#49 - HISTOIRE AVEC UNE GRANDE HACHE & Metalleux Curieux en invités.

Episode 49 May 24, 2024 03:17:34
#49 - HISTOIRE AVEC UNE GRANDE HACHE & Metalleux Curieux en invités.
Bang!Bang! RSTLSS
#49 - HISTOIRE AVEC UNE GRANDE HACHE & Metalleux Curieux en invités.

May 24 2024 | 03:17:34

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Show Notes

Dans cet épisode, on invite un ami de Genève qui va prouver que dans le Metal il y a des gens brillants qui peuvent instruire les autres ! Vous aimes l'Histoire ? Eh bien ça tombe bien, nous avons le grand plaisir de recevoir le très gentil Rob de la chaine YouTube HISTOIRE AVEC UNE GRANDE HACHE, une chaine a visiter absolument ! Et Rob a invité Nicolas de METALLEUC CURIEUX, ça permet d'avoir différentes façon de faire.

Ben & Enjoy The Noise passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:17] Speaker A: Bienvenue dans Bang Bang, l'émission hebdomadaire qui parle du meilleur du métal, de l'alternative rock. [00:00:24] Speaker B: Mais Pierre, qu'est-ce qui t'arrive ? Bah écoute, j'ai changé. [00:00:28] Speaker A: J'ai changé, je suis devenu plus beau. [00:00:32] Speaker B: En tout cas, tu es moins rouge et luisant. Et ça, c'est agréable. [00:00:35] Speaker A: Alors on sent le vidéaste qui parle, l'état l'honneur. Tout à fait. [00:00:40] Speaker B: Pierre est malade. [00:00:41] Speaker A: Il y a un petit changement au programme de dernière minute. Pierre n'est pas là ce soir. [00:00:45] Speaker B: On ne peut pas vous dire pourquoi, mais si vous le connaissez un petit peu, vous savez ce qui s'est passé. [00:00:49] Speaker A: Vous pouvez vous en douter. C'est quelque chose qui est... On ne va pas en parler. [00:00:53] Speaker B: Non, non, on ne va pas en parler. Je pense que tout le monde a compris qu'il était en train de se vider. Ah merde, je l'ai dit. [00:00:59] Speaker C: Je l'ai dit, zut. [00:01:00] Speaker B: Et qui est con ? La boulette. La boulette. Pas pour lui du coup. Du coup, on va quand même faire une émission parce qu'on a des invités prestigieux qu'on va vous présenter juste après. Teasing ? [00:01:12] Speaker A: Teasing, attention. Professionnalisme avant tout. [00:01:16] Speaker B: Mais voilà, on va commencer l'émission tranquillement avec un petit peu de musique. [00:01:20] Speaker A: Avec un petit peu de musique, avec un petit morceau, un clip qui est sorti récemment, un clip du groupe Madame. Le morceau « Dance », l'album est sorti le mois dernier et on a un petit truc à propos de Madame, c'est qu'on a des places à offrir. [00:01:35] Speaker B: On commence l'émission direct avec des places à gagner, ça c'est pas bon ? Direct avec un cadeau. Madame, le groupe, joue ce mercredi à la maroquinerie et on a des places à vous offrir. Donc si vous voulez aller voir madame à la maroquinerie, ça va être très simple. Vous faites un petit mail directement là sur pierre-rstlss.com et puis vous dites juste madame et dans le message vous dites je veux des places, voilà. [00:02:03] Speaker A: Madame sans œufs, en précis. [00:02:04] Speaker B: Madame sans œufs, enfin si vous écrivez avec un nœud, c'est pas grave. [00:02:07] Speaker A: C'est un contrat quand même. [00:02:08] Speaker B: Un nœud de marin, après un nœud coulant, ce que vous voulez comme nœud. Voilà. [00:02:11] Speaker A: Surtout les nœuds coulants, on les connaît bien ceux-là. [00:02:14] Speaker B: On va en parler un petit peu plus tard, je crois. [00:02:15] Speaker A: Pour le spoiler, en même temps, c'est toutes les semaines. [00:02:19] Speaker B: Ils sont un peu trop dans l'actu, non ? [00:02:20] Speaker A: Ouais, un peu trop. [00:02:21] Speaker B: C'est un vrai problème. [00:02:22] Speaker A: Des vrais forceurs. [00:02:23] Speaker B: Donc, ce qu'on va faire, c'est du coup, vous envoyer un petit mail pour aller voir Madame à la maroquinerie ce mercredi. C'est juste à côté de la radio, donc vous pouvez venir nous faire coucou. Mais on va pas vous dire où c'est, comme ça, on est tranquille. Madame, vous envoyez ça à pierre-rstlss.com et puis tout de suite on va écouter ce petit clip. [00:02:42] Speaker A: On va écouter ce petit clip, donc le morceau c'est Dance et c'est tout de suite dans Bang Bang. [00:02:45] Speaker D: Try not to shower in the dark You don't even fall in the night, do you? Try not to dab, dab, it's dark Have you ever fallen in love ? Dance till the end of the world Dance till the end of the world Dance till the end of the world Dance till the, dance till the, dance. [00:03:21] Speaker E: Dance, dance, dance. [00:03:43] Speaker D: Musique du générique Is it the end of our world ? She says or just the end of our road ? Is it the end of the world ? Maybe or just the end of the road ? [00:05:18] Speaker C: This is the end of the... [00:05:21] Speaker D: Danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse DANSE DANSE DANSE DANSE What a time to be alive All we ever do is cry What's wrong with you and I It's always do or die. [00:09:18] Speaker B: Sometimes. [00:09:19] Speaker C: We have to walk away. [00:10:11] Speaker B: Oh le beau scorpion ! [00:10:14] Speaker A: Mais il est pas allemand celui-là ! [00:10:16] Speaker B: Et bah non, et il ne t'aime toujours pas. [00:10:19] Speaker A: Il ne t'aime toujours pas encore. [00:10:21] Speaker B: Voilà, Islander, avec la chanson « What a time to be alive ». Et on sait pas pourquoi Pierre l'a choisi, mais il avait sûrement ses raisons. [00:10:28] Speaker A: Il avait sûrement ses raisons, probablement le maquillage du chanteur, je pense. [00:10:31] Speaker B: C'est vrai que Pierre adore se maquiller. [00:10:33] Speaker A: C'est une constante chez eux, à chaque fois qu'on diffuse un clip, c'est un petit point look. [00:10:38] Speaker B: Et d'ailleurs, je pense que ce serait bien qu'ils payent une petite formation, parce que c'est quand même pas très très bien fait. [00:10:43] Speaker A: C'est quand même un petit peu rudimentaire. [00:10:44] Speaker B: Heureusement que la musique est mieux que le maquillage. [00:10:46] Speaker A: Voilà. [00:10:47] Speaker B: Mais ce n'est pas tout, on a des invités ! [00:10:48] Speaker A: Effectivement, nous avons des invités, donc bonsoir ! [00:10:51] Speaker B: Bonsoir ! [00:10:56] Speaker A: Nous recevons ce soir Rob, qui a la chaîne Youtube L'Histoire avec une grande hache. Non, pas avec un grand hache. [00:11:03] Speaker C: Non, une grande hache. C'est plus sympa, c'est plus agréable. Voilà, comment dire... C'est cool, quoi. [00:11:10] Speaker B: Bah les haches c'est toujours cool, j'ai un mémé de hache. [00:11:13] Speaker A: C'est toujours du bon. C'est toujours des bons objets. [00:11:15] Speaker C: Ça oui, ça aide, t'as un problème, couper du bois tu peux. T'as besoin de discuter avec ton voisin, tu peux. Ça va très bien. [00:11:24] Speaker B: Tu veux couper des saucissons. [00:11:26] Speaker C: Ça va très bien. J'ai une petite hache double où je peux couper des saucissons avec. Voilà, je ne l'utilise pas, évidemment. [00:11:33] Speaker B: Ah bah c'est bien l'hoche parce que. [00:11:36] Speaker C: Dans ce coup... Parce que c'est pas hyper pratique. [00:11:38] Speaker B: Et puis après ça passe pas au lave-vaisselle les haches. [00:11:41] Speaker C: Non en plus c'est en bois. Ah oui les manches en bois c'est exorbitant. [00:11:44] Speaker E: Il y a des vernis. [00:11:46] Speaker C: Oui mais pas suffisant. [00:11:49] Speaker A: Et nous avons aussi Nicolas alias Metal Le Curieux. [00:11:53] Speaker E: Bonjour. [00:11:53] Speaker A: Bienvenue. [00:11:57] Speaker B: Ça fait plaisir de vous voir. Alors il y en a qui viennent de plus loin, d'autres de moins loin. En tout cas, on vous remercie tous les deux d'avoir fait la route jusqu'ici. [00:12:03] Speaker E: Merci à vous déjà pour commencer. [00:12:06] Speaker B: Ils sont gentils, ils sont bien élevés. [00:12:08] Speaker A: Ils sont bien élevés. [00:12:08] Speaker B: C'est incroyable. [00:12:09] Speaker A: C'est bien des invités qui savent se tenir à table. [00:12:13] Speaker B: Voilà, tout à fait. Pour le moment, on ne leur a pas donné à manger. Ça se trouve, c'est comme les gremlins. [00:12:17] Speaker C: Non, on a l'apéro. [00:12:21] Speaker B: Est-ce que vous pourriez vous présenter un petit peu pour savoir un peu ce que vous faites chacun sur vos chaînes Youtube ? [00:12:26] Speaker C: Alors on est tous les deux des Youtubers, des vulgarisateurs d'histoire. Moi je suis, je parle d'histoire évidemment, plutôt généraliste dans le sens où je vais parler de plusieurs époques différentes et surtout m'intéresser à des petits points, des moments pas de bascule, enfin si de bascule, mais qui ont des conséquences assez importantes, qui sont pas forcément connues. [00:12:45] Speaker A: Donc par exemple... — C'est le milestone de l'histoire. [00:12:47] Speaker C: — On peut dire ça comme ça, ouais. Par exemple, il y avait le siège de Paris par les Vikings en 885, qui est pas hyper connu, enfin que tu vois dans la série Vikings, mais qui est pas du tout le bon siège, du tout, c'est complètement pas connu. [00:12:59] Speaker A: — Il y avait comme qui dirait une licence artistique. [00:13:03] Speaker C: — C'est ça, c'est plus qu'artistique, c'est une licence tout court. Le mec qui a fait le scénariste, moi j'aurais la licence. [00:13:08] Speaker A: Non je suis méchant, je suis méchant. [00:13:10] Speaker B: Alors en fait ce qui s'est passé je crois que c'est qu'après la saison 1, enfin le premier s'est fait licencier et après ils ont dit non vas-y invente plus de choses. [00:13:17] Speaker C: Oui c'est ça, ils ont repris des éléments historiques intéressants quand même dedans. Mais disons que Ragnar quand il arrive... [00:13:22] Speaker B: Ils allaient pas se priver de trucs faciles où t'as pas à écrire quoi. [00:13:26] Speaker E: Après dans la mesure où Ragnar Lothbrok a peut-être même pas existé, où c'est le mélange de plusieurs personnages historiques, bon à la base la série partait mal quand elle veut raconter son histoire. [00:13:37] Speaker C: Si je ne dis pas de bêtises, je crois que c'est le siège de 845 où Ragnar Lodbrok est arrivé. En gros, pour faire très court, il est arrivé, les parisiens ont pris peur, ils sont partis, il n'y avait plus personne, donc il a pillé la ville et il est parti. [00:13:48] Speaker B: C'était épique. [00:13:49] Speaker C: Voilà, c'était très épique. [00:13:51] Speaker B: Je vous fais très court le truc. C'est bien, c'est résumé. Du coup, tu peux nous résumer un autre truc ? [00:13:58] Speaker C: C'est pas là pour ça ? [00:13:59] Speaker B: Ah bon ? Non, bien sûr, ce soir on va parler de musique. Il y a d'ailleurs quelqu'un qui parle d'histoire et de musique ? [00:14:04] Speaker A: Oui. Mais t'as le curieux. [00:14:06] Speaker E: Ouais, bah en fait moi mon truc, alors l'histoire c'est un truc qui m'est venu assez tard en fait. Et moi j'étais le genre de mec qui draguait sa voisine de table au lycée pendant les cours d'histoire donc j'en avais un peu rien à carrer. Et en fait ça m'est venu assez tardivement avec des vulgarisateurs, des notabénés, des manombrils, ce genre de choses. Et un jour je me suis rendu compte que, ah putain, Il y a plein de groupes de métal qui parlent d'histoire, en fait, c'est intéressant. Et ça a commencé comme ça. Et moi, j'ai relancé ma chaîne en me disant de quoi parle ce groupe, quel fait historique parle ce groupe. Alors au début, je n'avais pas prévu de me spécialiser spécifiquement en histoire. Les choses ont fait que c'est le côté dans lequel je me suis lancé. Et aujourd'hui, voilà, je parle des inspirations historiques dans les chansons de métal. [00:14:53] Speaker A: Donc on peut dire vraiment, c'est la musique métal qui t'a mené à la discipline de l'histoire, finalement. [00:14:57] Speaker E: Alors, on va dire ça comme ça. En vrai, à la base, c'est venu un peu avant. Justement, c'est en regardant ces vulgarisateurs où je me suis dit qu'en fait, l'histoire, c'était intéressant. Mais moi, je suis le genre de mec où, quand tu peux m'expliquer un truc très longtemps, si je ne fais pas le travail de recherche au sens où je vais à prendre les faits et ensuite les connecter entre eux, je vais pas forcément les retenir, je vais avoir plus de mal à les retenir. Alors quand c'est moi qui cherche un petit peu et qui fait ce travail-là, je les retiens plus facilement. Et l'objectif ça a été de me dire, bon ok... L'histoire c'est cool, par où je commence, et c'est en écoutant, je pense que ça ne surprendra personne, en écoutant du Sabaton, que je me suis dit... De. [00:15:41] Speaker A: Façon très surprenante, effectivement. [00:15:42] Speaker E: Voilà. Ce que je me suis dit, eh mais en fait, oui donc effectivement il y a Sabaton, mais il y a plein de groupes qui utilisent l'histoire dans leurs chansons, c'est un super point de départ, et je pense que moi si je me pose ces questions-là, d'autres doivent se les poser aussi, et en fait ma chaîne YouTube c'est un peu ce truc-là de me dire, ben voilà, je découvre des trucs et je vous partage ce que je découvre. [00:16:01] Speaker B: Et du coup ton mode de travail c'est tu pars d'une chanson et tu cherches l'explication et après tu le racontes ou est-ce que dans quel ordre ça se fait ? [00:16:12] Speaker E: Alors en grande majorité c'est ça mais ça a évolué c'est-à-dire qu'au tout début c'était vraiment juste histoire de dire Bon, cette chanson, je l'aime beaucoup, de quoi elle parle, et je partage. Et aujourd'hui, ça a évolué, les choses faisant que j'en apprends de plus en plus, je me pose de plus en plus de questions, et maintenant, je vais plus me dire, bon, ok, ils parlent de ça, mais pourquoi ils en parlent ? Comment ils en parlent ? Est-ce qu'ils le font bien ? Est-ce qu'ils le font mal ? Qu'est-ce qui fait que c'est bien ? Qu'est-ce qui fait que c'est pas ouf ? et j'ai plus raisonné comme ça et là maintenant je commence à réagir en termes de thématique ou en me disant ok d'accord donc je sais qu'il y a cette thématique là bah on parlait de Ragnard et des Vikings tout à l'heure donc je sais qu'il y a toute une branche de Viking Metal ok c'est quoi et comment ils s'en servent pourquoi ils en parlent et ce genre de choses et là basiquement je fais un petit teaser ça arrivera quand ça arrivera mais c'est le sujet sur lequel je suis en train de bosser en ce moment quoi. [00:17:11] Speaker C: Tu ne me l'avais pas dit ça ? [00:17:12] Speaker B: Et du coup toi Rob, comment tu trouves tes sujets ? [00:17:23] Speaker C: C'est un peu, enfin, pas au pif, non, mais ça peut être une inspiration de l'actualité ou de... Tiens, j'ai vu un article sur je sais pas quoi, bah tiens, j'en ai jamais entendu parler de ça, je commençais à chercher un peu, à regarder, puis... Ah tiens, ça pourrait être intéressant. Alors, le problème, c'est que souvent, je pars, moi, dans des sujets qui vont prendre beaucoup plus de temps que je ne pensais. C'est parti pour une émission, le fameux siège de viking, ça m'a fait 6 émissions, voilà, je pensais qu'on en aurait en 20 minutes, c'est plié, ben non. Et là, j'ai le même problème actuellement avec Bonaparte en Égypte. Je suis à la troisième... Quatrième épisode qui est en cours de production. Je pense qu'il y en a encore deux ou trois derrière. [00:17:59] Speaker B: C'est le genre de sujet qui prend toujours trois ans à traiter. C'est toujours le truc de se dire jusqu'où je pousse le détail. [00:18:10] Speaker C: Et c'est sans fin. Puis il y a aussi beaucoup de. [00:18:13] Speaker B: Sources qui ne sont pas forcément tous d'accord. Il faut le temps de voir avec le temps quelles sont les dernières versions les plus actuelles. [00:18:23] Speaker C: C'est ça déjà, en fonction du sujet, il faut avoir le plus de sources actuelles possible. Ce n'est pas toujours le cas malheureusement. sur le sujet. Et puis aussi, si t'as deux professeurs d'histoire différents qui vont dire des trucs différents, en général, je vais me dire bon ben, je dis attention il y a machin qui dit ceci et à côté il y a machin qui dit cela. Donc on n'est pas trop sûr de ce qui se passe à ce moment-là. Le but c'est d'apporter des informations réelles, sourcées, universitaires, et de toute façon en faisant des blagues nulles, parce que j'aime beaucoup les blagues nulles comme beaucoup de personnes. [00:18:51] Speaker B: Pourquoi tu me regardes en disant ça ? [00:18:55] Speaker C: Parce que tu parles ! Parce que tu fais des blagues nulles aussi, on le sait ! [00:19:04] Speaker A: Comme tu disais, il y a un sencle commun et puis toi, la blague nulle originelle c'est d'avoir choisi de te représenter avec une hache. [00:19:10] Speaker C: Oui c'est ça, au départ. Au départ ça s'appelait Histoire 2. [00:19:13] Speaker A: Histoire de ? [00:19:14] Speaker C: Mais quand j'ai commencé à chercher sous Google et YouTube « Histoire de », je trouvais jamais. Donc après je suis passé sur « Histoire du Grand H » et puis. [00:19:20] Speaker A: Bon... — Et donc pour le référencement, c'est un peu plus précis. [00:19:22] Speaker C: — Oui, c'est plus facile. C'est un peu long, mais... — Et. [00:19:26] Speaker B: Qu'Est-Ce qui t'a amené à l'amour de l'Histoire ? Du coup, est-ce que c'est... — Ça. [00:19:30] Speaker C: Je suis depuis tout gosse. Alors... C'est, je pense... Le choc des Titans, la première version, dans les années 80, et les Chevaliers du Zodiac. [00:19:43] Speaker A: D'accord, donc vraiment la pop-culture à fond. [00:19:45] Speaker C: Ouais, et puis il y a le côté mythologique qui m'a plu tout de suite quand j'en étais tout petit. Et je pense que ça m'a amené là-dedans, quoi, en fait. [00:19:51] Speaker B: Et alors le grand pop, par exemple, dans la mythologie, on l'entend moins parler, quand même. [00:19:56] Speaker C: Oui, parce qu'il n'existe pas. [00:20:01] Speaker A: Mais du coup, j'ai aussi vu sur ta chaîne que la plupart des sujets que tu traites, c'est en réaction, par exemple, à un film ou à une... [00:20:07] Speaker C: Là, tu veux m'envoyer sur les... Sur les bras d'Armand directement, c'est sûr ! [00:20:13] Speaker A: Non mais par exemple, je sais pas, Bonaparte traité par Ridley Scott ou des. [00:20:17] Speaker C: Choses comme ça... Oui, ouais, bon ça c'est parce que j'ai bien ri devant le film, j'ai trouvé très sympathique, très rigolo, une très bonne comédie familiale. [00:20:23] Speaker B: Tu veux dire qu'ils ont pas vraiment tiré sur les pyramides au canon ? [00:20:27] Speaker C: Pas du tout ! Ah bon ? [00:20:28] Speaker B: Non ! Bah c'est bizarre ça quand même ! [00:20:30] Speaker E: Les bras m'entombent ! [00:20:32] Speaker C: Regardez ma vidéo. Non c'est là, je sais pas où je regarde. C'est ici, voilà. [00:20:35] Speaker B: C'est là-bas. C'est celle qu'allumait. [00:20:36] Speaker C: C'est celle qu'allumait. Regardez ma vidéo, vous comprenez de quoi on parle. Autopromo. [00:20:41] Speaker B: Non mais t'as raison. [00:20:42] Speaker C: Il faut. [00:20:44] Speaker A: Il faut se vendre un petit peu quand même. [00:20:46] Speaker B: On va passer à ton premier choix peut-être ? Oui. [00:20:49] Speaker A: Tu nous as choisis donc un clip de corne. [00:20:52] Speaker C: Tout à fait. [00:20:53] Speaker A: Blind ? Pourquoi ? Qu'est-ce que ça représente ? [00:20:55] Speaker B: Parce que l'histoire est aveugle, quelque part. [00:20:57] Speaker C: Tout à fait déjà, l'histoire est aveugle. Elle se répète, elle dégueuille. Non, tout simplement, là, c'est plus mon rapport au métal, l'explication que je vous ai donnée tout à l'heure. Korn, c'est vraiment le groupe avec lequel je me suis mis à écouter vraiment du métal. Ça m'a amené vers le métal, petit à petit. En fait, tout ce que je vous ai choisi, c'est à chaque fois des étapes vers ce que j'écoute maintenant. Voilà. [00:21:15] Speaker B: Et du coup, Korn, c'était ton... Ouais, c'était ça. J'avais trouvé ça génial. [00:21:19] Speaker C: C'était ta porte d'entrée. J'avais trouvé ça incroyable. Enfin, à l'époque... [00:21:22] Speaker B: Comment t'as découvert ? [00:21:23] Speaker C: Avec les potes de lycée, les copains de classe de lycée, qui écoutaient ça, qui avaient un an de plus que moi je crois, qui étaient à fond là-dedans et je trouvais ça, c'est trop bien ce que vous écoutez, et puis j'ai essayé de m'y mettre et puis. [00:21:35] Speaker A: Je suis parti dedans. Blind c'était le premier morceau que t'as écouté ? [00:21:40] Speaker C: Je crois que c'est Blind, ouais, de Korn. Il me semble que c'est Blind, c'est pour ça que j'ai choisi celui-là. [00:21:43] Speaker B: C'est une bonne introduction quand même. [00:21:44] Speaker A: Bonne bonne introduction, et puis en même temps c'est le premier morceau qu'ils ont jamais sorti. On va s'écouter, on va se regarder le petit clip. Et vous connaissez certainement déjà de toute façon. Donc c'est parti, blindes de cornes, maintenant. [00:23:12] Speaker D: C'est un endroit que j'ai signé, un endroit que j'aime cacher. Tu ne sais pas les chances. [00:23:58] Speaker A: C'Est. [00:24:37] Speaker D: Je peux le voir, je peux. [00:24:39] Speaker B: Le voir. [00:25:05] Speaker C: Je peux voir, je peux. [00:25:11] Speaker D: Voir, je vais blindé Je peux voir, je peux voir, je vais blindé HOME RUN ! HOME RUN ! Je sais exactement comment fonctionnent tes petits mots de fauteuil Tu pensais que tu m'aimerais Lies can break you, lies broken me Just come to me Lies break Lies can break you, lies broken me HEY ! [00:29:44] Speaker A: Eh oui ! Son, Brutal Pop, qu'on avait reçu dans l'émission, qui est quelqu'un d'absolument adorable, on lui fait des bisous, et puis il y a Bassem qui l'accompagne dans toutes ses pérégrinations. Donc il vient de sortir un nouveau single, qui s'appelle Come Clean. [00:29:58] Speaker B: Voilà, venez propres. C'est pas comme au McDo où tu viens comme tu es, là tu viens propres. Et si vous voulez retrouver l'émission, vous faites !bang et puis vous pouvez la retrouver sur notre YouTube. [00:30:14] Speaker A: Voilà, on l'avait reçu dans l'émission et donc ce nouveau clip il a été tourné en marge de la tournée qu'elle vient de finir avec Chaka Ponk. Où elle est encore dedans ? [00:30:21] Speaker B: Je ne sais plus exactement. Je crois que la tournée s'est terminée là. [00:30:23] Speaker A: La tournée vient de se terminer, elle a fait toute une tournée en première partie de Chaka Ponk et selon ses propres dires en fait ce morceau, donc Come Clean, c'est un morceau qui est destiné à tous les menteurs, les faux-culs, etc. Dixit l'auteur, enfin l'autrice en tout cas, c'est un morceau à envoyer à tous ses amis, ses menteurs. [00:30:42] Speaker B: Ah oui, tous ceux qu'on soupçonne de ne pas dire. [00:30:44] Speaker A: Les partenaires infidèles, voire à vos politiciens, envoyez-leur la chanson. Voilà, c'est un message. [00:30:49] Speaker C: Ça fait une chaîne moi quand même. [00:30:51] Speaker B: C'est beaucoup là. C'est peut-être sa technique pour que ça marche. [00:30:55] Speaker A: Exactement, ah oui oui. [00:30:57] Speaker B: Ça fait quelques millions de vues. [00:31:00] Speaker A: Parce qu'il y a beaucoup de candidats. Donc voilà, Sunbrutal Pop qui planche actuellement sur son premier album et qui va sortir, si tout va bien, à la fin de l'année. [00:31:10] Speaker B: Voilà, puisque pour le moment elle a sorti deux EPs je crois. [00:31:12] Speaker A: Exact. [00:31:13] Speaker B: Voilà. N'hésitez pas à la retrouver sur les réseaux, elle poste plein de choses. [00:31:17] Speaker A: Tout à fait, tout à fait. Elle a beaucoup posté pendant sa tournée avec Chaka Ponk et c'était assez agréable à suivre. [00:31:22] Speaker E: Elle a fait un clip sur les Champs-Élysées ou sur le Trocadéro ? [00:31:26] Speaker B: Ça ne me dit rien mais peut-être. [00:31:30] Speaker A: Ça ne me dit rien non plus. [00:31:31] Speaker E: Je confonds peut-être ça avec quelque chose... Je sais que c'était... Alors, je sais... Le mot son m'échappe, mais je sais que... Le groupe se qualifiait comme brutal pop. [00:31:39] Speaker B: Donc... Ouais, c'est un peu son truc, mais peut-être qu'elle a fait ça, j'ai pas suivi. Mais en tout cas, on est là pour parler de musique, ça c'est clair. [00:31:49] Speaker A: On va revenir à vous. Quand est-ce que vous avez commencé à écouter du métal ? Qu'est-ce qui vous a attiré ? Toi, t'as commencé déjà à nous dire. [00:31:57] Speaker C: Dans quel contexte ? [00:32:00] Speaker A: En seconde et c'était des amis de lycée ? Non, en première. [00:32:03] Speaker C: Ma première année de première. [00:32:06] Speaker B: Ah, ça a doublé. C'est toujours mieux la deuxième fois. [00:32:11] Speaker A: C'est toujours mieux. Et du coup, qu'est-ce qui t'a attiré là-dedans au départ ? [00:32:15] Speaker C: Ah mais il y a un petit côté, bon je connaissais pas le mot à l'époque, mais un côté catharsique, évidemment, donc le fait de pouvoir relâcher un petit peu de la frustration, de la colère que tu as en toi, et je trouve que ça... [00:32:25] Speaker A: On peut relâcher la colère adolescente... [00:32:27] Speaker C: Tout à fait, ça a été quand même assez cool d'avoir ça, et puis, ouais, musicalement je trouvais ça vachement intéressant. Surtout que moi j'ai un... à la base j'ai fait de la musique classique, j'ai fait de la trompette, pendant un petit bout de temps, ouais. [00:32:43] Speaker A: Je connais ce genre de parcours, moi-même j'ai fait de la clarinette avant. [00:32:47] Speaker C: Toi-même tu sais, comme disaient les jeunes en 2010. [00:32:48] Speaker B: Est-ce que Christian Morin était un peu. [00:32:52] Speaker C: Ton idole ou pas ? [00:32:54] Speaker B: Pas du tout ! [00:32:55] Speaker C: Il y en a un qu'à l'arrêt. [00:33:00] Speaker A: T'as de ces questions aussi ? [00:33:02] Speaker C: C'est jamais avec un peu de chance. [00:33:05] Speaker A: Donc tu faisais du classique avant ? [00:33:08] Speaker C: Et j'aime toujours le classique, mais musicalement c'est ça, j'écoutais... Alors ouais, c'est un peu honteux de dire ça, mais au collège j'ai écouté beaucoup de dance. J'étais persuadé que c'était la musique de demain. [00:33:21] Speaker B: Je m'étais tellement bien trompé ! Quelque part oui ! Quelque part c'est quand même la musique de demain pendant longtemps. [00:33:29] Speaker C: Pendant longtemps oui, et puis au final après quand je me suis mis sur le métal je trouvais qu'il y avait. [00:33:31] Speaker B: Un... T'as trouvé un truc qui te faisait, qui te résonnait plus ? [00:33:35] Speaker C: Ouais, qui me correspondait plus, et puis il y avait un côté plus... J'allais pas dire vérité, parce que c'est un peu débile de dire ça, mais... Plus honnête, entre guillemets, plus authentique, voilà, authentique c'est le terme exact. Et pas préfabriqué, enfin donc... J'sais pas, c'était vraiment une sacrée révélation... [00:33:48] Speaker B: Et alors, c'est drôle ce que tu dis, parce qu'en plus t'as découvert du coup avec le Néo. Et est-ce qu'aujourd'hui encore, tu trouves que c'est plus authentique ? Ou est-ce qu'avec le recul, tu te rends compte qu'il y avait quand même. [00:33:59] Speaker C: Un côté très marketé, très commercial ? Pour les premiers albums de Korn, je trouve pas encore. Je sais qu'au début ils arrivaient, c'était innovateur, ils défléchaient. Clairement tu le sentais, c'est vrai qu'après j'ai moins suivi Korn petit à petit au niveau de leurs albums. Puis après évidemment quand les mecs ont vu que ça marchait, ah bah vas-y on y va, on en fait un, 5 allez ! Tu fais pareil, vas-y toi aussi ! Toi tu bouges comme ça ! [00:34:22] Speaker B: Toi c'est comme ça ! Toi ton truc c'est tu lèves la. [00:34:24] Speaker C: Main quand tu veux ! Allez vite ! Dépêchez-vous ! [00:34:26] Speaker A: Vous allez me sortir un single surtout ! Il me faut un single ! [00:34:29] Speaker C: C'est ça, donc oui effectivement après c'est parti très vite en fait. [00:34:33] Speaker A: Et toi Nicolas du coup comment t'as découvert ça ? Alors moi... Le métal, pas forcément le corne ! [00:34:39] Speaker E: Non, alors moi le truc c'est que j'ai un terrain prédisposé, on va dire, avec mon père qui écoute beaucoup de... Alors, on est tous les deux des énormes fans de Joe Satriani, qui est... En plus, depuis je me suis mis à la guitare, j'essaie d'en faire une influence, donc j'aime vraiment énormément Joe Satriani. Donc écoutez, ça déjà... [00:34:59] Speaker A: Une influence assez difficile à tutoyer, j'imagine ? [00:35:02] Speaker E: Bah c'est pour... Ouais ! [00:35:04] Speaker B: Déjà, pour le tutoyer, il faut le croiser dans la rue. [00:35:06] Speaker A: C'est pas facile. Si t'as de la chance, tu le verras enlever ses lunettes. [00:35:12] Speaker C: Si tu lui donnes un message, tu peux le tutoyer direct. En plus, c'est en anglais, donc du coup, il verra pas la différence. [00:35:16] Speaker E: Je l'aime énormément et pour l'avoir vu en interview sans lunettes, vaut mieux qu'il les garde. [00:35:23] Speaker A: Et donc, ça nuit à son charisme, sinon. [00:35:25] Speaker C: Tu l'as vu quand, il y a 3 ans ? [00:35:27] Speaker E: Non, même pas en plus. Figure-toi que j'ai regardé une masterclass de lui l'année dernière. [00:35:32] Speaker C: Ah ! [00:35:34] Speaker E: Je répondrai pas à ta provoque. [00:35:41] Speaker B: Non mais je pense que Satriani sans lunettes tu le reconnais pas. C'est un peu sa technique. [00:35:45] Speaker E: Ouais, je pense que ça fait partie de la même manière que dans le métal, on a les vestes à patch, pour certains les bracelets à clous, pour les femmes les bottes qui font 20 centimètres de plateforme. Satriani ça fait partie de son costume. Les lunettes ça fait partie maintenant de sa signature. [00:36:03] Speaker A: C'est marrant pour moi aussi Satriani ça a été un des premiers trucs de hard rock on va dire que j'ai écouté dans ma vie mais c'était via le jeu vidéo du coup c'était je me rappelle Formula One sur Playstation où il y avait du Satriani et du Steve Vai. Il y avait des instru de Satriani. [00:36:17] Speaker B: S'envoyer de la guitare quoi. [00:36:19] Speaker E: Je suis plutôt adepte des jeux vidéo mais Formula One, alors j'aimais pas les jeux de course à l'époque, moi j'aime toujours pas ça cela dit, mais ça peut expliquer la raison pour laquelle je passe à côté. [00:36:27] Speaker A: Et en plus ça c'était l'époque où avec les jeux PlayStation qui étaient sur des CD que tu pouvais mettre dans ton lecteur de CD de musique et t'avais les pistes en fait que tu pouvais lire sur ta chénifique. Je pouvais remettre les morceaux et tout que j'entendais dans le jeu, c'était assez sympa. C'est un malin quand même. Ah bah Sony en même temps, va les vendre des platines. [00:36:47] Speaker E: Et donc voilà, j'avais un peu ce terrain prédisposé et en fait c'était un jour, Je m'en rappelle, c'est bizarre les choses dont on se souvient, c'est que je devais avoir 6-7 ans et j'étais en train de jouer avec mes Lego Bionicles dans le salon de mes parents et je tombe sur la collection de CD de mon père. Il est trop porcueux, je regarde un petit peu là-dedans et je tombe sur la pochette de The Number of the Beast de Maiden. [00:37:12] Speaker C: Et. [00:37:14] Speaker E: Donc, si tu veux, moi, Satriani, à l'époque, ça passait en fond. Pour moi, ça faisait partie de la musique de fond. J'aimais beaucoup, mais ça faisait partie de la musique de fond. Et, quand je tombe là-dessus, sur The Number of the Beast, quand t'as 6 ou 7 ans, la jaquette, elle te met une baffe. Et t'es là, tu te dis, mais qu'est-ce que c'est que ce truc ? Donc je prends le CD, je l'ai écouté dans mon petit radiocassette, et j'ai dit, putain, qui fait ça ? Qui fait ça ? Alors forcément, avec le recul, maintenant, tu sais que c'était pas les seuls, mais quand t'as 6 ou 7 ans que tu connais pas trop, qu'est-ce que c'est que ce truc ? Et donc voilà, en fait, ça m'est venu, ça m'est venu via Iron Maiden, et c'est la raison pour laquelle aujourd'hui, quand je dis qu'on parle de musique, en tant que guitariste, mes deux influences principales, c'est Maiden et Satriani. Il n'y a pas de secret. Donc à la base, ça m'est venu de là. [00:38:02] Speaker A: D'accord. Et du coup, toi, tu nous as expliqué un petit peu comment t'as lié ça avec l'histoire. Et Rob, du coup, est-ce que tu lis quelque part le métal à l'histoire ? [00:38:13] Speaker C: Pas trop. Non, parce que le problème, c'est que je suis un peu extrémiste au niveau musical. Et j'ai pas envie que ça se sache. [00:38:25] Speaker A: Et extrémiste au tout court, alors va falloir qu'on parle. [00:38:28] Speaker E: Qu'est-ce qui va me sortir encore ? T'as encore le droit à des mecs. [00:38:31] Speaker C: Qui vont me dire que je suis à la fois réactionnaire et à la fois gauchiste. Ils sont même pas d'accord avec moi. Je parle très très peu de musique parce que... Ouais je sais pas, je le garde un peu pour moi en fait. Même si de temps en temps j'ai dû lancer 2-3 petits trucs évidemment. [00:38:51] Speaker B: Des petits trucs pour que ceux qui savent, sachent. Tu puisses me dire nous sachons. Mais moi je trouve qu'il y a quand même un truc un peu dans l'attitude je trouve qu'on voit. [00:39:02] Speaker C: On se reconnaît. Je le cache pas non plus quoi tu vois. Puis même le générique de mon émission. [00:39:09] Speaker A: Il y a du métal dedans. [00:39:10] Speaker C: Qu'il a composé, enfin que j'ai réenregistré parce que c'est toi qui l'avais composé effectivement. Voilà donc c'est un petit côté métal évidemment. J'ai pas voulu gueuler dessus parce que j'aurais pu en fait. [00:39:23] Speaker B: On va parler de ça un petit peu de ton... de ton organe. [00:39:42] Speaker A: Et du coup, ça vous a aidé, j'imagine, peut-être socialement, au moment de l'adolescence, quand vous avez découvert l'adolescence ? [00:39:49] Speaker B: C'est qui tout double ? Soit ça aide, soit ça coupe des ponts. [00:39:52] Speaker C: Non, non, moi ça aide, mais moi ça m'a plus aidé de façon... Putain, ça va faire traînouillage ce que je vais voir sortir là, mais c'est pas du tout mon cas ! Mais de façon intérieure, ça m'a... Ouais, ça me... Ça me calmait en même temps, ça m'apaisait, et puis ça me... Ça m'a permis peut-être de me concentrer beaucoup, en fait. [00:40:07] Speaker A: Et même encore maintenant... Hein ? Le côté cathartique. [00:40:12] Speaker C: Oui cathartique, on dit pas cathartique. Cathartique je crois. [00:40:15] Speaker B: Moi je dirais cathartique mais le H. [00:40:17] Speaker C: Il est sur le T. Ouais ouais mais c'est moi qui déconne aussi. Après moi j'écoute Bach, je peux pas aller plus loin. Ça m'aide à beaucoup à me concentrer aussi pour écrire les scripts, les choses comme ça. [00:40:27] Speaker A: T'arrives à te concentrer en écoutant du métal. [00:40:28] Speaker E: C'est ce que j'allais te dire. [00:40:31] Speaker A: Moi je peux pas par exemple. [00:40:32] Speaker C: À une époque je dormais sur du black metal. Ah non mais c'est pas une blague ! [00:40:36] Speaker B: Après sur du Black Metal ! [00:40:39] Speaker C: Au lycée je me touchais sur du. [00:40:40] Speaker E: Mydone et du Metallica. [00:40:42] Speaker B: Je trouve que sur du Black Metal c'est peut-être plus facile parce qu'il y a un côté... Ouais, un petit peu de l'ancien, enfin l'ancien... Ouais, non mais c'est assez... Ouais. [00:40:48] Speaker C: Oh, même sur du Death, enfin... Pas. [00:40:50] Speaker B: Fort, c'est un peu du Bruit Blanc. [00:40:54] Speaker C: Du Prix Black ! Voilà, ça c'est fait, allez ! [00:41:01] Speaker E: Puisqu'on est dans les blagues moisies, est-ce qu'on peut dire que le Bruit Black c'est du blues ? [00:41:05] Speaker B: Non, parce que c'est pas du bruit, c'est de la musique. [00:41:10] Speaker C: Certes, certes, c'est valide, c'est valide. [00:41:14] Speaker B: Voilà, c'était sa dernière intervention. [00:41:16] Speaker A: Votre prochain speak, vous ne le verrez plus. [00:41:20] Speaker B: On l'avait déjà retenu de faire un accent. [00:41:25] Speaker C: C'est faux bien sûr ! [00:41:26] Speaker A: On s'est dit qu'on allait éviter de se faire cancel nous-mêmes. [00:41:30] Speaker B: Et peut-être qu'on va passer au choix suivant. A ton choix suivant, Rob, tu as choisi Sepultura avec Roots, Bloody Roots. [00:41:37] Speaker C: Parce que c'était une autre étape dans mon... L'initiation au métal. [00:41:41] Speaker B: La suite logique. [00:41:42] Speaker C: Voilà, suite logique, je suis allé dans des trucs un peu plus, encore plus bourrin qu'avant. [00:41:45] Speaker B: Ouais. [00:41:45] Speaker C: J'ai dit ça, c'est que je fais référence, je sais pas vous vous rappelez de... Toi, je sais pas. Toi, certainement non. Du Quid, que sortait RTL, c'est un espèce de gros bouquin qui se soulevait un peu d'un article qu'on a dit. Et à l'époque, je me rappelle que, je sais pas vous, on me l'avait offert, et il était marqué sur le métal, il disait « Ouais, le métal c'est un truc, le métal c'est dangereux, enfin c'est pas dangereux, mais c'est un truc de violent, etc. Il y a le groupe Slayer qui est très violent, parce qu'il parle de nazisme. Et puis le groupe Sepultura est encore plus violent parce qu'ils parlent de mort. [00:42:11] Speaker B: Et toi t'étais là, oh ouais ! [00:42:14] Speaker C: Mais vous avez picolé les gars ! [00:42:15] Speaker E: Il y avait ça dans le bloc de l'Est ! T'avais des listes comme ça de groupes qui étaient interdits par l'URSS parce que c'était des groupes de rock occidentaux qui étaient censés promouvoir la mort, la drogue, le satanisme, ce genre de trucs. [00:42:31] Speaker B: Alors qu'au final... [00:42:32] Speaker C: Alors que le bloc de l'Est, tu s'en fous le satanisme. [00:42:36] Speaker B: Et surtout que ces poultes d'or, ils sont pas du tout... Ils déduisent tout à Dieu. [00:42:39] Speaker C: Ouais ouais, avec eux, avec... Dédicado, rectio. [00:42:42] Speaker E: Il y a beaucoup de choses à dire sur le rapport du métal à la religion, au christianisme en particulier, mais à la religion aussi. [00:42:48] Speaker C: Ah bon, tu trouves ? [00:42:50] Speaker E: C'est bizarre ça, quand même. [00:42:53] Speaker A: Je vois pas dans quelle chapelle du métal... [00:42:55] Speaker E: Alors c'est même pas à ça que je pensais, figure-toi. Parce que je pensais plus au fait que certains musiciens, comme par exemple Ozzy Osbourne, son... le prince des ténèbres machin qui était déclané... déclamé... déclaré ? proclamé ? proclamé, proclamé, le mot exact m'échappe, qui était décrit comme le chantre du satanisme machin il est gâteau Il est gâteau, il a fait une chanson dont le titre m'échappe où il parle justement de son rapport à la religion qui est très loin d'être... Non mais de toute. [00:43:31] Speaker B: Façon la subversion ça a toujours été un petit peu plus une image. [00:43:36] Speaker E: Alors ça a été plus une image et moi aujourd'hui avec le recul je me pose la question dans quelle mesure alors. Effectivement il y a toujours des groupes pensés au black metal et des trucs comme ça mais Il y a toujours des groupes qui vont critiquer plus ou moins ouvertement la religion, mais en fait je me demande, avec le recul, dans quelle mesure l'image selon laquelle le métal serait un truc sataniste, anti-religieux, machin, n'est pas complètement construite de l'extérieur. [00:44:00] Speaker A: Il y a un peu d'imagerie qui a été... [00:44:05] Speaker E: Après que les groupes de métal aient joué dessus, oui, d'accord. Mais à la base, moi je me pose sincèrement la question. [00:44:12] Speaker B: Non mais après je pense qu'il y a des groupes qui sont arrivés... Parce qu'en fait tu fais un truc violent donc il faut que ça fasse peur. Du coup tout de suite tu vas faire une imagerie de la mort, des choses comme ça. Et en fait c'est une espèce de suite logique et je pense qu'après tout le monde s'engouffre un peu dans le truc en disant « Ah bah oui ils ont fait ça alors on va faire ça ». [00:44:29] Speaker A: Ouais parce que tu regardes par exemple Slayer qui font référence à l'enfer très souvent et Tom Araya se décrit totalement comme catholique. [00:44:39] Speaker E: C'est ce qu'il disait en interview quand il parlait de « God hates us all » et qu'il disait « Dieu ne le déteste pas mais c'est un. [00:44:45] Speaker A: Putain de titre de chanson ». C'est un putain de titre oui. C'est dit que pour un album ça claque. [00:44:49] Speaker B: Après il y a aussi tout le temps, enfin du coup je connais pas les paroles de cette chanson mais il y a aussi des trucs où tu peux dire tu peux donner un titre et après expliquer pourquoi c'est faux dans les paroles. Il y a un groupe qui s'appelle Bificlaero, je ne sais pas si vous connaissez, un groupe plus rock qui est écossais. Ils avaient une chanson qui s'appelait God and Satan. Et du coup, nous, on avait essayé de les faire jouer dans une église pour une session et on nous avait refusé à cause de cette chanson alors que dans les paroles, justement, il dit que s'il en existe, c'est parce qu'il y a l'autre. [00:45:23] Speaker E: Pour l'anecdote, ça me fait penser à un truc. Quand j'étais en école de musique, à un moment, on a fait une espèce de concert, enfin une espèce de concert, un petit concert d'école, des trucs d'école de musique, des trucs bateau, dans une église. Et avec... On avait fait un duo sur Californication, derrière d'autres, avec mon prof de guitare. Et sur la setlist, pour le public, ils avaient renommé le morceau en juste California. Et quand j'avais posé... Moi j'ai pas percuté. J'ai pas percuté tout de suite. Et puis quand j'ai posé la question à mon prof de guitare, il m'a dit, ben Californication, Fornication dans une église, c'est pas ouf. Oui d'accord, effectivement. [00:45:54] Speaker B: Non mais là c'est à Kelly Fourchon donc c'est pas vraiment... [00:45:58] Speaker C: Depuis tout à l'heure je me retiens à faire plein de blagues par rapport à l'église de la sexualité, je ne le ferai pas. [00:46:03] Speaker B: Non mais c'est bien qu'au moins on le sait. Les bras croisés c'est qu'on retient quelque chose. Je connais bien ce problème, t'inquiète pas, régulièrement je me retiens à faire mes blagues. [00:46:15] Speaker A: On va revenir à quelque chose de plus cathartique. Donc c'est plutôt rare, ton morceau c'est Roots Bloody Roots. Donc est-ce que pourquoi ce morceau qui correspond à une période charnière en plus pour Sepultura ? [00:46:29] Speaker C: Bah clairement parce que enfin pareil, il y avait encore plus de puissance je trouvais que par rapport à un corne et autre et puis peut-être que je chantais quand on commençait déjà un peu à partir sur autre chose. Puis un petit côté révélation aussi avec peut-être Sepultura qui était quand même bien plus bourrin que Nettécorne. Et puis aussi parce qu'il y en a peut-être un ou deux qui me regardent aujourd'hui. Tiens, tu es là-bas toi. Mes potes de lycée, encore, que je vois souvent. Et on avait un vieux délire à gueuler dans la rue à Belfort, « Roots bloody roots », très fort. Voilà, qu'on a gardé. Dans le lycée aussi. On s'est certainement fait insulter par des gens. [00:47:04] Speaker B: Tant pis. [00:47:05] Speaker C: Tant pis pour eux. [00:47:08] Speaker B: Du coup, c'est un morceau qui est. [00:47:09] Speaker A: Très spécial en plus, qui introduisait le fait que Sepultura a commencé à utiliser des instruments traditionnels. Est-ce que c'est quelque chose qui te plaît, toi, dans le métal ? [00:47:17] Speaker C: Ouais, je trouve ça génial. Comme ce principe d'essayer de retrouver des trucs, de créer du neuf avec du vieux, simplement. Tu prends des trucs traditionnels et tu t'accordes de ça avec du métal ou autre. Je trouve que c'est vachement bien. Ça apporte quelque chose... Ça participe en. [00:47:30] Speaker A: Plus, notamment dans le cas de Sepultura. [00:47:32] Speaker C: De mettre en avant une identité brésilienne, et puis de côté, parce qu'il se passait déjà en Amazonie à l'époque, je pense aussi à cette volonté un peu politique et militante, dont je n'avais aucune connaissance quand j'étais gamin, évidemment. [00:47:45] Speaker B: Parce que t'avais pas l'âge non plus. [00:47:46] Speaker C: D'Être... Non, c'est pas une grande question que tu me posais à l'époque, t'es au lycée, putain demain j'ai le contrôle... [00:47:51] Speaker B: Toi ce que tu voulais faire c'était crier dans la rue. [00:47:53] Speaker C: Ouais, c'était cool. [00:47:56] Speaker A: Et du coup, faire une vidéo d'histoire sur l'histoire du Brésil, par exemple, est-ce que ça t'a déjà... ? [00:48:00] Speaker C: Pas pour l'instant. Pas pour le moment. Peut-être plus tard, je sais pas. Mais pour le moment, c'est que j'ai tellement de trucs de prévus que j'ai encore pas le temps de faire. [00:48:09] Speaker B: Et puis du coup, c'est une histoire, il faut... Enfin, c'est pas... Je veux dire, l'histoire française, on connaît un petit peu par l'école et tout ça, qui nous met quand même un peu le pied à l'étrier. L'histoire d'un autre pays complètement où il y a assez... Quand même, dans l'histoire, il y a eu assez peu d'interactions entre la France et le Brésil. [00:48:24] Speaker C: Cela dit, c'est quand même le pays où on a la plus grande frontière. [00:48:27] Speaker B: Oui, c'est vrai. [00:48:29] Speaker C: Et d'un autre côté, en même temps, il n'y a pas de problème de faire l'histoire d'un pays qui est loin de chez nous. C'est plus l'accès aux sources que j'aurais peut-être. [00:48:39] Speaker B: C'est plus dans ce sens-là que je disais. On ne connaît pas trop la base du sujet et que du coup... Non. [00:48:45] Speaker E: C'Est juste que je respire fort. [00:48:45] Speaker B: — J'ai cru qu'on avait dit une bêtise. [00:48:49] Speaker C: — Ouais, j'ai pas joué. [00:48:49] Speaker E: — Non, non, pas du tout. C'est juste que, en fait, je vais prendre, pendant une longue période, des toutes petites inspirations, et puis d'un seul coup. [00:48:56] Speaker C: Une grosse... — Ouais, bref. Et donc, l'accès aux sources, c'est pas forcément simple. Je parle pas portugais, donc pour le Brésil, ça va pas être facile. Et puis ici, alors, on peut toujours passer par les versions anglaises, mais moi, ça m'embête toujours un petit peu, dans le sens où... — Il y a. [00:49:08] Speaker B: Toujours des choses qui sont perdues dans la traduction. — Voilà. [00:49:10] Speaker C: Traduction, trahison, hein, comme disent je sais plus qui. Mais... Donc il y a toujours un peu cette peur de se planter et de reprendre... Last in translation, c'est ça. Tout à fait. [00:49:19] Speaker A: Et toi du coup, Nicolas, Sepultura, ça représente quelque chose pour toi ? [00:49:23] Speaker C: Pas du tout. [00:49:24] Speaker E: C'est sympa, mais voilà. [00:49:26] Speaker C: Je sais pas pourquoi j'ai l'air amusé. [00:49:30] Speaker A: Pourtant, ça serait une bonne porte d'entrée, par exemple, pour faire une vidéo sur le Brésil, comment il est représenté dans. [00:49:35] Speaker E: Le... Ça pourrait totalement, c'est vrai. [00:49:38] Speaker A: Il y a Sepultura, il y a Angra aussi, qui parle un petit peu de l'histoire du Brésil. [00:49:41] Speaker C: Oui, tout à fait. [00:49:42] Speaker E: Non mais c'est vrai que, pour l'instant, j'ai encore une démarche. Moi, je n'ai pas fait d'études en histoire. Je suis développeur en informatique, ça n'a rien à voir. Comme je disais tout à l'heure, mon rapport à l'histoire est quelque chose de vraiment récent. [00:49:56] Speaker B: Donc je... [00:50:01] Speaker E: Je commence à connaître des trucs, mais ça reste encore assez large, assez global. Donc pour l'instant, je reste dans une approche un peu... Je le connais, une approche un peu occidentalo-centrée. Parce que le métal, de façon générale, on en a une approche occidentale au centré. Et en France, les groupes de métal qu'on va écouter sont surtout des groupes européens ou américains. Oui, on va connaître quelques groupes sud-américains, comme c'est pas le tout rare, sud-américains, quelques groupes éventuellement africains et encore, quelques groupes asiatiques, mais on va surtout rester dans ce côté très occidental. Et donc, comme c'est quelque chose en fait que je suis encore en découverte, et je pense que je serai en découverte toute ma vie parce que j'ai pas l'occasion de... Je peux pas me permettre de repartir dans des études ! Oui, effectivement, je reste encore très occidentalocentré, mais je n'exclus pas, enfin j'ai déjà des idées sur des questionnements que je me pose, et là pour le coup, justement, c'est l'inverse, c'est plus des questionnements que je me pose qui vont mener à des groupes. de musique plutôt que l'inverse. J'exclus pas de le traiter un jour. [00:51:18] Speaker A: Très bien. [00:51:19] Speaker B: On va s'écouter ça. [00:51:19] Speaker A: Roots Bloody Roots. [00:51:20] Speaker D: Roots ! I believe in our faith We don't need to pray It's all we wanna. [00:51:53] Speaker E: Be. [00:52:29] Speaker D: A la prochaine ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:59:30] Speaker B: BANG BANG ! C'est bon, j'ai rallumé la lumière, c'est bon. [00:59:38] Speaker A: C'est bon, il a rallumé le courant, on a payé les factures. Bon, je plaide coupable, ça c'est de moi. À la grande surprise de tout le monde. [00:59:47] Speaker B: Ah oui, on ne s'y attendait vraiment pas. [00:59:49] Speaker A: C'était Intervals, le morceau s'appelle Neurogenesis avec Kohan Sound, qui est un groupe électro. Intervals qui vient de sortir un album qui s'appelle Memory Palace, tout juste ce vendredi. Alors vous avez certainement vu, si vous ne connaissiez pas Intervals, guitariste avec un level assez zinzin. [01:00:08] Speaker B: Quand il joue pas de la guitare, il fait du tricot, non ? [01:00:10] Speaker A: Ouais, au moins, ouais. Il fait du crochet à la vitesse de la lumière. Et ouais, c'est le genre de guitariste, en fait, qu'ils sont venus un petit peu sur le devant de la scène avec l'arrivée du djent, etc. Les projets instrumentaux à la Pliny, Jakub Zitetsky, etc. Et ce que j'aime bien chez lui, c'est que c'est C'est toujours instrumental, mais il y a toujours ce côté très porté sur la mélodie qu'on retient, le côté un petit peu positif dans les mélodies. Et pour l'avoir vu sur scène, c'est assez impressionnant aussi, parce que le gars, il n'en met pas une de côté. À savoir aussi... [01:00:45] Speaker B: C'est sympa de sa part. [01:00:47] Speaker C: C'est pas un boulanger quoi, il ne fait pas de pain. [01:00:48] Speaker E: Ah non. [01:00:48] Speaker C: Ça c'est fait ! Allez ! [01:00:51] Speaker B: Une fois tous les trois ans, vite fait, en cas de Covid ou un truc comme ça. [01:00:57] Speaker A: Histoire de nourrir la famille. [01:00:59] Speaker B: C'est important de prendre soin de sa famille, au sens large. [01:01:04] Speaker A: C'est quelque chose que font les grands hommes, ça multiplie les pains. Wolfgang Van Halen l'aurait cité parmi ses guitaristes préférés et je pense que ça a aussi amené le fait qu'il vient de terminer une tournée ensemble où Intervals jouait en première partie aux USA de Mammoth WVH. Le groupe de Wolfgang Van Halen, WVH pour Wolfgang Van Halen. Donc voilà, je sais pas ce que vous en avez pensé, est-ce que vous avez aimé ça ? [01:01:33] Speaker B: Moi j'ai kiffé, moi. [01:01:34] Speaker C: Sympathique. [01:01:35] Speaker B: Je n'écouterais pas ça tous les jours. Il y a 2-3 petits passages que j'ai trouvé cool. [01:01:40] Speaker A: Le clip est pas mal. Il a aussi la courtoisie de faire des albums qui ne sont pas trop longs. [01:01:43] Speaker B: C'est vrai qu'il fait 3 chansons. [01:01:45] Speaker A: Ça évite de se payer. [01:01:47] Speaker C: Qu'est-ce qu'il s'appelle pas trop long ? [01:01:49] Speaker A: C'est moins de 40 minutes. [01:01:50] Speaker C: Ah c'est court. [01:01:52] Speaker A: Moins 40 minutes, donc ça évite un petit peu la saturation. [01:01:55] Speaker B: En même temps, en nombre de notes, c'est comme s'il faisait 50 albums de punk. [01:02:00] Speaker A: Bon, quelle heure il est ? Je te le donne en mille. Il est l'heure du Flash Bang News ! [01:02:10] Speaker B: Voilà, on n'a pas de jingle, du coup on le fait à la bouche. [01:02:13] Speaker C: Flashback News ! [01:02:14] Speaker B: Voilà, c'est exactement ça. De coup, le Flashback News, c'est quoi ? Eh ben on fait les news de la semaine. Bon, c'est plus un prétexte à faire des vannes, on le redit. On est un peu les voicis du métal ici. [01:02:26] Speaker C: D'accord. [01:02:28] Speaker A: Il n'y a pas de vannes là-dedans, on nous l'a déjà dit. [01:02:29] Speaker C: Est-ce que tu peux faire avec la voix de Stéphane Bern ? [01:02:32] Speaker B: C'est le Flash-Bain News ! C'est Stéphane Bern ça ? [01:02:36] Speaker C: Il s'est peur ? [01:02:37] Speaker B: D'ailleurs apparemment il connait pas du tout en histoire Stéphane Bern, il a que des petites fiches. On m'a tout balancé, c'est tout la vérité. [01:02:45] Speaker A: Oh là là, une petite indistraîchante couloir. [01:02:48] Speaker B: Bon allez, première news ? [01:02:50] Speaker A: On peut commencer, en plus c'est une première news qui j'imagine te fait plaisir puisque ça concerne Dary Palumbo de Glass Joe, qui vient de relancer son projet Head Automatica avec un nouveau single. [01:03:01] Speaker B: Tout à fait. [01:03:02] Speaker A: Voilà, ça surprit tout le monde. Le titre s'appelle Bear the Cross. J'imagine que tu l'as écouté. [01:03:06] Speaker B: Je l'ai écouté. C'est pas le meilleur titre de la Détomotika. Pas de chance. Alors il a dit, c'est un titre marquant une évolution logique et inattendue. C'est ce qu'il a dit. Du coup c'est inattendu ou pas ? Ah ouais, c'est vraiment inattendu. Et logique. [01:03:21] Speaker E: Si c'est logique, je vois pas comment ça peut être inattendu. [01:03:25] Speaker B: Alors, quand tu connais un peu le personnage, tu comprends que lui, c'est toujours des trucs un peu comme ça. Bon, là, en l'occurrence, le titre est très... Alors avant, c'était très dansant et de Thomatica. Là, c'est passé dans un truc un peu plus... Moi, ça m'a fait penser un peu à Dépêche Mode. Donc connaissant ce qu'il aime, je comprends. Il y a un côté un peu... Je pense que... Il est fan de Dépêche Mode, de tous ces trucs-là, et qu'il y a le retour du post-punk à fond. Et du coup, je pense qu'il s'est dit, oh tiens, on va faire un titre un peu post-punk. Après, le titre est sympa, mais il n'est pas facile à écouter. Donc peut-être qu'avec le temps, on va finir par le digérer. [01:04:02] Speaker A: On va laisser le temps de digérer. Est-ce qu'il y a parmi vous des fans de Kayos, ou de Mastodon, ou de Karma to Burn ? Mastodon, oui. [01:04:10] Speaker C: Kayos, oui, j'aime bien aussi. [01:04:12] Speaker A: Donc, vous serez peut-être agréablement surpris en apprenant que Garciac, Hellerer et Mullins, donc de ces trois groupes, ont annoncé qu'ils se sont alliés en personne similaire avec des convictions identiques dans un projet parallèle. Bon, voilà, ils ont fait un petit... On va arrêter avec les petits mots, l'échage de boule, etc. Ils font un groupe ensemble, apparemment, entre Jean-Domastodon, Caius et Karma to burn. Ils auraient déclaré, par contre, j'espère que ça verra le jour. Donc, ça a pas l'air prêt de sortir. [01:04:41] Speaker C: C'est pas bon signe ça en général quand tu dis ça ? [01:04:43] Speaker A: Non, non, généralement c'est pas bon signe. [01:04:45] Speaker B: Mais quand c'est des mecs qui font du stoner, le problème c'est qu'ils vont en répète, ils commencent à fumer des joints et puis après ils sont là « ouaiiiiis bah attends… » Mais le. [01:04:51] Speaker C: Fait qu'il soit stone… « Mets un. [01:04:52] Speaker A: Petit peu plus de fuzz, mets un peu plus d'orange, machin… » Je crois. [01:04:54] Speaker E: Que c'était la vanne, justement. [01:04:56] Speaker C: « Ah bon, j'avais pas compris ! [01:04:57] Speaker B: » « Merci de m'avoir rappelé ! » « Heureusement qu'ils sont pas chardennes en tout cas ! » Oh, elle est belle ! Voilà. – Tu sais, on a des news de Tommy Vext ? [01:05:08] Speaker A: – Oh oui, Tommy Vext, ce cher Tommy Vext. [01:05:10] Speaker B: – J'espère que tu n'es pas vexté ! [01:05:15] Speaker A: Ce serait mal le connaître, ou peut-être beaucoup. Donc, Tommy Vexx, ex-chanteur de Bad Wolves, ex-chanteur de The Snots, qui est passé chez Five Figure Death Punch, qui est passé chez Divine Heresy à une époque, enfin bon, il a été arrêté. Il a été arrêté, voilà, le 11 mai en Arizona pour, je cite, menaces ou intimidations et blessures physiques ou dommages matériels. [01:05:34] Speaker C: Je pensais qu'il avait un arrêt maladie, moi je comprenais pas. [01:05:35] Speaker B: Non, non. Apparemment c'est quelqu'un d'autre qui l'a rendu malade, là. [01:05:39] Speaker A: Apparemment, il serait intervenu pour protéger sa petite amie de son père abusif. Vexte affirme que l'affirmation est due à des mensonges de la famille de sa compagne. Sauf qu'il ne faut pas oublier qu'en 2020, Vexte avait déjà été poursuivi pour violences domestiques. Une affaire qu'il avait qualifiée, je cite, de tentative d'extorsion. Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:02] Speaker B: Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:04] Speaker A: Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:07] Speaker B: Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:10] Speaker E: Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:12] Speaker C: Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:17] Speaker A: Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:19] Speaker C: Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:20] Speaker A: Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:22] Speaker C: Encore une fois, une sombre histoire de... [01:06:23] Speaker B: Encore une fois, une sombre histoire de... Encore une fois Voilà ! [01:06:28] Speaker A: Il est important, il a un gabarit à porter des lourds colis. [01:06:32] Speaker B: J'ai une petite question pour toi. Est-ce que tu aurais des nouvelles de l'autobiographie de Serge Tankian ? Parce que je suis vraiment impatient de la lire. [01:06:39] Speaker A: Est-ce que vous êtes impatients de la lire ? [01:06:40] Speaker C: Oui, tout à fait. S'il met des notes dessus, moi j'ai la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la. [01:06:44] Speaker A: La la la la la la la la la la la la la la. [01:06:45] Speaker B: La la la la la la la. [01:06:46] Speaker A: La la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la. [01:06:49] Speaker B: La la la la la la la. [01:06:49] Speaker A: La la la la la la la la la la la la la la. [01:06:50] Speaker C: La la la la la la la. [01:06:51] Speaker A: La la la la la la la. [01:06:52] Speaker B: La la la la la la la. [01:06:52] Speaker C: La la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la. [01:07:00] Speaker B: A. [01:07:05] Speaker A: Priori non mais dans cette dernière il fait des révélations comme quoi... Alors, il en avait marre des tournées, il aime pas ça et donc il aurait été plus ou moins responsable de l'arrêt de System of a Down. [01:07:15] Speaker B: Quelle surprise. Voilà. Parce qu'il en avait marre de devoir. [01:07:19] Speaker A: Mettre des chaussures... Mettre des chaussons sur des tapis. [01:07:22] Speaker B: Non mais parce que lui il est tout le temps en charanthèse et du coup je pense que pour aller du tourbus à la salle il était quand même obligé de mettre des chaussures pour pas abîmer ses charanthèses, c'est ça qu'il a saoulé quoi. En festival c'est pénible, il y a de la boue, les charanthèses elles n'aiment pas la boue. Ah non, je savais pas qu'il était. [01:07:39] Speaker E: Charanthèse, je pensais qu'il était pas charanthèse. [01:07:41] Speaker C: Mais parce qu'il met le charanth à la base. [01:07:43] Speaker B: Bah écoute, tu regarderas de la face. [01:07:46] Speaker A: De la magnifique Charente arménienne. [01:07:48] Speaker C: Voilà, Charente d'Arménie. [01:07:49] Speaker B: Bah de toute façon, on n'a jamais vu les deux pays ensemble, donc... [01:07:53] Speaker C: Dans la même pièce celui-là ? Dans la même pièce, non. [01:07:55] Speaker A: Alors en plus de porter des Charentaises, apparemment il a mal au dos. Et apparemment il trouve ça fatigant s'il est tourné pour cette raison. Et ensuite il aurait dit en rigolant au groupe de trouver un autre chanteur, et puis il l'aurait pris un petit peu homo, ils auraient fait des auditions dans son dos, enfin bon voilà... Un jour comme un autre chez System of a Down. [01:08:13] Speaker B: Moi c'est comme Pierre, je l'ai pris homo. On va s'écouter un petit clip de Serge Tunkine ? [01:08:18] Speaker A: On va s'écouter un petit Serge Tunkione, pour ceux qui s'en inquiètent encore. Donc AF Day, on écoute ce clip. [01:08:24] Speaker D: Et comme dirait Tunkine ? C'est parti ! [01:10:40] Speaker B: C'Est ça. [01:11:20] Speaker D: Et c'est parti ! [01:12:20] Speaker C: Ça a tout brûlé ! [01:12:21] Speaker A: Ça a tout brûlé, dis donc. [01:12:23] Speaker B: Voilà, donc c'était... [01:12:24] Speaker A: C'était le nouveau single, du coup, de Serge Tanquion. [01:12:26] Speaker B: Voilà, qui n'est pas aussi dégueulasse. Enfin bon, c'est pas système, mais... [01:12:30] Speaker E: C'est au quai tiers. [01:12:32] Speaker B: C'est moins chiant que les autres trucs de Sergio. [01:12:36] Speaker A: De Sergio ? [01:12:36] Speaker B: Oui, parce qu'il est un peu italien. [01:12:38] Speaker C: Sergio, oui. [01:12:39] Speaker A: Sergio Leone. [01:12:40] Speaker E: Par contre en vrai, j'y pensais pendant la pause, mais l'interview, enfin moi System, c'est un groupe, j'aime bien 2-3 morceaux comme ça, mais voilà, je ne vais pas diguer plus que ça la discographie. Mais les autobiographies de musiciens comme ça, qui sont quand même des groupes qui ont un peu impacté le genre métal au sens large, c'est toujours intéressant. Je regardais, j'avais acheté l'autobiographie de Bruce Dickinson, Et en fait, il y a toujours des anecdotes sur les morceaux. C'est super intéressant parce que ça permet d'envisager le morceau sous un autre angle. Donc en vrai, l'autobiographie de Serge Franchion, moi je vais peut-être bien la prendre. [01:13:24] Speaker A: Parfois, ça permet aussi de désacraliser un peu le processus d'écriture, de composition. [01:13:28] Speaker B: Après, je ne suis pas sûr que quand tu connais l'envers du décor de System of a Down, tu trouves ça mieux. Ça ne va pas faire trop rêver. [01:13:36] Speaker A: En tout cas, ce n'est pas comme ça que j'imagine. [01:13:38] Speaker E: Peut-être. Pour donner une autre explication au truc, c'est justement cette fameuse autobiographie, donc « A quoi sert ce bouton ? » de Bruce Dickinson. En fait, je l'avais reprise quand on avait fait une vidéo en duo avec une autre chaîne YouTube. On n'a pas parlé d'une autre chaîne ? La Belle Hérodote ? On en parlera après du coup. Et donc on avait fait une vidéo avec Le Pharaon. qui est un égyptologue et qui a le meilleur nom de chaîne qui soit... [01:14:08] Speaker A: Très surprenant. [01:14:08] Speaker B: Tu es le phare de nous. [01:14:11] Speaker C: Oui, c'est ça. Le chef de nous. [01:14:13] Speaker E: Le chef de nous, exactement. Et on avait fait une vidéo sur l'Egypte ancienne, dans le métal, et forcément c'était sur Power Slave. Et on commence à réfléchir, à analyser un petit peu le sens des paroles, comment ils ont parlé, un petit peu de tout ça. Et puis justement, c'est à ce moment là où je sors. l'autobiographie de Brosey Kinson qui dit juste bah en fait j'imaginais que un pharaon métal mort vivant qui revient pour pour dominer le monde en gros et puis l'imagination a fait le reste. En fait t'es là, tu te dis, t'es là en train d'analyser un truc, t'essaies d'intellectualiser le bordel et en fait le mec a juste écrit ça. [01:14:55] Speaker A: En fait c'est un gros fan d'Apocalypse X-Men en fait. [01:15:01] Speaker B: C'est le concept, c'est un peu ça. On a dit qu'on ne parlait pas de comics, attention. [01:15:07] Speaker A: C'est un terrain glissant, il y a plein de traces de bottes dessus. Mais on a encore des petites news. Notre marronnier. [01:15:14] Speaker C: Le marronnier. [01:15:15] Speaker A: On en sait plus. On en sait plus, du coup, comment Eloï Casagrande a rejoint Slipknot. On en sait plus. Alors bon, les fans du précédent batteur, donc Jay Weinberg, ils étaient quand même un petit peu chonchons parce que le gars s'était un peu fait virer comme une merde. Sepultura, eux, ils ont communiqué en disant que Casagrande les a abandonnés, voilà, c'est le mot utilisé, c'est pas nous qui l'inventons. [01:15:36] Speaker E: Les mots sont durs. [01:15:38] Speaker A: Donc du coup, le père Casagrande, il a un peu le cul entre deux chaises. Et d'après Slipknot, Casa Grande les aurait démarchés, mais d'après Casa Grande, c'est le manager de Slipknot qui l'aurait démarché. [01:15:49] Speaker B: Dans tous les cas, bon, c'est un peu la merde. [01:15:52] Speaker C: Ça sent le truc, ouais. [01:15:54] Speaker B: Ça sent un mot. Un truc pas très avouable. Après, par contre, ça se passe bien pour lui chez Slipknot. [01:16:01] Speaker A: Par contre, oui, pour lui, ça se passe bien visiblement, puisque bon, ils ont confirmé qu'ils ont écrit une nouvelle chanson qui s'appellerait Long May You Die. Et la première, voilà, avec le nouveau line-up, les nouveaux membres, donc Casagrande compris. Le groupe se concentre actuellement sur la célébration de son 25e anniversaire, pardon, le 25e anniversaire de l'album éponyme, donc le slipnote de 99. Voilà, et ils seront le 12 décembre. [01:16:26] Speaker C: À la Cora Arena. On connaît déjà son masque ou pas lui ? [01:16:30] Speaker B: Ouais, il y a déjà eu un concert, et bon, il est pas... [01:16:33] Speaker A: En fait, si c'est un masque, c'est. [01:16:34] Speaker E: Sa tête, mais il est tellement dégueulasse. [01:16:36] Speaker C: Que ça se voit pas. [01:16:37] Speaker B: Ah non, c'est vrai, il est beau, il est plutôt beau ! Il a le crâne rasé, non, c'est un peu comme le masque de Joe Jordison, sauf qu'un peu moins en longueur, et du coup, sans cheveux. [01:16:48] Speaker A: Avec une petite inspiration un peu japonaise aussi, pareil, comme celle de Joe Jordison. [01:16:55] Speaker C: Il a pas un strig dans la bouche ? [01:16:56] Speaker B: Il a pas quoi ? [01:16:57] Speaker C: Un strig dans la bouche ? Parce que slip et quenotte ? [01:17:01] Speaker B: Oh mon dieu ! [01:17:02] Speaker C: Merci à vous ! Très heureux d'être venu ! [01:17:06] Speaker B: J'ai presque envie d'arrêter l'émission maintenant. [01:17:11] Speaker A: N'hésitez pas dans le chemel à nous dire comment vous avez trouvé cette vanne. [01:17:15] Speaker B: Et si c'est à chier, on comprendra. [01:17:16] Speaker C: N'hésitez pas à le dire, de toute. [01:17:19] Speaker B: Manière ce ne sera pas dans le replay. J'attendais que tu fasses une blague en disant qu'il avait une super coupe de cheveux comme nous. Non, non, c'était vraiment Sleepy Canot. Je ne l'avais jamais eu celle-là. Sleepy Canot, incroyable. [01:17:30] Speaker A: Je crois que je l'avais imaginé mais je n'ai jamais osé... [01:17:33] Speaker B: Elle n'a jamais été formulée. [01:17:36] Speaker A: Il n'y a pas eu la démarche cathartique d'exprimer. Donc du coup elle est restée la pourrie, voilà. [01:17:43] Speaker B: En parlant de catharsis... Oui, t'as un petit truc toi. Non non, ah oui je peux la mettre maintenant si tu veux. Il y a du coup des membres de Phare et de Will Evener, je sais pas si vous avez connu ces groupes de la scène Sacramento, c'était des potes de Deftones. Et en gros, il y a des membres de Will Evan et de Phare, donc le chanteur et le guitariste de Will Evan et le guitariste de Phare, avant de jouer dans ces groupes respectifs, avaient un groupe ensemble qui s'appelait Sock. comme une chaussette. [01:18:19] Speaker C: Donc un groupe qui s'appelait Chaussettes. J'avais demandé si t'étais fan d'Eddie Mitchell. [01:18:36] Speaker B: Du coup ils avaient un groupe ensemble, ils ont enregistré un album en 95 et du coup c'était connu que des gens de la scène californienne et il n'y avait plus de pressage qui existait, c'est-à-dire que personne ne le distribuait encore. Ça n'existait plus et c'est devenu un peu culte dans toute la Californie. Et du coup, ils ont ressorti cet album. Donc là, il est sorti, il est dispo sur toutes les plateformes de streaming. Donc l'album s'appelle 3243, 3243 comme vous voulez. Et c'est génial parce que du coup c'est 95, c'est avant les groupes et ils sont vraiment dans le style plus hardcore, donc c'est vraiment plus proche de Undertow, de Tool, mais aussi on va retrouver des trucs un peu qui auraient pu influencer Snot, Snapcase, tous ces groupes là quoi, donc en fait c'est vraiment très différent, c'est très hardcore en même temps avec les prémices du néo-métal, c'est hyper intéressant à écouter, le son est pas trop dégueu, ça va, pour un truc de l'époque. [01:19:46] Speaker A: Ah oui, c'est vraiment le truc d'époque. [01:19:48] Speaker C: Ils l'ont pas enregistré en fait ? [01:19:49] Speaker B: Non, c'est l'enregistrement de 95 qui sort aujourd'hui sur les plateformes. Et franchement, c'est assez cool. Et du coup, le guitariste de Will Even, dans le groupe, jouait de la batterie en plus. Je savais même pas qu'il jouait de la batterie. Et voilà, et c'est le chanteur de Will Even, donc ça chie bien. [01:20:05] Speaker A: Ok, donc une petite pièce d'histoire vient d'arriver sur les plateformes. [01:20:08] Speaker B: C'est ça, c'est ça. Et ils ont pressé des cassettes. Du coup, il y a des cassettes, vous pouvez le commander en cassettes. [01:20:15] Speaker A: Le retour du format cassette. [01:20:16] Speaker B: Voilà. [01:20:16] Speaker C: Je voudrais poser une question aux gens du tchat ou à n'importe qui. Qui utilise encore des cassettes s'il vous plaît ? Expliquez-moi comment vous faites. [01:20:22] Speaker E: Moi j'ai toujours entendu dire que c'était cassé mais... [01:20:28] Speaker B: C'est plus pour l'objet de toute façon. Quand tu l'achètes sur Bandcamp, tu l'achètes en digital et en cassette. [01:20:36] Speaker E: Il y a Vodomodo quand même qui a l'air de dire qu'il utilise encore des cassettes. [01:20:39] Speaker B: Ouais mais il ment. [01:20:40] Speaker A: Parce que c'est le vinyle de la Synthwave. On a vu sur ton bureau Marcel la cassette de Gunship. [01:20:47] Speaker B: Ah bah vas-y, enchaînons ! [01:20:48] Speaker A: Ah bah justement, des nouvelles de Toul, ou presque ! Des nouvelles de Paul Damour plus exactement, qui était le bassiste de la région de Toul. [01:20:55] Speaker B: Et donc pas pomme d'amour ! [01:20:56] Speaker A: Pas pomme d'amour, non non. Il est moins sucré celui-là. Il a récemment expliqué son départ de Toul en 95. [01:21:03] Speaker B: Qui était le premier bassiste de Toul. [01:21:04] Speaker A: Voilà, donc avant qu'il ne laisse pas. [01:21:06] Speaker E: Avoir les outils pour utiliser sa créativité. [01:21:11] Speaker A: Il donne plus de détails, donc c'était avant d'être remplacé par Justin Chancelor. En 95, il est parti à cause de, dit-il, la frustration causée par le processus créatif épuisant et lent du groupe. Il critique aussi la tendance de Tool à passer des années sur des albums, estimant qu'en réalité, ils le font rapidement et ne foutent rien le reste du temps. [01:21:32] Speaker B: Mais on le sait ça ! [01:21:33] Speaker A: C'est assez savoureux quand même. [01:21:35] Speaker E: C'est assez conceptual. [01:21:36] Speaker B: Il a déjà été dit que de toute façon que l'album, le dernier album sorti, les chansons étaient prêtes depuis genre 5 ans et ils attendaient juste que Maynard daigne poser des voix dessus. [01:21:47] Speaker C: Pourquoi je pense tout de suite à Chinese Democracy moi ? [01:21:52] Speaker B: Sauf que ça met plus de temps chez Tool quand même. [01:21:55] Speaker A: Ça met un petit peu plus de temps. Bon, alors d'après lui en tout cas, d'après Paul Lamour, c'est honteux. Voilà, c'est honteux de faire ça à ses fans. C'est honteux, exactement. Et si ça vous intéresse, il parle aussi de sa contribution à Enigma. Et pareil, il trouve qu'on intellectualise trop les parties musicales, qu'elles sont pas si folles que ça. [01:22:13] Speaker C: Est-ce qu'il est gris ? [01:22:15] Speaker B: Je ne sais pas. [01:22:17] Speaker C: C'est pas faux. [01:22:17] Speaker E: Est-ce qu'il est vraiment tord ? [01:22:21] Speaker B: Après, je trouve que sur cet album-là, c'est pas encore le moment où la musique devient... C'est plus après que ça devient un peu compliqué. [01:22:27] Speaker A: Ouais, c'est plus après que ça commence à devenir un peu compliqué. [01:22:29] Speaker B: Après, la terralus, ça devient un peu... Et non pas la terranus, attention. [01:22:33] Speaker A: Oui, attention. [01:22:34] Speaker C: Mais ça peut marcher aussi. [01:22:35] Speaker B: La telanus aussi, voilà. La telanus, ça fait mal. [01:22:38] Speaker C: Moi, quand vous tapez le pôle d'amour, ça peut arriver. [01:22:43] Speaker A: Enfin bon, pour ceux qui ont l'argent nécessaire, je vous rappelle que Toul sera le 5 juin à l'Accord Arena. Prix des places, c'est combien ? [01:22:50] Speaker B: Je sais pas, mais là, les dernières qui restent, ça doit être au moins 200 ou 300 balles, j'imaginais. Je pense que si tu prends Carré-Or-Pelouse, là, devant l'orchestre, je pense que c'est... [01:23:01] Speaker C: Alors je suis pas parisien, mais autant aller au JO, du coup. [01:23:04] Speaker B: Ouais, faut avoir envie quand même. [01:23:06] Speaker C: Je cherche un peu, excusez-moi. [01:23:07] Speaker B: En plus, les JO, on peut pas avoir de place. Même si tu veux les payer, tu peux pas, il faut être... [01:23:12] Speaker A: Il faut être pistonné. [01:23:13] Speaker C: Tabou, fallait pas que j'en parle ? [01:23:14] Speaker E: Bah disons que, justement... Y'a la police. [01:23:16] Speaker C: Des JO qui va venir m'arrêter ? Alors c'est... [01:23:17] Speaker E: C'est moins ça que le fait que... Ah j'adore ! [01:23:19] Speaker B: C'est lui ! [01:23:19] Speaker C: C'est lui ! C'est lui ! [01:23:20] Speaker B: C'est lui ! [01:23:21] Speaker C: C'est lui ! [01:23:22] Speaker B: C'est lui ! C'est lui ! C'est lui ! [01:23:23] Speaker E: C'est lui ! [01:23:24] Speaker C: C'est lui ! [01:23:24] Speaker B: C'est lui ! [01:23:24] Speaker E: C'est lui ! [01:23:25] Speaker C: C'est lui ! [01:23:25] Speaker D: C'est lui ! [01:23:25] Speaker B: C'est lui ! C'est lui ! [01:23:26] Speaker E: C'est lui ! [01:23:26] Speaker C: C'est lui ! [01:23:26] Speaker B: C'est lui ! [01:23:26] Speaker C: C'est lui ! [01:23:27] Speaker E: C'est lui ! [01:23:27] Speaker C: C'est lui ! C'est lui ! C'est. [01:23:31] Speaker A: Une dernière petite news, alors news un peu bizarre, Marilyn Manson qui a signé chez Nuclear Blast et qui prévoit de faire son retour cette année après avoir été exclue de l'industrie musicale en raison d'agressions, on le rappelle, de mauvaise conduite sexuelle et autres joyeusetés. En tout cas, mauvaise conduite sexuelle c'est comme ça qu'ils disent. Alors il y aurait un extrait dispo... [01:23:56] Speaker B: Ah mais elle est bien, elle est bien. [01:23:57] Speaker A: Elle est bien, elle est bien. [01:23:58] Speaker E: Mais c'est horrible parce que ça fait. [01:23:59] Speaker C: Un peu ça quoi, l'expression, c'est terrible. [01:24:04] Speaker B: Et du coup, oui, il revient, il revient. [01:24:08] Speaker A: Il revient, apparemment, extrait dispo, etc. Alors bon, grande question, est-ce que Nuclear Blast a bien fait ? Est-ce que c'était un move bien avisé ? [01:24:15] Speaker B: Alors moi du coup, en voyant cette news, je me suis dit mais c'est quand même... Bon, je ne m'attendais pas à ce qu'ils reviennent. Et la question que je me suis posée, c'est où est-ce qu'il en est dans ces procès et tout ça ? Et alors du coup, je suis allé chercher un peu des informations plus précises sur là où ça en est. Et en fait, il n'a été condamné pour rien. Sur les trois attaques qu'il a eues, il y en a deux qui se sont rétractées. dont une qui a dit qu'elle avait été un peu, pas endoctrinée, mais un peu poussée par Evan Rachel Wood. Et du coup, la seule qui reste, c'est celle d'Evan Rachel Wood. Et du coup, pour le moment, elle manque d'éléments pour que ça aboutisse à quelque chose. Et par contre, lui, en revanche, a porté plainte contre elle pour diffamation. Et pour... En fait, apparemment, elle aurait produit de faux... De faux documents. Donc... Je ne sais pas exactement quelle est la portée des choses, mais... De toute. [01:25:17] Speaker C: Façon, là, on rigole, mais c'est des affaires qui sont quand même difficiles à suivre. [01:25:20] Speaker E: C'est toujours extrêmement difficile. [01:25:21] Speaker A: Toujours extrêmement difficile. [01:25:22] Speaker B: Mais du coup, parce que j'étais quand même étonné que Nuclear Blast le signe. Et du coup, je me dis, bon, bah, il doit savoir des choses que... Enfin, je pense pas qu'ils investiraient du... Parce que ça va pas être rien comme budget. Donc je pense pas qu'ils investiraient du budget s'ils savaient pas quelque chose. Mais bon, voilà, après... Parce qu'après, la. [01:25:45] Speaker A: Question de savoir est-ce qu'il revient dans l'industrie et tout, bon, on savait déjà qu'il allait partir en tournée avec Five Finger Death Punch et Slowder to Prevail, mais après, pour son actualité discographique, c'était encore un peu plus incertain. [01:25:56] Speaker B: Donc voilà et alors du coup il y a un teaser qui est sorti pour ce truc là et ça reprend déjà on le retrouve plus mince que... enfin en meilleure forme on va dire que ce qu'on l'a connu dernièrement et dans une imagerie qui est très proche des premiers albums c'est à dire c'est vraiment très... Du coup, dans le teaser, l'imagerie est vraiment belle. Enfin, mieux que beaucoup de trucs qu'il a fait après. Donc voilà, je ne sais pas ce que ça va donner. Je ne sais pas si ce sera... Même le son a l'air d'être un peu plus old school. On va voir ce que ça va donner. La question, c'est est-ce qu'on peut... Voilà, qu'est-ce que vous en pensez ? Dites-nous dans les commentaires, dites-nous dans le shmul. Je suis bien curieux de savoir comment ça va se passer. En tout cas, chez les jeunes, ça marche... Monson marche à fond. [01:26:46] Speaker A: Bah ouais, parce qu'a priori, en fait, ses affaires, ça aurait même pas impacté. [01:26:50] Speaker B: Ses streams... Non, il a... J'ai appris qu'il a gagné... [01:26:55] Speaker E: Il y est pas, c'est ce que j'allais dire. [01:26:58] Speaker B: Les affaires, depuis les affaires, ses streams ont augmenté. Je pense aussi que c'est lié au fait qu'il y a toute une nouvelle vague de jeunes qui écoutent du métal, qui sont arrivés par des trucs plus metalcore et tout ça, qui remontent un peu le tendance des classiques et que Qu'on le veuille ou non, les anciens titres de Manson, c'est super efficace. Et dans la veine de ce que les jeunes écoutent aujourd'hui. Donc je pense qu'il a dû gagner un nouveau public. Je pense que c'est pas forcément lié aux affaires. Mais en tout cas, les affaires n'ont pas fait baisser ses écoutes. [01:27:37] Speaker A: Bon bah en tout cas... Bah vu. [01:27:39] Speaker B: Que nous quand on passe le clip, il gagne pas d'argent. Pierre il a dit qu'on avait le droit de passer un clip donc on va se mettre un petit clip. [01:27:46] Speaker A: Et en plus comme par hasard le clip c'est This is the new shit. [01:27:49] Speaker B: Voilà c'est la nouvelle merde. Du coup c'est Marilyn Monson dans Bang Bang. [01:28:30] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Abonnez-vous ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Musique d'outro. [01:34:50] Speaker E: C'est bon. [01:35:24] Speaker B: BANG BANG ! [01:35:42] Speaker C: Sinon ça va ? [01:35:43] Speaker A: Est-ce qu'il faut du X ? Voilà, c'est ce que j'avais demandé aussi. [01:35:47] Speaker B: Vous avez aimé ou pas ? [01:35:49] Speaker C: C'est intéressant, je connaissais pas mais c'est intéressant. [01:35:52] Speaker B: Bonne énergie. [01:35:54] Speaker C: J'ai une oreille dessus. [01:35:55] Speaker B: Alors du coup ce qui est intéressant avec Static Dress c'est d'une chanson à l'autre ça change quand même pas mal mais je trouve que Tout est bien. [01:36:05] Speaker A: Est-ce que c'est le genre de groupe qui sort plus des singles que des albums ? [01:36:09] Speaker B: Non, ils viennent de sortir un album, mais c'est juste... Par contre, je crois qu'ils n'en ont sorti qu'un. Et c'est le groupe qui avait fait un jeu, ils ont sorti un jeu sur Game Boy. [01:36:19] Speaker E: Justement, j'étais en train de voir le message de Moonlight. [01:36:23] Speaker B: Ils ont fait un jeu sur Game Boy pour la sortie du... Il y a un développeur qui a fait un jeu où, dans le jeu, t'as toutes les chansons de l'album en version Game Boy. [01:36:33] Speaker E: Eh ben ça alors ! [01:36:34] Speaker B: C'est les mecs, ils ont vendu des cartouches de Gameboy et c'était très dur, il y en avait une centaine je crois. Ça a été épuisé en quelques secondes. [01:36:42] Speaker C: Ils viennent d'où ? Des Etats-Unis. Des Etats-Unis d'Amérique ? [01:36:49] Speaker A: D'Amérique du Nord. [01:36:50] Speaker C: America ! [01:36:55] Speaker B: Fuck yeah ! Bon, on va enchaîner ? [01:36:59] Speaker A: Du coup, ça nous amène à une question, parce que, bon, Static Dress, c'est plutôt nouveau. Est-ce que ça vous arrive de découvrir des sons ? Est-ce que... [01:37:05] Speaker C: Alors... Oui, ça nous arrive. Bon, j'avais faim d'une blague de merde, j'vais pas le faire. Faut qu'on le mette en place. [01:37:10] Speaker B: Maintenant que tu l'as fait. [01:37:11] Speaker C: Non, mais c'est trop tard. J'ai oublié déjà. Excuse. Ça pète la politique. Écoutez, je vais vous dire une bonne chose en tant que président... Attends, je. [01:37:21] Speaker B: Te mets la caméra bien sur toi pour ton imitation. [01:37:23] Speaker C: Écoutez, c'est pas compliqué. En tant que président éternel de la République, j'ai envie de vous dire que des fois on oublie des trucs parce qu'on est tellement occupé à faire des choses que... Dire bonjour à Carla, c'est pas facile parce qu'il faut s'y prendre plusieurs fois pour entendre ce qu'elle vous dit... Non ! [01:37:36] Speaker B: Non, monsieur la Grande Hache ! Je ne vous laisserai pas dire ça ! Non, ce n'est pas possible ! [01:37:42] Speaker C: Non ! [01:37:43] Speaker B: Non, je ne suis pas d'accord ! Je ne me tairai pas ! [01:37:47] Speaker C: Je ne vous laisserai pas me dire. [01:37:51] Speaker B: Une bonne chose ! [01:37:53] Speaker C: Calmez-vous Madame Royal, vous n'avez pas besoin. [01:37:55] Speaker B: De vous énerver ! [01:38:05] Speaker C: Oh la rêve de vieux ! [01:38:06] Speaker B: Bien sûr, c'est un hommage assez pompier. [01:38:08] Speaker C: Ta question c'était est-ce qu'on découvre de nouveaux sons ? [01:38:10] Speaker B: Oui, est-ce qu'on va découvrir de nouveaux sons ? Oui, nous voulons savoir si vous découvrez de nouveaux sons. [01:38:15] Speaker C: Oui, alors récemment j'ai découvert, moi c'est un groupe qui date de quelques temps, mais j'ai récemment découvert Zeal & Harder qui nous mélangent du gospel et du black metal, je trouve ça fort sympathique. [01:38:26] Speaker A: Qui était né d'une blague, à la base, il est né de... je crois que c'était sur 4chan où c'était Manuel Gagneux qui se lançait dans des défis musicaux en demandant, donnez-moi des styles musicaux, j'essaie de les mélanger et on lui a demandé de mélanger du black metal et de ce qu'on appelle les Negro Spirituals, donc les chansons d'esclaves afro-américains. Et voilà ce que ça a donné. [01:38:48] Speaker C: Et avant ça, j'ai découvert un autre groupe mais qui n'est pas du metal. C'est un groupe japonais. Atarashii Gakko. Ah j'adore ! Ah merci ! [01:38:56] Speaker B: J'adore ! [01:38:57] Speaker C: Pourtant je suis pas fan du tout de la J-pop et de G-idle tout ça. [01:39:00] Speaker B: Non mais là c'est autre chose. [01:39:01] Speaker C: Mais il y a un truc, il. [01:39:03] Speaker B: Y a vraiment un truc. Et le côté visuel est incroyable. Plusieurs fois j'ai demandé à Pierre de mettre un clip, il l'a jamais mis. Mais le clip où elles ont les montres et elles sont dans la réplique de Tokyo en maquette. [01:39:16] Speaker C: Oui, Tokyo Calling. [01:39:17] Speaker B: Ah ouais c'est ça, Tokyo Calling. Merci, j'arrivais pas à me rappeler du nom. Incroyable. [01:39:21] Speaker A: Ouais mais c'est assez dingue. [01:39:22] Speaker C: C'est pas du tout mon style. Ce groupe est fou. Il y a tellement de choses, c'est variété dans le sens premier du terme. Où tu peux avoir un côté rock, un côté parfois un peu métal, un côté rap, un côté dance. C'est hyper varié. [01:39:33] Speaker B: Mais il y a un esprit rock, il y a un esprit alternatif. [01:39:35] Speaker A: C'est vraiment un groupe type Idol à la base ? [01:39:38] Speaker C: Oui. Ouais, malheureusement lui, parce que j'ai vu des vidéos plus tôt et ça fait peur, moi j'étais pas bien. [01:39:45] Speaker B: Parce que pour toi elles ont pas trop le... parce que d'habitude les idoles, il y a quand même le côté très lissé, alors que là, elles se rendent moches, enfin elles ont pas peur. [01:39:54] Speaker C: De faire des grimaces. [01:39:56] Speaker B: Dans les mises en scène de clips, il y a plein de trucs un peu chelous. [01:39:59] Speaker C: Que tu verrais pas dans des trucs à Idole a priori. [01:40:02] Speaker B: Il y a un petit côté un peu décalé à la... Caripamiu Pamiu. dans le côté un peu... barjot, sans que ce soit aussi lisse que Karey Pamyu Pamyu. [01:40:11] Speaker C: Et encore avant ça, c'était Ningen Isu, et je vais arrêter là. [01:40:14] Speaker A: Ningen ? [01:40:14] Speaker C: Vous ne connaissez pas Ningen Isu ? [01:40:15] Speaker B: Ah non, ça je connais pas. [01:40:16] Speaker C: Moi je connais parce que tu m'en avais parlé. Alors ça, écoutez-le, parce que c'est des... des mecs qui... c'est un groupe japonais encore, c'est des gens qui ont... qui ont commencé à la fin des années 80, ont été influencés par le back sabbat, et ils ont un son actuel que c'est... C'est dingue. Alors le chant est pas... C'est pas un chant incroyable, mais il y a un truc qui apporte... Et c'est vraiment dingue. Même visuellement, c'est hyper intéressant. Et musicalement... [01:40:39] Speaker A: C'est pour Black Sabbath ou...? [01:40:40] Speaker C: Non, non, ils ont fait leur truc à eux. Enfin, il y a un côté un peu... Ah, je sais jamais, c'est Stoner ou Power, le terme exact, mais... [01:40:45] Speaker E: Puisqu'on parle de découverte, moi récemment, c'est... Puisqu'on parle de découverte et du Japon en particulier, moi en ce moment, je suis plutôt en train d'écouter des... Ex-Japan, The Gazette... Comment ça s'appelle ? Dear And Grey et Love By Chance. Un Lovebites aussi qui est très cool. Et en fait, dans tous ces trucs là japonais, il y a quelque chose qui est très... qu'à l'air... je vais parler de ce que j'ai l'air de... ce qu'à l'air d'être, je suis pas forcément un fin connaisseur du sujet, mais qu'à l'air de beaucoup venir du théâtre no. qui est un truc qui est ultra expressif. Et en fait, tous ces trucs-là... Alors, Lovebites, en l'occurrence, c'est plus heavy, relativement classique, mais les autres groupes qui s'inscrivent, je crois que ça s'appelle du Visual Key, dans toute cette mouvance-là, en fait, il y a quelque chose de très inspiré du théâtre nove, et quelque chose de très expressif, et qui donne un côté, qui donne quelque chose dans le visuel où, encore une fois, à nous, nos yeux d'Occidentaux, c'est très surprenant. [01:41:49] Speaker A: Quand tu vois les premiers clips de X-Japan, par exemple, avec les grandes chevelures, les maquillages, etc. C'était leur expression du glam, mais avec la touche culturelle japonaise qui venait en remettre une couche dans l'excès, en fait. [01:42:03] Speaker C: Et techniquement, ça doit s'appeler X, et non pas X-Japan. Mais ils ont appelé X-Japan parce que c'était pour le marché américain, je crois. [01:42:08] Speaker A: Exactement. Ils s'appelaient X, tout court. [01:42:10] Speaker C: Voilà, c'était l'anecdote anecdotique. [01:42:13] Speaker B: Vivement une autre vidéo sur X-Japan. [01:42:17] Speaker E: Moi je la ferais peut-être. [01:42:19] Speaker A: Pas de problème. [01:42:20] Speaker C: Bah au plaisir. [01:42:21] Speaker A: Vas-y fais-le. [01:42:22] Speaker B: Hop ! Voilà, une info. [01:42:23] Speaker C: Allez ! Mais je vais voir avec les perruques. [01:42:26] Speaker B: Ça se fait. [01:42:27] Speaker E: Ah non mais ça se fait hein. [01:42:28] Speaker A: Tu sais que c'est le genre de défi mais je dis oui. [01:42:30] Speaker C: Si tu veux je peux même faire un feat avec toi si tu veux. Avec la perruque. [01:42:33] Speaker B: Oh vous dites ça. [01:42:34] Speaker A: Retenez bien ça. [01:42:35] Speaker E: Tout de suite sur AirTestRadio, l'annonce, la nouveauté. [01:42:38] Speaker C: Mais que la perruque. [01:42:40] Speaker B: Non pas que la perruque, c'est que j'ai très poil. Ça annonce des trucs puis vous allez encore mettre trois ans à le faire. [01:42:46] Speaker C: Ah bah c'est sûr ! Trois ans. Trois ans, c'est bon, j'ai trois ans. Comme pour tout, là. Non, pas ça. Non, eux, c'est dix. Dix, bah c'est bon. [01:42:54] Speaker A: J'espère que vous ne ferez pas payer votre vidéo 70 euros. Bref ! [01:42:57] Speaker C: Ah, c'était une bonne idée ! [01:42:58] Speaker E: Non, on la fera payer... Putain, combien. [01:43:01] Speaker C: Il l'a mis ? Combien il faisait payer ces vidéos dédicaces ? 70 euros, ça serait pour le OnlyFans, on le rappelle. Alors, on ne leur annonce pas tout. [01:43:08] Speaker E: De suite pour le OnlyFans, ils ne. [01:43:09] Speaker B: Vont pas se taire. J'entends nul, là, ça devient vraiment bizarre. Alors on peut revenir un petit peu sur la musique, excusez-nous, parce que nous on veut pas être accusés de proxénétisme. Parce que là je sens que ça est en train de dériver vers un truc qu'on a pas trop envie de... Et du coup, Tadar, vous avez commencé à aborder, c'est un rapport avec vos vidéos du coup, mais vous commencez à parler de votre regroupement, votre label, je crois qu'on appelle ça. [01:43:38] Speaker C: L'association du label Hérodote, dont nous sommes tous les deux des représentants ce soir. En fait, c'est une association, un regroupement de youtubers, de vulgarisateurs en histoire, histoire de l'art et archéologie. on s'est regroupés déjà pour s'entraider, premièrement, et puis aussi pour se donner une méthode, on va dire, comme ça, de faire attention aux sources qu'on va utiliser, et de prendre des sources vraiment universitaires, et non pas dire, ah bah tiens il s'est passé ça comme ça il y a 15 ans, parce que c'était comme ça, et croyez-moi, point, basta, merci. Non, c'est vraiment de faire quelque chose de bien, de vulgariser, et puis une démarche scientifique complètement, et puis volontaire aussi un peu de... donner du... Comment je pourrais dire ça ? Un habillage aussi de qualité. Si je peux dire ça comme ça, j'en sais rien. [01:44:19] Speaker E: — Oui, c'est ça. Je pense qu'on peut dire ça comme ça, effectivement. Aujourd'hui, forcément, on a évolué depuis que l'association existe. On existe en termes... en tant qu'association, vraiment, de l'OM-1901, depuis... — Quatre. 3 ans ? [01:44:39] Speaker B: 4 ans ? [01:44:41] Speaker A: 3 ans ? [01:44:41] Speaker C: 3 ans, je crois. [01:44:43] Speaker E: 2020, t'as raison, 2020. Effectivement, 2020, mais l'association existait depuis au moins 2 ou 3 ans avant ça. [01:44:51] Speaker C: Le groupe lui-même, il n'y avait pas l'association officielle. [01:44:53] Speaker E: Le groupe existait déjà depuis ce moment-là, et en fait, l'objectif dès le début a été de me dire, je ne fais pas partie du noyau dur, du noyau fondateur, je suis arrivé relativement tôt dans l'association. Toi, t'étais là encore avant moi, je crois. [01:45:05] Speaker C: Non, je suis arrivé après toi. [01:45:08] Speaker E: Et aujourd'hui on est une petite trentaine de membres et vraiment l'objectif, on pourrait presque dire la prétention de l'association, c'est de promouvoir une vulgarisation historique académicienne, basée sur la mise en avant des sources académiques. [01:45:25] Speaker A: Que tu parles d'une trentaine de membres, mais tout le monde est vidéaste, ou bien il y a des relecteurs, des spécialistes ? [01:45:30] Speaker C: Tout le monde est vidéaste, et on se relie entre nous, parce qu'il y a toujours quelqu'un, plus ou moins, qui connaît tel ou tel sujet, qui dirait « attention, là tu te trompes, c'est comme ça, là ouais c'est ok, mais fais gaffe à ta formulation ». Enfin toi, ça nous permet également d'améliorer. [01:45:41] Speaker E: En même temps le script, et de. [01:45:43] Speaker C: Faire attention à ce qu'on raconte. [01:45:45] Speaker E: C'est ça, le but est vraiment de ça, et puis en plus on est Disons que c'est assez éclectique en termes de formation. Je ne suis pas le seul au sein de l'association à n'avoir aucune formation historique. Par contre, on a des archéologues, des docteurs... Je crois qu'on a plus de doctorants. [01:46:06] Speaker C: Ils sont tous docteurs. [01:46:12] Speaker E: Je sais plus, j'ai perdu. [01:46:13] Speaker C: Non mais on a eu des doctorants. [01:46:15] Speaker A: Qui ont des... Des gens de haut statut universitaire. [01:46:21] Speaker C: Des professeurs, pas de professeurs, enfin tu sais, un peu tout. Tant que les gens font du... Tant qu'on s'évertue à garder cette méthode. [01:46:28] Speaker E: Scientifique, Normalement, c'est ça, c'est ce qu'on essaye le plus possible. Et effectivement, ce truc-là, justement, on peut en parler, Rob m'a fait réécrire un script deux fois. Celui sur Sabaton, oui. Enfin, la deuxième sur Sabaton, sur Noblesse 5. Je suis intraitable ! C'est très intéressant parce qu'on a beau essayer d'y faire attention, moi justement, avec ce côté autodidacte, on va dire, dans l'apprentissage de la méthode historique. Enfin, des méthodes historiques, bref, peu importe, on va pas rentrer dans ce débat-là. Du coup, tu fais deux fois plus. [01:47:05] Speaker A: Gaffe de pas dire de conneries ? [01:47:06] Speaker E: Alors, je fais deux fois plus gaffe, mais j'ai du mal à choisir mes sources. On parlait du choix des sources tout à l'heure, et des fois, je reconnais que je suis un peu embêté, et je me dis, bon, ce gars-là a l'air de faire consensus, je vais prendre ses bouquins, et puis voilà. Et donc on essaie toujours de croiser de toute manière différents auteurs, en faisant un peu attention à qui écrit. Et le truc c'est qu'en plus comme moi j'ai la dimension musicale, il y a un côté artistique, il y a un côté interprétation, qui rend les choses parfois un peu difficiles, au sens où basiquement cette vidéo-là c'était la deuxième vidéo sur Sabaton que j'ai faite, donc Noble Let's Fly, qui raconte l'histoire en 1943. 43 ou 44, je ne sais plus. En décembre d'une de ces deux années-là, il y a eu un raid américain sur les usines de Messerschmitt allemands. Les avions de B-17 qui sont arrivés, machin. Et en fait, ça raconte l'histoire de ce qu'on appelle l'incident de Franz Stigler et Charlie Brown. Franz Stigler est un nas de la Luftwaffe. Charlie Brown est un commandant de B-17. Et en fait, pendant la mission, l'avion, le Ye Olde Pub, qui était baptisé comme ça, le Ye Olde Pub qui est l'avion commandé par Charlie Brown, subit de gros gros dégâts, de grosses grosses avaries et se retrouve en retrait vis-à-vis de l'escadron principal avec plusieurs membres d'équipage blessés, des trous dans la carlingue qui font la taille d'un point, il y a deux moteurs sur quatre qui sont KO, les mecs se disent mais on va jamais réussir à rentrer. Et de l'autre côté t'as Franz Stigler qui décolle, qui est un nazi de la Luftwaffe et en fait à cette époque dans la Luftwaffe ils avaient un système de points pour encourager les pilotes à abattre des avions ennemis qui faisait qu'au bout de 30 points Il y. [01:49:01] Speaker A: Avait un programme fidélité. [01:49:02] Speaker C: C'est ça, voilà. [01:49:02] Speaker E: En gros c'est un peu ça, ouais. Il gagnait la croix de chevalier et la croix de fer, qui est donc un ordre distinctif, une médaille, voilà. Et en l'occurrence, pour Franz Schlegler, il lui restait à abattre, il avait 27 points, et un B-17 comptant pour 3 points, il lui restait juste à abattre un B-17 pour obtenir cette médaille. Donc il voit l'avion, il est au sol, il est en train de se ravitailler, il décolle, il va pour l'abattre, il se rend compte de l'état du B-17, et il dit c'est pas possible, je peux pas faire ça. Donc, non seulement il les abat pas, mais en plus il les accompagne jusqu'au large de l'Angleterre. Parce qu'il se dit, tout seul, ils vont se faire fumer par les défenses sur le mur de l'Atlantique. Et en fait, si je les abandonne, ça vaudra pas mieux que je les abatte moi-même. Sauf que dans l'état dans lequel ils sont, c'est pas un combat, c'est pas de la guerre, c'est juste un meurtre. Je peux pas faire ça. Donc, il les accompagne jusqu'au large de l'Angleterre. pour que les mecs au sol se disent bah tiens, je comprends pas, il y a un B-17 et un Messerschmitt. [01:49:59] Speaker B: Qui sont dans leur formation, qu'est-ce que. [01:50:00] Speaker E: C'Est que le truc ? Donc comme ça ils les laissent passer. [01:50:01] Speaker A: Leur bouclier en quelque sorte, ouais. [01:50:03] Speaker E: C'est ça. Et ils rentrent, et en fait, ils se retrouvent 40 ans après. Ils étaient perdus de vue, en fait les deux ont survécu à la guerre, ils se retrouvent 40 ans après par des correspondances de vétérans de guerre. Et en fait... [01:50:17] Speaker A: C'est à dire par copains d'avant, mais... C'est presque ça, ouais. [01:50:20] Speaker B: Je croyais que c'était My Heritage à Den, tu sais ils ont fait des. [01:50:24] Speaker E: Petits... Et en fait le truc c'est que donc ils sont devenus amis jusqu'à leur mort, moi c'est une histoire que je trouve extrêmement touchante. C'est-à-dire que... Et donc je lui ai. [01:50:34] Speaker C: Fait récréer deux fois. Et c'est ce temps-là qu'il a fait. [01:50:37] Speaker E: Récréer deux fois parce que... [01:50:37] Speaker A: En fait il y a deux choses. [01:50:40] Speaker E: La première fois, il me l'a fait réécrire parce qu'il m'a fait réaliser que cette histoire nous était connue par un roman. Et en fait, toutes... J'ai vérifié derrière, toutes les sources que j'ai pu trouver qui parlent de ce truc-là citent ce roman en source. Donc c'est un petit peu embêtant parce que c'est un roman. [01:50:56] Speaker C: C'est censé être une fiction, oui. [01:50:59] Speaker E: C'est censé être un roman historique. L'auteur est censé avoir vécu du vivant... Enfin, avoir connu de leur vivant François Huguelard et Charlie Brown. et donc avoir recueilli leurs témoignages. Donc ça, c'était le premier problème. Et ensuite, le deuxième problème, une fois que je me suis attelé à essayer de voir dans quelle mesure ça pouvait être vraisemblable, on va dire. Je me suis attaché sur l'idée de me dire, bon ok, cet événement-là, on n'a pas forcément de traces, ça va être difficile de retracer ce truc-là. Et puis effectivement, pour des raisons évidentes, les Américains avaient dit à Charlie Brown, tu fermes ta gueule, t'en parles pas, parce qu'on veut pas qu'on sache que les Allemands peuvent être sympas, pour tout un tas de raisons. Une des raisons qui avaient été évoquées, c'est de se dire, je vais peut-être pas le tuer parce que ça se trouve il est gentil. [01:51:50] Speaker B: Alors que maintenant on a tous goûté les currywursts et on sait très bien que finalement c'est pas si mal quoi. [01:51:55] Speaker E: Et puis bah Franz Schindler il en a pas parlé pour la simple raison qu'il voulait pas se faire fusiller. Il a pas tué un ennemi qu'il aurait pu éviter. [01:52:04] Speaker A: Son programme fidélité aurait pu être compliqué. [01:52:07] Speaker E: Et donc du coup je reprends le bouquin je me suis dit bon il parle de ça il parle de ça il parle de ça ok donc ça c'est vrai ça c'est vrai ça c'est un peu flou mais pourquoi pas et en fait dans tout ça il ya une information historique que je reprends tel quel présenté par le bouquin parce que par rapport aux autres recherches que j'avais pu faire ça avait l'air à peu près ok et puis Rob qui arrive il me dit t'es sûr de toi là ? parce que c'est chaud et cette information historique c'était il n'y avait pas beaucoup. [01:52:33] Speaker C: De nazis dans la Luftwaffe Et qui. [01:52:36] Speaker E: Est un peu le même genre de mythe que la Vermarte aux mains propres. Autant pour la Wehrmacht, je savais que c'était... [01:52:43] Speaker C: On dirait un slogan de pub, la Wehrmacht ! [01:52:45] Speaker B: J'étais en train de penser à un truc de lessive... [01:52:47] Speaker C: J'ai vu ça en flash ! Ça fait partie de tous ces mythes. [01:52:54] Speaker E: Qui ont permis de minimiser l'impact du nazisme dans l'armée allemande. [01:53:02] Speaker A: La Wehrmacht aux mains propres, j'ai l'impression que c'est un slogan à la Jacques Seguéla. [01:53:08] Speaker E: Le mythe s'appelle comme ça parce que c'est pas la Wehrmacht qui aurait fait les crimes de guerre, c'est l'SS. Alors qu'en vrai, non. Et en fait t'as le même genre de mythe qui existait autour de la Luftwaffe. [01:53:20] Speaker C: Là on va parler de Luftwaffe, Wehrmacht ? [01:53:23] Speaker E: Non, vite fait, c'est juste pour corriger, pour expliquer pourquoi j'ai du réécrire mon script. [01:53:26] Speaker B: Et dire qu'il y a des gens qui pensent que le métal c'est une musique de nazis et tout ça. Ils s'appelent là, qu'est-ce qu'ils entendent ? Luftwaffe ! [01:53:34] Speaker C: Un mec qui parle en allemand qui parle de t-shirt en plus. [01:53:39] Speaker E: J'en parle mieux dans ma vidéo, mais j'ai dû la réécrire trois fois du coup, parce que tu me l'as fait réécrire deux fois. [01:53:44] Speaker C: Alors le but, voilà, c'est d'éviter de dire des conneries. [01:53:46] Speaker B: Et alors moi j'ai une petite question par rapport à ça, est-ce que du coup... Est-ce que vous vous prévenez un peu de ce sur quoi vous allez travailler en amont, ou est-ce que c'est qu'au moment de faire relire ? [01:53:58] Speaker C: Forcément au moment de la relecture. [01:54:00] Speaker B: D'accord. Parce qu'il y a quand même, entre créateurs, j'imagine qu'il y a toujours un peu ce truc de... On veut parler d'un truc et il y a peut-être quelqu'un d'autre qui a aussi bossé sur un truc. [01:54:09] Speaker A: C'est un acte de non-agression, en quelque sorte. [01:54:11] Speaker C: Non, on s'arrange un peu. En général, on se rend compte qu'on n'a pas forcément la même approche sur les mêmes sujets. Et du coup, c'est toujours assez intéressant. Ou sinon, on fait une collaboration. Tout simplement, quoi. Et je dis collaboration après avoir parlé de Deuxième Guerre mondiale. [01:54:24] Speaker E: Il y a aussi quelque chose qu'on essaie de mettre en place, disons que c'est assez difficile parce qu'on est tous des bénévoles dans l'association, on a tous nos vies à côté, on n'est pas tous, en tout cas nous c'est pas notre cas, il y en a qui essaient de se professionnaliser sur YouTube, c'est pas le cas de tout le monde donc on n'a pas forcément tous l'occasion de s'y mettre à fond dessus, mais on essaie d'encourager les participations communes entre les membres de l'association. [01:54:50] Speaker B: Tu es dans les collaborations, c'est ça que tu veux dire ? [01:54:55] Speaker E: Exactement. [01:54:59] Speaker B: En ce moment il y a un. [01:55:00] Speaker E: Sujet qui est en cours plutôt en réaction à une actualité. J'en parle pas trop, je tease un petit peu, mais qui a fort énervé nos amis archéologues qui sont en train de travailler justement autour de cette actualité sur l'archéologie préventive en fait. Donc vous voyez de quoi je parle. Et donc ils sont en train de travailler là-dessus, autour de ce sujet-là, pour s'inscrire en faux par rapport à ce qu'une certaine personnalité politique... [01:55:30] Speaker C: Pour dire que pourquoi c'est bien de faire de l'archéologie préventive. [01:55:33] Speaker B: Pour faire des trous, c'est ça le truc. [01:55:35] Speaker C: Ouais mais des trous sympas ! C'est des trous qui vont être très sympathiques ! Des trous de hobbits ! Et comme ça on pourra tous partir en aventure après ! C'est les genres de choses qu'on essaie de faire au sein du label. [01:55:46] Speaker E: C'est ça, on essaie de promouvoir un petit peu, autant que possible en tout cas, la collaboration entre les membres. Et puis, on essaie aussi, autant que possible, là récemment, il y a eu une participation aux Journées Romaines à Nîmes. Donc on essaie aussi de s'ouvrir vers l'extérieur pour faire un peu parler de l'association. [01:56:08] Speaker B: Voilà. En parlant de trop sympa, t'as choisi un titre de Dimmu Borgir. [01:56:14] Speaker A: On a les notes de Pierre, alors il dit « j'ai jamais été fan de Dimmu Borgir, ça m'a toujours fait peur ». [01:56:20] Speaker C: Il faut aller au-delà de sa peur. [01:56:20] Speaker B: Je pense qu'il faut avoir du courage. Moi ça me fait pas peur, ce. [01:56:24] Speaker E: N'Est pas d'avoir peur, c'est d'affronter sa peur. [01:56:27] Speaker B: Moi ça me fait pas trop peur, moi ça me fait plutôt rigoler. [01:56:29] Speaker A: Ah bah oui, parce qu'on dit que les bourguer en même temps, est-ce qu'il faut les prendre au premier degré ? [01:56:33] Speaker C: Non, clairement pas. D'accord, oui, le côté black metal avec on se met des peintures sur la tête, on fait les méchants dans la forêt, d'accord. [01:56:40] Speaker E: En plus le black metal ça a une sonorité un peu froide donc c'est assez facile à prendre au premier degré. [01:56:45] Speaker C: Mais musicalement, moi j'aime beaucoup... Bah tiens, je vous parlais de classique tout à l'heure, moi j'ai adoré ce mélange de classique et de black metal. Et je retrouve dans le black metal, je suis pas le premier je pense à le dire, une grosse influence classique, que je trouve toujours hyper intéressante. Et Dimmu Borgir, j'ai choisi parce que c'est le groupe qui m'a envoyé dans le black metal. Et à partir de là, maintenant, j'écoute du black, du death... J'aime beaucoup BMW. [01:57:08] Speaker A: C'est Henry Death ? [01:57:10] Speaker C: Henry Death Metal est très bien. [01:57:13] Speaker A: Et donc c'est Dimmu Borgir en fait qui a été ta porte d'entrée vers le vrai métal extrême. [01:57:18] Speaker C: Le métal extrême, exactement. C'est vraiment ça qui m'a envoyé... Avec. [01:57:21] Speaker A: La petite touche symphonique qui rend le truc plus actif. [01:57:23] Speaker C: C'est ça, tout à fait. Et je regrette de pas avoir encore le quid de RTL pour nous dire que c'est encore plus violent parce qu'ils ont des peintures dans la forêt. [01:57:31] Speaker B: J'avais complètement oublié le quid. [01:57:33] Speaker A: Le quid, j'avais relégué ça vite fait, je sais pas si c'était pas dans les bibliothèques d'école primaire que je voyais ça. [01:57:41] Speaker C: Ça se soulait une espèce d'encyclopédie. [01:57:43] Speaker B: Je sais plus dans quel magazine t'avais des fiches, t'avais une page cartonnée que tu découpais en quatre et ça te faisait quatre fiches du quid. [01:57:53] Speaker C: Pourquoi ça me dit un truc ? [01:57:55] Speaker B: C'était genre dans les programmes télé. [01:57:57] Speaker A: Genre Télé Z ou un truc comme ça ? [01:57:58] Speaker B: Non pas Télé Z mais c'est peut-être dans un truc télé où je sais plus et tu pouvais les mettre dans un classeur. [01:58:03] Speaker C: Bienvenue dans les années 90 ! [01:58:04] Speaker B: Attends je te mets la cam' c'est bon. [01:58:07] Speaker C: Je dois refaire ? Bienvenue dans les années 90 ! Top super méga groove ! [01:58:12] Speaker B: Par contre, le morceau que t'as choisi. [01:58:15] Speaker A: C'Est pas un morceau des années 90, c'est Progenies of the Great Apocalypse, qui est sorti en 2003, je crois ? [01:58:20] Speaker C: C'est ça. C'est la musique qui m'a fait découvrir Dimmu Borgir. [01:58:25] Speaker A: Il me semble que c'est la première collaboration entre Dimmu Borgir et un orchestre. [01:58:29] Speaker C: Et un orchestre symphonique, je crois que c'est l'Orchestre de Prague, si je ne dis pas de bêtises. [01:58:35] Speaker A: Pour tout te dire, moi aussi c'est ça qui m'a fait découvrir un peu le black metal, c'est Dimmu Borgir avec ses orchestrations et tout. Moi je viens du metal symphonique à la base, donc forcément le pont était vite tracé. [01:58:46] Speaker C: Sachant que les trous blaqueux, les trous black métalleux n'existent pas vraiment. Moi c'est ceux que j'appelle les trous du culte. Voilà. [01:58:58] Speaker A: On est d'accord. J'ai envie de provoquer, c'est vrai. [01:59:02] Speaker B: J'trouve que Dimmu Borgir, ils mettent pas le feu à des églises. [01:59:05] Speaker A: Ah non, ils sont un peu trop sages, là. [01:59:07] Speaker C: Ah oui, ils sont arrivés après, c'était trop tard, ils l'avaient pu. [01:59:09] Speaker B: Alors, il y en a encore, mais moins. [01:59:13] Speaker E: Ils les ont plus faites en bois. [01:59:16] Speaker A: Après, il y avait plus de combustible, c'était nul. [01:59:17] Speaker C: On y va ? [01:59:19] Speaker B: On y va. [01:59:19] Speaker A: Progenies of the Great Apocalypse. Progenies of the Great Apocalypse. [02:00:06] Speaker D: Consistently without the eyes to see By those who revel in serenity We, the prosperity of the future seal Clothed by the thunders of the north wind For a new chapter The essence of the dreams of mankind Zero tolerance was the issue itself C'est génial! C'est trop beau ! Réveille-toi ! Réveille-toi ! [02:03:12] Speaker C: C'est bon, c'est bon. [02:04:33] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:06:39] Speaker B: Allez hop, on y va, en route pour l'aventure ! [02:06:45] Speaker A: Il l'a, c'est bien. Il l'a très bien. Parfait avec le bon timing. Donc c'était CrossFaith, nos japonais de CrossFaith avec le morceau Godspeed et Wargasm en featuring, des anglais de Wargasm UK, parce qu'ils ont dû préciser. [02:07:02] Speaker B: Non, ils l'ont pas écrit là. [02:07:05] Speaker A: Non. [02:07:05] Speaker B: Parce qu'il y a un groupe apparemment qui s'appelle Wargasm pas UK, et du coup il râle à chaque fois que les gens posent des trucs sur Wargasm mais que c'est le Wargasm UK. [02:07:14] Speaker C: Alors le Payouké, c'est des mecs qui ont voté contre le Brexit ? [02:07:18] Speaker B: Non, je pense que c'est des mecs qui sont aux Etats-Unis et qui n'ont pas marché, mais... [02:07:20] Speaker E: C'est vrai que ça sonne bizarre comme nom de groupe, quand même. Wargazem Payouké. [02:07:25] Speaker B: Papayouké. Papayou, papayou. Papayou, papayouké. [02:07:28] Speaker C: Papayouké, papayouké. [02:07:31] Speaker A: Est-ce que vous aimez un petit peu ce genre de mélange... Assez moderne. [02:07:37] Speaker E: En vrai, ouais. [02:07:40] Speaker B: Ça va. Il y en a un, c'est moins son truc. [02:07:42] Speaker C: C'est pas mon truc, je vous avoue. Je dis que c'est extrémiste musicalement. Mais ouais, ça va. [02:07:48] Speaker B: C'est quoi les trucs les plus guilty dans le metal que t'écoutes ? Guilty, les plus coupables. [02:07:53] Speaker C: Faut que je te le dise en allemand, je m'en rends plus du coup. [02:07:56] Speaker B: Je parle pas allemand. Guilty. [02:07:57] Speaker C: T'es pas allemand toi ? [02:07:59] Speaker A: Guilty. Non mais c'est moi qui m'en ai parlé. [02:08:01] Speaker B: Non mais quels sont les trucs... [02:08:03] Speaker A: J'ai pas eu à me défendre d'un procès pornagiste. [02:08:05] Speaker C: Mes petits plaisirs coupables du metal ? [02:08:06] Speaker B: Ouais voilà c'est ça. Ou les trucs où même si t'es extrémiste ça t'accepte parce que c'est bien. [02:08:15] Speaker C: Putain, j'ai pas du tout pensé... Je passe ma langue... Bah, je passe ma langue... [02:08:18] Speaker A: Voilà ! [02:08:19] Speaker B: Bah, faites ce que vous voulez, les gars, mais... Attendez, je lui passe ma langue... [02:08:24] Speaker C: Passe ma langue pour l'instant, laisse-moi réfléchir, je reviens. [02:08:28] Speaker E: Alors, moi, la réponse est toute simple, j'en ai pas. J'assume absolument tout ce que j'écoute parce que je suis pas un extrémiste, pour le coup. Je suis pas un extrémiste musical. Ou disons que si j'ai un plaisir coupable, c'est moins dans le style musical que dans les thèmes abordés, puisqu'il s'agit de style panthère. [02:08:50] Speaker A: Je comprends pourquoi ça peut être écrit comme coupable. [02:08:52] Speaker E: Disons que musicalement, j'adore, et ça déboîte, et je pense que tout le monde s'accorde à le dire, même si c'est pas forcément ton style. Musicalement, les mecs, c'est bien fait, ils sont là. Thématiquement parlant, je peux concevoir qu'il y ait 2-3 morceaux qui... Bon. [02:09:07] Speaker B: Mais après, c'est un sketch, quoi. [02:09:10] Speaker E: C'est un sketch. Alors après, oui, c'est... Faut pas oublier. [02:09:14] Speaker B: Que les mecs font vraiment le... C'est le cliché quoi. [02:09:18] Speaker E: Ce qui me permet de me rassurer un petit peu dans tout ça, c'est que je suis allé voir un concert en 2018, je crois, et j'ai été impressionné par le nombre de femmes. Je crois que c'est le concert de métal avec le plus de femmes que j'ai vu dans le public. Ce qui me permet aussi de me dire que bon. [02:09:36] Speaker B: Je pense qu'il y a aussi un truc de regard selon le pays, parce que moi du coup, Steel Panther, je les ai connus avant que ce soit Steel Panther, à l'époque ça s'appelait Metal School, et en fait ils jouaient sur le Sunset Boulevard, c'est le groupe qui a joué le plus de fois sur le Sunset Boulevard, ils jouaient une fois par semaine entre le Key Club, le Viper, tout ça, et du coup moi je les ai vus au Key Club, et à l'époque, du coup, ils faisaient principalement des reprises, ils n'avaient pas encore de chansons à eux, mais il y avait déjà toute la partie un peu... donc je sais pas si t'as déjà vu Steel Panther en live, mais en gros, entre les chansons, c'est un peu des sketchs, ils ont chacun des personnages. [02:10:14] Speaker E: Ah par contre c'est minimétré, il raconte des conneries, il raconte 12 conneries à la seconde, mais c'est minimétré, tu vois que les mecs ont répété pour faire leur truc. [02:10:21] Speaker B: Ils ont chacun des personnages et du coup il y a des espèces de vannes qui reviennent tout le temps entre le chanteur qui est un vieux, le bassiste qui fait mieux des hard solos que des solos de basse. [02:10:32] Speaker A: Est-ce qu'à l'époque il faisait déjà une imitation de The Osborne ? [02:10:36] Speaker B: Je ne sais pas si... Il avait fait, c'était très drôle d'ailleurs. C'était drôle et très bien fait. Mais du coup il faisait ça et alors au Key Club, avant que ça commence, il y a un mec qui montait sur scène avec une caméra et ils filmaient la foule et toutes les filles montraient leur sang. Et parce qu'aux Etats-Unis, il y a ce truc de « j'en ai rien à foutre ». En fait, le rapport, c'est très différent entre la France et les Etats-Unis. Et culturellement, on a l'impression qu'en fait, on est de la même culture, mais en fait, ce n'est pas vraiment la même culture. [02:11:08] Speaker A: Mais après, quand ils sont en concert en France, ça arrive aussi. [02:11:11] Speaker E: Oui, oui. [02:11:13] Speaker B: Mais ça vient un peu de là, mais ce que j'ai vu aux Etats-Unis c'était, et à l'époque ils étaient pas connus, c'est ça qu'il faut comprendre, c'est que c'était un groupe de reprise. Et du coup ils ont développé ce truc là, et c'est vrai que quand ça traverse l'Atlantique, ça devient un petit peu plus bizarre. [02:11:30] Speaker E: Mais ça devient bizarre, alors après je sais pas encore une fois ce que je disais un petit peu en off tout à l'heure, je reconnais très volontiers la dimension minuitante de mes arguments sur cette question mais il y a un côté où tu te dis mais en fait si les nanas elles-mêmes réagissent comme ça pourquoi moi je devrais réagir mal ? Tu vois ce que je veux dire ? Et justement, ce concert où je les ai vus, il y a deux choses. Il y a effectivement le côté où même en France, tu parlais des différences entre les Etats-Unis et la France. Même en France, à un moment, il y avait un mec qui faisait la blague avec son accent américain coupé au couteau. « Montrez-nous les nichons ! » Et t'avais des nanaïs. qui le faisaient avec plaisir, clairement, elles étaient pas forcées, elles s'amusaient à le faire. Et puis t'avais sur la chanson Seventeen Girls In A Row, ils ont fait monter 17 nanas du public. Et pareil, jamais elles les ont forcées, elles étaient ultra contentes d'être là. [02:12:20] Speaker C: J'ai trouvé mon plaisir coupable, mais je sais pas si c'est vraiment un plaisir coupable. Je crois que c'est... J'oublie le titre exact. Zik, c'est le clip surtout que j'aime beaucoup regarder. C'est le... Attends. Saxon... Saxon Man... Charlemagne. [02:12:38] Speaker B: Ah de... Oui. [02:12:39] Speaker A: Christopher Lee. [02:12:39] Speaker C: Christopher Lee. [02:12:40] Speaker B: Ah oui ! Oh putain oui ! [02:12:42] Speaker A: Christopher Lee. J'avais évoqué en off, il y a une ou deux semaines, que Christopher Lee avait fait un album de métal sur le thème de Charlemagne. [02:12:50] Speaker E: Il en a fait deux même. [02:12:50] Speaker C: Et il y a un clip incroyable. Blood of the Saxon Men. [02:12:57] Speaker E: Le clip est incroyable. [02:12:58] Speaker B: Du coup ma question c'est qu'est-ce qui t'a plu ? C'est la musique ou le côté historique ? [02:13:03] Speaker C: C'est le côté lénardesque. Clairement oui. T'as l'impression en fait c'est un peu terrible, c'est un peu pathétique dans le sens premier du terme. Dans le sens où t'as notre ami Christophe Hurley, et puis à son âme. [02:13:16] Speaker A: Qui devait avoir 90 ans bien tassé. [02:13:17] Speaker C: À l'époque, qui adorait le métal, t'as l'impression que c'est un pote à lui qui lui a demandé de venir chanter dans son garage, avec un fond vert dégueulasse, et c'est super bizarre. C'est le mec qui sort du salon des anneaux, du machin, il a fait des James Bond, il a fait d'autres trucs. Il a fait des nanars aussi, Christophe Hurley. Et il se retrouve à faire un clip moche. [02:13:35] Speaker A: Ah bah clairement c'est du level des premiers clips de Rhapsody ou des trucs comme ça. [02:13:40] Speaker E: Mais moi je trouve qu'il y a. [02:13:41] Speaker C: Un côté hyper touchant dans le truc. [02:13:43] Speaker E: C'Est extrêmement nanardesque, c'est vraiment pas ouf et effectivement là c'est Christopher Lee qui chante, il a 90 ballets, ça s'entend, c'est pas dingue. Mais moi je trouve qu'il y a un côté vraiment ultra touchant dans le truc de se dire putain j'ai découvert du métal. Hyper tard, j'adore, c'est trop bien, je devais faire un album. [02:13:59] Speaker A: Faire un kiff, malgré mon âge. [02:14:02] Speaker E: C'est ça, malgré son âge, il se fait kiffer. C'est Kiki qui disait, si tu crois que t'es trop vieux pour faire du metal, c'est que tu l'es. Ben on est complètement là-dedans en fait. Et je trouve ça... Il y a un côté touchant malgré tout. [02:14:16] Speaker C: Moni me... en train de m'engueuler, c'est Mambodo sur ma chaîne. Sir Christopher Lee s'il vous plaît, d'accord. Pardon Moni. [02:14:23] Speaker A: Mais oui je vois très bien ce clip. Mais en plus c'était pas la première incursion de Christopher Lee dans le métal puisqu'il avait fait le narrateur chez Rhapsody déjà. [02:14:32] Speaker E: Ouais, effectivement. [02:14:33] Speaker C: En plus, il y avait une bonne voix. [02:14:36] Speaker A: Une voix très reconnaissable. [02:14:38] Speaker E: Il y a une très belle voix pour parler, moins pour chanter. [02:14:41] Speaker C: Non, si, ça va. [02:14:43] Speaker A: Pour son âge et le fait que ce n'est pas un chanteur à la. [02:14:46] Speaker C: Base, ça peut aller. [02:14:47] Speaker E: C'est correct, mais... [02:14:51] Speaker C: Dis, quand t'auras un nouveau appareil à 80 ballets, tu m'appelleras. [02:14:54] Speaker A: Tu vois ce que tu as, un plaisir coupable. [02:14:59] Speaker B: Moi j'ai pas vraiment de plaisir coupable, moi je... Ah non bah ça je suis pas du coup coupable, je... Non mais moi j'ai pas vraiment de truc dont je suis coupable, je crois que. [02:15:09] Speaker C: Je coûte de tout. [02:15:10] Speaker B: Je n'ai pas de problème à dire... [02:15:11] Speaker C: Tu écoutes de tout comme les gens qui écoutent Energie. [02:15:13] Speaker B: Exactement. Pour le coup, j'écoute vraiment de tout. Mais apparemment, je me suis rendu compte que dans ce short qu'on a sorti, je ne suis pas très clair, parce qu'il y a des gens qui font « Ah ouais, alors c'est bon, on ne peut pas avoir un peu de tout dans ses playlists ? » Et ce que je trouve fou, c'est que les gens ne comprennent vraiment... C'est dingue. D'ailleurs, comment vous luttez avec ça ? Moi, la solution que j'ai trouvée, c'est de ne pas lire les commentaires. Clairement, dites-le vous bien, si vous mettez des commentaires, je ne les vois pas. Là, je suis allé le voir parce qu'il y a quelqu'un qui a dit « Ah, sacré débat », du coup je suis allé le voir. [02:15:57] Speaker C: Bah c'est pas... ça dépend, mais ça c'est un problème que tous les mecs qui stablent des shitstorms vont avoir. c'est que moi j'ai eu ce problème-là avec un film pas très sympathique qui s'appelle « Vaincre ou mourir » je me suis fait défoncer la gueule parce que j'ai fait un short en disant « attention le film que vous allez voir » et je répète je dis que ça « le film que vous allez voir n'est pas juste historiquement parlant et n'est pas neutre politiquement » j'ai juste dit ça j'ai jamais dit qu'il fallait pas aller le voir, j'ai jamais dit que c'était nul ou je sais pas quoi je dis « attention ce que vous allez voir ce sera pas ce qui s'est vraiment passé historiquement parlant » et il y a un côté... Je me suis pris une chiasse monumentale par tous les fans du Puy du Fou et de Philippe Devilliers et compagnie, qui avaient compris comme quoi j'avais dit, faut pas aller le voir, alors que j'ai jamais dit ça. [02:16:39] Speaker A: Parce que Vaincre ou Mourir, pour recontextualiser, c'est le film qui a été produit par le Puy du Fou. [02:16:45] Speaker C: Surtout par la famille Devilliers. Voilà. Bon, on va en parler ce soir parce que je vais m'énerver. Non mais qui est un film historiquement qui est pas terrible. Mais même si c'était pas terrible, ce serait pas grave. Moi je suis allé voir le... Bonaparte. Bonaparte, enfin voilà quoi. [02:16:58] Speaker B: Qui historiquement n'est pas terrible du tout. [02:17:00] Speaker C: J'ai très rigolé, j'ai dit bah c'est un bon moment. Même en tant que film, il est même pas bien, il est pas bien foutu, on se fait chier, c'est n'importe quoi, il lui passe tout son sang. Et donc je tapais tellement, tellement, tellement de commentaires là-dessus. Pendant un mois, à un moment donné, je n'osais plus, j'avais peur de regarder les commentaires. T'as beau te dire de te... Comment ça s'appelle ? D'essayer de te cloisonner ou de te protéger, Tu commences même des fois à dire, putain je suis en train de stresser parce que je suis en train de regarder les commentaires. [02:17:27] Speaker E: Et ce qui a été le point de départ de proposition qu'on a mis justement en place au sein de l'association, de l'amérodote, qui a été de dire, bah écoute, ton sujet il est chaud, est-ce que tu veux un modérateur ? Et en fait, dans les quelques jours qui suivent la sortie de sa vidéo, la chaîne qui produit la vidéo ne va pas regarder ses commentaires et c'est ses modérateurs qui vont les regarder et qui vont supprimer les commentaires insultants. Parce qu'après, les commentaires critiques, pas d'accord, on va les garder, on essaie d'être un petit peu... De garder le plus d'horizontalité possible, même si c'est impossible sur YouTube, mais de garder le plus d'horizontalité possible et de rester ouvert aux... Pour le dire poliment aux contre-propositions, au débat, on va essayer de rester ouvert au débat. Mais dans une certaine mesure, insulter c'est pas débattre. Menacer c'est pas débattre. Moi je sais qu'il y a quelques temps j'avais fait une vidéo sur le massacre de Raudour-sur-Glane. que je suis en train de refaire. Donc il y a un massacre commis par l'ESS en France. Et j'ai eu un révisionniste qui est venu me dire que c'était jamais arrivé, que c'était une machination des... [02:18:35] Speaker B: Après c'est un détail ! [02:18:36] Speaker E: Voilà, c'est un détail de l'histoire, exactement. Et dans une certaine mesure, moi je sais que tous ces commentaires... [02:18:43] Speaker A: C'est pas toi qui le dis, c'est Sourcé. [02:18:45] Speaker B: Moi j'ai entendu quelqu'un qui le dit, il était droit dans ses bottes. [02:18:48] Speaker C: Y'a dit aussi Jeanne Lescroix, on l'a jamais vu. Je ne dis pas ça quand je veux boire, moi ! [02:18:58] Speaker E: Non, et puis après, dans une certaine mesure, on ne va pas tous accepter les mêmes choses. Disons que moi, je sais que si je demandais... Moi, ce n'est pas mon cas, je n'ai pas de modérateur sur ma chaîne parce qu'en fait, à part ce commentaire très précis sur cette vidéo très précise, je n'ai pas de problème, en tout cas pour l'instant, je pense que tu vois. Donc je n'ai pas encore de modérateur, mais je sais que si demain, je sentais que j'avais un sujet qui avait besoin d'un modérateur, je ne demanderais pas forcément la même chose en termes de modération que ce que Rob peut me demander, par exemple. Parce qu'on n'est pas sensibles à l'âme. [02:19:24] Speaker C: Parce que dans le genre de trucs où tu vas te taper, moi je sais que les mecs m'ont prouché de parler de cheveux et d'être gros. Ah ouais, on a ce niveau-là. C'est un incroyable argument pour dire que c'est de la merde. [02:19:32] Speaker B: Ouais, je connais ça. [02:19:33] Speaker C: Je t'ai wow. [02:19:34] Speaker B: Merci. [02:19:35] Speaker C: J'aurais dit, vous avez des yeux, bravo. [02:19:36] Speaker B: Une fois, je l'ai pré-shot chez quelqu'un, et du coup j'ai commenté notre vidéo en disant, ouais, ils connaissaient rien, surtout le gros là. Et du coup, avec mon compte perso, du coup le mec a pas... Bon il y a quand même ma tronche, mais bon, il m'a pas compris apparemment. [02:19:51] Speaker C: Bah non, bah ils comprennent pas de façon générale. [02:19:53] Speaker B: Ah non, bah de toute façon ils lisent pas. [02:19:54] Speaker C: Non ils lisent pas, ils sont juste là pour te troller, t'as beau leur donner les bons arguments, ils seront là, non c'est pas vrai, de toute façon. [02:19:58] Speaker B: T'As de l'heure à t'énerver. Non mais il m'a quand même... Il a été sympa, il m'a dit, oh non, quand même, t'y vas un peu fort, t'inquiète, physique. J'ai trouvé ça très gentil de sa part. [02:20:08] Speaker E: Les haters ne sont pas les spectateurs. [02:20:10] Speaker C: Ils sont juste là pour déverser leur frustration. C'était du métal plutôt les gars à la place. [02:20:15] Speaker A: On en parlait même avec Maxwell ici. C'est des gens qui ont beaucoup de temps à perdre en fait. [02:20:22] Speaker B: Ce qui est drôle c'est de voir le ratio de likes. avec le nombre de commentaires négatifs. Où tu te rends compte que tu peux avoir vraiment beaucoup beaucoup de likes sur une vidéo et 6 commentaires négatifs où les mecs vont se chauffer les uns les autres. [02:20:38] Speaker C: Non mais celui-là, le short que j'ai fait, j'ai vu que les mecs depuis du fou qui sont venus me sauter parce qu'il a fait 2000, je sais plus combien, un nombre hallucinant, complètement débile. Et ils m'ont laissé 200 commentaires ! 200 commentaires sur un short ! [02:20:48] Speaker A: Plus ils sont nombreux à venir rager, de toute manière, plus on a plus à en assurer. [02:20:50] Speaker C: Et du coup, je me suis dit simplement que le truc est passé chez les... Ce cercle... Bah c'est un hashtag ! [02:20:54] Speaker B: Non mais c'est le hashtag ! [02:20:55] Speaker C: C'est un hashtag, c'est ça. [02:20:57] Speaker A: Mais Ça a circulé, bref... Cercle... On va pas y citer, mais bon... [02:21:01] Speaker B: Le vrai problème, c'est... Et ça, je pense que c'est un problème pour tous les créateurs de contenu, c'est que... Ce qui circule le plus, c'est quand même tout ce qui crée la controverse, quoi. C'est-à-dire qu'à partir du moment où nous on fait des vidéos où on dit du bien de certains artistes, ça fait pas de vue. Et un truc où on émet un avis sur quelque chose, on se fait chier dessus. [02:21:25] Speaker C: Juste en profiter parce que je vois ce que vient de nous dire Monique, qui est fort gentille. Mais non, tu n'es pas gros, tu es rempli de culture. [02:21:31] Speaker B: Bisous. [02:21:34] Speaker C: Mais bien rempli quand même ! [02:21:35] Speaker E: Merci toi aussi ! On le voit effectivement, les sujets sur lesquels on attire le plus de galères c'est sur les sujets un peu controverses et en fait on s'est rendu compte à quel point c'était encore pire quand t'étais une femme. Il y a peu de femmes au labyrinthe rhodotes, mais quand elles ont des commentaires de merde, c'est forcément pire que nous. [02:22:04] Speaker A: Parce que t'as les biémisogynes qui viennent en plus rajouter une sacrée couche. [02:22:08] Speaker E: Alors t'as les biémisogynes les plus... gentille, entre grosses guillemets, où ils ne font que considérer la youtubeuse comme une présentatrice. Ça ne vient pas à l'esprit que. [02:22:21] Speaker C: C'Est elle qui a tout fait. [02:22:23] Speaker E: Elle est là, c'est une femme, donc. [02:22:24] Speaker A: C'Est lui qui a écrit, voilà. [02:22:27] Speaker E: Et ça reste un bien misogyne, mais encore, voilà, c'est C'est pas pire. [02:22:32] Speaker A: Pardonnez-leur, je sais pas ce qu'elles disent. [02:22:34] Speaker E: Et puis t'as tous ceux qui font après derrière des trucs en mode... Ok d'accord, elle a une jolie gueule mais elle ferait mieux de la fermer, des trucs comme ça. Tu tombes sur des trucs, mais je dis mais quoi ? Et tous ces commentaires-là, nous en tant que mecs, on les a pas. Donc ouais, effectivement c'est un peu galère. [02:22:47] Speaker B: Ça veut dire quoi ? On n'est pas assez beaux ? Pour être jugés sur notre physique ? Bande de merde ! [02:22:53] Speaker C: Nous aussi on veut être suisse ! Bah non, j'ai déjà fait... En même temps on veut plus ! [02:22:57] Speaker B: Quand t'es gros, t'es quand même un peu jugé sur ton physique. C'est l'avantage. [02:23:01] Speaker C: Oui ! Ah si, y'en a un qui m'a dit que je devais continuer de manger du chocolat. [02:23:06] Speaker B: Continuer de manger du chocolat ? [02:23:07] Speaker C: Ouais, bon je mange pas de chocolat dans le truc. [02:23:08] Speaker B: C'est parce que t'es suisse ? [02:23:09] Speaker C: Non même pas, je suis même pas suisse en plus. [02:23:11] Speaker B: Enfin parce que tu vis en Suisse ? [02:23:12] Speaker C: Non je vis pas en Suisse. [02:23:13] Speaker B: Parce que tu viens de Suisse. [02:23:15] Speaker C: J'habite à côté. [02:23:15] Speaker B: Ah ouais, c'est ça. J'ai un ami qui est là-bas aussi. Il te ressemble un peu. [02:23:21] Speaker C: Ah, c'est toi ? [02:23:23] Speaker B: Ah, perdu de vue ! Bon, sinon on avait un petit choix pour toi, Nico ? Oui, toi tu as choisi un choix alternatif, j'ai envie de dire. [02:23:33] Speaker E: Ouais, parce que j'ai... Comment dire ? [02:23:36] Speaker B: En parlant de vieux. [02:23:36] Speaker E: C'est ça, on parlait de vieux tout à l'heure. Je sais pas, j'ai l'impression en fait, quand je parle à d'autres gens qui écoutent du métal, j'ai l'impression d'avoir un parcours relativement atypique. J'ai jamais été emmerdé par rapport à ça. J'ai... J'ai l'impression d'avoir des... Bon, à part Iron Maiden, qui effectivement c'est un gros groupe, mais que j'ai découvert en premier, en fait j'ai l'impression d'avoir découvert les trucs un peu sur le tard, et j'ai découvert du coup ACDC, c'est pour ça que j'ai choisi ce t-shirt, après Iron Maiden, et en fait c'est une amie de la famille qui m'a... [02:24:09] Speaker B: Qui. [02:24:09] Speaker E: M'A offert le double dvd Family Jewels donc avec plein de bijoux de famille mais il fait beaucoup rire d'ailleurs, je lisais pas l'anglais et donc c'était vraiment le truc avec les deux boules de pétanque ou je sais plus quoi qui s'entrechoquent je comprenais pas l'anglais et c'est mon père qui m'explique la blague donc ça m'a fait beaucoup rire surtout que j'avais 8 ou 9 ans donc t'es pas forcément le plus fin à ce moment là Remarque, ça me fait toujours rire ce genre de van. Et dans tous ces clips là, tu as une série de clips, je crois que c'est des morceaux issus de l'album Fly on the Wall. Et t'as une série de clips en fait où c'est ACDC qui vient faire un concert dans un bar et en fait... Au début, tout le monde s'en fout, personne les écoute, voire les dénigre un petit peu et au fur et à mesure des clips, ils se lâchent de plus en plus, les gens, c'est de plus en plus l'ambiance, ils adorent. Et ça finit avec le clip que j'ai choisi, donc du coup, Shake Your Foundation, où ils finissent en fait avec le concert où ils détruisent littéralement le bar avec leur musique. Ils font tellement de boucans, ils font tellement de bordel que ça fait s'effondrer le bar et ils continuent à jouer alors que le bar est complètement détruit. Et c'est à ce moment là, pour moi, où je me suis dit Le rock'n'metal, ça doit être ça. C'est un truc qui te déménage la tronche quand t'en écoutes. Pour moi, ça doit être ça. Voilà. [02:25:25] Speaker B: Bah on va voir si ça marche. On va voir si le studio est encore en place après avoir écouté ce titre. [02:25:31] Speaker A: On se lance ? [02:25:32] Speaker B: J'écoute. [02:25:33] Speaker A: J'ai prêt hein, parce que bon, c'est ton studio. [02:25:35] Speaker B: Accrochez-vous. [02:25:35] Speaker A: J'ai rien à dire, c'est étant donné. [02:25:36] Speaker E: Que je ne fais que répondre à ce que vous m'avez demandé, je ne serai pas responsable. [02:25:40] Speaker B: Accrochez-vous, on ne sait jamais. C'est parti, ACDC. [02:29:51] Speaker E: Welcome to the ground. [02:32:11] Speaker D: Don't let them bury me ! Protocoles C'est parti ! [02:33:33] Speaker B: Voyons, il s'est énervé Freddy Mercury là ! [02:33:35] Speaker A: Je sais pas, on avait une petite hypothèse, hors antenne, comme quoi il aurait investi et il aurait tout perdu. [02:33:43] Speaker C: Oui, c'est ça. [02:33:44] Speaker B: Apparemment, ça n'a pas trop bien marché, la blockchain ne l'a pas réussi. [02:33:50] Speaker C: La blockchain, NFT, tout ça, il s'est retrouvé bloqué. [02:33:54] Speaker B: Tant qu'il n'est pas enchaîné. [02:33:57] Speaker A: Donc c'était The Gloom in the Corner avec le morceau de Jericho Protocol. [02:34:03] Speaker B: Voilà, le protocole de Géricault, on ne sait pas ce que ça veut dire. [02:34:05] Speaker A: Je trouve ça pas si mal. [02:34:06] Speaker B: Dis donc, dis donc, il n'y aura pas des petits concerts qu'on pourrait aller se voir bientôt ? [02:34:10] Speaker A: Ah tout à fait, il y a des concerts, il y a pas mal de concerts, alors on va vous faire le petit topo. [02:34:14] Speaker B: Pour la semaine prochaine, pas la semaine qui arrive, mais la semaine d'après. Voilà, c'est ça. Ceux de cette semaine, vous les avez vus la semaine d'avant. [02:34:21] Speaker A: C'est très logique. [02:34:22] Speaker B: Bah bien sûr ! [02:34:23] Speaker A: Bah oui, évidemment pour nos amis des replays. [02:34:25] Speaker E: Est-ce qu'il peut répéter la question ? [02:34:26] Speaker A: Pour nos amis qui nous regardent en replay. Alors, on va commencer avec le lundi 27 mai. Gros poisson, gros poisson, il y aura Eric Clapton à l'Accor Arena. [02:34:34] Speaker B: Ah, dans une grosse salle. [02:34:36] Speaker A: Dans une grosse salle. [02:34:36] Speaker B: Et il y aura, si vous avez envie de trucs un petit peu plus intimistes, à La Cigale, il y aura The Fat White Family. Voilà, je sais pas si vous connaissez, mais Pierre connaît apparemment. [02:34:48] Speaker A: Vu qu'il l'a écrit, on reprend ses notes telles qu'elles. Mardi 28, il y aura Belle et Sébastien à la salle Playgail. [02:34:54] Speaker B: Vous préférez qui, Belle et Sébastien ? [02:34:56] Speaker E: Qui s'appelle Belle et Sébastien ? [02:34:58] Speaker C: Oui, c'est un groupe d'Indie Rock. Je connais plus les paroles de la chanson. Moi non plus. C'est bien, c'est pas plus mal. [02:35:04] Speaker B: Bah c'est pas grave, mais du coup on ira plutôt voir Pennywise à la machine du moulin rouge. [02:35:07] Speaker A: Pennywise, pour les amateurs de cupons. Mercredi 29 mai, nous avons nouvelle vague à la batterie de Guyancourt. [02:35:15] Speaker B: Il y aura Military Gun avec nos petits chouchous de Pensyslow à Petit Bain. Donc voilà, si vous voulez passer une bonne soirée, moi je pense que c'est là qu'il faut aller. [02:35:23] Speaker A: Pour tous les amateurs de shoegaze à Pensyslow, c'est très recommandable. Il y aura sinon Coffin à la mécanique ondulatoire. [02:35:30] Speaker B: Et sinon il y aura Fontana Rosa au point éphémère. [02:35:34] Speaker A: Pour ceux qui ont envie de quelque chose de plein air et avec un petit peu plus de temps de jeu, vendredi 31 mai ce sera le début de Will of Green, donc un festival de trois jours. [02:35:42] Speaker B: Après le samedi 1er juin, si vous n'êtes pas à Will of Green, vous pouvez aller voir Tagada Jones à l'Olympia. [02:35:48] Speaker A: Ou sinon aller voir Osiris et From the Basement au Carré à Saint-Cloud. [02:35:53] Speaker B: Ou encore Matt Foxes et Caraba FC à la clé à Saint-Germain-en-Laye, RER A. [02:36:01] Speaker A: C'est bien de donner les... Ouais, tu nous fais la prière en même temps. [02:36:03] Speaker B: Comme ça ils ont toutes les clés en. [02:36:09] Speaker A: Main. Exactement. [02:36:11] Speaker B: Bravo, bravo. [02:36:11] Speaker A: Bah écoute, si t'as pas trop peur des tatanes, dimanche 2 juin, y'a Dogstar à La Cigale, donc voilà. [02:36:16] Speaker B: Dogstar, c'est le groupe de... [02:36:17] Speaker A: C'est le groupe de Kenny Reeves. [02:36:19] Speaker B: De Kenny Reeves à la basse. [02:36:22] Speaker E: J'ai très très très envie d'aller les voir. Juste pour Kenny Reeves, je sais pas du tout ce que c'est, j'ai jamais écouté, mais pour Kenny Reeves, j'ai très envie d'aller écouter ça. [02:36:29] Speaker A: C'est... moi j'ai toujours trouvé ça un petit peu osef, mais... Oui, oui, c'est. [02:36:32] Speaker B: Pas fou, mais c'est sympa quoi, enfin... [02:36:35] Speaker A: Moi c'est juste Kenny Reeves. Ce qui me fait un peu chier, c'est que c'est typiquement le genre de groupe où s'il n'y avait pas Kenny Reeves dedans, en fait, on en entend pas se parler. [02:36:43] Speaker E: Oh, certainement, mais bon... Comme le groupe. [02:36:44] Speaker C: De Jared Leto, quoi. [02:36:48] Speaker A: C'est tellement vrai. [02:36:50] Speaker B: Si vous voulez pas aller voir Dogstar à La Cigale, vous pouvez juste aller à côté à La Boule Noire, il y aura Pet Needs. Exactement. Et sinon, bien sûr, on y a un concert dont on n'a pas parlé, mais parce que c'est cette semaine. Vendredi, il y aura Deep Valley à La Maroquinerie, donc vendredi 24. Et bien sûr, on offre des places parce qu'on est hyper généreux chez Restless. [02:37:11] Speaker A: Et oui, parce que nous chez Restless, on est toujours comme ça, fort mal généreux. [02:37:17] Speaker B: Du coup, si vous voulez aller voir Deep Valley à la maroquinerie ce vendredi, c'est très simple, vous envoyez un petit email à pierre-rstlss.com, pierre-rstlss.com, et puis vous mettez Deep Valley dans le titre, et puis vous dites « Je veux les places, moi ! » Et puis voilà, Pierre vous fera gagner des places. Il est pas là, mais il reviendra, il sera là dès demain. Il m'a dit « T'inquiète pas, je serai là dès demain à première heure. » C'est faux. [02:37:47] Speaker A: On sait bien ce qui se passe. [02:37:48] Speaker B: Du coup, on va écouter un petit clip. [02:37:49] Speaker A: C'est parce que c'est un jour férié, c'est pour ça. [02:37:51] Speaker B: Ah, c'est pour ça. [02:37:53] Speaker A: Oui, tu vois, là, c'est la Pentecôte. [02:37:54] Speaker B: Je croyais que c'était parce qu'il était encore en train de se vider. [02:37:57] Speaker C: C'est la Pentecôte ? [02:37:57] Speaker A: Non, c'est juste qu'il n'est pas solidaire avec les vieux. [02:38:00] Speaker B: Ou un autre personnage de Friends, je ne sais jamais. On va tout de suite écouter Deep Valley avec la chanson « I Like Crime » feat. [02:38:09] Speaker A: Jenny V. Et non pas Jenali. [02:38:11] Speaker B: Ah bah non. [02:42:40] Speaker D: Oh putain, qu'est-ce qu'il se passe ? C'est quoi ce délire ? Oh putain, c'est quoi ce délire ? Oh putain, c'est quoi ce délire ? Oh putain, c'est quoi ce délire ? Oh, putain! C'est génial! C'est la fin ! C'est la fin ! C'est la fin ! C'est la fin ! C'est la fin ! C'est la fin ! C'est la fin ! C'est la fin ! C'est génial! [02:45:20] Speaker A: Ça fait du bien par où ça passe. [02:45:22] Speaker B: L'avantage quand tu fais un clip avec que des images de live, c'est que tu sais qui c'est, c'est écrit dans le fond. [02:45:27] Speaker A: C'est écrit. Get Creeper donc avec le morceau Caught in the Treads. Ça c'est un de mes choix parce que Get Creeper j'aime beaucoup. C'est un groupe de death metal américain qui est très actuel mais qui se la joue très old school justement avec un son très suédois dans l'esprit. La bosse HM2, le son qui gratte, le groove, ça tronçonne. [02:45:46] Speaker E: C'est sympa, c'est bucolique. [02:45:48] Speaker A: Ça sent pas assez bucolique, ça donne envie de ramasser des fleurs. Get Creeper qui viennent de sortir un album ce vendredi qui s'appelle Dark Superstitions. Il me semble que c'est leur troisième album. C'est un album qui groove bien, qui tronçonne bien, qui fait bien plaisir par où ça passe. C'est un plaisir régressif mais plaisir total et entier. [02:46:04] Speaker B: On aime le plaisir. [02:46:05] Speaker E: Ça fait plaisir. [02:46:07] Speaker C: J'ai rien à ajouter. [02:46:09] Speaker B: Et bah tu vas quand même devoir ajouter quelque chose parce qu'on va te poser des questions. [02:46:12] Speaker C: Ah bon ? Encore ? [02:46:13] Speaker A: On va encore cuisiner. [02:46:14] Speaker C: Ah mais c'est pour ça que je. [02:46:14] Speaker A: Suis là en fait. [02:46:15] Speaker B: On te passe au grill, c'est ce que je veux dire. [02:46:18] Speaker A: Nous avons oui dire que tu as un groupe. [02:46:19] Speaker C: J'ai un groupe. Tu as un groupe. J'ai un groupe. [02:46:24] Speaker A: Pouvez-vous nous en dire plus ? [02:46:25] Speaker C: Ouais bah j'ai un groupe. [02:46:28] Speaker B: Alors qu'est-ce que tu fais déjà de ton groupe ? Tu fais quoi ? [02:46:30] Speaker C: Ça s'appelle Izarne YZRN et je suis le chanteur hurleur de ce groupe. [02:46:36] Speaker B: Chanteur hurleur ? [02:46:37] Speaker C: Je chante normalement et je hurle normalement aussi. [02:46:39] Speaker B: Et alors c'est une bonne position ça ? [02:46:42] Speaker C: Je crois pas qu'il y ait une bonne ou une mauvaise position et je ne pourrais pas aller plus loin dans ce monologue, je ne le connais pas par cœur malheureusement mais j'aurais bien voulu ! [02:46:49] Speaker B: Est-ce que c'est venu tôt de faire du groupe ? [02:46:57] Speaker C: C'est venu à la fac, quand j'étais à la fac, à Besançon. J'ai commencé à avoir un groupe à Belfort, après à Besançon. En France je comptais. Si vous ne savez pas où c'est, c'est une très belle région parce que personne ne la connaît. [02:47:12] Speaker B: Il faut faire de la musique. [02:47:13] Speaker C: Ouais voilà, donc groupe, puis petit à petit j'ai fait... Combien ? 5 groupes je crois ? Ouais peut-être 5 groupes, ouais. Dont 3 qui ont eu des... On a sorti des albums, enfin... Enfin des albums, des mini-albums plutôt. [02:47:24] Speaker B: Des enregistrements ? [02:47:25] Speaker C: Des enregistrements, ouais. Deux EPs imprimées, la CSM était contente, tout ça. Ah ouais ? Ouais, voilà. [02:47:31] Speaker B: Et bon... Et alors comment t'en es venu à chanter ? T'as fait... Est-ce que déjà t'as commencé le métal en faisant de la trompette ? Ou t'as directement commencé... Bah j'ai commencé. [02:47:39] Speaker C: À chanter dans la trompette ! Ça marche pas ! Non bah j'ai toujours chanté, je trouvais m'échanter depuis que je suis gosse et puis... Après je suis dans une famille où mes sœurs ont fait du piano, mon père a fait de l'accordéon, ma grand-mère faisait du clavecin, ouais ça fait bizarre de dire ça, du clavecin, du piano... [02:47:55] Speaker B: Bah c'est directement le métal qui coulait dans ses vêtements. [02:47:57] Speaker C: Le métal élude directement, je faisais de l'orgue dans le temple, parce que c'est protestant chez moi, dans le temple du truc. Enfin bref, et puis ouais je pense que c'est venu un peu naturellement de commencer à chanter et puis en même temps le métal. [02:48:07] Speaker B: D'ailleurs, blague à part, c'est vrai que c'est un truc... Moi j'ai grandi avec une amie, ma meilleure amie était protestante, et c'est vrai que dans les églises, enfin dans les temples protestants, il y a beaucoup de musique, contrairement au truc... Ah bon ? [02:48:21] Speaker C: Tu trouves ? [02:48:22] Speaker B: Ah ouais, bah moi il y avait un rock-band qui jouait... Ah ouais, non. [02:48:25] Speaker C: Mais moi c'est pas à ce point-là, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non. [02:48:30] Speaker B: Non, non, non, non, non, non, non. [02:48:32] Speaker E: Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non de télé sur des prêtres geeks et métalleux. [02:48:39] Speaker C: Oui mais alors après voilà, moi je ne me considère pas comme protestante. [02:48:44] Speaker B: Non mais je veux dire, culturellement la musique est plus présente quoi. [02:48:48] Speaker C: Peut-être c'est possible, je t'avoue que j'ai pas réfléchi à ça, cet aspect-là au niveau anthropologique pour me l'apprécier. Mais non, c'est une question que j'ai jamais posée effectivement. Ouais, c'est une bonne question que tu poses. Mais du coup, le chant, c'est un truc que j'ai toujours fait depuis que je bosse. [02:49:04] Speaker A: Et qu'est-ce qui t'a donné la force du coup de passer le cap et de le faire pour de vrai dans un vrai projet avec d'autres gens ? [02:49:10] Speaker C: J'avais juste envie. J'ai rien de plus. J'avais un de mes potes, encore un de mes potes du lycée, Gilles Lasse, je te vois, je sais que tu regardes, qui livrait de la basse, et on voulait faire un groupe, on a commencé à trouver des mecs qui étaient d'accord pour jouer. Après c'est les premiers groupes, t'as les trois quarts qui sont pas sérieux, les autres sont sérieux, comme beaucoup d'expériences, je pense, pour ceux qui ont des groupes. Enfin toi, tu le sais. Et puis ensuite, petit à petit, j'ai fait plusieurs groupes. Et puis là, j'étais avec Yzarn. [02:49:40] Speaker B: Et tu peux nous en dire un peu plus sur les arnes ? [02:49:43] Speaker C: Eh bien on a un groupe de trois personnes, il y a Jérôme à la batterie et on a Romain à la guitare et basse pour l'instant parce qu'on a du mal à trouver des bassistes d'ailleurs. Donc si y'en a qui veut faire un peu de basse dans la région, c'est où ? C'est là. dans la région à côté de Genève, n'hésitez pas les enfants, contactez-nous. [02:50:02] Speaker B: Les Suisses peuvent venir aussi ? [02:50:04] Speaker C: Tout le monde, il n'y a pas de problème. Suisses, Français, tout est bien, pas de soucis. Nous sommes dans l'espace Schengen, il n'y a pas de problème. C'est du death metal principalement, un côté mélodique. On n'arrive pas vraiment à nous définir nous-mêmes. [02:50:20] Speaker B: Y'a un petit côté prog aussi un peu, non ? [02:50:22] Speaker C: Oui, oui, oui, clairement, oui, c'est vrai qu'il y a un côté prog, tout à fait. J'ai oublié qu'il y avait... Oui, c'est vrai. Mais on peut le mettre. [02:50:32] Speaker A: Donc du coup, tu chantes, mais pas que dans un groupe, j'ai vu que tu chantais aussi sur ta chaîne. [02:50:35] Speaker C: Oui, j'ai fait des petits a cappella quand je m'ennuie. [02:50:38] Speaker B: C'est bien ça. [02:50:39] Speaker A: Des petits a cappella sur Napoléon... Ah. [02:50:41] Speaker C: Ouais, bon ça c'est un délire. Ça c'était pour Guilhem. T'aimes bien jouer avec la caméra quand je regarde là-bas ? Guillaume, qui nous regarde peut-être pas, qui lui a la chaîne d'Histoire en histoire et qui avait fait un truc sur les enfants de Napoléon. Il nous a demandé, donc à toi aussi, de faire une reprise de Napoléon est mort à sa télène, célèbre comptine pour enfants. Lui il a fait un truc très punk. [02:51:07] Speaker E: J'ai voulu faire un truc très grave. [02:51:09] Speaker C: À la chanson française classique, tu sais. Napoléon est mort à Sainte-Hélène, aaaah ! Enfin bref, limite comédien. Et puis l'autre, j'ai repris du Jenny Bass, j'ai pris du Vardruna, de Dorvato. Star Wars. Doctor Who, alors que j'aime pas du tout la série Doctor Who, mais j'ai repris. [02:51:31] Speaker B: Il y en a tellement en plus. [02:51:32] Speaker C: Ouais, j'ai pris juste le générique. [02:51:35] Speaker A: Il est toujours acappé là, du coup. [02:51:37] Speaker C: Quasiment. Il y a des moments où j'ai fait 2-3 percussions, Alors, j'ai pas d'instrument chez moi. [02:51:43] Speaker B: T'as pas de trompette ? [02:51:44] Speaker C: Non, j'en ai plus. J'ai laissé chez mes parents, donc j'ai un appartement. En gros, j'ai pris une casserole. J'ai pris une casserole, j'ai pris une cuillère en bois. Et puis ensuite, j'ai pris une poubelle en plastique. Et ça marche ! [02:52:01] Speaker B: Des fois, il faut pas grand-chose. [02:52:03] Speaker A: Écoute, il y en a avec beaucoup plus de budget qui font pas mieux. [02:52:06] Speaker C: L'arcelerie ! Voilà, j'ai fait l'inverse de l'archefoulerie. Moi je fais des bruits de batterie avec une poubelle, lui il fait des bruits de casserole avec sa batterie. On t'aime ! [02:52:17] Speaker B: Après, malheureusement, pour toi il en a vendu plus. [02:52:20] Speaker C: Oui, je sais. La casserole est plus forte que la poubelle. [02:52:24] Speaker A: Et toi Nicolas tu fais aussi de. [02:52:25] Speaker E: La musique, je pense à ta chaîne Youtube. Oui alors effectivement pour ma chaîne Youtube, bah tout à l'heure je parlais de ma vidéo sur le massacre d'Oradour-Souglane que j'avais faite, en fait c'était une vidéo, contrairement aux vidéos principales où je prends les morceaux et j'explique de quoi ça parle, là j'avais envie de faire l'inverse et de prendre un truc. qui me parle, d'en parler et de faire une chanson autour de ça. Vidéo qui n'est plus disponible sur ma chaîne parce que je suis en train de la retravailler parce qu'en fait avec le recul j'aime pas du tout la composition que j'avais faite parce qu'elle ne transmettait pas du tout ce que je voulais que ça transmette. Peut-être aussi parce que je manquais encore d'expérience et que j'ai fait un petit. [02:53:01] Speaker C: Peu... [02:53:04] Speaker E: En s'en réfléchir on va dire et avec le recul tu te dis bon sur l'instant t'es content et puis après plus t'écoutes tu te dis non ça va pas du tout avec ce que je voulais que ça fasse ça me correspond pas donc voilà j'ai pas de groupe parce que pour moi un groupe c'est d'abord un groupe de potes et j'ai pas vraiment de potes pour. [02:53:21] Speaker A: Jouer du métal Je m'attendais à un peu très triste. [02:53:25] Speaker C: J'attends de mettre du sad piano tu sais. [02:53:28] Speaker E: Des potes j'en ai plein, mais pour jouer du metal, moins. Donc c'est compliqué. [02:53:36] Speaker B: Du coup si vous voulez être potes avec lui, n'hésitez pas. [02:53:38] Speaker C: Mais d'abord faut être potes. [02:53:43] Speaker E: J'ai essayé deux fois de répondre à des annonces internet pour un groupe. Le premier, je suis tombé sur un mec qui voulait faire des reprises très R-Metal, années 80, du rats, des trucs comme ça. J'étais très content parce que ça correspondait vraiment à ce que j'avais envie de faire. qui me dit non il n'y a pas de problème, bon alors t'inquiètes de toute façon là on va voir quelqu'un d'autre demain, de toute façon la semaine prochaine t'as qu'à venir, on se voit la semaine prochaine, on bosse rats, c'était... oh putain le nom du morceau m'échappe. Non c'était pas Randonne, c'était un autre, mais le nom du morceau m'échappe, il ne me reviendrait pas comme ça. Bosse rats, on se voit la semaine prochaine et puis ça se passe bien, on verra, on fera un choix entre toi et l'autre, machin. Puis au courant de la semaine il me dit en fait laisse tomber, l'autre il est trop bien, ne prends pas. Un peu froid, je me suis fait un peu chier à l'apprendre quand même le truc. Et puis le deuxième, alors j'ai en profité pour faire de la pub pour le groupe parce que j'ai pas du tout de rancœur après eux. C'est After Us qui est un groupe de rock symphonique français. On sent qu'il y a de l'inspiration évanescence là-dedans, c'est très sympa. Bon bah pareil, ils ont pris un autre guitariste. Et ça m'a fait chier parce qu'en fait c'est beaucoup de démarches, tu prends le temps de chercher, tu prends le temps de contacter les gens, tu prends le temps d'apprendre les morceaux. Eux ils faisaient de la composition pour le coup. Tu prends le temps d'apprendre les morceaux que le groupe veut jouer et ça donne rien, ça me saoule et je préfère attaquer direct et puis faire ensuite ce que j'ai envie de faire vraiment. [02:55:22] Speaker C: Tout seul. [02:55:23] Speaker E: Disons que si demain je devais fonder un groupe, je pense que je ferais une Dave Mustaine où c'est mon groupe, c'est moi qui décide, si t'es pas d'accord, casse-toi. [02:55:31] Speaker A: En mode despote absolu. [02:55:32] Speaker B: Faut juste pas te virer toi-même mais. [02:55:34] Speaker A: Sinon il y a le défi de dospiter avec moi-même. [02:55:37] Speaker C: Aujourd'hui j'ai. [02:55:41] Speaker E: Plein de projets musicaux, des reprises, des compos, il faut juste que je fasse ce qu'il y a à faire parce que je prends des cours de chant, je fais de la guitare, je fais de la basse, je programme ma batterie, malheureusement je ne suis pas batteur. J'ai plein d'idées, il faut juste que je les fasse. [02:55:56] Speaker B: Ouais c'est glucose quoi. [02:55:58] Speaker A: Complètement glucose. Tu en mets même dans tes vidéos, j'ai vu dans celle sur Exdeo je crois, de la musique originale. [02:56:05] Speaker E: C'était une tentative, celle sur Exdeo justement, de finir la vidéo avec les remerciements d'usage d'une vidéo YouTube, mais en chanson. Donc ça m'avait fait amuser, je parle. [02:56:18] Speaker C: Très bien la franche. [02:56:19] Speaker E: Ça m'avait amusé de faire ça. Comme depuis XDO, il n'y en a eu qu'une qui était celle sur LVT et qui était en collaboration avec Metalliqua et Histoire Appliquée, le format se prêtait moins, ce genre de truc, donc je ne l'ai pas fait. Mais ouais, c'est le genre de truc qui m'a un peu amusé. Puis après, bon, celle-là m'élevait aussi parce qu'à l'époque j'étais sur Tipeee, j'ai fait de la pipe pour Tipeee, il y a eu les scandales Tipeee, je me suis barré. [02:56:44] Speaker A: Donc pour recontextualiser, XDO qui est un groupe je crois canadien, c'est ça ? C'est ça, les mecs de Cataclysm, c'est ça ? [02:56:50] Speaker E: C'est ça, c'est les mecs de Cataclysm, en fait c'est surtout le side-project de Mauricio Iacono, le chanteur, mais c'est plusieurs membres de Cataclysm en l'occurrence, mais c'est surtout propulsé par Mauricio Iacono. Je vais pas essayer de le faire en accent. [02:57:06] Speaker C: Maurizio, j'ai oublié le nom. [02:57:10] Speaker B: Maurizio Iacono ! [02:57:11] Speaker E: Je t'ai dit c'est pour ça que je ne fais pas les accents ! [02:57:13] Speaker A: Voilà, ça c'est fait. [02:57:14] Speaker E: Donc c'est surtout propulsé par lui qui a des origines italiennes et qui est, en fait, pour lui, la Rome antique, enfin les Romains antiques, c'est un petit peu comme nos ancêtres les Gaulois, si tu veux, en France. Donc il y a un côté très, à la fois très... [02:57:29] Speaker A: Très péplum. [02:57:30] Speaker E: Très péplum, très romantique et puis très... très fierté nationale qui s'en dégage. Mais en même temps, lui contrairement à d'autres, il a l'air un peu conscient des travers que ça peut apporter. Même si historiquement parlant, c'est pas dingue, c'est pas forcément grave parce que c'est Rome et de toute manière c'est peplum. C'est pas forcément gênant. Faut juste que les gens soient conscients un petit peu de ça. C'est ce qu'on disait un petit peu. [02:57:56] Speaker C: Tout à l'heure, c'est du métal. [02:57:57] Speaker E: C'est pas un groupe de... C'est pas un cours d'histoire quoi. [02:58:03] Speaker B: En parlant de message, du coup on va regarder ce petit clip de ton groupe. Et du coup c'est obscurantisme. [02:58:09] Speaker C: Obscurantisme. D'ailleurs on en prépare à la sortie de l'album. J'ai pas de date encore à vous donner. [02:58:16] Speaker B: 3 ans à peu près ? [02:58:16] Speaker A: Vous allez faire une toule, c'est ça ? L'album est déjà prêt, juste vous attendez. Ils attendent que tu mettes les voix. [02:58:26] Speaker B: Écoutez, soyez sûrs que nous faisons notre maximum et que nous aurons plus d'informations. [02:58:32] Speaker C: Sinon, j'en ai marre. Listening, do the job, and I like it. [02:58:41] Speaker B: S'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud. [02:58:44] Speaker C: S'Clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud. [02:58:48] Speaker B: S'Clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud. [02:58:53] Speaker A: S'Clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud, s'clud. [02:58:55] Speaker C: S'C Rien ne change réellement Le temps efface le sang Les souvenirs s'estompent lentement Tout se répète pourtant. [03:00:23] Speaker E: Je suis la. [03:00:24] Speaker D: Victime Je veux une dissonance ! Du passé s'aspirent pourtant Ta haine dans le sang Je suis la haine qui fout moi Je suis la peine qui fout toi Dans un torrent de larmes. [03:02:47] Speaker C: Et si tu souffres ce n'est pas. [03:02:49] Speaker D: L'Instant Je suis la peur qui fout moi Je suis la folie qui croit Et nous font ces lumières Que le bruit de vérité s'emmerde Quand l'âge glissière Les hommes s'éloignent de leur rochère Près d'un nord castagne Quand la fleur vient Les âmes s'enfunt des poumons arrière Dites à Twister qu'on l'a aimé Et les écouter Je suis la haine qui veut moi Je suis la peine qui veut moi Quand un torrent de larmes L'exil des sous-soirs traite par les âmes Je suis la peur qui faut moi Je suis la folie qui croit Et tout font ses lumières Et le creux de. [03:04:29] Speaker C: Vérité s'appelle. [03:05:27] Speaker D: Musique de tension Abonnez-vous à la chaîne ! C'est parti ! Oh what a shirt shoddy Laced down with a bite, one feed No sweat, but with a little pepper To feed so many for a toast of one Five Two dogs Unleashed You tell them I'm coming And hell's coming with me. [03:08:26] Speaker A: Eh ben ça décrasse, c'était Wedgewar, du bombe au gros métal-corps qui frappe. [03:08:31] Speaker B: C'est le moins qu'on puisse dire. [03:08:33] Speaker A: Donc voilà, nouveau morceau j'imagine ? [03:08:35] Speaker B: Bah j'imagine, on demandera à Pierre la semaine prochaine. [03:08:38] Speaker A: On lui demandera. Vous avez bien aimé vous ? Ouais, c'est classique. [03:08:42] Speaker B: Ça chie quoi. [03:08:42] Speaker C: Ouais bon après c'est le style, c'est pas ce que j'écoute tout le temps mais ça fait du bien d'entendre les pareils. [03:08:48] Speaker B: Bonne ambiance quoi. [03:08:50] Speaker C: Oui, bonne ambiance. [03:08:51] Speaker E: C'est une bonne ambiance pour... [03:08:52] Speaker B: Petite tourtelle en terrasse quoi. [03:08:55] Speaker C: Ouais. [03:09:00] Speaker B: Apparemment les gens n'aiment pas la tourtelle ici. [03:09:01] Speaker C: Voilà c'est ça. [03:09:02] Speaker B: Je sais pas pourquoi. [03:09:04] Speaker C: Parce que ça c'est dégueulasse. [03:09:08] Speaker B: Un petit mot de la fin peut-être ? Parce qu'on arrive doucement à la fin de l'émission. [03:09:11] Speaker C: Déjà, c'est vraiment sympathique. Merci de votre invitation messieurs. Merci Pierre qui n'est pas là. Désolé, j'espère que tout va bien. [03:09:18] Speaker A: Merci à Pierre et pas merci à ses entrailles. Est-ce que vous avez quelque chose à ajouter ? Un petit coup de promo ? [03:09:26] Speaker B: Peut-être un petit mot sur vos prochaines vidéos ? Ou quand est-ce qu'on peut les espérer ? Parce qu'il y en a, ça fait un petit moment où c'est pas sorti. Moi je dis ça, je dis rien. Mais comment on fait pour avoir des bonnes notes ? Comment on fait pour avoir des bonnes notes en histoire si on peut pas réviser ? [03:09:39] Speaker C: Ah bah déjà tu prends un bouquin. Oh ouais c'est bon ! [03:09:44] Speaker B: Si je l'ai appris il y a huit ! [03:09:46] Speaker C: Eh bah faut s'y mettre, allez ! [03:09:47] Speaker A: Réviser des livres les jeunes, les jeunes. [03:09:48] Speaker E: N'Y visent plus ! [03:09:49] Speaker C: Non mais là moi ça va être trop de problèmes. C'est la continuation de ma mini-série qui prend des proportions énormes sur Bonaparte en Égypte. Proportions pharaoniques. Ouais ! [03:10:04] Speaker B: Du coup, qu'est-ce qui t'a donné le goût de l'immobilier comme ça ? Allez, Alession, le premier qui l'a. [03:10:12] Speaker A: Je l'ai, mais que répondre ? [03:10:16] Speaker C: Je l'ai pas, je suis en train de chercher depuis tout à l'heure comme un con. [03:10:18] Speaker B: Un bon appart en Egypte ? Bah c'est toujours mieux. [03:10:19] Speaker C: Ah putain, oui oui, je suis débile. Oui bah écoute Pascop, bonne appart en Egypte, c'est intéressant. C'est quelque chose que tout le monde connaît, de nom, mais connaît pas vraiment au final, au niveau du grand public. Tu sais qu'il est parti en Egypte, qu'il est revenu, voilà, merci au revoir. [03:10:35] Speaker B: Qu'il a ramené une colonne qu'il a foutue au milieu d'une place ? [03:10:38] Speaker C: Eh bien pas du tout ! [03:10:39] Speaker B: Ah bah voilà, tu vois. [03:10:40] Speaker C: Toi tu cherches les emmerdes. [03:10:42] Speaker A: Bah oui mais c'est ce que les. [03:10:43] Speaker C: Gens croient donc bon... Oui mais c'est pas bien, c'est pas vrai. Non, ce que vous avez à la place de la Concorde, c'est un cadeau de Mehmet Ali, qui était le vice-roi d'Egypte en 1830, si j'ai pas de bêtises, qu'il a offert à la France parce qu'il aimait bien la France. Donc c'est un cadeau qu'on a à la Concorde. Normalement il y aurait un deuxième qui devait arriver. Mais Mitterrand en 1981 a fait « Non mais les gars, le premier était déjà galère, on vous laisse le deuxième parce qu'on est sympa ». [03:11:07] Speaker A: On n'est pas là pour faire des cages de foot avec des photos là. [03:11:10] Speaker B: On va plutôt faire une pyramide en verre. [03:11:12] Speaker C: C'est des cages de rugby. Déjà Bonaparte avait autre chose à foutre que de ramener des pierres, des grosses pierres comme ça. Il n'avait plus de flotte. Pour ramener un obélisque en traversant l'île. [03:11:26] Speaker B: Ah oui, parce qu'il ne pleut pas beaucoup. [03:11:27] Speaker C: Déjà il ne pleut pas beaucoup, voilà. Ce qui est fou en plus. Parce qu'il n'avait plus la crue d'une île. On ne l'avait pas crue. C'est vraiment le moment de la fin. C'était sympa, merci à toutes et à tous. [03:11:38] Speaker A: Ça sent la fatigue. [03:11:39] Speaker B: Donc, la suite de ta vidéo, de. [03:11:42] Speaker A: Ta série sur l'égyptienne de Bonaparte. [03:11:45] Speaker C: Tout à fait. Peut-être un jour sur la Vendée. [03:11:48] Speaker B: Elle est mariée de Vendée. [03:11:51] Speaker C: Peut-être. [03:11:53] Speaker B: Et toi Nico ? [03:11:55] Speaker E: Moi cette année si tout se passe bien, j'avais prévu, je parlais tout à l'heure de ma vidéo sur Radour que je suis en train de refaire, j'avais prévu de la sortir pour les 80 ans du massacre le 10 juin, ça ne se fera pas, ça aura du retard, mais j'essaie d'avancer autant que possible là-dessus et puis J'ai comme projet de commencer ce qui sera probablement la première mini-série de ma chaîne. Mais c'est pareil, il faut que je m'en occupe. Sur un sujet que je garde un peu secret, je ne veux pas dévoiler toutes mes cartes. [03:12:31] Speaker B: C'est du teasing de teasing là ! [03:12:32] Speaker E: C'est du teasing de teasing. Et voilà, j'essaie aussi de développer un peu en dehors de YouTube, ce qui fait que qui est la raison pour laquelle récemment j'ai renommé ma chaîne d'ailleurs qui ne s'appelle plus juste Métalleux Curieux mais Alnico Métalleux Curieux parce que j'avais envie d'avoir un pseudo autre qui permet d'identifier que c'est la même personne mais sur des projets différents et j'ai choisi Alnico parce que Nicolas, Alnico ça marche bien et puis parce que c'est le composé qu'on a dans les micros de guitare donc voilà, je trouvais que c'était rigolo. [03:13:06] Speaker B: C'est malin. [03:13:08] Speaker E: Voilà. [03:13:09] Speaker B: Eh bien merci beaucoup messieurs. [03:13:10] Speaker A: Merci beaucoup. Je vois que Marcel dans le ch'meul a mis les adresses pour vos comptes Instagram respectifs. [03:13:17] Speaker C: Tu es fort Robin, Marcel dans le ch'meul. [03:13:19] Speaker A: Marcel qui est notre modérateur. Et on va se quitter avec un petit titre. Un groupe français qui s'appelle « Through the Void » et qui est actuellement en tournée. Les dates sont trouvables sur leurs réseaux sociaux. Et le morceau s'appelle « Rose and Spine ». [03:13:35] Speaker B: Au revoir messieurs ! Au revoir tout le monde ! [03:13:38] Speaker A: Des bisous, une bonne semaine ! [03:13:40] Speaker C: On t'aime ! Je m'en vais ! [03:13:42] Speaker D: Au revoir ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [03:15:06] Speaker B: Sous-titres. [03:15:07] Speaker C: Réalisés para la communauté d'Amara.org. [03:16:33] Speaker D: Un pour. [03:16:33] Speaker E: Équilibré. [03:17:04] Speaker C: Pour le spectacle. [03:17:05] Speaker D: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:17:23] Speaker E: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. N'hésitez pas à vous abonner.

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