#23 - Audrey SeFaireFood et Alex (The Prestige et New Favourite) en invités

Episode 23 November 05, 2023 03:57:57
#23 - Audrey SeFaireFood et Alex (The Prestige et New Favourite) en invités
Bang!Bang! RSTLSS
#23 - Audrey SeFaireFood et Alex (The Prestige et New Favourite) en invités

Nov 05 2023 | 03:57:57

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Show Notes

Dans cet épisode, Enjoy The Noise et Pierre profitent de l'absence de Ben pour parler cuisine et Metal avec la plus grande spécialiste des 2 genres ! En vrai, les différents livres sortis par SE FAIRE FOOD nous ont bien évidemment plus, fait marrer et du coup, on se devait d'en parler en direct avec SE FAIRE FOOD ! Ensuite, Alex est notre ami, notre spanish member et ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas vu, l'occasion de faire le point sur THE PRESTIGE !

Ben, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Retrouvez toutes les émissions en podcast sur breastless.com. [00:00:20] Speaker B: Bang ! [00:00:20] Speaker C: Bang ! [00:00:21] Speaker D: Et oui, c'est comme ça. Tous les dimanche soir en live sur Twitch à partir de 19h30. [00:00:25] Speaker B: En théorie, en théorie. [00:00:30] Speaker D: J'avoue, je suis coupable. Je présente mes excuses. Je suis extrêmement coupable. Je me suis levé tôt. Et quand je me lève tôt et que je prépare trop, du coup j'arrive en retard. [00:00:38] Speaker B: C'est très logique effectivement. Ça reste comme ça. [00:00:41] Speaker D: Bonsoir, enjoy the noise. [00:00:43] Speaker E: Bonsoir Pierre, comment tu vas du coup ? En t'étant levé si tôt, ça va, pas trop fatigué ? [00:00:47] Speaker D: Je vois que Ben regarde l'émission, je peux lui dire, Ben rassure-toi, il y a beaucoup de matos qui a disparu, c'est normal, j'ai été le donner. quatre coins de la ville pendant toute la journée, ce qui fait que le métro étant très lent, parce qu'on peut imaginer que ça va vite, mais non, il ne va pas si vite. Quand tu fais Boulogne, Saint-Denis, Montreuil, tout ça, pour du matos et puis aller récupérer une saucisse. En fait, au final, tu perds 4, 5, 6 heures de la journée. Et voilà. En tout cas, on fait des énormes bisous à Ilan parce qu'il va nous quitter bientôt. [00:01:14] Speaker F: Il va partir vivre en Australie. [00:01:16] Speaker B: Oh, d'accord. [00:01:18] Speaker D: C'est un beau projet. Il avait l'air très heureux tout à l'heure. Donc j'en suis content. Ce soir, vous le savez, on a un beau programme puisque nous allons recevoir les Butchers Rodeo. Ils vont venir parler de leur actualité. J'ai quelques questions à leur poser parce qu'il y a des choses qui m'intriguent. Je suis comme ça dans le miroir. [00:01:32] Speaker B: Qu'est-ce qui se passe ? [00:01:33] Speaker D: Mais bon, ils vont me donner des réponses. De toute façon, on va bien se marrer. Vous savez, on n'est pas là pour être sérieux en même temps. Nous allons aussi avoir Alex et nous allons aussi recevoir se faire foudre si vous connaissez cette merveilleuse personne qui sur Instagram peut vous offrir tant de bonheur et bien elle sera là avec nous pour discuter bien sûr de son bouquin mais aussi de ce qu'elle fait et de ses goûts musicaux. On l'avait déjà eu pendant le Hellfest et je sais que je vais aimer absolument tous les choix qu'elle a fait parce qu'on a à peu près les mêmes goûts. [00:02:03] Speaker E: Bah écoute, j'ai vu le conducteur, c'est taillé pour toi. [00:02:08] Speaker D: Y'a pas de doute. [00:02:09] Speaker E: Comme si tu lui avais tout soufflé. [00:02:10] Speaker B: Peut-être. Ce qui est certain en tout cas. Peut-être. [00:02:15] Speaker D: Ici on ne force jamais les gens. T'as compris ? Fais ça. [00:02:18] Speaker B: Oui, bon. [00:02:20] Speaker E: J'ai jamais été forcé. Jamais un flingue sur la tempe et tout. C'est toujours avec grand plaisir que je viens. [00:02:25] Speaker D: Avec une pocarte. Help me. Bon, aussi l'événement qu'il y a eu dernièrement, c'est ce concert qui a eu lieu hier soir au Bataclan. C'était le retour de Green Day qui vont sortir leur nouvel album. Green Day qui ont apparemment bien fait plaisir à leurs fans. Ils ont joué 25 morceaux. [00:02:45] Speaker E: C'est quand même bien copieux, effectivement. [00:02:48] Speaker D: En tout cas, tout le monde se plaignait du coup du billet. Mais enfin, ils en ont eu quand même pour leur argent. Et ils étaient vraiment mais hystériques, super cool, hyper généreux. Le public était en trance. On va bientôt vous mettre une vidéo sur notre Instagram. Donc si vous n'êtes pas encore abonné, il va falloir le faire. Vous tapez tout simplement RSTLSS à radio pour nous rejoindre sur nos réseaux sociaux. Du coup, j'ai choisi tout simplement d'en passer. et ils viennent de sortir un tout nouveau clip. Autant la dernière fois j'étais en défense en train de dire, ouais c'est bien, j'ai l'impression que Grindé tu vois, il sait toujours leur son mais il se renouvelle. Bon bah en fait je retire. [00:03:29] Speaker E: Je ne l'ai pas vu donc du coup je pourrais juger impitoyablement sur pièce. [00:03:33] Speaker D: On est là pour être méchants. J'adore Grindé et puis voilà ils me font plaisir avec ce truc c'est juste que le clip bon voilà et puis c'est du Grindé quoi c'est une chose qu'on a déjà entendu. Donc en fait si tu arrives en retard au concert même si t'as loupé ta chanson bah tu la retrouveras plus ou moins dans les autres morceaux. [00:03:48] Speaker E: Oui d'accord. Tu la retrouveras diluée dans 3-4 heures. [00:03:50] Speaker B: Au pire tu chantes les paroles pendant. [00:03:52] Speaker D: Que les autres ils chantent autre chose. [00:03:53] Speaker E: Ouais voilà c'est ça au pire tu diras t'as pas compris. [00:03:57] Speaker D: Ah ça va, je suis arrivé en. [00:03:57] Speaker B: Retard, je suis un peu saoul. [00:03:59] Speaker D: Bon en tout cas j'espère que votre week-end a été bon. Et maintenant on va se régaler les oreilles et les yeux avec ce merveilleux clip de Green Day. Bienvenue à vous ! [00:04:06] Speaker C: C'est parti ! Maybe I got terminal vertigo Slam dance on my face you kid Nonsense is my heroin Rude boy going comatose Top out and I'm adios Maybe I'm in love with the deviant Maybe I got terminal vertigo I defy the signs of a missing link Oh God, I think I'm gonna lose my skull I said look mom, I ain't got no brains I'm a goner and I don't feel no pain I'm stupid and I'm all by myself Cause I'm special and I don't feel no pain C'est trop tard pour mon suicide. Regarde-moi, je n'ai pas de cerveau. Je suis un vieux, et je ne ressens pas de douleur. Je suis stupide, et je suis tout seul. Je suis spécial, Odisseois qui mariposent Tous les assassins Voient la vie en rose Pénissois les espérances Tous les matins du monde Où tout repose L'opinion change L'immersion d'épaule L'opinion change. [00:07:35] Speaker D: La notion de bien-séance. [00:07:36] Speaker C: Que les darons enseignaient Fin du film, dernière séance Leur sonne, les premiers seront les derniers L'opinion change Son fusil d'épaule. [00:07:58] Speaker B: L'opinion change. [00:08:07] Speaker C: Toute philosophie tiens en droit d'eau Sauvez sa peau, sauvez sa peau N'éternions du vrai, n'éternions du faux Toute philosophie tiens en droit d'eau. [00:08:38] Speaker B: Des questions. [00:08:39] Speaker C: Sont bonnes à force, resteront sans réponses À trop fouiller les racines, on s'offre d'adhérence Mais des plaignes et des crises sont tarées Le hasard favorise les esprits préparés L'opinion change L'aversion en épaule L'opinion change Toute philosophie tient en trois mots Sauvez sa peau, sauvez sa peau Les théorions du vrai, les théorions du faux Toute philosophie tient en trois mots C'est incroyable! [00:10:52] Speaker D: Bang, bang, le meilleur du métal, bien sûr, tous les dimanches soirs, c'est comme ça désormais et je pense que vous avez bien pris le rendez-vous. D'ailleurs, on vous remercie de plus en plus nombreux à nous rejoindre sur Instagram, c'est de la folie. D'ailleurs, c'est merveilleux de voir tous ces gens s'insulter. C'est ça aussi Instagram, sinon ils n'ont pas trop l'intérêt. Et puis merci de nous rejoindre aussi sur Youtube et toutes les autres plateformes, ça marche plutôt pas mal et c'est grâce à vous aussi qu'on continuera à recevoir des groupes qu'on aime et qu'on parlera de cette musique bien sûr ! Là, maintenant, tout de suite, on vous avait prévenu, les revoici, mais avec un. [00:11:22] Speaker B: Petit bonus, les Butchers Rodéo ! [00:11:26] Speaker D: Bonsoir messieurs ! [00:11:28] Speaker B: Comment ça va ? [00:11:34] Speaker D: C'est vrai que personne ne sait dire le nom de sa dernière bombe. [00:11:35] Speaker G: On ne sait pas pourquoi t'as fait ça, mais on ne t'a pas demandé. [00:11:38] Speaker D: D'Ailleurs pourquoi t'as fait ça. Je ne peux pas l'expliquer, je resterai discret sur la raison. Tu sais, l'alcool, la drogue et puis après l'imagination. [00:11:48] Speaker G: Comment on l'appelle ? [00:11:49] Speaker B: J'ai essayé de comprendre ce que Pierre. [00:11:51] Speaker D: Elle a dit, du coup j'ai mis des lettres. [00:11:53] Speaker E: J'ai entendu ronfler en dormant, j'ai écrit. [00:11:57] Speaker D: Bon alors messieurs, si ce soir vous êtes là c'est parce qu'on avait envie de parler un petit peu d'actualité et surtout il y a eu un clip qui est sorti il y a de cela trois semaines si je dis pas de bêtises. Et c'est la version piano-voix de cette chanson qui s'appelle Pater Autem. Exactement. Je dis pas de conneries parce que je me suis dit merde je dis de la merde. Moi j'ai pas fait latin donc laisse tomber. [00:12:17] Speaker G: Moi non plus d'ailleurs. J'ai pas été à l'école. [00:12:18] Speaker D: Je sais pas ce que ça va dire. C'est un bon début ! Ça sonne bien ! [00:12:25] Speaker G: C'est un peu comme Rastislas, c'est pareil. [00:12:27] Speaker D: Alors si c'est vraiment pareil, je suis désolé vraiment que ça te soit arrivé. On commence d'abord par cette chanson, c'est surprenant, c'est un exercice qui n'est clairement pas celui de Butcher's Rodeo. On sait que tu sais chanter, ça c'est pas un problème. Mais du coup, c'est quand même... J'étais surpris, je t'avoue qu'au début, la première fois, j'ai trouvé ça compliqué pour moi. [00:12:51] Speaker G: Qu'est-ce qui se passe d'ailleurs ? C'est ça qu'on s'est posé comme question avec le label. On est arrivé avec le morceau, ils ont fait... Ils n'ont pas dit pourquoi, ils ont dit pour qui. J'ai dit pour les gens qui ont envie d'écouter. C'est un peu les arguments du musicien qui ne sait pas trop quoi dire. On en a parlé un soir, et d'ailleurs on parlait d'Arthur pendant le clip, et c'est avec lui qu'on en a parlé en premier. Il a dit que la piano serait mortelle. Et une volonté de vouloir assumer peut-être une transition, ça veut pas dire qu'on va faire des pianos voix de mains, mais un peu plus chanté, d'assumer un peu plus ce qui s'est passé sur N aussi, sur des refrains plus chantés, en français, tout ça. Et juste en fait, l'exercice s'y prêtait bien. On a eu l'opportunité de faire ça avec un super pianiste. [00:13:40] Speaker D: Non mais en fait c'est magnifique. [00:13:42] Speaker G: Et oui, c'est surprenant. [00:13:43] Speaker D: Mais c'est surprenant ! [00:13:44] Speaker B: T'as l'air dérouté, j'suis désolé. [00:13:45] Speaker D: Mais non, j'étais là, j'suis là, p'tain vas-y, je lui ai regardé, et puis je me suis mis, et j'sais pas en fait, parce que bon, c'est une chanson qui était particulière, j'imagine. [00:13:54] Speaker G: On va sortir un making-of qui va raconter un peu pourquoi on a fait ce titre, est-ce que ce titre reprend pour moi ? [00:14:00] Speaker D: Voilà, donc j'imagine qu'elle parle encore plus avec cette façon d'être interprétée. [00:14:05] Speaker G: Sincèrement, c'est vrai qu'il y avait le côté très violent de la version album. [00:14:10] Speaker B: C'est sûr, ça n'a rien à voir. [00:14:12] Speaker G: C'est rare pour Butcher d'avoir un morceau mi-tempo. Alors déjà, dans cet album, ça faisait un peu office d'extraterrestre. Et on s'est dit on va le faire en piano voix histoire de vraiment marquer le coup. Et comme tu le dis, l'émotion était au rendez-vous, ce morceau s'y prêtait plus que bien. Je veux pas gâcher mes King Of, mais j'ai beaucoup pleuré quand même pendant la pause. [00:14:35] Speaker D: Non mais ça se sent, parce qu'en fait on a envie de chialer aussi. [00:14:38] Speaker B: En vérité quand on regarde. [00:14:40] Speaker D: C'est-à-dire que tu sens qu'il y a un truc qui se passe et puis toi tu... Bon alors après comme je te connais, peut-être qu'il y a ça aussi qui... qui fait que mon émotion est un peu plus forte. Et donc du coup tu dis que ça annonce un petit peu des changements. On va parler des changements forcément parce que monsieur est là, enfin il est relà ! [00:15:02] Speaker B: Il est relà, il est revenu à la maison ! [00:15:06] Speaker G: Non des changements non mais juste la volonté d'assumer notre côté musicien tout simplement et pas juste être toujours là où on nous attend et c'est un peu ce qu'on dit c'est mais pourquoi vous avez fait ça mais parce que j'avais le besoin et c'était en plus c'était moi qui étais en lumière avec avec mes potes dans le groupe clairement qui étaient en train de regarder on a partagé ça quand même ensemble et c'était juste une putain d'expérience et puis studio midi live et tout c'était magnifique Tous les gens, enfin tous, des personnes, ou même les lieux dans lesquels on est, qui ont participé à la réussite de ce projet, c'était juste magnifique. C'est bien de finir un album qui. [00:15:43] Speaker D: S'Appelle N avec un morceau comme ça aussi doux, c'est vraiment la fin du cycle. Là c'est fini. Rapproche ton micro quand même parce qu'il faut quand même qu'on t'entende. On te voit bien mais on t'entend pas. Non, c'est vrai que c'est pas quand j'avais pas vu ça comme ça mais c'est vrai que c'est pas mal et puis moi je voyais aussi l'intérêt de faire, de dire en fait pourquoi je ferais pas un truc que j'ai envie de faire. Enfin tu vois à un moment, tant pis, no offense mais vous êtes pas un groupe qui vend 75 millions d'albums donc quand vous faites des trucs, vous avez le droit de le faire. Donc tu vois ce que je veux dire, c'est un petit peu ça aussi. [00:16:15] Speaker G: Ouais, clairement on fait... on fera toujours ce qu'on veut et sans encore une fois vouloir dérouter tout le monde et juste dire bah on est capable de proposer d'autres choses parce qu'on est musiciens avant tout et on est dans une période du groupe où ça fait un petit moment qu'on a un line-up qui est stable où on est en train de se recycler musicalement et on avait besoin d'explorer N jusqu'au bout parce qu'on a même sorti l'exclusivité d'Ignore avec un remix by Arthur avec Dom Terra et puis son ami Xavier qui est sorti cet été, qui est passé un peu inaperçu mais on se rend compte, on sait bien qu'on n'a pas sorti un album depuis deux ans donc c'est sûr qu'au bout d'un moment on passe sous les radars. [00:16:52] Speaker D: Et puis c'est juste qu'on est noyé de musique, c'est très compliqué pour faire un coucou comme ça, c'est très très compliqué. [00:17:02] Speaker G: Mais c'est pour ça qu'on s'est dit, tu vois en plus tu le dis, mais pour se faire remarquer il faut oser donc Yospianovoi il participe aussi. [00:17:11] Speaker D: Non mais c'est bien, donc ça veut dire que vous êtes aussi... Bah toi t'es revenu évidemment, welcome back ! [00:17:16] Speaker B: Merci, merci, merci. [00:17:20] Speaker D: Qu'est-ce qui t'a décidé à revenir ? C'est quoi cette histoire ? [00:17:24] Speaker G: C'est l'amour Pierre, c'est l'amour. [00:17:26] Speaker B: La mûre ? [00:17:27] Speaker D: C'est la mûre d'un frère, c'est la mûre. En fait à la base, Vincent m'a. [00:17:31] Speaker G: Appelé pour faire un fill-in pour le. [00:17:34] Speaker D: Batteur qui m'avait du coup remplacé, Tristan. Et de fil en aiguille, ça s'est. [00:17:40] Speaker G: Transformé en « Et si je revenais ? » et Tristan partait à ce moment-là faire d'autres choses. Très occupé par ses autres projets et on s'est dit en toute sincérité, on s'aime beaucoup et pour pas qu'on gâche cette amitié, il faut qu'on en reste là au niveau du travail. Toi t'as la chef, t'as l'habitué, et Thomas est là, et Thomas est présent, et Thomas a envie, donc il faut bénéficier de ça en fait. Et c'est ce qu'on a fait. Et c'est une très bonne chose. [00:18:11] Speaker D: Toi est-ce que ça t'a remis un peu dans le passé, ça t'a donné un petit peu de pétillant en toi ? [00:18:18] Speaker G: Ouais on brasse toujours le passé tu sais, mais ouais c'est un repère qui revient donc c'est plutôt bien parce que C'est vrai que j'ai été surtout à la manœuvre pendant un petit moment. Avec justement, comme tu dis, tous ces repères du passé qui n'étaient plus là. Il n'y avait plus de Couette, il n'y avait plus de Tonio. Mon frère était arrivé en cours de route, donc ça restait quand même un repère. Mais la base, la jeunesse du groupe n'était plus là. Donc le fait que Thomas revienne, moi ça... J'ai l'impression de revivre un peu le truc comme il devrait se vivre en fait. Voilà, avec mon Thomas, avec les autres, et puis ça se passe très bien. [00:18:53] Speaker D: J'ai envie de te dire qu'on est tous en train de revivre peut-être un petit peu un rebond, donc autant profiter un peu et autant se faire plaisir, ce que parfois on n'a pas fait de par le passé, autant y aller vraiment à fond. Vous avez déjà commencé à composer, à faire des choses ensemble j'imagine ? Est-ce que tu peux en parler un petit peu ? [00:19:10] Speaker G: Oui c'est en cours. [00:19:13] Speaker D: Il faut parler parce que là je veux de l'info ! On a des morceaux en préparation, il y a des exclus qui vont sortir courant 2023. courons 2024 et après fin. [00:19:34] Speaker G: 2024 studio et on rentre en studio. [00:19:36] Speaker D: Pour un album qui sortira en 2025. On va avoir des petits des amuse-gueules et on va pouvoir bien s'éclater. [00:19:43] Speaker G: L'idée c'est comme tu disais tout à l'heure c'est que c'est tellement dur aujourd'hui de rester visible et d'avoir justement d'être dire en fait on n'est pas mort les gars on est là donc on On se sent dans l'obligation de donner à chaque fois un contenu, que ce soit un piano voix ou un nouveau morceau. Ça demande beaucoup d'investissement, beaucoup de financier et puis d'énergie. Mais on est obligé de le faire, si on n'existe plus. [00:20:06] Speaker D: Toi oui, c'est la nouvelle façon de voir les choses. C'est-à-dire tu fais un clip, tu sors un deuxième clip, tu essayes de faire des choses qui sont rythmées en termes de temps pour que ça rebondisse systématiquement. Lorsque le premier s'essouffle, passons au second. [00:20:20] Speaker G: Exactement. Vraiment dans la consommation. [00:20:24] Speaker D: C'est peut-être blessant parfois, mais en même temps, malheureusement, c'est comme ça. Et ça n'empêche pas que les gens puissent aimer le groupe et rester accrochés. Tu vois ce que je veux dire ? [00:20:32] Speaker G: Tu vois, nous ça fait, je ne sais pas, ça fait plus de vingt ans qu'on fait d'Ansic Manon. Cette remise en question... [00:20:37] Speaker B: On a vieilli, on n'a pas eu des cheveux. [00:20:41] Speaker G: Et cette remise en question, elle n'est pas inintéressante parce que du coup, nous, ça nous permet de nous remobiliser autour de ce qu'on aime et de comment on le fait. C'est sûr que quand on se dit à Thomas, tu vas faire des batteries. [00:20:51] Speaker A: Midi, il met de la vie, il. [00:20:52] Speaker F: Ne fait pas des batteries midi. [00:20:53] Speaker G: Bah si ma couille, parce qu'en fait, il faut qu'on aille plus vite. Il ne faut pas qu'on se prenne la tête. On n'a pas des milliers des cents à mettre dans un studio tout le temps. Donc, c'est d'autres manières d'appréhender la musique dans le monde d'aujourd'hui. [00:21:07] Speaker D: Est-ce que ça permet pas aussi, c'est une question un peu con, mais quand tu fais des trucs un peu sporadiquement comme ça, est-ce que ça permet pas aussi de ne plus s'intéresser à la cohésion, à la cohérence de tout l'album et de faire des trucs qui peuvent être très différents ? [00:21:21] Speaker G: Moi je trouve ça cool, ça demande encore une fois beaucoup d'énergie et tout, mais je trouve que c'est un bon moment d'essai en fait. Tu peux tester des morceaux, t'en fous, s'ils marchent pas c'est pas grave. Tu vois, on a fait, je vais reprendre le piano voix, on l'a fait, on est content, il fait pas partie de l'album, c'est pas un truc sur lequel on misait absolument, c'est juste quelque chose qu'on a donné quoi. Bah alors dans le temps de composer des morceaux, y'en a qu'on va retenir pour l'album et d'autres qu'on a envie de sortir au fur et à mesure. [00:21:43] Speaker D: D'accord, donc ces morceaux qui vont sortir en plus ne feront pas partie de l'album, c'est vraiment des bonus... [00:21:47] Speaker G: C'est vraiment des exclusifs. C'est vraiment pour donner à manger en attendant l'album. [00:21:51] Speaker D: Ouais ouais, pour faire vivre le web un peu. [00:21:53] Speaker B: C'est ça. [00:21:53] Speaker D: Parce que bon, la radio et puis tout ça, c'est loin maintenant. [00:21:57] Speaker B: Ça a plus de sens maintenant. [00:21:59] Speaker D: Bon bah c'est cool, donc vous êtes super contents, je vois que vous avez fait quand même quelques dates. Alors, il y a un truc aussi que j'ai pas compris parce que sous la vidéo, Tiano Voix a écrit que Belleville Oise, c'était le 3 novembre, mais c'est le 5 décembre. Le 7, pardon. C'est ça, je me groupe pas, que je dise pas une merde parce que c'est ça l'intérêt, parce qu'on a énormément de Parisiens qui regardent. La date, elle est annulée. [00:22:23] Speaker B: Ah merde ! [00:22:24] Speaker D: C'est pas annoncé mais on va te. [00:22:27] Speaker G: L'Annoncer ce soir, c'est annulé. On va faire une annonce mais on expliquera les raisons de pourquoi c'est annulé mais on a appris ça la semaine dernière et c'est complètement indépendant de notre groupe et je vais répondre tout de suite à la question, vous n'avez pas fait assez de pré-ventes, non ça n'a rien à voir, j'aurais préféré à la limite. [00:22:43] Speaker D: C'est un conflit d'agenda assez incroyable et improbable. [00:22:49] Speaker G: C'est fait, c'est fait. Quand on a eu le coup de fil, on était un peu genre c'est une blague. Quand on a eu le mail déjà, une explication qui fait à peu près 140 000 lignes. [00:22:58] Speaker D: Ah ouais parce qu'effectivement, s'il y a quelqu'un qui doit t'annoncer ce genre de trucs, s'ils ont fait une couille, il y a un moment où il y a un problème. T'as intérêt à bien t'expliquer. Parce que t'as fait de la merde gravement quand même. C'est pas grave, tant pis c'est fait maintenant. [00:23:13] Speaker B: Je. [00:23:15] Speaker G: Te cache pas que c'est très surprenant mais bon, c'est pas comme si on pouvait y faire quelque chose. [00:23:20] Speaker D: Non bien sûr, alors moi qui me vexe comme un pouls, je peux dire que j'aurais même vécu le truc comme un connard. [00:23:25] Speaker G: Ça je vois pas mais... Moi je l'ai un peu traversé, t'sais y'a plein de choses qui arrivent, qui s'accumulent, ce genre de choses t'en as pas besoin en plus. [00:23:36] Speaker D: Oui c'est ça, on est d'accord. [00:23:38] Speaker G: C'est déjà bien, c'est compliqué de faire. [00:23:39] Speaker B: La musique, laissez-nous tranquille ! [00:23:42] Speaker D: Ouais mais vous pouvez, je sais pas, peut-être que vous avez l'occasion de trouver une petite salle, Rapido, j'en connais 2-3. [00:23:49] Speaker G: Non, c'est compliqué. On a posé la question parce qu'ils avaient étudié ça avant de nous lancer, évidemment. On parle de la prod là. Pour nous, c'est pas faisable. C'est pas faisable et c'est pas bien par rapport à ce qu'on a proposé. [00:24:02] Speaker D: Il y a d'autres dates, j'ai vu. Si vous voulez nous voir, il y a l'empreinte à Savigny-le-Temple. [00:24:05] Speaker C: C'est un peu plus loin, mais bon. [00:24:06] Speaker B: T'Es pas non plus. Ça reste Paris. [00:24:08] Speaker G: Petite subtilité c'est qu'en fait on rentre en résidence trois jours avant la date à l'empreinte pour préparer le nouveau show et donc il y aura plein de choses cool quoi qu'on n'a jamais fait. En fait Butcher Rodeo n'a jamais fait de résidence donc on n'a jamais une lumière calée sur la batterie ou ce que tu veux. [00:24:25] Speaker D: Donc là ça va être le show qu'en vérité il ne faut pas rater. C'est celui qui va être vraiment super bien calibré. [00:24:33] Speaker G: On essaie vraiment d'upgrader le show parce qu'on sent qu'aujourd'hui c'est primordial. Là où avant on adorait mettre ça à fond et puis faire n'importe quoi, chasser les mouches avec les manches. Aujourd'hui on peut pas le faire, il faut qu'on soit beau, il faut qu'on raconte une histoire, il faut que ça soit un spectacle. Et on s'est inscrit pleinement là-dedans depuis un an et là on est en train d'en voir un peu le bout. Et c'est cool. [00:24:54] Speaker D: En tout cas moi j'adore. C'est un jeu qui est intéressant et ça fait partie du boulot. Exactement. Ça reste du kiff de faire de la musique mais ça reste un travail. [00:25:03] Speaker G: Tu vas voir qu'on va amener le piano sur la scène. [00:25:06] Speaker B: Ah bah alors là, faites-le. [00:25:09] Speaker D: Par contre, il faut que ce soit la dernière chanson. [00:25:12] Speaker G: J'arriverai même pas à la chanter. [00:25:15] Speaker D: Bon en tout cas, c'est quelle date à l'empreinte ? [00:25:19] Speaker G: C'est le 15 novembre, après on joue le 18 à Auxerre, et ensuite on joue le 24 à Voisins-le-Bretonneux et le 25 à Douai. [00:25:28] Speaker D: Ah oui, il y a de quoi vous voir quand même, il suffit de se bouger un peu le cul comme on a dit. C'est important de soutenir la scène française, c'est important aussi de soutenir les petites salles de concert, alors là c'est peut-être pas que des petites salles, l'empreinte c'est pas une petite salle mais je veux dire vraiment d'aller partout, de ne pas économiser. 250 balles pour aller voir un concert dans l'année. Bon voilà, c'est bien de voir des gros groupes, mais c'est mieux d'encourager les plus petits. [00:25:51] Speaker G: Et puis surtout qu'ils passent un meilleur moment. Je suis entièrement d'accord avec toi, c'est un peu ce qu'on paye en ce moment. Les gens ne vont pas voir tous les concerts qui leur sont proposés autour de chez eux parce qu'effectivement, après on n'y peut rien, ils n'ont pas d'argent, ils n'ont pas d'argent, je comprends. Mais je ne sais pas. [00:26:06] Speaker D: Enfin, dans la logique, ils n'ont pas d'argent. Attention de Paris No Offense. Mais c'est juste que d'aller voir un concert qui coûte 15 euros, c'est pas non plus... [00:26:14] Speaker G: C'est pas le bout du monde. [00:26:16] Speaker D: T'as plein de concerts qui sont quand même pas trop chers. Quand tu vas du côté de Saint-Germain à la Clé, il y a même des moments où si t'es abonné, la place est gratuite. Bon, il y a quand même beaucoup de choses et dans les SMAC et dans les trucs comme ça, t'as quand même des efforts qui sont faits. Et a priori, si j'ai bien compris, le gouvernement est en train de gonfler les sommes données au SMAC, donc c'est plutôt une bonne nouvelle. Maintenant faut jouer dans les SMAC ! Dites-moi un truc, il y a une saturation au niveau du rap, donc qu'ils reviennent au rock, c'est le moment ou jamais. [00:26:49] Speaker G: Putain mais j'aime bien ces informations là. [00:26:51] Speaker D: Je les regarde plus souvent, c'est bien. [00:26:55] Speaker E: C'est une vérité, c'est dans les stats. Tu finis la semaine sur des bonnes nouvelles. On devrait instaurer ça plus souvent. [00:27:02] Speaker G: On en a marre des infos qui nous polluent. Il y a la guerre, il y a la guerre, nous aussi on met la guerre. [00:27:06] Speaker D: Bon bah alors du coup on se donne rendez-vous en 2024 et surtout pour votre tournée. Je n'ai pas plus de questions à poser. Je ne vais pas gâcher le making of. Du coup je me dis c'est con parce que si je commence à gratter trop, ça ne sert plus à rien. [00:27:25] Speaker G: On explique pourquoi on l'a fait, comment on le fait, toutes les difficultés, ce que ça raconte. Un petit reportage de dix minutes qui est franchement super sympa. On était encore une fois dans un super lieu qui s'appelle le Midi-High Studio, entouré de belles personnes. Et c'est ce qui fait que tout ça a été magique. [00:27:43] Speaker D: C'était cool quoi. Merci Boussas encore. [00:27:45] Speaker G: Ça sort, là, à la fin du mois, je pense. [00:27:48] Speaker D: Ok, donc là, incessamment sous peu. De toute façon, il suffit de vous suivre sur les réseaux sociaux. [00:27:51] Speaker G: Dans le mois, là. [00:27:52] Speaker D: Voilà. Bon, très bien. Eh bien, on va passer le piano voix ? [00:27:55] Speaker G: Ouais ! [00:27:56] Speaker D: Bah oui, quand même. Avec plaisir. On en parle, donc je ne vais pas non plus passer une vieille chanson, ce serait complètement con. C'est ça. [00:28:03] Speaker G: Ah si, attends, mais attends. Tiens, tu poses la bonne question. On va, en décembre, c'est les dix ans de notre premier EP, Ghost in the Wildest Space. [00:28:10] Speaker D: Ah oui ! [00:28:10] Speaker G: Et on va ressortir les vinyles, en fait, qu'on n'a jamais sortis. Et on va ressortir l'anniversaire, remixé, remasterisé, avec 50 vinyles vraiment à part, qui sont super beaux. J'ai trop hâte de dévoiler ça, ça va être magnifique. [00:28:25] Speaker D: Non mais il y en a 50 qui sortent, c'est ça ? [00:28:27] Speaker G: Il y en a 50 et après... [00:28:28] Speaker B: Ah ouais donc c'est un objet... [00:28:29] Speaker G: Il y en a 50 qui sont exclusifs avec... D'accord ouais, ok. Vinnie Splatter, je vais pas rentrer là-dedans et tout. Et après 150 qui sont plus génériques, mais magnifiques. Et puis ça va être juste une curie en fait. J'ai trop hâte. [00:28:41] Speaker D: Ah bah j'ai hâte de voir ça aussi. [00:28:42] Speaker B: Mais moi j'ai hâte de la voir, je sais pas quoi te dire. [00:28:44] Speaker D: En fait le mec, en fait il nous fruste. Toi t'es là, t'sais c'est comme ce moment où t'es en train de te branler aux toilettes et t'as ta mère à tape en te disant « Ah. [00:28:50] Speaker B: Je veux rentrer, ah merde, merde, putain ! [00:28:52] Speaker D: » Voilà, c'était un bel exemple. Ça c'est pour faire un autre genre de splatter. [00:28:57] Speaker B: Voilà. [00:28:58] Speaker D: J'ai jamais envie de finir sur une belle note, j'ai tout gâché putain. [00:29:00] Speaker E: Autant finesse. [00:29:02] Speaker D: Ça va encore être repris sur internet et je vais encore me faire insulter. [00:29:05] Speaker G: Mais oui, mais c'est comme ça que ça marche. [00:29:06] Speaker D: Mais c'est comme ça en tout cas que ça rapporte des gens. [00:29:09] Speaker G: Donc fin d'année on sort ça, on va lancer les précommandes fin du mois là. [00:29:13] Speaker D: Ok, donc soyez attentifs, c'est hyper important, The Butchers, Rodéo sont de retour et là ils vont vous en foutre plein la gueule. Aucun rapport avec ce que j'ai dit avant par contre. [00:29:23] Speaker B: Allez on regarde le clip tout de suite. [00:29:25] Speaker D: Cette vidéo donc de ce titre repris en piano voix. C'est magnifique. Merci messieurs. [00:29:30] Speaker G: Merci. [00:29:55] Speaker C: Une étincelle inonde le monde de beauté Tu m'inspires le soleil Allô, prie mon fils Illumine, éclaire Baisse à des noirs de regret Illumine et détruis Si tu m'entends, ne te cache pas Si tu m'entends, ne les suis pas Père nul, libre sans leurs ombres Père nul Leur visage tremble Illumine, éclaire Mes allées noires de regret Illumine et détruis Illumine et claire Mes allées noires de regret Illumine et détruis Celle qui me hante Hante Ennemi ni clans Illumine et claire Illumine et détruire Illumine et claire Illumine et détruire Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org This is not a fight ! Bang Bang ! [00:37:36] Speaker D: Straight from the Path dans Bang Bang, encore une fois le meilleur du métal. Straight from the Path, oui on aime et oui c'est vrai ça a changé, oui bon ok ça va mais n'empêche que sur scène je pense que c'est toujours aussi bon et ce qui est pas mal c'est que d'habitude je me fais chier à chercher à faire gagner des places, j'envoie des mails et tout, ce que je fais assez rarement parce que finalement... pour rien de ma vie mais bon voilà. Et là ils nous ont contactés, ils ont dit ben voilà on connaît, on a vu qu'il se passait un truc du coup ça vous dit de faire gagner des places. On en a deux donc on en file deux. Il y en aura deux à gagner donc si vous allez sur notre Instagram ou si vous avez envie de jouer immédiatement vous pouvez le faire en envoyant un petit mail tout simplement à pierre.restless.com, c'est pas compliqué. Vous ne mettez rien, juste tranquille, un nom, un prénom, ça suffira. Je veux pas des photos comme la dernière fois, parce que c'était parti en mode grunge. [00:38:25] Speaker E: Il y a eu des candidatures un peu folkloriques. [00:38:27] Speaker B: Bon, des gens que je connais. Ça va de soi, je me suis dit, bah tiens, évidemment. [00:38:33] Speaker D: Mais voilà, Stray From The Path qui seront en concert, ne me demandez pas la date, c'est cette semaine, je crois que c'est samedi ou dimanche, ou un truc comme ça. [00:38:41] Speaker E: C'est quand c'est imminent qu'on connaît plus la date. [00:38:43] Speaker D: J'ai appris hier, ce que j'ai fait c'est que j'ai mangé une raclette, c'est tout ce dont je me souviens. [00:38:50] Speaker E: Bon ça va, c'était pas dégueu comme programme. [00:38:52] Speaker D: Ah non, non, pas du tout. Puis je regarde... Non, je ne peux pas dire ce que j'ai regardé. [00:38:55] Speaker B: Non, ça n'a rien de ça. [00:38:56] Speaker D: C'est juste que je pense que ce n'est pas vraiment un sujet très joyeux en ce moment en tout cas. Mais ça m'intéressait parce que c'était scientifique, politique. Il y avait quelque chose de très intéressant. [00:39:06] Speaker F: C'est les 30 ans de Taratata. [00:39:11] Speaker B: J'imagine tellement, vous avez entendu sa voix. [00:39:15] Speaker D: C'Est Alex bien sûr, bonsoir ! [00:39:17] Speaker B: Vous voyez cette dame qui est là, oui ! [00:39:20] Speaker D: Alors je t'appelle comment ? Je t'appelle Audrey ou je t'appelle SeuFairFood ? [00:39:23] Speaker A: Audrey c'est mieux. [00:39:24] Speaker D: Audrey c'est le nom SeuFairFood, mais on. [00:39:25] Speaker A: Va le répéter souvent. [00:39:27] Speaker D: On va le répéter souvent, alors Alex... [00:39:29] Speaker A: C'est pas une insulte, ça passe quand même ça, SeuFairFood. [00:39:32] Speaker D: Moi je te l'ai dit, quand on était au LFA, j'ai fait attends, il y a un moment, quand je vois qu'Alex s'appelle SeuFairFood, je suis obligé d'être pote avec. Parce que oui, c'est second degré, on en avait parlé. T'aimes l'humour, t'aimes justement le fait qu'on ne se prenne pas la tête. Il y a des gens qui n'aiment pas l'humour ? [00:39:48] Speaker B: Oui. On en a parlé aussi. Sujet sensible. [00:39:52] Speaker D: Il y a des gens qui ne comprennent pas l'humour. C'est peut-être différent. [00:39:56] Speaker A: Les jeux de mots débiles, c'est peut-être différent. Ça, c'est mon créneau. [00:40:00] Speaker D: Comme je l'ai mis juste là, c'est le bouquin qu'on a reçu. C'en est un des deux, parce qu'il. [00:40:04] Speaker A: Y en a deux, c'est ça ? En fait il y en a eu un tome 1, un tome 2 et ça c'est mon Black Album à moi. J'ai le droit d'avoir mon Black Album et donc c'est le Ultimate qui regroupe le tome 1, le tome 2 plus 10 recettes supplémentaires. Parce qu'il faut expliquer le concept, c'est quand même un livre de recettes. [00:40:21] Speaker D: Oui, oui, c'est ce que j'allais y venir mais... [00:40:25] Speaker F: C'est bien pire parce que c'est des choses que tu ne pourras jamais faire toi. [00:40:27] Speaker D: Des recettes ? [00:40:29] Speaker B: Bah non, ça c'est sûr. Est-ce qu'il y en a qui se. [00:40:31] Speaker F: Mettent au micro-ondes ? Parce que c'est le plus loin qu'il. [00:40:33] Speaker B: Est capable de faire. Non, sa recette préférée c'est, il prend. [00:40:36] Speaker F: Un bout de pain, il met de. [00:40:37] Speaker B: La mayonnaise et il met au micro-ondes. Et pour lui c'est une pizza. C'est pas beau ce qu'il dit ! [00:40:43] Speaker A: Il y en a beaucoup qui les offrent à leurs potes pour que ce soit leur pote qui cuisine. [00:40:47] Speaker D: La bonne fratte ! J'adore parce qu'effectivement chaque recette a son petit jeu de mots avec des groupes de métal et c'est un très bel objet ceci dit quand tu regardes... Mais quand je l'ai reçu, je m'attendais à un livre de recettes assez simple, rapide. Mais non, c'est un bel objet. Il y a une très belle mise en page. C'est aussi chic que tout ce que tu fais sur Instagram aussi. [00:41:15] Speaker A: Je fais les illustrations, la mise en page, tout. [00:41:17] Speaker D: C'est toi qui as tout fait. Ah ouais, putain, tu m'étonnes, tout à l'heure on me disait « Tu sais, c'est du travail ça ». « Oui c'est du travail, mais enfin. [00:41:25] Speaker B: On travaille tout ça un peu, ça va ». [00:41:27] Speaker D: Des gens derrière ça je savais que c'était pas possible parce qu'aujourd'hui ça n'existe plus. [00:41:30] Speaker A: Non, surtout dans le milieu d'édition on fait comme ça. [00:41:33] Speaker F: Ça j'adore, les Ramones. Moi je valide à 200%. [00:41:38] Speaker A: J'avais pas de jeu de mots en espagnol. [00:41:40] Speaker B: Merci c'est gentil, ça me touche. [00:41:41] Speaker F: Avec à chaque fois un titre à écouter en même temps qu'on fait à manger. [00:41:45] Speaker A: Il y a une playlist en plus qui existe pour écouter en cuisinant. C'est un multi-concept en fait ce bouquin. [00:41:52] Speaker D: C'est génial. [00:41:52] Speaker A: Il y a de tout, il y a le jeu de mots. [00:41:54] Speaker D: Après t'as dû encher aussi pour le faire parce qu'il y en a quand même un paquet. [00:41:59] Speaker B: Ah oui, ça touche quand on a douleur. En fait, il y a des blagues. [00:42:04] Speaker F: Tout le temps, donc c'est très dur de lire. Je ne sais plus ce qui est servi, en fait, dans le livre. [00:42:09] Speaker B: Il y a des jeux de mots à chaque page. [00:42:11] Speaker F: Les apéros Smith, pour tous les skis apéros. C'est génial. [00:42:16] Speaker B: Non, mais j'adore. [00:42:17] Speaker D: En plus, c'est beau, quoi. Très, très beau. Et ça donne envie. C'est vrai que moi, je ne cuisine pas. Parce que je n'ai pas le temps, évidemment, parce que je passe mon temps à dormir. T'as le talent, mais t'as pas le temps. [00:42:26] Speaker B: C'est ça qui est dingue, quand même. [00:42:29] Speaker F: La vie est mal foutue. [00:42:32] Speaker D: Je ne rebondis pas, parce qu'en fait ça y est il m'a énervé. [00:42:35] Speaker B: Tout à l'heure je disais autre chose que je suis quelqu'un qui se vexe pratiquement, mais ça y est là, ça arrive. [00:42:41] Speaker D: Il a de la chance, je l'aime de tout mon cœur. Mais donc du coup, pour en revenir à ça aussi, je t'ai demandé de faire un exercice qui j'en étais sûr allait me plaire énormément, parce que ça aussi quand on est au Hellfest, on s'est entendu là-dessus, de choisir des morceaux pour en discuter et nous raconter un petit peu Pourquoi t'as fait ce choix dans l'histoire et dans ce que ça t'a apporté dans ta vie ? [00:43:02] Speaker B: Alors bah, le premier, bon... Corne ! [00:43:08] Speaker A: T'aurais dû faire un roulement de tambour. [00:43:10] Speaker B: À 3 mois, tu sais ! [00:43:11] Speaker D: On a pas encore tous les... On a des petits boutons de l'autre. [00:43:14] Speaker F: Côté là-bas, pourtant il y a Thomas. [00:43:15] Speaker B: On peut lui demander de faire un roulement, Thomas, ça devrait aller. [00:43:18] Speaker D: Mais ouais, Korn avec Adidas évidemment, d'actualité en plus, puisqu'ils ont sorti, enfin ils ont sorti, non, Adidas a sorti leur série limitée Korn. [00:43:28] Speaker F: Qui est la série limitée Manu Chao. [00:43:30] Speaker D: Du coup aussi ? Il portait pas d'Adidas ? [00:43:34] Speaker F: Bah si ! [00:43:34] Speaker B: Il avait des Adidas ? [00:43:35] Speaker F: Il avait une veste Adidas non ? [00:43:36] Speaker D: Mais tu veux que je te raconte la vraie histoire de Manu Chao ? Elle n'est pas cool. [00:43:40] Speaker F: Raconte-moi alors, quand tu me regardes comme ça, je veux connaître la vraie histoire de Moncho. [00:43:43] Speaker D: C'est pas un gentil. Non, c'est pas un gentil. Cornes, c'est sûrement pas des gentils non plus, mais je pense que c'est plus des cons que des méchants. [00:43:51] Speaker B: Ça devient compliqué. [00:43:57] Speaker D: Elle est plus simple que cette fois où t'étais venu et j'ai sorti une phrase que personne n'a compris. Mais c'est tout à chaque fois ça. Je t'écoute, Korn Adidas. [00:44:06] Speaker E: J'aime bien la tournure de cette émission. [00:44:09] Speaker D: Comme je me fais insulter, c'est pas toi. [00:44:10] Speaker B: Alors tu m'écoutes ? [00:44:15] Speaker D: Pourquoi t'as choisi Korn Adidas ? Je connais plus ou moins la réponse. Alors Korn, ça symbolise quoi pour toi ? Quel moment t'as découvert le groupe ? [00:44:24] Speaker A: Alors Korn, c'est un peu le premier groupe que j'ai découvert à la télé, cette grande époque. très très très vieux d'un coup, avec M6 Clips. [00:44:37] Speaker B: Mais cette chaîne existe encore ! La chaîne existe encore, les clips, non ? Non, juste M6. [00:44:43] Speaker D: Je crois qu'il y a des clips mais pas ceux qu'on regarde. [00:44:46] Speaker A: Et c'est vrai qu'il y avait le jeudi soir un truc qui s'appelait genre Best of Trash, t'avais tous les clips de métal de minuit et demi à trois heures du matin, c'était l'horaire où je dormais absolument pas. [00:44:57] Speaker D: Faut que tu parles dans le micro quand même. Je sais pas, moi j'ai pas de casque. [00:45:01] Speaker E: Ça passe, ça passe. [00:45:02] Speaker B: Pogne ferme, ça passe. Désolé. [00:45:04] Speaker A: Et donc sur cette horaire, il n'y avait que cette tranche horaire là où tu pouvais écouter du métal. [00:45:10] Speaker D: C'était un rendez-vous quand même. [00:45:12] Speaker A: Ouais, parce que quand t'as pas MTV, quand t'as pas le câble, en fait c'était vraiment sur M6 que tu découvrais tous les groupes. Et donc moi ça m'a fait un gros gros électrochoc de ouf. Le clip en lui-même déjà. [00:45:22] Speaker D: Oui Adidas, ça fait partie des bons clips de corne. Ils sont tous très bons, attention, parce que je suis fan, mais il y en a quand même de la merde. [00:45:34] Speaker A: Et donc voilà, c'est comme ça que je suis tombée dedans. Après, avec tout ce qui s'ensuit, quoi. [00:45:40] Speaker B: Est-ce que tu as envie d'acheter cette drogue ? La drogue, elle est sur Metz, c'est incroyable. [00:45:46] Speaker D: Elle est cornemuse aussi. Dans ce clip, il n'y a pas de cornemuse. Non, mais il y a du Adidas. [00:45:52] Speaker A: Et il y a des paillettes. [00:45:53] Speaker D: Il y a des paillettes, il y. [00:45:53] Speaker B: A du Adidas et puis il y a une borgue. [00:45:55] Speaker A: La borgue, des portes d'jartel aussi. [00:45:57] Speaker D: C'est vrai. C'est vrai que je n'ai pas re-regardé le clip. [00:46:01] Speaker A: Et l'acteur qui joue dans la famille Adams aussi ? [00:46:05] Speaker D: Je ne me souviens plus. On va le redécouvrir. [00:46:07] Speaker B: T'es fan ou t'es pas fan ? [00:46:09] Speaker D: Je suis fan mais je ne le regarde pas tous les jours non plus. [00:46:11] Speaker B: C'est Alzheimer, c'est un peu loin pour lui. [00:46:16] Speaker D: On l'a dit, moi aussi j'ai découvert. [00:46:17] Speaker B: Korn et la drogue, l'alcool. [00:46:20] Speaker D: Tout s'en est suivi, puis le cerveau. Et est-ce que Korn aussi, dans tout ce qu'ils ont fait, est-ce que ça t'a apporté quelque chose ? Ou c'était juste que t'as trouvé ça cool ? [00:46:29] Speaker A: Non, en fait j'ai découvert ça, je devais avoir 13 ans en fait, donc forcément t'es dans une période de ta vie où évidemment c'est soit t'écoutes les Spice Girls, parce que t'es en mode... [00:46:39] Speaker D: Ouais, je sais pas quoi, mais moi j'étais pas dedans. [00:46:44] Speaker A: Moi j'étais de l'autre côté de la barrière, j'étais la petite gothique qui écoutait déjà du Grunge et du Nirvana. et qui est tombée dans le métal parce que quand t'es ado, c'est quelque chose qui te parle parce que t'es dans une période où... En fait je me retrouvais vraiment dans les clips où justement les problèmes d'ado qu'ils montrent, c'était moi en fait, je me retrouvais vraiment là-dedans. J'ai pas changé. [00:47:08] Speaker D: J'espère que la vie est moins douloureuse. [00:47:09] Speaker B: Que quand t'étais adolescente. [00:47:11] Speaker A: Non c'est bon tu sais en ce moment, on peut quand même en causer quoi. [00:47:16] Speaker B: J'ai ré-écouté du Korn, je pense. [00:47:21] Speaker D: J'ai ma petite consommation de temps en temps pour aller un peu mieux. Bon, ça marche pas, mais je suis content. [00:47:29] Speaker A: Quand t'es ado, ça te fait grave du bien d'avoir ce genre de truc bien criard, bien... Tu te sens pas seul, en fait. Je pense que quand t'as des ados en dépression, le métal, ça fait grave du bien. Parce que quand t'arrives pas à t'exprimer, quand t'arrives pas à gueuler tout ce que t'as sur le cœur, ou dans tes tripes, moi je trouve le métal, les gens qui comprennent pas, quand t'es ado et que t'écoutes ça, que tes parents ils sont là « oh mais tu devrais écouter les Spice Girls » Non, non, je n'écoute pas les Spice Girls, non. Du coup tu remets ta musique encore plus à fond et tu dis « bah non, c'est ça dont j'ai besoin en fait ». [00:48:00] Speaker D: C'est marrant parce qu'il y aura une étude à faire là-dessus parce que chaque ado trouve sa musique en fonction de sa culture aussi et de son vécu. C'est vrai que nous on a eu le métal qui est rentré dans notre vie, qui nous a beaucoup aidé, en tout cas qui nous a accompagné. Probablement pour qu'on aille mieux. [00:48:16] Speaker B: Est-ce que ça a marché ? Je ne sais pas. [00:48:19] Speaker D: Mais en tout cas on est toujours là. Mais c'est vrai qu'il y a un côté plus dépressif que dans le rap, ça c'est sûr. Dans le rap, il n'y a pas tous ces sujets... Maintenant ça dépend, avec. [00:48:28] Speaker B: La nouvelle génération... Avec le côté pop. [00:48:30] Speaker D: Qui s'est inséré dans le rap... Même. [00:48:32] Speaker F: Quand tu vois les rappeurs maintenant, il y a beaucoup moins le côté égotripe, il y a moins le côté... Enfin, il y a une partie de la scène qui est beaucoup moins égotripe, beaucoup moins grosse cylindrée, meuf à poil... [00:48:43] Speaker D: C'est plus années 90, on est bien d'accord. [00:48:44] Speaker F: Oui voilà, mais le rap, je trouve que le rap, en plus des codes pogo etc. qui sont venus récupérer du rock, et tant mieux, Ils ont aussi récupéré, d'une certaine manière, cette fragilité qu'il n'y avait pas du tout dans le hip-hop, dans le rap, il y a encore dix ans. Et quand on voit maintenant, il y a plein d'artistes. [00:49:03] Speaker D: En France aussi, il y a des français ? Ah ouais, il y a plein d'artistes français. Je pose des questions bêtes, mais c'est juste qu'en fait, je n'y connais pas grand-chose. [00:49:09] Speaker F: Si, bien sûr, il y en a plein. [00:49:10] Speaker D: Je les connais eux, mais je ne connais pas la musique. [00:49:13] Speaker E: Il y a moins de dix ans, il y a eu toute une scène qui a émergé avec des rappeurs qui qui s'inspirait énormément de la tendance émo. [00:49:23] Speaker D: Du côté romantique du rock, qui d'ailleurs mélange même les styles et qui mettent même de la trap au milieu, enfin des trucs comme ça, mais je ne savais pas qu'en France il y avait vraiment un mouvement, enfin qu'il y ait des gens qui existent qui font ça, j'imagine bien, bon ça c'est comme partout, mais que ça marche et que ça puisse prendre de l'ampleur en France, je trouve ça plutôt pas mal. [00:49:42] Speaker F: On fera une petite pélisse. [00:49:43] Speaker D: Non mais ça m'intéresse, vraiment. Et si d'ailleurs même dans le ch'meule, les gens ont envie de participer, de donner des conseils d'écoute ou quoi que ce soit, n'hésitez surtout pas. Et à nous insulter aussi, faites-vous plaisir. De toute façon, il y a notre petit Marcel Béliveau qui est là pour pouvoir sélectionner qui a le droit de rire et qui n'a pas le droit de rire. [00:50:02] Speaker E: C'est une lourde tâche. [00:50:05] Speaker D: Bon allez, on va se mater le clip de Korn, si ça vous dit bien, Adidas, et puis juste après, on va se concentrer sur des choix de monsieur. Si vous le connaissez pas... [00:50:15] Speaker B: On est vraiment dans la merde, ouais. [00:50:17] Speaker D: Bon peut-être pas autant qu'avec mes goûts, mais déjà il aime le prog, bon... [00:50:20] Speaker B: C'est pas que eux ! Je vais vous rassurer tout de suite. [00:50:24] Speaker D: Bon allez, non mais je plaisante évidemment. [00:50:26] Speaker C: C'est parti, Korn, Adidas ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Oh, Day High, to you I'll rise All day I dream about sex All day I dream about sex All day I dream about sex C'est parti ! C'est la fin de cette vidéo. C'est génial ! Oh, putain ! No one will come and help me out I'm on my own But I'm not dead yet So I'll keep trying Abonnez-vous à la chaîne ! [00:57:26] Speaker B: Ah qu'est-ce qu'on est bien installé ici. [00:57:28] Speaker D: Je bouge parce que je me sens un peu trop collé, tellement je suis resté assis. [00:57:31] Speaker B: J'imagine, t'es sage comme une image le mec. [00:57:34] Speaker D: Exactement, on remercie encore au passage juste les Butchers Rodeo, je vous conseille vraiment d'aller voir sur scène parce que oui ça joue vraiment bien, c'est puissant et puis en plus c'est hyper sincère. Voilà, c'est tout ce que j'avais envie de dire. [00:57:45] Speaker F: Et puis à l'empreinte, ça va être incroyable. J'y suis allé pour voir Will Evan. Bon, on en parlera plus tard. Mais j'y suis allé pour voir Will Evan il y a deux semaines et elle est trop bien cette salle. [00:57:52] Speaker B: Elle est vraiment super agréable. [00:57:54] Speaker D: Des salles en... J'arriverai plus à dire en banlieue, parce que c'est Paris maintenant. Et puis avec le nouveau métro qui arrive, ça sera encore plus facile de pouvoir s'y rendre plus rapidement de n'importe où. Donc moi, je suis archi pour ce genre de salles. [00:58:05] Speaker F: Et pour les Parisiens qui ont un doute sur comment aller à Savigny-le-Temple, franchement, le RER est à 50 mètres de... [00:58:11] Speaker B: 100 mètres de la salle. [00:58:14] Speaker F: Du coup, il y a juste à prendre le RERD et c'est direct. [00:58:17] Speaker D: C'est juste les mecs et les meufs, quand je dis les mecs c'est pour tout le monde. Désolé, nos fans aussi. Mesdames et messieurs. [00:58:23] Speaker A: Tu vas avoir des problèmes. [00:58:26] Speaker D: Bon, les personnes. [00:58:27] Speaker B: Eh les gens, eh les gens. [00:58:28] Speaker D: Mais les gens c'est masculin quand même, donc on va dire les personnes. Un Jean ? Une Jean. Une Jean-Pierre ? On va pas se lancer dans ce. [00:58:38] Speaker B: Débat là parce que sinon on va vraiment avoir des problèmes. [00:58:41] Speaker D: Mais en tout cas toutes les personnes qui veulent voir des concerts là-bas, par contre évitez de rester pendant cinq heures après pour boire du picolé parce que. [00:58:49] Speaker B: Ça ne marche pas. [00:58:49] Speaker D: Là vous reprenez votre erreur et puis vous allez faire ça à côté de chez vous et c'est très bien. Le mieux étant de ne pas se bourrer la gueule évidemment. Ce qu'on vient de regarder, alors moi je ne connaissais pas du tout. Je suis désolé, c'est ton choix, mais j'ai trouvé ça vachement bien, ça s'appelle Fumming Mouth. Mais c'est qui, c'est quoi ? [00:59:06] Speaker E: Alors c'est un groupe américain qui vient du bassin shut set, ce qui est un groupe de... On va dire death metal croisé crust, même si ça ne s'entendait pas trop dans ce morceau-là, qui en sont à leur deuxième album, ils viennent de le sortir. L'album s'appelle Last Day of Sun. C'est un groupe qui fracasse quand même pas mal, mais c'est leur premier album qui est sorti chez Nuclear Blast. Un petit changement, un petit peu de paradigme sur les moyens. Et ça s'entend parce que le son est un petit peu moins cracrac avant. Là, on entend quand même qu'il y a une influence suédoise qui est très forte avec la pédale de guitare, la Boss HM2 qui a ce son qui vraiment tronçonne et qui a vraiment cette empreinte très caractéristique. C'est leur premier album sorti chez Nuclear Blast et là on sent qu'ils ont essayé de faire un single. Ça va c'est réussi quand même. [01:00:02] Speaker D: Après c'est peut-être décevant pour les fans de base. [01:00:06] Speaker E: C'est ça, c'est que Fumming Mouth, à la base, ça fracasse quand même plus que ça. Et il y a des morceaux qui fracassent aussi dans le nouvel album, c'est pas le souci. Mais là, on sent quand même qu'ils ont essayé de faire un single avec du chant clair, même si on entendait déjà un petit peu dans leurs derniers EP qu'ils avaient déjà essayé ce genre de choses. Mais là, on sent qu'ils ont essayé de faire un morceau un peu plus accessible, même Quand bien même, il y a ce son un petit peu gras, un petit peu caverneux, qui est typique du style. Et là, en plus, avec ce petit clip qui fait un peu Halloween après l'heure, ça fait toujours cadeau, même si la date est passée. [01:00:42] Speaker D: On aime bien Halloween, même si on adore les feuilletons de Noël. C'est quand même important, les téléfilms de Noël qui commencent mi-octobre. [01:00:49] Speaker B: Non, non, non, c'était mi-juin. [01:00:53] Speaker A: J'en ai vu, j'en ai vu. [01:00:54] Speaker B: Ah oui, des téléfilms de Noël à mi-juin ? [01:00:55] Speaker A: Oui, oui, oui. [01:00:56] Speaker D: Ah ouais, bah tant qu'à faire. [01:00:57] Speaker B: Et puis ils poussent les gens à la petite dame. [01:00:59] Speaker E: Ils s'adaptent au réchauffement, voilà. [01:01:02] Speaker D: Ah ouais, quand même, c'est l'enfer. On reviendra sur vous, bien sûr. [01:01:09] Speaker F: On se casse ? [01:01:10] Speaker D: Vous connaissiez les Fuming Mouth ? [01:01:12] Speaker F: Non, pas du tout. [01:01:13] Speaker D: On dirait le nom d'un groupe de. [01:01:16] Speaker F: Punk, plutôt, je trouve. Flaming Mouth, ça fait un peu plus. [01:01:19] Speaker E: Genre... Flaming Lips ! [01:01:20] Speaker B: Ouais, exactement ! [01:01:23] Speaker E: Un peu groupe de punk ou groupe de stoner à la limite, avec l'idée de la fumée... On peut s'imaginer... [01:01:31] Speaker D: Le petit aqua ! Un petit cactus dans le coin ! On va passer à autre chose, on va passer à... Pareil, alors ça je ne connais pas. C'est pas moi qui ai fait la prog, je vous rassure. C'est Drop 19. [01:01:46] Speaker E: Drop 19's. Alors là, c'est du comeback. C'est un groupe de shoegaze américain qui avait arrêté les frères en 95. [01:01:55] Speaker D: Encore un truc de shoegaze. [01:01:56] Speaker B: Ils commencent à me connaître. [01:01:59] Speaker D: Non mais parce que c'est la mode aussi en ce moment, il y a beaucoup de groupes qui font du shoegaze. [01:02:03] Speaker E: Et il y a des groupes qui font des comebacks, on avait vu il y a quelques années Slowdive qui était revenu en fait. Et cette année du coup c'est Drop19 qui était un groupe on va dire qui a eu sa petite heure de gloire dans les années 90, qui a sorti deux albums, qui a eu son petit succès avec un album de 92 qui s'appelait Delaware etc. Mais qui avait complètement arrêté les frais, qui avait plus donné de nouvelles depuis 95. [01:02:24] Speaker D: Bah si ils habitent dans le Delaware évidemment. C'est compliqué. [01:02:31] Speaker E: Les musiciens et musiciennes, parce que c'est un groupe mixte, comme Slowdive d'ailleurs, étaient partis dans des directions un peu différentes. Par exemple, la guitariste et chanteuse étaient carrément allées faire de la musique orchestrale, composée pour le cinéma, des choses comme ça. quand même des gens qui ont des centres d'intérêt un peu divers. Et ils reviennent avec un album, donc comme si 30 ans n'étaient pas passés, donc ça reprend exactement là où il s'est arrêté. [01:02:56] Speaker B: 30 ans ça se voit, clairement. [01:02:58] Speaker E: Pour le coup, dans le clip, on ne les verra pas. [01:03:01] Speaker D: D'où les 30 ans qui ont passé. [01:03:02] Speaker B: On ne les voit pas. [01:03:04] Speaker E: Donc l'album s'appelle Highlight, je crois, et il vient de sortir en fait, il est sorti ce vendredi. [01:03:11] Speaker D: Avant de regarder ça, je me dirige vers vous. Je sais que tu écoutes énormément de choses différentes, donc je ne sais même pas si c'est un genre musical qui t'a un jour intéressé. [01:03:23] Speaker F: Ça m'intéresse d'un point de vue texture, parce qu'il y a tout un travail de texture à partir des pédales, de synthés, etc. Maintenant, généralement, la voix m'emmerde tellement. [01:03:32] Speaker B: Pourquoi ? [01:03:33] Speaker D: Parce qu'elle est loin ? [01:03:34] Speaker F: Elle est dans une reverb diluée 5 à 6 fois. [01:03:38] Speaker D: Ah non, c'est un chant, pardon. [01:03:40] Speaker F: Ouais, c'est un petit peu ça, le côté... Et c'est dur, mais bon, après... [01:03:46] Speaker D: Oui, c'est une question de goût. [01:03:47] Speaker F: On va dire les premiers groupes, My Bloody Valentine, tout ça, bien sûr, j'ai écouté parce que c'est quand même des... [01:03:52] Speaker D: C'est mythique. [01:03:53] Speaker F: Ouais, voilà, il faut l'avoir écouté au moins une fois. Et après, des fois, j'en écoute, mais c'est vrai que dès que ça miaule un peu dans un micro, ça me saoule un petit peu, voilà. [01:04:01] Speaker D: Je trouve que ça a été vachement... Ce chant Shoegaze justement a été vachement utilisé dernièrement dans la pop, même dans le rap. C'est toute cette espèce de... Bon après tout le monde se sent mal donc peut-être que ça symbolise aussi le malaise. [01:04:15] Speaker F: On a fait le tour de l'autotune. [01:04:16] Speaker B: Donc on s'est dit qu'est-ce qu'on peut faire pour pas entendre que je chante mal ? Eh ben on va mettre une reverre ! C'est tout. [01:04:23] Speaker D: Alors moi je parlais de dépression mais du coup ils sont déprimés parce qu'ils n'ont plus d'autotune. [01:04:27] Speaker F: Il n'y a plus d'argent, le prix du plugin il a augmenté. [01:04:30] Speaker D: C'est plus possible. Et toi le Shoe Guys ? [01:04:33] Speaker A: Alors moi je suis extrêmement nulle en qualification de nom de groupe. C'est-à-dire que tu vas me dire ça c'est ça ou ça je n'en sais rien. En général j'écoute un groupe, je trouve ça cool. [01:04:42] Speaker D: C'est du feeling. [01:04:43] Speaker A: Déjà si je connais le nom du groupe c'est déjà pas mal. Mais après tu vas me dire, ouais bon alors ça c'est du psyché, ça c'est du stoner, ça c'est du machin... [01:04:52] Speaker D: Ouais après on est bien d'accord que souvent, moi-même quand je dis des trucs, des fois j'ai l'impression que c'est pas vraiment ce que j'ai entendu. [01:05:02] Speaker A: Moi, il y a un truc qui est génial, c'est quand tu fais dire « alors, je connais un groupe, moi je trouve que c'est très, je sais pas, on va dire black metal mélancolique » « Ah non, mais ça se dit pas comme ça ! [01:05:11] Speaker B: » T'as tout le monde qui est. [01:05:13] Speaker A: Hyper offusqué parce que tu connais pas le terme exact de ce que t'écoutes et tu te dis « mais en fait, on s'en fout en vrai, c'est. [01:05:18] Speaker B: Juste cool quoi ! [01:05:19] Speaker D: » Complètement, c'est sûr que si on écoute de la musique, c'est pas vraiment pour juste dire je sais quel style c'est, c'est parce que t'as eu un sentiment, t'as eu une émotion. Après je connais pas le groupe, donc ça se trouve on va être tous surprenant, on va dire ah oui c'est bien, on va le noter. Donc on va faire ça, je sais pas dans le ch'meule, je vois pas, hein ? Quelqu'un qui part en garde à vue apparemment. C'est comme ça que ça se passe avec toute notre audience. [01:05:45] Speaker F: Par contre, intéressant, le concert de Butchers est gratuit, c'est vrai. Comme si une sortie de résidence, le concert est gratuit. [01:05:50] Speaker D: Ah ouais, d'accord, on n'avait pas dit ça. [01:05:52] Speaker F: Effectivement, il y a Victorien qui le précise. [01:05:54] Speaker D: Ah ouais, c'est trop bien. Attends, mais comment ça se fait que ça se passe comme ça ? [01:05:57] Speaker F: À chaque fois, alors le principe un petit peu, quand tu pars en résidence, quand t'es un artiste et tu vas en résidence dans un lieu, La condition c'est que tu donnes un concert gratuit à la fin de ta résidence. Donc tu fais 1, 2, 3 jours et à la fin tu offres une résidence et donc du coup tu tests ton concert face à un public dans des vraies conditions, dans une vraie durée qui correspond à celle de ton set. Et du coup pour pas que ce soit une salle vide, c'est une entrée gratuite. [01:06:16] Speaker D: C'est trop bien, je ne le connaissais même pas. [01:06:19] Speaker F: Ça se fait beaucoup de faire ça. Dans les SMAC tu as régulièrement des concerts tous les trimestres qui est en fait une sortie de résidence et tu peux du coup comme ça aller voir des concerts gratos. [01:06:30] Speaker D: Le bon plan ? C'est un super bon plan, puis de savoir ça, je trouve ça génial, je ne le connaissais pas. C'est quand même super bien, c'est une belle démarche de la part du groupe et de la part de la salle aussi. C'est une entente, c'est quand même cool. [01:06:43] Speaker E: Et en plus après tu peux dire j'étais là à la première de telle tournée. [01:06:47] Speaker D: Putain, bon bah alors il faut aller le voir. Bon, on va pas continuer à digresser, je propose qu'on regarde ce clip et qu'on écoute cette chanson. Puis si vous voulez, si ça vous plaît pas, on coupe en plein milieu, puis on débat et on commence à être méchant. [01:06:58] Speaker B: Okkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkk. [01:07:36] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Musique rock Nice, after this, we'll arrive As if not to miss A la fin d'un changement de jeu Où tu as été et où tu vas I really just figured it out We're chased back by all my friends It's a train, it's a train So much better, so much better Never made, never made And it follows, and it follows And it follows, and it follows The train From forgotten becomes deep C'est la dernière fois que je ressens ce sentiment de douleur et de douleur et de douleur Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [01:12:37] Speaker B: C'est. [01:12:37] Speaker C: La fin de cette vidéo. C'est la fin de cette vidéo. The ash in the air Cause there ain't no guidance Or creative light C'est parti ! [01:15:42] Speaker D: Ah voilà, voilà, moi j'avais envie de aussi défendre la scène française. Tout à l'heure on a eu Macisteria, bon il n'y a plus rien à dire, Macisteria c'est la grosse machine, ça marche cet album, en plus je pense qu'il va vraiment faire plaisir aux fans. J'ai pas dit grand chose tout à l'heure mais on fait un énorme bisou à Sébastien Paquet qui est ce français qui a fait le clip et qui habite à Los Angeles et qui travaille avec Korn. Comme quoi le lien entre Macisteria et Korn est vraiment de plus en plus resserré. Who knows, on sait jamais ce qui. [01:16:09] Speaker B: Peut se passer dans l'avenir. [01:16:10] Speaker E: Ils vont peut-être se mettre à porter des kilts eux aussi, va savoir. [01:16:13] Speaker D: Oh, s'il vous plaît, non. L'Isistrata, ça c'est le groupe qui... Il y a plein de choses que je ne comprends pas dans ce groupe. J'adore ce groupe, mais c'est un groupe qui aurait pu être signé par des gens incroyables. qui sont vraiment dans la défense de la culture, etc. Mais qui ont décidé quand même de suivre leur chemin. Et de se dire, ouais c'est cool, en fait on peut être célébré par des gens qui sont dignes de notre musique, enfin dignes de défendre la musique et qui le feraient correctement. Mais non. En fait, ça ne peut pas nous en... On ne veut pas perdre cette espèce de liberté. C'est l'impression que j'en ai. Je ne connais pas plus le groupe que ça, je ne les connais pas personnellement. [01:16:51] Speaker F: Ah non mais c'est clairement ça, c'est vrai que c'est le plus gros groupe indé, enfin moi je trouve que c'est un des plus gros groupes indés en tout cas, de la grosse scène française qu'on va retrouver en festival et en même temps dans des clubs tout petits et qui vont assumer de faire les deux, on va les trouver aux Euroques et en même temps on va les retrouver dans un petit club du côté de Clermont-Ferrand au lieu de faire la grande salle, enfin c'est un choix indé qui est assez cool de leur part et puis musicalement Pareil, il crée un pont entre les deux mondes. Il y a des passages, il y a des chansons sur leurs albums qui sont un peu mat, qui sont un peu post, etc. Et à côté de ça, tu auras des chansons plus pop qui vont plaire à un public de festival, à un public un peu... Comme. [01:17:24] Speaker D: Celle qu'on met dans les décors. [01:17:25] Speaker F: Ouais, il y a un petit côté Stoner Slush de fin, là. Il est cool, je ne m'attendais pas à ça. [01:17:29] Speaker D: Très beau morceau, j'aime aussi ça. Très beau morceau, beau clip. Enfin, beau clip, une clip en tout cas qui est vraiment cool. Et puis, je pense que c'est encore un autre step, là. On est monté... [01:17:37] Speaker F: C'est un nouveau titre, ça ? [01:17:39] Speaker D: C'est le tout dernier qui est sorti. Je ne me suis pas plus renseigné que ça, c'est juste que je me suis dit, ça sent quand même le groupe qui peut maintenant s'envoler vers le reste de l'Europe sans avoir de problème. Ce qu'ils faisaient déjà, mais ce que je veux dire là, en termes de. [01:17:53] Speaker F: Diffusion... Ah oui, bien sûr, c'est propre. [01:17:56] Speaker D: C'est hyper propre, c'est vachement bien, donc on les félicite. Et puis encore une fois, sur SLS, si vous écoutez la radio, n'hésitez pas, c'est gratuit, c'est sans pub. Je vous précise, pas comme OUI.FM et comme RTL2 ou comme Europe 2. Nous, on est mieux. [01:18:07] Speaker B: Comme qui ? [01:18:08] Speaker D: Pas comme OUI.FM. Il me semblait bien. Avec tout l'amour que je leur porte. [01:18:14] Speaker A: Merci de nous inviter sur Fun Radio ce soir. [01:18:16] Speaker D: Hit music only, on dit. [01:18:20] Speaker F: Dix foules étaient avec nous, c'est incroyable. [01:18:21] Speaker B: Un déboulonnable. Moi qui rêvais de le rencontrer. [01:18:25] Speaker D: Du rire et du rock. Pierre, tais-toi. [01:18:29] Speaker B: Je dois m'arrêter là, parce que si. [01:18:30] Speaker D: Je sens des blagues, ça va m'avoir des problèmes. Je me retourne bientôt en parler. On parle beaucoup en antenne parce qu'il y a des tas de choses aussi qu'on n'a pas envie de raconter à l'antenne. Ça s'attise bien, ça va les exciter. Mais il y a donc ce livre qui est là, qui est sorti, qu'il faut absolument se procurer. C'est à la fois pour avoir les recettes, pour se marrer, mais aussi pour célébrer et défendre le rock, défendre aussi les femmes qui font des livres autour du rock. Tu me le disais, on va peut-être en parler un petit peu plus tard aussi, mais c'est pas si facile. [01:19:06] Speaker A: Une meuf dans le rock c'est quand même plus facile aujourd'hui qu'il y a quelques années. [01:19:13] Speaker D: J'espère parce que sinon ce serait quand même dommage mais c'est pas encore totalement gagné. [01:19:17] Speaker A: Moi dans mon domaine en tout cas j'ai voulu mélanger toutes mes passions c'est-à-dire manger, C'est quand même un peu un. [01:19:23] Speaker B: Truc de base qui correspond. [01:19:24] Speaker A: C'est une belle passion. Il y a Maïté et puis il y a moi maintenant. [01:19:28] Speaker D: On ne t'a pas encore vu tuer des poissons vivants. [01:19:31] Speaker A: Ça ne risque pas parce qu'en fait, je suis quand même aussi sur des recettes qui sont adaptables. Moi, je suis végane et qui sont adaptables omni, végé et végane. C'est-à-dire que justement, je n'ai pas envie de stigmatiser l'alimentation. Je pense que ça doit être pour tout le monde et que la musique est pour tout le monde. La bouffe, c'est pour tout le monde. On n'est pas obligé toujours de segmenter les choses. Et c'est pas facile dans la food de déjà se faire une place sans être, tu sais, la daronne de famille avec ses petits plats en mode « Salut les choupinous, je vais vous faire. [01:20:03] Speaker D: Une petite recette aujourd'hui ». [01:20:05] Speaker A: Et moi je suis pas « Salut les choupinous ». Je suis plutôt justement sur mes vidéos à foutre du gros son parce qu'il y a des meufs justement qui se retrouvent là-dedans. On n'est pas toutes des daronnes dans nos cuisines à faire du batch cooking le dimanche en fait. [01:20:23] Speaker B: Franchement ça me fait chier, j'ai autre. [01:20:25] Speaker A: Chose à foutre de mon dimanche. Et de deux en fait on peut tous aimer la bonne bouffe qu'on soit fan de rock ou vegan. ou viandard, peu importe en fait, on va se retrouver entre potes, j'ai envie de faire de la cuisine de potes, des apéros smiths, que les gens se marrent en fait en faisant la cuisine, que ça leur donne envie de faire à bouffer un peu plus. J'espère que ça te donnera envie de. [01:20:47] Speaker B: Faire de la cuisine. [01:20:49] Speaker D: Ça me donnera l'envie de cuisiner lorsque j'aurai une cuisine. [01:20:53] Speaker F: Un peu de mayo au micro-ondes, ça passe toujours. [01:20:55] Speaker B: Si tu l'as mis au freezer, ça ne va jamais arriver. [01:20:58] Speaker E: Et la mayo vegan, ça existe, c'est pas compliqué à faire en plus. [01:21:01] Speaker A: C'est pas compliqué à faire. [01:21:02] Speaker B: Même toi tu pourrais. [01:21:03] Speaker D: Non mais moi je suis bourre, en vrai moté en règle gratuit. [01:21:12] Speaker B: Je te connais trop ça y est. C'est pas compliqué pour convaincre. [01:21:18] Speaker D: Mais j'ai très chaud d'un coup. [01:21:22] Speaker A: C'est de la cuisine de potes entre justement des personnes qui écoutent de la bonne musique, ont envie de découvrir des nouveaux groupes ou pas. Et c'est intergénérationnel parce que je vais avoir des ados et des parents en même temps qui vont écouter du Nirvana, du Motörhead. J'ai des Tofu Fighters. Du coup, il faut que je donne les jeux de mots, c'est quand même plus rigolo. Donc il y a les Motorbred, le Nirvanan, les Tofu Fighters et il y a... [01:21:48] Speaker D: Il y en a plein, on va. [01:21:49] Speaker B: Pas tout donner parce que vous êtes. [01:21:49] Speaker A: Intéressés aussi d'acheter le bouquin. Voilà, avec des jeux de mots où tout le monde peut se retrouver. [01:21:54] Speaker F: Et du coup, ta recette préférée, toi, c'est laquelle ? [01:21:57] Speaker A: C'est ce qu'on me demande tout le temps. [01:21:58] Speaker B: Si tu veux un lieu commun, tu. [01:22:00] Speaker D: M'Appelles, y'a pas de problème. [01:22:14] Speaker B: Ne regarde pas Pierre, si tout va bien se passer. J'ai des fois plein de choses aussi, ça c'est certain. [01:22:19] Speaker E: Si c'est l'expression consacrée, alors bon. [01:22:21] Speaker B: C'est écrit sur mon dos. For me. Et qui a donc l'ambiance de Jack. [01:22:30] Speaker A: Daniels au moment de servir. [01:22:32] Speaker B: Ce serait pas lui serait ça aussi ? [01:22:34] Speaker D: Mais c'est vachement agréable ! [01:22:36] Speaker A: J'aurais préféré être imbibé, plus flambé. [01:22:40] Speaker B: Ça m'arrive aussi d'être flambé ! Et tout le monde s'y retrouve, c'est parfait ! [01:22:45] Speaker D: Et moi aussi, tout le monde s'y retrouve ! [01:22:46] Speaker B: C'est un peu notre point commun ! Venez comme vous êtes ! [01:22:51] Speaker D: Par contre, pas sûr comment le bouquin sort. Ou en tout cas dans des éditions très spéciales. Ça s'appelle Cook & Roll. [01:23:00] Speaker B: Non mais s'il faut donner le nom quand même ! Et puis d'ailleurs j'ai montré le bouquin. [01:23:02] Speaker D: Et je me suis dit, ça serait même pire que tu dises le nom en fait ! C'est disponible partout évidemment, on peut l'acheter assurément partout. [01:23:09] Speaker B: Ça brille ! Magnifique ! [01:23:13] Speaker F: Je vais rester comme ça pendant toute l'émission. [01:23:14] Speaker D: Le livre est noir quand même, comme dans le métal. Cette couleur qui nous... Enfin cette couleur. Je ne sais pas comment on appelle ça. C'est une couleur. On a le droit de dire une couleur pour le noir ? [01:23:25] Speaker C: Oui. [01:23:25] Speaker D: D'accord. Il me semblait que le blanc et le noir c'était pas des couleurs. Non ? [01:23:29] Speaker A: D'un point de vue de graphiste, c'est ça. [01:23:34] Speaker D: Je clique sur le bouton, ça fait. [01:23:35] Speaker F: Du noir, je clique sur le bouton. [01:23:36] Speaker B: Ça fait du blanc, c'est que c'est une couleur. [01:23:40] Speaker D: J'en sais rien, je pose des questions, je suis encore à l'école moi. [01:23:42] Speaker B: Tant que je n'ai pas de couleur. [01:23:43] Speaker A: Chez les graphistes, tu vois. [01:23:44] Speaker D: C'est du mauvais goût. [01:23:45] Speaker B: Personne ne le sait. [01:23:48] Speaker D: Ok, du coup, est-ce que tu te sens un petit peu, je vais poser la question à la con aussi, mais militante, de montrer que tu peux faire ça, que ça sorte et que tu as réussi à le montrer aussi ? Est-ce que tu deviens un exemple pour les plus jeunes aussi, ces meufs et ces mecs qui veulent faire de la cuisine et qui n'osent peut-être pas se dire que c'est possible de le faire ? Ou est-ce que du coup tu dis c'est cool si ça arrive mais non c'était pas le but ? [01:24:10] Speaker A: Ouais en fait le but c'est qu'en vrai j'avais envie de mélanger vraiment tout ce que je kiffe faire et comme je sais pas faire de musique, je sais pas chanter et que je voulais trouver par un peu n'importe quel moyen le fait de mêler la passion de la musique à quelque chose et ça s'est fait comme ça en fait parce que Voilà, c'était le concept en soi, c'est qu'un jour j'ai trouvé cette idée-là de faire un jeu de mots pourris, et de dire on peut en faire quelque chose de jeu de mots pourris en fait, ça peut faire quelque chose qui marche. Et j'y croyais absolument pas, on est d'accord, mais le fait est qu'avoir un humour de merde, ça marche, c'est cool. C'est un truc qui peut arriver à plein de gens. [01:24:54] Speaker D: Non mais je suis d'accord avec toi. [01:24:55] Speaker B: C'est pas parce que vous n'êtes pas. [01:24:57] Speaker D: Forcément bon que vous ne pouvez rien faire. Vous avez le droit de vous lancer dans ce que vous voulez. Si ça marche pas c'est pas grave. Tu es très bon, on a juste pas trouvé en quoi. [01:25:06] Speaker B: Mais je ne cherche plus. Enfin, je sais en quoi je suis. [01:25:09] Speaker D: Bon, mais professionnellement, ça ne va rien m'apporter. [01:25:11] Speaker B: Enfin, ça a pu t'apporter. [01:25:15] Speaker D: Mais du coup, ça me gêne un peu. [01:25:18] Speaker A: C'est constaté en tout cas que cet humour, il y a plein de gens qui l'apprécient aussi. [01:25:23] Speaker D: Parce que ça va, c'est simple, c'est rigolo. Puis en plus, ça te ramène toujours à tes groupes que tu adores. Ça te donne envie de réécouter en plus. Enfin, je veux dire, il y a l'apéisme. En plus, quand tu te replonges dans le bouquin, tu te dis « ah putain c'est vrai que je me repense à cet album ». Ça déclenche plein de choses. T'as envie de faire la recette ? T'as envie de réécouter le groupe finalement qui est associé ? Ou peut-être te renseigner un peu plus ? [01:25:42] Speaker A: J'ai mis quelques petites anecdotes au passage aussi que j'ai pu trouver à droite à gauche parce que le but c'est d'avoir quelque chose de rigolo sur tout le fil rouge entre les dessins que je réalise parce que du coup je suis aussi illustratrice, les photos. la mise en page et donc les biographies et la playlist. C'est vraiment un concept entier qui fait que ça peut faire un cadeau qui. [01:26:07] Speaker D: Plaît à tout le monde. C'est vrai, ça va être noël. [01:26:11] Speaker F: J'y pensais pour... Je vais pas dire pour qui du coup parce que... [01:26:14] Speaker D: Mais non, c'est vrai que ça fait un très beau cadeau de Noël. [01:26:18] Speaker F: Et je pensais aussi que tu parlais des enfants, de faire ça en famille, et c'est une manière de faire découvrir le rock à tes enfants, à tes cousins, à tes petits-neveux, etc. [01:26:25] Speaker A: J'ai beaucoup de mots de fond. [01:26:27] Speaker F: Je peux imaginer, ah bah tiens, Motörhead, tu connais pas, on fait les Motörbreds, vas-y, on met Motörhead. Et quand t'as un gamin de 7 ans... [01:26:32] Speaker D: Mais là, la cuisine, c'est l'apocalypse. [01:26:35] Speaker B: Il pourrait faire les osmiles, les osmiles, il en a partout et tout. Le mixer, voilà ! Et si je mets la main dans le mixer, ah, trop bien ! [01:26:46] Speaker D: A ne pas faire chez soi évidemment. [01:26:48] Speaker B: Ça va de soi. Ceci est une blague. [01:26:51] Speaker A: J'ai pas encore eu de gamin brûlé au dix millième degré. [01:26:53] Speaker D: Non, non, de toute façon ce sera pas ta faute, tu l'as pas écrit là-dedans. Au gamin brûlé au Jack Daniels. Ça j'ai déjà vu mais... [01:27:02] Speaker B: On va passer à la musique. [01:27:06] Speaker D: Go Jira ! Donc Gojira, je suis désolé, quand j'ai lu le titre que tu as choisi, je suis tellement obsédé par Korn que j'ai cru que tu parlais du batteur de Korn, Silvera. L'ancien batteur. [01:27:18] Speaker E: Non, non, là on va passer à un truc bien. [01:27:20] Speaker D: Je valide cette blague, merci. Non, ça c'était le guitariste qui était. [01:27:46] Speaker B: Parti, qui est revenu. [01:27:47] Speaker D: David Cimera, c'était le batteur, c'est celui qui était devenu mannequin, qui a ouvert des restaurants de saucisses, enfin bon bref, des pizzerias, je sais plus, un truc à la con, qui s'est planté, qui a décidé de revenir dans la musique, mais je pense qu'il a beaucoup eu de problèmes dans sa vie personnelle, et du coup c'est vraiment de la merde, c'est de la chiasse. Mais bon, Gojira par contre, ça c'est très bon. [01:28:07] Speaker A: C'est très bon, on est d'accord. [01:28:09] Speaker D: C'est français en plus. Et alors pourquoi t'as choisi Gojira ? Qu'est-ce qui t'ont importé ? Comment tu les as découverts ? [01:28:14] Speaker A: Gojira, je les ai vus en première partie de Metallica, il y a très très longtemps. [01:28:19] Speaker D: C'était il y a genre 10-11 ans. [01:28:21] Speaker E: Un truc comme ça, aux Têtes de France ils étaient passés, je me souviens. [01:28:25] Speaker B: On est en 2023. [01:28:28] Speaker A: C'était quand ils n'étaient pas encore hyper connus de ouf. Ils trouvaient ça très très cool. Et depuis, pour moi, c'est vraiment le groupe de métal français qu'en gros personne connaît des fois en France, aux Victoires de la Musique. Moi je trouve ça scandaleux qu'on n'ait pas ce genre de groupe aux Victoires de la Musique. Parce que c'est des mecs qui représentent. [01:28:46] Speaker D: La France à travers le monde et qui marchent. [01:28:48] Speaker A: Voilà, qui représentent la France à travers le monde, qui remplissent des stades de ouf aux Etats-Unis. Les mecs, pour moi, c'est les gendres parfaits. Ils sont parfaits sur tous les points. Ils sont gentils, ils sont respectueux, ils n'ont pas de tatouage, ils sont bien habillés, ils ont un discours vegan, écologiste, bienveillant. Bref, c'est pour moi vraiment ce que les gens vont imaginer du métal en nous voyant d'un point de vue extérieur, en disant « ouais, c'est gros bourrinos, machin » et tout. Eux, c'est le contraire. Ils ont une putain d'image de ouf qu'ils pourraient justement donner à la musique métal en France. Et en fait, on leur donne, à part, je sais pas, je les ai vues une fois sur Quotidien ou deux, tu vois. [01:29:25] Speaker F: France Inter, pour la sortie. [01:29:32] Speaker A: Je trouve ça tellement dommage qu'on ne leur donne pas plus de prise de parole sur l'écologie. Les mecs font des trucs incroyables, ils ont des fondations, ils font énormément de dons, déjà avec le dernier album avec l'Amazonie. Je trouve ça complètement dingue que ces mecs-là ne soient que connus, on va dire, du milieu du métal, c'est-à-dire nous, et pas des autres personnes. Ça pourrait ouvrir vraiment déjà cette musique à des gens. Alors, il y en a qui n'aiment pas ça, on est d'accord. Il y a des gens qui sont évidemment plus mainstream. C'est un peu le reproche qu'on donne avec le métal, c'est que c'est devenu mainstream. Mais en même temps, moi justement, si on peut avoir une bonne image, je trouve ça hyper cool. Et ces mecs-là, ils donnent une super image parce qu'ils sont Ils sont trop sympas en vrai, ils sont trop gentils dans la vie. [01:30:22] Speaker D: Une bonne image et puis aussi possiblement donner l'envie à des gamins qui ne mettent pas le métal de s'y intéresser un peu plus. [01:30:29] Speaker A: Ou même des parents. [01:30:31] Speaker D: D'avoir moins peur. [01:30:32] Speaker B: C'est bon ils écoutent un truc où ils sont écolos. C'est ça, t'en as un peu marre. [01:30:36] Speaker A: Que tes gosses ils écoutent des toxicos ou des mecs qui vont au cœur de Désintox, enfin je veux dire Gojira. [01:30:42] Speaker F: Avec Gojira ils vont terminer déguisés en Mimisiku. [01:30:45] Speaker B: Sur tous les mecs qui mangent de l'ail, on sait pas. [01:30:48] Speaker F: Excusez-moi, c'est pas mieux. [01:31:15] Speaker B: Let's go, je suis désolé. [01:31:18] Speaker A: Désolé Gojira, on les aime. [01:31:20] Speaker B: On les aime de ouf, grave, grave, bien sûr. [01:32:21] Speaker C: Le rayon de la chaleur qui remplit les mains Il n'y a pas de sang dans moi, mais dans le mien! C'est l'heure d'ouvrir vos yeux à ce génocide! Quand vous vous réveillez, vous vous réveillez vous-même! Vous recevez l'argent d'une meilleure vie! Quand vous vous changez, C'est pas mal ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est la fin du monde ! You go away from me I felt my heartache I was afraid of loving you When I had looked at The shadows on the wall. [01:36:24] Speaker B: Très bien. [01:40:44] Speaker C: Oh non « Ah, quel beau voyage ! [01:42:14] Speaker D: J'ai vu toutes ces cerisiers en fleurs, que ferais-je à moi ? Aller prendre mon bain tout nu avec tout le monde, formidable ! [01:42:20] Speaker B: » Écoute, c'est comme ça quand même. [01:42:23] Speaker D: J'ai été deux fois au Japon et je me suis dit, je vais quand même faire un ryokan. C'est quand même le principe, c'est aller à l'hôtel, le côté classique à l'ancienne, ne casse pas tout le matériel. Pierre, c'est une feuille. J'ai cassé du papier. C'est du matériel quand même. [01:42:36] Speaker B: C'est vrai. Désastre. [01:42:37] Speaker D: « Méfie-toi, méfie ! » Comme c'est traditionnel, on m'avait dit « Bon ben maintenant, c'est l'heure du bain ! » Ok, on me demande, on me dit quand est-ce qu'il faut que j'aille. [01:42:48] Speaker B: Me laver, bon ben why not quoi ! [01:42:49] Speaker D: C'est bizarre mais pourquoi pas ! Et puis on m'a emmené, on m'a donné ma petite serviette et puis on m'a dit « Maintenant, il faut que vous nous donnez vos vêtements ! » Et là, je fais « Il y a une salle de bain, je vais aller me changer ! [01:42:59] Speaker B: » Et puis elle ouvre la porte. [01:43:00] Speaker D: Elle fait « Non, non, vous allez aller avec ces messieurs, puis d'ailleurs, vous devez leur laver le dos ! [01:43:05] Speaker B: » J'étais un « Pardon ? [01:43:07] Speaker D: » Alors je suis extrêmement pudique, j'ai beau dire beaucoup de merde, je suis extrêmement pudique. [01:43:12] Speaker B: Moi le dos je le fais pas. Moi le dos je le fais pas. Pas le dos, pas le dos. Tout mais pas le dos. [01:43:17] Speaker D: Non mais j'étais là, je peux pas. Et puis bon ben là ils m'ont regardé, on fait... [01:43:21] Speaker B: Mais de toute façon... [01:43:22] Speaker F: Tu n'as pas le choix. [01:43:23] Speaker B: C'est comme ça, vous avez payé pour. [01:43:25] Speaker D: Un truc traditionnel donc on va aller jusqu'au bout. D'ailleurs au petit déjeuner manger des yeux de poisson c'est dégueulasse. Je vous dis tout de suite c'est pas le truc qui m'a ravi. La culture japonaise c'est aussi ses différences. C'est chouette. Mais là c'était X-Japan et ça c'est international. C'est un choix d'Alex. [01:43:41] Speaker F: Un choix entre la blague et le bon souvenir. Si vous êtes allé sur le site ces derniers jours, il y a eu des petits soucis avec internet, avec le site de Restless. Donc j'ai passé deux petites journées à. [01:43:52] Speaker B: Essayer de réparer ça. [01:43:54] Speaker F: C'est bon, et en fait la première chanson qui est apparue sur le player quand je l'ai mis en marche, c'était Kurenai de X-Japan, et du coup moi c'est un souvenir de ma sœur qui commençait à écouter du métal un tout petit peu après moi, et elle était très visiolky, écoutait des trucs genre Cradle of Filth etc, vraiment gothique etc, et ben voilà ça m'a rappelé ce bon souvenir de la bataille entre nos deux chambres. Moi je mettais des trucs plus hardcore et elle mettait des trucs plus metal black metal etc. Et le reste de. [01:44:26] Speaker D: La famille avec des boules-caisses. [01:44:27] Speaker F: C'est ça, non mes parents aimaient beaucoup X-Japan, ils trouvaient ça, il y avait un petit côté un petit peu musique classique. [01:44:33] Speaker E: Il y a le côté un peu néoclassique de X-Japan. [01:44:35] Speaker F: Ouais c'est orchestral, ils trouvaient ça beaucoup plus intéressant que les mecs qui faisaient du hardcore. [01:44:40] Speaker D: C'est différent. [01:44:40] Speaker B: Ouais c'est ça. [01:44:42] Speaker D: Mais on peut comprendre, on peut comprendre. X-Japan, je me demandais si c'était Mana, tu m'as dit non. Je sais pas pourquoi je mets Mana dans tous les groupes japonais, je suis désolé. Ça fait vraiment le mec qui met un gros connard. Ce qui n'est pas totalement faux, mais après ça se travaille ! Après X-Japan, je vois que j'ai mis Will Haven, on reste toujours avec tes choix Alex. Parce que c'est vrai qu'ils sont passés dernièrement, j'ai complètement zappé le fait qu'ils passaient. T'as zappé un gros truc quand même ! [01:45:11] Speaker F: On ne les voit pas souvent. Ils étaient passés à Petit Bain il y a un an et demi. Quelque chose comme ça en mars 2022, je crois, il me semble. Et ils avaient déjà mis la branlée. Et puis là, ils sont revenus. Ils ont fait pas mal de dates, pas mal de dates aussi en province. Ils ont joué aux Poches à Béthune. Ils ont joué... Je ne sais plus où c'était l'autre date. Bref, ils sont un petit peu baladés en France. Très cool. Et puis, ça fait toujours plaisir de voir Les Levens. [01:45:38] Speaker D: Ils ont sorti un album quand même aussi. Pas cette année, mais c'était l'année dernière. L'album 7. Oui, c'est l'album 7. Mais qui est très très bon d'ailleurs aussi. [01:45:47] Speaker F: Très très bien. Toujours des petits soucis de prod. J'ai toujours du mal avec leur prod. Le son des guitares est vraiment compliqué. Bref, après en live, c'est la même. [01:45:54] Speaker D: Chose pour le coup. [01:45:55] Speaker F: C'est vraiment le même choix étonnant au niveau de la production. Mais bon, c'est juste kiffant. [01:46:01] Speaker D: C'est un groupe qui n'a jamais marché. [01:46:02] Speaker F: Pas jamais vraiment marché. [01:46:06] Speaker B: Il y a un gros respect pour. [01:46:06] Speaker F: Eux parce que c'est quand même les papas de la scène Sacramento, etc. Ils ont quand même façonné une partie de Deftones, une partie du son Deftones. Mais c'est vrai qu'ils n'ont jamais eu la reconnaissance internationale que Deftones a pu avoir avec la manière dont ils ont explosé avec le néométal. Et puis ce qui était assez drôle, c'est que quand je me pointe, j'étais assez en avance au concert, je m'étais trompé dans l'heure du concert. Et j'attends, il pleuvait un peu, et. [01:46:30] Speaker D: Je vois au loin Un mec qui. [01:46:32] Speaker F: Arrive avec une bebar comme ça, blanche, et je me dis, putain mais y'a Ben ! Et là je vois, ah mais non c'est pas Ben, j'attends un peu plus. Et là je vois un autre mec qui arrive. crâne rasée, la grosse barbe blanche, j'ai. [01:46:44] Speaker B: Dit putain mais c'est Ben ! La salle était pleine de Ben ! [01:46:49] Speaker D: J'ai passé mon temps à faire guili. [01:46:50] Speaker B: Guili à tout le monde pour leur faire des câlins à chaque fois, genre putain mais c'est toujours pas Ben ! Et j'ai continué ! Voilà, et en fait c'est donc un rôle qu'on a tous dans cette radio, c'est vraiment de passer à chez moi. [01:47:00] Speaker D: Quand on va à des concerts, pour des pervers ! [01:47:03] Speaker B: Bizarroine mais... [01:47:04] Speaker F: Mais moi que les gens chauds avec des grosses bebas. [01:47:06] Speaker D: Je te jure j'ai fait pareil à Coach Party, je suis allé boire un café de la danse et j'étais avec une copine et j'étais pas sourd rien du tout. Et je fais ah ces machins ! J'avais l'impression que c'était toujours des copines. Alors moi c'était pas les mêmes à chaque fois mais vraiment des nanas qui ressemblaient vraiment à des copines. Et à chaque fois je faisais... Et. [01:47:24] Speaker B: À chaque fois je faisais... Elle faisait quoi, quoi ? Non, je suis désolé, c'est pas méchant, je suis désolé. [01:47:32] Speaker A: Sinon, depuis, t'as combien de plaintes ? [01:47:34] Speaker D: Je pense, la police attend dehors. Mais ouais, parce qu'en fait, en vrai, tu dis, mais c'est l'enfer, parce que là, il y a un mec qui... T'sais, vraiment le « Eh, eh copine ! » où tu lui touches bien l'épaule, donc le truc est un peu bon. [01:47:47] Speaker B: C'Est pas cool quoi. [01:47:48] Speaker D: Puis il a acheté ma photo, j'étais. [01:47:49] Speaker C: Là « Non, je suis désolé, c'était. [01:47:50] Speaker B: Pas ça, mais je croyais que t'étais quelqu'un d'autre ! [01:47:51] Speaker D: » Bon, il y avait ma copine qui disait « Il est con ! [01:47:54] Speaker B: » Donc ça passait quand même. [01:47:56] Speaker D: Donc on est des petits habitués de ce genre de petites histoires. C'est bien parce que je lui demande de parler du groupe qu'on va regarder, mais en fait j'ai des questions aussi à te poser. Moi ? Bah oui, parce que bon, c'est pas parce que t'es Alex et que tu travailles avec nous sur SLS que t'as pas une actualité. Je sais pas moi, je ne sais. [01:48:15] Speaker B: Pas ce que j'ai le droit de dire. [01:48:17] Speaker F: Non, l'album The Prestige j'ai fini, ça y est, on l'a reçu, enfin le mastering est reçu. [01:48:22] Speaker D: Il va sortir un jour ? [01:48:23] Speaker B: Ouais, 2024 c'est bon. C'est pas bête, du coup je fais les mêmes questions. [01:48:27] Speaker D: Je fais la blague qu'il aurait pu faire. [01:48:29] Speaker F: Il va sortir un jour, ça y est. Il faut juste maintenant que ça passe dans les tuyaux de pressage et compagnie. 2024. [01:48:36] Speaker D: Vous faites ça toujours en Inde totalement ? [01:48:39] Speaker F: A peu près, ouais, quand même. [01:48:40] Speaker D: Après on va voir, il y a. [01:48:41] Speaker F: Toujours des labels qui sont intéressés pour les accompagner, on va voir s'ils sont encore là, s'ils sont toujours intéressés par ce qu'on fait. Maintenant, ce sera dans l'année, tranquille, on se met pas la pression. [01:48:50] Speaker D: Oui, mais de toute façon c'est l'essentiel. [01:48:53] Speaker B: Heureusement, au point où on en est, si on se mettait la pression maintenant, ce serait bien dommage. C'est vrai, c'est totalement vrai. On va mieux respirer un peu. C'est ça, on prend notre temps. [01:49:02] Speaker F: Voilà, c'est tout. J'ai d'autres projets avec Flo, avec Dwight du coup. On est en studio la semaine prochaine pour enregistrer un petit EP et puis voilà, ça continue. [01:49:10] Speaker D: C'est encore autre chose. [01:49:12] Speaker F: Encore autre chose, j'ai un projet aussi sur Caen, un truc plus... [01:49:16] Speaker D: Je sais qu'il y avait un truc un peu post-punk à Caen, avec les. [01:49:20] Speaker F: Anciens de la scène scrimo de Caen, les Amanda Woodward, un truc plus post-punk. [01:49:27] Speaker D: Magnifique. On peut suivre... [01:49:31] Speaker F: Il n'y a pas de réseau, pour l'instant, il n'y a pas de réseau. [01:49:32] Speaker G: Social pour tout ça. [01:49:33] Speaker D: Tu peux peut-être t'aguer avec ton... Bah avec mon truc perso, il n'y a pas de signe. Si j'aurai des demandes d'ajout, je vais refuser, c'est fou. Je sais pas si j'ai le droit, mais je vais le mettre, bon, on ne m'en voudra pas je pense. Et puis nous, on est petits aussi, donc en vérité, ça ne va pas te déclencher normalement... Moi, je ne suis. [01:49:49] Speaker F: Pas très petit non plus, tu sais. J'en ai marre qu'à chaque fois tu te dises c'est le petit Alex. C'est bon, je mets des talons, des petites talonnettes. Des talonitas quoi. C'est comme pour les enfants à courte paille. [01:50:05] Speaker B: Et dans ce message il n'y a. [01:50:09] Speaker D: Aucun sponsor, personne ne nous a payé. [01:50:13] Speaker F: J'ai le droit à un menu enfant aussi. [01:50:17] Speaker D: Le menu paillou ! Avec une petite frite et un petit steak. [01:50:24] Speaker F: La petite glace en pot en forme de petite courte paille. Moitié fraise, moitié chocolat, moitié vanille. J'espère que pour ça je vais avoir au moins un repas gratuit demain. Je t'invite si tu veux. [01:50:36] Speaker D: Bah on va garder la vidéo ! [01:50:51] Speaker F: Ils l'ont remplacé par un gazpacho. Alors moi, Courte Paille c'est le truc. [01:50:54] Speaker B: Où je vais avec mes grands-parents. Il va falloir m'expliquer pourquoi. [01:51:03] Speaker F: Pourquoi les grands-parents veulent tous aller manger. [01:51:05] Speaker D: À Courte Paille ? Parce qu'ils sont à la campagne, non ? [01:51:08] Speaker F: Mais non, pas du tout, c'est à Bonneuil. [01:51:09] Speaker B: Bonneuil-sur-Marne, 4 canavals de Marne quoi. Mais le chute dans le patio est un indice. Non, pas du tout. [01:51:15] Speaker D: Mais mes parents sont comme ça aussi. Ils ont des super-restos autour, mais non. [01:51:18] Speaker F: Ils vont dans des trucs comme ça. Si la viande est cuite au feu de bois, ça doit être meilleur. [01:51:24] Speaker B: Ah, moi, y'a même pas d'argument. [01:51:27] Speaker F: Donc voilà, du coup, courte paille, j'y vais régulièrement avec les grands-parents. [01:51:32] Speaker B: Bah au moins on sait comment ça se passe ! [01:51:34] Speaker F: Non le gaspacho n'est pas un indice, non. Dans la famille on le fait maison, c'est plus important. [01:51:41] Speaker D: Ah bah en même temps c'est vous qui l'avez inventé. Exactement. [01:51:43] Speaker B: Je crois que Diaz... C'est le diaspacho en tant que nom de langue. [01:51:47] Speaker D: Après cette digression incroyable, on va en revenir à la deuxième question, Will Haven. Donc on va regarder ce putain de clip, et on conseille surtout à tout le monde de se renseigner sur ce groupe. Si vous connaissez pas, est-ce que je peux dire que c'est du hardcore ? [01:52:00] Speaker F: Ouais, c'est le... Ouais, ouais, enfin c'est... [01:52:02] Speaker D: Du post-hardcore, hardcore ? Non, parce que pour moi c'est pas du post-hardcore, mais... [01:52:05] Speaker F: J'ai du mal à mettre une étiquette parce que c'est tellement vieux en fait, c'est tellement précurseur de beaucoup de choses que d'autant on va retrouver du néo métal, on va retrouver des notions de sludge, on va trouver des notions de poste, n'importe quoi, que du coup pour moi c'est juste les papas de beaucoup de styles en fait. Enfin ils ont vraiment influencé toute cette scène Sacramento américaine, côte ouest, au tout début de cette scène hardcore un peu indé quoi. [01:52:30] Speaker D: Et bien c'est parti ! [01:52:32] Speaker C: We Lovin' dans Bang Bang ! Oh, putain ! C'est génial ! C'est génial ! [01:58:41] Speaker B: Levez le pont-levis ! Ah y'a le son, pardon ! [01:58:49] Speaker D: J'ai oublié de prévenir Enjoy The Noise que c'était bientôt la fin de la chanson parce qu'on est en train de discuter de ce morceau qu'on était en train d'écouter, Empire State Bastard, donc ça c'est le nom du groupe, et le nom de la chanson c'est où je ne sais plus, je me suis perdu, c'est là, c'est Tired Now. [01:59:07] Speaker B: Now. [01:59:08] Speaker D: Ouais enfin désolé. [01:59:09] Speaker B: Now. Now. [01:59:11] Speaker D: Tu connais mon niveau d'anglais donc la prononciation est... De toute façon, on va pas se mentir, on sait pas ce qu'il dit. [01:59:18] Speaker F: T'as pas compris le magnifique poème sur la vie, le sens de la vie, la nature. [01:59:25] Speaker D: Ils étaient en concert ce jeudi à Paris. Alors il y a beaucoup de gens déjà qui n'étaient pas au courant parce que la promo a été à peu près au niveau zéro. Ce qu'il faut savoir, c'est que j'ai trouvé ça merveilleux, c'était hyper bien. Sur album, j'en ai rien à foutre et ça ne m'intéresse pas. C'est une question de goût, je ne dis pas que ce n'est pas bien. De toute façon, je n'ai aucun jugement à donner, mais ça ne m'intéressait pas. J'y suis allé parce que La salle était tellement vide que Ticketmaster a envoyé des messages aux gens pour dire que pour un euro, vous pouvez avoir une place. La tristesse, c'est-à-dire, j'ose le dire, parce que, encore une fois, ce n'était pas non plus un concert qui coûtait très cher. Après, c'est spécial, je peux comprendre. C'était à l'Alhambra, ça aussi, le choix de la salle. Écoutez, moi, je ne suis pas un grand fan de l'Alhambra. Je trouve que déjà, quand il y a beaucoup de monde, etc. Le son, je ne le trouve pas si bien que ça. Alors là, il était très bon, donc j'étais très content. Mais j'avoue que j'ai vu énormément de concerts là-bas et j'ai toujours trouvé cette salle Pas du tout agréable. Le plafond trop bas, parce qu'il y a les gradins... Moi ça m'oppresse, je sais pas, je me sens mal dans cette salle. [02:00:30] Speaker E: Pour le plafond avec les gradins, ça je peux comprendre par contre. [02:00:33] Speaker D: Ah putain, même moi quand je suis de haut, ça m'arrive là, donc il y a un moment, si tu mesures 1m82, tu peux pas passer quoi, donc... [02:00:40] Speaker B: Pas ce problème ! [02:00:45] Speaker D: Tu peux passer, vas-y, on te verra passer devant les caméras. [02:00:47] Speaker B: Non mais vas-y, t'as le droit ! [02:00:49] Speaker C: Vas-y ! [02:00:49] Speaker B: Tu sais, on est là, on est. [02:00:50] Speaker D: Libre ici, c'est punk comme émission. Fais un coucou à la caméra ! [02:00:56] Speaker B: C'est. [02:01:01] Speaker D: Du direct, on ne ment pas. Mais par contre, hyper bien. Il crie quand même, et il ne chante plus comme un canard. Parce qu'au début, ce qui était très reproché aux chanteurs de Bifi Claéro dans ce groupe-là, c'était de faire... comme ça quand il criait. Et là non, maintenant ça ressemble à du vrai scream, c'est bien fait. On sent qu'il est un peu frustré parce qu'il a envie de gueuler encore plus. C'est très rigolo parce que je ne m'attendais pas du tout à ça. Je me suis dit bon, peut-être qu'il doit être content quand il chante en clair. Non, non, il chante très bien en clair. De toute façon, bon, après, moi, je suis fan de Biffy Clairaut, donc peut-être que je n'ai pas le recul suffisant. Bon, il se met torse nu à un moment. Alors autant vous dire que moi, là, je m'en fous parce que ce n'est pas mon genre de mec, donc c'est pas ça. Mais par contre, il y a beaucoup de gens qui sifflent et qui sont très heureux quand ils se mettent torse nu. Pour les tatouages, je pense. [02:01:45] Speaker F: Ma question, c'est Alors il y avait. [02:01:48] Speaker D: Beaucoup de femmes quand même, c'était 50-50. [02:01:50] Speaker F: Est-ce que c'est des fans de Biffy. [02:01:52] Speaker D: Clairo qui aiment la musique extrême et. [02:01:54] Speaker F: Qui du coup vont voir parce que c'est son projet et on va voir un peu Biffy dans une petite salle ? Il y a Ocean Size aussi, c'est. [02:02:01] Speaker D: Là où je pense que le public se fait, malheureusement pour ce groupe. Je pense qu'il n'y a pas de vrais gros fans de ce groupe. Après c'est le début de leur carrière. Mais, et je suis désolé de ce que je vais dire, ce n'est qu'un jugement personnel avec une vision de ma personne de ce qui s'est passé, les femmes sont venues pour voir le chanteur, les mecs sont venus pour voir le guitariste. Parce que dès qu'il a enlevé sa veste, dès qu'il a enlevé sa chemise, il y a eu un raz-de-marée féminin devant et tous les téléphones étaient en train de... Mais j'trouve ça cool moi, j'ai aucun problème avec ça, j'trouve ça plutôt mignon et rigolo. Et par contre, tous les mecs, t'es comme ça. Pareil des mecs avec des très grandes. [02:02:35] Speaker B: Barbes, beaucoup de chauves aussi. [02:02:37] Speaker F: Ils ont dû faire les deux concerts. Il doit y avoir une carte de membre. [02:02:41] Speaker E: Il doit y avoir un autobus de chauves à Grosse-Beubard qui ont déferlé sur. [02:02:46] Speaker D: Paris, ils ont fait le double. Un voyage organisé. Mais c'est vrai que j'ai rigolé aussi qu'il y en avait quand même pas mal. Et eux, ils étaient vraiment dirigés vers le guitariste avec leur bière, en mode, c'est quand même bien, c'est technique, en train de bouger la tête un peu, en mode, j'acquiesce, je vous dis bravo. Et c'est très bien aussi, je m'en bats les couilles, mais il y a beaucoup de gens de... J'ai croisé quelques youtubeurs et quelques influenceurs qu'on commence à connaître du milieu métal, qui étaient aussi, et des gens d'anciennes radios, enfin d'anciennes radios, des anciens animateurs radio avec qui j'ai travaillé, qui étaient là aussi. Je trouve ça triste qu'ils n'aient pas plus de reconnaissance, après c'est très particulier, mais ça joue très très bien en vrai. Et la bassiste ! [02:03:31] Speaker B: Ah oui c'est aussi d'une femme, c'est vrai. [02:03:32] Speaker D: La bassiste, la batterie c'est Dave Lombardo aussi, il était là. Qui d'ailleurs a serré la main à tout le monde, qui était hyper sympa. De toute façon Dave Lombardo il a ses moments où il pète plus haut que son cul, enfin il a le. [02:03:44] Speaker B: Droit en même temps. [02:03:46] Speaker D: Et puis il y a des moments où en fait il est au mieux de tout le monde et puis il s'en fout, il est très très humain. Et cette bassiste, je ne sais pas qui elle est, je suis désolé, je ne me suis pas plus renseigné. [02:03:53] Speaker F: Je l'avais cherchée, j'ai peur de dire une bêtise, mais il me semble qu'elle n'est dans rien de très connu. [02:03:59] Speaker D: On s'est dit qu'elle devait faire partie d'un groupe de première partie de Bific. [02:04:01] Speaker B: L'Héros, il a dit, allez viens ! [02:04:03] Speaker D: Je sais pas, j'ai peur de dire. [02:04:04] Speaker F: Une bêtise, mais il me semble que c'était rien, elle est dans la scène musicienne et elle est dans le groupe, je crois. [02:04:11] Speaker D: Elle joue hyper bien, c'est déjà une chose, et elle a une attitude, j'adore ! Parce qu'en fait, elle joue et puis il y a des moments où il n'y a pas de basse. Donc elle s'arrête de jouer, elle pose sa main sur sa basse et puis elle est comme ça et elle regarde vraiment mais dans un vide absolu. Tu sais, ce vide absolu. Mais tu sens qu'elle le fait exprès. Et c'est son rôle. Et donc tu la regardes et en fait tout le monde fasait sur elle. [02:04:33] Speaker B: En mode « Putain, c'est singulier ». [02:04:34] Speaker D: « Qu'est-ce qui va se passer ? [02:04:35] Speaker B: ». [02:04:35] Speaker D: Et tu sais, elle ne bougeait pas. T'es vraiment comme ça, genre en mode « De toute façon, je m'en fous de ce qu'ils font, c'est de la. [02:04:39] Speaker B: Merde donc moi quand je joue, c'est cool ». [02:04:42] Speaker D: Et en fait, elle avait une attitude qui était vraiment amusante. Et puis des fois, quand elle recommence. [02:04:45] Speaker B: À jouer, elle fait « Ah ! ». [02:04:47] Speaker D: Ok et puis elle jouait franchement c'était hyper bon enfant même si j'avoue que Mike c'est ça il s'appelle Mike le guitariste d'Ocean Size bon désolé si c'est pas son prénom qui fait quand même alcoolique quand je le regardais je me disais putain il y a un truc qui est un peu triste moi ça m'a un peu les cheveux gras Et. [02:05:06] Speaker F: Ça c'est le rock ça ? [02:05:08] Speaker D: Ouais ben c'est ce que je dis, l'alcoolisme. Je veux dire, je fais partie du rock aussi, je sais. En fait en le regardant je me disais, tu sais Pierre il a plus de cheveux que moi donc la chance que j'ai c'est que moi j'en aurai qu'un et ça se verra pas. [02:05:20] Speaker F: De toute façon il est en travers. [02:05:23] Speaker D: Mon côté Homer Simpson, j'en aurai deux quoi. Ou Laurent Fabius. Je ne sais pas trop lequel est le meilleur. [02:05:30] Speaker B: Enfin, il y en a un qui. [02:05:32] Speaker D: N'A pas participé à l'affaire. [02:05:33] Speaker B: Bon bref. [02:05:35] Speaker D: On va éviter d'en parler. Mais non, je ne sais pas. Après, il est fascinant et il a l'air tellement gentil. [02:05:41] Speaker B: Mike Venart. [02:05:42] Speaker D: Oui, c'est ça. Et donc, je ne me suis pas trompé dans le prénom. [02:05:45] Speaker B: Merci. [02:05:46] Speaker F: Je n'arrive pas à vous le dire d'ici, mais Legend Lolo. [02:05:49] Speaker D: Evidemment, Legend Lolo, notre meilleur auditeur qui vient de Bordeaux. [02:05:53] Speaker F: Il ne peut pas être parfait. [02:05:57] Speaker D: C'est une belle ville de Bourges quand même. C'est pas moi qui l'ai dit. J'adore les villes de Bourges, je viens d'Aix-en-Provence. [02:06:03] Speaker B: C'est vrai. [02:06:03] Speaker D: Le calisson, ils sont où le calisson ? Mais tu veux que je t'en ramène ? [02:06:07] Speaker B: Bah ouais, grave ! [02:06:08] Speaker D: Mais par eux, ils en ont des kilos et des kilos parce qu'ils détestent ça. [02:06:10] Speaker B: Putain, j'adore ça ! [02:06:11] Speaker D: Ils bouffent du maroilles et ils sont dans le sud, donc toi... D'accord, ramène-moi. [02:06:13] Speaker F: Les calissons s'il te plaît. [02:06:15] Speaker D: J'en ramène un plein, pas de problème. Voilà, mais c'était un très très bon concert et sincèrement, s'il repasse, je conseille à n'importe qui d'aller le voir parce que c'est hyper bien fait, le son est incroyable et c'est hyper bien interprété. Alors en première partie, Je ne sais plus le nom du groupe qui est passé. Les Britanniques, ça c'est sûr et certain. Parce que l'accent sentait la bonne banlieue britannique. Et c'est un mec qui déclame. Donc il y a un vrai batteur et il y a des mecs qui ont des machines. Plein de pédales, des synthés et des trucs à brancher à des modulaires. Et puis c'est ça tout le temps, en tapant sur le sol sur les pédales comme ça. [02:06:52] Speaker B: Et puis y'a des halulateurs qui ressemblaient. [02:06:56] Speaker D: À un mix entre Guilux et Obélix. [02:06:59] Speaker B: Qu'est-ce que c'est que cette description ? [02:07:00] Speaker F: Est-ce que c'est pas le groupe avec... Avec le batteur de Cavallera ? [02:07:07] Speaker D: Non. [02:07:07] Speaker E: Igor ? [02:07:07] Speaker B: Non, non, non. [02:07:08] Speaker F: Igor, avec Igor, le nouveau projet, il était en première place de Converge, non ? [02:07:10] Speaker B: C'était pas ça ? [02:07:11] Speaker D: Non, alors c'est pas lui, ça c'est sûr. C'était vraiment un mix entre Guilux et Obélix. [02:07:16] Speaker B: Et d'ailleurs, le mec, je me suis dit, putain, j'ai trop envie de rencontrer. Ben, Cavallera, non ? [02:07:20] Speaker F: Je vois pas le style d'écrit parfaitement. [02:07:22] Speaker B: C'est vrai, c'est vrai. [02:07:24] Speaker D: Il manquait un ménir en tout cas, mais ça aurait été parfait. Non mais c'est pas méchant dans ma bouche. Et enfin, attention, ne comprenez pas ce. [02:07:31] Speaker B: Que vous voulez comprendre aussi dans cette phrase. [02:07:32] Speaker F: Alors c'est vrai qu'il y a Didier. [02:07:34] Speaker B: Salut Didier ! [02:07:34] Speaker F: Bisous Didier ! qui dit auteur et punisher, non il est tout seul auteur et punisher. [02:07:39] Speaker E: Il y a un guitariste sur scène auteur et punisher. [02:07:41] Speaker F: C'est vrai maintenant il y en a un ? [02:07:42] Speaker B: Oui. Ah ok d'accord. [02:07:43] Speaker F: Et il y a quelqu'un qui dit, pareil Legend Lolo, qui dit Benefits, je ne connais pas. [02:07:49] Speaker D: Ah si c'est ça je crois. Benefits ? Je crois que c'est Benefits ouais. Oui c'est ça, parce qu'il l'a dit à la fin. [02:07:55] Speaker F: Attentif, t'es attentif aux fins de chansons c'est bien. [02:07:57] Speaker D: J'essaie de comprendre ce qu'il racontait. parce qu'il avait vraiment un accent c'était rude. Et donc c'est comme dit Didier, c'était un petit peu comme si t'étais un vernissage d'un truc super contemporain avec tes boots. [02:08:09] Speaker B: Ça ressemblait un peu à ça. [02:08:10] Speaker D: Puis il racontait des trucs, il disait « Mais toi, toi tu rigoles ! » Il regardait les gens dans la. [02:08:13] Speaker B: Salle, « Tu rigoles ! Tu rigoles ! [02:08:15] Speaker D: Mais je vais te péter la gueule ! Mais on s'aime, on est tous égaux, magnifique ! [02:08:18] Speaker C: Oh ! [02:08:18] Speaker B: Connard ! [02:08:20] Speaker D: » Et donc il a un vrai visage de hooligan anglais, donc moi j'étais. [02:08:22] Speaker B: Un peu stressé, j'avoue. [02:08:27] Speaker D: J'avoue, j'y retournerai pas aller voir. Mais je conseille à tout le monde de le faire une fois dans sa. [02:08:30] Speaker B: Vie si c'est gratuit. [02:08:32] Speaker D: C'était une excellence. [02:08:33] Speaker E: Moi je pense que ça change une vie, il faut le voir chez soi. [02:08:35] Speaker D: J'ai applaudi parce que franchement, ça me mettait mal à l'aise. Et je pense que son discours, je ne comprenais pas tout ce qu'il disait, mais je pense qu'il y a un vrai fond qui parle de la société britannique et qui parle de tous les mauvais côtés de la société, le côté capitaliste, les problèmes financiers qu'il y a au Royaume-Uni. On sait bien que la situation n'est pas fameuse. Mais c'est juste qu'il fait très peur. Par un mec qui met un t-shirt de foot des années 90, qui est chauve, blanc, avec des yeux bleus et qui crie. [02:09:02] Speaker F: C'est Ilan ça non ? [02:09:04] Speaker B: Il avait pas de barbe. Ilan a une barbe. À la défaut d'avoir les cheveux, il a fait à l'envers. [02:09:14] Speaker D: Mais je reprends une blague qui était faite sur Ben. Donc ça c'est une chose. J'en suis où ? J'en suis là ? J'en suis à Emile and the Sniffers. C'est ton choix. [02:09:25] Speaker B: C'est mon choix. [02:09:32] Speaker D: Tout à l'heure on en discutait donc de ces femmes, enfin en antenne, de ces femmes qui font du hardcore, de. [02:09:37] Speaker A: Ces femmes qui font du punk. [02:09:39] Speaker B: C'était quoi Evelyn Thomas ? [02:09:40] Speaker C: Non ? [02:09:41] Speaker A: On parlait pas d'Evelyn Thomas en fait. [02:09:42] Speaker D: Non mais elle était alcoolique aussi. Je ne me moque pas d'elle, attention, je dis juste une vérité. Mais oui, Emilienne de Sniffers qui est un groupe qui cartonne, qui s'est bien installée avec cette chanteuse qui a un vrai symbole. [02:09:57] Speaker A: Elle est incroyable cette meuf. Elle est australienne, c'est ça ? Elle est australienne. Déjà, je ne sais pas, toi qui ne comprends pas l'anglais, là, Emilienne de Sniffers, dès qu'elle parle, c'est... Tu ne vites rien. [02:10:12] Speaker B: Ok ! [02:10:13] Speaker A: Elle est trop cool, j'avais vu justement sa remise aux Australian Awards. [02:10:20] Speaker B: C'est parce qu'elle est australienne, c'est pour ça. Oui c'est pour ça, c'est vraiment bien. J'ai compris en anglais. Le mec ne nous écoute pas depuis. [02:10:26] Speaker A: Le début de l'émission. [02:10:27] Speaker B: Non parce qu'on nous pose la question. [02:10:29] Speaker F: De Bob Dylan mais on va en parler. [02:10:31] Speaker A: Et donc c'est vrai qu'Emilienne Desnifers, elle est quand même pote avec tous les gens les plus cools du moment, faut le dire. Moi je l'ai vue sur énormément de featurings, très très cool justement, sur YouTube. J'ai dû connaître ça grâce à YouTube. Pendant le confinement, elle faisait un duo avec Viagra Boys. Avec le fond dégueulasse. [02:10:58] Speaker D: Le principe de Viagra Boys, c'est un visuel qui est moche. [02:11:00] Speaker A: Mais moi j'adore en fait, c'est ce new punk aujourd'hui, il est un peu crado, le son est saturé, ils s'en batent les couilles de leur apparence, elle a toujours des tronches. [02:11:11] Speaker D: Et il y a plus de femmes aussi. [02:11:12] Speaker A: Elle est géniale parce qu'elle assume complètement, elle a une énergie incroyable sur scène, j'ai pas encore vu en concert, mais je rêve. [02:11:19] Speaker D: Après ils s'appellent des sniffers. J'imagine bien qu'il y aura une histoire derrière. [02:11:25] Speaker A: Et bref en tout cas sur scène moi elle me bluffe de ouf et j'aurais aimé avoir ce genre de modèle en fait quand j'écoutais du punk ou du métal quand j'étais ado. D'avoir des meufs comme ça, il y en avait beaucoup dans les années 90 déjà, on peut recenser beaucoup. [02:11:40] Speaker D: Oui, bien sûr, on en a déjà parlé avec L.A. Seven qui sont d'ailleurs toujours, peut-être un peu moins aujourd'hui, mais les dernières. [02:11:48] Speaker A: Il y avait quand même énormément de nanas qui étaient très présentes au quotidien, dans les clips, même sur des trucs un peu plus rock classique. Aujourd'hui, d'avoir des nanas comme ça, moi je trouve ça hyper cool. D'avoir l'énergie qu'elle a, le discours qu'elle a, l'inclusivité, tout ça. C'est ce qu'on a besoin aujourd'hui aussi dans le métal, on a besoin de ce genre de personnes qui donnent de la motivation, du bonheur, l'envie de faire du métal en tant que nana. Et qu'on peut être en mini-slip à se déhancher sur scène, il faut assumer quoi, c'est cool. [02:12:23] Speaker D: Bien sûr, il faut assumer et je pense au public aussi qui doit regarder ça comme une performance et peut-être pour certains éviter d'avoir ce regard un peu pervers. J'ai vu Coach Party, deux meufs, deux mecs, parce que leur travail dans ce groupe c'est vraiment aussi de travailler sur la parité, etc. On va pas partir dans le détail mais il y avait quand même des vieux qui étaient dans le truc. J'étais là, je me suis dit putain, c'était... Il y a 2-3 personnes que je trouvais ça hyper malaisant. Même moi, c'est con à dire, tu es là, tu dis mais arrête. Au milieu du public qui danse, t'as un vieux qui était là, qui matait, mais qui était genre fixé dans ta tête, il va la tuer, il va se passer un truc, t'es le truc horrible quoi. Donc il y a un travail encore là-dessus je pense. [02:13:11] Speaker A: C'est vrai qu'elle est rarement très très habillée, Emile Endesnifers, dès que tu la vois. Donc justement, c'est hyper cool aussi de montrer qu'on n'est pas tout le temps dans la sexualisation des corps. Et que tu peux faire de la très bonne musique, tu peux faire du bon punk, un peu shlag aussi, c'est ça qui fait plaisir. [02:13:26] Speaker B: C'est vrai qu'ils sont un peu shlag. [02:13:28] Speaker A: Le new punk, je suis très très fan dans le côté un peu shlag. [02:13:30] Speaker D: C'est un shlag bien travaillé quand même, attention. [02:13:32] Speaker A: On est d'accord, les Viagra Boys, ils étaient quand même complètement shlag. [02:13:35] Speaker D: Oui, à la base, ils étaient vraiment shlag. [02:13:38] Speaker F: C'est les gels viveldop et fait décoiffé. [02:13:40] Speaker B: Qui ne marchait pas ! Est-ce que c'est du gel déjà ? [02:13:45] Speaker A: Parce que si c'est pas un peu de bière ou de vomi en même temps... [02:13:48] Speaker B: C'est viveldop, donc c'est ça. [02:13:50] Speaker D: C'est un coup positif. Après Viagra Boy, c'est un peu le même penchant, c'est-à-dire que j'ai de la bedaine et je m'en fous. [02:13:58] Speaker A: On est dans le body positive finalement. [02:13:59] Speaker B: Viagra Boy c'est très body positive. [02:14:05] Speaker D: Non mais c'est bien qu'il y ait des meufs comme ça et puis c'est un groupe qui marche très bien et qui a de vraies bonnes valeurs. Vous parlez aussi du hardcore, il y a quand même vachement plus de... enfin je sais pas ce que vous en pensez mais je trouve qu'il y a beaucoup beaucoup plus de meufs. Alors est-ce que c'est les labels qui ont décidé enfin de se dire je crois que c'est le bon moment pour sortir ça parce qu'il faut savoir que dans les labels, on me l'a déjà raconté, c'est des filles qui travaillent dans Maison 10 qui m'ont dit Quand on recevait des projets féminins, même si c'était bon, on se disait, on ne peut pas sortir ça parce que c'est une femme. Mais bien sûr. Financièrement, ça ne va pas marcher. Parce que les gens, c'est une femme, donc elle ne fait pas partie de ces personnes qui sont autorisées. T'imagines le délire. [02:14:43] Speaker A: Bah oui, j'imagine bien. [02:14:44] Speaker D: Ça doit faire mal au cul. [02:14:45] Speaker B: Ça doit faire hyper mal à son. [02:14:48] Speaker D: Âme d'être une nana et de devoir dire des choses comme ça. [02:14:52] Speaker A: Mais c'est ça sur beaucoup de choses aussi. Dans le milieu du métal, en tant que nana, on est toujours à devoir se défendre et faire nos preuves. Que ce soit des musiciennes, que ce soit des meufs en off, que ce soit Lola Frichet, elle s'en est pris plein la gueule aussi. Pourtant, ça part évidemment d'une super cause de devoir valoriser les femmes qui sont sur et hors scène. Mais il n'y a pas que les nanas sur scène qui écoutent du métal, enfin qui font du métal. Il y a celles qui en écoutent aussi, qui ont besoin d'être valorisées. Et la preuve, comme je dis, ma commu, c'est des commus de nanas. métalleuses qui veulent se retrouver aussi dans des personnes qui font autre chose que de la musique et c'est important d'être un peu solidaire là-dessus. [02:15:36] Speaker D: On doit l'être d'ailleurs. Je suis d'accord, on va recevoir dans deux semaines je crois si j'ai pas de bêtises Les femmes s'engagent, ça fait partie des femmes s'en mêlent. Ils ne sont pas dans le combat, mais en tout cas, ils veulent donner des outils pour que les femmes puissent se renseigner sur des tas de choses. Comment créer un morceau, comment se faire aider, comment se mettre en relation entre elles aussi de manager, de label, etc. Celles qui veulent apprendre à faire du montage son ou des trucs très techniques. Je trouve ça trop cool qu'aujourd'hui, il y ait des choses qui se passent comme ça, parce que ce n'était pas... [02:16:12] Speaker A: Même les années 2000, c'était pas ça non plus. [02:16:13] Speaker D: On parle des années 90, c'est pas bien. [02:16:17] Speaker A: C'était pas ouf et moi j'ai toujours rêvé d'avoir un groupe de rock féminin. J'étais très très fan des Riot Girls. Et ça n'a jamais pu se faire. Pourquoi ? Parce que dans mon bled, les gens qui faisaient de la musique c'était des mecs. Et les mecs ils faisaient quoi ? Et ben ils se tapaient les groupies. Non mais c'est con mais c'était clairement comme ça. Donc moi qui essayais de m'intégrer un peu dans le groupe, ça a été un peu la problématique. C'est que finalement, je ne me suis pas tapé tout le groupe, je vous rassure. Mais en fait, tu essaies de les connaître et tu sors avec le batteur ou le chanteur, peu importe. Enfin, quand t'es une nana, en fait, tu commences entre guillemets par être groupie pour essayer d'intégrer le monde de la musique. Et en fait, c'est naze, en fait. Ce genre de choses un peu systémiques, de dire, ouais, les nanas, c'est des groupies, machin et tout. Alors qu'en fait, toi, ce que tu veux, c'est rentrer dans ce milieu-là, d'être reconnu dans ce milieu-là, peut-être en faire des choses. Et peu importe le biais. Donc moi, pour le coup, c'est la cuisine. Mais il y a plein de nanas qui veulent faire de la musique et qui ne savent pas comment s'y prendre ou comment faire. J'espère arrêter de vous taper des mecs dans les groupes. Ce n'est pas une bonne manière de. [02:17:24] Speaker D: Faire pour faire de la musique, pour se faire respecter. Chacun fait ce qu'il veut. Si c'est pour le plaisir, on ne peut pas juger. [02:17:37] Speaker A: Vous savez, si c'est un mec d'un. [02:17:39] Speaker D: Groupe connu, quoi qu'il arrive, même si c'est des gens gentils... Non, c'est pas bien. Pas pour vous, mais c'est que cette personne, elle est pas bien, quoi qu'il arrive. Elle utilise un petit peu son pouvoir aussi, ça fait partie du truc. Donc Meffi, comme on dit. C'est l'italien, non ? [02:17:54] Speaker B: Non, c'est du sud. [02:17:55] Speaker F: Ah d'accord. [02:17:56] Speaker D: C'est un mélange entre plusieurs cultures. [02:17:58] Speaker B: Je me tairai là, je m'arrête là. [02:18:01] Speaker D: Bon bah on va regarder ça en tout cas. On va regarder ça, pardon. [02:18:05] Speaker B: On a regardé ça. Non, on va regarder ça. [02:18:09] Speaker D: C'est dur, ouais. Il est quelle heure ? [02:18:13] Speaker B: On est où d'ailleurs ? Il est 20h30, écoute. [02:18:16] Speaker D: Emile & The Sniffers avec donc Security. En plus le titre parle de lui-même. Il n'y a pas plus à dire dessus. [02:18:24] Speaker A: Je ne pense pas, je ne pense pas. [02:18:26] Speaker D: C'est parti. Emile & The Sniffers choisi par Se Fair Food. [02:19:40] Speaker C: On a regardé, on a essayé... à suivre. [02:24:56] Speaker F: C'était les nuages riens avec été final. [02:24:59] Speaker D: En français c'est toujours moins sympa quand même, on va pas se mentir. Il y a beaucoup de paroles aussi de groupes britanniques anglophones. [02:25:06] Speaker F: T'as des nouvelles d'Alex Le Normand ou pas ? [02:25:09] Speaker D: Je crois qu'il fait la gueule. [02:25:10] Speaker B: C'est vrai ? Je l'imagine. [02:25:13] Speaker D: C'est belle, j'ai pas été sympa. [02:25:15] Speaker B: Petite pute, petite pute. [02:25:18] Speaker D: Petite, je suis pas trop d'accord, mais après, j'ai quand même un nom, je suis quand même pas n'importe qui à ce niveau-là. [02:25:24] Speaker F: Ah non. [02:25:24] Speaker B: The bitch. [02:25:28] Speaker D: Cloud Nothing avec ce fameux morceau Final Summer. Pourquoi j'ai choisi ? Juste parce que j'aime bien. Vous avez vu, il n'y a même pas de clip. C'est-à-dire que là, j'en suis arrivé à un niveau où je m'en fous complètement. Je passe le truc parce que je trouve la chanson hyper sympa et c'est sorti il y a 4 jours. C'est un groupe que je vous conseille d'écouter si vous aimez bien sûr le style, si vous n'aimez pas ce genre de musique. qui peut être d'ailleurs très... On parlait de musique soporifique, ça fait partie de ça aussi un peu, Cloud Nothings, pour ceux qui aiment quand il y a du rythme. [02:26:00] Speaker B: Non, ça va, c'est cool. Je pense à toi. [02:26:04] Speaker D: Tiens, baisse ton micro, mets-le dans le sens où... Et pas devant ta tête, comme ça on te voit mieux, parce que t'es magnifique, donc ça serait bien. [02:26:12] Speaker B: Salut. [02:26:13] Speaker D: Salut toi. [02:26:17] Speaker B: Tu connaissais Cloud Nothings ? [02:26:18] Speaker A: Pas du tout. [02:26:18] Speaker D: Absolument pas. Si c'est quelque chose qui t'a intéressé, je te laisserai te renseigner. Si ça ne t'a pas intéressé... [02:26:24] Speaker A: Eh ben je n'irai pas me renseigner. [02:26:28] Speaker B: Merci Pierre, merci. [02:26:31] Speaker D: Je me tourne vers le monsieur. Là c'est un groupe, je pense, toi tu connais, j'en suis sûr, He's Legend, tu connais ? [02:26:36] Speaker F: Ouais, oh c'est vieux ça ! [02:26:38] Speaker D: C'est vieux, mais ils ont encore de l'actualité He's Legend. [02:26:40] Speaker E: Ils ont encore de l'actualité, ils ont sorti un album l'an dernier en fait. [02:26:43] Speaker B: Tu connais He's Legend ? [02:26:46] Speaker A: La meuf ne connaît rien en fait. [02:26:47] Speaker B: Tu peux pas connaître tous les groupes. [02:26:48] Speaker D: Du monde non plus. J'écoute de la musique tous les jours et il y a un paquet de groupes très différents et à chaque fois que je sors il y a quelqu'un qui me dit « Ah tu connais machin ? » Ah non. Donc tu vois, ce n'est pas possible, tu ne peux pas tout le connaître, ça, c'est juste une vérité. [02:27:01] Speaker E: Ilz Legend, par exemple, moi, je ne connaissais absolument pas jusqu'à ce qu'une amie m'envoie un album, donc l'album qui s'appelle, je crois, It Hates You, et que j'ai beaucoup aimé, donc je la remercie chaleureusement. Bisous, Raphaël, si tu nous écoutes. Ilz Legend, donc groupe américain de Caroline du Nord, il me semble, qui est Assez inclassable, qui est assez inclassable, qui est quelque part entre metal alternatif, post hardcore, parfois un peu southern rock, avec des sonorités un peu du Bayou, des trucs comme ça. [02:27:31] Speaker F: Moi je les ai très connus à l'époque justement où c'était très Bayou, où il y avait ce groupe-là, il y avait Melly and the Sons of Disaster, qui était un autre groupe aussi dans la même mouvance. Un petit peu Sarthan Rock, Bayou, etc. Effectivement, ils avaient tourné ensemble, je les avais vus ensemble à Paris. [02:27:47] Speaker D: Et puis ils ont beaucoup évolué aussi, les Junshu. Là, quand tu prends les derniers sons... Ah ouais, c'est dingue. C'est pas pareil. C'est gros maintenant. Enfin, il y a un gros son aussi, qui est beaucoup plus... Je sais pas, avant c'était un son qui était assez roots quand même, non ? C'est assez roots, assez rock. [02:28:01] Speaker F: Et là, c'est vrai qu'il y a un petit côté un peu électro, un peu plus... Enfin, il me semble, c'est ça, un peu plus... [02:28:04] Speaker E: Un petit peu plus moderne. [02:28:05] Speaker D: En tout cas, la production, c'est... [02:28:07] Speaker E: La production est bien fat, ça sonne super bien encore je trouve, c'est toujours ultra efficace, ultra pain dans la gueule. [02:28:14] Speaker D: Je pense qu'on fait des efforts pour que ce soit un peu plus facile à écouter. [02:28:17] Speaker B: Un peu plus facile, oui. [02:28:20] Speaker D: Il faut mettre des guillemets quand même. [02:28:21] Speaker E: Il faut mettre des guillemets parce que bon, ça reste quand même bien rentre dedans, mais il y a du refrain, il y a des choses qui rendent la musique très accrocheuse, et puis moi j'ai un faible pour la voix de Schuylard Croom, le chanteur, qui a un petit grain qui rappelle parfois Matt Shadows de Avenged Sevenfold mais en un peu plus supportable à mes oreilles ou aux oreilles de beaucoup de gens je pense. [02:28:44] Speaker D: Tu veux dire James Selfie ou j'ai super joué ? C'est de la même famille en tout cas. [02:28:48] Speaker B: Mais il y en a un qui. [02:28:49] Speaker D: Est un peu plus sale que l'autre. [02:28:50] Speaker B: Je vous laisse choisir après. [02:28:54] Speaker E: Après, nos fans, c'est un event que je respecte, c'est un groupe que j'estime être injustement bâché trop souvent, donc voilà. [02:29:01] Speaker D: C'est des cons, c'est des cons, c'est pas bon. [02:29:03] Speaker E: Après, je ne les connais pas personnellement, si tu les as côtoyés, ça serait intéressant d'avoir ton retour. [02:29:09] Speaker B: On pourra le faire. [02:29:12] Speaker E: Mais du coup, By His Legend, j'ai choisi un morceau de leur dernier album qui est sorti l'an dernier. Mais ils viennent de sortir un clip à l'occasion d'Halloween, un clip que je trouve assez sympa, avec de la marionnette, avec des ambiances un peu spooky, etc. Donc pour le titre éponyme de l'album qui s'appelait Endless Hallway. Et je trouve ça toujours assez cool. [02:29:32] Speaker D: Il y a des grosses courges. [02:29:33] Speaker E: Il y a des grosses... Pardon, c'est ce qui m'intéresse. [02:29:37] Speaker D: Bah écoute, tu verras, ce sera la surprise. C'est un groupe, moi, que par contre, j'ai pas forcément compris à l'époque, parce que c'est pas récent non plus, donc on va pas se mentir. Mais à l'époque, j'avoue que j'avais pas compris, c'était un truc qui ne me touchait pas. Et puis avec le recul, je trouve que c'est un groupe qui a vraiment toujours été différent, en tout cas qui essaie d'avoir sa patte. [02:30:03] Speaker F: Et qui était très bon en fait. [02:30:05] Speaker D: C'est quand même assez ouf et puis sur scène c'est pas mal aussi. [02:30:08] Speaker E: J'ai jamais eu le privilège de les voir par contre. [02:30:10] Speaker D: Je les ai vus une fois mais. [02:30:11] Speaker F: J'Ai oublié, je ne sais pas. [02:30:14] Speaker B: Je ne pourrais pas. [02:30:15] Speaker D: C'est les choses qui arrivent, il y. [02:30:15] Speaker B: A beaucoup de concerts où je me. [02:30:16] Speaker D: Dis absolument « Ah j'y étais ? Ah bon bah d'accord. [02:30:18] Speaker B: » Je devais être au bar en basse a priori. [02:30:21] Speaker D: Ou j'ai dormi depuis. [02:30:23] Speaker B: Bon bah on va regarder ça alors. [02:30:24] Speaker D: « He's a legend » avec donc ce titre qui s'appelle « Endless Hallway ». Je sais. [02:30:30] Speaker B: Les « H » aspirés, c'est celui-là. « I will always love you », c'est ça ? Pardon ? [02:30:33] Speaker F: « I will always love you ». [02:30:35] Speaker E: Oh, c'est mignon. [02:30:37] Speaker B: Elle est morte. [02:30:42] Speaker E: C'est moins mignon. [02:30:42] Speaker B: Elle est morte. Bah c'est vrai. Oui c'est vrai, effectivement. [02:30:46] Speaker E: Écoute, c'est en fait établi. [02:30:48] Speaker D: Bon bah voilà, pour se remonter le moral, du coup, on va regarder ce clip. [02:30:51] Speaker B: Voilà, c'est bien, allez. [02:30:53] Speaker D: He's legend. [02:31:50] Speaker C: C'était super ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! So I wander through the night Dragging my feet under the lights Cause nobody wants to, nobody wants to see. [02:35:59] Speaker B: Et. [02:35:59] Speaker C: C'Est si proche J'ai fait de moi-même une picture pour cacher le vrai problème Parce que dans ce monde pleine de gens Je n'ai jamais senti autant De merde, tellement de merde Donc je me demande I wander through the night Dragging my feet under the lights Cause nobody wants to, nobody wants to sink Bang bang ! [02:38:10] Speaker D: Oakman, voilà, Oakman, Voilà, excusez-nous, c'est vraiment punk cette émission. Finalement, ça ressemble vachement à ce qu'on faisait avant. [02:38:17] Speaker F: C'est vrai ? [02:38:18] Speaker D: Est-ce que tu veux dire que tout. [02:38:19] Speaker F: Ce qu'on fait va devoir toujours ressembler. [02:38:21] Speaker B: À ce qu'on faisait avant ? [02:38:22] Speaker F: C'est-à-dire n'importe quoi ? [02:38:24] Speaker B: C'est ça, un vrai gros bordel. [02:38:25] Speaker D: Mais en même temps, s'ils s'amusent les gens et que nous on est plutôt à l'aise, c'est bien. On s'amuse aussi. On appelle ça un retour aux sources. [02:38:33] Speaker B: C'est le principal. [02:38:34] Speaker F: J'ai une ratatouille d'olive dans la bouche là. [02:38:38] Speaker D: Désolé, j'avais plus que ça, je sais. [02:38:39] Speaker B: Même pas d'où ça sort. [02:38:40] Speaker D: J'ai dû acheter ça en me disant tiens, ça a l'air formidable. [02:38:42] Speaker B: Mais c'est pas mal, c'est pas mal. [02:38:44] Speaker F: Ça reste un peu coincé dans les dents. [02:38:46] Speaker D: Pour l'instant, je vais parler d'Oakman, qui est un groupe français, c'est des Lyonnais. Je sais qu'à chaque fois que je dis ça, on me dit « ouais mais Pierre, arrête de dire ça parce que ça veut dire que les groupes français sont mauvais ». Non, j'aime énormément les groupes français, mais dans la production, dans le choix du style musical, etc., ça fait quand même très international. Donc, on réglera l'ensemble vers le Royaume-Uni ou les États-Unis, mais ça marche très bien pour eux. Oakman, qu'on espère recevoir en interview, est-ce qu'ils seront surtout en concert ? Demain. C'est intéressant de savoir. C'est demain parce qu'ils jouent aux premières parties de Neck Deep, ça se passe à la Machine du Moulin Rouge, avec Two Trains Left aussi, qui sont français aussi. Et donc ils nous ont dit, si vous voulez, on vous file deux places, donc autant les offrir. Si vous avez envie d'aller à ce concert, demain, à la Machine du Moulin Rouge, donc à Paris évidemment si vous ne connaissez pas. Vous m'envoyez un petit email pierre-rstlss.com, rien de plus que votre nom, votre prénom pour que je puisse vous mettre sur la liste. N'hésitez pas à jouer parce que je sais qu'il y a plein de gens aussi qui ne jouent pas parce qu'à chaque fois ils me font non mais il y a tellement de gens qui doivent jouer. [02:39:54] Speaker B: Non. [02:39:56] Speaker D: Il y a des gens, mais vous. [02:39:58] Speaker F: Avez vraiment vos chances. [02:39:59] Speaker D: Oui, et puis vous ne pouvez pas gagner deux fois à la suite. Donc forcément, il y a des gens qui jouent tout le temps. Je ne vais pas offrir tout le temps les places à la même personne. Donc c'est bien aussi de varier les plaisirs. [02:40:08] Speaker F: Je change de prénom à chaque fois, moi. [02:40:10] Speaker D: On ne te donne pas comment faire. [02:40:11] Speaker A: Moi, je dois avoir au moins dix comptes Instagram. [02:40:16] Speaker B: C'est vrai ? [02:40:16] Speaker D: Il y en a qui font ça, vraiment. [02:40:18] Speaker A: Non, je le fais vraiment. [02:40:21] Speaker E: Il n'y a pas de petits profits, qu'est-ce que tu crois ? [02:40:23] Speaker D: Non, ça c'est vrai par contre, il n'y a pas de petits profits mais je n'ai jamais triché moi au jeu à la radio. [02:40:29] Speaker A: C'est pas triché d'avoir dit contre cette tête dit contre mais c'est pas vraiment de la triche je trouve. [02:40:33] Speaker D: Par contre quand je joue aux jeux. [02:40:34] Speaker F: De société j'adore tricher. [02:40:36] Speaker B: Voilà. C'est une information comme une autre. [02:40:39] Speaker E: Je ne rends donc jamais aux petits chevaux avec toi. [02:40:41] Speaker D: En tout cas, Hochman qui, je ne sais pas si j'ai le droit de le dire ou pas, tant pis, je prends le risque, vont sortir un album l'année prochaine. Ils sont déjà en train de travailler dessus. Et apparemment, ça va être assez fat, puisqu'il y a de prévu comme une espèce de communication internationale, donc un vrai élan pour que ce soit un groupe qui soit aussi fort aux Etats-Unis qu'en France. En France, il se passe des choses et on donne la possibilité à des groupes français de devenir internationaux et je trouve ça plutôt cool. Et puis c'est, on en parlait, mais c'est une femme aussi, c'est cool. C'est hyper assumé, il y a toujours un beau message d'Ankman. Je les aime beaucoup et on les recevra en session acoustique. Ça aussi c'est une promesse. Je le dis maintenant comme ça tout. [02:41:18] Speaker B: Le monde est au courant. [02:41:20] Speaker D: C'est pas dans mes habitudes de faire du chantage. [02:41:26] Speaker F: Ça tient pas très longtemps généralement. [02:41:30] Speaker D: Bon voilà, on va passer encore une fois à toi. Donc je rappelle, c'est notre invité pour ceux qui viennent de nous rejoindre, Audrey, qui donc se fait appeler sur les réseaux sociaux et surtout n'hésitez pas à l'ajouter, ça s'appelle se faire food, c'est pas compliqué. C'est un jeu de mots qui est amusant comme tous les jeux de mots qu'il y a dans ce magnifique bouquin. Qu'on vous conseille d'acheter, ça va être Noël, c'est pas cher et c'est hyper quali, c'est de ouf. Vous avez des recettes, vous avez des infos, vous avez de l'humour et une playlist musicale. Bon, je veux dire, il y a un moment, le boulot qui a été fourni, j'imagine. Putain, t'as du galérer, n'empêche. [02:42:08] Speaker A: T'as trouvé des jeux de mots ? [02:42:09] Speaker D: Ben non, ben trouver les jeux de mots, oui, mais enfin, c'est après... [02:42:12] Speaker A: Je veux dire, trouver les jeux de mots, en fait, tu fais une soirée entre potes, quelques bières, 2-3 chips, et puis après, c'est parti, quoi, c'est open bar, le truc. Tu commences par un, puis y'en a un autre qui enchaîne, et puis là... [02:42:22] Speaker B: Oh, il y en a quand même. [02:42:23] Speaker D: Plein qu'on peut pas écrire. Des jeux de mots. [02:42:26] Speaker A: Qu'On ne peut pas écrire. [02:42:27] Speaker D: C'est-à-dire que tu ne peux pas les publier, il y a des trucs, on fait des jeux de mots et on se dit bon là non c'est pas bien. [02:42:32] Speaker A: Bon il y a des trucs, c'est des groupes de rock donc en fait rock et metal normalement ça se passe. [02:42:37] Speaker F: Y'a quand même les bonnes boulettes des Falafels j'imagine ? [02:42:44] Speaker B: Les petites boulettes Forma Valentine. [02:42:48] Speaker D: En tout cas c'est meilleur d'avoir des boulettes comme ça que de voir Boulettes Forma Valentine. Je n'ai pas envie de dénigrer mais c'est quand même des sales cons. [02:42:58] Speaker F: Qu'est-ce que j'avais bouffé comme sushis là-bas ? [02:43:01] Speaker B: Je mettais en cuir un demi-plateau sushis grand comme ça. [02:43:04] Speaker D: On t'avait envoyé en Angleterre ? [02:43:06] Speaker B: Exactement. [02:43:07] Speaker D: Je ne me souviens que des sushis. [02:43:11] Speaker B: Voilà, c'est beau quand même le métier de journaliste ! Et là on me l'a fait avoir en tête, j'ai bouffé les sushis ! [02:43:18] Speaker D: En même temps t'as dû y aller pour une demi-journée ou un truc comme ça, non ? [02:43:21] Speaker F: Même pas, oui ! [02:43:21] Speaker B: T'es allé, t'as fait un interview, et. [02:43:23] Speaker D: T'As bouffé un plateau de sushis ! [02:43:25] Speaker F: J'étais le dernier à être interviewé à. [02:43:26] Speaker B: Passé, donc je me suis bouffé tout. [02:43:28] Speaker D: Le plateau de sushis tout seul. Ne gaspillez pas surtout ! [02:43:30] Speaker F: Ah bah non, ce serait dommage ! C'était très bon, merci Sony ! [02:43:33] Speaker A: Si le catering était adapté à chaque nom de groupe, ça serait très très drôle. [02:43:37] Speaker F: Ouais, exactement. [02:43:38] Speaker D: C'est vrai ? Il y a un truc à faire. [02:43:41] Speaker A: Les gens du catering, regardez les recettes, ils pètent des boulettes. [02:43:45] Speaker D: Non mais c'est intéressant, c'est vrai que je vais me balader avec ton bouquin et quand je croiserai des gens de Label ou de Maison Lys ou Tourneur ou je ne sais pas qui, les gens qui peuvent peut-être influer là-dedans, je vais leur dire, il y a ça, il faut lui demander. Non, quand même que tu gagnes un peu de thunes sur l'idée parce que sinon c'est pas... [02:44:02] Speaker B: Sinon qu'ils ne le fassent pas. [02:44:03] Speaker A: Moi c'est pas les bouquins qui me payent, on est d'accord. Moi c'est pour le fun, c'est très clair. [02:44:09] Speaker D: On est bien conscient qu'en tout cas de vouloir faire des choses passionnément... Oui. [02:44:15] Speaker B: Je suis vieux, je suis désolé. [02:44:21] Speaker D: Ça ne rapporte pas d'argent la passion. [02:44:23] Speaker B: C'est bien dommage. [02:44:26] Speaker F: Demande à Francky Vincent. [02:44:27] Speaker B: Lui il en a récolté tous les fruits effectivement. [02:44:30] Speaker D: Putain elle est nulle la tienne. [02:44:35] Speaker B: Ça m'a trop vénère. Faites un chiffon pour décider qui fait la blague. [02:44:40] Speaker E: Un jour t'apprendras. [02:44:45] Speaker D: Du coup je sais plus ce que je voulais dire. Ah bah oui, dans tes choix musicaux, t'as choisi Kim Dracula, moi je suis hyper fan. Et comme on disait, Horatian aussi, c'est quand même un artiste. [02:44:57] Speaker A: C'est très discutable pour certaines personnes en fait, ce genre de nouveaux artistes aussi. [02:45:02] Speaker D: C'est surtout quand, on est bien d'accord, les gens n'arrivent pas à les situer donc du coup ils sont perdus et en fait c'est pour ça qu'ils... [02:45:07] Speaker A: Alors je dirais qu'il y a deux choses, ils n'arrivent pas à le situer et en fait c'est une star de TikTok, c'est que le mec pose la question de est-ce qu'on peut devenir une star du métal en sortant de TikTok. En général les groupes vont se galérer, ils vont passer des années à faire des petites salles, à écumer les salles avant d'être connus et puis ensuite d'être sur les réseaux. Le mec en fait il fait une reprise de Lady Gaga Pour beaucoup de gens, rentrer dans le milieu du metal par une reprise de Lady Gaga peut déjà être discutable. Entre autres, moi j'adore Lady Gaga. Bref, pour moi ça n'enlève rien le fait que le mec ait du talent. Par contre, c'est vrai que c'est très particulier. C'est assez nouveau, c'est très particulier, il y a un mélange de tellement de choses qu'en fait, le mec il fait un camoulox en fait. [02:45:56] Speaker D: Complètement, c'est la raison d'une chanson, t'as 46 le musique donc tu peux te perdre quoi. [02:46:00] Speaker F: Moi je connais pas du tout. Là vous êtes en train de me teaser un truc. [02:46:04] Speaker E: Moi je connaissais pas avant de connaître ces personnes là. [02:46:08] Speaker F: Je crois que Pierre tu m'en avais parlé, j'ai dû écouter mais je suis pas sûr. [02:46:12] Speaker D: Il me fascine parce que... Déjà, clairement il est fan de Mike et Mickael Romans parce que sa coupe de cheveux et son attitude est très Mike et Mickael Romans dans l'ensemble. Attention, je fais une grosse généralité, je ne sais pas si c'est vraiment le cas mais il y a quand même un gros truc. Il est grand fan de Korn parce qu'il y a quand même des groupes plein de passages qui ressemblent à du Korn mais il y a du rap. [02:46:35] Speaker B: Il y a du T-Bridge, il fait du T-Bridge. [02:46:39] Speaker D: Mais il fait pas le canard quand. [02:46:40] Speaker B: Il s'agit d'un contre. [02:46:42] Speaker E: Fan de Deftones aussi j'imagine pour le nom ? [02:46:46] Speaker A: Non, ça pourrait être dû à Alice Cooper. Tu vois pour moi c'est très classique en fait comme construction de nom. T'as Alice Cooper qui l'a fait, t'as Marlene Manson qui l'a fait. Donc en fait on est quand même sur un pseudo très classique. [02:46:56] Speaker F: Je viens de l'avoir, Kim Kardashian et Dracula ? [02:46:59] Speaker B: C'est ça ? [02:46:59] Speaker A: Pourquoi pas ? [02:47:02] Speaker F: D'accord, ok. [02:47:03] Speaker D: Parce que lui aussi il met des culottes énormes. [02:47:05] Speaker F: Comme Dracula. [02:47:06] Speaker D: Exactement. Bah parce qu'il vole Dracula, donc il faut bien trouver une solution non ? [02:47:10] Speaker B: Je comprends rien à ces discussions. [02:47:13] Speaker D: Non mais effectivement ils mélangent tout. [02:47:15] Speaker A: Voilà donc tu vois pour moi par rapport à la construction déjà on est un peu sur de l'emprunt évidemment classique de la thématique métal et ensuite le mec il va te coller de la trappe, il va te coller du saxo, il va te coller une trompette qui débarque comme ça de nulle part. [02:47:30] Speaker D: Du jazz. [02:47:31] Speaker A: Du jazz, du pom pom pom. [02:47:34] Speaker D: Du quel style ? [02:47:34] Speaker F: Je ne connais pas ce style. [02:47:35] Speaker B: Le jazz, le pam-paloum-pam-pam. Le pam-paloum-pam-pam. [02:47:39] Speaker F: Tu parles d'aussi le pam-paloum-pam-pam. [02:47:40] Speaker B: T'as vu, je l'ai fait très très bien. Tu connais pas le pam-paloum-pam-pam ? [02:47:43] Speaker F: Non, c'est incroyable. [02:47:45] Speaker B: C'est jazz, hein ? Bah c'est jazz. J'adore le foot jazz. Il est bien free. [02:47:52] Speaker D: Il a tout compris. [02:47:52] Speaker A: Bref, en gros, et puis le mec il débarque du haut de ses 25 ans avec une espèce de grosse voix de tonton quand même parce qu'il faut. [02:47:58] Speaker F: Dire qu'il a une voix... Tonton David ? [02:48:01] Speaker B: Un peu. Tonton Dubled ? [02:48:05] Speaker A: Moins. Mais c'est vrai qu'il a une voix quand même plus adulte que ce qu'on pourrait imaginer. [02:48:15] Speaker D: Après son look, il est ni adulte ni enfant, il est fantastique. C'est-à-dire qu'il a à la fois Dracula, le Joker, Kim. [02:48:25] Speaker A: Je crois qu'une des questions les plus posées est Kim Dracula's gender sur YouTube. C'est vrai qu'après on verra sur le clip mais il y a de la transformation justement. On est complètement dans les codes, on parle encore comme des vieux mais des jeunes d'aujourd'hui. On est quand même sur des codes aujourd'hui qu'il faut utiliser et qui font aussi du bien d'avoir Pas seulement des mecs qui vont ressembler à Marilyn Manson, qui sont maquillés, etc. Lui a quelque chose de plus moderne en tout cas dans ce qu'il fait et dans sa démarche. Et justement qui parle à beaucoup plus de personnes. [02:49:02] Speaker D: Et puis tous ses clips ils sont chialés de ouf. [02:49:03] Speaker A: Outre la musique que moi mes potes détestent absolument. Ils ont fait « qu'est-ce que c'est. [02:49:08] Speaker B: Que cette merde ? [02:49:11] Speaker D: » Je vais parler au nom de Ben, il est pas là, de toute façon il pourra voir le replay donc ne m'en veux pas, mais il a cette phrase de dire « c'est trop chargé ». C'est très très chargé. Parce que ça va vraiment, ça va dans tous les sens. Après il a dit « je comprends pourquoi toi t'aimes bien parce que dans mon fonctionnement de cerveau, Tout paraît très clair. [02:49:27] Speaker A: On tease beaucoup pour tous ceux qui connaissent pas encore je crois. [02:49:30] Speaker F: Là le niveau est très très haut quand même. [02:49:33] Speaker D: Mais pour ceux qui ont une réflexion assez classique, qui marchent très bien et qui sont très organisés, ça peut être très compliqué. [02:49:39] Speaker A: Après j'avoue je trouve que c'est très jeune, c'est encore trop jeune cet album. C'est vrai qu'il y a un truc où il va falloir un peu plus de construction en tout cas en termes musical, il va pouvoir se reconcentrer sur certaines choses. Il y a beaucoup de répétitions sur les rires Il y a beaucoup de. [02:49:56] Speaker F: Trucs de prod qui répètent à chaque fois de chanson en chanson Il y. [02:49:58] Speaker A: A un côté cartoon aussi, enfin bref. [02:50:01] Speaker B: Il y a énormément d'informations Des saxophones. [02:50:04] Speaker F: Des cartoons, il y a du kebab. [02:50:06] Speaker B: Il y a tout Il y a. [02:50:07] Speaker E: Lady Gaga, ok d'accord. [02:50:13] Speaker D: Non mais tu vas voir, c'est incroyable. [02:50:14] Speaker A: Ça fait beaucoup pour une seule personne. [02:50:16] Speaker D: C'est un bon cassoulet musical. Si c'était un cassoulet, ça ferait vraiment. [02:50:21] Speaker B: De gros gros pets. Ok. [02:50:24] Speaker E: Très chargé, oui. [02:50:25] Speaker D: Non mais comme il a cartonné, en plus il a les moyens de faire des clips qui sont incroyables. C'est-à-dire qu'il n'y a pas un seul clip qui est nul. [02:50:32] Speaker A: Les clips sont très bons, mais je ne sais pas si vous l'avez vu, il a fait une tournée justement avec Avenged Sevenfold en première partie. [02:50:38] Speaker F: Il a fait la première partie d'Avenged. [02:50:39] Speaker B: Sevenfold quand même ? Ah oui d'accord. [02:50:42] Speaker E: J'ai eu peur, j'ai cru qu'il allait. [02:50:43] Speaker B: Griller toutes les étapes. [02:50:44] Speaker D: Il cartonne sur TikTok, mais après sur scène il faut quand même ramener les gens. [02:50:48] Speaker A: Le truc c'est que moi sur scène j'ai trouvé ça vraiment à chier. [02:50:51] Speaker B: Ah bah de toute façon je vois. [02:50:52] Speaker D: Pas sur scène comment il peut faire en vrai. [02:50:53] Speaker A: Tu vois c'est là où la limite entre la star de TikTok et puis des vrais groupes aussi de métal, c'est où on se pose la question de est-ce qu'un groupe de métal peut survivre ou est-ce qu'il peut créer un groupe de métal à partir de lui tout seul. Après il y a plein de questions qui peuvent se poser sur l'avenir aussi du métal ou du métal actuel. Lui sur scène il n'a pas du tout de background, il débarque en fait, il n'a pas de scénographie, il a essayé de faire un truc avec des tronçonneuses. Il est parti dans tous les sens, comme sa musique, et quand tu vois, c'est pas génial. [02:51:25] Speaker D: Après, entre faire des vidéos et enregistrer et faire vraiment quelque chose sur scène, c'est quand même pas le même monde. [02:51:30] Speaker F: Puis il est jeune, il a le temps d'apprendre aussi, il faut voir. [02:51:33] Speaker D: Oui, bien sûr. Moi, c'est simple, j'ai rencontré une personne de leur maison de disques française, qui est internationale, mais une personne française, et elle m'a dit « mais tu connais ? » et je lui ai dit « bah ouais ». On n'a jamais envoyé aucune communication là-dessus parce qu'on ne sait même pas à qui on doit parler. C'est une personne de mon âge. La quarantaine qui a dit... J'ai écouté, je n'ai pas su dire si je trouvais ça bien ou pas bien. On nous a mis ça dans les pattes et on nous a dit, allez, il faut qu'en France ça marche. En fait, pas besoin de nous. Il a dit sur TikTok, nous, des écoutes, on a des tonnes. Donc, il y a plein, plein de thunes partout. Mais comment le vendre et quoi raconter ? Et je dis mais il n'y a rien à raconter, tu le balances à tout le monde. Après c'est à chacun de faire son choix justement, c'est le côté moderne, ça touche tellement de trucs que ça peut aller partout. [02:52:25] Speaker F: Invite-t-on cet artiste ici ? [02:52:26] Speaker D: Ah mais moi j'en rêverais, par contre je crois que j'aurais peur de lui. [02:52:29] Speaker A: Oh non. [02:52:30] Speaker D: J'en suis sûr que j'aurais peur de lui. [02:52:31] Speaker A: Oh non, je suis sûre que c'est un petit chouchou. [02:52:34] Speaker D: Bon, je pense qu'il a... [02:52:36] Speaker B: Il a un pétocasque ! [02:52:39] Speaker F: Pierre arrive très bien à discuter avec les gens qui ont des pétocasques. [02:52:46] Speaker D: Je pense qu'il est un peu comme moi, c'est-à-dire qu'il n'y a rien qui va ensemble. Par contre, c'est des petits morceaux qui. [02:52:51] Speaker B: Sont mis dans tous les sens. [02:52:52] Speaker F: En fait, on les fait parler et puis après, on remonte tout dans un ordre propriologique. Ce n'est pas le fiction de l'interview. [02:52:59] Speaker D: J'avoue. Mais là toujours, ce qu'on fait, Alex, je faisais des interviews, puis en direct, c'était le pire. Parce que quand c'était pas en direct, à la limite, bon, c'est pas très grave, parce que moi, j'ai inventé des phrases. Après, ils le reconstruisaient, des fois, c'était même pas ma question. Ils disaient, mais ça va mieux si. [02:53:11] Speaker B: Je mets cette question. [02:53:13] Speaker D: Les derrières, les dessous des interviews de Pierre. Mais quand c'était en direct, je faisais. [02:53:19] Speaker B: Blablabla, et puis au bout de cinq. [02:53:21] Speaker D: Minutes, il est là. Putain, attends, il a dit quoi au début ? Et puis surtout, je n'ai pas compris. [02:53:26] Speaker B: Du tout le contexte. C'est vrai. [02:53:29] Speaker F: Ça me manque Pierre, tout ça tu sais. [02:53:30] Speaker D: Et puis tu te démerdes trop parce que tu regardais l'artiste et tu fais... Écoute, je vais te faire ma question parce que ça n'existe pas et je vais juste essayer de te dire ce qu'il a dit et puis c'était mort de rire parce que c'est pas banal quoi. Bon bref, Kim Dracula, donc je pense qu'il est un peu comme ça, un peu hyperactif, un peu dans tous les sens. [02:53:47] Speaker A: On ne l'a jamais entendu en interview, on n'a aucune interview de ce gars-là. [02:53:50] Speaker D: C'est vrai que je n'ai jamais cherché en fait. [02:53:52] Speaker A: J'ai cherché en fait parce que je voulais faire moi peut-être un petit set sur Instagram pour le faire découvrir justement parce que je trouvais ça tellement ouf. J'ai cherché des interviews, j'ai cherché qui c'était, on sait qui c'est quand même, qui vient de Tasmanie, mais on sait très peu de choses sur lui encore en fait. Le personnage cartoonniste lui va hyper bien. [02:54:11] Speaker B: Le diable de Tasmanie. [02:54:15] Speaker A: Et en fait je n'ai trouvé aucune. [02:54:16] Speaker B: Interview de ce mec encore. C'est très bizarre. Il y a beaucoup de mystères mystérieux. [02:54:22] Speaker F: On sera les premiers. [02:54:23] Speaker D: On sera peut-être les premiers. Il va falloir encore que je passe sous la table. [02:54:27] Speaker B: Bon, c'est pas très grave. [02:54:28] Speaker D: Au moins j'aurai de nouveau une vie sexuelle. [02:54:30] Speaker B: Parce qu'il n'a pas existé depuis. [02:54:32] Speaker D: Attendez, ça fait combien d'années ? [02:54:33] Speaker B: Je ne sais plus, je n'ai pas assez de doigts. Enfin, attention, je ne pars sur les mains. Je ne voudrais pas qu'il y ait un amalgame. [02:54:41] Speaker D: Bon allez, Kim Dracula avec Make Me Famous. [02:55:38] Speaker C: Juste like that And of course, we'll always give it to him It's enough to make you think It's enough to make you think It's enough to make you It's enough to make you LALALALALALALALALALA Bonsoir, Dracula. J'ai vu que tu étais occupé. [02:57:04] Speaker D: Tu voulais faire une entrée. [02:57:15] Speaker C: C'est la fin de cette vidéo ! J'adore jouer, j'adore causer des dégâts, c'est ce que ces utiles idiots méritent. Bientôt, je serai hommageé pour causer du mal, c'est pour ça que j'ai essayé de les protéger et les mériter. C'est votre capitaine qui parle, je vous ordonne de les donner tous un bon coup de main. Oui sir, je vous ordonne. Bang Bang ! C'est le moment de l'échec ! Musique douce ... Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Ils ont oublié et se sont perdus ! Tu n'as jamais rien dit ! [03:09:53] Speaker D: Je bouge toujours dans ces canapés, en. [03:09:55] Speaker B: Fait j'ai un ressort, ou alors c'est. [03:09:58] Speaker D: Qu'Il y a un sextoy dessous. [03:10:00] Speaker E: Écoutez, on était en pleine bataille de polochons, voilà. [03:10:03] Speaker D: Alors on vient d'écouter quoi là, c'était ? Slyft, avec le titre Ilion. [03:10:08] Speaker E: Jamais sans mon Slyft. [03:10:11] Speaker B: Voilà désolé. J'en ai plein d'autres, mais pareil, il. [03:10:14] Speaker D: Vaut mieux que je m'arrête là. Alors oui, je n'ai pas mis la session. Tu m'as envoyé toutes les infos qu'il fallait. [03:10:22] Speaker F: Je t'ai mis le lien et tout, et tu ne fais pas. [03:10:24] Speaker D: Effectivement, il n'y a pas de clip. [03:10:25] Speaker F: C'Est juste un visualizer. C'est juste, je suis abonné à Kay Expi, la chaîne qui fait beaucoup de sessions. [03:10:33] Speaker D: Et j'ai vu Slift, je me suis. [03:10:34] Speaker F: Dit, tiens, c'est étonnant que Slift repasse. [03:10:37] Speaker D: Et Slift c'est quoi ? [03:10:37] Speaker F: C'est un trio bordelais ? [03:10:39] Speaker B: Oui c'est ça, c'est en français. [03:10:40] Speaker F: Ce sont deux frères et un pote de collège ou de lycée qui ont monté ce groupe et j'avais déjà pris une grosse grosse claque sur la précédente session KXP qui avait été faite dans le cadre des... Le festival à Arène justement. Les Transmusicales. [03:10:57] Speaker D: Les Transmusicales, merci. [03:10:58] Speaker F: Transmusicales 2019, ils avaient fait un KXP spécial Transmusicales. Et incroyable, je m'étais dit, un gros groupe de noise, un petit peu sludge sur les bords, un petit peu stoner, c'est mortel. Et puis là, rebelote, je me refais encore avoir sur une session qui est EXP, complètement bluffé par ce morceau, par l'énergie qui dégage, par le fait qu'ils sont en train de... jouent leurs instruments d'une manière vraiment incroyable. En plus, il y a du synthé, il y a du chant de la guitare. Le mec fait les trois en même temps, c'est juste dingo. Et puis, comble pour eux du symbole, ils signent chez Sub Pop Records pour leur nouvel album qui sort en janvier 2024. Donc ça, c'est un extrait de leur nouvel album Illion. Je crois que l'album s'appelle Illion aussi. [03:11:42] Speaker E: Il s'appellera Illion. [03:11:43] Speaker F: Oui, c'est ça. Donc voilà, juste incroyable. Je me suis pris la classe, j'étais en train de bosser, les chansons commencent, je dis « ah putain, c'est bien et tout ». Puis en fait, j'ai arrêté de bosser, j'ai regardé la session. [03:11:54] Speaker B: Génial ! [03:11:55] Speaker D: Ça veut dire que ça a bien marché, oui. [03:11:56] Speaker F: Ouais, je trouve qu'il y a ce côté entre, des fois ça me rappelle Mars Volta, des fois ça me rappelle False dans le côté électro, il y a pas mal de synthés qui tournent derrière eux, des drones. Il y a un petit côté un peu Falls, il y a moi je trouve qu'il y a toute la scène Noise aussi qui est représentée dans leur musique et puis ça joue tellement bien que c'est foutraque mais très très bien joué. [03:12:19] Speaker D: Ouais enfin on foutra que c'est quand même... [03:12:21] Speaker F: On foutra que c'est chargé comme dirait Ben, c'est chargé. Y'a pas de saxo, y'a pas de trompette, y'a pas de mitraillette, non mais... [03:12:27] Speaker E: Y'a encore du saxo, y'a encore. [03:12:29] Speaker F: Y'a encore, y'a moyen. [03:12:30] Speaker D: Bah oui parce que moi je suis pas un grand connaisseur de Slift, moi j'avais vu la session effectivement. où je ne me suis pas forcément super arrêté dessus, j'étais juste très content qu'il y ait des français à chaque fois, il y ait des français sur KXP, je suis très heureux. Et j'avais redécouvert ça, tu connaissais ce livre toi ? [03:12:49] Speaker A: Non pas du tout. [03:12:50] Speaker D: C'est joli quand même. [03:12:50] Speaker A: Mais j'ai vu les sessions KXP justement des trances musicales qui sont très très cool, mais je suis passée à côté. [03:12:56] Speaker D: Non mais moi aussi. Par contre là où c'est fou c'est que ce soir quand je reçois les réclamations de mes collègues, Ils ont choisi tous les deux le même groupe. [03:13:05] Speaker B: Pas la même chanson donc quoi. [03:13:06] Speaker D: J'ai déjà écouté du Slift encore comme quoi on y porte de l'importance. [03:13:10] Speaker F: Mais toujours pas la session. [03:13:11] Speaker B: Toujours pas la session. [03:13:14] Speaker D: C'était pas la raison pour laquelle j'ai. [03:13:15] Speaker B: Pas mis le clip. [03:13:17] Speaker E: C'est-à-dire que moi aussi je voulais mettre Illion sauf qu'il n'y avait pas de clip donc du coup je me suis rabattu sur un morceau de leur album précédent. Leur dernier album en date qui s'appelle Human. Et le morceau que j'ai choisi, c'est Thousand Helmets of Gold, qui est un des morceaux peut-être les plus spatiaux, de toute manière. Slift, pour moi, c'est vraiment du space rock, en fait, dans le sens le plus psychédélique et le plus cosmique du terme. Pour avoir eu la chance de les voir deux fois en concert, c'est vraiment... [03:13:45] Speaker B: J'ai eu la chance de les voir venir sur scène deux fois... Pas du tout de jalousie. Non, j'ai vu aucune. [03:13:53] Speaker E: Mais il tourne beaucoup. [03:13:54] Speaker F: Regardez-moi, j'ai des lunettes, j'ai une barbe. [03:13:56] Speaker B: Moi j'ai un casque, t'as pas de casque. [03:13:58] Speaker F: Moi j'ai une manette pour faire des boutons. [03:14:02] Speaker D: C'est ça, ça va se finir sur Insta. [03:14:05] Speaker B: Mais j'y compte bien ! Donc, excuse-nous. [03:14:11] Speaker E: Donc, oui, Slift, je les avais vus en Festival Stoner, carrément, au Desert Fest à Anvers en 2021. [03:14:17] Speaker D: Nanana, j'ai joué au Desert Fest ! [03:14:22] Speaker B: Et puis... Nanana, et puis... C'est pas moi ! [03:14:27] Speaker D: T'as vu, pour une fois c'est pas. [03:14:28] Speaker B: Moi, on l'a invité une fois et hop là ! [03:14:30] Speaker D: Toi c'est une équipe, on a tous. [03:14:32] Speaker B: Travaillé de la même façon ! [03:14:32] Speaker D: On ne le réinvitera pas ! [03:14:53] Speaker B: Pardon, je te laisse, je te laisse. [03:14:55] Speaker D: Promis, presque. [03:14:56] Speaker E: Mais je les avais vus à côté d'ici, à la Marokinerie, où ils avaient fait un concert avec Etienne Jaumet, de Zombi Zombi, qui jouait du saxophone et du synthé modulaire par-dessus, et donc du coup c'était vraiment façon jam et tout, et c'était encore une fois hyper planant, hyper psyché, hyper vénère à la fois, donc le côté Le côté très noise, très chargé, comme tu disais, et qui catapulte dans les étoiles. Enfin, Slift, c'est tout ce que j'aime chez eux. Et en plus, à chaque fois, les performances live, c'est comme on voit dans les fameuses sessions KXP. Les mecs sont à fond et tu vis le truc avec eux. [03:15:37] Speaker D: Et ils font tous 50 000 trucs, c'est ça ? [03:15:39] Speaker E: Surtout le guitariste chanteur et qui joue des synthés, du térémine, enfin bon, tout le bordel. [03:15:44] Speaker B: Fait des bruits. [03:15:46] Speaker D: Voilà. C'est pas le truc où ils mangent les fourmis ça ? Si, si, exactement. [03:15:49] Speaker B: On lance le morceau, on lance le morceau. Tu peux y aller vraiment. Sur cette blague là, on veut pas. C'est parti. [03:16:01] Speaker D: C'est vraiment parti, tu peux y aller. [03:20:30] Speaker C: C'est parti pour le tournage ! C'est la dernière fois que je me réveille, à l'intérieur d'un rêve qui ne se brise pas. Et n'hésite pas à ressentir quelque chose Dans la présence d'une colère Emotion d'empire Invité à l'intérieur Je rêve, je meurs Trouvé dans la lumière Tu veux me couvrir de tes rêves c'est Musique de David Forte. [03:25:16] Speaker D: Le meilleur de l'alternative rock et du métal, ça se passe où ? Ça se passe ici, bien sûr, dans Bang Bang, tous les dimanches soirs, en direct, en live Twitch. Vous pouvez chercher, il y en a plein des lives avec du métal et tout, mais on est la seule à dire de la merde et aussi à. [03:25:29] Speaker B: Apprendre des tas de choses. Ça fait plaisir quand on l'héritait. Non ! [03:25:33] Speaker D: Je parlais de moi, après j'ai terminé par « et apprendre des tas de choses ». Est-ce que j'ai déjà dit quelque chose d'intéressant ? Bah voilà, tu vois, tu t'es perdu dans les... Ce rire veut tout dire. [03:25:45] Speaker B: C'est grâce à ça que j'ai fait de la radio. [03:25:49] Speaker D: La première fois qu'on m'a employé, on m'a dit tu rigues vraiment comme une merde donc on va te payer pour venir rire dans l'émission, ça fera rire les gens. [03:25:55] Speaker B: C'est ton talent. [03:25:59] Speaker D: Je déteste voir en plus, quand je vois Marcel qui est en train de monter les hot, il cherche toujours un connard. [03:26:05] Speaker F: J'ai toujours pas. [03:26:08] Speaker D: Bon bref, on vient de regarder le tout dernier clip de Spiritbox, qui est un groupe qui cartonne, ça on est bien sûr, y'a pas de problème là-dessus. Spiritbox aussi qui, plus les années passent, plus ils assument aussi toute cette variété de musiques qu'ils aiment. Enfin, je trouve. [03:26:23] Speaker E: Oui, oui, le côté très électronique, très pop, en fait, on le voit de plus en plus. [03:26:26] Speaker D: Ce morceau, je me suis dit, est-ce que je le passe ou est-ce que je le passe pas ? Moi, j'aime bien, donc je me suis dit, puis j'entends bien que derrière, il y a quand même cette musique qui est très lourde, mais qui a été très adoucie aussi par les niveaux, etc. Enfin, je n'ai pas la technique, donc j'explique comme je peux. [03:26:39] Speaker F: Non mais c'est magnifique, moi, je trouvais ça génial, la manière dont tu... J'aimerais que tu sois mon producteur. [03:26:43] Speaker B: T'en foutras. Tu vois, ta musique, elle est bien. [03:26:47] Speaker F: Mais il faudrait l'adoucir de manière moins forte. [03:26:50] Speaker B: Et puis nous on s'est enlevé les. [03:26:51] Speaker D: Guitares et puis un moment, ah bah voilà c'est bien il n'y a plus. [03:26:53] Speaker B: Que la boîte à rythmes, on est confiants. Et je danse nu, allez c'est parti. [03:26:57] Speaker D: Ça cartonne, enfin peut-être pas. Non mais là c'est très, cette chanson est très douce et puis c'est un truc qui peut passer partout ça. Je pense à notre beau pays qui ne diffuse pas beaucoup de métal ou de rock alternatif sur les radios. Ça, ça reste quand même, enfin je veux dire... [03:27:14] Speaker F: C'est relativement accessible. [03:27:14] Speaker D: Voilà, c'est relativement accessible. Et c'est très bien parce que derrière ils vont tomber sur d'autres morceaux en écoutant. Les jeunes écoutent l'un album en entier, ils peuvent tomber sur les autres morceaux qui sont beaucoup plus vénères et peut-être du coup s'intéresser aussi. C'est cette démarche que je trouve assez intéressante, qu'il y avait déjà eu avec Limb Biscuit, qui avait été insulté en disant non mais ils font du métal une musique courante, bah c'est cool. Puis de toute façon ils font ce qu'ils veulent déjà. [03:27:39] Speaker F: Et puis pour un groupe de métal courant, il y a tellement de groupes absolument obscurs. [03:27:43] Speaker B: Ah ouais c'est un paquet ouais. Voilà, ça va. Il y a plein de groupes qui. [03:27:46] Speaker D: Ne seront jamais écoutés par tout le monde. Par plein de gens. Et puis je ne sais plus ce que je voulais dire sur Spiritbox, mais voilà, nouvel album, je ne sais pas quoi. Cherchez de toute façon, faites votre boulot merde ! Toi aussi ? Désolé, je n'ai pas eu le temps de noter. [03:28:04] Speaker B: Je l'ai noté dans ma tête et. [03:28:05] Speaker D: Alors là, c'était vraiment une idée de merde. Ma petite Audrey. [03:28:13] Speaker F: Le temps que je retrouve mes fiches, j'en ai que deux, alors je tourne. [03:28:16] Speaker B: Autour de ma fiche. [03:28:23] Speaker D: C'est comme là tu vas encore faire un gif comme quand je me suis branlé, faisant semblant de me branler. Et du coup il a fait un gif qui est disponible partout sur internet de moi en train de faire ça. [03:28:30] Speaker B: Et en plus je ne te raconte pas tous les pervers qui vont me mettre ça. Marcel c'est pour toi. [03:28:35] Speaker D: J'ai vu dans tes choix aussi, on terminait sur quelque chose qui te symbolise, l'humour. Teenage Husky, qui d'ailleurs vont faire un accord à l'hôtel, accord à l'aréna. [03:28:44] Speaker F: Non. [03:28:44] Speaker D: Si. [03:28:45] Speaker C: Ah ouais ? [03:28:45] Speaker B: Oh la vache. [03:28:46] Speaker D: Ils ont annoncé ça genre pareil, j'ai tellement bien travaillé mais ça m'est revenu là l'instant. Mais ils vont faire l'accord à l'aréna, donc incroyable. Eux qui ne passaient jamais en France, ils ont fait le trianon et hop, l'accord à l'aréna. Comme quoi, finalement, il y a des fans dans notre pays de Teenage Suzie. [03:29:00] Speaker A: Ça faisait longtemps que j'attendais de les voir en concert aussi. [03:29:03] Speaker D: Tu les as vus aux fesses du coup ? [03:29:04] Speaker B: Voilà. [03:29:05] Speaker A: Bah oui, j'attendais ça. [03:29:06] Speaker D: Putain, moi j'y étais même pas allé au Hellfest. [03:29:09] Speaker A: C'était le truc pour moi qui... Enfin, je sais pas, c'est vraiment, pour moi, Jack Black, le mec, la bonhomie, l'humour... [03:29:18] Speaker F: Comment dire l'obésité rigolote ? [03:29:19] Speaker D: La bonhomie ! [03:29:20] Speaker B: C'est ça ! Les chemises improbables, l'obésité rigolote. [03:29:34] Speaker F: En vrai c'est un professeur qui m'a dit ça. J'ai utilisé ça dans un exposé en parlant de bonhomie sur quelqu'un. Il m'a regardé dans les yeux, il m'a dit que la bonhomie c'est juste l'obésité rigolote. Voilà, je suis resté genre. [03:29:45] Speaker D: Tu restes là, tu fais qu'est-ce que j'ai le droit de dire, qu'est-ce que je peux faire. Normalement, je peux l'insulter. [03:29:51] Speaker B: Je ne me rappelais plus de son. [03:29:53] Speaker F: Nom, ça m'avait choqué. Du coup, cette formule m'est restée. [03:29:58] Speaker B: Voilà, bisous à lui. [03:30:01] Speaker F: Qui d'ailleurs n'était pas mince. On peut en parler. [03:30:05] Speaker D: Très belle bonhomie. [03:30:08] Speaker A: Donc oui, Tenacious D, l'humour lié au métal. [03:30:12] Speaker D: C'était bien au Hellfest, enfin je veux. [03:30:14] Speaker A: Dire, j'ai pas vu. [03:30:16] Speaker D: Comment ça se passe, enfin je suis désolé, c'est vraiment parce que je me souviens pas où on m'en apparait. [03:30:20] Speaker A: T'as l'impression d'être un goûter d'anniversaire du métal. [03:30:22] Speaker B: Ah ouais ? [03:30:23] Speaker D: Genre ils font des sketchs et tout au milieu ? [03:30:24] Speaker A: Ouais, ouais, ouais, y'a des sketchs et tout, y'a déjà une tenue improbable, c'est que Jack Black, lui, plus ça va, plus il s'en bat les couilles. [03:30:33] Speaker D: Pendant le confinement, on a bien vu, il se mettait des bottes roses et puis il était en slip. [03:30:37] Speaker B: C'est génial ! [03:30:38] Speaker A: Ça a pas trop changé, c'est vrai que là, au niveau de la tenue, on était sur une espèce de veste à flamme, la barbe, ça part dans tous les sens. Et ouais, du coup, c'est des sketchs pendant les petits saxos Ouais, il est. [03:30:50] Speaker B: Joli, tu sais, avec le saxo. [03:30:51] Speaker E: Le saxaboom, là. [03:30:52] Speaker A: Tu vois le truc, Ben ? [03:30:54] Speaker B: Non ? [03:30:54] Speaker D: Je sais pas, mais là, ce que. [03:30:55] Speaker B: Tu viens de faire comme geste, c'est génial. Attends, refais-le, refais-le. [03:31:00] Speaker A: Donc en fait, ouais, t'es un goûter d'anniversaire du métal, quoi, c'est génial. T'as envie que le mec, il vienne à ton anniversaire faire... Bah d'ailleurs, sur YouTube, il a chanté pour l'anniversaire du fils de Tom Morello. Voilà, je trouve ça très très classe. Oui bon, c'est très très classe en soi quand même. Alors du coup, il y avait le fils de Tom Morello qui jouait avec son groupe et Jack Black qui chanteur. [03:31:24] Speaker D: C'est sûr que tu dois être bien content. [03:31:25] Speaker B: C'est quand même le truc qui est plutôt cool. [03:31:29] Speaker D: J'ai vu aussi que Wellfest est dans pas mal d'endroits. Il était très accessible, très gentil. Après, il y a des t'as des gens qui sont autour de lui et qui bloquent la possibilité d'aller jusqu'à lui. Mais lorsque t'arrives à lui, il a l'air hyper cool. Enfin, moi j'ai jamais fait, on n'a jamais fait d'interview avec Jacques Blac. Et c'est bien dommage, mais on m'a toujours dit, le mec est hyper gentil. C'est-à-dire qu'il est vraiment... Pour le coup, quand tu le rencontres, t'as pas l'impression qu'il fait partie de ce monde, qui éloigne quand même beaucoup de gens de la réalité. Mais apparemment lui non, il est hyper attentif, très attentionné, très gentil. Quand il y a des gens qui n'arrivent pas à bouger ou qu'il va les aider, il n'est clairement pas un connard. Comme beaucoup de gens de ce milieu. [03:32:12] Speaker A: Moi j'appelle ça la Golden Retriever Energy. [03:32:15] Speaker B: J'ai entendu ça tout à l'heure. [03:32:17] Speaker A: Je qualifie ce clip qui va passer, c'est vraiment si on a besoin d'avoir du feel good, si on a besoin d'avoir un truc qui nous fout le smile, il faut voir le clip. [03:32:27] Speaker D: Je me suis posé la question, mais pourquoi ils ont repris cette chanson quoi ? [03:32:30] Speaker B: De quoi, laquelle tu parles ? [03:32:31] Speaker D: Wicked Game Bah parce que c'est la. [03:32:33] Speaker F: Chanson ultra sexy sensuelle Et c'est ça où ils sont sur la plage c'est ça ? Bah parce que voilà, si tu veux détruire une chanson sexy sensuelle Bah tu mets Jack Black qui court à moitié nu sur une plage en se frottant le bide sur les vagues, c'est génial C'est génial, c'est du génie Mais c'est incroyable ! [03:32:53] Speaker B: Ils jouent avec les coquillages ! [03:32:55] Speaker F: C'est ça qui est génial, c'est le détournement parfait. [03:32:59] Speaker A: Je trouve que ce clip apporte beaucoup de bonheur, voilà. Donc j'avais envie de finir sur cette bonne note de Golden Retriever Energy. [03:33:08] Speaker B: J'aimerais bien que ça devienne vraiment le. [03:33:10] Speaker D: Hashtag sur n'importe quel réseau. [03:33:12] Speaker A: Saïd, c'était justement ça. [03:33:13] Speaker B: Avec la tête genre... Golden Retriever ça. [03:33:20] Speaker D: Peut pas être méchant donc évidemment voilà. [03:33:23] Speaker F: J'en ai connu des salauds, des Golden Retriever un peu pas cool. [03:33:27] Speaker D: Ah ouais limite ? [03:33:28] Speaker B: Ah ouais un peu... Ah il veut tirer à droite. [03:33:38] Speaker D: Parce qu'on a dépassé l'heure et qu'il est tard et qu'on est tous très fatigués je pense. Bon bah, du coup on va regarder le clip, je pense qu'on va se concentrer sur cette belle plage et ses beaux coquillages qui s'offrent à nous. Et surtout, soyez libre d'être qui vous êtes et puis quand vous allez à la mer, les autres vous les emmerdez, voilà. Ne soyez pas tout nus. C'est important. [03:34:29] Speaker C: What a wicked game to play To make me feel this way What a wicked thing to do To let me dream of you What a wicked thing to say You never felt this way What a wicked thing to do To make me dream of you I don't want to fall in love No, I don't want to fall in love With you BANG BANG FAUX C'est ça, c'est ça ! C'est la fin de cette vidéo. [03:39:31] Speaker D: Avec à l'instant un choix de notre ami Alex de The Prestige et aussi de New Favorite, parce qu'il faut le dire quand même, c'est un très très bon groupe, j'adore, et un groupe qui fait partie de la playlist de Restless Radio. Si vous écoutez la radio, alors oui je sais, c'est un parti pris, mais vous pouvez entendre ce genre de musique juste après de la folk. [03:39:50] Speaker F: C'est un peu ça, des fois ça. [03:39:51] Speaker B: Fait un peu peur. [03:39:53] Speaker D: Parce que tu sais, en fait, quel est le travail que je... Pourquoi je veux faire ça ? C'est parce que c'est l'habitude. On apprend aux gens à écouter quelque chose et suivre avec des choses qui sont simples et qui s'enchaînent pour une certaine cohérence, on est bien d'accord ? Mais en radio, on t'apprend que ça marche pour effacer ton doute sur le temps, etc. et que tu te perds dedans et tu peux écouter la publicité plus facilement. [03:40:12] Speaker F: L'enchaînement Cradle of Filth, Pointed Sisters, il était quand même chaud. [03:40:16] Speaker B: C'est possible ! Je crois que j'ai vu un truc comme ça une fois, pas à Cradle. [03:40:20] Speaker F: Of Filth mais à Point of Existence, c'est sûr. Et avant c'était un truc ultra vénère. [03:40:23] Speaker B: Et j'étais en train de bricoler, j'ai fait... [03:40:27] Speaker D: Mais c'est pour rien qu'on dit que tous les rock sont sur SLS, c'est parce que tu peux mettre tout, à n'importe quel moment. Le métal, c'est pas le soir, c'est pas le midi, c'est à n'importe quel moment. Et tous les autres genres musicaux. Tu peux d'ailleurs écouter de la folk et du métal. [03:40:37] Speaker F: Le pire dans tout ça, c'est qu'au. [03:40:38] Speaker B: Changement, j'ai vu Tatel qui faisait genre... J'ai vu de la merde sur la playlist ! [03:40:45] Speaker D: Il y a quelques petites surprises, effectivement. [03:40:48] Speaker B: Après, des fois, ce n'est pas ma faute. [03:40:49] Speaker D: C'est parce qu'il y avait aussi une émission métal, à l'époque, qui s'appelait Rock My Dwight, et qu'ils aimaient beaucoup, beaucoup, dans les playlists libres, mettre beaucoup, beaucoup de bêtises, et qu'à chaque fois, ils me disaient, j'espère que tu mettras bien tout en playlist Rassless, parce que tu nous l'as promis dès qu'on a fait l'émission. Donc, tu es obligé. Et donc, tu me connais, j'ai fait. Et puis j'ai tout mis. Désolé Dwight d'ailleurs, mais maintenant quand j'écoute l'arnaud, je fais ah, je vais le. [03:41:11] Speaker B: Noter, on va l'enlever. [03:41:13] Speaker D: Parce qu'il y a quand même des trucs qui sont très très longs et qui sont des blagues et ça peut être choquant quand même. Mais bon après, peu importe. Et là on vient d'écouter donc End, le groupe End, avec la chanson C'est. [03:41:26] Speaker F: La suite de So, quand t'as plus de dents. [03:41:32] Speaker B: Peut-être, on ne sait pas quoi répondre. [03:41:34] Speaker D: Mais j'aime énormément ça, tu vois. [03:41:38] Speaker F: C'est vrai ? [03:41:38] Speaker D: J'aime beaucoup ça et quand je suis tombé là-dessus, c'est rentré en playlist, et je suis tombé là-dessus, j'ai trouvé ça hyper intéressant, alors ne me demande pas pourquoi, que je l'ai trouvé plus intéressant que le reste. [03:41:46] Speaker F: Alors c'est un titre un peu particulier parce qu'il est avec, j'ai oublié son. [03:41:50] Speaker D: Nom de famille, Debbie, Je ne sais. [03:41:52] Speaker F: Plus, Debbie, qui joue dans le groupe Heriot. En fait, ils ont essayé d'expérimenter beaucoup. Anne, c'est un groupe avec notamment Will Putney, qui est un gros producteur anglais, qui a produit énormément de choses dans le metalcore, dans la scène extrême anglaise et américaine. Donc, il a monté ce groupe là, accordé très bas, avec des gros sons, des gros breaks, etc. Puis là, ils se sont dit, on va expérimenter un petit peu et on va inviter des gens. Donc ils ont invité Debbie Koff, j'ai un nom comme ça, ça commence par un C, qui joue dans le groupe Heriot. Ils ont invité aussi le chanteur de Peak Destroyer, le chanteur de Full of Hell, qui sont vraiment des musiques extrêmement extrêmes. Et chacun a amené sa patte au projet, et ça fait que sur 8 titres, il y en a quand même 3 avec des invités, et 3 qui se démarrent. Enfin moi j'adore les titres avec les invités. Le reste c'est assez déjà entendu, voilà. Mais alors les 3 titres avec les 3 invités, et celui avec le chanteur de Full Revel, c'est incroyable, vraiment génial. Et puis voilà, ça m'a fait plaisir, j'aime bien avec le petit coup un petit peu électro, ça me rappelle un petit peu Code Orange, ça me rappelle aussi les groupes d'Indus dans les années 2000, etc. Je ne sais pas, j'ai bien kiffé et franchement ça me fait vraiment kiffer de les passer. Je ne sais pas s'ils ont prévu de jouer en France un de ces quatre. [03:43:11] Speaker D: Je crois qu'ils ont déjà passé, non ? [03:43:13] Speaker F: Je ne sais pas du tout. Mais voilà, je kifferais les voir dans une petite salle, je pense que ça peut être la grosse douche. [03:43:17] Speaker D: Je pense qu'ils font pas des grandes salles. [03:43:19] Speaker F: Ils ont joué au Hellfest je crois, il me semble cette année. [03:43:21] Speaker D: Oui mais tu sais ce que c'est, tu peux jouer au Hellfest et puis en fait dès que t'es en dehors. [03:43:24] Speaker F: De Hellfest... Oui mais justement la seule fois où j'aurais pu les voir c'était peut-être dans un grand festival. Mais là les voir genre une petite boule noire ou une petite maroc ce serait vraiment... Ah la marocainerie oui, c'est. [03:43:34] Speaker D: Une salle qui correspond pas mal à ce genre de musique là aussi. qu'on embrasse d'ailleurs encore une fois la maroquinerie. Ce sont des amis, ils sont juste à côté d'ici et ils écoutent Rassless. Je me suis allé gratter une place, je suis vraiment une merde. J'ai pas envie de payer, je suis arrivé devant l'entrée. [03:43:49] Speaker E: T'as grassé la porte comme un chat, tu sais. [03:43:50] Speaker B: Non mais j'ai fait comme ça, j'ai. [03:43:51] Speaker D: Fait excusez-moi, ils m'ont fait oui. Puis le mec a fait on se connaît. Non, par contre vous avez pas des. [03:43:56] Speaker B: Places gratuites pour le concert soir ? [03:43:58] Speaker D: Le mec il me fait t'es sérieux ? Je fais non mais on est à côté, on est RSS et le mec il a fait bah écoute on est en train d'écouter RSS et le jingle qui est passé et juste là ça m'a surpris parce que qui écoute cette radio ? Et là bas aucune raison ils écoutent et puis ils ont dit ah ouais on adore et tout. Bon ils m'ont filé une place quand même. [03:44:14] Speaker B: Ah bah c'est gentil. Tu vois maman c'est ça la réussite ! Tu vois, je ne gagne rien du. [03:44:20] Speaker D: Tout, je n'ai pas de maison, mais. [03:44:21] Speaker B: N'Empêche, j'ai eu une place, c'était celle de l'année ! [03:44:25] Speaker D: Non mais très bien, on les embrasse et on espère faire beaucoup de choses avec eux très prochainement, ça peut arriver. Merci en tout cas pour tous tes choix mon petit Alex. [03:44:33] Speaker F: Merci à toi pour l'invitation. Merci pour le houmous d'Olive. [03:44:38] Speaker B: Très très bon. [03:44:39] Speaker D: La prochaine fois il y aura plus à manger, je suis désolé. [03:44:42] Speaker F: En tout cas c'est un livre de recettes maintenant pour t'entraîner. [03:44:44] Speaker D: Mais justement, alors je... Vas-y prends-le. [03:44:48] Speaker A: En fait j'aurais dû prévoir le catering finalement. [03:44:51] Speaker D: C'est pour ça qu'on m'invite en général. [03:44:57] Speaker A: En fait, c'est pas pour autre chose. [03:44:59] Speaker D: Hop, comment je fais pour qu'il y ait un reflet, voilà. Magnifique. Ce livre, il est à acheter, s'il vous plaît faites donc un beau geste, il faut acheter ce bouquin parce qu'en plus les gens vont l'adorer, il est merveilleux, il a plein d'humour, il y a vraiment plein de choses à découvrir. Alors attendez, il y a un gros reflet là, voilà c'est là. [03:45:16] Speaker F: Pierre, on touche combien par vente aujourd'hui ? [03:45:18] Speaker D: 0€ comme d'habitude parce qu'on fait ça pour le cœur, ça s'appelle Cook & Roll Ultimate. Vous avez les autres toujours, j'imagine qu'ils. [03:45:25] Speaker A: Sont quand même disponibles. En fait, vu que le premier et le deuxième sont sortis il y a quasiment 4 ans, c'était il y a quelques temps. La compil est maintenant uniquement disponible parce que c'est plus simple comme format et parce qu'il est en plus moins cher que d'acheter le tome 1 et le tome 2. [03:45:42] Speaker F: Ouais mais toi ça fait plus d'argent si on achète le tome 1 et le tome 2. Et même celui-là, histoire d'être sûr. [03:45:48] Speaker A: Bah sinon faut faire ça. [03:45:50] Speaker F: On achète où ? [03:45:50] Speaker B: Ah sinon vous faites un double cadeau. Moi je fais le chèque, il est où ? [03:45:56] Speaker D: Non mais voilà, n'hésitez pas. [03:45:57] Speaker A: Sinon, donnez-moi des sous directement. [03:45:59] Speaker D: Voilà, c'est ça, faites des noms. [03:46:01] Speaker F: Le rip va s'afficher en bas de votre écran. [03:46:04] Speaker E: Attention, c'est des petites lignes, ça va très vite. [03:46:06] Speaker D: Tout peut se faire niveau argent pour lui en donner, pour la soutenir, pour l'encourager. Elle est adorable, elle aime de la bonne musique. On rigole beaucoup. Et merci beaucoup d'être venu jusqu'ici aussi pour participer à l'émission. C'est très, très gentil. [03:46:21] Speaker A: C'était très drôle de se rencontrer au Hellfest initialement d'ailleurs, avec une histoire de téléphone portable. [03:46:29] Speaker D: Mais voilà, non mais c'est très bon. Se faire foutre le cadeau de Noël, voilà, ça mélange tout. Si vous avez un copain, une copine ou autre qui ont envie d'avoir un super bouquin de cuisine qui va vous faire marrer et qui va vous faire écouter du bon son, c'est le bon choix. Voilà, Cook & Roll. On vous mettra tous les liens sur YouTube, bien évidemment. Si vous avez des questions, pierre.resles.com. Merci encore une fois d'être venu et j'espère que t'as passé un bon moment, qu'on n'a pas été trop relous. [03:46:54] Speaker B: Bois, ça va. [03:46:56] Speaker D: Bois, ça va. [03:46:57] Speaker B: Mais bon, le moment, il y avait des kips. Je cite, bois, ça va. [03:47:04] Speaker D: Tiens, tais-toi. J'essaye de... Mais il faut que je le désavote. [03:47:08] Speaker B: Pour l'instant, dans ma tête, ça ne marche pas. [03:47:10] Speaker D: Merci aussi à toi, Enjoy The Noise, mais on va terminer avec un morceau que tu as choisi parce qu'il y a eu beaucoup, beaucoup de choix. Et je vais te laisser en parler parce que quand même, tu as fait ce choix, donc je ne vais pas non plus dire, allez hop, on se casse. On va lui donner quand même encore... Ne lui coupe pas la parole. Non parce que c'est la fin, on reste gentil. Après on peut crier, on peut faire plein de trucs. [03:47:29] Speaker A: C'est pas très Golden Retriever Energy. [03:47:31] Speaker B: Attends. [03:47:33] Speaker F: Tu m'as pas vu avec mon maillot de bain. Je reviens pendant son speech habillant. [03:47:38] Speaker B: Là j'autorise quoi. [03:47:41] Speaker D: C'est ça qui me fait penser qu'il en est capable. [03:47:42] Speaker F: Pierre t'as pas vu dans le truc de dédicament ? [03:47:44] Speaker D: Alors j'ai mes paupiètes de couilles moi mais c'est moins intéressant. [03:47:47] Speaker B: On peut essayer. [03:47:48] Speaker D: J'ai essayé un body en tigré et j'ai enlevé mon caleçon et en fait on m'a dit « Pierre, c'est pas beau, tu n'as pas le droit de faire ça ». Et le filet, avec des couilles, ça fait quelque chose de bizarre. [03:48:04] Speaker B: Désolé. Maintenant enchaîne. Maman je t'aime. [03:48:07] Speaker D: Alors texture. [03:48:09] Speaker B: Comment je peux enchaîner derrière ça ? C'est japonais ? [03:48:14] Speaker E: Non, c'est hollandais. [03:48:17] Speaker D: Ah bah c'est pareil. [03:48:20] Speaker E: Où t'es ? [03:48:20] Speaker B: Savergouda ! [03:48:23] Speaker D: Comme mes couilles ! [03:48:54] Speaker E: La nouvelle qu'il m'a donné du beau moqueur au cours de cette semaine c'est que Textures revient après leur split qui date de 2017, ils reviennent donc en 2024, l'an prochain pour faire des dates dans certains festivals et Textures c'est un groupe qui me manquait beaucoup, donc groupe qui fait partie un peu des des précurseurs du métal très moderne qu'on a aujourd'hui, tout ce qu'on désigne comme du djent, comme tout ça. Batextures, ils étaient là un petit peu avant la mêlée, donc ils mixaient déjà les influences, tout ce qui est Matt Metal, Meshuggah, avec du chant clair, avec les palm mutes, avec les ambiances très électroniques et tout. Batextures, ils y faisaient ça déjà depuis le milieu à peu près des années 2000, et c'est un groupe qui a sorti d'excellents albums et qui avait finit sa carrière de manière assez frustrante sur le premier album de ce qui s'annonçait comme un diptyque, donc on ne sait pas s'il y aura une suite à cette réunification, parce qu'ils avaient arrêté sur l'album qui s'appelait Phénotype et qui annonçait l'album suivant Genotype, qui donc pour l'instant n'existe pas du tout, donc on verra, pour le moment la réunification c'est pour quelques dates et advienne que pourra, moi en tout cas j'ai Je mets de l'espoir dans cette réunification, j'aimerais bien qu'ils rentrent sur la musée. [03:50:08] Speaker D: Est-ce que t'as assez de place pour chaque concert ? [03:50:09] Speaker E: Alors non, parce que c'est des festivals en Europe qui sont un petit peu loin de chez moi, mais j'espère que ça va se rapprocher un petit peu. [03:50:16] Speaker D: Oui, s'ils font des festoches, j'imagine qu'ils vont finir par faire quand même des dates, j'imagine. Enfin, ce serait sympa. Comme on garde, on en profite. [03:50:23] Speaker E: J'aimerais bien, en tout cas, l'année où ils ont annoncé qu'ils allaient splitter, je me suis dépêché de les voir trois fois et puis voilà. [03:50:31] Speaker B: Bon, ok. [03:50:31] Speaker D: J'avoue, je ferais même pas ça pour Korn. [03:50:33] Speaker E: Non, mais ils étaient passés à Paris et au Hellfest, donc c'est facile. [03:50:36] Speaker D: Ça va, j'avais eu de la chance. T'as pas à aller jusqu'à Los Angeles pour voir Britney Spears qui fait du métal ? Non. [03:50:44] Speaker B: Ça existe. [03:50:47] Speaker D: Ça s'appelle Jonathan Davis, excuse-moi. [03:50:49] Speaker B: Ils chantent comme ça, on est bien d'accord. [03:50:54] Speaker D: Je suis hyper fan, encore une fois. C'est très positif dans ma description. [03:50:58] Speaker A: Je confirme. [03:51:00] Speaker G: Moi j'ai dit que les choses méchantes. [03:51:03] Speaker B: Depuis tout à l'heure, donc j'arrête. [03:51:05] Speaker E: Mais bon ça va Jonathan Davis, Britney Spears, il reste sur le motif des jupettes à carreaux. [03:51:12] Speaker D: Et je prie tous les jours pour que Jonathan Davis fasse un Instagram comme. [03:51:16] Speaker B: Britney Spears, parce que là ce serait vraiment la totale. [03:51:19] Speaker D: Moi je serais là, je regarderais tous. [03:51:20] Speaker A: Les gens en disant Pourquoi pas un duo improbable ? Il y a beaucoup de duos improbables dans le métal quand même, il faut le dire. [03:51:25] Speaker D: Je pense qu'il y a beaucoup de boulot, mais non pas que ce soit impossible, mais je pense que c'est plus compliqué probablement d'un côté que de l'autre. Mais comme c'est la même personne, il faudra faire des effets spéciaux. On voit bien que sous ses dreads noirs, il y a quand même 2-3 mèches blondes. [03:51:46] Speaker B: Bon allez, on va s'arrêter là-dessus parce. [03:51:48] Speaker D: Que sinon on va durer pendant 15 ans. Merci encore une fois d'être venu, merci beaucoup. Achetez donc ce bouquin, Cocaine Roll. Merci à Enjoy The Noise. Et puis on se retrouve dimanche prochain avec, si tout se passe bien, j'annonce quelqu'un, c'est jamais le cas, mais il y aura Jérôme de Nuclear Blast, si je dis pas de bêtises. On va lui poser plein de questions, on va essayer de torturer un petit peu parce que c'est quand même un gros gros label et qu'on a envie d'en savoir un peu plus. Il nous dévoilera probablement quelques petits secrets, enfin je le souhaite, sinon il sera torturé en direct. [03:52:23] Speaker E: On pourra lui demander, est-ce qu'il y a des nouveaux albums de Textures qui sont dans les tuyaux ? Parce que Textures, les derniers albums, c'était. [03:52:30] Speaker D: Chez Nuclear Blast justement. Ça fait déjà un speak, ça fait du travail en moins. [03:52:37] Speaker B: Bon allez, on se quitte sur Textures. [03:52:40] Speaker D: Passez une bonne semaine, bon courage à vous, demain c'est lundi, c'est pas beau, mais il faut travailler, c'est comme ça. Et n'hésitez pas à faire des dons, on a besoin de pognon. [03:52:48] Speaker B: Abonnez-vous, je rigole bien sûr, vous faites. [03:52:50] Speaker D: Ce que vous voulez, et on se retrouve dimanche tout simplement. Bisous ! [03:52:53] Speaker C: Ciao ciao ! Oh, putain ! C'est bon. Contenue d'esclavage, le silence dans mes esprits Des éclosions de connexion, nous devons nous-mêmes être seuls Envoyons de l'eau dans le ciel Envoyons de l'eau dans le ciel Envoyons de l'air dans le vent Envoyons de la paix devant l'armée Envoyons de la paix devant l'armée C'est génial! [03:57:28] Speaker B: Pour le spectacle. [03:57:31] Speaker C: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:57:47] Speaker A: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. 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