c'était un sacré arbre. Bon. Quelle horreur. [02:18:55] Speaker D: Bah non, c'était très beau, assez impressionnant. Le morceau. Oui, oui. Morceau, oui. Ÿousand Soul work qu'on a vu avec Marcel en concert avec Inflames, qui est un des groupes qui m'ont un peu mis au métal extrême, en toute proportion gardée, parce qu'il y a quand même une composante extrêmement mélodique chez Soulwork. C'est vraiment les groupes de death mélo à la suédoise, avec beaucoup de mélodies en plus pour le coup, avec un chanteur qui est ultra performant du coup bien sûr c'est un truc que tu allais dire avec beaucoup de cheveux. Mais aussi il en avait à une époque, il en avait à une époque, mais oui. Du coup que j'avais découvert, ben un. [02:19:28] Speaker C: Peu en ping pong avec In Flame. [02:19:32] Speaker D: Parce qu'ils avaient fait à une époque deux clips qui se répondaient l'un l'autre, qui se déroulait dans le même cas, qui se déroulait dans le même, dans le même décor et où ils mettaient une espèce de pseudo rivalité en scène et en fait c'est des potes et ouais, c'est un groupe, un groupe que je suis, que je suis d'assez près, que je trouve, que je trouve toujours très cool, même quand ils ont sorti, sorti des albums un peu plus commerciaux, entre guillemets, où ils avaient toujours des. [02:19:57] Speaker C: Des choses très intéressantes, des choses très gros. Lisez trou. Intéressant, très certainement. Mais ça fait partie des albums que je préfère d'eux pour le coup. Voilà. Il y avait toujours un côté, même dans leurs trucs les plus pop, il y avait toujours, il y avait toujours quelque chose de très, très astucieux je trouve, et en plus avec un super chanteur. [02:20:14] Speaker B: Beyond Street, que certains connaissent peut être. [02:20:16] Speaker C: Avec the Night Flight Orchestra, qui est. [02:20:19] Speaker D: Dans un, qui est dans un registre beaucoup plus classique, rock, voire funk, disco, etc. Il sait vraiment tout faire. Assez impressionnant. Excuse moi quand tu dis ce genre de choses, je sais pas pourquoi d'un coup je vois l'artiste, mais avec un pantalon, pas de def, mais avec une boule à facettes, en train de faire. [02:20:38] Speaker C: Hey, c'est marrant, ça lui colle quand même pas mal. Sinon je les ai vu en train de faire des mots croisés dans le tourbus. C'est un peu les. C'est pour ça que tu fais ce métier oui. Je suis désolé, mais oui. Mais sinon, non, j'aime bien. En plus, du coup. En plus, soulwork, cocorico. Il y a un de nos prodiges français à la guitare depuis nombreuses années dedans, Sylvain Coudray, qui était un des. Qui était guitariste chez Scarve avant. Donc quelqu'un qui était. Qui était dans la scène bien avant d'intégrer un groupe international. Et c'est cool. Non ? Excuse moi, tu as dit Scarf. Du coup, j'ai entendu Escar, donc je me suis dit oui. Bah écoutez, quand on est. Quand on est con, c'est pour la vie. C'est une. Une petite référence à un film. Voilà. Si vous avez. Je ferai pas comme dans le film, parce que ça se fait pas. Tu veux nous parler ? [02:21:28] Speaker D: Parce qu'en fait, c'est le petit moment d'Enjoy the noise. Et donc c'est à ce moment là où il choisit. [02:21:36] Speaker E: Des clips. [02:21:37] Speaker C: Donc Soulwork, évidemment, c'était pour faire la promo de ce live, voilà. Parce qu'il a passé un bon moment. Ÿousand vu que tu avais posté quand même pas mal de. De vidéos aussi, sur. Sur ton profil insta. [02:21:49] Speaker F: Je me suis fait plaisir. [02:21:51] Speaker B: Et j'ai vu que vous étiez bien placé aussi. [02:21:54] Speaker C: C'est. C'est un peu. Marcel qui t'a poussé ? Aller devant ou. C'est toi qui. Quand même. Cette petite folie de. [02:22:02] Speaker D: De quand même aller devant dans les concerts. Devant, assez proche, quoi. Je vais toujours dans la fosse. Ah ouais. Je vais jamais en. Je vais jamais en gradin. Et bien, 12 ans. [02:22:11] Speaker C: Non, mais regardez, c'est bon. Il écoute. Hugo Girard fait sa petite coupe de cheveux bien soignée. Moi, j'ai plus de cheveux. Ok ? Alors moi, je m'assois parce qu'en plus, j'ai mal aux fesses. Voilà. Bon. En plus, j'aurais pas lu parler le gars. Il a juste dit ouais, il se prend une saucée. Et je t'aime en plus. Tu sais que je t'apprécie beaucoup. Bon, tu voulais nous parler, sinon, de. C'était comme. C'était au zénith, en plus, le zénith. La fausse est assez confortable, en fait. Donc tu vois. Tu vois bien d'à peu près n'importe où. [02:22:36] Speaker B: Donc de toute façon, l'expérience est toujours bien. Non, mais tu es grand. [02:22:38] Speaker C: On va pas se. Déjà, je vois flou de base. Voilà. Je suis allé chez l'ophtalmo. D'ailleurs, je tiens à le raconter parce que c'est très important. C'est bien. Je commençais à prendre soin de mes yeux. Je lui ai expliqué tout ce qui s'était passé. [02:22:57] Speaker D: Elle m'a regardé, elle a fait et je lui ai dit bon, du coup je vois très mal. Alors elle fait mais vous voyez, comme avant. Et je lui dis Bah, mon ophtalmo me disait que j'étais une merde. Elle a fait ah non, vous voyez, comme avant. Non, ça c'est peut être toi qui l'a compris comme ça aussi. Ah, peut être. [02:23:13] Speaker C: Bon, en tout cas elle était sympa. Elle m'a dit vous pouvez mettre des belles lunettes roses ? Je fais waouh. Waou. Bon bref, ce qui est waouh c'est toutes tes sélections. [02:23:22] Speaker B: Il y a là maintenant un groupe. [02:23:23] Speaker C: Français qu'on aime beaucoup et qui marche bien. [02:23:25] Speaker D: Qui marche bien. Donc, hangman's chair. [02:23:28] Speaker C: Hangman's chair, du coup, qui viennent de sortir un titre avec le groupe néerlandais de Hall. Donc il y a un groupe que j'aime beaucoup aussi et avec qui ils partent en tournée. [02:23:37] Speaker B: Ils vont jouer, il me semble, le. [02:23:38] Speaker C: 20 4 octobre à Paris. Peut être dans d'autres dates en France. Je me souviens plus exactement la sera checker parce qu'on ne travaille pas là dessus. D'accord. Allez écouter. Oui, FM, il donne des dates de concert pour le coup. On en a parlé, il a donné les dates de concert. Je ne dis pas n'importe quoi tout le temps. Non, mais on voit les professionnels, nous, on est là pour le fun. Sinon. [02:24:03] Speaker D: Sinon moi aussi je pèterai en faisant de la batterie ou de la guitare. Pas vrai ? Quoi ? Tu veux qu'on revienne sur cette histoire ? Il va falloir qu'on explique. Tu veux que je te donne ton vrai prénom ? Ça ira. Non mais c'était pas ça. C'était une vanne par rapport au film aussi. C'était pas vraiment pour donner ton vrai prénom, qui est marie quoi qu'il arrive. Mais elle crache pas. [02:24:24] Speaker C: C'est vrai. En même temps qu'est ce qu'elle a ? [02:24:27] Speaker A: Voilà. [02:24:27] Speaker D: Vous voyez comment on tue des animateurs ? Le pire c'est qu'elle travaille demain. Donc Mineshair, ils ont sorti ce titre qui est très bien d'ailleurs, qui m'a surpris un peu. Mais ce qui est bien, c'est que. [02:24:38] Speaker C: Les deux univers des deux groupes en fait se complètent plutôt bien. Dol, c'est un groupe que j'aime beaucoup, que j'ai revu. Que j'ai revu en live quand ils avaient joué au Rockin Bourlon. Et toujours. Je les ai vus trois fois en live. C'est toujours une super expérience, toujours un groupe ultra charismatique, très carré, très pro, et avec un super son. [02:24:55] Speaker B: Ça s'écrit d o o l. D comme Dominique, ça se prononce dol. [02:25:01] Speaker F: Et pas dool, comme beaucoup de gens pensent. [02:25:04] Speaker C: Ça a aucun rapport avec tool. [02:25:05] Speaker F: C'est un mot néerlandais. Je me souviens plus de la signification, mais ça a vraiment. C'est pas choisi au hasard, quoi. C'est pas une référence du tout. Non. [02:25:13] Speaker B: Et cette chanson, moi, je la trouve. Je sais pas ce que vous en pensez. [02:25:19] Speaker F: Vous l'avez entendu ? Le clip, déjà, est super cool. Bon. Comme d'habitude, les clips sont quand même très léchés. [02:25:22] Speaker B: Cinq Manchester. [02:25:23] Speaker C: Mais la chanson, je la trouve encore plus professionnelle que toutes les précédentes. [02:25:27] Speaker F: Je sais pas, le traitement du son, il est ouf, je trouve. C'est ce. C'est exactement ce qu'il disait, en fait. Mais comme quoi, on est d'accord. Comme quoi je peux dire des trucs qui sont pas forcément. Non, mais je trouve qu'ils arrivent à passer encore des steps, tu vois. [02:25:38] Speaker C: Effectivement, dans la. J'ai pas envie de dire le professionnalisme, parce qu'ils sont professionnels. Enfin voilà. Tu parlais de l'expérimentation du son, en fait, et du renouvellement. Ouais. Je trouve qu'ils arrivent toujours à se renouveler, encore, à se moderniser, en tout cas. Plus que se renouveler, peut être. Oui, c'était ça. Ou alors atteindre ce qu'ils veulent atteindre. Ouais. Aussi, je pense. C'est une quête qui. Je pense que c'est facile ÿ pour des groupes comme ça de peut être tomber un peu dans le ringard, aussi. Et je trouve que là, c'est pas du tout le cas, tu vois, clairement. En plus, c'est hyper bien produit et tout. Non, franchement, ça fonctionne trop bien. Je trouve ça. Moi, je sais pas. Bon, moi, je suis un gars, mais du coup, c'est peut être pour ça que j'ai un regard sur le ringard qui est bizarre. [02:26:23] Speaker D: Mais là, je trouve que justement, cette chanson, elle est ultra actuelle. C'est à dire qu'elle est dans cette mouvance absolue, sans qu'il le veuille forcément. Déjà, il avait ce côté très volatile, un peu shugaze, mais doom, etc. Ÿ très doux, atmosphérique, voilà. Et là, ça va encore plus loin, mais d'une façon encore plus jolie. Il y a quelque chose de. Je veux dire de féerique. Pas du tout. C'est comme s'il y avait des petites étoiles. Il y a quelque chose de très, très joli qui. Que tu peux palper dans le clip et dans la chanson. Voilà. [02:27:01] Speaker C: C'est tout. [02:27:01] Speaker D: Et peut être que c'est la porte. [02:27:02] Speaker C: De dol, pardon Doll, un petit peu apporter ce qu'ils savent bien faire, aussi. C'est le côté un peu. C'est le côté un peu ésotérique, peut être un peu plus doom traditionnel ou. [02:27:09] Speaker B: Rock, un peu occulte. [02:27:13] Speaker C: Et ça se marie bien avec Antoine cher, avec leur côté très. Leur côté très urbain, très froid, très. Très atmosphérique. Très. Très dépressif, en fait. Carrément. Tu parlais du clip ? Il me semble que le clip, ça. Ÿ il met en scène un des. [02:27:32] Speaker D: Principaux, un des précédents chanteurs du groupe, et ça met en avant sa quête de sobriété. Donc c'est quelque chose de. C'est quelque chose qui n'est pas gratuit du tout. [02:27:40] Speaker C: C'est pour ça que ça va me parler, ce clip. [02:27:44] Speaker D: Je me suis pas encore lancé dans cette quête, mais d'ailleurs, ce qui est marrant, c'est quand on dit deux fois quête, ça fait un sacré mot. Oh là là. Vous voyez comment faire tomber. Comme quoi on peut être journaliste, mais ça va pas trahir dans la tête, parce que Baba était nul en même temps. Mais c'est une chanson qui est à part. [02:28:02] Speaker C: C'est ça, parce que j'ai pas checké. C'est vraiment. Pour l'instant, c'est un single. D'accord. Est ce que ça va déboucher sur une collaboration à plus long terme ou sur un plus long format ? Ouais. Parce que s'il faut une tournée, on pourrait imaginer un EP en tant que angmaster. [02:28:15] Speaker B: Ça fonctionne. [02:28:17] Speaker C: Il faut. Ÿ fonctionne bien quand il s'agit de faire des collaborations sur scène. On avait vu avec regarde les hommes tombés, par exemple, quand ils avaient joué à la major Arcana, où je crois qu'ils avaient renouvelé le truc au Roadburn. Et ça avait donné quelque chose de très fort. Avec Dool, il y a un potentiel pour faire quelque chose de fort. Là aussi. J'ai un énorme bisou à Kubi, que j'adore et qui est une personne que. [02:28:36] Speaker D: J'Apprécie vraiment énormément et qui est adorable. [02:28:39] Speaker F: Voilà. [02:28:39] Speaker D: Je tiens à le dire, parce. [02:28:50] Speaker C: Que. [02:28:51] Speaker F: Je sais quelqu'un. [02:30:20] Speaker A: Que je. [02:33:04] Speaker C: Rencontre de. [02:33:06] Speaker A: Temps en temps, avec qui on parle beaucoup, que tu rencontres. Que tu rencontres simplement. Bah, on se donne pas rendez vous. C'est juste qu'on se croise aux mêmes endroits. C'est ça que je voulais dire. Aux mêmes endroits que les métalleux français et parisiens. Il n'y en a pas 30. Six non plus. On appréciera. Et on dira bonjour d'ailleurs au Dʳ feel good rocket. Si vous avez envie de vous y rendre, c'est un endroit incontournable du métal à Paris. On regarde ce beau clip. [02:34:35] Speaker C: ? Ouais. [02:34:35] Speaker A: Je te laisse. [02:34:39] Speaker C: Le lancer. [02:34:40] Speaker A: Toutes ces belles. Ÿousand personne ? Salut. C'est Angman Chair. Le morceau s'appelle Two. I am thoughts. Quoi ? [02:36:17] Speaker C: La même prod. I'm every, every time I born alive I hide behind straight pieces of my past life taking time to realize what locked inside And I know i shouldn't wait open up this bloody gate I keep my sunny side up of a dirty side down Keep kicking this life around And I know i'm not the. [02:36:35] Speaker E: Same seven years here to change my name Keep my sunny. [02:36:41] Speaker C: Side up and my dirty side down burn everything to the ground Cause there's no one else to blame certain feelings shouldn't last forever ÿousand something shouldn't last forever i'm not running away Don't wanna close the door on my path instead i'm moving I do exactly who I am less than Jake à l'instant dans bang bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock en live twitch, tous les dimanches à partir de H. Soyez nombreuses et nombreux. [02:37:00] Speaker E: À être en direct. [02:37:01] Speaker C: Ça nous fait toujours chaud au coeur. Et d'ailleurs, cette chanson n'a pas été choisie par Marie. Non. Je pensais que tu connaissais. Mais vous le retrouverez la semaine prochaine dans l'heure de Marie sur. Oui, vraiment. [02:37:09] Speaker E: Mais voilà les Jake. Alors moi, je c'était juste parce que. [02:37:13] Speaker B: Ça me rappelle mes années faculté et. [02:37:16] Speaker C: Que j'avais une amie qui. On appelait caro deux, qui faisait du skate et qui aimait tout ce qui était ce genre de musique. Et là. [02:37:22] Speaker B: Ÿ que ça faisait partie de ces. [02:37:30] Speaker C: Groupes incontournables pour elle pour faire la fête. Et comme il fait dégueulasse. Enfin, aujourd'hui, il a fait beau, mais elle fait quand même sacrément dégueulasse. Du coup, un petit peu de soleil musical, ça fait du bien. Donc à défaut d'avoir un nouveau sublime, on fait un petit lace Dan Jake. Voilà. Qu'est ce qui se passe ? Tu as dit j'aime pas les cuivres ? J'allais dire que t'es un sacré joueur de saxophone, mais bon. Non, j'ai pas le droit de rire à ça. Si, si, tu as le droit de rire à ça, parce que c'est marrant. J'essaie de rebondir, mais j'ai trop mal au cul pour pouvoir faire des sauts, signe d'une grande soirée. Riche, belle, explosive. Non, ça va. Ça, c'est quand même. Il n'y a pas eu trop de dégâts ? Enfin, pas trop. Non. Il n'y en a pas eu du tout. Non, mais arrêtez un petit peu. Vous me faites dire n'importe quoi. Les and jake qui continue donc comme. Contrairement à NoFX, qui se sont définitivement arrêtés. Enfin, on verra. Mais je suis. Dernier concert apparemment, ça a été assez festif et beaucoup, beaucoup de larmes qui ont été versées et. [02:38:28] Speaker E: Mais bon, ils ont quand même un label. [02:38:30] Speaker F: Donc je pense que, à partir de là, on pourra les vivre le no. [02:38:33] Speaker C: Fx à travers d'autres groupes. Il y en a beaucoup. Alors, la radio. La radio. Oui, oui, oui, oui. [02:38:39] Speaker B: Alors, j'en suis au petit papier parce que j'ai organisé cette interview d'une façon extraordinaire. Regardez, on dirait une consultation, parce que j'écris mal. Ta gueule. C'est ça. Toute une interview de 7 h. Comme quoi c'est un vrai métier. Tu sais que quand je fais des interviews, je vais me la péter, là. Quand je fais des interviews, les gens, ils font. [02:38:55] Speaker C: Tu as préparé le truc. C'était fin et tout. Je fais non, je n'ai pas écouté l'album. [02:38:59] Speaker E: D'ailleurs, je ne sais pas. Ça, pour le coup, c'est quelque chose que je pourrais vraiment pas faire. Et franchement, bravo, parce que j'y arriverai pas. C'est pas bien. Attention. Je dis pas qu'il faille faire ça. Non. C'est un talent, c'est. Mais c'est zweitausendeinundzwanzig. Ça dépend de comment tu vois le truc. Parce que, imagine. Certes, un artiste vient pour faire la promo de son album, pas de souci, ok. Mais en fait, il est en promo, donc tout le monde lui pose la même question, parce qu'ils ont écouté l'album. [02:39:25] Speaker C: Ils ont remarqué les choses. Et c'est ma technique. Toi, c'est ma technique. Je fais écoutez moi, j'ai envie de. [02:39:31] Speaker E: Vous donner un peu d'originalité. Ça, c'est la touche de Pierre. [02:39:35] Speaker C: C'est la touche raceless. Quand il m'a engagé, quand il m'a recruté, c'était pour faire des chroniques albums. Du coup, je la faisais le jour de la sortie. Il m'envoyait jamais les albums. La plupart du temps, il est souvent, il les a avait pas. Ou alors il avait un titre qui ne m'envoyait jamais. Mais même quand il les avait. Ah oui, j'ai oublié. Du coup, en fait, j'étais obligé d'aller voir. En fait, des gens qui avaient eu la chronique. Et du coup, bah, faire un mélange de plusieurs chroniques, bon, ça, par contre, écrire une chronique d'album sans avoir écouté l'album, c'est impossible. C'est juste impossible. Je l'ai fait, du coup pendant un an. Oui, non, mais en la gueule. En plus, je postillonne beaucoup, je salive beaucoup. Dans. Quand on fait de la radio, il y a ces passages qu'on appelle les speak promo. Alors il y a les auto promo, ça, on passe, parce que ça veut dire parler des émissions qui arrivent, etc. Mais en fait. [02:40:28] Speaker B: Dans un. Dans une émission, il y a des tous les speaks, on appelle ça un conducteur. Donc il y a la musique, musique speak. Et il y a ces passages où on fait donc forcément un petit message aux émissions qu'il y a autour. Souvent les émissions, les principales, qui sont. [02:40:48] Speaker C: Donc les matinales et le drive, qui est la fin d'après 12 h, le. [02:40:51] Speaker B: Retour de travail, quand vous rentrez du travail, voilà, l'after school. Mais sinon, il y a aussi ces petits messages que de temps en temps, on doit faire. Alors c'est vrai que sur oui fm, bon, pas trop, parce que personne donne d'argent, mais sur des grosses radios, parce. [02:41:09] Speaker C: Que toi, tu as fait quoi comme radio ? [02:41:13] Speaker B: J'ai fait champagne fm, j'ai fait RTL, j'ai fait virgin radio et là, je suis sur Latina et oui fm, j'ai fait. [02:41:18] Speaker C: J'ai fait génération aussi. Ok. Voilà. Ça se fait beaucoup, c'est très varié. En réalité, c'est très varié, extrêmement varié. Tu fais la matinale de Latina. [02:41:27] Speaker E: Voilà. [02:41:27] Speaker C: Incroyable. Bon, de temps en temps, ils mettent un petit. Un petit métal dedans. Non ? Alors mon co. Comme ça déconne pas. Mais mon co animateur, justement, qui est. [02:41:37] Speaker B: Quelqu'Un de formidable, pour que je me. [02:41:41] Speaker E: Sente à l'aise, des fois, pour me présenter, il. [02:41:46] Speaker C: Met un petit rock, quoi. Il met un morceau de rock. [02:41:48] Speaker B: Il dit ça, c'est marie qui arrive avec sa moto. [02:41:52] Speaker C: On met 10 s parce que sinon. [02:41:53] Speaker B: Mais il met des petits extraits comme ça. Il aime bien rappeler à l'antenne que moi, c'est bien. [02:41:59] Speaker C: Ce que je veux dire, c'est que. [02:42:03] Speaker B: Justement, vous avez connu plusieurs époques de métal, là. Aujourd'hui, on peut mélanger plein de choses. C'est à dire que ça n'empêche pas de faire une émission métal sur Wefm Ÿousand de faire une matinale sur la tina. Tu passes de bons moments, les gens l'acceptent. [02:42:16] Speaker C: Je veux dire, c'est pas avant, ça. [02:42:18] Speaker B: Aurait pu être vu comme un truc terrible. Elle fait aussi les fins d'après 12 h sur Radio Courtoisie. Il ose. Moi, je voilà. Je sais pas aller jusque là, mais je n'ai même pas les mots. Non, mais on va continuer sur. Donc tu peux faire les deux. Je fais les zweitausendeinundzwanzig. Ça se passe super bien. Lui, il est mort de rire. Ça y est. C'est mon humour. J'aime bien. Pardon. Je fais les deux. Et ça se passe vraiment très, très bien. Dans le sens où moi, je suis une fan de musique avant tout. Donc à partir du moment où je peux apprendre, je suis trop contente. Et je travaille le matin. Ça fait grandir ta culture musicale. Mais voilà. [02:42:53] Speaker C: Et je travaille le matin avec une. [02:42:55] Speaker B: Encyclopédie de la musique latino. Et c'est juste incroyable, parce qu'il m'explique les choses tellement bien. Et du coup, j'apprends des choses qui sont trop. Arrive à reconnaître les différents genres de musique latine. C'est un autre monde en plus. Et c'est un autre monde. Ça n'a rien à voir. Mais aujourd'hui, là, ça va faire ma 4ᵉ saison sur Latina. J'arrive maintenant à faire des. Des distinctions de genre entre les gens et tout. Ah oui. Donc ça, c'est du. Ça, c'est du merengue, mais c'est mélangé. [02:43:18] Speaker C: Avec le côté urbain. [02:43:19] Speaker B: Donc c'est du merengue urbano. On est d'accord. Et parfois, Roberto. Donc mon co animateur dit. Et ben voilà, ça y est, c'est cool. Fait partie de la cobu. Voilà. Je suis fière de toi. Et j'arrive à faire ce genre de trucs. Et je trouve ça très cool, parce que tu vas voir que parfois aussi. Et d'ailleurs, en Amérique latine, c'est là où il y a la musique. [02:43:35] Speaker C: En tout cas, le genre musical qui est le plus écouté en Amérique latine. [02:43:41] Speaker B: Bah, c'est le rock. Ah oui ? Ouais, c'est le rock. Et ils écoutent le rock avant même d'écouter du reggaeton, avant d'écouter de la bachata et tout ça. Ils adorent. Ils adorent le rock. Et je ne savais pas, tu vois. Donc moi, je le savais pas non plus. C'est quand j'ai mis le pied sur la tina que je l'ai appris. Et effectivement, c'est des gros, gros fans. [02:44:04] Speaker C: C'est pour ÿousand ça que les groupes, quand ils vont. Quand ils vont faire des tournées en Amérique du Sud, ils sont waouh. Ils se prennent une claque monumentale parce qu'ils se disent non, mais le public ici, c'est autre chose, comme tout Brasil. [02:44:18] Speaker B: Franchement, c'est la fameuse phrase qui ressort tout le temps. C'est vrai, c'est totalement vrai. [02:44:22] Speaker C: Et finalement. Bah ouais. Donc du coup. Ouais, ils sont. Même moi, quand je reçois des messages sur Latina, parfois, ils me font des petits clins d'oeil en mode. Oui, Marie, c'est vraiment incroyable parce que. [02:44:35] Speaker B: Tu es sur mes deux radios préférées. Tu es sur. Oui, effectivement, était sur la tina. Et je me dis ça existe. Waouh. Attends, attendez, les gars. Ça existe. Donc voilà, on peut faire du patin à glace sans faire de grand écart. Voilà. Tout est possible. C'est incroyable. Et donc c'est speak promo, c'est speak. On est obligé de faire. C'est quoi le principe ? C'est juste que. C'est des speaks commerciaux parfois. [02:45:02] Speaker C: Oui, c'est déguisé sous des. En fait, c'est comme. Ça se passe. [02:45:06] Speaker B: C'est comme. Ou du publi rédactionnel. C'est ça que je cherchais. Éventuellement zweitausendein. J'aime bien la tête. Non, mais ça fait partie du métier. Ce que je veux dire, c'est que c'est incontournable. C'est pas grave, mais c'est juste expliquer ce que je dis. Alors on le fait souvent grâce à des jeux. On va dire ça, c'est comme. En fait, on va prendre l'exemple actuel. [02:45:23] Speaker C: C'Est les influenceurs qui font des speaks machin promotionnel, quoi. Bah, c'est la même chose. Quand on va faire gagner, par exemple, un voyage, un voyage au futuroscope, eh bien, il va falloir qu'on. Ouste. Oups, je suis désolée, j'ai pas fait exprès. [02:45:32] Speaker B: Eh bien, il va falloir le mettre ou à Disneyland ou à Parc Astérix. Ça fait trois exemples. Voilà, tout a été fait, mais on. [02:45:38] Speaker C: Est obligé de le faire, quoi. [02:45:39] Speaker B: Ça donne ce qui nous fait gagner. [02:45:41] Speaker C: De l'argent, c'est ce qui fait qu'on. [02:45:42] Speaker B: A des cadeaux, c'est ce qui fait que. Voilà, c'est comme ça partout. C'est comme ça sur les réseaux sociaux, c'est comme ça à la tête. Ÿ télé, c'est comme ça. La radio aussi, et puis parfois sur le web, et puis après, il y a des passages, des jours, des horaires dans des missions où il faut le. [02:45:56] Speaker C: Faire, où il y a des choses qui, même en dehors des jeux, sont des speak un peu plus ou moins pré écrits. On donne un petit peu le. Ça, tu sais quoi ? [02:46:05] Speaker B: Ça, c'est vrai que je le faisais beaucoup à l'époque, mais là, on en a plus tant que ça. On en a plus. Ou alors c'est peut être sur des radios qui ne le font pas. Je suis peut être. C'est peut être le cas, mais c'est vrai qu'à une époque il y avait des agendas concerts, je sais pas si tu te rappelles, quand on avait. Tu te rappelles, on avait des agendas. [02:46:27] Speaker C: Concerts qui passaient donc en décrochage, à. [02:46:28] Speaker B: Dire qu'il y a un moment où. [02:46:29] Speaker C: Comment on explique le décrochage ? C'est quand vous avez votre radio diffusée partout en France et puis c'est pas la même chose qui est diffusée au. [02:46:36] Speaker B: Même moment à Paris et à Caen par exemple. C'est ça, mais pourtant c'est la même émission. Exactement. [02:46:42] Speaker C: Et dans ces moments là, et bien effectivement il fallait qu'on cite tel ou tel, tel événement exprès, justement pour le promouvoir et avoir quelque chose en échange également. Et donc ça se. Ça se traduit différemment. Zweitausendein différemment. [02:46:52] Speaker B: Ça peut être voilà un speak qu'on va faire en direct, ou alors pendant un décrochage où on va citer un événement parce qu'on nous a demandé de le faire, voilà. [02:46:59] Speaker C: Mais ça fait partie du métier. Ça fait partie du métier. Il n'y a pas que animateur radio, soyons clairs pour les plus jeunes, ce. [02:47:05] Speaker B: N'Est pas juste se mettre derrière un micro et dire ce qu'on veut. Non, non, ça ne se passe pas vraiment comme ça. Il y a des règles, il y a des règles à suivre le ton, on a parlé du sourire, mais il y a aussi la façon de parler. On parle pas de la même façon sur Latina que sur oui FM non plus. Non. Oula non. En dehors des sujets je veux dire. Non, non, non. [02:47:25] Speaker F: Et puis c'est toutes ces règles qu'il y a, des règles de base. Par exemple quand on parle d'alcool par exemple, et bien il faut. Ah bon il y a des règles là dessus, voilà. [02:47:33] Speaker C: Non, bien évidemment, parce que c'est pas bon pour la santé, c'est pas bon pour la santé. Donc il faut. Tu peux pas parler d'alcool sans rien, sans la mention derrière à consommer avec modération parce que effectivement c'est dangereux pour la santé. Enfin, il y a plein de choses effectivement à mettre en place. [02:47:50] Speaker B: Il y a des choses qu'on peut dire, d'autres qu'on ne peut pas. [02:47:52] Speaker F: Quand on est animateur, on a une. [02:47:54] Speaker B: Certaine liberté de ton que par exemple un journaliste n'aura pas. Parce que tu dois garder ta neutralité, c'est ça le mot. Bah ouais. Moi je. Enfin en tout cas c'est. Je trouve ça délicat de prendre position quand t'es journaliste, à moins que ce soit un truc militant qui soit assumé, quoi. Mais c'est ça. Ok. Non, parce que je sais que bon, après, moi, je faisais n'importe quoi, donc c'est pas pareil, mais je disais tout ce que je voulais. C'était encore une époque différente. [02:48:15] Speaker F: Et parce qu'il y avait un sponsor. [02:48:18] Speaker B: Qui donnait beaucoup ÿ beaucoup d'argent, qui. [02:48:21] Speaker C: Permettait d'avoir une certaine liberté aussi. [02:48:22] Speaker B: Après nous, je pense qu'on dit quand même ce qu'on veut. Aussi, franchement, ce que j'allais dire, on est assez libre quand même. On est assez libre dans ce truc là, où effectivement, il y a des causes qu'on va soutenir. Et on va le dire à l'antenne. Jeudi, c'était la journée mondiale de la santé mentale. Dans Bring the noise. C'est quand même le sujet qui me tient à 3 milliards ou à cœur. Je vais en parler. Il y a des choses pour lesquelles on n'est pas d'accord, qui se passe dans le monde. Évidemment, on va le dire. On va. On va pas. L'objectif, c'est pas de faire un truc plat, quoi. C'est ça. On va clairement, vous pourriez ne parler que de musique. Bien sûr, oui, on pourrait. Tu vois ce que je veux dire ? Mais surtout, quand on défend une musique comme celle ci, rester neutre, c'est très difficile, quoi, parce que c'est une musique qui défend quand même pas mal de choses. [02:49:09] Speaker C: Et je me vois pas, si vous. [02:49:11] Speaker B: Voulez parler d'un morceau, par exemple, qui a changé ma vie ou qui peut changer celle de quelqu'un, ou une nouveauté qui a un message ÿousand important. Je me vois pas ne pas exprimer ce que je ressens par rapport à ça. Ça, c'est. [02:49:30] Speaker E: Impossible. Sinon, je fais pas ce métier, en fait. [02:49:34] Speaker B: Non. C'est clairement pour ça, pour le coup, que je. Que j'ai accepté de faire bring the noise aussi. C'est moi, quand je l'écoutais, que c'était avec toi. Je sais pourquoi je venais, parce que. [02:49:44] Speaker C: Non, arrête. Parce que tu as toujours ce côté hyper, hyper détaché où tu dis souvent que. [02:49:48] Speaker F: Oui, je dis n'importe quoi, je dis n'importe quoi. Mais tu défendais quand même énormément de choses. [02:49:53] Speaker C: Oh oui. [02:49:53] Speaker F: C'est sûr que j'étais pas banal. C'était pas banal du tout. Et moi, si tu veux, j'ai beaucoup pris. J'ai beaucoup pris exemple sur toi. Non, mais c'est vrai. Non, mais écoutez Bring the noise un dimanche et vous allez voir de quoi je parle. J'ai des moments d'absence parfois. Exactement ce que j'allais dire, pardon. Mais pour en. [02:50:14] Speaker B: Revenir en tout cas à notre façon de parler, de nous exprimer, quand on défend cette musique là, on peut pas se permettre d'être neutre et de ne pas donner notre avis parce que c'est. Donc on a quand même cette possibilité. [02:50:31] Speaker C: Quand, de dire des choses. [02:50:36] Speaker B: Mais après, encore une fois, on a la chance, on le rappelle, d'être le dimanche soir de h à 0 h. C'est quand même pas un horaire anodin en radio, quoi. Tu vois, c'est clair que si tu. [02:50:48] Speaker E: Es en morning toute la semaine, quand même plus compliqué d'avoir une liberté totale de ton bien que je pense. [02:50:55] Speaker B: Que très honnêtement, sur oui FM et sur les radios du groupe, donc auquel appartient oui FM, franchement, ça va, franchement, on connaît pire quoi. Moi, j'ai travaillé sur une radio qui. [02:51:03] Speaker C: Diffusait du rock et on a diffusé un jour un rage. Un rage against the machine. Oui, en live. On a juste fait ça, il était quoi, 16 h. Rage, c'est quand même assez bien connu. Oui. [02:51:11] Speaker B: C'est quand même où on a un directeur des programmes qui est rentré dans. [02:51:18] Speaker F: Le Ÿousand, le studio en mode. Mais qu'est ce qui se passe ? [02:51:20] Speaker C: Qu'est ce qui se passe ? Ça pour moi, ce n'est pas, ce n'est pas possible, quoi, parce que j'en ai déjà entendu sur nostalgie ou sur chanson quoi, du rage. Ah ouais. Donc c'est vraiment. Voilà. Et donc c'est pour ça que je me dis. Ouais, sur. Oui, et même pour le coup, on est vraiment, on est vraiment libre sur d'autres radios qui se disent rock. J'ai dit leur nom tout à l'heure, du coup je sais pas trop si j'ai encore envie d'aller. Ouais, mais enfin, c'était une qui était devenue comme ça, enfin, elle a changé. [02:51:47] Speaker B: De nom plusieurs fois. C'est pas celle ci. Ah non, c'est pas celle ci, c'est une autre. [02:51:56] Speaker C: Mais voilà justement, c'est intéressant ce qu'il dit. [02:51:58] Speaker B: Il n'y a pas d'autres aduroc. Moi je suis d'accord avec soi, totalement d'accord avec toi, mais voilà. Ok. Vous avez déjà eu des expériences cheloues avec les auditeurs et auditrices ? Parce que quand on est public. [02:52:12] Speaker C: Parce que vous êtes public. Enfin, quand tu es journaliste, je sais. [02:52:16] Speaker B: Pas comment ça se passe, mais quand tu es animateur, c'est quand même très différent, surtout quand tu fais la matinale, il. [02:52:23] Speaker C: Il y a quand même énormément de gens qui écoutent et il y a. [02:52:27] Speaker B: Des gens qui sont un peu plus bizarres que d'autres. Je ne sais pas comment on peut dire, mais c'est à mes débuts. À mes débuts où. Donc il n'avait jamais vu mon visage. Aïe, aïe, aïe. J'ai très peur de ce qui va se passer. Il n'avait jamais vu mon visage. Et un jour on a posté ma photo sur le réseau social de la. La dite radio, et tous les commentaires disaient Ah, c'est elle Marie. Je la voyais plutôt blonde. [02:52:50] Speaker F: Oh putain, mais quel enfer. Ouais. [02:52:54] Speaker B: C'Est chaud quoi. Mais qui sont ces gens ? Elle n'a pas du tout la voix de son physique. Ah, je la voyais en fait, il. [02:53:06] Speaker C: Voulait pas dire elle est noire quoi. Oui, oui, c'était ça. C'était des propos plutôt racistes, on va pas se mentir. Ouais, ouais. Et c'était. Et c'était ça. Et ça a été dur. Ça a été dur pendant aller deux trois mois. C'était compliqué. [02:53:20] Speaker B: Heureusement, mon co animateur de l'époque, il. [02:53:22] Speaker E: Est merveilleux, c'était. [02:53:25] Speaker B: Mon 1ᵉʳ co animateur, adorable. Et il m'a dit non, mais c'est moi qui décide, c'est moi qui étais. [02:53:32] Speaker E: Recrutée, ok, je m'en fiche. [02:53:32] Speaker C: Et il a fait je vais poster. [02:53:38] Speaker B: Encore plus de photos de toi pour me dire. [02:53:42] Speaker C: À quel point je suis fière de t'avoir recruté, devenu ton profil Facebook quoi. Mais ouais, c'était. C'est la seule avec les auditeurs. Ah. Quoique sur. Quand j'étais sur Virgin Radio, il y avait un auditeur hyper chelou qui me suivait absolument partout. Ça c'est ce qui arrive. [02:53:55] Speaker B: Malheureusement, quand on est public, on en parle pas assez. Mais ça arrive. Même quand on n'est pas forcément tout en haut, ça arrive quoi. Il y a toujours des personnes un. [02:54:08] Speaker C: Peu particulières qui peuvent faire peur. [02:54:10] Speaker B: Ils m'offraient toujours des chacun votre top trois. Ouais, j'ai eu ce genre, mais un seul, sinon les autres. [02:54:16] Speaker F: C'était hyper bienveillant à chaque fois. [02:54:17] Speaker B: Je me suis excusé, je le fais plus. [02:54:20] Speaker C: Merci. [02:54:20] Speaker B: C'est pour ça que je suis là. [02:54:23] Speaker C: Est ce que tu m'as bien accueilli ? Il a été la kidnappée. [02:54:26] Speaker F: Non, mais voilà cette bienveillance qu'il y a auprès du public, en règle générale, elle est quand même présente. Les gens comme là, les gens ÿousand fait des dons, etc. On voit que finalement les gens globalement sont quand même très gentils et cool. Clairement on a beaucoup de chance pour le coup. Après c'est sûr que les auditeurs. Les auditeurs rock, c'est des auditeurs hyper passionnés. Donc parfois il te tacte parce que. [02:54:45] Speaker E: Tu as pas dit exactement. [02:54:47] Speaker C: Il te loupe pas, tu vois. Mais en même temps, je me revois ado, et je sais que j'étais comme ça aussi. [02:54:52] Speaker E: C'est ce que. [02:54:55] Speaker C: Je. Et donc je me dis, bah, en fait, c'est juste la suite, quoi. La suite logique. Bah moi, comme je suis myope, je vois pas ce qu'il raconte. Donc moi, j'écris des articles pour oui Fm, tu vois. Et c'est vrai que les articles, si tu fais la moindre erreur dedans. Mais même si c'est pas une erreur, genre de date ou. J'en sais rien, même si tu fais une coquille, ah oui, c'est terminé, quoi. Genre tout le monde dans les commentaires ne parle que de ça, tu vois, ce qui est dommage, c'est pas le fond de l'article. [02:55:23] Speaker E: Voilà. [02:55:23] Speaker B: Ÿ heureusement qu'ils viennent pas sur notre site. Ça fait un moment qu'il y a eu beaucoup de news. Il y en a eu une, je crois. La dernière, j'en ai mis une. C'est la tienne. C'est la tienne. Des restrictions, ça peut vous arriver ? Que des réunions d'antenne. C'est à dire ces moments où toutes. [02:55:45] Speaker F: Les équipes de la radio se réunissent avec la direction d'antenne, puisqu'il y a une personne qui écoute ce qui se. [02:55:53] Speaker C: Passe à l'antenne et qui donne le ton un peu. Et l'ensemble de ce qui se passe. Ÿ que ça arrive. Ils disent attention, là, cette semaine, personne parle de ça. [02:56:02] Speaker B: Toi, tu n'oubliais pas qu'il faut pas qu'on soit comme ça. Il y a quand même plus ou moins un cadre qui est donné. Il y a un cadre qui est donné où il faut effectivement rester dans la couleur musicale, dans l'identité de la radio. [02:56:15] Speaker C: On est par exemple sur la tina, on va pas. On va tout faire pour garder cet esprit solaire, cet esprit fiesta, cet esprit. Écoutez, vous étiez ici pour justement oublier tout ce qui se passe au quotidien. Et ça, après, c'est une ligne éditoriale quelque part. Il n'y a pas vraiment de restrictions proprement. Tu veux dire qu'à chaque fois que j'ai fait de la radio, c'était avec des gens incompétents qui disaient n'importe quoi ? D'accord. [02:56:45] Speaker B: Mais j'essaie de comprendre, moi. Vous savez, ça a été des années. [02:56:49] Speaker C: De travail, parce que pour le coup, on a fait de la radio en même temps, à un moment donné, et. [02:56:54] Speaker B: Je suis en train de me. J'essaie de me remémorer des choses. T'as pas des exemples ? Parce que peut être que ça peut me revenir. Non, mais on sait très bien que qu'il y avait certaines personnes qui avaient des propos qui n'avaient aucun sens parfois et qui disaient mais non, déjà quand il y avait. Oui, FM étant une radio qui vient quand même de SOS racisme, etc. Une grosse histoire quand même de bataille qui disait ah non, non, on parle pas de. On parle pas de ça. Il faut surtout pas être trop rebelle. Non, non, non, évitez d'être trop rock'n'roll. Cette époque là, cette époque là est. [02:57:24] Speaker C: Assez révolue, je te rassure. Mais c'était que des après, on était des petits cons. Je n'enlève pas le fait qu'on avait. [02:57:30] Speaker B: Des réactions qui étaient excessives, mais parfois, en même temps, c'est ce que je on est sur une radio, enfin, encore une fois, c'est la musique qu'on défend, elle est en accord avec ce qu'on est, tu vois ce que je. [02:57:44] Speaker C: Veux dire ? Donc je pense pas qu'on était des petits cons, c'est juste vivait les choses intensément et que. On était contre certaines injustices, certaines choses qui se passent. Donc c'était normal, pour moi en tout. [02:57:55] Speaker E: Cas, à mon sens, c'était normal qu'on l'exprime. Et c'est normal qu'on exprime à un. [02:57:58] Speaker C: Moment donné, si on n'est pas d'accord avec des choses. [02:58:00] Speaker E: Et peut être que c'est une mentalité de petit con, je sais pas. Est ce que c'est pas être un petit con que d'écouter du rock ? [02:58:06] Speaker C: Attention avec le bon côté du mot petit con. Oui, bien sûr, mais moi, je sais pas, je me vois pas encore une fois, si je suis pas d'accord avec quelque chose et si j'ai envie de revendiquer quelque chose, ça va être très compliqué pour moi de faire semblant, quoi. Quand elle rit, elle fait pas le cochon, c'est que c'est faux. Bon, quel a été. [02:58:24] Speaker B: On va revenir un petit peu plus. [02:58:25] Speaker C: À vous que la radio. [02:58:26] Speaker B: Si tu as des questions sur le monde de la radio, tu peux y aller. [02:58:29] Speaker C: Non, je vous laisse, allez y. Parce que moi, je sais, c'était un peu chaotique, mais bon, c'est de la. Là, c'est un peu. Tu poses une question, elle te demande des exemples et tu verras, ça fait un peu genre vous balancez, mais pas moi, je balancerai pas. Non mais parce que moi, je balance toutes les semaines, donc je vois pas pourquoi, je vois pas pourquoi. C'est peut être pour ça d'ailleurs que personne ne veut que je revienne en radio, parce qu'à chaque fois je dis oui, bonjour, tu. Après, c'est vrai que quand tu pars depuis longtemps, moi ça fait depuis 2014 que j'ai quitté. Ça fait 10 ans, quoi. Ça fait déjà 10 ans ? [02:59:13] Speaker E: Un peu plus de 10 ans que tu as fini en survêtement et en slip sur le studio. J'avais pas de slip, souviens toi. [02:59:21] Speaker B: Oui, ça a été un moment. C'est. Ouais. [02:59:24] Speaker E: Bon bah, écoute, c'est parce qu'ils m'ont demandé de morter un mini short comme Magnum et je. [02:59:34] Speaker C: L'Ai mis et bon, bah, j'ai le service trois pièces qui a fait coucou, quoi. Mais bon, c'était. C'était une grosse console, ce qui ne. [02:59:41] Speaker E: Se fait pas en radio. [02:59:42] Speaker C: Soyons clairs. Normalement, Ÿousand, on ne doit pas faire. [02:59:48] Speaker E: Ça, puisque le matériel coûte quand même excessivement cher. Aussi, en radio console, ça coûte quoi ? Ça coûte 60, 15 000 €. [02:59:58] Speaker C: Donc ils disent toi ici, on peut. On peut prendre notre petite tasse, etc. On peut bouffer. [03:00:05] Speaker B: Bon. [03:00:07] Speaker C: Généralement, radio, on te fait hop, hop, hop. Attention, personne n'approche. C'est pour ça que je profite après ici. Tu es aussi apparu plusieurs fois avec des mini shorts ou avec d'autres. Avec des trucs qui dépassaient. [03:00:18] Speaker B: Oui, mais c'est ça. [03:00:18] Speaker C: On n'a pas dit le collant qui délaissait un peu thérésie, là, qui laissait passer un peu des paupiètes de couilles. Les gens n'ont pas vu ça. C'était. C'était. Ça vous était réservé à vous. Désolé. Après, ce qui est hors antenne est hors antenne. C'est une histoire de cadrage, des moments à deux, trois centimètres près. Hop là. [03:00:34] Speaker B: C'est ça. C'est ça. Je pense qu'il y a eu des. Il y aurait pu avoir deux, trois arrêts sur image ou par contre, des images incroyables. Et puis j'étais parti Amsterdam, juste après l'émission. J'ai beaucoup pleuré, d'ailleurs, dans cette émission, c'était. C'était très émouvant. Mais c'était compliqué quand on quitte aussi un univers, tu vois, fait bring the noise. Aurélie a pris la relève, la pauvre. [03:00:57] Speaker F: Dans une situation qui n'était pas la plus confortable, je dirais. Mais elle a tellement bien travaillé. Elle a travaillé de ouf. Elle l'a transformé. Elle l'a adapté aussi à elle. Et au bout de plus que moi, parce que moi, j'ai fait cinq ans. [03:01:08] Speaker C: Donc elle. [03:01:08] Speaker F: Elle a fait neuf ans. Elle quitte. C'est rude. [03:01:10] Speaker B: Je l'ai trouvé très digne aussi, quand elle a quitté le truc. [03:01:14] Speaker F: Même si on la sentait très. [03:01:19] Speaker C: Émue. [03:01:19] Speaker F: On la sentait très émue. J'avais l'impression qu'elle avait besoin de passer à autre chose. [03:01:24] Speaker C: Tu vois ? Ce genre de choses parce que ce n'est plus la même personne qu'elle. Oui. On grandit aussi. Bien sûr quand elle l'a repris de ton flambeau et elle a fait plein. [03:01:34] Speaker B: De choses, elle a fait plein de choses incroyables. Et aujourd'hui elle fait autre chose, elle défend ses valeurs à elle. Mais je pense qu'elle devait déjà avoir un petit peu ça en tête aussi. Elle a lancé une nouvelle émission dans laquelle elle promeut principalement, en tout cas la scène française, la scène rock française tous les jours, tous les soirs, bien ouais tous les soirs de la semaine. Du coup je trouve ça trop, trop cool. Elle défend aussi beaucoup, beaucoup les groupes féminins. [03:02:00] Speaker C: Ouais. [03:02:00] Speaker B: Et du coup je pense qu'effectivement, du coup je pense qu'il y avait aussi. [03:02:04] Speaker C: Tu vois cette volonté là peut être de temps et puis parfois on est essoufflé, parfois on est triste, enfin il y a. [03:02:10] Speaker B: C'est une vie, on s'accroche quand même. [03:02:12] Speaker C: Parce que ça nous bouffe la vie ce métier. Oui parce qu'en fait le truc c'est que métier on le fait avec vraiment nos tripes quoi. C'est ça le truc, c'est ça qui est dangereux c'est quand on parlait en début d'émission de pas trop se perdre et tout ça. Le problème c'est qu'on se perd parce qu'on fait ça avec tout ce qu'on est. Donc du coup à un moment donné quand parfois une émission se passe mal, t'as l'impression que c'est toi qui fait mal les choses, que la personne que tu es est mauvaise parce que tu as fait une mauvaise émission alors que non en fait oui. Et puis parce qu'on t'a dit que les chiffres n'étaient pas bons, ça aussi à ce passage, passage obligatoire qui a ses audiences, le conseil de classe qui fait mal au cul parfois oui parce que tu as beau bien faire, parfois. [03:03:01] Speaker B: C'Est comme ça, ça va pas marcher. [03:03:04] Speaker F: Parfois c'est juste ça te concerne pas aussi, c'est pas toi qui gère. Ben oui. Alors les audiences c'est tous les trois mois ? Ouais c'est tous les trimestres. Tous les trimestres. Donc il y a médiamétrie, donc on va pas revenir là dessus. [03:03:18] Speaker C: Mais qui fait son, sa tambouille, c'est ça ? Et qui amènent donc ces chiffres à eux et qui donc disent voilà tu as augmenté, tu as perdu, etc. Et comme ça influe sur le prix de la pub évidemment ça peut être très. [03:03:32] Speaker B: Dangereux pour une radio. Et donc ça met une tension inouïe auprès de la direction qui ne fait. [03:03:37] Speaker F: Pas forcément exprès d'être agressive ou en. [03:03:38] Speaker B: Tout cas d'être tendu. Peut être pas agressif, mais tendu à ce moment là. Mais c'est vrai qu'il faut jongler sur le hasard des choses, c'est ça aussi. [03:03:46] Speaker F: Parce que c'est pas. Tu maîtrises pas tout en fait. [03:03:47] Speaker B: Toi, en tout cas, en tant qu'animateur. [03:03:49] Speaker F: Ou journaliste, enfin, si tu. [03:03:49] Speaker B: Si on pouvait claquer les doigts et. [03:03:52] Speaker F: Avoir une audience folle, on le ferait, quoi. [03:03:53] Speaker C: Mais en l'occurrence, c'est impossible, donc. Et pourtant, ça a des conséquences énormes, quoi donc ? Ça a des conséquences vraiment très grandes qui peuvent être très mauvaises aussi pour les personnes qui travaillent. Parce que tu t'en prends plein la gueule sans être coupable, et puis tu te zweitausendein sens coupable, comme tu dis. T'as l'impression que c'est vraiment toi qui deviens une merde à cause de chiffres, quoi. C'est des chiffres. Parce que tu incarnes le truc, quoi, parce que tu incarnes le truc et tout ça. Et tu dis bah merde alors, je suis si nulle que ça ? Alors que non, c'est. Il y a ce truc de. Les gens veulent pas de moi, tu vois ? C'est exactement. Tu te sens rejeté et ça c'est dur, quoi. Et tu as tous tes traumas qui. [03:04:32] Speaker F: Reviennent et donc du coup, tu écoutes du rock après. Dans une semaine, j'ai rendez vous avec. Avec les sondages, je vais demander à mes trois psys de prendre. Oui. Si on doit venir juste un peu avant et beaucoup après, est ce que. S'il vous plaît, on peut s'organiser sur les 14 jours, là ? Mais c'est chaud. Ouais. Bon. Et quand vous étiez petit. Oui, parce que c'est ça aussi. L'émission, elle parle de ça. C'est à quel moment que vous avez. [03:04:59] Speaker C: Rencontré le rock ? [03:05:00] Speaker F: À quel moment que la musique alternative, en tout cas un peu plus bruyante, je dirais, elle a. Elle est entrée dans vos vies ? Est ce que c'est vous qui avez découvert comme ça ? Est ce que c'est les parents ? Est ce que c'est des copines, des copains ? Moi, c'est mon père, clairement. [03:05:15] Speaker C: C'est ton père, il écoutait du rock ? Ouais. [03:05:16] Speaker F: En fait, mon père a toujours écouté des trucs vraiment type Pink Floyd, Toto. [03:05:21] Speaker C: Carlos Santana et truc comme ça. [03:05:23] Speaker F: Et ça, c'est le truc qui m'a. [03:05:25] Speaker C: Fait écouter quand j'étais à l'école primaire, je crois. Et carlos Santana est. Toto d'abord. Et c'est deux groupes artistes avec lesquels je vis encore aujourd'hui, quoi. Parce que je. Ça m'a trop marqué en fait, principalement Toto d'ailleurs. [03:05:37] Speaker F: Mais en plus c'est des musiciens de ouf et tout. Enfin, il y a plein d'histoires à raconter autour de ça et. Ouais, ça a clairement posé les fondations de. Du fait que j'écoute aujourd'hui en tout cas du. Du métal ou des trucs comme ça. [03:05:49] Speaker B: Parce que derrière tu enchaînes sur effectivement. [03:05:50] Speaker F: Des Pink Floyd, ensuite des Led Zeppelin, ensuite du Metallica, ensuite ça va un peu crescendo comme ça. En tout cas moi ça s'est passé comme ça pour moi. Il y a eu quand même une progression. Ouais vraiment il y a eu vraiment. [03:06:00] Speaker C: Une progression dans la violence quoi. Jusqu'à aujourd'hui. Jusqu'à aujourd'hui je sais pas trop où. [03:06:04] Speaker E: On va. [03:06:09] Speaker C: Mais next step ça va être. [03:06:13] Speaker F: Des trucs avec des battes de baseball dans la gueule, mais ce sera intéressant. C'est le futur de la musique. [03:06:17] Speaker C: C'est intéressant. Après, comme tu dis, tu l'es pas. Tu n'es pas détaché de Toto et tu peux écouter des choses surtout. J'ai. Il y a plein de passages de ma vie où j'ai écouté même du rap ou des trucs comme ça. [03:06:31] Speaker F: Enfin j'adore le jazz ou des trucs comme ça aussi. [03:06:33] Speaker C: Enfin, j'aime plein de styles de musique. [03:06:35] Speaker F: Il a une culture musique musical de zinzin ce garçon. J'aime juste pas le reggae. Désolé pour ceux qui aiment le reggae. Mais c'est vraiment un style de musique que j'aime pas du tout quoi. J'arrive pas à comprendre vraiment, voilà. Non mais pour pas dire j'écoute de tout quoi, tu vois, j'aime pas. Oui bah fais gaffe, sinon ben il va te tomber dessus. Ben adore le reggae. J'espère qu'il est encore là pour. [03:06:55] Speaker C: Donc. Ouais, voilà. Enfin. [03:06:56] Speaker F: Mais oui clairement il y a une progression. Genre je. [03:06:59] Speaker C: [Sos/Eos] chaque fois que j'avais besoin de. [03:07:01] Speaker F: Mais c'était ton père. Mais du coup ça t'a permis de te faire des potes ou malheureusement, tu as fait partie de ceux qui ont. [03:07:06] Speaker C: Été isolés parce qu'ils écoutaient ce genre. [03:07:08] Speaker F: De musique et qu'elle t'a accompagné du coup. J'ai pas été isolé parce que j'écoutais cette musique là, parce que. Donc tu as été isolé. [03:07:18] Speaker C: D'accord. [03:07:18] Speaker B: Non, non non. [03:07:19] Speaker C: C'est parce que en fait les. [03:07:21] Speaker F: Alors oui, j'ai été isolé, mais c'était pas de ce fait là. Mais en revanche je crois que j'ai. [03:07:24] Speaker C: Eu la chance d'avoir des amis qui étaient pas du tout là dedans, mais qui acceptaient que j'écoute ces trucs là, quoi. [03:07:39] Speaker F: Tu vois. [03:07:39] Speaker C: Et ça, c'était cool, parce que du coup, eux écoutaient d'autres trucs et ça m'enrichissait aussi. Donc ça, c'était bien. [03:07:44] Speaker E: Mais vous avez un autre point commun. Ouais, mais en fait, juste. [03:07:47] Speaker C: On aimait la musique, quoi. Ah, c'était vraiment ça qui. Alors après, on se connaissait aussi depuis un certain temps, etc. Mais en plus, on aimait la musique, donc on pouvait partager ça sans qu'on aime les mêmes choses. Ok. Mélomane, quoi. [03:07:57] Speaker E: C'était zweitausendeinundzwanzig. [03:07:57] Speaker C: Cool. [03:07:57] Speaker B: Ouais, franchement, c'était trop bien. [03:07:58] Speaker C: Mais du coup, je pense que ça m'a plus aidé dans la période où j'étais isolé. Plus que isolé, ça t'a plus aidé que. Exclu, quoi. Ouais, vraiment, c'est cool. Mais je me suis pas non plus fait des potes grâce à ça, quoi. À part aujourd'hui, peut être. Marie. Nous aussi, hein, didi ? Il est très, très grand. C'est quand même peur, des fois. Qu'est ce qui se passe la tête ? J'ai eu peur. J'ai cru que j'allais me prendre une tarte. Les yeux qui sont fermés, c'est important. Il m'a jamais frappé. Toi, c'est ta sœur qui t'a fait venir dans le rock ? Non, c'est ma mère qui m'a fait venir dans l'encre. Mais c'est ma sœur qui m'a fait aimer le métal parce que c'est elle qui m'a dit écoute ça, écoute ça. Et que j'ai écouté et j'ai d'ailleurs détesté le métal la 1ʳᵉ fois où j'ai écouté. C'est vrai, je me disais que c'était inaudible et que je comprends pas comment on pouvait faire cette merde de bruit. Et je disais mais c'est pas possible. Et puis au fur et à mesure, ma curiosité était plus sur ma soeur. Elle a vu que je me prenais pas. Donc elle s'est dit il faut que je trouve un autre moyen de le pervertir. Je suppose que c'était pas vraiment ça dans sa tête, mais que. Il fallait que j'en écoute quand même, parce que c'était bien. Oui, et parce que c'est les années quatre, 20, 10. Donc il y avait toute cette mouvance. Après, j'ai goûté Nirvana et tout ça, parce que ça, c'était pas pareil, mais ce qui est métal, métal. Elle m'a plus dit tiens, on va prendre les paroles si tu veux, je te les traduis tout ça. Et puis en fait, c'était quand tu es gamin, tu essaies de travailler ton anglais. Bon, il est toujours mauvais, mais en tout cas, je peux comprendre ÿ prendre des paroles de chansons. Et je me souviens que c'est ça qui m'a fait dire, ah, les paroles, c'est trop ouf, en fait, parce que les paroles de ce que j'écoute, c'est c'est cool la vie, on a des nanas nus dans les voitures. Bon. Parce que c'était ça, le rock à l'époque. Malheureusement, je suis désolé, c'est une vérité, ça ne me touchait pas trop. J'aurais préféré être les nanas pour certaines autres raisons, mais non. Mais après, j'ai vu tout le côté psychanalytique, toute cette poésie, le fait de parler de l'adolescence ou. Je pense que n'importe qui peut dire qu'il n'a pas été au top de son état mental pendant son adolescence. Parce que tu te cherches, tu sais pas qui t'es. T'as envie de ressembler à bidule. Tu t'inventes ta vie pour qu'elle prenne cette direction là. [03:09:52] Speaker F: Et puis en fait, tu vois que. Bon, non, c'est pas vraiment ça, la. [03:10:00] Speaker C: Bonne direction, parce que c'est pas ça que tu veux. Enfin bref, c'est quand même compliqué d'être ado. Et ça m'a aidé. Donc c'est là que je me suis dit il faut que j'écoute du métal. [03:10:08] Speaker E: Bon. [03:10:08] Speaker C: Après, moi, ça m'a fait par contre plein de potes. [03:10:09] Speaker F: Ce. Quand je suis arrivé au lycée, que j'ai dit j'écoute du métal. [03:10:12] Speaker C: Il y avait tout un lot de. [03:10:12] Speaker F: Gens qui écoutaient du métal. Bon, tous ceux qui étaient habillés en. [03:10:14] Speaker C: Noir, avec des docs, on va pas s'en dire. Voilà. Salut. Ils m'ont dit oui. Tu écoutes quoi ? J'ai coup de corne. Ils font ça va, tu peux rentrer dans le groupe. [03:10:27] Speaker B: Parce qu'il y avait vraiment ce truc de. Attention, me dis pas quel groupe tu écoutes. Quel groupe j'écoute Megadeth. Ah non. Je suis fan de Metallica. Tu peux pas me parler. Ÿ mais c'était vraiment ça. Du coup, ça t'a vraiment plu, principalement pour les paroles. [03:10:47] Speaker E: Après. [03:10:50] Speaker B: J'Ai compris le son. [03:10:51] Speaker E: Ouais. [03:10:52] Speaker B: C'est que quand tu comprends les paroles, après tu réécoutes et tu comprends pourquoi la musique, elle est comme ça, parce que du coup, elle te parle aussi. Elle a de cette douleur. Je crois que c'est. Moi, c'est vraiment plus le son qui m'a parlé tout de suite, quoi. [03:11:05] Speaker C: Plutôt que les paroles. Je pense que j'ai mis un peu. [03:11:08] Speaker B: De temps avant vraiment aller chercher ce qu'il disait, avant de comprendre que cette musique pouvait me faire saigner toute mon émotion. C'était les paroles. Ok. Après, j'ai vite compris que j'ai ah ouais. Là, il pleure et tout. C'est bien, moi aussi, je pleure. C'est con. Moi, contrairement à vous, c'était pas du tout par la famille, parce que en fait, chez les noires, on n'écoutait pas de rock. Enfin, à cette époque là, en tout cas. En plus, moi, noire, vitrée sur scène. Tu es noire. Je suis incroyable. 1ʳᵉ nouvelle vitri sur scène. Et en plus de ça, bah, c'est tout le monde qui est là. On vient de la même ville que. [03:11:45] Speaker C: Roff et de 113 et tout. C'était trop. Ça. [03:11:48] Speaker B: Ça te parlait pas. Ça me parlait tellement pas. Ça me parlait pas. Et donc moi, j'écoutais tout ça en cachette. [03:11:52] Speaker C: Oui. [03:11:52] Speaker B: Bah oui. Bah forcément, parce que tu voulais pas qu'on se moque de toi. Et il y avait aussi le fait que j'ai grandi dans une éducation hyper religieuse. Donc tout ça. Et donc la famille avait vraiment ce côté du bah non, en fait, si elle écoute ça, il va falloir qu'on l'emmène à l'église et qu'on fasse quelque chose, parce qu'elle va nous amener des démons, quoi. Enfin, il y avait vraiment ce côté là. Et donc j'écoutais ça en cachette, toute seule. Et j'ai découvert ça. J'étais pendant les vacances en Angleterre, chez ma tante, et j'ai regardé le film Freaky Friday, peut être, je sais pas. Et il y avait simple plan. Et là, je fais ok, j'aime bien. Ah, j'aime bien. [03:12:31] Speaker C: Trop cool. [03:12:31] Speaker B: Bah, c'est bien. Tu t'es senti bien ? Ouais, je me suis sentie bien. Mais il fallait pas que je dise alors que. On parle de simple plan, quoi. Oui, oui, oui, oui, quoi ? Enfin, vous voyez. Enfin, c'est mignon, mais le truc, c'est que. Il y avait des guitares, il y avait des endroits et c'était ce côté là, il y avait du eyeliner et tout ça, et c'était pas possible, quoi. Et donc tout ça, ça s'est passé en cachette. Et à un moment donné, j'ai craqué. À un moment donné, ils sont venus en concert en France. Je devais les voir. En fait, il était hors de question. [03:13:06] Speaker C: Que je ne sois pas. Et donc là, fait. [03:13:08] Speaker B: Est ce qu'on peut dire coming out au rock ? Je sais pas. Mais j'ai discuté, j'ai fait écoute, maman, j'aime le rock. Non, mais c'est rude. Et c'était hyper. J'avais super peur. J'ai fait écoute, maman, là, faut que je te dise un truc. [03:13:23] Speaker E: J'aime le rock. [03:13:23] Speaker B: Et en fait c'est un groupe qui vient en concert et j'aimerais vraiment les voir. [03:13:28] Speaker C: Et je me suis mise à pleurer. [03:13:29] Speaker F: Je fais. [03:13:32] Speaker C: S'Il te plaît. Et j'avais mis de côté. J'avais mis de côté parce qu'elle allait plus me payer la place. [03:13:37] Speaker B: J'avais mis de côté. Et j'ai dit elle me fait mais qui va te prendre la place ? J'ai dit mais j'ai mis de côté, c'est tout prêt. Il faut que j'aille au concert. [03:13:49] Speaker C: J'irai, mais il y aura des copines et tout. [03:13:52] Speaker B: Et en fait elle a fait ok, mais il fallait pas que je le dise à mes cousines, parce que pour pas que tout le monde prenne le relais. [03:13:59] Speaker C: Moi aussi. Ah non, non, pour pas que je. [03:14:02] Speaker B: Me fasse exclure de la famille. Ah ouais. Waouh. C'était ça. Il est pas que je dise parce que sinon, à chaque réunion de famille, c'est dire non, mais la sataniste, là, la. Machin, aujourd'hui, ils sont ok avec ça. Bah aujourd'hui, bah ils s'en foutent, je crois. Je crois qu'ils s'en foutent totalement. Je les vois plus depuis 10 ans, mais ça peut arriver, malheureusement. Mais tu as grandi aussi, puis tu t'es fait une place dans le milieu du travail. Exactement. Et puis ça. Ÿ ce qui était ouf, c'est que quand je suis allée à ce concert là, de simple plan, en 2006, il n'y avait pas de noir dans la salle, quoi. Malheureusement, c'est même aujourd'hui. Ouais, mais il y en a de plus en plus. Avant, j'étais la noire à chaque fois, je regardais et je disais Waouh, je suis la noire du concert. Et si tu le vis comme ça, en disant Waouh, c'est cool, c'est bien. Ça peut être oppressant. Non ? C'était comme ça, mais ça n'a jamais été oppressant. Il m'a posé la question il n'y a pas longtemps d'ailleurs, est ce que. Ÿ je me suis sentie rejetée parfois, et en fait non, mais je me disais, tu le remarques, quoi. [03:15:03] Speaker C: Mais je le remarquais, parce qu'en plus. [03:15:05] Speaker B: Du coup, j'avais surtout les paroles de. [03:15:07] Speaker C: De mes cousines. En tout ça en disant non, mais. [03:15:13] Speaker B: Le rock, c'est pas possible, c'est pas de chez nous. Alors que, historiquement, le rock a quand même été inspiré des noirs. [03:15:19] Speaker C: Et c'est très drôle. Et c'est comme ça que je me suis défendue après, et que du coup, on a blocage, réveillez vous, on va faire un. On va faire un cours. Ça vient de chez nous, les gars. Donc s'il vous plaît. Mais c'est vrai que j'étais. C'était. C'était surtout ça. Et finalement, aujourd'hui, au contraire, je suis hyper contente et hyper fière, qui est maintenant, bah déjà des groupes comme Nova. [03:15:43] Speaker F: Twins, toutes ces choses, toutes ces. Toutes ces meufs badass et tout qui. [03:15:46] Speaker B: Sont noires, et je me dis ça y est. Bon, il y en a pas beaucoup, mais je. [Sos/eos] plus seule, quoi. Et c'est comme ça que je suis arrivée au rock skin aussi, que tu as rencontré forcément, de sk. Oui, c'est vrai. Personne assez extraordinaire, magnifique, magnifique, brillante, enfin beaucoup de choses. M. [03:16:07] Speaker C: Oui. [03:16:07] Speaker B: Non, mais c'est. Elle fait pas un M. [03:16:09] Speaker F: Elle est minuscule. [03:16:11] Speaker C: Elle est pas si grande que ça, mais elle impose. Elle a beaucoup de talon, les deux. [03:16:16] Speaker B: Du coup, je sais plus où on en est. On en est à simple plan, justement. Oui, parce que je vois, je me suis tourné, je fais oh, c'est pas possible, je vais encore me faire taper sur la gueule parce que je parle beaucoup trop simple plan. Avec Addicted, ils font pas ça, mais c'est juste qu'elle m'a déjà vu danser sur des tables sur du Britney Spears. J'ai déjà vu marie danser devant Simple Plan, et c'est quelque chose, c'est une expérience. Ah, j'étais folle. Simple plane. Donc simple Plan et Good Charlotte sont donc les deux avec sont les groupes qui m'ont introduit à cet univers là et où. C'est grâce à ces groupes là que j'ai mes meilleurs amis aujourd'hui, qui est devenu donc ma 2ᵉ famille, littéralement. Pourquoi j'ai envie de pleurer ? Ça va pas ou quoi ? Parce que tu es Marie. Parce que je pleure. Tu sais, ça va être compliqué, après, on va parler tous les deux, mais. Donc ces groupes là, en fait, ÿousand permis, si vous voulez, de me construire, tout simplement. Quand j'ai commencé à comprendre que je savais pas que j'avais une maladie mentale, mais une maladie. Donc en fait, j'ai été diagnostiquée comment avec un stress post traumatique dès ma plus tendre enfance. Plus de la dépression, en fait. Et je savais pas ce que c'était. [03:17:42] Speaker C: Moi, je comprenais pas pourquoi j'avais ces. [03:17:46] Speaker B: Up and down, pourquoi j'étais comme ça. Pourquoi j'avais ces envies ? J'ai le droit, on a le droit de dire tous ces mots. Donc toutes ces idées, voilà, toutes ces idées suicidaires, je comprenais pas en fait. Et à travers leur musique, à travers leur musique très enjouée, ça m'aidait énormément. Et donc ça commence avec Good Charlotte, surtout avec qui m'écoutent, je sais qu'ils. [03:18:08] Speaker C: Me comprennent, ils savent qu'ils sont fiers. [03:18:09] Speaker B: De moi, je le sais avec Good Charlotte, avec l'album Young and hopeless. Et puis ensuite, il y a eu simple blague qui eux m'ont permis de trouver ce côté un petit peu joyeux en fait, où je me suis dit non, mais en fait, je suis pas qu'une personne triste, je suis une personne. [03:18:26] Speaker C: Hyper, hyper joyeuse en réalité. Et donc. Et donc voilà. Et puis les 1ᵉʳˢ morceaux que j'ai. [03:18:31] Speaker B: Appris à la guitare, c'était les morceaux. [03:18:32] Speaker C: De simple plan, j'ai appris entre guillemets. [03:18:34] Speaker B: Enfin une qui dit pas Nirvana, non, c'était perfect word de Simplepan. Et puis ensuite Perfect tout court aussi. Et. Et ouais. [03:18:40] Speaker C: Et c'est vraiment grâce à simplement que. [03:18:41] Speaker B: J'Ai rencontré mes meilleurs amis, qui sont toujours mes amis aujourd'hui. Ça fait plus de 20 ans aujourd'hui que j'ai mes amis qui sont ma famille, et qui m'ont permis tout simplement de me rendre compte que j'étais pas une personne nulle en fait, je peux faire la fête ou bizarre ou quoi. Et vraiment, c'est là que je me suis dit ah, donc en fait je suis pas la seule à ressentir ces choses là. Très bien, ok, on tient un truc. Je suis pas tarée. Et donc à partir de là, je me suis concentrée sur la santé mentale à 3000. C'est vraiment. Oui, ça a été déclenché en plus, ça t'a fait franchir ce cap de. Ok, c'est cool. C'est vrai que. On en parle, ça a été quand même hyper important en termes de soins. Exactement, parce qu'on en parle énormément depuis quelques années, surtout depuis. Après le Covid. La santé mentale. Et tant mieux, parce qu'il était temps. [03:19:34] Speaker C: C'est là que tout le monde est tombé. Il était vraiment temps qu'on parle de santé mentale. Mais c'est vrai que ça a toujours été un sujet hyper important pour moi. J'en parlais déjà ÿousand avec. Avec mes amis, on peut en parler. Nous, on en parlait beaucoup dans aussi. [03:19:46] Speaker B: Et aussi personnellement. C'était. C'était comme ça qu'on a aussi beaucoup matché. Et voilà. La santé mentale, c'est hyper important. Personne. C'est pas de la folie, ça existe. Et croyez le ou non, mais la plupart des personnes avec qui on échange dans notre quotidien ont ce genre de souci. C'est juste que. On n'ose pas en parler. Et pourtant regardez. Il m'a suffi d'écouter Good Charlotte. Salut Joël. Salut Benji. Il m'a suffi d'écouter une fois Joël et Joël Madden et Benji Madden pour me dire Oh putain, ça existe. Je suis pas ouf. Donc si une personne ose le dire, on va se sentir moins seul. Et s'il ne peut le prendre, ce que tu peux dire c'est aussi que si on se sent pas forcément au top ou qu'on ne comprend pas quelque chose chez nous, faut pas hésiter à faire des démarches pour pouvoir rencontrer des gens. Exactement. Il y en a beaucoup. Il y a des services gratuits, des services payants. Ÿousand suivie dans un centre médical psychologique. C'est un centre. Je ne paye pas. [03:20:41] Speaker C: Ça fait depuis huit ans que je suis suivie là bas. [03:20:44] Speaker F: Je paye pas. [03:20:44] Speaker C: Ils prennent très bien soin de moi. J'ai réussi à établir, à créer des relations de confiance. Il y a ces centres médico psychologiques. [03:21:11] Speaker A: En fait il y en a dans plusieurs départements. [03:21:15] Speaker C: Je sais. [03:21:18] Speaker A: Pas s'il y en a dans tous les départements, mais en tout cas moi j'ai eu accès là. Et il y a des assistantes sociales, il y a des psychiatres, il y a des psychomotriciennes, il y a des psychologues. Ÿousand il y a des infirmiers et. [03:21:42] Speaker C: Exactement. [03:21:42] Speaker A: Ils te redirigent et tout ça. Et moi je suis prise en charge depuis là bas et ça va mieux. Et parce que une fois j'ai appelé, ça n'allait pas. J'ai appelé, j'ai osé, j'ai appelé fil santé jeune. Ce numéro de téléphone qui m'a redirigée v. Ce centre médical psychologique. Et depuis je prends soin de moi. Et parce que c'est hyper important ÿ de prendre soin de soi. Vraiment. C'est noté. Du coup on va regarder un petit clip qui va te remonter le moral, peut être encore plus. En tout cas qui va te faire du bien. Addictif de simple plan dans Bang Bang bang i heard you're doing okay but i want you to know i'm addict i'm addicted to you. [03:23:12] Speaker C: I can't pretend. [03:23:14] Speaker A: I don't care when you don't think about me Do you think i deserve this idea ? I tried to make you happy but you left anyway i'm trying to protect that i'm addicted to you But i want it and i need it I'm addicted to you now it's over Yet forget what you said And I never want to do this again Heartbreaker, heartbreaker, heartbreaker Since the day I met you and after all we've been through still a dick I'm addicted to you I. [03:24:53] Speaker C: Think you know that it's true i've. [03:24:55] Speaker A: Run a thousand miles to get you. [03:24:57] Speaker C: Do you think i deserve this ? I tried to make you happy I. [03:25:00] Speaker A: Did all that i could just achieve you what you left anywhere i'm trying to forget that i'm addicted to. [03:25:14] Speaker F: You. [03:25:14] Speaker A: But i want it and i need it I'm addicted to you now it's over can't forget what you said And I never want to do this again Heartbreaker, heartbreaker how long will I be where until the end of time I don't know why I'm still waiting I can't make you mine i'm. [03:26:46] Speaker C: Trying to. [03:26:46] Speaker A: Forget. [03:27:55] Speaker C: That i'm addicted to you But i want it and i need it I'm addicted to you i'm trying to forget that i'm addicted to you what I wanted and i need it I'm addicted to you now it's over can't forget what you said And I never want. [03:28:11] Speaker E: To do. [03:28:15] Speaker B: This again Heartbreaker, heartbreaker I picked it, I break it bang. [03:28:17] Speaker C: Bang I'm a missing rope weak people they need religion pretty fake guys just make decisions and i will trust that hands that slice throats your words choking a blood soak Action to my body count chap chat under my life and. [03:28:30] Speaker E: You'Ll be out of my life Bitch, pray to your God but you'll never escape me i'm not no veneration is in infestation i'm slamming motherfuckers under one damnation it's a bullet you think you're protected but you're just affected nutty night Put you in the ground wrap you. [03:28:48] Speaker C: Up like a town surround bloody knife put you in the ground open Don't. [03:28:55] Speaker E: Look up est ce que tu crois. [03:28:59] Speaker C: Qu'Ils nous entendent ? On entend plus. Ils disent. Alors, il y a un problème de son. Il y a quelqu'un qui a dit oui. Ah, mais vous êtes formidable. Quelle belle soirée, comme disait notre ami. [03:29:08] Speaker B: Michou, grand fan de métal. [03:29:10] Speaker C: À César aussi. C'est fermé. Et il a dit que ça y ressemblera pas du tout. Ah bah tiens. C'est surprenant. En même temps, je me demande comment tenir l'ambiance. Alors, c'est une discussion qui n'a rien à voir. Nous sommes en train. [03:29:21] Speaker E: [Sos/Eos] amis. [03:29:23] Speaker C: Et vous pouvez répondre aussi. Que pensez vous de Michou ? Pas le personnage, puisqu'il n'est plus de son. Qu'est ce que vous pensez de Guedelmal ? Chez Michou, tu avais des transformés, donc. [03:29:32] Speaker B: Des gens qui reprenaient, qui refinait. [03:29:32] Speaker C: Qui reprenaient l'allure d'un autre artiste. Gad Elmaleh. Il reprend des vannes d'artistes américains sans les citer, sans les payer. Quelque part, on est pas si. Dommage. Je ne dirai rien. Je ne connais pas Gad Elmaleh. [03:29:44] Speaker B: Plagiat. [03:29:44] Speaker C: Surtout chez Gaddamali. Zweitausendein. Malade. [03:29:45] Speaker E: Allez. [03:29:45] Speaker C: Bon ben du coup, Michou. Voilà. [03:29:46] Speaker E: Dans le cul. Enfin, c'est. [03:29:51] Speaker C: Jeu de mots. [03:29:52] Speaker B: Voilà. [03:29:53] Speaker C: C'est. Ça n'a rien à voir avec ses lunettes bleues. Bien sûr. Je terminerai l'émission. D'ailleurs, que ces lunettes que. Qu'on m'a offert. Ouais. Je les ai ici. Vous allez voir, c'est quand même impressionnant. [03:30:04] Speaker F: C'était donc Nathan James. [03:30:05] Speaker B: Nathan James, qu'on vient de. De regarder et d'écouter. Enfin, si vous vous en souvenez encore. [03:30:10] Speaker E: De ce clip merveilleux avec une hache. [03:30:11] Speaker C: Comme ça, au milieu des gens. En faire. Oui, je suis. Et je suis torturé. [03:30:15] Speaker F: J'adore. [03:30:16] Speaker C: Je suis hyper fan. [03:30:16] Speaker F: Et tout le monde pourrait croire. Tout le monde. Quand je dansais à la radio. Oui, je sais. Je faisais pas un peu le torturer ? Tout le temps ? [03:30:26] Speaker C: Mais tout le temps. Toujours, toujours. Enfin, maintenant, moins, parce que ça me fait mal au dos. Mais non, non. J'adore, j'adore. Et je me souviens qu'on avait déjà diffusé du Nathan James et que les gens avaient découvert. [03:30:34] Speaker F: Toi, tu me regardes avec des yeux du style, mais c'est de la chiasse. Non, non, je t'écoute amoureusement, mais voilà. Ÿ Dites moi si vous aimez ou pas. C'est. C'est Mylène Farmer. Ah ouis ? [03:30:44] Speaker C: D'accord. [03:30:44] Speaker F: Bon Ben, petit punk, carrément. Il m'envoie ça dans la pastille. Alors, on en était où ? J'ai plus de questions, je sais plus ce que je fais. Alors on a parlé de santé mentale. On a fait qu'est ce qui nous a amené au métal ? Et après on est parti sur la santé mentale. Toi ? Toi, la santé mentale, ça te touche pas ? Pourtant, tu dois vraiment être mon déglingué. Mais bah non, mais moi aussi, effectivement. [03:31:06] Speaker C: J'Ai eu mes petits. [03:31:11] Speaker F: Mes petits soucis. Je pense que c'est vrai qu'on est très nombreux à avoir des petits problèmes à un certain des gens. [03:31:18] Speaker B: Je pense que ce que tu disais, Marie, c'est vrai en fait, c'est juste que, après, ça a des niveaux différents, mais le principe, c'est le même. C'est. Je pense que c'est à peu près humain. Oui. Ce qui est sûr, c'est que j'ai été en dépression pendant des années, que j'ai consulté quand même. Enfin, en tout cas, des amis ont. [03:31:35] Speaker C: Réussi à me forcer en quelque sorte à consulter. Ça a été une très bonne idée. [03:31:40] Speaker B: Ça m'a sauvé la vie. [03:31:42] Speaker E: Donc c'est pour ça que maintenant, enfin, franchement, je conseille à n'importe qui qui a quelconque souci d'essayer de consulter. Parce que je sais que ça peut coûter cher aussi. Pas forcément évident. Heureusement, il y a des choses gratuites qui existent parfois. Mais ouais, clairement, ça a été. Ça a été vraiment salvateur. Et maintenant, ça. [03:32:01] Speaker C: Va mieux. J'arrive à dealer, on va dire, avec. [03:32:03] Speaker E: Tu vends de la drogue maintenant ? Zweitausendein ? Non, mais c'est à dire que. En fait, ça m'a donné les armes pour gérer aujourd'hui ce qui peut arriver, etc. Mais ça va mieux, quoi. Et c'est vrai qu'on dit souvent allez voir quelqu'un si vous n'allez pas bien. [03:32:17] Speaker C: Mais même si ça va. [03:32:19] Speaker E: Ah oui, complètement. Parce que, en réalité, on oublie un truc. [03:32:23] Speaker C: C'est que la santé mentale fait partie de la santé tout court, en réalité. Donc faire un check up parfois de santé mentale, ça peut être déjà chez le médecin pour faire son check up normal. Oui, je pense comme ça, juste. Ÿ tu as raison. Mais en réalité, c'est le mec qui dit ça qui a les yeux qui pourrissent de l'intérieur. Il est allé voir une fois, il vient d'aller voir son ophtalmo, alors que ça fait. Là, il est borgne. Vous le savez pas, mais il est borgne. Il voit que d'un oeil. Et cet oeil là, déjà, il tient plus à grand chose. Non, bien sûr, mais c'est. Je vous rappelle que c'est le mec juste zweitausendein, juste avant que le Covid. [03:33:11] Speaker B: Explose, à l'antenne, ici, disait. Non, mais ça nous fait chier, là. Ce truc, cette maladie. C'est bon. [03:33:17] Speaker C: Sortez. [03:33:17] Speaker B: Sortez sans masque. Embrassez vous. Une semaine après, c'était son anniversaire. Rappelle toi, Marine, on en parlait tout à l'heure. Une semaine après son anniversaire. [03:33:29] Speaker C: Blocus. Tout ferme. [03:33:29] Speaker F: Bravo, Pierre. [03:33:29] Speaker C: Le Covid, c'est grâce à toi, en France. C'est vrai que c'était une belle fête. En tout cas, on a bien chanté. J'aimerais bien qu'on fasse ça très bientôt. On peut. [03:33:38] Speaker B: Un jour où le lendemain, tu ne travailles pas. Si vous avez envie de faire des karaokés avec nous, n'hésitez pas. On va peut être faire des concours pour que vous puissiez nous accompagner. Ce serait formidable. Faut juste vous prévenir, ça chante fort. Et Patricia casse, c'est possible, beaucoup de choses comme ça. Il y a aussi la scène française. Alors tu nous as. Évidemment, sans parler des évidences, la scène française, aujourd'hui, c'est aussi une scène qui est belle, développée de ouf. [03:34:06] Speaker F: Vous qui suivez cette musique depuis longtemps, comment vous la percevez, en tant que professionnelle ? Je la trouve tellement badass. En réalité, je trouve qu'elle s'assume de plus en plus. On en parlait hors antenne, il me semble. Elle s'assume de plus en plus. Je pense à des groupes comme Landmarks qui m'étonnent, parce qu'aujourd'hui, on leur en avait parlé. [03:34:20] Speaker E: D'ailleurs, leur logo, c'est comme une cigale. C'est vrai qu'on peut en parler. Non, mais j'adore. Moi, je suis du sud. J'ai envie de coller tous leurs t shirts à mes murs dans le sud de la France. [03:34:30] Speaker B: Mais c'est dingue de voir que c'est. [03:34:33] Speaker E: Des groupes maintenant, internationaux, qui font les 1ʳᵉˢ parties de Landmarks. Donc, c'est dire à quel point, effectivement, la scène française, elle commence vraiment à de nouveau grossir. On peut se dire ça, parce que. On entend souvent. Je pense encore à. Je sais plus quel artiste avait dit que la scène française, que le rock était. N'existait plus en France. Et tout ça, alors qu'il y a tellement beaucoup de groupes qui se forment. Mais il y a beaucoup de gens, dans les commentaires des articles de oui FM, par exemple, qui ont tendance à dire ce genre de choses. Enfin, je suis pour. Le coup, je trouve que c'est pile le moment où tu peux pas dire ça, quoi. Tu vois, je trouve que la scène française, elle a peut être jamais été aussi riche, finalement. [03:35:16] Speaker B: La scène française existe. [03:35:18] Speaker E: Elle a toujours existé. C'était plus ou moins haut, mais elle a toujours existé. En ce moment, elle est forte. Mais c'est juste que. Il y a peu de groupes français. [03:35:27] Speaker B: Qui peuvent vivre de leur musique. Exactement. C'est juste en France. La France n'est pas un pays rock, là. Du coup, moi, j'ai l'occasion d'aller très souvent en Pologne. [03:35:33] Speaker C: En Pologne, même les radios mainstream, c'est que. On passe dans n'importe quelle ville, il. [03:35:37] Speaker B: Y a des quatre par trois de. [03:35:39] Speaker E: Groupes de metal qui jouent. C'est incroyable, bien sûr, aussi de Lara Fabian, étrangement, en Pologne. Mais il y a des affiches de gens. Il y a des quatre par trois de sipulture. En France, t'as pas ça. [03:35:50] Speaker C: Non. [03:35:51] Speaker B: C'est juste que partout en Europe, c'est. [03:35:52] Speaker E: Beaucoup plus rock que la France ne l'est. On a eu une espèce de petite parenthèse dans les années quatre, 20, 10. C'est ce que j'allais dire, dans les médias mainstream et même gens, comme. On en parlait souvent le samedi matin ou sur m. Même les matins, dans la matinale, il y avait des clips de rock, de métal. Tu les voyais. C'est juste que maintenant, c'est mort. Et malheureusement, du coup, on n'a plus. Les groupes français n'ont plus ça. [03:36:15] Speaker B: Mais tu penses que. [03:36:16] Speaker F: Qu'est ce qui explique ça, à ton avis ? Pourquoi est ce que chez nous, comme ça, alors qu'on existe, il y a une communauté de fans de rock en France ? Une communauté énorme de fans de métal. Plus que de rock. Oui, de métal. Voilà. Oui. Quand on voit comment. Comment les billets du concert pour le Hellfest, où là, jusqu'à récemment, les billets pour Linkin Park se vendent en 30 min. Ÿousand, tu dis. Et donc, il y a un public en France. Mais je. Les média ne les relaient pas. On est d'accord, c'est vraiment. Enfin, comme. Enfin, c'est quelque chose qu'on dit très clairement. Mais il faut vraiment que Gojira soit nominé au Grammys pour qu'il soit invité chez quotidien. Par contre, des groupes qui sont inconnus et qui remplissent pas le trabendo, enfin, ils viennent. Ils sont invités à chaque échelle. Tous les. Tous les trois, quatre mois. [03:36:55] Speaker E: Mais il y a une pléthore de groupes français qui remplissent des salles à. [03:36:59] Speaker C: L'Étranger et qui ne sont pas invités. [03:37:02] Speaker F: Dans les médias, qui font des tournées. Peut être un lien, je sais pas du tout. Je me lance dans quelque chose, mais. [03:37:07] Speaker C: Il y a peut être un lien entre l'âge de l'audience globale à la télé. À la radio, qui est quand même. [03:37:14] Speaker F: Plutôt élevée en France, en tout cas. [03:37:17] Speaker B: Les gens qui regardent la télé, ou qui regardent, ou qui écoutent la radio. [03:37:22] Speaker C: Majoritairement, c'est quand même pas des gens qui ont 15 ans. Et ce que, du coup, les chaînes ou les. [03:37:26] Speaker B: Ou en tout cas, les médias, du coup. Enfin, ce dont les médias. Parce que forcément, à un moment donné, quand tu as une audience, quand tu connais à peu près la tranche d'âge de ton audience, c'est obligatoire, tu vas te diriger v. Des contenus ou des choses, en tout cas, qui les concernent le plus. A priori, c'est pas une musique qui concerne les personnes âgées aujourd'hui, quoi. [03:37:49] Speaker F: En tout cas, pas en majorité. [03:37:50] Speaker B: Je sais pas, du regard, l'âge moyen ou hellfest. Oui, ouais. Mais là, tu vois, les gens tout récents, quoi. Mais c'est pas. C'est pas des gens qui ont 60 ans, 60, 60, 10 ans, quoi. Tu vois, la majorité, je sais pas. Ça se trouve, c'est complètement la cérémonie d'ouverture. Et en France, les français qui ont regardé la cérémonie, ce qu'ils ont préféré, c'était gaugir. Quel que soit la culture musicale, en fait, faut leur donner accès. [03:38:09] Speaker C: Les gens ne veulent pas oser donner cet accès. [03:38:12] Speaker F: Bah, vous êtes sur la FM, vous le faites. Oui, mais il y a que ça. Mais oui, en métal, je veux dire. Mais c'est vrai que les gens, quand ils se sont on aimait avec lui, zweitausendein. [03:38:20] Speaker C: En tout cas, on aime bien rigoler. [03:38:22] Speaker F: De quand gaugirat sont apparus, en fait, pendant ouh, mais qu'est ce que c'est ? [03:38:25] Speaker E: C'est du métal, les métalleux. Et on se dit bah oui. Et en même temps, quand tu vois ce que ça a réveillé, en fait, dans le pays, dans le monde, c'est assez colossal, quand même. C'est un truc de dingue. Et là, je me suis franchement, quand j'ai vu ça, je me suis dit Ah, peut être que là, on est en train de rouvrir quelque chose. [03:38:45] Speaker F: Et en fait, foot. [03:38:45] Speaker E: Et ça sert. Je me dis mais non, les gars, c'est pas vrai. Vous avez vu le bruit que ça avait fait ? Ça vous a rendu un petit peu plus curieux. En plus pour certains. Ma mère elle en a parlé. Oui, parce que c'était quelque chose de mondial. [03:38:55] Speaker B: Ah oui, clairement. [03:38:57] Speaker E: Après, est ce qu'il y a pas des gens aussi, même dans la communauté métal, rock, etc. Qui aiment pas un petit peu quand même le fait que ça reste aussi un peu élitiste ou qui ferait partie des grands médias et. [03:39:07] Speaker B: Qui bloquerait ça ? Non. Ah non. Juste. Est ce qu'on n'aime pas ça aussi un petit peu quelque part ? Même nous quoi, mêmes qui râlent que le hellfest c'est devenu Disneyland, mais en même temps, soit. Enfin soyons clairs, si on était comme dans les années quatre, 20, 10 ou. [03:39:24] Speaker C: Tous les jeudis soirs, tu as le best of r sur M. [03:39:31] Speaker E: Tu as une fois par mois dans le. C'était le multitop. Le dimanche matin, tu avais le top 10 métal. Il y avait des émissions. Il y avait quand même, tu vois, c'est même pas. Pas, pas. C'est pas énorme, mais c'est juste une fois de temps en temps, une fois par semaine. Et on voyait que tu personnes t'oblige regardé entre 0 h et 3 h les clips sur M. [03:39:53] Speaker C: Et voilà. [03:39:53] Speaker E: Mais au moins ils avaient un truc, ils se sentaient représentés. Mais comme. Du coup ça m'a enfin c'est ça que ça m'a aussi un peu fait les jeux olympiques. Et j'ai remarqué ça, c'est pour une fois plein de tous les métals, on dit ah, on s'en enfin représenter, mais totalement. Et ça faisait du bien. [03:40:06] Speaker F: En réalité, ça fait énormément de bien. Parce qu'on n'arrête pas justement de dire peu importe, peu importe la cause, mais le manque de représentation, à quel point. [03:40:11] Speaker C: Ça peut faire du mal, oui, c'est. Ça fait tellement du mal. Et justement quand on est en la. [03:40:17] Speaker F: Vanne trash, pourtant j'ai des saloperies. [03:40:19] Speaker C: Mais là je me suis dit mais. [03:40:21] Speaker F: Pour de vrai, c'est exactement la même chose. Tous les vieux râleurs, les gatekeepers, les. [03:40:27] Speaker E: Fachos qui oh, ils ont fait un elfe noir dans le seigneur des anneaux, ils ont fait une petite sirène noire. Mais non, c'est juste. Enfin c'est des personnages fantastiques. On s'en fout qu'il soit noir ou blanc, ouvert. Et puis du coup si ça permet juste à une certaine communauté de sentir représenter et juste de kiffer. Et ben là du coup, là, on voit que tous les babou tout métallo, fragiles qui ont fait. Oh, sans représenter. Bah voyez les gars. Donc laissez la porte ouverte à tout le monde. [03:40:55] Speaker F: En plus vous avez été fier, soyez fiers pour tout le monde. En plus je trouve que cette musique elle fonctionne beaucoup sur le sentiment d'appartenance. Mais bien sûr tu vois Genre une. [03:41:03] Speaker C: Communauté justement et tout, tu vois, il. [03:41:06] Speaker F: Y a quand même tout ce truc là qui est important. Est ce que la communauté metal elle est plus forte que les autres communautés ? Peut être qu'elle y est contrainte. En tout cas c'est pas mal comme réflexion. Peut être qu'elle y est contrainte parce que. Manque de représentativité. [03:41:18] Speaker C: C'est toi le journaliste là, t'es en train de. En France. Parce qu'en vrai, en vrai aux Etats Unis oui, mais en Allemagne il y a ce côté toujours tribus du métal. Mais en même temps tu peux avoir dans les grands médias tu peux avoir metallica qui joue bah oui, tu as des prises de pop qui vont faire des duos ou qui disent clairement on écoute du métal. Oui bien sûr. Donc tu vois eux ils y ont droit à la représentativité. [03:41:39] Speaker E: Et pourtant il y a quand même ce que. [03:41:43] Speaker C: Ce côté tribu, donc historiquement c'est quand même un truc un peu underground quand même. Le métal à l'origine ou ces genres là, c'est quand même pas des. Des genres qui sont ÿousand de base, populaire on va dire quoi. Oui ça toujours ce côté underdog. Donc effectivement. Oui non mais c'est ça donc effectivement. Peut être qu'il y a ce truc. [03:41:59] Speaker F: Là aussi qui, qui fait que toi, en tout cas quand tu découvres cette musique et que tu y entres, c'est aussi pour cette raison là quoi. [03:42:04] Speaker B: Tu vois je sais pas, je pose. [03:42:05] Speaker E: Cette question, je sais pas quand on. [03:42:06] Speaker B: Jette un coup d'oeil, on est quand même un paquet. Et même en France, je veux dire quand tu te balades, le fait qu'il sud est de la France. Dire que tout le monde dit ah non non, c'est pas métal. [03:42:16] Speaker E: Il y a quand même énormément de métalleux dans le sud est de la France. C'est juste mais énorme le nombre de. [03:42:21] Speaker C: Métalleux qu'il y a. [03:42:22] Speaker F: Mais. [03:42:25] Speaker B: Par contre beaucoup de gothiques aussi. Ah je peux pas les blairer les chauves souris là. Ça va ? [03:42:30] Speaker C: D'accord. [03:42:30] Speaker B: Pardon, je m'étouffe. Non mais si c'est vrai. Mais du coup c'est vrai qu'on n'est pas représenté. Après de dire il faut que ça reste entre nous, je trouve ça ridicule. C'est ridicule parce que de toute façon ça t'appartient pas à toi, ça appartient absolument à la planète entière, même ceux qui l'écoutent pas. Non mais la question que je me posais c'est. [03:42:51] Speaker E: Est ce qu'il y a des gens qui quand même se satisfont pas aussi. [03:42:54] Speaker B: Dans le fait que ça reste niche ? Mais moi je pense que ça, il. [03:42:59] Speaker C: Y en a partout. Mais il y en a partout, tu vois, c'est comme les gens qui. Je sais pas par rapport. C'est comme quand tu découvres un groupe qui vient de démarrer et quand il explose. [03:43:12] Speaker F: Tu dis ah non mais vas. [03:43:14] Speaker E: Y, c'est trop nul. [03:43:16] Speaker C: Mais t'es content qu'ils aient du succès. [03:43:20] Speaker E: Mais t'es dégoûté de plus les voir dans des petites salles et t'aurais voulu garder pour toi quoi. C'est ça la fameuse salle intimiste. Mais c'est comme ça partout. C'est comme des. Peu importe en fait ce dont tu es fan, mais il y a toujours ce. Il y aura toujours des gatekeepers partout. Mais je pense que, en réalité, si la musique qu'on aime était beaucoup plus. [03:43:38] Speaker B: Représentée, en tout cas en France, ça. [03:43:41] Speaker C: Nous ferait bien plus plaisir de pouvoir. Justement, ça permettra en tout cas à. [03:43:45] Speaker B: Plein de groupes de vivre de leur ÿousand musique et donc du coup de pouvoir plus les voir sur scène. [03:43:50] Speaker F: Pas que en montrant que des mecs. [03:43:53] Speaker C: Où elle fait ce qui montre leur cul, voilà. [03:43:56] Speaker E: Non mais totalement. [03:43:59] Speaker C: Parce. [03:44:01] Speaker E: Que le Hellfest. [03:44:02] Speaker C: Je suis désolé, à chaque fois je monte mon cul, mais je peux pas m'en empêcher. Je suis désolé, mais moi je fais partie de ces gens là. J'avoue, quand je dis ouais, je fais ok, c'est un peu moi quand même. Le problème c'était juste de montrer que ça. Alors ÿousand je montrais ma teub, alors je vais pas retomber sur quotidien. [03:44:20] Speaker E: Mais ils ont quand même eu des fois l'opportunité d'avoir des exclusivités quand ils. [03:44:24] Speaker B: Ont eu tobias Forge, le mec qui. [03:44:26] Speaker E: Vient pour la 1ʳᵉ. Une des 1ʳᵉˢ fois au monde sans maquillage. [03:44:30] Speaker C: C'est vrai. [03:44:30] Speaker E: Et qu'est ce qu'il lui parle de quoi ? [03:44:33] Speaker C: Il lui montre des mecs du Hellfest qui montrent leur cul. Alors c'est ça le métal. À la semaine prochaine. C'est vrai qu'on était tous un peu. [03:44:42] Speaker E: Catastrophés par cette interview. [03:44:47] Speaker C: On n'a pas été trop travaillé, on a bien senti que. Oui, c'est dommage. C'est vraiment dommage quand tu as tes quotidiens, quand tu as une audience de malade mental. [03:44:56] Speaker E: Comme ils font des documentaires sur le punk. [03:44:58] Speaker C: Oui. Après ils ont toujours orienté dans les images intéressés. Oui, c'est vrai, c'est vrai, c'est pas faux. Et on lui fait des gros bisous. [03:45:04] Speaker B: Mais. Mais cette communauté, je sais pas si elle est vraiment, parce que c'est une. [03:45:07] Speaker C: Question qu'on pose tout le temps. Et c'est vrai que j'ai réfléchi très souvent, je me dis attends, il y. [03:45:11] Speaker B: A une communauté rap. Il y a une communauté latino aussi. [03:45:13] Speaker E: Qui est, ouf d'ailleurs, qui est son grande avec Laurie. Tout ça sur un art latino. [03:45:17] Speaker C: Elle a fait du peut être. [03:45:17] Speaker B: Voilà peut être cette avant gardiste, elle. [03:45:19] Speaker E: A fait avant tout le monde. Laurie a chanté ça. [03:45:22] Speaker C: Et après il y a eu la radio latina. C'est l'histoire de la radio. [03:45:28] Speaker B: C'est ça le storytelling de la radio. Nul. On va peut être mentir, on va inventer autre chose, parce que là, c'est pas fameux. Ça a failli s'appeler week end. Non, non, mais je sais pas. Après la communauté métal, c'est vrai qu'elle. [03:45:40] Speaker C: Aime aussi la précision. Elle aime le détail, elle aime quelque chose dès que tu es fan d'un truc. Dans le rap, je pense que c'est un peu moins le cas parce que dans le rap, il y a beaucoup de. Dans le rap, il y a aussi côté. Bah finalement, c'est partout pareil parce que dans le rap, il y a. C'est vrai que je suis comme moi, les mecs qui aiment jul en fait. En fait, merci de me le faire réaliser maintenant. Et puis tu as le côté aussi puriste. Tu as toujours le côté puriste dans le h. Ceux qui viennent vraiment de la street. Non ? Bah non, toi tu es pas de la street. Voilà, tu as la street. Ça c'est du rap de blanc. Bah non, ça il y a. Merde mais bon. [03:46:13] Speaker E: Pardon. [03:46:13] Speaker C: Mais ça existe, tu vois. Oui, oui, bien sûr. C'est comme ça partout, sauf que. Bah voilà, là on est. Mais j'ai l'impression que. Je sais pas, peut être que je me trompe, mais que là, le rap en France est en train de. Parce que là, c'est dit dernièrement, c'est plus vraiment durable. Donc c'est pour ça aussi que c'est en train de s'effacer, parce que ça a noyé les gens, comme toujours. Les musiques qui noient finissent par disparaître parce que les gens, ils en ont plein le cul quoi. Et puis les nouvelles générations, j'en parle avec quelques personnes que j'ai rencontrées et c'est vrai qu'ils écoutent tout en fait, à chaque fois, c'est hyper gênant parce que souvent quand je rencontre des gens, je dis ah ouais ? Du coup tu écoutes quoi ? Et du coup tu dois pas connaître mon univers. Et puis ils font ah oui, vas y dis. Et puis je fais. C'est ça. Ils font ah oui. [03:46:50] Speaker B: Et puis alors si je te dis. [03:46:53] Speaker C: Ce nom là, ce non là, ce nom là, je fais ok, ok. Les a priori pourris que j'ai super. Aïe aïe aïe. [03:47:00] Speaker F: Je suis un vieux con. [03:47:03] Speaker C: Non, mais c'est ça qui est bien du coup. Mais je suis content, même si je. [03:47:11] Speaker B: Passe pour un vieux con, au moins. [03:47:13] Speaker C: Je suis content de voir que. [03:47:14] Speaker E: Donc ils peuvent interchanger les musiques aussi. Puis mine de rien, on pense qu'ils. [03:47:20] Speaker C: Ont tout ce flot de musique à fond. Alors il y a des gens qui sont. [03:47:33] Speaker E: Comme ça. Évidemment il y a quand même un paquet qui font des recherches et qui veulent la petite pépite nouvelle, le truc un peu différent, avec des textes particuliers aussi. Chaque génération a vraiment ces trucs là. Et je pense qu'il y a plus de gens qui sont spécialistes que de gens qui laissent passer comme ça. Après il y a des gens qui écoutent même pas de musique, donc bon, on peut partir. [03:47:56] Speaker C: Je ne sais pas non plus comment ils font ça, mais je connais des gens. Je n'écoute rien parce qu'en fait aucune musique ne me procure quoi que ce soit. Ouais. J'arrive pas. Et bah je me dis que ce pas humains. On dit que c'est peut être des reptiliens. Je sais pas, c'est eux qui sabotent le métal. Je pense, j'en étais sûr, que Jacques Chirac avait fait. C'est pas lui qui disait qu'il était reptilien ? Il y en a beaucoup. [03:48:19] Speaker B: Moi j'aime pas les lézards, mais bon après moi, reptilien, c'est plus jay Z et Beyoncé. [03:48:26] Speaker C: Oui, c'est eux les plus connus. [sos/eos] complètement déconnecté. Je le fais peut être très mal, mais n'empêche que c'est un entraînement. J'adore te regarder. Mais si quand il fait un bide comme ça, il s'enfonce et j'adore le regarder et du coup il me regarde. [03:48:39] Speaker F: Et puis elle a souvent pour le. [03:48:41] Speaker B: Faire vriller, je me mets à regarder son front, pas directement dans les yeux. Ÿousand pour qu'en plus ils disent quoi ? Tu te moques de moi parce que je suis chauve ? Et qui rentre dans une boucle comme ça. C'est aussi ça la clé de l'animation. [03:48:56] Speaker F: Vous les avez pas du tout. Et d'un coup on va parler dans le micro, ça regonfle tout. Et. Perdu. Vas y. Tu me prends pour qui ? Voilà, c'est. Du coup on est un peu comme. [03:49:04] Speaker C: Tu disais, tout à l'heure, un peu en haut, en bas, ça varie. [03:49:07] Speaker F: Je ne sais plus quoi dire. Ÿousand, est ce que vous avez un mot à dire aux gens ? Aux fans de métal, aux fans de rock, aux gens qui. Nous. Qui vont regarder assumer ce que vous aimez, tout simplement. En réalité c'est hyper important. Peut être aussi, je me permets, je pense que ça. D'accord, ça sert à rien d'aller cracher sur la gueule de l'autre à côté, parce qu'en vérité celui sur qui vous. [03:49:24] Speaker C: Crachez, peut être que trouve lui de. [03:49:27] Speaker B: Son côté ce que vous écoutez. [03:49:28] Speaker C: De la merde. [03:49:29] Speaker B: Ouais. Puis au pire ça sert à grand. [03:49:33] Speaker C: Chose, strictement à rien. [03:49:34] Speaker F: Moi je me rappelle, c'est con, mais j'avais trop peur, je me suis dit ouah, moi j'ai choisi des chansons trop mignonnes et tout, des pop punk et tout, alors que vous écoutez des musiques d'énervé, mais au final on s'en fout quoi. [03:49:46] Speaker C: Bah oui, Marie a ce truc là déjà avec l'émission. Globalement avec Bring the Noise, Marie estime qu'elle est pas trop crédible par rapport à moi par exemple, parce qu'elle écoute de la pop punk alors que moi j'écoute du métal. C'est le principe de Brington Oil. Ça a toujours été de ouais, mais en fait je pense que c'est surtout. On a eu eu la discussion avec un groupe de pop punk récemment, qu'on a reçu tout trains left où on discutait justement de l'importance aujourd'hui de la pop punk, puisque maintenant c'est un genre quand même qui a beaucoup. Enfin, un style en tout cas, qui a beaucoup évolué, qui a grandi aussi, et les gens qui l'écoutent ont grandi également, et du coup ça grandit. Qui a. [03:50:23] Speaker F: Grandi mentalement peut être pas. [03:50:25] Speaker E: Oui bon, ça c'est un autre sujet, d'accord ? Que toi qui peux répondre. J'ai grandi, je suis nadiste. C'est devenu un style qui [sos/eos] parfaitement sa place. Et même à la radio quoi. Tu vois déjà c'était déjà le cas en réalité, mais du coup tu as. [03:50:39] Speaker C: Une crédibilité à en diffuser ou à aimer ça, etc. Enfin il n'y a pas de souci avec ça quoi. Merci les garçons. Est ce qu'il y a une bataille ? Vraiment ? [03:50:50] Speaker B: C'est juste que certains ont choisi cette. [03:50:53] Speaker C: Tu as choisi d'être animatrice, tu partages tes passions, il y en a d'autres qui ne sont pas animateurs, donc en. [03:51:01] Speaker B: Fait si. [03:51:06] Speaker C: Te critique, pourquoi ils le font pas eux mêmes ? Et de deux, eux ils choisi d'autres moyens de défendre la musique qu'ils aiment. Et ils le font sûrement très, très bien et bien mieux que nous. Mais être dans leur domaine, dans leur façon. Donc il n'y a pas de à part si vraiment vous tombez sur un boloss. Bon, ça arrive. [03:51:31] Speaker F: S'il y en a un qui ose dire que je suis un boloss. Est ce que tu me regardes encore. [03:51:37] Speaker C: Avec tes yeux bizarres, là ? Mais tout à l'heure. [03:51:39] Speaker F: Tout à l'heure, quand j'étais en régie et que tu as dit je suis un gros ringard. [03:51:42] Speaker C: Le. Sur le chemol, j'étais en train de faire pierre en regard. [03:51:46] Speaker E: Ça m'étonnerait. [03:51:47] Speaker C: Non, mais je fais ça pour le défendre. [03:51:49] Speaker E: Oui. [03:51:50] Speaker F: 10 s après, il fait caquette. Si tu le dis deux fois. Bah écoutez tout seul. Mais pourquoi tu me sa. J'aime bien cette blague. Je la fais beaucoup avec un ami à moi qui s'appelle Herb, qui travaille au showcase. [03:52:10] Speaker C: Comme ça, c'est fait, c'est dit. C'est B. Qui t'embrasse fort, d'ailleurs. [03:52:16] Speaker E: Passage. [03:52:16] Speaker F: On venait de voir Mylène Farmer, je peux dire que c'était pas fameux. Ah oui, c'était pas farmer. Par contre, je viens de voir l'heure. Effectivement, on ne va pas tarder à se quitter. Juste j'approche parce que j'étais en train de dire. Le speak est court, non ? [03:52:28] Speaker B: 20 4 min, c'est déjà un scandale. Pain of salvation, jeune Gru. Gru. Gru, tu veux dire quoi ? Je sais pas, moi, je suis perdu. J'ai envie d'aller au lit. [03:52:38] Speaker C: Alors en fait, c'est un groupe. [03:52:40] Speaker B: C'est un groupe que je peux presque. [03:52:42] Speaker C: Mettre à égalité avec Gojira dans ma vie. [03:52:44] Speaker B: Oui, moi, je sais, parce que tu me l'as déjà dit. Voilà. C'est un truc de ouf pour moi, même s'il y a plein de gens qui. Mais qui connaît pain of Salvation, en fait ? Voilà, c'est la question. Non, mais. Ah, tu vois ? [03:52:57] Speaker C: Ah. [03:52:57] Speaker B: Enjoy the noise. Voilà. Bah, vous êtes de reconnais, c'est les progueux, ça. Voilà. Non, franchement, c'est un groupe incroyable, avec un chanteur absolument incroyable qui a une capacité aussi de composition, d'écriture et d'interprétation. Donne son nom ? Daniel Gildenlo. Enfin, c'est exceptionnel. Il baigne dans l'eau. Il est suédois. Ah ben du coup, par conséquent. Et récemment, je l'ai fait écouter. Récemment, j'ai fait écouter à Marie. Je lui ai fait découvrir un petit peu le groupe. Gojira aussi, d'ailleurs, au passage. Et c'est aussi pour ça que j'ai choisi pain of Salvation, parce que je voulais qu'elle en parle aussi un tout petit peu quand même, juste pour avoir son truc dessus. Pain of Salvation, c'est ma claque de l'année, très clairement. C'est fou, non ? Ça ne me ressemble tellement pas. [03:53:39] Speaker C: Toi qui me connais bien. [03:53:41] Speaker B: Oui, non, ça ne te ressemble pas. Mais après, je. [sos/eos] tu comprends pourquoi tu nous fous de sa gueule ? Mais c'est bien pain. Le truc, c'est que je me suis. [03:53:54] Speaker F: Prise la claque de l'année quand on les a vus au Hellfest. En fait, c'était la 1ʳᵉ fois que Lucas allait les voir, et moi, à la base, je voulais moi, j'adore voir mes amis, voir leur groupe préféré, ça, c'est une passion. Moi, quand je t'ai vu voir corn, j'étais la femme la plus heureuse du monde, tu vois ? Et donc quand moi, j'y allais vraiment en mode je vais accompagner Lucas faire le fanboy, je me suis pris la claque du. Je me suis mise à pleurer. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Et en fait, c'est que. Il n'y a pas de filtre émotionnel. [03:54:24] Speaker C: En fait, dans la musique de. C'est à dire que tu te prends tout dans les tripes. C'est une claque, en fait, c'est. Je sais pas comment expliquer ça. On va me prendre pour une zinzin, mais parfois, dans sa manière d'interpréter, à. [03:54:36] Speaker F: Daniel, là, j'ai l'impression qu'il prend une ÿousand et qui la font sur le cœur, quoi. Et tu le sens, le truc, quoi. Pain of salvation, quoi. Oui, finalement, quelqu'un d'assez torturé. [03:54:44] Speaker B: C'est quelqu'un d'assez torturé dans les textes. C'est merveilleusement bien écrit, mais en plus du texte, il y a l'intensité de la musique et de l'interprétation et. [03:54:51] Speaker C: Waouh. [03:54:51] Speaker F: Et là, le morceau en question, c'est h. [03:54:54] Speaker E: Et c'est un morceau qui vient de. [03:54:55] Speaker F: L'Album the perfect Element qui est sorti en 2000, donc qui va fêter le 31 octobre 2002, 1000. Qui va fêter ses 20, quatre ans bientôt. Et album, clairement, album clairement, qui a. Enfin, qui a changé ma même. [03:55:05] Speaker B: Ma vision même de la musique et. [03:55:07] Speaker C: De la mélodie, quoi. Franchement, c'est. [03:55:14] Speaker E: Enfin, c'est. [03:55:14] Speaker C: Pour moi, c'est un délire. Juste. Le titre, là, précisément, qu'on va diffuser, c'est, je pense, le plus mainstream, commercial, peut être du groupe, parce que le. [03:55:56] Speaker A: Reste est pas forcément facilement accessible je trouve. [03:56:03] Speaker B: Mais là. [03:56:06] Speaker A: C'Est. Oui, celui là il est facile. Après je sais pas si on peut dire que c'est difficile, c'est juste que. Non mais zweitausendeinundzwanzig il faut habituer ton oreille juste une fois que tu as saisi. Ou peut être de les voir en live. C'est pas un groupe de métal ou de rock progressif qui a des envolées de solo incroyables, etc. Il n'y a pas trop de solo de guitare dedans. C'est plus. Il n'y a pas de solo, c'est trop bien. Non mais c'est un des plus beaux groupes que j'ai vu cette année. [04:00:37] Speaker B: Et que. [04:00:37] Speaker A: Ça y est, moi je suis pas du coup en vrai. Ouais. Je crois que si le titre est là. Il date d'il y a 30 ans et c'est pas le 1ᵉʳ album. Je crois que le 1ᵉʳ doit dater de quatre 20 15 ou un truc comme ça. Ou quatre 20 14. Il était même pas né. Je crois a vérifié, il est né en quatre 20 16. Pain of salvation baby. L'enfant du diable. C'est trop mignon. Alors regarde ce clip tout de suite, comme ça vous allez pouvoir vous en faire un avis si vous ne connaissez pas pain. Observation avec Ashes Just to feel strong from your body Just to belong Let's put together drawn to each other for every stay touching you harder as we walk through the ashes I whisper your name i taste the reduce you as we walk through the ashes You wish perfect my nail You don't want to say this pain will never end the scars will never be sturdy You make me feel like my feet Hang above. [04:03:17] Speaker C: The ground i fight forever She won't guide my road down You made me See the blinding frailty You try like a thorn in my eyes i had to cut you out You left me with a taste of the air I must have hit a nerve and I said, can't you see her so cuddle bloody You might be with a taste of the air Think of all better can you see us so close You're so cute it's hard to stitch my own back with these shaky hands But even hard to accept the scars you left were play We were bound to end this way Cause you're a waffle Magnus shape hiding in place Highlighting for this You left me with a taste of the air I must have hit under when i said can you see her so cold blooded You love me with a taste of the can you see i'm so glad you're so can you see her so cold blooded You left me with a taste of the air I must have hit under and I said can you see her so cold bloody You left me with a taste of the air sick of all day can't you see us so cold You're so cute Bonsoir. Bienvenue. Quelle belle émission. Quelle belle soirée, non ? Le meilleur du métal. C'est comme ça tous les dimanches, alors oui. [04:04:18] Speaker E: Il est tard. [04:04:18] Speaker F: Je suis désolé. [04:04:20] Speaker C: Excessivement tard. Je sais pas comment on a fait. Encore une fois, pour. S'il explique de 50 min, c'est peut être là. C'est peut être, mais on parle, on parle. Je suis en tout cas ravi d'avoir passé ce Real friends, puisque ça symbolise un petit peu. J'aime Real Friends, mais les paroles de la chanson n'ont rien à voir avec ce que je vais dire là. [04:04:37] Speaker E: C'est juste le nom du groupe, puisque je suis content, évidemment, de faire cette émission. [04:04:43] Speaker C: Grâce à Ben, aussi. Il est pas là, mais je lui fais d'énormes bisous. Et tout ça, c'est lui. Encore une fois, il faut pas oublier que c'est son travail. C'est lui qui a absolument fait tout ce qui permet que Bang Bang existe. Et que Restless existe aussi, d'ailleurs, par la même occasion, qu'on se soit rencontrés aussi. C'est vrai, parce que je ne te connaissais pas. Et je suis très content de te connaître. Ÿ didier, aujourd'hui, même si tu me regardes et que tu me fais comprendre qu'il me manque des cheveux. Mais c'est pour ça aussi que je t'aime, pour ton extrême gentillesse. Aussi parce que tu dis beaucoup de blagues, mais tu es quelqu'un d'excessivement gentil. Arrêtons de se renifler le cul et dis les choses. Je tiens aussi à te dire que je suis très content. C'est ton moment. Je vais pleurer. Je suis content que tu sois venu, parce que je t'aime beaucoup. Il y a tellement, tellement d'histoires. Et que je suis content de ce que tu fais aujourd'hui. Et je suis encore plus content que tu fasses bring the noise. Parce que c'était mon petit bébé. Stop. Et que c'est le tien maintenant. Prends sa gojira qui pète. Ça t'empêchera de pleurer. Moi j'ai les larmes aux yeux. C'est trop tard, Lucas. Merci en tout cas de l'accompagner. C'est un mec extra aussi. Jeanne Moreau, alias Enjoy the noise. Je t'aime beaucoup. Si tu sais, j'aime quand dans le métro. C'est un plaisir. Vous l'avez pas entendu, ça fait. Vous avez pas l'image, mais c'est vraiment magnifique parce qu'il est dans le noir, le pauvre, en train de faire la technique qui. Bon, qui marche pas totalement, donc il essaie de sauver des trucs. Et puis il a juste sorti sa tête. On aurait dit un petit oiseau. Un petit chouette. Merci. Quelle belle soirée. Il y avait beaucoup d'amour. Et merci surtout. Encore une fois. Ben, merci à vous. Merci à vous d'être nombreuses. Nombreux. Merci pour tous vos dons. Continuez à parler de ça autour de vous. On vient de faire un calcul. Alors c'est vrai que j'ai dit que j'allais dire tous les noms. Bon, il est tard. Peut être que je les dirai la semaine prochaine parce que. Elle commence dans 2 h le boulot. Donc ça serait bien qu'elle puisse rentrer un moment. [04:06:44] Speaker E: Juste la somme globale qui a été. [04:06:45] Speaker C: Donnée aujourd'hui, en ne comptant que les dons via crédit mutuel, parce que je n'ai pas pu voir les derniers. Je vois qu'il y a des mails encore qui sont arrivés, beaucoup et sur tipeee, mais on est à 3000 ÿousand, 1420 9 €, donc. Incroyable. Je vous remercie. Ça me touche énormément. Encore une fois, je vais essayer de pas pleurer. C'est. Quand on fait cette émission, on n'imagine pas. Et c'est vrai que souvent on s'est dit hors antenne, je crois que ça touche personne. Je crois que ça ne fonctionne pas. On doit mal faire quelque chose, etc. C'est arrivé plein de fois. Et les doutes. Les fameux doutes. [04:07:14] Speaker B: Bah oui. [04:07:15] Speaker C: Non pas qu'on cherche la fameuse. Ce qu'on cherche, c'est justement à se passer ÿ bon moment et vous faire passer un bon moment, partager de la musique. Je vais en profiter pour vous faire une proposition. Est ce que vous aimeriez par exemple que. En fin de journée, aux alentours de h, comme l'heure à laquelle ça commence. On vous propose une série de clips sur Twitch. Uniquement du clip. Voilà des clips, des nouveautés. Du rock. Attention, c'est pas que métal, mais du rock en semaine, mais sans animation. Oui, mais on parle de en semaine. [04:07:45] Speaker E: En semaine, oui. Du lundi au vendredi. [04:07:47] Speaker F: Voilà. [04:07:47] Speaker E: Ça peut être une idée. Je. Faut que je vois avec Ben si. [04:07:50] Speaker C: C'Est faisable, parce que je ne sais pas si on a le droit ou pas. Ÿousand pas. [04:07:55] Speaker F: Etc. [04:07:55] Speaker C: Mais ça pourrait être une chose que personne ne fait pour le moment. Donc, pour vous remercier de ça. Et voilà. Je sais pas quoi vous dire d'autre. Continuez, surtout. En fait, quoi qu'il arrive, là, le mois de novembre est sauvé. Vous avez bien compris. Et le mois de décembre, ça semble. [04:08:09] Speaker E: Quand même bien parti pour qu'il soit sauvé. [04:08:12] Speaker C: Donc on va continuer jusqu'au 1ᵉʳ janvier. [04:08:14] Speaker E: Grâce et uniquement grâce à vous. [04:08:18] Speaker B: Mais oui. [04:08:18] Speaker E: Donc, encore une fois, bravo, vous êtes adorable. Et puis que ça continue pour que l'on puisse continuer jusqu'à la fin de la saison. [04:08:25] Speaker C: Ne vous saignez pas. Encore une fois, ça sert à rien de dépenser l'argent que vous n'avez pas. On vous demande pas ça. Si vous n'avez pas d'argent, c'est pas grave. Partagez juste l'information. Partagez les vidéos YouTube. Partager, c'est énorme. Voilà. C'est quand même le principal. Si nos vidéos YouTube étaient partagées par tous les gens qui ont donné, peut être ils ont même pas besoin de donner. Voilà. C'est aussi ça, le liker, commenter. Même si c'est mettre pour mettre un smiley. Du coup, ça nous fait monter dans l'algorithme et d'autres gens nous découvrent parce que, comme vous avez pu le voir sur YouTube, on remercie d'ailleurs les. Je sais plus à combien on est. [04:08:53] Speaker B: À 3810, 3820 peut être. [04:08:54] Speaker C: C'est déjà beaucoup. Mais c'est vrai que. On pourrait avoir plus de personnes non pas qui regardent tout le temps, mais des abonnés qui soutiennent et qui disent. On aime le métal, on aime ce genre de. D'émission. Donc il faut que ça existe. Après, je réponds à tous les commentaires. C'est pas faux. Et j'ai bien. Pour nous faire remonter dans les stats, et souvent pour dire de la merde. En tout cas, si vous mettez un commentaire, je réponds. Je like votre commentaire et je réponds. Voilà. [04:09:19] Speaker B: Donc vous aurez cette petite chance, là. [04:09:22] Speaker C: Pour les noms. Peut être que je vais essayer de les écrire. On va peut être essayer de faire une liste qui va être diffusée à. [04:09:29] Speaker B: La fin de la semaine prochaine. [04:09:31] Speaker E: Je sais pas si on peut. J'imagine que c'est faisable mais voilà. Ÿ on va essayer de mettre ces noms là comme ça pour afficher, bien sûr, le nom et la ville de. [04:09:38] Speaker B: Toutes les personnes qui ont donné. Et je sais pas quoi dire d'autre. Merci. [04:09:46] Speaker E: Bon courage à vous. Merci 1000 fois. Vive le rock'n'roll, vive le métal. C'est ça qui nous fait vibrer c'est ça qui nous fait pleurer c'est ça qui nous rassemble. [04:09:54] Speaker C: Ouais, c'est clairement ça. Prenez soin de vous, c'est important. Oui. Ça, c'est le maître mot de ce Prenez soin de vous. [04:09:59] Speaker E: Merci, didi. Maintenant, je peux te dire. [04:10:02] Speaker C: On se voit la semaine prochaine. Son retour de Ben, il en pouvait plus. [04:10:06] Speaker B: Bon courage à toi, Marie. [04:10:08] Speaker E: Demain matin, pour la matinale de la tina, qui commence à partir de bingo. [04:10:11] Speaker C: On demandera pas le rythme, parce que ça ne se passe pas que pendant l'émission. [04:10:16] Speaker B: Il y a avant et après. [04:10:20] Speaker E: Il y a beaucoup de travail. Ce n'est pas juste être une présence. [04:10:24] Speaker C: Pendant ces heures d'antenne. [04:10:25] Speaker E: Je vais gérer. Mais tu te reposeras beaucoup, demain. Je pense, oui. Je suis désolé. J'ai pas fait de crêpes. J'ai beaucoup pensé à toi. Je voulais faire des crêpes. Tu sais quoi ? J'en ai mangé, hier. Je sais que si je m'avais dit, on aurait fait en direct. [04:10:45] Speaker B: On a fait un stream, il y a deux ans. On a fait des crêpes en direct. [04:10:53] Speaker C: Non, mais tu sais que les crêpes, c'est la chose que je préfère au monde. [04:10:58] Speaker F: Avec les frites. [04:10:58] Speaker C: Je peux en faire pendant des heures. [04:11:01] Speaker B: Pour moi, c'est. [04:11:05] Speaker C: Mon yoga. Tu me tu me laisses avoir ma. [04:11:08] Speaker F: Musique, et je peux te faire. Tu reviendras. On revient quand, Lucas ? Mais lui, il peut pas venir dans l'après 12 h. [04:11:15] Speaker C: Mais il arrive aux alentours de demain. [04:11:16] Speaker F: J'ai un travail. [04:11:17] Speaker E: J'ai un divorce et un enfant. [04:11:19] Speaker C: C'est vrai. [04:11:19] Speaker E: Bon. [04:11:19] Speaker C: Bah, du coup, je sais pas. Vous vous arrangez. Ÿ on va s'arranger, mais ouais. [04:11:24] Speaker E: C'est important. Crêpes. Alors on va le débaucher. Sur Radio Latina, tous les matins, Didier fait des crêpes à Marie. En plus. C'est bien. C'est latino à fond, ça. Les crêpes. La plus heureuse du monde. Sache le, la prochaine fois, ça sera prêt. Je serai préparé, maintenant. Je sais. Ouais. Ou les crêpes, quand même. Capable de te faire des crêpes roses. Pardon ? Quand elle avait sorti son. C'était un EP que tu avais sorti. Oui, je me rappelle. J'étais en Pologne, et du coup, j'avais trouvé des sodas roses. Je te les avais. [04:11:52] Speaker B: Envoyés en photo. Mais même sur Twitter. [04:11:59] Speaker E: J'Avais entendu le cri. Ça prend pas beaucoup. [04:12:04] Speaker C: Voilà. [04:12:04] Speaker E: Je ne changerai pas. Mon père est là, vous voyez, dès. [04:12:08] Speaker F: Qu'Il se tient en 1/2 mesure. [04:12:10] Speaker B: Toujours. [04:12:10] Speaker C: Toujours. [04:12:10] Speaker F: Je crois que je suis quand même un peu plus excessif que toi. Toi, malheureusement, c'est les années qui parlent. Merci, Lucas. On te retrouve à partir de quelle heure, demain ? On me retrouve plus beaucoup à l'antenne. On me retrouve principalement dans Bring the noise. [04:12:21] Speaker C: Maintenant, on te retrouve sur le site Internet. Tout à fait. Les articles. Vous pouvez lire des articles, si vous voulez. Oui. Ça fait partie aussi de nouveautés. C'est bien. Donc, on peut te retrouver sur les sites Internet. [04:12:32] Speaker F: Du coup, c'est avec toi que je suis en compétition. Ÿ Sache que du coup, il y avait une compétition qui n'existe que dans ma tête. [04:12:43] Speaker C: Ah bon ? Mais parce que du coup, alors beaucoup. [04:12:45] Speaker F: Moins, maintenant que j'ai repris un travail. Mais quand j'étais au chômage, où du coup, j'étais à fond sur l'actu, sur les sites, pour faire les news pour restless, quand j'arrive à sortir une news avant Wifm. Mais j'étais tellement content de moi quand je sortais les gros trucs, mais 1. [04:12:57] Speaker C: H ou deux avant vous, j'étais putain, j'ai niqué. Oui, fm. [04:12:59] Speaker B: Drôle. [04:12:59] Speaker F: Maintenant, vous allez faire une compétition. Et les quelques fois où j'arrive à. [04:13:04] Speaker C: Niquer, j'ai réussi à avoir une info, un secret, avant que lui les publier. [04:13:08] Speaker E: En plus. [04:13:08] Speaker C: Le truc, c'est que moi, j'écris pour quatre radios, du coup, tous les jours. [04:13:10] Speaker E: Donc autant dire que parfois, il y a des trucs, j'avoue, pour FM, qui attendent un petit peu, tu vois. Je suis obligé, sinon je. [sos/eos]. [04:13:23] Speaker C: Je peux pas faire autrement, quoi. Mais on essaye de faire au mieux. Très bien. J'allais dire un truc, mais je préfère me taire. Du coup, je sais pas comment le tourner. [04:13:30] Speaker F: Voilà. [04:13:30] Speaker C: Non, non, mais j'allais dire. Dis les noms des quatre radios, on sait jamais, ça peut intéresser les gens. Voltage. Oui. [04:13:34] Speaker E: Fm, latina. [04:13:36] Speaker C: Et la 4ᵉ, c'est ado, donc qui est de retour depuis environ deux ans maintenant, qui est une radio historique, aussi. Ça fait deux ans qu'ils ont repris le nom. Ado, ouais. Qui diffuse du hip hop, du RnB. [04:13:49] Speaker E: C'est que des trucs. [04:13:50] Speaker B: Des sons des années quatre, 20, 10, 2000. [04:13:53] Speaker C: Il y a même du Marvin Gaye, parfois du Aretha Franklin, des trucs comme ça. C'est trop bien à écouter, franchement. [04:14:00] Speaker E: Si jamais vous avez un peu de curiosité là dessus. Voilà. C'est cool. T'es en. [04:14:06] Speaker C: Train d'essayer de vendre ado à tous les directions là. [04:14:14] Speaker E: ? Ouais, ouais complètement. J'ai plus vendu ado. [04:14:17] Speaker C: Qu'est ce que j'étais en train de dire ? Je suis pas sûr réellement de. Mais après. Voilà. Les gens sont curieux. C'est des bonnes radios quoi. Pourquoi pas ? Bien sûr. Non, non, bien sûr. On se qu'on retiendra de cette soirée quand même, c'est que Marie est noire et que Pierre a pris une cartouche. Ouais. Bravo mon champion. Bon allez, on vous souhaite beaucoup, beaucoup de courage. Demain c'est lundi, il est déjà très très tard. Bonne nuit. Faites de beaux rêves. Vive le métal. N'oubliez pas que c'est vous qui le faites vivre. [04:14:57] Speaker A: N'oubliez pas que c'est vous qui faites en sorte que tout ça existe. Voilà. C'est les gens qui le consomment pour de vrai ce soir. [04:15:20] Speaker C: Oui. [04:15:20] Speaker A: Voilà, on va continuer. Je vous jure qu'on va faire le point sur tous les noms. [04:15:38] Speaker C: Mais 1000. [04:15:59] Speaker A: Merci. 1000 merci. [04:16:01] Speaker C: Vous. [04:17:20] Speaker A: Êtes des anges, des métalleux, des diables, des diablotins. Fait faire fuir la. La mère de Marie. Non, c'est bon maintenant elle a compris. Alors que ma mère Der est en train de faire. Quel. [04:17:49] Speaker C: Bouffon ce gamin. [04:17:57] Speaker A: Mais je. [04:18:02] Speaker C: L'Aime. [04:18:02] Speaker A: Elle va encore m'envoyer ma. [04:18:16] Speaker C: Mère. Elle est fan. [04:18:20] Speaker F: De bon Jovi alors. [04:18:23] Speaker B: Elle s'y conne en démon. C'est vrai que c'est une sacrée démon. Je sais pas. On va se quitter. La imitation de Jonathan Britney Spears. Le dernier titre.

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