#110 - REDA en invité

Episode 111 November 07, 2025 04:17:15
#110 - REDA en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#110 - REDA en invité

Nov 07 2025 | 04:17:15

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Show Notes

  Dans cet épisode, nous recevons probablement le plus célèbre guitariste de France, celui qui vulgarise, qui ouvre, qui permet de ne pas se prendre au sérieux et qui nous fait découvrir des talents de tous âges ! Son nom : REDA ! On va découvrir son histoire, pourquoi cette musique, comment il en vit et surtout et des tas d’autres choses ultra intéressantes ! Une personne adorable, accessible, passionnée. Bonne écoute ! Pierre Amélie, Ben, Enjoy The Noise, Gladyce, Marcell & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers...
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Episode Transcript

[00:00:04] Speaker A: Bang bang bang bang bang bang bang bang bang bang bang bang bang bang. [00:00:24] Speaker B: Bang bang bang bang bang Crotte de nez ! Chut, bang bang révèle pas tout ! Non non, t'en fais pas. Tu sais, c'est comme du teasing, mon p'tit Ben. Les gens vont se dire, mais c'était bang bang quoi ? J'ai entendu comme un hit. Vous avez vu ? [00:00:43] Speaker C: Alors quand même, sacré budget Halloween. Vous allez découvrir tout un décor au fil de l'émission. Vous n'allez pas en croire vos mirettes. [00:00:54] Speaker B: Bienvenue à vous toutes et à vous tous, j'espère que tout le monde va bien, en tout cas que la semaine a été bonne et le week-end encore meilleur, que vous vous êtes amusés, que vous avez vu vos amis, que vous avez dit aux gens que vous aimez, que vous les aimez bien évidemment, et que vous avez écouté de la bonne musique, très très fort de préférence, pour avoir mal aux oreilles et devenir sourd, c'est un conseil stupide, mais c'est vrai que le métal, on aime bien écouter ça très fort. Utile que cette semaine, racontez-nous ce que vous avez fait. Ce week-end, peut-être que vous avez eu des concerts. On a envie de tout savoir dans le ch'meule. N'hésitez surtout pas. Et si c'est en VOD que vous regardez ou en podcast, vous pouvez délaisser des commentaires. Délaissez. Vous pouvez laisser des commentaires. sur Spotify et bien sûr sur notre chaîne YouTube qu'on vous encourage à rejoindre s'il vous plaît parce que plus on est, plus on rit et plus ça nous encourage à continuer. Nous avons dépassé les 4000, Ben, sur notre chaîne Twitch et on applaudit donc toutes les personnes qui sont là, 4000 ! Plus les 10000 sur YouTube, bref, beaucoup, beaucoup d'efforts. [00:01:48] Speaker C: Plus les quasiment 33000 sur Instagram ! [00:01:50] Speaker B: On arrive aux 33, on arrive aux 33000. [00:01:52] Speaker C: 32800 là, on est ! Dépêchez-vous, ne soyez pas le... Ne soyez. [00:01:57] Speaker B: Pas avare d'inscription gratuite ! [00:01:59] Speaker C: Non mais imaginez si vous arrivez après 33 000, c'est quand même la honte ! Faut arriver avant les 33 000 ! [00:02:05] Speaker B: Allez ! [00:02:05] Speaker C: C'est maintenant là ! On y va ! Allez ! [00:02:08] Speaker B: Bon bref, toujours est-il que... [00:02:11] Speaker C: C'est assez discret ou... [00:02:17] Speaker B: J'ai pas osé regarder, mes yeux se sont perdus dans une espèce de fantasme. J'étais dans une histoire d'amour. [00:02:24] Speaker A: Mouah, mouah. [00:02:24] Speaker D: Fantas-ma-gue-rique. [00:02:27] Speaker B: C'est n'importe quoi. C'était un petit peu Halloween et je crois que le craquage s'est fait vendredi, le slip a éclaté et puis... Normal slap. Et samedi, tout le monde était mort. Bon, toujours est-il que, mon petit Ben, bonsoir. J'espère que tu vas bien. [00:02:42] Speaker C: Oh, je vais merveilleusement bien. [00:02:45] Speaker B: Oh, tu te savas quand même, non ? [00:02:46] Speaker C: Oh, ça va quand même, dis donc. [00:02:48] Speaker B: Alors, il s'est passé beaucoup de choses cette semaine. [00:02:51] Speaker C: Oh là là. [00:02:52] Speaker B: Oh là là. C'était une belle soirée. [00:02:59] Speaker C: Oh oui. [00:03:01] Speaker B: Des références de vieux. Macha Béranger, pour ceux qui ne connaissent pas, qui était une animatrice radio de la nuit. Oui, t'as fait de la travail cette semaine. Ouais, je crois. Si, si, bah oui. Je sais pas. [00:03:13] Speaker C: En tout cas, c'était pas une semaine bien captivante. Mais j'ai fait des concerts, donc... Enfin, j'ai fait un concert, donc c'était bien. [00:03:20] Speaker B: On en parlera juste après. [00:03:21] Speaker C: Bien sûr. On a plein de choses à dire. Et toi, Pierre, cette semaine ? Moi, je sais qu'il y a eu des petits rebondissements. [00:03:28] Speaker B: Alors, qu'est-ce que j'ai ? Déjà, c'était les vacances. Alors, les vacances où je me réveille, du coup, au lieu de me réveiller à 5h30, je me réveille à 5h50. [00:03:37] Speaker C: Sort. [00:03:38] Speaker B: Non. À 8h45, je disparaissais dans mon lit. [00:03:45] Speaker C: J'avoue que ça servait à rien de te lever à 5h50. [00:03:48] Speaker B: Si, parce que j'avais quand même des trucs à faire. Et du coup, mais c'est pas grave, c'était un automatisme en fait. Au bout d'un moment, toi-même, tu sais Ben, que tu peux pas faire autrement. De te lever à 7h du matin, même pendant tes vacances que tu n'as jamais. Donc... Et donc voilà, j'ai dormi, j'ai profité. J'ai fait quelques petites rencontres. J'ai fait un truc que je n'ai jamais fait de toute ma vie. Alors, je ne vais pas raconter les trucs négatifs parce que je trouve que ça n'a pas trop d'intérêt. Je raconterai juste le positif. J'ai fait un date qui s'est plutôt bien passé. C'était vendredi soir. Sauvage ! Allez Sauvage ! Je ne sais plus c'est quoi la chanson. La nuit est chaude ! Et non, on est allé dans un bar, on a bu un petit verre sans alcool. Et puis vous savez, à ce moment, quand vous rencontrez quelqu'un et qu'en fait les deux sont d'ores et déjà d'accord... que physiquement il se plaise, avant de connaître plus la personne, il y avait une excitation qui était un peu à son part oxygène. Alors je réalise, c'est le début d'émission horrible, je réalise juste qu'apparemment... Garde-en un. [00:05:03] Speaker C: Petit peu pour le live TikTok de. [00:05:04] Speaker B: Demain quand même ! [00:05:07] Speaker C: Demain soir, il y aura du crousti-crousti ! [00:05:10] Speaker B: Ok, alors je ne raconte pas ce que j'ai découvert sur moi dans le dar. Mais écoute, on s'est bien entendus, puis on s'est dit, on va où ? Alors j'ai dit, moi je ne peux pas t'amener chez moi, ce n'est pas possible parce que je n'ai pas de. [00:05:22] Speaker D: Chez moi, donc je ne peux pas. [00:05:24] Speaker B: Et il a dit, moi j'habite au Creuseau. Ce qui est... [00:05:28] Speaker C: Ce n'est pas à côté. [00:05:29] Speaker B: Non, ce n'est pas à côté. [00:05:30] Speaker C: Pour ceux qui ne savent pas, c'est loin. [00:05:32] Speaker B: Oui, et puis, je n'ai pas envie de... Je ne vais pas mentir, je te le dis tout de suite, je ne viendrai pas. Parce que je n'ai pas spécialement envie d'aller au creuseau. [00:05:39] Speaker C: Bon, c'était clair. [00:05:39] Speaker B: Et puis, il m'a dit... [00:05:41] Speaker C: L'intérence physique, mais pas géographique. [00:05:43] Speaker B: Et voilà. Et il m'a dit, on peut aller où ? Et j'ai dit, ben... J'ai un canapé. Et il m'a dit, mais ton canapé, il est où je fais ? C'est un bureau, mais il faut pas que mes collègues le sachent. Parce que bon, si on reste tranquille, tout va bien. Mais si je me retrouve les 4 heures en l'air... [00:06:10] Speaker C: Je sais déjà que vous n'êtes pas venu ici. [00:06:14] Speaker B: Et non, nous ne sommes pas venus ici. [00:06:17] Speaker C: C'était le bureau d'une autre radio pour qui il dit travail. On ne dira pas laquelle, c'est un radiour assez secret. [00:06:25] Speaker B: Pas de canapé, mais la moquette, elle a pris. Non, alors non, j'ai dit, je lui. [00:06:29] Speaker C: Ai dit... Et aussi quelqu'un a versé tout le café au lait ! Et aussi... Allez... [00:06:36] Speaker B: On s'arrête là. Non, et donc je lui ai dit, non mais je peux pas, on peut pas, on peut pas aller au bon bureau. Je peux décemment pas parce qu'en vrai, déjà ça sera pas confort, on va pas se mentir, ça sera pas... C'était fun quand j'avais 20 ans, mais là j'en ai quand même 45. [00:06:51] Speaker C: Bon, on connaît plein de gens qui passent des heures sur ce canapé, ça leur pose pas de problème. [00:06:54] Speaker B: Ouais. Alors bon, après voilà. On est confortablement assis quand on est assis. Et quand on est couché aussi. Mais dans les autres, quand on a envie de faire des acrobaties. [00:07:02] Speaker C: Ouais, j'ai plein de solutions où c'est possible aussi. [00:07:05] Speaker B: Et donc, c'est la première fois de ma vie que j'ai fait ça. J'ai dit, prenons une chambre d'hôtel. Oh ! [00:07:12] Speaker C: Oh my god ! [00:07:14] Speaker B: Je n'avais jamais fait ça de ma vie. Et donc on est allé à l'hôtel. [00:07:18] Speaker C: Eh ben, tu ne retourneras pas dans celui-là parce que les draps... Non. [00:07:22] Speaker B: Les draps s'en souviennent. Alors, ça va. Mais par contre, j'ai eu honte quand je suis arrivé à l'accueil. [00:07:31] Speaker C: Bonjour, c'est juste pour deux heures. [00:07:36] Speaker B: Il y a des hôtels pour ça, il y a des hôtels de base. Il y a des love hôtels. [00:07:41] Speaker C: Au Japon, ils font comme ça. Non, parce que de passe, ça veut dire que c'est avec des prostituées. [00:07:47] Speaker B: Oui, c'est vrai. [00:07:47] Speaker C: Alors qu'un love hotel, c'est pour quand t'as pas de chez toi où tu peux bien faire ça. [00:07:52] Speaker B: Mais ça coûte hyper cher un love hotel au moins. [00:07:54] Speaker C: Bah non, normalement non. En France, si, parce que c'est un fou truc de luxe dégueulasse. [00:07:59] Speaker E: Bah oui, voilà. [00:08:00] Speaker B: Et qu'ils te mettent toujours des fantaisies dans les chambres où tu dis en fait, je crois qu'on va pas vraiment. [00:08:03] Speaker C: Regarder ce que... Excusez-moi, moi, les palmiers, ah quoique... [00:08:06] Speaker B: Sacré de votre coco. [00:08:09] Speaker C: J'adore les bananes. [00:08:11] Speaker B: Alors là, ça va fuser de banane dans le truc. Mais non, c'est juste que je suis arrivé à l'accueil avec la personne que j'ai rencontrée. Quelques différences qui nous... Bon voilà, on n'est pas vraiment pareil, que ce soit l'âge ou plein d'autres choses. Et donc, c'est moi qui suis allé voir le mec, j'ai dit, parle pas parce que sinon, il ne va vraiment pas nous donner la chambre. Je sais que ça peut paraître être un peu décalé pour... Décalacatum, décalacatum ! [00:08:42] Speaker D: Oh oui, oh oui ! [00:08:43] Speaker B: Et donc je lui ai dit, c'était une vieille personne en plus, elle m'a dit... Bonjour messieurs ! Et là je fais... On a pris, on a commandé une chambre. Du coup, il m'a dit... Ah bon, j'ai pas vu de réservation. Elle a été faite il y a quelques minutes. Il fait... Ah ! Ah oui, je vois bien une réservation au nom d'eux. Et je dis mon nom, il fait très bien. Donnez-moi quand même vos papiers d'identité. Oui, et donc je lui donne mes papiers, il fait vous êtes du coin. J'étais un p'tain, il veut pas fermer sa gueule, sans déconner. Bon voilà, j'étais... Bon, je vous passe le reste parce que c'était ça le truc, mais j'étais hyper gêné. [00:09:24] Speaker C: Et les détails plus croucillants se verront, bien sûr, demain soir, dans le live TikTok. Ne le ratez pas, ça va être quelque chose. [00:09:30] Speaker B: À 22h, je vous dirai son prénom, ses origines et les détails de tout ce qui s'est passé. Hop, attention champagne ! Mais Il est dégoûté. [00:09:40] Speaker C: Non. J'ai eu plus d'air. [00:09:43] Speaker B: Écoute, j'ai passé quand même un très bon moment. Je me suis dit bon voilà, en plus on était d'accord sur le fait que ce soit pour s'amuser donc c'était. [00:09:48] Speaker C: Pas... Oh bah alors... [00:09:49] Speaker B: C'était pas voilà donc... Comme quoi, boys. [00:09:52] Speaker C: Just want to have fun too. [00:09:54] Speaker B: Ah mais tiens, c'est vrai que je t'ai pas montré sa photo. [00:09:56] Speaker C: Non mais c'est... Non mais Pierre, on est déjà à 10 minutes, on a le tirage au sort. On a le tirage au sort à faire. [00:10:02] Speaker B: Regarde, il est là. [00:10:03] Speaker C: Oui, très bien. Très bien. Bah en tout cas vous avez partagé une coupe de cheveux, mais pas en même temps. [00:10:11] Speaker B: Bon et effectivement sinon il s'est pas passé grand chose cette semaine, si ! Hier soir je suis allé au Feel Good et ils te passent le bonjour, ils m'ont dit ah tu embrasseras Ben parce que bon tu connais le message. Donc bonjour au Feel Good. [00:10:22] Speaker C: Et puis tu es allé à la MECA. [00:10:23] Speaker B: Et je suis allé à la MECA voir Aurélie bien sûr qui mixait et j'ai passé un très bon moment. Par contre les gens hier étaient peu dans la rue parce qu'ils ont fait Halloween vendredi donc samedi soir ils étaient pas trop dehors. C'était une grosse fête vendredi. [00:10:36] Speaker C: Et puis c'était férié, ils travaillaient pas. [00:10:37] Speaker B: C'est vrai aussi. Par contre, le peu de gens qui étaient là, ils étaient encore dans l'étage, je pense, du jour d'avant. J'ai vu beaucoup de machins faire des tours de tête et puis j'ai vu beaucoup de yeux exorbités et de gens qui étaient un peu... Ils paraissaient stressés, mais je sais pas. Ils étaient quand même contents. [00:10:55] Speaker C: Ils étaient anxieux. [00:10:56] Speaker B: Ils étaient sûrement anxieux. [00:10:57] Speaker A: Oui, voilà. [00:10:58] Speaker C: Ah là là, je suis très anxieux. [00:11:03] Speaker B: Bon bref, et comme je ne bois plus et que je ne suis plus fait tard... [00:11:05] Speaker E: Eh ben tu t'en rends compte ! [00:11:06] Speaker B: Je m'en rends compte et j'ai fait waouh ! Waouh, il y avait des trucs complètement fou ! Mais je remercie toutes les personnes que j'ai croisées, des personnes extraordinaires et très gentilles. Plein d'amour, qui ont dit plein de bons messages, gentils messages sur Bang Bang en disant qu'ils pensaient qu'on était vraiment la seule émission valable. Et je le dis parce que comme ça, ça nous envoie un peu des fleurs. [00:11:24] Speaker C: Alors, moi j'ai croisé quelqu'un qui m'a dit la même chose cette semaine. [00:11:27] Speaker B: Ah ? [00:11:27] Speaker C: C'est quelqu'un qui nous a dit, votre émission elle est vraiment bien et il est guitariste de Mass Hysteria, mais je dirais pas lequel. [00:11:33] Speaker B: Lui il fait des gros bisous aussi bien évidemment du love love love et puis bon il y a ce tirage au sort parce que bon la guitare le mois d'octobre Schecter nous a dit est-ce que ça vous brancherait d'offrir encore une guitare à vos abonnés headbangers parce que Nous, ça nous fait plaisir d'offrir des guitares et ça nous fait plaisir d'aider Restless. Merci Schecter, merci infiniment Schecter. N'hésitez pas, si vous êtes musicien ou que vous aimez la musique, d'aller faire un tour sur leurs réseaux sociaux, bien évidemment, et sur leur site internet, parce qu'ils ne vendent pas que des guitares, vous imaginez bien. Il y a énormément de choses autour de la musique et c'est pas cher. Et c'est vraiment de très, très bons instruments. Et cette magnifique guitare, eh bien, vous avez eu, vous avez eu, pardon, tout le mois d'octobre pour pouvoir vous inscrire sur notre Patreon au niveau Headbanger. Et tous les abonnés sont ici. dans cette casquette Restless. Alors je sais pas, ça se verra pas, mais on s'en fout. Et donc, il faut faire un petit tirage au sort. [00:12:30] Speaker C: Je pense que ma main est plus pure que la tienne, après ce que tu viens de nous raconter. [00:12:34] Speaker B: Et donc, il y a une personne qui va repartir avec cette guitare. [00:12:40] Speaker C: Attends, mais fais écouter le son. [00:12:44] Speaker B: Ah vous entendez bien ! Ah c'est pas MoutiSport, non ! [00:12:47] Speaker C: Bon j'en prends au pif ! [00:12:49] Speaker B: Bah oui, c'est le but ! [00:12:51] Speaker C: C'est sûr ! [00:12:52] Speaker B: Je le lis ou tu le lis ? Non, je te laisse le lire. Parce que t'as la voix innocente. [00:12:55] Speaker C: Bah surtout que t'es... Moi j'arrive à lire. [00:12:58] Speaker B: Ah putain ! La vanne ! Oui je suis aveugle et illettré. C'est qui, c'est qui ? [00:13:04] Speaker C: Eh bien c'est Evan ! [00:13:05] Speaker A: Oh c'est Evan ! Bravo ! [00:13:07] Speaker C: Evan, bravo ! [00:13:08] Speaker A: Bravo Evan ! [00:13:09] Speaker B: Oh là là ! Donc... Pardon, oui... [00:13:13] Speaker C: Il faut savoir qu'il y a des fréquences qui me font extrêmement mal aux oreilles et les applaudissements de Pierre, c'est numéro un. [00:13:21] Speaker B: Alors pour tout le monde, mais comme ma voix, je gueule et quand j'applaudis, on m'a toujours dit, mais quand t'applaudis, ça fait plus de bruit que n'importe qui. [00:13:27] Speaker C: C'est les mains caleuses, ça a force de creuser des trous. Bref, bravo Evan ! On va t'envoyer un petit email pour être sûr que tu veux bien gagner à la guitare. Si ça se trouve, tu voudras la remettre en tirage au sort et on retirera si tu veux pas la guitare, Evan. [00:13:41] Speaker B: C'est possible qu'il l'envoie pas. Il a le droit. [00:13:43] Speaker C: Je n'en ferai pas bon usage, donnez-la à quelqu'un d'autre. À ce moment-là, on refera un tirage au sort. En tout cas, merci à tout le monde d'avoir participé. [00:13:51] Speaker B: Il est là ? Je sais pas si c'est Evan. [00:13:53] Speaker C: Ah, il est dans le chat ? [00:13:56] Speaker B: C'est toi Evan ? Evan es-tu là ? [00:13:58] Speaker C: Eh ben bravo Evan, tu as gagné la guitare. Cette magnifique guitare, regarde, elle est là. C'est exactement celle-là. On l'a tripotée depuis... [00:14:07] Speaker B: Il y a des traces de pouces de moi. [00:14:08] Speaker C: Voilà, on a fait des vidéos avec tout ça. Enfin la vidéo avec les mappettes quoi. [00:14:14] Speaker B: Bah oui, non non, et puis elle est très très belle. Sincèrement, elle est très très jolie et merci encore une fois Shektor et bravo à toutes les personnes qui ont participé aussi. Comme vous le savez, j'ai envoyé des stickers à toutes les personnes qui se sont inscrites aussi pour avoir quand même un cadeau comme la salade de bienvenue. C'est le sticker de bienvenue. Et puis voilà, c'est très très gentil. Et sachez une chose, c'est que ça nous aide aussi énormément et que c'est un énorme coup de pouce. Donc merci infiniment à toutes les personnes qui sont abonnées, quel que soit votre niveau d'ailleurs sur notre Patreon. Merci mille fois. Voilà, il y a toutes les personnes qui font des dons aussi. [00:14:48] Speaker C: J'ai déjà son mail. [00:14:50] Speaker B: Oui, puis on l'a sur Patreon, donc de toute façon, je peux le contacter directement sur Patreon. Tu peux m'envoyer un message privé d'ailleurs tout de suite, Evan sur Patreon pour qu'on puisse discuter des modalités. Nous allons avoir aussi les news ce soir, mon petit Ben, parce que Gladys est déjà prête, elle est dans les starting blottes. Blottes ! [00:15:08] Speaker C: Elle est dans les starting blottes, alors attention à vous tous ! [00:15:12] Speaker B: Et il y aura aussi Enjoy qui sera là pour nous faire part de ses goûts musicaux. Nous aurons la minute. [00:15:17] Speaker C: Sans jailler sur le bruit. [00:15:19] Speaker B: Ah bah oui, ça il est the number one. Et nous aurons aussi bien sûr le clip des Bangers, choisi par les abonnés de Bangers. C'est aussi un beau cadeau que vous avez. Et puis voilà, on va passer un bon moment. [00:15:30] Speaker C: Nous aurons Reda. [00:15:31] Speaker B: Bah oui, notre invité, j'allais oublier, mais quel scandale, Lele ! Réda sera notre invité. Réda qui viendra donc nous dire s'il aime vraiment la guitare. J'ai quelques doutes. [00:15:44] Speaker C: J'espère qu'il aime la guitare. [00:15:45] Speaker B: J'ai la guitare qui me démange. Alors je la rate un petit peu. Bon, on va avoir lui en invité. Et toi, tu devais nous parler quand même de quelque chose. [00:15:52] Speaker C: Moi je suis allé voir un petit concert du côté du pot éphémère cette semaine. Je suis allé voir Limbe et Conjureur. [00:16:00] Speaker B: Ok. Alors il y en a un des deux que je connais, il y en a un des deux que je connais pas. [00:16:03] Speaker C: Alors Conjureur, de toute façon j'arrête pas. [00:16:05] Speaker B: De vous saouler avec. [00:16:06] Speaker C: Regardez, il y a encore un clip il n'y a pas si longtemps. Conjureur. Alors Limbe en première partie, du coup c'est une sorte de black metal. Mais le chanteur-guitariste est seul sur scène avec son petit laptop. Et il y a des séquences qui partent avec la batterie, la basse et d'autres guitares, je crois. Et du coup, il joue avec et il chante, enfin, il crie. [00:16:34] Speaker B: C'est un homme et un ordinateur ? [00:16:36] Speaker C: Non, c'est vraiment un ordinateur et un homme à côté. [00:16:41] Speaker B: Ils sont deux. [00:16:42] Speaker C: Mais du coup, je n'ai pas accroché. C'est vraiment pas pour moi. Il y avait des images projetées, c'était pas mon truc. Et puis après par contre il y a eu Conjurer, alors là je me suis pris une torgnasse. [00:16:56] Speaker B: Est-ce que des fois on n'est pas tellement à fond sur la tête d'affiche qu'on a envie de voir, parce que c'est vrai qu'on peut être sur-excité avec cette idée, et du coup les premières parties on n'a pas envie de... Non. [00:17:04] Speaker C: Non mais c'est pas ça, c'est juste que c'était un peu trop monotone pour moi. [00:17:09] Speaker A: D'accord. [00:17:10] Speaker C: Mais après j'écoute pas de black metal non plus pour ces raisons là. Donc bon j'ai envie de dire l'un dans l'autre. [00:17:15] Speaker B: Oui oui, tout à fait, ça tient. Voilà. [00:17:17] Speaker C: Par contre Conjureur, c'était la guerre. [00:17:19] Speaker B: Ça dure combien de temps un concert de Conjureur ? [00:17:21] Speaker C: Une heure. [00:17:23] Speaker B: Parce que c'est intense quand même. [00:17:24] Speaker C: Ah oui. [00:17:25] Speaker B: Ah oui, non oui. [00:17:27] Speaker C: Ah oui, non oui. Oui, non oui. [00:17:30] Speaker B: Ah oui, oui, non. [00:17:32] Speaker C: Non, je ne sais pas, une heure, une heure et quart, un truc comme ça. Et par contre, c'était... Mais en fait, Conjureurs, c'est assez impressionnant parce qu'ils arrivent... Déjà, on ne va pas se mentir, ils ne sont pas très, très beaux. Ils ont... Non, non, mais ce n'est pas grave. Mais ce que je veux dire, c'est que quand ils arrivent sur scène, déjà, maintenant, ils ont l'air d'être dans le même groupe. Parce qu'à la première fois que je les ai vus, on a l'impression qu'ils venaient tous d'un groupe différent. [00:17:55] Speaker B: OK. [00:17:56] Speaker C: Et là, maintenant, ils ont l'air d'être tous dans le même groupe. Et par contre, quand tu les vois, tu miserais pas grand chose sur ce que ça va donner. Et quand ça se met à jouer... Mais c'est la guerre. Mais en fait, le son, il est énorme. C'est-à-dire que je les ai vus dans plein de salles différentes et à chaque fois, le son est énorme. En fait, c'est parce que ça joue super bien, quoi. Le bassiste, il est monstrueux. Il a une capacité à faire des tournées de tête. Je t'ai montré. [00:18:23] Speaker B: Oui, c'est vrai. J'en ai un à bon, mais oui. [00:18:25] Speaker C: Il est beng de malade. Il fait des... Enfin, c'est un vrai petit tourbillon. [00:18:31] Speaker B: Oh la tornade ! [00:18:32] Speaker C: Du coup, deux chanteurs, enfin, non vraiment, je ne sais pas quoi dire, j'ai déjà tout dit sur ce groupe, mais c'est vraiment, je ne comprends pas. [00:18:40] Speaker B: C'est un gros groumure de son, mais avec quand même beaucoup de relief. [00:18:44] Speaker C: Oui, c'est très varié, il y a des passages très rapides, il y a des passages très lourds et lents, il y a des passages, il y a des passages calmes aussi, il y a du chant clair. Maintenant il y a des trucs comme l'intro de l'album qui est vraiment une chanson guitare-voix et d'ailleurs ils ouvrent là-dessus. C'est juste lui qui chante avec la guitare, juste un arpège de guitare et en fait derrière il y a un mur de son qui monte, qui monte, qui monte et après ça pète et c'est hyper impressionnant. Et ce qui est encore plus impressionnant c'est qu'ils n'utilisent pas de C'est un truc qu'on en parle assez souvent, des bandes et tout ça. Là, il n'y a rien. Il y a juste quatre mecs sur scène. Et le son, il est énorme. Ça met la branlée à quasiment tout ce que j'ai vu. Donc comme quoi, c'est possible. C'est juste qu'il faut les compos. Et hyper impressionnant. Super énergie, très bonne ambiance. Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas plus de gens. Si, parce que c'est quand même un peu extrême comme musique, mais en fait c'est tellement qualitatif que je ne comprends pas qu'ils n'aient pas plus de succès en fait. C'est vraiment... [00:20:02] Speaker B: C'est dommage que les gens passent à côté. [00:20:03] Speaker C: Ouais, et c'est ce qu'on s'est dit avec quelques personnes que j'ai croisées là-bas, c'est que c'est que des gens qui... qui vont diguer un peu, quoi. Et c'est dommage parce que c'est vraiment... Enfin, si vous avez l'occasion d'aller les voir, allez les voir parce que c'est... [00:20:19] Speaker B: Au moins pour découvrir, vous allez voir. [00:20:21] Speaker A: Oui, effectivement. [00:20:22] Speaker B: Moi, je ne connaissais pas. C'est toi qui m'as emmené les voir au Trabendo. Quand on les a vus, on les a vus. [00:20:26] Speaker C: Oui, avec Celeste. [00:20:28] Speaker B: Oui, tout à fait. Et j'avoue que ce n'est pas mon genre du tout. Je ne vais pas écouter ça. Mais par contre, je suis resté un peu fixé sur le concert, tout le concert. Ils ont 17 bras, ils ont... [00:20:40] Speaker C: En fait, t'as pas le temps de te faire chier. En fait, c'est ça que je trouve qui est bien, c'est que je pense que même si t'es pas méga fan, en live, t'as pas le temps, tu vois pas le temps passer, quoi. C'est vraiment... Il se passe beaucoup de choses, il y a beaucoup de nuances, il y a beaucoup de reliefs. C'est vraiment un groupe excellent. Et du coup, j'ai proposé qu'on regarde un petit clip. [00:21:03] Speaker A: Voilà. [00:21:04] Speaker B: Très bien. [00:21:05] Speaker C: Du extrait du nouvel album. [00:21:07] Speaker B: Pas l'album, mais la chanson s'appelle All Apart. [00:21:09] Speaker C: Peut-être que l'album il s'appelle comme ça aussi, je ne sais plus. L'album qui est sorti il y a une semaine et qui est une tuerie. Je vous conseille de l'écouter. Il y a énormément de très, très bonnes chansons. [00:21:20] Speaker B: Eh bien voilà, très bien, on est content et... Ah oui, l'album Unself, tout à fait. Merci Marcel. Bon bah on va aller là-dessus. Et puis je pense qu'après cette petite discussion, ça va mettre une bonne tartasse à tout le monde et tout le monde va peut-être se réveiller. [00:21:35] Speaker A: Hein ? [00:21:35] Speaker B: WAKE UP ! WAKE UP ! WING BING BING BING ! [00:21:39] Speaker D: LET'S GO ! [00:28:13] Speaker A: Il ne reste qu'une seule option pour nous. C'est C'est la fin de la vie ! Oh, putain ! C'est incroyable! C'est la fin de la vie ! C'est le monde qui t'a suivi en vie ! J'essaie. [00:32:43] Speaker B: De continuer la chanson, on l'a fait comme on a pu. [00:32:47] Speaker C: Moi ça m'a fait mal à la tête. Je le dis, ça m'a fait mal à la tête. [00:32:53] Speaker B: C'est assez... [00:32:54] Speaker C: J'ai mal à la tête. [00:32:55] Speaker B: C'est saturé beaucoup. [00:32:56] Speaker C: C'est dense. [00:32:58] Speaker B: Intense, ouais, c'est très intense. [00:32:59] Speaker C: C'est dense trop. [00:33:00] Speaker B: Ça s'appelle Distant avec Desolation pour avoir un petit peu de joie et de bonheur, de bonne humeur. À savoir quand même que c'est un groupe européen de Deathcore qui est à la fois hollandais et slovak. Pour la petite information, si ça vous intéresse. [00:33:16] Speaker C: Donc en backstage, ça cuisine bien les patates. [00:33:20] Speaker B: On a une personne de notre équipe qui pourrait s'entendre avec eux culinairement parlant. [00:33:27] Speaker C: Ils n'ont pas de paprika. Ils n'ont pas de paprika mais ils ont du chou aussi. [00:33:32] Speaker B: Ils n'ont pas de paprika. [00:33:34] Speaker C: Mais sûrement des galettes frites avec de la crème fraîche. [00:33:36] Speaker B: En tout cas, vous l'aurez compris, c'était écrit dans ce qu'on voyait, mais les paroles parlent de leur âge contre la corruption, la cupidité, mauvaise conduite systémique, etc. Bref, tous les trucs dont on parle en ce moment, finalement, qu'on exerce depuis bien longtemps aussi, mais qui ne changeront jamais. Mais eux, ils ont envie de le crier haut et fort. Ce n'est pas bien. [00:33:55] Speaker C: Parce qu'il dénonce des choses que tout le monde dit. [00:33:58] Speaker B: Voilà. [00:33:59] Speaker C: D'accord. C'est important de le dire. [00:34:01] Speaker B: Oui, mais ils le disent en musique. [00:34:02] Speaker C: Et toujours le point levé. [00:34:03] Speaker B: Ouais, je pense qu'il faut... [00:34:05] Speaker C: Mais qui peut bien écouter ce genre de musique ? Moi j'aimerais bien rencontrer quelqu'un qui écoute ça. [00:34:10] Speaker B: Je sais pas, mais c'est sûrement des gens qui sont un peu dérangés. [00:34:13] Speaker C: Ah bah, ça c'est... [00:34:13] Speaker B: Je pense que c'est des gens qui sont un peu à voile à vapeur. [00:34:17] Speaker A: Ah. [00:34:18] Speaker B: Ouais, je veux dire par là... Un goût. Un peu schizo. Voilà, qui sont un peu d'un côté et de l'autre, sans vraiment savoir se recentrer sur l'essentiel. Ah, je sais pas. Bon, en attendant, Ben, quand je regarde ma montre virtuelle de l'an 2000... Ah, en poids demi ! Oui, bah c'est le seul endroit où il me reste des poils. [00:34:37] Speaker C: C'est vrai que tu as pas parlé de ta crème d'épilatoire. Restez bien dans le live TikTok de demain soir, Carpio va vous expliquer tous les tricks de la crème d'épilatoire. [00:34:46] Speaker B: T'as jamais oublié, t'es un connard. Mais c'est mérité, c'est de bonne hier. [00:34:54] Speaker C: T'as juste donné du conduit pour ton live TikTok. [00:34:56] Speaker B: Non, ne t'inquiète pas, je vais rassembler toute ma salle de bain dans le live TikTok. [00:35:02] Speaker C: Je vais vous faire une morning routine skincare. [00:35:06] Speaker B: Et vous avez vu le résultat, c'est l'enfer. Bon, toujours est-il que... [00:35:12] Speaker A: C'est l'heure du flash bang ! [00:35:19] Speaker B: Et c'est présenté par l'incroyable, la seule. [00:35:22] Speaker A: Unique Bigou, notre amie Gladice ! [00:35:25] Speaker B: Bravo Gladice ! Elle était accompagnée de Android Noir ! [00:35:30] Speaker C: Un Android sauvage a fait l'apparition sur le canapé ! [00:35:33] Speaker E: Et c'est pas moi qui ai choisi le morceau ! [00:35:36] Speaker F: Je suis effectivement très fan de Distant. [00:35:38] Speaker B: Tu veux dire par là que t'es dérangé ? [00:35:41] Speaker F: Peut-être, mais en tout cas, ils m'ont fait dépenser beaucoup d'argent en merch. Parce qu'en plus, ils sont beaux, leurs merchs. En plus du reste. [00:35:50] Speaker B: Pourquoi ils sont beaux ? Ils sont beaux ? [00:35:52] Speaker F: Non, mais leur musique est très bonne. Moi, j'aime beaucoup, en tout cas. [00:35:55] Speaker B: Oui, mais non, mais tout ce qu'on a dit, c'était bien évidemment pour plaisanter, parce qu'on sait bien que c'est ton genre musical et on a vu ton attitude pendant cette chanson et qu'on devait se... [00:36:02] Speaker C: Elle nous disait comme ça. Mais faut que j'écoute, j'écoute le blast là. [00:36:07] Speaker F: T'entends la snare bomb là ? [00:36:13] Speaker B: Bon, toujours éthique, Gladys, tu es là évidemment parce que tu es la déesse de nos nuits, mais surtout tu es celle qui anime le mieux cette émission, c'est-à-dire celle qui donne l'information, la vraie, la seule, l'unique, les news. [00:36:25] Speaker F: Tout à fait, et j'ai mis des news vraiment super cette semaine, qui moi en tout cas m'ont beaucoup intéressée. Et je vais commencer par revenir sur une news de la semaine dernière. Parce que Travis Barker, en fait, il est passé derrière le micro. [00:36:37] Speaker B: C'est vrai, j'ai vu ! [00:36:39] Speaker F: Donc vous vous souvenez de la pub Vans x Travis Barker, là, avec les old school personnalisés. On entendait un extrait punk ultra catchy intitulé The Spade. Surprise, en fait, le chanteur, c'est Travis lui-même. Et ce qui est surprenant, c'est que je trouve qu'il a la même voix que Dexter Holland. Et il y a beaucoup de gens qui ont cru que c'était Dexter Holland, mais c'est bien Travis lui-même. [00:36:57] Speaker B: Est-ce qu'on les a déjà vus dans la même pièce ? [00:37:01] Speaker F: Il a déjà fait de la batterie et il chante en même temps, tu vois, et après tu pourras la ramener. [00:37:04] Speaker C: Est-ce que tu crois que sur l'enregistrement il l'a fait ? [00:37:06] Speaker F: Peut-être, on sait pas, on était pas là. [00:37:07] Speaker C: Je te dis que non. Parce que tu vas pas te faire chier à chanter avec le son de la batterie si tu peux le faire séparément. C'est toujours le cas. [00:37:17] Speaker F: Moi j'ai déjà vu des chanteurs faire de la batterie en même temps sur scène. [00:37:20] Speaker C: Moi aussi, j'ai déjà vu. [00:37:21] Speaker B: On a vu beaucoup sur scène. [00:37:23] Speaker C: Mais en studio ils ne le font pas en même temps. [00:37:27] Speaker F: Toujours est-il que moi j'aime bien la voix de Dex. [00:37:28] Speaker C: Oui, tu essaies de te défendre parce que bon, il te plaît, voilà. [00:37:32] Speaker F: Non mais je trouve que le son est pas mal aussi. Il est disponible sur Youtube si vous voulez l'entendre. C'est 30 secondes, ce n'est pas énorme mais c'est cool. [00:37:40] Speaker B: Mais du coup ça ne sort jamais ? Il n'y a pas un morceau entier qui sort ? [00:37:42] Speaker F: Non, c'était juste pour la pub. [00:37:43] Speaker B: J'en suis sûr qu'il y a un morceau quelque part qui va sortir. du a posteriori, comme on peut le dire. Qui sait ? [00:37:51] Speaker E: Au pire, il y a quelqu'un qui va filer ça à une IA qui va faire, vas-y, complète le morceau. [00:37:54] Speaker F: Donne pas des idées de merde aux gens, s'il te plaît. [00:37:57] Speaker B: C'est une idée foireuse, je le reconnais. Je ne sais pas si vous avez. [00:38:03] Speaker F: Vu, mais il y a quand même des maisons de disques qui payent des artistes IA maintenant. [00:38:08] Speaker B: Oui, j'ai vu qu'il y a des contrats qui ont été faits par des maisons de l'issue avec Delia. [00:38:11] Speaker F: Quand tu sais que certains artistes ne peuvent pas bouffer ? [00:38:13] Speaker C: Dans mon radar des sorties cette semaine, j'ai une chanson de Colchamber avec une pochette de feu de camp vraiment faite par IA et la musique, je me suis dit je crois que c'est pas Colchamber. Je pense que c'est un petit tria. [00:38:29] Speaker B: Qui... Est-ce qu'ils ont essayé de faire du Colchamber ? [00:38:33] Speaker C: Tu veux que je te fasse écouter ? [00:38:34] Speaker B: Franchement, je suis intrigué. [00:38:35] Speaker C: Excusez-moi, je crache les news, mais c'est un flash spécial. [00:38:41] Speaker B: Quand ça concerne Colchamber, on est obligés de se concentrer. [00:38:44] Speaker C: Il y a des priorités dans la vie. [00:38:45] Speaker B: Il y a quand même Das Fafara qui n'est peut-être pas au courant. J'ai quand même un petit doute. [00:39:02] Speaker E: Eh bien je le reconnais, c'est Despafoireux. [00:39:05] Speaker B: Despefoireux. Non mais non, c'est pas Colchamber. Mais ça va dans tous les sens, ça n'a pas de sens. [00:39:14] Speaker E: Ah c'est du folk-prog. [00:39:16] Speaker C: C'est du folk-prog. Bon vous pouvez pas voir mais... [00:39:22] Speaker E: C'est pas vraiment le genre de rénaisson. [00:39:24] Speaker B: Ça m'a dégoûté. Ça m'a énervé en fait. Je sais pas pourquoi ça m'a mis dans un état d'énervement. [00:39:33] Speaker F: Parce que ça énerve, c'est normal. C'est normal. [00:39:36] Speaker B: C'est vrai qu'ils sont pas envie de. [00:39:36] Speaker E: Lui péter, c'est normal. [00:39:37] Speaker B: Des maisons de disques dépensent des sommes assez astronomiques d'ailleurs pour avoir signé. [00:39:43] Speaker F: Alors qu'en plus concrètement ils pourront pas faire de concert puisque c'est des IA. [00:39:48] Speaker B: La maison dit qu'elle ne gagne pas. [00:39:49] Speaker C: D'Argent sur les concerts. Elle gagne sur les streams. [00:39:52] Speaker F: Tu ne gagnes pas des milliers avec Spotify. [00:39:56] Speaker C: Plus tu fagocites les plays, plus tu gagnes. [00:40:00] Speaker F: Ça m'énerve. [00:40:03] Speaker B: Je crois que ça énerve tout le monde. En plus. [00:40:11] Speaker F: Je suis en train de re-regarder Dynastie là comme ça. [00:40:14] Speaker B: Lequel ? Parce que la nouvelle génération. [00:40:16] Speaker F: J'aime bien. [00:40:17] Speaker C: Dynastie, c'est un groupe ça non ? [00:40:20] Speaker B: C'est comme Diana mais sans le mur. [00:40:23] Speaker C: Mais on m'avait gardé la putette ! [00:40:26] Speaker B: C'est horrible ! Désolé, on t'envoie en bas. [00:40:29] Speaker C: Tu connais pas cette blague ? [00:40:30] Speaker B: Ah non. [00:40:31] Speaker C: C'est celle de la chose qui est passée par la tête de Diana Monkner. [00:40:34] Speaker A: Oh non ! [00:40:34] Speaker B: Arrête ! C'est horrible ! [00:40:36] Speaker C: Je donnerai pas la réponse. [00:40:38] Speaker B: Mais on en veut pas Bon, ça m'a fait un peu frisson dans la nue ! [00:40:42] Speaker F: Je continue et vous allez hop hop hop ! Jordan Fish, ex-BMTH, rejoint BERTUS en studio, ! le producteur et ancien membre de Bring Me The Horizon. Jordan Fish est en plein travail sur le prochain album de BERTUS, un duo qui intrigue. Certains fans se réjouissent de cette nouvelle direction, d'autres comme moi. Redoute que la patte très électronique de Fisch ne dénature le sang brut et viscéral du groupe. Affaire à suivre, mais une chose est sûre, Bertus prend part à un virage majeur dans son univers métalcore. [00:41:10] Speaker B: Alors, je voulais te réagir, mais moi j'ai à dire. [00:41:13] Speaker F: Je ne me réjouis pas du tout. [00:41:13] Speaker C: Moi je sais ce que tu vas dire. [00:41:16] Speaker B: Tu sais vraiment ce que je vais dire ? [00:41:17] Speaker C: Je pense que je sais ce que tu vas dire. [00:41:19] Speaker B: C'est sérieux ce que je vais dire ? [00:41:20] Speaker C: Vas-y. [00:41:21] Speaker B: Franchement, Berthoud, c'est déjà devenu de la merde. [00:41:25] Speaker C: Je te savais, je te savais, j'aurais. [00:41:26] Speaker D: Dit ce qu'il y avait. [00:41:27] Speaker B: Je suis assez d'accord avec toi. Que les gens apprécient, je parle de mon avis, je ne dis pas que j'ai raison, mais il y avait des trucs super agressifs, super pulsés, intéressants. Et je pense que l'appel de la réussite et de l'argent les ont emmenés ou de la maison disque, j'en sais rien, mais les ont emmenés dans des trucs qui sont beaucoup plus simples. Il y a des chansons que j'aime bien, qui sont très douces, que j'apprécie. Mais je me suis dit, putain, je ne reconnais jamais le groupe. Et là, bon, tant qu'à faire. Alors Electro, je ne sais pas s'il mettra que sa pâte Electro. Peut-être qu'il va remettre un petit peu d'énergie aussi dans vous, je ne sais pas. [00:42:01] Speaker F: Quand tu vois ce qu'il a fait avec Architects, tu fais... [00:42:05] Speaker B: C'est leur pire album. [00:42:09] Speaker F: Pour moi c'est le pire album. [00:42:10] Speaker C: Il y a deux chansons que j'aime. [00:42:13] Speaker F: Bien dans l'album d'Architexte, c'est les deux seules où il n'a pas participé du tout en fait. [00:42:17] Speaker B: C'est mon album préféré d'Architexte. [00:42:21] Speaker E: Une fois j'ai dit pas deux. [00:42:24] Speaker B: C'est la chronique la plus agressive et. [00:42:28] Speaker F: La plus méchante que j'ai jamais écrite de toutes les chroniques. Pourtant c'est la plus agressive et la plus méchante que j'ai écrite c'est sur le dernier album d'Architexte. [00:42:35] Speaker B: Ok, ça va, ne m'agressez pas, je. [00:42:36] Speaker C: Suis en droit de l'aimer ! Le meilleur album d'Architects, c'est Holocrown, et puis voilà, on arrête d'en parler. [00:42:41] Speaker B: J'aime pas les crânes holographiques, j'aime pas ça. [00:42:44] Speaker F: Par contre, il est vrai que le dernier album de Berthoud, je l'avais... pas plus s'aimer que ça mais alors là ça va t'enfoncer le clou en fait. [00:42:51] Speaker B: Après ça plaît sûrement à d'autres personnes mais pas les fans de base. [00:42:54] Speaker F: J'ai été les voir en live et tout, je kiffe en live l'énergie et tout ça mais... [00:42:57] Speaker E: Une touffe d'ours. [00:42:58] Speaker C: Moi je dirais juste qu'il y a eu une nouvelle chanson de Poppy qui est sortie là dans la vol, qui est nulle à chier. [00:43:04] Speaker B: Je suis pas d'accord. [00:43:05] Speaker C: Non elle est mièvre. Elle est mièvre mais... [00:43:08] Speaker B: Elle est convenue. [00:43:09] Speaker C: Elle est convenue, avant elle faisait de la pop, de la vraie pop. Et c'était moins convenu que ça. C'est quand même compliqué. [00:43:16] Speaker B: Peut-être qu'il fallait une petite chanson comme ça. Tu verras, on ne peut pas attendre. [00:43:21] Speaker F: Moi, en tout cas, je dis Jordan Fish qu'il monte son groupe et qu'il arrête de faire chier dans les groupes des autres. Je l'aime. [00:43:27] Speaker C: Il gagne plus en faisant de la prod et en prenant des points de prod de partout. [00:43:30] Speaker E: Je pense que ça rafraîchit. [00:43:31] Speaker B: Il n'y a pas besoin d'aller au concert pour faire des concerts. [00:43:34] Speaker E: Je pense que vu ce qu'il a fait avec Bring Me The Horizon, tout le monde veut essayer de tenter sa chance avec lui et forcément il a beaucoup été demandé. [00:43:41] Speaker C: Il y a le guidebox. [00:43:42] Speaker B: Il faut saisir aussi le moment où tu peux gagner beaucoup d'argent. Là, on ne peut pas lui en vouloir. [00:43:46] Speaker F: En tout cas, moi dès qu'il touche à un projet, je souffle fort et à chaque fois je suis déçue. Je sais même pas pourquoi je suis déçue, parce que ce matin on a déçu en vrai, donc voilà. [00:43:55] Speaker B: En tout cas, n'hésitez pas à laisser vos commentaires, parce que peut-être que vous êtes fan du tout dernier Berthouz et que vous vous dites qu'ils disent de la merde. D'ailleurs, les goûts, les couleurs, ça ne se dispute pas. [00:44:03] Speaker F: Tout à fait. [00:44:03] Speaker B: J'essaie de défendre un petit peu ma paroisse pour le dernier Architects. [00:44:07] Speaker E: Peut-être que bientôt tu claqueras ta plus méchante chronique sur le prochain Berthouf. [00:44:11] Speaker F: Peut-être, j'étais quand même très incisive. [00:44:13] Speaker B: Un Berthouf, elle disait, pari tenu. [00:44:17] Speaker F: Ensuite, on a Alexis On Fire qui prépare son retour en studio. Les Canadiens ont révélé à Rock Sound qu'ils avaient une tonne de nouvelles musiques prêtes à être enregistrées. Wade McNeil a expliqué que le groupe cherchait actuellement un bon studio, un bon producteur pour donner vie à ses nouveaux morceaux. En attendant, ils sortiront le 7 novembre un EP qui s'appelle Copies of Old Matters Volume 1 qui rend hommage à 4 groupes canadiens et un avant-goût prometteur avant un futur très bon album. Et vous pouvez par contre déjà écouter le single de 3 titres, No Makers, qui est sorti le 30. [00:44:49] Speaker C: Oui, moi j'ai écouté. [00:44:49] Speaker F: Que j'avais pas fait gaffe et que. [00:44:51] Speaker B: J'Ai... Et du coup un album d'une tonne, c'est lourd. [00:44:54] Speaker F: D'une tonne ? [00:44:54] Speaker C: Après, il y a des mecs qui ont fait des chansons sur des marteaux de 10 tonnes. [00:44:59] Speaker A: Oui, c'est vrai. [00:45:01] Speaker E: Ils cherchent un producteur du coup ? [00:45:03] Speaker F: Ils veulent un bon producteur et un bon sujet. [00:45:05] Speaker B: En fait, personne veut d'eux. [00:45:07] Speaker E: D'ailleurs, je crois que j'ai vu l'info. [00:45:10] Speaker F: Passer tout à l'heure. Il me semble qu'ils sont bookés à l'Outbreak Festival à Manchester. Je crois que j'ai vu sur l'affiche tout à l'heure. [00:45:18] Speaker B: Tu l'as écouté, Ben ? [00:45:19] Speaker C: Oui, j'ai écouté, j'ai trouvé ça super. C'est vrai que c'est très rough. C'est très... C'est un son très... Ah, c'est direct, il n'y a pas de... Oui, il y a un côté très... Roots. Oui, Roots. Mais par contre, le morceau est bien. [00:45:35] Speaker F: Oui, franchement, il est cool. [00:45:36] Speaker C: Bien catchy. [00:45:37] Speaker B: Ils avaient disparu à Action Fire ? [00:45:39] Speaker C: Ils étaient un peu en hiatus puisqu'il y a le guitariste qui était parti faire galose, chanter dans le galose. Et il y avait l'autre guitariste, Dallas Green, qui s'était consacré à City & Color. [00:45:55] Speaker B: Ah oui, donc ça fait un bail. [00:45:57] Speaker C: Bah là, ils reviennent, ça fait un petit moment, ils ont fait une tournée anniversaire, et du coup, derrière, ça a renchaîné. [00:46:04] Speaker B: Ok, d'accord. Merci, merci Eben. [00:46:07] Speaker C: Il vous en prie. [00:46:09] Speaker B: J'avais besoin d'un peu plus de clarté là-dedans. [00:46:11] Speaker C: Une petite mise au point. [00:46:13] Speaker F: Voilà. [00:46:14] Speaker B: Merci. [00:46:16] Speaker F: Bon, j'enchaîne. [00:46:18] Speaker B: Pourquoi ? [00:46:18] Speaker F: Currents sort un nouvel EP, pardon, explosif, sorti le jour d'Halloween. Currents revient en force avec All That Follows, un EP de 5 titres aussi puissants qu'émotionnels et j'avais écouté leur single qui était sorti le 18 juillet. Je ne m'attendais pas à un EP, je n'avais pas vu d'annonce sur cet EP, donc c'était une putain de surprise. Et c'est en final un projet qui se révèle dense, super produit, un metalcore moderne, mélodique et viscéral comme on l'aime. Et le 31 octobre aussi, c'était la date qu'avait choisi Avatar, donc je me suis dit Halloween, il y a plein de trucs cools qui sortent, donc j'ai voulu les mettre en avant. [00:46:49] Speaker E: Le morceau est bien. [00:46:50] Speaker F: Oui. [00:46:51] Speaker B: Le clip moins, mais le morceau est bien. [00:46:54] Speaker F: Celui de Currents ? C'est carrément un EP qu'ils ont sorti en fait. Mais le morceau est cool, le clip... [00:47:01] Speaker C: T'as vu on peut rien dire. [00:47:03] Speaker B: Depuis que je lui ai dit que j'allais être le dernier architecte, elle a envie de m'enlever les yeux. [00:47:06] Speaker C: Depuis que t'as dit que Bertus c'était déjà nul avant que ça devienne encore plus nul. [00:47:12] Speaker B: En vrai, par contre, en ce qui. [00:47:15] Speaker F: Concerne Berthoud, j'ai quand même une question. Est-ce que tu les as déjà vus en live ? [00:47:19] Speaker B: J'les ai vus en live et c'est très bon. [00:47:20] Speaker F: Par contre en live, t'as vu ? [00:47:21] Speaker B: J'les ai vus en live et c'est très bon. C'est carré, ça jump, y'a une vraie bonne ambiance. [00:47:25] Speaker F: Y'a une énergie de malade. [00:47:25] Speaker B: C'est vrai, ça je peux pas dire le contraire. [00:47:28] Speaker C: L'énergie c'est bien, des compots c'est mieux. [00:47:31] Speaker F: Non mais en vrai y'a des bangers... [00:47:34] Speaker C: Je rigole bien sûr ! Et de toute façon, on sait que Noah est un des plus grands chanteurs de cette année. [00:47:41] Speaker B: Ça partira jamais. Cette vanne, elle ne va jamais partir. Cette personne dans dépression depuis tellement longtemps. [00:47:48] Speaker F: Non, mais du coup, j'ai voulu partager une partie de cet EP et j'ai choisi un clip de Currens. Tu fais partie de cet EP. [00:47:55] Speaker B: Alors quel est le côté de toi qui a choisi Currens ? Le gauche ou le droite ? [00:47:59] Speaker F: Celui-là. [00:48:00] Speaker C: Alors il faut que tu te tournes comme ça pour le lancer. [00:48:04] Speaker F: Ce titre c'est It Only Gets Darker. Bah oui, Darker. [00:48:10] Speaker B: Bah let's go alors. [00:48:38] Speaker A: C'est quoi ce bruit ? C'est quoi ce bruit ? Je n'ai jamais honte, j'ai toujours eu de la faillite Maintenant, je me surrends à moi-même, semble-t-il C'est la fin de cette vidéo, merci d'avoir regardé Je détruis ma réalité ! C'est la fin de cette vidéo. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Oh. [00:52:38] Speaker C: J'Ai les yeux qui piquent ! [00:52:40] Speaker B: C'est ça la vie après ! Elle a trop de lumière alors que je sais ! [00:52:45] Speaker C: Je crois que j'ai une conjonctivite ! [00:52:47] Speaker B: Conjonctivite ! [00:52:49] Speaker F: En tout cas, Je Tranche, c'est bien un cimetière et non une forêt. Et c'est un groupe que vous pouvez retrouver le 10 novembre au Bataclan avec The Platinum. [00:52:56] Speaker B: 10 novembre ? [00:52:57] Speaker E: Avec le plot en toit. [00:52:58] Speaker B: Là, là, maintenant, là. [00:52:59] Speaker F: On s'est complé, donc maintenant, trop tard pour vous, fallait vous débrouiller avant. [00:53:03] Speaker B: Ou peut-être des places à gagner sur RSS. [00:53:05] Speaker F: Peut-être. [00:53:06] Speaker B: Who knows ? [00:53:08] Speaker F: Faut être abonné pour ça, par contre. [00:53:09] Speaker C: Moi, je connais quelqu'un qui connaît, mais qui sait ? [00:53:11] Speaker B: Moi, je sais. Toi, tu sais qu'il y a des. [00:53:14] Speaker C: Places à gagner ? [00:53:16] Speaker B: Je sais s'il y en a ou pas. On verra ça bientôt. De toute façon, il suffit d'être sur Instagram ou d'être sur notre Patreon parce qu'il y en a certaines qui sont réservées au Patreon. Quand c'est des choses rares, je les offre aux abonnés. [00:53:27] Speaker C: Mon petit conseil, c'est suivez-nous sur Instagram avant qu'on ait passé les 33 000 parce que si vous arrivez après les 33 000, c'est vraiment la te-on, quoi. [00:53:36] Speaker B: Ouais, ouais. [00:53:37] Speaker F: Tout à fait. [00:53:37] Speaker B: Il faut se dépêcher, c'est tout. Il faut se dépêcher. Et puis dire à tous ses amis aussi pour pas qu'ils aient la honte aussi. [00:53:42] Speaker A: Tant qu'à faire. [00:53:43] Speaker B: Que s'est-il passé d'autre dans l'actualité ? [00:53:46] Speaker C: En tout cas, si vous n'arrivez pas. [00:53:47] Speaker B: Avant 33 000... Putain j'voulais la faire j'me suis dit... Bah la faire, mais toi tu l'as fait, tu l'as fait mieux. [00:53:55] Speaker C: Ouais. Nan parce que moi c'était juste pour couper Gladys hein. [00:53:58] Speaker F: Ah ouais bah évidemment. Ça se payera après t'inquiète. [00:54:01] Speaker C: Bon j'ai l'habitude. [00:54:02] Speaker F: Donc ensuite on a Poppy ! [00:54:04] Speaker C: Ah, Poppy, chiasse, tu veux dire ? [00:54:06] Speaker B: Arrêtez, que c'est dur de spoiler les news. [00:54:08] Speaker C: Elle annonce un concert pour ton anniversaire, Pierre. [00:54:11] Speaker B: Un dimanche soir. Un 15 mars. [00:54:13] Speaker C: Super. [00:54:13] Speaker B: Un 15 mars. Un 15 mars. [00:54:15] Speaker C: Un 15 mars. Pendant l'émission, ce sera l'anniversaire de Pierre et ce sera le concert de Poppy. [00:54:20] Speaker B: Il y aura un Paypal ouvert spécialement pour vous. [00:54:22] Speaker F: Je pense que j'irai au concert de Poppy. [00:54:30] Speaker B: Alors qu'est-ce qu'elle a fait celle-ci ? [00:54:32] Speaker F: Elle a rejoint Linkin Park sur scène à Bogota. Donc c'est un moment fort de la tournée sud-américaine de Linkin Park puisqu'elle a rejoint le groupe en Colombie pour chanter One Step Closer. Pas de captation officielle complète mais plusieurs extraits circulent déjà sur YouTube. Une performance aussi inattendue que puissante. Un duo explosif, il y a les fans qui ont adoré et les fans qui ont détesté. Les mêmes fans qui ont détesté Poppy sur scène, c'est les mêmes femmes qui détestent que ce soit plus Chester sur scène, donc ils s'en foutent de leur avis. [00:55:05] Speaker C: On va dire que c'est pas Poppy. [00:55:06] Speaker E: Le problème, elle en particulier. [00:55:09] Speaker C: En tout cas, ça prouve une chose, c'est qu'elle sait chanter et crier en live. Parce que quand c'est ton concert, t'as tes bandes et tout ça. Mais quand tu viens faire des feats comme ça, qui sont pas prévus, je pense pas longtemps à l'avance. Il n'y a pas le temps d'organiser n'importe quoi. [00:55:27] Speaker F: Franchement, j'ai vu tous les petits extraits. Moi, j'ai trouvé ça cool. [00:55:30] Speaker B: Et puis Linkin Park y joue un, parce que quand ça chante faux, ça chante faux. C'est souvent d'ailleurs. [00:55:36] Speaker E: Ça veut dire que c'est très sincère. [00:55:39] Speaker C: Après pour tous ceux qui pleurent en permanence, qui disent que ça chante faux et que Chester c'était mieux, réécoutez des lives non pro. des lives qui sont pas réenregistrés. [00:55:55] Speaker B: Ils sont filmés par des fans, pas qui sont produits. [00:55:58] Speaker C: Pas des trucs de DVD et tout ça. Chester, il chantait pas en live, c'était pas toujours... [00:56:04] Speaker F: C'était immédiat. Après, comme tous les chanteurs, j'ai envie. [00:56:06] Speaker C: De dire, c'est une gare qui peut. [00:56:07] Speaker B: Pas être super performant à chaque fois. Pas méchant, c'est pas méchant. [00:56:10] Speaker C: Je critique pas... Non, mais c'est pour. [00:56:11] Speaker F: Donner la réalité du contexte aux gens. [00:56:13] Speaker A: Exactement. [00:56:13] Speaker C: C'est pour dire que chanter faux, ça arrive à plein de gens et que... Il suffit que tu sois malade ou pas en forme. [00:56:18] Speaker D: Des fois, c'est pas ça qui compte le plus. [00:56:19] Speaker B: Moi, je m'en fous la rack. [00:56:22] Speaker F: Bon, je continue. Ensuite, on a le Grasse Pop 2026 avec un line-up monstrueux. Le Grasse Pop Metal Meeting 2026 s'annonce une fois de plus colossal avec des têtes d'affiches comme Bring me the horizon. [00:56:36] Speaker B: Tu sais, vous savez, regardez-moi, regardez-moi, regardez-moi bien. Pourquoi elle fait ça ? Pourquoi elle fait ça ? Parce que vous savez quoi ? Dans notre dos, elle va demander des invités en disant, regardez ce petit extrait vidéo, j'en ai parlé, vous voyez, je fais déjà de la promo. Oui ou non ? [00:56:50] Speaker F: Non, je ne donne jamais d'accréditation pour mon média. Le Grasse Pop ne donne jamais d'accréditation en France. [00:56:55] Speaker B: Tu parles que grâce à Asselineau, tu vas en avoir ? [00:56:58] Speaker C: Tu parles que nous, on peut en avoir ? [00:56:59] Speaker B: On fera la demande pour toi. Tu sais quoi ? On fera la demande pour toi. [00:57:02] Speaker F: Mais il n'y a pas que BMTH, c'est si étendu pour donner envie à tout le monde, il y a aussi Twisted Sister, Architects, Bad Omens, The Plot In You, Breaking Benjamin, Tesseract ou encore Within Temptation, donc c'est vraiment une putain d'affiche. Et du coup, moi, mon choix est vite fait, Direction Dessel en Belgique cet été. [00:57:21] Speaker B: C'est quand même un joli nom de ville. Voilà, c'est ma seule critique. [00:57:26] Speaker F: En plus, la bouffe est sympa, à la base, des croquettes de fromage et tout, c'est la Belgique quoi. [00:57:31] Speaker B: Des frifris super, des trucs où quand tu bouffes t'as la chiasse quoi. [00:57:34] Speaker F: En vrai c'est souvent une affiche très proche de celle du Hellfest, c'est le même week-end par contre. L'avantage pour ceux qui sont très angoissés quand il y a trop de monde, et moi le Hellfest pour le coup ça m'angoisse parce que je trouve ça trop blindé de monde. [00:57:46] Speaker B: C'est plus humain grâce au peuple. [00:57:47] Speaker F: C'est beaucoup plus petit, les scènes sont plus rapprochées, ce qui fait que si tu veux voir deux groupes en même temps par exemple, parce qu'il y a des deux groupes qui passent en même temps, tu peux très bien faire la moitié d'un set et faire l'autre moitié de set. T'as 3000 de marches entre les deux. Non mais t'as 3 minutes de marche entre les scènes sans que ça soit un brouhaha, pour autant tu circules facilement, t'as pas l'effet cuvette, les douches sont propres, les chiottes sont propres. [00:58:07] Speaker B: Les belges sont propres ? [00:58:09] Speaker F: Les belges en plus ils sont sympas, ils font pas chier, la seule fois où on m'a fait chier au Grasse Pop c'était un putain de français. [00:58:15] Speaker B: Non mais je sais, on adore les Belges. Je plaisante. On adore les Belges, on les surkiffe. [00:58:19] Speaker F: Donc si vous êtes frustrés de ne pas avoir vu votre place pour le. [00:58:23] Speaker B: Hellfest, comme beaucoup, je pense... Direction le Grasse Pop, c'est vrai. [00:58:26] Speaker F: C'est un bête de festival. Franchement, je l'ai fait plusieurs années d'affilée, il est vraiment très cool. Il est très belle la figure. [00:58:32] Speaker B: En plus, il ne fait pas beau, donc du coup, il n'y a pas de coupe soleil. [00:58:34] Speaker F: Non, il y a 2-3 ans quand je l'ai fait. Il y a 3 ans, il faisait super chaud. Bon, il y a 2 ans, il flottait pas mal, mais il y a 3 ans, il faisait super chaud, pas une goutte de pluie, rien du tout. [00:58:45] Speaker B: Quand il pleut en Belgique, c'est de la bière. Bon, je m'arrête là. Allez, on continue. [00:58:49] Speaker F: Ensuite, on a Villevaudigna qui accueille un nouveau chanteur, donc gros changement chez les groupes, de Deathcore sud-africain, qui a officialisé l'arrivée de Zion Beat & Bender, donc Zion Scream au chant. Cette annonce fait suite au renvoi de l'ancien frontman, évincé à cause de sa violence. Il avait même été physiquement violent avec un membre du groupe. Je l'avais vu une semaine avant qu'il se fasse jeter du groupe. C'était la grosse méga surprise, mais pas la bonne surprise. Zion apporte un souffle nouveau à la formation, prêt à repartir sur des bases saines et toujours aussi brutales. [00:59:21] Speaker C: Ça m'étonne pas qu'il y ait eu des problèmes comme ça. [00:59:23] Speaker F: J'ai hâte de les voir avec leur nouvelle formation. Et si je ne dis pas de bêtises, il passe en première partie de Holeshall Parish aussi en novembre au Glazart. [00:59:31] Speaker C: Ça ne m'étonne pas qu'il y ait eu ce genre de truc dans le groupe parce que Marcel, il est fan. Et Marcel est toujours fan des groupes un peu problématiques. [00:59:40] Speaker F: Mais il était à ce concert-là aussi, Marcel ? [00:59:44] Speaker C: Ça m'étonne pas. [00:59:47] Speaker B: Il peut pas tout savoir, Marcel. [00:59:50] Speaker F: Moi j'avais discuté avec lui au concert. [00:59:52] Speaker B: Bon, dites-vous qu'il y a peut-être un problème. [00:59:57] Speaker F: En vérité j'avais discuté avec lui à ce concert-là, je l'avais trouvé sympathique et une semaine après j'apprends qu'en fait c'est un gros connard qui tape tout le monde. [01:00:05] Speaker B: Zion, du coup, il y a déjà des extraits de... [01:00:08] Speaker F: Je n'ai pas cherché, j'avoue. J'ai vu l'info hier et j'étais en mode, wow, trop bien ! [01:00:12] Speaker B: Ok, ok. Bon, de toute façon, je ne suis pas fan du groupe, donc... [01:00:15] Speaker F: Voilà. [01:00:15] Speaker B: Ah, Yann Gris, il dit qu'on est là, les Belges. Ben oui ! [01:00:17] Speaker C: Ben oui ! [01:00:18] Speaker F: C'est les meilleurs, les Belges, ils ne font pas chier, les mecs, déjà, rien que ça. [01:00:22] Speaker B: Et puis on a beaucoup de gens qui nous écoutent de Belgique. [01:00:23] Speaker C: D'ailleurs, on a reçu un Belge dans l'émission La Malave à la rampe. N'hésitez pas à aller retrouver son émission. [01:00:29] Speaker B: Tout à fait. [01:00:30] Speaker C: Par exclamation, Beng. [01:00:32] Speaker F: Et du coup, on clôture les news avec les meilleurs costumes d'Halloween sur scène. Ou pas que sur scène d'ailleurs. J'ai fait un petit détour fun pour la semaine et j'ai fait mon propre classement des meilleurs déguisements d'Halloween version métal. J'ai vu Eddie Ermida, le chanteur de Suicide Silence, et Herschel Perrish, qui a littéralement scrimé sur scène dans une énorme salle américaine avec Suicide Silence, le tout habillé en banane géante. Donc je lui ai mis le... BANANE ! [01:00:57] Speaker B: Ah pardon, excusez-moi, je me suis tombé d'émission. [01:00:58] Speaker F: Je l'ai mis en première position parce que je trouvais son costume énormissime. Et de voir un mec qui scrim ses tripes habillé en banane, c'est franchement cool. [01:01:08] Speaker E: Est-ce que ça te sort pas un peu du délire quand même ? [01:01:11] Speaker F: Après quand tu connais Edith, c'est quelqu'un. [01:01:13] Speaker B: Qui est en banane. [01:01:17] Speaker F: Et voilà, du coup il y a plein de bananes dans le... Mais c'est pour ça qu'il est le number one au niveau prix. Ensuite, en deuxième, j'ai classé le guitariste de Sign of the Swarm, Everett. Ils étaient tous habillés en abeilles sauf le chanteur qui était en apiculteur. Mais j'ai mis Everett en deuxième parmi tous les autres parce que lui, il avait les petites antennes. Du coup, je trouvais qu'il avait vraiment la classe. Surtout quand il tape des gros riffs avec les... Voilà. [01:01:42] Speaker C: J'aime bien. J'ai envie de le voir maintenant. [01:01:45] Speaker F: J'ai des photos sur mon téléphone et des vidéos si tu veux. Elles sont vraiment énormes. [01:01:48] Speaker B: Ceux qui auront le replay YouTube vont être bien contents de... [01:01:51] Speaker C: On va les mettre, on va les mettre... Marcel, il va vous mettre ça ! [01:01:57] Speaker F: Et en dernière position, donc en troisième position, j'ai mis JP, ex-chanteur de Gain the Shot, actuel guitariste de Don Stater, que j'ai vu en costume bouteille de ketchup aussi absurde qu'il la rend, voilà. [01:02:09] Speaker B: T'as choisi vraiment des beaux costumes. Ceux où t'es ridicule vraiment, mais au maximum. [01:02:14] Speaker F: Du coup, j'aime l'idée que même dans le deathcore ou dans le hardcore, ils ne se prennent pas au sérieux et ils y vont. Je trouve ça vraiment génial. Et du coup, j'ai trouvé que trois légendes du métal qui prouvent que tu peux être brillant sans te prendre au sérieux. C'est quand même très, très cool. [01:02:26] Speaker C: Moi, j'ai vu... On a une amie. On a une amie qui vit aux États-Unis, qui était à un concert de Thrice. Et donc Thrice, ils sont déguisés. Alors, je n'ai pas pu voir parce que c'était un plan large, je ne voyais pas tout le monde. J'ai juste zoomé sur le chanteur à un moment. Le chanteur, il était en The Big Lebowski, en peignoir, espèce de bas de pyjama, de survête, machin, et à faire des chansons trop belles de Thrice avec sa voix incroyable. Et le contraste est assez fou. [01:03:00] Speaker F: J'ai vu une photo d'Etenne 56 aussi et j'ai vu Lucas en, je sais plus, je crois que c'est un Teletubbies, un truc du genre, il était énorme. Ils étaient tous cool. J'ai vu du coup Aaron avec des cheveux sur cette photo. C'était intéressant, mais j'ai préféré le costume de Lucas dans l'Etenne. [01:03:18] Speaker B: Teletubbies, ça marche, oui. Mais c'est marrant parce que du coup, c'est pas de l'horreur, c'est de la plaisanterie. [01:03:24] Speaker A: Oui. [01:03:26] Speaker B: Qui est aussi originale, du coup. [01:03:28] Speaker F: Vous étiez déguisé comment, vous ? [01:03:29] Speaker B: Alors moi j'ai un ami qui s'appelle Sofiane, il m'a dit tu sais en quoi je suis déguisé ? Je ne ferai pas la blague mais vous pouvez deviner. [01:03:35] Speaker C: Moi je suis resté chez moi. [01:03:37] Speaker E: Moi j'ai été en déplacement professionnel. [01:03:40] Speaker B: Ici c'est le fun. [01:03:43] Speaker E: La montagne du fun. [01:03:45] Speaker F: J'ai fait trois concerts cette semaine dont le 31 octobre et j'étais quand même déguisé alors que je prenais mes notes pour travailler. [01:03:50] Speaker B: Mais tu t'es déguisé en quoi ? [01:03:51] Speaker F: Moi j'étais en co-girl. Avec du sang sur la gueule parce que je venais de péter la gueule de quelqu'un. [01:03:59] Speaker C: C'est un peu tous les jours. [01:04:02] Speaker B: Moi j'ai vu la photo, j'ai pas. [01:04:06] Speaker C: Vu qu'elle était déguisée. Tu viens des fois habillé comme ça. [01:04:10] Speaker F: Avec du sang sur la gueule. Et des cernes parce que je m'étais fait des cernes. [01:04:13] Speaker C: On t'a déjà vu avec des cernes. [01:04:15] Speaker B: On t'a vu non maquillé. Mais je rigole, je plaisante. [01:04:22] Speaker F: J'avais au moins du mascara histoire de... [01:04:24] Speaker B: Je sais pas, c'est une blague. Je vais en prendre plein la gueule là, je vous raconte même pas le délire. J'ai les genoux qui sont crispés. [01:04:32] Speaker C: Allez Pierre, enchaînons parce que... Non il. [01:04:33] Speaker B: Faut que je raconte. [01:04:34] Speaker F: Du coup j'ai choisi un clip de Suicide Silence sous Osiris Silence pour clôturer cette muse. Et j'ai mis un titre du coup où il y a Eddie dessus, évidemment. Et j'ai pris... [01:04:45] Speaker B: C'est pas Eddie de préto. [01:04:47] Speaker C: Ni Eddy de trop près. [01:04:49] Speaker B: Ouais, je trouve ça super hilarant. [01:04:53] Speaker C: C'est pour ça qu'on fait des choses ensemble, Pierre. On se retrouve après pour la petite. [01:05:00] Speaker B: Chronique de Joy Oui évidemment et retrouvez bien évidemment aussi ces news-là en vidéo en VOD YouTube sur notre chaîne YouTube point d'exclamation bang tout de suite dans le chat et si vous regardez la VOD n'hésitez pas à commenter, à donner vos news, si vous en avez en plus on est là pour discuter, échanger, rigoler et puis vous avez le droit de nous critiquer on aime ça ! Merci ma petite abeille ! [01:05:20] Speaker F: Avec plaisir ! [01:05:30] Speaker A: Oh, c'est incroyable ! C'est la fin ! Fuck you ! Oh, putain ! C'est trop bien ! We will rise ! [01:11:34] Speaker B: M. [01:12:53] Speaker A: Oh, je crois qu'ils sont là-bas comme ça ! C'est Hellreaper, mon p'tit Ben, oui c'est eux ! [01:13:04] Speaker C: J'ai rien compris. [01:13:06] Speaker B: Tu plaisantes ou quoi ? [01:13:07] Speaker C: Non. [01:13:07] Speaker B: Tu plaisantes ou quoi ? [01:13:08] Speaker C: Non, je plaisante pas, non. [01:13:09] Speaker B: C'est Hellreaper. Et Hellreaper, c'est un choix de Hendry Denoy ! [01:13:14] Speaker A: Oh yeah ! [01:13:17] Speaker E: Hellreaper, c'est un projet écossais qui date de 2014 et qui est en fait un one man band surtout à la base. [01:13:23] Speaker B: Oui ils sont plusieurs, mais il n'y. [01:13:26] Speaker E: A que le guitariste chanteur qui fait tout généralement. C'est à dire c'est un type de trente... [01:13:33] Speaker B: Ça s'entend ? Qu'est-ce qu'elle veut dire ? L'autre elle intervient juste pour dire... De. [01:13:37] Speaker C: Toute façon, dès que c'est pas du Deathcore, de toute façon... [01:13:41] Speaker E: J'avoue que c'est beaucoup plus old school. [01:13:43] Speaker B: Que ce qu'on a l'habitude de passer. [01:13:45] Speaker E: C'est très contemporain, ça vient tout juste de sortir, mais c'est très old school dans l'esprit. [01:13:50] Speaker B: Ah bah dans l'enregistrement aussi ! [01:13:51] Speaker E: Ouais et dans l'enregistrement aussi. Même la prod, oui effectivement c'est très old school. Le type il a 30 ans, il a 30 piges mais il a toutes les références des vieux en gros. Donc c'est très inspiré des groupes des années 80-90 type Venom, Darkthrone, Sodom, Metallica, Anthrax, etc. Toute la clique trash et proto-black de l'époque. [01:14:18] Speaker B: Bah oui elle fait la gueule, l'autre elle est en train de dire « Zuber génial, j'adore pas ». [01:14:22] Speaker C: Oui l'album n'est pas produit par Jordan Fich. C'est dingue, on peut pas dire du mal des trucs qu'elle écoute par contre. [01:14:35] Speaker B: Ah ça tape. [01:14:36] Speaker C: Oh là là, aucun espèce. [01:14:38] Speaker F: Je suis juste trop jeune pour ça, c'est tout. [01:14:39] Speaker C: Respecte un peu nos meubles. [01:14:42] Speaker B: Vous n'avez pas fait de commentaire ? [01:14:43] Speaker F: Non mais après je ne critique pas... [01:14:45] Speaker B: Je ne critique pas la qualité du. [01:14:49] Speaker F: Projet, je ne critique pas la qualité du projet ou l'instrument. C'est juste pas du tout ma cam. Après techniquement ils ont l'air très bons dans ce qu'ils font. [01:14:56] Speaker B: Et à 30 ans c'est vrai que c'est surprenant. [01:14:57] Speaker E: À 30 piges, ouais c'est surprenant. Évidemment quand il tourne, il se fait aider par d'autres musiciens. Je les ai vus à Bourlon du coup cette année. Et autant dire que Bourlon c'est très orienté... Rock in Bourlon. Ouais, Rock in Bourlon. Bourlon, généralement, c'est très orienté entre stoner doom, hardcore et trucs un petit peu expérimentaux. Là, un truc aussi True Metal, et avec ce délire autour des chèvres, du satanisme, un peu de Pat Coty, etc. Ça faisait décaler, on va dire. Mais ça rendait super bien, ça rendait très bien la grosse charge épique de leur musique, le côté très speed, très offensif, avec vraiment le côté très offensif du mélange black et thrash. en gros et du coup il s'était fait beaucoup remarquer en 2023 avec leur dernier album enfin avec son dernier album qui s'appelait alors j'ai pris en note Warlock Dream and Withered Hags J'ai pris des notes, voilà, c'est pas pour rien. L'album de 2023 que j'avais croisé dans beaucoup de tops, en fait, de fin d'année, de webzine spécialisé et tout. Et puis je l'avais écouté. Effectivement, c'était de la très bonne cam. Là, c'est leur nouveau morceau qui s'appelle King Kyle, sous-titré Godcraft and Granite. Donc c'est plus ou moins inspiré du folklore écossais. Mais du coup, c'est très inspiré de l'Ecosse et du coin où le bonhomme a grandi visiblement. C'est moins extrême que ses dernières productions, c'est un peu plus rock'n'roll, on va dire, ce qu'on vient d'entendre. Un petit peu plus heavy, un petit peu plus heavy, plus, entre guillemets, calme. Mais pour le coup, ça fait une bonne porte d'entrée pour le projet pour ensuite aller écouter ce qu'il a fait avant et qui est un peu plus hargneux. [01:17:08] Speaker C: C'est assez cool parce que je trouve que c'est assez original. Enfin, c'est des codes old school, mais c'est un peu original le petit passage avec la guitare, avec la guitare acoustique et tout. Je trouve ça assez surprenant. [01:17:20] Speaker B: C'est arrivé d'un coup comme ça, je vois pas. Non, mais c'est... Ça arrive sans prévenir. Non, mais tout est... Même aujourd'hui, c'est très original de faire une production aussi... [01:17:30] Speaker C: Après, je pense que si tu veux faire appel aux codes de l'époque, t'es obligé de produire aussi un peu comme à l'époque pour que ce son y soit. [01:17:41] Speaker E: Il y a pas mal de groupes qui recherchent ce son avec ce grain un peu ancien, peut-être pas aussi marqué que chez El Ripper. T'avais des groupes comme Powertrip par exemple, où t'avais un son qui était très marqué avec vraiment cette espèce de reverb assez présente mais en même temps très moderne dans la qualité des prises. Puis tu vois aussi, généralement dans le Thrash, dans le Death, des groupes très contemporains qui reprennent des codes esthétiques plus à l'ancienne. [01:18:14] Speaker C: Ça me fait penser à... Un groupe que tu nous avais passé avec le clip dans un faux cimetière. [01:18:22] Speaker E: C'était Get Creeper. Avec le clip avec les typos de Headbangers Ball. [01:18:29] Speaker C: Il y a cette petite vibe un peu aussi. [01:18:31] Speaker B: Exactement. [01:18:32] Speaker E: Je pensais un petit peu à Get Creeper, justement. [01:18:33] Speaker B: Et là, excuse-moi si je casse ce que tu allais dire, mais tu peux me dire, je ne répondrai pas si c'est ce que tu allais dire. Mais c'est à l'occasion de Halloween que c'est sorti, ça ? [01:18:41] Speaker E: C'est le morceau, il est sorti tout récemment, je ne sais plus. Je crois que c'est sorti vendredi, donc vraiment le jour d'Halloween. Ça annonce un album qui ne sort pas tout de suite. Il va sortir, je crois, au printemps 2026. Et puis voilà. [01:18:56] Speaker B: C'est bien. Enfin, ce n'est pas du tout mon style musical. Contrairement à des gens qui sont beaucoup trop critiques et à violents, moi je dirais que c'est une belle chose, une bonne chose. [01:19:05] Speaker E: Non mais c'est un morceau bien heavy, bien rock'n'roll je trouve, ça fait bien être bangé, ça met la patate quoi. [01:19:12] Speaker C: Je pense que ça passe très bien. [01:19:14] Speaker B: Bon, très bien, merci en tout cas Enjoy de nous sortir ce jour-là. C'est vrai que je n'aurais jamais passé ça. Je l'avoue. [01:19:19] Speaker E: Je sais qu'on passe des choses généralement très modernes, des trucs un peu old school comme ça, qui cassent un peu la routine. [01:19:24] Speaker C: C'est bien, c'est bien un peu d'originalité dans cette émission. [01:19:26] Speaker F: J'ai déjà passé d'utilisateur, etc. Tu me regardes quand tu parles. Même T-Punk, il comprend ma souffrance, il me discourage. [01:19:36] Speaker C: Faut arrêter de la paranoïa. [01:19:39] Speaker F: Regarde ailleurs. [01:19:44] Speaker B: Si je passe ça, on pèse les yeux ! Bon très bien, écoutez, on va calmer les choses parce qu'à un moment il faut remettre... [01:19:49] Speaker C: Mais tout le monde le sait que t'as pompé ton style sur Beyoncé ! [01:19:51] Speaker B: Alors c'est ce que j'ai dit à ma petite soeur dernière quand elle m'a dit mais vous vous sentez bien ? Je fais uniquement quand la nuit je rentrais bourré que je marchais comme Beyoncé mais bon je marche pas aussi bien qu'elle. Elle m'a dit ah Beyoncé, y'a que Beyoncé que c'est fait ! [01:20:02] Speaker C: Et retrouvez plus d'anecdotes dans le live TikTok demain soir ! À partir de 22h sur TikTok, Pierre. [01:20:09] Speaker B: Vous dit tout ! Surtout le nombril. Bon, comme tous les dimanche soir aussi, on fait la part belle au choix des bangers. Les bangers, c'est toutes les personnes qui regardent l'émission, qui suivent l'émission, qui l'écoutent, mais surtout celles qui sont sur notre Patreon, patreon.com slash rstlssradio ou en tapant point d'exclamation Patreon dans le schmull. Et quand je vous dis quand on met dans le mille, eh bien, c'est quand on a abonné Headbangers, bien évidemment. C'est l'abonnement le plus élevé, mais vous avez des stickers gratuits. Vous pouvez aussi discuter. On est en train de créer des choses ensemble. Il y a le bingo qui arrive. Bref, il y a plein de choses, mais vous avez surtout la chance toutes les semaines de proposer des clips internationaux et nationaux, comme bon vous semble. Et il y a une battle qui se fait par vote. Et cette fois-ci, il y a eu Kevin Parent. Il est toujours là, Kevin, évidemment. C'est lui qui rave toutes les places de concert, d'ailleurs. Il y a Evan. Qui a gagné la guitare tout à l'heure. [01:21:01] Speaker C: Exactement. [01:21:02] Speaker B: Et il y a Dwight. Enfin, DW-1-9-H-T. Dwight. Je sais pas trop comment on doit le dire. [01:21:07] Speaker D: Dwight. [01:21:09] Speaker B: Non mais à Dwight qu'on connaît bien et qui animait l'émission métal de Restless avant Bang Bang. [01:21:15] Speaker C: Rock my Dwight. [01:21:16] Speaker B: Rock my Dwight que vous pouvez retrouver d'ailleurs un peu partout. [01:21:18] Speaker C: Tous les podcasts sont encore disponibles. Il y a quelques saisons. [01:21:21] Speaker B: Et figurez-vous que c'est Dwight qui a gagné. Donc Dwight, bravo à toi. Vous avez proposé des clips divers et variés. N'hésitez pas les headbangers à le faire. Dès maintenant, vous pouvez y aller. Si vous avez des idées, n'hésitez pas. Et alors ce clip, c'est Brutaligators avec Trainwreck. Bon, on va laisser le principal intérêt séparé parce que quand vous gagnez, vous avez le droit de vous exprimer pendant une minute. [01:21:47] Speaker E: Je connais absolument pas, mais rien que le nom est un peu golden. [01:21:49] Speaker B: Alors tu vas voir le clip. [01:21:51] Speaker C: On écoute le petit message ? [01:21:53] Speaker B: Oui, avec plaisir. Salut l'équipe, c'est Dwight. Très heureux que les Bangers aient choisi mon titre pour ce soir. On va passer à un titre des Anglais Brut Alligators, ça s'appelle Try and Break. Et je vais être honnête, je l'ai choisi uniquement parce qu'il y a un croco géant qui mène sa vie de tous les jours, un peu à la ramasse, un peu relou, un peu attachant quand même. Il boit des bières avec ses potes, il fait du skate, enfin bref. C'est tourné un peu à l'arrache, ça colle bien avec le morceau qui est dans les paroles un peu une ode à ce côté je dois survivre à mon quotidien, à la vie de tous les jours. On fait ce qu'on peut et puis ça ira, ça ira dans tous les cas. C'est un morceau qui sera sur l'album Still Here, qui sortira là au mois de novembre. Je vous invite à l'écouter ça si vous êtes fan d'indie punk, un peu à la cool, un peu mélancolique, mais voilà, étrangement good vibes. Puis voilà quoi, un refrain catchy, on chante ça tous ensemble facilement, c'est fun, super entêtant, bref c'est Trainwreck de Brutally 14. Oh qu'est-ce qu'il est fort, on dirait pas ce qu'il a déjà fait de la radio. [01:22:51] Speaker C: C'est incroyable ça. [01:22:55] Speaker B: Bon bravo à lui, en tout cas bravo à Dwight et n'hésitez pas, bien sûr vous aussi, si vous avez envie de faire des propositions, de vous inscrire sur notre Patreon au niveau Headbangers et de vous inscrire aussi à n'importe quel niveau pour nous soutenir financièrement, c'est important, je vous le dis tout de suite. Je suis clair et net moi, Ben. [01:23:11] Speaker D: Je suis comme ça. [01:23:12] Speaker E: Tu es clair et net. [01:23:13] Speaker C: Ben il est Christian Morne. [01:23:14] Speaker B: Il est mort pour vrai. Il est mort ? Il n'est pas mort ? [01:23:19] Speaker F: Qui ? [01:23:20] Speaker B: Christian Moin. [01:23:22] Speaker F: C'est qui ça ? [01:23:22] Speaker C: Non non je crois que je l'ai vu l'autre fois, y'a pas longtemps je l'ai vu. [01:23:25] Speaker B: Ah pardon, autant pour moi alors Christian, désolé. D'ailleurs j'en profite pour vous souhaiter un bon anniversaire à mon papa qui s'appelle Christian aussi. Bon anniversaire papa ! Vous lui dites ? [01:23:33] Speaker C: Bon anniversaire papa. [01:23:34] Speaker E: Bon anniversaire. [01:23:35] Speaker B: Mais t'as dit quoi toi ? [01:23:36] Speaker F: J'ai dit bon anniversaire. [01:23:38] Speaker B: Ah j'ai cru que tu l'avais insulté, ça me faisait rire. Bon on y va, on regarde le clip des Bangers ! [01:24:14] Speaker A: C'est la première fois que j'envoie un message, et c'est la première fois que j'envoie un message, et c'est la première fois que j'envoie un message, C'est parti pour le tour du monde ! C'est parti pour le tour du monde ! [01:26:10] Speaker B: A. [01:26:35] Speaker A: Train wreck from the start. [01:26:41] Speaker B: Off the rails, I'm the one with the wreckage and rust Seems it's over, we'll. [01:26:45] Speaker A: Stitch that fucker right up A train wreck from the start Off the rails, I'm the one with the wreckage and rust. [01:27:31] Speaker B: Ah pardon, excusez-moi, la chanson est terminée. [01:27:38] Speaker C: Vous arrêtez de vous tripoter la toile tous les deux ? [01:27:39] Speaker B: Oui mais ça me colle au bout des doigts, ça fait des fils comme. [01:27:42] Speaker D: Ça quand je fais ça. [01:27:43] Speaker B: Qu'est-ce qu'il y a ? [01:27:46] Speaker C: Moi j'ai beaucoup aimé cette chanson. [01:27:49] Speaker F: Moi ça m'a donné envie de revoir Dorot et Dorot. [01:27:51] Speaker C: Moi ça m'a donné envie d'écouter Dinosaur Junior. [01:27:55] Speaker B: Moi ça m'a donné envie de dire merci à Dwight parce que franchement la chanson elle est hyper cool, que le clip est très marrant et qu'il a dit qu'on s'est fait à l'arrache. Franchement, moi je trouve ça très sympathique. Donc ça s'appelle Brutaligator. [01:28:07] Speaker C: D'ailleurs je pense que c'est un alligator, c'est pas un crocodile. [01:28:09] Speaker B: D'accord, ok. T'es qu'un alligator, t'es qu'un alligator. [01:28:13] Speaker C: Sinon il se rappelait Brutalicroco. [01:28:17] Speaker B: Il y a qu'un vidéo qui a fait une blague là-dessus. [01:28:20] Speaker C: La Brutal... Coco. Brutalida. [01:28:23] Speaker B: Brutalida. [01:28:25] Speaker C: Brut Coco. [01:28:25] Speaker B: Brut Coco. Le truc est long. [01:28:29] Speaker F: En tout cas, à la base, ce n'est pas mon genre de musique, mais j'ai bien kiffé, moi. [01:28:32] Speaker C: Moi, je trouve qu'il y a un petit côté Good Vibe. Comme il a dit. [01:28:36] Speaker A: Tout à fait. [01:28:37] Speaker B: Ils votent quand même beaucoup dans le truc. Il y a quelques éléments qu'ils pratiquent. Ils font des choses qui ne sont pas autorisées ni conseillées. [01:28:47] Speaker C: Oui, comme tuer des gens. [01:28:49] Speaker B: Voilà, par exemple, ça c'est le premier, puis envoyer des pétards à la gueule. [01:28:52] Speaker C: Des gens, c'est pas très cool. [01:28:52] Speaker F: Non, je pense que c'est uniquement parce que c'est illégal, sinon... Pourquoi t'as envie de... Oh, moi, trucider des gens, j'aimerais bien. [01:28:59] Speaker C: Mais sinon, c'est pas une psychopathe, hein. [01:29:02] Speaker B: C'est vrai qu'elle est psychopathe, j'ai oublié, elle est bigou. Bigoudenne, bien sûr. [01:29:08] Speaker F: On a tous eu des envies de. [01:29:10] Speaker B: Meurtre, c'est juste qu'on les réfrène, on. [01:29:13] Speaker F: Les réfrène parce qu'on sait que c'est illégal, c'est tout. [01:29:15] Speaker B: Bah, que c'est pas bien aussi. [01:29:16] Speaker F: Non mais des fois, il y a des gens qui m'irritent. [01:29:18] Speaker B: Oh là, celle-ci ! [01:29:20] Speaker F: C'est vrai, oui. [01:29:21] Speaker C: La tolérance, elle est belle. [01:29:25] Speaker F: Je ne suis pas tolérante avec les intolérants. [01:29:28] Speaker C: Bah du coup t'es intolérante. Il ne faut pas être tolérant avec toi. [01:29:32] Speaker E: On n'aime pas trop les voleurs. [01:29:33] Speaker C: Il y a deux choses que j'aime pas, les voleurs et les fils de pute. [01:29:37] Speaker B: Bon allez très bien, on va continuer donc Enjoy avec vos choix parce que avant de recevoir Reda, parce que je rappelle quand même à toutes les personnes qui sont là que Reda arrive dans quelques petites minutes notre invitée de ce soir, mais pour l'instant c'est toi la star. [01:29:49] Speaker E: Le jambon star c'est moi. [01:29:53] Speaker B: J'aimerais bien en manger une tranche. [01:29:56] Speaker E: Oh voyons. [01:29:58] Speaker C: Avec ou sans la couenne. Bon allez, on arrête là. [01:30:01] Speaker B: Bah oui parce que je me suis dit que j'allais trop loin. [01:30:03] Speaker E: Je choisis du coup quelque chose qui n'est pas du tout d'actualité même si c'est lié à une certaine actualité. [01:30:11] Speaker B: Kimera. [01:30:13] Speaker E: Effectivement, on va parler de Kimera, le groupe de Groove, Neo, Metalcore, qui a viré Thrash, etc. Le groupe américain qu'on connaît, de Cleveland, Ohio, qui avait annoncé cette année des nouvelles sorties. Tout le monde était chaud en disant qu'ils ont commencé à rejouer ensemble, ils vont sortir de la nouvelle musique. Pourquoi pas un nouvel album ? Et là Patatra en fait c'est juste une réédition vinyle du premier album et une compilation de b-sides, raretés, etc. [01:30:43] Speaker B: Mais c'est peut-être une étape. [01:30:45] Speaker E: Alors, c'est peut-être une étape parce que la réédition du premier album s'est faite sur un nouveau label qui est le leur, donc une façon de récupérer les droits sur leur musique et d'avoir la pleine possession de ce qui pourrait éventuer. Et d'avoir la pleine possession de ce qui vont peut-être créer après. [01:31:05] Speaker C: Bien sûr. [01:31:05] Speaker E: Mais du coup, ils viennent de sortir, là, tout juste le vendredi, leur album de rareté. Mais bon, en album de rareté, on est d'accord qu'on s'en fout un peu. [01:31:16] Speaker B: En gros... Alors, quand les chansons sont bonnes, ça va, mais... [01:31:19] Speaker C: Ce qui est rare, c'est cher, mais s'ils les ont pas sortis à l'époque, c'est qu'il y a eu une raison. C'est ça que tu veux dire ? [01:31:24] Speaker B: Et puis alors, de rareté chez eux, ça peut être divers et variés aussi, c'est un peu pourri le machin. [01:31:28] Speaker E: Ça peut être un peu tout et n'importe quoi, donc c'est pour ça que je dis, on s'en fout un peu. Moi je dis, c'est juste... Je prends juste ça comme prétexte pour fêter les 20 ans de leur album éponyme, qui était sorti en 2005, l'album Chimera, qui bascule vers un côté encore plus obscur. C'est l'album où ils ont abandonné tout leur côté néo, un peu jumpy, pour des ambiances plus sombres. pour des morceaux un peu plus alambiqués, pour des ambiances, pour des orientations un petit peu plus thrash metal, plus de travail sur les compositions, un petit peu plus de viscéralité je trouve aussi. Donc, album très intéressant du coup, et j'ai choisi de passer le clip du morceau introductif qui s'appelle Nothing Remains, qui est déjà très symptomatique de tout ce que je viens de décrire de l'album, et qui reste même avec le temps très efficace. [01:32:23] Speaker B: Kimera, punaise. Mais qui ? Non mais tu connais Kimera ? Alors moi je connais très mal aussi, on en avait déjà parlé. [01:32:32] Speaker E: On en avait déjà un petit peu parlé. [01:32:34] Speaker F: Et quel style musical déjà t'as dit ? [01:32:35] Speaker B: Bah tout. [01:32:36] Speaker E: Ça a commencé un peu Néo, Indus, Metalcore et après c'est devenu plus Metalcore, Thrash, légèrement Death, Hardcore. [01:32:46] Speaker F: Ouais mais y'a Thrash et Death dedans donc c'est sûr je connais pas. [01:32:49] Speaker E: Le côté hardcore est un peu plus présent. [01:32:51] Speaker C: C'est pas ce que j'écoute. [01:32:53] Speaker F: Par contre, j'écoute beaucoup de hardcore, donc je suis passée à côté. [01:32:56] Speaker B: C'est quand même toujours très puissant. [01:32:59] Speaker C: C'est trop vieux pour toi. [01:33:00] Speaker F: Je me réveille en pignon quand je vais l'entendre, l'écrivain. [01:33:03] Speaker C: Et toi, tu as 20 ans. Tu ne peux pas avoir... À l'époque, t'étais trop jeune. [01:33:11] Speaker E: Donc ouais, leur album est éponyme. C'était l'album où ils ont eu un petit regain d'ambition et puis ça les a suivis ensuite sur les albums suivants de faire des trucs un petit peu plus alambiqués. Et je profite aussi pour raconter une petite anecdote un peu rartée pour Métalleux un peu ouvert. Je me rappelle une fois... Un peu ouvert... Vous l'interprétez comme vous voudrez. Un jour en 2011, je me promène à Lafnac, donc Rayon... [01:33:40] Speaker A: C'est moi. [01:33:41] Speaker E: Non, à Lafnac, t'inquiètes. [01:33:42] Speaker B: T'étais au Sexodrome. J'étais du côté de Pigalle. [01:33:46] Speaker E: J'étais à Lafnac, Rayon Métal et tout, et je vois en avant dans les bacs un morceau qui s'appelait Fuck Metal Jackass, 100% métal mixtape. [01:33:58] Speaker B: Je fais, qu'est-ce que c'est que ce truc ? [01:33:59] Speaker E: Je le prends et je vais aux bornes d'écoute avec les casques. Je sais même pas si on en a encore des trucs comme ça. [01:34:05] Speaker F: Non mais c'était cool à cette époque-là. [01:34:07] Speaker E: Je rappelle pour les plus jeunes, c'était des bornes d'écoute. Soit il y avait un CD qui était déjà pré-programmé dessus et on pouvait écouter des extraits, soit on scannait le code barre du CD et on pouvait écouter plusieurs extraits. Et en fait, du coup, je prends ce truc-là, je me dis tiens, c'est étrange, mixtape, métal et tout. et j'écoute quelques extraits. En fait c'était une mixtape d'un beatmaker français qui s'appelle Ugly McBear et qui avait fait toute une mixtape d'instrus de riffs métal donc très existants. En gros c'était des samples de En vrac, il y avait du Slayer, du Megadeth, du Metallica. Surtout Metallica, il y avait du Pantera, du Carcass, enfin des trucs comme ça. Et il y avait un riff de Kimera, donc de cet album, le riff de Salvation, que j'avais reconnu immédiatement à ce moment-là, avec des vocals de hip-hop par-dessus en fait. Et donc le concept du truc, c'était... C'était des morceaux faits à partir de riffs de métal, un peu old school généralement, et avec des vocals de hip-hop ou des samples de films de guerre et des trucs comme ça. Donc le projet était plutôt intéressant. Il est assez rare, mais je crois que c'est toujours possible de commander le CD sur Internet. Si jamais il y a des gens qui nous écoutent et qui ont ce CD en leur possession, force à vous, vous avez un truc un peu perché. Et si vous ne l'avez pas et que l'idée du projet vous intéresse, intéressez-vous à ce truc-là et franchement vous risquez une bonne surprise. [01:35:38] Speaker F: Apparemment à la FNAC il y a encore des bandes d'écoute. [01:35:41] Speaker E: Apparemment il y en a encore des bandes d'écoute ? Ok. [01:35:44] Speaker F: J'en ai pas vu. [01:35:49] Speaker E: Écoute, les belles choses ne se perdent pas toutes. [01:35:52] Speaker B: C'est ça, pareil. Non, mais oui, j'ai une question, Kiméra, ça a vraiment un jour marché ? [01:35:58] Speaker A: Non. [01:35:58] Speaker E: Ça a beaucoup marché aux États-Unis, je crois, surtout, mais après, ça n'a pas beaucoup tourné en Europe et surtout pas beaucoup en France, il me semble. [01:36:05] Speaker B: Ça a été douloureux comme carrière ? [01:36:09] Speaker E: Je pense que ça a beaucoup marché aux Etats-Unis, c'est un groupe un peu culte quand même, qui s'est séparé autour de 2014, il me semble, et qui est revenu il y a quelques années, qui a fait quelques concerts par-ci par-là, donc ça avait bien fait parler, ça avait relancé une hype pour, est-ce qu'un jour il va y avoir un nouvel album, etc. Alors que les musiciens étaient partis un peu chacun de leur côté, parfois faire des métiers qui n'ont rien à voir avec la musique. Le chanteur Mark Hunter il s'est remis d'un cancer de la thyroïde aussi ces dernières années. D'un côté ça n'aide pas à faire de la musique et éventuellement s'il y en a des fans du groupe, il y a un documentaire sur Vimeo qui suit justement le chanteur Mark Hunter dans ses activités musicales et son combat surtout dans sa bipolarité. Donc un sujet un peu annexe et qui est plutôt intéressant en fait. Donc le documentaire, je crois qu'il dure à peu près une demi-heure, c'est disponible sur Vimeo et ça s'appelle, comme un de leurs morceaux les plus fameux, ça s'appelle Down Again. [01:37:10] Speaker B: Ah bah ouais, c'est ce morceau-là, moi. [01:37:11] Speaker A: C'Est avec ce morceau-là. [01:37:12] Speaker C: Ça s'appelle pas... Qu'est-ce qu'il y connaît aux femmes Mark Hunter ? [01:37:20] Speaker B: Mais oui, c'est avec Dawn Again que j'ai découvert Kimera. [01:37:23] Speaker E: Donc c'était leur premier album. [01:37:25] Speaker B: C'était toute première époque. Ok, très bien, merci beaucoup Enjoy The Noise. On vous laisse partir tranquillement et on vous retrouvera peut-être la semaine prochaine, on verra. [01:37:34] Speaker F: Peut-être si j'ai envie. [01:37:36] Speaker B: Oh là là, et où celle-ci ? [01:37:37] Speaker F: Je viendrai avec une autre couleur de cheveux parce que la psychophobie, toutes les 5 minutes, j'en ai marre. [01:37:42] Speaker C: La psychophobie, il y a des termes, je ne savais même pas que ça existait. [01:37:45] Speaker E: C'est parce qu'on parle de bipolarité, c'est pour ça. [01:37:46] Speaker B: Elle est complètement barge, je ne sais pas. Et je parle pas d'un bateau. [01:37:52] Speaker C: Dans votre petit bain. [01:37:53] Speaker E: Petit bain. [01:37:55] Speaker F: Moi j'ai décidé de changer de tête toutes les semaines maintenant. [01:37:57] Speaker B: Mais c'est formidable, nous on adore. On adore parce qu'à chaque fois que t'apparaît comme ça dans le couloir, on se dit mais qui rentre ? [01:38:03] Speaker E: Moi j'étais pas venu depuis un mois, ça m'a fait un choc. [01:38:05] Speaker F: La semaine dernière j'avais un carré rouge. [01:38:08] Speaker E: Comme quoi le choc c'est toutes les semaines. [01:38:10] Speaker F: C'est ça, c'est ça, c'est le but. [01:38:12] Speaker B: Faut venir avec des cachets ici, sinon on peut pas tenir. [01:38:16] Speaker F: Bon, allez, sur ce, je vais aller manger, moi. [01:38:17] Speaker B: Allez, merci beaucoup, messieurs, dames. Nous, on se retrouve avec Reda dans un très, très court instant et on regarde, bien évidemment, ce clip choisi par toi, Enjoy The Noise, Chimera avec Nothing Remains. [01:38:47] Speaker A: J'écris ces mots à ceux qui vivent All my years pass and withered my true feelings You continue to act like you knew me Did you ever stop to think that I'd be able To look in your eyes and say that I'm stable? Too late to change my mind, nothing remains C'est quoi ce truc ? En silence ! BANG BANG C'est juste plus rapide que la 47 Il n'y a rien de plus rapide dans l'univers C'est pour ça qu'on vit cette merde Fuck it all Burn it down Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [01:46:18] Speaker C: Eh oui ! [01:46:19] Speaker D: Ça faut le garder au montage, les gars. Il faut absolument le garder dans le montage final. [01:46:25] Speaker B: Story of the Year avec Gasoline, All Rage, Still Only Numb sur Aslee, c'est dans Bang Bang, Ben ? [01:46:34] Speaker C: Ben oui, tout à fait. [01:46:34] Speaker B: Je me suis un peu perturbé parce que je ne savais pas qu'ils étaient de retour, les Story of the Year. [01:46:38] Speaker C: Ben si, je t'en avais parlé, mais tu m'écoutes pas. [01:46:42] Speaker B: Je ne te regarde plus non plus. [01:46:44] Speaker A: Non. [01:46:45] Speaker B: Autant tu te fais belle tous les jours. [01:46:47] Speaker C: Je me suis laissé pousser les cheveux pour toi. [01:46:50] Speaker B: Grand grand retour donc pour Story of the Year avec un morceau qui est quand même très puissant. Belle production avec toujours cet esprit émo quand même. On a de la pleurnicherie mais violente. [01:47:02] Speaker C: Autant le début démarre vénère et tu fais ah ouais il y a un nouveau truc et après ça arrive sur le refrain et tu fais ah bah non en fait c'est vraiment c'est eux quoi. [01:47:10] Speaker B: Alors ouais voilà parce que je me dis ah est-ce qu'il va dire ah ouais parce que c'est toujours de la soupe Non non moi j'aime bien J'aime. [01:47:15] Speaker C: Beaucoup mais bon c'est un peu bon c'est convenu quoi mais bon Ouais c'est. [01:47:19] Speaker B: Convenu mais c'est typique je veux dire ils ont toujours fait ça en même temps Ah bah oui Ils ont jamais triché sur la marchandise je veux dire on est quand même dans quelque chose d'assez constant Bon si vous aimez pas ou si vous êtes jeune peut-être que vous ne connaissez pas allez donc vous renseigner parce que c'est pas un groupe qui est tout jeune voilà justement Ben il est l'heure de quoi Ben ? Parce que là le temps passe, je vois que les fantômes commencent à fatiguer. [01:47:40] Speaker C: Je pense que les gens ont envie de voir notre invité. [01:47:43] Speaker B: Ah on a un invité ? [01:47:44] Speaker C: Ben oui, on l'a vendu, il faut qu'on l'accueille maintenant. [01:47:46] Speaker B: Ah oui d'accord, ben alors attends je me prépare. C'est donc Renaud ! [01:47:56] Speaker D: Belle présentation. Je suis très bien accueilli, ça fait plaisir. [01:48:01] Speaker B: Merci déjà d'avoir accepté l'invitation, merci d'être là. [01:48:04] Speaker D: Merci à vous pour l'accueil. [01:48:05] Speaker B: Parce que tu prends du temps pour pouvoir venir jusqu'ici. [01:48:08] Speaker D: Oui, ça fait plaisir. C'est plus du repos, on est bien installés, tout va bien, je suis au confort, c'est bien. [01:48:14] Speaker B: Bon c'est cool, alors bon t'es quand même très connu sur les réseaux, t'es connu sur internet, mais au cas où. [01:48:20] Speaker C: Au cas où... Et pas l'instrument ? [01:48:24] Speaker B: Ah je l'avais, oui d'accord, c'est bon. [01:48:26] Speaker D: On est bon, vas-y. [01:48:28] Speaker B: Est-ce que tu pourrais te présenter et dire aux gens ce que tu fais globalement dans la vie Alors, globalement, ? [01:48:34] Speaker D: De base, j'aime bien la guitare, donc je joue de la guitare. Et j'ai décidé de créer du contenu sur Internet à la base, donc notamment sur YouTube, et je crée du contenu autour de la guitare et du divertissement guitaristique. J'aime bien dire ça, divertissement guitaristique. [01:48:50] Speaker B: Tu as raison, parce que c'est vrai qu'on va en parler, mais c'est pas un truc ultra sérieux, c'est pas un truc qui est que genre mode technique, etc. Il y a un univers, il y a un univers qui le tient. [01:49:00] Speaker D: Oui, j'essaie de vulgariser et puis essayer de proposer un truc un peu fun de temps en temps. Même si on pourra en reparler, mais j'essaie parfois un petit peu maintenant d'évoluer vers d'autres choses. Mais oui, on essaie de s'amuser. [01:49:13] Speaker B: Bon, alors dans l'émission, ici, nous, c'est vrai qu'on parle d'un peu tout, on va parler de l'enfance, comment t'as rencontré la musique, etc. On va essayer de comprendre ton parcours, savoir pourquoi tu en es là. On te retrouve donc sur YouTube, sur Insta, sur les réseaux sociaux. Là, on va d'abord parler un petit peu de ce que tu fais aujourd'hui. Pourquoi ce choix spécifique de faire de la guitare sur Internet ? Tu t'es dit que c'était un bon filon plutôt que d'être prof de guitare ou autre chose ? [01:49:42] Speaker D: Alors moi à la base j'ai commencé par bon faire la guitare mais être prof de guitare donc j'avais un campus d'où le nom de la... Enfin, je pensais que t'allais me demander pourquoi ce nom a rallongé sur YouTube le Campus Musique de Reda. Tu vas me le demander, cette question ? [01:49:56] Speaker B: Bah non, maintenant que tu vas répondre, donc je vais pas te la poser après. [01:49:58] Speaker D: Mais je n'ai même pas de raison. Ce nom est infâme. Mais je n'ose pas le changer par rapport à l'algorithme YouTube. Je me dis, il va me narguer. Mais bon, alors, donc à la base, j'avais un petit... Enfin, une petite école de musique perso, etc. Donc je donnais des cours de musique, enfin de guitare plutôt. Et au bout d'un moment je me suis dit pourquoi pas proposer, j'aime bien la pédagogie, donc pourquoi pas proposer un contenu un peu plus poussé, gratuit pour mes élèves, sur Youtube. J'ai dit bah le seul truc c'est pas leur envoyer des vidéos, c'est de faire ça. Et donc bah j'ai fait des petites vidéos, j'ai ouvert une chaîne, le Campus Musique de Reda. Et du coup bah après ça m'a, j'ai pris plaisir vraiment à faire des vidéos, c'était des tutos au début. Puis après j'ai été regarder un peu ce que faisaient les ricains. Comme beaucoup de personnes. Et je me suis dit, wow ils s'amusent beaucoup. [01:50:44] Speaker B: Ça a l'air sympa. [01:50:46] Speaker D: C'est pas que des tablatures qui défilent ou du solfège. Et du coup, je me suis dit pourquoi pas tester un contenu. Et rapidement, il y a eu un contenu qui a allumé le truc et c'est parti un peu en cacahuètes. Et puis après, bon, voilà. [01:50:59] Speaker B: Ça a commencé quand exactement ? [01:51:00] Speaker D: YouTube ? [01:51:00] Speaker B: Ouais. [01:51:01] Speaker D: Août 2019. [01:51:03] Speaker A: OK. [01:51:04] Speaker D: Et ça a pété février 2020. [01:51:09] Speaker B: Ok. Le Covid... Juste avant. [01:51:12] Speaker D: Désolé, c'est mon coup de chance. [01:51:14] Speaker B: Bah oui, écoute, pour une fois qu'il y a quelqu'un qui nous dit ça comme ça, c'est une bonne nouvelle. [01:51:18] Speaker D: C'est que ça a pété un mois... Février, tu vois, je t'ai dit. [01:51:20] Speaker C: Ouais, un mois avant que ça... [01:51:21] Speaker D: Un mois avant le Covid, mais ça a bien pété. Et après, bah... Ça a explosé... Enfin, c'était vraiment n'importe quoi. Un mois après, quoi. [01:51:29] Speaker B: Ouais, donc en fait, tu t'es lancé là-dessus... T'étais tout seul quand tu t'es lancé là-dessus ou t'avais déjà des potes qui t'aidaient ? Ah ouais, non, non, non. T'as fait de ça alone ? [01:51:37] Speaker D: Tout seul, mais genre... Comme un barbare, quoi. C'était vraiment genre 4 vidéos par semaine. Parce qu'en fait, je t'ai dit, au début, c'était juste pour mes élèves. [01:51:44] Speaker B: Ouais, bien sûr, mais bon... [01:51:45] Speaker D: Mais après, j'ai pris plaisir à le faire, tu vois. Et puis après, tu te dis, bah pourquoi pas, et tout. [01:51:49] Speaker C: En ressentant l'engouement des gens, ça te motive aussi à en faire plus, quoi. [01:51:53] Speaker D: Bien sûr, et puis à l'heure actuelle, je suis toujours... Je veux garder, par exemple, la main sur le montage. Je ne laisserai pas pour l'instant le montage, par exemple. Bon, maintenant j'ai des gens qui aident un peu à la réa, à m'aider, on a une équipe parmi les sociétés qu'on a créées autour pour YouTube, mais le montage, je le garde pour l'instant. Je pense que je vais le garder longtemps. [01:52:17] Speaker B: C'est sûr, ça t'appâte au moins. [01:52:19] Speaker D: Ouais carrément, mais au début, pendant longtemps, je suis resté tout seul. Très longtemps même. [01:52:23] Speaker B: T'as appris tout, donc t'as tout, le montage, filmer les matos, ça t'a pété mais tout est parti d'un coup quoi. [01:52:29] Speaker D: C'était dégueulasse les vidéos d'avant. Faut pas se le cacher, c'était affreux. Tu peux regarder des vidéos où il y a le micro qui est à l'envers. Normalement, il y a une marque sur le micro. Moi, il était à l'envers pendant 12 vidéos d'affilée. J'étais vraiment nul là-dessus. Mais le montage, j'ai toujours adoré, par contre. Vraiment, tout le temps, même ado et tout. Le montage vidéo. Et puis ouais, après, tu apprends sur le long terme. Et puis après, t'es un peu plus, on va dire, difficile avec toi-même. Tu veux une meilleure image, meilleur son. Après, il faut investir dans certaines choses et voilà. [01:52:58] Speaker B: Bah oui, c'est ça, c'est que à chaque fois qu'on parle des gens qui se lancent sur Internet, il y a toujours ce truc de... Mais alors, comment il s'est décidé ? Comment il a eu les moyens ? Et comment... C'est juste qu'au fur et à mesure, tu t'es acharné quelque part, parce que t'as senti qu'il y avait ce truc qui t'excitait, toi, et donc les gens qui s'y intéressaient assez rapidement, quand même. [01:53:16] Speaker D: Oui, oui, et puis je pense que l'évolution fait... En fait, je pense que... Tu sais, il y a beaucoup de créateurs de contenu, ou des gens autour de moi que je connais, qui veulent se lancer dans YouTube. Et la barre est tellement haute, vraiment. [01:53:30] Speaker B: Il y a déjà beaucoup de choses, oui, bien sûr. [01:53:31] Speaker D: En termes de qualité, qui veulent tout de suite avoir une qualité de fou, je pense qu'il faut commencer médiocre. [01:53:36] Speaker A: Ah oui ? [01:53:37] Speaker D: Ouais, je pense, ouais. Médiocre, on s'entend. [01:53:39] Speaker B: Oui, oui, que ce soit bien, mais... [01:53:40] Speaker D: Ouais, tu commences pas avec une webcam, mais... En quoi que... Mais il faut commencer doucement pour qu'on sente l'évolution et que les gens évoluent avec toi, tu vois, et que tu sentes qu'on te dise, waouh, c'est trop cool. Trop cool, on sent que ça a évolué. Enfin, je trouve, tu vois. Moi, si je vois un... Parce que le matos, tout ça, l'image parfaite, et être débutant, créateur de contenu, toi, je trouve qu'il y a un... Ouais, le décalage. Ouais, il y a un décalage fou. Mais maintenant, c'est chaud. Parce que ceux qui veulent commencer, ils investissent. Enfin, ceux qui peuvent, ils investissent. Et tu commences à une qualité de fou. Et elle est où, l'évolution ? [01:54:09] Speaker C: Mais c'est surtout que je trouve que ce qui est dangereux avec ça c'est que quand t'investis beaucoup dès le début et que tu vois pas de retour sur investissement parce qu'il faut du temps avant que ça rapporte de l'argent, je pense que ça peut te décourager plus vite alors que si t'as appris à faire avec pas grand chose et tout ça, c'est juste la passion qui entretient la flamme quoi. [01:54:33] Speaker D: Clairement. Les trois P, je le dis à chaque fois. Passion, patience, pratique. Donc ça, normalement, t'es bon. On va faire des t-shirts l'ailleurs. Tu as raison, effectivement, le retour sur l'investissement, YouTube, voilà, mais je trouve qu'il faut vraiment y aller étape par étape pour pouvoir voir cette évolution évoluer aussi avec ta commu, et puis même... Que. [01:54:58] Speaker B: Ce soit sain quelque part. [01:54:59] Speaker D: Oui, mais comment tu évolues si t'as déjà une qualité de gros malade au début ? C'est ça ma question. [01:55:04] Speaker C: Comprendre ce dont tu as vraiment besoin aussi parce que tu peux avoir une idée préconçue au départ et puis... Comme dans les instruments de musique tu peux avoir l'idée d'un ampli qui te fait rêver parce que t'as vu je sais pas qui qui joue avec et puis en fait le jour où tu commences à faire tes morceaux tu fais ah ouais en fait c'est pas le son que je voulais pour moi et du coup t'as acheté pas le bon truc quoi. [01:55:25] Speaker D: Ouais c'est ça. [01:55:26] Speaker C: Il y a un peu ce truc là. [01:55:28] Speaker D: Mais voilà, je pense que de toute façon le matos fait pas tout, tu vois au final. On a investi parfois dans certaines vidéos avec des matos de fous, elles ont pas marché. en vlog avec une GoPro et ça a explosé, tu vois. [01:55:41] Speaker B: Il y a plus, en fait, parce. [01:55:45] Speaker E: Qu'Il y a des gens qui veulent. [01:55:45] Speaker B: Se lancer là-dedans, mais qui le font parce qu'ils ont envie de marcher. Alors que la vérité, c'est que toi, au début, tu l'as fait parce que tu avais envie de partager un truc. Tu l'as fait simplement avec ton envie de guitariste et de prof. En fait, c'est naturel. C'est comme je le disais bien, la passion qui s'exprime avant la réussite. Et ça, ça crée ton personnage aussi. J'imagine que peut-être au début, t'es un peu sérieux, mais t'as quand même Bon, voilà, on se connaît pas, mais t'es arrivé. T'as de l'humour, t'es hyper souriant. Il y a un truc qui est quand même très agréable qui était là et qui, du coup, nourrit aussi ça avant le matériel. [01:56:19] Speaker D: On reste logique avec le perso. Ça reste un personnage, mais on reste logique. Enfin, tu vois, je ne suis pas à l'opposé de ce que je suis effectivement. Mais oui, comme tu l'as dit, la passion, c'est le truc numéro un, quoi, tu vois. Et voilà. Oui, en tout cas, j'essaye d'apporter ce truc cool. [01:56:35] Speaker B: Bon l'évolution se fait, il y a de l'humour, il y a de la technique, il y a beaucoup de choses. J'ai une question forcément qui m'est venue tout au début, je me suis dit ça c'est cool tu viens, les guitares héros, t'aimes bien les guitares héros, t'as des héros dans la guitare ou est-ce que tu trouves que ça un peu se prend de la tête et que les geeks guitare sont chiants Si tu veux bien en parler. Je commence un peu vénère désolé. [01:56:58] Speaker D: Vas-y on y va. [01:56:59] Speaker B: ? [01:57:00] Speaker D: Quand tu parles de guitare héro, tu parles vraiment du technicien. Steve Vai, Satriani, Van Halen et compagnie quoi. Alors, moi personnellement, je suis aux antipodes de ça. Donc même dans ce que j'ai écouté, pourquoi j'ai commencé la guitare, ce que je joue à l'heure actuelle, etc. Tu vois, je suis vraiment le côté riff, lourdeur, le rythme pour moi prime avant tout, même si dans les shredders il y a du rythme. Maintenant, ouais, je respecte ce que ces personnes font, ils ont apporté beaucoup, par contre là où moi des fois ça titille un peu, c'est vraiment Les puristes fans de ça qui ne respectent pas le fait que tu ne joues pas de solo ou que t'es mauvais dedans. Je me considère très mauvais soliste, tu vois. Je sais écrire un solo, j'adore écrire un solo. J'aime bien partager l'émotion, tu vois, d'un solo, la note bien placée, mais sans faire des... Par contre, quand on vient, par exemple, critiquer, je parle pas forcément de moi, ou quelqu'un dire, ouais, lui, Dave Grohl, par exemple, J'ai écrit une vidéo sur Dave Grohl, on parle de ça. Dave Grohl, il sait pas faire de solo, ouais, c'est pas un guitariste. Tu vois, ça, ça me titille un petit peu. [01:58:06] Speaker B: Ouais, ça t'emmerde. [01:58:07] Speaker D: Bah ouais. [01:58:08] Speaker B: Parce que finalement, il fait ce qu'il a envie de faire et s'il a pas envie de faire de solo, c'est pas si grave. [01:58:13] Speaker C: Oh, puis ce qu'il fait, il le fait pas mal, apparemment. Je veux dire, ça a l'air de marcher pour lui. Je suis pas trop inquiet, quoi. [01:58:18] Speaker D: Non, mais c'est ça, tu vois, et c'est surtout que si le mec peut te faire kiffer juste avec un accord, un rythme bien placé, une voix, pour moi, ça vaut tous les solos du monde, quoi. [01:58:28] Speaker C: Oui parce que c'est l'émotion au final. [01:58:31] Speaker D: Mais si tu bouges ta tête, t'as gagné. Par contre, ouais, oui, c'est impressionnant, c'est trop bien, tu vois. Bien sûr que c'est cool, mais c'est pas mon truc, tu vois. C'est le côté puriste qui m'énerve un petit peu là-dedans. [01:58:46] Speaker B: Il y en a partout, dans tous les domaines. Je pose la question parce qu'à chaque fois, comme on est dans le métal... C'est vrai, dans le métal, comme c'était un peu réservé que quelques personnes, du coup, il y a les gatekeepers, il y a ceux qui disent que tu conneries en musique, que tu le manques... [01:59:04] Speaker D: Tous les jours, tu veux qu'on ouvre des commentaires, tu vas péter un plomb. Tu vois, c'est tous les jours. Mais c'est génial, j'adore. Mais j'adore, parce que c'est... [01:59:12] Speaker C: C'est bon pour l'algorithme. [01:59:13] Speaker D: Non, mais c'est parce que c'est ça qui a fait que beaucoup de personnes qui se reconnaissent dans quelqu'un qui n'est pas forcément un guitareiro, bah partage des trucs avec, quoi. Tu vois, dans certains contenus que je fais, enfin nous on en parlait en off, les J'y regrettais chez vous, je vois des enfants, 12, 13 ans, 9 ans, ou même des ados, qui me défoncent en solo. J'adore, je pose la guitare, je ferme le son, je t'accompagne si tu veux et je kiffe. Je préfère ça. être impressionné qu'impressionné, tu vois. En tout cas avec un solo. Après, s'il faut écrire un breakdown, je suis là, on m'appelle. Mais voilà, tu vois à peu près le principe. [01:59:50] Speaker C: C'est assez drôle parce que dans tes vidéos t'es très... enfin t'es pas prétentieux. T'es pas à dire j'ai la science infuse, je sais ce que c'est la guitare, écoutez moi j'ai raison, de toute façon votre avis c'est de la merde. Enfin je veux dire t'es à l'antipode de ça. T'es vachement dans le fun et dans la découverte. dans tout ce que t'as amené d'ailleurs, enfin, la chelouterie, tout ça, tous ces petits trucs, tous ces petits concepts qui viennent rendre le truc fun, ce qui fait que moi je joue pas de guitare et je regarde tes vidéos parce que je trouve ça... je passe toujours un bon moment, même quand c'est des trucs matos, quand tu commandes une guitare et que tu vas la tester ou des trucs comme ça, je regarde parce que juste la manière dont on parle est vraiment cool et alors j'arrive pas à comprendre pourquoi des gens vont venir s'énerver contre toi sur ce truc alors que T'es tout sauf prétentieux dans ce que tu fais. [02:00:43] Speaker D: Mais certains me trouvent prétentieux. Je sais pas pourquoi. [02:00:48] Speaker C: J'ai 40 ans dans le métal, moi je sais de quoi je parle. [02:00:53] Speaker D: C'est surtout que je le dis quoi ? Je suis mauvais dans le côté geek de la guitare. Tu vois, connaître le micro, il est comme ça, comme ça. de bois, je suis mauvais quoi, je suis mauvais, je suis pas bricoleur, moi je veux juste que ça fasse kiffer. [02:01:13] Speaker C: C'est que ça t'intéresse pas plus que ça ? [02:01:16] Speaker D: Non mais de toute façon si je plante un clou le mur il tombe donc aller trifouiller une guitare ça va pas le faire tu vois et je m'y connais et puis je suis pas moi c'était c'est juste la musique doit faire ressentir quelque chose. Et j'aime bien en parler de manière vulgarisante. Ça se dit vulgarisante ou vulgarisatrice ? [02:01:35] Speaker B: Voilà. [02:01:35] Speaker C: Vulgariser le sujet. [02:01:37] Speaker D: Vulgariser le sujet. Et puis... Et ouais, non, mais certains ne supportent pas ça. Mais c'est surtout des gens, tu le vois, qu'eux connaissent tout, par contre. Ils sont très puristes. Et tout ça. Et moi, c'est pas mon délire. Donc peut-être que ça les embête un petit peu que je parle C'est peut-être. [02:01:56] Speaker C: De la lumière, alors que... [02:01:57] Speaker B: C'est de la jalousie un petit peu, ouais. [02:01:59] Speaker D: Oh, je pense qu'il y a toujours un petit problème. On va même aller plus loin dans la pédagogie. J'aime beaucoup, du coup, la pédagogie. Je fais des tutos. Enfin, des tutos où je parle de guitare et de façon de faire les choses. Il y a des trucs qui sont, mais, horribles à entendre. Je comprends pour ceux qui sont profs en conservatoire. Mais je les rassure, j'ai fait toutes mes années de conservatoire. Je le dis pas, je le dis, c'est la première fois, tu vois. On s'en fout. Je le dis là, j'ai fait tout ça. Je sais de quoi on parle. On peut travailler sur partition, mais j'en ai pas du tout envie. Parce que je sais qu'en ayant vu des centaines de jeunes vouloir faire de la guitare, on peut le faire dans un second temps. Mais si je veux t'enseigner Arrive, on y va quoi ! T'appuies sur les casques, tu joues, tu kiffes. [02:02:46] Speaker C: Il faut un peu de fun avant... [02:02:49] Speaker D: Ça dépend les personnes. [02:02:51] Speaker B: Mais c'est plus ta démarche, c'est-à-dire on va s'amuser, tu vas kiffer parce qu'il y a une vraie raison, celle qui va venir de ton cœur, de ton envie de créer quelque chose qui rassemble, qui partage. Après si tu veux devenir plus technique, bon bah... [02:03:04] Speaker D: Mais je comprends que ces personnes-là soient un peu offusquées. Tu vois, c'est normal, quand je dis qu'un métronome ça sert pas à grand chose, mais je préfère utiliser une batterie pour être dans le rythme. J'assume, c'est horrible à entendre, mais bon, je le fais comme ça, quoi. [02:03:19] Speaker C: Faut juste avoir un bon batteur, quoi. [02:03:20] Speaker D: Mets-toi une machine dans ce cas-là. Mais ouais, voilà, donc je comprends que certains puissent s'offusquer parce que peut-être ces profs voudraient avoir un peu de lumière pour en parler, mais je les invite à créer du contenu carrément. [02:03:31] Speaker B: Bah oui, voilà, c'est ça, c'est juste que quand on est pas content, au lieu d'aller gueuler, autant le faire. [02:03:35] Speaker D: Oui, pourquoi pas. [02:03:36] Speaker B: Et puis, je veux dire, globalement aussi, sur Internet, il y a suffisamment de gens qui créent du contenu pour trouver finalement son bonheur aussi. [02:03:43] Speaker D: Carrément, qui sont super forts et tout, théoriques et par exemple et qui aillent vers eux, ouais carrément. [02:03:48] Speaker A: Mais bon. [02:03:49] Speaker B: Ton audience, elle est très jeune. C'est quand même les gens qui ont envie justement de faire de la guitare qui viennent vers toi. [02:03:59] Speaker D: Il y a de plus en plus de personnes, comme tu le dis, qui font pas de guitare, qui regardent les contenus. Ça alors, ça franchement, je comprends pas, donc très bien. Récemment, on essaye de passer dans une idée à autre. [02:04:13] Speaker A: Ok. [02:04:15] Speaker D: Mais il y a beaucoup de gens qui, bon, la plupart sont guitaristes ou musiciens, d'autres aiment la musique, d'autres n'en font pas. Et puis l'audience, elle va être dans 10, enfin bon, sûrement des ados, j'en sais rien parce qu'on ne voit pas sur YouTube ces stats-là. Mais 18, 35, 40, quoi. Donc je crois que dans le game guitare, France, ça doit être assez jeune, je crois. [02:04:39] Speaker B: Et je sais plus ce que je voulais dire parce que je me suis noyé là-dedans. Je me suis noyé là-dedans. [02:04:45] Speaker D: Non, t'as été un peu trop loin dans la discussion. [02:04:47] Speaker B: Non, c'est moi, j'étais dans mon monde. Je me suis dit, ah ouais, mais du coup, est-ce que c'est des gens qui ont envie de... Mais tu as dit qu'il y avait un peu de tout. C'est vrai que ce qui est intéressant, c'est cette sympathie. En vrai, de vrai, je pense que c'est ça aussi qui fait la réussite. Soit c'est hyper geek, soit c'est un truc très précis où tu vas pouvoir apprendre des trucs vraiment doux. [02:05:09] Speaker C: Sur YouTube, soit tu vas chercher vraiment le pic de la connaissance hyper précis machin, soit tu vas chercher quelqu'un qui t'est sympathique pour t'expliquer des choses. et t'intéresser à des choses qui, à la base, peut-être... Après, moi, j'ai toujours été un peu curieux de... Enfin, je suis dans la musique depuis longtemps, j'ai beaucoup d'amis musiciens. Et du coup, j'aime bien... Et je suis curieux de savoir comment les choses marchent, ce qui existe et tout ça. Donc c'est vrai que là, c'est un bon moyen de... Comme tu dis, c'est de la vulgarisation. C'est qu'on découvre plein de choses et. [02:05:40] Speaker B: Puis... Ça permet d'être un premier pied dedans. [02:05:41] Speaker C: Ouais, et puis tu vas chercher des choses qui sont sur le YouTube français, qu'il n'y a pas forcément. [02:05:46] Speaker D: En fait t'as résumé YouTube, c'est divertissement ou et éducation tu vois. C'est ça en fait, soit t'apprends soit tu veux te détendre quoi. [02:05:55] Speaker B: Et quand vous faites, quand tu fais une vidéo, quand tu parles de Zik et tout, tout est préparé, tout est scénarisé, tout est... Bah moi j'ai pas envie d'en parler, hein. [02:06:04] Speaker D: Justement, je te parlais de restructuration de DA. [02:06:07] Speaker B: Ouais. [02:06:08] Speaker D: Jusqu'à l'année dernière, la dernière saison, environ juillet. Surtout dans les deux dernières années où c'était très compliqué, c'est... Je me lève, je déjeune en trouvant une idée. [02:06:21] Speaker C: Ok. [02:06:22] Speaker D: Je n'écris pas, je filme, je monte, ça sort le soir. Et les gens n'arrivaient pas à comprendre ça quand je le disais, tu vois avec certaines personnes, toutes les vidéos que vous regardez de l'année dernière, sauf peut-être quelques-unes, elles sont montées le matin, enfin tournées le matin, et montées l'après-m' et bam. Donc je travaillais à flux tendu, mais je voulais ça. [02:06:43] Speaker B: C'était à ton confort quoi. [02:06:45] Speaker D: Ouais et je voulais... Je sais pas pourquoi, on avait travaillé comme ça. [02:06:49] Speaker C: C'est pour avoir une spontanéité aussi je pense, parce que comme tu fais tout du début à la fin et dans un temps très court, c'est plus facile d'être très spontané et d'avoir ce truc... Oui. [02:07:02] Speaker D: Mais ça a duré deux ans. C'est-à-dire qu'en gros, là, en juin, juillet, j'ai dit, mais c'est plus possible, quoi. D'une part parce que j'ai atteint certaines limites, dans le sens où, par exemple, je te parlais de Dave Grohl, pourquoi ? Parce que j'ai écrit une vidéo. Je connais Dave Grohl, mais je pouvais pas parler de lui réellement. Tu vois, les petits secrets, les astuces, c'est des trucs... Et ça, t'es obligé de préparer. C'est fini, t'es obligé de scripter. Après, en scriptant deux, trois vidéos, je me suis dit, c'est cool quand même, tu vois, de scripter et tout. Et je me suis dit, bah maintenant, à partir de cette année, on fait des blocs de tournage de deux semaines, Donc je les prépare tous les 3 mois par exemple, je les prépare 3 mois, enfin quelques mois à l'avance, j'écris, je prends mon temps, on tourne, on prend le temps d'écrire, on peut faire des plus gros contenus comme partir chez les gens etc. Et ensuite bah du coup maintenant je scripte, j'aime bien ça, je prépare, on prévoit nos tournages et du coup on peut faire des trucs beaucoup plus conséquents. Mais ouais jusqu'à l'année dernière, impro total quoi. [02:07:52] Speaker C: Un bel perf. [02:07:54] Speaker B: Ouais, c'est une belle perche parce que c'est réussi, donc c'est à dire que... [02:07:58] Speaker D: Après, à ma décharge, tu sais quand on m'envoie une guitare, je fais un test. [02:08:03] Speaker C: Ouais, là, tu le fais encore. [02:08:04] Speaker D: Ouais, tu scriptes pas, donc ça, ça va, tu vois. Mais tous les petits storytelling, les tutos, les trucs comme ça, les trucs, c'est vraiment sur le moment. [02:08:11] Speaker B: Et t'as pas trouvé ça plus dur du coup de... De scripter ? Bah de scripter déjà c'est un travail, mais aussi de... Quand t'es là que tu joues, enfin je veux dire, ça doit être scripté, tu... Des fois c'est compliqué, en fait t'es plus naturel, y'a le naturel qui s'en va un peu. Après ça fait un petit moment que tu fais des vidéos, donc j'imagine que... [02:08:26] Speaker C: Je pense que tu laisses toujours un peu de place... Oui, clairement. [02:08:28] Speaker D: Oui, oui, tu laisses un peu de place à l'impro. Mais au moins je réfléchis, je prépare mes vidéos, et on peut faire des plus gros trucs quoi. Encore une fois, comme voilà, aller chez les gens, ou faire des trucs dans les mags et tout, faire des trucs un peu plus... peut-être drôle ou plus gros, plus conséquent, bah ça on peut le préparer. En fait, voilà, j'étais bridé à ne plus pouvoir, enfin, à ne pas pouvoir faire des plus gros contenus. Et là, même cette année, j'ai réduit le rythme. Donc c'est cool. [02:08:57] Speaker B: Ok, bon, il y a plein d'autres questions, on va peut-être passer un petit peu de musique. [02:09:00] Speaker C: Eh bah oui ! [02:09:01] Speaker D: Allez-y, allons-y. [02:09:02] Speaker B: Je t'ai demandé de faire des choix. Alors, Reda, tu discutes deux secondes avec lui. Putain, le mec, ça fuse dans sa tête, ça. Je lui dis, alors il va falloir que tu choisisses. J'ai même pas eu le temps d'écrire trois chansons que j'avais déjà dit trois clés. [02:09:13] Speaker D: C'est toujours les mêmes, je crois que je l'aime. Non, non, parce que ce type de question est assez intuitif aussi, tu peux voir. [02:09:20] Speaker A: Ouais, ouais. [02:09:20] Speaker B: Non mais j'ai trouvé ça génial, je me suis dit bon bah au moins je sais que ça c'est de la franchise Ah non c'est cela ! C'est pas d'autre ! Et on commence forcément avec un groupe qui a marqué le monde entier Linkin Park Ce morceau on l'a jamais passé je crois, From The Inside Ah bon ? Je crois qu'on l'a déjà passé On l'a passé beaucoup mais celui-là jamais Et bien voilà Alors tu as choisi Linkin Park déjà pourquoi ? [02:09:42] Speaker D: Parce que si je suis là avec vous, c'est grâce à Link... Sum 41 ? Et Linkin Park, quoi. Bah oui, c'est... Alors, ce morceau-là, pourquoi ? Notamment dans le sens où... Tu veux que je... Non, non, toi, viens. Ok, pour t'aider. [02:10:00] Speaker C: C'est le monde-charge. [02:10:02] Speaker D: Donc Linkin Park From Inside, c'est surtout aussi par rapport au clip qui m'a traumatisé. Le clip est magnifique, le petit garçon, le groupe qui est dans une guerre civile, un truc comme ça. Et à un moment, le gars prend sa guitare et sur le moment fort de la musique du pont, il part, ça fait des ondes de choc. Tu vois, t'as 12 ans, tu te dis, qu'est-ce qui se passe ? Et après, plus loin, quand maintenant, je réécoute toujours ces morceaux-là, ma musique elle ment, la nostalgie de Chester, tous les concerts que j'ai entendus, que j'ai écoutés, les musiques, c'est mortel, les From the Inside. à ce côté très waltz aussi. Si je ne me trompe pas, pour les puristes, c'est du 3 temps. Mais voilà, ça emporte, c'est trop bien. Et c'est la bonne époque pour moi. [02:10:55] Speaker B: Donc Kid Park, c'est quelque chose qui t'a fait du bien au cœur alors ? [02:10:58] Speaker A: Ah oui, ouais. [02:10:59] Speaker D: Ouais, c'était fou. [02:11:01] Speaker B: Tu les as vus en concert avec Twister ? [02:11:04] Speaker A: Jamais. Jamais ? [02:11:04] Speaker D: Jamais. Je connais Live in Texas, le fameux DVD, par cœur. Les interactions publiques et tout, par cœur. Mais j'ai jamais eu la chance de les voir en concert et pas encore maintenant. [02:11:17] Speaker B: C'est très bien d'ailleurs maintenant. [02:11:19] Speaker D: Ah c'est excellent maintenant. [02:11:20] Speaker B: Il ne faut pas hésiter à aller voir. Elle assure de ouf. C'est une belle suite. On va regarder ce clip ? [02:11:27] Speaker D: Allons-y. [02:11:28] Speaker B: Let's go ! C'est donc Reda qui a choisi Linkin Park. From the inside c'est bang bang. [02:12:04] Speaker A: J'ai besoin de toi pour croire, pas de surprise Tu me sens si loin de moi Les petites pensées s'éloignent par la poussière et les mentes J'essaie de. [02:12:17] Speaker D: Ne pas me dépasser mais je suis tellement fatigué de voir ça Chaque fois que j'essaie de me rendre à mes. [02:12:22] Speaker A: Pieds Tout ce que je pense c'est ça Tout ce temps fatigué entre nous. [02:12:27] Speaker B: Et comment J'essaie de me confier à. [02:12:29] Speaker A: Toi mais tu prends tellement de peine pour la dernière fois je vais me confier avec toi la tension se construit à l'intérieur, lentement je me sens si loin de moi les pensées lourdes forcent leur chemin à partir de moi Sous-titres Pour la dernière fois, je ne me confierai pas réalisés para la communauté d'Amara.org à toi ! Je ne m'abandonnerai pas à toi ! Non ! Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org C'est Oh putain ! Oh putain ! Oh la putain fin de cette vidéo. ! Je vais mourir Je suis assez éveillé Je suis assez éveillé Je suis assez éveillé Je suis assez éveillé Je suis assez éveillé Je ne peux plus vivre ça I can not take this! Please let me fall asleep! I'm wide awake! Please let me sleep! C'est quoi ce bordel ? CUT IT OUT ! [02:17:59] Speaker B: PALE FACE dans la face ! Suisse ! Comme mes couteaux ! C'est vrai qu'il faut préciser parce que sinon ils vont avoir des petits soucis. Mais PALE FACE avec cette agressivité, cette violence et ce côté slipknot qui se précise de plus en plus. [02:18:12] Speaker C: Moi ça me gêne un petit peu. [02:18:15] Speaker B: Ouais, mais c'est mieux que Slipknot du coup ! [02:18:18] Speaker C: C'est mieux que les chansons de Slipknot d'aujourd'hui. [02:18:21] Speaker B: Donc voilà, toujours une grosse ouverture d'esprit, un morceau qui marche fort parce qu'à peine sorti, c'est monté dans les centaines de milliers de vues, donc on leur souhaite bien évidemment à nos amis suisses de cartonner, et puis tous les gens qui les ont vus sur scène, On dit Thierambic, c'est bon bah je me suis pris une bonne tarte, j'ai perdu quelques dents. [02:18:40] Speaker C: Enfin bon c'est Marcel qui t'a dit ça. [02:18:42] Speaker B: Y'a pas que lui. [02:18:43] Speaker C: Marcel il est fan. [02:18:45] Speaker B: Non mais Marcel il est même pas fan, Marcel a Vipel Face. [02:18:48] Speaker C: Il s'est fait tatouer. [02:18:49] Speaker B: Il est tout pâle. [02:18:53] Speaker C: Ah c'est donc ça. [02:18:55] Speaker B: Ah c'est parce qu'il a un grois, c'est pas la même chose. Il a vécu en Suisse. Aussi c'est vrai. [02:19:02] Speaker C: Coïncidence. [02:19:03] Speaker A: Relique. [02:19:04] Speaker B: Notre invité ce soir c'est Reda, encore une fois merci infiniment d'être là dans le canapé. [02:19:09] Speaker D: Merci à vous. [02:19:09] Speaker B: On en apprend bien évidemment sur ce métier, sur ce que tu fais, mais on va aussi en apprendre plus sur toi. [02:19:14] Speaker C: Bah oui ! [02:19:14] Speaker B: Parce que c'est ça qui nous intéresse aussi. [02:19:15] Speaker D: Allons-y ! [02:19:16] Speaker B: Et là on parlait juste avant de diffuser Linkin Park, d'émotions, de quelque chose que ça avait procuré Linkin Park, de jeunesse aussi, parce que tu nous avais dit que c'était autour de 12-13 ans. [02:19:25] Speaker D: Oui c'est ça, ouais. [02:19:26] Speaker B: Il y a l'enfance, l'enfance. T'écoutes, c'est quand que tu as rencontré la musique alternative ? Enfin les musiques un peu amplifiées. [02:19:33] Speaker D: Le souvenir est assez marqué, c'était en 6ème, donc en 6ème 11 ans, je crois que je pense que c'est ça. Rentrée de 6ème, il y a un nouvel ami, que je ne connaissais pas avant, et qui me donne l'album de Sum 41. Tu sais celui où il y a un zombie dessus, Frankenstein ? « Does it look infected ? » Voilà, tu le dis beaucoup mieux que moi. Celui, il me donne cet album. Enfin, tu dis, il me le prête. Je sais même pas pourquoi. [02:20:02] Speaker A: Voilà. [02:20:02] Speaker D: Et je le mets du coup chez moi et je fais... Moi, je connaissais pas. [02:20:05] Speaker B: Ouais. [02:20:06] Speaker D: Tu vois, je viens d'un... Comment dire ? D'un monde où c'était beaucoup, moi, le rap, tu vois. [02:20:15] Speaker B: Ouais. [02:20:15] Speaker D: Sniper, tout ça. Et puis c'est vraiment, je viens de là. [02:20:19] Speaker B: Ok, ok. C'était ce que t'avais dans les oreilles avant. [02:20:22] Speaker D: Voilà, et pas plus d'autres choses. Et du coup, j'ai fait « Waouh, c'est ouf ». Pour moi, ça n'existait pas, ça n'existait pas, ce truc-là. [02:20:30] Speaker B: — Ah oui, t'avais même pas... —. [02:20:30] Speaker D: Je savais même pas que ça existait. Même ACDC, tu vois. Enfin, il n'y avait pas de ça. [02:20:35] Speaker B: — L'Euro, quoi. [02:20:36] Speaker D: — Ouais, je savais pas ce que c'était une guitare électrique, quoi. Et j'ai fait « Waouh, c'est ouf », quoi. Et en plus, M401, tu vois... — C'est bien catchy. — Ouais, enfin... T'as l'impression d'être en vacances, quoi. Tu vois, et puis, bon, là où on était, c'était pas le plus ouf, quoi, mais... Mais ouais du coup Sum 41 et puis après ouais le lien Linkin Park, je peux te faire après tous les liens, on pourrait aller jusqu'à l'extrême mais voilà c'est ce moment-là. [02:21:00] Speaker B: Mais là sur Sum 41 là tu dis wow tu découvres un truc que tu connais pas, c'est quand même fou d'accrocher parce que normalement quand on passe d'un monde rap à un monde... parce que c'est quand même pas non plus le... c'est catchy mais ça reste quand même assez agressif, c'est surprenant, c'est rapide. [02:21:14] Speaker D: Ouais enfin c'est pas du Cyrano Vodum non plus. [02:21:16] Speaker C: Il n'y a pas de voix saturée déjà, il n'y a pas de truc comme ça. [02:21:21] Speaker B: Il n'y a pas l'image, je pense que Some 41, l'image aide beaucoup aussi quand même. [02:21:24] Speaker D: Ouais mais on était aussi dans l'époque un peu, ce qui a été tout en 2000 en France. Et donc tu vois les gars, il n'y avait pas YouTube, mais je pense que j'ai enfilé YouTube, je ne sais plus quand c'est YouTube. C'est en 2007. à YouTube, mais je sais pas pourquoi je suis tombé sur un clip au bout d'un moment, j'en sais rien, enfin tu vois... Ouais, ça. [02:21:43] Speaker B: T'A ouvert, et d'un coup tu voyais que ça existait. [02:21:45] Speaker D: Ouais, ils sont trop cools les gars, quoi. T'as envie d'être leurs potes, et je pense que c'est important. Si tu remarques, tous les groupes qu'on aime, on a envie d'être leurs potes. [02:21:52] Speaker A: C'est vrai. [02:21:53] Speaker D: Je crois, non ? Je sais pas. [02:21:54] Speaker B: Enfin, ça dépend qui... Jusqu'à... Quand on connaît les histoires qui suivent, après bon, des fois... Oui, bon... [02:22:01] Speaker D: Tu vois ce que je veux dire ? [02:22:02] Speaker B: Sum 41, ça n'a pas d'histoire. [02:22:03] Speaker C: Je pense que quand tu commences à écouter des trucs plus extrêmes, t'as moins envie d'être leur pote. [02:22:08] Speaker D: Exactement. Mais voilà, Sum 41, ça m'a traumatisé. [02:22:13] Speaker C: Dans le bon sens du terme. [02:22:14] Speaker D: Dans le bon sens du thème. Et puis après tu te dis bah comment on fonctionne. [02:22:16] Speaker B: Mais genre directement tu t'es dit il faut que je connaisse tout le reste, il faut que j'en sache plus sur le groupe. T'as demandé à ton pote qui t'a prêté le CD. [02:22:22] Speaker D: Ouais sûrement, je sais plus après exactement mais je sais qu'après comme je t'ai dit ça a été sur Linkin Park. Et là du coup si on fait le lien, bah dans Linkin Park t'as du rap. Et moi tu vois j'étais l'univers rap et j'ai fait ah ouais on peut, enfin ils peuvent aussi faire ça. Et puis après, ouais, tu prends une guitare ou alors une batterie pour ceux qui veulent, ou une basse, enfin j'en sais rien, ou le chant, mais voilà. [02:22:44] Speaker C: Et alors la découverte de Linkin Park, ça s'est passé comment ? Ça s'est fait toujours avec ce pote ? [02:22:49] Speaker D: Alors avec ce pote, on chantait dans ma chambre. Il faisait Chester, je faisais Mike Shinoda. [02:22:53] Speaker B: Trop bien ! [02:22:54] Speaker D: C'est génial Je m'en souviens ça. On crachait par terre quoi. Tu sais comme lui en concert. [02:23:00] Speaker C: ! Ceux qui n'avaient pas besoin. [02:23:03] Speaker D: Non il n'y avait rien. Mais on chantait, on prenait la télécommande et tout, on faisait tout le live quoi. [02:23:07] Speaker B: C'était génial. [02:23:08] Speaker D: Ah ouais c'était ouf. [02:23:10] Speaker B: C'était des moments qui sont inoubliables. [02:23:12] Speaker D: Ouais carrément. Et du coup, ouais ça devait être avec ce pote Linkin Park, je sais plus. Mais il y avait aussi à l'époque Tu sais, les gars qui prenaient du Dragol Boneshead et imitaient des musiques de Linkin Park par-dessus. [02:23:23] Speaker C: Comment ça s'appelait ? [02:23:24] Speaker D: Je sais plus comment ça s'appelait. [02:23:25] Speaker C: Ouais, non, mais je vois ce que tu veux dire. Où ils prenaient plein d'images, plein de mangas d'ailleurs, enfin plein d'animés. [02:23:30] Speaker D: DBZ mon prochain fan. Et ils mettaient Linkin Park Evanescence et tout. Je crois que c'est peut-être un délire comme ça, tu vois. Mais voilà. [02:23:36] Speaker B: Ouais, c'est arrivé avec un gros mélange quoi. Mais surtout ce pote avec qui tu partageais beaucoup d'énergie. [02:23:42] Speaker D: Exactement. Et puis la guitare avec lui après et tout quoi. [02:23:45] Speaker B: T'étais un enfant plutôt calme ou t'avais beaucoup d'énergie à donner ? [02:23:49] Speaker D: Non, fils unique, casanier... Ouais donc là. [02:23:52] Speaker B: C'Est lui qui t'a... Il t'a dévergondé ce brave enfant ! [02:23:56] Speaker D: Mais clairement ! Il m'a montré GTA, DBZ... Non mais c'est ça, mais plutôt calme. [02:24:04] Speaker B: T'es pas heureux de ne pas l'aimer ? [02:24:06] Speaker D: Ouais sûrement, un truc comme ça... Je pense que t'as le cul d'avoir raison. [02:24:13] Speaker B: Non mais je plaisante parce qu'il doit être content quand même. Et après, donc t'as découvert ça, y'a Linkin Park, bon là t'as quelques années qui viennent, y'a plein d'autres groupes j'imagine parce que tu te souviens de plein de choses, toute cette époque un peu pop, plus pop-punk, néo-metal forcément parce que Linkin Park, tu me diras c'est néo-metal, mais t'as toute cette, finalement du groove quoi, depuis tout à l'heure tu me parles de groove. [02:24:34] Speaker D: Du riff et du rythme, tu vois donc ça va avec ce que je dis, parce qu'après Linkin Park, tu embrayes techniquement avec Scorn et Slipknot, si t'es assez logique, on va dire ça. [02:24:44] Speaker B: Ouais c'est le step. [02:24:47] Speaker D: T'as quand même Metallica en parallèle. [02:24:49] Speaker B: Ah, quand même ? [02:24:50] Speaker D: Bah oui. [02:24:50] Speaker B: On a dit bon, les vieux ont quand même... Non mais tu te dis. [02:24:53] Speaker D: Voilà, bon, Metallica quoi. Et après, et tout ce qui s'en suit... [02:24:58] Speaker C: Déjà Slipknot, il y a quand même... Alors Korn, il y a un truc dans les sonorités, ça va quand même plus loin. [02:25:03] Speaker D: Ça n'a pas duré très longtemps Korn. [02:25:04] Speaker A: Ah ouais ? [02:25:05] Speaker D: Ouais, j'ai pas... C'est super, c'est génial, mais j'ai pas accroché... Mais oui, ça va un peu plus loin, tu vois. [02:25:10] Speaker C: C'est un peu plus P, quoi. [02:25:11] Speaker D: Slipknot, par contre, tu... Bah oui, c'est. [02:25:13] Speaker C: Ce que j'ai, donc là, Slipknot, c'est quand même un step-up, quoi. [02:25:16] Speaker D: Oui. [02:25:17] Speaker C: Par rapport à Linkin Park. [02:25:18] Speaker D: Ah ouais, clairement. Et puis... Et t'es jeune, en plus. Ouais... Ouais, je... Bah ouais, c'est de fin... Ça va être un an après, hein. 13 ans, tu vois, là, on arrive vers 13. [02:25:26] Speaker C: Iowa, c'est 2001, donc... Ouais, mais moi, je... [02:25:32] Speaker D: Le Slipknot, d'après. [02:25:33] Speaker C: Ah ouais, encore après. Ah ouais, donc c'est 2003, je crois. [02:25:36] Speaker D: C'est un slot que beaucoup n'aiment pas trop, je crois. Enfin, en tout cas, ceux qui adorent I.O.I. [02:25:40] Speaker C: Il est bien, celui-là. [02:25:41] Speaker B: Le suivant est bon, quand même. [02:25:44] Speaker C: C'est celui où il y a Duality. [02:25:46] Speaker D: Moi je suis ce type là. [02:25:47] Speaker C: Bah oui, non mais oui, ça va. [02:25:49] Speaker D: Le mainstream, le mainstream, enfin pour moi. [02:25:51] Speaker B: Ah oui, oui, ça va, ils l'envoient quand même. [02:25:53] Speaker C: Ça reste... [02:25:54] Speaker B: Voilà. Ça reste... Ça reste des mecs qui tapent avec des battes de baseball sur... [02:25:58] Speaker C: Sur des cakes de bière. [02:25:59] Speaker D: Ouais, c'est ça, et quand tu découvres aussi les clips, je suis très visuel, comme je te dis, j'aime beaucoup le montage aussi, enfin la vidéo, j'adore ça. Et ouais, les clips sont choquants aussi, et puis les masques, et pareil, les gars, ils sont neufs sur scène. Tu vois, t'as 13, 14 ans, tu comprends pas, quoi. [02:26:14] Speaker B: Et là à l'école, t'es toujours, ton pote est toujours à l'école avec toi, vous êtes comme cul et chemise, les gens vous regardent bizarre, enfin les autres élèves, ou il y a plus de gens qui écoutaient de... Bah ouais t'es. [02:26:26] Speaker D: En 2003-4 à ce moment là, non ? [02:26:30] Speaker C: Ouais ouais je pense. [02:26:31] Speaker D: Donc t'es dans... on est tous en van, on fait du skate... Ouais mais. [02:26:37] Speaker B: Y'A ceux qui écoutent Kyo et puis y'a les autres quoi. Avec le respect que j'ai pour Kyo bien évidemment. [02:26:43] Speaker C: D'ailleurs on a reçu Ben de Kyo à aller voir l'émission. [02:26:46] Speaker D: C'est vrai ? [02:26:47] Speaker C: Ben oui, bien sûr. [02:26:48] Speaker D: Kyo, c'est quelle époque ? C'est cette époque là ? [02:26:52] Speaker C: Kyo ouais, 2003, ils sont bien au top. [02:26:57] Speaker D: Alors, j'ai quand même écouté du kiosque. Non mais tu vois, je fais le comparatif, je sais plus exactement, cette période est floue. Mais bon, pour revenir à la question que tu dis, je trouve qu'il n'y avait pas trop de démarcation avec d'autres potes. [02:27:15] Speaker B: Je trouve. [02:27:17] Speaker C: Il n'y avait pas trop de jugement là-dessus. [02:27:18] Speaker B: T'habitais en ville ou t'étais à la campagne ? [02:27:21] Speaker D: J'ai habité ville dans le 93. J'ai grandi dans le 93. Effectivement, ce milieu du 93 n'est pas trop prédisposé au côté métal. Malgré tout, malgré tout, on traînait beaucoup. On a eu la chance d'avoir une école de musique, le Pôle musical d'Orgemont. C'est même plus qu'une école, je sais pas comment on appelle ça, mais... Conservatoire un peu ? Non, c'était vraiment l'école un peu... Ouais, à la cool, tu vois, il y avait une salle de concert à l'intérieur. [02:27:50] Speaker C: Ah ouais, trop bien ! [02:27:50] Speaker D: Ouais, et beaucoup de métalleux, tu vois. [02:27:52] Speaker C: Ouais, parce que du coup, peut-être que ça attirait... Oui, ça attirait tous les. [02:27:56] Speaker D: Violents de la... de la cité, au final, tu vois, donc je faisais partie. Mais pour autant, j'ai jamais eu de soucis, tu vois, de ce côté-là. Donc, c'était plutôt cool. [02:28:06] Speaker B: C'est très cool, c'est vachement bien que ça existe, enfin que ça existait. [02:28:09] Speaker D: Et ça existe toujours ! [02:28:10] Speaker B: Ça existe toujours, très bien. C'est ce genre d'endroit qui rassemble et qui permet de mélanger aussi les gens avec leur style de musique différente. [02:28:17] Speaker D: Alors clairement, après Linkin Park, enfin en tout cas la découverte, il n'y avait pas eu ce PMO, Pôle Musique à l'Argemont, Moi je pense pas que je serais là quoi. Parce que tu sais, tu découvres les potes, les petits groupes, les ateliers, il y avait des groupes de métal qui avaient 20 ans, nous on avait 13 ans, on voulait faire comme eux. Tu vois ce que je veux dire ? Donc c'était cool, il y avait des mecs justement qui faisaient beaucoup de rap, mais qui venaient voir les métalleux, ils faisaient des trucs entre eux. C'est trop bien ! C'est vrai que c'est une belle époque. [02:28:44] Speaker B: Où il y avait tous ces mélanges et où les gens se posaient peut-être un peu moins de questions par rapport à l'époque. Bon, ça t'as pas connu une époque d'avant où tout le monde se pétait à la gueule ? [02:28:52] Speaker D: Oui, ça devait être encore différent. [02:28:55] Speaker C: C'est assez surprenant que déjà à cette époque-là, il se soit aussi facile. Parce que autant des gens... [02:29:01] Speaker B: Après, il y a la pédagogie des gens qui sont là pour prendre le lieu. [02:29:04] Speaker C: C'est ça que je voulais dire. Le lieu a peut-être aidé aussi les gens à... À accepter un peu les... [02:29:09] Speaker B: Être là pour l'art plus que pour le style musical. [02:29:11] Speaker D: Ouais c'était vraiment famille en plus à fond tu vois. C'était un gros coup de chance quoi. [02:29:18] Speaker B: Et là donc t'es déjà dans la guitare ? [02:29:19] Speaker C: Ouais c'est ce que j'ai demandé. [02:29:21] Speaker D: Par rapport à... Tu parles à quoi ? [02:29:23] Speaker C: C'est déjà arrivé ? T'as commencé quand du coup la guitare ? [02:29:27] Speaker D: Bah un an, je pense, après la découverte de Sum 41. Ah ouais ! [02:29:31] Speaker B: C'est assez efficace. [02:29:32] Speaker D: Le temps d'acheter une guitare, tu vois. Le temps de comprendre déjà quel instrument fait ce bruit là. Tu vois. [02:29:37] Speaker C: De convaincre les parents. [02:29:38] Speaker D: Ouais, exactement. Un an après. Mais j'avais déjà fait le piano à partir de 6... 7 ans. [02:29:43] Speaker A: Ah ouais ! [02:29:43] Speaker B: Ok, ok. Donc t'étais déjà dans la musique. Ok, ok, d'accord. Donc tes parents étaient quand même très ouverts sur la musique. [02:29:50] Speaker D: Je crois que j'ai été forcé à faire du piano. [02:29:52] Speaker B: Ouais, comme beaucoup d'enfants. [02:29:55] Speaker C: De cette époque-là. [02:29:57] Speaker B: La douleur, on sent. Comme beaucoup d'enfants. [02:29:59] Speaker C: Moi je n'en ai pas fait, mais mes frères ont fait du piano alors qu'ils ne savaient pas vraiment. [02:30:05] Speaker D: J'ai été forcé à continuer le conservatoire, mais je ne viens pas de famille musicien. Une schizophrénie qui s'installe, mais... Non, mais. [02:30:15] Speaker B: Ils aimaient la musique globalement, non ? Ou ils avaient décidé que c'était bien... [02:30:18] Speaker C: Ils se sont dit que c'était bon pour le développement de l'enfant qui faisait de la musique ? [02:30:22] Speaker D: Oui, oui, je pense que c'est ça. C'est un très bon choix. [02:30:24] Speaker C: Ah bah oui, bien sûr. Ça t'a donné un métier. [02:30:28] Speaker D: Après, j'ai arrêté le piano parce que... Tu sais, mais après tu découvres le monde obscur avec la guitare électrique. [02:30:36] Speaker B: Et là, pareil, t'as les cours mais t'essayes des trucs tout seul, tu te dis que tu vas te démerder parce que c'est cool aussi de faire des trucs qui sont pas dans les normes. [02:30:45] Speaker D: Parce que le meilleur apprentissage, quoi qu'il arrive, t'as un prof qui te donne envie ou quoi que ce soit, mais ça reste l'autodidactie. C'est d'aller fouiller, c'est d'aller voir, c'est de découvrir, d'être curieux, de se tromper. C'est vraiment... 80% d'un musicien qui sera bon, alors je parle pas de moi, mais voilà, un musicien, 80% pour moi c'est du temps passé seul. à s'enfermer tu vois, et ensuite tu partages. Le pet de pratique de tout à l'heure, il a retenu. Et la passion du coup aussi. Et la passion parce que tu kiffes. Mais après bon il y a les rencontres, le partage, la musique, mais vraiment l'apprentissage technique pour vraiment débrouiller je crois qu'il se fait seul. Curieux. [02:31:23] Speaker B: Et là tu sens que c'est parti avec ce lieu et les gens qui t'entourent. Tu poses plein de questions, t'es curieux. [02:31:31] Speaker D: Ouais, relou. [02:31:33] Speaker B: Je suis le relou. [02:31:35] Speaker D: Tu vois, qui veut faire des heures en plus avec le prof. [02:31:37] Speaker B: La reloutre, c'est génial. [02:31:38] Speaker D: La reloutre, c'était avant de passer à la show. Non, voilà, c'est ça quoi. Tu vois, après les ateliers, les trucs. Il y avait un groupe, je te dis, de métal qui était assez connu, je crois, à l'époque. Si je dis le nom, je ne pense pas que vous allez le connaître. Vous avez peut-être une culture énorme, plus que moi. Anker, ça vous parle ? C'est du brutal death metal technocal. C'est vraiment un truc. Et eux, en fait, ils nous impressionnaient. Donc, on voulait faire comme eux. Donc, on les suivait. On était un peu les relous. Tu sais, les relous. [02:32:05] Speaker B: C'est mignon. Les personnes aussi qui regardent. Et puis, ça devait leur faire plaisir aussi de pouvoir transmettre quelque chose. [02:32:11] Speaker D: Ouais, peut-être. Mais ça ne s'explique pas qu'ils nous jetaient en disant, vous partez maintenant. Ça explique pas. [02:32:18] Speaker B: Bah c'est du brutal de ce métal quand même ! [02:32:20] Speaker C: Ça n'explique pas qu'on ait une ordonnance de restriction, qu'on n'avait pas le droit de s'approcher à moins de 200 mètres d'eux... [02:32:25] Speaker D: Exactement ! Mais ouais, très curieux et tout Ok. [02:32:30] Speaker B: Donc aussi style vestimentaire, parce que là on est dans l'adolescence pleine. ! Bon, ceci dit, t'as toujours un style vestimentaire, comme nous. [02:32:39] Speaker D: Oui, un peu... [02:32:40] Speaker B: Jeune ? [02:32:41] Speaker D: Oui, jeune. Non mais... [02:32:43] Speaker C: Lui, il est encore jeune. [02:32:44] Speaker B: Oui, c'est vrai que lui, il est encore jeune. [02:32:45] Speaker D: Dans l'ère du temps, non mais... Oui, il y a eu les cheveux rouges façon Mike Shinoda à Linkin Park. [02:32:51] Speaker B: Très bien, oui. [02:32:52] Speaker D: Après, j'ai une époque Marilyn Manson aussi. Voilà, et slipknot et tout, donc tu veux mettre des pics et tout en bracelet mais ça passe pas trop, tu vois. Tu te dis ouais, bon je sais peut-être que t'es un peu loin. Mais voilà quoi. [02:33:06] Speaker B: Bon il faut que je me ravise un peu parce que là, je le mets mais c'est vrai que même en le mettant je me sens pas forcément à l'aise. [02:33:11] Speaker D: C'est pas moi quoi. [02:33:12] Speaker C: Ça fait beaucoup de bruit quand j'écris sur la table à l'école. [02:33:15] Speaker B: Tu n'arrives pas jusqu'à la table. [02:33:16] Speaker C: Mon stylo ne peut pas toucher. [02:33:18] Speaker D: Mais c'est ça, tu vois, peut-être style un peu, mais tu veux faire comme Linkin Park, mais les cheveux bleus et rouges, ça marche que sur eux. Tu vois ? [02:33:28] Speaker B: Non mais t'y crois à cet âge-là. [02:33:29] Speaker C: T'Es trop à fond. [02:33:30] Speaker B: Ben oui. Moi j'ai eu des aventures capillaires, donc c'est pour ça que je dis ça. Ben a toujours été plus ou moins sage. [02:33:38] Speaker C: Ben j'ai eu des cheveux. Oui mais t'as été sage. [02:33:40] Speaker B: T'as été sage. [02:33:41] Speaker C: Oui mais moi j'ai jamais été... [02:33:42] Speaker D: Tu testes. [02:33:45] Speaker B: Bon très bien, et là t'as plein d'amis, tu fais de la guitare. Déjà tout jeune, ado aussi, vous vous dites tiens on va se mettre à plusieurs, on va essayer de faire un groupe. [02:33:51] Speaker D: Encore dans ce lieu là il y avait ce qu'ils appelaient les ateliers quoi, ateliers groupes, ateliers rock, c'était ça. [02:33:58] Speaker B: C'est génial. Non mais moi je trouve ça génial, moi j'étais dans un bled donc il n'y avait pas ça. Il y avait des bons profs de musique, il y avait un endroit où tu pouvais apprendre à faire du piano. de la guitare sèche aussi. Mais ils étaient très gentils, mais je pense qu'après, ça pouvait pas aller bien loin. Il devait y avoir 7 personnes. Et encore ! C'était le climax du truc. [02:34:17] Speaker D: C'était une grande ville, donc il y avait du monde. Mais là, l'atelier rock, en fait, te permettait tous les jeudis... Ça m'a marqué, parce que tous les jeudis soir, de 19h30 à 22h30, je m'en souviens. Tu pouvais intégrer ça, il y avait des élèves de basse qui étaient choisis, des élèves de guitare, de batterie, et puis on reprenait des morceaux, on faisait des concerts tous les trimestres. [02:34:33] Speaker B: Cool. [02:34:35] Speaker C: Trop bien. [02:34:36] Speaker B: Genre prise, comme ça, ça vous apprend et puis ça vous fait monter sur scène. [02:34:39] Speaker D: C'est ça, tout le monde proposait des morceaux, alors je proposais Before You Forget, tout le monde disait bah non, on va faire Indochine, mais ça m'allait très bien. C'est vrai, c'est vraiment vrai. [02:34:47] Speaker C: Demandez à la lune en même temps, c'est plus facile à jouer. [02:34:49] Speaker D: Je l'ai joué. [02:34:50] Speaker C: Ah oui, j'imagine bien, c'est l'époque. [02:34:52] Speaker B: Et puis pour les gens qui sont là en spectateur quand tu fais le spectacle, c'est peut-être... C'est plus simple de comprendre de l'Indochine qu'un peu plus. [02:35:00] Speaker C: C'était plus facile de trouver quelqu'un qui chante mal comme Nicolas Sarkis que quelqu'un qui chante bien comme Corey Taylor. [02:35:07] Speaker D: Mais voilà, après on faisait du Red Hot aussi, des trucs comme ça, donc ça ouvrait. [02:35:11] Speaker C: C'est peut-être plus facile de trouver quelqu'un qui chante mal comme Anthony Killis que quelqu'un... [02:35:15] Speaker D: Mais non, voilà, c'était cool quoi. [02:35:17] Speaker C: Trop bien. [02:35:17] Speaker B: Vraiment bien, c'est trop trop bien. [02:35:19] Speaker C: C'est bien de mettre la pratique vraiment au cœur du truc, parce qu'en fait, s'il faut que tu joues des morceaux devant des gens tous les trimestres, t'es obligé de pratiquer beaucoup. [02:35:28] Speaker D: Ouais, c'était trop bien quoi. [02:35:30] Speaker B: Bon et là t'arrêtes pas de taffer, de toute façon t'es chez toi, tu fais que ça, la console tu la. [02:35:34] Speaker D: Mises de côté, tu t'es... Non, console quand même ! Mais non, pendant un moment, effectivement, je faisais guitare, guitare, guitare, guitare, beaucoup. Et moins de console, moins de trucs. Après j'ai un moment où j'ai arrêté un peu, mais voilà, beaucoup, beaucoup de guitare, effectivement. [02:35:46] Speaker A: C'est cool. [02:35:47] Speaker B: Et quand t'es monté sur scène, t'étais content ou t'as un peu les pétoches ? [02:35:52] Speaker C: Ouais, tu flippes, ouais. [02:35:54] Speaker B: Parce que ça, généralement, ça peut aussi décider de ce que tu fais après. Ce que je veux dire, c'est que quand tu montes sur scène et que t'as l'excitation, ou quand tu te filmes et que t'es sur YouTube, t'es quand même déjà plus à l'aise aussi. Tu vois ce que je veux dire ? Il y a un concept dans ta tête qui s'est installé. [02:36:05] Speaker C: Il faut savoir si tu vas devenir musicien de scène ou si tu veux faire vraiment de la musique sur scène. [02:36:11] Speaker D: Moi, j'aimais ça. Oui, il y avait ce track-là, mais on kiffait. Je crois que je me souviens plus trop, mais je pense que j'avais le trac, quoi. Ouais, tu stresses, ouais. Tu stresses. Mais après, je ne sais pas. Le lien entre être devant la caméra et être sur scène, je trouve qu'il est vraiment très, très différent. [02:36:34] Speaker B: Parce qu'il n'y a pas un public devant toi. [02:36:36] Speaker D: Surtout YouTube. [02:36:37] Speaker C: Pierre, tu poses cette question, alors que regarde, quand on fait une émission ici, t'as zéro problème. Tu dois monter sur scène, parler devant des gens, c'est pas la même chose ? [02:36:48] Speaker D: Non, c'est pas la même quand même. C'est bien plus courageux que moi. [02:36:53] Speaker C: Le retour est beaucoup plus direct que quand t'es derrière ta caméra. [02:36:57] Speaker D: Et puis le souci technique et tout, ça m'a toujours stressé un peu. mais envie de remonter, enfin c'est trop cool quoi. [02:37:06] Speaker B: Là déjà t'as, bon t'es très jeune donc c'est pas vraiment le cas mais on sait jamais, il y a des gens qui nous ont raconté des trucs qu'on a halluciné mais t'es déjà dans cette optique de plus je vais quand même faire de la musique comme un groupe, comme un membre d'un musicien dans un groupe où tu te dis pourquoi pas aussi faire ce qu'on m'a permis d'avoir, c'est d'être prof. [02:37:26] Speaker D: Exactement, je voulais être prof de guitare. Ah ouais, déjà, faire comme mon prof. [02:37:30] Speaker B: Ok, ah ouais, t'avais vraiment... Ouais, c'est trop bizarre, hein. Cette personne-là est un peu, finalement, un dieu dans ta vie. [02:37:35] Speaker D: Non, mais... Ouais, je voulais vraiment faire comme eux, quoi, que je voyais, quoi, donner des cours de guitare. [02:37:41] Speaker B: C'est marrant, ça. [02:37:42] Speaker D: Dès le début. Trop bizarre. Quand t'es enfant, je sais même pas. [02:37:44] Speaker B: Pourquoi, mais... Bah, quand t'es enfant, bon, t'as plus vraiment envie de... Bah, y'a. [02:37:48] Speaker C: Plein d'enfants qui veulent être Non mais. [02:37:51] Speaker D: C'Est drôle comment tu le dis. profs. [02:37:54] Speaker C: Je veux dire, t'as plein d'enfants qui veulent être profs, infirmières, pompiers. En fait, les enfants, ils ont envie de faire les jobs qu'ils voient. [02:38:05] Speaker D: Ouais mais comme quand tu fais un truc un peu arty créat, tu te dis je veux être sur scène ou être musicien. [02:38:10] Speaker B: Ouais y'a le rêve de la rockstar tu vois. [02:38:12] Speaker C: Ouais mais après y'a le truc de la réalité, ça dépend. [02:38:17] Speaker B: Tu le sais pas encore la réalité. [02:38:19] Speaker C: Comme d'être prof d'ailleurs. Moi mes parents ils m'ont jamais élevé avec la pensée qu'un job artistique était un métier. [02:38:28] Speaker D: Ouais. [02:38:29] Speaker C: Mais ils t'ont pas dit non plus. [02:38:31] Speaker B: Que ça n'existait pas. [02:38:33] Speaker C: Ils m'ont pas dit que ça existait. Quand t'es en enfant... [02:38:36] Speaker B: Tu vois à la télé, tu peux te projeter, tu vois. [02:38:39] Speaker C: C'est-à-dire que même, tu vois, quand t'es petit, tu dessines et tout ça, tes parents ils disent pas, ah bah tu vas devenir dessinateur. Y'a des parents qui sont comme ça, y'a des parents qui sont pas comme ça. Et du coup, ils t'interdisent pas, mais si on t'ouvre pas la porte, si on t'ouvre pas la porte, tu peux. [02:38:54] Speaker D: Pas... Non, le truc, c'est que dans mon cas, effectivement, je voulais être prof, mais ouais, t'as le rêve de vouloir faire comme... Bon, Linkin Park, par exemple, être sur scène. Mais c'était plus un rêve. Et la volonté, c'est d'être prof de musique, de guitare, en tout cas. [02:39:08] Speaker C: Ah bah, tu peux faire les deux. [02:39:09] Speaker B: Oui, bien sûr, mais ce que je veux dire, c'est que c'est... Moi... Oui, mais toi, toi, toi... Quand t'es gamin, t'as des idées un peu folles, tu réalises pas qu'il y a des choses qui sont très compliquées. Voilà, donc comme tu disais, il y a des trucs impossibles, mais le fait de regarder des rock stars, de dire, putain, j'ai envie de jouer devant 20 000 personnes, et t'as l'impression que tu vas prendre ta guitare et que dans un mois, tu vas y être, quoi, tu vois ? [02:39:30] Speaker D: En tout cas, je voulais faire de la musique. [02:39:32] Speaker B: Mais oui, bon ça c'est le point commun, c'est sûr. [02:39:35] Speaker C: Je suis pas d'accord avec toi Pierre. [02:39:36] Speaker B: Bah écoute, ok, super sympa, bah merci. [02:39:38] Speaker C: Et bah ce sera la dernière émission. [02:39:40] Speaker D: Bah voilà, merci à ce... [02:39:42] Speaker C: C'est à cause de toi, bravo. [02:39:44] Speaker D: Super l'accueil. [02:39:48] Speaker B: Ok, on va passer un petit peu de musique. C'est Bat. C'est In. Parce qu'on est ringard, on est quand même très bien. [02:39:55] Speaker D: Ça me va. [02:39:57] Speaker B: Juste avant de passer ça, t'avais d'autres passions quand même ? Tu me dis que t'étais concentré sur la guitare, mais t'as joué d'autres instruments aussi ? [02:40:04] Speaker D: Bon, piano un petit peu. [02:40:06] Speaker E: Ouais. [02:40:07] Speaker D: Non, surtout guitare. [02:40:09] Speaker B: Peut-être t'as déjà décidé ça, c'était tout. [02:40:10] Speaker D: Ouais, après tu découvres un peu la basse, après un peu tu touches la batterie de lui, les trucs, etc. Mais non, en termes de musique, vraiment, je suis vraiment fait guitare à fond. Et après, ouais, il y a eu la vidéo qui est venue après, tu vois, un petit peu. Mais ça, on n'est pas dans le côté musique. Et le chant ? [02:40:28] Speaker C: Ça s'est arrêté dans la chambre ? [02:40:31] Speaker D: Surtout pas, ouais. [02:40:32] Speaker B: Même plus sous la douche. Je m'interdis. [02:40:34] Speaker D: Genre musique, guitare. Après oui, t'as d'autres passions externes. Le sport, des choses comme ça. Mais voilà. [02:40:41] Speaker B: Oui, t'avais quand même tout. [02:40:42] Speaker A: Ouais. [02:40:43] Speaker B: Bon, écoute, on va... Tu as choisi un groupe qui s'appelle As Blood Runs Black. [02:40:48] Speaker A: Oui. [02:40:49] Speaker B: Je connais absolument pas. [02:40:51] Speaker D: Mais c'est magique. [02:40:52] Speaker B: Moi, je connais pas. [02:40:52] Speaker A: Monsieur. Oh non. [02:40:54] Speaker C: Monsieur ! Ma bûche ! [02:40:58] Speaker B: Avec My Fears Have Become Phobias. Je me suis dit, un joli titre, comme dans le métal on sait faire. [02:41:03] Speaker D: C'est clair. Alors là, ça c'est le clip, parce qu'encore une fois je suis très dans la vision des vidéos, donc c'est ce clip que j'ai découvert. Et sinon le morceau mythique, si certains connaissent, c'est In Dying Days. Et là c'est du deathcore. [02:41:18] Speaker B: C'est pour ça que je tourne pas. Je suis pas allé jusqu'à ce côté extrême-là, moi, du métal. Je me suis resté au groove, moi. [02:41:26] Speaker D: En fait, là, pourquoi j'ai pété un plomb, c'est parce que... Donc ça, ça a été vraiment le truc qui a tout février chez moi, le Deathcore. Mais tout ce qui a pété un plomb, c'est parce qu'en fait, quand j'ai écouté le chant, le chant, je me suis dit, ils sont combien ? Tu vois, je ne savais pas qu'on pouvait faire des voix graves, des voix médium, des voix un peu fry, des voix super aiguës, des voix du pique squeal, de l'inhale, de l'exhale, enfin tu vois, je me dis, ils sont combien ? Et quand j'ai vu que le mec était tout seul, j'ai fait ouah c'est extrême. J'ai été voir la guitare, Ce groupe-là, cet album-là notamment, où il y a ce titre-là, je peux l'écouter, tu l'écoutes de A à Z et en continu je trouve que c'est un titre. [02:42:13] Speaker A: D'accord. [02:42:13] Speaker D: Je sais pas s'ils l'ont pensé comme ça, mais pour moi c'est un titre et mélodiquement c'est extrême, mais c'est mélodique. Y'a les codes, y'a tout ce que j'avais besoin d'aller plus haut, tu vois, genre, ok le rythme et tout, mais là c'est x12, c'est du riff mais mélodique, donc c'est pas du solo, c'est pas non plus du riff, y'a découvert des breakdowns, des beatdowns, des trucs du monde du deathcore, tu vois, le style vestimentaire, tout quoi. Et mon premier groupe. [02:42:41] Speaker B: Grâce à ce groupe. Ok, ok. Alors, parce que le deathcore c'est quand même très violent, Alors oui effectivement... Mais toi j'ai plus l'impression que tu voulais te challenger peut-être ? [02:42:55] Speaker D: Ouais parce qu'en fait dans la transition du truc, donc Sum 41, Linkin Park, Metallica, Korn, Slipknot, Children of Bodom, donc découverte de... Ah on peut crier comme encore Taylor ! Dream Theater et compagnie, nécrophagiste à un moment donné, bienniste de massacre, les trucs violents, et le discord en fait revenait un tout petit peu plus doux... entre guillemets, que le truc extrême, extrême, mais plus mélodique aussi, très guitaristique. La double grosse caisse et tout, qui me rappelait un peu le Trivium Metalcore, mais un peu plus énervé. Et tu vois, l'énergie du Deathcore, pour moi, elle est monstrueuse. En fait, je dis Deathcore, mais je ne sais pas si c'est du Metalcore ou du Deathcore. On est un peu entre les deux, tu vois. C'est du Deathcore. Tu connais un petit peu ? [02:43:35] Speaker C: Je pense que c'est plus Deathcore. [02:43:37] Speaker D: Ouais, Deathcore. [02:43:37] Speaker C: Parce que le chant est plus Deathcore que Metalcore. [02:43:40] Speaker A: Ouais. [02:43:41] Speaker C: Mais c'est aussi une musique qui amène. [02:43:43] Speaker D: Plus de... Ah il n'y a pas. [02:43:44] Speaker C: De voix claire ? [02:43:45] Speaker A: Non. [02:43:45] Speaker B: Ah bah voilà, donc c'est des escorts. [02:43:46] Speaker D: Moi, entre 2007 et 2009, tu ne me parles pas de voix claire. C'était ça, l'escort. Et l'époque d'escort, c'est ça. [02:43:54] Speaker C: Mais il y a aussi, c'est aussi des, en fait c'est aussi, moi je trouve ce qui est prenant dans ce truc là, c'est aussi que il y a plus de dynamique que dans d'autres trucs en fait, ça passe vraiment de, il y a beaucoup de saveurs qui s'enchaînent et c'est ça qui rend le truc aussi passionnant quoi. [02:44:10] Speaker D: Ouais c'est fou, non non mais je l'écoute toujours cet album, il est mortel. [02:44:14] Speaker B: Mais du coup, Sum 41, c'est le moment où t'as dit... Vas-y, fais quoi à cette musique, dégage ! [02:44:19] Speaker D: Non, c'est clair, là c'était juste, j'écoutais Sum 41 quand je regardais American Pie, c'est tout. [02:44:24] Speaker C: Quand tu jouais à Tony Hawk, un. [02:44:27] Speaker D: Petit peu... Ouais, grave, grave, grave. [02:44:29] Speaker C: Il y avait un rejet alors du coup ? [02:44:31] Speaker D: Ouais, oui, oui, on peut parler de rejet. [02:44:33] Speaker B: Non, c'est l'évolution de... Oui, et puis. [02:44:34] Speaker D: Même tu sais, adolescent et tout... Enfin adolescent, ouais, j'étais plus de 8. [02:44:38] Speaker B: Ans... Ou commercial, pas 18 ans d'adolescent. [02:44:41] Speaker D: Oui, c'est vrai. Mais non, t'as raison. [02:44:45] Speaker C: C'est commercial, commercial. Linkin Park, bah... [02:44:47] Speaker D: Mais oui, mais j'ai renié Linkin Park. C'est horrible, tu vois. J'ai renié 741, Bling, tout ça. C'était nul. Alors, pour moi, c'est génial, tu vois. Et maintenant, moi, j'ai des enfants, je leur fais écouter Linkin Park et tout. Mais... Ce moment là où j'ai découvert avec mon groupe et on était tous ensemble à se dire les voix claires, les trucs, non il n'y a que le brutal, les tempos rapides, la double grosse caisse au plus vite possible, 280 bpm minimum. 270 ? Mais ouais non tu vois il y a ce moment là où tu mets tout de côté. [02:45:25] Speaker C: Le batteur lui il se dit non mais ça peut être un peu moins rapide quand même. [02:45:28] Speaker D: Non au contraire c'était lui le batteur. qui poussait les trucs tellement ils étaient ouf. Mais c'était ça quoi. [02:45:35] Speaker B: Vous étiez content, c'était une émulation où tout le monde était en mode plus, plus, plus quoi. [02:45:41] Speaker D: Ouais grave. Et puis après tout ce qui va avec tous ces groupes-là autour de Hasbro quoi. [02:45:47] Speaker B: On va regarder ça. Très sincèrement, je ne connais pas. As Blood Runs Black, pour le nom du groupe, et My Fears Have Become Phobias. [02:45:55] Speaker D: J'aime bien. [02:45:55] Speaker B: Dans le métal, on est toujours dans une espèce de petite poésie délicieuse. [02:45:59] Speaker D: C'est magnifique. [02:45:59] Speaker B: Ça correspond un petit peu à ce décor d'Halloween. [02:46:01] Speaker C: C'est vrai. [02:46:03] Speaker B: Allez, c'est parti, c'est un choix de Reda. [02:48:39] Speaker A: WOAH BRO ! [02:50:38] Speaker D: The call is on you, the rain. [02:50:40] Speaker B: Is long for me. [02:52:05] Speaker A: Guts. [02:53:38] Speaker B: La France aussi a de merveilleux groupes de métal, d'alternatives rock, de gens qui font du bruit parce qu'on adore ça ici dans Bang Bang. C'est comme ça tous les dimanches en live Twitch. N'hésitez pas à dire à vos amis de venir nous rejoindre. Plus on est, plus on rit et surtout plus on pourra célébrer cette musique et la mettre en avant à travers la France entière. C'est quand même le but de Restless, Till Rock Is Back. Je rappelle que c'est quand même notre clave, notre slogan. Donc on se battra jusqu'au bout pour que tout le monde sache que le rock'n'roll existe et restera bel et bien vivant, n'est jamais mort. Donc c'est juste, il faut quand même garder ça en tête. [02:54:08] Speaker C: Ne croyez pas ceux qui vous disent que leur rock'n'roll is dead. [02:54:11] Speaker B: Voilà, c'est complètement faux. Là c'était As They Burn, avec leur tout dernier single qui s'appelle I Am, sans voix. Comme d'habitude As They Burn, des patates, des phalanges dans la gueule, on aime bien, on saigne et puis tout le monde est heureux. [02:54:25] Speaker D: Carrément, bon mois. [02:54:28] Speaker C: Si vous avez besoin de traduction, pas de problème. [02:54:40] Speaker B: Donc vous avez une bande. [02:54:45] Speaker C: Vous faites la bande. [02:54:46] Speaker B: Vous avez une bande. Vous voulez que je parle ? [02:54:48] Speaker C: Vous voulez que je retourne à mon avion ? This is what you want ? You can do what you want to be do. [02:54:57] Speaker D: To be ? To do you bidou. [02:55:00] Speaker B: C'est pas le même c'est vrai. [02:55:00] Speaker C: Je fais la compile des présidents français. [02:55:03] Speaker B: Ce groupe qui fait du deathcore donc. [02:55:07] Speaker D: Oui, qu'on a monté. J'ai trouvé l'annonce sur un forum, après avoir écouté 3 minutes après Hasbrood, je vais faire de la guitare dans le Discord, et il y avait des fous qui cherchaient un guitariste totalement dans ce style-là. Tu vois, c'est ça aussi, il y a le côté chance, je trouve. [02:55:25] Speaker C: Dans le parcours, les étoiles qui s'alignent. [02:55:28] Speaker D: Il y a toujours ce côté-là de chance qu'il faut rajouter. Et donc on crée un groupe, enfin on crée, on essaye, on crée un groupe totalement dans ce principe-là. On s'appelle Break The Shackles. Il s'appelait Break The Shackles. Genre on brise nos chaînes, quoi. Parce que t'es bilingue. T'avais capté, hein ? [02:55:46] Speaker C: Moi j'avais pas besoin de traduction, donc... [02:55:48] Speaker B: Merci Dylan, en fait, parce que moi j'étais... Même moi, quand ils m'ont dit. [02:55:52] Speaker D: Le nom du groupe, j'ai pas... Mais ouais, du coup, on fait ça, mais en fait... J'apprends en même temps quoi, parce que je suis pas... Tu vois, moi j'ai écouté et bah faut apprendre à jouer quoi. Tu crées des trucs et tout, t'essayes et puis bah tu composes et puis ça avance et puis on trouve deux chanteurs, parce que Despise Icon, je sais pas si ça vous parle, c'est aussi un groupe précurseur du Discord où ils avaient deux chanteurs. On tombe sur deux chanteurs, comme par hasard, on fait pas exprès. Ça se passe trop bien et tu vois... C'était il y a quoi ? C'était en 2007, presque 20 ans. Non, 2008... 2009, pardon, désolé, excuse-moi. Donc ça va faire presque 20 ans. Et on se revoit en trois semaines, là, bientôt. On a une maison, on fait la fête ensemble en disant « putain, c'était bien ce qu'on faisait ». Mais on le fait plus mal ! Et on s'écoute les prods, et voilà quoi. Mais c'était avant tout une aventure de six gars... [02:56:50] Speaker B: Je me suis toujours posé une question que je n'ai jamais posé aux invités, c'est juste quand tu vois une annonce, donc tu les contacts, t'arrives, tu les connais pas ? Enfin je sais pas, moi je me chierais dessus en fait, j'aurais même pas le courage de... de me dire que je suis capable de quelque chose, tu vois ce que je veux dire ? C'est dur, t'arrives avec des mecs, ça se trouve ils avaient déjà commencé un peu le groupe avant. [02:57:11] Speaker D: Vite fait. Vite fait, tu vois, c'était ça la petite chance peut-être, ils venaient de monter le groupe. [02:57:15] Speaker B: Ok, donc tu t'es dit ça... Ouais. [02:57:17] Speaker D: Le batteur avait trouvé un guitariste, ou un batteur, peu importe, et puis... et je me colle, je me greffe au truc et en même temps il trouve un bassiste et en même temps un... tu vois, donc ça s'est fait un. [02:57:26] Speaker B: Peu... Ouais t'es arrivé en même temps que c'était en confrontation quoi, donc du. [02:57:29] Speaker C: Coup... Et puis t'as une passion commune, c'est-à-dire que tout le monde se retrouvait autour de quelques d'entre groupes à part moi. [02:57:35] Speaker D: Ouais ouais c'est ça. [02:57:36] Speaker C: Et ça aide quand même un peu. [02:57:38] Speaker D: À... Non mais c'était ouf et puis on a fait des trucs cools quoi. [02:57:42] Speaker B: Ah bah moi j'aurais fait plus la fête que vraiment faire des... Ça n'a. [02:57:48] Speaker D: Pas été très constructif. Non mais en fait, on n'a pas continué parce qu'après c'était... [02:57:52] Speaker B: C'était pas vivable. [02:57:56] Speaker D: Ah mais vraiment. [02:57:56] Speaker B: C'est en la longueur. [02:57:57] Speaker D: Non mais vraiment. Tu vois, on ne va pas forcément lettre les détails mais... On a fait... Ouais, c'était très festif et tu vois ce qui est fou c'est qu'on était un peu dans ce côté-là très... dans le divertissement aussi. Ce qu'on proposait un peu aux peux qui nous suivaient c'était vraiment du drôle quoi. [02:58:16] Speaker C: Ah oui. [02:58:17] Speaker B: Du discord drôle. [02:58:18] Speaker D: Ah ouais. [02:58:19] Speaker B: Du drôle quoi ! [02:58:21] Speaker D: Ouais mais regarde Ultra Vomit, tu vois le principe ? [02:58:23] Speaker B: Ah oui oui. [02:58:24] Speaker D: On essayait d'être une parodie de... Je veux pas parler à la place aussi des gars, mais il y a un moment on a voulu être très drôle. Si tu cherches des clips... Ah merde ! Je ne l'assumerai pas. Je ne sais pas si tu veux des anecdotes, mais... Ah bah non ! [02:58:42] Speaker B: C'est faire des cénotés là, regarde, anecdotes ! [02:58:45] Speaker C: Non non, t'en as un peu trop dit. [02:58:46] Speaker D: Ouais, si tu veux vraiment quelque... Tu veux juste un truc. [02:58:50] Speaker B: Bah tu fais comme tu peux. [02:58:52] Speaker D: Non non non, tout va bien, tu vois. Juste pour t'expliquer le principe, tu vois, on est assez fou, on est très très motivé, etc. On veut vraiment faire bien, on avait un public dans la scène parisienne. C'est à l'époque du début de Between the Martyrs tout ça, ce que je te parle. Eux étaient bons, nous on était ouf. ou fêlé, mais du coup moins bon musicalement au final, tu délaisses un peu la chose. Et à un moment on se dit, ouais, faut faire vraiment un clip. Vraiment un beau clip, tu vois, on veut donner. On a la chance que le chanteur, je vais essayer d'aller vite pour que ce soit tranquille et digest pour vous, on a la chance que le chanteur est dans une école de son et de vidéo où certains ont besoin de faire un projet de fin d'année. Ils peuvent louer du matos, c'est tout, trop bien, tu vois. On a la chance ici que ce chanteur à des grands-parents, qui ont une magnifique maison, avec une magnifique piscine et tout, tu vois vraiment la maison américaine. Nous on est dans ce délire de se dire, ok, on a une commune parisienne un petit peu, c'était Facebook, on fait un événement Facebook, et on dit ouais, on veut vraiment du monde pour faire un beau clip. [02:59:52] Speaker B: Projet X, mauvaise limonade. [02:59:54] Speaker D: Ça n'existe pas, on est les précurseurs de Projet X. On reprend une musique de Keisha. Keisha, c'était un artiste pop. [03:00:01] Speaker C: Du coup, là, tous les éléments que tu viens de me dire... TikTok on the block ! [03:00:05] Speaker D: C'était ça ? [03:00:06] Speaker C: Non, mais du coup, j'ai déjà vu ce clip. [03:00:08] Speaker D: Tu l'as vu ? [03:00:09] Speaker C: Bah oui. Parce que j'étais... T'étais venu, ok ! Non, non, j'étais pas dans le clip, mais... Tout ce que tu cites, c'est l'environnement autour duquel j'étais à l'époque. [03:00:22] Speaker D: D'accord. [03:00:23] Speaker C: Myspace, tout ça. [03:00:24] Speaker D: Ouais, ouais, donc tu l'as vu. Et donc ? On y va, et de 14h à 23h, des gens qui arrivent. Des gens. Des gens. Des gens. Des gens. Qu'on connaît pas. [03:00:37] Speaker A: Des gens. [03:00:38] Speaker D: Des gens. [03:00:38] Speaker B: Et tu regardes le... [03:00:40] Speaker D: Mais la maison des grands-parents ! On a fait, je sais pas combien de personnes, des gens dans la piscine extérieure, des confettis, des trucs, les caméras, les grues, des trucs qu'on ne maîtrise même plus. On ne maîtrisait plus. On a fait tapage nocturne. Tapage d'urne ? Ça n'existait pas à l'époque. Tapage dur, on a fait truc, la piscine remplie de trucs, les canalisations bouchées de tout, les gendarmes, les trucs, tout. [03:01:05] Speaker B: A l'américaine finalement. [03:01:06] Speaker D: A l'américaine et bon le clip est sorti et ouais bon c'est cool mais le jeu n'en vaut pas la peine. [03:01:12] Speaker C: Et ça n'a pas coûté les 100 millions de travaux. [03:01:15] Speaker D: Non mais ouais c'est ça. [03:01:16] Speaker B: Surtout les grands paroles qui gueulent à la fin. [03:01:18] Speaker D: Et ça c'est qu'une micro-anecdote parmi tout ce qu'il y a eu. Donc on voulait faire les gens drôles mais on en a négligé un peu l'aspect pro technique pour se rendre en sérieux. [03:01:29] Speaker B: Et de ce qui peut se passer quand on fait venir plein de gens aussi. [03:01:31] Speaker D: Oui, non, mais je te parle même dans l'évolution du groupe. On a négligé notre côté un peu plus technique, le côté un petit peu plus, tu vois, geek sur le son, faire des belles choses, on aurait pu. On a négligé ce truc là pour être un peu plus fêtard, drôle, avoir plus l'image. [03:01:46] Speaker C: Parce que vous vous amusiez aussi. [03:01:47] Speaker D: Ouais, on s'amusait, on était très très jeunes. Mais on aurait pu faire un truc cool, quoi. C'est vraiment, on aurait poussé un peu le bouchon, je trouve, je crois, qu'il y avait un truc à péter. [03:01:55] Speaker B: Quand vous vous réunissez maintenant, vous vous dites, c'est dommage de ne pas avoir eu ce sérieux. Après, vous avez tellement de choses à vous raconter. [03:02:01] Speaker D: Non, mais tu sais quoi, à chaque fois, il y a au moins deux heures sur ce sujet. Tu vois, on a fait un album qu'on n'a jamais sorti, qui était super, qui changeait un peu, qui était hyper sérieux, qui était trop bien. On l'a jamais sorti parce qu'on sait, tu vois, il y a eu des trucs. Une mauvais moment, on l'a jamais sorti, on avait tout fait. On avait des pistes sur Metal Blade Record à l'époque, quand on était en France. J'ai été signé chez Ibanez à ce moment-là. [03:02:29] Speaker B: Il y avait quand même des trucs mortels. [03:02:32] Speaker D: On commençait à mûrir sur le truc, mais la vie a fait que non. [03:02:38] Speaker C: Et vous voudriez pas le sortir maintenant ? Juste pour... [03:02:41] Speaker D: Album posthume ! [03:02:42] Speaker C: Bah non mais... [03:02:43] Speaker D: Tu sais quoi ? [03:02:44] Speaker C: Je vais te dire un truc. [03:02:45] Speaker B: C'est du kiff en fait. [03:02:46] Speaker C: Tu fais une petite vidéo qui raconte ça. Tu en parles avec... Ça fait deux. [03:02:51] Speaker D: Fois que tu me donnes des idées. [03:02:52] Speaker C: L'autre on l'a pas dit à l'antenne. [03:02:55] Speaker D: L'autre est en off. [03:02:57] Speaker C: Tu racontes l'histoire, tu prends les avis de tout le monde, tu fais un épisode un peu mini-docu. Parce qu'au final, je pense que dans les gens qui te suivent, il y a aussi des gens qui veulent faire des groupes. Et je pense que c'est un enseignement aussi. Et c'est mon métier, je suis réalisateur. [03:03:16] Speaker B: Ça se voit, ça se sent. [03:03:17] Speaker C: Mais voilà, je pense que, tu vois, réunir les paroles de chacun... Ah, carrément ? Bah ouais ! [03:03:24] Speaker B: Tu fais un petit truc où chacun. [03:03:28] Speaker C: Donne un peu sa version des faits, et à la fin, tu livres le truc au public. [03:03:33] Speaker D: Je les vois dans trois semaines. [03:03:34] Speaker B: On va en parler. [03:03:36] Speaker C: Mais je pense que c'est pas mal. Tu sais, ça fera ce que ça fera. Mais au moins, t'as pas ce truc de te dire... Oh bah, on l'a jamais sorti. [03:03:44] Speaker A: C'est marrant. [03:03:45] Speaker B: C'est pas sérieux, enfin le truc est sérieux, mais je veux dire le... Et. [03:03:48] Speaker C: Puis peut-être que ça va cartonner et vous allez devoir faire des tournées internationales. [03:03:53] Speaker D: Non mais carrément, mais... On s'en fout, on s'en fout. [03:03:56] Speaker C: C'est acté. [03:03:59] Speaker D: Toi tu regarderais quelque chose comme ça. [03:04:01] Speaker C: Ouais, grave ! [03:04:01] Speaker B: Ah ouais, bien sûr ! C'est hyper excitant, t'as un peu un côté télé-réalité en même temps... [03:04:07] Speaker C: Tu serais un nobody, je te dirais... Enfin, ce serait dur d'avoir une audience, mais le fait que... Enfin, je sais pas, dites dans le schmuel ce que vous en pensez ! [03:04:17] Speaker D: Pourquoi pas. [03:04:17] Speaker C: Ou en commentaire... Les gens t'apprécient, et je pense que du coup, tu peux amener un regard sur des choses, tu vois, enfin je veux dire, le fait que tu sois un petit peu connu, enfin un petit peu c'est pas, je minimise pas... Moi. [03:04:35] Speaker D: Je me sens pas du tout comme ça, mais vas-y quand même. [03:04:37] Speaker C: Mais voilà, ça peut amener les gens, et du coup expliquer aussi pourquoi un groupe, enfin tu vois, qu'est-ce que vous avez voulu faire à l'époque, qu'est-ce que vous en pensez maintenant, pourquoi ça s'est. [03:04:45] Speaker B: Pas fait à l'époque... [03:04:46] Speaker D: Vraiment en mode un peu... Ouais, docu. Ouais, docu. [03:04:48] Speaker C: Docu, tu vois, un petit 30-35 minutes, tu vois, tu as le temps de bien développer, les gens le regardent, et puis ils ont un album à écouter derrière, moi je trouve ça hyper intéressant, tu peux même mettre des petits extraits, je suis sûr que vous avez des... [03:05:04] Speaker D: Alors, me parle pas de ça, on a tout, on avait filmé tout le studio report, on a tout perdu, enfin, je crois que... Ce que tu dis est très intelligent, mais ça... Si je dois faire quelque chose comme ça, je crois que c'est le truc le plus dur à faire. [03:05:21] Speaker C: Ouais, mais peut-être qu'il faut juste que tu bosses avec quelqu'un pour le faire, quoi. [03:05:25] Speaker D: Non, non, mais je te parle même émotionnellement, où tu vois dans... Ça te. [03:05:31] Speaker B: Ramènerait trop à des trucs... Non, ouais. [03:05:32] Speaker D: Mais je veux dire, même avec eux, tu vois, c'est chaud, là. Mais je comprends, c'est trop bien. [03:05:37] Speaker C: En tout cas, n'hésitez pas à tous taguer Reda en commentaire sous cette vidéo pour lui dire de le faire, parce que c'est une excellente idée. [03:05:49] Speaker D: Mais pour être franc, cet été j'ai redemandé l'album qu'on me le redonne, non mixé, parce qu'on l'a enregistré, il est non mixé. Et je me suis posé la question de tout réenregistrer propre au goût d'aujourd'hui. Mais ouais, très bonne idée. On va y réfléchir. [03:06:02] Speaker B: Il y a quand même une empreinte émotionnelle. [03:06:05] Speaker C: Bah oui, bien sûr. [03:06:06] Speaker B: Quand tu le racontes, déjà tu l'as demandé à la revoir, tu t'es projeté sur le fait de l'enregistrer. C'est une partie de ton histoire qui est vraiment hyper importante et qui te touche finalement. [03:06:17] Speaker D: Bah oui, et puis ça prouve aussi que je dis clairement que je ne pourrai plus jamais de refaire de groupe. Même si j'ai testé. [03:06:27] Speaker C: Pourquoi tu ne pourrais plus ? [03:06:29] Speaker B: Bah oui, c'est ça, pourquoi ? [03:06:30] Speaker D: Parce que j'ai essayé. [03:06:32] Speaker C: Et tellement. [03:06:37] Speaker D: C'Était fort avec le premier groupe, avec tous les gars, tellement c'était ouf que si je voulais refaire un groupe, je dois faire un groupe, il faut que ça soit aussi fou dans l'amitié, le lien... [03:06:52] Speaker B: À Turisme aussi puissant, dans ce que t'as vécu. [03:06:55] Speaker D: Exactement. [03:06:56] Speaker C: T'as le syndrome du premier coup de foudre. Un coup de foudre et tu voudrais avoir d'autres coups de foudre. [03:07:00] Speaker D: Et ça, c'est plus possible. Et j'essaye. C'est pas possible. [03:07:07] Speaker C: Tu sais, peut-être que ça arrivera au moment où tu t'y attends le moins. Non mais c'est ce qu'on dit pour l'amour. [03:07:13] Speaker B: On vous le dit tout de suite. [03:07:16] Speaker D: Franchement... [03:07:18] Speaker B: Mais où tu peux le vivre différemment. [03:07:20] Speaker D: T'as toi le d'araignée. Non, j'ai essayé. J'ai essayé il y a quelques années, ça a été une catastrophe, ça s'est fini en catastrophe. [03:07:30] Speaker B: Oui mais il y a des fois où c'est juste parce que c'est pas le bon moment, avec les bonnes émotions et tout. Enfin je sais pas, moi je m'en fous, tu fais ce que tu veux mais c'est juste qu'il n'y a pas de raison que ça puisse pas réexister autrement, différemment. [03:07:44] Speaker D: Oui mais pas pour moi. [03:07:46] Speaker B: Peut-être que c'est parce que tu n'as toujours pas terminé cette histoire, parce que cet album n'est pas sorti. Une fois qu'il sera sorti... Et peut-être. [03:07:51] Speaker C: Qu'Une fois qu'avec un petit docu... Et quelques royalties... Tu verras, tu verras, tu reprendras goût. [03:07:58] Speaker D: Non mais voilà, j'ai essayé, ça s'est mal passé. Je l'ai expliqué, j'ai fait une vidéo, je vais pas aller plus loin sur ce truc là, parce que voilà, ça va envenimer certaines choses, mais je l'ai fait, j'ai essayé, j'ai même réessayé en off, ça ne marchera pas pour moi, et je ne suis plus fait pour ça. [03:08:13] Speaker B: C'est mort. C'est rangé, terminé. [03:08:16] Speaker D: C'est fini. [03:08:17] Speaker C: Si ça te manque pas et que t'es heureux avec ce que tu fais aujourd'hui, pourquoi se forcer à faire des trucs... [03:08:23] Speaker D: Mais ton idée est parfaite. [03:08:26] Speaker C: J'ai l'habitude. [03:08:28] Speaker B: C'est vrai, on parle justement de tout ce côté fête, ce côté amusement, ce côté... Mais bon, on disait aussi que c'est du travail. Tu as raconté que tu prends quand même des semaines de tournage, qu'il y a de l'écriture, que généralement c'est pas... Ça se fait en claquant des doigts, donc il y a quand même de la pénibilité, mais t'as toujours ce même kiff qu'au début, enfin qu'au début, qu'au moment où ça commence à devenir... [03:08:50] Speaker D: Tu te parles pour quoi ? Pour la guitare en général ? [03:08:53] Speaker B: Pour tout, autant la guitare, et le fait de faire des vidéos ? Parce qu'il y a un moment, tu sais, quand tu prends des... Il y a des rituels qui se mettent en place, enfin des... Et puis l'excitation, des fois, disparaît un petit peu. [03:09:04] Speaker D: Je vais être franc. L'année dernière, et un peu l'année d'avant, moi ça fait la... Il y a eu deux fois où j'ai voulu arrêter YouTube, déjà. Arrêter la guitare. Et je ne supporte... Je ne supportais plus le monde de la guitare. [03:09:25] Speaker C: Ok. [03:09:26] Speaker D: Ça m'a gonflé. [03:09:27] Speaker B: Le monde des gens, la façon dont ils sont... [03:09:29] Speaker D: En fait, c'est ce que tu disais tout à l'heure, tu parles d'un truc cool, ouais mais non, tu vois, ou alors à ça, où t'es un escroc, enfin un escroc, je sais rien, où tu mens, où t'es un influenceur, alors je considère même pas ça, très loin de ça, où tu fais vendre que tes produits, où la guitare, tu sais pas en jouer, tu vois, que des trucs qui servent à rien, tu vois, en vrai, T'avais fatigué. Ouais, ce côté puriste, ce côté genre trop à fond, ce côté... Et puis comme tu reçois que ça... Enfin, que ça... Bah c'est ce que. [03:10:03] Speaker B: Tu retiens, hein, globalement. [03:10:03] Speaker D: Oui, voilà, c'est ça, y'a énormément de commentaires positifs et c'est trop bien, mais y'a beaucoup, y'a aussi des commentaires négatifs sur des détails inutiles dans la vie, tu vois, y'a pire que jouer de la guitare. [03:10:13] Speaker B: J'ai... Ah oui, bien sûr. [03:10:15] Speaker C: Et puis si ça les dérange tellement, ils peuvent ne pas regarder la vidéo aussi. [03:10:19] Speaker D: Oui, mais ça, tu vois, ils la regardent toujours. Mais ce que je veux te dire, la guitare, en vrai, c'est pas important, c'est pas quelque chose de fondamental, tu vois. [03:10:28] Speaker B: À l'existence humaine et de la vie sur Terre, non, c'est sûr. [03:10:30] Speaker D: Voilà, c'est ça. Et du coup, je vois pas pourquoi. Et du coup, pendant un moment, ça m'a vraiment saoulé ce monde-là, tu vois. Le monde de la guitare, ça m'a gonflé. C'est bon, quoi. Tu vois, ça reste... Et après, t'essaies d'autres choses, tu fais des nouvelles choses, tu ignores à fond, tu vois, en fait tu t'amuses, tu regardes que les choses qui sont cool, les gens qui kiffent. Quand tu rencontres des gens, ça m'a fait du bien d'aller rencontrer des gens, et puis les gens disent, bah en fait, pour m'endormir je mets des vidéos, ou j'apprends, ou ça fait du bien, ou j'étais malade, et bah tu sais, faut juste redescendre 5 minutes, Tu rencontres des gens dans ton équipe aussi, qui te font du bien, parler, etc. Et quand la passion devient ton métier, je trouve que ça ne devient plus une passion, ça devient un travail quoi. [03:11:21] Speaker B: Ben ouais, c'est un peu le risque aussi, effectivement. [03:11:25] Speaker D: C'est le risque. [03:11:28] Speaker B: Et on a envie d'avoir toujours un petit peu cette étincelle, parce que quand on... Alors nous on connait ça aussi. [03:11:32] Speaker C: Ah bah moi je lis aucun commentaire. Je préfère lire. [03:11:36] Speaker B: Alors oui, j'étais même pas parti sur les commentaires parce qu'effectivement, on en a plein des négatifs et des super négatifs. [03:11:42] Speaker D: Ouais mais ça, en vrai maintenant... Bah. [03:11:44] Speaker B: Moi ça me fait rien non, parce que c'est vrai que c'est stupide et que quand on lit on fait bon, je crois qu'ils ont rien compris de ce qui se passe dans la vidéo d'ailleurs, je sais pas s'ils l'ont regardé. Mais c'est surtout, je parlais surtout de ce côté quand tu travailles, tu t'affonds dans la musique. Toi, moi, je ne suis pas musicien, mais à écouter la musique, on est passionné. On en a écouté de la musique, on était ravi de pouvoir l'échanger, de se dire tu as entendu ça, tu te rends compte ce que ça procure. [03:12:04] Speaker C: Etc. D'ailleurs, c'est aussi ce qu'on essaie encore de faire aujourd'hui, c'est de partager des trucs et partager avec des gens qui... [03:12:10] Speaker B: C'est là où je veux en venir, c'est qu'il y a un moment, on l'a fait à WeFM, on avait créé Bring The Noise, et on en avait tellement de la musique qu'au bout d'un moment on était en mode, je ne sais même plus ce que j'écoute, ce que j'entends, je suis perdu en fait dans un truc, je suis dans le fou absolu, et en fait ça m'emmerde, j'ai plus envie, cassez-vous, barrez-vous... [03:12:26] Speaker D: Mais c'est normal, c'est normal en vrai. [03:12:28] Speaker B: C'est le vrai, je crois, pour pouvoir passer au-dessus. Parce que maintenant, on est content, parce qu'on repartage ça. [03:12:33] Speaker C: C'est possible, parce que maintenant, on choisit vraiment tout ce qu'on veut. [03:12:37] Speaker B: Oui, c'est l'indépendance aussi. [03:12:38] Speaker D: Oui, il y a l'indépendance, mais tu vois, moi qui choisis ce que je voulais, il y a un moment, c'est normal que le trop... Il y a un truc qui est fou avec ça, parce que ça me fait penser à ce que vous dites là, c'est que moi, quand j'avais 14-15 ans, je rêvais d'avoir des guitares entre les mains. Genre tu te dis, waouh, imaginons, on m'envoie une guitare, le sponsoring, tu sais, tu peux, enfin je sais pas, ou t'as 18 ans avec le premier groupe, tu démarres toutes les marques et tout ça. Et l'année dernière, enfin il y a deux ans, je me suis dit, c'est là où je me suis dit, attends, ferme ta bouche et essaie de... Tu vis quelque chose de bien, je me suis dit... J'ai lu cette phrase, c'est horrible, hein. Ça fait chier toutes ces guitares-là, tu sais ce qu'on m'envoie des guitares pour le stock, ça fait chier. Et là, j'ai dit, j'ai fait non mais attends, ça va pas. [03:13:24] Speaker B: Tu t'es rappelé le toit d'un petit ? [03:13:26] Speaker D: Non mais je veux dire, tu te rends compte toi ? T'as 6 000 euros de guitare qu'on t'envoie et tu te dis... Et je refuse même des sponsors tu vois, je me suis dit je veux pas de sponsors parce que je veux être libre. Et là j'ai tilté, on a beaucoup parlé il y a deux ans, tu vois, cette période je voulais arrêter un petit peu et tout. Et je me dis mais ça va pas, fin... Et du coup maintenant je respecte plus l'instrument, je me dis putain à chaque fois que je reçois c'est trop bien, t'as de la chance et tout. Tu vois, c'est trop cool. J'essaye beaucoup de donner. L'année dernière on a donné plein de guitares, des cadeaux, des trucs comme ça tu vois. J'ai été acheter des guitares aux gens dans les magasins. Tu vois ? On a fait un contenu vidéo ! [03:13:57] Speaker B: Tu veux dire qu'il aura fallu cette espèce de burn-out on va dire ? [03:14:02] Speaker D: Ouais c'est pas un burn-out tu vois, on a vécu pire hein tu vois mais... Il fallait ce truc qui te dit ouah j'ai envie d'arrêter pour te poser les bonnes questions. [03:14:11] Speaker B: Ouais. [03:14:12] Speaker A: Voilà. [03:14:13] Speaker B: Et là du coup le rebondissement et. [03:14:14] Speaker D: Maintenant... Maintenant je me prends absolument plus la tête. [03:14:18] Speaker B: Il y a ça, effectivement. Il y a un cap. [03:14:21] Speaker D: Il y a des choses qui sont sécurisées de certains côtés, il y a des trucs qui vont, etc. Et puis, par contre, j'essaie de trouver d'autres choses, hors musique, par exemple, où je suis nul. On dit débutant. Mon coach me dit, tu es débutant, pas nul. J'essaie d'être débutant quelque part pour débloquer une passion et le faire à donf. [03:14:43] Speaker B: Etc. D'accord, t'as reporté ça sur d'autres trucs pour commencer en fait. [03:14:47] Speaker C: Le sport, c'est ça ? Ouais, ouais. [03:14:49] Speaker D: Je me suis mis à faire du MMA. [03:14:51] Speaker B: Ah ouais. [03:14:51] Speaker D: Comme un gros débilos. [03:14:53] Speaker C: Bah non, ça fait toujours, ouais. [03:14:54] Speaker D: Et ouais, ouais, et du coup... Toujours l'extrême, hein, le sport. [03:14:58] Speaker C: Comme ça, les mecs qui te disent, ouais, t'y connais rien, machin, tu peux... [03:15:03] Speaker B: Une grosse mandale. [03:15:04] Speaker D: Non, mais ouais, je me suis mis à mettre ça, t'sais, le truc extrême violent. J'ai pris quelqu'un et tout, et puis... Et tu vois, je vais être mauvais pour pouvoir progresser et faire une passion. Voilà, c'est ça. [03:15:17] Speaker C: Et puis c'est peut-être autre chose. L'avantage, c'est que dans le MMA, c'est assez facile d'être mauvais au début. [03:15:21] Speaker D: C'est une infamitude totale. [03:15:25] Speaker B: J'arrive même pas à concevoir en fait au moment où... Déjà à quel moment tu te dis. [03:15:28] Speaker C: Tiens je vais aller dans une cage. Toi t'es contre la violence quelle qu'elle soit. Donc je t'imagine dans une cage... Non mais on peut trouver un arrangement monsieur à l'amiable. [03:15:43] Speaker B: Moi, ! j'ai toujours dit qu'il y a un mec qui vient me foutre la patate et puis il continue, je l'essaye de parler, je philosophe. [03:15:48] Speaker D: Ah oui, carrément, bon, c'est très bien. [03:15:50] Speaker B: Je ne peux pas lui répondre physiquement, je ne peux pas. [03:15:52] Speaker D: Ouais, c'est quelque chose, t'as du mal dedans. [03:15:53] Speaker B: Mais après, je n'ai rien contre les gens qui aiment les sports de combat, etc. Non, non, bien sûr. [03:15:58] Speaker D: Il faut différencier l'interne dans un dojo, dans une cage, dans un truc. que dans la rue. [03:16:05] Speaker C: Un mec qui t'insulte en russe et qui te dit qu'il va te péter la gueule à la sortie d'un concert. [03:16:11] Speaker B: Mais en plus c'est marrant parce que t'étais un enfant, j'étais très réservé. Le mec s'il est à la fin, c'est du disco. [03:16:19] Speaker D: Ça reste un art parce que dans l'NMA il y a aussi le sol, l'art martial. On est pas là, alors là on est pas là. [03:16:25] Speaker B: Mais si mais c'est intéressant, ça fait bien. [03:16:26] Speaker C: Surtout parce que t'es fan de Maynard. C'est pour ça. J'ai compris le truc, il ne nous. [03:16:32] Speaker B: A pas parlé de tout, mais il va bientôt nous annoncer qu'il va ouvrir un vignoble. [03:16:38] Speaker D: C'est tout un art très technique, voire plus dur que la guitare parfois. [03:16:47] Speaker B: Les risques ne sont pas les mêmes non plus. [03:16:51] Speaker C: Faut pas que tu te fasses péter une main ou un truc comme ça. [03:16:55] Speaker D: J'ai une tendinite, j'ai l'épaule cassotée, l'oreille elle a claqué avant-hier. C'est pas mal, on est bien. Mais c'est bien. [03:17:02] Speaker C: Non mais c'est bien de se trouver des d'autrui et puis ça te permet de aussi bah ça va dans ce truc que tu dis de relativiser sur la guitare et tout ça. C'est drôle parce que je pensais à ça pendant que t'en parlais. Le fait que tu produis du contenu sur la guitare parce que c'est ta passion et les gens vont venir t'embrouiller parce que c'est leur passion aussi. Et en fait je trouve ça complètement incroyable que la passion des deux côtés pour la même chose provoque des effets antagonistes. [03:17:34] Speaker D: C'est très beau ce que tu dis. J'ai pas d'explication. [03:17:38] Speaker C: Non, non, mais c'est bizarre que les gens en face n'arrivent pas à comprendre que tu partages ta passion à ta manière et que c'est OK. [03:17:49] Speaker B: Oui, c'est tout. [03:17:50] Speaker D: Mais je pense que certaines personnes, tu vois, il y en a qui souffrent vraiment derrière ces commentaires chauds, tu vois. [03:17:56] Speaker B: Bien sûr. Souvent, je me suis dit qu'ils n'ont rien d'autre à faire, donc ils sont seuls. [03:18:00] Speaker D: Moi, je ne me vois pas mettre un commentaire. [03:18:04] Speaker B: Ben négatif, pourquoi, ça sert à quoi ? [03:18:05] Speaker D: Je ne voudrais pas mettre un commentaire. Donc déjà, tu vois, il y a un délire. Maintenant, aller mettre un commentaire ultra négatif, genre chaud. C'est vraiment qu'il y a un truc. Mais encore une fois, c'est minime. Tu retiens souvent ça. Ce que je prends plus mal, c'est vraiment le côté que je sois quelqu'un qui vend ces produits, tu fais toujours ça, tu vends tes produits, tu vends. [03:18:42] Speaker C: Tes produits... Ah oui, parce que genre, c'est plus une passion, c'est... Alors que les trucs que t'as sortis, c'est quand même des trucs plutôt cool, quoi. [03:18:48] Speaker D: Non mais c'est surtout que j'essaye de, au moins, sponsoriser par d'autres marques mes vidéos, pour placer mes propres choses que je crée en aide à des guitaristes ou en support. Bah oui, c'est... Il y a trois ans, je parlais de NordVPN, j'ai dit je ne fais plus ça, je préfère parler de ma BD, de... des méthodes que je fais, des logiciels que je conçois, d'autres trucs. Tu vois, enfin... Je vends mes propres trucs, quoi. [03:19:17] Speaker C: Non mais en plus, là, je pense... Le Blob. Je pense à ça. [03:19:23] Speaker D: Oui, Blob Audio, ouais. [03:19:23] Speaker C: Ça, qui est un software d'émulation de son. [03:19:28] Speaker D: Ouais, c'est un moteur d'ampli, ouais. [03:19:29] Speaker C: Ouais, excuse-moi, j'ai pas le temps. [03:19:30] Speaker D: Ouais, mais bon, tu parles en blé, mais... [03:19:33] Speaker C: En gros pour expliquer aux gens c'est tu branches ta guitare et tu peux tu branches ta guitare directement dans ton ordinateur et la faire sonner comme si tu avais des amplis qui coûtent très cher avec des effets. [03:19:47] Speaker D: Tu simules un ampli ce qui est très utilisé dans la musique. [03:19:49] Speaker C: Et avec des presets pour que ça sonne déjà un peu dans des styles un peu particuliers. Comme ça, en gros, quand tu commences la guitare et que tu veux avoir un son qui ressemble à quelque chose quand tu joues, tu peux le faire directement. [03:20:05] Speaker D: C'est une solution que j'aimerais avoir plus jeune. [03:20:08] Speaker C: Voilà, c'est ce que j'allais dire, c'est que c'est quand même un outil qui est relativement abordable. Surtout qu'au lancement, t'avais plein de codes de réduction et tout ça. Et du coup, c'est un truc qui permet, avec même peu d'argent, à avoir un bon son quand tu joues. C'est un truc qui est super bien. Donc c'est un truc qui est là vraiment pour aider les gens à kiffer la musique. Je vois pas ce qu'il y a de négatif là-dedans. [03:20:37] Speaker D: C'est que c'est payant. [03:20:38] Speaker C: Oui, mais... [03:20:40] Speaker D: Après, nous, il y a des salariés. [03:20:41] Speaker C: Derrière, il y a des propriétaires... Il y a un SAV, il y a des choses comme ça. Si tu as un problème, il y a des gens pour répondre. [03:20:47] Speaker D: Oui, exactement. [03:20:48] Speaker C: Il y a une maintenance. [03:20:52] Speaker D: Il y a tout ça. En plus, je crée des produits qui me font uniquement kiffer. La BD, je trouve ça trop cool. Les méthodes vidéo, ça aide. Alors oui, c'est des formations, mais encore une fois, ça, ça m'embête. En fait, c'est ça, je ne le comprends pas. J'arrive pas à saisir comment, en plus, on propose, tu vois, un contenu... Mais comme vous ! Tu proposes un contenu hebdomadaire, ou j'en sais rien, ou journalier, sur YouTube, gratuit... Tu crées... Mais après, je comprends. Enfin, si, je comprends. Les gens, en fait, ils voient juste l'instant T. Tu vois, ils voient la vidéo, ils se disent, bon, OK... Ouais, il fait une vidéo... Sauf que derrière, tu vois, on n'est. [03:21:37] Speaker A: Pas trop par contre... Ouais, ils voient. [03:21:37] Speaker C: Pas forcément le temps pour n'y investir et tout ça aussi, ouais. [03:21:40] Speaker D: Et puis voilà, bon, après, c'est pas très grave. [03:21:42] Speaker C: C'est juste ce truc-là. [03:21:44] Speaker D: Mais tout le reste, je m'en fiche un petit peu. [03:21:45] Speaker B: Et c'est juste que c'est vrai que c'est toujours quand on se lance dans le YouTube, c'est toujours ce passage-là. T'es obligé à un moment de dire ça me fait chier et bon tu finis par le franchir et puis après les gens peuvent se lâcher, peuvent y aller. Moi je finis par être content. Je demande à ce qu'ils en voient mais à force de demander à ce qu'ils en voient, ils en mettent plus. [03:22:04] Speaker D: Mais je trouve qu'on a qu'il se prenne trop la tête. [03:22:07] Speaker A: Vraiment. Oui bien sûr. [03:22:08] Speaker B: C'est un partage finalement. C'est un partage et puis c'est un travail aussi. Mine de rien on bosse. C'est un travail passion, mais ça reste un travail. C'est comme quand tu veux animer à la radio et on te dit que tu fais rien. [03:22:21] Speaker D: C'est super chaud. Bon, sauf lui. Ou toi, alors. [03:22:33] Speaker B: Arnaque sur la une ! Bon, on va passer à un petit clip quand même, parce qu'on va mettre un peu de musique comme ça, ça va peut-être détendre ou pas. Français, la scène française. [03:22:43] Speaker D: Oui ! [03:22:44] Speaker B: Landmarks, Les Marseillais, Creature. [03:22:46] Speaker D: Ouais ! [03:22:47] Speaker B: Alors ? [03:22:47] Speaker D: Alors en fait, j'ai eu la chance de rencontrer Nicolas Exposito, qui est le guitariste. J'ai fait une vidéo avec lui qui va sortir dans quelques temps. Et je connaissais Landmarks, effectivement. Je n'ai jamais fouillé. Pour être franc, je n'ai jamais trop fouillé. Mais du coup, en voyant comme beaucoup l'évolution de Landmars, tu te poses des questions, tu te dis peut-être quelque chose... [03:23:13] Speaker B: Je vais peut-être t'aller voir. [03:23:13] Speaker D: Ouais, je vais peut-être t'aller voir, ça a l'air sympa. Du coup, je rencontre... Enfin, je book une vidéo avec Nico, que je passe bonjour et puis j'espère qu'il va bien. Et merci lui d'avoir accepté cette vidéo. Et ce qui se passe, c'est que du coup, pour cette vidéo, je la prépare et donc j'écoute le dernier album. T'as un meilleur anglais, tu pourrais dire le nom de l'album, de Darkest... [03:23:35] Speaker B: Tu veux pas le... Voilà ! L'endroit le plus sombre que j'ai pu connaître. [03:23:39] Speaker D: Exactement. Et... [03:23:41] Speaker C: Toi aussi t'es bilingue ! [03:23:42] Speaker B: Non, j'allais noter en français parce que... [03:23:44] Speaker D: Et je prends une belle claque et ça faisait peut-être dix piges que j'avais pas écouté un album en entier. [03:23:53] Speaker B: Ah ouais, ok. Ça t'a fait... Ça t'a mis le fire, quoi. [03:23:56] Speaker D: Et je les félicite mais mille fois pour... le côté. français anglais mélangé que je n'aurais jamais osé de ma vie tu me vends un projet français anglais je te dis non eux c'est ouf je félicite pour la qualité des vocalises le chant il est affolant la qualité tout ça mélodiquement je m'y retrouve à mort le côté rap On en reparle. Le côté riff, on parlait aussi de tout ça. Tu vois, il n'y a pas de solo dans ce album. Ils s'en foutent les gars. [03:24:31] Speaker B: Ça groove par contre. [03:24:32] Speaker D: Ça groove de ouf. Leur carrière, tout. Et du coup, Creatures, Creatures, Creatures. C'est vraiment trop bien. Le clip est méchant. Donc, félicitations. [03:24:43] Speaker C: Ça veut dire créature. Je le traduis pour les gens qui ne savent pas. Comme je suis bilingue, je ne sais pas. [03:24:48] Speaker B: C'est Marseillais aussi. Il y avait Dagobah, mais bon... Il y a toujours Dagobah, ils sont pas morts, mais... [03:24:54] Speaker C: Mais il faut admettre que l'Anne-Marie porte l'étendard un peu plus haut. [03:24:59] Speaker D: Ils sont chauds, ils sont très chauds. Et je comprends. [03:25:03] Speaker B: Et puis c'est des gros gros bosseurs aussi. [03:25:04] Speaker D: Alors voilà, faut savoir que les mecs c'est des geeks. En tout cas... [03:25:09] Speaker B: Si si, ils sont tous... [03:25:09] Speaker D: Les mecs, ils sont chauds. Ils sont chauds. Mais vraiment, ils sont trop bien, puis j'adore l'album quoi. Et ça faisait longtemps, pour le coup, un album métal en boucle... Bah si. [03:25:21] Speaker B: C'Est un album métal en plus avec des choses qui n'étaient pas des éléments qui pouvaient t'exciter à la base et que d'un coup tu tombes amoureux... Et bah c'est vrai que ça peut te porter. Ça t'a redonné un petit peu confiance en l'avenir de ce genre musical et de la France ? Ce silence peut être une réponse ! [03:25:44] Speaker D: Oui et non, mais... Enfin j'aimerais, en tout cas. Mais tu vois... Je veux pas parler à leur place. mais j'ai l'impression que c'est peut-être un groupe qui au bout d'un moment, peut-être je me trompe, mais j'ai l'impression que Gojira, par exemple, si on prend Gojira, sont assez installés aux Etats-Unis. Même eux, leur vie perso, j'ai l'impression. [03:26:13] Speaker C: La moitié, ouais. Je crois que si Mario est revenu en France, je crois. [03:26:18] Speaker D: Non mais tu vois, il y a toujours ce truc-là où ça part au State Squad direct. [03:26:23] Speaker C: Parce que c'est là que ça se fait beaucoup. [03:26:25] Speaker D: Et au final, oui, le lendemars, il n'y en a pas beaucoup non plus en France. Il y en a, comme tu l'as dit tout à l'heure, je trouve, dans l'émission, mais il n'y en a pas non plus beaucoup. Et je trouve que, certes, peut-être ça revient. Je ne sais pas, vous avez beaucoup plus de culture là-dessus. [03:26:39] Speaker B: Beaucoup de groupes français qui commencent. [03:26:41] Speaker D: Voilà, mais il faut que ça pète encore plus, quoi. Parce qu'ils savent faire les choses, les gars. [03:26:46] Speaker B: Ah oui, c'est sûr que c'est pas comme il y a 20 ans. [03:26:50] Speaker D: Voilà, je regarde 106X, c'est ouf. Alors Marx, enfin bref, il y a plein de choses, tu vois, mais... Voilà, je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne peux pas me... Je ne me projette pas encore. [03:27:03] Speaker B: Bon bah on va regarder le clip de Creatures de Landmarx. Des amis maintenant, hein ? [03:27:07] Speaker C: Eh bah oui ! [03:27:08] Speaker B: C'est nos amis cigalos ! Allez, Landmarx ! [03:27:16] Speaker A: Sous-titrage. [03:27:46] Speaker B: ST' 501 Musique. [03:27:59] Speaker A: Sombre ... [03:28:11] Speaker D: C'est. [03:28:31] Speaker A: Réveil parti ! ! C'est la première fois que j'envoie un message. A. [03:29:41] Speaker B: Et c'est l'odeur de l'enfer, un peu de souffre et de douleur Qui s'émane et qui ternit mon âme et ma couleur Je peux la sentir brûler tout mon corps Je veux la faire sortir, faire d'elle mon erreur J'ai croisé tant de démons différents J'ai bravé tant de vagues et d'océans Mais j'ai plus ! toujours ce monstre en moi qui dans. [03:29:54] Speaker A: Le néant me crie I am the creator I said I wouldn't look back, don't wanna face the stranger This thing inside me is getting out of control I've tried to hold it in, but I can't anymore I want it! Is the worst way, is the best for real, or is it the worst for me? They continue to walk through our hearts, but the one who did the best to me I want it all! I need to get back my freedom, I'm fighting against the whole kingdom It's dripping into my system, I'm feeling the pain and I've lost my way out All these lies only feed the pain Oh putain, c'est trop bien ! C'est Je génial! n'ai plus peur, parce que tu as pris tout Crawling in the dark Everything we knew was falling down The night Surpasses the light Looking for a reason that we'll find CREATURE ! Je n'ai pas d'espoir, je n'ai pas d'espoir, je n'ai pas d'espoir Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Les fleurs d'enfer s'éloignent de l'eau. Ils s'éloignent de toutes ces rues. Mais l'Avenir n'est pas tout ce qu'il semble. J'ai dû mourir pour l'amour, mourir pour l'amour, mourir pour l'amour. Encore une seconde suffisante, une seconde suffisante, une seconde suffisante, J'ai l'essence qui s'effondre En attendant que l'heure arrive Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [03:38:00] Speaker B: Bad Omens à l'instant dans Bang Bang le meilleur du métal et de l'alternative rock c'est comme ça tous les dimanche soir à partir de 19h à inviter tous vos potes dites le autour de vous on aime le métal on a envie de se divertir de rigoler parce qu'on se prend pas la tête ici et puis d'apprendre. [03:38:15] Speaker C: Des choses quand même bien sûr et n'oubliez pas que Noah est un des plus grands chanteurs de sa génération C'est. [03:38:21] Speaker B: Le chanteur, pardon, c'est le prévôt, le rire prévôt. C'est le chanteur de Bad Omens, évidemment. Avec donc Dying to Love. [03:38:29] Speaker C: Non mais c'est pour montrer aux gens que j'ai bien lu les commentaires. D'un fois que j'ai lu des commentaires, c'est à ce sujet. Parce qu'un jour j'ai dit du mal de Bad Omens. [03:38:38] Speaker B: Bah dit du mal, ça veut dire que t'aimais pas. [03:38:39] Speaker C: Ouais, j'ai dit qu'il faisait un peu trop de pubs sur les morceaux vénères alors que sur l'album y'en avait pas trop. Et les gens m'ont insulté et m'ont dit mais Noah est un des plus grands chanteurs de sa génération. [03:38:53] Speaker A: Peut-être. [03:38:54] Speaker D: J'ai essayé d'écouter, j'y arrive pas, enfin j'y arrive pas, j'essaye de comprendre. Tu vois, pourquoi cet engouement. Mais il y a peut-être un truc. [03:39:05] Speaker C: Je pense que c'est Noah. [03:39:06] Speaker D: Oui, c'est ça. Mais bon, ça a l'air bon. On le félicite. [03:39:11] Speaker B: Tant mieux pour que ça marche. [03:39:12] Speaker C: Je préfère que les gens écoutent du métal, même si c'est Bad Omens. [03:39:19] Speaker B: Même si c'est Slipknot... Ah non, maintenant c'est devenu du R&B, pardon. [03:39:22] Speaker D: Ah non, pardon, je confonds avec Slipknot, désolé. Je parle de Slipknot. [03:39:25] Speaker B: Ils sont là aussi pour le pénis du chanteur. Ah, pardon. [03:39:28] Speaker C: Non, mais il y a une traite TikTok, on va pas se mentir. [03:39:34] Speaker B: Chacun fonctionne où il peut. [03:39:35] Speaker C: Lisez les commentaires sous les vidéos du chanteur et vous allez comprendre. [03:39:40] Speaker B: Mais Sleep Token, oui effectivement, c'est très bien produit, c'est original. [03:39:47] Speaker C: Il y a des passages vraiment cool. Le problème, c'est tout ce qu'il y a autour. [03:39:53] Speaker B: Disons que quand j'ai envie d'écouter du R&B, je préfère écouter du R&B que du Sleep Token. [03:40:00] Speaker C: Un petit crop top et c'est parti. [03:40:05] Speaker B: Bon allez bah Domaine Smith, côté Reda tu es encore ici dans le canapé, merci d'avoir accepté l'invitation, merci d'être là, merci aussi pour tout ce que tu fais sur internet, on le dit très sincèrement, c'est vrai que quand on regarde, on l'a dit au début de l'émission mais c'est hyper agréable, c'est divertissant et c'est important et je pense qu'aujourd'hui on a besoin aussi de cette légèreté, de ce détachement, de dire je fais des choses mais ça veut pas dire que j'ai totalement raison, on s'amuse ensemble et si vous apprenez quelque chose, tant mieux, Si vous apprenez rien, passez à autre chose, c'est pas le problème, mais bravo, parce que c'est hyper cool, et en plus donc... Divertissant avec du fond quand même. Oui bien sûr, on apprend quand même des trucs. T'es pas en train de jouer à la balle ou de faire le clown. [03:40:48] Speaker D: Non non bien sûr, on reste un peu parfois sérieux. [03:40:53] Speaker B: C'est quand même grand, c'est un projet qui a pris de l'ampleur, ça marche quand même plutôt bien. T'as diversifié aussi les sujets, enfin ce que tu fais, tu vas voir des gens, Ces idées-là, tu les as eues et tu les as mises en place, ça prend combien de temps et ça se décide facilement ? Ou c'est un coup de tête et toujours pareil, tu... ? [03:41:16] Speaker D: Non, oui, ouais, ça marche toujours en mode un peu flash, tu vois, comme ça. Si tu parles de J'irais gratter chez vous, par exemple, les premiers épisodes, en fait, c'était il y a quand même 4 ans. J'avais déjà la volonté, tu vois, de faire des trucs un peu autres. Et je me suis toujours dit, par rapport à cette chaîne YouTube, je ne veux pas me cloisonner dans le gars qui fait que des tutos, le gars qui fait que des tests, dès le début. Ça a été toujours un peu, pas fouiller, mais faire plein de choses. Et du coup, les J'irai quand t'es chez vous, c'est venu dans la deuxième année. Je sais plus pourquoi. Un live Twitch, je crois, où j'avais découvert un petit 14 ans. Je me suis dit, oh putain, ça va être trop cool de voir en vrai. [03:41:53] Speaker B: Oui, c'est vrai qu'il y a des très, très jeunes. [03:41:55] Speaker D: Ouais, c'était chaud. Et puis, du coup, je suis parti avec une caméra à l'époque et go. Maintenant, on y va en équipe. Maintenant, on prévoit, on caste un petit peu à l'avance. Donc ouais, ça prend plus de temps maintenant. Clairement, ça prend quelques mois, on essaie après de les enchaîner. Mais voir aussi des profils atypiques, comme un mec qui avait 200 guitares, un million de guitares chez lui, d'euros. [03:42:17] Speaker B: Ah ouais ? [03:42:18] Speaker D: Ouais, là on est sorti d'un gars qui avait la guitare de Retour vers le Futur. [03:42:21] Speaker A: En France, hein ? [03:42:21] Speaker D: Ouais, en France. La guitare de Retour vers le Futur. On l'a vue, là. Demain, on rencontre encore... [03:42:28] Speaker B: C'est des gens qui viennent, qui te démarchent ? Ou c'est que tu fais une recherche journalistique pour trouver ces profils ? [03:42:34] Speaker D: Ouais, en fait, dans l'équipe, on crée des demandes, tu vois, que ce soit sur les réseaux, newsletters, dans les vidéos qui ont pas mal marché aussi, bah maintenant, voilà, tu sais, y'a des gens qui voient la vidéo, ils se disent, bah peut-être que mon cousin ou mon truc, ils contactent, ils savent où contacter. [03:42:49] Speaker C: Ils indiquent. [03:42:50] Speaker D: Il les indique exactement. Et puis voilà, mais après voilà, sur 100 demandes, bah tu tries et c'est dur parfois d'avoir le profil, tu vois, parce qu'il faut quand même un petit truc quoi, tu vois. Pas forcément un démon de la guitare, c'est pas le problème, c'est juste... [03:43:09] Speaker C: Il faut qu'il y ait une histoire à raconter qui est intéressante. [03:43:12] Speaker D: Ouais, c'est ça. [03:43:13] Speaker B: C'est quand même pas mal. Et ce milieu du web... Ouais... Le milieu du web ? Non mais on le découvre... Oh le boomer ! Ouais bah ça va, j'ai 45 balais, ok ? Ça fait 40 ans... Ah non. [03:43:25] Speaker C: 45 balais ? Bah dis donc, tu vas bien faire le ménage. [03:43:27] Speaker B: J'ai les culs qui brillent. Tu voulais en bien là. Non, mais c'est un autre milieu. Moi, nous, on connaissait le milieu de la radio, qui est particulier. [03:43:40] Speaker D: Alors, je ne le connais pas du tout, mais oui, ça doit être particulier. [03:43:42] Speaker B: Oui, il y a des têtes de cons partout, j'imagine. Mais ce milieu-là que tu as découvert, tu t'es incorporé dedans. Tu parles du... De la sphère internet, quoi. [03:43:52] Speaker D: YouTube Guitar Game ? [03:43:53] Speaker B: Ouais, alors je sais pas si... YouTube. [03:43:56] Speaker D: French Guitar Game ? Si tu parles de ça... Ça devient. [03:44:00] Speaker C: De plus en plus restreint, attention. [03:44:01] Speaker D: Ah ouais, c'est de la niche de niche. [03:44:03] Speaker B: Non, bah de métal déjà aussi, peut-être. [03:44:08] Speaker D: Sur le net. [03:44:08] Speaker C: C'est encore plus petit métal. Ça réduit encore plus. [03:44:12] Speaker B: Je crois qu'il y a moins de métalleux sur le net que de mecs qui font de la guitare. [03:44:15] Speaker C: Je croyais que tu disais métalleux français qui font de la guitare. Il en reste 5. 4. [03:44:24] Speaker B: C'est déjà pas mal. [03:44:25] Speaker D: J'ai eu une volonté dans les débuts, et ça se voit sur la chaîne YouTube, en tout cas j'espère, d'essayer de réunir. Faire ce qu'on appelle les fit and fun, à l'époque. J'ai invité des gens. J'ai fait la French French Shred War, comme aux Etats-Unis, Jared Dines faisait la... Je l'ai faite, en France. J'ai essayé... Enfin, j'ai fait. C'est sur la chaîne, j'ai continué. J'ai jamais eu de retour où tu veux faire une vidéo, où on fait une vidéo... Ah ouais. Bah rien. [03:44:59] Speaker B: Le côté sympathique du coup n'a pas... [03:45:00] Speaker D: Le côté sympathique c'est qu'en fait apparemment ça n'intéresse pas ce milieu là, faire du feat. [03:45:05] Speaker C: Je pense que... Bon déjà il y a toujours un petit jugement. tu sais de ah oui alors c'est du divertissement c'est plus du contenu il y a ça un peu de ça et je pense mais surtout que en fait ça nécessite un peu de planification de choses comme ça et je pense que les gens ils vont pas jusque là alors que nous nous vraiment toute notre technique c'est d'inviter des gens intéressants pour qu'on ait le moins à faire on a bien compris la technique. [03:45:36] Speaker A: Ils. [03:45:36] Speaker D: Peuvent pas me la faire, j'ai deux enfants, ils sont chauds, c'est des malades, on taffe toute la journée, on a des équipes, des trucs, si là demain un gars m'invite à faire une truc, j'y vais. On bouge dans toute la France pour faire des trucs. Les mecs, je sais qui je vis. Ils sont tranquilles. Ils sont tranquilles à la maison. [03:45:57] Speaker C: J'espère que le message passe. [03:45:58] Speaker D: Du coup, j'en ai tellement envie. [03:46:01] Speaker E: Je ne le ferai pas. [03:46:01] Speaker D: C'est fini. [03:46:02] Speaker B: Il y a eu un peu une déception. Il n'y a pas eu d'enthousiasme. [03:46:06] Speaker D: C'est ouf. [03:46:08] Speaker B: On constate plus ou moins la même chose aussi. [03:46:11] Speaker C: Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à. [03:46:16] Speaker B: Être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne. [03:46:24] Speaker C: Cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas. [03:46:29] Speaker A: À être invité... Non, on ne cherche. [03:46:29] Speaker D: Pas à être invité... invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non. [03:46:34] Speaker B: On ne cherche pas à être invité... [03:46:35] Speaker D: Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne cherche pas à être invité... Non, on ne. [03:46:41] Speaker A: Cherche pas à être invité... Non, on. [03:46:41] Speaker D: Ne Et j'ai proposé des contenus trop cool, tu vois. Il y a des trucs trop bien. Et en fait, il n'y a pas de... de retour... Enfin, c'est ouf. Et tu peux le voir, de toute façon, on a fait... Il y a des vidéos où il y a du feat. Enfin, du feat, quelques-unes. Mais ouais... Ou alors, il y en a un qui me dit, je n'ai pas le temps, tu vois, pour composer un solo, ou j'en sais rien, ou une connerie. Enfin, j'en sais rien. Du coup, voilà. Donc moi, si je dois faire un featuring, par exemple, Je ne vais plus dans le milieu du métal. Je n'y irai plus en tout cas. Par exemple, l'année dernière j'ai fait, c'est pas un feat mais j'ai fait des choses avec le Montreux Festival. Avec PV qui est un humoriste et tout. On n'est pas dans le même monde et pourtant on s'amuse tu vois. Après si, y'en a qui sont cool peut-être maintenant à l'heure actuelle, j'en sais pas, y'a des nouveaux qui viennent, des trucs, j'en sais rien. [03:47:37] Speaker B: C'est quand même triste parce qu'aux Etats-Unis. [03:47:39] Speaker D: Justement, y'a assez de culture. [03:47:40] Speaker C: Bah tu vois, notamment là, y'a le metal mansion de Jared Nines. [03:47:47] Speaker D: Mais t'inquiète pas, je te parlerai en off d'un troisième projet, j'ai aidé, tu vas voir, on va faire un délire. [03:47:52] Speaker C: Mais ce que je veux dire c'est que là c'est un exemple où t'as des mecs qui sont énormes qui vont dans ce truc-là alors qu'il y a un côté quand même un peu... Mais t'as le mec de Thala qui est dedans, enfin il y a des mecs de groupes, de gros groupes. [03:48:06] Speaker D: Mais ça je te le dis, tu le verras pas en France. [03:48:09] Speaker C: Et je pense que les gens se prennent peut-être un peu trop au sérieux en France. [03:48:13] Speaker B: Mais pourtant c'est très professionnel ce que tu fais. [03:48:16] Speaker C: On en connaît qui ne se prennent pas au sérieux. [03:48:19] Speaker B: De le faire, c'est montrer son professionnalisme. [03:48:21] Speaker D: Mais il capte pas. [03:48:22] Speaker C: En fait, je pense qu'il y a le truc où les gens se disent, ouais, mais en France, en fait, ça n'a pas assez d'impact pour que ça vaille le coup. [03:48:28] Speaker B: Mais il faut bien commencer, je veux dire, il faut bien lancer le truc. [03:48:30] Speaker C: Je suis bien d'accord. Mais c'est comme nous, quand on a commencé cette émission. Au final, l'investissement que ça nous demande de faire un truc qui est joli, machin. [03:48:38] Speaker D: Mais attends, moi, je te dis un truc, c'est moi, je produis tout. J'en demande rien, moi. [03:48:42] Speaker C: Ils ont juste à s'amuser. Ce que je veux dire, c'est que même juste donner de leur temps, C'est quelque chose... En fait... Non mais ils sont fatigués de base ! [03:48:50] Speaker E: Je suis d'accord avec toi ! [03:48:51] Speaker B: Ils sont fatigués de base ! [03:48:53] Speaker C: Tu prêches un... [03:48:54] Speaker D: Mais je suis aussi... Je suis d'accord avec toi. Sauf que, ça c'était il y a 4 ans. Et je le vois, ces personnes-là... Donc soirées, t'es YouTube par exemple, et tout, tu vois. Sûrement. Mais voilà, mais il y a d'autres personnes qui continuent et avec qui on fera jamais et c'est dommage parce que je pense que les gens seraient contents et on peut s'amuser et tu sais en France il y a aussi ce côté un peu genre t'es peut-être meilleur que lui ou pas meilleur, j'en sais rien, je sais même pas, on dit toujours ça. [03:49:24] Speaker C: Un petit problème d'ego. [03:49:26] Speaker D: Ouais mais comment je m'en fiche. Moi, je n'aime pas. [03:49:29] Speaker C: Je pense que ça rejoint ce qu'on disait tout à l'heure au final sur les gens qui mettent des commentaires un peu haineux. Je pense qu'il y a toujours un truc un peu d'ego, un peu de jalousie, un peu de trucs comme ça. Et en France, il y a quand même un truc qui est clair, c'est que la réussite, ça ne plaît pas. Ça ne plaît pas. Nous, depuis que... Alors, pourtant, on n'a pas une grosse communauté, tu vois, on n'a pas beaucoup de followers. Et ça grandit. On voit qu'au fur et à mesure, il y a de plus en plus de gens qui vont dire des trucs pas sympas. Juste parce que je pense que ça fait... En France, il faut que ce soit intègre et que ça ne marche pas. [03:50:07] Speaker D: Carrément. Mais ce n'est pas très grave, en vrai. [03:50:10] Speaker B: Non, c'est pas grave, on fait ce qu'on veut. [03:50:12] Speaker D: Moi, je préfère aller faire des featuring ou des rencontres avec des abonnés, etc. Plutôt que, du coup, avec d'autres personnes. Voilà, mais au moins, j'ai essayé. J'ai tenté le truc. Ce n'a pas pris. [03:50:25] Speaker C: On ne pourra pas te reprocher de ne pas avoir essayé. [03:50:26] Speaker D: Exactement. [03:50:28] Speaker A: Bon. [03:50:30] Speaker B: Donc le milieu, on repassera, on verra. On n'a rien à dire. [03:50:34] Speaker D: C'est pas très grave. [03:50:35] Speaker C: Moi, par contre, je pense qu'il y a un concept qu'il faut que t'exposes un petit peu pour les gens qui connaissent pas. Non mais c'est la chelouterie. Il faut parler de la chelouterie quand même. Parce que c'est quand même ton terme. La chelouterie n'est jamais finie. [03:50:50] Speaker D: Exactement. Comment c'est venu ? [03:50:52] Speaker C: Ouais, comment c'est venu et qu'est-ce que c'est pour les gens qui connaissent pas ? [03:50:56] Speaker D: Alors récemment on a fouillé, on est remonté dans les vidéos, parce que je ne savais pas... Toi-même tout ça ? Ouais. Et du coup, c'est venu dans un test de guitare assez infâme ou un truc comme ça qui avait explosé dans mes mains. Enfin, je ne sais plus quoi, un truc bref. Et en gros, je disais beaucoup c'est chelou, c'est chelou, c'est chelou. Et je dis à un moment donné, c'est une chelouterie. la vidéo a dû marcher, je crois, ou je sais plus, et ça a dû revenir pas mal dans les commentaires, jusqu'à la deuxième ou troisième vidéo, je dis, bah c'est une chelouterie, et en fait, ça s'est installé, mais genre, naturel, tu sais, c'est même pas été recherché, tu vois, vraiment, absolument pas, et après, je sais pas, c'est resté, quoi. Tu vois, c'est resté, et ouais, après, bah les concepts un peu atypiques et tout, c'est toujours une chelouterie, voilà, donc c'est... c'est resté. Et après, la chelouterie n'est jamais finie, c'est un peu en référence à Booba, je crois, la piraterie n'est jamais finie, Mais il n'y a rien de calculé quoi. [03:51:54] Speaker C: Ouais bah non mais c'est venu naturellement. [03:51:56] Speaker B: Et c'est donc pour rassembler tous les trucs un peu particuliers ? [03:52:00] Speaker D: Ouh... Ça c'est une chelouterie tu vois. Ça c'est une chelou... C'est ça, c'est ce côté un peu truc bizarre, truc drôle, truc un peu... [03:52:14] Speaker B: Décalé ? [03:52:14] Speaker D: Décalé. [03:52:15] Speaker C: Une guitare qui est un peu... étrange. [03:52:18] Speaker D: Un guitariste sur TikTok qui fait d'imp. [03:52:21] Speaker C: Ah oui, c'était pas mal ça aussi quand tu faisais les debunks. [03:52:26] Speaker D: Oui, c'était sympa ça. Les gens aiment bien ce truc-là. [03:52:31] Speaker C: C'est bien d'avoir le... donc pour les gens qui n'ont pas vu, parce qu'on en parle, mais c'est... tu regardes des vidéos sur TikTok de mecs qui jouent de la guitare, et tu expliques s'ils jouent vraiment, ou s'ils jouent... c'est des trucs complètement impossibles à faire en vrai quoi. En essayant de le faire toi-même, Ça c'est assez drôle quand même, c'est des concepts... Parce que c'est vrai qu'on a tous eu des gens qui envoient... Des gens qui savent que t'aimes la musique, ils t'envoient un truc... Regarde lui ce qu'il fait, c'est dingue ! Et toi tu le regardes et tu fais... Ça me semble chelou. [03:53:05] Speaker D: C'est une chelouterie. [03:53:06] Speaker C: Et du coup c'est bien de savoir si c'est toi qui fabule en te disant non c'est pas possible ou si c'est vraiment pas possible même pour un guitariste. [03:53:14] Speaker D: On m'en envoie plein sur Instagram. [03:53:17] Speaker B: C'est fou. [03:53:18] Speaker D: Mais je laisse un peu avant d'en refaire. Donc ouais la showtribe naturellement et ça en a fait plein de choses. [03:53:26] Speaker B: Et ça reste toujours dans ce cadre d'humour et de sourire. [03:53:30] Speaker C: Ah bah là je suis l'autriche là pour ça. [03:53:32] Speaker B: Au sérieux quoi. [03:53:32] Speaker D: Exactement. [03:53:33] Speaker B: Bon, donc tu es heureux, tu es... On essaye hein. Accompli ? [03:53:38] Speaker D: Non, jamais. Jamais. [03:53:41] Speaker C: Faut qu'il ait un nouveau groupe pour. [03:53:42] Speaker D: Ça mais... Ou un nouveau documentaire. Non, jamais, jamais, jamais, jamais. [03:53:50] Speaker B: Tu seras jamais satisfait ? [03:53:52] Speaker D: Non, jamais, je pense. [03:53:54] Speaker C: Never Enough ! Il est fan de Tart Style, c'est pour ça. [03:53:57] Speaker D: C'est ça. Non, non, jamais. [03:53:59] Speaker B: De Tart Style. [03:54:00] Speaker D: Même quand ça se passe trop bien, tu te dis... Et de toute façon, YouTube te ramène vachement à ça. [03:54:06] Speaker A: Ouais ? [03:54:06] Speaker D: Bah ouais, tu vois, tu vas faire des super contenus pour toi qui vont marcher, par exemple, tu vois, trop bien, ça marche beaucoup, c'est cool, les stats, les retours, les gens sont contents, voilà. Et après, bah du coup, tu fais une vidéo qui se vote, Là tu te dis, en fait attends, c'est peut-être pas si bien ce que je fais donc je recommence, etc. Et quand tu fais des projets super cool, par exemple un nouveau logiciel, une nouvelle méthode, un truc qui marche bien, une nouvelle marque de guitare, on sait pas. Tu le fais, tu travailles tellement, ça sort et t'es déjà sur le projet de l'année prochaine et donc tu kiffes pas le moment. Et là avec un de mes associés, On s'est regardé, on est revenu deux ans en arrière sur des choses qu'on avait sorties, on a fait « Waouh ! » C'était fou, on s'en est même pas rendu compte. Du coup, c'est l'internel insatisfait. Et de toute façon, la musique c'est ça. Ou l'art, pardon, l'art c'est ça. Je crois pas que quelqu'un dit... Mais ça me dérange pas, attention. [03:55:08] Speaker C: C'est aussi le côté entrepreneur, je pense. [03:55:11] Speaker D: Oui, il y a cette part-là derrière. [03:55:12] Speaker C: Non mais je veux dire, même développer YouTube, des choses comme ça, avoir des projets, pour moi, entrepreneur, c'est pas que le côté business. C'est le côté entreprendre des choses dans la création ou dans la réalisation. [03:55:28] Speaker D: On est toujours sur la suite, quoi. [03:55:31] Speaker C: Oui, mais c'est... Il y a des gens qui sont comme ça, qui ne peuvent pas s'arrêter. [03:55:35] Speaker B: Après, quand tu fais un truc cool et que ça ne fonctionne pas, qu'il n'y a pas de raison que ça ne fonctionne pas, il y a de la frustration de ouf. [03:55:41] Speaker D: C'est ce qui s'est passé l'année dernière pour moi. Il y a un projet, je crois que c'est passé dans l'ombre. Ça s'appelait le Chelou Band. D'accord. C'était un jeu société. Trop bien. Ouais, bah voilà. C'est chaud à écrire un jeu. En fait c'était la suite vraiment de la BD quoi. [03:56:02] Speaker B: Un jeu société vraiment... Ouais, un travail un peu compliqué. [03:56:08] Speaker A: Chaud. [03:56:10] Speaker D: T'imagines toi, je me souviens, les règles, les contre-règles, non mais ça bloque, c'est ça, c'est bien, c'est pas... Beaucoup de tests, beaucoup de... Génial, par contre, à faire. Test, bêta-test, tout. On a fait, tout est fait. Et du coup, je me suis dit, pourquoi pas faire une levée de fond, comme pour la BD ? Et bah non, ça n'a pas pris. Enfin, ça n'a pas pris. Mais maintenant, tout le monde le demande en messageant. Il est où, il est où ? [03:56:37] Speaker B: Oubliez-toi les enfants. [03:56:38] Speaker D: Non, je n'aurais pas dû faire de ça, c'est une erreur de ma part, les crowdfunding comme on appelle. Mais je trouve ça super cool les crowdfunding parce que tu sais si ton projet marche ou pas. Et non. Rapidement, j'ai vu que c'était mort, tu vois, au bout de 24 heures. [03:56:54] Speaker A: Ah oui ? [03:56:55] Speaker D: Oui, parce que je suis ici, en 24 heures, c'est pas plein. Je savais comment la BD avait marché, je sais un peu la commu, je vois tout. Et du coup, non, ça n'a pas pris. Et là, on a travaillé un an, je pense. [03:57:07] Speaker A: Ouais. [03:57:08] Speaker B: Ouais, donc, fatigue, déception, frustration... Ouais, puis. [03:57:13] Speaker C: Des fois c'est juste... Ah, mais les. [03:57:15] Speaker B: Remises en question elles viennent de là aussi, généralement. [03:57:17] Speaker C: Ouais, ouais, mais il y a aussi de... Il y a à se remettre en question, il y a aussi à essayer de comprendre pourquoi. [03:57:22] Speaker B: Ouais, mais des fois il y a... [03:57:23] Speaker A: C'est ça. [03:57:23] Speaker C: Parce que des fois c'est juste un mauvais timing... Non, mais c'est souvent ça. Parce que là, tu vois, si tu dis les gens, maintenant ils me demandent où c'est, C'est parce que peut-être que c'est sorti à un moment où les gens n'avaient pas de ronds, tu vois, il y avait des trucs comme ça aussi des fois. [03:57:37] Speaker D: Non, je pense que l'erreur a été de faire une levée de fonds, un crowdfunding, parce que tu ne l'as pas tout de suite, parce qu'on n'est plus dans cette ère-là du crowdfunding, tu vois, parce que je n'en avais pas besoin, je ne sais pas pourquoi je l'ai fait, voilà. Mais en fait, il y a aussi une deuxième erreur où, je ne sais pas, mais la veille, j'ai pris de la hauteur et je me suis dit, attends, ce n'est pas un peu trop loin de ce que tu fais, tu vois ? [03:58:01] Speaker B: Ah ouais, tu penses ? [03:58:02] Speaker D: Alors qu'en fait, pas du tout. [03:58:03] Speaker B: Bah oui, non. [03:58:04] Speaker D: Pas du tout. Franchement, c'était ouf. Enfin, c'était ouf. Il est toujours là, hein. Si je veux l'envoyer en imprimerie, d'abord, on y va. Il était ouf, tu vois. Il y avait toutes les rockstars dessinés avec des atouts, des trucs, des guitare-héros. Il fallait avoir ton propre groupe. Enfin, c'était trop bien, tu vois. [03:58:20] Speaker C: Trop bien ? [03:58:21] Speaker A: Ouais. [03:58:21] Speaker D: Ah mais trop bien, tu rigoles. des défis, des trucs musicaux, mais c'est trop trop bien. Si tu veux faire un contenu là-dessus et tu produis, tu me le dis. Mais voilà. Et du coup, mauvais timing, mauvais truc, etc. Je n'étais pas déçu, mais moi, je me suis dit OK, il faut faire attention pour les prochains projets à soit pas être trop loin, soit savoir ce que vraiment les gens attendent. [03:58:41] Speaker B: Tu t'es vraiment dit ça, OK. [03:58:43] Speaker C: La manière aussi, peut-être, de l'amener. Parce que des fois, il y a... [03:58:48] Speaker D: Là, on a tout fait. [03:58:50] Speaker C: J'ai une question pour toi, c'est est-ce que avec toutes ces années sur YouTube, est-ce que maintenant t'es encore affecté, est-ce que pour chaque vidéo tu te remets en question à chaque vidéo ou est-ce que tu sais que des fois ça performe, des fois ça performe pas et tu t'en fous un petit peu ? [03:59:13] Speaker D: Non, je m'en fous pas. Non, j'en fous pas. Il y a certains contenus, tu sais que c'est sûr que ça va péter. Tu vois, encore une fois j'irai gratter chez vous ou j'achète des guitares aux gens dans les magasins ou les trucs sur TikTok, enfin c'est un peu particulier. Mais le nombre de vues affecte tout le temps, mais pour moi dans les deux sens. C'est-à-dire que quand ça marche pas, bon, tu sais que YouTube, façon, c'est... Ça peut ne pas marcher, après ça pète, ça marche pas. Enfin, tu vois, ça fait maintenant 4 ans, donc il y a eu des vidéos qui n'ont pas marché, et je suis toujours là, ça va. Donc quand ça marche pas, tu te dis, voilà, pourquoi ? Mais en fait, tu sais pas si c'est ta faute ou l'algo. Et quand ça marche... Bon, t'es quand même content. [03:59:57] Speaker A: Ah oui, oui, oui. [03:59:58] Speaker D: C'est mieux. T'es content. Mais je me pose la question de pourquoi ça a marché ? Tu vois ? Pourquoi ça a fait que ça a marché ? Mais des fois t'as pas l'explication quoi. [04:00:09] Speaker B: Pas de réponse. [04:00:10] Speaker C: Non. [04:00:10] Speaker A: Non. [04:00:11] Speaker D: Mais à l'heure actuelle... [04:00:12] Speaker C: C'est de la chelouterie ça. [04:00:13] Speaker D: C'est de la belle chelouterie. Non mais à l'heure actuelle je me dis que je suis là, je conçois un truc, bon une vidéo, je crée quelque chose, je le sors comme ça, je l'aime bien comment il est, je le balance, si les gens aiment c'est cool, si c'est pas... [04:00:28] Speaker B: Mais c'est comme ça qu'il faut fonctionner. Voilà, en ayant bien sûr l'esprit que ça puisse fonctionner quand même. [04:00:33] Speaker D: C'est ça. [04:00:33] Speaker B: Mais en se disant je le fais avant toute chose pour moi et les gens, parce qu'ils seront là quoi qu'il arrive. [04:00:39] Speaker D: Ouais. [04:00:41] Speaker B: On verra quoi. [04:00:41] Speaker D: Ouais mais bon... [04:00:42] Speaker B: C'est juste que t'as une équipe après maintenant derrière donc il y a... Oui mais... J'imagine qu'il faut que ça marche aussi parce que tu... Parce qu'il y a ça aussi. Enfin nous on se paye pas donc du coup on a pas trop ce stress tu vois ce que je veux dire ? [04:00:54] Speaker C: Ah de toute façon on peut pas imaginer qu'on se paye avec ce qu'on gagne sur YouTube. [04:00:58] Speaker B: Non mais... Non mais après tout le reste, le sponsoring et tout ça... Ouais. [04:01:02] Speaker D: Mais de toute façon en vrai il y a des... Il faut créer des produits divers méthodes, BD, logiciels, diversifier au maximum pour pouvoir les vendre et faire un truc, plus la monétisation, plus les sponsoriser comme tu dis, même si j'essaie de faire moins en moins. et tout ça fait que pour l'instant ça va, tu vois, et puis après t'as des leviers, des clés, de la publicité, de la com' à faire, des opé, choisir bien aussi les produits que tu fais, le numérique est plutôt avantageux pour certaines choses, faire des coups de poing, pas lâcher, en parler à fond, saouler certaines personnes certes, mais au moins en parler, puis voilà. [04:01:52] Speaker B: Et ça, c'est... Bravo. Et bravo à toute l'équipe d'ailleurs aussi. [04:01:57] Speaker D: Ouais carrément. [04:01:57] Speaker B: C'est aussi grâce à eux. [04:02:01] Speaker D: Surtout. [04:02:03] Speaker B: Grâce à ta famille aussi, j'imagine. [04:02:05] Speaker A: Oui, tout. [04:02:06] Speaker B: Il supporte encore la guitare. [04:02:08] Speaker D: Ça va, ça va. [04:02:11] Speaker B: Bon bah top. [04:02:12] Speaker C: Est-ce que tu forces tes enfants à jouer du piano ou pas encore ? [04:02:16] Speaker D: J'ai guidé, ça marche pas. Là le grand prend une basse maintenant. Pour être bassiste, il faut être complètement fêlé, donc ça va dans son esprit. Pour être bassiste, il faut vraiment être chaud. Je félicite tous les bassistes au monde. [04:02:32] Speaker C: Pourquoi ? [04:02:32] Speaker B: Parce qu'on s'en prend plein la gueule ? Parce que tout le monde se fout de notre gueule, de la gueule des bassistes ? [04:02:36] Speaker D: Oui, t'es bassiste ? [04:02:37] Speaker B: Non, non, moi je fais pas de musique pour le bien de l'univers. [04:02:39] Speaker D: D'accord. Parce que quand tu écoutes du rock, Zoom 41 par exemple, et tu te dis je veux faire de la basse et tu n'entends pas ces instruments-là sur une enceinte ou ton téléphone, il faut être vraiment fort dans sa tête pour dire je veux faire de la basse. [04:02:52] Speaker B: Je veux être celui qu'on n'entend pas. [04:02:54] Speaker D: Alors que si on t'enlève, il n'y a plus rien. [04:02:56] Speaker C: Du coup la guitare fait faible. [04:03:00] Speaker D: Exactement. Mais en tout cas, le grand prend la basse et il s'amuse. Mais je le laisse, il fait ce qu'il veut. [04:03:04] Speaker C: Faire de la funk. [04:03:05] Speaker D: Ouais, grave. C'est trop bien. [04:03:08] Speaker C: Surtout à la basse. [04:03:09] Speaker B: Surtout, s'il y a bien un style. [04:03:11] Speaker C: Où la basse c'est incroyable, la funk c'est magique. [04:03:14] Speaker B: Petite pensée pour le bassiste de Lévis. [04:03:18] Speaker C: Tout à fait. [04:03:20] Speaker B: Voilà, c'était pour mettre une bonne note, de jouer de bonne humeur. [04:03:23] Speaker D: Tu as raison. [04:03:24] Speaker B: Petite, avant de te laisser tranquille, petite anecdote encore, t'as des petites histoires folles qui sont passées globalement, avec ces quatre ans et toutes ces choses que t'as pu faire. Si t'as envie, tu peux me dire un nom. [04:03:36] Speaker D: Alors je t'ai raconté plein de choses, faut que je réfléchisse, mais là, de tête, comme ça, Non, c'est pas trop de trucs à te... à balancer. À part si tu me lances sur. [04:03:48] Speaker B: Une piste, mais... Bon, aujourd'hui, maintenant, t'as toujours ton rêve, t'as toujours un objectif d'aller encore plus loin, faire encore plus de choses. [04:03:55] Speaker D: Oui, vraiment, il y a des projets qui sont en route, des choses qui sont dans la logique, tu vois, par rapport à certains petits échecs qu'il y a eu, de toute façon il en faut, tu essaies de recibler, savoir ce qui est intéressant. On a clairement, on essaye plus ou moins de changer un petit peu aussi de direction, tu vois, pour faire autre chose qui moi me... t'as fait un. [04:04:17] Speaker C: Espirinto aussi, t'as fait vibrer quoi. [04:04:20] Speaker D: Ouais, mais je trouve que YouTube change beaucoup aussi, tu vois, genre... On était vachement sur les contenus courts. On y pense beaucoup. Mais je crois que les contenus très longs, c'est vers ça que je me dirige là. [04:04:32] Speaker C: Ça nous, on a bien choisi notre cours. [04:04:35] Speaker A: C'est vrai. [04:04:35] Speaker C: On n'a pas d'émission qui les croise vers 50. [04:04:38] Speaker D: Là, vous êtes bon les gars. [04:04:40] Speaker C: Je crois qu'on est un peu trop long. Mais bon, c'est pire comme ça. [04:04:44] Speaker D: Non mais voilà, tu vois. Ouais, c'est bon, je l'ai. Mais voilà, tu vois, on essaye de calmer les choses aussi. On parlait beaucoup de divertissement et tout, mais j'essaye un petit peu de calmer certaines choses tout en gardant le ton, tu vois. [04:05:01] Speaker C: Oui, mais de faire moins rapide, plus posé. [04:05:04] Speaker D: Ouais, plus posé. Il y a des choses qui changent. [04:05:07] Speaker B: Ça mûrit. [04:05:10] Speaker D: Des idées et on verra. [04:05:13] Speaker B: Si t'as toujours ce truc de quand t'as une idée à trépigner, on va le faire, on va le faire et être excité et te marrer avec tes collègues. C'est ça. Là, je pense que c'est la recette, c'est que t'as quand même, t'as toujours le feu, quoi. [04:05:24] Speaker D: Ouais, c'est ça. Ça y est toujours. [04:05:26] Speaker B: Ça veut dire que ça va le faire et que... Et que tu reviendras. [04:05:29] Speaker C: Pour nous en parler ! [04:05:30] Speaker B: Voilà ! [04:05:30] Speaker D: Avec grand plaisir ! [04:05:31] Speaker B: Tu connais la maison de toute façon, tu sais comment rentrer ici ! Le labyrinthe, tu as compris que ça pouvait passer ! [04:05:36] Speaker D: Carrément ! [04:05:37] Speaker C: Moi j'ai une dernière petite question avant qu'on fasse... Parce que nous on parle toujours, on essaie de mettre la lumière un peu sur un créateur ou quelqu'un qui fait quelque chose. Est-ce que toi t'as un petit coup de cœur du moment ? Déjà t'écoutes toujours du métal ? [04:05:51] Speaker D: Bah, Landmarks m'a remis dedans, au final. Enfin, tu vois. [04:06:00] Speaker B: Après, il faut avoir du temps aussi pour écouter. [04:06:02] Speaker D: Non, après, il y a toujours un peu de musique et tout, mais ouais. Oui, I Prevail, par exemple, j'aimais bien écouter récemment, tu vois. Bon, Landmarks aussi. Linkin Park, avec le retour qu'ils ont fait l'année dernière, je crois. Oui, tu vois. Mais beaucoup de... Beaucoup de rap, au final, j'écoute. Énormément. Ouais, beaucoup à côté. [04:06:21] Speaker C: U.S. ou français ? [04:06:23] Speaker D: Ouais, français. Mais ouais, du coup, le métal est. [04:06:27] Speaker C: Toujours un peu là, quoi. [04:06:30] Speaker D: Clairement. [04:06:31] Speaker C: Et en rap français, t'as des petits recos de trucs que t'aimes bien ? [04:06:34] Speaker D: Moi, encore une fois, j'aime bien le côté un peu insolent, un peu extrême. J'aime beaucoup Ziak. C'est de la drill. Il est méchant. Il est très technique. J'aime beaucoup. Il y a un esprit très rythmique aussi, voilà, comme ça. J'aime bien. Clairement, Zia, je sais pas si ça te parle. [04:06:54] Speaker C: Non, je ne connais pas, du coup. [04:06:56] Speaker D: Je vais aller écouter. Très méchant. Il est masqué tout le temps, on. [04:06:59] Speaker B: Sait pas qui c'est. [04:06:59] Speaker D: Il y a ce côté un peu, tu vois... Fan de Slipknot ? Fan de... [04:07:02] Speaker B: J'avoue, c'est peut-être... [04:07:05] Speaker D: Faudrait lui demander. [04:07:08] Speaker C: On le reçoit la semaine prochaine. [04:07:10] Speaker D: C'est parfait. Donc voilà. [04:07:13] Speaker B: Ok. [04:07:13] Speaker C: Et sinon, des petites recommandations de trucs qui te font vibrer en ce moment, hors musique peut-être ? [04:07:19] Speaker D: Hors musique ? [04:07:19] Speaker C: Ouais, je sais pas, une petite chaîne YouTube que t'aimes bien, un truc qui te fait plaisir à regarder, je sais pas. Si t'as envie, hein ! [04:07:26] Speaker D: Oui, non, mais je... [04:07:28] Speaker C: Je réfléchis. [04:07:30] Speaker D: En même temps, il y a beaucoup de choses qui peuvent être... Citées ? [04:07:36] Speaker A: Citées. [04:07:37] Speaker D: En choses, tu veux dire, pas forcément connues ou peu importe ? [04:07:40] Speaker C: Pas forcément connues, pas forcément musiques. [04:07:43] Speaker D: En ce moment, je suis à fond dans, je t'ai dit, le truc de sport. [04:07:45] Speaker C: Ah ouais. [04:07:46] Speaker D: Donc je me tue à des mecs, à des Brésiliens qui ont de la samba derrière et qui te font des clés de bras. Au moins t'auras un truc original à mettre, mais j'ai pas le nom. [04:07:59] Speaker C: C'est un kink vraiment très précis. [04:08:02] Speaker D: C'est très particulier comme truc, tu vois. Mais voilà, donc non j'ai pas de truc comme ça. [04:08:10] Speaker C: De toute façon vous t'appelez Jujitsu Brésilien Samba Clé de bras. [04:08:13] Speaker B: Et puis bon ben d'un moment à l'autre... [04:08:15] Speaker D: C'est exactement ça. Mais voilà, ouais. [04:08:22] Speaker B: Ok, très bien, très très bien, en tout cas encore une fois bravo, merci d'être venu, merci d'en répondre à toutes ces questions, merci pour ta gentillesse et ta bonne humeur. [04:08:29] Speaker D: Bah merci à vous surtout. Ah si, excuse-moi. Je vais reprendre ce que tu... Je peux reprendre ? [04:08:33] Speaker C: Bah bien sûr, allez ! [04:08:34] Speaker D: Parce qu'ils ont quand même besoin d'aide, etc. Enfin, besoin d'aide, non, voilà, mais... C'est un groupe qui s'appelle Solar Eruption. [04:08:40] Speaker C: Ok. [04:08:41] Speaker D: Ok, c'est un groupe soit du Nord, Brutale, etc. Il y a quelqu'un avec qui j'ai collaboré qui s'appelle Flo Ora, qui a une chaîne YouTube. Donc lui, tu vois, il fait de la guitare pour le coup. Je regarde pas de chaîne guitare, mais je sais qu'il a lancé ça. Donc c'est un super groupe. Il vient d'exciter. [04:08:55] Speaker B: On l'a déjà passé. [04:08:56] Speaker C: Je crois que ça me dit quelque chose. [04:08:57] Speaker D: Il se bat quand même pour y arriver, donc je pense qu'il faut leur donner un petit truc. Et lui en tant que créateur, il a lancé sa chaîne pour ceux qui kiffent. Allez-y, je crois qu'il fait du shred et tout, des trucs que je ne fais pas. [04:09:08] Speaker B: De toute façon, si vous avez envie d'en savoir plus, ce sera en description de notre chaîne, de la vidéo YouTube, pardon, et puis ce sera aussi Notre petit Marcel fera son travail. [04:09:19] Speaker C: Il va rajouter ça, oui. [04:09:20] Speaker B: N'est-ce pas ? [04:09:21] Speaker C: Absolument. [04:09:24] Speaker B: Eh ben merci ! Merci, on l'applaudit ! Tout le monde applaudit dans le cheveu, s'il vous plaît ! [04:09:28] Speaker C: Clap clap clap ! [04:09:30] Speaker B: Reda, merci infiniment. Et puis pour donner un petit conseil, on termine toujours là-dessus. Metalnews.fr, Metalnews, on les a jamais remerciés mais ils font un gros gros travail et ils sont merveilleusement gentils, ça fait partie de ces gens qui sont fans de metal et qui trouvent que de se tendre la main et d'être sympa les uns avec les autres c'est quand même plus constructif que de tirer la gueule. Comme c'est rare, ben du coup on leur fait d'énormes bisous et donc allez-y, n'hésitez pas à les suivre, ils ont pareil, une chaîne Twitch, tout ce que vous voulez. Vous avez tout ce qu'il vous faudra. Et puis pour se quitter, encore un coup des Bangers à la fin de l'émission. C'est un groupe français qu'on diffuse, mais choisi par les Bangers sur notre Patreon. N'hésitez pas à vous inscrire sur notre Patreon, ça nous soutient financièrement. Et à partir du premier tiers, vous pouvez nous faire cette proposition. Et là, c'est Jean-Baptiste encore. Il nous a donné plus de... Alors je sais pas si je vais tout lire, parce que je ne sais pas lire. Mais bon, toujours est-il qu'il a dit pour fêter les 20 ans du premier album de The Hearth, le clip de leur funérail. Et ce clip, c'est le groupe lui-même qui en parle le mieux. Ce vidéoclip, je cite. Ce videoclip est avant tout un hommage à la subculture française, bercée de nombreuses influences. Il traite de rébellion, des passions, des brutales aux plus sensuelles, les plus simples et les plus extrêmes. Retrouvez du béhonte. [04:10:53] Speaker A: C'est quoi ? [04:10:53] Speaker C: C'est les mecs qui s'habillent en chevalier. [04:10:57] Speaker B: C'est des mecs qui font des reconstitutions. [04:11:01] Speaker C: De batailles médiévales en fait. Mais dans un ring, c'est un peu du MMA. [04:11:08] Speaker B: On y vient, on y vient, des courses de tracteur, de la boxe thaï, de la danse, du catch, du striptease, des pyromanes, des corbeaux, de nuit, du streetball. À jamais est un hymne à la vie, à la persévérance et au dépassement de soi, une production sans acteur. des scènes de vie dans nos banlieues et nos campagnes comme un documentaire de vie débridé en quête de sensations. Bon j'ai tout lu finalement. Donc merci, merci Jean-Baptiste. Et puis on adore The Arse. Peut-être qu'un jour Nico viendra dans cette émission. [04:11:35] Speaker C: On a des gens qui le reconnaîtront pas par contre. Parce qu'il a plus les dreads. [04:11:40] Speaker B: Bah il les avait tous à la fin. [04:11:43] Speaker D: Moi je me souviens de lui avec les dreads. [04:11:44] Speaker B: Oui bah je pense que ces mouvements... [04:11:46] Speaker C: J'sais plus. [04:11:47] Speaker B: Bon bref c'est pas très grave, on est quand même très très contents de passer un The Arse. T'as connu... Oui. [04:11:52] Speaker D: Oui, oui, carrément. [04:11:53] Speaker B: Un gros groupe qui a beaucoup donné. [04:11:56] Speaker D: Ah oui. [04:11:57] Speaker B: Qui s'est bien dépensé. En tout cas, on les aime et on les aime encore tous. Donc on leur fait des gros bisous. Bonne continuation. [04:12:05] Speaker D: Merci, à vous aussi. [04:12:06] Speaker C: A bientôt. [04:12:07] Speaker B: A très vite. Je connais la maison. Bon courage à vous toutes et à vous tous. Oui, demain matin, c'est lundi. Et vous allez en chier. Mais c'est comme ça, c'est la vie. Vous avez passé un bon moment ce soir. C'est l'essentiel. Bonne semaine. Bon courage. Et merci d'aimer le métal. [04:12:21] Speaker A: J'ai dit Ars. [04:12:29] Speaker B: Et. [04:12:35] Speaker A: Si demain ne meurt jamais ? Et si demain ne meurt jamais ? Et si demain ne meurt jamais ? Et si demain ne meurt jamais ? Et si demain ne meurt jamais ? Et si demain ne meurt jamais ? Et si demain ne meurt jamais ? Héros assassins En détresse, mort n'est éternel À nos secrets, à nos souvenirs immortels Pardonne à la peur que notre monde s'écroule Pardonne-nous toutes les injures de la foule En clavuscule de mon règne C'est pas vrai ! Le savoir est une art, mais les idoles se brisent. Passer à l'as, et ce silence, c'est un sacrifice, a plus de sens. Héros, casse-cours ! La vie est une art, vous n'êtes qu'esprit. Réveille-moi de tes esprits Un temps pour briser Et c'est demain demain ou demain Et c'est... J'ai peur de jamais, dans l'auture. [04:16:44] Speaker D: Pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir. [04:16:51] Speaker A: Toutes. [04:17:04] Speaker F: Nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. [04:17:12] Speaker D: N'hésitez pas à vous abonner.

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