#103 - JAMIE RYAN en invité

Episode 105 September 19, 2025 03:27:48
#103 - JAMIE RYAN en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#103 - JAMIE RYAN en invité

Sep 19 2025 | 03:27:48

/

Show Notes

Voilà le genre d'invité avec qui vous pourriez parler pendant des jours sans vous arrêter ! JAMIE a une histoire incroyable, il n'arrête pas et il est ultra créatif !

Il est aujourd'hui bassiste dans MASS HYSTERIA, mais pas que... Youtubeur, créateur d'un groupe ou projet par trimestre et sans cesse en train d'apprendre, de vouloir réussir à faire...

Il est plus que surprenant et dans cette épisode, j'avoue que j'en ai appris des tonnes et qu'à la fin, je suis fasciné !

Alors je vous souhaite bonne découverte et surtout bonne écoute !

Amélie, Ben, Enjoy The Noise, Gladyce, Marcell & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:04] Speaker A: Mais. [00:00:20] Speaker B: Bonsoir tout le monde, bienvenue, c'est dimanche soir, il est 19h et comme tous les dimanches soirs, c'est métal en live Twitch sur Restless. Bah oui, vous êtes là, vous êtes nombreuses, nombreux, merci d'ailleurs d'être déjà présents et présentes parce que ça nous fait chaud au cœur. Et le dimanche soir en même temps, on se fait chier, c'est la fin du week-end, on sait qu'on va recommencer la semaine, on est un petit peu vénère, alors on vient se détendre avec de la musique qui fait du bruit et de la musique un peu violente. C'est un petit peu son rôle, oui, de nous canaliser. Et vous aimez ça. Et d'ailleurs, vous aimez aussi la plaisanterie, puisque nous sommes une émission de divertissement. Donc on n'est pas là pour être sérieux. On est là pour discuter, échanger. Et puis, qui a raison ? Ça, Dieu seul le sait. Je dirais que... Mais... Ben ? Ben, oui. C'était déjà trop long. Comment vas-tu ? [00:01:09] Speaker C: Bah écoute, je suis malade. [00:01:10] Speaker B: Ah bon, pourquoi ? [00:01:11] Speaker C: Bah parce que... Il fait froid. [00:01:15] Speaker B: C'est déjà une bonne première raison. [00:01:17] Speaker C: Voilà. Du coup, moi je me disais que c'était bien quand même de garder la fenêtre ouverte chez moi pendant que je dormais. [00:01:23] Speaker D: À la nuit. [00:01:23] Speaker C: Et je crois que c'est une mauvaise idée parce qu'il fait moins douze la nuit. [00:01:27] Speaker B: Humide, humide, froid et c'est l'hiver. [00:01:30] Speaker C: Après, je me suis pris la pluie en soir. Après, je suis resté dehors en T-shirt. Et puis hier, on a fait la fête. Alors forcément. [00:01:37] Speaker B: Ah oui, hier, c'est vrai qu'on a fait la fête ensemble. On est allé à un mariage ensemble. Pas le nôtre. Non, non, vous vous enflammez pas. Non, non, non. On est allé à un mariage et je peux vous dire qu'effectivement, on a attendu sous la pluie de savoir par où il fallait rentrer dans ce bâtiment. Et après, on a séché ou on s'est encore plus humidifié parce que la danse était folle. [00:02:03] Speaker C: Il y a eu de la chorégraphie. Les gens étaient épatés. Il y a des gens... [00:02:08] Speaker B: Il y a des gens qui se sont demandé pourquoi on était là. Enfin, ils ont compris qu'on était là pour ça, mais... [00:02:12] Speaker C: Il y a des gens qui t'ont demandé qu'est-ce que tu avais pris. [00:02:14] Speaker B: Oui, c'est vrai ! [00:02:15] Speaker C: Alors qu'il avait juste mangé deux gâteaux au chocolat. [00:02:17] Speaker B: J'étais assez mou avant. Enfin, je parle toujours fort et je bouge toujours beaucoup, mais ça veut pas dire que je suis en forme. Par contre, j'ai mangé les deux fois le dessert. Et là, la toupie. [00:02:28] Speaker C: C'est parti, le Diep de Tasmanie. [00:02:32] Speaker B: J'étais hystérique. Et alors, évidemment, j'aime mal danser sur le tout et j'aime à bien l'abuser. [00:02:41] Speaker C: Les gens ont été... Surtout qu'il y avait quand même beaucoup de gens un peu réservés. [00:02:45] Speaker B: C'était assez chic sauf moi. [00:02:48] Speaker C: Ils ont eu une étoile de mer explosive. Les jambes et tout. [00:02:56] Speaker B: J'avais mal aux cuisses tellement je levais les jambes haut. Mais bon bref. [00:02:59] Speaker C: Les mariés étaient heureux. [00:03:00] Speaker B: Exactement. Exactement. Sourire aux lèvres et joie dans le cœur. Je suis désolé. Et voilà, on s'est bien amusé. Mais il s'est passé d'autres choses cette semaine ? J'ai travaillé. [00:03:17] Speaker C: J'ai essayé de travailler. J'ai travaillé et je suis allé à un concert. [00:03:23] Speaker B: Alors il faut que je dise à d'abord ce que moi j'ai fait. Bah ouais ce serait mieux. C'est vrai que parce que comme c'est la chanson... Vous allez comprendre. Ah ouais punaise. [00:03:31] Speaker C: Et toi Pierre alors cette semaine ? [00:03:32] Speaker B: Alors moi cette semaine je me suis fait faire une coloscopie. [00:03:35] Speaker C: Ouais t'as adoré. [00:03:37] Speaker B: J'ai adoré. Non mais j'ai trouvé ça trop bien le produit pour... J'ai très, très envie. J'ai eu mon médecin mardi. J'ai déjà noté urgence, demander si on peut reprendre ce produit en dehors des coloscopies. C'est génial de se sentir tout propre de l'intérieur. [00:03:52] Speaker C: Ah bah là, c'est nettoyé. [00:03:53] Speaker B: Et puis alors, moi, je riais, je faisais. Ah bah attends, mais je voulais boire un peu plus et je mettais de l'eau. Ah bah, ça ressort tout de suite. Je rigolais. Voilà. C'est des jeux assez simples. [00:04:03] Speaker C: Voilà. On l'appelle le petit geyser. Et qui s'appelle en Rio, Jeannazac. [00:04:12] Speaker B: Il n'y avait juste pas de bulles. Au début oui, mais pas à la fin. Mais non, mais incroyable. Et l'anesthésie, j'avais très peur de ça. Et puis finalement, en fait, on ne capte pas. [00:04:25] Speaker C: Et on dit, alors est-ce que vous allez... [00:04:27] Speaker B: Ils me font « Ah vous n'avez pas à l'avaler votre salive ! » Je me suis concentré dedans comme un débile et puis en fait bah hop, directement parti instantanément. [00:04:34] Speaker D: De ce coup j'ai ouvert les yeux. [00:04:35] Speaker B: Ils m'ont fait « C'est terminé ! » J'ai fait « Non mais c'est quand ? » Ils m'ont fait « Ah non mais c'est vraiment terminé ! [00:04:39] Speaker C: » Non mais mettez-moi encore des trucs dans les fesses s'il vous plaît. [00:04:43] Speaker B: C'est un truc en commun à pas. [00:04:46] Speaker C: Mal de membres de l'équipe ça. [00:04:47] Speaker B: De quoi ? [00:04:48] Speaker D: De vouloir avoir des trucs dans les fesses ? [00:04:49] Speaker C: Ouais. Je ne sais pas, il y a quelqu'un qui parlait de ça juste avant qu'on prenne l'antenne. [00:04:56] Speaker B: Toujours est-il qu'à la fin, quand même, t'as une petite réunion dans un mini bureau, mais dans un bureau qui est gros comme ce canapé, et t'es comme ça en face, il te dit « bon alors, il faut que je vous dise, c'est incroyablement lisse, il n'y a pas un petit défaut ». Il m'a dit « bravo ». [00:05:11] Speaker C: On dirait que ça a été raboté pendant deux années. [00:05:14] Speaker B: Il y en a quelqu'un qui a pris soin comme ça, il m'a dit « poup poup » et moi j'ai les petits… Les petits polyples. Bruno M. a dit que ça allait très bien, voilà, donc j'en suis sûr que ça vous ravit, que vous en avez rien à foutre, mais je vous le dis quand même. [00:05:27] Speaker C: Et d'ailleurs, n'oubliez pas, si vous vous inscrivez sur le Patreon, vous pouvez gagner la vidéo de la coloscopie de Pierre. [00:05:32] Speaker B: Alors je vous l'ai demandé ! Je me suis dit, c'est quand même marrant. [00:05:34] Speaker C: C'est pas tous les jours. [00:05:35] Speaker B: Non, j'ai dit, on peut avoir la vidéo ? Il m'a fait, pardon ? A priori, c'est que ça doit pas se faire. Du coup, j'ai pas cherché à comprendre. Je me suis dit, si il a dit ça... [00:05:43] Speaker C: Il se les garde pour eux, les ventes sur le Dark Web. [00:05:47] Speaker B: Punaise, attends. Vas-y, c'est un peu l'ouvre du cul, quoi. [00:05:50] Speaker C: Parisian Extra Smooth. Il y a des catégorisations. Ils ont jamais vu aussi lisse, enfin putain celle-là ça va se vendre sur le dark web. [00:06:02] Speaker B: T'as par contre ils te remplissent d'air, tu lâches des casses toute la journée, ça va l'enfer. Ça change pas trop de ta habitude. C'est vrai que j'étais en train de dire ça et je me dis bon. Bref, bienvenue aux personnes d'ailleurs qui n'ont jamais vu cette émission, vous allez fortement l'apprécier. [00:06:12] Speaker C: Je vois qu'il y en a qui sont là pour la première fois, vous voyez, vous êtes pas déçus j'imagine. [00:06:17] Speaker B: N'hésitez pas à vous abonner, c'est gratuit, à nous follow, ça nous fait bien plaisir et plus on est, plus on rit et plus on est, plus on soutiendra le métal encore plus fort ! [00:06:24] Speaker C: D'ailleurs n'hésitez pas aussi à voter pour nous au Foudre parce que... Ah oui. [00:06:27] Speaker B: C'Est vrai j'ai oublié ça ! [00:06:28] Speaker C: Bah ouais parce que comme ça il y a les votes des Foudres qui sont ouverts et on a été sélectionnés ! Et du coup, si vous voulez qu'on parle plus de gaz dans le cul de pierre et de coloscopie, n'hésitez pas à voter pour nous. [00:06:41] Speaker B: Si vous voulez qu'on en parle en direct de la cérémonie, votez pour nous parce que vous ne serez pas mécontent du petit voyage. Si jamais on gagne, on fait un discours qu'on ne pourra plus jamais refaire. [00:06:51] Speaker C: Que les gens ne vont pas oublier. Moi je dis, rien que pour ça, ça vaut le coup de voter pour nous. [00:06:58] Speaker B: C'est ça, passez le mois de août, vos amis. Vote vote, surtout vote pour eux. [00:07:01] Speaker C: Parce qu'il y a le texte, mais il y a aussi les tenues. [00:07:07] Speaker B: J'ai trop envie. J'étais tout excité à l'idée de pouvoir mettre cette tenue. [00:07:12] Speaker C: On va l'acheter la tenue, de toute façon. [00:07:14] Speaker B: J'ai envie de l'acheter pour ma vie, mais je pense que je ne peux pas l'utiliser partout. Toujours est-il que, voilà, n'hésitez pas à voter pour nous, ça nous ferait bien plaisir. Et donc toi, tu es allé à un concert ? Ah oui, non. Ce soir, on a un invité. [00:07:24] Speaker C: Bah oui, il faut en parler quand même. [00:07:25] Speaker B: Ce soir, il y a les news présentées par Gladys. [00:07:27] Speaker C: Et alors, attendez, je ne voudrais pas dire, mais je l'ai vue là. [00:07:31] Speaker B: Moi, je ne l'ai pas encore rencontrée. [00:07:32] Speaker C: Elle est tellement belle, c'est incroyable. Ok, préparez-vous ! [00:07:37] Speaker B: Là, les yeux vont brûler, les yeux. [00:07:39] Speaker C: Vont... Oh là là là ! [00:07:41] Speaker B: D'ailleurs, pour la coloscopie, j'ai dit c'est normal que je vois rouge, il a fait non, c'était normalement tout blanc, mais bon, vous deviez aller en enfer. Et après il m'a dit, mais non, on a dû mettre une lumière. Voilà, j'étais là. [00:07:52] Speaker C: Oui, c'est à travers tes paupiètes. [00:07:53] Speaker B: Exactement. Mais bon, donc il va y avoir des news. Il y aura quelques petits morceaux dont nous allons parler. Voilà des petites nouveautés, des petites choses qui nous ont régalé. Mais il y aura surtout notre invité. Et je peux vous dire que j'ai hâte qu'il soit là parce que je sens que ça va être mouvementé. Ce soir, ça risque de dénoncer, de frapper, de... [00:08:10] Speaker D: On va bien rire. [00:08:11] Speaker B: Je pense que franchement, ça va être... On va surtout apprendre à le connaître. [00:08:14] Speaker C: Parce que c'est une des premières fois qu'on va le voir. [00:08:16] Speaker B: Jimmy Ryan, le bassiste de Mass Hysteria. [00:08:20] Speaker C: Jamy, le grand Jamy. [00:08:21] Speaker B: C'est le fameux Jamy. C'est lui qui nous apprend tout. Il va nous apprendre des belles et des pas mûrs mais toujours est-il qu'il sera là d'ici quelques minutes donc si vous êtes là pour lui, restez donc avec nous. Et donc toi, on y arrive enfin ? [00:08:34] Speaker C: Je suis allé à un concert cette semaine, lundi, je suis allé voir Kévin du côté du Petit Bain, au Petit Bain, à Petit Bain. Du côté à Petit Bain. C'est bizarre dit comme ça, non ? [00:08:51] Speaker B: Il n'y a pas besoin du côté. [00:08:52] Speaker C: Mais... Du côté de à Petit Bain. Du coup, il y avait Kévin, donc un groupe culte. [00:08:58] Speaker B: Alors pas K-E-V-I-N. [00:08:59] Speaker C: Non, pas Kévin, c'est Cave In. Avec un tiré entre les deux. CAV-IN. Parce que tout le monde sait que les CAV c'est IN. Du coup, groupe culte qui a fait de nombreux albums, qui a eu différents styles musicaux. Et là, du coup, ils faisaient une tournée pour les 25 ans de Jupiter. Leur album un peu plus... Ah, j'ai. [00:09:23] Speaker D: Eu peur de la planète, j'ai cru. [00:09:24] Speaker C: Ouais, alors c'est le nom de la planète. Mais là, c'est pour l'album. [00:09:28] Speaker B: Mais elle n'a pas que 25 ans. [00:09:29] Speaker C: Non, la planète, elle a au moins 30 ans. [00:09:32] Speaker B: Un peu plus, quoi. Dans sa carte d'identité. [00:09:34] Speaker C: Le temps qu'ils apprennent à connaître. Il a fallu cinq ans et après, ils ont pu faire l'album. Et du coup, ils ont joué. C'était le concert anniversaire, donc ils jouaient l'album. [00:09:47] Speaker B: En entier. [00:09:48] Speaker C: En entier, dans l'ordre, avec une ou deux chansons en plus. Voilà. En première partie, il y avait un groupe qui s'appelait Toru. Toru mais ça se dit Toru. T-O-R-U. Ouais, T-O-R-U. Et c'était très noise. C'était très... En fait, c'est pas pour dire du mal, mais j'ai trouvé que c'était un peu too much. Comme ce mec est trop, ce mec est too much. En fait, je trouve que ça manquait un peu de... Je comprends ce qu'ils ont voulu faire. J'ai aussi vu que ça ne marchait pas. C'était trop, trop des Larsen de basse horrible qui faisaient très mal aux oreilles. J'étais obligé de me boucher les oreilles chaque fois qu'ils faisaient des Larsen parce que c'était vraiment... trop fort, il y avait des passages un peu chaotiques, noise, qui n'étaient pas... ça manquait de maîtrise, j'ai pas trouvé ça... [00:10:47] Speaker B: C'était bruyant quoi ! [00:10:49] Speaker C: C'était très bruyant, il y avait quelques passages, il y avait des riffs super cool et c'était toujours un petit peu gâché par des trucs pas intéressants. Et il y a quand même un moment où la guitariste elle a pris deux flutios et les amis elles faisaient... Et là j'ai quand même rigolé... [00:11:10] Speaker B: C'est artistique, c'est parisien dis donc ! [00:11:12] Speaker C: Non mais il y avait un côté un peu... Il y avait un côté un petit. [00:11:17] Speaker B: Peu... Ah, moderne ! Ouais, ouais, mais vraiment... Théâtre... [00:11:22] Speaker C: Voilà, et... Et puis à la fin, quand ils ont fait « Bon, maintenant, on laisse la place à... Kevin ». Tu vois, genre, ils n'avaient même pas pris le nom du groupe... [00:11:31] Speaker B: Mais c'était des Français ! [00:11:33] Speaker C: Oui, enfin, francophone. Je ne sais pas si son belge... [00:11:37] Speaker B: Oui, il parle français en tout cas. [00:11:39] Speaker C: Je voulais vérifier, je n'ai pas vérifié. Bref, en tout cas, Kevin, le show était incroyable. Son incroyable, ça joue de ouf. Ça chante, mais incroyablement bien. Et le mec, il n'y a vraiment aucun problème. C'est beau. Il y a un moment, ils ont fait une reprise de Days Unconfused. Reprise super intéressante parce que tu reconnais bien la chanson, ça garde tous les codes, mais par contre il la rende heavy, c'est beaucoup plus lourd et tout. Vraiment, il passait un très bon concert, c'était très très sympa. [00:12:09] Speaker B: C'est un groupe qui a influencé d'autres groupes, Kévin, il n'est pas tout jeune. [00:12:12] Speaker C: C'est un groupe, je sais pas, dans les influences, je pense qu'ils ont influencé plein de monde, mais c'est surtout qu'ils font partie du microcosme de Converge, tout ça. C'est les mecs aussi de Mutoid Man. Lui, le chanteur, il a joué aussi dans Converge. Et puis c'est le chanteur de Mutoid Man avec des mecs de Converge. D'ailleurs, le bassiste de Kevin est mort il y a quelques années et le bassiste maintenant, c'est le bassiste de Converge. Officiellement partie du groupe. [00:12:38] Speaker B: Kevin, qui est un groupe qui n'a jamais explosé. C'est pas une musique qui est faite pour, mais... [00:12:42] Speaker C: Enfin, si, ils ont deux albums qui sont... Il y a du coup Jupiter et Antena qui sont quand même des albums plus pop. À l'époque, sur ces albums-là, ils ont fait la première partie de Muse. [00:12:52] Speaker D: Ah ouais ! [00:12:53] Speaker C: Mais les gens n'ont pas compris. Et puis, à la base, c'est un groupe qui était très vie, qui a repassé sur des albums, qui a fait deux albums beaucoup plus rock pop. Et puis après, c'est redevenu un petit. [00:13:08] Speaker B: Peu... Ah oui, c'est le fameux groupe dont les fans se sont un peu perdus, sont revenus, se sont perdus. Où est-ce qu'on va ? [00:13:15] Speaker C: Ils n'ont pas trop aidé leurs fans. Mais par contre, ça a toujours été bien, si vous aimez. Et ça chante de ouf. Normalement. Et du coup, je me suis dit que c'était bien parce qu'ils n'ont pas trop de clips de cet album là. Mais par contre, il y a des live. Et du coup, je me suis dit que c'était bien de vous mettre un live juste pour vous donner une idée de ce que ça donne en live, parce que c'est vraiment bien. Alors, c'est un petit peu long, mais. [00:13:36] Speaker D: Normalement, je l'ai bien calé. [00:13:39] Speaker C: Tout à l'heure, on a regardé. Normalement, ça marche, mais on verra. Ce sera la surprise. [00:13:43] Speaker B: Surprise ! Oh tiens regarde c'est le train live ! N'hésitez pas à prendre des abonnements ! Comme ça le train... [00:13:48] Speaker C: C'est le crazy train ! [00:13:50] Speaker B: Ah oui bravo, bien vu. [00:13:51] Speaker C: C'est la musique qui passe quand ça apparaît. [00:13:53] Speaker B: Ah oui c'est vrai, c'est bien. [00:13:54] Speaker D: T'as bien bossé. [00:13:55] Speaker B: Bravo, merci. [00:13:57] Speaker C: Ouais, c'est bien que tu te rendes compte. [00:13:58] Speaker B: Est-ce qu'on balance la purée ? [00:14:01] Speaker C: Ouais, bah on balance le gros riff, big riff de Kevin. [00:14:05] Speaker B: C'est parti. [00:18:46] Speaker A: Ready ? Aimez ! Sous-titres Qu'est-ce réalisés para la communauté d'Amara.org qui se passe ? J'en ai rien à foutre, j'ai rien à foutre, j'ai rien à foutre ! [00:23:06] Speaker B: Bang ! Bang ! Le meilleur du métal et de l'alternative rock, c'est comme ça tous les dimanche soir en live Twitch ! À partir de 19h, vous êtes quasiment 4000 inscrits sur notre chaîne, merci beaucoup. Et encore une fois, plus on est, plus on rit. Et là, c'était quoi ? C'était quoi mon petit ? [00:23:20] Speaker C: C'était vite. [00:23:21] Speaker B: C'était rapide. [00:23:22] Speaker D: C'était vitesse. [00:23:23] Speaker C: Vitesse, vitesse. [00:23:25] Speaker B: Speed avec... [00:23:26] Speaker C: C'est vitesse l'introduction. C'est vitesse. [00:23:29] Speaker B: Ah bon ? [00:23:30] Speaker C: Sans flûte traversière. [00:23:33] Speaker B: Pew ! Speed avec leur nouveau single Peace qui est issu d'un EP qui va sortir le 23 octobre prochain. [00:23:40] Speaker C: Ça s'écrit P-E-A-C-E. Oui, pas faire pipi. Pas le pipi. [00:23:45] Speaker B: Parce que dans le clip on a bien vu qu'ils n'ont pas sorti leur pew pew pour faire des G dans la neige par exemple. [00:23:48] Speaker C: Pas le pew pew ! [00:23:52] Speaker B: J'allais faire une blague qu'il y a dans White World et je me suis dit, c'est peut-être pas le bon moment. Ça s'appelle All My Angels. [00:23:58] Speaker C: Après c'est des blagues, c'est ni bon ni mauvais quoi. [00:24:00] Speaker B: Oh putain, bon allez. [00:24:01] Speaker C: C'est celle-là que tu voulais pas faire ? [00:24:05] Speaker B: Non, c'était pas celle-là. [00:24:07] Speaker C: Après tu sais ce qu'on dit, quand. [00:24:09] Speaker B: On est con, c'est pour la vie. Ding ! Allez, sur ces bonnes paroles, eh bien. [00:24:16] Speaker D: Je pense qu'il est temps. [00:24:17] Speaker C: On a plus de racisme, on peut passer à autre chose. [00:24:19] Speaker B: Voilà, maintenant qu'on est con, on s'élève. Non, mais maintenant je pense qu'il est... [00:24:23] Speaker A: On est arc-en-ciel. [00:24:23] Speaker B: Ah oui, ça je suis arc-en-ciel, faut te le dire. [00:24:25] Speaker C: Ah bah ça, il y a une carte. [00:24:27] Speaker B: C'est vrai que j'ai ma carte maintenant de gay officielle parisienne. C'est marqué que je ne peux pas sortir de cette ville. Elle est là en moi. Bon bref, trêve de présenterie à cette heure-là systématiquement. Et c'est l'heure de quoi ? [00:24:40] Speaker A: C'est l'heure du Flash Bang News ! Motherfucker ! [00:24:46] Speaker B: Et c'est présenté par la sublimissime Gladys. [00:24:50] Speaker D: Wouah ! [00:24:52] Speaker C: J'avais prévenu, j'avais prévenu. [00:24:54] Speaker E: Je suis normale là, en vrai. [00:24:55] Speaker B: Bah oui, mais comme t'es normalement belle, écoute, désolé. [00:24:59] Speaker C: Qu'est-ce que tu veux ? T'es tout le temps un canon, qu'est-ce qu'on y peut ? [00:25:01] Speaker E: J'ai pas de filtre install, ça me dérange un peu. [00:25:02] Speaker C: Bah ouais, écoute. [00:25:03] Speaker E: J'assume un peu moins ma gueule. [00:25:04] Speaker C: C'est que t'en as pas besoin. [00:25:06] Speaker B: T'assumes moins ta gueule parce que t'as pas de filtre install, là ? [00:25:09] Speaker A: Bah oui. [00:25:09] Speaker E: C'est pour ça que je ne me re-regarde jamais. [00:25:11] Speaker B: On peut aller voir un psy ensemble. [00:25:13] Speaker E: Déjà parce que je n'aime pas ma gueule et je ne supporte pas de m'entendre et encore moins de me bégayer parce que je bégaye tout le temps. Bref. [00:25:20] Speaker B: On est une fine équipe finalement. Dans le ch'meul dites-lui que vous aimez. [00:25:24] Speaker C: Gladys, dites-lui qu'elle est merveilleuse. Elle en a besoin. [00:25:27] Speaker E: Pour rebooster mon ego un peu. [00:25:28] Speaker C: Parce que apparemment elle a une mauvaise vision. Une mauvaise audition aussi. [00:25:33] Speaker B: Bad vision. [00:25:34] Speaker C: Dites-lui à quel point elle est merveilleuse. [00:25:36] Speaker B: Que s'est-il passé cette semaine ? Comment vas-tu déjà ? [00:25:40] Speaker E: Moi aussi j'étais de mariage ce week-end donc je suis dans le même état que vous sauf que j'ai eu un brunch ce midi aussi. [00:25:45] Speaker B: Alors je suis pas exactement sûr que ce soit le même état que nous. Parce que nous on peut pas faire un mariage comme toi tu peux le faire. [00:25:51] Speaker E: C'est-à-dire ? [00:25:52] Speaker B: On boit pas. [00:25:54] Speaker E: Bah j'ai pas bu. [00:25:54] Speaker D: J'ai pas bu avec du vin et. [00:25:56] Speaker E: Du champagne, je déteste ça. Donc j'ai fait que bouffer, j'ai pris au moins 3 kilos c'est sûr. [00:26:00] Speaker B: Oh tu sais ça sort vite hein. [00:26:02] Speaker E: Mais j'ai beaucoup chialé aussi. [00:26:03] Speaker B: Une bonne demeure après puis hop c'est parti. [00:26:04] Speaker C: T'as beaucoup chié ? [00:26:05] Speaker E: J'ai beaucoup chialé. [00:26:06] Speaker C: Ah chialé, pardon. [00:26:08] Speaker B: Oups la boulette. [00:26:09] Speaker E: Parce que je joue les grosses dures mais... Dis-toi qu'à la mairie... De quoi. [00:26:14] Speaker B: Tu parles à la merde ? [00:26:15] Speaker E: Dis-toi qu'à la mairie j'étais la seule à chialer comme une madeleine là. [00:26:17] Speaker B: Oh c'est pas vrai, la bichette ! [00:26:20] Speaker E: J'ai vu mon ami arriver j'étais là... [00:26:22] Speaker B: Au moins j'ai pleuré un petit peu aussi. [00:26:23] Speaker C: Ouais Pierre il a pleuré. [00:26:24] Speaker E: J'ai pleuré 6 fois. 6. [00:26:26] Speaker B: Alors j'ai pas compté quand même moi j'ai pleuré. Bah j'ai compté parce que c'est genre... Auction. [00:26:31] Speaker A: Ah j'pleure plus. [00:26:32] Speaker B: J'ai plus d'émotion. Bon, est-ce qu'il s'est passé des choses cette semaine dans le monde métal ? [00:26:38] Speaker E: Oui, notamment avec Atreyu et le message R.I.P. Le groupe metalcore d'Atreyu a fait disparaître presque toutes ses publications sur les réseaux sociaux et a simplement affiché R.I.P. Beaucoup y ont vu un signal de séparation. Pourtant leur site officiel reste actif et leurs concerts prévus n'ont pas été annulés. Donc je pense qu'il s'agit plus d'un coup de communication ou un teaser qu'une réelle fin. [00:27:00] Speaker B: Ah ouais, genre il y aurait un nouvel album, un truc qui s'appellerait R.E.A.P. où ils mettraient derrière eux tout leur passé mais ils fonceraient vers l'avenir ? [00:27:08] Speaker E: Je pense. [00:27:09] Speaker B: Oh là là ! Bon en tout cas c'est clairement un coup de com' quoi ! [00:27:15] Speaker E: Mais en tout cas c'est clairement un coup de com' y'a pas de doute là-dessus. [00:27:18] Speaker B: C'est pas la fin du groupe a priori. [00:27:19] Speaker E: Non. [00:27:20] Speaker B: Bon. [00:27:20] Speaker E: Surtout qu'ils jouent bientôt à Paris en plus. Ils jouent bientôt à Paris il me semble. Je crois que c'est en novembre, je ne suis plus sûre de la date. [00:27:27] Speaker B: Ou c'est trop loin pour que je sois au courant. Novembre on ne serait pas vraiment... [00:27:31] Speaker C: C'est pas le bon groupe pour que. [00:27:32] Speaker B: Je sois au courant. [00:27:33] Speaker E: C'est pas si mal moi j'aime bien. [00:27:35] Speaker B: Il y a des trucs bien d'autres trucs... 6 octobre ! [00:27:38] Speaker C: 6 octobre, c'est bientôt. [00:27:40] Speaker E: C'est vraiment bientôt. [00:27:41] Speaker C: C'est trois jours avant les foudres, n'hésitez pas à voter pour nous. [00:27:45] Speaker E: Tout à fait. [00:27:45] Speaker B: Ah oui c'est le 9, j'allais dire mais c'est pas le 9. C'est trois jours avant le 9 effectivement. [00:27:50] Speaker E: J'suis perturbée, j'ai vu les messages. [00:27:53] Speaker B: T'arrives à voir jusque là ? [00:27:55] Speaker C: Tu es magnifique, encore plus sans filtre, un vrai rayon de soleil, quel beau mental t'es ! [00:28:00] Speaker B: J'viens de m'attarder sur le manger. Ah pardon, excuse-moi. [00:28:01] Speaker C: À quel point elle est merveilleuse, oh là là là là là. [00:28:06] Speaker E: Oh là là, ça y est. [00:28:07] Speaker B: Qu'est-ce qu'il faut pas faire. Bon, il s'est passé quoi d'autre ? C'est pas du blush. Parce que si tu nous parles que de groupes auxquels on s'intéresse pas. [00:28:14] Speaker E: Alors on a Mudvayne. Première nouveauté en 16 ans, Chad Gray et sa bande reviennent fort. Deux chansons inédites viennent de sortir après plus d'une décennie de silence. Ils enregistrent à nouveau avec le producteur Nick. Ras... [00:28:31] Speaker D: Ras... [00:28:32] Speaker C: Ras... [00:28:32] Speaker E: Ras... [00:28:33] Speaker A: Ras... [00:28:33] Speaker E: Ras... Ras... [00:28:33] Speaker A: Ras... [00:28:33] Speaker C: Ras... [00:28:38] Speaker A: Ras... [00:28:38] Speaker E: Ras... [00:28:39] Speaker D: Ras... [00:28:39] Speaker E: Ras... Ras... Ras... Ras... [00:28:40] Speaker A: Ras... Ras... [00:28:40] Speaker E: Ras... [00:28:40] Speaker A: Ras... [00:28:41] Speaker E: Ras... [00:28:41] Speaker A: Ras... [00:28:41] Speaker D: Ras... [00:28:41] Speaker E: Ras... Ras... Ras... [00:28:42] Speaker A: Ras... Ras... [00:28:42] Speaker E: Ras... Ras... Ras... Ras... [00:28:44] Speaker A: Ras... [00:28:44] Speaker E: Ras... Ras... Ras... [00:28:45] Speaker B: Ras... Ras... Ras... Ras... [00:28:47] Speaker A: Ras... [00:28:47] Speaker B: Ras... Ras... Si, arrête. [00:28:57] Speaker C: En parlant de dégoût, j'ai découvert que Soulfly avait sorti une nouvelle chanson. [00:29:03] Speaker E: Sérieux ? [00:29:03] Speaker B: Tu parles de dégoût d'odeur. [00:29:04] Speaker E: J'ai pas vu l'info, tu vois. [00:29:07] Speaker C: J'ai entendu la chanson, j'ai écouté, j'ai fait... [00:29:11] Speaker B: Mais d'où c'est sorti ? [00:29:13] Speaker C: Là, il y a un album qui arrive. J'ai découvert ça tout à l'heure. [00:29:18] Speaker E: Moi j'avoue Mudvayne, je l'ai fait pour les gens qui aiment et je connais. [00:29:21] Speaker B: Oui, il y a plein de gens qui aiment Mudvayne. [00:29:23] Speaker E: J'ai pas du tout la culture de ce groupe, j'ai jamais vraiment écouté donc... [00:29:26] Speaker C: Non mais c'est gentil, c'est pour les vieux comme nous. [00:29:27] Speaker E: Bah exactement. [00:29:28] Speaker C: Bah merci. [00:29:29] Speaker E: C'est ce que je disais à Marcel tout à l'heure, je fais des news pour les vieux et pour les moins vieux quoi. [00:29:34] Speaker C: Tu discutes avec Marcel. [00:29:34] Speaker E: Ouais ça m'arrive. [00:29:36] Speaker B: Tu sais qu'il tremble pendant que tu parles. [00:29:38] Speaker E: Je sais mais il est plus proche de mon âge. [00:29:39] Speaker B: C'est son coeur qui palpite tu sais. [00:29:40] Speaker E: C'est faux. [00:29:41] Speaker B: Enfin son coeur. Son sang qui circule vite, c'est ça que je voulais dire. Qui palpite. Le balbut est dérigolo, le balbut est dérigolo. [00:29:51] Speaker C: C'est ça que j'ai dit en vrai mais après j'ai fait genre ah non j'ai pas dit ça. [00:29:55] Speaker B: Bon alors il s'est passé quoi d'autre à part ces moments pourris ? [00:29:58] Speaker E: Alors Twisted Sister. [00:29:59] Speaker B: Oh bah punaise. [00:30:00] Speaker E: Moi j'aime bien par contre là, pour le coup c'est un truc de vieux mais j'aime bien. [00:30:03] Speaker B: Parce que tu fais le même maquillage que lui. [00:30:04] Speaker C: J'allais dire la même coiffure. [00:30:07] Speaker E: Ça va se régler en hausse. [00:30:09] Speaker C: J'espère bien. [00:30:11] Speaker E: Donc Mark Mendoza, absent de La Réunion pour la tournée de 2026, dit Snyder, Snyder, voilà, confirme que le bassiste historique Mark Mendoza ne participera pas, évoquant des différents irréconciliables. C'est Russell Pseudo, déjà collaborateur de Snyder, qui reprendra la basse. Le groupe promet une mise en scène revisité, fidèle à l'esprit des années 80, mais modernisé. [00:30:35] Speaker C: Après, le bassiste, c'est jamais le membre le plus important d'un groupe. [00:30:39] Speaker E: En vrai, quand je les ai vus il y a 10, 15 ans, il n'y avait vraiment que 10 qui étaient encore très bien conservés et qui avaient encore la patate, etc. [00:30:48] Speaker D: Le reste, on ne les regardait pas. [00:30:52] Speaker B: Ah ouais, le fest, on avait fait un carrier avec lui. [00:30:54] Speaker C: C'est vrai, c'est vrai. [00:30:55] Speaker B: Il était venu avec les cheveux plaqués comme ça, ondulé, dominé. [00:30:59] Speaker C: On aurait dit Will Ramos. [00:31:01] Speaker E: Déjà, il a encore tous ses cheveux à son âge. [00:31:02] Speaker B: Il manquait que les lunettes en chœur et hop là. [00:31:05] Speaker E: Il a encore tous ses cheveux à son âge. [00:31:07] Speaker B: Déjà, regarde ça, c'est un des trois. [00:31:09] Speaker C: Ah d'ailleurs, j'ai appris hier que pendant le repas qu'André Agassi, en fait, il avait une méga calvitie et pendant longtemps, il a joué avec une perruque. quand il avait ses cheveux flamboyants avec la nuque longue et tout. [00:31:24] Speaker B: C'était n'importe quoi. [00:31:25] Speaker C: En fait, c'était une perruque parce qu'il était chauve et qu'il était hyper complexé. [00:31:29] Speaker E: Oh bichon. [00:31:31] Speaker C: Et le bandeau, ça a tenu à tenir. Après, il a assumé et il s'est rasé le crâne. [00:31:36] Speaker B: Oui bah ça va, je dois m'raser le crâne. [00:31:38] Speaker E: Disneylander, il a non seulement encore plein de cheveux, mais en plus il a encore une énergie de malade sur scène. [00:31:42] Speaker B: Après c'est un businessman, il nous avait raconté qu'il habitait en France d'ailleurs. [00:31:45] Speaker E: Ah ouais ? [00:31:46] Speaker B: Oui, il nous avait dit qu'il habitait du côté du sud-ouest. Qu'il avait une maison au sud-ouest. [00:31:50] Speaker C: Et qu'il mangeait des caisses soulettes. [00:31:52] Speaker B: Je peux te dire qu'il achetait des caisses soulettes. [00:31:55] Speaker C: Des caisses soulettes. [00:31:56] Speaker B: Écoutez, I wanna rock ! [00:31:59] Speaker C: On peut peut-être passer à la news suivante. [00:32:02] Speaker B: Ah bon, c'est dommage, j'avais d'autres blagues. [00:32:04] Speaker E: Linkin Park est hommage émouvant à Chester Bennington, à Phoenix, la ville natale de Chester. Linkin Park a invité sur scène l'ancien professeur de chœur de chanteur et de son fils. Mike Shinoda a salué leur influence sur Chester et sur le groupe. Un moment chargé d'émotion où qu'elle s'ajoute l'histoire d'un fan ayant manqué sa remise de diplôme pour assister au concert. Un geste que Shinoda a souligné devant le public. J'ai vu la scène et c'était vraiment super émouvant. [00:32:32] Speaker C: J'aurais pu, j'aurais pu, j'aurais pu. [00:32:35] Speaker E: Je dois avoir trop d'hormones en ce moment, je pleure beaucoup. [00:32:41] Speaker B: Non mais c'est mignon, c'est émouvant. [00:32:42] Speaker E: Franchement, la scène était vraiment mignonne. [00:32:45] Speaker C: Ah oui. [00:32:46] Speaker B: Ah Chester. [00:32:47] Speaker C: C'est pas rien. [00:32:50] Speaker B: C'est quand même quelqu'un qui a marqué les esprits. [00:32:52] Speaker E: Oui, je l'aimais très fort. Comme ça, comme tu l'aimais très fort. J'ai rien contre Emilie, mais j'aimais beaucoup Chester. [00:33:00] Speaker B: Par contre, contre Mike, bon. [00:33:02] Speaker E: Oui, là, c'est un autre sujet. [00:33:04] Speaker B: Kiki, bon voilà, on a bien compris. [00:33:06] Speaker D: Du coup, je passe un clip de Linkin Park. [00:33:08] Speaker B: Ça va faire plaisir aux gens, je sais bien. [00:33:11] Speaker E: J'ai pris une chanson qui est très connue, mais qui reste une de mes préférées. [00:33:15] Speaker B: En même temps, une chanson de Linkin Park, globalement, c'est une chanson connue. Il y en a peu qui sont peu connues. Et t'as pris quoi ? [00:33:20] Speaker E: Given Up. [00:33:21] Speaker B: Tu veux qu'on tape des mains comme ça et puis qu'on secoue les maracas ? [00:33:25] Speaker E: Je vais crier dans le micro en même temps. [00:33:27] Speaker D: Ah oui ? [00:33:27] Speaker E: J'ai plus de voix là. [00:33:29] Speaker B: J'ai tout donné au mariage. Voilà, moi je peux plus bouger, chacun son truc. Qu'est-ce qu'on fait mon petit Ben ? [00:33:37] Speaker E: On y va ? [00:33:37] Speaker B: On balance un Linkin Park ? Ben c'est parti Linkin Park ! [00:34:09] Speaker A: J'ai laissé tout ce que j'avais. [00:34:52] Speaker D: I. [00:34:52] Speaker A: Don'T know what to take Thought I was focused but I'm scared I'm not prepared I hyperventilate Looking for help somehow, somewhere And no one cares I'm my own worst enemy I've given up Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:36:53] Speaker B: Giving up de Linkin Park à l'instant dans Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, comme tous les dimanches, en partir de 19h. Je sais, je le répète, mais c'est important de le noter dans votre agenda. Mettez donc une alarme, que ça fasse ding dong, ding dong, ding dong, ding dong et que vous soyez à l'heure, présents et présentes. Ça nous fait bien plaisir. Linkin Park, à chaque fois, ça fait quand même des petits tutus comme ça. Combien de fois je les ai vus sur scène, Linkin Park ? J'ai dû les voir au moins 15 fois. [00:37:18] Speaker E: Moi, tout ce que je me souviens le mieux, c'est que j'ai pleuré comme une madeleine quand il est mort. [00:37:22] Speaker B: Il est mort ! C'est le mec ! C'est pour ça ! Je me disais, je sais qu'on est en 2025, il a changé de sexe, mais non, c'était pas lui. [00:37:32] Speaker E: Et j'en ai beaucoup voulu aux gens qui étaient au Hellfest, parce que j'avais des potes à moi à l'époque, juste. [00:37:37] Speaker B: Avant qu'ils l'avaient hué. [00:37:39] Speaker E: Et après, j'ai vu leur message faux cul de un grand chanteur est parti. J'étais là, c'est peut-être un peu de votre vote aussi, les gars. Donc la prochaine fois, faites attention quand vous huez un groupe. [00:37:49] Speaker C: Évitez du ingroupe, ne vous regardez pas. [00:37:52] Speaker B: Quand on n'aime pas, il vaut mieux pas rester dedans. [00:37:54] Speaker C: Si t'aimes pas, t'écoutes pas et puis c'est tout. [00:37:57] Speaker B: Et puis c'est tout ! Vous pouvez nous écouter même si vous ne nous aimez pas par contre. Ça c'est une bonne chose. [00:38:06] Speaker E: Mais nous on aime Azo, c'est différent. [00:38:08] Speaker B: C'est passé quoi d'autre dans l'actualité ? [00:38:10] Speaker E: Alors Jane's Addiction avec Perry Farrell qui contre-attaque après une plainte de ses anciens collègues réclamant des millions de dollars et l'accusant d'agression et de rupture de contrat. Perry Farrell nie tout en bloc. Il demande au tribunal de rejeter leurs accusations et dépose lui-même une contre-plainte affirmant qu'il a été agressé et que les autres ont annulé des dates sans concertation. Oh la bataille juridique en cours quoi. [00:38:32] Speaker C: Ouais la drogue c'est mal. C'est mal vous voyez. [00:38:35] Speaker B: J'étais en train de me dire vraiment lui... Pourtant sur scène il est bon quoi. [00:38:40] Speaker C: Ah bah quand il chante oui. [00:38:41] Speaker D: Oui oui. [00:38:42] Speaker B: Oui quand il est pas trop trop drogué pour vous. Par contre il sait pas trop se battre. Ça on pouvait pas dire le contraire. Voilà. Pas comme moi. [00:38:52] Speaker C: Il était peut-être pas en état de se battre non plus. [00:38:54] Speaker B: Bah il est tombé en voulant... [00:38:56] Speaker E: Je pense qu'il est aussi bon que con quoi. [00:38:58] Speaker B: Ah ouais, mais non, je pense que malheureusement la drogue c'est le truc qui l'a... C'est mal. [00:39:03] Speaker C: Moi je veux dire, je connais quelqu'un qui a pris beaucoup de drogue dans sa vie, bah le cerveau c'est compliqué après. [00:39:07] Speaker E: Ouais je sais, je connais la même personne, ouais. [00:39:10] Speaker B: Ouais, moi je la connais bien aussi. Attends, c'est qui déjà ? [00:39:14] Speaker C: C'est qui cette Cynthia ? [00:39:16] Speaker B: Bon, très bien, au lieu de m'insulter là, qu'est-ce qu'il y a d'autre ? [00:39:19] Speaker C: Ah, je parlais pas de toi. [00:39:20] Speaker E: On a Pink Floyd, les pochettes plongées dans le noir. [00:39:23] Speaker B: Les pochettes. [00:39:24] Speaker E: Pochettes. Les pochettes. [00:39:27] Speaker C: Plongée dans le noir. [00:39:30] Speaker E: Sur les plateformes de streaming, les pochettes d'albums de Pink Floyd ont soudainement été remplacées par de simples fonds noirs accompagnés de descriptions minimalistes. Beaucoup y voient un signal lié au 50e anniversaire de Wish You Were Here et spéculent sur une réédition ou un projet spécial. [00:39:47] Speaker C: D'accord. [00:39:47] Speaker B: Oui, alors il y a même, paraîtrait-il qu'il y a même des morceaux, un ou deux morceaux exclusifs, je ne sais plus. Peut-être qu'il ne faut pas que je le dise, je ne sais pas. Mais en tout cas, dans les mails que j'ai reçus à la radio, il y avait ça écrit. Donc, très bien. On est content. [00:40:02] Speaker E: Moi, j'aime bien Pink Floyd en vrai. [00:40:04] Speaker B: C'est bien, un petit dimanche comme ça, tranquille, quand il pleut, un petit Pink Floyd. [00:40:08] Speaker D: Ouais, franchement, c'est très bien. [00:40:09] Speaker B: Avec un petit champignon de Paris, puis hop. [00:40:13] Speaker E: Je suis allergique aux champignons, mais... Moi. [00:40:14] Speaker C: Je prendrais plus de champignons que Pink Floyd, mais... [00:40:16] Speaker E: En vrai, un album comme ça, en fond sonore, ça passe bien, je trouve. [00:40:20] Speaker B: Mais non, mais c'est très Pink Floyd. Et puis la réédition, c'est juste... Ouais, c'est bien. Mais bon, après, encore une fois, c'est le coffret. C'est-à-dire que chez toi, t'as le coffret du même album. [00:40:29] Speaker E: C'est ça, si c'est juste une réédition, qu'il n'y a pas genre un titre collector, ça sert à rien. [00:40:34] Speaker B: Ne dépensez pas votre argent. [00:40:36] Speaker C: Peut-être qu'ils vont se reformer ? Peut-être qu'ils se reforment ? [00:40:40] Speaker E: Non. [00:40:43] Speaker B: Aux formes olympiques. [00:40:44] Speaker E: Ensuite on a Metallica, concert intimiste et vidéo exclusive. Le groupe a offert un show surprise devant seulement 500 personnes à Amaganset. [00:40:54] Speaker B: Qui ? [00:40:55] Speaker C: Metallica. [00:40:57] Speaker E: A New York. [00:40:59] Speaker D: Mais qui ? [00:41:00] Speaker C: Metallica ! Ça a commencé par ça. [00:41:02] Speaker E: C'est le premier mot que j'ai cité. [00:41:04] Speaker B: J'ai pas entendu, excuse-moi. J'avais des choses qui volaient dans mon cerveau comme ça. [00:41:08] Speaker E: C'est de la drogue. [00:41:09] Speaker B: Non, c'était des tubs. Je le savais. [00:41:15] Speaker E: Parmi les moments forts, une version survoltée de Master of Puppets, désormais disponible en vidéo officielle, un rappel que même dans un format réduit, Metallica reste une machine de guerre scénique. [00:41:46] Speaker B: Bataclan et Trabendo. Ce qui est quand même... Bon, ça fait quand même trois salles qui sont assez petites. Bon, à la boulevard, il y a carrément... 200 personnes. 200, ouais. Voilà, c'était pas mal. C'était pas mal. En plus, les gens, du coup, ils pouvaient vraiment être beaucoup plus proches de Lars Ulrich, comme ça, pour bien voir son jeu. [00:42:09] Speaker D: Et pas que. [00:42:11] Speaker B: La casserole. C'est ça. [00:42:16] Speaker E: Dernière petite news, Youngblood critiqué par Justin Hawkins de The Darkness. T'as vu l'accent là ? Dans son podcast, Hawkins s'en est pris au style de Youngblood qu'il juge artificiel et trop formaté. Il déplore une esthétique qu'il estime superficielle, loin de ce qu'il considère comme l'authenticité du rock. Et perso, franchement, quand on voit l'énergie brute qu'il a lâchée sur scène ces dernières semaines et son hommage à Ozzy Osbourne, je pense que Youngblood a rien à oublier. [00:42:42] Speaker B: C'est surtout quand il a le seum ! [00:42:44] Speaker E: Je trouve quand même que c'est difficile de le réduire à un simple effet de mode parce que ce gars, il vit vraiment le rock et du coup j'ai décidé de passer un clip après de Youngblood. [00:42:55] Speaker C: Je pense qu'il est jaloux des dents, je pense. [00:43:00] Speaker E: Des ? [00:43:01] Speaker C: Des dents de Youngblood. [00:43:03] Speaker B: Je m'attendais pas à celle-là ! [00:43:03] Speaker C: Non, alors que l'autre, il a quand même un râtelier chicot. [00:43:07] Speaker B: Ah bah il est bien british, je peux me dire que lui, il a mangé de la laitue. Non, il y en a qui ont des belles dents. [00:43:12] Speaker C: Il a deux bonnes dents ? [00:43:13] Speaker B: Il a tout refait ! Il est neuf comme un canard ! [00:43:17] Speaker C: Je peux vous dire qu'on va avoir plein de scoops dans la suite de l'émission ! [00:43:23] Speaker B: Mais non, mais c'est juste que The Darkness, malheureusement, alors je dis pas que c'est un mauvais groupe parce que c'est un bon groupe, mais c'est juste qu'il y a eu un succès et après il n'y a plus du tout eu de succès et ça n'a jamais avancé. Tu imagines, il avait lancé son podcast, il avait commencé un truc télé qui n'a pas marché, je crois. Bref. [00:43:40] Speaker E: Je trouve ça juste dommage de puer le seum à ce point-là, quoi. C'est d'exprimer un seum aussi profond. Sois pas jaloux et sois pas envieux, essaye de faire pareil ou mieux, mais... [00:43:48] Speaker C: Après je pense que c'est un peu le problème quand les artistes se retrouvent à faire du podcast comme ça, c'est qu'il faut meubler et puis au bout d'un moment, ce qu'il fait c'est un peu en streaming en plus, donc je pense qu'il y a quand même ce truc où au bout d'un moment tu te laisses un peu emporter puis tu dis des trucs, sauf que forcément quand t'es un mec connu c'est repris. [00:44:10] Speaker B: Après, c'est vrai que quand tu regardes Youngblood, quand tu regardes toute l'attitude, le style, il y a quand même de l'argent qui est mis dans ce projet. Donc du coup, c'est vrai que ça peut faire artificiel. Le mec est vrai, il a même. [00:44:23] Speaker E: Fait un festival moins cher pour que les gens aient accès à la musique moins cher. [00:44:28] Speaker C: C'est le genre de truc que pourrait faire Dave Grohl aussi, ça n'empêche pas d'être un petit peu un connard. [00:44:36] Speaker B: On n'était pas sur le fait que Youngblood était un connard, on disait que c'était fait. [00:44:39] Speaker C: Je peux comprendre. En fait, j'ai vu la chanson hommage à Ozzy et j'ai trouvé qu'il chantait super bien. Je ne savais pas trop. [00:44:51] Speaker B: J'ai pas trop suivi. [00:44:52] Speaker C: J'ai entendu chanter. J'ai fait quand même, le mec, il envoie machin. Mais après, c'est vrai que je trouve qu'il en fait un peu des caisses. Mais après, c'est aussi que c'est aussi un truc générationnel. Je pense que pour des gens plus jeunes, ça fait moins over the top. Pour nous, c'est quand même Je pense. [00:45:07] Speaker E: Que c'est presque naturel pour Youngblood d'en faire des caisses. Je pense que c'est son tempérament réellement. [00:45:12] Speaker C: Il a toujours fait ça. [00:45:14] Speaker E: C'est ça, c'est son tempérament, il est. [00:45:15] Speaker C: Comme ça ce mec. Mais après, je crois que ça peut être un peu désagréable. [00:45:20] Speaker E: Tu regardes pas. [00:45:21] Speaker C: Bah voilà, c'est ça. [00:45:22] Speaker E: T'écoutes pas. Plutôt que de piétons sommes dans un podcast. [00:45:25] Speaker C: Je crois qu'elle ne croit pas en quelque chose qui s'appelle l'amour à l'âme. [00:45:29] Speaker D: Du coup on écoute Youngblood en feat. [00:45:36] Speaker E: Avec BMTH sur le titre OB. [00:45:38] Speaker B: L'autre elle nous dit oui on va passer un titre de Youngblood, non elle passe un titre de Bring Me The Horizon. [00:45:43] Speaker E: Non c'est les deux, ils sont en feat. [00:45:45] Speaker B: Pourquoi t'as pas passé que Youngblood ? [00:45:47] Speaker E: Bah parce qu'un petit peu d'Oli ça fait jamais de mal non plus. [00:45:49] Speaker B: Parce qu'en fait je le défends mais j'en ai bien rien à branler de lui. [00:45:52] Speaker E: Non j'aime bien Youngblood. [00:45:53] Speaker C: De toute façon elle le défend. [00:45:54] Speaker B: Elle le défend juste parce qu'il est bot avec Oli. [00:45:58] Speaker E: En vrai j'aime bien Youngblood. [00:45:59] Speaker C: Avec Olive. [00:46:00] Speaker E: J'aime bien Youngblood mais je préfère Youngblood avec Oli. [00:46:02] Speaker C: Ouais, c'est ça. Si t'étais un petit peu en sandwich entre les deux, tu dirais pas... [00:46:07] Speaker E: J'irais pas, non. [00:46:08] Speaker C: Ouais, voilà, c'est ça. [00:46:09] Speaker E: Je suis honnête. [00:46:10] Speaker C: Ils arrivent à la maison tard le soir, ils dorment pas dans la baignoire, quoi. [00:46:14] Speaker E: Non, non, non. [00:46:15] Speaker B: Ding dong, oh, il pleut, est-ce qu'on peut rentrer ? On ne rentre pas à deux, mais vous pouvez quand même tenter le coup. Trop drôle. [00:46:23] Speaker E: Chacun son tour connaissant. [00:46:24] Speaker D: Trop drôle. [00:46:26] Speaker B: Bon allez on va arrêter là parce que j'ai des visions de mon passé. On va regarder ce petit clip et puis merci pour toutes ces informations qu'on retrouve dès demain bien évidemment à 17h30 sur notre chaîne YouTube si vous n'êtes pas encore abonné c'est pas sympa. Allez-y tout de suite point d'exclamation bang dans le live et puis si vous écoutez le podcast allez-y vous tapez sur YouTube bang bang restless tout simplement. [00:46:52] Speaker E: Et puis je reste sur le canapé au cas où vous Au cas où vous pensiez que j'allais partir, et bien non. [00:46:59] Speaker B: Oh là là, celle-ci, elle s'impose. Allez c'est parti, BMTF. [00:47:38] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Whatever you do Just don't wake up and smell the corrosion Do you feel now ? Yeah ! Another day, another systematic nightmare You've never laid a wonderful lie Abide me first, I'll bite your back, melodramatic laughter I shout the nights in my mind. [00:49:02] Speaker D: Tu. [00:49:02] Speaker A: Ne veux pas qu'ils viennent et jouent La vie n'est pas la même Il n'y a rien à voir ici, c'est sous contrôle Tu n'as qu'à jouer avec ton âme Oublie tout ce que tu fais Ne te lèves pas, s'il te plaît, c'est la corruption You assholes are people ! You fucking assholes are people ! Open ! [00:49:51] Speaker B: We're gonna show you how to behave ! [00:49:55] Speaker A: Open ! Your son's already crossing your chain ! C'est la fin de cette vidéo. C'est la vie pour nos enfants ! [00:52:55] Speaker B: Waouh ! Cette chanson me rend hilarant ! C'était ArchPath, tout simplement, avec Hertz. Et c'est un groupe d'une personne qu'on connaît, qu'on a fréquenté. Je veux pas dire... Non, c'est pas ce que je voulais dire. C'est une personne qu'on a déjà vue, qui venait des fois dans notre studio quand on avait créé Bring The Noise. [00:53:19] Speaker C: Ah bon ? [00:53:19] Speaker B: Ah oui, oui. Et puis il a fait pas mal de choses. Je me souviens qu'une fois, il avait prit des... Il a jeté dans les... Ah non, c'est pas lui, ça. [00:53:25] Speaker C: Quoi ? Camille Feuille, une station service ? Non ça c'est pas lui. [00:53:29] Speaker D: C'était pas une station service, c'était un bar australien. [00:53:33] Speaker A: Bon on accueille Jimmy Ray ! [00:53:37] Speaker B: C'est bon la caméra elle tourne mec, tu fais quoi ? [00:53:41] Speaker D: Ouais ça tourne, ça tourne, t'inquiète. T'inquiète pas pour moi. [00:53:43] Speaker C: Ah ces youtubeurs ils peuvent pas s'arrêter de faire de la vidéo. [00:53:46] Speaker D: Oh bah surtout quand c'est gratos c'est facile. [00:53:50] Speaker B: Bonsoir, merci d'avoir enfin accepté cette invitation. [00:53:54] Speaker D: Oui, je vais vous expliquer très simplement. On est sur la quatrième saison, on est d'accord ? Donc, la première fois que vous m'avez demandé de venir, c'était plus ou moins le début. La saison 1. Heureusement qu'ils m'ont rappelé cette semaine que je venais. parce que j'avais oublié voilà tout simplement. [00:54:16] Speaker B: Je me suis dit à un moment putain il est tard quand même j'aurais peut-être dû le prévenir bien avant parce que ça se trouve il a d'autres choses de prévu depuis et j'ai eu un peu peur je te l'accorde mais quand tu m'as répondu j'ai vu vu et j'ai pas vu de réponse j'ai fait. [00:54:31] Speaker C: C'était le moment où il était en train de vérifier qu'il pouvait quand même venir. [00:54:35] Speaker D: J'ai quand même vérifié un petit coup de « je n'arrive pas à jouer là ». [00:54:39] Speaker B: En tout cas, ça y est, on y est. Te voilà. Parmi tes milliards de choses que tu fais, on va parler, comme tu sais, dans cette émission, de toute ta vie. Cette œuvre, parce que bon, c'est une sacrée œuvre, il y en a des tableaux. Il y en a des tableaux. Alors de toutes les couleurs mais après on va essayer de trouver toutes ces couleurs, de saisir d'où elles viennent. Et pourquoi ? Alors je suis pas psy mais bon on va discuter quoi. Déjà pour les gens qui sont là et qui éventuellement ne te connaîtraient pas, que fais-tu dans la vie et essaye d'être clair parce qu'il y en a tellement des choses que... Alors t'as le groupe combien de voix ? [00:55:21] Speaker D: Alors qu'est-ce que je fais dans la vie ? Je suis intermittent du spectacle, mais vraiment. [00:55:26] Speaker B: Au terme le plus large possible, parce. [00:55:30] Speaker D: Que je fais tout et n'importe quoi dans l'intermittence. Je le fais autant musicien, mais je travaille aussi en tant que backliner sur des émissions de télé, sur des concerts pour des entreprises. Je fais aussi du montage de murs LED, de cams, de régis, de trucs comme ça. Je fais aussi des lights. Je fais assistant en light souvent. Il y a même eu une fois sur un truc genre, ça aurait dû être moi le technicien et pas l'autre, mais bon... C'est lui qui savait comment ça marchait. Et je fais aussi du son et après j'enregistre des trucs, j'apprends à mixer mais je veux faire un studio pour mixer des groupes. Et après il y a YouTube dans tout ça aussi qui reprend gentiment parce que je me suis pris l'été. Les gens sont beaucoup moins présents en général sur ces trucs là, ils ont autre chose à faire et on ne va pas leur en vouloir. Et la flemme aussi, parce qu'au bout d'un moment, 4 ans de ta vie sur Final Cut Pro en train de... C'est génial, c'est trop drôle... 2000 vues... [00:56:36] Speaker B: Je suis content en soi, mais c'est. [00:56:40] Speaker D: Vrai que des fois tu dis j'ai mis 10 heures à monter ça, pourquoi ? Et c'est pour ça que genre l'exemple, la dernière vidéo que je viens de sortir où j'explique ce que je viens de faire de ma semaine, on y reviendra. [00:56:51] Speaker B: Si on veut. [00:56:52] Speaker C: C'est pas toi qui décide quand on parle. [00:56:55] Speaker D: J'avais commencé à le monter, l'ordinateur a planté, tout effacé, et je l'ai refait et j'ai fait en fait c'est mieux parce que là en fait j'en avais marre, fallait que je me couche parce que j'ai travaillé hier, fallait que je sois à samedi à 8h du mat, donc vraiment j'ai fait hein hein hein, coupé coupé coupé, et à chaque fois que je revisionnais juste un truc, bah j'ai mis des petites captures de... C'est une grosse merde ! Parce que c'était un peu le sentiment, mais regardons, voilà bon, ça a été assez succinct ou pas ? Ah pardon, j'ai oublié un détail. J'ai mon permis poids lourd. [00:57:27] Speaker B: C'est pas vrai. [00:57:28] Speaker D: Ah si si, j'ai conduit des camions aussi. [00:57:31] Speaker C: Ah mais il mange à tous leurs ateliers. [00:57:32] Speaker B: Non mais alors, on peut voir ça comme ça. [00:57:34] Speaker C: He ate at all their ateliers. [00:57:36] Speaker A: Je suis bêlain. [00:57:39] Speaker B: Mais je... [00:57:40] Speaker C: J'ai appelé avec les meilleures donc... [00:57:43] Speaker B: Mais il y a plein de choses que je ne connaissais pas d'ailleurs. Vous avez pris des notes parce que ça va être compliqué. Je vais essayer de garder ça dans ce qu'on appelle un cerveau. Chez moi c'est peut-être pas vraiment le bon mot. Mais on va essayer de comprendre pourquoi tout ça. Alors sûrement pour pouvoir gagner un peu d'argent dans ta vie aussi j'imagine. puisque ce n'est pas chose facile tous les jours. Mais ça, c'est ce que les gens croient aussi, souvent, qu'on gagne beaucoup d'argent. Mais non, il n'y en a pas un. [00:58:10] Speaker C: Après, il y en a quand même beaucoup de guitares. Je ne vais pas dire. [00:58:14] Speaker D: Quand il trouve des bons deals ou il a de la chance qu'on soit sympa avec lui. On ne va pas se le cacher. [00:58:22] Speaker B: À quel moment... Déjà t'es pas français de base. [00:58:27] Speaker D: Pas du tout. [00:58:28] Speaker B: Merci d'immigrer. [00:58:31] Speaker D: Oui je vole, je vole le boulot. Je vole le boulot à tous ces français et je me baigne dans tous ces euros que j'ai en pensant à la France. Et à ces gens dans la rue... Pas du tout, pas du tout. Non, non, je suis très content de pouvoir vivre dans un pays qui a ce système qui nous permet de vivre. Soyons honnêtes, c'est très, très bien parce que ce n'est pas présent dans beaucoup de pays. Donc, pour une fois, on est très content. [00:58:56] Speaker B: Il y a au moins un truc. [00:58:57] Speaker D: Il y a un truc que tous les autres n'ont pas et que les Français peuvent vraiment être fiers sur la culture. Ils sont sympas. [00:59:03] Speaker B: Donc, tu viens d'où ? [00:59:06] Speaker D: Ah, tu sais, un petit bled, un petit truc, un petit patelin au sud de Dublin. Donc, Dublin, ce n'est pas au Royaume-Uni. On s'est battu pour être indépendant, c'est pas pour être encore rallié à ces gens là. à la couronne et toutes ces choses. Je suis né en Irlande le 28 février 1988. Deux semaines après la date qui était prévue, parce que j'avais la foule. [00:59:36] Speaker C: Ça avait déjà commencé, quoi. Il y avait un signe. [00:59:40] Speaker D: Et l'anecdote, il faut la sortir à chaque fois, parce que de toute façon, c'est même un truc qui fait Astrid, ma copine, elle trouve ça très drôle. C'est que ma mère, au moment de ma gestation, utilisons le terme, a trouvé que c'était différent qu'avec mon frère, donc avait décidé toute seule, c'est une fille ! Voilà, tout, point barre. Juste parce que je le porte pas pareil. [01:00:03] Speaker C: Et du coup, elle avait pas d'idée de prénom ? [01:00:05] Speaker D: Si, Amy. [01:00:06] Speaker C: Ah ouais ! [01:00:07] Speaker D: Et ce qui, bah, arrivait à la sortie, bah, oh ! Et ben disons, Éric Troissance, imprévu. Enfin, 3 techniquement. Mais bon, on verra plus tard pour les autres. Et du coup elle a fait, Amy, bon bah c'est mort, bon bah Jamie, ok, ouais, Jamie, bon. Diminutif de James mais qui ne l'est pas parce qu'il y a autant de lettres, je suis d'accord, mais on est comme ça. Et la réalisation, ah bah attends, ça fait James Ryan, ouais, ah merde c'est le nom de ton père, ah ouais. Bon bah James Kenneth Dixon Ryan, voilà. J'ai les noms de mes grands-pères juste parce que, à l'origine, je devais être une fille. [01:00:37] Speaker C: Ah c'est bien. [01:00:38] Speaker B: Bon c'est pas bien, ça va. Je m'appelle Pierre, Caillou, tu crois que c'est mieux ? [01:00:44] Speaker D: Je sais pas ce que jeannesec ça veut dire. Peut-être que c'est dans le contexte. [01:00:49] Speaker B: Des fois il vaut mieux pas savoir. Il y a plein de choses. OK, et donc tu es venu en France à quel moment ? [01:00:57] Speaker D: En 90. [01:00:59] Speaker B: Ah oui, donc hyper rapidement quand même. [01:01:00] Speaker D: Ah oui, bah tu sais, écoute, je parlais déjà parfaitement anglais. [01:01:04] Speaker B: Je devais dire trois mots, donc c'est. [01:01:07] Speaker D: Pour ça, quand on me demande pourquoi je parle aussi bien français, c'est que j'ai un peu appris les deux en même temps, mais l'anglais reste quand même Vraiment la vraie langue natale parce que je compte en anglais, la plupart de mes pensées sont en anglais en règle générale. Et je sais, c'est très bête, des fois quand j'écris un mail ou un message, mon problème c'est que je suis en train de penser en anglais, j'écris en français et du coup en fait la structure de la phrase va être en anglais mais les mots sont français. C'est déjà arrivé que j'envoie des mails professionnels et on me répond. [01:01:41] Speaker B: C'est pas français. [01:01:42] Speaker D: On va peut-être pas l'embaucher. [01:01:44] Speaker B: Ah oui, effectivement. [01:01:45] Speaker D: En plus je suis gaucher, je sais pas, peut-être que ça aide pas, j'en sais rien. [01:01:48] Speaker B: Ok. Probablement, évidemment. [01:01:53] Speaker C: Encore un truc à l'envers. [01:01:57] Speaker B: Ok, ok. Et d'ailleurs, t'as plus cette culture de l'autre côté de la Manche que la culture française. [01:02:04] Speaker D: Ouais, c'est marrant. Mine de rien, je ne me suis jamais à aucun moment considéré Français. [01:02:11] Speaker B: Ah ouais ? [01:02:11] Speaker D: Parce qu'il y a encore des attitudes... [01:02:13] Speaker C: Bah retourne dans ton pays ! [01:02:14] Speaker D: J'y suis souvent, t'inquiète. C'est l'Europe, donc vous pouvez pas me virer, c'est bête. Attends qu'on fasse le Frexit et qu'il s'installe. C'est tellement bien le Frexit. On va même pas trouver de mots français pour dire non on va voler l'anglais au lieu de juste mettre F devant le R. Ouais parce que la. [01:02:31] Speaker C: Frossortie ça marche pas trop. [01:02:34] Speaker D: Ouais mais le frottie c'est pas terrible. [01:02:35] Speaker C: Le frottie c'est autre chose. [01:02:38] Speaker B: Oh shit. [01:02:39] Speaker C: Et c'est pas agréable. [01:02:40] Speaker E: On se confirme. [01:02:44] Speaker B: Ah ouais, c'est une bien belle émission ! Ok, d'accord. Donc tu t'es jamais senti français ? [01:02:49] Speaker D: Non, mais... Et en même temps, c'est. [01:02:51] Speaker B: Pas... Non, mais c'est pas grave, on s'en fout. C'est juste dans ta façon, ta vision du monde, ta vision de la musique. [01:02:56] Speaker D: Ouais, mais vraiment, il y a des fois, il y a encore des trucs qui peuvent arriver en France et vraiment, ça me paraît très alien, même si ça fait toute ma scolarité que j'ai fait ici, toute ma vie ici, mais il y a quand même des trucs encore qui arrivent et les réactions par rapport à certains trucs qui me font... Et pourtant, tu as plus vécu en France que... Ah oui, complètement. [01:03:18] Speaker E: C'est presque logique, en fait. [01:03:20] Speaker B: Mais c'est la famille, après, c'est parce que tu avais ta famille qui gardait. [01:03:23] Speaker D: Ce... Ah oui, on rentrait tous les ans. Il y avait au moins un mois de vacances l'été là-bas. Il y a vraiment eu un gros lien avec l'Irlande. On n'a jamais perdu cette chose. Et je suis bien content. C'est bien un truc aussi que mes parents ont vraiment fait gaffe avec mon frère, c'est qu'on rentrait de l'école et c'était, ouais, t'as fait quoi aujourd'hui ? OK, bah maintenant, on va le faire en anglais. Et c'était, on refaisait toutes les lectures, l'écriture, on refaisait en anglais. Bien sûr, gamin, ça me fait chier. Mais maintenant, c'est le meilleur truc du monde parce que j'ai des amis qui sont de parents, soit un parent français, un parent d'un autre pays, ou les deux parents sont d'un autre pays et qui n'ont pas le même niveau de bilingue dans leur langue, entre guillemets, natale. Et je trouve ça dommage pour eux, un certain niveau, d'avoir pas cet avantage d'avoir les deux langues. Et c'est vrai que je remercie énormément mes parents d'avoir insisté sur ce fait. Parce que ça aide beaucoup quand même. [01:04:19] Speaker B: Oui, bien sûr, c'est sûr, c'est un cadeau. Et du coup, d'avoir cette culture, est-ce que ça a favorisé justement ce lien avec le rock ? Ou est-ce que finalement ça s'est fait en France, ce lien avec le rock ? [01:04:31] Speaker D: Non, parce que mine de rien, l'Irlande a quand même une grosse culture rock. Tu le vois déjà juste en général. Je m'en rappelle de soirées qu'on faisait avec mon cousin. On allait dans un bar à Dublin qui s'appelait... Fête de Zan. Non, ça c'était le mariage de mon oncle à 4 ans. Je me cachais derrière un buisson, je ressortais, les verres étaient vides. Moi je m'en rappelle pas. Ah si je l'en remets dans un lit de bébés, ça je m'en rappelle parce qu'ils avaient rien d'autre. Et j'étais en kilt aussi. On a un bar qui s'appelle Faber McGee's qui est le bar métal entre guillemets et il y a juste à voir en fait il y avait un bus qui retournait dans ma ville le soir à partir d'une certaine heure de O'Connor Street qui est la rue enfin l'espèce de Champs-Élysées de Dublin Et c'est simple, dedans, tout le monde chantait soit du Queen, soit... enfin mais que des... des Thin Lizzy. Et on avait tous 18 ans, et c'était des trucs qui étaient d'avant, entre guillemets, nous. Et tout le monde connaissait, tout le monde avait les mêmes refs. Encore aujourd'hui, j'y étais il n'y a même pas un mois, il y a encore des gamins de 16 ans avec des t-shirts à CDC, mais tu vois, c'est pas juste qu'ils l'ont acheté pour le visuel, non, ils sont clairement dans le monde alternatif. Et c'est vrai qu'il y a beaucoup plus cette culture rock. Mon père avec ses amis, ma tante et mon oncle, tout ça en Irlande, ils avaient monté une radio à l'époque, dans les années 80, une radio pirate, qui est devenue une des radios principales du pays. Donc toujours eu de la musique à la maison, lui il en écoutait beaucoup et je faisais chier mon père pour qu'il mette le Best Of 2 de Queen. quotidiennement c'était vraiment ça et Nirvana très tôt. [01:06:19] Speaker B: Donc d'abord Queen et puis après le côté Nirvana le premier truc un peu plus Je dirais alternatif ou amplifié. [01:06:27] Speaker D: Ouais, il y a de ça. Et après, il y a eu, quand j'ai eu mon premier lecteur cassette, apparemment, j'ai eu... Comment il s'appelle ? Qui a le droit ? [01:06:37] Speaker B: Quel droit de faire ça ? [01:06:38] Speaker C: Patrick Bruel ? [01:06:39] Speaker D: J'ai eu Bruel en cassette. Apparemment, je l'ai chanté dans mon sommeil. [01:06:46] Speaker B: Comme quoi, ce mec hante les gens. [01:06:49] Speaker D: Je ne suis pas là pour vous cacher quoi que ce soit. Donc ça, et la BO de Robin Hood qui a été chantée par Brian Adams. [01:07:01] Speaker B: Ah bah oui, mais évidemment, cette chanson est magnifique. [01:07:04] Speaker D: C'était les deux cassettes que j'ai eues avec mon projet. [01:07:08] Speaker B: Très bien, beau cadeau. Exactement. Bref. Non mais moi je ne l'ai pas eue en CD. [01:07:22] Speaker D: C'est une cassette, ce n'est pas un CD. Le vrai lien qui arrive avec ce qui sera très rapidement l'obsession de ma vie, en règle générale, c'est un CD de démo de PlayStation 1. sur lequel il y a un des clips que j'ai mis ce soir. Il y avait Korn Make Me Bad sur un CD de démo de PlayStation 1. Et moi et mon frère, on est là, on le met, parce qu'on reçoit le PlayStation Magazine, on est dans sa chambre et on fait... Il y a un clip, on l'a mis et j'étais genre... C'est génial ! [01:07:57] Speaker B: Première rencontre avec quelque chose de différent, de... [01:08:00] Speaker D: C'est mes premiers liens avec le Néo et avec mon frère. Pour autant que mon frère est très hip hop et soul et jazz brésilien et des choses comme ça, il a eu quand même une affinité pour Limp Bizkit avec surtout Significant Other, qui est le deuxième album, et c'est un peu avec lui qu'on a téléchargé les premiers trucs avec tous les... On était sur Casa Light ou un truc comme ça. C'était il y a longtemps. Et c'est vraiment parti de là. Une fois que les MP3 et les téléchargements, on a compris qu'on pouvait choper les trucs. [01:08:36] Speaker B: Ouais, c'était l'hystérie. Mais c'est quoi quand t'as vu le Korn, c'était la différence ? Mais c'était quoi ? Tu sentais que tu pouvais faire autre chose ? Tu pouvais toucher autre chose ? Un peu tout quoi. [01:08:47] Speaker D: Déjà juste la sonorité, la chanson, les guitares saturées qui étaient en la, c'était pas non plus tout. très commun à l'époque, c'est-à-dire qu'on avait, mais pas dans des groupes qui étaient plus accessibles, entre guillemets, les groupes de death et des trucs comme ça. Juba, Morbid Angel avait déjà des 7 cordes, des trucs comme ça, mais c'était le premier qui vraiment, ouais, ils ont mis ça sur un CD de démo de PlayStation, qui était quand même genre le plus gros truc culturel chez les gamins à ce moment-là. C'était fou, la PlayStation, le pouvoir qu'elle avait sur les gens. Elle était partout et tout le monde avait ça et mettre ton single dessus avec ton nouveau clip pour ton nouvel album, l'idée de génie déjà. Et ouais, ça a très bien marché sur moi. [01:09:33] Speaker B: Tout cet argent dépensé après dans le merch. Et puis quel beau merch celui de Korn bien évidemment. Le mauvais goût par excellence. Je suis fan de Korn. Non, c'est pas bon. [01:09:45] Speaker C: Oh, le mauvais goût par excellence. Pas le meilleur goût, mais c'est pas le mauvais goût. [01:09:50] Speaker B: Non, mais je suis fan du goût, tu le sais, mais c'est quand même... [01:09:53] Speaker D: Je t'aurais bien vu avec le survet de paillettes, moi. [01:09:55] Speaker B: Ah bah. Ah bah, ça... [01:09:57] Speaker E: A ceux qui ont... [01:09:58] Speaker D: Alors... Excusez-moi, pardon, pardon. [01:10:00] Speaker B: Tiens. [01:10:01] Speaker D: J'ai pas les bons termes, excusez-moi, mais bon, c'est vrai que j'ai pas essayé de l'avoir celui-là, bon. [01:10:06] Speaker B: On réserve quelques petites surprises, on n'est pas à l'abri qu'il y ait des paillettes... Foudre, on sait jamais. N'hésitez pas à voter pour nous au foudre. [01:10:17] Speaker D: Et pour Massy Staria, pour Performance Live de l'année, s'il vous plaît. [01:10:20] Speaker B: Ah bah oui, s'il vous plaît, qu'on se retrouve tous sur scène ! Qu'on foute en l'air cette soirée ! [01:10:27] Speaker C: Oh le cauchemar ! [01:10:28] Speaker B: Ah oui, ça y est, ça m'excite ! Bon, toujours est-il qu'après, très rapidement, là t'as téléchargé, t'as envie, c'est avec ton off que tu t'es chargé ou il y avait tes amis aussi ? [01:10:40] Speaker D: Ça commence avec mon frère et aussi il y avait... Donc j'ai des potes avec qui au collège on était vraiment dans les mêmes groupes aussi. Et il y en a un, Hervé, il y avait son grand frère Gérald qui lui aussi avait une... Déjà commencé à avoir plus de trucs que nous parce qu'il avait 2-3 ans de plus que nous. Donc lui aussi il m'a donné plein de trucs aussi à l'époque à graver. Le truc que je lui avais demandé c'était Children of Bodom, quasiment tous les albums, des trucs comme ça. [01:11:07] Speaker B: Cannibale, enfin... Ah ouais, t'as quand même, c'est-à-dire que t'es quand même... Ah parce que tu dis corne, mais t'es passé après dans quelque chose de quand même beaucoup plus extrême. [01:11:14] Speaker D: Ah bah j'ai jamais arrêté de chercher en fait. J'ai toujours arrêté de chercher ce qu'il y a. [01:11:19] Speaker B: Quand t'es à Cambres, tu touches un peu d'abord... Mais non, t'es... En fait, t'as écouté beaucoup de choses très différentes. [01:11:25] Speaker D: Le truc, c'est que je suis arrivé un peu en cours de route pour Néo, parce que c'est 99, les choses. 2000, on a « Chocolate, Starfish and Hotdog Flavored Water » qui sort, le troisième album de Limp Bizkit. Et très rapidement, c'est la pente. 2000, j'ai 12 ans. 2002, j'ai 14, ça se pète la gueule. Et 15 ans, j'écoute du Death. Donc je laisse un peu le néo et je me lance dans tous ces trucs-là. [01:12:00] Speaker C: Est-ce que tu fais déjà de la guitare à ce moment-là ? [01:12:02] Speaker D: Ouais, j'ai commencé en 2001, septembre 2001. [01:12:05] Speaker C: Ouais, et c'est lié à... Deux tours, ouais. T'es pas... Parce que ça ressemble à des bafles un peu. [01:12:13] Speaker B: Tu peux répéter, j'ai pas entendu mais non ça va aller. [01:12:15] Speaker E: J'ai compris après quand j'ai vu le jazz. [01:12:18] Speaker C: Non mais du coup la guitare t'as commencé parce qu'à force d'écouter tu t'es dit ah putain moi aussi je veux en faire ? [01:12:23] Speaker D: Entre autres ça et en fait mes cousins pas l'été de 2001 mais en 2000 donc le petit Owen il a commencé la guitare et son grand frère Martin Martin a commencé la basse. Martin et moi on a dix mois d'écart et on est culs et chemises. Les deux sont venus quand on a fait le concert de reprise de Metallica au Bataclan. Et en fait, on avait un concert le jour d'avant et plein de bordel. Donc c'est un pote à moi, Loïc, qui l'a géré pour aller à Paris et tout le truc. Et après, Loïc m'a dit, non mais vous êtes la même personne, c'est pas possible. Et il a réalisé, il a fait, non mais il y en a deux en fait. Quel malheur ! On est vraiment... Vous vous êtes entraîné. [01:13:14] Speaker B: C'Est l'un pour embarquer l'autre et puis ça allait vite. [01:13:17] Speaker D: Oui, oui. [01:13:19] Speaker C: Et du coup il jouait de la guitare et ça t'a donné envie d'en faire aussi ? [01:13:22] Speaker D: Ouais, mais en fait j'aurais pu commencer une année avant et en fait j'ai eu la flemme. [01:13:27] Speaker E: J'ai l'impression que c'est un mot qui revient souvent quand même, la flemme. [01:13:29] Speaker D: Oh bah ouais, on y reviendra parce qu'il y a une raison à tout ça. Qui arrive plus tard dans la vie ! [01:13:36] Speaker B: Bon on va quand même passer à un petit clip. [01:13:38] Speaker C: Bah oui. [01:13:39] Speaker B: Et puis bon bah évidemment comme tu l'as dit, tu l'as choisi, ce clip-là de Korn, Make Me Bad. [01:13:44] Speaker C: Fais-moi mauvais. [01:13:47] Speaker D: Fabrique Moi Mauvais. [01:13:48] Speaker B: Je sais plus qui nous l'avait choisi déjà, Make Me Bad. McFly. Ah, c'est McFly. [01:13:53] Speaker D: Ah, ce que tu veux dire c'est que j'ai le même succès que McFly sur YouTube, c'est ça ? [01:13:56] Speaker B: Je te le souhaite, je te le souhaite. [01:13:58] Speaker C: C'est un clip de youtubeur. [01:14:00] Speaker B: C'est un clip de gens qui aiment les bons acteurs. Parce que dedans ça joue bien quand même. [01:14:06] Speaker D: Bah oui, qualitatif. [01:14:09] Speaker B: Allez c'est parti, corne. [01:14:42] Speaker E: Commander, Docteur, j'espère que vous avez passé un bon voyage. [01:14:46] Speaker A: Oui, comment vont les patients ? Oh, faites attention, s'il vous plaît. [01:15:12] Speaker D: C'est. [01:15:26] Speaker A: Something to do Need la to. [01:15:42] Speaker B: Fin de cette vidéo, merci d'avoir regardé ! [01:15:42] Speaker A: Feel the sickness in you I feel the reason as it's leaving me No, not again It's quite deceiving as I'm feeling the flesh may be dead I. [01:16:05] Speaker D: Do this for you Une addiction needed to Just to get some sort of. [01:16:16] Speaker A: Attention Attention What does it mean to you? For me, it's something I just do C'est parti pour le tour du monde ! C'est bon. Très bon. Commençons. [01:18:33] Speaker B: Notre mission. [01:19:08] Speaker A: You wanna go, you wanna go so bad Your mother calls from the mountains Tu veux partir ? Tu veux partir si fort ? Tu m'as laissé descendre la montagne Pour te guider quand le temps arrive ! Je me suis fait descendre la montagne Avec les yeux de quelqu'un C'est la fin de cette vidéo. I let you go, I want to be always slow Always what's warm is now what's cold And I found you So discreet with every step You still stood tall Stood up high knowing you'd soon fall A man's fate is no mistake C'est la fin de cette vidéo. Ne jamais être victime J'étais un homme, maintenant c'est une montagne. [01:23:04] Speaker B: Ah, la douceur de cette musique qu'on aime, voilà, elle est là, elle nous accompagne, elle nous tend la main, viens, je te... Paf ! Dans la gueule ! Kublai Khan, donc, avec un nom magnifique et puis surtout cette chanson délicieuse qui s'appelle The Mountain of Corsica, j'allais dire. Corsicana, c'est presque ça. [01:23:22] Speaker C: C'est le mélange de Corsica et de Tropicana. [01:23:24] Speaker B: Et c'est ça l'idée, c'est ça qu'ils ont dans la tête, ils ont le dira, Tropicana, really good, nice. Et Corsica, ah j'aime le cochon de Cors ! [01:23:34] Speaker C: C'est Kublai Kain, Texas. [01:23:36] Speaker D: Ah oui pardon, faut mettre Tex. [01:23:40] Speaker B: Pourquoi il y en a d'autres ? [01:23:41] Speaker C: Bah sûrement. Bah déjà il y en avait un en Eurasie. [01:23:47] Speaker B: Bon bref, toujours est-il que quel est le commentaire sur ce que nous venons. [01:23:50] Speaker D: De regarder, de voir ? [01:23:54] Speaker B: Wouf wouf, parce que c'est un... Non. [01:23:55] Speaker E: Non, en live ils disent trop de wouf wouf, c'est chiant. [01:23:58] Speaker B: Et comment ça ils disent trop de wouf wouf ? [01:23:59] Speaker E: Bah ils passent leur vie à aboyer là, on n'est pas des chiens wesh. [01:24:04] Speaker D: Celle qui dit ça alors que... Moi. [01:24:05] Speaker E: Je viens d'une chaîne, mais seulement quand j'ai décidé, ok. [01:24:07] Speaker B: Ok, mais j'ai rien dit moi. Oh là là, oh là là. Attends, qui a dit ça à Pierre ? [01:24:12] Speaker D: Marcel vient d'exploser son pantalon. J'ai l'impression d'entendre un écho, je ne. [01:24:15] Speaker B: Sais pas qui est qui. [01:24:16] Speaker E: J'ai pas été prise pour rien. [01:24:18] Speaker B: Non, moi aussi j'ai été prise. [01:24:23] Speaker C: Pierre c'est une chienne tout le temps. [01:24:24] Speaker B: C'Est pas qu'on y est décidé. Le métro suffit, je vous raconte pas. Bah non mais je vous donnerai pas de détails, les gens m'ont déjà vu dans le métro et ils sont pas venus me parler. Je fais peur. On continue ce petit moment avec toi Jimmy Ryan. [01:24:39] Speaker C: J'espère que t'es content que ça s'enchaîne comme ça. [01:24:43] Speaker D: Mais il y en a rien à foutre. [01:24:45] Speaker B: Surtout que j'ai l'habitude avec... Ah bon ? [01:24:47] Speaker C: Vous vous connaissez ? Vous êtes déjà croisés ? [01:24:50] Speaker D: On s'est fréquentés. [01:24:52] Speaker B: C'est pas le sujet d'interprétation. [01:24:54] Speaker D: Interprétez-le comme vous voulez. [01:24:56] Speaker B: Oui, c'est clair. Bon, on continue. On était donc à cette tendre enfance et ce moment où on décide de faire de la guitare parce qu'avec les cousins, on a envie de foutre le bordel. Est-ce que quand tu étais... C'était à la période de collège ça ? [01:25:09] Speaker D: Ouais, cinquième. [01:25:10] Speaker B: Est-ce que justement c'était un truc qui était cool avec les cousins, mais qui était difficile à l'école ? D'écouter cette musique. Ou t'étais déjà je-m'en-foutiste ? [01:25:19] Speaker D: Non, bah non, tu vois, avec mes potes on était un peu à l'écart de tout, donc on... Ouais, t'avais un groupe de potes ? Bah le fameux Hervé, qui avait son grand frère qui nous faisait passer les CD. Il y avait un pote à moi, Loïc, qui était... Bah lui il était dans la classe d'au-dessus, mais il était pareil, il y avait son grand frère dans la classe d'au-dessus encore. Tu. [01:25:42] Speaker C: Étais un petit skater ? [01:25:44] Speaker D: Oui, j'étais un petit skater, je lui ai dit à plus tard, mais je n'étais pas assez bon pour elle. Voilà, c'est Avril Lavigne, tu connais pas ? [01:25:51] Speaker B: Bah si je connais Avril. [01:25:53] Speaker C: Avril Lavigne ! [01:25:54] Speaker B: Bah oui c'est bon, tu crois que c'est pas la chanson qu'on passe automatiquement l'enfant ? [01:25:57] Speaker D: Est-ce qu'à 8h boy ? [01:25:59] Speaker B: Est-ce qu'à 8h ? [01:26:00] Speaker C: Et alors attends, parce que tout à l'heure tu nous as dit Neo, après t'es passé dans les trucs un peu plus extrêmes, mais là c'était autour de 2000, il y a quand même un groupe dont on n'a pas parlé qui est dans cette troupe. [01:26:13] Speaker D: Est-ce que c'est celui qui a fait. [01:26:14] Speaker C: Un peu la transition ? [01:26:16] Speaker D: Attends, tu me parles de quoi là ? [01:26:18] Speaker C: Un groupe de l'Hydra d'Oftet, comme on disait à l'époque. [01:26:21] Speaker D: Ah ! [01:26:23] Speaker C: Parce que c'est quand même un peu le pont entre les deux. [01:26:25] Speaker D: Mushroom Head ! Il y a le clip de Solitaire Unraveling où ils sont en noir et en blanc et la première fois que j'ai vu je me suis dit ils sont 18 ou quoi ? Ils ont voulu faire deux fois plus et qu'est-ce qui se passe ? Parce qu'ils venaient du même endroit et tout le bordel et toutes les histoires. On a fait les masques en premier, on s'en fout, t'as de la musique elle est nulle. Pour ceux qui ne savent pas, c'est. [01:26:52] Speaker C: Un groupe qui avait toute la même DA que Slipknot, mais un peu en moins bien, avec des chansons moins bien. [01:26:58] Speaker D: Déjà, oui, tout ça. Et surtout, il y a juste le fait, ils venaient de Iowa, ils venaient de Des Moines, ils se connaissaient de la même scène, des trucs comme ça. Mais vraiment, quand tu vois la différence entre les deux, c'est qu'il y en a un, il savait faire des chansons et l'autre, il était là. [01:27:11] Speaker B: Est-ce que ce n'était pas un peu les Five Finger Death Punch de ce style-là ? [01:27:17] Speaker D: Non, Five Finger Death Punch est le Five Finger Death Punch de tout style. [01:27:21] Speaker A: C'est vrai. [01:27:23] Speaker C: Eux, ils sont uniques. Dans leur multiplicité. [01:27:27] Speaker D: La seule chose que je connais de ce groupe, c'est que je les ai vus s'arrêter pour dire bonjour à des gendarmes parce qu'ils avaient des flingues et prendre une photo avec eux. [01:27:35] Speaker B: Ok, très bien, il y a des anecdotes qui vont sortir comme ça. [01:27:38] Speaker D: J'aime pas ce groupe, je ne m'y suis jamais caché. Bon oui, Sleep Note, j'adore. Parlons des choses. Oui, bah c'est simple, oui. Ah, revenons à un truc. Mon père m'avait interdit d'écouter Sleep Note. [01:27:51] Speaker B: Ah bon ? Ah ouais. [01:27:52] Speaker D: Chose à faire à un gamin de 13-14 ans. [01:27:55] Speaker B: Bah oui, du coup tu le fais, forcément. Ça c'est la bêtise des bandes. Non, mais surtout tu fais pas ça. [01:28:00] Speaker D: J'ai gravé le CD, je crois que j'ai écrit Offspring dessus, c'est pour noyer le poisson. Et oui, ça m'a poussé au truc. Et surtout, Iowa sort, je l'ai acheté à Auchan. [01:28:13] Speaker B: Eh bah mon salaud ! [01:28:14] Speaker D: Ils avaient une belle sélection à l'époque, tu pouvais même trouver du slip-mub dans les hauts champs. [01:28:17] Speaker E: Et tu pouvais écouter dans les hauts champs. [01:28:18] Speaker D: Ah bah ouais, il y avait plein de trucs. [01:28:19] Speaker E: C'était trop bien, à l'époque t'avais dans les rayons, tu pouvais écouter les casques et tout, c'était trop bien ça. [01:28:24] Speaker D: Et bah c'est simple, tu le mets, bon bah t'as Sid en train de pleurer la mort de son grand-père avec des bruits, c'est sympa déjà, ça te met dans le bain, et bon bah direct c'est ta-ta-ta-ta-ta-ta-ta-ta-ta-ta... Et je fais, oh putain, oh putain. Et tu découvres que c'est un blast beat, que la chanson s'appelle Les gens sont du caca et que toute ta vie a changé. Et vraiment, oui, c'est clairement l'instigateur de vouloir chercher toujours plus loin de tous ces trucs là, parce que c'est... Je pense que pour beaucoup de gens de ma génération, le premier contact avec ce qui est ni plus ni moins du death metal, parce que ce morceau, c'est les riffs, la vitesse, l'intensité, la batterie et tout ce qui va avec, c'est un morceau de death celui-là. Et oui, juste le général Daiho, oui, ça a poussé les trucs bien plus loin. C'est sûr, c'est sûr à 100% ! [01:29:14] Speaker C: Et attends, du coup, ton père était interdit d'écouter, mais comment il en a entendu parler ? Pourquoi ? [01:29:20] Speaker D: J'sais même plus, franchement je sais même plus comment est-ce qu'il a... [01:29:22] Speaker B: C'est des fous là, ils sont chelous. [01:29:24] Speaker D: J'crois que je lui ai sorti un jour, oh non mais j'écoute hein. [01:29:27] Speaker B: C'est quoi ? [01:29:28] Speaker C: C'est quoi ce cas ? Heureusement que tu l'as déjà dit parce que celui-là il le découvrait maintenant dans l'émission. [01:29:32] Speaker D: Ou non, peut-être qu'il l'avait découvert quand j'ai joué avec eux il y a pas si longtemps. Là il s'est dit, oh non ! Oh non il l'a découvert enfin ! [01:29:40] Speaker B: Jusque-là il l'avait jamais découvert. [01:29:43] Speaker C: Jimmy oublie pas de mettre ton casque pour pas entendre ! [01:29:47] Speaker D: Fais-le avec l'accent plutôt, sur mon père il n'y a pas cet accent. [01:29:51] Speaker B: Don't forget to put the cascus ! [01:29:56] Speaker D: C'est à peu près ça. [01:29:57] Speaker C: J'ai appris à parler anglais avec les meilleurs. [01:30:00] Speaker B: That's you ! Si t'avais interdit ça, c'est qu'ils voulaient pas que t'écoutes des musiques violentes ? [01:30:05] Speaker D: Non, je crois que c'est plus à cause de conneries qui ont pu être dites dans certains magazines. [01:30:11] Speaker B: Oui, qui étaient de la communication. [01:30:13] Speaker D: Oui, et qui au final, pour une grande partie, étaient juste de la... de la pub pour faire choc et tout ça, comme Manson avait pu faire auparavant ou qui ont monté tous ces trucs-là de toutes pièces. C'est juste du posturing. De toute façon, aucune pub n'est une mauvaise pub dans ces trucs-là. C'était juste ça au final. Peut-être que j'étais un peu jeune, j'avais 13 ans quand AOA est sorti. Regarde-moi ! [01:30:44] Speaker B: Et on n'est pas content du résultat, regardez ! Non mais t'avais toute cette curiosité d'aller... Bon tu me diras en même temps que tu parles anglais donc j'imagine que pour les paroles c'était facile, pour le matériel et tout t'avais déjà un truc geek d'aller chercher de tout en plus de la musique ou c'est arrivé plus tard ça ? Est-ce que là, à chaque fois que tu parles d'une musique, tu dis toujours, tiens, ils ont tel son, ils ont utilisé tel matos, il y a toujours un truc, une référence comme ça. Qui, moi, ne me parle pas du tout parce que je ne suis pas musicien. [01:31:13] Speaker D: Pas à ce moment-là, parce que, enfin, 13 ans, je n'ai pas encore commencé la guitare encore, quand ça sort. C'est juste quelques mois plus tard. Et oui, une fois que tu t'intéresses un peu à la musique, en faisant de la musique, bah oui, direct, tu développes un intérêt pour tout ce qui tourne autour de ces choses-là. et qu'il disait quoi, il a fait quoi, c'était où, pourquoi ils ont fait ça comme ça, pourquoi ça sonne comme ça, comment est-ce qu'ils ont fait sonner ça comme ça, ça vraiment c'est des trucs qui m'intriquent et de découvrir ces trucs-là, c'est toujours intéressant. De nos jours c'est plus simple parce qu'il y a tous les réseaux, tout le monde est en train de communiquer sur tout, mais revenir sur ces époques-là, retrouver genre des vidéos de Indigo Ranch, où ils sont avec Ross Robinson, autant eux que Korn, des trucs comme ça, en 94, ou en 99, quand Robinson est en train de balancer des trucs à la gueule de Jordison pour une prise de batterie, juste pour qu'il soit vénère pendant la prise de batterie. Des trucs débiles, mais qui sont géniaux ! Il a été cherché au plus profond des artistes avec qui il a travaillé, et au début, on pensait un peu que c'était une légende. Non, tu vois les vidéos, c'était débile à chaque fois ! Et bon, le résultat est là parce que ce sont des moments ancrés et tellement incroyables dans ce style de musique. On en parle encore de nos jours, de ce que ça représentait et de ce que ça a amené et ce que ça a changé aussi. C'est des moments vraiment... pivot dans tout ce qu'on a pu connaître dans le style. [01:32:35] Speaker C: Tu penses que c'était vraiment nécessaire ce genre de choses ? Tu penses que ça aurait été vraiment moins bien s'il n'y avait pas eu ce truc de les pousser à bout ? [01:32:48] Speaker D: Sans savoir ce que ça donnait les pistes ou si ce n'était pas le cas, c'est dur de se le dire. Je pense que oui un peu, parce que quand tu Quand tu écoutes les. [01:33:00] Speaker C: Albums d'après, quand il y a plus... [01:33:01] Speaker D: Quand ils ont de l'argent et qu'ils sont gros, c'est nul. [01:33:06] Speaker E: Mais la rage, quand elle est sincère, tu l'entends. [01:33:08] Speaker D: De toute façon, Jonathan Davis en train de chialer sa mère à la fin des albums, des trucs comme ça, c'est pas faux. C'est du vrai. Il est en train de revivre les moments. Et c'est où Sid Wilson sur l'intro d'Iowa, qui est en train de chialer son grand-père qui vient de crever. C'est des moments intense dans une vie, mais en train de se dire que tu vas t'en servir pour en créer quelque chose. C'est encore plus fou juste d'être à ce point-là sur le moment. Et ce n'est pas des choses que tu peux fausser à un certain niveau non plus. Ça s'entend si c'est faux. On est humain et on ressent. Pas vraiment, ça dépend des gens. Mais non, je crois que ça a servi, parce que de toute façon, même si ce n'est pas nécessairement l'action où directement ça a fait le truc, ça a pu... [01:34:02] Speaker C: L'ambiance. [01:34:03] Speaker D: L'ambiance, le côté pesant, parce que ce n'est pas une musique joyeuse sur le moment, et juste l'intention de... Ah ouais ? Non mais tu vas voir en fait. Et ce n'est pas le coup, ce n'est pas le pot de fleurs pour Corrie Taylor ou des trucs comme ça. C'est le... Ah ouais, non mais en fait, je vais te montrer vraiment ce que je suis. Et c'est vrai que quand tu livres tes tripes, ça change un peu la donne. [01:34:25] Speaker B: Et quand t'étais gamin, il y avait les amis, les frères et tout ça, mais il y avait des magazines aussi ou il y avait déjà internet ? Je sais, mais il n'y avait pas de webzine, il n'y avait pas de... Tu as quand même des endroits où tu cherches des infos, aujourd'hui il y en a partout. [01:34:41] Speaker C: Oui, il y avait déjà, il y avait les forums et tout ça. [01:34:44] Speaker D: Il y avait les forums, tout ça. Moi, le premier avec mes potes sur lequel on allait tout le temps, c'était Metal Orgy. [01:34:49] Speaker B: Ah oui ? Ah bah qu'ils n'avaient pas changé de design pendant toutes ces années ! [01:34:52] Speaker D: Ah bah ouais, il y a eu un bon moment, un peu plus tard il y a eu VS Webzine, mais c'était surtout pour les blagues, parce que c'était toujours drôle de voir qui c'est qui était le nouveau pire ennemi de VS Webzine et de ses fans, et de voir qui vraiment était genre la pire, c'est le pire goût du monde, regarde ce qu'il représente, et nous à chaque fois, avec mon ancien groupe Admiral Arms, on était genre, on va faire un truc là, VS ils vont nous dé... Jamais. On s'est jamais fait défoncer par VS Webzine, et on était déçus. Non, il y avait Rock Sound, il y avait Rock Mag, il y avait les tablatures au milieu, donc moi au début oui, j'étais content, plus tard tu les as reliés, tu fais bon, on voit moyen des fois. Il y a eu Total Addict, qui a duré 4-5 éditions. Total Addict dans laquelle il y avait une photo de Hendrik, chanteur de Admiral's Arms, avec son masque Chris Fenn qu'il avait fait lui-même. Pour la page fan. [01:35:47] Speaker C: Avec toute sa collection de goodies slipknot. [01:35:55] Speaker D: Je me suis totalement dit que j'aimais bien parce que c'était un peu plus comme K-Rang, où c'était un peu vraiment tout. Et il y avait ce côté, enfin je crois, eux ils allaient pas faire toutes les semaines, c'était toutes les deux semaines qu'ils voulaient faire. Je me suis abonné. En cadeau, j'avais pris l'album de Trust Company. Un single s'en va. Et je crois que genre une semaine après, ils ont tout annulé. J'ai fait bon bah merde. [01:36:23] Speaker B: Dommage. [01:36:23] Speaker D: Et j'ai jamais eu mon album Trost Contra. [01:36:25] Speaker B: Alors bon, du coup on lance aux personnes qui ont fait frayer. On les connaît pas vraiment personnellement. [01:36:31] Speaker C: On en connaît deux, trois, quatre. [01:36:35] Speaker D: Et ils étaient combien ? [01:36:36] Speaker C: 5. [01:36:37] Speaker D: Oh merde, on a pas tout. [01:36:39] Speaker B: Soit qu'ils étaient 5. Mais bon bref, on leur dira. Ils vont te l'acheter. [01:36:43] Speaker C: Moi, grâce à eux, j'ai vu Glass Joe à la boule noire et pour ça, je serai éternellement reconnaissant. [01:36:50] Speaker A: C'est pas mal. [01:36:50] Speaker D: Pas dégueu. [01:36:51] Speaker B: T'avais des posters un peu aussi ? [01:36:52] Speaker D: Ouais, mes murs étaient recouverts de posters, bien sûr. [01:36:56] Speaker B: Tous les trucs de fous. [01:36:58] Speaker D: Tout et n'importe quoi, même mes magazines de guitare, dès que c'était une pub pour une guitare ou une pédale ou un ampli avec un des artistes que j'aimais, je l'avais coupé, je le foutais au mur. C'était vraiment, j'avais tout et n'importe quoi. J'avais autant Westbourne London, j'avais le James et... James et Brian de Korn, enfin Ed et Monkey pardon, il y avait Mick et Jim Root, enfin tout le monde vraiment. [01:37:20] Speaker B: Tu m'étonnes que ton rap à un moment il est rentré, il ouvre un, je vais faire waouh. Il va falloir que je fasse quelque chose. [01:37:26] Speaker D: A savoir mon père, le terme en anglais qu'on dit c'est you're an anorak, c'est que tu portes un anorak et que t'as acheté juste un gros teubé d'un truc, et mon père l'aide la musique de sa musique aussi, donc il y a vraiment, il y a un truc familial quand même. Il a créé, il sait ce qu'il a créé. Enfin, il n'est pas surpris non plus. [01:37:46] Speaker B: Ce monstre vient de moi. [01:37:48] Speaker C: Les chiens ne font pas des chats, comme on dit. [01:37:50] Speaker B: Exactement. Depuis quand, à quel moment tu t'es dit, quel que soit l'âge, mais à quel moment tu t'es dit je veux faire un groupe, j'aimerais faire de la musique, j'aimerais partir en tournée. [01:38:01] Speaker D: Alors, guitare, je commence septembre 2001. Mes parents me louent une guitare au magasin de musique de Longjumeau. Je la garde jusqu'à février. On part en vacances aux Etats-Unis, on part en Floride. Et en fait, à côté de l'hôtel où on est à Orlando, il y a un magasin de guitare. Et on y va pendant mon anniversaire, donc le deal c'est qu'on va t'acheter ta guitare. Et donc je rentre dans le magasin de guitare, déjà j'avais jamais vu un magasin de guitare aussi cool, parce qu'il y a 10 fois plus que Jean-Jean Musique à Longjumeau là. J'ai oublié le nom, mais on dirait Jean-Jean, c'est bien. Parce que lui, il avait 3 Stratocaster. Il y a des Ibanez, il y a tout et n'importe quoi vraiment. Il y a une DeLorean aussi. Déjà t'es là, ouah trop bien ! [01:38:51] Speaker C: Non mais c'est celle-là que je veux ! Non mais c'est pas de guitare, d'accord. [01:38:55] Speaker D: Et il y a une Ibanez RG270 qui est sur le mur, qui est très semblable à ce qu'avaient en 7 cordes autant Westbound London que les gars de Korn à l'époque. Et j'ai fait, c'est ça. Mes parents m'ont acheté cette gratte-là, on l'a ramenée en France et voilà, c'est vraiment... du moment que j'avais la mienne qui ressemblait un peu plus à ce que j'écoutais et qui était une guitare un peu plus métal tout ça bah direct oui bah là tu commences un peu plus sérieusement à faire les choses même si j'ai jamais trouvé que j'étais très sérieux dans ma tête j'aurais pu être bien plus studio dans mon travail à la guitare et bah de fil en aiguille les potes avec qui j'étais au skate Il y en a un, Benjamin Roura, qui habitait juste en haut de chez moi et avec qui j'ai skaté pendant des années. Lui, il voulait faire un groupe aussi, mais lui, il voulait juste chanter, il ne faisait pas de guitare. Donc, on a commencé à faire des trucs vite fait entre nous deux chez lui, après les cours, des trucs comme ça. Et après, il y a deux gars avec qui on faisait du skate au skatepark de Morangis, Vincent Palludetto et Tony Carraquin. On a monté mon premier groupe quand j'avais 15 ans. et on a un premier concert qui commence pas très très très longtemps après, 15-16 ans. [01:40:10] Speaker C: Ça s'appelle comment ce premier groupe ? [01:40:12] Speaker D: Les Pingouins ! C'est pas vrai. [01:40:14] Speaker B: Vous savez ? [01:40:16] Speaker D: Je l'ai déjà. Oui, t'as déjà entendu. [01:40:19] Speaker B: Et moi, ça me fascine toujours ce moment où, quand t'es gamin, tu dis je veux faire un groupe, mais que t'arrives à... Enfin, que ça se passe, que t'arrives à faire ce groupe et que t'arrives à faire quelque chose qui est potable. Enfin, je veux dire, c'est un premier groupe. [01:40:29] Speaker C: Tu t'avances peut-être. [01:40:30] Speaker B: Non, mais on n'est pas sur, évidemment, quelque chose d'ultra quali, j'imagine. Mais il y a quand même quelque chose qui existe au moment des reprises qui sont pas mal. [01:40:37] Speaker D: Des chansons, quand même, qui s'appellent Monner dans ton cul, c'est quand même pas mal. [01:40:40] Speaker B: Il y avait déjà une petite thématique humour. [01:40:44] Speaker C: Petit côté grind. [01:40:46] Speaker D: C'était du ska-punk mais bon si on veut ça y va aussi. [01:40:50] Speaker B: T'as fait du ska-punk ? Bah tu me diras du skate donc oui c'est logique. [01:40:54] Speaker C: Ah du skate-punk ? [01:40:56] Speaker B: Du skate-punk, ah non. Stapito-punk ? Ouais ouais j'avais envie mais je l'ai pas dit. [01:41:03] Speaker D: Tu sais avec moi tu peux faire ce que tu veux. [01:41:04] Speaker B: Ouais ouais je sais qu'on peut dire beaucoup de conneries. [01:41:06] Speaker C: Des planches à des étrons. [01:41:10] Speaker B: Et plancher des étons. [01:41:12] Speaker C: Qu'est-ce qu'il y a ? Mathis, elle est dans le jugement j'ai l'impression. [01:41:15] Speaker E: De ouf. Je suis là que pour ça moi, pour vous regarder de haut et faire... [01:41:20] Speaker B: Ok, donc les pingouins, ça dure combien de temps ? [01:41:24] Speaker D: Ça dure quoi, 4-5 ans à peu près. [01:41:27] Speaker B: Ah ouais quand même ! Ah non, il y a une vraie histoire, je pensais que c'était un truc. [01:41:30] Speaker D: Un peu... Ouais bah c'est ça, Admirage Armes, je rentre dedans, c'est... 2008 je crois. Ouais, 2008. Donc ça a duré jusqu'à l'été de 2008. Jusqu'à mes 20 ans. Jusqu'à mes 20 ans, je l'ai fait, mais on a quand même bien tourné. On a fait beaucoup de concerts dans toute la France, dans des squats un peu à droite, à gauche. On a joué en Belgique, on a fait pas mal de trucs. [01:41:56] Speaker B: Déjà, il y a quand même une histoire. Les pingouins ont une existence qui est bien réelle. [01:42:03] Speaker C: Ça a un peu marqué le monde de la musique. [01:42:05] Speaker D: La scène punk française un petit peu. [01:42:08] Speaker E: C'est marrant parce que je viens de la scène punk française justement et j'en ai fait des squats et j'en ai écouté jusqu'à aussi. Du coup j'ai envie d'écouter parce que je connais pas et ça m'intrigue de ouf. [01:42:15] Speaker D: Faudrait que je retrouve les trucs déjà. [01:42:17] Speaker E: Du coup maintenant j'ai la curiosité d'eux. [01:42:20] Speaker C: Je peux me mettre sur Spotify ? [01:42:22] Speaker D: Et là, bah oui, je crois qu'ils vont dire non. [01:42:26] Speaker B: Ah non, non, pas ça s'il vous plaît. [01:42:27] Speaker C: Pardon, on préfère mettre des trucs qu'on y a. [01:42:29] Speaker B: On va passer un petit clip, hein, voilà, parce qu'il y a encore beaucoup à dire, mais on va revenir un peu plus tard. Mastodon, Mastodon avec ce merveilleux clip que je ne connaissais pas et que j'ai regardé, enfin je me souviens pas l'avoir vu, mais toi tu vas me dire sûrement qu'on l'a déjà vu, ou ce. [01:42:46] Speaker D: Qui m'a fait beaucoup rire. [01:42:50] Speaker B: Je te reconnais bien dans ce clip. Mais pourquoi Mastodon, groupe que tu aimes. [01:42:58] Speaker D: Bien, groupe qui t'a marqué ? Mastodon, c'est un de ces groupes où j'ai souvent dit et je le revendique encore aujourd'hui, c'est un groupe qui pourrait péter dans un micro, j'achèterais l'album. J'adore tellement ce qu'ils font. Ça a été une découverte pour moi. On avait le satellite en anglais à la maison et j'avais MTV2 et donc il y avait Headbangers Ball. Et un soir, il y a le clip de March of the Firehands, du premier album de Mastodon, donc Rémission, qui passe, mais ils ne mettent pas la bande à la fin pour dire c'est quoi. Et je vois le clip, j'entends le son, je dis « Oh, c'est trop cool ! » Mais je ne sais pas qui c'est. Ok, super, génial. Cimerleja. Et en fait, un peu plus tard, il y a le concert On Holy Alliance à Bercy, avec Slayer, Slipknot, Mastodon et Gojira. Gojira qui ouvre et Mastodon qui arrive derrière. Et en fait, juste avant d'y aller avec mes potes, on avait un site qu'on avait trouvé où tu pouvais télécharger tous les clips qui sortaient de métal. Et on téléchargeait tout parce que vraiment, il faut voir ce qu'il y a quoi cette semaine, qu'est-ce qu'on peut découvrir. Et le clip de Mastodon apparaît dessus et j'ai fait... En plus, le lien avec le concert qui arrive et avec mes potes, je crois qu'on est des rares personnes dans la salle qui connaissaient le groupe du coup. Et on était genre comme des oufs. Et j'ai adoré dès le début. Il y a Mastodon, il y a des phases dans la carrière du groupe. Si tu veux un truc plus vénère, tu écoutes les deux premiers. Le troisième, ça commence à faire un peu plus prog, un peu plus recherché, un peu plus construit, des idées plus nouvelles. Il y a aussi le fait que Brent Tynes nous a quittés il y a très récemment, et c'est une de ses morts qui m'a vraiment... J'ai eu du mal avec. Parce que tellement il était incroyable, mec. Je sais qu'il avait une réputation un peu de merde avec certaines personnes, et des trucs comme ça, et qu'il va pas être le plus simple. Mais même eux le disent, oui, c'était pas le plus simple, mais ça restait un espèce de génie. Il était ce qu'il était, il s'en est jamais caché. Et comme je l'ai dit dans un post que j'ai fait, dans un monde de shredder qui cherchait à aller plus vite que tout le monde, faire plus de notes ou plus saturé ou plus ça, lui il arrive, il fait quoi ? Il fait ce qu'on appelle du chicken picking, c'est une technique de country. Et au milieu du morceau, rip de banjo. Voilà, ouais, peinard. Génial ! Génial, en fait ! Pourquoi faire comme exactement tout le monde quand tu peux être toi-même, en fait ? Et c'est ça, j'adorais le fait qu'ils étaient eux-mêmes, en fait. Ils sont sortis d'une scène en même temps que tout l'avènement du Metalcore de Norma Jean, Everytime I Die, les Converge, enfin, Converge deuxième phase, on va dire. Et ils étaient, enfin, ils s'en foutaient, quoi. Ils étaient ce qu'ils étaient. Ils s'en battaient les reins. Et c'est ça qui est génial. C'est artistiquement, c'est génial. Et ce clip-là est débile. [01:45:46] Speaker B: Ah ouais, mais il est très bien. Franchement il est très bien. On peut le regarder avec beaucoup de plaisir, très coloré. Comparé à la musique. Mais oui, on va le regarder tout de suite. Mais ça m'avait surpris, je ne pensais pas que tu avais été un grand grand fan de Mastodon. Enfin que tu l'es toujours d'ailleurs. C'est pas le problème. Mastodon, tu veux qu'on fasse un petit jeu de poupée ? Ah il a peur. J'ai pas compris. Non mais il y a des peluches dedans. [01:46:13] Speaker C: C'est toi le ferris. [01:46:16] Speaker B: Allez c'est parti, mastodonte ! [01:46:19] Speaker A: Hi kids. [01:46:25] Speaker B: Today we're gonna talk about the solar eclipse. You see, the solar eclipse is when the moon passes in between the earth and the sun. [01:46:33] Speaker D: It looks like this. [01:46:35] Speaker B: Sometimes it can have a strange effect. [01:46:37] Speaker D: On people, and make them do things they normally wouldn't do. [01:46:43] Speaker B: Oh hey Bells ! [01:46:45] Speaker D: J'espère que nos amis de Magic Land vont bien. [01:49:48] Speaker B: Je ne me sens pas jeune Et je ne me sens pas triste Je ne me fous plus de ces pilules Mais ces jours-ci passent si vite Et. [01:50:06] Speaker A: Je commence à noter Que ceux que j'ai retenus les plus proches Mais maintenant que tu silences, mon problème c'est l'attaque. [01:50:45] Speaker D: J'ai pris beaucoup de temps, mais je ne me moque pas J'ai pris beaucoup de paranoïa, je vais dans les étapes. [01:50:50] Speaker B: Chaque fois que je ressens que je. [01:50:53] Speaker D: Tombe Pensez à une autre fois, quand j'étais putain d'aimelesse J'ai pris beaucoup de. [01:50:58] Speaker A: Ressens tombe Pensez à une autre fois, quand j'étais putain d'aimeless temps, J'ai mais je ne me moque pas J'ai pris beaucoup paranoïa, vais dans les étapes Chaque. [01:50:59] Speaker B: Fois que pris beaucoup de temps, mais. [01:50:59] Speaker A: Je ne me moque pas J'ai pris beaucoup de paranoïa, je vais dans les étapes Chaque fois que je ressens que je tombe Pensez à une autre fois, quand j'étais putain d'aimeless J'ai pris beaucoup de temps, mais je ne me moque pas J'ai pris beaucoup de temps, mais je ne me moque pas J'ai pris beaucoup de Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'espère que vous avez apprécié cette vidéo. [01:52:59] Speaker B: The Plot In You dans Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, c'est comme ça tous les dimanche soir. Notre invité, c'est Jamie Ryan qui est là et qui nous raconte un petit peu son parcours de vie. [01:53:14] Speaker D: Pourquoi aujourd'hui ? [01:53:16] Speaker B: Et bien il est comme ça. [01:53:20] Speaker D: Il n'y a pas qu'aujourd'hui. [01:53:21] Speaker B: C'est vrai que ça fait longtemps qu'on ressemble à ce qu'on est quand même aujourd'hui. [01:53:25] Speaker C: La dixième raison va vous surprendre. C'était bien jusqu'à la fin de la vidéo. [01:53:28] Speaker D: Les docteurs la détestent pour la dixième. [01:53:30] Speaker B: Mais ce titre-là, ce n'est pas toi qui l'as choisi, c'est elle ! Gladys ! [01:53:36] Speaker E: Le titre s'appelle Silence, parce que tu ne l'as pas dit. [01:53:39] Speaker B: Parce que je n'ai pas mon papier. [01:53:40] Speaker E: Il est sorti cette semaine. Et ce titre, vous l'avez tous entendu, démarre comme une caresse, un début fragile, presque acoustique, qui t'attrape par l'émotion avant de basculer dans du post-hardcore metalcore un peu noir. C'est le contraste que j'aime chez The Plotting You, vous savez tous pourquoi. Cette façon de te bercer juste avant de te briser, tu vois la nuque, ça j'aime beaucoup. Et la voix de London Towers, c'est un scream qui m'a toujours transportée, c'est la partie de mes voix scream préférées dans mon top 3, réellement. [01:54:12] Speaker C: Ouais, ça ressemble un petit peu à Lee Sykes. [01:54:14] Speaker E: Non, non, non. [01:54:16] Speaker B: J'y ai cru, j'y ai cru. [01:54:18] Speaker C: Moi aussi j'ai trouvé que ça ressemblait un peu à Lee Sykes. [01:54:21] Speaker E: J'aimerais beaucoup un featuring, de fou. [01:54:23] Speaker C: Bah mais personne ne saurait... [01:54:24] Speaker E: Mais je trouve que son scream à lui il est un peu plus brut, un peu plus écorché. [01:54:28] Speaker C: Bah ça ressemble plus à HolySykes d'un peu avant quoi. [01:54:31] Speaker B: HolySykes qui chiale quoi. [01:54:32] Speaker C: Alors pas le tout premier parce que c'était vraiment trop écorché. [01:54:35] Speaker D: Jimmy tu veux dire quelque chose ? [01:54:36] Speaker B: J'ai l'impression qu'il y a une critique. [01:54:37] Speaker D: C'est plus chiant j'ai l'impression que c'est critique. [01:54:38] Speaker C: Alors Jimmy, toi on peut... Attends, on peut... Juste deux secondes, on te coupe deux secondes. Mais pour le coup, HolySykes est venu chanter sur une de tes chansons. [01:54:46] Speaker B: Ouais. [01:54:47] Speaker E: C'est pas la même voix. [01:54:49] Speaker D: Ah bah pas à cette époque-là. [01:54:50] Speaker C: Non, pas à l'époque. À l'époque, ils faisaient que crier. [01:54:54] Speaker E: Bref, ce n'est pas comparable. [01:54:57] Speaker C: D'accord, pardon. [01:54:58] Speaker E: Je trouve que le clip colle parfaitement à leur esthétique. C'est tout à fait du De Plotinio. C'est épuré, c'est poétique, c'est presque mélancolique. Et c'est comme les paroles, il y a toujours une part de poésie dans les paroles de De Plotinio. On sent que chaque mot est vécu, chaque note est saignée. Dans les paroles, on sent la blessure, on sent la séparation, la résilience, on sent tout ça. Et en fin de compte, je trouve que ce titre, c'est pas juste un single, c'est une énième preuve que The Plot In You s'est encore touché le cœur tout en frappant fort. Un rappel que dans le vacarme, il y a des silences qui crient encore plus fort que tout. Voilà, voilà. [01:55:33] Speaker C: C'est vraiment une poète celle-là. [01:55:36] Speaker E: J'suis sensible moi ! [01:55:37] Speaker C: Y'a EnjoyTheNose qui a quand même dit dans le ch'meule qui dit Big Flo et Holy Sikes. Et là du coup j'ai envie d'un featuring. [01:55:45] Speaker D: Y'a Big Plot. [01:55:47] Speaker B: Et moi The Plot He Knew c'est un nom qui m'a toujours un peu gêné comme Taproot. [01:55:53] Speaker D: Ça c'était génial ça. T'as la proutre. Qu'est-ce qu'on a rigolé. [01:56:00] Speaker B: La France a toujours aimé ce nom de groupe. [01:56:04] Speaker C: Ça pue, t'as la proutre ? [01:56:06] Speaker B: Bah oui. Deux potinous, pas la même blague. [01:56:11] Speaker E: En tout cas ça reste mon top 3 des voix scrimées ever. [01:56:15] Speaker B: On t'aime bien. [01:56:17] Speaker C: C'est qui le top 1 ? [01:56:20] Speaker B: Le tapin ! [01:56:21] Speaker E: Il y a Ollie Sykes en première position. Rien à voir en troisième position, j'ai quand même Phil Bozeman. Donc tu vois, j'ai quand même... Ah. [01:56:29] Speaker C: Donc il est top 2 alors. [01:56:30] Speaker D: Il est pas dans le top 3. [01:56:32] Speaker A: Ouuuh ! [01:56:34] Speaker B: I change everything ! [01:56:37] Speaker E: Après il y a beaucoup de voix que j'aime, donc je pourrais faire un top 50. [01:56:40] Speaker C: Ah bah oui. [01:56:41] Speaker B: Moi il y a la voix d'Eddie Murphy. Ah Philippe ! Ah tu fais des blagues de Michel Deme. [01:56:49] Speaker D: Non, celle-là, je la faisais pour Philippe de Villiers. [01:56:53] Speaker B: Bon, très bien, vous savez aussi à ce moment-là de l'émission, on fait la parmelle aux personnes qui nous suivent, les bangers, qui s'abonnent à notre Patreon pour nous soutenir financièrement. On a besoin de votre aide pour pouvoir continuer, louer, bien sûr, cet endroit magnifique dans lequel nous faisons cette émission extraordinaire. [01:57:08] Speaker C: C'est surtout pour payer Marcel. [01:57:09] Speaker B: Voilà, et pour payer Marcel, surtout, qui est de l'autre côté. [01:57:12] Speaker C: Le loyer, on s'en occupe, mais... De. [01:57:15] Speaker B: L'Autre côté, celui qui est caché, celui qui vient de revenir, qui a enfin ramené ses quelques poivrons élevés du côté de la Hongrie. [01:57:21] Speaker E: C'est pas des betteroves ? [01:57:22] Speaker B: Et les chèvres, bien sûr, dont il profitait et dont il abusait. Mais toujours est-il que si vous avez envie de nous soutenir financièrement et empêcher Marcel de faire des blessures à ses petites chèvres, eh bien, donnez-nous des sous en vous abonnant au Patreon. C'est bien vendu, hein, t'as vu ? [01:57:36] Speaker E: Ah bah là... T'as carrément des gens qui t'ont anticipé, qui ont marqué « envoyer des sous » avant même que tu le dises. [01:57:41] Speaker B: Bah voilà, très bien. [01:57:42] Speaker D: « Envoyer des sous » ! Des sous, ouais, plutôt, ouais. [01:57:44] Speaker C: Écrivez à l'arc ! [01:57:46] Speaker B: Donc voilà, si vous vous abonnez et que vous êtes abonné Headbangers, vous avez l'autorisation et la chance de pouvoir choisir et lancer une battle autour de clips que vous choisissez. Là, c'est Kevin Parent qui a gagné. [01:57:58] Speaker C: Il est content. J'ai vu qu'il avait... [01:58:01] Speaker B: Il a demandé... Ça fait plusieurs fois qu'il lançait des trucs et il perdait à chaque fois. [01:58:05] Speaker C: Bon, il a demandé. Il fait, non c'est bon, on peut fermer les votes. Dès qu'il est rentré, il a dit, c'est bon maintenant on peut arrêter les votes. [01:58:12] Speaker B: Il n'a pas eu besoin de tricher. Non, non, non, mais il n'a pas gagné pour la chanson qu'il voulait que tout le monde voie, mais c'est pas grave. Il a gagné quand même pour Pale Face, Pale Face Suisse, pardon, avec Please End Me. Et donc, ceux qui gagnent ont le droit de laisser un petit message. [01:58:29] Speaker C: Est-ce que vous avez pensé à vous appeler, avec Mass Hysteria, vous appeler Mass Hysteria France ? Parce que Pell fait Swiss, cool like in Texas. [01:58:36] Speaker D: Nous on a juste un truc, c'est qu'il y a un espèce de rappeur qui s'appelle Macisteria qui arrête pas de uploader ses trucs et que ça se retrouve sur notre truc. Mais ce qui était génial c'est qu'il y a quand même eu un album ou un EP ou un truc qui s'appelait Fredo's World. Donc nous on l'était genre. Tu sais Fred, tu te fais un petit projet perso, tu nous dis rien, bon bah tu le lances un truc de rap, mais vraiment genre il y a eu deux secondes de... Hein ? Qu'est-ce qu'il se fait ? Ouais peut-être qu'il va falloir, je sais pas... Ça fait long encore, M'assister à rien à France... [01:59:09] Speaker C: Tu peux faire F.R. [01:59:10] Speaker D: M.H.F.R. [01:59:13] Speaker B: M.H.F.R. [01:59:14] Speaker D: M.H.F.R. [01:59:15] Speaker B: Si on écoutait le message de Kevin... Ah oui, pardon. Alors attention, on a toujours des moyens. J'espère que j'ai mis du son. Attends, je vérifie. [01:59:21] Speaker E: En tout cas, très bon choix. [01:59:23] Speaker B: Hop, j'appuie sur le bouton, je le vois pas trop. Hello Bang Bang ! Petit message cette semaine puisque j'ai enfin. [01:59:30] Speaker C: Réussi à gagner ce fichu concours. [01:59:32] Speaker B: Il aura fallu que Sushi Ice se désiste pour que je puisse avoir une toute petite chance. Donc merci à elle, merci à elle pour le soutien de la semaine dernière. Pierre, n'oublie pas que tu nous l'as mis à l'envers, mais on t'en veut pas. Pour cette semaine, ce sera donc une chanson de Belface Suisse. groupe suisse comme son nom l'indique, originaire de Zurich. [01:59:57] Speaker D: Petite précision pour la dame très pointilleuse qui est Gladys. [02:00:04] Speaker B: Je les ai vus cette année au Motocultor, ça m'a décalqué la tête. [02:00:09] Speaker D: C'est de la brutalité, de la brutalité. [02:00:12] Speaker B: Et quand il en manque encore un. [02:00:13] Speaker D: Peu, de la brutalité. Donc kiffez bien, je pourrais pas vous voir aujourd'hui, je suis en plein roadtrip. [02:00:21] Speaker B: En Angleterre, mais je vous verrai sur. [02:00:24] Speaker C: Le replay Patreon, donc kiffez bien, à plus ! [02:00:29] Speaker B: Ripley effectivement qui est disponible dès demain à partir de 17h30 en intégralité avec les clips et seuls les Headbangers donc abonnés Patreon ont la chance de pouvoir y avoir accès Avant tout le monde hein ! [02:00:40] Speaker C: Avant le vendredi sinon c'est le vendredi. [02:00:41] Speaker B: Mais le vendredi ils n'ont pas les clips. [02:00:43] Speaker C: Il n'y a pas les clips bien sûr. Il y a la playlist. Oui il y a la playlist. [02:00:47] Speaker B: En tout cas voilà petit message de Kevin depuis Londres. C'est plutôt sympa de savoir. [02:00:52] Speaker C: T'as vu qu'à chaque fois ils tous ils mettent des petits messages pour Gladys à chaque fois. Va falloir que t'arrêtes d'être aussi canon. [02:00:58] Speaker E: La prochaine fois je viens avec un haut transparent comme ça je peux éclater les scores. [02:01:01] Speaker B: C'est tout ce que nous on demande. N'hésite pas. [02:01:06] Speaker C: Parce que moi j'en connais... Votez au foudre, votez au foudre. Je dirais pas qui mais il est possible qu'il y ait des hauts transparents aussi. [02:01:13] Speaker E: Non mais en vrai vous remarquerez qu'à chaque fois ils m'évoquent sans jamais évoquer mon physique. Parce que c'est des vrais gens. Qui ne s'attardent pas sur l'apparence. [02:01:23] Speaker B: Et fort heureusement parce que je vis ici. [02:01:25] Speaker C: Non mais parce que nous on te connait personnellement donc on essaie de trouver les points forts. [02:01:30] Speaker E: Toi aussi ça va se régaler. [02:01:35] Speaker B: Bon, on va regarder ce petit clip. Alors attention, ce clip apparemment est un petit peu violent. Il y a des moments qui choquent, etc. Non mais bon, je l'ai regardé, il n'y a rien qui choque. C'est juste qu'effectivement, il y a un peu de sang sur le visage. Mais c'est ça la Suisse. Finalement, ils ont fait signe. On va s'arrêter là sur l'histoire. [02:01:51] Speaker C: Il y a de l'or dedans. [02:01:52] Speaker D: Tu connais le financement ? [02:01:54] Speaker B: Bisous aux amis suisses et on ne regarde pas le Face Suisse. [02:02:08] Speaker A: J'en ai marre de ce que j'entends From the bottom of the bottle to the top of the sky Tell me why I shouldn't ! care but I ain't made I can see my soul becoming hollow When the earth breaks inside my bed, it's perfect I wish I could have some fucking enough But I cannot overcome my fucking faith To let go of my pride So overcome my fucking faith To let go of my pride Everything you need is stolen, everything you need is chained, so bitch, it's mine I set up my fucking party, which is a topic, we beat the fuck out of these guys I set up my fucking party, which is a topic, we beat the fuck out of these guys J'ai un putain de problème ! PLEASE COMPENSATE ME. [02:05:12] Speaker C: Bellface suisse ! [02:05:14] Speaker B: Bellface suisse ! Un choix donc de Kevin Parrant sur notre Patreon si vous avez envie de nous soutenir n'hésitez pas à vous abonner au Patreon il y a trois niveaux. [02:05:24] Speaker D: Et il y en a un à. [02:05:25] Speaker B: 6,66€ c'est le tout premier et ça nous aide déjà énormément sinon vous pouvez faire un don, point d'exclamation, don dans le chat, dans le ch'meul pardon, en direct et bien évidemment sur notre site il suffit d'aller dans écouter radio et puis vous avez un petit carré rouge dans lequel vous avez Payaso. On était en train de parler de saucisses, de steak haché, moi je me suis un peu perdu dans tout ce qu'on était en train de dire. [02:05:45] Speaker C: Oui, une discussion culinaire. [02:05:46] Speaker D: Les spécialités de l'Irlande, écoute. [02:05:49] Speaker B: Les skittles au steak haché, moi j'ai rien compris, je suis perdu. Très bien. Alors, parce que là je suis perdu, c'est pas toi tu voulais faire un truc, mais c'est Ben qui... Non, non, c'est Ben. [02:05:59] Speaker C: Non, mais toi tu voulais dire... Ah. [02:06:01] Speaker E: Je voulais juste dire qu'il y avait un clip de The Prestige, enfin c'est un clip lyrique de The Prestige qui est sorti, Cri du coeur, et qui mérite d'avoir un peu plus de vues à mon sens. [02:06:08] Speaker C: Gris de coeur, meilleure chanson de l'album, Amère, à mon sens, chanson incroyable avec ce break qui fout des frissons. Surtout la fin, on a la fin... [02:06:19] Speaker D: Un bisou à Deux Prestige d'ailleurs. Je vous aime. [02:06:31] Speaker C: Si, oui, ils ont parlé qu'il y. [02:06:33] Speaker B: Avait un album carré. [02:06:34] Speaker E: Je sais pas, moi j'ai les infos à l'avance, mais du coup je sais pas si j'ai le droit de les dire ou pas. [02:06:38] Speaker D: Du coup, il y a peut-être un album carré. [02:06:41] Speaker B: Oui, on imagine qu'il pourrait y avoir un album carré. [02:06:44] Speaker C: On en a déjà parlé, donc... Bon. [02:06:47] Speaker B: Et toi mon Ben, tu voulais nous parler de quelque chose qui te tient avec ? [02:06:51] Speaker C: Non, moi je suis tombé sur cette chanson, j'ai bien aimé, alors je me suis dit tiens on va passer ça. C'est un groupe qui s'appelle Don't Try, vous connaissez Don't Try ? C'est un groupe canadien, ils viennent de Quebec City. de Québec. C'est un groupe qui s'appelait, avant ça s'appelait Boondaries. Ils ont fait trois albums sous ce nom là et là ils ont rebrandé. Maintenant ils s'appellent Don't Try et ils ont fait deux EPs. Et du coup là il y a un EP qui est sorti le 1er mai 2025 qui s'appelle Cries of Domination. Et il y a une chanson qui s'appelle Universal State of Melancholy. [02:07:35] Speaker B: Déjà c'est des bonnes nouvelles. [02:07:38] Speaker C: C'est vraiment, on est sur de la joie de vivre, de la violence, ça parle de souffrance, ça parle d'aller mal, de ne pas s'en sortir. Vraiment c'est vraiment tout ce qui symbolise ta vie. [02:07:55] Speaker E: Mais du coup ils ont juste changé de nom au final parce que Boundaries c'est quand même... Ouais mais ça me. [02:08:00] Speaker B: Semble plus violent maintenant. [02:08:02] Speaker C: Oui, oui, ils ont juste changé de nom. [02:08:04] Speaker E: C'est ça. [02:08:04] Speaker C: Et je pense que, en fait, du coup, j'avais écouté, j'ai écouté un peu ce qu'ils faisaient avant. Il y avait un côté peut-être un peu plus, un peu plus trash. [02:08:13] Speaker E: Ouais. [02:08:13] Speaker C: Il y a des passages un peu trash, tout ça, toujours avec cette grosse vibe un peu hardcore, punk hardcore, machin. Et là, les nouveaux trucs, c'est vraiment beaucoup plus, c'est plus sombre. [02:08:23] Speaker E: OK. [02:08:23] Speaker D: Ce que tu es en train de dire, c'est qu'ils ont passé leurs propres limites. [02:08:28] Speaker C: Je l'ai, je l'ai. Très bien. [02:08:30] Speaker B: À vous. [02:08:32] Speaker C: Parce que le nom du groupe, ça veut dire Limite. [02:08:34] Speaker D: Bah oui, c'est Limite. [02:08:37] Speaker B: Ah moi je croyais que vous étiez en train de parler d'Extrême Limite, cette série qui était délicieuse. [02:08:40] Speaker D: Tu vas te remplir de l'action. [02:08:41] Speaker C: C'est ton bonheur, c'est ta passion. [02:08:42] Speaker B: Exactement. [02:08:43] Speaker C: Le désir te donne le zèle. [02:08:44] Speaker E: Ils ont beaucoup communiqué sur ce changement de nom ? [02:08:48] Speaker C: Je sais pas, il y a deux EP qui sont... Alors le changement de nom, je crois qu'il a intervenu vers 2022. Et apparemment, de ce que j'ai vu. [02:08:58] Speaker B: Je vais vous donner les infos que j'ai. [02:09:02] Speaker C: Et en tout cas, c'est très vénère. Là, c'est très sombre. [02:09:10] Speaker B: Ça c'est version canadienne sur le côté. [02:09:13] Speaker C: Et moi, j'aime beaucoup. Et j'ai vu que dans le groupe, il y a quand même un mec qui s'appelle Louis La Douceur. Et je veux dire, rien que pour ça, il fallait qu'on vous le passe. Alors le clip est pas ouf, je vous le dis direct. [02:09:26] Speaker B: Mais le son est cool. [02:09:28] Speaker E: Mais le son est très cool. [02:09:29] Speaker C: Le son, ouais. Il y a une longue intro. [02:09:32] Speaker B: Par contre, il faut écrire plus gros, Marcel. [02:09:34] Speaker D: C'est pas le même... Bah c'est pas le même Boundaries. Ah, c'est pas le même Boundaries, d'accord. Ok, parce que je me disais bien aussi... [02:09:40] Speaker C: Mais le groupe s'appelait Boundaries avant, je vous transmets les infos que j'ai. [02:09:43] Speaker E: Du coup, ils ont bien fait changer. [02:09:43] Speaker D: De nom parce que... Ah, la poupée. [02:09:47] Speaker B: Gonflable avec sexe réaliste. C'est dans le quoi ça ? Titi Twister ? C'est dans South Park je crois. [02:09:53] Speaker D: Et le Titi Twister et toutes ces choses-là. [02:09:56] Speaker E: Ça me rassure un peu parce que je me disais quand même de pas. [02:09:58] Speaker D: Avoir vu passer cette infos. [02:10:00] Speaker C: Moi je vous ai des infos que j'aime, voilà ! Vous en faites ce que vous voulez, vous en faites ce que vous voulez. [02:10:06] Speaker B: Non mais c'est mieux que Bandariz les autres. [02:10:08] Speaker C: Oui parce que le Bandariz que je. [02:10:10] Speaker E: Connais est déjà très cool comme groupe. [02:10:11] Speaker C: Donc c'est pour ça que j'étais un peu surpris. Alors là c'est vraiment, c'est méchant, c'est juste méchant. Y'a pas de... J'ai fait écouter deux chansons à Pierre pour savoir laquelle il voulait et il m'a dit c'est la même. [02:10:24] Speaker B: Je lui ai dit c'est la même et après je lui ai dit en fait c'est très violent. [02:10:28] Speaker C: Et Pierre après il m'a dit mets la plus violente. [02:10:33] Speaker E: Bon bah j'ai très hâte de découvrir ça. [02:10:34] Speaker D: T'as mis les deux en même temps. [02:10:35] Speaker B: Non il n'y a pas besoin, t'en. [02:10:38] Speaker C: Écoutes une, t'as les deux. Donc là c'est un EP 4 titres qui est sorti, c'est pas mal. Ils sont tournés en Europe avec... Où ils étaient ? [02:10:46] Speaker D: Avec Bavuris. [02:10:48] Speaker E: Mais rappelle-moi le nom du groupe, du coup ! [02:10:50] Speaker B: The End ! [02:10:51] Speaker C: Non, don't try ! The End, c'était vachement bien ! [02:10:56] Speaker D: Le deuxième album était fou, t'es génial ! [02:10:57] Speaker C: Incroyable, cet album. Ils étaient en tournée avec ConcertBats. Mais ils ne sont pas passés en France. [02:11:07] Speaker D: Moi je les aime bien les cancerbats, on a beaucoup joué avec eux. [02:11:11] Speaker B: Ah pis ils sont rigolos. Ah pis c'est des mauvais cul. [02:11:14] Speaker D: Liam il a toujours été très drôle. [02:11:16] Speaker C: Mauvais cul. Badass en français c'est moi le cul. Bon on y va ? [02:11:23] Speaker B: Ah d'accord c'est fini ? [02:11:24] Speaker C: Bah écoute moi j'ai rien d'autre à dire, c'est violent, c'est méchant. [02:11:27] Speaker B: C'est la recette à la tartine dans la gueule. [02:11:30] Speaker C: Y'a un côté hardcore old school mais production moderne, ça tabasse, ça fait mal, c'est bête et méchant. Mais c'est pas comme Kublai Khan, c'est un autre bête et méchant. [02:11:41] Speaker B: Ouais ça fait pas ouf ouf quoi. [02:11:42] Speaker C: Ça fait moins ouf ouf. [02:11:44] Speaker B: Il y a plus un côté old school, je trouve. [02:11:48] Speaker C: Mais j'aime bien, moi. [02:11:49] Speaker D: Quel animal ? [02:11:51] Speaker E: Ça me tisse bien. [02:11:52] Speaker C: Ils font pas d'animaux. Ils sont civilisés, ils sont francophones, ils viennent de Québec. [02:11:59] Speaker D: J'ai plein d'amis au Québec, je sais pas de quoi tu parles. [02:12:05] Speaker B: Bon très bien, allez, on va continuer, on t'aime, on va regarder Don't Try, c'est ça ? [02:12:11] Speaker C: Don't Try avec la chanson University of... Don't Try avec Universal State of Melancholy, voilà, c'est parti. [02:13:33] Speaker A: C'est génial C'est génial ! I'm sorry, I'm lost, I'm falling asleep I'm sorry, I'm blind, I'm falling asleep I'm disoriented, I'm running, I'm falling away I'm lost, I'm here, I'm lost, I'm lost, I'm lost, I'm here Stuck with the waves In my head, my head, my head I'm dead, I'm trapped with the waves J'essaie de me séparer, j'essaie d'ouvrir les yeux, j'essaie d'ouvrir mon esprit. C'est Eh. [02:16:54] Speaker B: Ben Mazette, ça génial c'est de ! la musique. Arche path avec donc le titre, je vais le dire donc, Absolve Neglect. Voilà, vous jouez dedans n'est-ce pas ? [02:17:06] Speaker D: Ouah, je suis dedans ! [02:17:07] Speaker B: J'aime bien dedans ! [02:17:09] Speaker C: Il est dedans, il joue pas dedans. [02:17:11] Speaker D: Sur ce morceau là, y'a pas une once de moi, donc j'ai pas joué dessus, y'a rien, je suis dans le clip. Ah oui, dans le poster. Non, c'est un poster. [02:17:20] Speaker B: Cette émission est sous le signe de la blague. [02:17:25] Speaker C: On peut en profiter pour faire un petit bisou à Mathieu ? [02:17:28] Speaker B: Oui, des cœurs à Mathieu ! Mathieu qui nous a accompagnés pendant tant d'années dans Bring the Noise pour célébrer le rock comme il se doit à travers des pays d'Europe. L'Espagne en l'occurrence, de vos souvenirs. [02:17:44] Speaker C: Oh là là, la route ! [02:17:46] Speaker B: Ah oui, la route, c'est vrai, c'est le retour ! [02:17:48] Speaker D: Ce qui est génial, c'était mon bassiste dans un de mes groupes, j'ai même pas besoin de savoir ce qu'il a fait, je pense que je sais très bien ce qu'il s'est passé. [02:17:58] Speaker B: Et j'ai déjà dû entendre... [02:18:02] Speaker D: Mais j'ai déjà dû entendre et surtout je crois que ça c'est un espèce d'amalgame de tout ce qu'il a pu faire qui représente quelque chose et que de toute façon t'es jamais surpris je crois. [02:18:12] Speaker C: De toute façon tout se retrouvera dans sa biographie. [02:18:16] Speaker B: Non mais on a pu enfin sélectionner les photos pour un moment important donc du coup on va pouvoir sortir tout ça sur un diaporama. [02:18:24] Speaker C: Ah oui, je vois ce que tu veux dire. [02:18:26] Speaker B: Ah d'accord ok, moi aussi je dois. [02:18:28] Speaker C: Le comprendre, oh mon dieu. [02:18:30] Speaker B: Moi je suis ravi en tout cas, je suis bien content que c'est les seules photos qui n'aient pas été effacées de mon ordinateur. Bon il y a des vidéos aussi, mais bon on verra selon le temps. [02:18:39] Speaker C: Ça va être un sacré moment. [02:18:41] Speaker D: Il va falloir que je fasse les archives de l'Admirals Arms. [02:18:43] Speaker B: Ah bah ouais surtout, fais moi plaisir, on va organiser ça tous les deux parce qu'on a toujours bon choix, on fait bon choix je pense. Pour célébrer la fête. [02:18:50] Speaker C: Le diaporama qui va durer 16h30. [02:18:53] Speaker B: Et où il n'y aura vraiment plus personne au bout de 2 minutes parce qu'on aura dit non c'est bon laisse tomber. [02:18:57] Speaker D: Il sera encore à 4h du mat' tous les haricains ils vont dire qu'est-ce qu'ils font. [02:19:01] Speaker B: Toujours est-il qu'on lui fait un gros bisou parce qu'on a vécu beaucoup d'aventures et qu'on l'aime de tout notre love. [02:19:07] Speaker D: J'ai peur du coup il y aura mes parents. [02:19:09] Speaker B: Et pas qu'eux. C'est vrai que si ça s'arrête, ça se limite à ça. Bon, on va quand même continuer à parler de toi parce que c'est quand même le sujet, Mathieu. On t'aime beaucoup mais bon, voilà, on. [02:19:23] Speaker C: Va pas faire l'émission. Tu viendras dans l'émission une autre fois. [02:19:24] Speaker B: Tu viendras dans l'émission, comme ça on pourra en parler. [02:19:26] Speaker D: En gros, je reviendrai à ce moment-là aussi. Ah bah oui, bon. [02:19:28] Speaker B: Les gens passeront, ça sera comme à l'époque, ce sera un gros bordel. Mais... Mais alors, donc, on en était au moment où Pinguin... Les pingouins s'arrêtent. Les pingouins s'arrêtent. La banquise a fondu. [02:19:38] Speaker D: Donc, on en passe... Donc, j'ai... Je fais... J'ai un petit groupe qui se fait avec un pote entre les deux, entre la Transition Pingouin et l'Admiral, qui s'appelle Copenhague, qui est avec Paul Pechenar, qui est le batteur de Guerrier Poubelle. Et donc j'ai ça qui se fait entre deux. Et en fait, un jour, je vais chez Paul Pechenar et il écoute en fait Admiral Zarbz. Et en fait, il cherchait un bassiste parce qu'à un moment, le guitariste va s'en aller, s'en va et Mathieu devait passer à la guitare. Et donc il cherche un bassiste et j'entends le truc, je fais, putain, c'est pas mal. Et je venais de découvrir Misery Signal. Donc je fais un peu le lien entre les deux parce qu'il y a une grosse influence Misery Signal dans l'admiral. Je fais, oh bah putain, si jamais un jour il cherche un gratteux, tu me le diras. Et en fait, du coup, Mathieu reste à la basse et du coup, il cherche un gratteux et j'ai réussi à rentrer dedans. Et c'est là que je me dis, bon, c'est un groupe un peu plus sérieux. Des trucs comme ça, je ne vais pas avoir le temps de faire des concerts de punk où on fait n'importe quoi. [02:20:35] Speaker B: Groupe un peu plus sérieux. Ah oui, dans le sens où... Juste. [02:20:37] Speaker D: La musique, pas ce qu'elle est autour. Oh, tu dis ça comme si on avait une réputation. [02:20:43] Speaker C: Ah bah moi je sais pourquoi ça s'est arrêté. [02:20:45] Speaker D: Bah pas à cause de cette réputation là. [02:20:48] Speaker C: Non. [02:20:49] Speaker B: Bon tout doit être filé. Il y a des mots qui sont largués. Donc oui, et du coup, là c'est le kiff. [02:21:01] Speaker D: J'arrive dans le groupe, je l'intègre et du coup je dis au gars d'épinglement, écoutez, je vais arrêter, je vais essayer de faire ça. En fait, c'est la première... Enfin, le premier moment où je peux me dire, il y a peut-être un truc, il y a peut-être un moyen de faire quelque chose dans tout ça et de se donner. [02:21:19] Speaker C: Et ça te parle un peu plus, musicalement ? [02:21:21] Speaker D: Oui, mais après c'est moi qui composais pour les peintres et j'ai aussi grandi dans la scène punk, j'adore le punk, enfin Blink 182 reste un de mes groupes préférés, mais pas que. Tout ce qui va à Non More Black, Dillinger 4, plein de trucs de punk que j'adore aussi. Mais à ce moment-là, oui, j'ai envie de travailler un peu plus mon jeu de guitare, j'ai envie de progresser, des trucs comme ça, ça fait 5 ans que je fais de la guitare à ce moment-là, un peu plus. [02:21:45] Speaker B: Ça fait 5 ans. [02:21:46] Speaker D: 5, 6 ans ? Attends, 2008. [02:21:49] Speaker B: Ça va vite. [02:21:49] Speaker D: Ouais, 6 ans, on va dire. 7 ans, c'est vrai, j'ai bu. Donc je fais mon dernier concert avec les Pinguins à Morangis, dans le 91. Et les gars de Admiral viennent au concert, parce que de toute façon, une partie était dans le 91 et tout ça, donc ça se passe très bien. Nous, on est dernier concert, dernier sur l'affiche, tout ça. Donc c'est vraiment le concert d'adieu. Ça le remplit, ça se passe très bien. Quatrième morceau, En torse du genou. J'ai les deux genoux qui viennent se toucher alors que j'ai les jambes écartées. C'est bizarre comme sensation. Je me laisse tomber, je peux plier mon genou, je me dis c'est pas cassé, c'est bon. J'essaie de me relever, mon genou commence à se plier dans le mauvais sens. Je m'assoie sur l'ampli. Quatrième chanson, il en reste 16. [02:22:39] Speaker B: Ah ouais ! [02:22:40] Speaker D: C'est un concert de punk. Je finis le concert et direct aux urgences. Et 7 ans plus tard, j'apprendrai que je me suis déchiré ligament. 7 ans plus tard. [02:22:53] Speaker B: Sérieux ? Bah attends, mais c'est quoi ce... Bah. [02:22:55] Speaker D: Parce que l'urgentiste a dit, ouais c'est bon la radio t'as rien, enfin y'a pas que les... Ouais non c'est bon, t'as rien, compresse et ça ira, t'inquiète pas, je te donne du paracétamol. [02:23:02] Speaker B: C'est qui cette personne ? [02:23:04] Speaker D: C'est un urgentiste, j'en sais rien, je peux me méfier. [02:23:08] Speaker C: Ça se doute bien, oui. [02:23:09] Speaker B: Donc t'es tombé sur le bon, quoi. [02:23:12] Speaker D: Et du coup, le problème, c'est que je fais un IRM genre quatre mois plus tard, parce qu'il n'y a pas d'urgence, techniquement. Et ils me font, t'as un problème de masque, c'est tout. [02:23:21] Speaker B: Ok, très bien. Et là, je te dis, je l'ai traîné, c'est la merde. [02:23:25] Speaker D: Ça tombe bien parce que Mathieu avait un problème de genoux, et Hendrick aussi, donc ça commençait très bien. C'était un peu un rite de passage pour intégrer Admirals. [02:23:34] Speaker C: La condition pour jouer dans le groupe. [02:23:35] Speaker B: Wow, très très bien. Après tu rentres dans Admirals, et là c'est vrai qu'il se passe beaucoup de choses. T'es excité, tu sens qu'il y a tout un truc qui se passe. [02:23:45] Speaker D: Il y a de ça, donc on arrive à passer une étape de jury pour aller jouer sur le Warped Tour aux US. Donc on gagne le concours, donc il fallait voter les trucs, donc on part jouer à Orlando. Et en fait, entre temps, en même temps, l'ancien batteur de Norma Jean qui vient de quitter le groupe nous prend en management. Donc autant le batteur, vraiment le groupe qui est genre le fruit du grosse influence avec Everytime I Die sur Admiral et de notre côté, c'est un peu fou. On change de batteur et de guitariste entre temps déjà en un an. Donc il y a Moose Benacer qui rentre et Gary Royan et les choses s'accélèrent un peu. Donc tu as l'impression qu'il y a un coche à prendre, il faut qu'on y aille. Donc on fait les concerts en... aux Etats-Unis, à Atlanta, on joue à Atlanta, on joue à Mobile, Alabama. [02:24:43] Speaker B: Très bien. [02:24:45] Speaker D: On fait des dates avec The Chariot, qui est une des autres grosses influences, le groupe que le chanteur de Norma Jean, le premier, fait après avoir quitté Norma Jean. Le chaos sur scène, c'est vraiment un des meilleurs trucs du monde. C'est le groupe jusqu'à présent que j'ai le plus vu en concert. Et ouais, je réalise pas trop. Il y a un des jours, je suis en train de bouffer du Taco Bell dans le salon de Josh Coggins de Chariot en train de regarder Simpsons. J'ai 21 ans et j'arrive à peine dans ce groupe. Je suis genre, putain, c'est un peu fou. [02:25:19] Speaker B: C'est la trique en permanence, quoi. [02:25:21] Speaker D: On rentre, on fait un EP, il y a un petit bruit qui se génère, on reçoit un mail un soir, il y a quelqu'un qui cherche un groupe pour ouvrir pour Every Time I Die au Luxembourg, vous êtes chou. En fait, il y a une succession de choses qui est vraiment juste incroyable. J'arrive à choper un sponsor en ampli. Vraiment, il y a plein de trucs et c'est genre, oh putain, on peut y aller. Il faut qu'on y aille. On devient un peu obsessionnel aussi parce qu'à un moment, je crois qu'on répétait jusqu'à trois fois par semaine, au moins trois ou quatre heures. On a beaucoup travaillé. Première tournée européenne qui tombe en 2010 parce que c'est un pote d'un des groupes qui nous aimait sur Myspace et il partait à deux groupes suédois et il a dit, mais il y a un groupe français, faudrait vraiment que vous les foutiez dessus. Et c'est comme ça que c'est arrivé. Enfin, c'est vraiment... Il y a encore ce côté DIY vraiment très présent encore dans cette scène, Metalcore, Postcardcore, tout ça. Et on part en tournée pendant deux semaines en Europe. Et j'ai pas le droit de conduire le van parce que ça fait un an que j'ai mon permis. Il faut trois ans de permis. Donc j'ai bu pendant 17 jours. C'est simple, la rencontre s'est faite à Hambourg pour la première date donc les suédois ont joué juste avant au Danemark ou en Suède ensemble et c'était histoire de faire un truc sur la route. Donc Hambourg, la salle c'est Hafenklang. Littéralement, eux arrivent, ils sortent deboutés d'un truc qui s'appelle Fesk. qui est du Fisherman's Friend en alcool. Et nous, on sort deux bouteilles de Jäger et la tournée commence comme ça. Et c'est parti comme ça. Et c'était trop bien. Et ce qui est très drôle encore de nos jours, je trouve ça incroyable parce que l'un des deux groupes s'appelait Her Bright Skies, qui était un espèce de paramore, mais que avec des mecs. Tu les dois de la bonne mèche comme ça. Little Miss Obvious. Vraiment ça. Et le gratteux, c'est le gratteux de Bad Omens. Donc ça me fait marrer de voir Yoakim, qui s'appelle, de le voir et voir ce qu'il arrive à faire maintenant. C'est incroyable. La progression est folle, mais ça me fait juste marrer de savoir que moi, je l'ai vu faire des petites chansons pour minettes de 15 ans. C'est très drôle. Oui, mais à l'époque, elles étaient vraiment pour des minettes de 15 ans. Ils étaient là, c'était synchronisé, les p'tits jeans bien, c'est Harry Kane qu'il fallait. Bon, on les avait aussi, mais eux ils avaient la classe, nous on avait vraiment des gueules de merde. Et... Et ça... Bon, il est suédois, écoute. Il peut pas... Il peut pas comprendre la langue. Et la tournée se passe bien et c'est des gens avec qui, si j'en croise un, c'est encore assez cool de les voir adeptes. C'était l'autre groupe qui revient maintenant en ce moment et qui se relance, ce qui est cool à voir aussi. Et donc cette tournée se passe bien. On rentre, on continue à essayer de progresser les choses. Et plus tard, 2012, on part un mois en tournée avec Norma Jean et notre chariote. Et à l'origine, il devait y avoir Stray from the Path, mais qui ont eu un accident de van qui, du coup, ont dû annuler parce qu'ils devaient racheter un van, donc plus les thunes pour venir en Europe. Et c'est remplacé par un groupe canadien qui s'appelait Talent of Rain, qui, le gratteux maintenant, joue dans un groupe qui s'appelle Teeth. Excellent groupe. Et pareil, pour la plupart, c'est des gens avec qui je parle encore aujourd'hui, parce que les amis que tu te fais en général en tournée sont des gens que, même si tu ne vas pas les voir, parce que c'est tous des Ricains ou des Canadiens, des trucs comme ça, reste quand même une partie de ta vie, parce que tu as vécu quand même des trucs incroyables, dans une intimité inexistante. Et pendant un mois, vraiment, à se voir tous ensemble, à bouffer ensemble, c'est vraiment une vraie famille qui se forme. Et Chris, le guitariste de Dead and Divine, qui est dans Thief maintenant, il travaille pour une marque d'amplis de guitare. Je l'ai croisé quand j'étais au NAMM à Los Angeles et c'était trop cool de le voir. Il y a des vrais liens qui se créent. Et bon, on rentre de cette tournée et on arrête. Tensions à l'interne, des histoires de merde que maintenant plus tard tu te dis bon on a été un peu cons et on a... Je pense qu'on s'est tous mis beaucoup trop de pression pour quelque chose mais parce qu'on avait vraiment l'impression... Ouais mais on avait aussi l'impression que c'était... C'était do or die, c'était vraiment genre c'était le moment où il fallait faire des trucs. Et bon, on l'a raté et c'est pas grave parce que ça a mené à d'autres choses pour tout le monde. Et autant à Mouss, il a fait bagarre son truc d'électro, qui ont fait, qui ont eu une carrière un peu fulgurante et qui sont en train de finir maintenant avec des belles dates à Paris qui sont complètes. Ils viennent de faire la fête de l'Huma et je suis trop content pour lui d'avoir fait ça. Il s'est mis dans un milieu qui est complètement autre et il se lance dans des trucs hyper cool. Mathieu est retourné aux Etats-Unis parce que Mathieu est américain. [02:30:09] Speaker B: Au moins là-bas, il a des papiers. Ouais, voilà. [02:30:14] Speaker D: Pardon, l'immigration canadienne. Et lui il s'est lancé à travailler dans la télé et dans les trucs et comme Mathieu est le seul à pouvoir le faire se retrouve d'un coup chargé de prod ou je sais pas quoi alors que c'est juste un concours de circonstances comme à chaque fois et on comprend pas comment il fait mais il a toujours eu le talent et juste vraiment le culot de faire ces trucs là et je suis ultra fier de ce qu'il a pu faire là-bas en très peu de temps Et Hendrik, il me fait juste marrer, il est devenu daron, c'est vraiment un daron, je le vois maintenant, il est là avec ses cheveux gris, il parle de ses enfants, c'est drôle de le voir et je l'adore vraiment de tout mon cœur, c'est vraiment une des meilleures personnes que je connaisse. Et voilà, ça s'est fini. Gary, je l'ai revu une fois à Turnstyle. Je n'ai pas revu depuis parce que c'était une des raisons pour lesquelles j'ai quitté le groupe. C'était un peu son attitude. C'est des histoires anciennes et quand je l'ai vu à Turnstyle, j'étais très content de le voir et j'en ai plus rien à foutre. Ce n'est pas grave, c'est passé depuis. Et donc ça, ça se finit en 2012. Et en fait, j'ai un peu lâché la musique à ce moment-là. [02:31:28] Speaker B: Ça t'a quand même fait un coup alors ? [02:31:29] Speaker D: Bah c'est mal, ça fait énormément mal. Tu t'as mis vraiment tout ton cœur dans un projet. Et en fait, ça se casse la gueule devant tes yeux. Tu le vois de l'intérieur pendant la tournée. Il y avait des moments, des trucs comme ça. Et tu te dis mais pourquoi? Pourquoi c'est comme ça? On est supposé être dans le même bateau. On essaye de faire un truc et ça se pète la gueule et tu comprends pas pourquoi. Et ça arrive et c'est la vie. Mais ça a été dur à une grosse, grosse, grosse pilule à avaler. Ton égo en prend un sacré coup. T'étais sur une belle pente qui pouvait avoir un truc et paf, tout disparaît d'un coup. Et ouais, pas facile. Donc, je me suis mis à taffer. J'ai travaillé pour Monster Energy pendant longtemps. J'ai géré leur entrepôt. Je faisais partie de leur équipe de prod. J'ai fait le tour de l'Europe à faire des événements avec eux. Et je reprends des groupes par-ci par-là avec des potes, dont Veracruz qui deviendra Alone, qui pareil, on a tenté de faire des trucs, mais c'était moins sérieux déjà. De toute façon, je me suis dit, de toute façon, je ne m'intéresse jamais aussi Dans un projet... [02:32:36] Speaker B: J'ai la blessure, t'as pas envie de revivre. [02:32:38] Speaker D: Ouais, voilà. Et surtout si c'est direct le premier projet que tu fais derrière. Et là, en 2014, donc déjà la phrase c'est... Il est 3h du mat', moi je suis en train de monter un meuble Ikea. Et Paul Péchenard, avec qui j'avais eu un groupe juste avant Admiral's Arms m'appelle, il me fait ça mec. Je fais ouais ouais. Je monte à un meuble et demain à 6h du mat' faut que je parte au Danemark pour travailler. Déjà, j'ai envie de dormir, non. J'en veux rien, t'as 11h de route. Il me fait « Bah je suis batteur de guérilla poubelle maintenant, tu veux faire la basse ? » J'lui fais « Bah Paul, je suis guitariste. » Il fait « Bah ouais, c'est pour ça que ça pourrait être marrant. » À 3h du mat' avec ton petit tournevis dans la main et tes torses nues parce que t'as chaud, tu fais « Ah ouais. » Et j'ai intégré Guerrier Poubelle à ce moment-là, à 3h du mat, en train de faire un double, sans basse. [02:33:32] Speaker B: Et tu l'as vu comment, tu t'es dit c'est un cap, c'est le truc où je vais passer, je peux digérer, je peux cicatriser. [02:33:40] Speaker D: Un petit peu, parce que d'un côté Guerrier Poubelle, bah ouais, j'avais été fan au lycée, j'avais bien aimé les Bétraves avant, on avait joué avec eux, avec les Pingouins, j'avais organisé un concert. Et c'est juste, ouais, je sais, l'étause vraiment directe toujours de Guerrier Poubelle, c'est Punk Rock is not a job. Le Punk Rock, c'est pas un boulot. Donc t'es pas là pour te faire de la thune. Il n'y a pas histoire de... Il y a vraiment... C'est vraiment genre, on va faire des concerts, on va se marrer et c'est tout. Ça s'arrête là, en fait. C'est vraiment pour le kiff. [02:34:13] Speaker E: Du coup, pas de pression. [02:34:14] Speaker D: Pas de pression. Et franchement, j'ai fait deux ans avec eux et c'était cool. J'ai vraiment kiffé. J'ai joué dans plein d'endroits. On est parti aux US, on est parti au Canada, on a fait le tour de l'Europe. C'était trop bien. Et ça se finit. Écoute, pour des raisons. Le problème, c'est que moi, j'étais autant entrepreneur avec Monster. Donc moi, je leur avais expliqué s'il y a une dot et on propose une semaine de taf, Moi, je suis obligé de prendre la semaine de taf. Et donc, au bout d'un moment, oui, au début, ça ne posait pas de problème, mais au bout d'un moment, ça commence à faire un peu chier. Bon, ça, c'est fini. Voilà, c'est comme ça. Et là, à ce moment-là, je dis à Monster, bon, je suis dispo tout le temps. J'ai repu le groupe, donc je retravaille à fond. Et l'entrepôt de Monster, qui est à Saint-Denis, que je gérais, déménage à Munich. [02:35:03] Speaker B: Ah, c'est Paris. [02:35:04] Speaker D: Je gère, je gère tout le déménagement. [02:35:07] Speaker C: Ça fait plus loin pour aller au boulot le matin ? [02:35:09] Speaker D: Le RER D il va pas jusqu'à Munich, c'est vrai. [02:35:12] Speaker C: Le F peut-être ? [02:35:13] Speaker D: C'est peut-être dans les rajouts du Grand Paris, je sais pas, j'ai pas regardé la carte. [02:35:17] Speaker C: Ça aurait été plus facile aujourd'hui. Enfin bon. [02:35:21] Speaker B: Enfin bon. [02:35:24] Speaker D: Et du coup, je pars à Munich, je fais deux, trois missions pour eux. Je rentre et en fait, au bout d'un moment, j'appelle mon chef. Je lui dis, est-ce que tu n'as rien pour moi ? J'ai envie de rentrer en Irlande une semaine, voir mes grands-parents. Il me dit de toute façon, je n'aurai plus rien pour toi. Comme ça. [02:35:38] Speaker B: Ok. [02:35:39] Speaker D: Tu t'en prends un coup aussi parce que bon bah tes potes avec tous les mecs de la prod, t'en as un qui te dit bah moi je te prends pour toute la saison sur mon... parce que c'était plusieurs scènes qui tournaient dans l'Europe et lui il gère la scène donc il fait ses équipes et il m'a dit tiens toi tu gères avec moi c'est sûr t'inquiète pas. Donc t'as un peu tout ton oeil qui d'un coup disparaît. Bla bla bla, des histoires de prud'hommes, dissimulation de travail, parce que c'est des américains, ils ont cru qu'ils pouvaient tout faire, voilà. Et j'en dis pas plus, parce que techniquement, légalement, j'ai pas le droit. [02:36:04] Speaker B: Passons à la suite alors. [02:36:07] Speaker D: Moi je viens de faire genre 3 mois de déplacement d'entrepôt où j'ai fait des 8h-22h pendant 3 mois, 7 jours sur 7, je suis rincé. Donc j'y ai Astrid, j'ai mes potes, j'ai mon pote Renaud Rodier, ah bah, j'ai oublié un groupe, Fake Asian Rolex, qui est l'idée vraiment de base de Fake Asian Rolex. Et en plus, non, ça, c'est le premier groupe après Admiral, c'est on fait le truc le plus dissonant et bruyant pour faire chier tout le monde et on se marre. Mais vraiment, on n'en a rien à foutre. Il y a deux des membres de Harchepas qui étaient dedans aussi. Mathieu, le chanteur, et Stéphane à la basse. Et c'est ça. Et on crée un Twitter où en fait, on ne fait qu'insulter les gens et tout le monde. Le nom de l'EP, c'est... ça ça aurait été drôle à l'époque par contre je pense qu'on aurait pu se marrer avec ça et le nom de l'EP c'est du lit donc l'écriture où tu remplaces des chiffres par des lettres par des chiffres comme ça donc déjà pour envoyer ça à des mecs pour faire des chroniques c'est impossible parce que tous les filtres spam c'est quoi ça ça passe pas déjà et en plus on s'appelle fausse Rolex Une fausse Rolex asiatique, tu vois. L'idée, c'est n'importe quoi. Et en fait, on arrive quand même et on commence à... Ça génère un petit bruit. Parce que, en fait, c'est marrant, c'est quand c'est les projets les moins sérieux et tu te prends pas au sérieux et t'es vraiment... T'as juste envie de te marrer. Ça marche aussi, quoi. Et du coup, on a plein de mecs de blog de Madcore, des trucs comme ça, qui commencent à parler de nous. On a fait trois concerts. J'en ai fait qu'un seul. On a joué dans le sous-sol du club à Châtelet. Entre chaque morceau, je parlais qu'en allemand. Et avant et après le concert, les gens qui nous parlaient, on leur parlait normalement, et après le concert, c'est pourquoi vous avez parlé qu'en allemand ? On disait, c'était pas nous, de quoi tu parles ? Vraiment, on faisait les cons, c'est juste, c'est juste, vas-y, on se marre. Et trois concerts, les deux autres, j'étais pas là. Ils les ont fait sans moi. [02:38:18] Speaker C: Personne n'avait la différence. [02:38:20] Speaker B: Ben non, oui, oui, c'était dissonant. [02:38:22] Speaker D: Et voilà, et donc le premier EP qui marche bien, un album qui s'appelle Three Naked Chicks Wearing Unicorn Masks Playing Twister. [02:38:30] Speaker B: Ah oui. [02:38:31] Speaker D: Qui était littéralement la pochette, c'était trois meufs à poil avec des masques de licornes en train de jouer Twister. [02:38:36] Speaker C: Et accessoirement, leur tag préféré sur les sites un petit peu YouTube. [02:38:42] Speaker B: Pour pouvoir être orientés. [02:38:44] Speaker D: Ah, les trucs où il faut un VPN maintenant. [02:38:46] Speaker C: Enfin je sais pas, moi c'est Martin qui m'a expliqué ça. [02:38:51] Speaker D: Et voilà, je suis ultra fier de tout ce qu'on a pu faire en très peu de temps aussi, ces deux ans ultra complètes, et surtout j'ai passé énormément de temps avec des potes, donc c'est trop cool quoi. Et donc ouais, Renaud, le batteur de ça, avait un projet électro qui s'appelait Stalk, et ils sont partis, ils ont essayé de percer aux US, ils sont partis pendant 6 à 8 mois aux Etats-Unis, ils sont allés à Los Angeles, ils avaient deux concerts. Et ça tombe juste après que je me fais virer de mon soeur et j'ai dit à Astrid, écoute, je vais me prendre des vacances, je vais me faire une semaine à Los Angeles et je vais aller voir, je vais aller les voir jouer leur concert. Je suis ultra pote avec eux, ça tombe bien. Je fais ça et c'est vraiment... En fait, j'ai dit à Astrid, je rentre de Los Angeles, je lui dis, je cherche du boulot. début de l'année prochaine, après mes vacances au Japon. Je me suis vengé sur la vie, j'en ai profité pendant quelques mois. 4-5 mois de peinard. Je rentre du Japon, et littéralement 2-3 jours après, Thierry, un pote qui m'appelle et qui dit je veux que tu m'achètes les plus belles robes et je veux 10% et j'ai des blagues de. [02:40:02] Speaker B: Thierry, on a l'habitude. [02:40:05] Speaker D: Et j'y fais un quoi, il me dit juste appelle Yann. Le Yann, c'est Yann Norto de Massisteria que je connaissais déjà d'avant parce qu'il a traîné au même concert, il aimait bien Admirals Arms à l'époque, il venait avec Vincent l'ancien bassiste au concert. Et je me dis, ah, ça c'est pas anodin s'il me dit ça. Et j'appelle et Yann me dit simplement, écoute, j'ai pas pensé à toi il y a un an, quand on a changé de bassiste, parce que je te connais plus en tant que guitariste, mais est-ce que ça te dirait de faire de la basse dans ma scitaria ? Et la phrase que je lui ai répandue, c'est, tu me demandes de vivre de la musique. Il m'a fait, ouais, un truc comme ça. Je fais, bah, je serais con de te dire non. Et donc, le retour manager, Jonathan Mringue, que je connais depuis bien longtemps, depuis mes 18 ans à peu près, m'envoie un mail avec cette liste à apprendre pour une répète. Et c'est simple, je dis à Yann, je crois, le mercredi, j'attaque un peu gentiment, je te dis où j'en suis. Je crois que trois heures plus tard, je lui dis bon, Mathieu Arnaud, je le connais en entier. Et le lendemain, je lui dis bon, c'est bon, je connais le set. Et après, j'ai passé quatre jours à faire huit à neuf heures de basse vraiment intensive. Pour être sûr, je suis allé chez lui. On a vérifié juste que si j'avais bien compris tout dans les riffs parce que bah on m'a rien donné c'était vraiment genre t'as ça à faire démerde toi et je l'ai fait j'arrive chez lui vraiment deux trois petits détails où c'est un peu bruyant et c'est un peu compliqué à faire la différence entre ce qui se passe mais tout va bien on fait une répète je crois que Fred est pas là de mémoire et je me rappelle juste à la fin de soit notre complot soit Vector Equilibrium, qui sont deux morceaux de matière noire. Mais Rapha regarde Yann dans les yeux et lui dit « Ah, tu vois que c'était pas moi ». En fait, il y avait un passage, un moment où Vince et Thomas, qui avaient fait l'intérim de Community et tous ces groupes-là, Apparemment, il y avait un truc qui bloquait et ils avaient tendance à dire que c'était Rafa qui peut-être se décalait ou je sais pas quoi, si je comprends bien la situation. Et avec moi, première répète, c'est passé crème. Donc déjà, je me suis dit OK, on est déjà bien. Et c'est que des années plus tard qu'ils m'ont dit qu'à l'origine, il y avait apparemment, normalement prévu d'avoir d'autres répètes avec d'autres mecs. Mais il n'y a pas eu. Parce qu'il y a eu la répète et je crois qu'apparemment j'ai fait assez bien le taf pour qu'il soit d'accord direct pour que ce soit moi et il le regrette depuis. [02:42:40] Speaker B: T'avais, juste avant de passer un clip, parce que je vois que ça fait un petit moment qu'on parle, mais t'avais eu un peu peur, t'étais comment à ce moment là ? Parce que t'as répété de ouf et tout, tu t'es mis à fond, donc t'avais envie quand même, tu te dis, c'est vrai que c'est l'occasion. [02:42:54] Speaker D: C'est l'occasion de ouf qui se présente, parce que dans la scène française, autant d'années de carrière, un retour qui commençait quand même à bien se confirmer parce que Matière Noire, enfin déjà l'Armée des Ombres avait quand même déjà remis un peu bien le truc. Moi, c'était à ce moment-là que j'avais redécouvert Mass hysteria avec le clip sur la soirée metal sur MCM, chez un pote. Et Matière Noire qui reconfirme, j'avais été les voir à Rissorangis au plan quelques mois avant. Et c'est vrai que j'étais pas fan du groupe, mais je me suis dit, putain, ouais, c'est pas... Moi, j'étais resté à Contradictions et ces choses-là. J'avais pas écouté plus depuis et vraiment, j'ai fait OK, non, ça change. Ouais, cool, quoi, c'est un truc. Et c'est pour ça, vraiment, j'avais pas de... Pas de problème, je pourrais être dedans, mais bien sûr. Autant j'aime les trucs les plus extrêmes, mais j'aime tout en fait. Je suis tellement pas limité, je me suis jamais limité dans quoi que ce soit parce que c'est une perte au final de ne pas écouter quelque chose sur un principe débile. Je vais apprendre de tout et je vais apprendre de tout. Et j'ai énormément appris avec ces gars-là parce qu'ils ont 30 ans de carrière. Et ça m'a appris énormément de choses et ça m'a permis de découvrir et de rencontrer plein de gens, vraiment, et de me faire une place au final dans cette scène. Et c'est trop cool et je suis hyper content. Et j'ai encore du mal à me dire maintenant que ça fait déjà huit ans et demi que je suis dans le groupe. Parce que dans ma tête, tu vois genre, Admire les armes ça a duré 4 ans, mais dans ma tête c'est encore mon groupe, tu sais. Alors qu'au Mass Hystéria je suis arrivé, alors je sais je suis dedans, mais c'est quand même très bizarre de me dire que ça fait 8 ans et demi quoi, c'est fou. C'est fou. [02:44:42] Speaker B: Bon, on va passer un petit clip parce qu'il faut qu'on passe un peu de musique. No Clues, un choix de ta part, avec Blinding Faith. Ce choix, dis-nous vite pourquoi, comment, où ? [02:44:55] Speaker D: Parce qu'à chaque album, ils arrivent quand même à se renouveler sans trop trop perdre leur identité en même temps. J'aime depuis le premier EP, depuis ce bruit de chien, on y revient. [02:45:09] Speaker E: Mais là, c'est acceptable. [02:45:10] Speaker D: Oui, parce que c'est un moment dans le set. Le concert au Bataclan était fou. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une salle parisienne bouger comme ça. L'affiche était géniale. Basement était trop cool. Pace Control, c'était trop bien. Armsway aussi. Tout le monde était à fond. J'étais avec Yann et Fabrice, le guitariste de Harsh Path. Et franchement, je crois qu'on n'a pas passé une seule seconde de la soirée sans boucher la tête parce que tout était trop bien. Et Knock Loose, c'est quand même un groupe qui sur papier et en pourcentage et en proportionnalité avec le dernier album a généré plus de viralité et d'intérêt que Taylor Swift. Et rien que ça en chiffres, c'est génial. Ils sont passés à la télé en prime time aux US avec un morceau qui s'appelle Suffocate qui est lourd sa mère et avec Poppy que j'adore. Le premier album de Poppy, je l'adore. Il est trop cool, cet album. Et c'est juste fou. Et ça fait plaisir de revoir un peu un groupe de métal qui se retrouve lancé à vue de tout le monde, comme on a pu l'avoir dans les années 90, enfin 90-2000, avec cette scène néo-métal qui, même en France, est sortie de nulle part et a fait des Bercy, et a fait des gros sales. Pourquoi d'un coup ? Qu'est-ce qui s'est passé à ce moment-là ? Tout s'est aligné pour que ça soit trop bien. Ça s'est pété la gueule comme partout, mais il y a quand même eu ça. Et en France, c'est ça qui était incroyable. Et donc de revivre ça et de le voir maintenant d'une vision un peu plus interne à tout ça et de voir que des festivals de métal et des concerts de métal, c'est ce qui remplit le plus dans plein d'endroits en ce moment, ça fait plaisir. Et juste, ils font partie du fer de lance de cette scène. Et c'est trop bien. [02:46:51] Speaker B: On n'a rien de plus à dire, on va lancer le clip. Il a fait le boulot. Il a fait le boulot. [02:46:56] Speaker C: On ne peut pas dire le contraire. [02:46:57] Speaker E: J'aurais pas pu dire mieux. [02:46:58] Speaker B: Voilà, rouleau compresseur. [02:47:00] Speaker D: Oui, plus loin. Et surtout, j'apprécie le fait qu'au niveau son de guitare, on va geeker juste un poil, il y a des moments dans l'album, Isaac, le gratteux chauve, il a dit, mais des fois, il y a douze guitares parce qu'on s'en branle. Genre, ouais, le moment avait besoin d'avoir douze guitares en même temps pour la hargne. Génial. [02:47:18] Speaker C: Les Gypsy Kings, ils font pareil. [02:47:20] Speaker B: Allez c'est parti ! [02:47:22] Speaker A: Bang bang ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org BAISEZ-VOUS ! Je t'ai dit de mourir, tu l'as eu ! C'est la dernière fois que je t'en prie J'espère que tu n'oublieras pas Combien de selfies peux-tu obtenir ? Combien de selfies peux-tu obtenir ? Combien de selfies peux-tu obtenir ? [02:53:05] Speaker D: Qui était cet homme ? Qui était cet homme ? Je mange du pain en fait. Je me suis intégré, je mange des baguettes, ça va. [02:53:17] Speaker B: C'est ça les graines ou c'est la tradition ? [02:53:20] Speaker D: Qu'est-ce que c'est la graine au Québec ? [02:53:23] Speaker B: Tu me dis-moi. C'est ce que j'ai beaucoup avalé tout au long de ma vie. [02:53:26] Speaker D: C'est l'ustensile qui sert à ça, quoi. [02:53:31] Speaker B: Ah oui, d'accord. J'ai pensé que c'était... D'accord. Ok, on appelle ça la graine. [02:53:35] Speaker D: Et les deux trucs avec, c'est les gosses. [02:53:37] Speaker B: C'est les gosses, ça je savais, mais je ne savais pas que... Ok. C'est un petit moment. Bon, sur le groupe qu'on a vu, le clip qu'on a vu, la chapelle et la maison hantée et le cimetière dans le brouillard, c'était acre. [02:53:50] Speaker D: C'était acro-apre. [02:53:51] Speaker B: A-CRA-CRAC ou A-C-R-E-S. Alors je sais pas comment on dit. A-CRA-C-R-E-S. Merci. Et la chanson s'appelle Welcome to the Family. [02:54:01] Speaker C: Du coup c'est l'unité de mesure ? [02:54:02] Speaker D: Bah ouais normalement. Ils sont peut-être ingénieurs en… En BTP ? Ou ils vendent du terrain sinon. [02:54:12] Speaker C: Ça, c'est un bon investissement. D'ailleurs, tu vends aussi des formations, enrichissements personnels et financements... Ah non, j'ai confondu, pardon. [02:54:25] Speaker D: Crypto, tout ça, c'est tout ce que j'adore. [02:54:29] Speaker B: Et l'immobilier. Très bien, ça vous a plu ? [02:54:32] Speaker C: C'était incroyable. Moi, ça me fatigue un peu. [02:54:35] Speaker B: Non mais oui, je me disais bon, c'est un peu peut-être trop... Non mais. [02:54:39] Speaker C: C'Est surtout les grattes, elles sont très... C'est très... [02:54:42] Speaker D: C'est synthétique. [02:54:43] Speaker C: C'est trop pour moi. [02:54:45] Speaker E: Moi, j'aime bien. [02:54:46] Speaker D: J'aime beaucoup. Ça, ça place aussi, mais il y en a... Oui, mais j'ai le droit. [02:54:51] Speaker C: De ne pas trop aimer. [02:54:52] Speaker E: Ah oui, tout à fait. [02:54:53] Speaker B: Bien sûr. [02:54:53] Speaker C: Bon, ben voilà. [02:54:54] Speaker B: T'as jamais trop aimé quelque chose. [02:54:56] Speaker C: Moi, j'aime beaucoup de choses. J'aimais bien ton groupe avant. [02:55:00] Speaker E: Avant ? [02:55:01] Speaker D: Lequel ? Il y en a eu... [02:55:02] Speaker C: Tu te rappelles quel ? [02:55:04] Speaker D: Les Paraguayens. [02:55:06] Speaker B: T'as l'escapogue, c'est vraiment typique. [02:55:08] Speaker C: Mon amour du scapogue est enfin arrivé. [02:55:11] Speaker B: De toute façon, entre... [02:55:12] Speaker D: C'était laquelle ? C'était « Mon nez dans ton cul » ? Ou... Putain, on avait quoi d'autre comme chanson ? « Mon nez dans ton cul », il y en a resté, mais les autres... D'ailleurs, en fait... Marie-Joëlle, il y en a une qui s'appelait Marie-Joëlle, ça te va ? [02:55:26] Speaker C: D'ailleurs on a reçu Moose dans l'émission, vous pouvez retrouver l'émission, le batteur d'Admirals Arms, et d'ailleurs on avait diffusé un clip d'Admirals Arms. [02:55:37] Speaker D: On n'en a pas eu beaucoup. [02:55:38] Speaker B: On a dit beaucoup de bêtises. [02:55:39] Speaker C: Le meilleur. [02:55:41] Speaker D: Parce que tu l'as fait. Capicine. [02:55:45] Speaker B: Justement, avant de partir, je voudrais te dire. Bref, du coup, tu as vécu quand même beaucoup de choses. J'imagine que dans ta tête, il y a beaucoup d'anecdotes, beaucoup de choses. Est-ce que ces choses-là aident à grandir ou est-ce que ces choses-là font que tu peux rester un an en éternel enfant ? [02:56:07] Speaker D: Woh, les deux ! Il y a des moments où t'es obligé de... Woh ! D'un coup, faut être sérieux et putain, je suis pas dans l'état pour l'être. Mais beaucoup, tu t'en rappelles et tu te marres bien comme un con et... Non, c'est... Il y a des trucs vraiment, tu te dis, on pensait quoi ? Je ne sais pas. Mais en tout cas, c'était vraiment très drôle sur le moment. Et non, ça a été vraiment une belle expérience. Je me rappelle très bien une amie de ma mère qui disait, non, mais même pour tout ce que ça a été, T'as quand même visité les trois quarts de l'Europe avant qui que ce soit de ton âge, t'as vraiment vu plein de trucs. Je me souviens pas vraiment parce que les pubs... On va pas non plus faire des musées et voir des trucs intéressants, c'est souvent l'arrière-salle d'un bar et du coup c'est le bar. [02:57:01] Speaker B: Oui mais ça permet de goûter les produits locaux. [02:57:03] Speaker A: Ah ! [02:57:04] Speaker D: On a beaucoup, beaucoup goûté les produits locaux. [02:57:08] Speaker C: Et puis t'as appris des mots incroyables, notamment moi je me souviens où ma vie après elle a tourné avec Adept. [02:57:13] Speaker D: Ah brunch ? [02:57:14] Speaker C: Ouais. Un terme qui n'existe qu'en Suède apparemment. [02:57:18] Speaker D: Bah apparemment, techniquement l'étymologie semble ressembler grandement à brunch. Mais eux s'en servent pour plus ou moins expliquer que c'est le matin quand tu te lèves et que t'as fait un espèce de Combo ? Combo aux toilettes et dans ta douche pour dire que t'as brunché Ah oui, t'as tout donné quoi T'as tout lâché quoi T'as tout sorti, littéralement Et ça. [02:57:44] Speaker C: C'Est quand même pas commun d'avoir un. [02:57:47] Speaker B: Mot pour ça Bah oui, beaucoup de. [02:57:49] Speaker C: Choses On va bruncher ! [02:57:53] Speaker B: Aucun rapport avec... Oui, oui, non, mais. [02:57:55] Speaker C: Je... Pourquoi t'as brunché ce matin ? [02:57:58] Speaker E: Bah pour de vrai, moi. Un vrai brunch. [02:58:00] Speaker B: J'ai touché dans la douche. Bon bref, il doit y avoir tellement d'anecdotes, tellement de choses à raconter, tellement de... Enfin, doit raconter. Peut-être pas ici, mais... Oh ouais, il. [02:58:10] Speaker C: Y a beaucoup de trucs qui peuvent pas se raconter. [02:58:12] Speaker B: Bah oui, non, mais ça je sais. [02:58:14] Speaker C: Notamment tous les jeux de mots qu'on peut faire avec caca. [02:58:18] Speaker D: Moi je me rappelle juste une, parce que c'est très léger, il y avait juste une tâche marron sur un mur quelque part, et c'est Tak, qui était dans Doyle, qui a juste mis à côté au feutre, je crois, enfin genre, Admiral's Arms was here. Donc on avait une réputation apparemment. [02:58:40] Speaker C: Moi j'ai des souvenirs qui étaient beaucoup plus concrets que ça. [02:58:42] Speaker D: J'ai dit celle-là parce qu'elle est sympa. Parce qu'on pense à nous. [02:58:49] Speaker B: Et maintenant c'est plus pareil les tournées quand même, où il y a quand même un peu plus de sérieux. [02:58:53] Speaker D: Ah oui, bah oui, quand même. [02:58:54] Speaker B: Parce qu'on apprend quand même que c'est bien d'être sérieux en tournée pour pouvoir tenir, etc. Après t'étais jeune, donc c'est normal de faire aussi plein de conneries. [02:59:00] Speaker D: Ah bah t'sais, moi cette année, c'est simple, je me suis dit, j'allais pas boire. Et le seul moment où j'ai bu de l'année, c'était le concert avec Lipnot, mais j'avais pas prévu de le faire. Je me suis lâché un peu. Le Grasse Pop, parce que c'était cool et on s'est marré. Et le Hellfest. Et peut-être un autre truc, mais genre vraiment cette année j'ai fait un nom en fait. La flemme. La flemme du lendemain, la flemme de tous ces trucs là. [02:59:26] Speaker B: Les années qui sont passées. [02:59:28] Speaker D: Ouais ouais, mais même genre quand tu joues un concert et qu'en fait tu fais les dates en van. Ah ouais, bah l'autre il a un train à midi à Gare de Lyon. Ce qui veut dire qu'il faut partir de l'hôtel à 8h du mat. Sauf que t'arrives à l'hôtel à 3h. Et entre l'adrénaline et... Juste la soirée et que... Bah ouais en fait ça prend du temps à t'endormir. Donc en fait t'as dormi 3 heures, t'essayes de dormir un peu plus dans le van mais t'es pas bien. Et du coup tu passes ton dimanche sur le canapé comme une merde et... C'est nul. C'est pas trop trop la fête quoi. Je vais, non, cette année j'ai plus envie. Ça me fait chier. [03:00:01] Speaker B: Ok, ok. Bon, vite fait aussi, tu ne fais pas que de la musique aujourd'hui. Pour faire un peu de promo quand même de ce qu'il fait. [03:00:08] Speaker C: Bah oui, surtout que là t'as sorti une vidéo hier. [03:00:10] Speaker D: Ouais. [03:00:11] Speaker C: Qui est assez cool, un projet assez ambitieux quand même. [03:00:14] Speaker D: Ambitieux et débile surtout. [03:00:16] Speaker C: C'est ce qu'on aime. [03:00:18] Speaker D: Oui, c'est toute ma vie de toute façon. C'est vraiment à chaque fois, quand je dis, j'explique ce que je vais faire à quelqu'un, c'est pourquoi ? Ma réponse est... Parce que j'ai envie. [03:00:28] Speaker E: Pourquoi pas ? [03:00:29] Speaker D: Non, j'ai même pas envie. [03:00:30] Speaker B: Non, j'ai pas envie non plus. [03:00:32] Speaker C: Parce que je me suis dit que oui. [03:00:34] Speaker D: Oui, voilà, c'est ça. C'est bien de dire. [03:00:37] Speaker B: Mais c'est bien, tu es au bout des choses. [03:00:39] Speaker D: Bah que quand je me mets des défis comme ça, parce que sinon, wouhou, prends son temps, petit père. J'ai un EP que j'ai écrit en mai qui attend toujours des voix. Et j'en ai un autre que j'ai commencé l'année dernière où il y a un morceau qui a ses voix dessus et que je n'ai toujours pas sorti parce que j'ai envie de faire un clip, mais en même temps, je n'ai pas d'idées et ça me saoule. Et du coup, le morceau, il attend et je crois que je vais le sortir quand même. Mais après, je me dis... Donc ça. [03:01:01] Speaker C: C'Est des projets avec ton projet qui s'appelle... Ça, c'est Sléwa. J'arrive jamais à le dire. [03:01:05] Speaker D: C'est normal, t'inquiète pas. Donc ça c'est le truc un peu post-Black Metal, je sais pas quoi, enfin... [03:01:10] Speaker B: Je sais pas quoi ! [03:01:12] Speaker D: C'est toujours compliqué à défilmer ces trucs-là ! [03:01:14] Speaker C: C'est un truc qui fait comme ça... [03:01:16] Speaker D: Ouais, un peu, mais il y a des trucs un peu jolis aussi dedans, donc c'est pas complètement Black Metal. [03:01:20] Speaker C: Ouais, il y a des trucs un peu aériens. [03:01:22] Speaker D: Ouais, voilà, exactement. Envy, un peu. Beaucoup d'envy quand je fais les aériens. Donc il y a ça, donc il y a ce truc que j'ai fait en mai, que j'ai décidé de faire, mais qui part d'une idée de faire un t-shirt débile en fait. Et en fait, plus j'ai eu l'idée du t-shirt, je me suis dit en fait il faut avoir un truc qui l'accompagne. Et oui, un projet qui va autour et au final j'ai écrit 5 titres qui vont autour. La musique, je suis vraiment ultra fier de ce que j'ai fait. Il y a de l'orchestration, j'ai appris vraiment à faire des nappes d'orchestre et genre qu'est-ce que doit faire un violon à ce moment-là si le violon s'élève ? Des heures d'études juste de composition. Pour faire un truc, vraiment, c'est débile. Débile. Mais vraiment, enfin... Je pense que vous n'êtes pas prêts vraiment à quel point c'est débile. Je vous le dirai après. Ça parle... Ça parle de voitures Dacia. Voilà. Ça parle de Dacia, voilà. Je vous le dis. À cause d'un T-shirt, hein. D'accord. Mais voilà. Ça parle de Dacia. Alors savoir, j'en suis sur ma deuxième. J'adore ces voitures. [03:02:33] Speaker C: C'est bien d'avoir du temps, quand même. [03:02:35] Speaker D: Non, pas nécessairement tout le temps. Et du coup, j'ai essayé à finir. Et en fait, là, j'avais une semaine ce mois-ci où j'avais, après le Mensi Metal Fest, qui est un festival qui se fait dans ma ville, littéralement à 10 minutes de chez moi, le dimanche soir, je suis parti, j'avais rien prévu. J'avais fait le visuel de l'EP et j'avais le nom et les paroles. Je n'avais pas la musique, je n'avais rien. Et le lundi matin, je n'ai rien fait, j'ai été voir ma psy. Parce que quand même faut... Bah c'est-à-dire. [03:03:08] Speaker B: Que dans le tête il se passe beaucoup de choses pour faire tout ça. [03:03:10] Speaker D: Faut essayer de comprendre pourquoi il y a tout ça. Et après en rentrant j'ai fait bon allez, faut être sérieux c'est pas drôle. Et j'ai appuyé sur record et je me suis lancé dans le challenge de sortir un EP de Grindcore en 5 jours. Vraiment j'ai annoncé direct c'est vendredi 18h je sors un EP. Et point barre. Et il n'y a pas le choix. Et vraiment, quand il y a un sentiment d'urgence, j'ai toujours réussi à mener les choses. Pour comprendre, c'est le TDAH, c'est ça. J'ai découvert l'année dernière que j'étais TDAH combiné, j'ai les deux en même temps. J'ai compris qu'en fait t'en avoir un cerveau qui tourne à 12 milliards de kilomètres par heure tout le temps et toujours penser à quelque chose et toujours en train de faire un truc et te détester si tu fais rien, c'est pas techniquement normal. Donc j'apprends à comprendre un peu plus mon cerveau autour de tout ça et aussi à comprendre mes émotions parce que j'ai l'alexithymie qui fait que je ne comprends pas et je n'interprète pas mes propres émotions. Voilà donc j'apprends tout ça mais en même temps je m'arrête pas non plus parce que c'est drôle. Et au final en fait j'y avais pas trop pensé parce que techniquement l'EP parle un peu de deux facettes, genre la mort et juste la personne qui vit avec ce truc au dessus de lui. Et en fait si tu réinterprètes un peu le truc c'est moi et le TDH. En réécoutant une fois que c'était fini et sorti j'ai fait En fait, je parle de ça, c'est pas du tout parce que mon père, c'était drôle parce que je postais des trucs, parce que j'ai fait des trucs cryptiques. Qu'est-ce qui se passe ? Et direct, il me fait ça va parce que là, ce que t'écris, c'est quand même pas... Faut comprendre qu'un parent s'inquiète. C'est une histoire, t'inquiètes, tout va bien. Oui, il y a une certaine interprétation. [03:04:58] Speaker C: Mais rassure-moi, t'écoutes pas Slipknot quand même. [03:05:00] Speaker D: Dans tout ça, t'es quand même pas en train d'écouter Slipknot. Pas à ce moment-là. Et voilà. Et j'ai demandé à Fabien, Fabien d'un groupe de Nancy qui s'appelle Death Horse. Il était chaud de venir chanter dessus parce que c'est un groupe qui opère dans le même style, que j'ai découvert cette année et que j'apprécie grandement. Je trouve ça hyper cool. Et il a dit oui. Vraiment, dans mon message, j'étais genre je suis désolé. Je te prends vraiment au dernier moment, mais parce que c'est le but un peu ici. Et non, il s'y est prêté et il m'a sorti ce qu'il fallait en moins de trois heures. Il avait un jour dans la semaine où il pouvait me le faire et c'est trop cool. Et j'ai des bons retours et j'ai des gens que sur Bandcamp, soit le télécharge parce que j'ai mis en prix libre, je m'en bats les couilles. C'est autant un travail perso que juste un travail de composition. et de faire des trucs dans un style que je n'ai pas nécessairement composé avant. Il y a un petit côté qui ressemble un peu avec Fake Asian Relax, le côté chaos, tout ça, parce que j'adore tout ce qui est chaotique. Surprenant ! Et non, les retours sont hyper cool. Il y a Arnaud Strobel qui était le chanteur de Carnival In Call, enfin qui est encore le chanteur de Carnival In Call, qui fait des chroniques maintenant pour des magazines, qui m'a rajouté sur Facebook et qui m'en a parlé ultra positivement. Et je lui ai dit bah écoute, ça me fait ultra plaisir parce que moi et mes copains en collège, on t'écoutait à fond à Carnival In Call, qui a inclus Fred Leclerc à une époque, des trucs comme ça. C'est des vieux pontifs du métal français et d'avoir des gens comme ça qui me disent C'est cool. C'est trop bien. C'est juste, c'est plaisant. [03:06:48] Speaker B: Il y a encore ce truc enfant qui te donne cette joie et cette appréciation. [03:06:53] Speaker D: J'ai jamais arrêté une seule seconde d'être fan de ce style de musique. Je suis tellement, je suis dedans. J'en fais partie. J'y participe. Mais je suis fan avant tout. C'est vraiment, j'adore. J'adore. J'ai un pote qui est Eddie, qui est dans un groupe de death metal qui a toujours été genre très true, des trucs comme ça, qui m'a dit à moi une fois, t'écoutes trop de metal, mec. Et j'étais là, mais de quoi ? Déjà, je comprends pas. Et non, je n'étais pas d'accord. J'étais là, non, j'en écoute toujours pas assez. Je connais pas tout. [03:07:23] Speaker B: Ah ouais. [03:07:24] Speaker D: Ah, mais j'adore ce style-là. C'est vraiment une obsession, j'y pense. Je me réveille, j'y pense, je me couche, j'y pense. Littéralement, je me réveille des fois dans la nuit parce que j'ai un riff qui est venu en tête et je suis obligé d'aller l'enregistrer. Je ne peux pas laisser passer ça. J'adore, j'adore ça. [03:07:40] Speaker C: Et on peut dire du coup que tu as sorti une vidéo sur ta chaîne YouTube. Tu as sorti une vidéo et du coup je l'ai regardée et c'est vachement cool parce que tu expliques aussi, tu prends le temps quand même d'expliquer comment tu composes, les moments où c'est un peu galère, les moments où tu y arrives mieux et aussi tu donnes des conseils de Ah bah plutôt que de jouer comme ça, jouez plutôt comme ça, parce que c'est plus malsain, plus machin. C'est hyper intéressant aussi parce que t'as quand même appris la musique tout seul, quelque part, en écoutant. Et du coup, il y a ce truc d'analyser et de comprendre des choses. Comme tu dis, t'as appris à composer des orchestres et des trucs comme ça. Ce qui prouve bien que si on s'y met, on peut En travaillant, on peut... [03:08:23] Speaker D: Ce qu'il faut comprendre, c'est que oui, la musique, il y a une espèce de monolithe qui vient autour, à un certain niveau, tout ce qui est la théorie et ces trucs-là, mais non, en même temps, et surtout dans des instruments comme la guitare ou la basse ou même la batterie, et dans ce style, t'as pas besoin, en fait t'as pas besoin de l'apprendre, parce que beaucoup se basent sur des chromatismes ou des trucs qui sont pas supposés vraiment marcher, parce que bon, on va à l'envers du truc quand même aussi, Mais aussi, au fur et à mesure, juste de jouer et de passer des années à faire les trucs, quand je me suis dit, tiens, je vais peut-être apprendre un peu de théorie. En fait, je réalise que je le savais juste par accident. Ah, c'est ça, ça, d'accord. Bon, en fait, je savais et je m'en fous. En fait, au final, ce n'est pas très grave de ne pas avoir passé mon temps à lire des livres pour apprendre un truc. Je l'ai appris sur le tas ou juste en apprenant un riff d'un groupe. Et ce qu'ils font, les deux guitares, c'est une harmonisation. OK, d'accord. Voilà, et moi je le sais, mais j'ai pas besoin de savoir comment ça s'appelle au final. [03:09:21] Speaker B: Bon après il faut avoir le truc quand même, parce que ça tombe pas du ciel, je veux dire si t'as pas la fibre musicale, ton obsession elle te nourrit tout ça et c'est ça qui t'apprend. [03:09:31] Speaker C: Je pense que si t'as pas la fibre musicale, t'arrêtes avant de commencer à se poser ces questions. [03:09:37] Speaker D: Ouais, mais ce qu'il faut savoir aussi dans la musique, le plus dur c'est la première année en général. Faut juste tenir un peu, parce que oui au début ça te fait mal au doigt, T'as envie d'aller voir tes potes au lieu de faire 30 minutes de guitare et apprendre à faire La poupée qui fait non de Paul Naref. C'est la première chanson que j'ai apprise. Est-ce que j'avais vraiment une passion à jouer Paul Naref ? Non ! [03:09:55] Speaker C: Je crois bien que si. [03:09:56] Speaker E: Bon, t'écoutais Patrick Boyle quand même. [03:09:57] Speaker D: Patrick, Patrick, il a des trucs à dire. L'autre il dit La poupée qui fait non, non, non. Elle est super. Et les lunettes. Ah pardon ! [03:10:06] Speaker B: Il est vache. [03:10:09] Speaker D: Pour avoir travaillé avec lui, elle est sympa. [03:10:17] Speaker B: Très bien. Non mais voilà, on pourrait parler encore des milliers d'heures mais on va pas non plus continuer parce qu'il est temps quand même de se laisser. Tu auras l'occasion de revenir, de toute façon tu connais la maison puis c'est pas comme si on se connaissait pas. [03:10:29] Speaker C: Moi je le connais pas, j'ai jamais vu... [03:10:31] Speaker B: J'ai pas envie, j'ai pas envie de le connaître. [03:10:33] Speaker D: Il dit ça alors qu'il y a quand même une période dans notre vie où on se voyait partout sauf à Paris. [03:10:38] Speaker C: C'est vrai. [03:10:39] Speaker D: On s'est croisés plus à l'étranger pendant une année. [03:10:41] Speaker C: On s'est croisés au hasard au Japon. [03:10:42] Speaker D: Au Japon. Je suis arrivé le dernier jour des dates de Rise. Et moi, je venais de me taper 15 heures d'avion et eux, ils étaient dans un bar à... Ikebukuro. Et vraiment, j'arrive, je poste une photo de la gare de métro là où je crèche et il me fait... T'es là ? Je fais, bah ouais. Il me fait, on est là, viens ! Je fais, bon bah... Ok, bon, j'ai débarqué et... Et voilà, donc le premier soir direct, je suis venu me retrouver avec Berz et les Reiz dans un Izakaya, dans un sous-sol qui est beaucoup haut, et en se barrant de cet endroit-là, on a vu un mec se faire un peu défoncer. [03:11:19] Speaker C: Ah ouais ! [03:11:21] Speaker B: C'est un peu les surprises. [03:11:22] Speaker D: Oui, mais surtout dans ce pays-là où en général tu vois pas beaucoup ces trucs-là. [03:11:26] Speaker C: Quand on le font, on le font bien. [03:11:27] Speaker B: On va pas sortir. [03:11:28] Speaker D: Il y avait une belle tâche de sang par terre, disons. [03:11:31] Speaker C: Qui a été nettoyé dans la foulée, il n'y a pas de trace. [03:11:34] Speaker B: Ah oui, il faut que ce soit propre, quand même, un minimum. OK, OK. Je ne sais plus ce que je voulais dire. [03:11:41] Speaker C: Je ne sais pas moi, Pierre, de voter pour les gens, il faut qu'ils votent pour nous, pour MASS comme performance de l'ONN. [03:11:50] Speaker D: Merci beaucoup. [03:11:51] Speaker B: Voilà, votez pour MASS et votez pour Bang Bang. Et voilà, comme ça, on pourra faire une grande fête. Ce serait une belle célébration. En tout cas, si on est tous en même temps, ils vont comprendre ce que c'est le métal. [03:12:02] Speaker C: En parlant de masse, du coup, tu commences à composer aussi un peu des chansons en masse ? [03:12:07] Speaker D: Depuis que je suis arrivé. C'est bien aussi. Ouais, carrément. J'avais pas d'ego à me dire que si c'est refusé, c'est pas grave, on va pas se mentir. Yann est dans le groupe depuis tellement longtemps et l'a mené là où il est. S'il était pas d'accord avec quelque chose que je pouvais ramener, c'est normal. Et en fait, non, j'ai quand même réussi à mettre mon... Mon petit pied dans la porte est d'ouvrir le truc et je me rappelle très bien le premier riff que j'ai réussi à mettre. J'étais avec Vincent, l'ancien bassiste à l'Olympia en train de monter un concert. On fait le montage, je lui dis je vais chez Fred, on va faire de la compo et on se voit au démontage. Et au démontage, je lui dis j'ai réussi à mettre un riff dans un morceau et il s'est arrêté net, il a fait... T'as réussi et c'est vraiment genre, mec t'es le premier quoi, genre t'es la première personne à qui il a dit oui. Et je me rappelle c'est qu'au final il y a eu un festival dans mon cul. Planerfest, arrêtez, la ville s'appelle mon cul. [03:13:08] Speaker B: C'est un sacré festival. [03:13:09] Speaker D: Je lui ai sauté mon cul un petit peu plus. Et je me rappelle juste, en fait, je vois Yann en train de jouer et je sais pas ce qu'il s'est passé. Il y a eu un tilt dans ma tête et vraiment, je lui dis en fait, j'ai compris. Il me fait quoi ? J'ai compris comment tu composais. Je lui ai expliqué ce que j'avais compris. Il m'a dit ouais, mais t'as oublié ça. Et c'est vrai qu'une fois qu'il m'a dit ce petit truc en plus, j'ai vraiment compris un peu la façon dont il avait de faire. Et je ne vais bien sûr pas. [03:13:29] Speaker B: Vous le dire parce que... Bah non, non. [03:13:31] Speaker C: Parce que c'est un secret professionnel. [03:13:32] Speaker B: Et puis on demande pas, donc il n'y a pas de problème. [03:13:34] Speaker D: Et peut-être qu'on vole tout à d'autres groupes. [03:13:37] Speaker C: Vous seriez pas le premier ? [03:13:39] Speaker E: Ça c'est clair ! [03:13:44] Speaker B: En tout cas, bravo. [03:13:47] Speaker C: Il y a plein de choses que. [03:13:47] Speaker B: Je ne connaissais pas. [03:13:49] Speaker C: Même dans le ch'meul, il y a plein de gens qui ont découvert des choses. [03:13:53] Speaker D: Il y en a plein des choses. [03:13:55] Speaker C: Tu reviendras, tu reviendras. [03:13:57] Speaker B: On constate que c'est très riche, c'est très dense. Il y a quand même mille choses. Ce qui me fascine, c'est un peu comme... Vous vous ressemblez un petit peu sur certains points. [03:14:06] Speaker C: Non, pas du tout. [03:14:07] Speaker D: À un moment, on faisait pas du tout presque le même poids et on s'était dit qu'on allait faire le groupe le plus lourd du monde, Heavyweight. [03:14:14] Speaker C: Le groupe le plus lourd de la scène. [03:14:16] Speaker B: Mais vous avez le cerveau qui bouge beaucoup et c'est assez impressionnant parce que j'ai l'impression qu'il retient très facilement, très vite les choses aussi. T'as une capacité à savoir garder les choses que tu veux garder probablement. [03:14:31] Speaker D: Voilà, on va dire ça dépend du sujet. [03:14:34] Speaker B: Non mais d'accord, n'empêche que tu le gardes quand même. Et ça c'est quand même pas mal pour quelqu'un qui va dans tous les sens. [03:14:40] Speaker D: Faut se le dire, c'est que j'ai de la chance que ce qui est mon, entre guillemets, hyper focus, un espèce d'état dans lequel tu peux être quand t'as le TDH où en fait le monde extérieur n'existe plus et vraiment en fait tu peux faire un truc pendant 18 heures c'est que c'est la musique en fait j'ai de la chance que ça soit tombé sur vraiment le seul autre truc où je peux faire ça c'est les jeux vidéo et c'est moins productif mais c'est cool quand même Mais oui, je peux me lancer. Il n'y a pas longtemps, Astrid rentre du taf et je ne sais pas, je me suis mis sur l'ordinateur et d'un coup, je me suis dit tiens, j'ai toujours, j'adore Eric Satie et les gymnopédies et les nociennes et tout ce qu'il a pu faire au piano et sa façon de voir les pianos, le piano et ses annotations qui sont complètement loufoques. avec un peu de retenue. Qu'est-ce qu'il raconte ? Et je me suis dit, bah tiens, ce soir tu vas essayer d'écrire un morceau de piano comme si t'étais Eric Satie. Je ne sais pas jouer de piano. Donc j'étais là avec mes points midi en train de faire des points, points, points, points, points. Et j'ai réussi à faire un truc. Je suis content, je suis sûr qu'il y a quelqu'un qui fait du piano et qui fait de la musicologie. Ils vont dire c'est de la merde. Mais j'ai réussi, entre guillemets, à retrouver les sonorités que je voulais trouver et de comprendre un peu les trucs. Et du coup, j'ai appelé ça RX Satisfaction. C'est bon. Alors je ne suis pas fort pour donner les noms aux chansons, faut pas me demander ça. [03:16:07] Speaker C: Alors si, c'est une sorte de talon, mais... [03:16:10] Speaker D: C'est pas le bon. Bah je sais pas si t'as vu, je sais pas si t'as... Enfin, bah non, parce que je l'ai envoyé sur Instagram et t'aurais dû voir le nom du fichier de la photo que tu m'as demandé tout à l'heure. [03:16:19] Speaker B: Ah mais non, c'est pareil, c'est pas toi. [03:16:21] Speaker D: Alors le fichier c'est... [03:16:24] Speaker B: J'ai beaucoup apprécié aussi votre story. J'ai fait... Putain elle sort d'où celle-là ? [03:16:33] Speaker D: J'ai cherché les vieilles photos. C'est sur son Instagram les deux. [03:16:39] Speaker B: C'est pas impossible. [03:16:41] Speaker D: Ah non, je te le dis, c'est le cas. [03:16:43] Speaker C: N'hésitez pas à suivre Jimmy sur Instagram. [03:16:46] Speaker B: Mais partout, sur YouTube, Instagram et puis... [03:16:49] Speaker D: Dans la rue aussi. [03:16:53] Speaker B: Merci en tout cas d'avoir accepté cette invitation, d'être enfin venu. [03:17:01] Speaker D: Je vous aurais fait attendre, mais putain, vous êtes contents. [03:17:04] Speaker B: On a eu une belle tartine. [03:17:05] Speaker D: Moi je suis venu par dépit, parce que j'ai pas voulu, mais je vous ai fait plaisir quand même. Non c'est vrai qu'à l'époque j'avais aucune raison d'aller à l'UEFM mais j'y allais quand même les dimanches parce que le lendemain peut-être que j'allais court et je m'en foutais Bah il valait mieux parce. [03:17:23] Speaker B: Que c'était compliqué surtout Ouais mais surtout. [03:17:24] Speaker D: Que j'allais au lycée dans le 13ème donc tu vois je dormais chez Mathieu et j'étais plus prêt en fait au lieu de prendre le RER tous les. [03:17:29] Speaker B: Matins Ah ouais d'accord la ruse C'est ça qu'appelle l'intelligence, ça les enfants, vous voyez ? [03:17:37] Speaker D: L'intelligence du mal. [03:17:38] Speaker B: C'est quand même de l'intelligence. En tout cas merci, voilà, et puis on a hâte d'avoir plus de nouvelles encore, et puis tu reviendras pour raconter le reste, parce qu'il y a beaucoup trop de choses à raconter. Juste avant, bien évidemment, comme chaque fin d'émission, on fait toujours la part belle à un média autre, qui parle de métal ou qui parle de musique alternative. Il y a un site que tu suis, toi, que t'aimes bien checker comme ça, à part Métallurgie, on en a déjà parlé. [03:18:04] Speaker D: Ouais, il y en a plein, parce que quand on a sorti ArchePath, il y a quand même plusieurs trucs qui ont commencé à relayer les trucs, dont Metalzone ou des trucs comme ça, et même Metalorgie. J'ai fait une interview cet été au SILAC avec un des gars de Metalorgie, et quand il m'a demandé, je me suis dit « Ouais, carrément ». Parce que vraiment, vous avez été ma source d'infos pendant tellement d'années. Et après, en anglais, je voulais voir l'arme gauche, qui est un des vieux, vieux, vieux blogs qui poste les trucs, ce qui était très drôle à l'époque, un peu plus avant que ça soit vendu et revendu à une autre boîte, mais c'était les commentaires de Lambegaute, c'était un peu le VS Webzine américain, et c'était toujours des trucs, mais t'es là, où est-ce qu'ils vont ? Et Reddit, mine de rien, c'est une belle source pour trouver des trucs peut-être inconnus que personne... [03:18:51] Speaker C: Mais faut diguer un peu. [03:18:52] Speaker D: Ouais, tu dois chercher, mais bon, vu que vraiment, ça me rappelle un peu Myspace, en fait. C'était obligé de gratter un peu, genre aller dans le top 8 des groupes et découvrir des trucs, et découvrir des trucs, et découvrir des trucs. Et c'est comme ça que j'ai découvert tellement de groupes. Et je fais pareil maintenant avec Reddit ou des blogs. C'est vraiment le moment pour trouver des trucs. C'est trop bien. [03:19:17] Speaker B: Merci. Tu t'endors ou pas ? [03:19:19] Speaker E: Non, non, j'écoute, attention. [03:19:22] Speaker B: Gladys, toi, tu nous conseilles quoi comme site ? [03:19:26] Speaker E: Ça va être compliqué à part le lien. [03:19:27] Speaker B: Le tien, c'était pour que tu dises ça, mais c'est le quoi ton... Moi, c'est Milchake Media. Milchake Media. [03:19:33] Speaker E: Tout à fait. [03:19:34] Speaker B: Très bien. Ben, non, on passe ? [03:19:37] Speaker C: Oui, non, moi, non. [03:19:38] Speaker B: Non. Moi, je vous conseille un podcast qui s'appelle Slave to the Riff, qui sont des gens très sympathiques. [03:19:46] Speaker A: Slave to the Riff ! [03:19:48] Speaker B: Ça peut aller là, non ? [03:19:51] Speaker C: C'est une chanson de Iron Maiden, non ? [03:19:54] Speaker B: Ça pourrait. Je sais pas pourquoi. [03:19:58] Speaker C: Ah si, je sais pourquoi. Je sais pourquoi Iron Maiden m'est venu dans la tête, c'est à cause de notre chauffeur Uber d'hier. [03:20:04] Speaker B: C'est vrai qu'on n'a pas parlé de notre chauffeur, mais bon, on peut pas parler de tout. Non. Mais voilà, si vous avez un podcast, allez checker, allez donc checker celui-ci, ils sont vraiment hyper sympas, ils font du bon boulot, ça parle, c'est très complet. Slave to the riff, voilà, tout simplement. Et puis si vous êtes tout simplement fan de métal, n'hésitez pas à nous rejoindre sur Patreon. Je recommence sur cette histoire, à faire un don, etc. Parce qu'avec tout l'argent, nous on va pouvoir s'acheter une Mercedes ou des Rolex. Et c'est hyper important, quoi. [03:20:34] Speaker D: J'ai un plan pour des fausses Rolex. [03:20:36] Speaker C: Et des Dacia ? [03:20:37] Speaker B: Et des Dacia. Ah bon, mettra juste un truc de Merco dessus. [03:20:43] Speaker C: Ben 10, il y a quelqu'un qui veut savoir si tu vas chroniquer le dernier Lornachor. [03:20:47] Speaker E: C'est pas prévu. [03:20:49] Speaker B: Ah bah moi je l'ai écouté. Enfin... [03:20:51] Speaker E: C'est pas prévu parce que pour l'instant j'ai plus vraiment de chroniqueurs. Donc c'est moi qui me colchine toutes les chroniques d'albums. Et il y en a beaucoup qui sont sortis donc je fais des choix. J'ai fait des choix et j'essaye de pas mettre toujours en avant les groupes qui sont déjà très très très connus. Forcément j'en fais. Mais si je peux mettre en valeur des plus petits groupes j'essaye de le faire. Par contre s'il y a des gens qui veulent écrire des chroniques pour moi y'a pas de soucis je suis ouverte. Parce que c'est ce qu'il y a de plus difficile à trouver, les chroniqueurs. [03:21:20] Speaker D: Des photographes, il y en a mille. Sans tomber dans des riffs acérés et des rythmes entraînants. [03:21:28] Speaker E: C'est ça, les trucs qui n'ont pas d'imagination et qui écrivent les mêmes choses. Et quand c'est trop technique, ça ne plaît pas forcément aux gens. Je préfère des gens qui écrivent avec le cœur et il y en a très peu. [03:21:38] Speaker B: Parce qu'écrire avec le cul, c'est plus difficile. [03:21:40] Speaker D: Je me suis retenu, mais je savais que tu allais le dire, putain, je le savais. [03:21:46] Speaker B: Elle était facile, elle était facile. On va se quitter là-dessus. N'oubliez pas que sur Patreon, vous pouvez nous proposer des clips. Mais là, fin d'émission, c'est clips de groupes français, c'est important. Et là, le groupe français, c'est... Alors, désolé, j'ai juste le nom MOF, MOF. Je suis désolé, je ne sais pas si ça veut dire quelque chose ou pas. [03:22:03] Speaker D: Mais... [03:22:03] Speaker C: Meilleur ouvrier de France, mais... [03:22:04] Speaker B: C'est... Pardon ? [03:22:06] Speaker C: Meilleur ouvrier de France, mais... Bah, who knows ? [03:22:09] Speaker B: C'est Sushi Ice qui nous a proposé ça, donc, sur Patreon. Donc si elle a la réponse, qu'elle n'hésite pas à nous la donner là. [03:22:15] Speaker D: Metal of France. Ah bah voilà. [03:22:18] Speaker B: Ah, sûrement. Regardons, on sait jamais si elle nous le nie. Et le titre de la chanson c'est Vaya Vaya. [03:22:23] Speaker D: Mais oui, si elle nous le nie. [03:22:24] Speaker B: Mais on n'arrive pas à parler. Pardon. On va passer à la suite. Il faudrait passer ça dans le podcast. [03:22:32] Speaker C: On était à ça de terminer l'émission sans que ça déborde. [03:22:35] Speaker B: Mais non, mais c'était parce que c'est bon. [03:22:37] Speaker D: Merde. [03:22:38] Speaker B: De toute façon, c'était pas ça que je voulais faire. [03:22:39] Speaker C: Et la chanson s'appelle comment ? Vaya ? [03:22:41] Speaker B: Vaya Vaya. [03:22:42] Speaker C: Ah on dirait le nom de chanson de Watcha. Vaya Vareha Humayamasa ! Tu aimes pas ce truc là de Watcha ? [03:22:48] Speaker D: J'ai jamais écouté Watcha. [03:22:52] Speaker C: Il y a une chanson de Watcha où il fait ça Bob ? [03:22:54] Speaker D: Ben Playmobil il l'a dit à Happinga. [03:22:58] Speaker B: Moi j'ai chaud. [03:22:58] Speaker C: Ouais, ça va. [03:22:59] Speaker B: Vous avez pas envie d'aller grignoter un petit truc comme ça on comprend un petit café ? [03:23:03] Speaker C: Un petit kawa ou quoi ? [03:23:04] Speaker B: Un petit godet ? Un petit godet ? [03:23:06] Speaker C: Un petit kawa ou quoi ? [03:23:07] Speaker B: Bah ouais voilà, une petite rondelle, qu'on. [03:23:08] Speaker C: Se mange une petite rondelle. Bon allez on se batte le clip et puis on... Au revoir ! [03:23:11] Speaker B: Ah bah oui c'est vrai il faut dire au revoir, au revoir, bon courage pour la semaine, oui c'est lundi c'est chiant, mais vous allez survivre et demain c'est la matinale à 8h, n'oubliez pas on live Twitch, et puis il y aura le live TikTok à 22. [03:23:21] Speaker C: C'est trop long Pierre. [03:23:22] Speaker B: Ouais, bah on m'a pas souvent dit ça. [03:23:23] Speaker C: Allez. [03:24:27] Speaker B: Tout le monde est bienvenu, mon château. [03:24:29] Speaker D: Est votre chandail Chandeau de votre... Chandeau. [03:24:33] Speaker A: De votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau de votre... Chandeau votre... Chandeau Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est la fin ! [03:27:16] Speaker D: Pour le spectacle. [03:27:19] Speaker B: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:27:24] Speaker A: Toutes. [03:27:37] Speaker E: Nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon. [03:27:45] Speaker D: N'hésitez pas à vous abonner.

Other Episodes

Episode

June 29, 2025 00:11:18
Episode Cover

HORS SERIE HELLFEST '25 - THE WARNING en invitées

Voilà encore une édition de HELLFEST accomplie ! Et nous avons fait 23 interviews ! Vous allez pouvoir les voir, les écouter, les vivre...

Listen

Episode 97

June 20, 2025 04:02:36
Episode Cover

#97 - LOUIS EMRYS en invité

On se rapproche doucement mais sûrement de cette 3ème saison de BANG! BANG! et votre fidélité, votre passion et votre soutien nous encourage, nous...

Listen

Episode 44

April 19, 2024 03:31:55
Episode Cover

#44 - HAROLD BARBE en invité

Dans cet épisode, nous allons nous tourner vers l'humour avec le Metalleux du stand up : Harold Barbé ! C'est intéressant de voir que...

Listen