Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Retrouvez toutes les émissions en podcast sur.
[00:00:03] Speaker B: Breastless.Com.
[00:00:25] Speaker A: Bon, alors ce soir c'est dimanche soir, et dimanche soir c'est quoi ? C'est l'émission Métal, le rendez-vous alternative rock que vous avez décidé de suivre puisque vous êtes des gens intelligents. Sinon, si vous ne suivez pas, c'est que vous êtes cons. C'est pas plus compliqué, il y a deux solutions.
[00:00:38] Speaker C: Déjà, l'émission vient de commencer et déjà tu dénonces Pierre.
[00:00:41] Speaker A: Ouais, mais moi je suis un malade.
[00:00:42] Speaker C: Je suis un malade, tu sais pourquoi ? T'es un ouf malade.
[00:00:45] Speaker D: Je suis un ouf malade.
[00:00:47] Speaker A: Non, c'est surtout que je suis un punk. Parce que dès le début de l'émission, j'ai envie de le dire, oui, je suis fan de Kim Wilde.
[00:00:54] Speaker D: Alors je peux dire que c'est une punk.
[00:00:56] Speaker A: Elle met un corset qui la serre.
[00:00:58] Speaker D: Comme ça, et elle a les tchouts qui s'envolent. C'est un truc de ouf. Et j'ai fait « Waouh !
[00:01:03] Speaker B: Attends, regarde !
[00:01:03] Speaker D: » Elle a fait comme ça tout.
[00:01:04] Speaker E: Le long du concert.
[00:01:04] Speaker A: Génial.
[00:01:05] Speaker C: Est-ce que, du coup, t'as pas pu enlever tes yeux de son décolleté ?
[00:01:10] Speaker D: Bah, c'est-à-dire qu'en fait, du coup, on voit que ça. C'est-à-dire qu'on ne voit pas la personne, il y a un décolleté.
[00:01:13] Speaker C: Ça passe par-dessus son visage et il.
[00:01:14] Speaker D: Y a un peu de choucroute derrière.
[00:01:16] Speaker A: Non, elle est extraordinaire et j'avais juste envie de dire que c'était formidable. Et je fais un coucou à Yann de Bassisterra qui était au concert. Ne le dis surtout pas.
[00:01:23] Speaker D: Voilà. Coucou !
[00:01:26] Speaker A: Bon voilà, maintenant qu'on n'a plus d'amis, j'espère que tu vas bien.
[00:01:29] Speaker C: Moi aussi Pierre, j'espère que tu vas bien.
[00:01:32] Speaker A: Bon, c'était un peu dur quand même.
[00:01:34] Speaker C: On va pas se mentir.
[00:01:35] Speaker A: Mais là, ça commence à aller mieux. Maintenant qu'on commence l'émission, il y a cette espèce d'adrénaline, cette envie de donner du plaisir.
[00:01:42] Speaker C: Bien sûr.
[00:01:43] Speaker A: On est un peu les Herbert et Léonard du métal.
[00:01:44] Speaker D: Et ça, c'est pas Donald Trump. Pour le plaisir !
[00:01:47] Speaker A: Maintenant qu'on a bien montré qu'on était des ringards, on va se tourner vers la jeunesse.
[00:01:51] Speaker D: Le mec du métal sur Twitch !
[00:01:54] Speaker A: Il me dégoûte en même temps. Tu sais, il me plaît mais il me dégoûte. Quand il a ses épaulettes sur la.
[00:01:59] Speaker D: Place de la couronne.
[00:01:59] Speaker C: Tu sais, à chaque fois que je te regarde, je ressens la même chose.
[00:02:01] Speaker D: C'est pas moi le plus enculé des deux.
[00:02:08] Speaker A: Oui, ça c'est certain forcément. C'est un métier.
Enfin, j'ai jamais gagné d'argent sans ça.
Bon, elle est longue cette intro ? Très très longue, tu sais que j'aime quand c'est très long. Mais je vais me tourner vers la jeunesse.
[00:02:22] Speaker D: Eh la jeunesse !
[00:02:26] Speaker A: Nos invités ce soir, on vous l'a dit, c'est le groupe Bad Situation. Ils vont sortir un album le 29 mars, ils seront à la Boule Noire le 30 mars. J'ai cru comprendre et je vais me tourner vers eux. Bonsoir messieurs.
[00:02:37] Speaker E: Bonsoir.
[00:02:37] Speaker D: What's up ?
[00:02:38] Speaker B: Bonsoir.
[00:02:38] Speaker E: Salut, salut le tchat, salut tout le monde.
[00:02:40] Speaker A: La Boule Noire.
[00:02:42] Speaker D: Ouais.
[00:02:43] Speaker A: On te sent, on est où ?
[00:02:44] Speaker E: Ça en est bientôt complet.
[00:02:48] Speaker D: On a.
[00:02:50] Speaker E: Un petit topo tous les mardis, où on voit les chiffres augmenter.
Ça c'est présent, c'est très présent. Franchement, là il y a eu 2-3 semaines, quand on a annoncé vraiment l'album, la date, le visuel, les gens ont dit « Ah mais en fait c'est un vrai groupe, faut qu'on prenne des places ».
[00:03:05] Speaker D: C'est vrai qu'il y a eu vraiment un truc...
[00:03:12] Speaker E: C'est vraiment très cool. Là, je pense que le fait qu'on annonce la première partie, qu'on annonce la pochette, qu'il y ait des dates, que le calendrier commence à se remplir, les.
[00:03:21] Speaker A: Gens se disent bon... Oui, c'est un projet, c'est un truc qui existe.
[00:03:24] Speaker E: Il faut être là, il faut que j'y sois.
[00:03:26] Speaker C: Très cool pochette d'ailleurs au passage.
[00:03:28] Speaker E: Merci beaucoup. J'espère que Patrick, le graphiste... D'ailleurs, on a été surpris que beaucoup de personnes nous aient remercié d'avoir utilisé un... Utilisé, c'est horrible. D'avoir payé un graphiste pour...
[00:03:41] Speaker D: On a utilisé un graphiste pour faire.
[00:03:43] Speaker E: La pochette parce qu'avec tous ces trucs d'IA etc...
Donc très content, très surpris, et il a été au bout de ce qu'on avait en tête.
[00:03:53] Speaker A: Après vous faites du rock'n'roll, donc le rock'n'roll c'est à l'ancienne.
[00:03:56] Speaker E: Ouais, exactement.
[00:03:58] Speaker D: Même si on est des petits jeunes.
[00:04:02] Speaker E: Des petits jeunes à l'ancienne.
[00:04:03] Speaker A: Oui après bon c'est un style mais on va en parler tout au long de l'émission bien sûr, on va chercher à savoir d'où ça vient, pourquoi, comment, les petits ingrédients qui sont venus depuis votre temps d'enfance jusqu'à aujourd'hui pour faire tout ça. Ce que je vous propose avant d'en discuter c'est de passer un clip parce que j'ai décidé de ne pas parler de 37 minutes dès le début de l'émission.
C'est incroyable ! J'essaie de me professionnaliser. Non mais sors plus la veille !
[00:04:30] Speaker D: Je devrais pas dire ça.
[00:04:31] Speaker A: Parce que tu sais que quand je.
[00:04:33] Speaker D: Sors, je peux sortir sur 17h.
[00:04:35] Speaker C: Je sais ce qu'il se passe.
[00:04:37] Speaker A: Bon, du coup, j'ai décidé de passer à le clip « Broken Battled ». qui est donc le dernier, si je ne m'abuse, en dehors du suivant qui.
[00:04:47] Speaker D: Est en train de...
Et là, hier.
[00:04:49] Speaker E: On a tourné un clip. C'est pour ça que j'ai encore les contours bien à prendre.
[00:04:53] Speaker A: C'est fait boyer.
[00:04:54] Speaker D: C'est fait boyer pour un nouveau clip.
[00:04:58] Speaker C: C'était le coup double.
[00:04:59] Speaker E: Un week-end pour être BG, c'est maintenant.
[00:05:03] Speaker D: On va tout donner.
[00:05:06] Speaker A: On va regarder ce clip, c'est donc Bad Situation, bienvenue.
[00:05:16] Speaker D: Ouais, là c'est bon.
[00:06:37] Speaker B: C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'ai eu un coup de pied et j'ai fait une agression Parfois je regrette mes agressions Ma mère m'a dit que chaque erreur est une leçon Mais j'ai quitté l'école à 21 ans J'ai utilisé mon argent pour payer mes billets pour un moment Je suis venu avec une vision ! J'ai dit mes parables de thérapeute dans une histoire, j'ai failli trop loin, j'ai commencé à trouver ma vie similaire.
[00:11:38] Speaker D: Telltale. Telltale ? Et pas Taytay ? Aucun rapport avec Taytay.
[00:11:44] Speaker C: Pour une fois quelque chose n'a pas.
[00:11:45] Speaker D: Un rapport avec elle.
[00:11:46] Speaker A: C'est vrai. Mais je pense qu'il ne gagne pas autant qu'elle non plus.
[00:11:49] Speaker C: Ah bah j'espère.
Sinon il serait léché le coiffeur apparemment.
[00:11:54] Speaker A: T'as bien remarqué que dans le clip, le sujet du clip c'est que je.
[00:11:57] Speaker C: Me suis coupé les cheveux tout seul.
[00:11:58] Speaker A: Du coup j'ai du sang partout.
[00:11:59] Speaker D: Il a dû se couper un doigt, je sais pas.
[00:12:02] Speaker A: Ou l'oreille.
[00:12:03] Speaker D: Peut-être une oreille.
[00:12:05] Speaker A: En tout cas, il a une coupe de merde.
[00:12:07] Speaker F: Ça c'est sûr.
[00:12:08] Speaker C: Ou il est fan de Patrick Swayze. Moi c'était ma théorie.
[00:12:11] Speaker A: C'est ce truc de dire, attends les années 80 c'était trop bien, donc ça serait bien qu'on fasse dans les années 80.
[00:12:16] Speaker C: Déjà il a pas mis les épaulettes comme le mec de Loaf.
[00:12:20] Speaker A: Pas le chanteur vu que lui il est à poil.
[00:12:23] Speaker C: Chacun son rôle. C'est vrai que le guitariste de Loth, il s'est pas dit que c'était son physique son point fort.
Je te rappelle qu'il est anglais.
[00:12:30] Speaker D: Bah c'est pas sa voix non plus. Non c'est vrai que je suis mal.
[00:12:35] Speaker A: Après c'est très bien sur scène, on est content de voir les choses, on aime bien son album. Non mais vraiment, vous avez été au concert d'Architects ? Non. C'est pour ça que vous avez échappé au pire.
[00:12:47] Speaker E: Ah oui, c'était avec Spiritbox, c'était cette soirée-là.
[00:12:51] Speaker A: Et alors comme c'est la première première partie, tu peux t'imaginer ce qu'ils leur ont offert comme son. Donc bon bah du coup c'était dégueulasse.
[00:12:58] Speaker E: Ouais forcément.
[00:12:59] Speaker A: Mais ils se sont donné quand même à fond, ça je peux pas dire le contraire, ils ont tout donné mais putain...
[00:13:03] Speaker E: Après t'as dit ils ressemblaient à... dans le clip ? Abono. Abono.
[00:13:06] Speaker A: Abono, premier album.
[00:13:08] Speaker F: Ouais, c'est la petite veste en cœur.
[00:13:10] Speaker D: Avant les lunettes.
Ouais, avant les lunettes. Il a échangé des cheveux contre les lunettes.
[00:13:17] Speaker A: Pour cacher quelque chose.
[00:13:18] Speaker D: Sûrement.
[00:13:20] Speaker A: En tout cas voilà, c'est un morceau que j'aimais bien, j'avais envie de le diffuser, je n'ai absolument rien cherché dessus, mais voilà, juste renseignez-vous, ça s'appelle Telltale.
[00:13:27] Speaker D: Bad situation ce soir. En un seul mot.
[00:13:29] Speaker A: En un seul mot. De toute façon c'est écrit sur le ch'meul, si vous regardez.
[00:13:32] Speaker C: Non, car Marcel n'est pas là encore.
[00:13:34] Speaker A: Ah, qu'est-ce qu'il fout ?
[00:13:35] Speaker D: Bah je sais pas...
[00:13:39] Speaker A: Il est avec sa mère au téléphone.
[00:13:41] Speaker C: Soit ça, soit avec une personne alternative.
[00:13:44] Speaker A: Très bien, je lui souhaite, ça serait mieux que ce soit avec une personne alternative.
[00:13:48] Speaker C: Si en pire c'est sa mère.
[00:13:49] Speaker D: Allez, donc bad situation.
[00:13:52] Speaker A: Non mais c'est lui qui nous le raconte. C'est juste que les gens ne sont pas au courant qu'il se masturbe au.
[00:13:56] Speaker D: Téléphone pendant qu'il est au téléphone avec sa mère. Merde, j'ai pas le temps de couper les micros.
[00:14:05] Speaker C: Alors moi j'ai une petite question parce qu'on allait parler de Bad Situations.
[00:14:10] Speaker D: Je voulais savoir, est-ce que c'est une.
[00:14:11] Speaker C: Bonne situation Bad Situations ?
[00:14:15] Speaker D: Ouais, moi je dirais que ouais.
[00:14:17] Speaker A: Non mais la réponse c'est oui parce que ça vous fait kiffer mais en vrai le confort, on était en train d'en parler en antenne. Bon, je vous souhaite que ça arrive, parce qu'il y a bien un moment.
[00:14:24] Speaker D: Où le confort c'est un peu plus.
[00:14:25] Speaker A: Le cas, mais quand ça va venir de jouer tout le temps et tout ça, c'est excitant, mais c'est fatigant, c'est jamais dans le confort, surtout au début.
[00:14:35] Speaker C: Après, là où ils sont malins, excuse-moi, mais là où ils sont malins, c'est qu'ils sont que deux. Et ça, ça fait que là où le cachet est le même, Enfin, théoriquement.
[00:14:46] Speaker D: À partir d'un moment, le cachet est le même. Je vous assure, c'est vrai.
[00:14:50] Speaker C: Un jour, c'est le même. Tu partages en deux et tu partages pas. Enfin bon, après, il y a l'équipement, c'est vrai.
[00:14:55] Speaker E: Là, c'est vrai que c'est très cool ce qu'on est en train de vivre là depuis vraiment un an. On a voulu commencer dans le dur. On a fait un EP qui est sorti fin 2022. En fait, on était déjà sur la route, on jouait à Marseille.
Et on s'est dit bon on allait pas faire de promo, on allait prendre un van, jouer, voir ce que ça donnait. Après ouais, sur une semaine on a fait ça. On a joué avec Skid Row, on a sorti un EP dans la même semaine. Et on est parti faire des dates dans le sud.
[00:15:26] Speaker F: Dans le sud jusqu'à Nantes.
[00:15:28] Speaker E: Ouais, on a fait un Nice Nantes dans la même nuit.
[00:15:31] Speaker D: Voilà. Et ceux qui connaissent un peu le.
[00:15:35] Speaker C: Jeu de gravier, ils savent que c'est pas...
[00:15:37] Speaker E: C'est pas fun. C'est pas une bonne situation. Non, on en est sortis un petit peu grandis, c'est aussi pour voir si on était prêts à accepter ces conditions-là, qui n'étaient pas faciles, dormir une heure par-ci, trois heures par-là.
[00:15:49] Speaker A: C'est le challenge en gros.
[00:15:50] Speaker D: Après on se crée un peu notre.
[00:15:52] Speaker F: Confort, on commence à s'acheter notre van, on essaie d'être le plus à l'aise possible pour être le plus reposé et.
[00:15:57] Speaker E: Le plus efficace possible aussi. on a une étape, on essaye d'en tirer le meilleur, le moins bon, on essaye de réajuster. Quand on est parti dans le Sud, on avait loué un van, on s'est dit c'est pas possible de mettre autant de frais là-dedans, il faut qu'on achète le nôtre. Mais pour ça, il fallait mettre des sous de côté, donc faire des concerts, pas se payer, mettre... On n'avait pas d'équipe technique. Là maintenant, on a une équipe technique parce que les concerts arrivent, ça devient de plus en plus intéressant autour du projet, donc c'est en train de grandir et c'est très très cool ce qu'on.
[00:16:26] Speaker D: Est en train de...
Et puis au.
[00:16:28] Speaker A: Début vous étiez tout seuls, c'est-à-dire qu'il n'y avait personne derrière vous.
[00:16:30] Speaker E: Non, il n'y a que Simon qui est encore là avec nous. C'est notre petit Sim.
[00:16:35] Speaker A: Au moins, il a l'air d'avoir souffert.
[00:16:38] Speaker E: On ne le montre pas d'ailleurs.
Il est amoché, le mec.
Ce qu'on sait pas, c'est qu'il est très jeune. Ce qui est cool, c'est qu'on est des copains du lycée. Et même si Simon, il n'est pas sur scène avec nous, il est totalement important. On a fait une date sans lui.
[00:16:57] Speaker F: C'est bordel.
[00:16:58] Speaker E: On ne se comprenait plus.
[00:17:00] Speaker A: C'est celui qui fait en sorte que.
[00:17:01] Speaker D: Les choses se passent correctement.
[00:17:03] Speaker E: C'est ça. Il est discret. On le voit.
[00:17:07] Speaker D: Tu le vois, tu le vois plus.
[00:17:08] Speaker E: Mais quand tu reçois un truc, tu.
[00:17:09] Speaker D: Te dis « Ah, ben c'est bon.
[00:17:11] Speaker E: C'Est bon, il est passé. » Tu te dis « Mais attends, il faudrait pas faire… » Ah ben non, c'est ça. Il me met sa petite main sur mon épaule, il me dit « Calme-toi mon grand.
[00:17:17] Speaker D: » C'est bon ? Voilà, c'est exactement ça.
[00:17:23] Speaker A: Et ça a quel moment ? Avant 2022 et cette EP, vous aviez déjà des groupes avant ? C'est de la musique avant ?
[00:17:30] Speaker F: Avant, on avait quasiment eu deux groupes ensemble.
[00:17:32] Speaker D: On a eu deux projets.
[00:17:33] Speaker A: Ah oui déjà, on a commencé déjà ensemble.
[00:17:34] Speaker D: C'est ça, ouais.
[00:17:35] Speaker F: Ça fait dix ans qu'on fait de la musique ensemble.
[00:17:38] Speaker D: Ok, ah oui.
[00:17:38] Speaker A: Bon bah forcément, ça roule quoi.
[00:17:40] Speaker F: On se connaît musicalement très très bien. C'est pour ça aussi que ça en découlait de se dire avec qui on est le plus à l'aise ? Bah nous-mêmes, du coup, tous les deux, du coup, à deux.
[00:17:49] Speaker D: Je t'ai fait un raccourci en mode.
[00:17:51] Speaker A: Bim, voilà le pourquoi du coup. Du coup, le truc sur le bassiste.
[00:17:54] Speaker D: C'Est parce qu'il va aller pas foutre la merde dans le truc.
[00:17:57] Speaker A: La recette fonctionne un peu, on va.
[00:17:59] Speaker E: Éviter de... Et en fait, on a eu aussi des révélations au cours de ces dix dernières années, notamment ils ont joué au WeFM Festival, c'était Royal Blood, au tout début. On s'est dit ben...
deux quoi, deux quoi, et on s'est dit ce truc là marche, White Stripes ils ont fait ça il y a quinze ans, pourquoi pas, on a testé, on a fait un concert, et des potes à nous sont venus nous voir et tu sais quand tes potes viennent te voir, ils viennent pas te voir, ils viennent te juger, avec les mains qui sentent les aisselles là, et puis ils disent, déjà ils disent t'as pas des invites ? C'est ce genre de potes là, ton premier concert ? Et puis ils disent mais nous on était là quoi ! Et puis t'es défoncé à la fin ! Mais pour le coup à la fin de ce concert là on nous a dit bah non les gars, mortel, on nous a programmé deux trois concerts après et il a fallu faire un set complet, des chansons et on a commencé à...
[00:18:57] Speaker A: La panique !
[00:18:59] Speaker E: Et on a dû apprendre à composer à deux aussi.
On réfléchit nos titres guitare, guitare-batterie.
[00:19:06] Speaker C: Tu ne composes pas pareil pour justement pas que...
[00:19:09] Speaker E: Exactement.
[00:19:10] Speaker A: Et puis vous avez la puissance quand même d'un bon power trio, mais vous êtes deux quoi.
[00:19:16] Speaker D: Vous êtes un power duo. On dirait que c'est un power.
[00:19:24] Speaker A: Non mais c'est clair que toute la musique qu'il y a dans cet album, toutes les chansons elles sont... Il y a un rythme quoi, c'est l'autoroute, c'est l'Amérique qui fonce, on a l'impression qu'on peut tout écraser. Il y a des sons qui sont à l'ancienne, je me permets de le dire. Moi je vous compare ça à Danko Jones parce que ça me donne l'impression que quand on voit Danko Jones sur scène c'est genre la folie furieuse. J'ai pas encore eu l'occasion de vous voir mais sur le CD c'est l'impression que ça donne.
[00:19:51] Speaker E: Tu nous avais pas vu quand on avait ouvert pour Buco ?
[00:19:55] Speaker A: Non, j'étais pas arrivé à ce moment-là, je crois pas.
[00:19:58] Speaker E: Ah bah t'es arrivé après.
[00:20:00] Speaker A: Je devais te boire du beurre.
[00:20:01] Speaker D: Ouais, c'est peut-être ça, c'est pas grave.
[00:20:02] Speaker A: Non mais je préfère ne pas le dire.
[00:20:04] Speaker D: J'avais le souvenir de t'avoir vu, mais.
[00:20:06] Speaker E: Je savais pas que t'étais... Non, non.
[00:20:07] Speaker D: Mais alors peut-être que j'étais saoul. Il y a beaucoup de possibilités.
[00:20:13] Speaker C: Ça lui est déjà arrivé une ou deux fois d'être saoul.
[00:20:15] Speaker D: Ouais.
[00:20:16] Speaker C: Mais vraiment, pas plus qu'une ou deux fois.
[00:20:19] Speaker E: Non mais après, au-delà de trois, c'est dangereux.
[00:20:20] Speaker C: Quatre, c'est vraiment la limite.
De toute façon, 6 et 5, c'est pas 6.
[00:20:26] Speaker D: En tout cas, la septième fois de ma parée.
[00:20:29] Speaker E: Ça va être super long.
[00:20:30] Speaker A: C'est à 42. Donc, c'était une logique. Vous aviez déjà dans l'idée de faire ce genre musical ? Ou est-ce que vous avez réfléchi en mode, ok, on est deux.
On veut faire un truc, comment on va faire cette musique ? Est-ce qu'on a envie de faire une musique qui est bonne sur scène, qui est plus efficace ? Quelque chose de plus réfléchi ? Il y a eu une réflexion comme ça ou en fait on avait rien à branler puis c'était parti ? Alors je pense que dans le côté.
[00:20:55] Speaker F: Rien à branler c'est qu'on s'est dit on va pas trop se donner de limites dans la création du début. Comme ça on fait un peu ce qu'on veut et surtout on s'est dit on va faire la musique qu'on a envie d'écouter.
[00:21:05] Speaker A: Tout ce qu'on prend, tout ce qu'on.
[00:21:07] Speaker F: Éponge et je crois que c'est vraiment venu tout seul.
[00:21:10] Speaker A: C'est pas dit qu'il faut qu'on fasse.
[00:21:10] Speaker F: Ce genre de musique avec ce type de son, c'est un peu tout ce qu'on aime et ce qu'on voulait mettre dedans.
[00:21:14] Speaker E: Ouais, là on a fait un petit peu le topo, un petit récap de la composition de cet album-là, on a retrouvé des vieilles vidéos et en fait à chaque fois c'était des idées, genre j'ai cette idée-là...
Et soit ça plaît, soit ça ne plaît pas. Tout ce qu'on a fait sur cet album-là, ça a été validé à 100%. Autant par Lucas, autant par moi. Il n'y a pas eu de calcul. Et il y a des rythmes, des influences où on est très...
On est en phase. Et moi je vais apporter, on va dire, le côté plus agressif. Là où Lucas va apporter le plus le côté rock dans les arènes. Il a plus de finesse que moi.
[00:21:57] Speaker A: Je sais pas si ça se voit.
[00:22:07] Speaker E: En fait, on aime bien les refrains, on a réussi à développer une petite méthode au fil des années, vu que ça fait longtemps qu'on joue ensemble. Et quand on écoute nos anciens projets, c'est un peu ça, mais en moins bien.
Un peu ce qu'on fait là, mais au moins bien.
[00:22:20] Speaker A: Donc je pense que...
[00:22:23] Speaker E: Là on assume vachement plus de trucs dans l'album, parce que vous avez eu la chance d'écouter l'album, mais là les gens qui regardent dans le chat ne le savent pas. Ils n'ont juste que deux singles, mais il y a des trucs où j'ai.
[00:22:33] Speaker A: Fait faire... T'as fait commander-le comme ça.
[00:22:34] Speaker E: Exactement. J'ai fait faire à Lucas des...
des chorales, des couches de voix, etc. On a été au bout de certaines idées, il a des capacités que je n'ai pas et inversement, on a vraiment joué avec le meilleur de chacun de nous deux.
[00:22:51] Speaker A: Il y a le love !
[00:22:54] Speaker D: Je ne sais pas si c'est le.
[00:22:54] Speaker A: Love parce que je n'ai pas écouté toutes les paroles, mais je me suis dit... Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait la chanson... C'est la 5 non ?
[00:23:03] Speaker C: C'est la chanson pour Pécho ?
[00:23:04] Speaker A: Je ne sais pas si c'est pour.
[00:23:05] Speaker D: Pécho, c'est un peu triste aussi ! tu peux un peu pécho, mais t'as envie de chialer.
[00:23:13] Speaker A: Ça marche aussi les mecs quand vous chialez, les meufs elles viennent.
[00:23:15] Speaker E: Ouais, c'est ça, c'est ce qu'on s'est dit.
[00:23:17] Speaker D: On s'est dit on va être un peu fragiles. On n'est pas que des bêtes. On a pas peur d'être fragiles.
[00:23:23] Speaker A: Montrez des sentiments merde ! Si c'est bien la cinquième, ça arrive au milieu de l'album, ça fait une césure entre les... Ouais, et puis on.
[00:23:30] Speaker E: Voulait l'assumer, ce titre-là. Et au départ, en général, les groupes dans notre veine, ils mettent ça plus vers la fin, ça fait un peu genre, on assume pas trop. Et là, on s'est dit non.
[00:23:40] Speaker F: Pas forcément dans le premier album aussi, on s'est dit bon, en fait, ça vient, donc on va pas se dire, elle a calculé ce qu'il faut mettre, ce qu'il faut pas mettre.
[00:23:47] Speaker C: Non.
[00:23:48] Speaker E: Et ce titre-là, qui s'appelle Drowned, je sais pas si on peut le dire. Au départ, il devait être que guitare-voix.
Il n'a que guitare-voix, et Lucas, au dernier moment, la semaine où on enregistre l'album, il dit « Non !
[00:24:02] Speaker D: Il faut qu'il y ait plein, à.
[00:24:03] Speaker E: Un moment, les guitares, l'Amérique ! » Et du coup, on s'est dit.
[00:24:09] Speaker D: « Ah, ok, bon bah... » Voilà.
[00:24:12] Speaker E: Le truc du dernier moment, c'est pas prévu, bon bah... Ouais, mais ça le fait.
[00:24:15] Speaker D: Ouais.
[00:24:15] Speaker A: Au final, on est très contents. Donc du coup, c'est cool. C'est cool, c'est cool. Et comment vous avez fait aussi... Est-ce que c'est... Alors, je me permets de poser des questions. Est-ce que c'est parce que vous faites de la vidéo sous Dealer de métal qu'on vous a démarché ? Ou est-ce que c'est parce que t'as amené ta musique, vous avez amené votre musique en disant... Bon, je sais faire ça, on sait le faire. Donc regardez-nous, parce qu'on sait que c'est compliqué à pas se mentir de réussir à avoir des dates, ou je ne sais pas, signer sur un label, avoir un tourneur, enfin bon, c'est quand même.
[00:24:45] Speaker D: Pas le truc le plus simple.
[00:24:46] Speaker C: Après moi j'ai l'impression que t'as quand même assez dissocié le truc, j'ai pas l'impression que t'as utilisé trop la carte dealer de métal pour... Enfin t'as mis du temps à en parler d'ailleurs sur...
[00:25:01] Speaker E: Alors c'est vrai que cette question-là vient souvent parce que je suis identifié comme ça auprès des gens fans de cette musique-là, mais ça fait des années que je fais du booking, que j'ai démarché des assos, que j'ai booké des tournées. Donc c'est un mélange d'un petit peu tout. On a peut-être pu toucher d'autres personnes. Tu sais, le plafond de verre que certains groupes n'arrivent pas à passer.
[00:25:30] Speaker D: Peut-être que ça a aidé.
[00:25:31] Speaker E: Je pense que ça a aidé parce que je ne vais pas me voler la face. Mais en même temps... Parce qu'il y.
[00:25:37] Speaker F: A une demande aussi.
[00:25:37] Speaker A: Ça a aidé à ce que ce soit écouté plus facilement.
[00:25:40] Speaker D: C'est ça.
[00:25:40] Speaker A: Je ne dis pas que les gens.
[00:25:41] Speaker E: Se sont volés la face. Non, mais c'est juste moi. Le fait de dire ça, ça fait le mec qui se vole la face.
[00:25:45] Speaker F: Je pense que la vitrine a forcément servi.
[00:25:47] Speaker E: Bien sûr. Et puis, ça part de ça. Moi, pendant le Covid, j'avais un format. Je lance ma chaîne à ce moment-là. J'avais un format où je composais à la manière de certains groupes. Et en fait, les gens qui me suivaient, ils ont dit oui, mais c'est quoi la musique que tu fais ? Et en fait, à ce moment-là, on avait un groupe qui était en train de splitter, on allait sortir un album, qui n'est jamais sorti, et voilà, avec toutes les frais que ça engendre, et on était un petit peu deg avec Lucas, et après, ça me titillait un petit peu plus, parce qu'il y avait une demande, quand c'est des gens que tu connais pas, tu te dis « ah ouais, pourquoi pas », donc tu te retournes vers la personne avec qui t'es le plus en face, quoi.
Et après on s'est remis à écouter Royal Buds, voir des duos, les Black.
[00:26:25] Speaker A: Keys, etc. Est-ce qu'on le fait pour de vrai ?
[00:26:28] Speaker D: Si on le fait, est-ce qu'on le fait à fond ?
[00:26:30] Speaker C: On a dit oui jusqu'au bout ?
[00:26:31] Speaker A: Parce que la douleur, vous n'avez pas eu envie de la revivre une seconde fois ?
[00:26:34] Speaker E: Franchement, moi je voulais pas, je voulais même pas.
[00:26:39] Speaker A: C'est plus Lucas qui voulait que... Moi.
[00:26:41] Speaker F: J'Avais du mal à me dire que j'allais pas faire de musique, en tout cas avec lui, je voulais pas faire de musique avec quelqu'un d'autre que Aziz, donc je lui dis si elle la demande, vas-y on y va quoi, on a des idées, on a de l'envie, un titre, il est sorti, ça a plu.
[00:26:56] Speaker E: De ce titre là il y a eu ce fameux premier concert, de ce premier concert là il y a eu d'autres concerts, du coup après on s'est dit bon bah faut faire un EP, parce qu'on n'était pas trop dans le délire album etc, on s'est dit c'est un peu obsolète, Donc on a fait un EP parce qu'on n'avait surtout pas les moyens de faire un album. C'est pour ça qu'il n'est jamais sorti en physique parce qu'on n'avait pas de sous. On s'est dit on va défendre le live, on s'est dit on va essayer de reprendre le truc à l'envers. Peut-être que c'est moi mon côté avec la chaîne YouTube, j'en avais un petit peu marre du full numérique, pas être confronté aux gens. Là on faisait pas de com sur les concerts, on faisait un post de temps en temps mais Mais du coup, les gens, ils voulaient... En fait, à chaque fois, tout est venu naturellement, je pense.
[00:27:36] Speaker F: On s'est pas dit, on va partir avec un EP pressé pour dire, on vend des trucs, vous achetez des trucs. On est parti avec rien. On a fait des concerts.
[00:27:45] Speaker E: Et les gens, ils nous disaient, mais vous n'avez pas de CD ? Pas de merch ? On disait, bah non.
[00:27:50] Speaker A: Vous nous aviez dit de venir, pas.
[00:27:53] Speaker D: De venir avec des merchs. Pourquoi fallait-il en prendre ?
[00:27:56] Speaker E: L'Europe quoi ! Genre, boeuf ranchou ! Et donc, par rapport à ça, on a fait notre tournée. Entre temps, il y a un tourneur qui nous a approchés, qui nous a proposé de faire notre release party à la maroquinerie. On s'est dit, ok, mais cette salle-là, il fallait la remplir du coup. Premier challenge, remplir la maroquinerie quand c'est un EP, machin. Et là, t'as beau faire des vidéos sur internet, t'as beau... Et puis c'est Paris, hein ! on est d'accord que c'est pas simple. On s'en est bien sortis et il y a eu un contrat de confiance, on a même fait payer, on a zéro invite. Là on s'est dit les gars, on a un slot. On a un slot. Voilà, on y va comme ça à bout de bras ? et montrer qu'on avait envie. Je pense qu'avec le Covid, les gens ont voulu bosser avec des personnes qui avaient vraiment envie.
[00:28:46] Speaker C: Je pense qu'il y a aussi le truc, parce que du coup, il y a beaucoup de gens qui vont voir le projet comme si c'était un truc nouveau, mais on voit dans ce que vous faites, dans les clips, dans la production, que vous n'êtes pas à votre coup d'essai.
On voit que vous avez de l'expérience. C'est-à-dire que ça semble nouveau, mais on voit que c'est pas des... Enfin que vous aviez...
[00:29:07] Speaker D: On a pris note. Ouais.
[00:29:11] Speaker E: Il y a plein de choses. On s'est aussi protégés de pas mal de trucs.
Donc par exemple, dans les mauvaises expériences qu'on a eues, l'album qui n'est jamais sorti, on a fait ça dans un gros studio. Et en fait on s'est dit, bah...
En fait, peut-être que ce n'était pas le moment de faire un truc dans un gros studio, on va tout refaire à la maison parce qu'on a des moyens. Et en fait, c'est ça qui donne un peu cette impression de tout va vite pour Bad Situations, c'est qu'on a commencé à s'enregistrer.
On n'avait pas d'argent pour s'enregistrer, du coup j'ai dû apprendre à passer des heures sur YouTube à savoir comment rentrer à combien de DB dans une console, machin. Tous ces tutos-là, longs et chiants. Après, c'était faire des clips.
tous nos clips, nos anciens projets, même maintenant, cadrage, bon maintenant on a un petit entourage, mais les clips c'est toujours moi qui fais l'édition, l'étalonnage, etc. On a toujours ce truc-là.
Voilà, c'est pour aussi, parce que l'expérience qu'on a eue avec ce studio-là, c'est qu'on n'a pas pu aller au bout de notre vision, et on était un peu frustrés de ça, et on s'est dit, là on va vraiment tout mettre.
[00:30:19] Speaker C: C'est drôle ce que tu dis, parce que Du coup, moi, je travaille avec des groupes depuis longtemps. Et souvent, il y a ce truc où tu veux investir pour passer un peu au step suivant.
Mais en fait, souvent, ce que tu as, ce n'est pas assez pour passer vraiment. Du coup, en fait, tu finis par faire les trucs à moitié, alors qu'avec ce que tu avais, tu pouvais, avec un peu de débrouille et de trucs comme ça, avoir un résultat qui, au final, sera meilleur parce que plus sincère ou plus plus abouti.
[00:30:49] Speaker F: Peut-être que t'arrives pas assez prêt aussi.
[00:30:53] Speaker A: Au tout début, alors que si t'as.
[00:30:54] Speaker F: Plus de temps, mais que t'es chez.
[00:30:54] Speaker C: Toi, tu mûris le cul. Parce que si t'as une semaine de studio et pas plus, il faut savoir.
[00:31:01] Speaker F: Tout rentrer dans le temps.
[00:31:03] Speaker C: Et puis t'as le regard des autres aussi.
[00:31:06] Speaker E: Il en regarde les autres dans ton équipe, quand t'es celui qui a moins bossé ses parties.
C'est un peu chiant parce que tu vois l'heure qui tourne, tu sais combien ça te coûte. Et en fait, tout ce stress-là, tous ces trucs...
[00:31:17] Speaker F: Quand t'es à la maison, tu le retires complètement.
[00:31:19] Speaker D: Moi, j'étais parti de cette... Quand tu comptes pas les heures de.
[00:31:22] Speaker F: Travail, du coup, tu kiffes tout.
[00:31:26] Speaker C: Si t'as pas bossé avant, tu le rattrapes après. Je veux dire, c'est ton affaire.
[00:31:32] Speaker D: Si c'est pas le bon jour...
Ouais.
[00:31:34] Speaker C: Aussi.
[00:31:34] Speaker A: Oui, tu perds pas du fric vu que c'est chez toi de toute façon. C'est ça.
[00:31:37] Speaker E: Tu perds juste du temps, mais après tu l'optimises sur plein d'autres choses et c'est vraiment une gymnastique à avoir et puis faut être sûr de ce que tu veux faire. Et pendant longtemps, on n'a pas été sûr de ce qu'on voulait faire.
[00:31:49] Speaker D: Ouais, je pense.
[00:31:50] Speaker E: Avant, quand on disait « Mais pourquoi il n'y a pas de bassin ? », on disait pourquoi il n'y a pas de bassiste ? Peut-être que si, en fait que non, mais du coup, c'est pas Bad Situation, c'est pas le duo, c'est pas...
[00:31:59] Speaker D: Voilà.
[00:32:00] Speaker C: Oui, puis c'est aussi ouvrir la porte à une personne en plus qui donne son avis. C'est des problèmes en plus.
Mais surtout que vous avez un lien qui est assez, ça a l'air assez symbiotique quoi.
[00:32:12] Speaker F: C'est mon meilleur pote, on a un dialogue qui se fait hyper vite. Un duo, il y a une question, une réponse, point. Dans la rapidité d'action aussi, ça aide énormément.
prise de décision et tout.
[00:32:26] Speaker A: Bon et puis les choses se sont faites et puis je le rappelle l'album sort le 29, c'est important, vous pouvez le pré-commander et achetez les quelques dernières places pour La Boule Noire, on vous conseille d'y aller puisque ce sera une date mythique, la toute première, la vraie, il y a le Maroc qui est arrivé.
[00:32:41] Speaker E: Et puis là il y a des moyens, là on a notre équipe technique, là on a vraiment hâte.
[00:32:48] Speaker C: Ce sera parmi les meilleures conditions pour vous voir.
[00:32:50] Speaker E: Ouais c'est ça, vraiment.
[00:32:51] Speaker F: Et puis La Boule Noire c'est une salle qu'on aime beaucoup donc c'est très.
[00:32:54] Speaker E: Le truc à savoir, c'est que moi j'ai vu Lucas...
La première fois que je t'ai vu en concert, c'était à la Boule Noire en plus. Et j'étais un peu jaloux. C'était Emmerganza, tous ces trucs-là, les tremplins. Ça vaut ce que ça vaut, mais on était au lycée, et puis tu vas voir ton pote à la Boule Noire. Et puis t'as l'ambiance, genre tu connais pas tout dans les trucs des concerts, les places, les pré-ventes et tout, mais tu te dis « Putain, y'a du monde pour ton pote à la Boule Noire, quoi !
[00:33:21] Speaker A: » Et sur scène, t'es dans une salle qui est mythique, quand même.
[00:33:23] Speaker E: Après j'ai quand même vu Alassie Gall jouer. Il a été loin !
[00:33:27] Speaker D: Il a été loin le gars !
[00:33:29] Speaker A: Vous choisissez des titres aussi pour illustrer un petit peu vos goûts et là on part sur du Metallica avec la chanson One que nous n'avons jamais passé je crois dans l'émission.
[00:33:41] Speaker B: Quoi ?
[00:33:41] Speaker C: Je crois pas qu'on l'ait passé.
[00:33:43] Speaker D: Il ne me semble pas.
[00:33:44] Speaker A: Bon après Metallica... Vous inquiétez pas après.
[00:33:46] Speaker C: Vous avez choisi des titres qui sont déjà passés plein de fois.
[00:33:49] Speaker A: Mais Metallica, c'est un groupe qui vous a inspiré ? Qui est important ?
[00:34:01] Speaker C: Ils ont fait de la musique ?
[00:34:02] Speaker A: Est-ce que c'est juste un truc que vous avez kiffé et qui vous rappelle quand vous étiez gamin ? Votre rencontre ?
[00:34:09] Speaker E: Je regarde juste le temps.
[00:34:10] Speaker D: Est-ce que vous avez 5 heures, vous.
[00:34:13] Speaker E: Avez 6 heures, vous avez combien de temps ?
[00:34:16] Speaker F: C'est la batterie avant tout.
[00:34:17] Speaker C: C'est la batterie avant tout.
[00:34:17] Speaker F: Quatre heures de la paix avant tout.
[00:34:19] Speaker D: Quatre heures de la paix a fortiori.
[00:34:22] Speaker F: A fortiori Metallica. Non mais Aziz, en plus, c'est vrai qu'on s'est rencontré pour la histoire, ça fait vachement storytelling de... Mais on s'est rencontré à la Redbus et il avait un t-shirt Metallica, j'avais un t-shirt Metallica et c'est vraiment le truc de...
[00:34:35] Speaker D: On se sait !
[00:34:36] Speaker E: C'est vrai, et puis il avait surtout... Alors, lui il met pas les détails, mais moi je tiens une très grande importance aux détails, c'est que j'avais un t-shirt Metallica, certes, comme toutes mes années, tous mes jours au lycée, et mon cargo pour faire comme Dimebag Darell et mes converses, bref, même en hiver, mais...
Il avait surtout un t-shirt Death Magnetic, on est à cette époque-là. Et du coup je vais le voir, je lui dis quand même...
[00:34:58] Speaker C: Ils sont jeunes.
[00:34:59] Speaker A: Je sais pas pourquoi, j'étais en train d'imaginer...
[00:35:03] Speaker D: En 96 ! J'étais en train de te dire, il.
[00:35:05] Speaker C: Y en a un qui l'avait raidé au lycée !
[00:35:07] Speaker B: J'étais en train de te dire, il.
[00:35:07] Speaker C: Y en a un qui l'a raidé The Lightning, l'autre il l'a kill'em all, tu vois...
[00:35:11] Speaker E: Alors on est dans un autre multivers, mais je lui dis franchement ils sont de l'album totalement écrasé quoi.
[00:35:17] Speaker D: Et voilà, après c'est parti.
[00:35:19] Speaker A: Et la discussion est lancée, puis après...
[00:35:20] Speaker E: C'est parce que le bus n'est jamais arrivé je crois.
[00:35:22] Speaker D: Ouais parce que c'était foutu quoi. En tout cas vous l'avez pas vu passer. C'est ça.
[00:35:26] Speaker F: Mais ouais c'est un groupe important qui nous libre vachement.
[00:35:29] Speaker A: On va regarder ça tout de suite, le clip de Metallica, de ce titre One, qui est donc un grand grand symbole de cette belle amitié.
[00:35:59] Speaker D: Le cerveau a souffert de graves et irreparables dégâts.
[00:36:01] Speaker B: On ne sait jamais ce qui lui est arrivé. Si je n'avais pas été sûr de.
[00:36:08] Speaker D: Ça, je ne l'aurais pas permis de vivre.
[00:36:10] Speaker B: Qu'est-ce que la démocratie ? Qu'est-ce que la démocratie ? Ça a quelque chose à voir avec.
[00:36:22] Speaker D: Les jeunes qui se tuent, non ?
[00:36:23] Speaker B: Quand est-ce que c'est mon tour ? Pour l'humanité, pour l'éthique, pour la démocratie.
[00:36:30] Speaker D: Tout homme qui donne n'est qu'un bébé.
[00:36:32] Speaker B: ... ... ... ... Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Just want to head and chop off everything Oh God, please make them hear me They won't listen, they won't hear me You know I feel only like this when you're here Hear me Back in the womb, it's much too real In mum's life that I must feel But can't look forward to reveal Look to the time when I'll live Head to the tooth that sticks in me Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Je ne peux pas vivre comme ça ! Je ne peux pas ! Je ne peux pas ! S'il vous plaît, aidez-moi ! S'il vous plaît, aidez-moi ! Mère ? Où êtes-vous ? S'il vous plaît, Mère, j'ai un cauchemar, je ne peux pas me réveiller ! Maintenant, le monde est perdu, je ne suis qu'un ! Oh Dieu, aide-moi ! Tenez mon breath as I wish for dear ! Oh s'il vous plaît, Dieu, aide-moi ! Moi, me coucher ici, c'est comme... C'est comme un grand défilé d'entraînement. C'est l'arbre, l'épaule, l'espoir du XXème siècle !
[00:40:17] Speaker D: J'ai besoin d'aide.
[00:40:17] Speaker B: J'ai des problèmes et j'ai besoin d'aide.
What's he saying ? He said kill me. Over and over again. Kill me. Don't you have some message for a partner ? He's the product of your profession. Not mine.
Merci. ... ... ... ... ... ... Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti pour le tour du monde ! Musique d'outro Les choses que vous avez.
[00:44:27] Speaker G: Faites récemment, je vais mettre un embargo contre votre pays.
[00:44:30] Speaker D: L'espoir de mentir, votre coeur se brise.
[00:44:32] Speaker B: Tout ce que vous avez fait, vous l'avez dépassé. Je m'imite, il n'y a pas de droit. Vous essayez de prendre mon lumière.
[00:44:40] Speaker D: Il vaut mieux que vous preniez la.
[00:44:42] Speaker G: Main et vous vous battiez.
[00:44:42] Speaker B: Vous allez continuer comme un pouce bleu dans la nuit. De toutes façons, vous avez brisé mon cœur. Ce n'est pas ok. De toutes façons, vous êtes trop fort.
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org mais tu es pas bon je t'arrangerais si je pouvais j'ai quelque chose de faux, quelque chose de mal compris je t'arrangerais si je pouvais.
[00:46:49] Speaker D: Si j'pouvais manger du poulet Oh oui, oh oui, c'est bon ! Comme le melon !
[00:46:59] Speaker B: Voilà.
[00:46:59] Speaker A: C'est les deux ingrédients qu'on cite tout le temps.
[00:47:01] Speaker D: Je tiens à préciser qu'il n'y avait pas de blague douteuse là-dedans.
[00:47:05] Speaker E: Ou alors un placement de produit pour du melon.
[00:47:08] Speaker A: C'est juste qu'on parle toujours de... Donc.
[00:47:09] Speaker C: Si vous voulez faire un feat, si vous cherchez des choristes, Pierre peut s'habiller comme Marié Carré sans aucun problème puisque elle-même a volé des vêtements à Pierre.
[00:47:18] Speaker A: Oui, l'eau rose qu'elle a dans... Bon bref, c'est compliqué. Je resterai là dans un... C'était à Miami sur la plage.
[00:47:25] Speaker C: Et vous n'étiez pas pourtant ami-ami ?
[00:47:27] Speaker A: Ah non, pas du tout. De toute façon, c'est pour ça qu'elle m'a volé mon petit eau rose.
[00:47:29] Speaker D: Mon grand top ! T'en déconnais ?
[00:47:31] Speaker C: Alors, avec tout ce qu'elle gagne, avec tout ce qu'elle gagne... Bah par contre.
[00:47:35] Speaker D: Elle a réussi à rentrer ses seins dedans.
[00:47:36] Speaker A: Là, je suis quand même applaudi parce que je me disais bon, c'est bien. Elle a réussi à rentrer ses seins dedans. Moi, j'avais des brioches seulement.
[00:47:41] Speaker D: C'est vrai. Oui, moi aussi !
[00:47:45] Speaker A: On peut pas tout raconter parce que.
[00:47:47] Speaker D: C'Est un peu louche. Cela ne nous regarde pas.
[00:47:50] Speaker A: Bon, pourquoi j'ai passé du skin-dread ? Parce que je sais que beaucoup se foutent de la gueule de skin-dread. Mais quand j'étais ado, j'aimais beaucoup de te boire, voilà, c'est pour cette raison. Et que le chanteur, c'est un ouf. Et sur scène, ça fait partie des groupes qui, quand bien même ils galèrent, bon là ils ont sorti un album qui est...
très très pop, très ouvert, et donc ça a permis au groupe de diffuser sur beaucoup de radios aux Etats-Unis. Donc ils sont revenus un peu en force. Bah sur scène, ça tue. Il fait le show, le mec il est au taquet, il met des costumes, il met des chapeaux, il met des.
[00:48:18] Speaker D: Écharpes, il met des mains...
[00:48:20] Speaker A: C'est un peu le clown, mais n'empêche, ça rend un truc de malade. Donc c'est pour ça que je m'obstine à jouer leurs morceaux.
[00:48:26] Speaker C: Mais bien sûr, mais continuez à jouer tous leurs morceaux, Pierre. Joue-les bien.
[00:48:32] Speaker D: Nos invités ce soir, c'est Bad Situation. Bonsoir.
[00:48:37] Speaker A: Leur album, je le rappelle, sort le 29. Il s'appelle tout simplement Bad Situation. C'est plutôt une bonne idée.
[00:48:44] Speaker C: On y reviendra, mais... Non, mais je trouve ça un petit peu attendu.
[00:48:49] Speaker D: Ah ouais, c'est facile. C'est vraiment la polémique pour la polémique.
Écoute-moi bien.
[00:48:58] Speaker A: Ils auraient pu l'appeler 1, d'avoir un truc vraiment frustrant.
Non mais oui, c'est bien.
[00:49:02] Speaker E: On aurait dû l'appeler Power Trio.
[00:49:08] Speaker A: On va pas se mentir, c'est déjà chiant de trouver un nom de groupe, donc en plus un nom d'album...
Ouais.
[00:49:12] Speaker E: Et ben même pour la petite histoire, au début, donc on parait des gens de l'industrie, je voulais bosser avec une équipe qui m'ont dit, bah Situation, trop générique, ça marchera jamais, c'est déjà pris. C'est pas pris.
Aussi générique que...
[00:49:28] Speaker A: Un truc pas pris.
[00:49:28] Speaker D: Ouais. Du tapot, c'est vachement pas pris.
[00:49:31] Speaker C: Sinon vous auriez dû faire Bad Situation FR comme Wargasm UK.
[00:49:35] Speaker D: Ah ouais ? Ah ouais.
[00:49:38] Speaker C: Alors nous on parle de... Parce que pour nous il n'y a que Wargasm UK qui existe.
[00:49:41] Speaker D: Ouais.
[00:49:41] Speaker C: Mais du coup... Parce que les autres.
[00:49:42] Speaker A: N'Ont jamais marché non plus.
[00:49:44] Speaker C: Du coup quand on tagge Wargasm il y a toujours le même gars qui vient nous dire Wargasm UK !
[00:49:48] Speaker D: Ouais. Il est un membre de Wargasm US.
[00:49:52] Speaker A: On se doute que ça doit être ça.
[00:49:54] Speaker D: Ou c'est un ultra.
[00:49:56] Speaker A: Le mec c'est le seul qui écoute son album donc du coup il le défend.
[00:49:59] Speaker D: Je pense que c'est le cas. Hello to you Wargasm US.
[00:50:05] Speaker A: On t'aime bien sûr beaucoup.
[00:50:07] Speaker C: Love love.
[00:50:08] Speaker A: Laisse des commentaires, ça nous fait remonter dans les légendes.
[00:50:11] Speaker E: C'est parti.
[00:50:14] Speaker A: On revient un petit peu avant où vous parliez de votre t-shirt Metallica au lycée. C'est quoi ?
[00:50:21] Speaker D: C'est quoi Metallica ?
[00:50:24] Speaker A: On connaît toutes les petites histoires de Metallica.
[00:50:26] Speaker C: Tu veux qu'on raconte des trucs qu'on.
[00:50:28] Speaker A: N'A pas l'air de raconter ?
[00:50:32] Speaker C: L'art sur l'lyrique s'entend très bien avec le chanteur de Godsmack.
[00:50:34] Speaker A: Comme ça ?
[00:50:35] Speaker D: Voilà. Ça me donne une amitié assez proche.
[00:50:40] Speaker C: Bien sûr, on parle de clé et de serrure.
[00:50:42] Speaker A: Car les serruriers à ces heures-là...
S'il tentait qu'il s'en jouait, mais enfin je.
[00:50:45] Speaker E: Veux dire... Bah si, Lars théoriquement il s'est joué au tennis.
[00:50:48] Speaker A: Théoriquement.
[00:50:49] Speaker D: En tout cas il avait les bandeaux.
[00:50:50] Speaker A: Il s'est joué à la batterie aussi.
[00:50:52] Speaker D: Bon allez, on est méchants.
[00:50:58] Speaker A: Qu'est-ce que vous écoutiez avant d'écouter du rock quand vous étiez enfant ? Et à partir de quel âge il y a eu les prémices de la guitare, du groupe ?
[00:51:05] Speaker C: Quel a été le déclencheur ?
[00:51:06] Speaker A: Parce qu'on a tous écouté des trucs à la con, évidemment.
Il n'y a pas de quoi avoir honte.
[00:51:12] Speaker E: Non, parce que je pense qu'on les écoute encore aujourd'hui.
[00:51:13] Speaker D: C'est peut-être un problème. J'étais marqué moi et lui au concert.
[00:51:16] Speaker E: Tu veux commencer ?
[00:51:18] Speaker A: Je ne sais pas.
[00:51:20] Speaker D: Tu veux te ridiculiser en premier ?
[00:51:21] Speaker F: Non, en vrai, par éducation musicale, j'ai des parents qui écoutent pas mal de rock.
[00:51:26] Speaker A: Ah oui, donc t'étais jeune, non ?
[00:51:27] Speaker F: Ouais, mes parents, Police, Bono, R.E.M. Ma mère, elle écoute beaucoup de choses comme ça, donc j'ai un peu grandi avec ça. Et après, je me suis durci.
[00:51:36] Speaker A: Il est moche, hein, Youssef ?
[00:51:42] Speaker C: Je me suis retenu de l'affaire.
[00:51:43] Speaker D: Je suis désolé, j'ai eu une image.
Bouge d'un coup là ! Je parlais des moments où je mettais du recif.
[00:52:02] Speaker E: Tu sais que ça va finir sur.
[00:52:03] Speaker D: Instagram en 2020 ? Si je suis là il va bien tourner, je suis là. T'as de la chance que t'aies plus de téléphone. C'est méchant. Envoye des sous pour m'acheter ton téléphone.
[00:52:14] Speaker F: Mais voilà, qu'est-ce que je disais ? Voilà, Police, R.E.M. et après Nirvana.
[00:52:18] Speaker A: Donc tout ce qui est rock-pop, etc.
Rock-F.M. Et puis toi, à quel moment tu t'es dit tiens je vais écouter du métal. Enfin, de l'alternative rock on va dire.
[00:52:27] Speaker E: Je pense que c'est... Et qu'est-ce que c'était ?
[00:52:28] Speaker A: C'était du punk ?
[00:52:30] Speaker D: Du pop-punk ?
[00:52:31] Speaker F: Ouais, je pense que c'est au début collège, tu commences à télécharger des titres sur emule quand c'est des titres que.
[00:52:38] Speaker D: Tu veux et pas autre chose.
[00:52:40] Speaker E: Quand c'est pas Naruto 2 le film.
[00:52:41] Speaker F: Quand t'arrives à avoir ce que tu veux, pour moi c'est avec ça.
[00:52:48] Speaker A: Mais t'as vu comme il ment ? Non parce que moi j'ai bien compris ce qu'ils téléchargeaient sur eux.
[00:52:54] Speaker D: Je vous mettais dans la corbeille. Démangâtés immédiatement. Démangâtés ?
[00:52:56] Speaker A: Mais j'ai tapé Metallica, comment ça se.
[00:52:57] Speaker D: Fait que c'est toujours bon ?
[00:52:58] Speaker A: Ça dure 12 minutes.
[00:52:59] Speaker D: Comment ça, James Brown, Sex Machine ? Bon, c'est pas ça ! Vous voulez que je vous dise ?
[00:53:08] Speaker C: Je connais des personnes, je ne dirai pas de nom.
Qui, à une certaine époque, utilisait les logiciels de peer-to-peer et mettait des titres comme « Tool Studio Outtake ».
[00:53:23] Speaker E: Oh waouh !
[00:53:24] Speaker D: Si, ça c'est moi.
[00:53:26] Speaker C: Avec des fichiers qui étaient très très lourds pour bien faire croire que c'était une chanson de Tool qui durait 5 heures. Et quand on la mettait, Il y avait un bruit de micro mal branché de Seb et Karim Kiss derrière.
[00:53:39] Speaker A: Du coup, ça ressemblait un peu à tout le coin.
[00:53:40] Speaker D: Et ça faisait...
Poisirène ! Poisipoisirène ! Je suis là pour ton bonheur, Poisirène ! Ça existe encore ?
[00:53:50] Speaker A: Peut-être.
[00:53:51] Speaker C: Ce son doit exister quelque part.
[00:53:53] Speaker A: Moi, j'ai l'ami qui l'a enregistré là.
[00:53:56] Speaker D: J'ai pas dit ! C'était toi !
[00:53:58] Speaker A: Il s'appelle Christophe Dufresne, il habite à Madrid.
[00:54:00] Speaker D: Je peux le défoncer tout de suite.
[00:54:03] Speaker C: Eh ben tout l'on sait, vraiment, je suis bien content de ne pas t'avoir connu à une certaine époque.
[00:54:10] Speaker A: Non mais oui, bon, voilà.
[00:54:12] Speaker D: Donc, oui. En revenant à ce que tu disais, désolé.
[00:54:16] Speaker A: Tout dur et tout U2.
[00:54:18] Speaker D: À l'adolescence, quoi.
[00:54:22] Speaker A: Et donc t'as écouté quoi comme métal ? C'est quoi ton genre ? A part Metallica, j'ai bien compris. A part Metallica, bah sauf que quand.
[00:54:31] Speaker F: Metallica prenait beaucoup de place quand j'étais.
[00:54:32] Speaker D: Au... Ah ouais quand même, d'accord.
[00:54:33] Speaker A: T'étais à fond geek Metallica.
[00:54:35] Speaker C: Attends, il avait un t-shirt... Death Magnetix.
[00:54:38] Speaker D: C'Est vrai que tu devais l'admettre.
[00:54:39] Speaker F: C'est mon premier concert de Metallica, de Death Magnetix en soi, du genre, j'étais très content moi à l'époque.
[00:54:43] Speaker D: Et c'est à ce moment là que.
[00:54:44] Speaker A: Tu t'es dit, putain mais attends, mais c'est trop bien, moi aussi je veux.
[00:54:45] Speaker D: Que ça fasse...
Ouais en première partie.
[00:54:49] Speaker E: Il y avait Machine Head et là.
[00:54:50] Speaker F: Du coup j'ai dit ah putain Machine Head, Machine Head et du coup Machine Head c'est pas pareil, là tu prends un cran.
[00:54:55] Speaker A: Ouais parce que vous à votre époque il n'y avait pas de magazine. Enfin si il devait y avoir Mayrock ou...
[00:54:58] Speaker D: C'était Rock One. C'était Rock One.
[00:55:01] Speaker E: C'est qui qui faisait Rock One ?
[00:55:02] Speaker C: Bah c'est...
[00:55:03] Speaker E: C'était Fiat ?
[00:55:04] Speaker A: Non ?
[00:55:05] Speaker B: Non.
[00:55:06] Speaker A: C'était pas Benoit ? Non non, excusez-moi en parlant de ton dos ça vous dérange pas ?
[00:55:09] Speaker D: Vas-y, on va pas discuter entre nous. C'était Pierre.
[00:55:12] Speaker A: Ah c'était Pierre aussi d'accord, qu'on embrasse.
[00:55:14] Speaker E: Ok, pardon.
[00:55:17] Speaker F: À l'époque, au collège, j'écoutais Slipknot, j'écoutais Mütwein.
[00:55:22] Speaker A: À l'ancienne quoi.
[00:55:24] Speaker E: Après t'étais à fond System of a Down aussi.
[00:55:26] Speaker D: Je peux faire les réponses à sa place aussi.
[00:55:29] Speaker C: Parce que j'ai l'impression qu'elles sont beaucoup plus honnêtes.
[00:55:33] Speaker A: C'est vrai qu'il a plus de mémoire que moi.
[00:55:39] Speaker E: Green Day aussi, non ?
[00:55:40] Speaker A: Green Day, oui !
[00:55:41] Speaker E: Parce que Lucas a fait de la batterie aussi, donc t'as tout ce truc-là d'apprentissage...
[00:55:44] Speaker F: J'avais des professeurs qui m'apprenaient des morceaux qui me donnaient envie aussi de ce que je jouais, les Red Hot. J'ai aussi appris à jouer du Placebo, c'est pas très métallin.
[00:55:53] Speaker A: Moi j'aime beaucoup Placebo.
Il m'a fait écouter, c'est pas si pire. En fait c'est l'écriture qui est intéressante.
[00:56:01] Speaker D: La musique est bien, mais l'écriture est très intéressante.
[00:56:03] Speaker F: Non, moi je ne saurais pas trop faire tout ça, quoi.
[00:56:07] Speaker E: Alors moi... Non, je vais aller vite. À la maison, il y a toujours eu de la musique. Moi c'était beaucoup la funk, le son de la Motown à la maison. Je suis le dernier d'une fratrie de quatre enfants. Le plus petit écart que j'ai c'est 8 ans avec mon frère.
Donc moi j'ai baigné avec Michael Jackson, mon frère m'a fait découvrir The Offspring, parce qu'on était dans la même chambre, Americana c'est en long, en large, en travers, en aléatoire. En fait j'avais déjà cette base là.
Après on a eu de la chance, je pense qu'on est un peu la dernière génération, c'est-à-dire on fait vieux en disant ça, qu'on avait MCM, MTV, donc l'équipe de Linkin Park, on a découvert le catch aussi, donc Nickelback, Papa Roach, tous ces trucs-là un peu gros rock américain, but rock, ouais c'est ça, ultra mainstream, et en fait Metallica et moi...
J'ai eu une, une hors de colle, une surveillante qui était fan de Meta m'a dit écoute ça ça ça ça ça, donc elle m'a fait Deep Purple, Machine Head et tout, Pantera, ouais bah fallait rentabiliser l'hors de colle, elle était aussi punie que moi donc...
Et du coup, c'est Esther, ça s'appelle Esther, j'ai oublié son nom, et entre temps, son mari faisait de la guitare, il m'a appris à faire du palmute, à faire croum-croum-croum, parce que c'était le seul truc que je voulais faire à la guitare, croum-croum-croum, et la Metallica et ligne droite, Ride the Lightning, c'est parti dans tous les sens. Mais moi je suis vraiment parti dans l'obscur, j'ai écouté Anchor, c'était mon groupe préféré, Encore, c'est un groupe de Sergi, avec le batteur qui faisait de la quadruple pédale.
[00:57:56] Speaker D: D'accord, parce qu'il avait quatre pieds ?
[00:57:59] Speaker A: C'était le batteur de Tchernobyl !
[00:58:03] Speaker C: Il avait emprunté les deux jambes du.
[00:58:04] Speaker D: Batteur de Daft Lepard ! J'ai la tête qui a tapé dans le micro, excusez-moi !
[00:58:12] Speaker E: Mais ouais, il avait une technique de double pédale à chaque pied et t'as des titres qui montent à 300 bpm, ça fait...
[00:58:20] Speaker D: Et moi j'adorais ! J'ai été très content.
[00:58:25] Speaker E: En termes de perfs, c'est... Il fallait que ce soit violent. Ah non, j'ai découvert Slipknot aussi.
[00:58:31] Speaker D: Ah bah Slipknot, c'est ça. C'est pas mal.
[00:58:34] Speaker A: Le côté violent mais en même temps...
[00:58:35] Speaker E: Ouais, j'ai oublié de le mentionner.
[00:58:37] Speaker A: Avec une mélodie, avec une logique... Et.
[00:58:40] Speaker E: Surtout le visuel genre... Bah les Rock One. Je pense que je suis le dernier investisseur de Rock One.
J'ai acheté tous les magazines où il.
[00:58:46] Speaker D: Y avait Slipknot pour avoir les posters.
[00:58:50] Speaker A: Comme tu vois ici on en a plein de magazines.
[00:58:52] Speaker C: Il y en a un juste derrière toi d'ailleurs de Slipknot. Sur la télé c'est un live de Slipknot.
[00:58:59] Speaker D: Ah putain ouais !
[00:59:00] Speaker A: Du magazine addict. On fait un bisou à Charlotte.
[00:59:03] Speaker D: Bisou Charlotte.
[00:59:05] Speaker C: Genre je la connais. Elle est très gentille.
[00:59:06] Speaker A: Elle est extrêmement gentille.
Et là, c'est à partir de ce moment-là que vous vous êtes fait des amis ? Parce qu'avant vous n'aviez pas d'amis ? C'est à ce que je veux dire. C'est un moment où, toujours délicat l'adolescence, on le sait très bien, et rencontrer les gens c'est compliqué. Tu l'as dit, il avait un t-shirt, c'est ça qui m'a fait dire, on peut se comprendre, il fait partie du même monde, je vais pas m'en prendre une dans la gueule au passage, ou alors devoir me foutre une. Et là, c'est le moment où vous faites tous vos amis que vous avez aujourd'hui, Ouais, justement, au contraire, c'était lourd ! Excuse-moi, t'as écouté un truc de sataniste où y'a des gens qui mangent des cochons avec des poulets avec des oiseaux dedans, donc je comprends pas.
[00:59:44] Speaker F: Ouais, c'est exactement ça, c'est plus le.
[00:59:45] Speaker E: Moment où t'écoutes Tokyo Hotel. Tokyo Hotel, Marilyn Monson, genre c'est pareil quoi.
[00:59:49] Speaker D: T'as quatre potes dans le collège et voilà, entre tous.
[00:59:52] Speaker F: Même combat.
[00:59:53] Speaker D: Cheveux noirs, même combat.
[00:59:56] Speaker F: C'est plus lycée, même, en fait, non.
[00:59:59] Speaker E: Moi, j'étais un peu le... T'étais tout seul. Ouais, j'étais vraiment tout seul.
[01:00:02] Speaker D: Il était tout seul.
[01:00:03] Speaker E: Non, mais c'est ce qui arrive sur ton rêve. On était deux, trois potes à kiffer, mais moi j'étais vraiment extrémiste, quoi. Genre vraiment, je fais que métal.
[01:00:14] Speaker A: Après, c'est une époque où on est aussi tous comme ça.
[01:00:16] Speaker E: Voilà, c'est ça. Et non, j'ai pu me faire des potes...
[01:00:21] Speaker D: C'est plus tard.
[01:00:22] Speaker E: Ouais, ça a toujours surpris. En fait, j'étais dans un délire de fan de métal, genre j'étais fan de P.O.D., Pantera, genre c'était mon truc. Et en fait, j'ai commencé à côtoyer des gens un peu plus vieux de la scène métal qui, eux, avaient vécu dans le truc, genre Metallica à l'Espace Ballard ou je sais pas quoi, le premier concert qu'ils ont fait à Paris. Tu discutes avec des gens qui peuvent te comprendre ou qui ont compris ou qui ont vécu le truc.
[01:00:49] Speaker A: Tu rencontres des adultes qui écoutent encore.
[01:00:51] Speaker F: Du métal et qui disent « Putain, on peut encore écouter du métal quand on est adulte, c'est trop bien !
[01:00:53] Speaker D: » Il y a aussi de ça, ouais.
[01:00:57] Speaker A: Et là tu sais que bon, tout est engagé dans un truc de merde. Exactement.
[01:01:01] Speaker E: Je regrette tous les jours, après je.
[01:01:02] Speaker D: L'Écoute, je dis « Bah ouais, quand même ».
[01:01:07] Speaker A: Bon, on parle de groupe, on parle de votre groupe évidemment, mais on parle aussi des groupes que vous aimez, les Foo Fighters. Non parce que là, nous on se fout de leur gueule systématiquement parce que... Ah ouais ? Non mais tu sais c'est ce côté...
Quand tu es beaucoup trop présent et que systématiquement il y a toujours une communication sur le fait que tu es le mec le plus cool du monde, il y a un truc louche. Ça cache quelque chose. C'est vrai ça ? Nous on crache dessus parce que moi il m'a refusé interview, il y a des trucs comme ça.
Il y a le petit non mais méchant.
[01:01:36] Speaker C: Après on crache dessus, on aime bien quand même.
[01:01:38] Speaker D: On aime bien les professeurs.
[01:01:41] Speaker C: On l'aimerait plus.
[01:01:42] Speaker D: En tout cas c'est exprès de faire attends, désolé j'ai craché à la gueule. Dans les cheveux.
[01:01:48] Speaker A: C'est pas ses cheveux non plus.
[01:01:49] Speaker D: Bien sûr, je sais bien.
[01:01:54] Speaker C: Les voyages en Turquie à répétition. C'est bizarre qu'ils jouent si peu en.
[01:01:59] Speaker D: France et autant en Turquie quand même. Mec balance des fausses infos. Tu sais tu balance le truc genre pfff, voilà.
Ça sent tout le monde croire que c'est vrai.
[01:02:13] Speaker E: Exactement, parce que c'est sur internet donc c'est forcément vrai.
[01:02:16] Speaker C: Et puis ce sera bien sorti de son contexte aussi.
[01:02:21] Speaker A: Donc les Blue Fighters, ça s'est arrivé aussi au lycée.
[01:02:24] Speaker D: Moi ça arrivait un peu tard.
[01:02:27] Speaker A: C'était trop doux pour toi.
[01:02:28] Speaker D: Ouais, il y a un peu de ça, clairement.
[01:02:31] Speaker A: Mais ouais, fin lycée et puis tout.
[01:02:33] Speaker F: Ce qu'il y a après, c'est vrai que quand ça... Les albums qui nous ont vraiment influencé et qui nous ont même lié musicalement, on s'est dit putain, ça c'est vraiment très cool. Ils arrivent à lier des choses qui nous plaisent. Au niveau des voix, au niveau des harmonies, peut-être aussi... T'as le Rock'n'Ski qui chante à la batterie en live, tu te dis putain c'est cool, il met l'énergie, ça bouge le visuel sur scène, tu regardes tout le monde, enfin c'est...
Ouais carrément.
[01:02:55] Speaker E: Bah ouais, je suis totalement d'accord et moi j'ai découvert vraiment Westing Light, la version, tu sais quand il joue en live tout l'album. Là je dis, ah ok, c'est bon j'ai compris.
Et à partir de là, c'est devenu mon album préféré.
[01:03:08] Speaker A: En fait, Dave Grohl, c'est presque un bon musicien.
[01:03:12] Speaker D: Ouais.
[01:03:13] Speaker F: Moi, j'ai découvert Wasting Light et après, j'ai tout réécouté dans le... Bon, parce.
[01:03:17] Speaker E: Qu'On fait souvent avec les groupes, c'est.
[01:03:17] Speaker D: Mieux ça raconter un truc un peu.
[01:03:18] Speaker F: À la con, mais c'est vrai que...
[01:03:20] Speaker A: Ouais, mais c'est intéressant de le dire. Parce que quand on sait comment est consommée la musique aujourd'hui...
[01:03:25] Speaker D: C'est ça, c'est ça.
[01:03:26] Speaker C: Trouver ta porte d'entrée et puis...
[01:03:27] Speaker D: Exactement.
[01:03:28] Speaker F: D'aller se faire un peu les albums dans l'ordre aussi, c'est cool de faire encore ça. Ça, c'est une phrase de vieux.
[01:03:31] Speaker A: C'est une phrase de passionné, je pense que quel que soit l'âge, il y a des gens qui sont très jeunes et qui le font aussi.
[01:03:38] Speaker C: Les grandes masachistes qu'on a reçues la semaine dernière nous disaient exactement la même chose, qu'il y a des trucs qui font qu'elles sont rentrées dans un artiste et puis après elles refont toute la disco pour voir comment ça évolue. Après aussi voir quelle période... Parce que des fois on rentre par un truc et puis en fait on se rend compte que la période d'avant était encore mieux.
que après c'est encore mieux ?
[01:03:57] Speaker F: Où t'arrives pile quand c'est mûr, quand t'aimes bien et avant t'es quoi ?
[01:04:00] Speaker E: Fallait te faire chercher ou quoi ? Ouais, c'est Wasting Light et après c'est tout ce côté-là, rock, énergie... Ouais on...
[01:04:11] Speaker A: Parce que t'es un peu incisif aussi, qui est comme ça, comme vous un.
[01:04:14] Speaker E: Petit peu... Et puis c'est vraiment le côté fun, vraiment ce qu'on a kiffé parce que moi j'étais un peu extrémiste avant, c'est soit t'aimes Nirvana, soit t'aimes les Foo Fighters, t'as pas d'entre-deux.
C'est soit t'aimes Rage Against The Machine, soit t'aimes Audioslave, ou t'as pas l'entre-deux. Et en fait, après j'ai grandi.
[01:04:40] Speaker D: Qui est de la nuance, qui est zéro nuance.
[01:04:42] Speaker E: Je suis bloqué tout seul, tu vois. Donc ouais, quand j'ai découvert ça, c'était cool. Et puis vraiment le côté fun, décalé, ça changeait du côté vraiment métal. Oui, bien sûr.
[01:04:53] Speaker D: On peut sourire. Tu peux sourire. Détendez-vous les mecs. Tu peux sourire. C'est déconseillé, mais tu peux. Pas tout le temps, pas sur les photos.
[01:05:04] Speaker A: Oui, c'est ça. Il faut tirer la tronche, sinon t'es pas métal.
[01:05:08] Speaker E: Mais juste avant, ils rigolent les mecs.
[01:05:10] Speaker D: Vous connaissez bien le milieu, c'est des.
[01:05:12] Speaker A: Trucs qui font tout ce que rire, et d'un coup ils font « Non mais par contre j'ai beaucoup souffert ».
[01:05:16] Speaker C: Moi c'est pour ça que j'ai arrêté de faire des photos de groupes de métal. Parce que j'en ai marre, les mecs ils sont toujours en train de faire des vannes et tout, et puis après tu trilles les photos et ils font « Ah mais attends t'en as pas une où tout le monde fait vraiment la gueule ? » Les gars, arrêtez de faire des blagues.
[01:05:30] Speaker D: Votre problème, c'est que vous êtes drôles.
[01:05:33] Speaker A: Et que vous passez des bons moments, que vous faites une musique qui vous plaît et que du coup, vous êtes heureux. C'est la libération aussi. Quand on aime cette musique, on nous l'a souvent dit, qu'il y a ce truc d'attachement, de passion qui est très différent du rap.
Je dis le rap parce que ça me vient à l'idée, mais il n'y a pas que ça, que de la techno, etc. Il y a un truc en plus, un truc chaleureux, un truc qui nous anime, un truc qui nous fait être vivants. Et on est malheureux, mais quand même heureux.
[01:05:58] Speaker C: On est malheureux ensemble.
[01:06:00] Speaker D: Exactement, malheureux en groupe.
[01:06:02] Speaker E: Du coup, ça s'annule. Mais ouais, je suis d'accord. Et puis, nous, ce qu'on aime bien aussi, c'est les histoires dans les groupes. C'est vraiment le storytelling. Tu vois, par exemple, moi, en tant que grand fan de Pantera, j'ai pas vécu le truc, mais la mort de Dimebag, j'étais genre, quoi ? Quand j'ai découvert, genre trop longtemps après, quoi. Mais tu sais, j'étais genre...
Du coup, je pense que ce côté passionné-là, tu l'as en grande partie dans cette culture rock-metal.
[01:06:35] Speaker C: D'ailleurs je pensais, vu qu'on vous pose souvent la question sur le bassiste, peut-être qu'il y a une histoire à inventer.
Tu sais, genre, tu sais, il suffit que de...
[01:06:44] Speaker A: On l'a mangé.
[01:06:44] Speaker D: Bon, là, il est peut-être trop tard.
[01:06:46] Speaker F: Ouais, on l'a mangé, c'est clair.
[01:06:47] Speaker C: Il est trop tard pour l'artwork, mais peut-être sur le prochain, mettez... Voilà, maintenant que la peine est passée, on voudrait dédier cet album à notre.
[01:06:53] Speaker D: Belle-Fille qui a été tuée sur scène.
[01:06:55] Speaker F: On va en vendre des bouquins.
[01:06:56] Speaker D: Ah oui. Ah ouais, ouais, ouais.
[01:06:59] Speaker C: Tu vois, après, tu peux le cumuler avec d'autres trucs.
[01:07:01] Speaker E: On l'appellera la dernière corde.
[01:07:11] Speaker C: En parlant de dernières cordes, j'adore le catch.
[01:07:18] Speaker A: Allez, on va regarder donc ce clip, The Pretender de Foo Fighters. Je vous montre pas pourquoi parce qu'on en a tellement déjà parlé qu'on va juste le regarder, il est parfait.
[01:07:49] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire du sens ! J'ai fini de faire C'est parti ! C'est parti pour le tour du monde ! Je suis le visage que tu dois affronter, miré dans ton regard Je suis ce qu'il reste, je suis ce qui est bien, je suis l'ennemi Je suis le ciel qui t'embrasse, qui t'accroche à tes pieds Alors qui es-tu ? Musique du générique de fin C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Je suis mort, mais je suis toujours là ! C'est la fin de cette vidéo.
[01:14:02] Speaker A: Bang Bang, en direct tous les dimanches soirs, c'est le live Twitch Metal, n'hésitez pas à vous abonner à la page, vous appuyez sur le petit cœur comme d'habitude, mon blablabla. Invitez vos amis.
[01:14:12] Speaker C: On peut dire aussi qu'il y a des replays.
[01:14:13] Speaker D: Ah, mais c'est où ?
[01:14:14] Speaker C: C'est sur YouTube, il suffit de taper point ! bang et puis vous nous followez. N'hésitez pas, il faut le faire.
[01:14:20] Speaker D: C'est gratuit ?
[01:14:21] Speaker C: C'est gratuit, exactement.
[01:14:22] Speaker A: On peut s'en priver.
[01:14:23] Speaker C: Voilà, plein de petits contenus, peut-être même des petits contenus bonus qui vont arriver bientôt.
[01:14:28] Speaker A: Ça me fait toujours peur quand tu me dis ça.
[01:14:30] Speaker C: Tu as raison d'avoir peur.
[01:14:31] Speaker A: Quand j'étais déguisé en tortue... Et.
[01:14:38] Speaker D: C'Est pas ta tête qui est rentrée !
[01:14:42] Speaker A: Bah c'était quand même ma tête qui était à cet endroit-là.
[01:14:43] Speaker D: Qu'est-ce que je voulais dire ?
[01:14:47] Speaker A: Vous pouvez aussi nous rejoindre sur Discord, comme ça vous pouvez discuter entre vous, vous pouvez passer des clips, et si vous voulez participer à la programmation de cette émission parce que je n'aime pas travailler, n'hésitez pas à me faire des propositions sur le Discord.
[01:14:56] Speaker C: Comme d'habitude, il ne mettra rien.
[01:14:58] Speaker A: C'est pas faux.
[01:15:00] Speaker D: Putain, c'est bien vendu, t'as vu cette édition ? C'est un vrai travail, tu vois. Au début, je voulais rejoindre le Discord... Non.
[01:15:09] Speaker C: Non mais on est honnête, tu vois, on peut pas nous enlever ça, quoi.
[01:15:11] Speaker E: Exactement.
[01:15:12] Speaker A: Non, mais notre petit Marcel, qui est la personne qui monte toutes nos vidéos...
[01:15:16] Speaker C: Enfin, qui retire les clips.
[01:15:19] Speaker D: Ils montent les shorts !
[01:15:23] Speaker E: Et puis vos sous-titres, c'est toujours les mêmes.
Et ça, c'est pas une mince affaire.
[01:15:30] Speaker C: Après, on a encore des petits trucs à travailler sur la charte graphique, les trucs qui restent toujours les mêmes. Mais les sous-titres, ça c'est bon. Je le travaille encore sur d'autres petits trucs.
[01:15:42] Speaker D: N'est-ce pas Marcel ? Et là il est chez lui, il.
[01:15:45] Speaker A: Est en train de chialer.
[01:15:49] Speaker C: Ça me rappelle toi, la vidéo de.
[01:15:54] Speaker B: Toi.
[01:15:54] Speaker A: Donc ce concert qui arrive là le 30 mars à la Boulnoire, quasiment complet, il y a une tournée ?
[01:16:02] Speaker E: Il y a une tournée.
[01:16:04] Speaker A: Enfin il y a des dates en tout cas. Je ne sais pas si vous parlez de tournée mais...
[01:16:07] Speaker E: Il y a des dates. Alors si on peut parler de tournée parce qu'à partir de deux dates c'est une tournée ?
[01:16:12] Speaker B: Oui.
[01:16:13] Speaker D: C'est vrai. Ou un long week-end.
[01:16:16] Speaker C: Sinon c'est un long week-end mais... Oui.
[01:16:19] Speaker E: Il y a des dates, on joue principalement en mars, mai, juin, juillet, pour l'instant. Il y a des dates qui sont déjà annoncées, d'autres qui sont en attente de confirmation. Mais là, les grosses échéances qu'on a, en vrai, c'est la boule noire pour la release party. On joue au crazy fest entre Tagada Jones, Dagobah, Rage Against The North Star. On est là-dedans, dans ce line-up-là, et on a le Hellfest. Le dernier groupe qui joue, c'est Metallica, la veille. Et le dernier groupe qui joue le jour où on joue, c'est Foo Fighters. Donc nous, on est au milieu de tout ça. Très content et très impatient d'y aller.
[01:17:03] Speaker C: Tu veux dire qu'être prêt en sandwich entre Metallica et Foo Fighters, ça te plaît ?
[01:17:06] Speaker E: C'est un rêve de gosse.
[01:17:07] Speaker D: C'est un rêve de gosse.
tranche de pain là, tranche de pain James, paf !
[01:17:15] Speaker E: Non mais on est très content mais je pense que les dates qui vont arriver en grand nombre ce sera à partir de septembre parce qu'on est déjà en train de booker septembre, octobre, novembre.
[01:17:26] Speaker A: Super pour toutes les personnes qui n'auront pas l'occasion de vous voir là, ça arrive pour les autres villes en tout cas.
[01:17:32] Speaker E: Exactement, parce que même c'est aussi un choix de notre part, parce que la Boulogne on veut vraiment mettre un niveau, c'est la première fois qu'on joue 1h20.
Donc il y a plein de choses à voir, avec notre équipe technique aussi qui vient de se rajouter.
Il y a tout un travail, il faut qu'on apprenne à se connaître pour... Tout préparer, tout ça.
[01:17:51] Speaker A: Oui, on est un petit peu le truc avant de faire le lourd.
[01:17:54] Speaker E: Exactement.
[01:17:55] Speaker A: Bon c'est cool, ça veut dire qu'il y a des bonnes nouvelles aussi.
[01:17:57] Speaker E: C'est de très très bonnes nouvelles.
[01:17:59] Speaker A: Et comme vous le disiez, c'est un grave de gosse.
Il y a les pépettes ou il y a l'excitation ? Ou les deux ?
[01:18:05] Speaker E: Il y a les deux. Il y a l'excitation. On peut parler des pépettes au début.
Là, on connaissait les échéances par rapport au Hellfest, etc. Donc c'est aussi pour ça qu'on a fait l'album, on a fini de le faire avant septembre, parce que c'est là où toute la programmation des groupes comme nous.
[01:18:22] Speaker A: Se fait.
[01:18:24] Speaker E: Et donc en fait, on a ce truc-là, on a suivi un plan. Donc pour nous, c'est très cool que tout fonctionne parce que ça fonctionne, mais on se prépare justement à ces petites échéances et ces deadlines très précises. Après, on fait vraiment tout pour se donner à fond à chaque fois. Tout pour la musique. Exactement. Et là, c'est de l'excitation de voir tout ce qui se passe et tout toute l'euphorie aussi des gens parce que maintenant il y a les gens autour de nous, on n'est plus les deux seuls à s'apporter des bonnes nouvelles quoi. On en reçoit et c'est vraiment très plaisant et ça donne envie de donner encore plus et là on est un.
[01:19:03] Speaker A: Peu dans un truc...
pour pouvoir tout donner sur scène. C'est l'avantage. Et donc il y a l'excitation. Le Hellfest c'est quand même aussi un accomplissement.
[01:19:16] Speaker E: C'est lunaire. C'est lunaire parce que je crois même qu'on est le seul groupe qui fait le Hellfest et qui n'a pas d'album. Officiellement. Par là au moins.
[01:19:24] Speaker D: Qui est sorti.
[01:19:25] Speaker A: Qui annonçait déjà.
[01:19:26] Speaker C: Ah si y'a Kerry King !
[01:19:27] Speaker D: Merde !
[01:19:28] Speaker A: Y'a Kerry King !
[01:19:28] Speaker D: Y'a Kerry King il y a 7-8 ans. Y'a un mec qui a la tête.
[01:19:32] Speaker A: Enfoncée dans le corps.
[01:19:34] Speaker C: L'homme sans cou.
[01:19:37] Speaker A: Il est hyper gentil en plus.
[01:19:38] Speaker C: Déjà si c'est ça, comme ça, comme surnom.
[01:19:41] Speaker D: Non parce qu'une fois il y a eu des gens qui me l'ont appelé.
[01:19:42] Speaker C: Prince Albert mais je ne sais pas pourquoi.
[01:19:49] Speaker A: En tout cas, voilà, sans transition. Je suis perdu, dans ma tête j'avais un truc.
[01:19:54] Speaker C: Tu l'as pas vu venir celle-là.
[01:19:55] Speaker A: Non, et puis à chaque fois en.
[01:19:57] Speaker D: Plus j'ai un gros problème parce que.
[01:19:58] Speaker A: Tout ce qu'on me dit, j'ai des images dans ma tête. Oui. Et c'est un gros problème parce que.
[01:20:02] Speaker D: Du coup forcément j'ai fait ah !
[01:20:06] Speaker A: Donc cette émission est foutue maintenant.
[01:20:08] Speaker C: C'est dommage tu faisais un si bon boulot.
[01:20:12] Speaker A: Est-ce que vous avez des thématiques dans les paroles qui sont assez particulières ? C'est quoi le sujet global de cet album ? C'est un peu les détails que tu veux mettre en avant.
[01:20:26] Speaker E: Alors, les détails qu'on peut mettre en avant, c'est plus... On l'a appelé Bad Situation, même si c'est très facile d'avoir appelé Bad Situation. C'est parce qu'en fait, on a réfléchi à plusieurs noms et on n'arrivait pas à se décider. On s'est dit, en fait, c'est notre premier album où on parle que de nous, enfin, de ce qu'on a vécu ces derniers mois, ces dernières années. Toutes nos frustrations, le côté familial, le travail, le sacrifice, tout ça, on l'a mis dans un album.
et il n'y a pas vraiment de thème particulier, c'est vraiment moi des fois je me pose, c'est moi qui fais toutes les paroles, mais on se met d'accord sur certains thèmes, mais des fois c'est vraiment la part du travail où je vais bosser entre guillemets tout seul. Lucas il a toujours un regard derrière, mais c'est le moment où je suis tout seul, parce que des fois je me mets dans des états, je lui envoie des photos de moi en train de pleurer, ça va être super ! Et donc justement par rapport à Drowned qui est un morceau qui s'est transformé parce que j'ai perdu ma grand-mère qui était une personne très très importante pour moi et un point de repère et du coup on a fait ce titre là mais ce titre là au départ c'est Lucas qui l'a fait Et en fait, je me suis dit, c'est le moment où je peux en parler, parce que j'avais pas fait mon devoir de deuil. Et entre temps, quand on a fini l'album et qu'on a reçu les mixtes, Lucas a perdu son grand-père. Et du coup, les morceaux se sont transformés, en fait. Et du coup, pour nous, ils ont une signification, mais pour les autres, ils vont avoir une autre.
[01:21:51] Speaker A: Comme tout ce qui est artistique en vrai.
[01:21:53] Speaker E: C'est ça qu'on aime bien, il n'y a pas de truc politique, c'est pas de la musique engagée.
[01:21:59] Speaker F: C'est pas forcément des histoires de « on commence pas », des trucs qui sont pas les nôtres, c'est vraiment que.
[01:22:03] Speaker D: Des choses un peu...
Oui, c'est Taratar.
[01:22:06] Speaker A: Avec cet album vous marquez votre vécu.
[01:22:09] Speaker E: Sur cette période de votre vie.
[01:22:10] Speaker C: C'est un peu un statement qui vous êtes au moment où ça a été fait.
[01:22:14] Speaker D: Exactement.
[01:22:15] Speaker A: Ça va permettre aux gens de vous découvrir.
[01:22:16] Speaker E: Un petit peu plus. En tout cas pour ceux qui ont apprécié l'EP, c'est un step en plus où justement ça a franchi de certaines cases qu'on s'était imposées parce qu'on était dans ce truc-là de On est rock, on est métal, il faut être méchant, mais il faut être gentil. On n'arrivait pas, pour le plan, on n'arrivait pas trop à se placer. Et en fait, au fur et à mesure du temps, des mois, et juste en étant nous-mêmes, dans les dates, etc., on s'est dit...
[01:22:43] Speaker A: En fait, on a juste à faire ça. On a juste à être nous. Ouais, en vérité. Après, on s'en fait tout un monde. C'est-à-dire que le rêve qu'on en a de la musique quand on voit les groupes, etc. Bon, après, l'Amérique, c'est un peu différent, mais...
[01:22:55] Speaker E: C'est une industrie.
[01:22:56] Speaker A: Je dis pas que c'est faux. J'ai rien dit Pierre.
[01:22:57] Speaker C: Je te juge pas.
[01:22:58] Speaker D: Je sais jamais.
[01:23:02] Speaker E: Non mais c'est intéressant parce qu'il y a même... parce que ma casquette avec dealer de métal me permet de rencontrer certains artistes, certains de mes héros et on est conscient qu'il y a une partie très travail, très boulot genre ils sont très heureux de te voir à chaque fois mais il y a cette naïveté qui dit...
J'espère qu'il le pense quand même parce que faire du... Ah puis il vaut.
[01:23:26] Speaker A: Mieux pour toi parce que sinon... Bah ouais !
[01:23:28] Speaker E: Tu peux pas faire un truc aussi faux aussi bien. Aussi longtemps surtout.
[01:23:34] Speaker C: Bon après les américains sont forts.
[01:23:36] Speaker A: Ils sont très forts.
Mais c'est impressionnant à voir, au bout d'un moment je pense qu'il y a un cap aussi qui est franchi quand tu vois beaucoup d'artistes, c'est que tu peux être déçu mais en vérité ils font du boulot et que c'est pas non plus facile parce qu'ils le font répéter la même chose à 36 mecs dans la journée, je pense que ça fait chier tout le monde. Et puis voilà, ils ont leur vie, ils ont envie d'être calmes, ils ont envie juste de faire de la musique. On a des questions, c'est pas le truc le plus sympa donc merci d'être venu.
[01:24:04] Speaker D: Non mais c'est pas ça, mais tu vois par exemple...
[01:24:07] Speaker E: Merde, on s'est mis le truc à dos.
[01:24:08] Speaker F: Non mais c'est hyper agréable de parler de sa musique.
[01:24:09] Speaker E: Ouais de parler de sa musique.
[01:24:11] Speaker F: Mais je pense que c'est tellement plus simple du coup de parler d'être soi et d'être assez sincère. T'as pas de casquette donc t'es sûr que tu fais pas de conneries.
[01:24:17] Speaker E: C'est ça, c'est ce qu'on s'est dit.
[01:24:18] Speaker A: Oui, complètement. Y'a pas de... Oups là, j'ai pas suivi le...
[01:24:22] Speaker F: Je suis pas dans mon personnage.
[01:24:23] Speaker E: Ouais t'as un mec qui te sort un carnet genre... Ah non non, en 2008 t'as dit ça... Non, on s'est dit on va lâcher ça.
[01:24:29] Speaker D: Ah ça tombe bien parce que justement... Non ! Donc j'ai pris des petites notes. Le 16 mai.
[01:24:39] Speaker A: J'allais parler d'une expérience avec Linkin Park justement. Quand tu fais Linkin Park, enfin quand tu faisais malheureusement Linkin Park en interview, il y a deux managers qui sont autour des artistes et qui écoutent s'ils répètent par cœur le texte. Et quand tu poses une question qui sort du truc, t'as le droit.
Mais eux, ils répondent quand même la réponse qui était prévue à notre question et ça fonce. Et ils ont envie de répondre autre chose parce que les mecs de Linkin Park, clairement, c'est des mecs ultra gentils, mais ultra gentils. Ça, ça rassure.
Et ils ont trop envie de répondre. Et t'as un mec avec un couteau derrière qui fait « Attention !
[01:25:18] Speaker B: ».
[01:25:18] Speaker A: Parce qu'il y a un plan. On n'a pas payé si cher pour que tu nous foutes tout en l'air en répondant à un truc qui va enlever toute l'histoire, tout le machin. Et c'était hyper chelou. Moi je sais que le mec, l'autre il te regarde un peu en mode « Faut pas répondre ». Putain la tristesse du truc ! Et ça c'est un peu l'Amérique. L'Angleterre aussi ils sont un peu comme ça quand même. Mais beaucoup moins. Parce que les Anglais ils sont plus à raconter des trucs qui leur concernent et puis à dire on y va.
[01:25:43] Speaker E: En plus vous avez fait Frank Carter il y a pas longtemps.
[01:25:46] Speaker C: Bah là pour le coup lui...
[01:25:47] Speaker D: Lui c'est lui.
[01:25:48] Speaker C: Tu sais que quand il te dit un truc, il le pense. Ça, c'est cool.
[01:25:52] Speaker E: Mais parce que quand je fais mes vidéos, on a rencontré Brent Smith de Shine Down. C'était Lucas et Simon, toujours les mêmes personnes qui m'accompagnent. On a été vachement surpris. C'était très agréable. Et tu te dis, même si c'est faux, si c'est un travail fictif, ça donne envie de reproduire la même chose.
[01:26:12] Speaker C: Non mais après on dit ça parce qu'il y a des trucs où... Il y a aussi ce qu'on appelle les médias training, c'est-à-dire que des fois ils s'entraînent, ils s'entraînent à répéter, à savoir comment répondre pour esquiver des trucs, mais ça veut pas dire que c'est toujours ça. Moi je sais qu'une des...
Une des plus belles rencontres qu'on ait eu, c'est le chanteur de Sparta qui était guitariste de At The Driving. D'ailleurs, il y a un mot qui nous a écrit là-bas. La rencontre était incroyable et le mot qui nous a écrit est un des trucs les plus beaux. Moi, à chaque fois que j'ai un petit peu de déprime sur l'avancement du.
[01:26:50] Speaker D: Projet ou des choses comme ça, Je.
[01:26:53] Speaker C: Relis ce qu'il a écrit et je me dis, ok, c'est pour ça qu'on le fait.
[01:26:56] Speaker E: Et c'est important, c'est très important.
[01:26:59] Speaker A: C'est surtout les gens qui t'ont porté, donc en fait, en vrai... Ouais, c'est ça. Même quand on tombe sur des gens qui sont un peu connards, en vrai, on continue quand même à... Tu dis, ok, je vais garder mon rêve d'enfant.
[01:27:10] Speaker C: Et puis après, c'est toujours le truc de dire aussi, c'était peut-être le mauvais jour pour lui.
[01:27:14] Speaker E: Exactement.
[01:27:15] Speaker C: Comme aujourd'hui, c'est le mauvais jour pour Pierre.
[01:27:16] Speaker D: On le sent, on le sent. Ah vous avez l'odeur vous aussi ?
[01:27:23] Speaker A: Ah mais j'ai bu beaucoup de bière et j'ai mangé du chou donc Marcel.
[01:27:26] Speaker D: Va falloir manger il est en droit.
[01:27:28] Speaker C: T'as fait une soirée hongroise ?
[01:27:32] Speaker D: Y'avait pas de patates.
[01:27:33] Speaker A: Je crois que toute la Pologne a tout volé. Bon après des propos horribles, on va.
[01:27:38] Speaker D: Passer du royal blood parce qu'on arrive.
[01:27:41] Speaker A: À ce royal blood, cette efficacité, ce.
[01:27:43] Speaker D: Côté Power Duo ? Power Duo plus !
[01:27:48] Speaker A: Avec l'évolution qu'ils ont eue. Avec un petit clavieriste maintenant je crois. C'est beaucoup plus léger. Ça garde cette marque très impulsive mais c'est beaucoup plus pop je dirais aujourd'hui. Moi j'adore, j'aime beaucoup la pop donc ça ne me gêne pas. Mais il y a beaucoup de gens qui se sont plaint de cette évolution de Royal Blood. Vous toujours pareil ? Amoureux.
[01:28:13] Speaker F: Moi ce qu'ils font aujourd'hui, je comprends la direction qu'ils prennent et moi ça me touche toujours pareil, j'aime bien, c'est mortel.
[01:28:22] Speaker D: Et en live je trouve que ça.
[01:28:23] Speaker F: Reste toujours aussi percutant, ça pète quoi le son, c'est mortel.
[01:28:27] Speaker E: Moi je garde une petite réserve, en fait je crois que j'ai été vraiment traumatisé par les deux premiers albums.
Non, alors que le troisième Typhoon, je sais plus comment il s'appelle... Celui qui fait un peu... Ouais, c'est celui-là. Celui-là, je l'ai adoré, mais je me suis dit, ouais, ok, pourquoi pas ? Mais ouais, les deux premiers, ils sont vraiment très cools.
[01:28:49] Speaker C: Ils sont plus percussifs, les deux premiers. C'est ça. Il y a un côté plus stoner, quoi.
[01:28:53] Speaker D: C'est ça.
[01:28:53] Speaker C: Je ne sais pas si on peut vraiment dire ça, mais il y a ce côté son très gras.
[01:28:57] Speaker D: C'est un peu crade, ouais.
[01:28:59] Speaker A: Il y a le son direct. Ce truc qu'ils avaient, ils ont eu le terrain, ils l'ont lâché là, c'est pas la troisième où tu commences à dire bon je vais peut-être pas refaire encore la même chose.
[01:29:08] Speaker E: Après je peux comprendre que quand tu fais un, deux, trois albums, c'est des artistes, t'as pas envie de te répéter 15 000 fois et puis ils vivent d'autres choses, ils jouent dans d'autres salles, ça peut peut-être influencer ce truc là.
[01:29:22] Speaker A: Tu veux dire que pour avoir plus de succès ils sont obligés de... Non.
[01:29:25] Speaker D: Mais ce qu'il veut dire c'est que.
[01:29:26] Speaker C: Si tu veux faire des stades, il faut des chansons un peu plus... Stadium.
Et ça, ça se comprend. On voit pourquoi il y en a un des deux qui aime plus... Il y en a un qui préfère.
[01:29:37] Speaker D: Le flic, il y en a un qui préfère la musique, on a bien compris !
[01:29:41] Speaker A: Tu joues pas comme ça pour l'argent.
[01:29:44] Speaker D: C'est pas faux, c'est pas faux. On m'a dit je fais des arpès, j'ai fait non. Des arpès quoi ?
[01:29:51] Speaker A: Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
[01:29:52] Speaker E: Tout accord de puissance.
[01:29:53] Speaker A: Ouais donc Royal Blood, histoire d'amour et puis envie de faire la teuf avec eux quoi.
[01:29:58] Speaker E: Ouais, faire la teuf avec eux. Moi, je me fais un petit peu peur. Parce que si on vous dit la.
[01:30:01] Speaker A: Vérité sur Royal Blood, par contre, vous n'allez pas être content.
[01:30:03] Speaker E: Alors, on a des petites théories. Enfin, j'ai une théorie.
[01:30:07] Speaker C: Est-ce qu'elle est hybride ? Ou est-ce qu'elle est plutôt...
[01:30:10] Speaker A: Théorie hybride.
[01:30:11] Speaker D: Wow ! Ok.
[01:30:11] Speaker A: C'est un intellectuel.
[01:30:14] Speaker D: Il y a un cours d'intellectuel en dernier du cours. Intellectuel.
[01:30:18] Speaker A: Bah, toujours plus que moi.
[01:30:19] Speaker C: Ah oui, ça c'est sûr.
[01:30:21] Speaker E: Mais je pense qu'ils sont...
[01:30:23] Speaker D: C'est pas un crapaud non plus ! Bah oui !
[01:30:26] Speaker E: Enculé putain ! Mais tu vois, je pense que les gars de Royal Buds, ils sont... Comment dire ? Entre eux.
[01:30:33] Speaker D: Ouais.
[01:30:34] Speaker E: Quand tu rentres dans leur cercle, t'es.
[01:30:36] Speaker A: Là... Ah bah t'as mal au nez, hein.
[01:30:37] Speaker D: Ah pardon, toi... C'est pas ce que je voulais dire.
[01:30:41] Speaker C: Parce qu'il pète, il pète beaucoup, il.
[01:30:42] Speaker D: A beaucoup de caisse. Les grosses, c'est les choux.
Ils sont droits. Y'en a qui ont droit.
[01:30:51] Speaker A: On va regarder le clip parce que.
[01:30:52] Speaker D: Je pense qu'on a du moins de faire une pause pour éviter qu'on aille.
[01:30:55] Speaker A: Plus loin, qu'on prenne des risques.
[01:30:56] Speaker D: On n'aura pas eu la fin de.
[01:30:59] Speaker C: L'Explication mais c'est pas grave.
[01:31:01] Speaker B: Super ! c'est bon à la prochaine ! I heard you calling me, and well you were loud You were howling constant, I didn't think you'd wanna leave Well you're allowed, so don't bother with.
[01:37:10] Speaker D: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[01:37:42] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org.
[01:38:26] Speaker D: Eh ben la.
[01:38:26] Speaker A: Chipolata elle est là !
[01:38:28] Speaker C: Oh la chi-la-po-po-la-ta-ta !
[01:38:30] Speaker A: Et Chino Moreno avec son side project, enfin son autre projet on va dire, plus précisément Crosses, ils seront le 28, donc j'ai vérifié, effectivement le 28, tu avais raison, au Trianon, magnifique salle et qui correspond complètement à ce projet-là. Ben on sera pas là. A priori, en tout cas si j'ai bien compris on y sera pas.
[01:38:49] Speaker D: On les verra peut-être quand même ?
[01:38:50] Speaker A: Oui, on les verra peut-être, enfin j'espère.
[01:38:53] Speaker D: J'espère.
[01:38:54] Speaker A: Après quand on travaille au FF, c'est généralement on voit rien.
[01:38:56] Speaker D: Non, c'est vrai.
[01:38:56] Speaker C: Mais bon, là on va peut-être... Oui.
[01:38:59] Speaker A: On fera exprès de ne pas faire les interviews, c'est tout.
Non, mais achetez vos places vraiment sincèrement.
[01:39:03] Speaker C: Seulement si c'est des artistes plus intéressants qu'eux.
On est pas de chance.
[01:39:08] Speaker A: Mais il a maigri, t'as vu ? Je crois qu'il a...
[01:39:11] Speaker C: Je ne sais pas, moi je...
[01:39:12] Speaker A: Le point de Doritos, je crois qu'il prend plus que la sauce blanche, il.
[01:39:14] Speaker D: Met plus la sauce à ça et.
[01:39:15] Speaker A: Tout, il a terminé.
[01:39:17] Speaker C: Moi je sais pas, je trouve que c'est un peu grossophobe comme propos, donc je te...
[01:39:22] Speaker B: Voilà.
[01:39:24] Speaker C: Je trouve ça un petit peu gênant de ta part. Surtout, je te rappelle que t'as dû racheter des nouvelles chemises, donc bon... Et apparemment...
[01:39:35] Speaker D: Alors il y a un mois, je me suis levé, il y a deux boutons qui ont pété, j'ai fait... Et Yann qui a fait, ah ouais, j'ai.
[01:39:41] Speaker A: Peut-Être pris un peu de kilos. Il m'a dit, mais tu manges beaucoup ? Je fais, peut-être trop de fois dans la journée. Et que de la merde.
Bon allez Pierre, les gens n'ont pas envie de savoir ce que tu manges.
[01:39:53] Speaker C: Sinon ils viendraient ici.
[01:39:56] Speaker A: Et c'est pas ce qui est prévu ?
[01:39:58] Speaker B: Non.
[01:39:58] Speaker A: Là on va parler d'une nouveauté française.
[01:40:01] Speaker D: Laquelle ?
[01:40:05] Speaker A: On va parler alors d'une exclusivité. C'est une exclusivité qui sort vendredi prochain. Tout à fait. Autrement dit le 16 si je ne m'abuse.
[01:40:14] Speaker D: C'est ça, tout à fait.
[01:40:16] Speaker A: C'est un ami à nous.
[01:40:17] Speaker C: Tout à fait.
[01:40:17] Speaker A: Qu'on a reçu ici dans l'émission. Il a un groupe qui s'appelle...
[01:40:24] Speaker C: Il faut que je le dise ?
[01:40:25] Speaker A: Bah oui, comme ça je fais un ping-pong.
[01:40:27] Speaker D: Ah, The Shenzhou Motel.
[01:40:28] Speaker A: Quand on fait ça depuis tout à l'heure, je me dis que t'as les...
[01:40:29] Speaker D: Alors, ça va, le groupe s'appelle The Shenzhou Motel.
[01:40:33] Speaker C: Et il faut savoir que...
[01:40:34] Speaker A: C'est un morceau.
[01:40:35] Speaker C: Et c'est un morceau, voilà. Le premier morceau qu'ils vont sortir d'ailleurs. Et du coup, il nous a dit, ça me ferait très plaisir qu'on puisse passer le clip. Du coup, il nous a envoyé le clip une semaine en avance. Donc ça, c'est bien quand même. Et quand il a su qui étaient.
[01:40:50] Speaker D: Les invités ce soir, Quand il a.
[01:40:52] Speaker C: Su qui étaient les invités ce soir.
[01:40:53] Speaker D: Il a fait « Ah mais double.
[01:40:55] Speaker C: Jalousie et double contentement !
[01:40:57] Speaker E: » Alors, pour le coup, j'attendais de parler quand j'ai entendu « The Chainsaw Motet », c'est le groupe avec lequel.
[01:41:02] Speaker D: On a joué à la Cache Shelter.
[01:41:05] Speaker E: Parce qu'il nous a gentiment prêté la batterie.
Et c'est vraiment, c'est très très cool. La soirée était très cool, c'était une soirée duo. Et du coup, quand j'ai vu qu'ils sortaient un titre, bah j'étais là, c'est cool. Surtout quand j'ai vu que le mec qui avait mixé, c'est le même gars qui avait mixé notre album. Et du coup tu te dis, ah c'est cool en fait.
[01:41:25] Speaker D: C'est cool, c'est trop cool.
[01:41:29] Speaker C: Je pense que vous êtes une bonne source d'inspiration dans ce projet, je me permets de le dire, je ne sais pas, peut-être qu'il est là.
[01:41:35] Speaker A: Je n'ai pas assez parlé avec lui pour un moment.
[01:41:36] Speaker C: Non, non, mais je crois que forcément, t'as des français duos qui font un truc, c'est aussi un duo, parce qu'on ne l'a pas dit pour les gens, et je pense que voilà, vous êtes un exemple, ça y est.
[01:41:49] Speaker D: Ça y est, on y est ? Ça y est, ça y est, vous pouvez arrêter. Putain, bah voilà, on se pète.
C'est ça les excuses, c'est ça le rock !
[01:42:07] Speaker A: J'ai vu qu'ils avaient les références, les.
[01:42:11] Speaker C: Inconnus ils l'ont bien.
[01:42:12] Speaker A: En même temps les pauvres jeunesses ils ont bouffé ça toute la soirée. En tout cas voilà, ça sort ce vendredi, c'est une exclusivité, musicalement c'est juste mortel. Je me suis permis de lui dire en amont parce qu'il m'a dit oui si tu veux pas le passer c'est pas grave parce qu'il est extrêmement gentil ce Romain, c'est hallucinant.
et on embrasse aussi sa chérie par là même.
[01:42:31] Speaker E: Oui, tout à fait.
[01:42:32] Speaker C: Et on peut dire que du coup, vous pouvez déjà aller les suivre sur les réseaux et pré-registrer le titre. Et je crois qu'ils mettent en place un petit concours pour gagner un t-shirt qu'ils ont fait eux-mêmes à un tie and die machin truc. Donc voilà, allez-y, inscrivez-vous, suivez-les. Romain Gamin sur sur les réseaux, voilà, ou chez gamins.
[01:42:56] Speaker A: Et donc ça s'appelle The Chainsaw Motel.
[01:42:59] Speaker C: Il y a une petite référence, on imagine bien. Et la chanson s'appelle Head Out.
[01:43:05] Speaker D: Oui, parce que je ne l'ai pas écrit. Oui, c'est pour ça que je te le dis.
[01:43:08] Speaker A: Là, il n'y avait plus de ping-pong.
[01:43:09] Speaker D: C'Est juste que je n'ai plus Roland.
[01:43:11] Speaker A: Mais c'est un très très bon morceau et pour un premier morceau, je lui ai dit que c'était vraiment une belle réussite.
[01:43:15] Speaker C: Pour un premier morceau, c'est ouf. Moi, j'avais entendu des trucs et là, ils ont poussé le curseur beaucoup plus loin et c'est vraiment cool.
[01:43:24] Speaker A: Moi, je sens que c'est un projet qui va quand même m'intéresser.
[01:43:26] Speaker C: Ah, je pense que ça va te plaire.
[01:43:27] Speaker A: Il y a un petit côté sale.
[01:43:28] Speaker C: Oui, et puis un petit côté un peu corne, mais sans que ce soit trop évident.
[01:43:31] Speaker E: Et puis, le truc qu'on ne dit pas, c'est qu'Oro est les BG.
[01:43:34] Speaker C: Ah bah ça bien sûr, en plus là il se bute à la salle en ce moment, j'aimerais bien que moi.
[01:43:37] Speaker D: La prochaine fois que je le vois je le baise.
[01:43:42] Speaker A: Je m'occuperai de.
[01:43:46] Speaker D: Sa meuf.
[01:44:01] Speaker B: Le monde semble brillant quand je regarde de l'autre côté. Peut-être que je vais y arriver si j'essaie de partir de l'autre sol. Aller dans la rue pour prendre un tour. Coupé par les boules et mes doigts restent comme ils l'étaient. Bang, bang, bang, tu l'as mis dans ma tête. Tout le monde dehors veut voir que tu es mort. Bang, bang, bang, je l'ai mis dans ma tête. Peu importe comment tu te déchires, maintenant, ils te rafraichissent.
Look at me, pardon me, forgive me, erase me and this pain I design myself in the mirror Found in the dark Stuck in this room Can't contain my feelings C'est la fin de cette vidéo, merci d'avoir regardé BANG BANG J'essaie d'être accepté par quelqu'un d'autre J'ai une raison pour être détesté Je me suis rendu compte que je t'ai toujours tué, Big Death Tu n'es rien de ce que tu m'as trouvé Vois ce que tu veux, ce que tu veux vraiment C'est parti ! C'est parti !
[01:50:27] Speaker D: BANG BANG encore une fois !
[01:50:30] Speaker C: Elle s'appelle BANG BANG et on parle en même temps.
[01:50:33] Speaker D: Ça commence à 19h tous les dimanche soir.
[01:50:36] Speaker C: Aucune information ne passera !
[01:50:39] Speaker A: Bon, bad situation sur nos amis, vous.
[01:50:41] Speaker D: Venez de voir un clip, un vieux.
[01:50:42] Speaker A: Clip, enfin un vieux, on ne peut pas parler d'un vieux, à l'ancienne, mais bon voilà, ça fait du bien aussi, il y a toujours cette énergie, c'est la recette, on a bien compris, cette volonté de prendre les chevaux et de partir à l'aventure, comme ça, de courir.
[01:50:56] Speaker D: De chevaucher, comme telle une cavalcade folle.
[01:51:00] Speaker C: Une synthé des folies mystiques !
[01:51:02] Speaker D: Qui transpose à travers la musique une sorte de... Pardon ? Qu'est-ce que se passe ?
[01:51:13] Speaker A: Je peux faire un accent aussi ?
[01:51:13] Speaker D: Parce que on peut y aller... Non, non, non.
[01:51:15] Speaker E: Attention parce qu'après Lucas il va faire des accents.
[01:51:17] Speaker D: Ah bah t'inquiète, il sera toujours moins problématique que celui-là. Lucas, pas d'accent.
[01:51:25] Speaker C: Ah bah lui non plus, il est interdit. De toute façon ça finit toujours pareil.
[01:51:29] Speaker A: On te dira en antenne.
Parce que je ne sais pas faire les accents, ce qui est déjà de toute façon une bonne chose, parce que normalement on n'est pas censé les faire. Mais bon, quand on est entre nous...
[01:51:38] Speaker D: Ouais, bah je suis de l'Oise, j'essaie.
[01:51:41] Speaker C: De faire un accent de l'Oise, mais.
[01:51:42] Speaker A: Je le fais très mal.
[01:51:43] Speaker E: Ah oui, il y a un accent dans l'Oise ?
[01:51:45] Speaker C: Bah c'est Picard un peu.
[01:51:46] Speaker E: Ah oui, j'y cours.
En fait, notre camion...
[01:51:54] Speaker D: C'est l'Oise.
[01:51:55] Speaker E: Le département, c'est l'Oise.
[01:51:56] Speaker C: D'accord, mais il a pas d'accent du coup.
[01:52:01] Speaker D: Faut qu'on arrête de parler d'accent parce.
[01:52:02] Speaker A: Que je vais pas tenir.
[01:52:03] Speaker D: Change de sujet ! Je vais me faire ma picouse là ! Allez Pierre, vas-y, enchaîne.
[01:52:13] Speaker A: T'as rien qui va. Mais ce qui est bien, c'est que quand on remplit une émission avec du.
[01:52:18] Speaker C: Vide, ça devient un métier. Les gens ne se trompent pas dans les commentaires de nos émissions. Ils nous le disent bien qu'on est des cons.
[01:52:30] Speaker D: Et on vous aime !
[01:52:31] Speaker A: On les aime mais moi je me marre bien. Ce que je voulais dire tout à l'heure c'est que tu disais que t'étais un peu toi celui qui était le foufou et toi qui est celui qui cadrait. Je tiens juste à dire que quand tu communiques avec Aziz, moi par contre je suis vraiment bordélique, t'es organisé.
[01:52:49] Speaker D: Ah ouais ?
[01:52:49] Speaker A: « Ah bah attends, Pierre, il me faudrait l'horaire, les codes, l'adresse, j'aimerais bien savoir quelles sont les tranches, comment on se procède ?
[01:52:58] Speaker D: » C'est ça ?
[01:52:58] Speaker A: « Bah oui, c'est comme ça en.
[01:53:00] Speaker D: Plus… » Pierre il disait « Bah….
[01:53:05] Speaker C: » La réponse de Pierre c'est « Bah c'est dimanche soir, les codes c'est sur le petit panneau là, et les tranches bah y'a du jambon… » En.
[01:53:16] Speaker D: Vrai, c'était à peu près ça.
[01:53:18] Speaker A: Je me souviens, tu m'as envoyé ça et je me suis dit, il est.
[01:53:21] Speaker D: Sérieux de ouf et tout. Il est pas fun le mec !
[01:53:26] Speaker C: Tu sais, ça lui a foutu grave la pression. Il s'est dit, putain, mais il va falloir être carré et tout.
[01:53:33] Speaker E: J'ai pas toujours été comme ça.
[01:53:35] Speaker D: Non mais c'est très bien.
[01:53:37] Speaker A: Par contre, c'est une très bonne chose.
il faut quand même savoir une chose, c'est que quand on veut faire de la musique et qu'on veut réussir en tout cas à avancer, si on n'est pas carré, c'est mort !
[01:53:45] Speaker D: En fait c'est ça, mais...
[01:53:47] Speaker E: C'est parce que lui aussi je dois fournir les infos, parce que je vais avoir forcément Lucas qui va dire, mais du coup... Ah ouais, parce que lui.
[01:53:55] Speaker A: Tu sais qu'il veut, après il prend mon transfert.
[01:53:57] Speaker E: C'est ça, et donc j'ai besoin, là ce qu'on a fait, c'est qu'on a tous les jours où on a une action pour Bad Situation, établie sur un calendrier, ça va jusqu'à fin juillet. Donc jusqu'à fin juillet, on sait exactement ce qu'on a à faire. Et du coup, ça permet, moi, de me sortir d'une charge mentale immense.
[01:54:21] Speaker F: Parce qu'il y a surtout beaucoup de deadlines.
[01:54:23] Speaker E: Il y a beaucoup de choses. Il y a du montage de clips.
[01:54:26] Speaker F: De tournage de clips, de tournage de... Les sorties, les machins, il faut tout retenir, sinon tu te fais...
[01:54:30] Speaker A: Mais c'est surtout qu'il faut être organisé pour tout ça.
se passer dans les temps et que les choses se passent.
[01:54:34] Speaker E: Et il y a aussi le fait de répondre aux partenaires, c'est que maintenant, au début on était vraiment à l'arrache. Genre vraiment, moi j'aurais dit bon bah je fais une tournée, on n'est pas payés, on n'a pas de camion, on y va, on doit faire Nice, Nantes dans la nuit.
[01:54:49] Speaker D: Ça fait combien ça ?
[01:54:50] Speaker E: On part à 4h du matin, on a rendez-vous à 15h, démerdez-vous. Et on a appris et du coup là le fait qu'il y ait des partenaires, une équipe, ça fait un peu chef d'entreprise. J'aime bien.
[01:55:01] Speaker D: Mais c'est 40 ans et c'est important.
[01:55:04] Speaker C: Qu'On commence à avoir beaucoup de choses à faire. Planifier, c'est la seule solution pour que les choses finissent. Moi, j'essaie d'établir plein de trucs comme ça avec la radio parce que c'est important. Et moi, le problème, c'est que j'ai quelqu'un vraiment qui change les plans. Mais à chaque seconde, tout peut basculer. C'est genre, ce soir, je me couche tôt.
[01:55:25] Speaker A: Bon, le lendemain à 17h, je couche ici.
[01:55:32] Speaker C: Tu reçois un message, enfin si c'est pas une poche qui t'appelle.
[01:55:37] Speaker D: Une poche qui t'appelle et t'entends Popoche qui parle, qui fait « Non mais j'ai ri, j'ai ri, c'est marrant comme ça ». Et je... Non... Vas-y !
[01:55:55] Speaker C: Donc je sais, je vois, et t'as raison.
[01:55:57] Speaker D: C'est ça la... This is the way. C'est vrai, c'est vrai.
[01:56:01] Speaker E: Voilà, on essaye d'instaurer un truc, c'est... Après, le sacrifice qu'on a fait aujourd'hui.
[01:56:05] Speaker C: C'Est que... Bah vous buvez plus de bière.
[01:56:08] Speaker D: Non, c'est pire que le sacrifice.
[01:56:10] Speaker E: Mais moi, j'ai arrêté de travailler justement pour faire tout ça. Mon travail alimentaire, Ah bah là, de.
[01:56:16] Speaker A: Toute façon, t'as pas le temps, sinon, c'est quand même compliqué de pouvoir... De toute façon, j'étais arrivé à un stade.
[01:56:20] Speaker E: Où j'avais plus le temps, j'ai dû faire un choix, et du coup, là, en fait, tout... En fait, ça dépend de moi si je paye mon loyer, quoi, entre guillemets. Donc, il faut que je sois carré, j'ai des jours où je...
où je peux faire la fête, etc. Donc on fait la fête ensemble. Mais ouais, on essaye de garder un certain sérieux parce que on regarde beaucoup aussi les interviews des groupes qu'on a kiffé. L'exemple français, c'est Gojira. Et quand tu dis que les mecs, bon, ils ont une certaine rigueur, tu te dis bon, si on veut s'approcher au minimum de ce qu'ils ont accompli. Peut-être qu'on peut commencer par là, parce qu'on n'a pas forcément leur talent. Mais voilà, c'est... — De toute façon.
[01:57:03] Speaker C: Tous les groupes français qui marchent, c'est ça.
Moi, j'ai plusieurs exemples autour de gens à qui j'ai travaillé. Quand je vois la rigueur avec laquelle ils travaillent, tu fais « bon, voilà, il n'y a pas de secret ».
[01:57:16] Speaker E: Mais c'est vraiment tous les trucs un peu chiants, on se dit pourquoi on les fait ? Enfin, par exemple, moi je vais souvent faire du sport, mais très tôt le matin, je me dis pourquoi je fais ça ? Mais pour avoir le temps derrière pour enchaîner tous les trucs... — Je croyais.
[01:57:28] Speaker C: Que tu parlais de cette émission. — De quoi ? — Des trucs chiants qu'on fait, on.
[01:57:31] Speaker D: Se dit pourquoi je fais ça ? — Non, non, non, non ! — Par exemple, VR ici, c'est pas.
[01:57:34] Speaker C: Ouf, mais bon... — Non, non, non, non ! — VR ici, c'est pas ouf, mais.
[01:57:36] Speaker E: Bon... — Non, non, non, non !
[01:57:37] Speaker D: — VR ici, c'est pas ouf, mais.
[01:57:37] Speaker B: Bon... — Non, non, non, non !
[01:57:38] Speaker E: — VR ici, c'est pas ouf, mais.
[01:57:39] Speaker D: Bon... — VR ici, c'est pas ouf, mais bon... — VR ici, c'est pas.
[01:57:40] Speaker E: Ouf, mais bon... — C'est juste une certaine rigueur et je me suis dit, si on veut être pris au sérieux, il faut qu'on ait l'air sérieux.
Et du coup, on essaie d'être sérieux. Et aussi, on a vu pas mal de groupes, on a eu pas mal de contre-exemples, on a vu des mecs se pinter la tronche avant de jouer.
Et tu te dis bah c'est chiant parce que des gens ils ont payé 25 ou 30 balles leur place pour voir des gens entendre. Et ça c'est chiant. Quand tu vois le prix des places et surtout le prix des locations des salles et que tu essayes de rentrer dans tes frais, tu essayes de faire un bon show pour que les gens reviennent.
Donc c'est juste une rigueur. C'est plus ça. Putain c'est beau ce que je dis. Et aussi pour pas que Lucas il me tape dessus.
[01:58:23] Speaker D: C'est moi qui me tape dessus.
Ah oui, c'est la chaîne. C'est un peu ça.
[01:58:28] Speaker A: On se fait tous des rappels, des auto-rappels.
[01:58:29] Speaker E: C'est ça.
[01:58:30] Speaker D: Ça marche.
[01:58:30] Speaker A: Alors moi j'aime bien qu'on me frappe donc ça marche pas pour lui.
[01:58:32] Speaker D: J'ai encore oublié. Oh non, encore, je sais plus ce qu'on fait. Dis-moi des gourmands en allemand.
Au moins juste avec l'accent. Faut pas que je parle.
[01:58:48] Speaker A: Save-toi la bouche. Mais oui, c'est juste une vérité que quand on en parle beaucoup avec les groupes et que les gens posent des questions aussi dans le chemin, il y a des mecs, des filles qui ont envie de faire des groupes. Mais ils disent toujours, le guitariste n'est pas venu la répète, ça fait déjà trois fois. Et ils disent, est-ce qu'on le dira, est-ce qu'on le vient pas ? C'est des questions qui sont un peu lourdes. Mais en vrai, si tu veux faire un projet qui va loin...
[01:59:12] Speaker C: Je demande à leur bassiste.
[01:59:14] Speaker D: Il est jamais venu.
[01:59:16] Speaker E: En tout cas on n'a pas donné.
[01:59:17] Speaker C: Le code de l'interphone.
[01:59:20] Speaker A: Il y a un moment où, si tu veux construire quelque chose, t'es obligé, en tout cas, de faire ton maximum.
[01:59:26] Speaker E: Et ça a toujours été important pour nous. En tout cas, avec Lucas, c'est qu'on a joué avec plein d'autres personnes et on a vu... Ceci est ça qui a un peu forgé, je pense, notre amitié, c'est qu'on a vu aussi le sérieux de certains.
J'ai plusieurs exemples. Moi, par exemple, quand j'étais au lycée, il y avait une fille qui m'intéressait plutôt pas mal.
Mais j'avais répète, le jour où Hama proposait un rendez-vous, j'ai été en répète.
[01:59:50] Speaker A: Ça c'est bien un truc de mec.
[01:59:54] Speaker E: Et le truc un petit peu... Parce que forcément, cette rigueur elle vient pas de nulle part, c'est qu'on avait fait un concert il y a longtemps, avec notre ancien projet, où je m'étais pinté... J'avais fait... Je me suis dit, ouais, les mecs sympas, ça boit avec tous les gens qui veulent faire la fête. Je l'ai fait. On a été obligés de me raccompagner chez moi, pendant que Lucas dormait dans le camion sur le site du festival.
Avec Simon aussi. Ils sont revenus le lendemain parce que c'était moi qui avais loué le camion. Personne ne m'a dit un mot. J'ai dit plus jamais je vis un truc aussi gênant de ma vie.
[02:00:24] Speaker F: Elle était chafouin.
[02:00:26] Speaker D: Là on était collègues.
[02:00:27] Speaker E: Et j'ai dit vraiment genre voilà. Fini.
[02:00:31] Speaker C: C'est bizarre parce que moi j'ai des anecdotes de mecs qui se sont peintés.
[02:00:33] Speaker D: Alors là je parle pas de toi.
[02:00:35] Speaker C: Je parle pas de toi mais je me souviens d'un concert où il y a un mec qui était Extra bourrasque, à base de je monte sur scène pendant que les autres groupes jouent. Le groupe avait joué en premier et après il remontait sur la scène pendant tous les groupes.
[02:00:53] Speaker A: Et sans son souvenir après j'imagine ?
[02:00:55] Speaker C: Oh si, sans souvenir parce que j'ai filmé le moment où à la fin du concert on essayait de l'empêcher de rentrer en voiture.
Et pendant que tout le monde essayait de ranger le matos, et lui, parce que c'était un backline commun, donc tous les groupes attendaient pour ranger leur matos, et le mec était complètement bourré, il faisait chier tout le monde, et tout le monde lui a dit. Et il a continué, il est toujours dans la scène, je ne vois pas qui c'est.
[02:01:21] Speaker E: Jean-Jean, si tu nous regardes...
[02:01:26] Speaker A: Comme quoi.
[02:01:26] Speaker C: Il y a des gens, et après ils ont continué, ça ne les a pas empêchés. Maintenant moins, mais à l'époque ça continuait quand même pendant un moment.
[02:01:36] Speaker E: Donc le sérieux, il n'y a pas de secret.
[02:01:41] Speaker A: Il y a des moments pour s'amuser.
[02:01:43] Speaker C: Mais il y a un moment pour tout quoi.
[02:01:45] Speaker E: Exactement.
[02:01:46] Speaker F: La fête c'est chouette.
[02:01:47] Speaker E: Exactement. On aime bien faire la fête.
[02:01:48] Speaker C: Tu fais ton boulot et après tu t'amuses.
[02:01:50] Speaker A: J'ai compris, j'ai compris.
[02:01:51] Speaker D: Je vais essayer de continuer à travailler.
[02:01:53] Speaker A: J'ai 43 ans, tout va bien.
[02:01:57] Speaker D: Michael Jackson. Ah bah en parlant de quelqu'un de sérieux. En parlant de quelqu'un qui sait s'amuser.
[02:02:05] Speaker C: C'est vrai qu'avoir un parc d'attractions... T'en.
[02:02:07] Speaker E: Connais des bons quand des parcs d'attractions ?
[02:02:09] Speaker A: Non, avec autant de bilboquets, moi j'en connais pas.
[02:02:13] Speaker C: Le problème, c'est qu'il faut inviter des gens pour s'amuser dans les parcs d'attractions.
[02:02:18] Speaker A: Bon, mais Michael Jackson, dans tout ce que vous m'avez envoyé, c'est pas celui.
[02:02:22] Speaker E: Qui m'a le plus surpris.
[02:02:24] Speaker A: Le suivant, je ne vais pas le donner maintenant, mais j'ai hâte de savoir pourquoi. Après, je ne dis pas que ce n'est pas bien, je dis juste que.
[02:02:31] Speaker D: J'Ai hâte de le savoir.
[02:02:31] Speaker C: Le prochain, c'est une station de métro à Paris.
[02:02:35] Speaker D: On est du 95, c'est les banlieusards.
[02:02:40] Speaker E: Moi tu sais, au-delà de Argenteuil, je connais plus rien.
[02:02:44] Speaker D: RER, Noctilien, c'est tout. Ah oui, alors des beaux endroits.
[02:02:49] Speaker A: RER ça va, Noctilien un peu moins. Mais bon, Michael Jackson... Jackson Jacks Mike.
Je te laisse parler, je vous laisse parler. C'est moi, c'est tout moi. C'est parce que tu voulais être Billie Jean ?
[02:03:04] Speaker C: Non, par contre, il a la veste.
[02:03:14] Speaker E: T'as pas des inserts de clap ?
[02:03:15] Speaker D: Je pourrais, mais le bide est mieux. Avec le petit silence derrière.
[02:03:22] Speaker E: Pourquoi Michael Jackson ? Parce que j'ai grandi avec, parce que...
Bah à Neverland d'ailleurs. C'était en 88 je m'en rappelle.
Non, plus sérieusement c'est juste que c'est le roi de la pop, les chansons à son ultime et on voulait faire un peu les mecs un peu genre ouais on n'est pas que rock et pas que metal. Du coup j'ai pris le titre le plus rock de Michael Jackson et voilà quoi donc non il n'y a pas de truc particulier c'est juste...
[02:03:48] Speaker A: Tu t'es entraîné comme tout le monde à essayer de faire un moonwalk. Et tu sais le faire ?
[02:03:51] Speaker E: Ah oui, je sais le faire.
[02:03:52] Speaker A: Oh putain c'est dommage qu'on ait de la moquette et que ça puisse pas se voir.
[02:03:57] Speaker C: On viendra filmer au...
[02:04:01] Speaker E: J'connais par cœur la choré de... Bah de Billitt.
[02:04:07] Speaker C: T'es très bon danseur.
[02:04:09] Speaker E: Ouais, je suis très bon danseur.
[02:04:10] Speaker A: Bah c'est la funk.
[02:04:11] Speaker D: Exactement.
[02:04:12] Speaker A: T'as le groove.
[02:04:15] Speaker E: Mais non, ça et Shakira. Mais bon, ça c'est un autre détail.
[02:04:19] Speaker D: Je sais pas quoi dire ! Je sais plus quoi dire, je me dis Pierre Tétoise que t'allais un petit coup à tout seul en prison.
[02:04:31] Speaker E: Il va le dire avec un accent, tu sais. Non mais c'est juste Michael Jackson parce que c'est kiffant et voilà. Exactement.
[02:04:39] Speaker A: Non mais au pire c'est un morceau mythique non ?
[02:04:40] Speaker C: Oui, je sais pas s'il était sur les sites de rencontres mais sûrement.
[02:04:44] Speaker D: Wow !
[02:04:45] Speaker E: Et sans transition, je sais pas c'est quelle caméra ?
[02:04:47] Speaker A: Moi j'ai fait la fête cette nuit donc le moyen de Saro est devenu une espèce de limace.
[02:04:50] Speaker E: Tout de suite, Michael Jackson, s'il vous plaît.
[02:06:03] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Musique de David Fortin Oh ! That's human Me and you can grow Into absolute bloom Into absolute bloom Into absolute bloom Spent all my mind Put it back together Maybe it is time J'ai envie de connaître ce que c'est comme d'être en contact avec quelque chose qui est humain C'est pas vrai ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Un délire ! Un tir sur mon doigt !
[02:13:40] Speaker D: J'peux ?
[02:13:42] Speaker B: Non.
[02:13:44] Speaker D: Ah dommage.
[02:13:45] Speaker A: J'aime bien quand les gens pètent.
[02:13:46] Speaker D: Ouais. Et t'aimes bien les roupettes aussi.
[02:13:50] Speaker A: Je ne vais pas rebondir.
[02:13:51] Speaker D: Higher Power.
[02:13:52] Speaker A: C'est le nom de ce groupe-là.
[02:13:53] Speaker D: Higher Power, ouais.
[02:13:56] Speaker A: Higher Power, avec le titre qui s'intitule... J'arrive pas à lire.
Absolute bé... Bloum ! J'veux dire bacon, c'est assez bizarre comme nom.
[02:14:04] Speaker D: C'est parce qu'il commence à faire faim.
[02:14:09] Speaker A: Bref, très très bon groupe, clip un peu particulier mais voilà, je conseille à tout le monde d'écouter tout ce qu'ils.
[02:14:14] Speaker C: Font dans la maison. C'est un bon groupe, ils aiment de bonnes chansons.
[02:14:16] Speaker A: C'est très très bon, puissant et rigolo. Je veux juste faire une petite parenthèse là, deux secondes.
[02:14:22] Speaker D: Attention, parenthèse !
[02:14:24] Speaker A: Sur Instagram, sur notre Instagram, on offre des places de concert pour aller voir Hunter Shikari. Donc si vous avez envie d'y aller, on en a quelques unes, donc vous pouvez y aller. N'hésitez pas à participer.
[02:14:33] Speaker D: On.
[02:14:35] Speaker C: Peut dire Hunter Chicary en live, c'est un excellent groupe. Moi je suis allé les revoir, ils étaient passés au Trabendo. Toi tu pouvais pas venir, mais moi j'y suis allé. Avec Cody Frost.
[02:14:49] Speaker A: Moi j'avais fait l'Élysée Montmartre la dernière fois.
[02:14:51] Speaker C: Et franchement, y'a pas à chier, c'est vraiment...
[02:14:56] Speaker A: Il se passe toujours un truc, c'est.
[02:14:57] Speaker C: Hyper... Ça joue, ça tabasse, ça danse de ouf.
[02:15:02] Speaker A: C'est ce que j'ai dit, il faut voir le chanteur danser. C'est un peu le Jamiroquai mais qui fait la toupie en même temps.
[02:15:10] Speaker C: Et puis c'est quand même le seul groupe où il y a un riff qui démarre, enfin un son qui démarre et tout le monde se prépare à.
[02:15:18] Speaker E: Être...
Et je crois même que c'est Fever en première partie.
[02:15:23] Speaker A: C'est Fever en première partie et il y a aussi... Je vais vous dire ça tout de suite.
[02:15:28] Speaker C: Ça va être la guerre. J'en profite pendant que tu cherches pour remercier les raids que nous avons reçus de Bakared. Bonjour Bakared, merci beaucoup. Et aussi de, je ne veux pas dire de bêtises, il s'appelle Raph... Raph... Je n'ai plus le nom.
[02:15:45] Speaker E: Riphraph.
[02:15:46] Speaker C: Redonnez-moi le nom, s'il vous plaît. En attendant, je vous dis... Raspénère, voilà. Merci beaucoup pour votre raid, ça fait très très plaisir.
[02:15:52] Speaker A: Il y aura également les Blackout Problems en première partie. Ah ouais, ça c'est trop cool, ça.
[02:15:57] Speaker E: Ils ont joué au backstage l'année dernière, je crois.
[02:16:01] Speaker A: C'est hyper bon.
[02:16:02] Speaker C: Ça va gâcher, hein.
[02:16:02] Speaker D: C'est la soirée de la guinche ?
[02:16:04] Speaker A: Voilà, t'as envie de t'amuser, c'est ce soir-là en tout cas que ça peut se passer. Et il y a un autre concert aussi qui se passe du côté de l'Olympique Café qui remplace malheureusement, enfin un énorme bisou à l'international puisque cette salle on la soutient et là elle a dû fermer parce qu'il y a des gros gros gros soucis donc ça reste de prendre beaucoup de temps. Donc il y a les concerts qui ont été dispatchés un peu partout, dont l'Olympique Café.
Un peu moins dans mon cœur, mais enfin bon, ça va apprécier chacun son avis.
[02:16:25] Speaker C: Déjà on peut remercier cette solidarité entre les salles qui fait que pour les groupes...
[02:16:29] Speaker A: C'est en travail de l'International qui a tout réorganisé, c'est-à-dire qui s'est fait chier à replacer tous les concerts pour pas qu'ils soient juste annulés.
[02:16:36] Speaker C: On imagine bien que des groupes qui... parce qu'en fait l'International programme des groupes internationaux, et du coup on imagine bien que des groupes qui font tout leur routing pour avoir une date et qu'à annuler en plein milieu du truc, c'est pas cool. Donc bravo à eux de maintenir les dates, c'est une belle performance.
[02:16:53] Speaker A: Et puis c'est une salle qui s'est toujours battue pour de vraies valeurs musicales. Et de respect aussi, plus qu'autre chose. Comme Petit Bain également. On en fait des gros bisous. Et donc là-bas, il va y avoir un concert, qui est un petit concert mais que je vous conseille, avec un groupe que j'aime beaucoup qui s'appelle Ventre. Je vous laisse aller checker, c'est du gros gros son, il n'y a pas de chant. Mais c'est très très lourd. Très amusant aussi à voir parce qu'il y a beaucoup de danse.
[02:17:17] Speaker C: Danse du ventre sûrement.
[02:17:21] Speaker D: Ça fait genre, j'y pensais. La minute seconde ! J'ai vu ton oeil finir, je me suis dit putain ! Je la balance, je la balance tranquillement.
[02:17:28] Speaker A: Vous pouvez faire une battle.
[02:17:30] Speaker D: Jusqu'à la fin, il y aura aussi Rune et Athletes.
[02:17:32] Speaker A: Je vous laisse aller checker ça, c'est le 17, c'est ce samedi.
[02:17:35] Speaker C: Retrouvez toutes les infos sur notre Instagram.
[02:17:37] Speaker A: Voilà, tout simplement. Nous allons passer...
[02:17:41] Speaker C: On fait gagner des places, bien sûr.
[02:17:42] Speaker A: Oui, c'est des places à gagner, donc vous pouvez, si vous n'avez pas les 10 euros pour payer, bon...
Le mieux c'est quand même d'aller payer ses 10 euros parce que c'est comme ça aussi qu'on soutient les petits événements et la vie de la scène.
[02:17:56] Speaker D: Don't do your pins !
[02:18:19] Speaker A: C'est les questions, parce que tu m'as dit, ça serait sympa quand même.
[02:18:22] Speaker D: Ah ouais, du coup les gens sont.
[02:18:22] Speaker E: Sur Instagram, on peut envoyer des questions.
[02:18:23] Speaker A: Donc je vous les fais. J'attends toujours un petit peu le dernier moment pour pas qu'on en ait dans 8 millions parce que sinon, elles se répètent. Et puis comme je ne vois pas, c'est pénible pour Ben.
[02:18:32] Speaker C: Alors, il y a Lémi qui dit pas de questions, juste pour dire que je les kiffe.
[02:18:36] Speaker D: Voilà.
[02:18:36] Speaker C: Ah trop cool, merci. Quels sont les inspirations musicales de Bad Situation et à quel genre.
[02:18:45] Speaker A: Vous vous êtes associés ?
[02:18:46] Speaker C: Son groupe s'identifie. Bon bah ça vous avez déjà un peu répondu.
[02:18:50] Speaker E: On peut faire la version courte ?
[02:18:53] Speaker D: Vas-y.
[02:18:54] Speaker E: Rock... Foo Fighters sous stéroïdes.
du rock fort, quoi.
[02:19:01] Speaker C: Ah ouais, c'est bien français, ça.
[02:19:03] Speaker D: En plus, ça se joue dans les caves.
[02:19:05] Speaker C: Après, il y a une autre question... Que pensez-vous de la situation économique du Burkina Faso ? Bon, on sait que c'est pas ouf. Bah non, mais c'est vrai, le Burkina...
[02:19:16] Speaker E: On peut en avoir un avis sur tout, mais là, vraiment... Je t'ai dit qu'en dessous de Argenteuil, moi, le monde n'existe pas.
[02:19:23] Speaker D: C'est un vide, quoi.
[02:19:27] Speaker C: Alors, pas trop épuisant, stressant, la création de l'album ?
[02:19:32] Speaker E: Épuisant, si.
[02:19:33] Speaker F: Stressant, non. Pas de stress, mais par contre, ça a été beaucoup de travail.
[02:19:38] Speaker E: On peut dire qu'on a passé une semaine... Enfin, on a passé l'équivalent de 50 heures enfermés dans la même pièce avec Lucas. On s'est engueulés. On a aéré de temps en temps.
Et on s'est pris la tête deux fois. Une première fois, parce qu'il y avait un truc. Ça, c'était la deuxième fois.
Mais il y a juste eu deux moments où c'était... Là, ça devient... Pas stressant mais... Trop.
[02:20:07] Speaker A: Oppressant.
[02:20:08] Speaker D: Ouais.
[02:20:09] Speaker E: Mais c'était, je pense, les deux dernières semaines.
[02:20:11] Speaker A: Si ça fait trop d'heures, tout le monde s'engueule.
[02:20:12] Speaker E: Ça devient un moment où on ne.
[02:20:13] Speaker D: Peut pas y aller jamais. Ça reste de l'artistique, à un moment.
[02:20:15] Speaker F: Donné, des fois, tu sais pas pourquoi...
[02:20:16] Speaker E: Ouais, et puis on devait partir en vacances aussi. On voulait tout boucler avant de partir en vacances.
Et on voyait que les vacances arrivaient et que nous on n'avait pas fini.
[02:20:24] Speaker D: Donc on est parti une semaine plus tard surtout.
[02:20:27] Speaker A: Ouais, c'est vrai. Donc vous étiez dégoûté et en plus on vous a engueulé parce que vous êtes parti une semaine en retard.
[02:20:31] Speaker E: Exactement, et c'est cette fameuse semaine-là.
[02:20:32] Speaker C: J'enchaîne les questions parce qu'il y en a plein. Comment avez-vous choisi de travailler avec Anthony Cheniard ?
[02:20:40] Speaker E: Ça je peux répondre ?
[02:20:41] Speaker C: Bon vas-y.
[02:20:42] Speaker F: Pour l'album parce qu'il a fait l'EP.
[02:20:44] Speaker E: Ouais, en fait je connais son travail depuis plusieurs années, à Anthony. Smash Hit Combo, vu qu'il a joué dedans, etc. Et j'ai toujours été fan, je suis fan de certains producteurs français, et j'ai une petite liste. Et lui, il a capté là où on voulait aller, on a eu le même discours très rapidement, il a bossé très rapidement aussi.
En fait, tout s'est fait vite, parce qu'il y a eu une direction, les planètes s'étaient alignées, et on s'est dit, bon ben là, on doit faire un album. Et...
On pense à toi, et puis il nous avait dit, là, j'ai un créneau de trois semaines, c'est que pour vous. Parce qu'il avait tout mis en stand-by pour nous, et c'est dur de trouver des gens qui peuvent tout mettre en stand-by pour toi. Et on est un peu fidèles dans nos relations, donc...
Voilà, on a rappelé Anthony, quoi.
[02:21:33] Speaker D: Très beau.
[02:21:35] Speaker C: Je suis désolé, je me marre parce que j'ai des... Non mais c'est pas à cause de ça, c'est à cause de...
[02:21:39] Speaker D: Il doit y avoir des questions à la con.
[02:21:40] Speaker C: Non, non, c'est une phrase... J'ai pas envie de vous couper pour ça.
[02:21:45] Speaker A: C'est des SMS à moi qui arrivent et que tu me... Non, c'est pas ça !
[02:21:47] Speaker C: C'est une phrase que j'ai dite, c'est.
[02:21:48] Speaker A: Possible qu'il y ait des phrases qu'il faut pas lire.
[02:21:50] Speaker C: Il a dit si c'est aussi fluide que le P et moi je suis désolé.
Je suis vraiment désolé, ça, ça me fait rigoler. Bravo à tous. Une date prévue sur l'île ?
[02:22:06] Speaker E: Une date prévue sur l'île ?
[02:22:09] Speaker A: Oui, non, peut-être rendez-vous en septembre.
[02:22:11] Speaker E: En pourparler, là, il n'y a rien de sûr.
[02:22:14] Speaker C: Après, il y aura deux dernières questions. Il y a une première qui est votre pire souvenir concert tourné ?
[02:22:24] Speaker E: Allez.
[02:22:25] Speaker D: Ah on sèche hein !
[02:22:27] Speaker A: Mais c'est surtout qu'ils se disent, attends mais si on dit ça franchement on va pas se faire des amis.
[02:22:32] Speaker D: L'appel à un ami. Vous utilisez votre joker ?
[02:22:38] Speaker E: En vrai c'est qu'on, ça fait longtemps qu'on fait des concerts en fait, dans Bad Situations ou ?
[02:22:42] Speaker D: Bah je sais pas.
[02:22:44] Speaker E: Parce que...
[02:22:44] Speaker C: Ensemble de toute façon.
[02:22:45] Speaker E: Bah en fait on a, on peut dire qu'on avait pris, il y avait eu un truc qu'on n'avait pas pris au sérieux.
[02:22:51] Speaker B: Oui.
[02:22:53] Speaker D: Les gilets jaunes.
[02:22:56] Speaker C: C'est très important d'en avoir un dans votre voiture parce que c'est obligatoire dans l'équipe du conducteur.
[02:23:02] Speaker E: En fait, on avait un week-end de concert et il y avait la première manifestation gilets jaunes. On s'est dit, oh c'est une manifestation, ça va pas aller plus loin que ça. On a mis, je pense, Oh l'enfer. Quinze heures pour aller à Metz.
[02:23:20] Speaker C: Ouais, c'est long.
[02:23:21] Speaker E: Quinze heures pour aller à Metz. C'est pas si long. En fait, on s'est fait arrêter à tous les ronds-points.
À éviter des trucs en flamme et tout le bordel. Ça c'était un peu... Avec un camion de lock. Et puis le retour aussi, parce qu'on s'est dit...
[02:23:33] Speaker A: Tu te dis, oh putain le camion.
[02:23:33] Speaker C: Il va y passer.
[02:23:34] Speaker E: Bah ouais, et puis on s'est dit, bon, ça y est, ils ont fait la manifestation la journée, soir ils vont rentrer. Ah non, le soir c'est pire !
[02:23:41] Speaker D: Bah ouais.
[02:23:42] Speaker A: C'est-à-dire que la journée passée, il faisait.
[02:23:45] Speaker C: Chaud, près des petits feux.
[02:23:47] Speaker D: Des chaussures de saucisses, tout ça.
[02:23:51] Speaker C: Je posais la dernière question qui est « Hellfest, boule noire complète, quel serait votre objectif de scène de rêve, salle ou festival ?
[02:23:58] Speaker D: » Rêve ?
[02:24:01] Speaker C: Là déjà c'est bien, on parle de Hellfest, boule noire complète.
[02:24:05] Speaker A: Je vais répondre à ta place. Le Madison Square Garden.
[02:24:09] Speaker E: C'est une bonne réponse ou pas ? Simon, on confirme ou pas ?
[02:24:13] Speaker A: Sinon c'est un mec terre-à-terre, sinon c'est le mec froid.
[02:24:18] Speaker D: Et pour ceux qui n'ont pas entendu.
[02:24:19] Speaker C: Il a dit merci. Peut-être qu'il a juste débouché, qu'il voulait voir Mercier.
[02:24:27] Speaker E: Moi c'est mon truc, je le dis depuis des années, mais faire le half-time show du Superbowl parce que c'est ce soir.
[02:24:34] Speaker C: D'ailleurs on relance un live après, on.
[02:24:37] Speaker A: Le regarde et on le commente, ça serait super.
[02:24:40] Speaker D: On a des bières, on peut commander des pizzas.
[02:24:43] Speaker C: On l'avait fait à WeFM.
[02:24:45] Speaker A: On le faisait tout le temps.
[02:24:46] Speaker C: Tous les jours on le faisait dans la brisonnette.
[02:24:47] Speaker A: C'était l'occasion de picoler en direct jusqu'à 6h du matin.
[02:24:51] Speaker C: On partait de la matinale. Enfin, on partait quand la matinale arrivait, c'est-à-dire à 6h30. Et ça puait dans le studio.
[02:25:00] Speaker F: On peut faire, on est là.
[02:25:01] Speaker D: C'est moi avec son maillot. Il a le maillot. Il est déjà équipé.
[02:25:04] Speaker E: On peut, si vous êtes chauds.
[02:25:05] Speaker D: Je vous ai dit que j'étais un mec carré maintenant.
Pas dans le planning !
[02:25:14] Speaker A: Mon agenda il dit pas ça ! Ça peut se faire avec de l'eau.
[02:25:17] Speaker D: Donne de ton agenda, je t'arrange le truc. Dans le rêve du début.
[02:25:23] Speaker A: Fan de sport du coup.
et de football américain.
[02:25:28] Speaker E: Ouais, carrément, faire un gros événement comme ça. Après je pense que là, dans les gros événements rock et metal qui sont passés dans les cinq dernières années, c'était Gojira justement à la Cora Arena. Pour avoir été dedans, je me suis dit, putain, on est en train de vivre quand même un truc légendaire d'avoir un groupe de base de death metal faire ça. Ouais, ça serait un truc cool comme ça.
[02:25:48] Speaker D: Red Rocks. Ouais, le Red Rocks.
[02:25:50] Speaker F: C'est un endroit genre...
[02:25:52] Speaker E: En fait j'arrête de parler.
[02:25:53] Speaker D: C'est vrai que c'est pas mal aussi.
[02:25:55] Speaker A: J'avais oublié cet endroit.
[02:25:57] Speaker E: En fait il y en a plein là. Et quand on va partir je vais dire, putain j'aurais dû dire ça.
[02:26:01] Speaker D: Bah tu reviens droit, c'est pas grave. Note-le par contre. Tu devrais pas te réinviter une troisième fois.
[02:26:08] Speaker A: Je vais partir directement sur ce titre qui m'a surpris et je me suis dit... On est des gens ouverts d'esprit. Donc il a osé nous provoquer parce que ça je sais bien que c'est une provocation également.
Tu l'as dit, oui, on voulait vous montrer qu'on était très ouvert d'esprit. Personne n'en a douté, je pense. Mais Kendrick Lamar dans Bang Bang.
[02:26:29] Speaker D: Ouais, alors là, c'est bien.
[02:26:32] Speaker A: Parce qu'on ne l'a jamais passé celui-là. A priori, on ne repassera jamais, à part si quelqu'un nous demande de le passer, parce que ce n'est pas notre métier, mais vous avez la liberté de choisir des morceaux.
[02:26:41] Speaker D: Et c'est DNA.
[02:26:43] Speaker A: Donc là, je te laisse. Alors moi, le clip, OK, je trouve trop bien.
[02:26:47] Speaker E: Mais après, Le clip, en fait, moi je voulais pas choisir ce clip là, mais c'est Lucas qui a dit, putain ce clip là c'est vrai qu'il est trop cool. Après, c'est vrai que Kendrick, dans l'artistique, vraiment dans l'artiste qui dirige tout, on sent qu'il y a une vraie maîtrise de son art. Et c'est ça qui est vraiment très cool. Et on aime aussi beaucoup le hip-hop, on a grandi avec. On parlait de Linkin Park, ça nous a fait la balance entre le rock et le hip-hop. Après moi j'avoue, c'est ma copine qui m'a fait de la propagande par rapport à Kendrick. Au début, tout le monde me le vendait comme le nouveau Tupac. J'adore Tupac. Je lui ai dit non, c'est pas possible.
[02:27:28] Speaker D: Et en fait... L'adolescence est revenue. C'est ça !
[02:27:32] Speaker E: C'est ça, je suis toujours pareil en fait. Mais c'est plus pour ce côté un peu ouverture d'esprit et pour avoir vu son concert.
[02:27:42] Speaker A: En concert c'est incroyable, je l'ai vu deux fois.
[02:27:46] Speaker E: C'est clairement fou et puis c'est même un concert qui est dispo sur Prime Vidéo parce que c'était filmé en instantané sur Prime Vidéo et qui est dispo encore.
Profitez-en.
mise en place, scéno, le jeu avec le public.
[02:28:02] Speaker F: Il y a une vraie direction artistique. Pour moi, le clip, c'est excellent. C'est vraiment un clip qui sert la musique.
[02:28:10] Speaker E: Et l'acteur dont j'ai oublié le nom, donc j'espère que le chat va nous aider quand ils vont voir le clip. Cet acteur-là, il est incroyable. Mais j'ai oublié le nom à chaque fois.
[02:28:17] Speaker A: Donc j'espère qu'ils vont nous aider. Juste, tu disais, t'as même fait de la propagande pour te faire ça. Tu en fais auprès d'elle pour qu'elle puisse écouter plein de trucs aussi ?
[02:28:26] Speaker E: Ouais, elle a subi.
[02:28:27] Speaker A: Ouais, elle a commencé pas de la propagande.
[02:28:29] Speaker D: Non, elle a subi.
[02:28:30] Speaker E: Non, juste elle a subi.
[02:28:32] Speaker D: Il est ici l'adresse.
[02:28:35] Speaker E: J'ai même fait une vidéo sur ma chaîne où je lui fais écouter des trucs et je la connais pour la vidéo, elle est restée polie.
Des fois y'a 2-3 moments et t'es là « mais il est dégueulasse lui ! » J'étais là « là je te.
[02:28:46] Speaker D: Reconnais, là c'est toi ». C'est ça qu'on veut !
[02:28:52] Speaker A: Après c'est vrai que la vérité faut pas tout en dire mais là ça va.
[02:28:55] Speaker D: C'est vrai.
[02:28:56] Speaker E: C'est Zinibat ?
[02:28:56] Speaker A: Oui, Kendrick Lamar avec DNA, c'est parti.
[02:29:21] Speaker D: Kendrick Lamar.
[02:29:25] Speaker B: Deux premiers noms, hein ? Qu'est-ce que c'est que ça ? Tu sais ce que signifie le DNA ? L'Association des Morts-Nègres. Ouais.
[02:29:47] Speaker G: ... J'ai de la joie et de la douleur à l'intérieur de mon DNA J'ai de l'ambition et du flow à l'intérieur de mon DNA J'ai été né comme ça, j'ai été créé comme ça, une conception immaculée J'ai transformé comme ça, j'ai performé comme ça J'ai fait de toi une nouvelle arme, je ne contemple pas J'ai médité sur ta tête de merde, c'est ça qui a mis les enfants au lit C'est ça que j'ai, j'ai, j'ai, j'ai J'ai de la réalité, j'ai juste tué de la merde parce que c'est dans mon DNA I got riches building in my DNA I got duck, I got evil that rot inside my DNA I got off, I got trouble, some heart inside my DNA I just win again, then win again, like Wimbledon I serve Yeah that's him again, the sound, the engine, and it's like a bird You see fireworks, it cough, it tire, skirt the boulevard I know how you work, I know just who you.
[02:30:44] Speaker B: Are So use a, use a, use.
[02:30:46] Speaker G: A bitch up Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Abonnez vous ! Another dead nigga association.
[02:31:58] Speaker B: C'est pour ça que je dis que le Hip-Hop a fait plus de dégâts aux jeunes que les Américains, les racistes et les racistes du monde entier.
[02:32:10] Speaker G: C'est pour ça que je dis que le Hip-Hop a fait plus de dégâts.
[02:32:12] Speaker B: Aux jeunes que les Américains, les racistes.
[02:32:13] Speaker G: Et les racistes du monde entier. C'est pour ça que je dis que le Hip-Hop a fait plus de dégâts aux jeunes que les Américains, les racistes et les racistes du monde entier. C'est pour ça que je dis que le Hip-Hop a fait plus de dégâts aux jeunes que les Américains, les racistes et les racistes du monde entier. C'est pour ça que je dis que.
[02:32:22] Speaker B: Le Hip-Hop a fait plus de dégâts.
[02:32:23] Speaker G: Aux jeunes que les Américains, les racistes et les racistes du monde entier.
[02:32:25] Speaker B: C'est pour ça que je dis que.
[02:32:26] Speaker D: Le Hip-Hop.
[02:32:52] Speaker G: C'est parti ! Slippin' gold inside my DNA Power shows inside my DNA Real niggas in my.
[02:33:39] Speaker B: DNA Ain't no ho inside my DNA Votre voix n'a rien de plus important que moi ! C'est la fin du monde !
[02:39:10] Speaker A: Oui, Pierre, je sais, je suis désolé.
[02:39:12] Speaker C: C'Est une fin en fade. En 2024, non merci.
[02:39:16] Speaker D: Je déteste ça.
[02:39:17] Speaker B: J'en ai marre, j'en ai marre.
[02:39:18] Speaker A: Il y a un moment juste, ACDC, ils font tout le temps la même.
[02:39:20] Speaker D: Fin, c'est déjà mieux. Ouais, c'est vrai.
[02:39:22] Speaker A: De toute façon, ils font tout le temps la même chanson aussi. Bon, alors, là c'était Project 86.
[02:39:26] Speaker C: Alors, Project 86, attention à ne pas confondre avec Projet 86, parce que si vous tapez ça sur Google, vous allez tomber sur une page qui dit des potes et de l'apéro.
[02:39:38] Speaker D: Donc ça n'a aucun rapport.
C'est véridique.
[02:39:42] Speaker C: Donc c'est Project 86 et pas projet 86.
[02:39:45] Speaker D: Ça a l'air super projet 86. Je pense que tout le monde va aller voir projet 86.
[02:39:52] Speaker C: Vous allez voir la photo et vous saurez d'où vient Vianney.
[02:39:59] Speaker A: C'est vrai parce que vu ce que t'as dit, apparemment la photo ça va pas être fameux.
[02:40:02] Speaker C: Non mais bon, si tu veux des gens qui mettent des polos avec des.
[02:40:05] Speaker E: Petits pulls sur les épaules... Et des petites guitares.
[02:40:07] Speaker C: Des petites guitares de voyage. Bah c'est pas trop parce que j'aimerais.
[02:40:11] Speaker A: Bien qu'il vienne ici.
[02:40:12] Speaker C: Oui bah qu'il vienne !
[02:40:13] Speaker D: Je l'attends ! Oh putain ! Il a senti un bienvenu ! Là c'est un octogone !
[02:40:18] Speaker C: Je serais très content de le rencontrer. Et qu'il nous explique à quel point il aime Naftons.
[02:40:23] Speaker A: Parce que je sais qu'il adore les Daft Punk.
[02:40:25] Speaker C: Bref, Project 86, donc en effet c'est un groupe qui est très vieux, Pierre. Parce que tu m'as dit, nous lançons.
[02:40:31] Speaker D: Un projet, j'ai fait, attends mais un.
[02:40:33] Speaker A: Pote il habite au Stade depuis 15 ans, 20 ans, et il m'a fait connaître ce groupe là, donc soit je me trompe, mais non.
[02:40:41] Speaker C: Non, c'est ça. Donc c'est un groupe qui est apparu en 96, alors c'est un groupe à la base qui était du metal chrétien quand même.
Avec ce qu'on a vu là, c'est pas très chrétien. C'est fini. Du coup, le groupe est passé de maison de disque en maison de disque. Et puis il y a quelques années, ils ont dit maintenant on va faire juste des crowdfunding parce qu'on en a marre des trucs.
Il y a deux ans, le chanteur, qui est le seul membre, enfin c'est son projet de toute façon, a dit on va faire un dernier album et après c'est fini. Et du coup, c'est un album qui devait être d'abord un album, ça a ensuite été un album et un EP.
Et ça a fini par être deux albums. Donc voilà. Là, le deuxième album est sorti donc au mois de janvier.
[02:41:30] Speaker A: Ce qui va peut-être devenir trois albums.
[02:41:32] Speaker D: C'est une trilogie, en fait.
[02:41:34] Speaker C: Non, non, là, normalement, c'est fini.
[02:41:35] Speaker D: On peut plus.
[02:41:36] Speaker A: Bravo.
[02:41:40] Speaker D: Comme toi.
[02:41:44] Speaker C: Qu'est-ce que je voulais dire ?
[02:41:46] Speaker A: C'est le deuxième ?
[02:41:47] Speaker C: C'est le deuxième, ça s'appelle Omni Part 1 et Omni Part 2. Donc l'histoire, vous avez compris avec le clip, c'est un futur dystopique où...
Il y a beaucoup de lave. En gros, on a atteint un tel niveau de technologie qu'on ne peut plus mourir.
Et du coup, il y a une espèce de société qui contrôle un peu tout, qui s'appelle Omni, qui a pris le pouvoir, voilà.
Bon, c'est pas très original. Mais bon, voilà, la musique est cool. Et du coup, sur le premier album, je suis sûr, c'est que ça a été produit par Matt Putman, le mec qui a fait beaucoup de Norma Jean, les derniers Norma Jean. Et les musiciens sont aussi les musiciens de Norma Jean.
[02:42:30] Speaker E: En plus, ils ont l'habitude, eux, de tourner en plus.
Il y a beaucoup de changements, non ?
[02:42:37] Speaker C: Il y en a qui restent toujours un peu les mêmes, batteurs, bassistes, guitaristes par contre c'est toujours...
Et du coup ils ont participé à la création de ces deux albums et sur le Partout, sur l'album où il y a cette chanson, il y a aussi une chanson avec le chanteur de Cult of Luna. Alors, on ne s'attend pas trop à le voir là-dedans. Et du coup, en fait, j'étais au courant que c'était sorti parce que j'ai vu un post de Johannes qui disait « Ah, c'était drôle de faire ça, ça fait longtemps que je n'avais pas fait des maths en chantant ». En gros, parce qu'il y a un côté très Meshuggah, voilà, un peu... Et du coup, dans Cult of Luna, c'est plutôt des longs trucs, il n'y a pas trop de trucs un peu... Voilà, je vous invite à écouter d'ailleurs le titre avec Johannes, qui est excellent. Et voilà, je trouvais ça sympa, gros son, je me suis dit que ça ferait du bien après Kendrick Lamar, quoi.
[02:43:29] Speaker E: Il y a un petit pont qui.
[02:43:30] Speaker C: S'Est créé là, je pense.
C'est dommage que Project 86 s'arrête là parce que sinon ils auraient pu faire des petits apéros ensemble avec Henry Clépier.
[02:43:38] Speaker D: En poulot.
[02:43:39] Speaker A: Bien sûr, avec des petits pouls sur les épaules. Des rodingotes.
[02:43:49] Speaker C: Et je voulais dire aussi, j'ai voulu passer ça parce que je me suis dit que ça ferait plaisir à Marcel.
Parce qu'il aime bien les trucs comme ça avec du post-apocalyptique.
[02:43:58] Speaker E: Bah tu vois là, je vois un truc dans le chat là, de Romain. Je suis étonné que Ben n'a pas chié sur le clip.
À moitié on y est.
[02:44:06] Speaker C: Ah ouais par contre le clip je le trouve dégueulasse.
[02:44:07] Speaker D: Bah voilà.
[02:44:09] Speaker C: Je le dis, clairement.
[02:44:10] Speaker A: Après ils ont jamais eu super bon goût Project 86.
[02:44:12] Speaker C: Ouais et puis nous on passe aussi pas des clips de ouf. T'as l'air on a passé The Chainsaw Motel. J'ai rien à dire. On passe pas que des bons clips non plus.
[02:44:20] Speaker D: Il l'a cherché il l'a eu. Voilà.
[02:44:25] Speaker C: C'est con, il a raté quand on en a dit du bien tout à l'heure, c'est vraiment dommage.
[02:44:29] Speaker A: C'est vrai, mais il regardera le... la VOD.
[02:44:32] Speaker C: Non, on coupera ce...
[02:44:33] Speaker D: Je sais pas ça. Qu'est-ce que je voulais dire, j'ai vu.
[02:44:37] Speaker A: Aussi dans le chat, parce que forcément, il y a le groupe, mais il y a aussi votre activité, celle par laquelle on te connaît surtout toi.
[02:44:45] Speaker C: Bien qu'apparemment, t'as vu, ils font tous un petit peu ensemble quand même.
[02:44:48] Speaker A: Oui, mais c'est pour ça, je me.
[02:44:49] Speaker C: Permets de... T'as vu ça ? J'ai l'impression que c'est une affaire de famille !
[02:44:53] Speaker A: Non mais c'est vrai, vous avez tout.
[02:44:54] Speaker D: Fait ensemble tout le temps quoi.
[02:44:56] Speaker B: Oui.
[02:44:56] Speaker A: Mais je l'apprends parce que j'ai jamais capté non plus donc je...
[02:44:59] Speaker E: Alors, par rapport à ma chaîne YouTube, le truc est parti de moi tout seul.
[02:45:04] Speaker F: Complètement.
[02:45:04] Speaker E: Je l'ai un peu caché dans... Je l'ai fait dans le dos celui-là.
[02:45:09] Speaker D: On peut pas avoir d'image s'il vous plaît ?
[02:45:12] Speaker E: Non en vrai c'est...
[02:45:13] Speaker D: Tu vois Pierre t'es pas le seul ! Quel enfoiré ! J'en veux plus !
[02:45:20] Speaker E: Mais toutes les vidéos où je suis en extérieur ou quand je suis invité ou quand il y a des trucs un petit peu cool ou je suis un peu privilégié, c'est toujours les mêmes qui en profitent, donc Lucas et Simon. Et en échange, je demande un petit coup de main de filmer.
C'est plus ça. C'est juste que je n'ai pas envie de vivre le truc tout seul. Et comme je disais au tout début de l'émission, je me protège aussi de pas mal de choses.
notamment des gens qui veulent trop profiter, et quitte à faire profiter des gens tant que ce soit des gens que j'aime, donc...
[02:45:49] Speaker D: Tout à fait.
[02:45:50] Speaker A: Oui, bien sûr, c'est toujours mieux.
[02:45:51] Speaker C: Et puis, le bonheur n'est rien s'il n'est pas partagé.
[02:45:54] Speaker E: Exactement.
[02:45:54] Speaker C: Into the wild. Je sais pas si vous avez vu le film. Si vous l'avez pas vu, quand vous allez tomber sur ce moment, vous allez chialer, je vous le dis.
[02:46:00] Speaker E: J'ai cru que tu faisais une référence au restaurant L'Instant Partagé à côté de chez moi, mais du coup, rien à voir.
[02:46:05] Speaker C: Non, mais du coup, j'ai un peu.
[02:46:07] Speaker D: Envie d'y aller maintenant.
[02:46:10] Speaker C: Alors tout à l'heure, j'ai vu dans le chemin, il y a une petite question, il y a quelqu'un qui demandait si tu comptais arrêter ta chaîne YouTube pour te consacrer à la musique.
[02:46:19] Speaker E: C'est déjà le cas ? Non, ça va de pair, tant que je trouve l'envie, la motivation, la force et qu'il y a toujours des gens pour répondre présent, non. Je trouvais le bon équilibre.
[02:46:32] Speaker C: Très bien.
[02:46:32] Speaker A: Je pense que tu fais l'habitude aussi, t'as des rituels maintenant qui se font avec ta chaîne j'imagine. dans ta tête, dans ton fonctionnement, donc du coup l'enlever c'est... c'est un petit peu subir une opération quoi !
[02:46:43] Speaker E: C'est ça, et puis je pense que je trouve le bon équipe, c'est que je fais beaucoup de choses dans ma vie en général, et le seul truc c'est que Lucas n'est pas tout le temps avec moi, donc il faut que je trouve des trucs à faire quand Lucas n'est pas là, et ça part de là la chaîne YouTube ouais. D'accord, ok. Donc non, il n'y a pas de...
Je ne sais pas rien faire.
[02:47:05] Speaker D: Ah oui. Moi c'est l'inverse.
[02:47:12] Speaker C: Je le confirme. Je vais chercher à m'occuper du coup en attendant. On va discuter pendant le match de Super Bowl.
[02:47:20] Speaker E: Non, zéro raison pour que ça s'arrête.
Je m'inspire aussi beaucoup de ce que les Américains y font, mais par exemple Craig Reynolds, le batteur de Strike From The Past, je vois même Herman Leake, j'ai interviewé il y a pas longtemps, Dragon Force, ils sont tous un peu créateurs de contenu slash musiciens parce que je pense que ça fait aussi partie du jeu de musiciens aujourd'hui, d'être un peu présent, etc. C'est pas pour ça que je l'ai fait.
Mais du coup... Ouais, c'est ça.
[02:47:51] Speaker A: Directement.
[02:47:51] Speaker E: Carrément. Et en fait, là, non, parce que là... Je sais plus si c'est toi Pierre qui l'avait dit, mais on ressent pas le fait que j'ai un groupe dans ma chaîne YouTube. C'est vraiment un parti pour... Excuse-moi.
[02:48:03] Speaker C: Ouais, c'est pas grave. De toute façon, c'est toujours à lui qu'on a mis tous les craignets des trucs cool.
[02:48:07] Speaker D: T'inquiètes, j'ai la YouTube. Avec les autres, on sait pas.
[02:48:10] Speaker A: Ça a le mérite de rien foutre.
[02:48:11] Speaker D: Mais en tout, c'est moi qui gagne tout.
[02:48:13] Speaker E: Mais du coup, je sais même plus.
[02:48:15] Speaker C: Ce que je voulais dire.
[02:48:17] Speaker A: Non, mais c'est pour ça que t'as pas envahi ta chaîne YouTube de ton groupe.
[02:48:22] Speaker E: C'est deux choses différentes, mais ça arrive à coexister parce que... Ouais, c'est moi.
[02:48:26] Speaker C: Oui, et puis je pense que tu peux le faire en bonne intelligence. Et puis, je pense que ce que t'apprends aussi par, entre guillemets, la maîtrise des réseaux en étant youtubeur, influenceur, même si le mot n'est pas ouf. Mais c'est vrai que ce qu'on apprend par ça, tu peux l'appliquer aussi à ton groupe et ça peut... Bien sûr. faire fructifier le truc.
[02:48:47] Speaker E: Bien sûr, il y a plein de gens qui me posent la question, parce qu'il y en a qui comprennent pas forcément comment ça marche, ou pour qui c'est pas très clair, ou il y en a qui sont une giga-idée, genre pour certains... Le truc qui était marrant, c'est quand on a annoncé le Hellfest, il y a des gens qui ont dit « Ouais, mais en même temps, ils bouffent le Midi avec Ben Barbeau », j'étais.
[02:49:05] Speaker B: Là « Ah ouais ?
[02:49:06] Speaker E: » J'étais pas au courant.
[02:49:07] Speaker D: Ah ouais ? J'étais pas au courant. Non, c'est vrai que je t'ai vu.
[02:49:10] Speaker C: Au Hellfest, tu mangeais pas avec lui.
[02:49:11] Speaker E: Ah non, pas du tout.
[02:49:12] Speaker D: Non, c'est vrai.
[02:49:12] Speaker E: Bah je mangeais même par terre.
[02:49:13] Speaker D: Le sandwich fraclette. Le sandwich fraclette, ouais.
[02:49:16] Speaker F: Le sandwich fraclette.
[02:49:17] Speaker D: Ouais.
[02:49:17] Speaker C: J'étais quand même sur la petite table, arrête de mentir.
[02:49:20] Speaker D: C'est vrai ?
[02:49:21] Speaker E: Ah bah y avait de l'espace alors. J'ai réussi à me frayer un seul.
[02:49:23] Speaker D: C'est déjà une gueule monnieuse.
[02:49:24] Speaker E: Ouais, c'est ça.
[02:49:25] Speaker B: Mais...
[02:49:25] Speaker A: Les gens se font toujours des films sur beaucoup de choses.
[02:49:27] Speaker E: Ouais, c'est ça, mais...
[02:49:28] Speaker A: Nous, ils sont persuadés qu'on gagne des milliers et des milliers d'euros tous les mois.
[02:49:31] Speaker F: J'suis pire, ils vont savoir.
[02:49:32] Speaker A: Ah bah non, on gagne des milliards d'euros.
[02:49:40] Speaker E: J'ai toujours été curieux dans le monde de la musique. Il y a des gens qui m'ont connu en tant que roadie pour Mass Hysteria, ou faire de la lumière, de l'accueil de lumière dans les salles de concert, etc. Ou être tourneur pour des petits groupes locaux.
de préférence le mien, mais j'ai toujours été actif et toujours été curieux.
Donc en fait, ça se fait naturellement. Et je voulais voir aussi l'autre côté du business. C'est un peu le rêve.
[02:50:10] Speaker C: Non mais enfin, ce qu'on peut dire aux gens, pour résumer un peu le truc, c'est que ne croyez pas que les gens dans ce milieu peuvent arriver loin sans avoir travaillé.
[02:50:21] Speaker D: Voilà.
[02:50:22] Speaker C: Je pense que, enfin, dans ce genre de musique-là, ça n'arrive pas.
[02:50:27] Speaker A: Tu penses à quelle musique qui pourrait y arriver ?
[02:50:29] Speaker C: Non, je ne dirais rien.
[02:50:31] Speaker A: Ah tu penses à Vianney.
[02:50:33] Speaker D: Non, même pas.
[02:50:34] Speaker E: Après ça peut être intéressant. Moi ce que je trouve intéressant c'est quand Lucas il en parle, parce que son point de vue, il est quand même dans un groupe où on dit que Bad Situations c'est la musique de youtubeurs. Où la moitié du groupe n'est pas... T'as pas de téléphone ?
[02:50:46] Speaker F: Aujourd'hui j'ai pas de téléphone, on peut le dire.
[02:50:49] Speaker C: Aujourd'hui en 2024, je suis sans téléphone fixe.
[02:50:55] Speaker F: Mais ouais, y'a la moitié du groupe qui est pas youtubeur, loin de là, donc... Et ça veut dire quoi surtout.
[02:51:00] Speaker A: Faire de la musique de youtubeur ?
[02:51:02] Speaker C: Je sais pas, le faire c'est quoi ?
[02:51:04] Speaker F: Attribuer les mérites de notre musique... Bah.
[02:51:06] Speaker A: Parce qu'ils ont fait un lien complètement con, rapide... Le lien c'est que c'est le même être humain !
[02:51:10] Speaker D: Donc c'est de la musique de youtubeur !
[02:51:13] Speaker C: Non mais c'est encore, ça aurait été une chanson, tu vois, genre un truc... T'as Yo-Yo ?
[02:51:18] Speaker A: Non mais là où je peux comprendre.
[02:51:21] Speaker C: C'Est genre t'es youtubeur, on utilise ton image et ta popularité, tu chantes un truc que t'as pas composé, que t'as pas écrit, que t'as rien fait. C'est rare dans ce genre de musique.
Là la différence c'est qu'il est musicien avant d'être youtubeur et c'est surtout que t'écris, c'est tes textes, c'est tes compos, c'est toi qui joue, c'est toi qui enregistre. Du coup je pense que ça s'applique pas mais bon après la mauvaise foi des gens...
[02:51:52] Speaker E: C'est un petit peu ça, j'ai appris...
[02:51:54] Speaker A: Il faut que ça passe comme ça.
[02:51:56] Speaker E: En fait, ce qui est intéressant, c'est que depuis l'âge de 13 ans, je suis dans ce milieu-là un petit peu. On me voyait en général rouler des câbles, donc je voyais un petit peu ce monde-là aussi. Donc, il y a des choses qui ne m'ont pas choqué. Et des trucs où moi-même, je me faisais des films, j'étais là, en fait, c'est juste ça.
[02:52:12] Speaker D: C'est juste ça, en fait.
[02:52:13] Speaker E: Et du coup, t'es un petit peu déçu, mais tu te dis, OK, bon, ben, c'est normal. C'est normal. Mais voilà. Donc, non, c'est...
Il y a forcément plein de choses cool qui nous arrivent grâce à YouTube, je dis nous parce que Lucas il est jamais loin de moi dans mes projets et forcément il y a des trucs cool et quand il y a des trucs cool, il faut qu'il y ait des trucs moins cool et on les accepte.
[02:52:36] Speaker A: Oui, et puis tout n'est pas qu'un rêve. Ça ne tourne pas du tout comme disait Lennon. Ce rêve bleu, je n'y crois pas sur ma vie.
[02:52:40] Speaker D: Tu me fais flipper la tête que t'es en train de faire.
[02:52:51] Speaker A: On en revient à la tortue qui joue.
[02:52:54] Speaker D: Non, c'est comme ça. Oh oui, tu le fais avec les yeux ! Ça, ça va faire un petit short Instagram.
[02:53:07] Speaker E: J'espère que le monteur va trouver l'image qu'on a en tête actuellement.
[02:53:11] Speaker D: On l'a tous vu. Bifi Clairo !
[02:53:17] Speaker C: Yes ! Ah bah un duo !
[02:53:19] Speaker D: Que t'as vu aussi au Bring the Noise festival ?
[02:53:22] Speaker B: Ouais !
[02:53:22] Speaker D: Ah oui c'est vrai ? Ouais !
[02:53:24] Speaker E: Bring the Noise au Download Festival et à l'Olympia, mais on l'a pas vu ensemble, non.
[02:53:29] Speaker F: Avec Frank Carter avant, c'était...
[02:53:34] Speaker E: C'est incroyable !
[02:53:34] Speaker D: Ouais !
[02:53:36] Speaker C: Bon ben voilà, on va s'arrêter là.
[02:53:38] Speaker E: Eh ben c'est super, merci.
[02:53:39] Speaker A: Non mais moi je ne dis rien parce que je... Enfin plutôt non plus je pense parce qu'on les adore.
[02:53:43] Speaker D: Ouais, tout à fait.
[02:53:44] Speaker E: Est-ce qu'ils sont vraiment sympas ?
[02:53:45] Speaker D: Ouais.
[02:53:46] Speaker E: Ah putain...
[02:53:47] Speaker A: Ils sont même plus que sympas.
[02:53:48] Speaker D: Ouais.
[02:53:49] Speaker A: C'est un art que...
[02:53:50] Speaker E: Il y a un trop plein de.
[02:53:52] Speaker A: Gentillesse, mais c'est ultra sincère.
[02:53:54] Speaker C: Et les mecs se souviennent de toi.
[02:53:56] Speaker D: Ah ouais, ça c'est cool.
[02:53:57] Speaker C: Moi je les avais vus, alors la première fois que je les ai vus, c'était à la Boule Noire, je crois que c'était sur Infinity Land. Et on est allé boire, je sais plus avec qui j'étais, mais il y avait Marco qui était là.
[02:54:14] Speaker D: Et.
[02:54:17] Speaker C: On était allés boire des verres avec eux au Café Charbon... Non, pas au Café Charbon, c'était où ? À La Fourmi. Et du coup... Ah non, attends, c'est au Nouveau Casino que je les ai eus ? Non, c'est au Nouveau Casino que je les ai vus. C'est au Nouveau Casino et c'était au Café Charbon. On a bu des verres avec eux et on a discuté avec eux. On a essayé de comprendre ce qu'ils disaient parce qu'ils ont un putain d'accent écossais.
[02:54:42] Speaker A: Même s'ils font des efforts.
[02:54:46] Speaker C: Et après on les a revus à WeFM, ils étaient venus jouer dans le studio et tout. Enfin, plein de fois on les a vus.
[02:54:52] Speaker A: Ils sont venus jouer pour nous, hein.
[02:54:54] Speaker C: Ouais, ouais. Soulpon, Alexandre Trois aussi.
[02:54:57] Speaker E: Ah oui, c'est vrai !
[02:54:58] Speaker D: Y'a une vidéo de ça ! Ah ouais, c'est moi qui l'ai faite.
[02:55:02] Speaker C: Et du coup, le truc, et même leur équipe technique, alors je sais pas aujourd'hui, parce que j'ai pas vu la dernière fois, mais genre, leur ingé son c'est resté le même, tous les gars autour c'est les mêmes, et les mecs sont super gentils, et ils se souviennent de ton prénom. Ah ouais, c'est ce niveau-là quoi. Et juste des crèmes quoi.
[02:55:21] Speaker E: Et le manager, on s'était croisé à Empire State Bastard, on a eu l'occasion de rencontrer le manager qui est le manager aussi de Bifi Claireau.
[02:55:29] Speaker D: Ah c'est le même ?
[02:55:29] Speaker E: Ouais c'est le même. Et ouais, tu vois le gars...
[02:55:32] Speaker A: On a l'impression qu'il fait partie de leur famille d'ailleurs.
[02:55:35] Speaker D: Mais c'est le même.
[02:55:37] Speaker E: Mais c'est le même ! C'est Jean-Jean là, il est toujours là. Mais ouais, non, c'est cool. Biffy Clyro, ça a été un groupe, le titre qu'on a proposé ce soir, c'est le premier titre qu'on a découvert, qui nous a vraiment mis une claque. La première fois que je les ai vus, c'était un titre un peu balade, je me suis dit, c'est quoi ce groupe ? Ils sont arrivés sur scène, j'ai dit, j'adore ce groupe.
[02:55:58] Speaker A: C'est que tu peux l'entendre sur l'album, voilà, appris sur scène.
[02:56:04] Speaker C: Pour le coup, ils ont tout compris entre le bon mix entre énergie et chansons de stade. C'est vraiment...
[02:56:12] Speaker E: La polyrythmie, le petit fan de Meshuggah, il peut dire « Ok, c'est cool ». Ça peut être une porte d'entrée pour plein de trucs, en fait, des films cléos.
[02:56:21] Speaker F: La harmonie, la voix, c'est fou.
[02:56:24] Speaker D: Tout le monde chante. Ça joue très bien sur scène.
[02:56:27] Speaker A: Ils sont très bons.
[02:56:28] Speaker C: L'attitude est là, il manque rien.
[02:56:30] Speaker E: Carrément.
[02:56:31] Speaker A: Peut-être des beaux tatouages, on s'apprête.
[02:56:34] Speaker E: Alors, c'est pas moi qui vais mal parler des mauvais tatouages.
[02:56:37] Speaker D: Ah, j'en ai plein de moches.
[02:56:41] Speaker C: Et t'en as de bien ou pas ?
[02:56:43] Speaker D: Ouais, quand c'est les plus visibles.
[02:56:45] Speaker C: Ceux qui sont moches ils sont vers le haut. En dessous de mon pantalon. Je suis content de pas te voir à poil.
[02:56:50] Speaker D: Alors, on va regarder Black Chandelier, donc des bifics là-haut dans Bang Bang.
[02:57:11] Speaker B: TRIP TRIP TRIP TRIP TRIP TRIP Je sais qu'il y a un stop, mais je pense que je le sais au fond de moi. On a l'impression d'être prêts à tomber ces jours-ci, toi et moi. Quand c'est juste les deux de nous, seules les deux de nous, je pourrais mourir.
J'ai peur d'avoir des yeux bleus Mais il y a un chandelier noir Il s'effondre dans les ombres et les lumières J'envoie un silence pour le reste de ma vie, si tu veux Dresser nos ventes avec des jambes industrielles Musique d'ambiance On va nous séparer ce soir On est toujours en train de courir en peur, mais en gardant les yeux fermés Mais il y a une lumière noire qui nous laisse entendre C'est en coulant les ombres et les lumières On va nous séparer ce soir On est toujours en train de courir en peur, mais en gardant les yeux fermés Mais il y a une lumière noire qui nous laisse entendre You left my heart like an abandoned car Old and worn, I no use at all But I used to be free We're gonna separate ourselves tonight Awake, trapped in the same routine Repeating over and over I look ahead And I start to feel the dread Of growing older and older So what's it gonna take To finally make a change I'm shaking like an earthquake C'est moi qui m'occupe J'en ai marre d'attendre.
[03:03:32] Speaker D: J'en ai marre d'attendre J'en ai marre.
[03:03:33] Speaker B: D'Attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre J'en ai marre d'attendre.
[03:04:00] Speaker D: J'en ai.
[03:04:55] Speaker C: Je faisais la suite de la musique.
[03:04:57] Speaker A: The Ghost Inside.
[03:04:58] Speaker C: Ah le fantôme de temps !
[03:05:00] Speaker A: On est content qu'on puisse passer ce clip, on est content de pouvoir en avoir encore dans les oreilles. Je trouve très bien ce morceau, tout simplement. On met plein les esgourdes ! Très bien, on nettoie les cages à miel. Bon ça va, c'est pas mignon donc les cages à miel elles restent un peu bouchées quand même.
Un gros bisou d'ailleurs à Tonton Zégut. Le titre s'appelle Watcha Theory.
[03:05:19] Speaker E: Putain, waouh, je l'ai, je l'ai, je l'ai la ref. Et du coup, j'ai la suite de la chanson et c'est horrible.
[03:05:26] Speaker D: C'est horrible.
Non, je ne ferai pas la suite.
[03:05:31] Speaker A: On a des cadeaux, je crois.
[03:05:32] Speaker D: Ah ! Est-ce que vous voulez des cadeaux ? Ouais ! Vous les voulez comment ? Dans le cul !
[03:05:39] Speaker C: Eh ben vous les aurez dans vos e-mails.
[03:05:41] Speaker D: Voilà.
[03:05:41] Speaker C: Puisqu'il faudra jouer par e-mail, j'imagine.
[03:05:43] Speaker D: Tout à fait.
[03:05:44] Speaker A: Vous m'envoyez un e-mail à pierre-resles.com pour.
[03:05:46] Speaker D: Gagner vos places pour aller voir Suicide Silence. C'est bientôt.
C'est un collège.
[03:05:52] Speaker A: Alors attends, parce qu'il y a aussi Kublaï Khan.
[03:05:55] Speaker D: Texas.
[03:05:56] Speaker A: Texas, je ne vous dis jamais mais oui.
[03:06:00] Speaker C: C'est la soirée de l'apôtre.
[03:06:01] Speaker E: Lionheart.
[03:06:01] Speaker D: Il y a Lionheart.
[03:06:03] Speaker A: C'est juste une soirée, si vous avez.
[03:06:05] Speaker D: Envie de perdre tous vos dents, c'est une soirée dentiste. Des patates dans la gueule, tout va bien se passer. Une chico party.
[03:06:13] Speaker A: On a des places pour vous en tout cas. Ça va charcler. Le tourneur nous a dit, allez vas-y.
Tu nous casses les couilles, donc tu vas prendre tes places si tu as les offerts. Donc on est content.
[03:06:23] Speaker D: Voilà.
[03:06:23] Speaker A: Et si vous voulez les gagner, je ne vous demande rien de plus que de m'envoyer un e-mail, voilà, avec vos références, votre nom et prénom de préférence. Pour vous mettre sur liste, c'est mieux, à pierre.resles.com. Et si vous êtes gagnant, vous serez averti. Si vous ne l'êtes pas, je n'envoie pas des e-mails aux gens qui ont perdu. Je ne me fais pas chier non plus.
[03:06:39] Speaker D: Voilà.
[03:06:40] Speaker C: Tu crois pas ?
[03:06:41] Speaker A: Non, ça se saurait.
[03:06:42] Speaker D: Voilà.
[03:06:45] Speaker A: Et puis alors...
[03:06:45] Speaker C: Tu sais, les gens, ils regardent l'émission, ils voient bien.
[03:06:48] Speaker A: J'ai envie de chier.
[03:06:49] Speaker D: Moi j'ai envie de chips.
[03:06:52] Speaker A: On peut s'arranger.
[03:06:55] Speaker D: J'ai mangé des cornflakes. Par ici les crustilles !
[03:06:59] Speaker A: Du coup je vais passer un petit clip de Suicide Silence parce que je me dis qu'un petit peu de légèreté.
[03:07:03] Speaker D: De finesse, c'est pas mal.
[03:07:05] Speaker A: Le soleil commence à être un peu tard donc les gens vont peut-être s'envoler, s'accrocher au plafond, peut-être se libérer de quelque poids que ce soit.
Je ne parle pas de caca encore une fois, c'est parti dans le point spirituel.
[03:07:15] Speaker C: Même si souvent tu ne me parles que de ça, là non.
[03:07:17] Speaker A: Je n'ai pas de passion au caca. Mais du coup, je vais passer Thinking.
[03:07:20] Speaker D: In Tongues, qui n'a rien à voir avec le fait de réfléchir avec des tongs. Les grands philosophes ne sont jamais en tongs.
[03:07:26] Speaker C: Non, parce qu'ils étaient en sandales.
[03:07:28] Speaker A: Mais ce n'est pas des tongs.
[03:07:31] Speaker D: Non. Ce n'est pas des Birkenstocks non plus.
[03:07:34] Speaker C: Non, c'est du bois de sandales.
[03:07:36] Speaker D: Bon allez, et voilà, donc si vous voulez jouer, pierre.arobas16.com.
[03:08:07] Speaker B: J'en ai marre, putain ! J'ai mis moi-même dans l'escalier J'ai poussé le point de règle, le contrôle total Désolé, le goût du désolation présente un désastre Je veux mourir, je veux mourir J'ai pas eu le temps de le faire It's fucking sad and the stakes are too high And the air running low is just fucking heavy C'est la fin du monde ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org BANG BANG ! C'est ça qui va te faire fière, pas besoin d'être si fort comme nous, on peut le faire. Ne t'attends pas trop longtemps, j'ai mon pouvoir, on peut le faire.
J'ai l'impression d'être à l'intérieur, mais j'ai l'air si fatigué, je continue de bouger Mon âme m'envoie en haut, je ne peux pas me libérer du désir, mais je peux le faire CAUSE I'M A BETTER OFF DEAD C'est parti ! C'est la fin !
[03:15:54] Speaker A: Est-ce que c'était avec un accent ou est-ce que c'était avec un vrai mot français ?
[03:15:57] Speaker D: C'est juste une voix mignonne.
[03:15:59] Speaker A: J'ai entendu des bisous dans le cul moi.
[03:16:00] Speaker D: Dans le cou ! Tu connais Garcimorme ? On a 7000 ans.
[03:16:11] Speaker A: C'était donc bien sûr bad situation que vous avez eue, si vous les reconnaissez pas. Moi je trouve que c'est plutôt une bonne situation.
[03:16:20] Speaker C: Après c'est ce qu'on dit Pierre, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise situation.
Non mais c'est tout, je ne la connais pas celle-là.
[03:16:31] Speaker A: Merci d'avoir accepté l'invitation, merci d'avoir pris du temps et puis merci de faire de la musique.
Parce que mine de rien, c'est grâce à toutes ces personnes qui font de la musique que nous passons de bons moments et qu'on peut aussi l'adapter à notre état psychologique, à notre état mental et à notre état physique. Donc ça fait beaucoup. C'est ça qui fait aussi vibrer toute l'humanité. Donc bravo, je vous félicite. Merci beaucoup. L'album est très bon.
Ça devrait fonctionner. Je vous souhaite que les médias soient avec vous. Ce n'est pas le truc le plus simple, mais je pense que vous avez de bonnes personnes aussi avec vous.
[03:17:10] Speaker E: Je pense que là, c'est la première première interview par rapport à l'album qu'on fait. Et franchement, là, si on commence avec vous, déjà, on est très content. En plus de ça, ça annonce que des belles choses.
[03:17:22] Speaker A: On va vous aider.
[03:17:24] Speaker E: Depuis le temps que je regarde l'émission, alors j'ai vu Rise, j'ai vu avec Buco, j'ai vu avec Plemo, j'ai vu... J'en ai vu plusieurs. Surtout les petits extraits, avec les princesses.
[03:17:35] Speaker D: Leia, etc.
[03:17:38] Speaker E: Bah je me suis dit ouais c'est vraiment très cool cette émission là pour ceux qui ne savent pas ça faisait déjà un petit moment qu'on voulait faire un truc ensemble et là on attendait nous d'avoir des choses à raconter et puis je voulais pas le faire tout seul en tant que dealer de métal mais vraiment partager le truc avec Lucas donc merci pour nous avoir libéré ce créneau là quoi.
[03:17:59] Speaker A: Ah bah super, on congratule tous.
[03:18:05] Speaker C: Pendant qu'on est dans le moment émotion, je voudrais quand même te féliciter aussi pour ton activité de dealer de métal.
[03:18:09] Speaker E: Merci beaucoup.
[03:18:10] Speaker C: Parce que... Alors déjà c'est un truc qui... Quand j'ai découvert dealer de métal, enfin la chaîne je veux dire, Ce que je trouvais génial, c'était ta phrase d'accroche, parce que c'est ce qu'on disait, enfin, c'est ce qu'on dit, nous, Restless, on disait tous les rock sont sur Restless, et j'adorais parce que toi tu dis, la chaîne qui parle de rock et de métal, c'est dérivé, et je trouve ça vachement bien parce que c'est très large, et nous c'est ce qu'on essaie de défendre avec Restless, alors moins dans Bang Bang où on est quand même plus métal, mais c'est vrai que c'est, enfin, on remarque qu'on passe beaucoup de trucs Oui, mais alors on est intro hip-hop, voilà.
[03:18:48] Speaker D: Voilà, on est sorti totalement du truc.
[03:18:51] Speaker A: C'est juste que bon, après, les gens, ils font chier toujours à dire non, mais ça, c'est pas du rock, ça, c'est pas du bon truc.
[03:18:56] Speaker D: C'est dans la famille rock, voilà.
[03:18:58] Speaker C: Le rock, c'est un état d'esprit.
Exactement. Et du coup, je voulais te remercier pour... Tu aides les gens à se libérer, à découvrir cette musique, à se dire qu'ils ont le droit d'aimer ça, parce que voilà, en France, il n'y a pas beaucoup de gens qui le font et tu le fais bien et ça marche. Et du coup, félicitations.
[03:19:13] Speaker E: Ça fait extrêmement plaisir. Merci beaucoup.
[03:19:16] Speaker C: Voilà, c'est bon, on a fini ce.
[03:19:17] Speaker A: Sujet, on peut... Oui, je désamorce toujours.
[03:19:22] Speaker C: Un petit peu parce qu'on est des hommes, on n'aime pas trop...
[03:19:25] Speaker E: Le testostérone, et parce qu'on n'a pas de sentiments !
[03:19:28] Speaker C: On ne peut pas dire des choses...
[03:19:29] Speaker D: Moi je me rappelle au second âge.
[03:19:30] Speaker E: J'Ai une histoire, attends...
[03:19:33] Speaker D: Bon alors, juste.
[03:19:34] Speaker A: Je rappelle, le 29 mars sortira votre album Bad Situation. Il y aura bien évidemment le lendemain ce concert un peu release party à la boule noire qui est quasiment complet. Donc il faut absolument vite vous jeter sur les toutes dernières places et puis dire à vos amis de venir avec vous parce que ça va être une grande grande fête avec justement un bon moment où là ils vont se dire ça y est là on est dans l'accomplissement, ça y est ça se passe.
Et puis ce sera toujours bien de les voir au tout début du set en train de se chier un peu dessus.
Il est encore heureux parce que sinon ça voudrait dire que vous n'en avez rien à foutre. Et puis voilà, après il y a les tournées et comme il en est, à la fin de l'année, enfin à partir de septembre, il y aura pas mal de nouvelles donc il faut rester accroché à leurs réseaux sociaux comme ça vous ne pouvez rien louper et vous allez passer forcément un moment plein d'énergie qui va vous revigorer. Je trouve que c'est un peu le rôle de votre musique. Quand on sort, on est crevé. Par contre, on est reparti pour un tour. On peut tenir, on est solide après.
[03:20:33] Speaker C: Au moins jusqu'à 17h.
A 10h le lendemain, sans dormir.
[03:20:37] Speaker D: Et ça c'est beau. Y'a pas beaucoup de choses qui peuvent... La musique c'est quand même moins dangereux que le reste.
[03:20:42] Speaker E: Après je peux même annoncer une exclue pour Restless là maintenant tout de suite.
[03:20:47] Speaker D: What ? À la fin ?
[03:20:49] Speaker E: Parce que du coup, ouais pour voir ceux qui sont restés jusqu'à la fin.
[03:20:52] Speaker D: Pour le watch time.
[03:20:54] Speaker E: En fait, on a le 29, la sortie de l'album, le 30, la boule noire, mais le 28, pour celles et ceux qui ne peuvent pas se payer la place de concert, pour celles et ceux qui ont envie de passer juste un moment avec nous, on fait une écoute en avant-première de l'album au Dr.
[03:21:08] Speaker D: Feel Good sur Paris.
[03:21:10] Speaker E: Et on a fait venir des gens pour faire un petit peu de chansons, des petits sets acoustiques, etc. On sera là, on paie les petits fours, on écoutera l'album et on fera gagner des places.
[03:21:20] Speaker D: Les toutes dernières.
[03:21:22] Speaker C: Très bonne idée, très bonne initiative.
[03:21:24] Speaker F: C'est le temps de pouvoir vraiment discuter avec tout le monde, prendre le temps.
[03:21:27] Speaker A: Ne essayez pas de comprendre ce que.
[03:21:28] Speaker D: Je dirais ce jour-là.
[03:21:30] Speaker A: Pourquoi Chris pense à moi ?
[03:21:31] Speaker D: Ah ouais grave, on commencera après 17h.
[03:21:37] Speaker A: Bon en tout cas très cool, le 28, on va noter et puis on le redira de toute façon, on ne s'en privera pas. On va se quitter avec votre dernier choix.
qui passe en concert d'ailleurs à l'Olympia, si je ne dis pas de bêtises, et à l'île, je crois, bon je ne sais plus, il y a deux dates en France. Je vous laisse checker, c'est au mois de juin, Turnstyle.
[03:21:58] Speaker D: Parce que c'est... Parce que c'est les vacances.
[03:22:06] Speaker E: Pourquoi ce choix, Lucas ?
[03:22:07] Speaker F: Parce que c'est toi qui m'a fait découvrir une claque monstrueuse. Et les clips, je trouve la direction artistique elle est mortelle.
[03:22:14] Speaker A: Alors il est chelou le clip de ce... On est là on se dit, qu'est-ce qu'il fait lui ? Il le frappe le bobo ?
[03:22:21] Speaker E: Et en plus on n'a pas mis la version longue, le turnstile love connection de 17 minutes. On s'est dit on va prendre que l'extrait de 4 minutes.
[03:22:27] Speaker A: J'espère que j'ai pris le bon.
[03:22:30] Speaker E: Mais pour parler de propagande, Turnstyle ça a été la giga propagande je pense de tout mon entourage de ces... Simon il rigole derrière parce que c'est actuellement son fond d'écran alors qu'il ne connaissait pas Turnstyle. Mais je suis vraiment très fier d'avoir fait découvrir ce groupe à pas mal de gens.
et d'autant kiffer et de voir que c'est un groupe qui est en train de...
[03:22:51] Speaker A: Ils sont pas tous jeunes donc...
[03:22:53] Speaker E: Exactement, donc non c'est très très cool et puis comme on disait, on l'a choisi parce qu'on a tourné un clip hier et on a essayé de faire des plans, on s'est dit comment Turnstile pourrait faire un clip un peu stylé, un peu instagrammable.
[03:23:06] Speaker C: Donc vous avez tourné Style.
[03:23:08] Speaker A: Exactement, mais à deux.
[03:23:10] Speaker E: Mais voilà donc ouais c'est très cool et puis ce titre là dans l'album c'est mon préféré.
[03:23:14] Speaker A: Ouais c'est un... Ah bah celui-là c'est la fête.
[03:23:16] Speaker D: Ouais.
[03:23:16] Speaker A: C'est-à-dire que là dès que tu le mets là pareil c'est... T'as juste envie de sauter dans tous les sens et puis de... Tu perds prise.
[03:23:23] Speaker F: C'est vraiment un titre... Ils ont compris la formule. Il y a tout qui va bien, tout est bien dosé et tu te le prends en pleine tronche.
[03:23:28] Speaker D: C'est un tube. C'est incroyable. Et puis tout le monde peut l'écouter. Oui.
[03:23:32] Speaker A: Alors que ça reste quand même... Ainsi le musique n'est pas écoutable par tout le monde. On y va ? On balance le temps de style et puis on se dit quelques mots. J'ai des trucs très importants à vous dire.
[03:23:41] Speaker B: Alors restez ! And I can sail with no direction And I can sail with no direction Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org c'est C'est la première fois que j'ai fait ça. C'est la première fois que j'ai fait ça.
Swaying like there's no ceiling And my fingertips on sky Swaying like there's no ceiling And my fingertips on sky Swaying like there's no ceiling And my fingertips on sky Swaying like there's no ceiling.
[03:33:03] Speaker C: Quoi Pierre, on laisse pas jusqu'à la fin les crédits ?
[03:33:04] Speaker A: Bah bravo, bel hommage aux équipes techniques.
[03:33:08] Speaker D: T'es quoi ?
[03:33:13] Speaker A: Je voulais juste, alors ça s'appelle Goujoué, voilà.
[03:33:16] Speaker C: Alors Goujoué qui à la base c'est un groupe beaucoup plus hardcore.
[03:33:20] Speaker A: Oui mais qui a viré un petit peu plus gros.
[03:33:22] Speaker D: Ouais voilà, c'est pas dégueu.
[03:33:29] Speaker C: De toute façon, après le hardcore de feu de plancher...
[03:33:38] Speaker A: Toutou en délicatesse et en poésie.
[03:33:39] Speaker C: Surtout, continuez à rendre le hardcore plus mou.
[03:33:42] Speaker A: N'hésitez pas à dire à vos amis de nous rejoindre sur notre page Twitch. Comme ça, tous les dimanches, ils pourront vivre un live Twitch exceptionnel avec des mots doués de la fierté, de la bienveillance, des jugements modérés.
et surtout tempérer et justifier.
[03:34:01] Speaker C: Voilà, c'est ça, de la merde.
[03:34:02] Speaker D: Pourquoi ? Parce que c'est de la merde. J'en suis en train de poser des questions moi.
[03:34:10] Speaker C: Faut bien rigoler un petit peu.
[03:34:11] Speaker A: N'hésitez pas à nous rejoindre sur les réseaux sociaux, on leur dit Bad Situation, allez donc taper ça partout et vous faites un petit j'aime, un petit je-ne-sais-quelle-merde.
[03:34:18] Speaker C: Voilà, donnez de l'argent.
[03:34:20] Speaker D: Envoyez-nous des chèques et donnez des dons à l'Arc.
[03:34:26] Speaker C: Envoyez les Sioux.
[03:34:29] Speaker A: J'avais envie qu'on discute quand même d'un petit truc.
de ce concert de Poppy. J'ai gardé Bad Omens à la fin, puisque comme on leur chie la gueule... Alors du coup, ça on n'en parlera pas, parce que ça sert à rien d'être méchant contre Bad Omens, même si.
[03:34:47] Speaker D: Tu as vu le concert.
[03:34:49] Speaker A: Mais Poppy, c'était comment ?
[03:34:51] Speaker C: Alors, Poppy, c'est une expérience... Je suis content de l'avoir vue, parce que depuis le temps que j'écoute Poppy... Depuis les tutos make-up ? Non, elle n'a jamais fait de tuto make-up. Enfin, si, il y a une vidéo, mais qui était un truc un peu bizarre. Non, mais moi, vraiment...
[03:35:05] Speaker D: Elle fait que des trucs bizarres !
[03:35:09] Speaker C: J'ai découvert Poppy, elle avait deux vidéos sur YouTube.
[03:35:11] Speaker E: C'est bon, ça.
[03:35:12] Speaker C: Donc, c'était vraiment... I'm Poppy !
[03:35:15] Speaker B: I'm Poppy !
[03:35:15] Speaker C: 10 minutes de ça.
[03:35:16] Speaker A: Cet homme est dérangé.
[03:35:17] Speaker D: Et je trouvais ça génial.
[03:35:20] Speaker C: Et d'ailleurs, j'ai aussi écouté son EP qui n'existe plus. Parce qu'elle a sorti un EP qu'on ne peut plus trouver nulle part. Il a été supprimé de...
Il a été effacé avant qu'elle fasse du métal. Alors Poppy en live... Qu'est-ce que je peux dire ?
[03:35:36] Speaker A: Non mais t'as passé un bon moment malgré tout.
[03:35:38] Speaker C: J'ai passé un bon moment après...
[03:35:40] Speaker D: Alors...
[03:35:41] Speaker A: Dis d'abord le truc positif.
[03:35:44] Speaker C: Déjà, j'étais agréablement surpris de découvrir qu'elle chantait quand même en live. Parce que j'avais un peu peur que ce soit que des bandes. Et non, elle chante vraiment.
sûrement pas tout, mais elle chante. Il y a deux musiciens avec elle, il y a un guitariste, un batteur, et ça joue bien. Bon, le guitariste a fait un ou deux pins, mais bon, on peut pas lui engouler. Voilà, ça arrive. Présence scénique plutôt cool. Elle arrive à garder ce truc de meuf chelou, mais en même temps à bouger et que ce soit pas nul. Il y a un morceau, elle joue de la basse, il y a un morceau, elle joue avec un Moog.
Donc voilà, elle a fait un effort pour rentrer dans les codes de la scène parce qu'on se doute bien que si elle fait pas ça, les gens vont faire « ouais mais c'est qu'une meuf qui est bonne et puis elle sait rien faire », voilà, donc elle joue le jeu pour... Voilà, après...
Grosse scène, c'était à la salle Playel, en première partie de Bad Omens, avec un public qui n'était pas du tout conquis.
[03:36:48] Speaker A: Qui ne savait même pas qui était Poppy.
[03:36:50] Speaker D: Quand bien même il y a un morceau.
[03:36:55] Speaker C: Mais du coup très peu de réaction, il y a à peu près 5 personnes qui ont levé les bras quand elle a demandé de bouger les bras, enfin tu vois c'était un peu Tristoun quand même. Pas d'ambiance, les gens connaissaient pas les morceaux tout ça. Moi j'ai croisé des gens qui me font, je dis ah moi je suis là pour Poppy, ils me font ah la première partie pourrie là, le truc de merde.
Les morceaux sont quand même pas mal.
En plus, elle a fait un peu de tout. Il y avait des titres un peu plus grungy, notamment celui de la basse, mais aussi des trucs un peu plus anciens où c'est un peu plus barré. Et c'est drôle parce que ces gens-là, donc c'est des gens que je connais, qui ont dit ça. Après, ils étaient tous là pour Bad Omens.
Bah Bad Omens c'était la folie, les gens étaient là, y'a les culottes qui volaient, enfin je... j'exagère à peine. Et ce qui est drôle c'est que ces gens qui ont... qui m'ont dit que Poppy c'était de la merde, quand ils ont posté des stories et qu'ils ont mis des sons, ils ont mis la chanson avec Poppy de Bad Omens. Et du coup j'ai fait ah bah finalement apparemment...
ils ont découvert qui c'était et puis ils ont bien aimé.
[03:38:03] Speaker E: Elle est revenue après ?
[03:38:06] Speaker D: Non, elle est revenue. Elles n'ont pas fait le lien.
[03:38:12] Speaker C: Elle revient sur scène pour faire le feat.
[03:38:15] Speaker E: Et c'est là où les gens comprennent en fait.
[03:38:17] Speaker C: Je ne sais pas quand ils ont compris, mais j'ai trouvé que le jugement était fort. Pour des gens qui se disent, parce que les fans de Ben Omen se disent quand même très ouverts d'esprit, Et au final j'ai l'impression qu'ils sont encore plus sectaires que les gens qui traitent de sectaire.
[03:38:31] Speaker A: Alors souvent les gens qui disent excessivement qu'ils font quelque chose, c'est qu'ils sont l'inverse. En règle générale. Juste il y a Pengrim qui dit, et Poppy la Presta, combien sur l'échelle de Aya Nakamura ?
[03:38:44] Speaker C: Je pense personnellement que je dirais qu'elle éclate Aya Nakamura. Parce qu'elle, au moins il y a un moment où elle chante en vrai.
[03:38:53] Speaker A: Sinon on a vu aussi le concert de Sainte-Agnès, je fais juste un petit bref là-dessus. Sainte-Agnès qui est juste extraordinaire, elle dégage un truc je trouve extraordinaire. Des chicots d'anglaise. Tout le monde ne peut pas manger correctement une salade.
[03:39:11] Speaker C: J'ai jamais vu ça comme ça mais.
[03:39:12] Speaker D: Ça prend tout le sens.
[03:39:13] Speaker C: C'est pour ça qu'ils mangent que du poisson frais et des frites.
[03:39:17] Speaker A: Mais elle est incroyable, l'énergie hyper punk, le côté indus, c'était vraiment présent, et elle est souriante de ouf.
[03:39:26] Speaker C: Tu sais quoi ? C'est en live que j'ai découvert cette grosse influence d'Anne Hinschnells, qui me semble maintenant, quand j'écoute l'album, ça me semble évident, et je me suis dit c'est dingue que je ne m'en sois pas rendu compte avant.
[03:39:40] Speaker D: On en avait parlé. Comme quoi, même quand on ne prend pas de drogue, on peut perdre la mémoire.
[03:39:44] Speaker C: Ça ne devait pas être avec moi.
[03:39:46] Speaker A: Oui, c'est ça, c'est ça.
[03:39:48] Speaker C: Pourquoi tu touches le nez comme ça ?
[03:39:49] Speaker D: Parce que c'était hier soir, ça a duré longtemps.
[03:39:52] Speaker C: Avec la Kim.
[03:39:54] Speaker A: C'est Kim, elle m'a tout mis dans le pif. Et puis voilà, très très bon concert, je vous conseille vraiment d'aller voir. Elle sera au Hellfest, ils sont, parce.
[03:40:01] Speaker E: Que c'est vrai qu'ils sont trois.
[03:40:03] Speaker A: Mais il me semble qu'ils sont au Hellfest.
[03:40:04] Speaker C: Ils sont même quatre.
[03:40:06] Speaker A: Ah c'est vrai qu'ils sont quatre.
[03:40:07] Speaker D: La bassiste elle est très discrète.
[03:40:12] Speaker A: Mais elle est derrière.
[03:40:15] Speaker C: La bassiste est vraiment, vraiment minuscule. Elle est toute fine, toute... Par contre.
[03:40:24] Speaker A: Elle envoie... Surtout, je pense que si tu lui dis coucou, elle te fait un coup de tête direct. Franchement, un bon coup de basse dans le nez, paf !
[03:40:31] Speaker D: Je pense qu'elle est capable.
[03:40:33] Speaker C: Je conseille vraiment à tout le monde d'aller voir Sainte Agnès, c'est ouf.
[03:40:36] Speaker A: Et puis si vous connaissez pas, d'aller écouter bien sûr sur... Je pense que ça va devenir... Ça peut devenir gros. Après il y a un vrai côté choupie qui fait que je me dis que ça peut porter préjudice.
[03:40:44] Speaker C: Non. Je pense qu'elle envoie les gens chier.
[03:40:48] Speaker D: D'accord.
[03:40:49] Speaker A: Sinon, Kim Wilde, je l'ai dit, mais Kim Wilde c'était incroyable. Il avait une moyenne d'âge de... 65 ans.
[03:40:55] Speaker E: 65 ans je pense.
[03:40:56] Speaker D: Non, peut-être 55. J'avoue, peut-être 55. Non, non, 5. Ouais.
[03:41:03] Speaker A: Et il y avait quand même des jeunes. Je parle pas de moi, des vrais jeunes.
[03:41:06] Speaker D: C'était ses enfants.
[03:41:08] Speaker C: Ses petits-enfants.
[03:41:09] Speaker A: Ah non, sa nièce sur scène. Elle a sa nièce sur scène qui fait les backing vocals. Et elle en fait des lancers de gens.
[03:41:15] Speaker D: Tout est kitsch.
[03:41:16] Speaker A: C'est-à-dire qu'autant qu'il m'oie, tu dis que c'est censé être kitsch. Après, elle a des trucs de vieilles. Elle fait des pas de danse comme si elle était à un mariage avec tonton qui a trop bu.
[03:41:26] Speaker C: Est-ce qu'elle fait le pas un peu à la Tina Turner ?
[03:41:28] Speaker D: Elle fait un peu ça, mais elle.
[03:41:30] Speaker C: Le fait aussi un peu devant.
[03:41:31] Speaker D: C'est comme ça.
[03:41:35] Speaker A: Et puis à l'incorsé, je pense qu'il y a du gigot d'agneau dessous, on emboîte.
[03:41:39] Speaker C: Il y a une promo sur la ficelle.
[03:41:43] Speaker A: Non mais j'ai beaucoup de respect pour elle.
[03:41:47] Speaker D: Ça s'entend ?
[03:41:48] Speaker A: Attends, t'es comme un corset qui te sert, tu te viens comme ça et tu chantes toujours méga juste avec une voix de ouf pendant deux heures. Hein ?
[03:41:55] Speaker D: Fais-en autant ?
[03:41:56] Speaker E: Je pensais à Axel Rose moi.
[03:41:59] Speaker A: Axel Rose, si tu lui mets de la ficelle, carrément le jambonneau il éclate. Pour tout le monde, tu mets du fromage et des gradins dedans.
[03:42:06] Speaker D: Qui fait ça ? Axel ! Axel Red ?
[03:42:12] Speaker A: J'aime, j'aime, t'sais c'est bon. Voilà, c'est tout ce dont je voulais parler. N'oubliez pas de... De nous suivre sur.
[03:42:19] Speaker C: Le réseau, le replay, l'Instagram, tout ça.
[03:42:23] Speaker A: De nous insulter en commentaire, c'est très important.
[03:42:26] Speaker C: Allez tout liker, on vous aime, merci. Faites des dons. Continuez à bien critiquer tous les efforts qui sont faits pour cette scène, vraiment. Ne leur rendez pas la tâche facile, s'il vous plaît. On veut avoir une raison de... Un petit peu de résistance.
[03:42:43] Speaker D: On veut des murs.
[03:42:44] Speaker A: C'est ça.
[03:42:45] Speaker C: Sinon c'est trop simple. Parce que sinon, pour nous, c'est trop facile.
[03:42:49] Speaker D: On est là sur une autoroute dorée, on est là...
L'échec de 20 000, mais amenez-les ! Pas assez ! Excuse-moi !
[03:42:58] Speaker C: On veut souffrir un peu, on veut souffrir.
[03:43:00] Speaker A: Bon, voilà, donc faites votre devoir.
[03:43:04] Speaker D: Vive le rock, vive l'alternative rock, mais.
[03:43:06] Speaker A: On va se quitter quand même avec un Kim Wilde, et puis le UKM parce que j'ai l'impression que c'est le moment où on va tous venir.
[03:43:11] Speaker D: Bonne nuit, bonne semaine, profitez bien, et puis bon courage surtout pour le travail.
[03:43:15] Speaker A: C'est de la merde, mais vous verrez.
[03:43:17] Speaker D: Après, il y a des sous.
[03:44:29] Speaker B: C'Est Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Un pour le caillou.
[03:46:50] Speaker D: Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir.
[03:47:09] Speaker A: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon... N'hésitez pas à vous abonner !