Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Retrouvez toutes les émissions en podcast sur restless.com.
[00:00:19] Speaker B: Baie mon swan ! Baie ! Baie ! Baie, motherfuckers !
[00:00:26] Speaker C: Baie, girls ! Baie, baie ! J'ai tout donné. Terminé, merci, au revoir.
[00:00:28] Speaker D: Bah déjà, on peut dire que tu viens d'arriver.
[00:00:30] Speaker C: Bah il pleut. Ah oui, c'est ça. Comme je sais qu'on est assez mal protégés ici. Ouais, c'est vrai. Comme j'ai jamais mis de préservatif, du coup, je me suis dit qu'il fallait que je me protège de la pluie.
[00:00:38] Speaker D: Et bah c'est une bonne nouvelle.
[00:00:39] Speaker B: Voilà.
[00:00:40] Speaker C: Merci bien, au revoir !
[00:00:41] Speaker D: Allez, c'était une bonne émission !
[00:00:43] Speaker C: On se retrouve la semaine prochaine ! Le meilleur du métal quand même mon petit Ben ! Ah oui ! Évidemment c'est comme ça tous les dimanches à partir de 19h en direct, en live Twitch. Et on est content qu'on soit fatigué ou en pleine santé.
[00:00:54] Speaker D: On est très content.
[00:00:55] Speaker C: Ah moi je suis bien con.
[00:00:56] Speaker D: Ah oui moi aussi.
[00:00:57] Speaker C: Encore une fois hier je pense que j'ai brillé.
[00:00:59] Speaker D: Ah ?
[00:00:59] Speaker C: Oh… Parce que je transpirais beaucoup. Ah d'accord. Tu sais… Bref. Et ce soir, bien sûr, nous allons vous passer de plein de nouveautés, on va vous offrir mais plein de beaux cadeaux parce que j'ai des places de concert ! On verra.
[00:01:15] Speaker D: J'aurais pu l'annoncer dans le titre mais je n'étais pas au courant.
[00:01:18] Speaker C: Comme quoi cette émission est pleine de surprises. J'ai une petite info, j'ai un petit secret et je sais qu'il va se passer quelque chose cette semaine et tout le monde doit être excité mais je ne le dis pas tout de suite. Non mais c'est vraiment un truc de ouf.
[00:01:31] Speaker D: D'accord.
[00:01:32] Speaker C: C'est une info d'une autre radio, une indique….
[00:01:39] Speaker D: On ne donnera pas son nom. On n'a qu'à l'appeler Thérèse.
[00:01:42] Speaker C: Voilà. Oh non, je l'appellerai plutôt Béa, mais pour inventer un prénom. Pour pas nommer la personne.
[00:01:50] Speaker D: Comme ça, du coup, on sait que c'est ni Thérèse ni Béa.
[00:01:53] Speaker C: Voilà, c'est exactement ça. Donc ce soir, comme d'habitude, mon petit Ben.
[00:01:56] Speaker D: Bonsoir, j'espère que tu vas bien. Bonsoir Pierre, je vais très bien, merci.
[00:01:59] Speaker C: T'es tellement beau. Quand t'es arrivé...
[00:02:01] Speaker D: Alors moi j'étais...
Ouais, je pense que c'est ça. Déjà, quand je suis arrivé, tu m'as fait un petit acting qui était incroyable.
T'as fait semblant d'être endormi et après tu t'es vraiment endormi. Ça déjà, c'est un talent.
[00:02:14] Speaker C: Je dors tout le temps. C'est comme si j'étais en permanence dans un sommeil profond. Et j'adore.
[00:02:20] Speaker D: Le dormeur doit se réveiller.
[00:02:22] Speaker C: C'était profond, mais on s'arrêtera là. Ce soir, moi je suis là, j'arrive, je fais « mais c'est qui cette personne ?
[00:02:30] Speaker D: ».
[00:02:30] Speaker C: On a une invitée. Ah bon ?
[00:02:31] Speaker D: Quelle personne ?
[00:02:32] Speaker C: Je ne sais pas, mais qui est-elle ?
[00:02:36] Speaker A: Eh bien c'est Marie !
[00:02:40] Speaker D: Non je vois pas de quoi tu.
[00:02:41] Speaker C: Parles, ça fait une vibration dans mon crâne tellement j'ai pas de cerveau, y'a un truc qui a fait blblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblblbl La.
[00:02:52] Speaker D: Tenace par deux est sortie, exactement.
[00:02:54] Speaker C: Qui est cette personne ?
[00:02:55] Speaker D: C'est Marie.
[00:02:55] Speaker A: On sait pas.
[00:02:56] Speaker D: Mais c'est Marie qui ?
[00:02:57] Speaker C: Marie Shakermaker Da Gay ! En fait je sais qui c'est parce qu'on l'a déjà rencontré.
[00:03:02] Speaker D: On s'est rencontré plusieurs fois au Hellfest.
[00:03:04] Speaker C: Hellfest, tout à fait. Jolie couleur de cheveux. Une personne qui fait des millions de choses. Alors on va en parler tout ça, de ton actu, de ce que tu fais, etc. Parce que moi je ne sais rien. Donc voilà. Moi tu sais beaucoup de choses sur moi.
[00:03:14] Speaker A: Oui, un peu trop.
[00:03:15] Speaker C: Trop tôt.
[00:03:17] Speaker D: Elle aussi, apparemment, elle a eu affaire à un indique.
[00:03:21] Speaker C: Une personne qui se fera appeler Ben.
[00:03:23] Speaker D: Non, bah alors, ça m'étonnera bien.
[00:03:25] Speaker A: Bah dit comme ça, tu sais, au moins, tu sais à qui t'as affaire.
[00:03:27] Speaker D: Bah, c'est important de savoir où on met les pieds. C'est toujours bien d'être prévenu.
[00:03:32] Speaker C: Faut que je me taise.
[00:03:34] Speaker D: Il y en a un qui aurait aimé être au courant avant de venir.
[00:03:37] Speaker C: J'avoue. Vous mettez les pieds ?
[00:03:38] Speaker B: Oui.
[00:03:39] Speaker C: Attends, j'ai mis sur toi...
[00:03:46] Speaker D: Voilà, comme ça tout le monde a.
[00:03:47] Speaker C: Vu le...
Bon ce soir bien sûr il y a aussi Enjoy The Noise, on ne te représente plus parce que maintenant tu fais partie de l'équipe.
[00:03:54] Speaker D: C'est.
[00:04:00] Speaker C: Un meuble plus important, c'est un beau buffet normand. Ce soir vous avez choisi des titres tous les deux, évidemment toi tu vas nous parler un petit peu de ce que t'aimes en même temps. musique, de ce que t'as été voir en concert parce qu'effectivement t'as vécu un concert de ouf ce week-end comme beaucoup de parisiens j'ai envie de dire et puis t'es un groupe merveilleux je n'en dis pas plus J'ai envie de commencer moi sur un petit peu... Pas plus, pas moins ! J'ai envie de... Je vais rire pour rien parce que je suis tellement dans un état second. J'ai envie de commencer avec un groupe que j'aime beaucoup. C'est très compliqué. Il s'appelle Glitterer.
[00:04:35] Speaker D: Ah, Glitterer !
[00:04:36] Speaker C: Tu connais Glitterer ?
[00:04:37] Speaker D: Je connais Glitterer.
[00:04:37] Speaker C: Ah, vous connaissez Glitterer ?
[00:04:38] Speaker A: Je ne connais pas.
[00:04:39] Speaker E: Je ne connais pas Glitterer.
[00:04:40] Speaker C: Ah bah toi au moins c'est bien.
[00:04:41] Speaker D: C'est un bon groupe Glitterer. Ah bah Pierre, toi t'es promis sur la découverte.
[00:04:45] Speaker C: Oui bon ça va, tout le monde ne connait pas Glitterer. Bah si, c'est ce que j'ai ! Ah, je croyais que tu te foutais de ma gueule.
[00:04:48] Speaker D: Mais non, jamais ! J'aurais jamais pu faire ça Pierre. Voyons, dans Mirror, ils ont sorti un.
[00:04:56] Speaker C: Clip, ça s'appelle Plastic.
Plastic ! Oh the surgery ! Oh la la, mon dieu ! Oui, je n'avais rien d'autre à dire. Les piqûres ! Pouic pouic ! Ça va être compliqué ce soir. J'ai une grosse soirée, j'avoue, elle est terminée à 11h30.
[00:05:15] Speaker D: C'est plus une soirée du coup.
[00:05:18] Speaker C: Elle a commencé à 22h22. C'est précis quand même. Parce que je suis sorti du train. Elle a commencé au moment où je suis sorti du train. Bon bref, c'était très sympathique, on fait des gros bisous à tout Bastille parce que maintenant ils font courant qu'on existe.
[00:05:29] Speaker D: Bastille et Bastille sont sur un bateau.
Non bon allez, voilà.
[00:05:33] Speaker C: Donc j'ai juste envie de dire, on lance un clip, ça fait déjà une première pause, c'est assez important, j'en ai besoin. Non mais ce soir, ça va être un peu particulier, mais on va quand même beaucoup rigoler. Enfin, tu nous connais un petit peu ?
[00:05:44] Speaker A: Oui, ça y est, je commence un petit peu à voir le tableau.
[00:05:48] Speaker C: Il y a deux phénomènes, pas les mêmes.
[00:05:50] Speaker D: Si après les deux premiers clips, elle n'est plus là, vous savez pourquoi.
[00:05:55] Speaker C: C'est vraiment l'émission qui part à Volo. Glitter, on y va ? Dites-moi ce que vous en pensez sur le tchat, c'est important, j'aime bien les critiques, négatives, positives, soyez un peu constructifs, mais c'est vraiment très bien, il vient de Washington, c'est Alternative Rock, c'est très moderne je trouve, et c'est frais, c'est bien, ça peut être écouté par les non-fans de métal.
[00:06:17] Speaker B: Ok, bah allons-y ! C'est parti ! c'est All around me, hatred surrounds me With a grip on my neck, constricts in my chest Delicate life takes away life which takes me from inside of the cage Now I'm inside of my grave, but the blood on my hands Is just the blood from my soul, and I fell from grace So please follow me now, and now the pain is arising Broken my dreams, all fall from grace, all broken wings Swallow me whole, erase my pain I'm not the same My broken wings I fell from grace Cover my soul With the blood I healed It's running cold My broken dreams are all I know FUCKING DIRTY SHIT.
[00:11:10] Speaker C: Oh bah dis donc, ça c'était, on a envie de secouer la tête un petit peu comme lui mais lentement.
Il se fait pas mal au dos.
[00:11:16] Speaker D: Mais t'as vu le caméraman il a fait la même chose et du coup sa caméra était toute cassée.
[00:11:19] Speaker C: Ah il y avait de l'eau aussi.
[00:11:20] Speaker D: Il avait mis du scotch.
[00:11:21] Speaker C: Tu crois que c'est parce qu'il a bavé ?
[00:11:23] Speaker D: Non c'est parce qu'il l'avait cassée, il a fait comme ça.
[00:11:25] Speaker C: Et ça fait pouf ! Ah ouais putain incroyable.
[00:11:27] Speaker B: Caf ! Plim !
[00:11:28] Speaker C: Ce groupe là moi je le connaissais pas je pense.
[00:11:29] Speaker D: Pling, plag, plouf !
[00:11:30] Speaker C: Toi tu connaissais ?
[00:11:31] Speaker D: Guilt Trip ?
[00:11:32] Speaker C: Guilt Trip ? Mais qui a donc choisi ce morceau-là ?
[00:11:34] Speaker D: Bah je me demande bien qui peut écouter.
[00:11:36] Speaker C: On se tourne vers elle !
[00:11:37] Speaker A: Vous étiez pas au Hellfest l'année dernière ?
[00:11:40] Speaker C: Ouais mais nous on travaillait, désolé. Ça se voit pas que j'étais au Hellfest, j'ai acheté un super kawaii que je porte parce qu'il fait froid et il y a du vent.
Ils l'ont pas compris pourquoi il le portait. Il le vante très cher quand même. Il y a toujours l'étiquette. Quand tu payes cher, ne jamais enlever l'étiquette.
[00:11:57] Speaker D: Les rappeurs, ils gardent bien les étiquettes sur les casquettes et sur les chaussures.
[00:12:00] Speaker C: Donc Guildtrip ! Parlons peu, parlons bien. Tu as découvert ce groupe Welfest, tu nous disais ?
[00:12:05] Speaker A: Ouais, c'était il y a deux ans et c'était assez marrant parce que c'était.
[00:12:08] Speaker D: À 11h du matin.
[00:12:11] Speaker A: C'était à 11h du matin et vraiment j'ai découvert le truc avec un café. Je m'étais pris un petit café, un petit croissant vraiment, alors que le lendemain, enfin la veille pardon, on avait déjà bien, on s'était bien amusé, on s'était couché tard et tout. Et ça réveille, ça réveille le matin et je me suis pris une petite claque quand même au réveil comme ça, c'était bien cool. Tout le monde qui était en mode circle pit et tout.
Au début, il n'y avait pas trop de monde et d'un coup, ça s'est rempli.
[00:12:33] Speaker D: Les gens ont entendu et ont été appelés par les lutteurs.
[00:12:36] Speaker A: C'était en Warzone, évidemment, et c'était hyper cool. Je me suis pris une grosse claque et depuis, j'écoute beaucoup. Ils sont de Manchester.
[00:12:47] Speaker C: J'aurais dit que c'était américain.
[00:12:51] Speaker E: Non, c'est des Brits.
[00:12:52] Speaker D: On verra plus tard, mais j'ai l'impression que cette personne aime bien l'Angleterre.
[00:12:55] Speaker A: Oui.
[00:12:56] Speaker C: Ah, t'es plus Grande-Bretagne qu'États-Unis ?
[00:12:59] Speaker A: Ouais, mais on m'a empêchée de mettre des chansons. Parce que c'était pas assez...
[00:13:03] Speaker D: En fait, elle m'a demandé... Elle m'a dit...
[00:13:08] Speaker C: Oasis, ça passe ? C'est pas trop le principe de l'émission, mais on aime bien Oasis.
[00:13:15] Speaker D: Je lui ai dit, si t'as rien d'autre, Oasis is good. Mais Oasis, il se tape dessus et.
[00:13:21] Speaker E: Il se pide pour des raisons ridicules, c'est métal.
[00:13:23] Speaker C: C'est vrai, c'est rock.
J'ai quand même mis du Manchester, tu.
[00:13:31] Speaker A: Vois, je me suis vengée.
[00:13:32] Speaker C: Mais t'es pro Manchester, c'est une ville que tu connais ?
[00:13:36] Speaker A: Oui, je suis partie vivre là-bas 6 mois parce que j'étais fan d'Oasis et que je voulais vraiment me plonger dans la culture. C'est vrai ? Ouais, ouais, c'est vrai. Quand j'avais une vingtaine d'années, je suis restée 6 mois là-bas et c'était génial quoi. Même les auberges de jeunesse là-bas, chaque étage en fait avait un nom de groupe de rock. Genre t'avais l'étage Joy Division, l'étage Oasis, l'étage The Smiths, enfin vraiment, c'était drôle quoi.
C'est vraiment drôle, ils sont à fond là-dessus et il y a des tours autour. De toute façon, l'Angleterre.
[00:14:02] Speaker C: Et puis Manchester, c'est un peu particulier. Moi j'y suis jamais allé mais je crois que c'est un peu... Bon, c'est pas très joyeux.
[00:14:09] Speaker A: Non ! On sait pourquoi ils font du rock.
[00:14:10] Speaker C: Parce que de toute façon, ils savent.
[00:14:11] Speaker A: Pas faire du rock. De la brique, de la pluie... Franchement, c'est hyper cool. Moi j'ai adoré. L'esthétique est belle.
[00:14:18] Speaker D: Il y a un petit gimmick qui revient quand même dans toutes ces villes un peu tristounes où les groupes...
[00:14:23] Speaker C: Ils ont de quoi parler.
[00:14:24] Speaker D: Comme Seattle, quoi.
On en parlait la semaine dernière.
[00:14:28] Speaker C: Après je pense que Seattle c'est quand même plus sympa que Manchester.
[00:14:31] Speaker D: Déjà les gens ont des dents plus correctes.
[00:14:34] Speaker C: C'est pas faux.
[00:14:37] Speaker A: Soit ça soit ils ont des appareils dentaires.
[00:14:42] Speaker D: Déjà il y a un effort.
[00:14:44] Speaker C: Des dents lumineuses. On fait un bisou à notre amie qui habite à Londres qui a des dents lumineuses aussi.
Elle m'a envoyé une photo, j'ai halluciné, je suis en digresse et ça n'intéresse personne mais j'ai envie d'en parler avec Ben. C'est une amie de Joss qui est de très bonne date et qui a déménagé à Londres et qui fait sa vie là-bas.
Elle m'a envoyé une photo où elle a mis le flash.
Je ne vois pas son visage. C'est vrai que ça fait lumière. Parce qu'elle a les dents très blanches.
[00:15:13] Speaker D: Naturellement.
[00:15:15] Speaker C: Naturellement.
Ça va de soi. Alors dis-moi un petit peu, il faut que tu nous parles un peu de toi, parce que moi je ne te connais pas.
[00:15:20] Speaker D: Dis-moi !
[00:15:21] Speaker C: Non mais moi je ne te connais vraiment pas en vrai, enfin je te connais parce qu'on s'est vus, mais en vrai je ne sais pas ce que tu fais, je ne me suis pas renseigné, et j'aimerais que tu me racontes parce que je veux tout savoir.
[00:15:31] Speaker A: Alors moi initialement j'ai une formation de graphiste, j'ai été graphiste pendant 8 ans et puis je me suis mise sur les réseaux sociaux à partager un petit peu des trucs. Alors initialement autour de la beauté mais je savais que je n'allais pas parler que de choses comme ça, de la beauté bio et au final c'est pour ça que je me suis appelée Shaker Maker parce que c'est une chanson d'Oasis, Shaker Maker, donc déjà c'était présent, c'était il y a 7 ans un truc comme ça.
Et puis très vite, je me suis mise à partager tous mes coups de cœur autour de la musique, du cinéma, des séries. Je présente aussi pas mal des expositions de temps en temps qu'il y a à Paris, etc. Ou des recettes aussi de l'alimentation.
[00:16:09] Speaker D: Avec des mises en scène incroyables, on peut le dire.
[00:16:13] Speaker A: Ouais, je sais vrai que moi je m'amuse pas mal, peut-être que je mets un peu mes skills de graphiste au service de l'influence parce qu'on peut dire que je suis influenceuse même si... Oh.
[00:16:24] Speaker D: Putain, Pierre est un peu jalouse là.
[00:16:27] Speaker C: Je ne pourrai jamais l'être, sinon je vais influencer mais pas dans le bon sens.
[00:16:31] Speaker A: Vous êtes des influenceurs en musique finalement.
[00:16:34] Speaker C: Ouais, c'est dommage pour les gens.
[00:16:37] Speaker A: T'es très douée Ben. Moi j'ai vu tes stories quand t'étais aux Etats-Unis, je me suis dit que tu faisais ça très bien.
[00:16:43] Speaker D: Je vais devenir professionnelle bientôt.
[00:16:44] Speaker A: Surtout le petit effet de barbe. Tout est là.
[00:16:46] Speaker C: Il y a un bon gimmick.
Et du coup t'as tout appris toute seule. C'est vrai que tout est très bien fait. Dans ce que tu fais, je le connais quand même un peu, mais c'est très bien monté. Il y a quand même beaucoup de travail derrière tout ça.
[00:16:59] Speaker D: Et Pierre aime beaucoup quand c'est bien monté.
[00:17:01] Speaker A: C'est vrai, j'ai cru.
[00:17:02] Speaker C: C'est la première fois que j'essaie d'être sérieux.
[00:17:05] Speaker A: C'est la première chose que j'ai su de Pierre.
[00:17:08] Speaker C: C'est bien parce qu'hier soir j'ai rencontré aussi des gens, je leur ai dit bonjour et ils m'ont dit qu'ils s'étaient très bien quittés. Je leur ai dit ah bon, vous vous regardez ? Ah non non, on nous a raconté. Il est connu comme le loup blanc celui-là. Comme le cul blanc. Bon, donc c'est toi qui fais absolument tout toute seule ?
[00:17:24] Speaker A: Oui, oui. Moi je suis un peu sauvage, j'aime bien faire les trucs toute seule.
[00:17:30] Speaker C: Enfin, t'as tout appris comme ça sur le temps ?
[00:17:33] Speaker A: Oui, je m'amuse, je me forme, je.
[00:17:36] Speaker D: Fais de la photo. Déjà elle, elle avait appris à faire un travail. C'est-à-dire qu'elle était graphiste. Je sais, je t'expliquerai le principe du travail.
[00:17:46] Speaker C: Ah si, j'ai eu une fois un travail.
[00:17:49] Speaker D: Une seule fois.
[00:17:50] Speaker C: Ça a duré trois ans. C'était quoi ? Est-ce que je dois le dire ? Je sais pas trop.
[00:17:54] Speaker D: C'est un job alimentaire. C'est quelqu'un qui a eu pitié et qui lui a dit tiens, fais ça.
[00:17:59] Speaker C: Si je te mets des agrafes, les gens vont me détester en vérité.
Mais en gros, j'allais voler l'argent des gens qui ne payaient pas sur leur compte bancaire.
[00:18:09] Speaker D: Il l'a bien fait.
[00:18:11] Speaker C: Très bien fait. D'ailleurs, je me suis fait virer. Et donc, tu as appris ça toute seule ? Tu fais vraiment ça toute seule ? Mais j'ai vu que tu as quand même beaucoup d'humour aussi. Oui, beaucoup d'obligations. Tu parles de tes goûts et de ce que tu as vu, etc. Mais tu le fais avec beaucoup d'humour, avec beaucoup de décalage. Ce n'est pas uniquement le dire sérieusement en mode, attends, écoutez-moi quand même.
[00:18:31] Speaker A: Non, c'est sûr, je pense qu'il faut avoir pas mal de recul sur les choses. Et puis après, c'est vrai que les gens, plus t'es avec un ton authentique et avec un ton un peu détendu, etc. Et plus les gens sont chill aussi avec toi. Et c'est cool. Je trouve qu'il y a une petite relation de confiance qui s'est instaurée avec.
[00:18:46] Speaker D: Les gens qui nous suivent. Tu veux dire que tu as la meilleure commu ?
[00:18:49] Speaker A: Ouais, j'ai une super commu en tant qu'influenceuse.
[00:18:52] Speaker D: C'est important d'avoir la bonne commu.
[00:18:54] Speaker C: Moi ce que je peux dire c'est que je suis juste jaloux de sa cuisine. Parce que moi je m'en fous de ce que tu dis, je regarde vraiment la cuisine.
[00:19:01] Speaker A: Non mais c'est drôle parce qu'il y a des amis, des potes qui sont venus à la maison il n'y a pas longtemps et il a dit exactement la même chose, il était là mais elle est incroyable ta cuisine, mais je veux vivre chez toi, je vais me planquer dans un tiroir et tout. Ma cuisine a beaucoup de succès.
[00:19:15] Speaker C: C'est tout, je rends succès.
Je ne dois pas rebondir là-dessus. Non, c'est pas grave, c'est pas grave.
[00:19:22] Speaker D: C'est pas grave, Pierre.
[00:19:23] Speaker C: Tu m'en veux pas ?
[00:19:24] Speaker D: Oh, pas du tout.
[00:19:25] Speaker C: Comme d'habitude.
Alors là, je vais me tourner vers ton voisin que tu ne connais peut-être pas encore. Non, c'est vrai.
[00:19:32] Speaker D: D'ailleurs, passion graphiste, je partage.
[00:19:34] Speaker C: Nous avons le même métier. C'est vrai qu'il est influenceur aussi.
[00:19:39] Speaker D: Non, graphiste. Enfin, il est aussi un peu influenceur.
[00:19:42] Speaker C: Il est graphiste.
[00:19:44] Speaker E: Je connais pas la tienne mais je.
[00:19:44] Speaker D: Suis sûr qu'elle est déjà plus spacieuse.
[00:19:48] Speaker E: Ça change beaucoup de choses.
[00:19:49] Speaker C: Toi tu as choisi des trucs encore une fois parce que tu nous envoies toujours ta musique. Et là c'est pour vous ? On commence avec Volkor X. Bon ça je pense pas que tu connaisses.
[00:19:59] Speaker D: Non je ne connais pas Volkor X.
[00:20:00] Speaker C: Alors moi j'avoue, on me l'a envoyé et je me suis dit...
Ça, c'est.
[00:20:04] Speaker D: Pas pour moi, je vais laisser Chris le passer.
[00:20:06] Speaker C: Encore une fois, c'est juste une question de goût. Mais là, je me suis dit, OK, on va le laisser par Léon, on va laisser encore des sous-titres, de toute façon, il va faire ça bien. Au moins, il ne met pas la caméra sur moi, comme ça, je peux dormir pendant qu'il parle.
[00:20:18] Speaker D: Moi, je suis sûr qu'il va le vendre et que je vais avoir envie de l'écouter, alors qu'à la base, Volkor X, sur le papier, je ne prends pas à quoi.
[00:20:23] Speaker C: C'est vrai que c'est un nom assez... Il sort d'où, c'est quoi ?
[00:20:25] Speaker D: Alors, c'est bon.
[00:20:26] Speaker C: Volkorix dans ton goldorak Tu n'as jamais.
[00:20:31] Speaker E: Perdu Rigole, mais Volkorix, c'est un nom qui a été inspiré par Sankukai, donc on est vraiment sur le truc japonais, machin, référence geek. Et en fait, Volkorix, pour présenter rapidement, c'est un projet, c'est un one-man-band qui est français, qui est dans le style Synthwave, Darkwave même plus exactement.
et qui existe depuis pas mal d'années en fait, je crois depuis 2016, quelque chose comme ça. Donc le gars qui s'est lancé dans la synthwave, il faisait déjà de la musique électronique, il s'est lancé dans la synthwave quand il a commencé à découvrir tout ce qui est perturbator, carpenteur brut, etc. Il a commencé à kiffer et à vraiment s'intéresser à cette scène-là.
Et en fait, ses influences principales, c'est la science-fiction et les musiques de jeux vidéo type Commodore 64, donc vraiment des trucs très rétro, très geek, très space opéra en fait. D'autant qu'après, au fur et à mesure, dans son projet Volkorix, il a participé à plusieurs projets de jeux vidéo pour lesquels il a composé la musique, etc.
Et en fait, c'est quelqu'un qui a toujours eu une touche avec le milieu rock, avec le milieu métal, dans ses compositions qui incluaient souvent de la guitare, de la batterie.
Il a collaboré plusieurs fois avec un guitariste français qui s'appelle Sylvain Coudray, qui est le guitariste du groupe Soilwork, donc qui travaille avec les Suédois de Soilwork et qui travaille aussi avec Volkorix. Et en fait, il a sorti, donc, il y a je crois deux semaines, un nouvel album qui s'appelle The Loop et qui, pour le coup, est très épique, c'est quasiment que de l'instrumental, très épique, très cinématographique et très post-rock aussi. Donc vraiment, là, quand je disais il a une touche avec le rock, c'est qu'il y a beaucoup de guitare, beaucoup de batterie, ça sonne très rock et c'est toujours très épique, très cinématographique. Et le morceau que j'ai choisi, du.
[00:22:15] Speaker C: Coup, il s'appelle Il s'appelle One with.
[00:22:21] Speaker E: The Void, qui lui est très symptomatique du truc, c'est-à-dire c'est un morceau qui est instrumental, qui est très épique, ça raconte une aventure cosmique de science-fiction, juste par le pouvoir de la musique. Le clip a été réalisé par des étudiants en 3D, je crois que l'école est à Angoulême, elle s'appelle Objectif 3D, il me semble.
Et dès que j'ai découvert ce clip, je me suis dit, c'est excellent. Je connaissais un petit peu Volkorix avant et je connaissais déjà un petit peu ces délires de Volkorix. Il a pris ce nom-là parce que ça fait nom de super méchant cosmique, en fait. Et il y a toujours une histoire dans ses albums qui développe toujours cet univers de science-fiction, de space-opéra avec ce super méchant, des gentils qui gravitent autour de ce truc-là et qui vont l'affronter et tout le bordel.
[00:23:11] Speaker C: Il est resté un enfant.
Un petit peu, non ? Un petit peu. Bon, bon, intervention, ok, merci !
[00:23:17] Speaker D: Moi j'ai essayé de pas trop couper Chris.
[00:23:20] Speaker E: Mais je te remercie, je te remercie beaucoup.
[00:23:22] Speaker C: C'est que le début de l'émission. C'est le temps de chauffe, c'est pour ça.
[00:23:28] Speaker E: Mais bon, je connaissais un petit peu Volkorix, je connaissais son délire de très science-fiction, les clips en pixel art, ses reprises de thèmes de jeux vidéo type Donkey Kong Country, des trucs comme ça qu'il avait déjà fait avant. Et puis là, c'est le prolongement logique avec un très bel album et qui...
qui expose son univers de façon super cool, je trouve. Je suis très fan de ce son-là, qui mélange, vous me connaissez, la synthwave que j'aime beaucoup, avec le post-rock, le post-metal, et une certaine idée du métal instrumental, et qui rend super bien, je trouve.
[00:24:05] Speaker A: Putain, ils disent « hyper bien ».
[00:24:08] Speaker C: C'est le seul qui parle hyper bien, après il y a Ben, et puis il y a un autre mec. Merci.
[00:24:14] Speaker B: Ne me regarde pas comme ça.
[00:24:15] Speaker D: Bah je te regarde pas.
[00:24:16] Speaker C: Non mais il est incroyable.
[00:24:19] Speaker A: J'avoue que du coup je me suis.
[00:24:20] Speaker C: Dit qu'en fait il faut que je réécoute la chanson parce que bon... Bah ouais, je m'en souviens plus.
[00:24:25] Speaker D: Bah ouais peut-être que t'avais mal écouté.
[00:24:26] Speaker C: Ah bah comme d'habitude.
[00:24:27] Speaker D: Peut-être que t'étais pas dans le bon mood.
[00:24:30] Speaker C: Bah du coup on va regarder ça. Bah du coup le clip c'est vrai que j'ai pas fait attention mais là tu me donnes envie de regarder. Ça s'appelle donc... C'est quoi le titre de la chanson t'as dit ?
[00:24:36] Speaker E: One with the Void.
[00:24:37] Speaker C: Ah c'est beau ce qu'il raconte. Vilko Hex ! C'est donc le choix d'Enjoy the Nicks ! Enjoy the Nicks, oui c'est ça !
[00:24:45] Speaker B: Oh c'est de pires emplois ! Musique pesante ... Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Look at how his feet are shuffling As he makes obnoxious phone calls Trying to get the drugs in What do you reckon, one or two? Get a few? What's the plan? Just another day in the life Of a big dumb man Yeah he's a man Yeah he's a proper manly man You little boys just really wouldn't understand Yeah he's a man Yeah he's a proper manly man You little boys just really wouldn't understand Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Le G-spot n'existe pas, c'est juste de la propagande féministe.
BANG BANG.
[00:33:45] Speaker C: Excellente nouveauté quand même que ce Bob Dylan, on adore, on est fan depuis déjà très longtemps.
[00:33:50] Speaker D: Alors moi je trouve ça très drôle, c'est qu'il y a un jeu de mots entre Bob Dylan et Villain comme si c'était un méchant.
[00:33:58] Speaker C: Ah oui le vilain, le vilain garnement.
[00:34:00] Speaker D: Et du coup en fait les gens peuvent croire qu'on dit Bob Dylan et en fait non c'est Bob Villan.
[00:34:05] Speaker C: Ah oui c'est Villan.
[00:34:08] Speaker D: C'est comme Dylan mais à la place.
[00:34:11] Speaker C: Du D c'est un V. Avec un V comme Villan.
[00:34:12] Speaker D: Parce que Dylan il est mort.
[00:34:15] Speaker C: Dylan Mackey ? Non, ouais. T'as vu celle-là ? Je suis très content de moi.
[00:34:23] Speaker D: D'ailleurs, je voudrais qu'on dédicace cette émission à Dylan Mackey. Non, à John Lurbing, qui nous a quittés ce week-end et ça, c'est triste.
[00:34:34] Speaker C: Je pense que le monde entier a été sûrement bouleversé par cette tristesse. Moi j'étais pas au courant.
[00:34:39] Speaker D: Je te l'ai appris.
Moi à chaque fois qu'il y a quelqu'un qui lutte contre les addictions, qui disparaît comme ça, ça me rend triste parce que je pense à toi Pierre.
[00:34:51] Speaker C: C'est une émission aussi de prévention, regardez.
[00:34:54] Speaker D: Ce que ça fait.
[00:34:55] Speaker C: C'est quand même bon, c'est pas fameux quoi. Bon, Bob Dylan évidemment avec ce tout nouveau morceau que je vous conseille évidemment d'écouter encore et encore et de découvrir cet artiste parce que c'est...
[00:35:07] Speaker D: Il a beaucoup de choses intéressantes à dire.
[00:35:08] Speaker C: C'est exactement ça, c'est quelqu'un qui a des revendications, toujours très bien...
[00:35:12] Speaker D: Toujours le point levé.
[00:35:14] Speaker C: C'est ça, mais c'est quelqu'un qui écrit très très bien et qui n'est pas violent dans ses revendications justement, c'est toujours assez intelligent.
[00:35:21] Speaker D: Il amène les choses avec pas mal d'humour aussi et de calage.
[00:35:25] Speaker C: Et il sera bientôt en concert à Paris. Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais ce sera le 4 novembre prochain. Ce sera du côté de Petit Bain. Et Bob Vilano à Petit Bain.
[00:35:36] Speaker D: Je pense que ça va être bien.
[00:35:38] Speaker C: Ça va être bien, parce que c'est une scène qui a quand même un super bon son. Et je pense que là, il va y avoir une bonne ambiance. Ça va être chaleureux.
[00:35:44] Speaker D: Une proximité avec les artistes. Moi, c'est ça que j'aime bien dans cette salle, c'est qu'on est toujours proche de la scène.
[00:35:49] Speaker A: Justement, Guiltrip passe au Petit Bain en novembre.
[00:35:56] Speaker D: J'espère que je serai rentré.
[00:35:57] Speaker A: The place to be.
[00:35:59] Speaker C: Petit bain, on les adore, on leur fait des gros gros bisous d'ailleurs et on vous offre des places. Parce qu'en fait c'est ça aussi Red Slate, c'est-à-dire que quand vous êtes inscrits à notre Instagram, vous avez plein de places de concerts à gagner et ça c'est plutôt cool. On remercie d'ailleurs le tourneur qui nous a dit vous n'avez pas envie de faire gagner des places pour Ovilion ? Evidemment ! Evidemment on a envie de donner cette chance aux chansons, aux gens qui n'ont pas forcément les moyens de se payer.
Ben, t'y penseras pour la miniature ? T'inquiète pas. Donc si vous voulez gagner des places, c'est pas très compliqué. Je vous demande juste un petit e-mail pierre-resless.com, pierre-rstlss.com. Vous me donnez votre nom, votre prénom, votre âge, vos mensurations. Et évidemment, vous pourrez repartir si vous êtes quelqu'un qui m'intéresse avec des places. C'est faux, évidemment. Tout le monde a sa chance de gagner et c'est un tirage au sort.
[00:37:02] Speaker D: Avec une main innocente, si vous voyez.
[00:37:04] Speaker C: Ce que je veux dire. C'est une roulette. J'étais chargé d'une application qui est une roulette. Ah, shot roulette ça s'appelle ? Je suis un tourbette. Je ne sais pas pourquoi, désolé. Je sais pourquoi, mais on ne va pas en parler. Sinon, vous savez ce qui va se passer la semaine prochaine ?
[00:37:22] Speaker D: Il y aura des concerts.
[00:37:23] Speaker C: Il y a des concerts, oui.
[00:37:24] Speaker D: Il y aura des gens qui écoutent de la musique.
[00:37:26] Speaker C: Il y a des gens, oui. Et il y a un groupe hyper connu qui vient de sortir un nouveau single. Je pense que tout le monde connaît ce groupe, Green Day.
[00:37:33] Speaker A: Un peu.
[00:37:33] Speaker D: J'ai entendu parler.
[00:37:34] Speaker A: Vite fait.
[00:37:35] Speaker C: Apparemment, c'est un groupe qui a fait sa petite place, qui est plutôt tranquille en termes de de pognon aussi, parce qu'on est des punks, on compte le capitalisme, mais on s'en profite bien. Mais Grindé va sortir un nouvel album, ce sera, si je ne dis pas de bêtises, au mois de janvier ou février, peut-être par là, en début d'année 2024. Et surtout, j'ai ouï dire que Grindé sera au Bataclan la semaine prochaine.
C'est quand même ouf. Grindé au Bataclan, c'est-à-dire que c'est juste le concert à ne pas rater la semaine prochaine.
[00:38:06] Speaker D: Bah ouais, moi je serais pas là sûrement.
[00:38:09] Speaker C: C'est vrai que j'en ai rien à foutre. Mais t'aimes bien Grindé ?
[00:38:14] Speaker A: Bah oui, franchement je serais vraiment curieuse d'aller voir dans une petite salle comme le Bataclan, du coup ça va être cool.
[00:38:20] Speaker C: C'est un groupe, tu les as déjà.
[00:38:22] Speaker D: Vus toi Grindé ?
[00:38:24] Speaker C: Peut-être.
[00:38:26] Speaker A: Ils avaient un distributeur de PQ, ils faisaient dérouler du PQ comme ça sur la foule et j'avais trouvé ça très drôle. Est-ce que ça veut dire que les gens c'est de la merde ?
[00:38:34] Speaker C: Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Peut-être que les gens c'est de la merde ? Je pense qu'on ne va pas se mentir, ça va être un peu compliqué. Grindel, Bataclan, vu qu'ils font généralement la Défense Arena.
[00:38:54] Speaker D: Vous ne pourrez pas dire qu'on n'a pas essayé.
[00:38:56] Speaker C: Voilà.
[00:38:56] Speaker D: Enfin, que Pierre n'a pas essayé. Et il est prêt à tout faire pour en avoir.
[00:39:01] Speaker C: Valentin.
Le pauvre, à chaque fois il me fait « tu me dégoutes ». Valentin ! Bonne relation, vulnérablement. C'est une longue histoire, c'est une soirée, c'est un peu arrosé.
[00:39:14] Speaker D: Peut-être qu'on peut profiter qu'elle est là pour l'utiliser ? Non, elle n'entend pas. On peut peut-être la vendre, elle ?
[00:39:21] Speaker C: C'est horrible. J'ai envie de faire plein de blagues.
[00:39:22] Speaker A: Et je me dis… J'ai un contact au Bataclan aussi.
[00:39:27] Speaker C: Pareil, non. Stop, ne dis rien.
[00:39:30] Speaker D: Putain celle-là elle est pas mal ! Non mais toi, il y a... Enfin bon. Non mais du genre tu pourrais utiliser ta carte secrète.
[00:39:39] Speaker C: J'ai plein d'images, je sais pas pourquoi.
[00:39:40] Speaker D: Je sais.
[00:39:41] Speaker C: Je ne sais absolument pas.
[00:39:42] Speaker D: Non mais c'est... Tu sais.
[00:39:44] Speaker C: Moi je suis quelqu'un qui a toujours...
[00:39:45] Speaker D: 20 ans, 20 ans.
[00:39:47] Speaker C: Beaucoup d'impact en tout cas dans ce domaine.
Ils ont un nouveau single, ils ont un nouveau clip, j'avais envie de le passer. Alors moi la chanson, à base, je la trouve pas non plus extraordinaire. Alors c'est pas une mauvaise chanson, mais ils ont pris des risques, ils ont eu envie de griner en fait, ça fait partie de ces groupes qui osent quand même Bon, prise de risque, entre guillemets, attention, on ne va pas non plus, s'ils n'ont pas fait un truc de ouf, s'ils n'ont pas fait de l'électro par exemple, non. Ça reste du grindé, mais à chaque fois, ils essayent des trucs, ils essayent de nouvelles choses, parce qu'ils en ont marre de faire du punk, juste comme ils faisaient depuis toujours, parce qu'ils sont un peu vieux.
[00:40:23] Speaker D: Ils n'en font plus trop, surtout.
[00:40:25] Speaker C: Ça fait longtemps qu'ils font de la musique à papi, à papa, pardon, enfin, à papi aussi. A papi, papa, quoi. A papi, papa, papa. C'est voilà. Mais voilà, juste écoutez, concentrez-vous, vous aussi qui êtes en train de regarder l'émission, Je veux des commentaires de vous, pas juste après le clip, mais après le deuxième clip. On en reparlera, parce que je veux des critiques. Sur les deux clips ? Non, non, on s'en fout de Nanana Mouskouri.
Parce que c'est le clip d'après. Que des surprises.
[00:40:52] Speaker D: Très bien.
[00:40:53] Speaker C: Gagné, c'est parti. Alors le clip s'appelle The American Dream is Killing Me. Je n'arrive même pas à le lire, c'est parce que j'ai bavé dessus. Attends, il y a une crotte de nez.
[00:41:02] Speaker D: Il y avait une faute de frappe aussi.
[00:41:04] Speaker C: Ah bon ? Où ?
[00:41:05] Speaker D: Bah là, y'a un Z. Ah oui, y'a un mezzrican.
[00:41:08] Speaker B: Un mezzrican !
[00:41:10] Speaker C: Mais voilà, bon, c'est toujours le même sujet, donc j'en parle pas, donc voilà. Green Day, c'est tout de suite dans Bang Bang.
[00:41:44] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org I'm so grateful for the faithful truth The American dream is killing me The American dream is killing me People on the street Unemployed and obsolete Did you ever learn to read the ransom note?
on A la prochaine ! From sea to shining sea I washed up on the beach My country under seas On private property Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! Je ne oublierai pas la vie Car c'est un guide qui guide la victoire C'est l'adrénaline, l'inhériteur, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l'adrénaline, l' Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Je ne oublierai pas la vie Parce qu'elle m'aide à éviter les crimes C'est une terre où tu as hérité Les dégâts ou la mérite Tu es le labyrinthe, c'est la guerre Parce que tu peux cacher ton squelette Tu m'emmerdes ! Tu dis que tu n'es pas le diable Tu n'es pas le diable, tu n'es pas le diable Tu n'es pas le diable, tu n'es pas le diable Bang Bang !
[00:48:19] Speaker C: Ah mais c'est quoi ce truc qui colle sur mes… C'est marrant quand je fais ça, ça fait un fil. Toi aussi ? Ouais mais j'en fais plus beaucoup donc du coup je sais pas. Collins, Barnet, chacun sa référence.
[00:48:33] Speaker A: On est perdus sur le canapé.
[00:48:36] Speaker B: Ça va les bourgeois branchés ?
[00:48:39] Speaker C: Ça va les graphistes là ?
[00:48:41] Speaker E: Le pire c'est que Phil Barney, j'ai la ref mais je la rejette.
[00:48:44] Speaker C: Attends c'est vachement bien Phil Barney.
[00:48:45] Speaker D: Bah bien sûr. C'est l'enfant de toi, c'est la seule chose que j'attendais, quand tu me fourrais bien tes doigts.
[00:48:55] Speaker C: Ce qu'on a gagné là par contre c'est que tous les gens qui sont en train de regarder, ben malheureusement demain, quand ils vont se réveiller, ils auront.
[00:49:00] Speaker B: Cette chanson dans la tête.
[00:49:02] Speaker C: Et là ils se souviendront de nous, ils diront c'est vraiment des gros cons.
[00:49:04] Speaker A: C'est la preuve d'une grande chanson.
[00:49:06] Speaker D: Bon Pierre, on peut parler ?
[00:49:09] Speaker C: Green Day, c'est Green Day.
[00:49:13] Speaker B: Kissing Candice.
[00:49:14] Speaker C: Kissing Candice ! Kissing Candice, alors avec ce nouveau titre qui s'appelle Skeletons, qui bien évidemment est un titre qui est sorti pourquoi ? Pour Halloween ! Voilà, évidemment, et Halloween, on fait peur, on fait peur !
[00:49:26] Speaker B: Bouh !
[00:49:26] Speaker C: On se fait peur en se mettant.
[00:49:28] Speaker D: Du sperme sur les doigts !
[00:49:29] Speaker C: Bon, oui, ça dépend des soirées, c'est possible.
Il y a beaucoup, j'ai choisi, j'aime beaucoup Candice, Kissing Candice, parce que, évidemment, la ref à cornes, on ne peut pas se mentir, c'est quand même très très corne.
[00:49:41] Speaker D: Le chant, c'est corne, c'est très inspiré.
[00:49:44] Speaker C: Après, il y a beaucoup, beaucoup de références dans ce clip.
[00:49:47] Speaker D: Déjà, il y a le mec qui essaye de ressembler à Das Fafara, qui fait même les mêmes trucs que dans Low Call, Cold Chamber. Avec autant de maquillage tout. Et puis, non, mais c'est compliqué quand même.
[00:49:58] Speaker C: Moi, j'ai pensé à Mudvayne. Tu sais Mudvayne ? C'est quand même de très mauvais goûts, Mudvayne.
[00:50:02] Speaker D: Oui, mais c'était mieux quand même.
[00:50:04] Speaker C: Au niveau des clips, c'est quand même un peu mieux.
[00:50:07] Speaker D: Je suis vraiment pas fan. C'est fou de ma gueule.
[00:50:12] Speaker A: C'est un peu cliché.
[00:50:13] Speaker C: Je pense que c'est fait exprès. Les américains peuvent faire ce genre de choses. Ils sont capables du meilleur et du pire.
[00:50:23] Speaker D: C'est ça le problème, c'est qu'en fait, et alors moi je vais aller un petit peu plus loin, mais je me rends compte que, alors je trouve que les Américains ils se permettent... Non mais il y a ce côté Los Angeles, ça c'est vraiment très groupe de, enfin je sais pas s'ils sont de Los Angeles, mais ils font vraiment ce que font les groupes de Los Angeles, ceux qui ne traversaient pas l'océan à l'époque.
[00:50:46] Speaker C: Tu vois ? Tu veux dire ce qu'on avait la chance d'éviter ?
[00:50:50] Speaker D: Voilà, parce qu'en fait nous, il y a des gens qui disent que le néo métal c'était ridicule. Sachez qu'on a eu le haut du panier.
Bon, on a quand même eu Cold Chamber, mais...
[00:50:59] Speaker C: C'est justement le haut du tout. Le très haut du panier.
[00:51:03] Speaker D: Mais non, mais il y a un truc, moi je trouve qu'il y a un truc qui devient compliqué, c'est que les gens se disent non mais c'est ok de faire des trucs comme ça.
Et ça devient des standards, c'est-à-dire que là, tu vois, vraiment, en fait, tu vois ce qu'ils ont voulu faire et puis tu vois surtout qu'ils n'ont pas réussi à bien le faire.
Genre les effets de tête qui bougent comme ça. C'est vrai que j'en parlais avec mon très cher Marcel cette semaine, où ils montraient un clip et je lui disais, non mais là, en fait, c'est pas bien fait, quoi. Les trucs de la tête qui bouge, il y a une technique pour que ça fasse l'effet qu'ils veulent que ça fasse. Là, ça fait juste.
[00:51:41] Speaker C: C'était bien fait encore.
[00:51:43] Speaker D: Mais il y a ça, c'est mal fait, les lumières, ils ont mis les lumières comme tout le monde fait avec des couleurs mais c'est pas Ils n'ont pas compris qu'il fallait une certaine dose d'ombre aussi dans la lumière pour que ça donne un côté un peu dramatique.
[00:51:57] Speaker E: Qu'on n'ait pas l'impression d'être dans un garage avec les lumières colorées.
[00:52:00] Speaker D: Exactement ! Et puis il n'y a pas de... Et les plans, il y a 50 fois les mêmes plans parce qu'il n'y avait pas d'idées. Il n'y a peu d'accessoires.
Voilà, et c'est toujours le même plan. Il n'y a pas de profondeur de champ, il n'y a pas de travail sur la texture de l'image.
C'est vraiment...
[00:52:21] Speaker C: J'ai hâte de repasser ce clip.
[00:52:24] Speaker E: Fallait que ça sorte pour Halloween.
[00:52:25] Speaker C: C'est un cauchemar pierreux. Après ils n'ont jamais fait des clips visuellement.
[00:52:32] Speaker D: Après ce qu'ils pourraient se dire c'est qu'on fait de la musique, les gens n'ont qu'à juste écouter. Si on écoute juste, à part le passage où ils chantent comme Jonathan Davis, le passage vénère à la fin était cool.
[00:52:44] Speaker C: Il y a eu un passage généreux ?
[00:52:45] Speaker D: Le truc avec un peu de guitare, avec de la whammy.
[00:52:48] Speaker A: C'est ce qu'on disait, c'est qu'on trouvait.
[00:52:49] Speaker B: Que le.
[00:52:51] Speaker A: Clip ne servait pas à la musique.
Ça rendait tout cliché alors que la musique n'est pas si mal.
[00:52:56] Speaker D: C'est un peu déjà vu.
[00:52:57] Speaker C: Ils n'ont pas révolutionné la musique, on va pas se mentir.
[00:52:59] Speaker A: C'est déjà vu, oui, mais du coup, s'il y avait eu un clip un petit peu concept, un peu original... Et.
[00:53:05] Speaker D: Puis, j'aurais pas dire, mais quand même, la fille, elle était très mal maquillée.
Elle avait tout fait baver son rouge à la veste. Elle n'avait même pas rendu compte. Personne lui a dit sur le tournage.
[00:53:13] Speaker C: Je ne lui fous pas par les pierres.
[00:53:18] Speaker D: Et bah ça tombe bien Pierre, parce que tu n'as pas besoin de parler.
[00:53:21] Speaker C: Et Green Day alors, vous en avez pensé quoi ?
[00:53:22] Speaker D: Ah bah c'est Green Day.
[00:53:23] Speaker C: Bah oui, c'est ce que j'allais dire.
[00:53:25] Speaker E: C'Est du Green Day, bon le clip est plutôt cool.
[00:53:26] Speaker C: Toi t'es venu pour râler aujourd'hui, non mais sois lucide.
[00:53:29] Speaker E: Tout à fait, je suis une mauvaise poêle tu vois, il fait gris, il fait dégueulasse, on est tous déprimés, voilà.
[00:53:35] Speaker C: On est tous en gueule de bois, c'est que Pierre et moi.
[00:53:38] Speaker D: Moi, zéro gueule de bois moi.
[00:53:41] Speaker A: T'es couché toi ou hier ?
[00:53:42] Speaker E: Moi non plus, je suis juste mal luné, c'est tout.
[00:53:46] Speaker C: Ma chérie ! Parce que j'ai envie de t'appeler comme.
[00:53:47] Speaker D: Ça, parce que c'est mi-Pierre, mi-Christina Cordula.
[00:53:53] Speaker C: Ma chérie, dis-moi ! J'adorerais, j'adorerais.
[00:53:55] Speaker D: Non, parce qu'elle a des punaises de lit en ce moment.
[00:53:58] Speaker C: J'ai vu sur son Instagram.
[00:53:59] Speaker D: Elle a l'air malheureuse. Elle a mis son lit au congélateur.
[00:54:06] Speaker C: Non, elle a mis 4 meubles au congélateur.
[00:54:10] Speaker A: Et le canapé.
[00:54:11] Speaker C: Bah en tout cas, je me suis dit, elle a quand même un gros congélateur. T'imagines, c'est un Picard quoi la meuf. Ah bon ? Elle vient du Picard ?
[00:54:18] Speaker D: Je croyais qu'elle était brésilienne.
[00:54:21] Speaker A: Je me casse.
[00:54:22] Speaker C: En tout cas, elle est magnifique.
Je suis désolé, non mais je suis de l'Oise, donc quasiment du Nord. Le mec il a l'accent du Sud. Il a ramené de la lavande. Quel enfoiré. Mais oui parce que j'ai mon petit sachet les plus très fraîche, alors dans mon armoire je mets mes petits sachets de lavande.
[00:54:51] Speaker D: Alors dans l'Oise, ils mettent du maroilles dans les petits sachets. Tu vois que c'était pas un vrai nordiste.
[00:54:56] Speaker C: On fait des gros bisous à Visual Music qui bouffent beaucoup de maroilles et qui sortent le maroilles. Tu as choisi pas mal de chansons pour cette émission aujourd'hui. Et là, c'est quand même qu'on aime quand même pas mal.
[00:55:06] Speaker D: Ouais.
[00:55:06] Speaker C: Un petit Frank Carter.
[00:55:07] Speaker D: Je dirais que nous, on n'a pas été invité au petit showcase promo. Contrairement à elle. Tu sais, il y a un petit... Oui, au Supersonic.
[00:55:15] Speaker C: Non, mais on a été invité.
[00:55:17] Speaker D: Ah bon, d'accord.
[00:55:17] Speaker A: Ah, vous avez été invité ?
[00:55:18] Speaker D: Tu n'y es pas allé ?
[00:55:19] Speaker C: D'accord.
[00:55:23] Speaker D: Il ne voulait pas y aller si je ne pouvais pas être avec lui.
[00:55:25] Speaker C: C'est mignon.
[00:55:27] Speaker E: Il lui fallait son plus-un.
[00:55:27] Speaker C: Le mec il me tient le bras. C'est incroyable, un vrai acteur. Moi je suis mais... Bouche baie. Baie.
[00:55:38] Speaker B: Baie.
[00:55:41] Speaker C: Baie.
[00:55:42] Speaker B: Lâchez baie.
[00:55:42] Speaker C: Bon je vais arrêter là. Franck Cartier en live au Download Festival Paris.
[00:55:48] Speaker A: C'est là où je l'ai découvert et je me suis pris une claque. Je crois que je suis vraiment revenue à mon… Je faisais toujours des concerts mais beaucoup moins que l'année passée où j'étais limite 4 soirs par semaine en concert.
Mais je pense que ça a vraiment redéclenché mon amour pour la musique live, de le voir. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas pris une claque comme ça.
On va le voir dans le live, sa tenue, son look, son énergie. Il a vraiment rassemblé tout le download. C'était génial. Moi, j'ai adoré. J'ai eu envie de me faire tatouer. J'ai eu envie de réécouter plein de musiques live. D'ailleurs, je me suis fait tatouer par lui dans la foulée quelques mois après. Dans les clips, il y a quand.
[00:56:26] Speaker C: Même pas mal de gens qui sont faits tatoués par lui.
[00:56:28] Speaker A: Oui, c'est vrai.
[00:56:30] Speaker D: Non, trois. Dans l'équipe ? Des gens qu'on connaît ? Parce qu'il y a un couple dans le lot.
[00:56:39] Speaker C: Ça compte pour un. Il est gentil, c'est quelqu'un de très gentil.
[00:56:41] Speaker A: Oui, vraiment très gentil. Particulier, mais très gentil.
[00:56:44] Speaker D: Il a ses petits démons, comme beaucoup d'artistes. D'ailleurs, j'ai juste vu l'extrait que, grâce à toi, j'ai pu voir un peu ce qui s'était passé à ce showcase. Du coup, il parle de ça.
[00:56:55] Speaker A: Oui, il parle beaucoup de ça. Il a eu des problèmes d'alcool. Encore aujourd'hui ?
[00:57:01] Speaker B: Oui.
[00:57:03] Speaker C: Justement, dans l'album d'avant, il ne disait pas justement qu'il s'en était sorti ? Et qu'il avait réussi à justement...
[00:57:08] Speaker A: Je ne sais pas, ça a l'air d'être un peu fluctuant malheureusement. Mais ouais, après...
[00:57:15] Speaker C: Je ne vois pas de quoi vous parlez.
[00:57:17] Speaker D: Toi, c'est bon toi.
[00:57:18] Speaker C: Moi, c'est constant. Il n'y a pas de...
[00:57:21] Speaker A: Il n'y a pas de surprise.
[00:57:22] Speaker C: Au moins, dans tous les domaines, je suis mauvais. Mais là, je ne...
[00:57:27] Speaker D: Je suis bien content qu'il y ait un domaine dans lequel tu t'accroches, Pierre.
[00:57:31] Speaker C: Je m'accroche, oui. Et tu disais tout à l'heure aussi en rentraine que, en vérité, tu préfères largement la musique live que la musique sur album ou sur plateforme.
[00:57:42] Speaker A: Ça dépend, en fait. Il y a beaucoup, ce que je disais, c'est plutôt pour le hardcore ou pour certains types de musiques ou pour ce qu'on écoutait tout à l'heure, genre Perturbator, etc. Il y a des expériences que je préfère, que je vais adorer en live, mais je ne vais pas forcément réécouter à la maison. Ou même Guilt Trip, il y a certaines chansons que j'aime beaucoup et que je réécoute chez moi.
J'ai fait beaucoup de concerts de hardcore l'année passée, mais j'en écoute pas autant que j'en vois en live chez moi. Donc ça dépend un petit peu des énergies. Mais pour le coup, Frank Carter, j'écoute vraiment énormément et ça j'aime beaucoup.
[00:58:11] Speaker C: C'est plus mignon, Frank Carter.
Avec ce nouveau projet, c'est pas galose.
[00:58:18] Speaker A: C'est un peu plus vénère, c'est calmé.
[00:58:21] Speaker C: Et puis là maintenant il fait le crooner.
[00:58:22] Speaker A: Oui c'est ça.
[00:58:22] Speaker C: T'as aimé ce morceau ?
[00:58:24] Speaker A: Moi j'ai beaucoup aimé franchement, mais c'est vrai que ça n'a pas été très bien accueilli. Il y en a qui trouvaient qu'il pompait un peu, sans mauvais jeu de mots, Arctic Monkeys.
[00:58:32] Speaker C: Il fait le crooner du coup, on dit Arctic Monkeys, mais c'était pas les premiers non plus.
[00:58:36] Speaker D: Il y a eu des crooners avant Arctic Monkeys.
[00:58:38] Speaker A: Il y a eu Croonerman.
[00:58:43] Speaker C: C'est la blague que j'allais faire.
[00:58:46] Speaker A: Putain, ils sont si proches.
[00:58:47] Speaker C: Et si différents à la fois. En fait, tu sais, moi ça me fait rire. Après, je me dis, Ben le pauvre, des fois, il doit se dire, putain, pourquoi je... Pourquoi je... Des fois, j'ai la même blague que lui, ça me.
[00:58:56] Speaker D: Fait mal au... Non, nous sommes vrais.
Ça me prouve que même après tant d'années, on a toujours des points communs, Pierre.
[00:59:04] Speaker C: C'est beau.
[00:59:05] Speaker D: Tu vois, on marche toujours main dans la main.
[00:59:06] Speaker C: C'est vrai qu'il y a des fois où on a marché main dans la main ? Non, c'est vrai. Mais Frank Carter, c'est un mec qui est torturé, effectivement. C'est quelqu'un qui a envie de protéger les gens. Je ne pense pas qu'il ait envie de se protéger, mais comme il n'y arrive pas.
Il a des messages à chaque fois sur scène, c'est quand même un mec qui parle beaucoup aussi de protéger les femmes, de faire attention.
[00:59:24] Speaker D: Oh bah non, il parle un peu trop. Il en fait un peu des caisses oui.
[00:59:28] Speaker A: Mais c'est drôle, ça a de l'ambiance.
[00:59:30] Speaker D: Je pense qu'il y a eu les premières fois où c'était sincère et c'était beau. Et puis il y a un côté Dave Grohl qui apparaît qui devient un petit peu désagréable.
[00:59:39] Speaker C: J'adore.
[00:59:42] Speaker D: Franck Carter, j'ai vu les premiers concerts de galose à Paris, j'ai vu « Dix vents du monde » et il y en a eu encore un autre. Je ne sais plus si c'était « Une boule noire » ou un truc comme ça. Tu avais vu avec Rathel Sinek aussi ? Oui, j'ai vu tout, j'ai vu « Pure Love », j'ai vu toutes les étapes.
Ma préférée reste Gallows parce que c'était plus pêchue. C'était plus intimiste, c'était plus authentique. C'était pas une grande salle.
[01:00:13] Speaker A: C'était pas le genre musical non plus.
[01:00:15] Speaker E: C'était pas encore commercial.
[01:00:17] Speaker C: Voilà, exactement.
[01:00:18] Speaker A: Ça va, tu refais ton mec. Là, tu fais ton Pierre.
[01:00:20] Speaker C: Exactement, c'est ça. C'est sympa.
[01:00:25] Speaker D: Musicalement, c'est vrai que j'aime plus Galloz. Je trouve qu'il a une voix gueulée qui est incroyable.
[01:00:31] Speaker A: Justement, il disait pendant le showcase qu'il a fait en Angleterre qu'il avait travaillé vachement sur sa voix et c'est vrai qu'elle a vachement progressé.
[01:00:39] Speaker C: Je trouve qu'il chante hyper bien. La dernière chanson, je la trouve extraordinaire. Ce côté crooner justement et puis le fait qu'il ose en plus il fait ça d'une façon un peu kitsch aussi où il s'est guérimé crooner genre un peu dégueulasse. Bah oui, c'est fait exprès, c'est fait exprès, c'est le petit côté anglais, du coup il sourit pas mais il a les cheveux collés.
[01:01:00] Speaker A: Comme dans le clip peut-être que c'est le matin du clip de Sledden.
[01:01:03] Speaker C: Putain ils ont récup le gel sur ses bonnes paroles du coup. Le Donau de Festival en plus qui n'existe plus en France malheureusement.
[01:01:12] Speaker D: Bon il n'a pas existé longtemps.
[01:01:15] Speaker C: Deux fois, deux ou trois éditions. Peut-être trois. Mais ça a été très mal amené, organisé. Je dirais que c'était Live Nation qui les a eu.
[01:01:29] Speaker D: Ils ont voulu combattre le Hellfest en programmant des grands noms et puis en se disant, de toute façon, si on a les groupes, on n'a pas besoin de faire de trucs autour.
[01:01:41] Speaker E: On n'a pas besoin de faire un vrai festival, mais malheureusement si.
[01:01:44] Speaker A: L'expérience n'était pas ouf.
[01:01:47] Speaker E: Pour avoir fait une soirée du premier download, effectivement, c'était très chiche en termes d'expérience.
[01:01:52] Speaker D: Je crois que toutes les éditions étaient...
Enfin, c'était quand même une base desséchée.
[01:01:59] Speaker C: Il n'y avait pas de flotte.
[01:02:00] Speaker D: Il n'y avait pas de flotte, il.
[01:02:02] Speaker A: N'Y avait pas d'ombre.
[01:02:04] Speaker C: Tu mangeais des frites. On mangeait des frites dans les camions.
[01:02:08] Speaker D: Attends, il n'y avait pas de... Ça.
[01:02:10] Speaker A: Y est, bourgeoise !
[01:02:12] Speaker C: Moi je mange que des patates douces, c'est ça.
[01:02:16] Speaker D: Excusez-moi, le tataki il est où ?
[01:02:18] Speaker C: Elle est parisienne.
Je plaisante évidemment, j'aime les frites, goûte mes frites. Bon allez, j'en ai marre, je ne sais pas ce que je dois dire. Franck Carter, oui, c'est en live, c'est très bien, il faut aller le voir, il va falloir acheter son album et puis on va essayer de la voir en session acoustique. Quand tu veux. J'ai demandé, on ne m'a pas répondu.
[01:02:41] Speaker D: C'est pas comme si on n'avait pas l'habitude. Allez, Franck Carter, tout de suite dans Bang Bang et sur Asles.
[01:03:04] Speaker B: Il y a un diable à l'intérieur de moi Il est toute la journée et la nuit Et je ne sais pas si il reste Jump ! C'est terrible, c'est terrible.
Ok. Ok. Écoutez.
[01:04:40] Speaker D: Tout le monde descend.
[01:04:41] Speaker C: Tout le monde descend, descend, descend.
[01:04:43] Speaker B: Descend, descend. Tout le monde descend.
There's a devil inside of me And he's holding out And I don't know if he's staying up for our love You're leaning on my heartstrings Kicking and blowing And I'm sad to say it's got me thinking About the path I'm on Et le diable est là ! Oh my God ! Yeah ! C'est quoi ce bordel ? C'est parti pour le tour du monde ! Calling out to work, it's a pointless life It's up to selling me to never lose my drive So give me, give me, give me some peace Cause it's chains on my heart that I'm pulling, I breathe So give me, give me, give me some peace Cause I'm losing my flame, skipping all beats Whatever you do, whatever you say Don't let the candles go out Bang bang !
[01:08:59] Speaker C: J'avais envie de faire un truc un peu métal, parce que je suis un metalhead.
[01:09:01] Speaker D: De toute façon déjà les titres qu'on écoute là, c'est que des titres bien métal.
[01:09:05] Speaker A: Moi j'aime bien.
[01:09:06] Speaker C: Alors Magnolia Park, c'est vraiment le groupe soit t'aimes, soit t'aimes pas. Alors je suppose que c'est pas vraiment Takam. Les Magnolias, parce qu'on t'aime.
[01:09:19] Speaker B: Les Magnolias.
[01:09:23] Speaker C: C'est quoi c'était un vibromasseur qui est mort électrocuté ?
[01:09:30] Speaker D: Apparemment la légende dit qu'il a voulu changer une ampoule.
[01:09:34] Speaker A: On y croit moyen.
[01:09:36] Speaker C: Il avait une ampoule. Et des rideaux. Et un ?
[01:09:43] Speaker D: Un perle.
[01:09:45] Speaker C: Je déteste ça. Enfin, j'en ai déjà eu, mais... Bien installé ! J'ai été au chaud. Magnolia Park, donc, à l'instant, avec ce titre qui s'appelle Candles, qui est un titre pareil pour Halloween, parce que ça va être Halloween, donc j'ai fait deux, trois petits clins d'œil. Et ce groupe-là a fait un album complet.
Pour Halloween, ils l'ont sorti là. Donc si vous avez envie d'écouter des titres un peu... Ça peut pas être Halloween en vérité, ça fait émo normal. Mais c'est un groupe qui sait faire autant des trucs de midi net que des trucs un peu plus péchus. Ça n'est jamais dans la violence non plus. Mais ça marche plutôt pas mal quand même.
[01:10:18] Speaker A: T'aimes bien ?
[01:10:20] Speaker C: T'as le droit de dire non.
[01:10:21] Speaker A: C'est un peu trop émo, je dis ça alors que bon après vous allez dire que j'ai pris un titre émo. Mais là je trouve que c'est un.
[01:10:27] Speaker C: Peu trop émo pour moi.
[01:10:28] Speaker D: Je peux te comprendre moi aussi, c'est trop émo pour moi. Après je trouve ça bien fait quoi.
[01:10:32] Speaker C: Je trouve ça efficace. Je trouve pas ça trop...
[01:10:35] Speaker D: L'avantage c'est que je trouve pas ça trop mièvre. Ça va. C'est la limite acceptable quoi.
[01:10:41] Speaker C: Après c'est un titre, entre guillemets, ce qu'on appelle radiophonique. C'est un truc qui est facile, teneu, ça glisse. On s'en souviendra jamais mais c'est très bien. C'est un peu le problème. Pas de pas s'en souvenir mais bon bref. Je suis en train de m'enfoncer profond. Pour une fois.
Enjoy the night ! Quelle belle chevelure à chaque fois, moi je suis jalousie.
[01:11:02] Speaker D: Mais est-ce que c'est un peu comme ça qu'on choisit nos invités, on peut le dire ? Parce que là, regarde, il y a un petit combo.
[01:11:09] Speaker C: À nous les cheveux bons, c'est pas notre problème.
[01:11:11] Speaker D: Bah toi au moins tu les caches quoi.
[01:11:12] Speaker C: Ouais bah c'est normal parce que sinon on n'aurait vraiment personne qui nous regarderait. Déjà la gueule que j'ai, merci bien quoi.
[01:11:17] Speaker D: Bah putain j'osais pas te la dire.
[01:11:19] Speaker C: Bah t'es beau.
[01:11:20] Speaker D: Merci.
[01:11:21] Speaker C: On vous dérange ? Vous pouvez arrêter de nous regarder s'il vous plaît ? On a besoin d'un tweeter ! Holling Giant. Je ne connais pas.
[01:11:33] Speaker E: Alors Holling Giant, en fait, c'est un trio de Nashville, donc Etats-Unis.
[01:11:38] Speaker C: Nashville Tennessee, j'ai rencontré des musiciens.
C'est vrai ?
[01:11:45] Speaker D: Bah oui !
[01:11:46] Speaker C: Tu ne te souviens pas ?
[01:11:48] Speaker D: Là je ne l'ai pas pour le coup. Vous ne savez pas c'est la chanson de Dorothée ?
[01:11:50] Speaker C: Non.
[01:11:51] Speaker D: Dorothée elle a enregistré ses titres à Nashville.
[01:11:54] Speaker C: Je sais, je sais. De toute façon pour aller en vacances, tout était prétexte.
Elle y allait avec les musclés ou pas ? Bon d'accord ok.
[01:12:01] Speaker D: Non. Il ne jouait qu'en live.
[01:12:04] Speaker C: C'est pour ça que tu les aimais. Ça vous mélange tout ? Ah oui oui. Ça devient très compliqué. Donc Howling Giant. Après je me tais.
[01:12:12] Speaker E: Oling Giant, ouais. Bah donc du coup tu disais Nashville, grande ville de musique, connue surtout pour le blues et la country, mais là pour le coup c'est un... Pour le coup Oling Giant, eux, c'est plutôt heavy metal, psyché, stoner, plutôt, et c'est un groupe qui existe depuis 2014, je crois, donc une petite dizaine d'années, et ils viennent tout juste de sortir leur deuxième album, qui est sorti ce vendredi, et C'est du stoner qui est plutôt véloce généralement, plus sur le côté heavy de la force, avec des titres un petit peu speed, qui planent un petit peu. Il y a aussi pas mal de clins d'œil un petit peu vintage, avec des orgues, avec vraiment tout l'attirail rock psychédélique qui va bien et qui généralement met plutôt de bonne humeur. Et je me disais, je pense qu'on.
[01:13:05] Speaker D: En a un petit peu tous besoin.
[01:13:06] Speaker E: En ce moment de bonne humeur et de musique un petit peu ensoleillée. Et là, pour le coup, All In Giant, c'est plutôt ça que ça m'inspire. C'est plutôt eux aussi.
[01:13:16] Speaker C: Ça donne envie de prendre des champignons.
[01:13:17] Speaker E: Ça donne envie de prendre des champignons sur une planète.
[01:13:19] Speaker D: Alors on est en pleine saison des champignons.
[01:13:21] Speaker C: Faites attention de ne pas cueillir n'importe quel champignon.
[01:13:24] Speaker D: Attention. Alors on va vous répéter toutes les règles.
[01:13:30] Speaker E: Si c'est rouge avec des petits points blancs, vous cueillez pas.
[01:13:33] Speaker D: Vous ne mangez pas.
[01:13:33] Speaker C: Si c'est rouge, vous les achetez juste dans des paquets. Ça se vend en plastique.
[01:13:39] Speaker D: Ouais, ils sont séchés.
[01:13:41] Speaker C: C'est pas bon. C'est dégueulasse. Donc oui. Vas-y, continue maintenant.
Voilà, mon intervention est terminée, excusez-moi.
[01:13:52] Speaker E: De toute manière, on parle de Stoner, donc forcément les psychotropes, c'est un sujet qui vient très facilement. Donc oui, c'est vraiment typiquement la musique pour prendre des psychotropes sur une planète lointaine, comme ça, en pleine exploration cosmique, sous un soleil de plomb, enfin voilà.
[01:14:05] Speaker C: C'est que ça, mais au moins c'est.
[01:14:09] Speaker E: Tout plein de couleurs, ça fait plaisir, ça met plutôt de bonne humeur, donc voilà, c'est plutôt thérapeutique en ce moment, je pense qu'on en a plutôt besoin.
[01:14:20] Speaker C: Et bien voilà, un petit peu de soleil, un petit peu de bonne humeur, un petit peu de joie. Ils sont joyeux, très très joyeux.
[01:14:25] Speaker D: Un peu de pain, de chaleur.
[01:14:28] Speaker C: Ils sont encore enthousiastes. Il y a toutes les références, incroyable.
Un vrai petit dictionnaire, un vrai petit lecteur électrodynamique. Et oui, voilà. Très bien, allez, Howling Giant avec Glass Future. Il faudrait que je mette des lentilles.
[01:14:46] Speaker B: On y va ? Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! Angel star Nothing between us to summon the glow Imminent from above je m'en doutais Musique du générique Every face we saw was a smile Somewhere along all the masks came down And their faces were something unkind And I don't know when this will be over I'm not sure we come back now It's like this world was bitten by its own kind of venom And it's gone deep to suck the poison out I don't know if it's true but it feels like it is now Bang Bang !
[01:22:46] Speaker C: Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock. Toujours les dimanches à partir de 19h en live Twitch. Bien sûr, vous le savez puisque vous êtes ici même présent en train de regarder. Vous êtes d'ailleurs très nombreux et merci d'être là bien sûr à soutenir cette musique et à soutenir aussi le fait que nous fassions une émission comme ça.
[01:23:02] Speaker D: Tout à fait, une émission.
[01:23:05] Speaker C: Et ça vous plaît d'ailleurs parce que je tiens à remercier les plus de 900 personnes qui se sont inscrites. Sur notre chaîne YouTube.
[01:23:13] Speaker D: Ah oui ?
[01:23:14] Speaker C: Voilà. Si vous nous loupez un épisode, si vous nous loupez une partie, vous pouvez toujours aller regarder ça sur YouTube.
[01:23:21] Speaker D: Point d'exclamation, bang !
[01:23:22] Speaker C: Ah putain, c'est beau ça.
[01:23:23] Speaker D: Ou bang bang, je sais plus.
[01:23:25] Speaker C: Bon, vous essayez.
[01:23:26] Speaker D: Ça marche. Les gens dans le ch'meule vont vous dire. Et du coup, toutes les émissions, on peut les retrouver là-bas. Celle-ci sera donc la 22ème.
Et du coup, il n'y a pas les clips. On peut expliquer.
Il y a des gens ici qui n'ont pas compris. Mais du coup, il y a juste nous qui parlons et il y a une playlist où vous pouvez retrouver tous les clips qu'on diffuse.
[01:23:49] Speaker C: Voilà.
C'est pas très compliqué, c'est bien.
[01:23:51] Speaker D: Non, non. Généralement, les gens comprennent.
[01:23:53] Speaker C: Il y a même un chapitrage.
[01:23:55] Speaker D: Il y a un chapitrage qui est fait par notre cher Marcel, le monteur, que vous pouvez retrouver dans ce schmull sous le nom de Moonlights TV. Il fait la pub pour sa chaîne Twitch aussi. Allez le voir, il joue aux jeux vidéo, lui.
[01:24:10] Speaker C: Lui, il fait Twitch normalement. Il a choisi un truc qui peut marcher. Après, ça marche pas.
[01:24:15] Speaker D: Ça marche pas.
[01:24:15] Speaker B: Le pauvre.
[01:24:18] Speaker C: Non mais on lui fait des gros bisous à la gueule Marcel ! Il est tout choubie ce petit !
[01:24:23] Speaker D: Bien sûr !
[01:24:23] Speaker C: Il a ses petites joues toutes roses comme ça ! Et là il est en train de dire l'enfoiré ! Le titre qu'on a, parce qu'on a quand même regardé un clip et on a adoré ce petit morceau. J'avais envie de le passer parce que The Guys Like Them, c'est un groupe qui a... Un thème !
[01:24:40] Speaker D: Un thème !
[01:24:42] Speaker C: C'est un groupe que moi j'ai toujours beaucoup apprécié, c'est un groupe qui a toujours fait de la bonne musique, seulement Dernièrement, ils m'ont déçu. Sauf avec ce morceau-là. C'est très classique. C'est mignon, ça passe. Mais le morceau d'avant, par contre, j'ai trouvé que c'était de la chiasse. Ne mâchons pas les mots. Tu veux que je ne mâche pas les mots ?
[01:25:04] Speaker A: Vas-y.
[01:25:07] Speaker C: On a peur. Si je ne mâche pas, il y a des morceaux.
[01:25:10] Speaker D: Et du coup c'est plus vraiment de.
[01:25:11] Speaker C: La chiasse, c'est plus du vomi.
[01:25:15] Speaker A: Putain mais faut pas que j'intervienne, c'est le pire.
[01:25:16] Speaker C: Tu vas apprendre avec le temps, tu verras.
Où est-ce qu'on peut te retrouver ? Parce qu'en fait, depuis tout à l'heure, on parle de ce que tu fais, mais on n'a même pas donné un endroit où on peut te regarder, où on peut se nourrir.
[01:25:43] Speaker D: Pierre, tout le monde la connaît déjà. Elle est plus connue que nous.
[01:25:46] Speaker C: Ça, c'est pas compliqué.
[01:25:50] Speaker A: C'est pas la même niche. Non mais moi principalement... Ouais parce qu'on.
[01:25:53] Speaker B: Est pas des chiens ! Ah je savais, je savais ! T'es quel chien ? Ah putain !
[01:25:55] Speaker C: Ils sont infernaux.
[01:26:02] Speaker A: Non mais je suis principalement sur Instagram en vrai. J'ai aussi une chaîne YouTube. Mais en fait j'ai ouvert un compte Twitch mais je me suis toujours pas lancée dessus. Parce que j'ai envie de discuter, d'échanger avec les gens. Mais j'ose pas et j'ai peur d'appuyer sur le bouton live. Parce que c'est quand même se jeter un peu dans le vide.
[01:26:16] Speaker D: Alors que t'as vu !
[01:26:17] Speaker A: Et voilà, du coup je me suis dit vas-y.
On va tenter avec eux.
[01:26:20] Speaker C: Je veux dire que ça te fait plus peur que l'enregistrement ?
[01:26:23] Speaker A: Bah oui parce que j'ai pris le...
[01:26:24] Speaker C: Parce que c'est quand même vachement dur d'enregistrer. Enfin, il faut connaître son texte.
[01:26:28] Speaker A: Non mais c'est chiant. En plus, c'est vachement bien le live.
[01:26:30] Speaker C: Je parle pas de moi mais... T'as pas de montage.
[01:26:33] Speaker A: C'est vachement plus pratique.
[01:26:34] Speaker C: Bah oui, c'est ça. Quand t'es nu, ça marche quand même, c'est un truc bien quoi.
[01:26:38] Speaker A: Mais ouais, je pense que je vais me lancer.
[01:26:40] Speaker C: T'as envie de travailler dans le live comme ça ?
[01:26:42] Speaker A: Franchement, j'ai envie d'un truc un petit peu plus direct.
[01:26:46] Speaker D: Tu peux venir plus souvent ici.
[01:26:47] Speaker B: C'est vrai.
[01:26:48] Speaker C: On peut t'inviter à travailler gratuitement.
[01:26:50] Speaker B: C'est confortable.
[01:26:50] Speaker D: Franchement, on veut bien t'aider, t'apprendre vraiment les ficelles du métier. Tu viens, t'expliques tout ce qu'il faut faire.
[01:27:02] Speaker C: On va pas se mentir, en vérité, on manque de femmes et de jantes féminines dans l'équipe. Comme tu peux le constater.
[01:27:08] Speaker D: Globalement, cette musique manque de jantes féminines.
Globalement.
[01:27:13] Speaker C: Oh, on passe quand même beaucoup, beaucoup.
[01:27:15] Speaker D: Non, mais je veux dire, dans les gens... Sur la scène ? Ouais, sur la scène, nous, on diffuse quand même beaucoup d'artistes féminines, parce que c'est aussi notre goût. Mais je veux dire, même si on en diffuse pas mal, il n'y en a quand même pas tant que ça.
[01:27:30] Speaker C: Ah oui, non, il n'y en a moins que des cums, ça c'est sûr.
[01:27:33] Speaker D: Voilà. Mais du coup, on n'a toujours pas dit quel est ton réseau social. Donc c'est Instagram.
[01:27:39] Speaker C: Ah, je vois le nom, c'est quoi l'adresse ?
[01:27:41] Speaker A: Ah, c'est jacarmaker.jif.
[01:27:43] Speaker D: Shakermaker.Gif comme dans la description du live en fait.
[01:27:54] Speaker C: C'est carré ici.
[01:27:56] Speaker D: C'est carré.
[01:27:57] Speaker C: C'est longtemps que je ne l'ai pas regardé. Je crois que ce soir, je vais bien m'amuser. Coucou Kofi ! Je suis amoureux de Kofi, tu connais ?
[01:28:04] Speaker B: Non, c'est pas grave.
[01:28:05] Speaker D: Tu ne connais pas Kofi Lossa ?
[01:28:07] Speaker C: Je suis amoureux. Si on pouvait se marier, je serais très heureux. Mais apparemment, lui, pas trop. Lui, il est… Oh, c'est possible.
[01:28:14] Speaker D: On n'a pas une voix si grave sans raison.
[01:28:18] Speaker C: Je vois bien de quoi tu parles, ça m'a émoustiqué ! Alors Ocean Grove, c'est la partie des.
[01:28:23] Speaker A: Groupes que tu as choisis ? J'adore, c'est un de mes derniers gros coups de cœur et c'est plus grâce à eux que je suis revenue à des musiques, bon là pour le coup c'est très néo-metal, mais je suis revenue à des musiques plus extrêmes via eux en fait. Je les ai découvertes, c'était en première partie de Crossface, à la boule noire. Ah mais ça n'a rien à voir ! C'était en 2019 je crois, 2018-2019.
J'ai eu tout de suite un énorme coup de cœur, ça ressemble beaucoup à un mélange de Limb Biscuit, Korn aussi un petit peu pour certains morceaux. Avant ils avaient un délire un peu plus hardcore quand même, et puis ils ont changé de chanteur, le bassiste est devenu le chanteur, etc. Donc c'est un peu moins vénère, c'est un petit peu plus néo-metal. Mais moi j'aime beaucoup aussi, j'aime les deux périodes d'Ocean Grove. C'est un groupe australien, ils sont très très bons les australiens en metalcore quand même, faut le rappeler.
Et j'aime beaucoup d'ailleurs le clip, je ne sais pas si vous allez kiffer mais l'esthétique est très années 90, c'est vraiment en mode filmé à la caméra dv, l'ancienne et tout. Et même leur look et tout, toute l'esthétique est très très cool, le niveau des looks, de la déa, de la musique, voilà, j'ai adoré.
[01:29:36] Speaker C: Tu sais quoi, je suis très content, parce qu'en fait à chaque fois qu'on a des invités, ils disent tout ce qu'ils aiment bien le Néo Metal.
Vous pouvez dire, ouais c'est nul, New Metal c'est vraiment nul. Moi j'écoute du... Rogue ?
[01:29:52] Speaker D: C'est pas un Rogue parce qu'il écoute aussi du New Metal.
[01:29:54] Speaker E: J'en écoute aussi, j'en eus écouté, j'ai commencé par ça évidemment.
[01:29:58] Speaker C: Autant on écoute encore aujourd'hui un peu. Faut pas le dire.
[01:30:01] Speaker A: Avoue !
[01:30:02] Speaker D: Faut pas le dire, je connais Ocean Grove en plus.
[01:30:05] Speaker E: Je connais Ocean Grove.
[01:30:06] Speaker A: C'est sa street cred.
[01:30:10] Speaker D: Plaisir coupable.
Sa street cred est en jeu, il ne peut pas trop dire qu'il écoute...
[01:30:16] Speaker C: Et puis tous ses amis vont partir, on connaît bien comment c'est dans le prog... Ah bah... Ah oui, il a pas fait son tricot tout seul, bah merci ! Ocean Grove, non mais c'est vrai que c'est bien Ocean Grove, je connais assez mal mais je l'aurais peut-être pas défini comme Limb Biscuit mais c'est vrai qu'il y a un gros côté non métal. Je connais pas par contre la paire d'art quoi, pas du tout.
[01:30:39] Speaker B: Je crois que je suis arrivé un.
[01:30:40] Speaker C: Peu à la fin.
[01:30:41] Speaker A: C'était un peu plus vénéreux avant, ouais c'était cool.
[01:30:43] Speaker C: Ocean Grove donc avec Junkies. Ah bah tiens, ça m'a rappelé.
[01:30:58] Speaker B: All time on the bass to make you go All time on the bass to make you go All time on the bass to make you go Everybody looking at us like we're strangers I stick a piece into my skeleton who could blame us No one to change to see what you could savor Dip it in your finger taste C'est parti ! C'est parti pour le tournage ! Merci.
Heureux de vous avoir de nouveau, à la prochaine ! Go put on your make-up It doesn't change a thing Oh, putain ! Musique d'outro c'est Oh putain, c'est trop bien ! Knuckle Puck, à l'instant donc dans Bang.
[01:38:11] Speaker C: Bang et sur SLS.
[01:38:12] Speaker D: C'est pas Puckle Knuck ?
[01:38:14] Speaker C: Non, c'est pas les mêmes. Non, c'est pas du tout les mêmes.
[01:38:16] Speaker D: Ah non !
[01:38:17] Speaker C: Ah non monsieur ! Alors moi j'adore ce groupe, je suis vraiment hyper fan.
[01:38:21] Speaker D: C'est pas Blanc Bonnet et Bonnet Blanc ?
[01:38:24] Speaker C: Mais j'aime beaucoup ce groupe et ils viennent de sortir un nouvel album et c'est notre album de la semaine. Donc n'hésitez pas à aller l'écouter. Il n'y a aucune chanson en jeteur. En tout cas, après, c'est parce que j'aime bien ce style musical.
C'est Emo, oui, oui, oui. Aujourd'hui, j'ai envie d'être Emo, oui. Tu sais que j'ai eu une mèche énorme.
[01:38:39] Speaker A: C'est vrai ?
[01:38:41] Speaker D: On veut voir ça, on veut des images ?
[01:38:44] Speaker B: Non.
[01:38:44] Speaker C: Il y a des photos. Ah sinon mon téléphone. Tout était sur mon Facebook.
Merci Meta.
Ils m'ont tout effacé donc du coup au moins je suis débarrassé de tous ces dossiers.
[01:38:55] Speaker D: En fait la vérité c'est qu'il a une rupture sentimentale et il a tout effacé.
[01:39:00] Speaker A: Il a tout effacé, comme Franck Carter.
[01:39:04] Speaker C: Exactement. Pierre Carter. Bon, j'ai essayé de trouver une voix.
[01:39:08] Speaker D: Mais ça n'est pas venu. Je t'ai regardé et j'ai vu des engrenages tourner et puis ça fait...
[01:39:15] Speaker E: Après il y a eu un petit singe qui jouait des cymbales.
[01:39:17] Speaker D: Non mais c'est parce que Bestel il a voulu brancher la civile et ça.
[01:39:20] Speaker B: Fait...
[01:39:23] Speaker C: Ne parle pas bien, ne parle pas bien, ne parle pas bien. On va avoir des problèmes.
[01:39:28] Speaker D: Alors, tu veux que je t'aide ?
[01:39:29] Speaker C: Mon petit Chris. Non, non, mais je me tourne la prise.
[01:39:32] Speaker D: Parce que lui, il est en bonne santé.
[01:39:36] Speaker C: Oh, le jeu de mots.
[01:39:37] Speaker E: Oh, le jeu de mots.
[01:39:38] Speaker C: Putain, moi, d'un temps, pourquoi je comprends pas ? C'est une pub ?
[01:39:42] Speaker D: Non.
[01:39:42] Speaker C: Non, non, c'est juste le nom du groupe.
[01:39:43] Speaker B: Oui.
[01:39:43] Speaker C: Elf. Elf. Et pas Alph.
[01:39:46] Speaker D: Et donc pas Elf Alphakitan, non plus.
[01:39:51] Speaker C: Donc cette fois-ci je vais pas faire de cascades, maintenant que Ben est rentré il faut que je fasse attention.
[01:39:54] Speaker D: C'est dommage putain, je l'avais espéré, c'est.
[01:39:56] Speaker E: Pour ça que j'en ai remis.
[01:39:58] Speaker C: Parce.
[01:40:00] Speaker D: Que j'avais déjà passé du health.
[01:40:02] Speaker E: Il y a deux semaines et Pierre nous avait gratifié. Vous le verrez en short sur la chaîne.
[01:40:06] Speaker D: Il est sorti, ça y est, je l'ai pas regardé. Moi je l'ai vu moi, moi je l'ai bien vu.
[01:40:12] Speaker C: Avec le kit romp. Enfin je serai pas chou avec mes couilles.
[01:40:21] Speaker A: Il a perdu.
[01:40:23] Speaker C: J'ai eu l'intraction qui allait venir mais je... Health qui vient de sortir ce morceau qui est très bon. Celui-là je l'aime beaucoup.
[01:40:30] Speaker E: Qui est très cool. Health qui continue dans les morceaux très électro en vue de leur prochain album qui sort en fin d'année qui va s'appeler Rat Wars. Donc cette fois-ci pas de featuring mais un très bon morceau qui s'appelle Ashamed.
[01:40:45] Speaker C: C'est un très joli titre et ça laisse passager vraiment d'une humeur très joyeuse. On est dans une bonne ambiance.
[01:40:50] Speaker E: Ashamed, entre parenthèses, of being born.
[01:40:55] Speaker C: Ils sont joyeux, ils sont très joyeux. Santé mentale, zéro.
[01:40:58] Speaker E: Comme je définissais la dernière fois, c'est du rock industriel qui allie grosse machine et gros sentiments aussi. J'ai définissé un peu comme le chénon manquant entre Nine Inch Nails et Deftones.
On est totalement dedans, avec vraiment le côté plus électro cette fois-ci. Et encore une fois, un clip bien couillon, bien nerd, avec je crois que c'est le guitariste du groupe qui est en cosplay évangélion. Enfin voilà.
[01:41:23] Speaker A: Il y a tout.
[01:41:23] Speaker C: Au moins, eux, ça ne coûte pas cher.
[01:41:25] Speaker E: Ah oui, je pense que le clip n'a pas coûté cher, juste l'autorisation de la convention où ils ont filmé et puis c'est tout.
[01:41:32] Speaker D: Et encore ?
[01:41:33] Speaker E: Et encore. Peut-être à la sauvage, je ne sais pas.
[01:41:36] Speaker C: Mais ce titre-là, je le trouve bien meilleur que celui que tu avais passé la dernière fois, quand même. L'autre était très bien aussi.
[01:41:41] Speaker E: J'avais beaucoup aimé le dernier qui était en featuring avec Ciara, donc qui était très OBM, lui, pour le coup. Celui-là, il est toujours électro, mais un.
[01:41:48] Speaker D: Petit peu plus dépressif, un peu plus.
[01:41:51] Speaker E: Doom, j'ai envie de dire presque.
[01:41:53] Speaker C: Lourd. Très lourd.
[01:41:54] Speaker D: T'aimes bien Twelfth ? Oui, enfin, j'écoute pas assidûment. Je connais quelques titres que je trouve sympathiques, oui, tout à fait.
[01:42:03] Speaker C: Tu connais ?
[01:42:03] Speaker A: Non, je connais pas, non.
[01:42:04] Speaker C: T'aimes bien Indus ?
[01:42:06] Speaker A: J'écoute un peu de Nine Inch Nails, mais sinon, pas tant.
[01:42:10] Speaker D: Moi, je mange pas trop de plats surgelés.
[01:42:13] Speaker C: Je me suis dit, ta tête ne la tourne pas.
[01:42:19] Speaker D: Quoi moi j'ai pas le droit de réagir ? Tu me poses pas de questions ?
[01:42:22] Speaker C: Et quand est-ce que je brille moi ? Tu sais que je l'ai regardé 15 fois, je me marre de ouf. Mais c'est un peu sympa quand même, c'est con parce qu'on l'a fait ensemble et je le vois c'est quand même mon pote et en fait non je te regarde.
Il y a 2-3 petites vignettes d'images de shorts que je me régale aussi à regarder.
[01:42:44] Speaker D: Mais Pierre, tu sais, il y a plein de choses qu'on a fait tous les deux et à chaque fois que je les regarde, je suis fier.
T'es vraiment fier ?
[01:42:51] Speaker C: Tout ?
[01:42:51] Speaker D: Bah, je parle de nos enfants.
[01:42:56] Speaker C: Notre petit Chris, il a déjà grandi.
[01:42:58] Speaker D: Il est si grand, il a déjà de la barbe.
Sur les traces de son papa. Lequel ?
[01:43:07] Speaker C: Les deux.
[01:43:09] Speaker D: Les traces, je sais.
[01:43:10] Speaker A: Les traces de pneus. Ils y sont allés, les deux copains.
[01:43:15] Speaker C: C'est bien parti dans la vie, moi. C'est pas parce que je suis pédé que j'ai pas le droit de faire des blagues de mecs dégueulasses. Ok ? Ok ? Ok, homophobe !
[01:43:25] Speaker A: Oh, putain.
[01:43:27] Speaker C: Ils sortent un album quand t'as dit ?
[01:43:30] Speaker E: Il me semble que c'est en décembre, fin novembre ou décembre.
[01:43:32] Speaker C: Et ils font pas de concert ces troufions là ?
[01:43:35] Speaker E: Aucune idée, alors là pour le coup je sais pas s'ils vont tourner en Europe.
[01:43:38] Speaker C: Et voilà, ça défend des bonnes valeurs mais par contre venir sur le vieux continent c'est quand même foutu.
[01:43:44] Speaker D: Les vieux.
[01:43:46] Speaker C: Très bien, je vais lancer la chanson t'inquiète pas.
[01:43:47] Speaker D: Ah non !
[01:43:50] Speaker C: C'est bon, on t'a pas coupé, tout va bien ? Tout va bien. L'autre, vas-y, lance la chanson, ta gueule Pierre. De toute façon, j'ai envie de manger encore un petit peu de burrata.
[01:43:57] Speaker B: I know I shouldn't have come here But I got nowhere to go non c'est C'est parti ! Non...
J'ai essayé d'arrêter le changement avec ma tête Une autre nuit, je me sens en désespoir, j'essaie de m'éloigner Je ne peux pas croire ce que ma vie est devenu et je ne peux pas dormir J'essaye de respirer pour sortir, pour me rassurer que j'ai appris la vie de la rue C'est trop, c'est trop parce que j'essaie Je n'ai pas le temps de t'attendre ! J'ai déjà donné tout ce que j'avais ! Et ce n'est pas suffisant ! Je m'ennuie ! Parce qu'après tout ce temps, je suis juste là ! J'ai besoin d'arriver avec la douleur ! Je n'arrive pas à me réveiller ! Tout ce que j'avais ! J'essaie de me toucher avec mon esprit Et je ne peux pas me battre Je suis ennuyé, mes démons rient et crient Ils attendent qu'on s'arrête Donc, putain, j'en ai assez J'en ai assez, laissez-moi mourir Croyez-moi, vous ne voulez pas être sur mon équipe Car j'ai toujours tout ce dont je n'ai pas le courage J'en ai assez, j'en ai assez, j'en ai assez MEILLEUR !
[01:51:13] Speaker C: Ça c'est pas mal. Oh bah dis donc !
[01:51:15] Speaker D: Eh bah mes cadets !
[01:51:17] Speaker C: Je ne connaissais pas cette chanson et je suis très très heureux que tu aies pu le programmer, ce petit clip sympathique.
[01:51:23] Speaker D: Avec plaisir ! Je t'avais déjà mis du throne. Ah oui ?
[01:51:25] Speaker C: Je suis désolé, je m'en souviens pas.
[01:51:26] Speaker A: Et celle-là vient de sortir.
[01:51:27] Speaker C: Ouais.
[01:51:29] Speaker D: Et elle s'appelle comment ?
[01:51:30] Speaker C: Elle s'appelle Off the Verge.
Et avant de partir sur le sujet, j'ai juste envie de remercier les personnes qui se sont abonnées. J'ai vu qu'il y a des nouvelles personnes qui sont venues follow notre chaîne Twitch, donc merci beaucoup. J'ai vu qu'il y avait eu des abonnements, pareil, merci énormément. Et n'hésitez pas à en parler autour de vous, à nous rejoindre aussi sur nos réseaux sociaux et sur nos pages YouTube. Vous pouvez aussi nous rejoindre sur Discord, vous tapez !discord.
Et vous pouvez discuter entre vous et je vois d'ailleurs que ça échange plutôt pas mal avec les nouvelles personnes et que ça se passe plutôt bien. Et ça, ça me fait plaisir parce que la commu, elle s'agrandit et s'ils s'entendent bien, on est content.
[01:52:06] Speaker D: Ça on aime bien !
[01:52:07] Speaker C: On est content, content ! C'était un choix de ta part ?
[01:52:12] Speaker D: Alors moi j'aurais juste parlé de cette story parce que du coup on a parlé un petit peu pour préparer l'émission et du coup bon je savais qu'elle allait choisir cette chanson mais elle a quand même fait une petite story sur son Instagram d'ailleurs peut-être qu'elle est encore valide, je sais pas. Elle est passée. Où du coup elle met cette chanson pendant qu'elle se fait un café et du coup il y a le titre de la chanson qui est écrit et son mug c'est un mug dorsel parce.
[01:52:38] Speaker A: Qu'Elle t'a fait une... Ouais j'ai des collab' avec dorsel. J'ai des collabs avec Delonghi et avec Dorcel, donc j'ai lié tous mes partenaires avec une merveilleuse BO au titre évocateur.
[01:52:49] Speaker D: Et du coup, là où on voit qu'elle a bien une bonne communauté, c'est que tout le monde a réagi en disant « attends, la chanson avec Verge dedans et la tasse Dorcel, c'est fait exprès ».
[01:53:02] Speaker C: C'est quand même pas mal qu'il y ait des gens qui le comprennent.
[01:53:05] Speaker A: Mais beaucoup l'ont noté. J'essayais d'être subtile, tout en étant très lourde.
[01:53:09] Speaker C: Ça a été vu, ça a été vu.
[01:53:14] Speaker D: Je peux dire que Pierre, s'il était... Je suis homme de verge.
[01:53:16] Speaker C: Bien assis. Tout confort.
Coussinet ! Accueillant à souhait ! On peut venir à plusieurs, surtout n'hésitez pas à inviter tous vos potes. Dorcel, on adore Dorcel en plus, nous aussi on avait bossé avec Dorcel, tu te souviens pas ?
[01:53:37] Speaker D: Non.
[01:53:37] Speaker C: Dans Bring the noise ?
[01:53:39] Speaker D: Ouais mais je me souviens plus.
[01:53:40] Speaker C: D'accord ok.
[01:53:41] Speaker D: Non mais moi j'étais pas payé donc tu sais je voyais pas tout ça.
[01:53:45] Speaker C: C'est vrai que ces gens là par contre étaient payés. Cette personne là on lui fait un gros gros bisou.
[01:53:48] Speaker D: Ah cette personne là on aimerait bien qu'elle vienne d'ailleurs.
[01:53:51] Speaker C: Anna ? Anna Paulina ? Bah ouais. C'est vrai qu'il faudrait que je l'invite mais après elle est pas très métal.
[01:53:54] Speaker D: Ouais bah c'est bon on regarde.
[01:54:02] Speaker C: Et ça, c'était de la musique. C'est le rock ?
[01:54:06] Speaker D: Tu vois, c'est à des gestes comme ça qu'on sait que c'est pas vrai. Je rigole, bien sûr. Je rigole parce qu'en fait, on sait très bien que les femmes n'écoutent pas vraiment de musique violente et que c'est.
[01:54:19] Speaker C: Pas fait pour elles. Voilà.
[01:54:23] Speaker E: Dixie Tloga qui a une chaîne YouTube sur sa bannière métal avec un E accent aigu.
[01:54:27] Speaker D: Exactement.
C'est pas moi qui l'ai fait, c'est.
[01:54:30] Speaker C: Aboulinosor qui a fait cette dernière.
[01:54:34] Speaker D: Et je voudrais pas dire, mais en plus, il a la même coupe de cheveux que moi, donc j'aimais vous dire.
[01:54:37] Speaker C: Que...
Et puis il ressemble à Fred Durst.
[01:54:39] Speaker D: Et en plus, donc ça fait deux choses cheloues quand même.
[01:54:43] Speaker C: Voilà.
[01:54:44] Speaker D: Et je parlerai pas de la troisième.
[01:54:50] Speaker C: Mais on parlait de mauvaise musique.
[01:54:53] Speaker D: La blague, c'est qu'il n'y en a pas.
[01:54:54] Speaker C: Pas de troisième chose.
[01:54:55] Speaker D: Mais on laisse en suspens et c'est un effet humoristique.
[01:54:58] Speaker A: C'est merveilleux.
[01:55:00] Speaker D: Comme quand je dis que les femmes ne peuvent pas, alors que ce n'est pas vrai et que je ne le pense pas. Mais on fait comme si, comme ça, ça fait réagir les gens.
[01:55:08] Speaker B: C'est drôle.
[01:55:08] Speaker D: Et Ayana Kamoura, c'est vraiment de la merde.
[01:55:12] Speaker C: Espèce de violeur d'enfant ! Ok, d'accord, superbe.
[01:55:18] Speaker D: Encore les mauvaises musiques du coup !
[01:55:20] Speaker C: Oui, alors... Bring me the horizon !
[01:55:22] Speaker A: Mais ça c'est parce que j'ai dû changer à la dernière minute !
[01:55:25] Speaker D: Alors excusez-nous, si vous aviez envie de regarder un clip de 20 minutes, vous levez la main. Personne n'a levé la main, donc voilà.
[01:55:35] Speaker C: Elle avait envie de programmer Last Train, qui est un très très bon groupe.
[01:55:38] Speaker D: On peut en parler d'ailleurs.
[01:55:39] Speaker A: Bah oui, parce qu'ils ont un super... Je voulais pas mettre le clip non plus de 20 minutes, je savais qu'on allait un peu perdre du monde. Mais ouais, je trouve que c'est assez audacieux à chaque fois et je trouve qu'ils se permettent, justement, ils font vraiment ce qu'ils aiment. Et voilà, justement, ils ont pas peur de perdre peut-être du monde en faisant un petit peu des envolées, des trucs cinématographiques, avec des intros un peu deep au piano, un peu sombres. Et moi, c'est ça que j'aime bien, c'est qu'ils suivent vraiment leurs envies.
Ça, c'est vraiment cool. Mais bon, du coup, j'ai choisi plutôt...
[01:56:11] Speaker D: Alors, tu peux dire quand même le nom du clip ?
[01:56:14] Speaker A: Ah, c'était « How did we get there ?
[01:56:17] Speaker B: ».
[01:56:18] Speaker D: C'était ça. Comme ça, les gens peuvent aller le voir.
[01:56:19] Speaker A: Et le clip est disponible sur leur site. C'est sur leur site uniquement, qui a été réalisé par le guitariste du groupe.
[01:56:24] Speaker D: Ça aussi, c'est un petit souci que ce soit ça, pour le diffuser.
[01:56:27] Speaker B: Oui, pour nous.
[01:56:30] Speaker C: Bien même, c'est évidemment les maisons de disques qui nous envoient là.
[01:56:33] Speaker D: Bien sûr, bien sûr. C'est pour ça que des fois, il n'y a pas des logos MTV dans les coins.
[01:56:37] Speaker C: C'est ça aussi le rock.
[01:56:41] Speaker D: C'est ça le rock. Nous, on est punk.
[01:56:44] Speaker C: Complètement.
[01:56:45] Speaker D: Nous, on n'a pas d'étiquette.
[01:56:51] Speaker C: Donc Bring Me The Horizon. À chaque fois, je suis très méchant avec, mais j'aime beaucoup Bring Me The Horizon. Il n'y a pas de problème. Pareil, c'est de la blague.
[01:57:01] Speaker D: Moi franchement, je me souviens quand je les avais vus au Bataclan, c'était vraiment un bon concert. Donc vraiment, très bon groupe.
[01:57:07] Speaker C: On est toujours méchants avec tout le monde en fait, je réalise. Non, pas tous.
[01:57:11] Speaker D: Ah, il y a Foo Fighters après ?
[01:57:12] Speaker C: Ah non, c'est pas l'enchaînement. Non, il y a un truc, bon après chacun son avis de jeu aussi.
[01:57:22] Speaker A: Voilà, pour le coup, c'est très émo, mais je trouve que le clip était vraiment fun sur celui-ci, donc je me suis dit que ça allait être sympa pour les gens du chat de kiffer un petit peu sur ce clip-là. Après voilà, avec Youngblood, c'est toujours très pop. Oui, j'aime bien, j'aime un peu honteusement Youngblood, c'est vrai.
[01:57:43] Speaker C: Mais c'est marrant, en fait, j'en ai compris le pauvre, mais en fait, il y a des gens comme ça, tu peux... En fait, je peux pas me le voir, je sais pas pourquoi, il m'a rien fait.
[01:57:49] Speaker A: En fait, moi, il m'est sympathique. Enfin, il a fait de la musique.
[01:57:51] Speaker C: Mais un peu comme toi.
[01:57:52] Speaker A: C'est vrai qu'il y a un truc, pour le coup, il est trop dans la com. Il y a un côté un peu secte, un peu gourou. Je ne suis pas hyper sûre de sa sincérité.
[01:58:08] Speaker C: Ça va pas être la même chose, mais je pense que Youngblood, il a quand même quelques petits soucis de santé mentale ou d'équilibre. C'est ce qui fait qu'il en parle beaucoup aussi.
[01:58:18] Speaker D: Je sais pas assez écouter.
[01:58:20] Speaker C: Je sais pas, il y a un truc un peu particulier.
[01:58:22] Speaker A: Il en parle beaucoup, mais je trouve qu'il en fait presque un argument très marketing. Je trouve que c'est très marketé.
Là, il a fait une collab avec McDo ce week-end, où il a fait le Unhappy Meal. Et genre il est noir avec un smiley triste et tout. C'est une posture très adolescente, il a.
[01:58:41] Speaker D: Un public très jeune aussi. Après, toi qui es sur les réseaux, tu dois bien le voir, mais il y a quand même une grosse traîne dans ce moment de la santé mentale et des gens qui s'auto-diagnostiquent avec des maladies horribles et des trucs de dépression et de machin parce qu'en fait, il faut être malheureux. Enfin, je veux dire, c'est Emo. Nous, on a connu la période Emo où c'était mal-être. Enfin, je veux dire, même Korn. Enfin, je veux dire, le mec qui signe HIV. Enfin, je veux dire, il y avait quand même un truc là-dedans. Mais là, je trouve que ça a atteint un paroxysme parce qu'il y a une complaisance et il y a surtout...
[01:59:28] Speaker A: C'est le gros travers des réseaux sociaux.
Il y a une forme de revendication. C'est très bien de parler de ça parce que ça démocratise le sujet. Ça permet à des gens qui sont peut-être un peu en détresse d'aller consulter des professionnels de santé, etc. Mais après, tu as aussi des gens pas très honnêtes qui en font probablement.
[01:59:48] Speaker C: Leur fonds de commerce.
[01:59:50] Speaker A: C'est toujours le problème des réseaux sociaux.
[01:59:55] Speaker C: Bravo de faire partie de ces gens-là.
[01:59:57] Speaker A: Non, moi je suis sincère.
[01:59:59] Speaker C: Je rigole, je rigole, je rigole.
[02:00:00] Speaker D: Puis elle, elle n'arrête pas de dire qu'elle va bien sur le réseau. Elle n'est pas très émo finalement. Complètement, on voit bien qu'elle ne va pas bien.
Regardez-la, vous voyez bien qu'elle ne va pas bien.
[02:00:13] Speaker C: Mais aidez-la ! D'ailleurs, n'hésitez pas à envoyer des chèques.
[02:00:16] Speaker D: Envoyez-les ici, comme ça on est sûr que ce sera bien utilisé.
[02:00:21] Speaker A: C'est vrai, l'argent, l'argent a toujours tout émissionné.
[02:00:24] Speaker C: Et n'hésitez pas à le mettre à mon don.
[02:00:25] Speaker D: Oui, parce qu'en fait, on ne vous l'a pas dit, mais Pierre est devenu son tuteur légal.
[02:00:33] Speaker C: C'est un truc qui va trop loin.
[02:00:34] Speaker B: Ou pas.
[02:00:34] Speaker C: Pierre, tais-toi, Pierre, tais-toi, Pierre, tais-toi.
[02:00:37] Speaker D: Tu vas bien la tutorer, ne t'inquiète pas.
[02:00:38] Speaker C: Brimid Horizon, lui aussi, il ne va pas très bien, on ne va pas se mentir.
[02:00:42] Speaker A: Il va mieux, non ?
[02:00:42] Speaker D: Il va mieux, oui, je crois qu'il va mieux.
[02:00:43] Speaker C: Il va mieux, non, mais il va mieux parce qu'il a de l'argent et.
[02:00:46] Speaker D: Qu'Il s'habille comme un matador.
[02:00:48] Speaker C: Et je pense que, ouais, toi il va mieux mais en même temps, je sais pas, il y a quand même malaise. Enfin je sais pas, il y a des trucs qui sont, je trouve un peu... Tu trouves pas qu'il est un peu gênant parfois ? Je dis pas qu'il est fautif ou que c'est pas bien, je dis juste que je trouve qu'il y a un truc qui est un peu bizarre.
[02:01:03] Speaker D: Tu veux dire qu'il en fait peut-être un peu trop ?
[02:01:06] Speaker C: Ouais mais je pense qu'il est pas bien.
[02:01:08] Speaker D: Ah non mais je pense que...
[02:01:10] Speaker C: Je pense qu'il ne sait toujours pas qui il est.
[02:01:12] Speaker D: Pardon ?
[02:01:14] Speaker C: Qui est d'où ? Qui suis-je ? C'est qui ce Zinthia ?
[02:01:17] Speaker D: Mais où est-ce que j'ai bouffé hier soir ?
[02:01:18] Speaker C: Ah t'es déçu votre bœuf strogonope ?
[02:01:22] Speaker D: Ça c'est des rêves de vieux.
On va vous montrer Hotshots pendant la pub.
[02:01:29] Speaker C: Bon et du coup le clip qui fait un petit peu référence à...
[02:01:34] Speaker D: Un petit côté bioman un peu... Ça.
[02:01:38] Speaker C: M'A fait penser à...
Beastie Boys. Intergalactic.
[02:01:42] Speaker D: Alors tu sais Pierre que dans la chanson Intergalactic, en fait la voix, l'espèce de truc qu'on entend, en fait c'est une voix qui fait Intergalactic, Intergalactic. Tu le savais ça ?
[02:01:51] Speaker C: Et bah je te l'apprends. Je vous ai échangé de la dernière fois comme ça, ça varie un peu les plaisirs.
[02:01:57] Speaker D: Ça serait bien de faire une compile.
[02:01:59] Speaker C: Attends, les mecs ils se contredisent à chaque fois. C'est aussi ça le live, c'est ça la qualité d'un travail bien fait. Voilà, allez on va regarder ce petit clip qui est très joli, Bring Me The Horizon, qui est donc un choix de Marie. N'hésitez pas à laisser vos commentaires sur le chat et n'hésitez pas à lui envoyer des bisous et à la rejoindre bien sûr sur shakemaker.gif !
[02:02:16] Speaker B: Allez ! Musique rythmée Abonnez-vous ! Abonnez-vous ! à suivre Just don't wake up and tell the corruption When your freedom is lethal Tell me how you can hurt yourself You call yourselves peaceful You must lose your people C'est la fin de cette vidéo.
YASAKA ! Je ne sais pas ce qui m'a mis en premier, mais je sais ce que je ne peux pas comprendre. Tout le monde déteste le fait que les choses ne peuvent pas s'ajuster à ce que tu peux. Mais tout le monde a un visage qu'ils gardent à l'intérieur. Un visage qui se réveille quand je ferme les yeux. Un visage qui regarde à chaque fois qu'ils mentent. Un visage qui rit à chaque fois qu'ils tombent. Un visage qui regarde tout. Donc tu sais que quand c'est le moment de plonger ou de plonger, que le visage à l'intérieur te regarde aussi, juste à l'intérieur de toi. C'est comme un paranoïde qui me regarde vers le dos. C'est comme un vent du monde à l'intérieur de ma tête. C'est comme si je ne pouvais pas m'arrêter.
Mais j'entends à l'intérieur, c'est comme le vent qui s'étouffe à l'intérieur. J'ai besoin de l'air, c'est comme un paranoïde qui regarde sur ma tête. C'est comme un vent de la guerre à l'intérieur de ma tête. C'est comme je ne peux pas arrêter. Mais j'entends à l'intérieur, c'est comme je ne peux pas arrêter.
[02:09:19] Speaker C: Linkin Park, c'est vrai qu'en ce moment j'en pense quand même plutôt pas mal. J'aime beaucoup Linkin Park, je peux pas mentir.
C'est un groupe qui m'a accompagné quand j'étais...
[02:09:28] Speaker E: Il y a quelques émissions, on avait passé One Step Closer, je me souviens.
[02:09:32] Speaker C: Et c'est les 23 ans de Hybrid Theory. Voilà, ça nous rajeunit.
[02:09:36] Speaker D: 23 ans, c'est-à-dire que...
[02:09:37] Speaker C: C'était il y a 5 ans.
[02:09:38] Speaker D: Ouais, c'est ça. 23 ça tient. J'avais jamais vu, j'ai jamais été un méga fan de Linkin Park.
À l'époque, je n'étais pas fan, j'ai toujours pu écouter, mais j'ai jamais été grand fan. Après, je reconnais la grande qualité des chansons, c'est hyper efficace. Et je n'avais jamais vu ce clip. Et il y a quand même un gros clin d'œil à tout. Entre le mec peint en bleu avec le crâne rasé, tout l'univers qui est un peu la pièce d'à côté.
Et la tête qui sort du mur et tout, ça fait très tout en fait. Les mouches ? Bah non, là c'est des libellules.
[02:10:19] Speaker C: Ah, je confonds toujours.
The dragon flies, Pierre. Dragon flies, Pierre. Voilà, 23 ans, ça fait mal au cul.
[02:10:30] Speaker D: 23 ans, c'est-à-dire que s'il était né, il serait déjà majeur depuis 5 ans.
Aux Etats-Unis, il pourrait boire de l'alcool depuis 2 ans.
[02:10:41] Speaker C: On va pas continuer sur ce sujet.
[02:10:45] Speaker E: En France, il peut la mettre là-bas depuis 5 ans.
[02:10:48] Speaker D: Parce que Pierre, la majorité est quand même à 18 ans aux Etats-Unis. C'est juste pour boire de l'alcool que c'est 21.
[02:10:54] Speaker A: Et le permis ?
[02:10:55] Speaker D: Il cesse pour conduire. Et pour voter ?
[02:10:59] Speaker B: 18.
[02:11:01] Speaker C: Très bien, on en apprend toujours. Comme quoi, on peut vivre aux Etats-Unis maintenant, on est prêts.
[02:11:06] Speaker D: Bah ouais, maintenant qu'on est majeurs.
[02:11:09] Speaker C: Linkin Park, ça t'a accompagné, c'est un groupe que t'as bien aimé toi ?
[02:11:11] Speaker A: Ouais, j'aime beaucoup, ça fait partie. C'est vrai que moi, néo-metal, j'ai beaucoup écouté Slipknot, Limp Bizkit, Linkin Park, les grands classiques.
[02:11:21] Speaker C: Qu'est-ce que j'ai écouté ces albums, tous les Linkin Park.
[02:11:26] Speaker A: Moi j'y suis mis un tout petit peu plus tard parce que même au collège j'étais déjà un peu en mode genre ah non moi j'aime que le rock, j'aime pas le rap et tout et j'avais un petit peu de mal avec les parties rappées et donc j'y suis mis un petit peu plus tard. J'étais un peu en décalé.
J'étais un peu relou quoi.
[02:11:41] Speaker D: Bon la première fois que j'ai entendu Plemo, le Qu'est-ce qui se passe, je trouvais que ça était trop rappé.
[02:11:46] Speaker A: Non mais ça m'étonne pas moi aussi.
[02:11:47] Speaker C: Moi j'ai jamais aimé cet album donc je... Putain mais je comprends pas ! On vous fait des bisous ! Evidemment ! Refused ! Qui a choisi Refused ?
[02:11:58] Speaker E: C'est moi !
[02:11:58] Speaker C: C'est les messieurs là-bas ! Avec un morceau qu'on connaît toutes et tous qui s'appelle... Tony Parker ! Nouveau bruit ! C'est ça ! Le bruit sombre !
[02:12:07] Speaker E: On parlait des 23 ans de hybride théorie, c'est les 25 ans de The Shape of Pug to Come, donc de Refused.
[02:12:12] Speaker D: Et non pas The Chef of Pug to Come !
[02:12:15] Speaker C: Le Chef de Pug to Come !
[02:12:19] Speaker D: Pour ceux qui font les petites cartes de France là.
[02:12:22] Speaker C: Ah ouais ! Très bien ! Et tu voulais nous en dire quoi ?
[02:12:26] Speaker E: Bah en fait, jusque Refused, qui a des jolies bottines.
Oui, entre autres, oui. Denis Lixen.
[02:12:33] Speaker D: Denis bottine Lixen.
[02:12:35] Speaker E: Avec son look, son look inimitable. Refused, les légendes du hardcore suédois, qui ont sorti en 1998 The Shape of Punk to Come, qui était un album qui était très osé à l'époque, qui mélangeait le hardcore avec beaucoup, beaucoup d'autres genres.
notamment du jazz, de la musique électronique, des choses qui étaient assez avant-gardistes pour l'époque. Il est génial cet album, il a fait date et puis pour le coup c'était très expérimental à l'époque et c'est un peu l'album qui a signé leur arrêt de mort en tout cas aussi à l'époque puisqu'ils ont splitté en 98 l'année de sortie de l'album pour ensuite se reformer plus tard en 2014 et réenchaîner avec des albums, des concerts.
Les albums sortis depuis, ils en ont sorti deux, ils ont du mal à réatteindre le niveau de génie qu'ils ont eu sur The Shape of Punk to Come, c'est un peu compliqué. Par contre en live, ça bute toujours, c'est toujours une valeur sûre, pour les avoir vus deux fois, c'est toujours très très efficace. Et puis voilà, l'occasion de se repasser New Noise, qui est leur gros tube qu'on a entendu des milliers de fois mais qui est toujours efficace, qui défonce toujours.
[02:13:46] Speaker D: Ce qu'il faut se dire, c'est quand même, pour ceux qui ne connaîtraient pas cette chanson, il faut la réécouter en se disant qu'elle est sortie du coup en 98, qu'à l'époque, c'était un ovni. C'est-à-dire que ça définit énormément de choses de ce qui a suivi après avec le post-hardcore. Enfin, post-hardcore, je parle au sens large, donc tout ce qui a suivi le émo et tout ça. La structure de cette chanson, ce qui se passe dedans, Enfin, il y a une loupe électro qui arrive au milieu du truc, t'as un climax qui arrive, qui part pas, qui part plus tard. Enfin, il y a énormément de choses dans cette chanson qui sont complètement ouf. 98, les gens n'étaient pas prêts. Moi, je me souviens l'avoir vu dans un Best of Trash.
[02:14:34] Speaker C: Avec Laurence.
[02:14:34] Speaker D: Ouais, exactement. On enregistrait à l'époque, du coup, il faut bien se dire que les clips métal, ça ne passait que la nuit. Du coup, on s'arrangeait avec ceux qui avaient le câble ou des trucs comme ça, qui pouvaient enregistrer les émissions parce qu'il y avait sur le MCM, il y avait sur MTV. Et du coup, on enregistrait les clips et après, on avait la cassette pour regarder les clips. Le jour où j'ai vu ce clip, Je n'ai pas compris ce qui se passait. La première fois, je n'ai pas aimé. La première fois que j'ai eu ce.
[02:14:59] Speaker C: Truc, j'ai fait mais c'est quoi ?
[02:15:01] Speaker D: Je n'ai pas compris. Et voilà, après, c'est devenu... C'est un groupe, c'est une chanson un peu fondatrice de toute la scène. Je pense que tout ce qui est arrivé dans le post-hardcore, metalcore, tout ça, c'est lié à cette chanson.
[02:15:15] Speaker C: Il y a une putain d'énergie, c'est-à-dire que tu ne peux pas t'empêcher d'avoir envie d'avoir une patate d'enfer. Ils nous foutent des patates aussi un petit peu, de sauter dans tous les.
[02:15:22] Speaker D: Sens et de faire...
Et d'ailleurs, j'en reparle, mais je vous avais parlé il y a quelques temps de la série The Bear, où il y a deux saisons qui sont sorties. Et cette musique, c'est la musique qui ouvre, enfin la guitare, c'est ce qui ouvre le premier épisode. Et en fait, ça revient régulièrement dans la série. Pour un personnage, c'est le truc pour expliquer un peu sa tension et tout ça. Et je trouve que c'est parfait. Et quand on connaît la chanson, c'est encore meilleur.
Voilà.
[02:15:52] Speaker C: Bravo. Vous êtes merveilleux. J'ai de la chance d'avoir quand même deux collègues comme vous, comme ça, j'ai vraiment pas besoin de travailler du tout. C'est ça le petit souvenir.
[02:16:00] Speaker E: C'est bien de savoir déléguer.
[02:16:01] Speaker B: Ou déléguer.
[02:16:02] Speaker C: Savoir s'entourer. Bon ça, je délègue, je délègue. Je délègue.
[02:16:05] Speaker D: Charlie, Charlie délègue.
[02:16:07] Speaker C: Bon allez, et... Refuse, c'est tout de suite donc un choix de Enjoy The Noise, avec donc ce nu noise. Régalez-vous.
[02:16:16] Speaker B: Je peux crier ? C'est parti ! Can I scream ? Yeah ! With my devotion, the moon doesn't do me ! With my devotion, the moon doesn't do me ! We hold the creation of man Great words won't cover our reaction Your faith will save the future We are black commotion Commune to the new beast We are black commotion Face over The doors are locked on us Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Danse ! All the wrong songs ! Joy ! All the wrong moods ! Danse ! All the wrong songs ! C'est parti ! Thank you big ! Thank you big ! Thank you big ! Thank you big ! Thank you big ! Thank you big ! Je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t'attendais, je t Et je me demande...
The only thing I'll ever ask of you You've got a promise not to stop when I say you will She sang Breathe out So I can breathe you in Et je me demande Quand je chante avec toi Tout ce que je ressens, c'est vraiment pour toujours J'ai une promesse à ne pas arrêter quand je dis où elle est Elle dit...
paris.
[02:26:19] Speaker C: Le groupe préféré de Ben, les Foo Fighters.
[02:26:22] Speaker E: Et David Chaussure.
[02:26:23] Speaker D: Pierre, j'ai qu'une chose à te demander. C'est de ne pas t'arrêter quand je te demanderai de le faire.
[02:26:29] Speaker B: D'accord, je t'entends dire que de quoi.
[02:26:30] Speaker C: Il parle, mais qu'est-ce que c'est ?
[02:26:33] Speaker D: Bah c'est les paroles !
[02:26:34] Speaker C: Bah c'est les paroles, j'ai bien compris après. C'est juste que je suis un peu long derrière cette chanson.
[02:26:38] Speaker D: Je vais pas mentir, je trouve cette chanson... L'autre fois j'ai réécouté cette chanson, j'ai bien réécouté les paroles.
Et du coup, j'ai commencé à imaginer toutes les situations dans lesquelles ça pouvait se... Non, non, je parle pas. Non, non. Et c'est une très belle chanson. En fait, moi, je crois que c'est ça mon problème avec Foo Fighters. C'est qu'il y a des très bonnes chansons.
[02:26:59] Speaker C: Il y a des très mauvaises chansons.
[02:27:00] Speaker B: Non.
[02:27:00] Speaker C: Il y a une très mauvaise personne. Non.
[02:27:02] Speaker D: Non, non. Non, je pense que c'est...
[02:27:04] Speaker C: J'essaye de trouver, attends.
[02:27:05] Speaker D: Non, mais c'est très compliqué. C'est très compliqué, Foo Fighters. En fait, je... De quoi ?
[02:27:10] Speaker A: J'adore Foo Fighters.
[02:27:11] Speaker D: Non, mais moi aussi. En fait, je trouve qu'il y a plein de choses incroyables dans Foo Fighters.
Et je pense que s'il en faisait moins, ce sera un meilleur groupe. En fait, je pense qu'il y a une très belle énergie, il y a des très belles chansons, il y a des mélodies incroyables, il y a une énergie incroyable. Mais je trouve que... Et c'est vraiment ce que j'ai compris en voyant... En fait, il y a toujours un truc qui m'a un peu dérangé dans Foo Fighters, c'est le jour où je les ai vus en live, j'ai compris. C'est qu'en fait, il en fait trop.
Et que des fois, il y a des chansons où il va trop chercher la larmichette. Il y a des...
[02:27:45] Speaker C: Tu veux dire qu'il est dans le jeu extrême américain ?
[02:27:48] Speaker D: Il y en a un peu trop. C'est un peu trop... Ouais, mais... On a du pire. Et bah oui, il y a pire, mais il y a mieux aussi. Je veux dire, à un moment, tu sais, il faut viser la lune pour toucher les étoiles.
C'est pas ça ? Non, c'est quoi ?
[02:28:01] Speaker C: Je sais pas, j'ai encore une image...
[02:28:02] Speaker D: Je sais pas, avec Elon Musk qui montre sa lune ?
[02:28:04] Speaker E: La lune, au pire, t'atterrira dans les.
[02:28:05] Speaker C: Étoiles, c'est ça ?
[02:28:06] Speaker D: Voilà, c'est ça. Non mais voilà, du coup, mais bon, il y a des chansons que je trouve magnifiques.
[02:28:11] Speaker C: Bon, en tout cas...
[02:28:12] Speaker D: C'est juste dommage qu'en live, il chante pas la moitié et qu'il fait... Oh ça va !
[02:28:18] Speaker A: Moi je l'ai vu au Ziguet, il y avait un orage et il a vachement bien rebondi sur le truc, c'était très drôle, c'était très beau, il a fait ouah, comme Mère Nature et tout, il en faisait des caisses et tout, mais c'était drôle, il avait bien rebondi. Et il y avait une fille aussi qui faisait des bulles et il a fait monter la meuf sur scène, il a fait oh bubble girl et tout, c'était drôle. Non mais c'est cool parce qu'il rend quand même le moment unique.
[02:28:43] Speaker D: Moi je me souviens, je les ai vus à Rock en Seine où ils n'avaient pas joué en France depuis plus de dix ans. Et qu'il a dit, vous savez, ça fait dix ans qu'on n'a pas joué ici, je laisserai plus jamais ça arriver.
Pardon ? C'est pas re-arriver juste derrière ?
[02:29:01] Speaker B: Il.
[02:29:04] Speaker A: Y a combien d'années ? Il y a 20 ans. Non mais t'exagères, parce que moi j'étais là aussi, c'était en 2011. Et j'étais en train de bouffer un.
[02:29:08] Speaker C: Kebab ou je sais plus quoi. Ah donc c'était il y a 12 ans.
[02:29:10] Speaker E: Il y a 12 ans, ouais.
[02:29:11] Speaker C: Oui bah j'ai débuté à quoi depuis ? Ils sont revenus.
[02:29:14] Speaker D: Après le truc c'est qu'ils ont essayé.
[02:29:15] Speaker E: De revenir en France mais il y.
[02:29:15] Speaker D: Avait toujours des couilles en fait.
[02:29:16] Speaker C: Bah oui, ils n'aiment pas les Français.
[02:29:18] Speaker D: Non mais il y a surtout la plus grosse couille. La plus grosse couille c'est surtout qu'ils n'arrivent pas à avoir le cachet qu'ils voudraient pour venir jouer en France.
[02:29:25] Speaker C: C'est que leur cachet est trop élevé pour pouvoir faire en sorte qu'en France ce soit rentable.
Donc en vérité, ils ne veulent pas juste pour ça. Et c'est le cas de beaucoup de.
[02:29:33] Speaker D: Groupes, on va pas se mentir. Oui, bien sûr.
[02:29:35] Speaker C: On a beaucoup de groupes qui font ça aussi.
[02:29:37] Speaker D: C'est pas grave. Et surtout, nous on ne va pas arrêter de jouer tant qu'on ne nous vire pas de la scène.
[02:29:45] Speaker A: Non mais moi, mon souvenir, c'est qu'ils avaient commencé le set, je ne sais plus, 10 minutes avant.
[02:29:49] Speaker D: Je ne sais pas, moi je me souviens, j'attendais déjà. J'étais arrivé, je ne sais plus ce.
[02:29:54] Speaker E: Que j'étais en train de regarder juste avant, je débarque devant la grande scène.
[02:29:57] Speaker D: Je me dis putain, ils ont déjà commencé.
[02:29:59] Speaker A: Moi j'avais vu un groupe qui commençait en avance et j'étais contente.
[02:30:01] Speaker C: J'aime bien les Foo Fighters mais c'est vrai qu'ils parlent beaucoup trop. De faire des blagues c'est cool, c'est pas le problème. Je suis d'accord avec Ben sur le fait qu'il y a trop de blagues, il y a trop de trucs. Et de voir être le mec trop cool, en vrai ça perd un peu de... Autant on parlait de Youngblood.
[02:30:16] Speaker D: Moi il y a un truc qui m'a... Tu vois il y a une des chansons que je trouve incroyable de Foo Fighters c'est Pretender.
Et typiquement cette chanson là, alors en plus c'était vraiment drôle, j'ai déjà raconté l'anecdote, donc désolé pour ceux qui l'entendent déjà, c'est à l'époque où ils tournaient avec le groupe Cherry Bomb, ça c'était des meufs qui avaient fait une reprise justement de Pretender, ils les avaient pris sur la tournée, parce que c'est le mec le plus cool de la planète. Donc elles jouaient sur une toute petite scène, la scène Ile-de-France qui est à l'entrée du festival, je suis allé les voir, elles ont fait Pretender, Interprétation au max, même pas des conditions techniques ni rien de ouf. Interprétation au max, j'ai ressenti la chanson comme quand tu écoutes sur le CD de Foo Fighters. Et quand j'ai vu la chanson le soir jouée par Foo Fighters, Je n'ai eu même pas le dixième de ce que j'ai eu avec les petites meufs l'après-midi. Parce qu'en fait, qu'est-ce qu'il fait ? Il gueule comme un putois pour dire aux gens de chanter et il chante jamais le refrain. Alors que le meilleur truc sur ce refrain, c'est sa voix sur le refrain quand ça part. C'est ça qui fait toute la chanson. Si tu ne l'as pas, tu ne l'as pas. Et là, je ne l'avais pas et je suis déçu. Et le mec, il est essoufflé de gueuler aux gens.
[02:31:30] Speaker C: Chantez !
[02:31:31] Speaker D: Et lui, il te le fait jamais ? Bah mec, vas-y quoi.
[02:31:34] Speaker A: C'est marrant, je ressens pas ça. Vraiment, le live de Frank Carter, je m'éclate.
[02:31:38] Speaker D: Parce que t'es fan.
[02:31:39] Speaker A: Non mais même pas tant que ça.
[02:31:40] Speaker C: C'Est vraiment l'expérience live qui me plaît énormément.
[02:31:42] Speaker D: C'est parce que t'es fan.
[02:31:43] Speaker A: Si t'existes, c'est ta vie. Justement, en 2011, j'écoutais pas et je me suis... Un peu comme Frank Carter, je m'éclatais.
[02:31:50] Speaker D: Ah mais du coup, tu connaissais pas les chansons et tu savais pas de quoi t'attendre, c'est pour ça.
[02:31:54] Speaker A: Oui mais après, depuis, je les écoute 20 fois.
[02:31:55] Speaker C: J'les écoute 4 fois, 4-5 fois.
[02:31:57] Speaker D: Non mais après.
[02:32:01] Speaker C: Je trouve qu'il y.
[02:32:01] Speaker D: A d'excellentes chansons, je trouve ça juste dommage qu'il en fasse trop. Après c'est mon avis.
[02:32:06] Speaker C: Moi je vais pas revenir sur ma dernière interview avec eux.
[02:32:09] Speaker A: Revenons-y.
[02:32:10] Speaker C: Ça s'était très mal passé.
[02:32:11] Speaker D: Tout ça parce qu'il avait dit que t'étais homosexuel et que c'était une honte ? T'inquiète pas Pierre, un jour les gens accepteront ça.
Le jour où j'aurai 10 zits dans la bouche.
[02:32:21] Speaker E: On va demander Boy George en interview.
[02:32:22] Speaker D: Ça se passera mieux.
[02:32:24] Speaker C: Oui, Georges Michael. Bon, les Foo Fighters, si on sait très bien, ils sont programmés au Hellfest.
[02:32:29] Speaker D: Enfin, rock en scène en Bretagne.
[02:32:32] Speaker C: J'ai vu ses commentaires.
[02:32:34] Speaker D: Ça m'a fait rire.
[02:32:34] Speaker B: Pas que toi, mais j'ai vu sur.
[02:32:36] Speaker C: Internet, ça a été le raz-de-marée de haine. Après, je pense qu'il y a beaucoup de gens qui ne peuvent pas y aller et qui se sont arrivés en mode... Non, mais c'est vrai que c'est drôle quand même.
[02:32:45] Speaker D: Franchement, à trois noms près, c'est une affiche de rock en scène. Enfin, à l'époque où... Rock en scène, à l'époque où c'était du rock.
[02:32:53] Speaker C: En gros cette année c'était quand même rock.
[02:32:55] Speaker D: Je sais pas j'y étais pas.
[02:32:56] Speaker C: Moi non plus mais c'était rock quand même. C'était quoi la tête d'affiche ? Billy Eilish, c'est rock quand même Billy Eilish. Il n'y avait pas que ça, je me souviens plus, mais c'était quand même.
[02:33:05] Speaker D: Très rock cette année.
[02:33:06] Speaker C: Il y avait beaucoup de post-punk, c'était vraiment une belle chose.
[02:33:08] Speaker D: Il y avait Moshot Doma.
[02:33:11] Speaker C: J'aime Molshot Doma !
[02:33:12] Speaker D: Moi aussi j'adore Molshot Doma, Pierre, c'est mon groupe préféré.
[02:33:14] Speaker B: Et Grineux regrine !
[02:33:16] Speaker C: Bon, ça ressemble pas trop à ça en vrai.
Donc il y a les Foo Fighters, il y a qui d'autre ? Attends, je regarde, les Queens of the Stone Age, V of Spring, Megadeth, Dropkick Murphys, Royal Blood, Bad Omens...
Rob Kick.
[02:33:26] Speaker E: Murphy, ils sont là tous les ans, non ?
[02:33:29] Speaker C: En France, oui, ils sont là tous les ans. All Them Witches, Babymetal, Biohazard, Bruce Dickinson, Brouhéria.
[02:33:35] Speaker D: Brouhéria ?
[02:33:36] Speaker C: Ce qu'ils ont sorti dernièrement, c'est de la merde. Il y a encore Dino ? En même temps, je ne sais pas s'il y a un jour ça a été bon.
[02:33:41] Speaker D: Il y a encore Dino dans le groupe ?
[02:33:43] Speaker C: C'est vrai que je ne l'ai pas regardé, il y a des clips.
[02:33:46] Speaker D: Faut avoir envie de la regarder. Des mecs avec des cagoules.
[02:33:50] Speaker C: Moi je préférerais Acessino de toute façon. Tu connais pas Acessino ?
[02:34:06] Speaker D: Il y a Nova Twins, je suis très content.
[02:34:08] Speaker C: Bah dans la production parce que j'ai pas tout lu.
[02:34:10] Speaker D: Non je sais, t'as raté. Il y a Nova Twins.
[02:34:13] Speaker A: Bah elles étaient en première partie de Youngblood.
[02:34:15] Speaker D: Ouais, et puis elles étaient aussi à Rokansen.
[02:34:18] Speaker C: Bah elles sont partout.
[02:34:20] Speaker D: Bah ouais, tu sais que ça devait être la première session Rastless.
[02:34:23] Speaker A: Ah c'est vrai ? Et alors il y a eu...
[02:34:25] Speaker D: Il y a eu un confinement.
[02:34:27] Speaker C: Vraiment, littéralement le jour où elle devait venir faire la... Oups, dommage ! Bon, on va passer à la suite parce que c'est bientôt la fin de l'émission.
[02:34:35] Speaker D: Ah, enfin !
[02:34:36] Speaker C: Ah oui, c'est vrai qu'il y a eu des temps. Ah non, ça va, c'est juste mon horloge, je ne l'ai pas changé. Landmarks !
[02:34:44] Speaker B: Oui !
[02:34:45] Speaker C: Petit Marseille, attention les cigaloupes !
[02:34:47] Speaker B: Ah non !
[02:34:47] Speaker C: Eh, il fait beau, ça s'embolle l'huile d'olive, on a un petit citron sur le nombril, on est content !
[02:34:53] Speaker D: Le mistraou vient de nous caresser les bras ! Mais il est de Marseille !
[02:34:59] Speaker C: Mais je suis du Sud.
[02:35:00] Speaker D: Il est de Marseille !
[02:35:01] Speaker C: Je suis normalement de province.
[02:35:02] Speaker A: T'as le droit alors.
[02:35:03] Speaker C: Tu veux que je le fasse vraiment comme ils font dans le Sud ?
[02:35:06] Speaker B: Vas-y.
[02:35:20] Speaker C: On a reparlé, tu sais qu'on me l'a envoyé un sketch de Chevalier à la Spalette ? C'est un sketch que j'ai, qu'on avait fait tous les deux il y a fort longtemps. C'était le renouveau, c'est le moment où j'avais envie de retenter des choses.
[02:35:35] Speaker D: Bah, on a tenté deux fois.
[02:35:40] Speaker C: Ben était prêt à faire plus que deux fois, moi écrire c'était plus compliqué. Mais en même temps j'avais fait un vrai travail d'écriture, ça s'appelle les chroniques de Pierre, vous pouvez retrouver ça sur Facebook.
Il y en a deux. Et si tu aimes les hommes nus en tablier, tu peux me regarder nus en tablier.
Non mais c'est rigolo ! Et les poissons qui parlent ! Il y a des poissons qui parlent, oui ! Alors effectivement, ils étaient déjà morts, on ne les a pas tués.
[02:36:03] Speaker D: Non.
[02:36:03] Speaker C: Et on l'a mangé. Je l'ai mangé.
[02:36:05] Speaker D: Une bonne rascasse.
[02:36:07] Speaker C: Bonne rascasse. Attention, ça pique. Donc Len Marx.
[02:36:10] Speaker A: Tu veux que je présente Landmarks ?
[02:36:12] Speaker C: Bah non mais pourquoi t'as choisi Death avec Straight From The Path d'ailleurs qui passe en concert à Paris.
[02:36:18] Speaker A: Ouais, c'est le 11 novembre je crois. Et justement c'est pendant le Marxfest. C'est pour ça qu'ils ne sont pas au Marxfest d'ailleurs. Mais Landmarks c'est un de mes récents gros coups de cœur.
Ce que j'aime en fait c'est que ça explore un petit peu plusieurs univers.
Ça va screamer, à la fois il va y avoir des ponts, Ça réunit exactement tout ce qui me plaît dans la musique. Et je trouve que ce clip est extrêmement réussi d'ailleurs. Il a aussi été tourné en pleine période de Covid. C'est pour ça qu'il n'y a pas Nico, le guitariste, qui tourne dedans parce qu'il avait le Covid. C'est un super clip.
[02:36:55] Speaker C: Et quel O porte le batteur ?
[02:37:00] Speaker D: Non, il y a des questions par rapport à sa tenue de scène, au batteur qui porte des espèces de... De résine ? Non, de velours... Ah, rose doré !
[02:37:10] Speaker A: Ah bah oui, écoute, il est shiny, Kévin !
[02:37:17] Speaker C: Je sais qu'il les achète au marché de Marting, mais j'ai pas envie de donner d'infos ! Et c'est là qu'ils en voient, oui.
[02:37:23] Speaker D: Oui c'est vrai !
[02:37:24] Speaker C: Stand 69 ! Le coquinou ! Bah on aimerait beaucoup les revoir, moi j'aimerais bien les recevoir en interview, bon là, c'est plus trop...
[02:37:31] Speaker D: Apparemment ils habitent pas à Paris donc.
[02:37:34] Speaker C: Ouais ouais ouais, bon et puis peut-être qu'ils ont pas envie de nous voir aussi. C'est possible.
[02:37:37] Speaker D: Ah ouais.
[02:37:38] Speaker C: Autant j'aurais tellement de choses à leur raconter.
[02:37:40] Speaker D: Bah, vous avez tellement de points en commun.
[02:37:42] Speaker A: Si tu leur fais l'accent là... Bah.
[02:37:45] Speaker C: Je l'aurai déjà fait.
[02:37:45] Speaker A: C'est peut-être pour ça qu'ils viennent pas.
[02:37:48] Speaker B: Ah bah oui, c'est pour ça.
[02:37:49] Speaker C: Cherche pas plus loin.
[02:37:51] Speaker D: En même temps, il faut pas renier ses origines, je veux dire... Bah attends.
[02:37:54] Speaker C: C'Est vrai qu'ils ont un accent aussi. Ils l'ont, l'accent, je veux dire. Quand sur scène, ils parlent au milieu des chansons.
[02:37:59] Speaker D: Sur scène, il y a un effort pour pas trop l'avoir.
[02:38:01] Speaker C: Mais il y a quand même un peu...
[02:38:02] Speaker D: Il y a quand même des mots où ça ressort. C'est toujours pareil. Un peu rose. Rose.
[02:38:05] Speaker C: Oui, m'a gâté.
Et c'est normal, c'est beau, ça sent.
[02:38:14] Speaker A: Bon le sable chaud. Et du coup, tu veux parler du MarxFest ? Oui, c'est du 10 au 12 novembre à Marseille. Et c'est super cool parce que... C'est trois jours ? C'est trois jours, ouais.
En fait, t'as le dimanche où il va y avoir plus des compétitions de BMX. Ils sont un petit peu partis sur ce délire-là. Et sinon, en tête d'affiche, t'as Rise of the North Star, que vous connaissez un petit peu.
Il y a Pelface que j'avais hésité à mettre aussi d'ailleurs dans les clips que j'aime beaucoup. Pareil groupe. Ah non je ne les ai pas découverts au Hellfest, je les ai découverts en première partie de Counterparts. Et c'était à la maroquinerie aussi je crois.
Et qu'il y a d'autres novellistes, très cool. D'ailleurs on parlait de femmes dans le métal et ils ont changé de chanteuse. C'était un chanteur, maintenant c'est une chanteuse. Je n'avais pas rêvé, ils ont recruté une femme du coup. D'ailleurs ce sera leur première date avec le nouveau line-up au MarxFest, donc ce sera bien cool.
[02:39:13] Speaker C: Tout le monde il doit y avoir.
[02:39:14] Speaker A: Resolve ou sinon il n'y a pas Resolve ? Oui il y a Resolve, il n'y a pas Ten malheureusement, ils ne sont pas dispo.
[02:39:22] Speaker D: Ten 56, qui ne savent pas.
[02:39:24] Speaker A: Oui pardon, je suis la meuf.
[02:39:27] Speaker D: Le chanteur de Ten 56 qui est venu faire un feat avec Resolve hier ?
[02:39:31] Speaker A: Oui il était sur scène hier.
[02:39:33] Speaker C: C'est vrai que j'en jouais à Resolve, on n'en a pas parlé.
[02:39:35] Speaker A: Oui c'était super cool.
[02:39:37] Speaker C: J'étais un peu deg de ne pas aller voir parce que je ne les ai pas vus au Hellfest.
On a bien envie de regarder ça.
[02:39:44] Speaker A: Il y avait énormément d'ambiance. Franchement, c'était très, très, très cool.
[02:39:48] Speaker C: Est-ce que les gens ont volé dans tous les sens ?
[02:39:50] Speaker A: Beaucoup, oui. Il y a eu beaucoup de slams. Non, c'était très, très bien.
[02:39:54] Speaker C: Et puis à la Marocque, en fait, quand c'est ce genre de groupe, ça peut très rapidement...
[02:39:58] Speaker D: L'ambiance devient vite très chaude.
[02:40:03] Speaker C: Et c'est une salle qui est faite un petit peu aussi pour ça, je pense, non ?
[02:40:05] Speaker D: Je pense.
[02:40:06] Speaker C: Très bonne petite salle qui est juste à côté d'ici.
[02:40:07] Speaker D: Exactement. On ne vous dit pas où on est parce que...
[02:40:10] Speaker A: Je passe ma vie dans le coin. J'aurais mieux fait de dormir ici.
[02:40:13] Speaker D: Pierre, il passe sa vie au petit coin, donc chacun son tour.
[02:40:15] Speaker C: C'est bien chaud aussi.
Pierre, tais-toi ! Pierre, tais-toi ! Alors, on va regarder ce petit clip. Je ne le connais pas d'ailleurs, donc je vais le découvrir avec peut-être plein de gens qui sont sur le chat. N'hésitez pas encore une fois à discuter de Landmarks. Et c'est parti !
[02:40:31] Speaker B: Let's go ! J'ai l'impression que vous n'êtes jamais assez ! Oui, je l'ai ! Chaque minute, je me déplace ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[02:42:35] Speaker C: Sous-titres.
[02:42:35] Speaker B: Réalisés para la communauté d'Amara.org.
[02:43:13] Speaker C: Do you.
[02:43:15] Speaker B: Feel like this ? This ? Mother ! I accept the fact that I feel like this ! I'm lost in the deep, I know I'll go, I won't be like them, I'm leaving you I feel like, I feel like, I feel like death Musique d'ambiance Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[02:48:30] Speaker C: Happy Days, eh oui, ça s'appelle comme ça, Happy Days, c'est le nom.
[02:48:34] Speaker D: Comme la série, mais avec un D.
[02:48:35] Speaker C: Un A, un Z et un E.
[02:48:37] Speaker D: Moi je dirais que c'est de la musique, vaut mieux l'écouter que la regarder.
[02:48:42] Speaker C: En fait j'ai rien à dire sur eux mais c'est juste que j'aime bien cette musique, j'aime bien ce groupe, c'est mignon, c'est à nous, c'est cool.
[02:48:48] Speaker D: Non mais c'est bien, c'est bien, mais le chanteur on a envie de le gifler. C'est con parce que la chanson je la trouve, bon après c'est pas mon style mais tu sais je pourrais... Mais là du coup, maintenant à chaque fois je dois repenser à sa tête.
[02:49:00] Speaker C: Tu veux dire ses cheveux comme ça derrière les oreilles où il fait comme ça ?
[02:49:03] Speaker D: Il ressemble à un youtubeur, je sais pas si tu le connais, qui s'appelle Casey Neistat. Avec des cheveux longs quoi.
C'est pas le mec qui a le physique le plus agréable de la planète.
Non mais c'est pas méchant, c'est quelqu'un de très talentueux. Comme lui d'ailleurs.
[02:49:18] Speaker C: Il semblerait. Après on me connaît moins.
[02:49:20] Speaker D: Bah sa musique est bien en tout cas.
[02:49:23] Speaker C: Très bien. Sans transition Happy Days, on va parler de carcasse.
[02:49:27] Speaker B: Carcasse à part !
[02:49:28] Speaker C: Carcasse remplace !
[02:49:30] Speaker D: J'avais envie de la faire depuis tout à l'heure.
[02:49:33] Speaker C: J'avoue que tu m'as surpris.
[02:49:34] Speaker B: Ah bon ?
[02:49:35] Speaker A: C'est pas si surprenant.
[02:49:36] Speaker C: Mais oh, ça va, je m'en suis surpris.
[02:49:40] Speaker D: Non mais t'as vu comment elle se la fait celle-là ? Ouais, moi je suis influenceuse.
[02:49:44] Speaker A: Je suis de Paris.
[02:49:46] Speaker C: Coucou la commune ! Alors, comment ça va Paris ?
[02:49:50] Speaker D: Si vous voulez manger vraiment des pancakes soufflés délicieux, c'est par ici.
[02:49:54] Speaker A: C'est vrai, j'ai une super recette de pancakes soufflés.
Tu suis ?
[02:49:58] Speaker D: Bien sûr.
[02:49:59] Speaker C: Ah, tu me l'avais montré ça ?
[02:50:00] Speaker D: Non, je t'avais montré les galettes à la courgette.
[02:50:03] Speaker A: Ah, parce que c'était sur du 10.
[02:50:04] Speaker B: 10 ?
[02:50:04] Speaker D: Sur du 10.
[02:50:04] Speaker A: 50, pardon.
[02:50:10] Speaker E: Ben, j'apprécie la petite référence à Carcasse Répare Carcasse Remplace.
[02:50:14] Speaker D: Bien sûr !
[02:50:14] Speaker E: Merci.
[02:50:15] Speaker D: Si je ne l'avais pas fait, tu l'aurais fait, on est d'accord.
[02:50:17] Speaker E: Oui, je l'aurais fait, oui. Parce que j'ai fait une fausse pub Carcasse Répare Carcasse Remplace, justement, que je passe pendant mes streams, donc ouais. J'ai fait plein de fausses pubs comme ça. Mais donc oui, du coup, Carcasse, on va complètement changer de style, là, pour le coup.
[02:50:29] Speaker C: Oh, si peu.
[02:50:31] Speaker D: Si peu, monsieur Sabatino.
[02:50:33] Speaker E: Les Carcasses, groupe de métal extrême qui a été fondé en 85. C'est des jeunes.
[02:50:37] Speaker C: C'est vraiment tout frais. Quand tu les vois, tu vois bien qu'ils sont jeunes.
[02:50:48] Speaker E: Ça fait déjà depuis 85 qu'ils sont jeunes.
[02:50:51] Speaker C: Ils ont toujours eu l'air vieux, non ?
[02:50:53] Speaker E: Ils ont toujours eu des physiques peu avenants, on va dire. Il faut dire ce qui est, mais bon, très talentueux. Et puis surtout, en fait, ils ont été, c'est un groupe anglais, et ils ont été pionniers tour à tour de deux genres dans le métal extrême. Donc premièrement, le grindcore et plus particulièrement le goregrind, avec des textes d'inspiration médicale pour eux.
C'est pour ça qu'il y a des gens qui se demandaient lequel dans le groupe était étudiant en médecine. Je sais même pas si on avait vraiment un qui était toubib, mais en tout cas il s'inspirait vraiment de... Toubib.
[02:51:22] Speaker D: Or not toubib !
[02:51:25] Speaker C: Mais c'est vrai, c'est intéressant. C'est fou. C'est un truc de ouf. Lui, il raconte quoi ?
[02:51:33] Speaker D: Bah en fait, il raconte comment faire des opérations. Donc il dit, d'abord il faut désinfecter, ensuite on coupe avec l'escalpel, attention à passer entre les deux côtes.
[02:51:44] Speaker C: C'est marrant, c'est une sélection de mots comme ça ?
[02:51:46] Speaker D: Ah bah ouais, parce que moi j'ai pas le faire, mais c'est la même, mais avec du rôle.
[02:51:49] Speaker E: C'est d'oublier le carcasse, voilà, c'est exactement ça.
Donc ouais, pionnier du Goregrind et puis ensuite pionnier du death metal mélodique avec leur quatrième album qui s'appelait Hardwork qui est sorti en 93 et qui a été en fait un album qui a beaucoup changé et qui a été une preuve un petit peu d'audace d'adoucir leur son à l'époque chose que la plupart de leurs fans ont vraiment boudé mais qui est devenue culte assez rapidement et puis qui s'est vérifiée en plus avec le temps. Donc c'est un album qui adoucit un petit peu les compositions, qui a des inspirations beaucoup plus heavy, parfois t'as l'impression d'entendre du Maiden mais en version death metal avec les mêmes harmonies, les mêmes rythmes, des choses comme ça. Il y a à l'époque aussi dans le line-up, il y avait le guitariste Mickaël Lamotte qui a fondé ensuite Arch Enemy.
[02:52:36] Speaker D: Aucun rapport avec Martin Lamotte ? Aucun, absolument aucun.
[02:52:41] Speaker C: N'y avait qu'une marmotte ?
[02:52:43] Speaker B: Non.
[02:52:43] Speaker C: Voilà, on continue.
[02:52:45] Speaker A: J'ai failli la faire, mais bon, je.
[02:52:49] Speaker C: Me suis dit que ça allait être fait. Ah c'est bien, au moins comme ça tu te rédifices.
[02:52:52] Speaker D: Tu peux garder ta dignité, c'est bon.
[02:52:54] Speaker C: Ça fait longtemps qu'elle est sérieuse.
[02:52:57] Speaker D: Tu sais, nous on a un stade de notre vie, on est plus derrière que devant.
[02:53:03] Speaker C: Dis comme ça, c'est immonde. Donc. Il n'y a aucune transition possible à chaque fois. Donc, Martin Lambert.
[02:53:12] Speaker E: Qui a fondé ensuite Arch Enemy et qui se reconnaît dans cet album de Carcass avec son apport mélodique à la guitare, ses solides guitares et un son qui préfigure déjà ce qu'il va faire avec Arch Enemy. L'album est devenu culte et hyper influent pour toute la scène death metal mélodique qu'il a suivi ensuite, donc tous les In Flames, les Dark Tranquillity, les Soulworks, évidemment Arch Enemy qui descend directement du travail de Michael Hammond sur Carcass.
Et puis dernièrement, un autre facteur qui fait que cet album est devenu culte, tout simplement sa pochette, qui est la photo d'une oeuvre de Hans-Rudi Giger, le créateur du xénomorphe d'alien, avec son style très biomécanique.
[02:53:56] Speaker D: Il y a beaucoup de verges chez Hans-Rudi Giger.
[02:54:00] Speaker C: Un vrai suisse.
[02:54:01] Speaker D: Il a aussi fait le pied de micro de Jonathan Davis. Coïncidence ?
[02:54:06] Speaker C: Non, c'est pas lui qui était suisse.
[02:54:07] Speaker D: Si, il est suisse.
[02:54:08] Speaker C: Bon bref, on s'en fout.
[02:54:09] Speaker D: Il est petit d'ailleurs.
[02:54:14] Speaker C: Il est quelle heure ?
[02:54:18] Speaker A: Il est l'heure de rendre l'antenne.
[02:54:19] Speaker C: Je faisais un coup de cheval et les heures d'émission étaient vraiment incroyables. Donc oui.
[02:54:26] Speaker E: Donc oui, Carcasse avec le morceau Artwork qui a été illustré d'un clip à l'époque qui a dû beaucoup tourner, j'imagine, genre dans MTV Headbangers Ball, des choses comme ça. C'est un clip qui a pas mal tourné, qui est vraiment dans l'esprit de la pochette, de la déa de l'album et qui a aussi un petit peu fait date. Donc voilà, Artwork de Carcasse, album culte, album très influent et qui fête cette année ses 30 ans.
[02:54:52] Speaker D: Et du coup, artwork, il y a un jeu de mots entre artwork, donc l'art, et là c'est art, le cœur.
H-E-A-R-T. C'est très dur à dire.
[02:55:04] Speaker C: Je ne sais pas. Donc c'est pour ça que je ne vais pas le lancer. D'accord. Tu veux le faire ?
[02:55:08] Speaker D: Bah j'ai le choix.
[02:55:09] Speaker C: Allons-y.
[02:55:10] Speaker D: Ah bah vas-y, vas-y, vas-y.
[02:55:11] Speaker E: Allons-y du coup. Carcasse, artwork.
[02:56:39] Speaker B: C'est la mort, c'est la mort, c'est la mort ! J'ai l'impression qu'il me reste un peu, une demi-glace, de l'enflammement, de l'enfer ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Nous avons besoin d'un héros Dans un pays magique de Hyrule Un héros guéri par l'Arc de Sangre Avec le pouvoir pour sauver la vie J'espère que vous avez apprécié cette vidéo, si c'est le cas n'hésitez pas à vous abonner à la chaine, C'est parti pour le tour de l'année ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org La gloire du Maître est toujours là ! Avec les pierres de la puissance Et le rêve mystique Avec les grandes terres de l'Ironie libres Voyons nos arroses voler La victoire n'est pas terminée Et les étoiles s'éloignent Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[03:03:42] Speaker C: Et alors ? Et alors ?
[03:03:44] Speaker D: Et alors j'ai le droit, j'ai le.
[03:03:45] Speaker C: Droit, j'ai juste le droit moi d'aimer Dragon Force. Je suis un vrai fan moi.
[03:03:49] Speaker B: Ok ?
[03:03:49] Speaker C: Je me suis battu.
[03:03:50] Speaker D: Je vois bien, t'as joué tous les solos là. Et il y avait les petites lumières pareilles.
[03:03:54] Speaker C: Bah... T'as vu d'où ça partait ? Ah bah... Hé petite lumière jaune. Rayon du cul ! Le rayon du cul. J'en ai fait un tout à l'heure, il était pas mal. Tu m'en as parlé déjà. Non mais j'ai...
[03:04:06] Speaker D: Si je sais parce que quand je suis arrivé... Alors...
[03:04:10] Speaker C: C'est la fin d'émission, il n'y a plus le temps pour une carrière, c'est bon.
[03:04:12] Speaker D: Pour tout vous dire, tout à l'heure je suis arrivé dans le studio, après le petit happening de Pierre qui faisait semblant de dormir. Je savais qu'il n'allait pas bien parce qu'il avait mis le ventilo vers lui. Donc ça, ça veut dire que j'ai chaud alors qu'il ne faisait pas assez chaud.
[03:04:25] Speaker C: Non, mais j'avais très chaud.
[03:04:27] Speaker D: Mais là où j'ai tout compris, c'est quand je suis arrivé qu'il y avait un ventilo devant les toilettes.
[03:04:30] Speaker B: Et.
[03:04:33] Speaker D: Là, j'ai fait ah !
[03:04:34] Speaker C: Et le lendemain de fête ? Caca qui fouette. C'est bien connu.
[03:04:41] Speaker D: Je sais pas moi, ça m'est jamais arrivé.
[03:04:42] Speaker C: Ah oui, évidemment. Non mais là, je pense qu'il y a tout qui est ressorti mais dans ma merde. Ah ouais. D'ailleurs, j'ai même pas fait dans l'eau, c'était collé partout autour.
Bon alors... T'es heureux d'être venu cruiser un volcan plutôt de type explosif que effusif ?
[03:04:59] Speaker E: On l'appelle le Mont-Saint-Hélène normalement.
[03:05:03] Speaker C: Ben Bang est une émission culturelle ! Oui, excuse-moi, j'étais en train de dire, je me suis dit peut-être que quelqu'un a dit non, mais moi j'aime bien, mais non. Non, mais ça marche quand même très bien pour Dragon Force 1. Enfin, ils ont encore changé de...
[03:05:32] Speaker D: Alors je voudrais juste, il y a Cublicorn qui vient de nous écrire pour la première fois et qui vient de dire, putain les gars, s'il m'air, je vais passer à table.
[03:05:39] Speaker C: Eh bien avec nous, bon appétit ! Bon appétit et heureux de nous rejoindre. Ah oui, ça devait être content du voyage. La prochaine fois, je ferai une photo. Non, je plaisante, je ne peux pas faire ça.
[03:05:48] Speaker D: Volcanus.
[03:05:50] Speaker C: Faut se penser aux Vésuves.
[03:05:51] Speaker D: C'est Boulinosaur qui vient de nous poster ça, j'adore.
[03:05:55] Speaker C: Boulinosaur qu'on embrasse très fort évidemment. Mais Dragon Force voilà bon je sais pas mais j'ai rien à dire dessus, c'est technique, ils ont des ventilos sur scène, il y a des cheveux. C'était ça le lien avec Carcasse.
[03:06:05] Speaker D: Carcasse remplace les cheveux.
[03:06:09] Speaker C: Très bien, c'est la fin de cette émission. Voilà. Merci beaucoup.
[03:06:12] Speaker B: Voilà, c'est fini.
[03:06:14] Speaker C: La fin de l'émission.
Voilà, c'est fini. Ça fait longtemps.
Ça fait très longtemps. Merci beaucoup Marie d'être venue. Tu peux repasser quand tu veux. De toute façon, j'ai l'impression qu'on va se voir un petit peu plus souvent. Oui, avec plaisir.
[03:06:30] Speaker D: Maintenant qu'elle sait où c'est, qu'elle sait que c'est pas dangereux. Enfin, ça va.
Ça s'est bien passé.
[03:06:48] Speaker C: Bref, merci Chris ou EnjoyTheNoise, je vais taper EnjoyTheNoise comme ça moi. Merci Chris et EnjoyTheNoise.
[03:06:58] Speaker E: J'ai été muté du meuble à Chris ou EnjoyTheNoise.
[03:07:01] Speaker D: Bah écoute, ça va varier, ça sera d'une fois sur l'autre. Je rappelle que tous les liens pour retrouver nos invités sont dans la description, donc n'hésitez pas à aller les suivre sur leur réseau. Donnez-leur de la se-fort, comme on dit dans le milieu.
[03:07:17] Speaker C: J'ai des jeunes.
[03:07:20] Speaker D: Ah t'es jeune ?
[03:07:21] Speaker B: Non.
[03:07:21] Speaker D: Non mais toi tu connais, t'as des followers jeunes.
[03:07:23] Speaker A: Moi non, ils ont mon âge. C'est des vieux comme moi.
[03:07:26] Speaker D: Oui mais t'es pas vieille.
[03:07:28] Speaker C: Moi, ce que je regrette un peu, c'est qu'il n'y ait pas plus de femmes qui suivent Restless et qui se manifestent pour dire ce qu'elles pensent et ce qu'elles veulent. Je trouve ça dommage. Après, c'est très masculin, notre audience, quand même. Moi, très féminine, donc bon.
[03:07:45] Speaker A: Allions nos forces.
[03:07:46] Speaker D: Après, tu sais, Pierre, c'est normal. Elles sont tout le temps dans la cuisine et tout. Elles sont occupées à faire la vaisselle.
[03:07:51] Speaker E: Ben voilà pourquoi il n'y en a pas.
[03:07:52] Speaker C: Ben oui, c'est parce qu'elles sont trop.
[03:07:56] Speaker D: Occupées à faire la cuisine.
[03:07:57] Speaker C: Elles font de bons petits plats pour leurs bons petits marais, c'est ça ? Qu'elles attendent patiemment du retour du travail ? C'est une blague évidemment mais je précise parce qu'apparemment il y a des gens qui ne peuvent pas comprendre.
[03:08:16] Speaker D: Ah d'accord. Ah ouais bah ça il y en a un paquet.
Heureusement nous on l'est pas.
[03:08:26] Speaker C: Le haut du panier ! Et quel joli panier garni ! On n'a pas élevé les couches ensemble ?
[03:08:59] Speaker B: Non.
[03:08:59] Speaker C: C'est bon, voilà. On va se quitter sur Poppy.
[03:09:01] Speaker D: Ah !
[03:09:02] Speaker C: Poppy, Poppy, P-O-P-P-Y-A-M-P-O-P-P-Y-A-M-P-O-P-P-Y-A-M-P-O-P-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-O-P-P-.
[03:09:24] Speaker D: Moi, que ça mélange tous les styles, ça me pose aucun problème. C'est pour ça que j'aime Poppy, parce que depuis le début, c'est ce qu'elle fait. Mais là, je ne sais pas trop, je trouve que ce n'est pas très catchy, ce n'est pas très machin. Poppy qui ouvrira pour Bad Omens à...
La salle Playel en février.
[03:09:46] Speaker C: Ah putain, à Playel ? Ah cool, à Playel !
[03:09:48] Speaker D: À Playel à Louvre.
[03:09:48] Speaker C: Attends, Bad Omens, ils y vont à Playel ?
[03:09:49] Speaker D: Ouais, avec Poppy en première partie.
[03:09:52] Speaker C: Non, ça j'ai compris, mais... Parce qu'ils.
[03:09:53] Speaker D: Sont sur le même label, ils sont chez Sumerian.
[03:09:55] Speaker B: Ah...
[03:09:57] Speaker C: Voilà, voilà.
[03:09:58] Speaker D: Moi, j'aimerais bien qu'on ait... Moi, j'aimerais.
[03:10:00] Speaker E: Bien qu'on ait Poppy.
[03:10:02] Speaker D: Moi, j'aimerais bien qu'on ait Poppy en session.
[03:10:04] Speaker C: C'est marrant, tu ne me l'avais pas dit.
[03:10:05] Speaker D: Moi, j'aimerais bien qu'on ait Poppy en session.
[03:10:08] Speaker C: Eh bien, écoute, on va commencer... Ou.
[03:10:11] Speaker D: Bad Omens, mais bon, je préfère la Poppy quand même.
[03:10:13] Speaker C: Oui, j'imagine.
[03:10:14] Speaker D: Après, pour les audiences, il vaudrait mieux Bad Omens.
[03:10:16] Speaker C: Il y en a un qui marche un peu plus que l'autre. Quoi que ceci dit, Poppy, ça marche quand même plutôt pas mal.
[03:10:22] Speaker D: Oui, c'est surtout que des sessions, on en fait pour. Donc là, si on en a une, ça serait ouf.
D'ailleurs, j'en profite, il faut vraiment que vous invitiez tout le monde à nous suivre sur les réseaux, parce qu'en fait, c'est tout con, mais si on commence à avoir des chiffres un peu gros sur YouTube, tout ça, on va avoir des gros artistes. Là, les attachés de presse n'attendent que ça. Ils sont là, oui, non, mais c'est bien ce que vous faites, mais bon, il faudrait un petit peu plus d'audience. Ils nous le disent pas comme ça, mais on a compris que c'est ça.
[03:10:52] Speaker C: Que ça voulait dire.
Non mais on vous adore, ils vont venir vous inquiéter pas. Ah non mais c'est très qualitatif ce.
[03:10:57] Speaker D: Que vous faites, c'est très qualitatif. Mais bon, si les gens le regardaient, ce serait mieux.
Donc il ne tient qu'à vous les amis.
[03:11:05] Speaker C: Un gros bisou à tous les attachés de presse qu'on aime de tout notre cœur.
[03:11:08] Speaker D: Bah bien sûr, on sait que c'est pas vous qui décidez.
Non mais je veux dire, ils ont des comptes à rendre aux artistes.
[03:11:13] Speaker C: Sinon, ils donnent des stats sur nous, donc après l'artiste il fait...
[03:11:18] Speaker D: Alors attendez, je vais aller faire Quotidien où on va me péter à la gueule mais que ça fait des grosses audiences, ou je vais faire Restless où je vais être respecté.
[03:11:32] Speaker C: C'est normal, c'est normal, il faut gagner des sous.
[03:11:33] Speaker D: C'est le jeu ma pauvre Lucette. Mais nous on gagne plein de sous donc ça va.
[03:11:37] Speaker C: Bah oui d'après les gens en tout cas on en gagne beaucoup. On s'en fout plein les fouilles. Et la dernière fois je disais merci aux 4000 personnes qui nous suivent sur Instagram, bah on est passé à 5000. Donc à priori ça nous a fait plaisir.
[03:11:48] Speaker D: Merci aux 5000 et puis comme ça on sera 6000 la semaine prochaine.
[03:11:51] Speaker C: C'est ce que j'espère mais... Faites un effort.
[03:11:54] Speaker E: Dis encore un truc sur Ayana Kamoura, on sera 7000.
[03:11:58] Speaker C: Non on peut faire un truc qui marche...
Jul.
Mais ça, si on dit de la merde, les gens sont d'accord.
[03:12:04] Speaker D: Y'en a qui m'ont reçu.
[03:12:07] Speaker C: Bon, Poppy, merci encore une fois à vous deux. Merci à vous. Passez une bonne semaine. À très bientôt. Merci pour tout ce que vous faites. Merci beaucoup.
[03:12:15] Speaker D: Vous êtes formidable.
[03:12:16] Speaker C: Tu es magnifique. Tu es très beau aussi. Et puis toi, t'es extraordinaire.
[03:12:20] Speaker D: Merci, Pierre, mais pas autant que toi.
[03:12:23] Speaker C: Je sais.
[03:12:24] Speaker D: Tu restes la merveille, le soleil de cette émission.
[03:12:26] Speaker C: Merci.
Je commence un peu à sentir l'aile par contre.
[03:12:30] Speaker D: Ça commence pas, t'inquiète. Allez c'est parti, on se quitte sur un petit popy.
[03:12:35] Speaker C: Nous vous aimons fort fort fort. Bonne semaine, bon courage.
[03:13:03] Speaker B: J'ai l'impression d'être dans un film d'horreur.
Mais je ne peux pas aller très loin Passez un tour dans le parc Et le week-end, vous m'attrapez en travaillant sur mon voiture Je me suis réveillée et j'ai vu ce que c'était Vous avez pensé que c'était dur Mais ça s'est crumplé avec un touch Fort, mon corps est si fort Il suffit juste de tirer sur le marquage, tirer sur le marquage J'ai gardé mes doigts si clairs.
[03:15:13] Speaker C: Pour le spectacle.
[03:15:16] Speaker B: Et voilà, c'était mon souvenir.
[03:15:33] Speaker A: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. N'hésitez pas à vous abonner.