#59 - Guillaume (MVCDLM) en invité

Episode 59 September 13, 2024 03:32:44
#59 - Guillaume (MVCDLM) en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#59 - Guillaume (MVCDLM) en invité

Sep 13 2024 | 03:32:44

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Show Notes

Mais qui est notre invité : Guillaume (MVCDLM) ? C’est un directeur artistique, un graphiste et surtout un personnage public sur X depuis fort longtemps ! Il aime la musique ROCK et l’humour. Repéré par plusieurs magazines et grands sites internet pour ses galéjades et son second degrés. Ben, Didier, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission). BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur...
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Episode Transcript

[00:00:14] Speaker A: BANG ! BANG ! [00:00:16] Speaker B: Bienvenue à vous toutes et à vous tous, le meilleur du métal et de l'alternative rock, c'est tous les dimanche soir en live Twitch. Et j'espère que vous avez passé un bon week-end, que vous avez savouré votre semaine de travail. Qu'est-ce que c'est bon. Mais là, c'est dimanche soir, on est tranquille, on a mis les enfants au lit et on est heureux de se retrouver pour parler musique. Et que vois-je ? Ce n'est pas Ben qui est à côté de moi ? [00:00:36] Speaker C: Non. [00:00:36] Speaker D: Enfin si, je suis Ben. Mais j'ai un peu changé. Je suis passé aux Etats-Unis. [00:00:41] Speaker C: T'as coupé la barbe, c'est ça ? [00:00:42] Speaker D: Exactement, j'ai raccourci la barbe. [00:00:44] Speaker B: Ben est parti aux Etats-Unis, il faut le dire, Ben n'est pas là, alors c'est pour ça qu'on est un peu en retard, c'est pour ça que ça peut être la catastrophe d'un moment à l'autre, parce qu'il n'y a que Ben qui sache faire les choses totalement correctement, systématiquement. [00:00:56] Speaker D: Il n'y a que Ben qui sache faire du Ben. Nous on essaie de faire du Ben, nous ne sommes que des ersatz, nous ne sommes que des pâles imitations. [00:01:03] Speaker B: C'est-à-dire qu'on aimerait bien atteindre la perfection, mais bon, c'est pas grave. En même temps, on passe du métal. Je vais me faire crier dessus par tous les fans. Non, non, j'espère que vous allez bien. Ce soir, bien sûr, vous le savez, nous allons avoir un invité, un invité qui sait dessiner, un invité qui sait rigoler, un invité qu'on trouve beaucoup sur Internet et qui dit des choses, bon, on en parlera un petit peu après. C'est Guillaume, alors il faut que je réussisse à le dire, MVCDDLM. [00:01:30] Speaker D: Dans cet ordre-là. [00:01:31] Speaker B: Voilà, parce qu'il me l'a répété 600 fois parce que je lui ai dit tu peux me redire en vocal s'il te plaît ? Mais un vocal sur WhatsApp, un vocal sur Messenger et un vocal par SMS, sinon je comprends pas. [00:01:40] Speaker D: Au pire, tu sais quoi ? Le fil rouge de l'émission ça va être toi qui me donne des coups de coude et c'est moi qui dis MVCDLM à ta place. [00:01:45] Speaker B: Je pense qu'on va faire comme ça. Je l'appellerai Guillaume, je pense qu'il sera d'accord. On va faire comme ça. [00:01:50] Speaker D: C'est une autre solution. [00:01:50] Speaker B: Je pense que ce sera beaucoup plus simple. Bien sûr, nous aurons Didier qui va être là aussi tout à l'heure pour nous faire un point sur l'actualité. On parlera de beaucoup de choses. Je vous l'ai dit aussi, nous allons critiquer le tout nouveau Linkin Park. Je nous réserve un petit moment spécial pour ça, parce que je pense que chacun d'entre nous a son petit mot à dire. Je pense que c'est Didier qui sera le plus méchant mais après on verra ce que Guillaume en dit parce que je ne le connais pas assez. [00:02:13] Speaker D: Qu'est-ce qu'on sait ? Nous ne connaissons pas encore le niveau de méchanceté de notre invité, attention. [00:02:19] Speaker B: Je pense qu'il sait être piquant mais marrant en même temps et ça on verra. Je lui mets la pression parce qu'il est juste assis là en fait. [00:02:26] Speaker D: Il attend son tour, donc du coup on est en train de... Putain, les salauds ! [00:02:30] Speaker B: Je dois faire tout ça, merde ! On est en train de faire monter la mayonnaise, là. J'adore la mayonnaise, vous le savez. Par grande gorgée. Voilà. [00:02:41] Speaker D: Qu'il est dur d'être à la place de Ben. [00:02:43] Speaker B: Bref, je vous rappelle aussi que vous pouvez nous rejoindre sur YouTube pour voir les VOD, il suffit de vous abonner, ça nous fait plaisir, on a dépassé les 3600 abonnés, donc c'est hyper cool, merci beaucoup, des petits cœurs, des petits cœurs. Sur Twitch, nous arrivons à 1800 aussi, il me semble, et puis nous sommes près des 4000 sur TikTok, donc on monte doucement. On compte sur vous pour en parler autour de vous. [00:03:05] Speaker D: – Reste la petite chaîne qui monte malgré le silence des médias. [00:03:08] Speaker B: Et bien que personne ne parle de nous. C'est pas grave, c'est pas grave. Bon, on va passer des clips aussi, c'est le principe de cette émission, si vous ne connaissez pas encore. Et j'ai choisi, bon Ben est pas là, donc je me suis fait 2-3 petits plaisirs, j'en profite quand le chat n'est pas là. [00:03:22] Speaker D: La commande en tournée n'est plus là, donc monsieur... [00:03:26] Speaker B: Je me suis dit, est-ce que je passe un corne ? Qu'est-ce que c'est qui est tombé ? [00:03:30] Speaker D: C'est un micro là-bas. [00:03:32] Speaker B: Est-ce que je passe un corne pour ouvrir parce que je suis un salopard ? Mais non, je me suis dit, j'ai encore mieux. J'ai encore mieux, j'ai une... Alors, c'est peut-être méchant ce que je veux dire, une parodie ? pas comme ça qu'on dit, la version européenne de Korn. C'est des Suisses, c'est K-O-C-E-U-M. Ils viennent de sortir un tout nouveau clip qui s'appelle Freakin' Head. Voilà, je remercie encore une fois, je lui fais tout le temps un bisou, mais Brandon qui habite du côté de l'Alsace et qui fait Alternative News, puisque c'est grâce à lui que j'ai pu voir ce clip et savoir qu'ils en avaient sorti un, je pense que c'est un clin d'œil de sa part. Voilà. C'est... On va parler sûrement de The Crow aussi à un moment, donc il y a du maquillage, il y a une mise en scène. Après bon, je laisse à chacun... [00:04:17] Speaker D: En tout cas, moi je ne connais absolument pas Chaos et Homme, donc... Ça. [00:04:22] Speaker B: Se voit que tu te concentres bien pendant l'émission, toi. Oui, tout à fait. [00:04:25] Speaker D: Moi tu sais, à part le prog, je retiens rien. [00:04:28] Speaker B: Bah c'est sûr que si t'aimes pas, c'est que t'as pas dû aimer alors ! Non mais cette chanson elle est très bien, c'est juste que c'est vrai que les mises en scène font penser beaucoup trop aux années 90, c'est pas le meilleur. Attention, j'aime bien le groupe, parce que s'ils viennent de Suisse jusqu'ici, je sais qu'ils ont beaucoup d'argent, ils peuvent acheter des armes ces gens-là. On y va ? On commence ? Allez c'est parti pour Bang Bang, le meilleur du métal avec Khaosé, I'm freaking head ! Ah ah ah ah ah J'ai trouvé moi-même seul dans mon esprit. [00:05:41] Speaker A: Je vais m'en occuper. [00:06:26] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:07:03] Speaker A: Sous-titres. [00:07:03] Speaker B: Réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:07:47] Speaker A: C'est parti ! C'est parti ! C'est la fin du monde ! C'est la fin du monde ! [00:10:01] Speaker B: No grief, no error. [00:11:21] Speaker E: La vie, la. [00:11:21] Speaker A: Vie, c'est la vie, la vie Aïe ! [00:12:28] Speaker B: BANG BANG à l'instant donc avec les voitures tu peux t'asseoir comme quoi normalement t'as Alors dans le studio j'ai justement bien traduit très rapidement, parce que tu peux le mettre dans le coin de... et je pense que je l'ai puni le pauvre. Ce que nous venons de regarder à l'instant comme clip, ce sont des français, ça s'appelle Resolve, et avec le clip Molotov qui vient tout juste de sortir cette semaine, encore une chanson qui à mon avis va faire briller la France à l'étranger, une chanson qui est plutôt efficace, je dirais pas jusqu'à dire originale, mais en tout cas, elle rentre dans la tête, elle est bien faite, et puis c'est... [00:13:02] Speaker D: C'est du metalcore quoi. [00:13:02] Speaker B: Voilà, c'est très très... Ne commence pas à faire en sorte qu'on ait des embrouilles avec tous les gens qui nous regardent. Alors juste avant, je tenais à dire qu'effectivement, il y a plein de références à Korn aussi dans ce clip, puisqu'on a vu qu'ils étaient avec un drap et de la lumière qui passait à travers des trous. Ça nous rappellera le Freak on a leash, tout à fait. Et que puis-je dire maintenant ? Alors attention, parce qu'il ne faudra pas que tu oublies d'ouvrir son micro avant quand ça va être à nous. Mais là c'est... C'est l'heure du Flash Bang News ! C'est le running gag perpétuel. Comment vas-tu Dino ? [00:14:05] Speaker E: Ça va, ça va. [00:14:07] Speaker B: Il y a beaucoup de news cette semaine ? [00:14:08] Speaker E: Plein de news et bien évidemment dans ce Flash Bang News je ne parlerai pas de Linkin Park parce qu'on en parlera peut-être plus longuement après. [00:14:18] Speaker B: D'autant que tu vas nous accompagner tout. [00:14:19] Speaker E: Au long de l'émission. Oui, ce soir je reste jusqu'au bout. On va commencer avec une petite news slipnote. Encore ? En même temps, normalement, Sleep Note... Oui, c'est toutes les semaines. C'est Corey Taylor qui cogne le pic, qui s'est fait mal, Corey Taylor qui s'est envoyé avec quelqu'un, Corey Taylor qui décide, donc voilà. Donc là, pour une fois, alors, il y aura double dose, mais vous verrez, donc là, c'est Clown qui, du coup, en interview, a salué le triomphe de Gojira aux Jeux Olympiques et qui a exprimé son désir, bah du coup il fait putain en 2028 à Los Angeles, nous on est grave chaud pour y aller ! [00:14:59] Speaker B: Ah ouais le mec il a carrément. [00:15:01] Speaker E: Saisi le caso pour dire coucou ! [00:15:06] Speaker B: Mais ils sont pas de Los Angeles, ils peuvent pas jouer ! Bah non, mais c'est quand même un peu le principe. À la France, voilà, ils sont californies, peut-être ? [00:15:15] Speaker D: C'est-à-dire les Landes, c'est un peu notre. [00:15:17] Speaker B: Iowa à nous ? [00:15:19] Speaker E: C'est vrai que c'est un peu la coumcoum. [00:15:25] Speaker B: On adore bien sûr ce coin de la France. [00:15:28] Speaker E: On salue les frères Dupont. [00:15:31] Speaker B: On espérait qu'il y a des gens qui nous voient... [00:15:32] Speaker E: J'imaginais qu'un p'tit polo blanc, un p'tit fleur rouge et à faire chopper, chopper, chopper la coumcoum ! [00:15:38] Speaker B: Je pense qu'il devrait y avoir des vidéos. Et faire la fête... Tu sais, pourquoi il le ferait pas ? [00:15:41] Speaker E: Et les JO comme ça, ça aurait eu de la gueule. En tout cas, bref. Clown, il dit, bah nous, si Slipknot, il y a moyen qu'ils jouent aux JO en 2028, on est chaud. Ce sera Korn. [00:15:49] Speaker B: Ouais. [00:15:52] Speaker E: Et en tout cas, dans cette même interview, du coup, en gros, ils expliquent qu'ils vont commencer à enregistrer le nouvel album courant 2025. S'il est bon. En tout cas, ils se posent la question de savoir, est-ce qu'ils le font ? Parce que là, ils n'ont plus aucun deal nulle part. Est-ce qu'on le signe ? Ils ne sont plus chez Roadrunner. Ils ont fini leur contrat. Est-ce qu'on signe chez quelqu'un pour le sortir ? Ou est-ce qu'on se démerde tout seul sachant que Il y aura plus grosse moula si on le sort tout seul, mais ça demande plus de travail. Mais c'est plus grosse moula. Donc voilà, c'est la... Bon après je. [00:16:31] Speaker B: Pense qu'ils ont les moyens de payer des gens qui savent faire le travail. Ils sont pas obligés de le faire eux. Non. Tu fais le colis pour envoyer le vinyle ? Il a tout pété le con. [00:16:43] Speaker E: Alors sinon on a des petites news de Mastodon, qui là ils ont commencé à teaser. à teaser, donc qui aurait peut-être quelque chose de plus tôt que prévu. Donc il y a même des rumeurs que ça serait un split avec Lamb of God. [00:16:57] Speaker D: Ah, pour les 20 ans partagés de leurs deux albums, donc Léviathan et Ashes of the Wake. [00:17:02] Speaker E: À moins que ça tourne encore un teasing de merde et qu'ils nous sortent encore une collection de mugs ou de thé d'oreillers. [00:17:07] Speaker B: C'est eux là qui nous mettent de thé d'oreillers. Des mugs Tiki là, c'était eux. [00:17:11] Speaker E: Non, ils ont fait des mugs Tiki, ouais. [00:17:13] Speaker B: Mais c'est vrai qu'ils devraient faire... T'imagines, tous tes groupes préférents, tête d'oreiller, tu mets plein d'oreillers avec toutes leurs têtes. [00:17:18] Speaker E: En géant... Serviettes de bain, linge de bain, gants de toilette, serviettes de bain... [00:17:23] Speaker D: Non mais t'imagines le set de neuf. [00:17:24] Speaker B: Têtes d'oreillers sur une note... Le gant de toilette pour le bidet. [00:17:28] Speaker E: Je vais mettre qui ? Un peu comme Rammstein qui avait fait les godes à la moulée sur eux, tu fais des gants de toilette selon la taille de ton guitariste préféré, enfin bref... [00:17:38] Speaker B: Après c'est beaucoup plus chiant à produire, je pense. [00:17:41] Speaker E: Alors autre nouvelle sortie, c'est The Cure qui s'apprête à sortir des premières nouvelles chansons depuis 2008. Alors ce sera sur un album live, mais ce sera sur Live in France 2022, donc c'est deux titres qui n'avaient jamais été enregistrés et qui ont été joués en France chez nous, et du coup là ça va sortir sur un album live. Et autre petit point important, c'est que c'est un live où tous les bénéfices vont être reversés à l'association caritative de Brian Eno sur le changement climatique. Parce que c'est vrai que les lives de The Cure après c'est pas non plus parce qu'en général leur concert il. [00:18:20] Speaker B: Dure trois heures et demie. J'aime beaucoup les Cure mais c'est quand même juste hyper chiant au bout d'un moment quoi. [00:18:26] Speaker E: Ce truc ils ont pas ressorti de... Ils ont pas ressorti de gros brotifs. [00:18:29] Speaker B: On m'a retrouvé allongé sur le ventre sur le sol de Bercy. [00:18:32] Speaker D: Est-ce que c'était l'ennui ou autre chose ça ? [00:18:35] Speaker E: En même temps des aventures post-concert on a quand même des... Non mais là. [00:18:40] Speaker B: C'Était pendant le concert. Mais c'est vrai quand il était long j'étais déjà dans la suite. [00:18:44] Speaker D: Par anticipation. [00:18:45] Speaker B: Mais on fait un gros bisou à Singularité qui travaille avec The Cure maintenant. Voilà, Elodie en l'occurrence. [00:18:52] Speaker E: C'était une interview très intéressante du Hellfest. Ensuite mon brave Megadeth. Alors dans une récente interview, moi ça m'a fait mourir de rire, dans une récente interview à Loudwire, c'est donc le leader de Megadeth, Def Mustaine, qui a fait part de son point de vue sur l'importance de l'humilité dans l'industrie musicale. [00:19:10] Speaker B: Oh je l'ai vu passer, j'ai vu passer, c'était savoureux. Mais le mec c'est le melon, il va même faire danser des gamins devant un siège. [00:19:20] Speaker E: Donc mettant en garde ses collègues musiciens contre les risques de laisser leur égo prendre le dessus, donc c'est un peu le Camembert qui dit « Rockfort tu pues ». [00:19:29] Speaker B: C'est joli, je connaissais pas cette expression. David Moutarde. [00:19:34] Speaker E: Ce que lui dit ça c'est du foutage de gueule. [00:19:36] Speaker B: Ah non mais c'est honteux, je sais pas ce que vous en pensez derrière, dans le ch'meule en direct en live Twitch. N'hésitez pas à commenter d'ailleurs sur notre YouTube aussi lorsqu'on met les news tous les lundis à partir de... C'est le lundi soir, je crois. Lundi soir, 17h30 ou 19h. Je sais plus si notre ami Marcel est là, qu'il précise dans le live Twitch, dans le ch'meule. Qu'est-ce qu'il y a d'autre sinon ? [00:19:55] Speaker E: Une autre petite nouveauté du coup, il semble que Spiritbox, ils ont commencé à teaser sur le réseau sociaux. [00:20:01] Speaker B: Ah mais il y a un morceau qui est sorti. [00:20:02] Speaker E: Mais justement, c'est ce que j'allais dire après. Ils ont commencé à teaser un truc avec un espèce de puzzle musical où si tu remettais, si tu cliquais sur les trucs au bon endroit, ça t'amenait à autre chose. Sauf que voilà cette news, je l'ai écrite mercredi, puis entre temps ils ont sorti un nouveau morceau. [00:20:17] Speaker D: La news qui périme très vite. [00:20:18] Speaker E: Mais en même temps, c'est juste un morceau, je pense qu'il y a un album qui va pas tarder à arriver. Et vu comment ils ont explosé avec leur dernier album, je pense que ça. [00:20:27] Speaker B: Va beaucoup de gens entendre ça. Elle me fait halluciner la chanteuse, c'est La Plante. Elle fait des lancées de jambes et elle chante en même temps, moi j'ai toujours laissé en soirée... [00:20:36] Speaker E: Toi, de toute manière, les lancées de jambes... Pour moi, il y a elle, il y a Lady Gaga et il y a toi. [00:20:42] Speaker B: En même temps, c'est moi qui ai tout appris à Lady Gaga. [00:20:45] Speaker D: À quand le feat ? [00:20:45] Speaker B: Dans un sous-sol de Club Game, enfin je vous raconterai la suite de l'histoire plus tard. J'en ai encore un peu mal au cul. [00:20:51] Speaker E: Pierre la plante. Pierre la belle plante. [00:20:56] Speaker B: Ça dépend quel moment ! [00:20:58] Speaker E: Et alors ces petites news, c'est histoire de mettre un clip maintenant, c'est du coup Life of Agony qui rend hommage à The Crow, donc le film des années 90 avec Brandon Lee, et du coup même un hommage directement à Brandon Lee, où en gros ils expliquent comme tout un tas d'autres choses mais The Crow, son imagerie, l'esprit rock et metal qu'il pouvait y avoir dans ce film. On rappelle que dans The Crow 2, il y avait Deftone qui y jouait. [00:21:26] Speaker B: Oui, c'est vrai. [00:21:27] Speaker E: Et même si The Crow 2 et 3, ça reste pas ouf. Mais là, du coup, en fait... T'es. [00:21:31] Speaker B: Léger quand tu dis que c'est pas ouf. [00:21:32] Speaker E: Mais en tout cas, ils ont fait vraiment un morceau en hommage et un clip spécialement pour ça. Et comme là, en ce moment, il y a le nouveau, il y a le remake de The Crow qui est au cinéma. Et qui, à part Alexander Skadgard... Non, c'est Alexander ou c'est son frère ? C'est l'un des frères Scadeguard, qui du coup voilà bah à part lui qui est bon comédien mais le film apparemment est vraiment catastrophique donc autant se retaper le vieux film avec les... en plus il avait une BO de ouf Oui. [00:22:03] Speaker B: C'Est ça qui était bien dans Zopo. [00:22:04] Speaker E: Il y avait vraiment un truc. Donc voilà donc je suis assez d'accord avec eux, moi pareil ça m'a formé, ça m'a amené plein de choses dans mon adolescence et donc voilà je propose qu'on regarde ce petit clip de Life of Agony. [00:22:16] Speaker B: Puis c'est du Life of Agony plus dur. [00:22:18] Speaker E: Voilà, Bisou Amina. [00:22:20] Speaker B: Voilà exactement c'est ce que j'allais dire, Bisou Amina. Bon le clip est pas très beau n'empêche. Bon après voilà. Bah c'est avec les moyens de Life of Agony. [00:22:28] Speaker E: C'est les moyens de la fofagonie, puis voilà, ça a quand même l'esprit 90 quoi, ça sent bien bon le 90. Et puis moi j'aime bien la fofagonie. [00:22:34] Speaker B: Je sais pas si vous êtes fan de la fofagonie ? [00:22:38] Speaker D: Je connais assez peu en fait la. [00:22:40] Speaker C: Fofagonie, du coup ça me donne envie. [00:22:41] Speaker B: De dire ah ouais c'est notre vie quoi. [00:22:44] Speaker E: Pour le coup je connaissais peu mais pareil, toute mon adolescence j'ai vu leur logo sur des t-shirts de concert dans les magazines de métal et tout. Et du coup je les ai découverts, enfin je les ai vus en concert très tard quoi. [00:22:55] Speaker B: Et Mina Caputo qui est une personne extraordinaire parce qu'à chaque fois que tu parles avec, c'est assez intense émotionnellement quand même. Tu peux sortir en disant bon, peut-être que la vie elle ne mérite pas d'être vécue. Un bon moment quoi. [00:23:08] Speaker E: Ben tu sais que Ben dit souvent ça de toi. [00:23:13] Speaker B: On l'embrasse bien fort. [00:23:15] Speaker E: On était sans s'arrêter les prévés de Jacques. Allez, on rentre dans le clip. [00:23:18] Speaker B: Ouais mais là c'est facile à comprendre. Allez, Life of Agony. [00:23:31] Speaker A: Too bad you never cared enough Now. [00:23:36] Speaker B: I'm lying dead, yeah Too bad you thought I made it up Now my river's red, yeah Too bad I trusted you too much But my eyes were open. [00:24:03] Speaker A: Jusqu'à ce que mon âme puisse continuer Je suis le fléau, je suis le fléau Je veux que tu restes dans la lumière sombre C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:27:37] Speaker B: Il était pas en train de faire une pipe à quelqu'un sur le côté du canapé ? [00:27:45] Speaker E: Oh pardon excusez-moi ! [00:27:49] Speaker B: Il aurait fait exactement la même réflexion, je sais très bien, mon petit Ben à moi. [00:27:53] Speaker E: Non moi je pense pas, je pense que Ben il est pur, il aurait pas dit ça. [00:27:57] Speaker D: En Ben il y a plus de classe. [00:27:59] Speaker B: Beaucoup de classe ! Moi j'en ai pas du tout. [00:28:01] Speaker E: Faut bien qu'il y en ait un qui en ait dans l'équipe. [00:28:04] Speaker B: Je tenais juste, avant de repartir sur la suite des news, remercier Petit Punk qui vient de faire un versement sur Tipeee, qui nous a envoyé un petit message à toute l'équipe en disant voilà je suis très content que vous soyez de nouveau là avec nous, etc. Merci énormément Petit Punk. [00:28:19] Speaker E: Merci beaucoup Petit Punk. [00:28:20] Speaker B: Et merci d'ailleurs à toutes les personnes qui laissent des tips aussi sur Twitch et sur tous les endroits où on le fait. [00:28:29] Speaker D: Des subs, des dons. [00:28:31] Speaker B: Pour ceux qui, je crois, alors je dis peut-être une bêtise, mais pour ceux qui veulent avoir un papier qui fait un remboursement sur les impôts, vous pouvez passer via notre site internet, vous allez dans Radio, et il y a un lien vers le Crédit Mutuel, et voilà, normalement c'est eux qui font un papier, vous l'envoient, comme ça, lorsque vous donnez, ça vous donne un tiers d'économie de cette somme dans l'économie d'impôts. Voilà, si j'ai pas de bêtises. Donc merci Petit Punk, merci Boulinosaur, merci Slamming Maud, JB, Tudum64, Foufri et Christel C pour les versements mensuels aussi sur Tipeee. On continue les infos ? On continue les news ? [00:29:04] Speaker E: On continue les petites news. Alors on va continuer avec un de tes groupes préférés. Korn ! Devil Driver. [00:29:11] Speaker B: Oh putain ! J'aime pas, mais j'aime pas ! [00:29:15] Speaker E: Oui, mais c'est le groupe à Dez. [00:29:17] Speaker B: Non mais oui, je sais, Dez Fafara, je l'aime beaucoup parce que j'ai jamais compris à quoi il ressemblait vraiment. Un coup il y a des piercings, un coup on peut mettre des cordes. [00:29:26] Speaker D: Dez Fafara n'est-il pas qu'un concept finalement ? [00:29:28] Speaker E: Bah oui, c'est ça. En tout cas, ça va continuer parce qu'en gros là, Devil Driver, ils perdent leur guitariste de longue date. Mike Spraizer en gros il annonçait son départ parce que du coup avec le retour en... [00:29:42] Speaker D: Je sais pourquoi d'ailleurs en plus. [00:29:44] Speaker E: C'est qu'en gros en fait vu que Desferara il recommence à tourner à chanter Miloko sur ça. Avec Colchamber. [00:29:52] Speaker B: Il n'y a plus que lui d'ailleurs dans Colchamber. [00:29:54] Speaker E: Si non, il n'y a que la fille qui n'est plus. Mais bref. [00:29:57] Speaker B: Elle est dans un camp de récup. Voilà. [00:30:02] Speaker E: En gros Devil Driver il tournait plus du tout et le mec il disait en gros j'en ai marre d'attendre chez moi, moi je suis musicien, j'ai encore mes belles années devant moi, genre je veux faire du concert, je veux partir en tournée. Et du coup je préfère me trouver un autre groupe pour pouvoir vivre de ma musique plutôt que d'attendre qu'on m'appelle chez moi, qu'il ait fini sa tournée lucrative pour qu'il retourne à son side project. [00:30:23] Speaker B: Eh papy Dez ! Eh papy Fafara ! C'est mieux que Dez. Papy Fafara. Non mais il a raison. [00:30:29] Speaker E: Il a raison. [00:30:29] Speaker B: Et Devil Driver... Non mais je sais que beaucoup de gens l'aiment en plus. Il fait bien de trouver un autre groupe, il sait très bien jouer, il fera des bonnes chansons. [00:30:38] Speaker E: Alors autre petite news là, je voulais qu'on se foute un peu tous de la gueule comme plein de gens ont fait sur internet de... Non parce qu'on. [00:30:44] Speaker B: Fait jamais ça de qui que ce soit. [00:30:46] Speaker D: Absolument pas. [00:30:47] Speaker E: De Paul Stanley de Kiss. Qui du coup a fait un petit ballon cette semaine. [00:30:52] Speaker B: Aïe. [00:30:53] Speaker E: En gros il s'est excusé sur X d'un message qu'il avait fait mais il ne l'a pas supprimé. Donc il y a un côté j'ai merdé mais j'assume. [00:31:01] Speaker B: Oupsie ! [00:31:03] Speaker E: Alors je vous explique le concept. [00:31:04] Speaker B: Fais gaffe à ce que tu dis quand même. [00:31:07] Speaker E: En gros, aux États-Unis, là, au début septembre, il y a le Labor Day, donc c'est en gros un peu comme le 1er mai chez nous, pour célébrer les travailleurs. Mais fin mai, il y a le Memorial Day, qui est plus un truc pour célébrer les militaires, les vétérans, et toutes les morts tombées au combat. Et du coup, il a tweeté un mème Aïe, aïe, aïe, en plus, en gros, d'une mère et d'une fille qui sont sur la tombe du soldat mort et qui pleurent la mort de leur mari et de leur père. Avec écrit justement, rappelez-vous que ce jour-là, en gros, c'est pas le jour où on fait des barbecues, c'est un jour où on est censé commémorer quelque chose. Sauf qu'il l'a pas mis, enfin, s'il l'avait fait pour le Memorial Day, ok. Mais vu qu'il l'a fait pour le Labor Day, ben non, justement, le jour des travailleurs, on fait des barbecues, enfin, de toute manière. [00:32:05] Speaker B: Ça veut dire que leur père, il est mort au travail. En ceci dit, s'il était dans l'armée, bon... [00:32:09] Speaker E: Quoi qu'il arrive, si les gens profitent d'un jour farré pour faire des barbecues, déjà, ça fait un peu vieux réac de merde de faire... Ben non, faut penser aux gens qui sont morts, mais en plus, là, il s'est trompé de truc, donc... [00:32:20] Speaker B: Là c'est la mémoire qui flanche. [00:32:22] Speaker E: Il est juste passé pour un con, mais à toute manière j'assume en gros. [00:32:26] Speaker B: Le message est le même. Non mais ça va, je pensais que ça allait être quelque chose de très grave. C'est pas non plus un manque de respect, c'est juste qu'il est con comme un balai. [00:32:36] Speaker D: Faut témoigner son respect aux gens qui ont donné leur vie pour qu'on puisse faire des barbecues. [00:32:41] Speaker E: C'est juste que ça fait le mec qui veut râler, qui le fait mal et qui comprend pas les réseaux sociaux. [00:32:50] Speaker D: C'est un peu Papy Stadley, là, du coup, qui découvre Twitter. [00:32:55] Speaker E: Alors, sinon, j'allais faire en avant-dernière news, c'est que, grosse nouvelle, en fait, pas de news de Ronny Radke cette semaine, ça fait deux semaines d'affilée. Mais en fait, si, vu qu'il vend tellement de places en Europe, et notamment en France, que du coup, le concert du Zenith est déplacé à Bercy. [00:33:15] Speaker B: Est-ce que ça s'est bien vendu aux zéniths parce que les français sont accros à Falling in Reverse ou est-ce que c'est les étrangers qui se sont dit « Putain, à Paris c'était la plus petite salle, est-ce qu'on ne va pas tous acheter des places là-bas » et qu'ils se sont fait baiser parce qu'ils. [00:33:27] Speaker E: Se retrouvent dans une grande salle comme ailleurs ? Après le Zénith c'est pas non plus une... [00:33:32] Speaker B: C'est mini, c'est tout petit, enfin pour nous en France c'est grand, non mais quand tu vas en Angleterre, des salles grandes t'en as quand même un paquet. [00:33:39] Speaker E: Ils font tous des stades de toute façon. Après Tuchmère c'est pas la seule, en gros ils ont essayé d'upgrader toutes les salles où c'était possible en Europe, il n'y a pas qu'en France qu'ils l'ont fait. [00:33:48] Speaker B: Donc ça veut dire que ça marche quand même en France. [00:33:49] Speaker E: Mais du coup ça marche, autant ça se trouve, comme je le disais sur le ch'mol, ça se trouve ça va encore super vendre et ils vont finir à la Usarena. [00:33:57] Speaker B: Ça m'a fait rire, c'est sur Discord que tu es disponible, n'hésitez pas à nous rejoindre, je vois que Marcel est arrivé en retard, bravo Marcel, c'est pas la peine de faire, de noyer le chemeule de tes mots, on a bien compris, voilà, merci. [00:34:11] Speaker E: Et dernière news, donc on va retourner un peu sur Slipknot, mais pas vraiment, c'est parce que Comme on disait, t'aimerais bien qu'on soit le voici du métal ? [00:34:22] Speaker B: Moi je suis pour, et non parce que je suis bas de gamme. [00:34:25] Speaker E: Eh ben du coup on va partir dans le voici du métal, en gros c'est Alicia Taylor, la femme du chanteur des Slipknot, qui a bien fait parler d'elle cette semaine. La femme de Corey Taylor, elle a fait sensation en s'en prenant violemment à Violette Mayukba, qui est la guitariste du groupe punk Destroy Boys. En fait, elle lui a reproché d'avoir tenté de séduire son mari de manière inappropriée. Bon, elle a tenté sa chance, il l'a recalé. Mais elle aurait dit, bon ben, on verra bien. [00:34:55] Speaker B: Et elle a pas lâché l'affaire. [00:34:57] Speaker E: Et du coup, la mère Alicia, elle a un peu pas supporté, et elle a commencé à balancer des trucs sur les réseaux sociaux. [00:35:05] Speaker B: Quoi, genre des histoires sur la meuf ? [00:35:06] Speaker E: Les histoires sur la meuf, elle a essayé de se taper mon mec, il lui a dit non, elle a continué. Et puis quand les gens mettaient des trucs en commentaire, mais ça se fait pas, elle allumait, elle a réussi à mettre son numéro de téléphone dans l'iPad de notre fils. [00:35:22] Speaker B: Bah peut-être qu'elle est sédarguée. Le fils qui est dans... Non, je pense pas. Il était là dans un coin, tu veux mon iPad ? [00:35:29] Speaker E: Du coup, il y a les parents de cette meuf, de cette guitariste-là, qui ont envoyé une mise en demeure à l'initiative. Alors, pour lui dire, s'il te plaît, ne balance pas l'histoire. [00:35:41] Speaker B: Quoi ? [00:35:42] Speaker E: Parce qu'en gros, ne raconte pas tout ça sur les réseaux sociaux, s'il te plaît. [00:35:47] Speaker B: Est-ce que vraiment, c'est une histoire ? Elle a tenté sa chance même si la télémarie ça arrive malheureusement ou heureusement à beaucoup de gens. [00:35:56] Speaker E: En fait elle serait déjà expliquée il y a quelques temps avec elle et elle avait dit ok il n'y a pas de soucis sauf qu'elle serait revenue à la charge auprès de Cora Taylor en disant mais qu'est-ce que tu fous avec elle, elle est vraiment trop moche, tu devrais être avec une meuf comme moi. Et sachant qu'apparemment... Putain mais c'est des affaires de collège quoi ! Ça serait un peu une star fucker parce qu'en gros du coup dans les commentaires... Elle a le droit ? Ouais mais elle a totalement le droit mais elle se serait tapé des mecs de... Alors je l'ai noté genre de Blink182, Seven Dust et Creed donc... Pas vraiment le haut du panier. [00:36:25] Speaker B: Oh dis donc ouais j'veux dire... Elle vise quand même... Dis donc il reste quoi là ? [00:36:33] Speaker E: Bon il reste... J'espère qu'elle s'est tapé le chanteur de Creed quand il était dans sa phase paranoïaque, il vivait dans son camion là. [00:36:40] Speaker B: C'est pas très conforme malgré tout. [00:36:44] Speaker E: Mais du coup voilà c'était un peu le moment voici. [00:36:47] Speaker B: On aime ça ! [00:36:49] Speaker E: Ça a beaucoup parlé, c'est qu'elle a été violente tout en disant, c'est que là elle est cool, c'est que s'il vous plaît ne la harcelez pas, mais par contre je veux continuer à la pourrir, donc en gros tous les gens qui ont pris des billets pour les concerts de son groupe, Si vous voulez ne plus y aller, si vous voulez je vous rachète vos places. [00:37:07] Speaker B: Quoi ? [00:37:08] Speaker E: Genre pour la troller comme ça ? [00:37:10] Speaker B: Mais n'importe quoi ! Mais c'est du délire ! Mais c'est du délire, surtout qu'elle ne le fera pas. Je veux dire, ils sont riches mais quand même. [00:37:16] Speaker E: C'est ça l'Amérique. [00:37:18] Speaker B: C'est vraiment l'eau du panier aussi, c'est ça qui est très rassurant finalement sur cette terre. [00:37:22] Speaker E: Je pense pas que de toute manière l'autre groupe vende énormément de billets, je pense qu'ils font que des petites salles, c'est pas non plus... [00:37:28] Speaker B: Mais c'est trop bien ! [00:37:30] Speaker E: Effectivement j'ai regardé les clips et du coup pour choisir lequel était le plus diffusable parce qu'il y en a qui sont un peu plus... Mais en vrai j'ai bien aimé ! Ça porte son nom donc il y. [00:37:36] Speaker B: A un message quand même ! Bah du coup voilà moi je propose. [00:37:41] Speaker E: Que pour finir ces news on se regarde un petit clip... De son groupe, Destroy Boys. [00:37:47] Speaker B: Complètement. Merci beaucoup Didi pour toutes ces informations, mais tu restes avec nous pendant cette édition spéciale. Allez, on regarde ce clip. Merci aussi pour cette réalisation. [00:37:57] Speaker D: Cette réalisation frénétique. [00:37:59] Speaker E: Ça manque de gros là, ça manque de gros. Du coup, vu que Ben est pas là, donc il faut que je reste. [00:38:02] Speaker B: Jusqu'À la fin de l'émission. Ce n'est pas moi qui me suis prononcé, je n'ai pas eu ces mots. [00:38:08] Speaker E: Vous êtes Roosevelt tous les deux. [00:38:10] Speaker B: Oui. Ben lui, oui. Moi, je sais cacher. Moi, c'est un leurre. Allez, on regarde Destroy Boys avec Should've Been Me. [00:38:19] Speaker C: C'est parti. [00:38:50] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:41:58] Speaker B: Missa. [00:41:59] Speaker E: You'Re right. [00:42:55] Speaker B: Bang, bang, bang, bang ! Avec Health, on aura reconnu ce mélange indus, un peu intense et cette voix qui s'envole, qui plane comme ça. [00:43:07] Speaker D: Une voix un peu émo par-dessus et qui fait qu'on aime. Cette petite particularité qui les rend assez uniques. [00:43:13] Speaker B: Et comme le dit si bien Marcel sur le ch'meul, l'interview est toujours disponible sur notre page YouTube. Il suffit de taper point d'exclamation bang ou tout simplement de chercher. Si vous écoutez le podcast, vous allez sur YouTube, vous tapez bangbang.asles et vous tombez tout simplement sur nous. Quelle heure il est ? Il n'y a pas du flash bang news, ça s'est passé, on a bien compris. Il est l'heure de recevoir notre invité, Guillaume MBCDLM ! [00:43:42] Speaker C: Bonjour ! Mais comme tu disais tout à l'heure, tu peux m'appeler Guillaume sans problème, je le préfère même. [00:43:48] Speaker B: Merci parce qu'il faut que je me dise la phrase en fait dans ma tête pour que je puisse dire les lettres. [00:43:52] Speaker C: T'inquiète, t'inquiète, je comprends. [00:43:54] Speaker B: Qu'est-ce qu'il se passe mon petit ? Ah la lumière est pas assez... ça c'est trop je pense. Tu fais comme tu veux Guillaume, surtout ne t'inquiète pas. [00:44:05] Speaker E: Guillaume, si je peux t'appeler s'il tient le temps ou pas ? [00:44:09] Speaker C: Si vous êtes très vieux et avez participé à des formes très précis. [00:44:14] Speaker E: Il y a vingt ans. [00:44:15] Speaker C: Où tu peux, ouais. Putain, ouais, il y a vingt ans, merde. [00:44:19] Speaker B: Alors justement parce qu'on cherche des invités tout le temps etc et c'est vrai que Didi m'a proposé ta venue et au début de l'émission on demande toujours quel est un petit peu ce que tu fais, quelle est ta fonction aujourd'hui parce que je te connais très très peu moi. [00:44:34] Speaker C: Moi globalement je suis directeur artistique, graphiste, voilà en ce moment je bosse un peu en freelance et tout. mais je suis pas forcément connu publiquement pour ça comme si j'étais journaliste ou je sais pas quoi. Du coup ça va faire un peu bizarre genre juste j'ai un compte Twitter tu vois mais voilà. [00:44:51] Speaker B: Bah non ça fait partie de... Ouais. [00:44:53] Speaker C: Mais du coup bah voilà. [00:44:54] Speaker B: C'est un compte Twitter qui t'es quand même beaucoup suivi. [00:44:56] Speaker C: Ouais plutôt écoute... [00:44:57] Speaker D: C'est un compte Twitter que je connais depuis très longtemps. [00:44:59] Speaker C: Ouais c'est vrai c'est pareil on se connaît un peu. [00:45:02] Speaker E: Sur son compte Twitter il parle beaucoup de musique. Il fait même régulièrement des partages de ses coups de cœur, des trucs vraiment plus... [00:45:11] Speaker B: Il n'est pas seul sur son Twitter. [00:45:12] Speaker E: Non, pas du tout connu. Il va partager des trucs, des petites pépites qui sont plutôt pas mal. Il a, on va dire, une espèce de... Enfin, il a toute sa place ici parce qu'il est quand même lié à la scène métal aussi. [00:45:24] Speaker B: Oui, j'ai bien vu. [00:45:25] Speaker E: Par exemple, il a fait des affiches de Fest Metal. [00:45:28] Speaker C: Oui, j'ai fait plusieurs éditions du Festival Silak, à côté de Lyon. [00:45:35] Speaker B: Cool, ça c'est cool. T'aimerais avoir plein de projets comme ça autour du rock, autour du métal ? [00:45:41] Speaker C: Pas forcément, pas forcément, ça c'était venu un peu comme ça parce que voilà j'avais des connaissances en commun, etc. Non, non, bah s'il y en a, oui ça m'intéresse, etc. D'ailleurs quand j'ai annoncé ma venue un peu sur mon compte, il y en a qui ont pensé que j'avais fait la DA de l'émission, etc. Mais alors que non, pas du tout, c'était déjà en place et tout. [00:46:01] Speaker B: Ce que tu fais, c'est hyper bien. J'avoue que j'ai checké un petit peu tout pour quand même... J'ai quand même un petit peu travaillé. C'est vrai que c'est beau, et même Dini Mani... C'est vrai que si vous aviez un peu de pognon quand même, vous pourriez l'engager. [00:46:16] Speaker C: En vrai même pas parce que vous avez une idée qui marche et qui est très bien donc je vois pas ce que je pourrais apporter de plus en vrai. [00:46:22] Speaker E: Moi ça fait deux ans, parce que ça fait super longtemps, ça fait super longtemps que je vous parle de lui. Oui c'est vrai. Du coup pas en tant que graphiste mais du coup en tant que personne pour venir dire des conneries autour du micro avec nous parce que je trouve que c'est une des personnes les plus drôles d'internet et qui sort des... Souvent moi je pense des trucs et il va les dire avant moi et d'une manière mieux que je leur ai exprimé Et du coup, je pense que si je devais être membre, je suis engagé en disant, t'écris une série, c'est lui que j'engage en premier comme co-auteur. [00:46:54] Speaker B: Alors oui, c'est vrai que c'est ça aussi qui fait le succès de ton Twitter. Alors, il y a le chat ? [00:46:59] Speaker E: Oui ! [00:46:59] Speaker B: Bon, après comme blanc blanc, mais... C'est bon, bien sûr, quand j'ai vu qu'il y a le chat, j'ai fait toutes les photos. [00:47:07] Speaker D: T'as dû y passer des journées, non ? [00:47:09] Speaker B: Bah, il y en a beaucoup, mais... C'est trop mignon ! Mais effectivement, je vois quand t'as été repris, t'es reposté à vraiment beaucoup, etc. Sur tes petits pics. [00:47:19] Speaker C: Sur un peu tout et n'importe quoi, ouais. [00:47:21] Speaker E: Sur de la merde, hein. [00:47:22] Speaker C: Ouais bah écoute vraiment je le choisis pas. [00:47:24] Speaker D: C'est le principe généralement, c'est les trucs. [00:47:27] Speaker C: Les plus merdiques qui sont les plus partagés. Souvent genre quand je suis beaucoup relayé sur des choses, je vais pas dire polémiques parce que j'ai jamais estimé que je tweeteais des choses polémiques ou quoi, mais des choses qui font débat on va dire. Genre ah oui tu le fais pour les stats, pour la vue etc. Je fais mais vous savez que sur Twitter on gagne zéro euro. Genre vraiment vous savez que ça me rapporte rien si je pouvais gagner de la thune avec ça je le ferai mais ça n'a pas de sens. [00:47:55] Speaker E: Tu peux maintenant je crois. [00:47:56] Speaker C: Si tu payes pour avoir la pastille. Ouais mais pitié quoi. Tu gagnes deux balles tous les trois mois. [00:48:03] Speaker E: Faut faire 15 balles pour te faire plein d'ennemis. [00:48:05] Speaker B: C'est vrai qu'il y a un petit. [00:48:08] Speaker C: Peu trop de questions que je paye pour ça. [00:48:11] Speaker D: Autant se faire engager comme cible pour lanceurs de couteaux. [00:48:15] Speaker B: Oui et puis ça donne de l'argent à Monsieur Musk qui risque de devenir ministre de l'économie aux Etats-Unis. Je sais pas si vous avez entendu ça, j'ai fait aïe aïe aïe, ça est en train de partir en cacahuètes. [00:48:24] Speaker E: Bah ça fait longtemps que ça part en cacahuètes et que je te préviens. Parce qu'il y en a bien un ici qui l'admire. [00:48:29] Speaker B: Mais moi j'aime ces fusées, c'est tout ! Tu sais que j'aime les longs tubes comme ça qui s'envolent avec puissance. [00:48:33] Speaker C: Et les voitures dans l'espace, bien sûr. [00:48:38] Speaker B: L'utilité des voitures dans l'espace aussi. Et du coup, donc t'es fan de métal, c'est une musique, t'écoutes de tout ? [00:48:45] Speaker C: Ouais, globalement de tout. Alors c'est vraiment une phrase bateau qu'on. [00:48:48] Speaker B: Se rend bien genre... Je sais que Ben n'aime pas qu'on dit ça mais... Ah ouais, pourquoi ? parce qu'il dit qu'on n'écoute pas de tout en fait, il y a toujours un truc qu'on ne connaît pas. [00:48:54] Speaker C: J'écoute même du free jazz s'il veut savoir. [00:48:58] Speaker E: Je suis désolé, on peut changer d'invité s'il le veut. [00:49:01] Speaker C: J'aurais pu vous en proposer. Mais non, c'est vraiment une phrase un peu bateau. J'écoute vraiment de tout, pas que du métal. C'est vrai que les musiques extrêmes, de façon générale, parce que ça ne se résume pas au métal... Parce que je. [00:49:19] Speaker E: Ne te vois pas trop tweeter sur les concerts de free jazz où tu vas. [00:49:22] Speaker C: Pour l'instant, c'est vrai que c'est moins... Il y a des choses... J'écoute plutôt des albums, mais c'est vrai qu'en termes de concerts, c'est pas forcément des choses dont on est au courant plus facilement. Déjà rien que pour les... Tu vois, on en parlera peut-être plus tard, mais je fais beaucoup de concerts de hardcore, et il a fallu que j'aille un peu les chercher pour savoir où ça se passe, etc. Parce que pareil, ce genre d'assaut, d'organisation... C'est pas annoncé en grande pompe, etc. Et du coup maintenant je sais où chercher les infos, donc c'est pas un problème. Mais c'est pareil, ce genre de musique un peu souterraine, sous-france-sous-marin, c'est pas forcément, même si on aime bien, même si on écoute, c'est pas forcément le genre de choses auxquelles on pense tout le temps, etc. Mais après si on me propose, on me dit, tiens, écoute cet album de jazz ou je sais pas quoi. T'as une curiosité musicale. Ouais, complètement. Depuis que, en fait, je trouve qu'il n'y a rien de plus simple que d'écouter de la musique depuis qu'il y a les plateformes. Alors bon, ce qu'on en pense, ou pas, parce que oui, ça c'est des avantages, etc. Mais contrairement à ce que je pense qu'on est tous un peu, on tape plus ou moins dans la quarantaine, tous. J'viens d'avoir 40 ans, si tu veux. [00:50:32] Speaker B: Ouais, mais j'ai 44. J'arrive à tous voyager. [00:50:37] Speaker C: Et on a connu bah voilà le découvrir la musique uniquement par la radio en fait et la télé donc c'est très très limité donc si vraiment t'avais pas les comment dire les... et puis. [00:50:48] Speaker B: Des amis à l'étranger partout avec des. [00:50:50] Speaker C: Bonnes courriels les bonnes personnes qui te renseignent etc c'est très limité et encore je trouve que nous alors ça là pour le coup ça va faire vraiment vieux con mais je trouve vraiment mais j'ai essayé que ça paraisse le moins vieux con possible, parce qu'on a vraiment, je trouve, grandi dans une période où vraiment il y a eu une anomalie au début des années 90 etc, genre vraiment les radios se sont misées sur un peu tout et même des musiques, genre l'explosion de Nirvana l'a prouvé, genre il y a eu vraiment une explosion du rock alternatif etc, chose qui a complètement disparu aujourd'hui et qui vraiment nous... [00:51:24] Speaker E: Tu pouvais avoir du Raja Gang The Machine le samedi matin dans les multitops. [00:51:29] Speaker B: Il y avait Dance Machine et Metal Machine. [00:51:33] Speaker E: Il y avait le top album. t'avais le top single mais entre les deux t'avais souvent un top par genre et du coup une fois par mois t'avais le top métal et du coup tu pouvais avoir du Slipknot, tu pouvais avoir du Sepultura, le samedi matin à 10h30. [00:51:45] Speaker B: Ouais mais encore haut parce que comme tu dis on n'avait pas... [00:51:47] Speaker E: Mais tu pouvais aussi avoir des clips dans la matinale, des clips de métal dans la matinale. [00:51:51] Speaker C: T'avais Metal Express sur Axis. Lawrence ! [00:51:55] Speaker B: C'est avec Laurence Romand, c'est un Metal Express, non ? [00:51:57] Speaker C: Je sais plus, je sais plus du tout. [00:51:58] Speaker B: Bon bref, c'est pas grave. [00:52:00] Speaker C: Mais ça existait en tout cas. [00:52:01] Speaker E: Florian Gazan, qui a fait la toute première émission en métal. [00:52:05] Speaker C: Ah ouais, Florian Gazan. [00:52:09] Speaker B: C'est vraiment pas le nom que j'aurais. [00:52:11] Speaker C: Eu à associer à un métal. [00:52:13] Speaker E: T'as Florian Gazan, t'as Laurence Romance et puis du coup t'as aussi Papy qui a fait le... Papy ? Tonton Zégut qui a aussi animé quelques petits trucs quand même. [00:52:22] Speaker B: Oui BlaBlaMétal ils étaient sur MCM. Enfin pour ceux qui avaient le satellite ou le câble. [00:52:28] Speaker C: Les riches. [00:52:30] Speaker B: Oui. Bon moi j'avais MCM mais j'étais dans le sud donc on avait MCM sur le RTN. [00:52:35] Speaker C: Oui c'est vrai qu'il y a des choses qu'on pouvait capter, c'était vraiment un délire la télé RTN. Genre, j'ai regardé ça sur M6, moi j'ai pas M6. Comment ça t'as pas M6 ? Je ne sais pas. [00:52:44] Speaker B: On a vécu cette époque là. [00:52:46] Speaker E: Je savais pas moi. Il y avait un putain d'arbre. Il y avait un putain d'arbre qui faisait que j'avais 1000 à 5, 1000 à 6 alors que les maisons autour de chez moi l'avaient. A cause de ce putain d'arbre, j'avais pas la 5 et la 6. [00:52:57] Speaker C: C'est ouf quoi. [00:52:57] Speaker E: Parce que du coup en Earthien, la 5 et la 6... [00:52:59] Speaker B: Fallait que ton bas soit bien plus haut pour capter plus haut. [00:53:02] Speaker E: Et du coup, tous les mangas, tous les dessins animés de la 5, quand j'étais petit, je les ai découvert vraiment plus tard. Et du coup, toute la culture musicale des clips d'M6, je les ai découvert à dos quand j'ai déménagé. [00:53:16] Speaker B: C'est un petit moment de tristesse, on se recueille pour Didi. C'est notre petite larme. [00:53:21] Speaker E: Envoyez vos dons, c'était Senzu Nadona. C'est un clip qui passait tout le temps. [00:53:26] Speaker B: C'est normal parce qu'on me l'a chanté Zucchero. [00:53:30] Speaker C: J'allais dire Eros Ramazzotti mais non. De toute façon, soit Zucchero, soit Eros Ramazzotti en musique italienne dans les années 90. [00:53:36] Speaker B: Eros et Zucchero, le petit sucre. [00:53:41] Speaker C: Qui a fait la chanson des Bronzés 3, j'aimerais la rappeler. [00:53:43] Speaker B: Oh putain, bon bah écoutez, je savais pas, mais gros gros dossier. Mais waouh, effectivement. Merci, c'est aussi parce que tu as la curiosité musicale. Mais oui, t'aimes bien faire des critiques aussi de films, des trucs comme ça ? [00:53:57] Speaker C: Critique de film, bah comme tout le monde quoi, je regarde. Mais pareil, c'est comment dire, pour revenir un peu à ce que je disais tout à l'heure avec l'explosion des des plateformes et tout, bah pareil aujourd'hui, que ce soit légalement ou illégalement, on a un accès à une culture aujourd'hui qui était inimaginable quand on était gamin, ado, etc. Et donc je trouve que du coup, ce qui est... comment je pourrais dire... c'est plus facile de découvrir des choses, des choses qu'on a ratées. Moi j'ai vraiment, comment dire, découvert des choses assez cultes, que ce soit en musique ou en film, sur le tard, et du coup je regarde ça maintenant, tu vois, il y a plein de. [00:54:36] Speaker B: Gens... Oui, ça t'as la possibilité, parce que c'est accessible quoi. [00:54:39] Speaker C: Mais t'es curieux. [00:54:42] Speaker B: Tout le monde n'est pas curieux. [00:54:44] Speaker C: En vrai, tu soulignes un bon truc parce que justement, moi je me suis souvent demandé pourquoi, encore une fois ça va faire vieux con, mais pourquoi les gens globalement, genre quand je parle justement de musique, de choses pas forcément connues, ils disent « toi t'écoutes des choses, y'a que deux gens qui les écoutent, etc. » et je fais « bah tu es obscur ». Non, non, en fait, ou plutôt c'est élitiste que ce que tu écoutes, je fais non c'est pas élitiste, je suis sûr vous pouvez aller écouter, c'est juste que vous n'avez pas la curiosité d'appuyer sur play en fait. Et quand j'en parlais souvent avec des gens justement qui n'avaient pas forcément cette curiosité, ils me disaient, justement j'avais cette discussion, globalement, je leur posais la question et justement pourquoi t'as pas envie de forcément écouter autre chose que ce qui est... Mais encore une fois, je juge pas, il n'y a pas de problème sur le fait de... Voilà, exactement, c'est pas genre, moi j'ai un meilleur comportement que toi, genre... Bande de crétins ! Mais vraiment, du coup, ça me rendait curieux et à chaque fois, la réponse que j'obtenais, c'était, bah j'ai la flemme en fait. [00:55:44] Speaker B: Et je trouve ça... Ah, je trouvais bien ça ! [00:55:46] Speaker C: Non mais c'est... Et du coup, t'influer au modèle. [00:55:49] Speaker E: Parce que des fois, Essayez de découvrir des nouveautés ou réécoutez le même album de Korn. On sait que des fois, c'est pas facile. [00:55:57] Speaker D: Il fait son choix. [00:55:58] Speaker B: Même ça, ça me fatigue. Désolé, on coupe la parole. Non, il n'y a pas de problème. [00:56:02] Speaker C: Ah non, ça va, c'est une discussion à un patron en plus. Et du coup, voilà, j'essaie de lire des magazines, justement, qui... qui m'amènent sur des choses que je ne connais pas, je me dis, je lis, je lui dis tiens, ça ça a l'air bien, parfois je lis des interviews de gens que je connais ou que je connais pas et qui disent ah bah voilà j'ai bossé avec tel machin et je me dis ah tiens je le note et voilà je vais l'écouter quoi, après ça plaît. [00:56:22] Speaker E: Mais pour le coup je trouve que c'est parce que c'est comme ça qu'on faisait dans les années 90 où justement on n'avait pas accès à tout ça et qu'on avait que des pauvres magazines on disait ah bah tiens tel musicien il a fait tel album et il fait tel truc du coup on s'intéressait à ça ou qu'on allait découvrir des trucs à la FNAC, des fois en achetant sans savoir ce que c'était, sans pouvoir écouter. À la FNAC, du coup, t'as un peu une attitude de découvrir. Comment t'découvrais les choses à l'ancienne ? [00:56:45] Speaker C: Moi j'avais découvert pas mal de choses à la FNAC, quand il y avait les casques où tu pouvais scanner le CD. [00:56:50] Speaker B: Ouais, ça serait déjà moderne, attends. Ouais, mais c'est... [00:56:53] Speaker E: Tu pouvais avoir 30 secondes de... Ouais. [00:56:56] Speaker C: Mais moi ça me suffisait à me. [00:56:57] Speaker B: Dire « oh putain, ça a l'air. [00:56:58] Speaker C: Cool », etc. Du coup, il y. [00:57:00] Speaker E: A des albums où je connaissais un morceau, que je trouvais mortel et qu'effectivement si j'avais su parce qu'en gros dans l'album il n'y avait qu'un morceau qui était cool. [00:57:07] Speaker B: Tu parles de Colchaba ? [00:57:09] Speaker E: Non en général ils en ont deux ou trois qui sont sur les douze. [00:57:12] Speaker B: C'est vrai qu'il y a Big Truck. Mais oui on avait ça. [00:57:17] Speaker C: Mais ouais et du coup moi j'étais vraiment limité à la radio et à la télé et les émissions spécialisé, etc. C'était pas... Si ça existait un peu sur M6 et tout, ça fait bizarre de dire ça sur la chaîne de... de... comment c'est ? Mes chers voisins ? [00:57:32] Speaker E: Non. [00:57:33] Speaker C: Scène de ménage, voilà. Vraiment, les gens qui regardent la télé aujourd'hui et qui n'ont pas connu ça, dans les années 90, ils doivent se dire mais c'est pas du tout la même chaîne. [00:57:42] Speaker B: Il y avait beaucoup de culture quand même. [00:57:44] Speaker C: C'était présenté comme une chaîne musicale. Il y avait le boulevard des clips. [00:57:49] Speaker B: C'est métropole mais c'est aussi musique, c'était ça le M. [00:57:52] Speaker D: À l'époque où M6 c'était une sorte d'alternative en quelque sorte chez la TF1 et aux services publics. [00:57:57] Speaker C: Et ouais, non, même comme je disais, dans les années 90, il y avait quand même étonnamment une diversité assez musicale. Moi je me rappelle que quand j'étais gamin j'écoutais Energy et on peut se dire bah c'est de la merde mais en vrai Energy passait vraiment de tout. Ça pouvait passer de Francis Cabrel à Pink Floyd à je sais même plus si vous vous rappelez de Our Lady Peace. Ça passait sur Energy ça ! Et du coup, on bassinait nos parents avec mes sœurs, avec Nirvana, parce que ça passait à la radio. Aujourd'hui, les gamins... [00:58:33] Speaker B: L'échange avec les parents est peut-être plus limité si c'est pas quelque chose qui est très grand public. [00:58:39] Speaker C: Après ça les saoulait quand même parce qu'ils n'étaient pas très habitués à ça, etc. C'était vraiment la musique des jeunes qui crient, etc. Mais n'empêche qu'on avait quand même accès à ça, et ça a quand même posé une pierre, pas forcément pour tout le monde, mais pour plein de gens qui ont pu se diriger vers d'autres styles musicaux, un peu comme je l'ai fait avec moi. [00:58:59] Speaker B: Peut-être que les parents sont un peu plus ouverts d'esprit aujourd'hui aussi, c'est possible. [00:59:02] Speaker C: Oui parce que forcément... [00:59:03] Speaker B: Ils sont habitués à des trucs un peu plus extrêmes. [00:59:05] Speaker C: C'est des gens aussi comme moi, comme Didier, voilà, qui arrivent sur nos... Moi. [00:59:11] Speaker E: Du coup je connais l'inverse là. [00:59:12] Speaker B: Bah toi t'as un enfant donc... Non. [00:59:13] Speaker E: J'Ai un enfant et j'essaie de lui faire découvrir des trucs, donc il aime bien, il aime Yarns of the North Star, il aime bien Ultra Vomit parce que bon ça parle de pipi et de caca. Mais après, il revient du centre aéré et il chante Magic System quoi ! [00:59:25] Speaker B: Ouais mais attends, est-ce que c'est grave ? [00:59:27] Speaker E: Non ! Bah non, c'est pas grave ! [00:59:28] Speaker B: Ils vont pas commencer à lui faire écouter du free jazz tout de suite ! C'est intéressant de faire, mais bon... [00:59:34] Speaker E: C'est juste que du coup, quand je le lave, on chante Magic System, j'allais l'évoquer ! les bras en l'air et hop, et. [00:59:41] Speaker C: Il est comme ça, il fait « Allez, allez, allez », et là j'ai. [00:59:43] Speaker E: Le savon sur les bras. [00:59:44] Speaker C: Mais on avait ça aussi, nous, parce que ce que je dis, effectivement, oh là là, il y avait du rock alternatif sur la radio, mais on avait aussi la danse, tu parlais de dance machine tout à l'heure. [00:59:52] Speaker B: Moi je suis fan de danse, j'adore. J'ai renié la danse à l'époque, et puis maintenant quand je le vois, je me dis, dans le casque des fois, dans la rue, je me dis « Ah vas-y ». [00:59:59] Speaker E: Toutes les musiques mainstream de l'époque qu'on pouvait rejeter, Même les trucs genre les débuts de Britney Spears en fait, il y a eu des trucs pas mal. J'ai toujours aimé. Mais toi t'as jamais arrêté. Toi t'es quand même le Micorne Myriana quoi. [01:00:14] Speaker B: Myriette aussi. Coriana. Moi j'aime bien la vieille merde française aussi, les années 80. Je suis un grand grand fan de... [01:00:24] Speaker E: Ça c'est Bébetcho, c'est pas pas. [01:00:26] Speaker B: Ça aussi j'en suis fan. [01:00:29] Speaker C: Moi j'adore les très mauvaises imitations, je suis friand ça. [01:00:35] Speaker B: On va devenir très très amis, attention. [01:00:37] Speaker E: On va faire un battle d'imitation de Marv de Benshoff. [01:00:40] Speaker B: Voilà, désolé pour les plus jeunes. [01:00:46] Speaker D: On a perdu tout notre auditoire de moins de 40 ans, là c'est fini. [01:00:48] Speaker B: On essaye de se renouveler, mais on le fait quand même un petit peu. On a déjà parlé de Brave New Horizon, et puis on sait qu'on peut faire des jeux en 3D. Regardez pas comme ça, c'était une vanne. [01:01:02] Speaker E: Je te regarde parce que je te regarde tout le temps. [01:01:04] Speaker B: C'est vrai, tu regardes tout le temps ce manque de cheveux que j'ai. T'as une casquette, on peut pas voir. Tu t'amendes de cheveux. Pardon ? Tu disais ça pour moi ? T'as regardé dans mon téléphone ? [01:01:16] Speaker E: C'est vrai qu'entre ces deux-là, niveau capillaire, on a une sacrée masse de cheveux. [01:01:19] Speaker B: La chance ! Oh là là là là là là. Si vous aussi vous avez des cheveux, n'hésitez pas à nous envoyer des photos de vos cheveux par mail, parce que je suis vieux, pierre.resles.com. Celui qui aura la plus belle coupe de cheveux, je lui enverrai une vingtaine de CD. [01:01:34] Speaker D: Sachant qu'ici, c'est le congrès des bruns barbus et graphistes, aujourd'hui... Putain, c'est vrai. [01:01:39] Speaker B: Oui, c'est vrai que oui, mais pas moi. [01:01:42] Speaker E: Non, Pierre aussi, parce que moi je. [01:01:43] Speaker B: Me rappelle, il y a trois ans. [01:01:46] Speaker E: Pierre m'a demandé de refaire son CV, j'ai refait son CV et dans le truc, il y avait maîtrise de Photoshop. J'ai dû l'écrire dans son CV. [01:01:54] Speaker B: Il y avait marqué maîtrise de l'anglais aussi. [01:01:56] Speaker E: Tu peux me transformer cette PSD en PNG s'il te plaît ? [01:02:00] Speaker D: C'est ce qu'on appelait un pieux mensonge. [01:02:02] Speaker B: Oui, il faut bien se vendre. Et ça marche. Et pour ça aussi que vous perdez du taf. [01:02:07] Speaker E: Surtout qu'il l'ait fait. [01:02:09] Speaker B: Non, parce qu'en fait on ne les fait pas, mais nous on fait gratos et puis on demande à son pote qui devrait être payé de le faire. Et puis finalement il nous le donne et puis on le vend. [01:02:15] Speaker C: Les IA, vous connaissez. [01:02:16] Speaker B: Il n'y avait pas ça à l'époque. [01:02:19] Speaker D: On va enquêter ton compte sur Fiverr. Ou sur Malte. [01:02:22] Speaker C: Tu parlais tout à l'heure de faire découvrir des choses à ton fils. Et moi j'ai un pote dont le fils est fan de Sabaton. Et si ton fils revient de la centrale et dit « Eh papa j'adore Sabaton et les guerres ». [01:02:35] Speaker D: Bah écoute, à notre époque il y avait des gamins qui étaient fans de G.I. Joe, c'est un peu la même chose finalement. [01:02:42] Speaker E: C'est vrai parce que c'est ta mère qui sera ravie. Du coup, ma femme aime bien le... Ma femme aime bien en tant que polonaise aussi les vieux trucs de métal. Et en plus, sa bataille... [01:02:57] Speaker B: Il y a quelques années de retard. Je suis polonais, je m'en fous. [01:03:01] Speaker E: J'ai le droit, je suis polonais, je suis gay. [01:03:03] Speaker B: J'ai le droit de dire plein de. [01:03:04] Speaker E: Saloperies sur les deux. Ils ont fait une chanson sur les combattants polonais où ils étaient 1 contre je ne sais pas combien. c'est un de leurs gros tubes, et du coup si Alec revient à la maison en disant j'aime Sabaton, elle sera trop contente ! [01:03:19] Speaker B: On est d'accord quand même que ça veut dire qu'au centre aéré il s'est passé quelque chose ! Le SNU ! [01:03:24] Speaker C: Est-ce que vous connaissez le SNU ? On adore ! [01:03:28] Speaker D: A quand la chanson de Sabaton sur. [01:03:29] Speaker C: Le SNU je vous le demande ? Faut dire ça... Non c'est plus Gabriel Attal, c'est... Michel Barnier ! [01:03:36] Speaker B: Moi je suis toujours sur Michel Barnier mais apparemment c'est pas elle ! Ça aurait été tellement plus cool. [01:03:42] Speaker C: Elle nous aurait fait le démon de midi tous les jours. [01:03:46] Speaker B: Mais ça c'est la France, voilà, mais c'est ça qui aurait été rigolo. Là c'est bon. Passons, on n'est pas là pour parler politique. J'ai demandé à Didier de te demander des clips qui ont marqué ta vie et le premier que nous allons diffuser est un moment fort de télé justement et bravo à toi d'avoir saisi l'occasion pour parler de cette diversité. [01:04:05] Speaker C: En plus c'est surtout qu'il n'y a pas de clip pour ce morceau. [01:04:07] Speaker E: Oui aussi. [01:04:08] Speaker B: Mais NPA nulle part ailleurs. [01:04:10] Speaker C: Je sais pas si on en parle avant ou après. C'est Stéphane Saunier, le mec qui faisait. [01:04:15] Speaker E: Un travail de malade. [01:04:17] Speaker C: C'était même celui qui éditait Sleep Net en France, si je ne dis pas de bêtises. [01:04:20] Speaker B: Stéphane Saunier il a fait beaucoup beaucoup de choses, il a participé à énormément de choses. Je ne sais pas s'il travaille encore, malheureusement il n'était pas en super bonne santé. On l'embrasse très fort parce que c'est une personne adorable, mais je ne sais pas où ça en est. Dites-nous si vous avez des informations, il a l'envoi des cœurs bien sûr. [01:04:36] Speaker C: Il a contribué à beaucoup d'accurature musicale donc pareil je le remercie très énormément. [01:04:41] Speaker B: C'est lui qui faisait toute la proc de musical parce qu'il y avait des lives en fait en direct. Et souvent métal quand même, au moins alternative rock. [01:04:49] Speaker C: Ouais surtout alternative, enfin métal, alternative rock est assez varié etc. Et surtout on parle souvent, quand on dit bonne émission de musique à la télé, on dit taratata. Moi ça, Taratata, ça m'a toujours un peu gonflé parce que c'était assez... C'est assez plan-plan quoi, c'est... Non mais. [01:05:06] Speaker E: En fait, dès qu'on me dit Taratata, je repense au duo entre Offspring et ChakaPonk, qui est catastrophique. [01:05:13] Speaker B: Il était très bien ce duo, on a fait... Pardon, ils ont fait beaucoup d'efforts. [01:05:17] Speaker E: C'est vrai que le playback ne se voit pas du tout. [01:05:21] Speaker B: Des fois il faut, c'est pas grave. Non mais peu importe, je suis pas là pour défendre ça mais je n'aime pas Taratata non plus. Encore que ça existe je dirais aujourd'hui mais... [01:05:29] Speaker C: En fait le truc c'est que Taratata c'est, comme j'avais lu un jour dans un article, c'est une bonne émission de musique médiocre. C'est très bien produit, c'est très... [01:05:43] Speaker B: C'était écrit dans le Télérama ? [01:05:45] Speaker C: Non je ne sais plus du tout. [01:05:46] Speaker E: C'Était en fait... Fringes magazine. [01:05:51] Speaker C: Et je crois que c'était quand la première fois que Taratata s'est arrêtée, parce que ça s'est arrêté et reconduit un milliard de fois. [01:05:58] Speaker B: On peut pas lui enlever qu'il se soit battu pour que cette émission existe. [01:06:00] Speaker C: Ah ça pour le coup ça, parce que je sais que Nagui il aime beaucoup la musique. [01:06:05] Speaker E: Et tu es des chevaux. [01:06:06] Speaker C: Et je reconnais le taf, je reconnais, c'est vraiment un truc deep internet, terminale online, enfin vraiment. [01:06:16] Speaker D: Culture Twitter. [01:06:19] Speaker C: Et ouais, donc je reconnais le taf sur la production, etc. Mais les invités, vraiment, c'est à mon pitch, quoi. c'est pas très intéressant quoi. [01:06:28] Speaker B: Je me permets, je défends Nagui mais je n'aime pas cette personne en réalité, après c'est des raisons personnelles mais il se bat, c'est vrai, et puis pour réussir à faire en sorte que ça existe et donc de temps en temps qu'il y ait des artistes un peu plus, on va dire qui changent de l'ordinaire, c'est ceux qui sont intéressants, il faut quand même faire venir globalement la popularité, enfin les artistes populaires français C'est. [01:06:55] Speaker C: Juste que c'est pas mon goût. C'est juste que ça m'énerve un peu de dire à chaque fois que le summum du bon goût musical c'est Taratata. [01:07:01] Speaker B: Non, non, faut pas déconner, je pense que c'est un mange-merde qui dit ça. [01:07:06] Speaker E: Pour ramener le sujet, alors que c'est en url par ailleurs, T'avais quand même des groupes ultra violents, des trucs ultra underground qui côtoyaient, des trucs ultra pop, ultra mainstream. Tu pouvais avoir un jour... Je sais pas qui... [01:07:20] Speaker B: Tu pouvais avoir Madonna et... [01:07:22] Speaker D: Tu pouvais avoir Madonna et Céline Dion. [01:07:24] Speaker E: Céline Dion qui chanta « Isle of Destruction » en défonçant le château. [01:07:29] Speaker C: J'avais découvert Compay Segundo comme ça, le chanteur de Buena Vista Social Club qui allait déjà sur plus de ses 90 ans, et c'était vraiment trop bien. Et voilà, le lendemain ça pouvait être Tréponempal qui monte sa bite. [01:07:40] Speaker E: Tout ça avec les mégazoraks de Philippe Gildas. [01:07:46] Speaker C: Formidable. [01:07:48] Speaker B: Ah ouais c'est bon, j'aime bien cette émission. [01:07:51] Speaker C: Moi ça me faisait rire de genre, salut c'est Philippe Gidda, j'ai 70 ans et voici Helmet. [01:07:55] Speaker B: Et oui c'était improbable. [01:07:58] Speaker C: Et en plus, au-delà de la programmation musicale qui était assez, bon alors après c'était Canal, parce que comme ils avaient pas, ben ici ils avaient de l'audience etc, mais ils pouvaient se permettre plein assez de la liberté. C'était vraiment bien filmé et pareil en termes de son c'était vraiment cool quoi, je suis pas spécialiste du son ni rien. [01:08:14] Speaker B: Mais je trouvais ça bien, pour de. [01:08:15] Speaker C: La télé c'était vraiment cool et voilà donc pareil ça... des formations professionnelles entre guillemets mais parce que j'étais jeune mais c'est un peu comme ça aussi que ça a commencé à m'intéresser parce que moi je regardais beaucoup la télé parce que j'avais pas d'ordinateur etc blablabla du coup je regardais pas mal la télé moi j'étais déjà fasciné par voilà les habillages télé genre les plateaux etc et moi j'étais fasciné par le taf que faisait Canal sur ces trucs là et en particulier donc les lives moi ça m'a beaucoup marqué et donc le live de Radiohead alors je sais pas si t'as encore dit le titre donc Radiohead Idiothèque Radiohead, Idiothèque, c'est vraiment genre un soir, bon qu'ils reçoivent Radiohead, moi vraiment Radiohead j'avais j'en étais resté à pablohoney.barre je suis vraiment passé à côté de Ok Computer et tout le reste et ils viennent promouvoir Kid A et donc ils chantent deux morceaux je crois et donc Idiothèque et il commence à y avoir genre c'est plein de trucs électroniques etc, je fais wow ! T'sais y'a vraiment un truc qui se passe instantanément quoi, je fais putain qu'est-ce qui se passe ? En plus je sais plus vraiment ce que j'avais comme goûts un peu musicaux à ce moment-là, je crois que vraiment c'était un peu dans la période où les radios commerciales ça commençait à me faire chier parce que... ça commençait à pas être très intéressant etc du coup je savais pas trop quoi écouter je me rappelle vraiment plus que... mais vraiment et ça arrive ça d'un coup un peu comme un coup de massue j'avais jamais entendu ça de ma vie genre un tel son genre des telles expérimentations des choses comme ça c'était pas une chanson pop au sens propre du terme c'était pas ni du rock ni vraiment de l'électro etc c'était vraiment très bizarre mais en même temps vraiment je suis resté scotché devant et vraiment à partir de là, ça a un peu alimenté mon goût pour la curiosité, etc. Donc vraiment c'est un point pivot de ma culture musicale et un peu de ma vie. [01:09:54] Speaker B: Je sais que le speak est long mais on va continuer sur une petite idée juste avant de diffuser ce passage à nous par ailleurs. On parle jamais de ce sentiment quand justement on découvre qu'il y a quelque chose qui passe ? et d'un seul coup, tu sais, tu l'expliques pas, mais y'a un truc qui t'anime, c'est comme un coup de foudre, t'as un peu le ventre qui... [01:10:13] Speaker C: C'est clairement ce qui s'est passé. [01:10:15] Speaker E: Mais en plus, pour le coup, ils se sont vraiment mis en danger avec cet album. [01:10:19] Speaker B: Ils s'étaient fait un peu tacler aussi. Ils se sont fait tacler, mais ils. [01:10:22] Speaker E: En ont vendu des millions. Alors je suis moins fan de l'expérimentation qu'ils font maintenant, je trouve ça plutôt chiant, mais pour le coup Kid A était vraiment un truc, ils ont ouvert la porte à plein de choses, c'était expérimental mais en même temps ultra intéressant, ça ne te coupait pas, tu pouvais rentrer dedans facilement. [01:10:43] Speaker B: Et de le faire à une époque aussi où les gens écoutaient soit que du rock, soit que d'électro, ils se mélangeaient pas les gens. [01:10:50] Speaker D: Et comme on disait d'ailleurs, hors antenne, à propos de Radiohead, nous on a l'habitude de passer du rock, du métal, etc. Je pense que le nombre de groupes qui se sont inspirés de cette période de Radiohead, dans le métal en tout cas, on le soupçonne assez difficilement. [01:11:05] Speaker B: Oui, oui, oui, non mais Radio Adobe dans le métal, bien sûr, ils ont influencé beaucoup de gens. Alors regarde, Durand Durand, ils ont influencé Korn. Et Deftones. [01:11:11] Speaker E: Et Deftones. [01:11:12] Speaker B: Putain, comme ça tu ne diras rien. Non, non, mais c'est vrai que ce sentiment quand on découvre quelque chose, je sais pas si vous en pensez aussi dans le schmull ou si vous regardez la VOD, mais il y a un truc qui se passe, il y a une magie. Je sais pas si c'était des fois t'attiré parce que c'est juste très violent. Je sais que le métal souvent nous dit je t'ai attiré parce que c'était un peu interdit. Mais là c'est pas interdit, tu découvres un truc et t'as cette sensation de connaître des gens et d'en faire partie. [01:11:39] Speaker E: Du coup là c'était le visuel justement. La première fois que j'ai vu Deftone à nulle part ailleurs, C'était même pas tant là, parce que pour le coup, le son était, je crois que c'était, je sais plus si c'était pour le premier album, le son était pas ouf, mais c'était les images de Chi. Du coup, avec ses longues dreads, avec la caméra qui était en plongée. Juste, en fait, j'ai été fasciné par, bon après, j'ai toujours été fasciné par les bassistes. Mais là, genre, j'ai scotché. Et après, j'ai cherché à écouter, du coup, plus le groupe, mais c'était plus, juste visuellement, les images de Chi qui joue de la basse et qui headbang et qui fait voler ses dreads partout. [01:12:13] Speaker B: C'est vrai. Aujourd'hui c'est bien aussi mais on est un peu plus vieux donc si vous êtes jeunes vous nous raconterez. On va regarder ce premier morceau choisi par Guillaume, Radiohead en live NPA nulle part ailleurs, c'est donc Idiothèque. Fast and the children, fast and the. [01:13:34] Speaker A: Children I laugh until my head comes. [01:13:38] Speaker B: Off I swallow till I burst, till I burst, till I Who's in the bunker, who's in the bunker? I've seen too much, you haven't seen enough, you haven't seen I laugh until my head comes off Women and children, fast and children, fast and children. [01:14:12] Speaker A: Ah. [01:14:15] Speaker E: Ah ah. [01:16:24] Speaker B: BANG BANG. [01:16:52] Speaker A: À suivre. [01:17:20] Speaker B: Do you hear this? Step back, it's not any of your. [01:17:22] Speaker C: Business You always seem so desperate to. [01:17:23] Speaker B: See the inside of my mind So. [01:17:24] Speaker A: Give me your lobotomy Cause you keep trying to say there's something wrong with. [01:17:27] Speaker B: Me So open up my brain and. [01:17:28] Speaker A: You might actually see It's not me, I'm the problem Spent your whole life with your one-track mind Always trying to define what you just don't know Now. [01:17:33] Speaker B: You try to diagnose, won't let me. [01:17:34] Speaker A: Oppose Cause it's kind of strong, oh god, I'm just an idol C'est la fin de cette vidéo ! Je n'ai pas le droit d'être un putain de monstre Je n'ai pas le droit d'être un putain de monstre Je n'ai pas le droit d'être un putain de monstre Je n'ai pas le droit d'être un putain de monstre Je n'ai pas le droit d'être un putain de monstre. [01:20:21] Speaker B: The Silly Sors à l'instant donc dans Bang Bang avec le titre Psycho, une petite nouveauté que j'aime bien, c'était un petit peu néo métal, un petit peu metalcore, il y a un petit peu tout qui se mélange avec toutes ces couleurs, ce petit dessin là, ah ah, moi ça m'a fait du bien, voilà, je sais pas ce que t'en as pensé, t'as même pas écouté. [01:20:38] Speaker D: Plutôt sympa, si si si, ça balance plutôt bien. [01:20:40] Speaker B: Ça donne envie de jumper ça donne envie de danser. [01:20:42] Speaker D: Oui oui, voilà, c'est un morceau qui donne envie de jumper. [01:20:46] Speaker B: J'ai vu c'est des britanniques voilà si on pensait que c'était des américains pas du tout ce sont des britanniques et je me tourne vers nos invités ce qui sont bien cadrés cette fois-ci. [01:20:53] Speaker A: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:20:53] Speaker B: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:20:54] Speaker E: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:20:55] Speaker B: Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:20:56] Speaker C: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:20:58] Speaker B: Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:20:59] Speaker D: Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:21:01] Speaker B: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:21:01] Speaker C: Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:21:04] Speaker E: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:21:04] Speaker C: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:21:05] Speaker A: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:21:06] Speaker C: Bonjour, je m'appelle Vincent. [01:21:08] Speaker B: Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m'appelle Vincent. Bonjour, je m. [01:21:12] Speaker D: C'est bon les imitations de faibles factures. [01:21:14] Speaker B: Vous pouvez me faire ça pendant des milliers d'heures. [01:21:16] Speaker C: Moi aussi j'adore. [01:21:17] Speaker B: Et les mêmes en boucle. Et plus c'est raté, mieux c'est. [01:21:21] Speaker E: Je pense que Pierre, si t'avais été sur le forum où on s'est rencontré. [01:21:24] Speaker B: Avec Guillaume, t'aurais été très actif aussi. J'imagine que tout ça, ça n'existe plus ? [01:21:32] Speaker C: Oula non, c'était plus de 20 ans. [01:21:36] Speaker E: Déjà là quand on s'est croisé en venant, c'est quand la dernière fois qu'on s'est vu ? Ah oui c'était à Rock en Seine il y a 14 ans. Et déjà là ça faisait un bouton qu'on s'était pas vu donc ouais c'est... [01:21:45] Speaker B: Bon on n'est pas tout jeunes on l'a dit, désolé mais il faut de tout pour faire un monde. Il y en a des willy qui l'ont dit. [01:21:50] Speaker D: Des jeunes, des vieux, il y en a qui naissent jeunes et il y en a qui naissent vieux. [01:21:53] Speaker B: C'est vrai qu'il y en a qui naissent vieux. [01:21:54] Speaker C: Comme les vieux sur un button. [01:21:56] Speaker B: Oui, je sais pas. Bon bref. Pourquoi il n'y a écrit que ce pas style sur... Didier ramène... Bon je sais pas. [01:22:07] Speaker D: Didier ramène Ronny Radke. Je crois que c'est un coup de Marcel. [01:22:10] Speaker B: Ouais, Marcel, je crois qu'il est en pétage de plomb. Probablement, quand on grille, ça va mal tourner. Qu'est-ce que vous avez pensé de la chanson que nous venons d'écouter et de regarder par la même occasion ? [01:22:21] Speaker C: Alors je vais être très honnête, je n'ai aucun avis. C'est pas le genre de musique que j'écoute, ça me passe un peu au-dessus. C'est trop connu ? Ça serait vraiment très prétentieux de ma part de dire ça, ça m'accroche pas. Juste ça m'accroche pas, mais je peux pas dire que c'est mauvais. [01:22:37] Speaker B: Et graphiquement ? Graphiquement... T'aimes pas le côté AA ? [01:22:41] Speaker C: C'est pas très AA. [01:22:43] Speaker E: C'était bien avec les bouillages. Il y a une esthétique très fin, très émo de 2000 où t'avais des trucs comme ça, un peu des scratchs. Il n'y a rien d'innovant, mais c'est bien fait. Ça, ça se regarde, ça s'écoute. [01:22:58] Speaker C: Exactement, c'est pile poil mon avis. [01:23:01] Speaker E: Ils ont fait pas mal d'orthodontie et c'est pour ça qu'on croyait qu'ils étaient américains. [01:23:04] Speaker B: C'est ça qu'ils voulaient ? Oui, c'est ça. [01:23:10] Speaker D: Comme on dit souvent poliment, c'est propre. [01:23:15] Speaker E: Comme ça a été le cas avec le Néo à un moment donné et comme c'est maintenant le cas avec le Metalcore, c'est propre. [01:23:21] Speaker B: Chaque époque a sa petite critique de la musique qui marche. C'est pour ça qu'il ne faut pas se vexer, ne vous inquiétez pas, vous ferez la même chose avec les prochains. Même si vous dites non, c'est faux, vous allez voir. C'est ce qu'on s'est dit aussi. C'est à quel âge que tu penses t'as bifurqué sur le rock ou les musiques alternatives ? [01:23:40] Speaker C: Bah je pense comme à cette période un peu de, comment dire, avec les lives de NPA, avec Radiohead, etc. Parce que vraiment... Oui et non, parce que comme je te disais tout à l'heure, quand il y a eu l'explosion de Nirvana, c'était très tôt dans les années 90, donc je n'étais très jeune. Ça a posé une pierre, mais après est-ce que c'était complètement ma culture ? [01:23:58] Speaker B: Oui mais ça t'avait déjà un petit. [01:24:00] Speaker C: Peu... Bah en vrai oui, du coup j'étais dans la période qu'après ça parle pas forcément à tout le monde mais... Mais oui, du coup, entre les chansons de Dance, etc., qui quand même étaient assez majoritaires à la radio, il y avait ça, il y avait ce genre musical où les bisondistes ont dit, tiens, ça, ça a l'air bien pour les jeunes, donc on va miser dessus. Et du coup, bah ouais, ça a permis de poser un peu une pierre, mais ouais, après vraiment le... [01:24:24] Speaker B: Tu te souviens pas de la première chanson, du premier truc, clip, ou je sais pas, peut-être... Non mais attends, parce que t'as les parents, t'as peut-être tes parents qui... Tu m'as dit que c'était pas trop musique extrême, ni hard rock, ni glam. [01:24:33] Speaker C: Rock, ni... Non, en vrai, pas très original, « Smell Like Teen Spirit » de Nirvana, genre ça passait toutes les semaines dans le top 50 sur Canal, avec Marc Tovesca et... Non, c'était Tovesca ou c'était Yvan Le Boloc et Bruno Sologne, je ne sais plus. [01:24:49] Speaker E: Mais les deux l'ont fait, donc c'est vrai. [01:24:50] Speaker C: Oui, bah justement, ça dépend de la période. [01:24:52] Speaker B: Ça se mélange un peu, ouais. [01:24:53] Speaker E: Je pense que c'était un peu plus tard. [01:24:57] Speaker C: Ah ouais donc du coup c'était vraiment tôt et du coup ça imprime quoi et pareil parfois je tombais sur le boulevard des clips etc où justement vraiment l'équipe de rock était assez légion mais après est-ce que c'est vraiment ça qui a consolidé ça ? Je dirais plutôt c'était la première paire mais vraiment je pense que oui effectivement. [01:25:17] Speaker B: Le. [01:25:19] Speaker C: Le vrai passage aux musiques alternatives et tout, bah c'est ce live de NPA. [01:25:25] Speaker B: T'avais 8 ans à peu près ? [01:25:27] Speaker C: Pour ? [01:25:27] Speaker B: Pour ce Nirvana. [01:25:29] Speaker C: Nirvana, ouais, je sais plus quand est-ce que c'était Nirvana, c'était... Mais ouais j'avais moins de 10 ans, j'avais moins de 10 ans largement. [01:25:34] Speaker E: Pour le coup moi, alors ça va revenir un peu sur les imitations qu'on faisait tout à l'heure, mais moi le premier truc de rock, de métal hard rock que j'ai vu enfant, qui m'a marqué, C'est Europe de Final Countdown qui était venu faire une apparition dans un sketch du bébé de show et qui faisait après le live dans Cocoboy. [01:25:53] Speaker B: Encore pire ! [01:25:55] Speaker E: En gros ils faisaient un sketch, on arrive sur Mars et puis ils sortent de leur vaisseau spatial et ils reviennent avec des mecs avec les cheveux verts et là il y a Europe qui fait leur morceau en playback et ça m'a marqué. [01:26:07] Speaker C: C'était ouf cette émission, il y avait Jackie Chan aussi dans un Cocoboy. [01:26:10] Speaker B: C'était un peu particulier mais il y avait de grands invités. Il y a eu les Q aussi dans mon co-chorégraphie. [01:26:14] Speaker C: Genre vraiment, il y a eu une période dans les années 80 où vraiment... [01:26:19] Speaker E: Jean Rocca a été à la base de tout. [01:26:21] Speaker B: Du bon et du mauvais goût. [01:26:25] Speaker C: Mais ouais je pense que vraiment mon intérêt de mon propre chef pour les musiques alternatives, pas forcément métal mais en tout cas ça a fait partie de mes recherches entre guillemets mais on en parlera un peu tout à l'heure avec le dernier clip je pense. parce que ça c'est sûrement le plus vieux mais je pense que ça ça a vraiment un peu consolidé un peu mes goûts aujourd'hui encore enfin ça a évolué un peu mais en tout cas et ouais donc vraiment donc il y a eu ça ce déclic avec les lives de nulle part ailleurs etc et puis vraiment je me suis j'ai vraiment pas fait des recherches mais comment dire Ouais, je me suis un peu cherché musicalement et j'ai commencé un peu à creuser dans justement ce qui se faisait un peu à côté, c'est-à-dire sur des petites radios, sur ce qu'il n'y avait pas encore vraiment internet. Ça avait commencé à émerger un peu, c'est juste que moi je l'ai vu bien plus tard. Et du coup, moi j'avais une petite radio qui existe toujours d'ailleurs. et je salue certains que je connais qui bossent encore là-bas, une radio à Caen, parce que moi je viens de Caen, de Normandie, une radio qui s'appelle toujours Radio 666, et du coup, c'est une très très très bonne radio, où vraiment, qui est justement très axée sur les découvertes, etc, et du coup j'en avais un peu entendu parler au lycée, etc, et du coup je me suis mis à écouter ça, et je me suis fait mes petits rendez-vous, j'ai écouté un peu la prog etc donc vraiment je piochais dans pas mal de choses donc ça allait de genre justement ça pouvait passer un peu de radiohead comme genre c'était vraiment la grosse période du ska festif de... [01:28:03] Speaker B: Arrêtez de cracher toujours sur le cas festif, en vrai pourquoi pas ? [01:28:06] Speaker C: J'ai longtemps eu une période Marcel et son orchestre, Scapé, etc. J'en suis un peu revenu parce que c'est plus ce qui m'intéresse aujourd'hui, mais ça a un peu contribué à... T'as. [01:28:16] Speaker E: Quand même des carreaux noirs et blancs sur ta... [01:28:18] Speaker C: Alors vraiment, je tiens à préciser. [01:28:22] Speaker B: On a dit pas les habits. Le physique oui mais pas les habits. [01:28:26] Speaker C: J'aime toujours le ska. Le ska, genre les skatalites, les specials, etc. Genre même le Tokyo Ska Paradise Orchestra par exemple, sont des très bons groupes de ska je trouve. Alors que vraiment ce qui est Los Tres Puntos, etc. c'est plus le ska. [01:28:38] Speaker E: Français ou espagnol qui peut être un peu... ou c'est un peu comme le Sinsémia ou le... comme c'est un peu devenu Cypress Hill maintenant ou c'est un peu genre on fait que parler de. [01:28:48] Speaker D: Shit et Ah bah l'égal, égalisable. [01:28:50] Speaker B: Ah oui dans les paroles tu veux dire. [01:28:53] Speaker E: C'est un peu les Patrick Sébastien du cannabis. [01:28:56] Speaker C: C'est Jean-Luc Lothénia qui disait, il y avait une chanson qui s'appelait « Contre le cannabis » et qui disait « Je suis contre les chansons sur le cannabis comme les chansons à boire » et oui Sint-Semilia, vous ne valez pas mieux que licence 4. [01:29:10] Speaker B: Et c'est vrai que le chanteur de Sint-Semilia à l'époque ressemblait à Paul Prébois. [01:29:17] Speaker C: Avec des dreads. [01:29:18] Speaker B: Avec une dread, et c'est toujours un rêve. [01:29:20] Speaker C: C'est vrai que Paul Prébois aurait pu faire des sketchs genre « Ah mais mec, je suis Bob Marley » Voilà, on a perdu tous les gens de moins de 25 ans là, c'est terrible ! [01:29:41] Speaker B: Faut regarder ça avec du recul. [01:29:44] Speaker C: Le club Dorothée où Paul Prébois est invité, parce qu'apparemment l'idole des jeunes, des enfants, ça devait être Paul Prébois. Comme tu penses qu'on devrait. [01:29:52] Speaker E: Parce que moi je me rappelle, je regardais les émissions de Patrick Sébastien. [01:29:55] Speaker B: On est vraiment en train de faire un débat sur Paul Prébois. [01:29:57] Speaker E: Mais je m'en foutais. En gros, de toutes les émissions, je m'en foutais parce qu'il y avait des sketchs que je ne comprenais pas, j'étais trop jeune. Mais je voulais juste, parce qu'à la fin, il y avait Paul Prébois qui venait. [01:30:05] Speaker C: Qui faisait la tchutcholina avec les faux nichons. [01:30:07] Speaker E: Il disait que des faux nichons, il disait maman les nichons. Et je voulais juste voir ça. Et j'étais mort de rire ! [01:30:14] Speaker C: Mais en vrai, oui, c'est compréhensible. C'est comme moi, quand Patrick Sébastien me disait crac crac, j'étais le maire de Paris, tu vois. [01:30:19] Speaker B: Je tiens juste à dire aux jeunes, il faut pas s'offusquer. C'est un morceau de l'histoire. [01:30:24] Speaker C: Vous serez comme ça plus tard. [01:30:26] Speaker E: Je vous le dis. [01:30:27] Speaker B: Peut-être pas, mais c'est un morceau de l'histoire de France. Il faut juste regarder pour comprendre aussi. [01:30:31] Speaker D: Un morceau du roman national, bien sûr. [01:30:33] Speaker B: Ça fait partie de l'histoire de France. [01:30:35] Speaker C: Comme les gens de la Coupe du Monde 98, ça fait partie de l'histoire. [01:30:38] Speaker B: Et les plus grandes... C'était du qualitatif de l'époque. [01:30:45] Speaker E: Le rock, c'est ce qui nous a rapproché aussi à un moment donné quand je suis arrivé à HRS Class, c'est que j'avais la même référence Guy Montagné que toi. [01:31:04] Speaker B: Merci, merci Didi. Et est-ce que ça t'a aidé cette musique, ou cette façon de chercher la musique, est-ce que ça t'a aidé à avoir des potes, à en développer un certain cercle d'amis ? [01:31:17] Speaker C: Ah c'est une bonne question ça ! [01:31:19] Speaker B: Ou est-ce que tu as été de ceux qui ont été mis un peu de côté parce qu'ils écoutaient cette musique ? [01:31:23] Speaker C: Non pas forcément, parce que je pense que vraiment, je pense que vraiment tout ce qui était Deftones, etc, Korn, etc, c'était quand même Assez populaire dans les lycées, etc. C'est juste que moi, vraiment, je m'y suis mis assez tard. Par contre, ouais, j'ai... Alors, je sais pas si vraiment ça m'a apporté des potes, mais parfois, dans les concerts, souvent, quand tu... Bah, par exemple, les concerts de hardcore que je fais souvent, régulièrement, on croise un peu toujours les mêmes têtes, et du coup, j'ai fait des connaissances, j'ai fait... Voilà, maintenant, on se connaît, on est des potes... sinon non ça n'a pas forcément apporté des connaissances alors parfois il y a des gens qui me disent voilà c'est super ce que tu as partagé et du coup moi je suis très ravi parce que justement il n'y a rien de mieux que la découverte et le partage et après oui est-ce que forcément j'ai des potes qui ont les mêmes goûts et on met en scène mais on s'est trouvé un peu par hasard et pas forcément avec la musique. [01:32:20] Speaker B: Oui, c'était pas une recherche, c'était pas la volonté de tribu autour de cette musique. [01:32:23] Speaker C: Non, non, non, moi ça fait partie de... J'aime beaucoup la musique, comme dirait une mauvaise page Facebook que je ne peux pas vivre sans musique, mais c'est pas non plus, tu vois, genre ça régit pas ma vie, tu vois, c'est comme... Pardon, je vais encore partir sur un truc de ma vie, mais genre quand je suis allé pour la seule et unique fois à Japan Expo, où vraiment, moi j'aime beaucoup les mangas, les animes, etc. [01:32:45] Speaker E: C'est John Thorpe. [01:32:46] Speaker C: On s'est croisés là-bas d'ailleurs. Mais c'était trop, tu vois, c'était trop. Et je me dis, moi je veux juste que ça fasse partie de ma vie mais que ça régisse pas ma vie. Et la musique c'est un peu pareil, tu vois, j'aime beaucoup, j'aime beaucoup en parler, j'aime beaucoup partager mes découvertes, etc. Mais le fait que d'en être giga dingue, tu vois, comme ça, et que de faire des communes autour, ça m'intéresse pas forcément quoi. [01:33:07] Speaker B: Ou alors ça peut le faire par. [01:33:10] Speaker C: Accident, tu vois, pour certains sujets. Genre voilà, si on se retrouve avec des passions en commun avec des gens, bah du coup, oui, ça lance forcément des discussions. Après, est-ce que c'est ça qui nous unit ? [01:33:23] Speaker B: Pas forcément. Ils ont tous un tatouage de Jean-Luc Asse et puis la tête de Jonathan Davies qui est très mal faite. Bref, je sais plus où je veux en venir. Est-ce que ça, toute cette époque-là, elle a forgé ton humour aussi, ou ton humour a évolué avec l'époque ? [01:33:57] Speaker C: Ouais, c'est un peu, bah, comment dire... [01:33:59] Speaker B: Parce qu'on garde forcément ce qu'il y a avant, mais après on sait que tout n'est... Bon, voilà, toutes les blagues ne sont plus... [01:34:07] Speaker C: On a compris qu'il y en avait. [01:34:08] Speaker B: Certaines qui n'étaient pas très bonnes finalement. [01:34:09] Speaker C: Comme je disais, moi j'étais vraiment dans une jeunesse où... ou un peu qui était un peu régi par la télé, tu vois, j'avais pas forcément, je dis pas forcément, enfin, j'utilisais des magazines, mais des magazines pour gamins, genre Pix Magazine, des choses comme ça, et ça parlait pas forcément de musique et tout. Mais du coup, ouais, tout ce qui était culture, etc., c'était un peu, ouais, la télé, un peu la radio aussi, qui le faisait. Et oui, forcément, il y avait les très bons trucs, genre les nuls, les inconnus, des choses comme ça, et il y avait aussi Patrick Sébastien et Paul Prébois qui se débarquaient avec ses sangs en plastique. Et après, mais... Mais ouais, après, du coup, comme un peu Nirvana... Est-ce que Paul Prévoit et Nirvana sont les mêmes choses ? Je laisse la question ouverte. Je veux pas dire, mais depuis que Kurt Cobain a disparu, Paul Prévoit aussi. Mais ouais du coup ça a posé des bases et après tu fais le tri, tu écrèmes etc. Il y a des choses que tu gardes, il y a des choses que tu mets de côté mais que tu les regardes un peu comme justement le bébé de show etc. Tu te dis putain c'était vraiment ringard de ouf. [01:35:12] Speaker B: C'est chaud des fois. Des fois tu regardes, t'es un peu gêné, tu dis aïe aïe aïe aïe aïe. [01:35:17] Speaker E: T'as honte d'avoir aimé ? On en a rematé. parce qu'on avait une stagiaire avant qui était très jeune, et du coup on lui expliquait les blagues qu'on faisait, on lui en a montré, c'était bien gênant. [01:35:28] Speaker B: Marçal aussi qui est notre moniteur vidéo. [01:35:30] Speaker E: En plus Marçal il n'est pas français. [01:35:34] Speaker C: Et en plus dans ce genre d'émissions, déjà les blagues étaient nulles, c'est souvent des calembours toutes les deux secondes, des calembours très très mauvais, et en plus on avait ce goût, plus que les américains, de les réenregistrer. mais vraiment réenregistré à n'importe quel moment, c'est-à-dire que t'as vraiment quelqu'un au montage qui appuie toutes les deux secondes sur. [01:35:52] Speaker B: Un bouton, et qui coupe. [01:35:55] Speaker C: Récemment, je suis retombé sur... Désolé, ça va être vraiment la culture française des années 80 sur une émission spécialisée, enfin, qui a été consacrée à Vincent Lagaffe, donc avant le big deal et tout le bordel. Et ils avaient m'ordonné... Pour le lavabo, la Zoubida... Genre TF1 lui avait donné, pardon je l'ai un peu potionné, une heure et demie de sketch un samedi soir, genre vraiment c'est radieux. [01:36:19] Speaker E: Un special quoi. [01:36:20] Speaker C: Vraiment un special, la gaffe quoi, comme sur Netflix et tout, avec des sketchs enregistrés. Et alors déjà les sketchs sont... C'est horrible, c'est pathétique et vraiment genre vraiment t'as des rires enregistrés genre ahaha ahaha ahaha mais même quand il n'y a pas de blague quoi et vraiment genre regarder ce genre d'émission ça se trouve facilement sur YouTube. [01:36:38] Speaker B: C'est ce que j'ai jamais vu, ça me donne envie. [01:36:40] Speaker C: L'émission s'appelle spéciale la gaffe, tu peux la retrouver, elle est entière sur YouTube et tu me diras combien de temps tu as tenu. [01:36:45] Speaker E: C'est ce que tu as fait sur Twitch un peu, tu regardes, tu fais du react sur des vieilles émissions. [01:36:52] Speaker C: Voilà, sur Twitch, alors quand j'ai le temps de le faire, je fais du react sur des vieilles émissions parce que, mine de rien, ça a façonné ma culture, etc. Et c'est des choses qui sont vraiment très ancrées dans ma tête, et aussi je trouve que vraiment, la télé des années 90 à comment dire une vraie patte, une vraie personnalité alors que je trouve qu'aujourd'hui tout est un peu interchangeable etc alors je dis pas que ce qui était dans les années 90 c'était génial et que c'était super bien mais il y a un truc qui me fascine vraiment et du coup j'ai une pote qui est beaucoup plus jeune que moi et j'ai fait je vais te montrer des émissions des années 90 et le premier truc que j'ai montré c'était n'oubliez pas votre brosse à dents avec Nagui son fameux flingue. [01:37:31] Speaker E: Et. [01:37:31] Speaker C: Ça c'est incroyable parce que vraiment quand je l'ai montré c'est le truc qui a le plus choqué les gens alors qu'il y a vraiment genre des femmes à poil genre des trucs comme ça et genre vraiment les gens ils ont dit mais pourquoi il a un flingue pourquoi il braque les gens alors que moi je fais oh putain c'est un flingue c'est trop marrant et ouais c'est vraiment c'est... [01:37:49] Speaker E: Les flingues micro c'est Marilyn Manson et lui quoi Et. [01:37:54] Speaker B: Il y a une... [01:37:54] Speaker C: Les années 90 c'était vraiment la montée de coke extrême de la télé et à un moment donné à la télé ils ont dit vraiment faut qu'on arrête ça parce que Où est-ce qu'on va, quoi ? Et ouais, du coup, c'est ça un peu qui a créé ma nature second degré, enfin, c'est un peu... Ah ouais. [01:38:17] Speaker B: En termes d'ironie de ce moment-là... Parce. [01:38:20] Speaker C: Que je sais avoir du recul sur ce qui est bien et pas bien, mais pour autant, je peux pas nier que ça m'a forgé, et que, voilà, après, j'ai eu suffisamment de recul pour faire le tri, avoir le... Je vais pas dire les bons avis, parce que qu'est-ce qu'un bon avis, je sais pas forcément, mais... ce que j'estime être le recul nécessaire sur tous ces trucs que forcément je m'entubais à vivre en tout noir quand j'étais gamin. [01:38:47] Speaker B: On va passer un petit peu de musique, je vois que tu as choisi Narcos Satanicos avec le titre ville. [01:38:55] Speaker C: Oui tout à fait, parce que du coup c'était pour la découverte, parce que du coup tu m'as dit par catégorie, et c'est un groupe que j'ai découvert dans un festival qui s'appelle le Roadburn. Excellent festival, que si vous avez des sous, parce que c'est cher, vous faites-le, mais vraiment faites-le parce que ça vaudra chacun de vos euros. Et donc le Roadburn, pour se situer, c'est un festival aux Pays-Bas, qui se passe dans la ville de Tilburg, qui est un festival indoor, dans des salles de concert, un peu dans des salles aussi aménagées pour l'occasion, des hangars, des choses comme ça, et qui est un peu... Alors, est-ce qu'on peut dire le festival élitiste du métal ? Non, pas vraiment, parce que j'ai découvert des trucs un peu débiles aussi là-bas. Mais ouais, c'est un peu la scène, comment dire, la scène... C'est quoi la scène un peu... Post-Metal du Headfest, je me rappelle plus, c'est le Spano Altar. La Vallée. La Vallée, merci. Donc il faut s'imaginer la programme de la Vallée sur un festival quoi, avec un peu de hardcore, un peu d'électro aussi, des choses comme ça. Mais des trucs assez pointus. [01:39:55] Speaker D: Pas mal expérimentaux parfois. [01:39:57] Speaker C: Il y a des sets spéciaux avec. [01:39:59] Speaker D: Des collaborations entre artistes. [01:40:01] Speaker C: Il y a pas mal de choses spécialement faites pour le festival. Je me rappelle, la première année où j'étais allé, il y avait un un concert entre Orenci Pazuzu et Rising Buddha, qu'on a fait un album après, plus tard, etc. Pareil, genre une des fois où j'y étais allé, il y avait un concert Full of Hell et Nothing, qui a donné un album deux ans plus tard, etc. Donc vraiment plein de trucs que vous ne verrez pas ailleurs. C'est Taratata le festif ! Est-ce qu'il y a des duos entre Bruno Gassio et Josianne Balasco, je ne sais pas. [01:40:36] Speaker E: T'as raté, ils ont fait des duos qui ont donné des album à peu près. [01:40:39] Speaker C: Oui, c'est vrai. [01:40:40] Speaker E: Pas pour le meilleur, mais Dojineko avec les Rita Mitsouko par exemple. [01:40:46] Speaker C: C'était sur M6, c'était concert privé. [01:40:48] Speaker D: J'ai cru que t'allais dire avec Bernard Tapie, tu sais. [01:40:52] Speaker C: Mais du coup, ça c'était M6 qui faisait des concerts privés genre de groupes dans des lieux un peu insolites. Et effectivement il y avait un concert à Tamitsuko et d'un coup il y avait eu Doc Gynéco. Alors j'ai jamais écouté ce qu'ils ont fait mais bon, pourquoi pas. Et donc du coup, Narcos Satanicos, que j'ai couvert là-bas, lors des plus récentes éditions, genre il y a deux ans je crois, et qui a remplacé au pied levé un groupe qui a dû annuler en dernière minute parce que c'était encore un peu, on sortait du Covid et tout, donc je pense qu'il y avait des problèmes de maladie et tout. Et c'était dans un jazz club. Voilà, tiens, j'ai vu un concert de free jazz là-bas. Tiens, allez, dans ta gueule. Mais... Est-ce qu'à la fin des morceaux. [01:41:29] Speaker E: T'Étais comme ça ? [01:41:30] Speaker C: Bah non, parce que c'était tellement... le rythme était tellement... Tu sais pas quand le morceau est fini. Et du coup, ils ont joué là-bas, dans un petit club de jazz vraiment très blindé, et c'est un groupe, voilà... Je sais pas si... Ouais, c'est du noise rock avec... Moi j'ai un petit faible pour les morceaux de noise rock avec du saxo dedans. [01:41:53] Speaker B: Aïe aïe aïe aïe aïe aïe... Moi j'adore... [01:41:56] Speaker C: J'adore et c'était vraiment un concert incroyable et du coup c'est une des découvertes récentes qui m'a vraiment le plus marqué et que j'aimerais faire partager à tout le monde. [01:42:06] Speaker B: Ça t'a fait danser ? [01:42:07] Speaker C: Alors pas beaucoup parce qu'on n'avait pas beaucoup de place, mais c'est très dansant et j'aimerais beaucoup les revoir. [01:42:15] Speaker B: On redonne le nom, de toute façon, comme je vous dis dans le j'meul, Marcel. [01:42:18] Speaker D: Narcosatanikos. [01:42:18] Speaker B: Voilà, mais Narcosatanikos, on a un seul mot. On aime bien Narco. De toute façon, vous retrouverez toute la playlist sur notre page YouTube. Vous tapez playlist et vous avez le numéro de l'émission pour pouvoir retrouver même les clips. C'est parti ? [01:42:29] Speaker D: C'est parti. [01:42:30] Speaker B: Let's go. [01:46:36] Speaker A: C'est parti ! MIRAIL ! [01:50:39] Speaker B: Mastodon à l'instant donc dans Bang Bang le meilleur du métal si vous venez de nous rejoindre bienvenue à vous bien sûr et puis vous le savez si vous n'êtes pas encore abonné à notre chaîne Twitch n'hésitez pas à le faire puisque c'est comme ça tous les dimanches à partir de 19h avec donc un invité ce soir Guillaume qui est parmi nous qui me fait bien plaisir parce que je me sens un peu moins. [01:50:57] Speaker E: Seul dans son monde de brutes C'est. [01:50:58] Speaker B: Quoi son pseudo ? Mvcdlm Oh il l'a fait bravo ! Dans mon cerveau ça commence à marcher. [01:51:07] Speaker D: Il fait extrait pour se foutre de. [01:51:09] Speaker B: Ma gueule, je sais bien. [01:51:10] Speaker E: C'est non plus vraiment dans le vocal que je lui ai laissé pour lui expliquer, c'est vraiment, tu pensais, ma vie c'est de la merde. C'était ça, c'était ça au départ. [01:51:17] Speaker C: Tout à fait. [01:51:18] Speaker E: Ma vie c'est de la merde là, mais j'en suis bien contre celle du roi du Maroc. [01:51:21] Speaker C: Alors vraiment, c'était comme tu disais, comme tout à l'heure, City Hunter qui était le pseudo que j'avais sur le forum où on s'est rencontrés. c'est vraiment les débuts quand j'avais internet et que vraiment tes seules références bah c'est celle que t'as et quand tu te cherches des pseudos etc bah tu prends ce que tu trouves à la télé et c'était vraiment le nom de mon blog que j'ai un peu lancé quand c'était la mode des blogs et ne le cherchez pas il est fermé Je fais bien de préciser. Nous allons vous le montrer maintenant. [01:51:47] Speaker D: On l'a retrouvé avec la Wayback Machine. [01:51:50] Speaker C: Et ouais c'était le nom d'un sketch des Robin des Bois et du coup j'ai... en plus ça collait bien parce que c'était vraiment... Vous me demandez d'où. [01:51:56] Speaker B: Ça venait dans ma tête c'était putain mais ça me dit quelque chose. [01:51:58] Speaker C: Si si c'était un sketch des Robin des Bois et en plus ça collait bien avec le justement le fait justement comme c'était un peu l'explosion des blogs comment dire le... où vraiment tout le monde racontait sa vie, c'était génial etc machin, bah moi j'ai fait le titre ça va être l'inverse en fait et du coup comme il y avait un titre tout trouvé bah j'ai pris ça et du coup je l'ai un peu gardé, j'ai juste gardé les initiales parce que la phrase elle m'a déjà me saoulé mais c'était aussi pour qu'on me reconnaisse entre guillemets parce que j'ai encore contact avec des gens qui des fois il y a souvent des gens qui me disent ah putain j'ai laissé ton blog etc alors que vraiment c'était un blog vraiment perdu entre mille tu vois. [01:52:30] Speaker B: Il y en a qui intéressent à part moi. [01:52:32] Speaker C: Ouais mais ça me surprend toujours quoi et du coup je l'ai un peu gardé pour que justement s'il y a des gens qui veulent raccrocher à ça je l'ai gardé mais après voilà je préfère qu'on m'appelle par mon prénom maintenant parce que voilà c'est un peu vécu quoi. [01:52:47] Speaker B: Oui, on a tous des pseudos un peu plus rares. [01:52:49] Speaker E: Tu seras juste l'humain de Pauly quoi. [01:52:53] Speaker B: Quand elle fera partie du règne animal des chats, pardon. [01:52:58] Speaker D: Quand elle aura du succès avec sa propre chaîne Tweet, qu'elle fera les events. [01:53:01] Speaker B: Etc. Ça veut dire qu'elle sera raciste, mais bon... Bon, alors, le clip qu'on vient de regarder, c'était... [01:53:08] Speaker C: C'est une blague, c'est un personnage. [01:53:10] Speaker B: Lord Endfender. J'avais jamais vu le clip, d'ailleurs. Cette chanson, je l'adore. C'est le nombre de fois où je l'avais passée à l'époque en radio, mais alors là, je n'avais jamais vu le clip et il est quand même plutôt bien. [01:53:21] Speaker D: Il est quand même plutôt bien, un peu spectacle. [01:53:22] Speaker B: Il y a une femme à ballons qui gonfle des ballons avec son cul. Donc moi, tout de suite, je me suis dit, ça c'est ton délire. Parce que j'ai toujours voulu faire ça en plein métier, ça fait partie de ce que je regarde. [01:53:31] Speaker E: Le burlesque qui a toujours été Assa d'enfer. [01:53:36] Speaker B: J'ai fait que du burnesque. [01:53:39] Speaker C: Moi ça me fait penser aux jeux télé des années 90 encore une fois. Genre vous voulez gagner dix mille balles, voilà, éclatez des ballons avec votre cul et c'est très bien. [01:53:47] Speaker D: Je rajoute Nagui ou Lagaffe. [01:53:49] Speaker E: Les jeux japonais aussi. [01:53:53] Speaker C: Les jeux japonais ils veulent te tuer avec les ballons. J'ai vu récemment un jeu télé japonais, alors... qui n'existe plus aujourd'hui mais genre c'est alors c'est que des célébrités le but ça s'appelle Freeze et le but c'est des personnalités sont enfermées dans une pièce elles ne doivent pas bouger quoi qu'il se passe et j'ai vraiment regardé un épisode il y a pas longtemps c'est ils font venir une guillotine mécanique qui s'approche très très très près de toi et qui tombe genre pile au dessus de tes genoux genre vraiment imagine si un truc se passe mal qu'elle peut couper. [01:54:23] Speaker B: Ils font des tests avant pour montrer que ça coupe vraiment, qu'elle n'est pas fausse. Et que tu devrais avoir peur normalement. [01:54:30] Speaker C: « Ah oui, le Japon, ok, ils veulent te tuer. Il n'y a pas de problème. [01:54:34] Speaker B: » C'est notre culture. Donc pourquoi Mastodon ? Parce que c'est un choix de ta part. Alors tout à l'heure il nous en a un petit peu parlé, j'imagine que c'est un lien ? [01:54:42] Speaker D: Bah oui, puisque Mastodon, ce clip c'était le single, donc Blood & Thunder, le single de l'album Léviathan qui a 20 ans cette année, qui vient tout juste d'avoir 20 ans. [01:54:51] Speaker B: C'est faux. [01:54:53] Speaker C: Ça a 10 ans comme Matrix. [01:54:55] Speaker B: Tu vois, il est d'accord avec Ben aussi, il y a 10 ans qu'il n'existe pas. [01:54:59] Speaker D: Il y a 10 ans qu'ils ont sauté de l'espace-temps. Non, non, bah oui, Léviathan, ah effectivement, 20 ans, c'était le deuxième album. [01:55:07] Speaker C: Léviantan ? [01:55:08] Speaker B: Léviantan, oui, bravo. [01:55:11] Speaker C: Là, y'a Réenregistré de Jean-Luc Asse. [01:55:14] Speaker D: Y'a pas de... non, merde. [01:55:15] Speaker B: Bah y'a mourir au pire, c'est ridicule que Léviantan. [01:55:20] Speaker D: C'était le deuxième album de Mastodon, après le premier qui s'appelait Remission. Les quatre premiers albums, c'était des albums qui étaient chacun thématiques sur un élément. Celui-là, c'était l'élément de l'eau. Il était grandement inspiré par le roman Moby Dick. Le morceau Blown in Thunder, ça parle carrément de chasser la baleine, donc on est carrément dessus. C'est un peu l'album qui a consolidé l'ascension de Mastodon et qui les a qui les a propulsés jusqu'à devenir un groupe qui est devenu un groupe candidat pour les Grammys. C'est un groupe hyper mainstream. Et en même temps, ce que je trouve assez remarquable chez Mastodon, c'est que c'est un groupe qui a su garder quand même un côté... Sauf quand ils font des mugs tiki, on est d'accord. [01:56:06] Speaker B: Ils sont tellement mainstream qu'ils font des mugs tiki. Bon, pas l'été d'oreiller encore, mais... T'as. [01:56:11] Speaker C: Même parlé de l'été d'oreiller. Tout à l'heure, ça aurait pu être des body pillows. que tu vends à la Japan Expo. [01:56:22] Speaker D: Mais ce que je trouve assez ouf c'est que c'est un groupe qui est devenu mainstream mais qui en même temps a quand même gardé une sorte de grosse une exigence en fait dans leur musique, sachant que les mecs déjà, d'un point de vue technique, c'est quand même des cracks, que dans le groupe tout le monde chante, tout le monde a son niveau, tout le monde a ses parties de chant, etc. En plus ils ont tous des gueules, ça les rend attachants, c'est con hein, mais ils ont tous des gueules avec leurs moustaches, leurs cheveux, etc, leurs piercings, enfin c'est... C'est quelque chose qui les rend fortement identifiables. Et puis c'est un groupe qui a su quand même pas mal renouveler leur son, qui a su quand même garder un certain niveau d'exigence qualitatif. Et c'est un de ces groupes qui savent à la fois te foutre un coup de pied au cul, à la fois t'émouvoir par moment. C'est un groupe qui est assez complet. Et qui ont du humour aussi. Ils ont un second degré, ça se voit beaucoup dans les clips, ils ont un second degré qui est très très prononcé. [01:57:25] Speaker B: Je les ai fait plusieurs fois en interview, ils aiment bien la galée jadem. [01:57:28] Speaker C: Et il y a un groupe récemment, alors je sais plus lequel, qui a sorti un album récemment et le morceau de fin, c'est une espèce de mélodie poivre sur un synthé qui l'est tout autant. Et je crois que c'est le bassiste de Mastodon qui dit les crédits de l'album. Je sais plus, il faudra que je le retrouve. [01:57:47] Speaker B: C'est une belle participation pour montrer l'ouverture. [01:57:51] Speaker D: C'est pour toucher la SACEM, on est d'accord. [01:57:52] Speaker B: Who knows, who knows. Bon, en tout cas, voilà. Et là, si j'ai bien compris, donc, ils sont censés revenir. On espère. [01:58:02] Speaker E: Il commence à teaser. Il commence à teaser. [01:58:06] Speaker B: Ça, il tease, je peux te le dire. Maintenant, je ne sais pas. [01:58:10] Speaker E: Ça fait un bout de temps qu'ils teasent. Là, c'est juste qu'ils disent Ils avaient déjà dit ça il y a 6 mois, donc c'est pour ça que ça reste très relatif. Mais voilà, ça devrait venir plus vite qu'on ne le pense. [01:58:21] Speaker B: Sur scène, c'est surtout sur scène qu'il faut les voir en maçon, c'est vraiment... [01:58:24] Speaker D: Sur scène, ça joue de ouf. Et puis là, comme on disait tout à l'heure, ils viennent d'achever une tournée anniversaire en commun avec Lamb of God, qui eux fêtaient les 20 ans de leur album Ashes of the Wake. Donc s'ils font un projet de suite... [01:58:38] Speaker B: C'était pas un peu ta tournée, celle-là ? [01:58:41] Speaker D: J'ai pas trop écouté Ashes of the Wake de Lamb of God. J'avais écouté un peu les singles mais pas tellement l'album. [01:58:49] Speaker B: Il me semblait que t'étais un peu fan de Lamb of God. Au niveau des cheveux, ils sont bons. [01:58:54] Speaker E: Effectivement. Il s'est coupé les drains, il l'a fait déjà un an. Je te l'avais mis dans les news l'année dernière. Il a fait de l'Escavalera, on reste... [01:59:04] Speaker B: Oui, c'est vrai, ça me revient maintenant. [01:59:07] Speaker D: C'est pas mal ça. [01:59:08] Speaker B: Mais lui, il a pas une croûte de pus sur le crâne, quoi. Ah bon, renseignez-vous un petit peu. [01:59:12] Speaker D: Non, lui, il a le cuir chevelu encore un petit peu sain. Oui, par contre, Lamb of God, c'était effectivement mon tout premier concert de métal, donc il y a quand même un petit lien un peu perso. [01:59:21] Speaker B: Tu voulais nous parler d'autre chose sinon ? [01:59:22] Speaker D: Et je voulais parler, donc on va passer à un autre clip, du groupe Gnome. [01:59:25] Speaker B: Alors est-ce que vous connaissez Gnome ? T'en as déjà diffusé non ? [01:59:29] Speaker D: J'en ai déjà diffusé, effectivement. Donc Gnome c'est quoi ? C'est un groupe belge de stonerdoom et qui a trouvé la petite astuce 100%, pas cher, 100% malin pour se démarquer dans cette scène, c'est qu'ils ont des petits chapeaux rouges. Ils ont des petits chapeaux de nains de jardin, et qui du coup, ils les portent sur scène, ils les portent dans les clips, leurs fans les portent pendant les concerts. [01:59:56] Speaker C: Chef, un petit verre et la soif. [01:59:58] Speaker E: Moi je pense plutôt à Jules César. Jules César, il s'appelait Jules César, il mettait pas de falsars, pour manger ses belles jambes, ses jolies jambes. [02:00:10] Speaker C: Je vais écouter ça en rentrant. [02:00:12] Speaker B: Ouh là là, disons, Stargate, la porte des étoiles. [02:00:16] Speaker D: Transmission intergalactique. [02:00:18] Speaker C: Bang Bang, l'émission de la musique. [02:00:19] Speaker E: De toutes les musiques. [02:00:21] Speaker B: De la musique de qualité, de la culture de qualité. Mais on va rester dans la galéjade. [02:00:27] Speaker D: Puisque Gnome, ils ont cette espèce de gros second degré qu'ils se voient beaucoup dans leurs clips, c'est toujours des clips vraiment cons, où ils se mettent en scène avec leur chapeau, où ils dansent sur des fonds verts, où ils font semblant de faire du cheval sur du fond vert, enfin bon, c'est des trucs à la con. Et en même temps, les morceaux sont plutôt... Ça joue, ça riff, ça riff gras, ça riff groovy, ça joue bien, les morceaux sont plutôt canons. Et là ils viennent de sortir un morceau qui s'appelle The Ogre, et donc qui va faire partie d'un album qui va sortir je crois la semaine prochaine, donc c'est imminent. L'album a un titre à la con, j'ai complètement oublié le titre. [02:01:04] Speaker B: Oui bah la thématique, il y a des ogres, il y a des gnomes, bon voilà. [02:01:10] Speaker D: Et le clip c'est ça, c'est des gnomes, un ogre, un ogre qui mange des gnomes et puis voilà. [02:01:15] Speaker B: Ça court dans tous les sens. [02:01:18] Speaker D: C'est assez hallucinatoire. [02:01:20] Speaker B: Ça sent une nuit qui a été très longue avec plein de couleurs. Mais c'est intéressant. C'est une autre façon de voir la vie en bruit, il paraît. Tout à fait. [02:01:30] Speaker D: Voir la vie en gnome. [02:01:33] Speaker B: Je te laisse lancer le clip. [02:01:36] Speaker D: The Ogre de Gnome, c'est parti. [02:07:30] Speaker A: Oh la la ! [02:09:42] Speaker B: J'espère que vous avez apprécié cette vidéo, si c'est le cas n'hésitez pas à vous abonner à la chaine pour d'autres vidéos. Je t'ai laissé couper l'ouverture Juste pour que tu me regardes pleurer J'ai abandonné qui je suis Pour qui tu voulais. [02:10:20] Speaker A: Que je sois Je ne sais pas. [02:10:24] Speaker B: Pourquoi j'espère Pour ce que je ne reçois pas Fallant pour la promesse De l'empilage de cette machine. [02:11:12] Speaker A: C'est exactement comme ça que je te laisse m'ouvrir ! [02:11:40] Speaker B: Je voulais seulement être une partie de quelque chose Je voulais seulement être Bang bang avec à l'instant donc le tout nouveau Linkin Park ! Linkin Park de retour donc avec un nouvel album, une nouvelle chanteuse, beaucoup de choses, une tournée qui a été annoncée. Tout ça fait récemment, c'était quand qu'ils ont annoncé tout ça en live ? [02:13:08] Speaker E: C'était mercredi soir. [02:13:09] Speaker B: C'était mercredi soir ? Non c'était jeudi soir. C'était jeudi soir parce que jeudi soir... C'était le coup de tête dans la lampe. Non il faut que ça te tombe sur le visage mon Didi la lumière, voilà. Je pense que là c'est bon. [02:13:21] Speaker C: C'est ma faute, je vais aller chercher du café. [02:13:23] Speaker B: Oui ! Le café ! Mets la caméra sur lui pendant que je parle comme ça, on voit comment... Regardez, c'est ça les réglages en direct. Regardez, vous voyez ? [02:13:31] Speaker E: En fait, ça tient pas. [02:13:32] Speaker B: Tu sais, regarde, je vais le faire. Assis-toi. Voilà. [02:13:38] Speaker E: Ça tient pas. [02:13:39] Speaker B: Non mais... Je vais mettre un coup de string là. [02:13:43] Speaker D: Mesdames et messieurs, vous assistez à un. [02:13:45] Speaker B: Grand moment de direct. C'est bon là ? [02:13:50] Speaker D: Linkin Park donc. [02:13:52] Speaker B: C'est du direct. [02:13:54] Speaker C: Là on peut pas tricher. [02:13:55] Speaker B: Donc Linkin Park, ça fait débat évidemment, ils ont réussi un petit peu à effacer Oasis. mondialement, mondialement ! Parce que en Asie, ça n'a pas fait beaucoup de bruit. En Linkin Park, dans tous les petits pays du monde entier, ça a été quand même le gros événement. Incroyable d'ailleurs la puissance d'une petite annonce qui paraissait quand même être... On en a beaucoup parlé Didier. [02:14:17] Speaker E: On avait tellement peur que ce soit juste pour un best-of. Regardez, c'est juste Mike Shinoda qui sort encore un album tout seul quand tout. [02:14:25] Speaker C: Le monde se contrefond. [02:14:27] Speaker E: C'est peut-être d'ailleurs pour ça qu'il y a un retour de Linkin Park. [02:14:30] Speaker B: C'est quand même... [02:14:32] Speaker E: Il faut pas y aller à la piscine. [02:14:33] Speaker B: Il y a forcément un côté commercial, je veux dire, on peut pas dire... Non, ils reviennent que pour le bonheur de la musique, ce serait quand même juste un peu bizarre, c'est comme Oasis. Non, non, oui, Sam, finalement, on s'en fout, on se doute bien que le chèque de 2 milliards et demi d'euros qu'ils vont toucher a sûrement dû jouer dans la balle. [02:14:51] Speaker C: Mais non, c'est l'amour de la musique ! Mais disons ! [02:14:55] Speaker E: Pour 2 milliards, ok, moi je me remets avec une case en moins, on refait Nerve ! [02:15:01] Speaker B: Vous voyez, comme quoi tout est possible. Et ça, tout ça pour l'amour. Tout s'achète. Bah oui, ça par contre, c'est malheureusement une triste réalité. Mais non, on a tous eu peur et finalement, cette fameuse chanteuse a été dévoilée en live. Ça c'était assez classe quand même. Parce qu'on imaginait que ça allait être juste une visio où ils allaient discuter et puis... Une conversation Zoom. Ouais, bah les gens imaginaient ça parce. [02:15:22] Speaker C: Que... Est-ce qu'elle est arrivée dans un costume de homard géant comme dans Mask Singer ? [02:15:25] Speaker B: C'est vrai qu'ils auraient pu rajouter ça. J'avoue. Et non, ce n'est pas la nouvelle chanteuse, c'est Mimi Mathis. Quoique, elle aurait pu être la nouvelle chanteuse de Linkin Park aussi. [02:15:36] Speaker E: Ça aurait eu de la gueule. Si elle avait les mêmes pouvoirs que Joséphine Angegardien. [02:15:42] Speaker C: Ou c'est l'ange du PQ dans les années 2000. Des supermarchés. [02:15:50] Speaker B: Bref, tout joint-il que c'est la chanteuse de Dead Sarah, que peu d'Européens connaissent. On en diffuse quand même pas mal déjà sur la web radio de Restless, que vous pouvez trouver sur notre site internet. Mais qu'est-ce que ça vous a fait ? Je vais commencer par toi Guillaume parce que t'es notre invité quand même. [02:16:08] Speaker E: Est-ce que c'est toi le plus gros spécialiste du Liquid Park ? [02:16:11] Speaker B: Non mais déjà est-ce que Liquid Park. [02:16:13] Speaker C: Ça fait partie des groupes qui tournent ? Qu'est-ce qui devient un jeune ? Je ne sais pas ce qui devient. J'en ai rien à foutre en vrai. Ça n'a absolument pas fait partie de ma jeunesse. Alors je sais que c'est le groupe de plein de gens des années lycées, etc. Moi vraiment ça m'est complètement passé au-dessus. l'accroche que j'ai eue avec eux c'était dans un AMV, un AMV Akira, qu'est-ce qu'un AMV, c'était... alors je sais pas si ça se fait encore. [02:16:38] Speaker E: Y'a plein de gens qui sont arrivés dans le métal avec ça. [02:16:40] Speaker C: C'est vrai, ça m'étonne pas du tout. [02:16:42] Speaker E: Y'en était du Slipknot ou du Sepultura. [02:16:44] Speaker C: Ça m'étonne pas du tout. et les AMV sont des clips qu'on prend en animes et on le monte en rythme avec la musique et là c'était Breaking The Habit de Linkin Park. C'est un morceau que j'aime beaucoup. Après pour le reste ça me parle pas donc du coup là pareil j'ai fait bon très bien Tu trouves que. [02:17:04] Speaker B: C'Est beaucoup trop de bruit pour ce qui s'est passé au niveau du monde entier ? Non, pas du tout, parce que je. [02:17:10] Speaker C: Comprends tout à fait l'engouement qu'il y a autour, comme Oasis. Oasis, c'est pareil, j'aime bien, tu vois, je les ai vus en concert, c'était très bien, mais voilà, après, est-ce que j'ai dépensé un rein pour aller voir à Wembley ? Non, clairement pas. Mais je comprends complètement, enthousiasme, sans problème. Ça me touche pas, par contre. [02:17:28] Speaker E: Moi, j'ai trouvé que c'était beaucoup de bruit pour rien, mais à l'époque où ça marchait. C'est que moi, comme plein d'autres gens, j'ai été dans la première vague. [02:17:40] Speaker B: Bah oui, t'as connu la naissance. [02:17:42] Speaker E: Non mais avec Korn, Deftone et tout ça. [02:17:43] Speaker B: Ah oui, ça c'était une redite. [02:17:46] Speaker E: Après le succès de cette première vague de groupe, Il y en a eu une deuxième, on va dire que c'était plutôt la deuxième, et puis après tu. [02:17:55] Speaker B: As eu une troisième, une quatrième, où. [02:17:56] Speaker E: Du coup après c'était beaucoup de... il y a plein de groupes de néo-metal de merde où c'était vraiment ultra commercial, ultra marketé. Et moi à l'époque du coup je suis pas du tout rentrainant parce que justement je les trouvais trop marketés, c'était beaucoup trop lisse pour moi. Et que direct en plus, il y avait les remixes avec des rappeurs, avec Jay-Z. Bref, on va dire que j'ai dû écouter les singles, ce qui passait à la télé, à la radio, mais j'ai jamais plus kiffé que ça. Je crois que malheureusement c'était quelques jours avant sa mort où ils faisaient le download à Paris. [02:18:33] Speaker D: Et le Hellfest aussi. [02:18:34] Speaker E: Je me suis barré avant parce qu'en fait je m'en foutais, je préférais rentrer. Je crois qu'ils jouaient le deuxième jour et du coup j'ai préféré rentrer chez moi, me reposer pour être en forme pour le troisième jour plutôt que d'aller voir. tellement j'en avais un offre. [02:18:46] Speaker C: Même Alfa, ils ont été accueillis très franchement. [02:18:48] Speaker E: Je me rappelle, je suis resté deux titres, il a commencé à dire, ceux qui ne sont pas contents, qu'ils viennent... Non, il était sur les réseaux sociaux, genre qu'ils viennent... Je crois que j'avais répondu à un truc dégueulasse ou après j'avais trollé, et quand il s'est suicidé, je m'en suis voulu. Mais voilà, mais pour le coup, alors ça c'était à l'époque. Maintenant qu'ils reviennent, par contre, même si moi, je n'ai pas du tout accroché, je vois l'importance qu'ils ont eue pour plein de gens. Et donc, de toute manière, ça, c'est cool. C'est total respect. Tant qu'on amène de l'émotion aux gens, c'est cool. Je préfère que ça soit du rock que du free jazz. C'est une petite belle paire du graphos. qui reviennent, ça avait du sens. Et du coup, je fais plutôt partie de ceux qui les défendent parce que les gens qui se battent, non, mais c'est pas aussi bien qu'avec Chester. [02:19:43] Speaker B: Ça sera jamais la même chose. [02:19:46] Speaker E: Comme j'en parlais sur notre sur notre Discord, en gros, qu'est ce qu'on peut faire quand on a le chanteur d'un groupe qui meurt ? Alors, on en fait comme Alice in Chains où on prend un nouveau chanteur. Alors, effectivement, ça sera jamais aussi bien sur les vieux morceaux qu'avec l'ancien chanteur et donc là ça sera pareil avec Linkin Park, ça sera jamais pareil donc les méga fans des premiers albums ils auront les oreilles qui saignent pendant les lives mais dites-vous que c'est mieux que rien parce que vous continuez à voir le groupe que vous aimez même si le chanteur n'est pas aussi bien et les nouveaux morceaux sont potentiellement très bien, vous allez kiffer donc juste prenez ce qu'il y a à prendre. [02:20:24] Speaker B: Oui et puis en gros c'est un. [02:20:25] Speaker E: Album qui arrive aussi. Effectivement les vieux morceaux en live avec Robert Lula, ils sont pas aussi bien, mais franchement, ça passe. Et puis, ils ont fait des albums depuis qui sont très, très bien. Et je suis super content de les voir à chaque fois qu'ils passent. Après, il y a d'autres trucs, s'ils avaient pris un imitateur. Enfin moi je pense... Jean Roucas dans. [02:20:46] Speaker D: Le rôle de Lace Telly. [02:20:49] Speaker E: Non mais quand je pense par exemple à Queen... Queen quand ils jouent avec leur chanteur actuel, enfin déjà c'est pas ouf. Et le mec qu'il y avait avant c'est pareil ou du coup c'est soit des imitateurs soit des mecs qui font l'opposé et en gros enfin déjà sur scène c'est vraiment nul et puis les albums en gros les albums de Queen maintenant en gros c'est des albums solo des mauvais albums solo de Brian May mais c'est pas vraiment du Queen donc moi je trouve que d'avoir pris cette chanteuse on est dans la lignée de ce qui se faisait avant, elle arrive à chanter, à faire une belle voix, elle arrive à faire des voix scrimées, alors ça sera jamais la... Et le. [02:21:28] Speaker B: Live qui a été diffusé en direct encore une fois, ce qui est assez rare, parce que c'était du vrai direct, il y a bien eu tous les renseignements qui ont été donnés pour prouver que ce n'était pas enregistré, puisqu'il y avait des gens qui ont été invités, il y a eu un public, donc sur les réseaux ça a passé en même temps. C'était son premier live, c'est-à-dire que pour un groupe qui a gagné des milliards et des milliards d'euros, qui est mondialement connu, de prendre la relève d'un mec que tout le monde pleure chaque année d'une façon hallucinante... Bah ça va, c'est pas Chris Cornell non plus ! Il était super pote ! C'est les mêmes raisons qui ont fait leur mort donc voilà. [02:22:05] Speaker E: Et moi tout ce que je me demandais c'est bon outre les trolls qui c'est une meuf machin ou c'est pas c'est pas Chester donc j'en ai rien à foutre j'ai du coup au bout de combien de temps il ya des trucs qui vont sortir et ça y est une journée. [02:22:19] Speaker C: Une heure. [02:22:20] Speaker E: Elle est scientologue. [02:22:22] Speaker B: Alors ça j'ai pas compris pourquoi les gens parce que moi j'ai beaucoup d'amis qui sont scientologues. [02:22:26] Speaker E: Parce qu'en fait, aux États-Unis, ça reste une religion comme une autre, mais en France, c'est officiellement reconnu comme une autre. [02:22:31] Speaker B: J'habite à Saint-Denis. Juste à côté de leur nouveau temple. Je ne suis pas très loin. [02:22:37] Speaker E: Donc il y a les scientologues. Et du coup, elle a soutenu le... Elle était pote avec le... [02:22:43] Speaker C: Le mec de Saturday Show. [02:22:44] Speaker E: Le mec de Saturday Show qui était accusé de viol. [02:22:46] Speaker D: Danny Masterson. [02:22:47] Speaker E: Elle était présente au tribunal. Alors même si entre-temps, elle s'est un peu expliquée à l'élection en disant... Enfin, même si du coup, elle ne s'est pas exprimée sur la scientologie, Parce qu'en gros elle a dit, en fait on m'a demandé de venir le soutenir, parce que lui aussi c'est un scientologue reconnu, donc en gros l'église de scientologie lui a demandé d'être présente au procès, sauf qu'au procès il y a plein de trucs qui sont sortis, et elle a fait ah bah du coup ça me met un peu mal à l'aise, donc elle a clairement dit non je soutiens les victimes, je soutiens les femmes, et je veux plus être lié à lui, à cette personne, quand maintenant je sais ce qu'il a fait. [02:23:23] Speaker D: D'ailleurs, toute la famille Masterson, dont il suit Danny Masterson, c'est toute une famille de scientologues dont fait partie d'ailleurs Christopher Masterson qui jouait Francis dans Malcolm, histoire de faire des petits liens avec... Ça. [02:23:37] Speaker B: Fait du beau monde ! [02:23:39] Speaker C: Mais sur sa réaction, je lisais hier un journaliste du Huffington Post, qui est américain, pas le français, qui travaille sur la scientologie depuis plus de dix ans, et donc sur l'emprise que ça a autour des gens, etc. Et il disait que son mot d'excuse, entre guillemets, ça s'inscrit vraiment dans le fonctionnement de la scientologie, c'est-à-dire qu'ils vont leur but premier c'est de défendre la scientologie à tout prix. C'est-à-dire que vraiment ils vont vous dire ce que vous voulez entendre. Si vous voulez vous entendre que genre je suis désolé etc... elle le dira. Vraiment, c'est ça. Et il disait aussi que dans son message, il n'y avait aucun mot d'excuse pour les victimes qui étaient survivantes. Non, je ne pense pas qu'il y en ait qui soient mortes. En tout cas, elle n'avait aucune pensée pour les victimes en général. C'était vraiment un message très général et qui s'inscrit vraiment parce que vraiment les scientologues dernier degré leur façon de fonctionner c'est vraiment genre de tout tourner autour de la scientologie et de défendre la scientologie quoi qu'il arrive sur n'importe quel sujet. Et donc du coup c'est pour ça qu'ils disaient bah oui mais non quoi. [02:24:52] Speaker D: Et ce qui ne passe pas non plus d'ailleurs, et ça a un lien du coup avec Chester Bennington, c'est que la scientologie officiellement ne reconnaît pas l'existence, ou en tout cas a des explications très fantaisistes on va dire, de la maladie mentale en fait, dont la dépression. Et c'est pour ça que pour beaucoup de gens, et je peux tout à fait comprendre, le fait d'engager quelqu'un pour reprendre le micro derrière Chester Bennington, et qui fait partie d'une organisation qui ne reconnaît pas ce qui a fini par tuer Chester Bennington, c'est quelque chose qui ne passe pas. [02:25:19] Speaker B: Donc il faut la tuer et l'assassiner comme ils le font médiatiquement. Il faut être méchant, agressif et puis avoir une volonté vraiment, à fond, extrêmement violente. pour vraiment avoir un fond extrêmement violent et décider de créer le chaos pour venger quelque chose d'une personne qui finalement... [02:25:35] Speaker D: Non mais après ce qui est compliqué aussi c'est quand on parle d'une organisation comme la Scientologie, les sectes, etc. c'est qu'il y a toujours une histoire d'emprise et c'est toujours très difficile de jauger à quel point la personne est responsable, à quel degré en fait, à quel pourcentage est responsable de ses agissements. de sa façon de penser, en quoi. [02:26:01] Speaker B: Ça peut l'influencer ? Oui, oui, je pense qu'après il faut réfléchir un peu plus avant d'agresser cette nana. Elle a sûrement fait plein de merdes autres que celle-là, ça j'en doute pas à l'instant, mais je pense pas que ce soit une raison. Chester Bennington aussi en a fait des merdes. J'aimerais bien qu'on les ressorte, mais est-ce que ça sert à quelque chose ? Je ne suis pas sûr. [02:26:22] Speaker E: J'ai l'impression que Pierre qui habite à côté du QG de la Scientologie est en train de prendre parti ! [02:26:28] Speaker B: Non, non, mais ça m'énerve toujours quand les gens sont hyper agressifs en disant moi je déteste l'agressivité, je déteste la violence et qu'ils le sont beaucoup plus. C'est un truc qui me qui me fascine en fait, les gens aiment faire ce qu'ils détestent qu'on leur fasse. [02:26:39] Speaker C: Le vrai problème en fait je pense c'est vraiment le fait que... [02:26:43] Speaker B: Elle remplace, ah oui... Non, non, non. [02:26:45] Speaker C: Pas Chester Bennington, c'est que le reste du groupe, je vais pas dire effet de background check parce que je pense qu'ils le savent, mais ils se sont dit ça n'a posé aucun problème, alors qu'ils savent aujourd'hui comment fonctionne Internet, je veux dire le Linkin Park... [02:26:58] Speaker B: C'est ce qu'ils ont choisi. [02:26:59] Speaker C: Le Linkin Park qui a évolué dans les années 2000, voilà, ils évoluent pas aujourd'hui dans le même fonctionnement de société qu'aujourd'hui. Alors, ils choisissent ce qu'ils veulent, etc. Mais je trouve qu'aujourd'hui, les gens médiatiques ont un peu de responsabilité aussi. On est dans une société qui est de plus en plus violente envers les personnes racisées, les personnes fragiles, etc. Enfin, les minorités, ce que je vous appelle vulgairement les minorités. Et je trouve aussi que les gens devraient avoir un peu de responsabilité plutôt que de dire « Ah bah voilà, je vais nommer cette personne qui a tant de casseroles au cul ». [02:27:34] Speaker B: Après là du coup ça a été lancé, bon ils l'ont peut-être occulté, mais après moi je suis désolé, peut-être qu'on va parler religion, j'ai une éducation catholique, je pardonne à tout le monde, et surtout je pardonne à ceux qui m'ont fait du mal, et beaucoup de mal, je sais pas si vous connaissez mon histoire, mais je leur ai pardonné. Je ne vois pas à quel moment on ne peut pas réfléchir et essayer de comprendre d'où vient le problème et quelle est la source plutôt que de dire « ah oui mais il y a l'autre qui vient de là parce que lui lui a donné un ordre et que nanani et puis elle a demandé pardon ». Ah bah non on ne lui donne pas de second chance, il vaut mieux qu'elle crève. Je trouve que c'est un peu… Je pense que ça jamais… Les gens ont cette pulsion-là quand même. C'est ça parce qu'en fait c'est ça aussi l'intérêt, c'est qu'il y en a un qui lance un truc et puis. [02:28:10] Speaker E: Ça fait le feu. C'est la minorité des trolls qui s'expriment, qui sont bourrins et violents. [02:28:13] Speaker B: Oui mais il y a tous les idiots derrière qui suivent. [02:28:15] Speaker C: Et personnellement, moi qui suis très beaucoup. [02:28:17] Speaker B: Sur Twitter, c'est des choses comme ça. [02:28:20] Speaker C: J'Ai personnellement pas lu de « j'ai envie qu'elle crève », etc. Oui, mais. [02:28:24] Speaker B: Dans la violence et la quantité de messages, si on aime parler de la santé mentale, je pense qu'il faut comprendre. [02:28:30] Speaker C: Après, il faut voir aussi la violence que ça peut être justement pour certaines personnes qui sont victimes d'abus sexuels, victimes de la sexualité, etc. Même si c'est effectivement pas des mots violents, genre agressifs, etc. Faut juste voir... [02:28:43] Speaker B: Si elle a été victime, comme vous l'avez dit, de la scientologie, qu'il a obligé à dire des choses, bon ben... [02:28:49] Speaker C: Ça on le saura jamais, mais c'est quand même... Enfin, à un moment donné, il y a un choix aussi qui a été fait dans... dans le choix de cette chanteuse, dans ses choix aussi. [02:29:00] Speaker B: Je pense qu'ils sont au courant, enfin. [02:29:01] Speaker C: Je pense qu'ils étaient au courant aussi. [02:29:03] Speaker B: Qui nous dit, et d'ailleurs eux ils sont au courant ? [02:29:06] Speaker E: Est-ce que le gouvernement, quand il nomme des ministres, il vérifie après s'ils n'ont pas des casseroles au cul une fois qu'ils sont nommés ? [02:29:14] Speaker B: Mike Shinoda est un peu plus... Il est un peu plus contrôle-fri que. [02:29:17] Speaker E: Emmanuel Macron ou que les dirigeants du Rassemblement National ? [02:29:22] Speaker B: Je pense qu'il est quand même très particulier. Je pense qu'il a quand même en lui cette volonté de beaucoup de choses parce qu'il a construit un truc. C'est un groupe, mais ça reste Mike Shinoda de base Linkin Park. Déjà à l'époque quand on les avait en interview, il y avait une règle qui était donnée par la maison de disques et ensuite par Mike Shinoda. Et c'était les autres qui devaient s'organiser autour avec des réponses toutes faites de la part de ces deux entités-là. Donc de toute façon, il le sait, j'en suis persuadé. Et peut-être qu'il y a une idée derrière tout ça aussi. On sait jamais. Et il appelle ça « from zero », donc c'est repartir de zéro. Est-ce qu'il n'y a pas aussi cette volonté de faire dans les lyrics quelque chose justement là-dessus ? Je ne sais pas. [02:30:06] Speaker E: Pourquoi pas ? [02:30:07] Speaker D: Parce qu'il y a le texte du single qui va un peu dans ce sens. [02:30:12] Speaker E: Les trolls, on s'en fout de toute manière. Même si, j'en ai pas vu, mais s'il y a des gens qui la menacent par rapport au nombre de gens qui sont contents que le groupe soit de retour et qui vont se précipiter. [02:30:23] Speaker B: Pour les Et puis c'est internet, on sait bien que l'internet il y a beaucoup plus d'expressions de gens con que de gens bien, ça c'est sûr. [02:30:30] Speaker D: De toute façon si tu regardes le ratio de personnes satisfaites et de personnes non satisfaites, je pense qu'ils penchent très clairement du coup. [02:30:36] Speaker B: Je pense que financièrement ils sont déjà très contents aujourd'hui. [02:30:41] Speaker C: Mais on peut pas dire que c'est pas un problème, en tout cas. Non, j'ai pas dit que c'était pas un problème, j'ai dit juste qu'il y. [02:30:47] Speaker B: A une mécanique qu'il faut avoir. [02:30:48] Speaker C: Non mais je comprends ton argumentaire, etc. parce qu'effectivement on est toujours... C'est comme pour les manifestations, quand on dit, oh là là, vous avez vu, il y a des gens qui ont cassé des choses, etc. Mais aussi, est-ce que vous avez essayé de comprendre pourquoi il y a une espèce de colère, pourquoi il y a une espèce de, justement, de... de ressenti qui est assez fort. Alors effectivement, ça s'exprime de plusieurs manières, mais au fond, il y a quand même un vrai problème, je pense. [02:31:10] Speaker B: Oui, il y a toujours un problème, évidemment. [02:31:14] Speaker D: Ce qui est bête, du coup, c'est que moi, avant d'apprendre tout ça, j'étais plutôt content de voir revenir Linkin Park et avec cette chanteuse. Autant Linkin Park, c'est un groupe qui... auquel je suis pas très attaché, en fait, de base. C'est un groupe qui était un peu périphérique à mon parcours musical. J'aime beaucoup les deux albums « Hybrid Théorie » et « Météora ». Après le reste, j'ai poliment un peu passé parce que ça me parlait beaucoup moins. Mais à côté de ça, je respectais énormément Chester Bennington. Ça m'a fait de la peine la façon dont il est parti. [02:31:44] Speaker C: Ouais, j'ai vu comment les gens étaient tristes et tout. Quand on se dit... Ouais, tu demandais « Est-ce que tu comprends que les gens... » Ben non, je comprends parce qu'il a vraiment laissé une empreinte Il. [02:31:53] Speaker D: A vraiment laissé une empreinte et il a parlé à beaucoup de gens à une période en plus où on est particulièrement vulnérable et où on se construit, c'est-à-dire c'est l'adolescence. Il a parlé à beaucoup d'adolescents et du coup c'était quand même un symbole en quelque sorte pour beaucoup de gens qui s'en aillent donc c'était compliqué de le remplacer. Déjà le remplacer par une chanteuse je trouvais que c'était un choix plutôt malin en fait pour pas trop souffrir de la comparaison et puis aussi pour donner sa chance à une représentation un peu nouvelle. [02:32:19] Speaker B: Et puis un homme ça aurait pas été possible puisque c'était un vrai remplaçant de Chester. [02:32:24] Speaker D: Oui voilà. [02:32:25] Speaker B: Là c'est une femme donc c'est pas vraiment la remplaçante de Chester, c'est une femme. Donc c'est une nouvelle patte. [02:32:30] Speaker D: Voilà, c'est une nouvelle orientation tout en restant quand même, tout en gardant quand même un pied dans l'ancienne. Il n'y a qu'à voir dans la. [02:32:36] Speaker B: Voix, on voit bien qu'il y a... Bon, ils essaient de faire le lien quand même. Ouais, il n'y a qu'à voir dans... [02:32:42] Speaker D: Non mais justement, la façon de chanter en clair, la façon de son chant clair avec ce côté très éraillé justement, rappelle beaucoup Chester Binghamton, donc dans ce sens-là, Il y a effectivement un prolongement assez logique. Et en live, je trouvais sur les morceaux que j'apprécie, en tout cas, elles se démerdaient plutôt bien. Le single ne me parle pas des masses, mais je le trouve plutôt correct. Elles, elles se débrouillent très bien sur le single aussi. Donc, sur le côté artistique... Honnêtement, j'ai pas grand chose à redire là-dessus. [02:33:10] Speaker E: On va avoir un peu toute la tambouille qu'il va avoir comme le guitariste. Le guitariste qui décide du coup de rester pour la création, pour les albums en studio, mais ne veut plus faire de temps. En fait, il fait une Stephen Carpenter. Il ne veut pas faire les concerts. [02:33:24] Speaker B: Ce n'est pas qu'il ne veut pas faire les concerts, c'est qu'il a dit, je vais gagner autant d'argent en restant chez moi, c'est cool aussi. On peut pas lui en vouloir, il participe beaucoup plus à la production donc il touchera la même somme sans être en live. [02:33:37] Speaker E: Il aura dû prendre le guitariste de Devil Driver quoi ! [02:33:39] Speaker B: Ah putain j'avoue ! Who knows ? C'est déjà choisi, je retiens pas les noms moi donc je m'en fous un peu j'avoue. [02:33:45] Speaker E: C'était déjà un guitariste qui tournait avec eux ? [02:33:47] Speaker B: Oui c'est ça voilà. Et puis pour ce qui est du batteur, lui il a juste dit que de toute façon il l'avait abandonné. Alors est-ce que c'est parce qu'il déteste le fait qu'il revienne ou est-ce que c'est juste parce qu'il en a rien à foutre ? Après ça j'en sais strictement rien, j'ai pas lu. [02:34:01] Speaker E: Écoute, je lance l'équipe de rédaction et puis je te tiens au courant dans les prochaines émissions. [02:34:06] Speaker B: La centaine de journalistes. La centaine de journalistes de l'équipe de Restless. Nos correspondants aux Etats-Unis. [02:34:13] Speaker D: De correspondants. [02:34:14] Speaker E: Après je les ai lancés sur d'autres sujets donc je ne sais pas, on va voir s'ils ont le temps. [02:34:18] Speaker B: Non, moi j'étais hyper ému, j'avoue que j'étais en train de mixer pendant qu'il y avait le live. Donc en fait je l'ai découvert en sortant de mix dans le taxi. Alors j'ai d'abord découvert le single parce que c'est ce qui est le plus accessible. ma plateforme d'écoute légale préférée, et j'ai écouté. Alors moi je suis quelqu'un qui est un petit peu peut-être trop sensible, mais j'ai chialé, je l'ai écouté, depuis je l'ai dû l'écouter bien 100 ou 150 fois. C'est génial ! [02:34:46] Speaker C: Il a chialé comme une fille ! [02:34:48] Speaker B: C'est ce qu'un pote m'a dit, il m'a dit, bon il y a des mots peut-être que je ne peux pas dire. [02:34:55] Speaker E: Ben, ce qu'il a mis en commentaire, ce qu'il met à chaque fois en. [02:34:57] Speaker B: Commentaire... Non, pas ça, non, mais ça c'est une blague entre nous, c'est une blague de très long... Elle est vieille, voilà. Comme Jean Roucas. Non, mais oui, mais c'est ça aussi qui est marrant, c'est que, comme on sait... Bon, bref, mais oui, j'ai chialé, j'ai chialé de ouf, mais ça m'a vachement ému, parce que... Alors, quand bien même, il y a cette histoire, parce que j'y avais déjà... J'étais dans le taxi à 4 heures du matin, donc il y avait déjà pas mal de choses qui commençaient à sortir. et en fait j'avoue que sur l'instant j'ai occulté toutes les informations parce que je voulais que mon bonheur, c'était très égoïste. Et ça m'a touché parce qu'en fait il y a une vibe qui est restée et je me suis dit que peut-être malgré tout ça peut faire renaître des choses en nous qu'on a pu perdre à ce moment où finalement on a grandi puis on a laissé s'échapper les groupes qu'on aimait parce qu'on grandit puis nos goûts musicaux peut-être s'améliorent ou changent, je ne sais pas comment on peut dire. [02:35:58] Speaker C: Non mais il y a toujours un impact. [02:36:01] Speaker E: Moi c'est pareil. [02:36:02] Speaker B: Je suis resté un enfant, tu le sais très bien. [02:36:04] Speaker E: Mais comme je t'ai dit, moi je n'ai pas écouté mais je suis quand même content de leur retour. Et je fais partie, comme tu as vu sur le... [02:36:11] Speaker B: Il y a toujours une bonne dynamique dans leur musique qui est super positive. [02:36:14] Speaker E: Je vais les défendre. Je les défend parce que justement les trolls qui critiquent juste parce que c'est une meuf ou parce que là on s'en fout. [02:36:22] Speaker B: On parlait des J.O. tout à l'heure. C'est bon, maintenant on sait qui c'est qui vont faire la musique des J.O. de Los Angeles. [02:36:29] Speaker E: Je préfère qu'un retour comme ça méritait de Linkin Park plutôt que le retour de Marilyn Manson. [02:36:37] Speaker D: Clyde à choisir, moi aussi clairement je préfère le retour. [02:36:39] Speaker C: Il est déjà de retour en plus. Il fait une tournée actuellement avec les meilleurs groupes de la terre. [02:36:44] Speaker B: Arrêtez, c'est les groupes préférés de Marcel. C'est pas grave, il a le droit. [02:36:52] Speaker E: Il est hongrois, c'est pas de sa faute, c'est sa culture. [02:36:55] Speaker B: Ça c'est pas bien comme blague non plus. En 2025, c'est plus autorisé. Oui, mais de dire que ça fait partie de sa culture, on a bien compris ta blague. [02:37:05] Speaker E: Parce que le guitariste de Fafi Gardefpont, c'est hongrois. C'est juste ça. [02:37:08] Speaker B: Tout à fait. Tu te défends bien, va. Tu t'en sens pas mal. Fais ton petit sourire coquin. Mais je suis d'accord avec ta blague. J'ai même regardé immédiatement pour aller voir le groupe à Hambourg. [02:37:25] Speaker E: Tout de suite ! [02:37:26] Speaker D: Oui, parce qu'ils font une tournée, ils passent à Hambourg, à Londres... [02:37:30] Speaker B: Ils font 5 dates, je crois, à travers le monde, qui à mon avis ont été... [02:37:34] Speaker E: Enfin là c'est pour le moment, parce qu'à mon avis, je pense que cet été, tous les festivals... Derrière, il y. [02:37:39] Speaker B: A une tournée, ils sortent un album... [02:37:40] Speaker E: Je pense que le Hellfest, ils y seront, je pense que le Grasse Pop. [02:37:44] Speaker B: Tous les gros... Est-ce que tu crois qu'ils ont diminué l'heure cachée parce qu'elle coûte moins cher ? Si ils ont dû lui faire signer un contrat aussi, ça il faut penser à ça parce que je suis très content. [02:37:53] Speaker C: L'égalité des salaires. [02:37:55] Speaker E: Elle va toucher moins que Chester mais à mon avis... [02:37:59] Speaker B: Elle va toucher un milliard de fois plus qu'avec Dedsara. [02:38:01] Speaker E: Eux, le cachet, il a augmenté à mon avis parce que là c'est vous payez le retour de Linkin Park. [02:38:07] Speaker C: Oui, c'est sûr. [02:38:08] Speaker B: Parce que ça coûtait cher déjà à l'époque. [02:38:11] Speaker D: Est-ce qu'ils ont fait comme Metallica quand ils ont embauché Trujillo ? On te fait un petit chèque d'un million de dollars, histoire d'être sûr que tu te sentes bien à la maison. [02:38:22] Speaker B: Non, je crois qu'il n'y a pas la même mentalité. C'est pas mon esprit là, c'est que. [02:38:27] Speaker E: Mes délicats c'est qu'on a fait fuir l'ancien bassiste parce qu'on est trop cons, là il faut qu'on s'en fiche, on a fait une psychothérapie parce qu'on voit c'est quoi le problème donc on va lui montrer qu'on est impliqué et qu'on veut qu'il se sente bien à la maison. C'est pas tant le million de dollars, c'est quand même... [02:38:48] Speaker B: C'est gentil, on peut pas dire que ce soit une bonne ou une mauvaise chose. [02:38:51] Speaker E: Dans le documentaire, dans 5 Cannons Monster, on voit le truc qui est intéressant, c'est au-delà du million de dollars, c'est quand ils sont en train de parler avec les avocats, et que les avocats sont en train de dire oui, comme il arrive dans le groupe, il a le droit qu'à 5% de droit de vote sur les décisions, il a le droit qu'à 5% sur le maire, il fait non, il faut qu'on arrête. Si on veut qu'il soit impliqué dans le groupe et qu'on ne refasse pas les mêmes erreurs qu'avant, il faut qu'il ait le même nombre de voix que. [02:39:14] Speaker B: Nous, Je serais curieux de voir les contrats là, parce que mon avis ça doit être... Il doit y avoir 2000 avocats. [02:39:23] Speaker C: Oasis et Parcois. Genre la thune elle doit couler à flot dans l'industrie musicale là. [02:39:29] Speaker B: Ticketmaster là c'est... Ticketmaster ouais, le tourneur perd de l'argent pour Oasis. Ah ouais ? Parce qu'il coûte trop cher. Et c'est Ticketmaster qui ramasse quand même... [02:39:40] Speaker D: Oui, avec leur système de paiement à la demande. [02:39:45] Speaker C: C'est un genre évolutif selon les... [02:39:48] Speaker D: C'est comme des billets d'avion en fait. [02:39:50] Speaker B: C'est comme quand t'es au début de la vente, ça va, quand t'es à la fin, bah tu l'as dans le cul. [02:39:53] Speaker E: Du coup en plus à la fin, au lieu de payer 150 balles, ce qui est déjà trop cher, eh ben tu payes 1000 balles pour une place au fond. [02:40:03] Speaker B: En plus, ils se sont défendus, Ticketmaster, en disant que... [02:40:08] Speaker E: Le groupe avait signé ça. [02:40:09] Speaker B: Alors, ils ont dit d'abord ça. Le groupe a dit oui, on a signé, mais c'est notre manager qui a dit de signer, donc on n'a pas regardé. J'ai quelques doutes sur la vérité. [02:40:20] Speaker C: En vrai, je pense que c'est réel. C'est lui qui s'en branle, quoi. [02:40:23] Speaker B: Oui, puis on l'aura premier caché. [02:40:24] Speaker C: Genre, pas mon problème. Genre, vraiment, je signe, y'a pas de problème. [02:40:28] Speaker E: Toi, je sais que c'est pareil, mais vraiment, depuis qu'ils ont annoncé leur retour, Mais les pépites, mais les gens qui se foutent de leur gueule, ça me fait tellement rire. Le monde de mème, de détournement. [02:40:38] Speaker C: Les gens ont été très drôles là-dessus. [02:40:40] Speaker B: Je préfère que les gens se foutent de la gueule Linkin Park en faisant des trucs rigolos que d'être méchants. Là, les trucs d'Oasis, ça m'a fait beaucoup rire. J'aime beaucoup Oasis, je suis pas grand fan. [02:40:49] Speaker C: Parce que les gens savaient en plus que ça allait coûter une blinde. [02:40:51] Speaker E: Mais les images où il y a des gens qui postent une image, je suis dans la file d'attente, je suis 6500 dans la file d'attente et puis après un autre message. Le temps que vous étiez dans la file d'attente, le groupe a à nouveau splitté... [02:41:06] Speaker C: C'est dommage qu'ils ne fassent pas d'autres festivals, enfin en tout cas pour l'instant, parce que j'imagine que les comptes... En Rock'n'Stade, il y a moyen de faire un truc hilarant quoi, et en plus de reprogrammer Madness le même jour. [02:41:20] Speaker D: Moi du coup, dans ces conditions, moi. [02:41:24] Speaker E: Aussi j'ai refait le même truc. [02:41:28] Speaker B: C'est un peu plus compliqué. Après on sait jamais, la technologie permettra peut-être de la faire venir. Bon, passons. Ca fait un petit moment qu'on parle de tout ça. Est-ce qu'on se mettrait pas un banc de téclés ? [02:41:43] Speaker C: Du rock'n'roll. [02:41:44] Speaker B: C'est school. Ouais, tout à fait. Du bon hardcore. [02:41:47] Speaker C: Du nouveau hardcore, d'ailleurs. [02:41:50] Speaker B: Est-ce que cette vague féminine de chanteuses, en tout cas de hardcore, te fait plaisir ? [02:41:56] Speaker C: Bah ouais, parce que c'est... Comment dire... Enfin, c'est surtout sur le hardcore américain. Français, on est encore un peu à la très nature, c'est... J'apprécie pas forcément parce que juste c'est une femme, etc. Mais ça fait plaisir, en fait, de voir des groupes diversifiés, en fait, plutôt que de voir juste quatre mecs un peu baraques et qui font la gueule. Et surtout, c'est ça que j'aime bien dans le hardcore un peu américain, en tout cas la vague de hardcore US actuelle, c'est qu'il y a vraiment déjà une variété de groupes qu'on trouve... [02:42:26] Speaker B: Que. [02:42:26] Speaker C: Tu peux vraiment reconnaître à leur son, parce que pour vraiment le hardcore tu peux jeter 40 groupes et avoir un peu de mal à les reconnaître. Mais déjà ça, et en plus il y a vraiment une volonté assez festive que je trouve cool, ce qu'en fait je les ai déjà vus deux fois en concert à chaque fois. C'est ça que j'aime bien justement dans les concerts de hardcore en ce moment, c'est que c'est vraiment très festif, les gens sont très contents d'être là, ça s'amuse bien, il y a une vraie solidarité entre les gens, etc. Et justement, c'est assez inclusif. Alors je sais que c'est un peu dans le monde du rock, etc. Je vais pas dire que c'est un gros mot, mais il y a encore plein de gens qui disent « Ah mais non, moi je m'en fous », etc. de l'attarant. Mais en vrai, c'est bien justement de faire en sorte que des gens marginaux se sentent se sentent bien en fait, vraiment dans des concerts, dans des choses que nous on n'a pas à se poser cette question en tant que mec, en tant que blanc, etc. Et du coup c'est cool, et justement il y a une vague un peu, justement ils sont signés chez Flat Spot Records, qui font un peu cet effort, oui j'ai un peu fait mon Philippe Manoeuvre là-dessus. Ils sont signés chez Flat Spot Records ! et qui font vraiment un effort justement de signer des groupes un peu variés justement avec plein de meufs, avec des personnes queer, etc. Et en plus vraiment c'est plutôt bon groupe donc vraiment il n'y a pas le juste de « ah mais non moi je veux juste... je m'en fous de si c'est une meuf ou je veux juste du talent, etc. » Et bah là justement t'as les deux donc c'est très bien et Skoll fait un peu cette partie-là, il tourne sans arrêt, sans arrêt, je l'ai su un peu sur Instagram et tout, il me... ils tournent tellement qu'ils m'épuisent. Je suis épuisé à leur place. [02:44:08] Speaker B: Moi, ils ont refusé mon interview, je leur fais la gueule. [02:44:11] Speaker C: Ils ont pas tourné chez nous en tout cas. Mais en tout cas, c'est un groupe que j'aime beaucoup. [02:44:17] Speaker B: Grosse attitude sur scène aussi. C'est-à-dire qu'il y a une vraie présence. Parce que ceux qui diraient non, c'est une meuf, du coup, non. Attention ! [02:44:26] Speaker C: Je les ai vus dans une espèce de bar qui n'accueille plus de concerts aujourd'hui à cause des voisins. Mais du coup je crois que c'était leur premier concert à Paris, c'était vraiment très cool et leur clip qu'on va voir est tourné là-bas. Et si vous regardez bien, si vous clignez pas des yeux, vous pouvez me voir. [02:44:42] Speaker B: Non ! [02:44:43] Speaker E: Mais faut vraiment pas cligner des yeux. [02:44:45] Speaker C: Ah ouais ! [02:44:48] Speaker B: Punaise, je vais scotcher le clip. Non mais très très bon groupe, on a toujours parlé de ce qu'on défend à fond, ce groupe, parce qu'en plus c'est bon donc c'est vraiment très agréable et ça fait du bien. [02:44:58] Speaker C: Et contrairement à Gnome, ça ne dure qu'une minute trente. [02:45:00] Speaker B: C'est vrai que c'est souvent beaucoup plus court que ce genre de musique. Bon c'est parti, on va regarder ce choix de Guillaume Scholl avec Around. [02:46:15] Speaker A: J'ai trouvé un maquillage génial. [02:46:20] Speaker C: C'est génial, non ? [02:46:21] Speaker A: Je n'arrive pas à croire qu'ils l'ont. C'est mon nouveau maquillage. Où as-tu trouvé ça ? Du frais de fromage, mec. [02:46:34] Speaker E: Du frais de fromage, allons-y. J'ai un jeu à jouer. [02:46:43] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org. [02:47:25] Speaker A: C'est parti ! [02:50:36] Speaker B: La France a l'odeur souvent dans Bang Bang et oui les groupes français sont très bons et on les défend. On est heureux d'ailleurs que la scène française puisse rayonner à l'international et là c'était à l'instant les Storm Orchestra avec le titre Drummer. Ils ont fait quelques petites blagues, quelques annonces et voilà ce clip qui est sorti et moi j'ai trouvé ça très bon. C'est un groupe que j'ai déjà vu en live, je le trouve très bon. Il y a beaucoup où ils essayent de faire du show un petit peu à l'américaine avec justement le fait d'aller peut-être un peu trop loin dans les costumes avec beaucoup de paillettes et tout et c'est plutôt cool parce que les français ne sont pas habitués à ça. Bah les paillettes par les années 90 ou le 80 éventuellement Patrick Sébastien mais peut-être pas les autres. [02:51:15] Speaker C: Ah putain c'est génial ! [02:51:24] Speaker E: C'est le speak spécial imitation. [02:51:26] Speaker B: Il commence à être tard, donc on a le droit de s'évader un petit peu, de retrouver notre jeunesse. Vous avez vu, ils sont très jeunes. Tu connaissais cet orchestre ? [02:51:36] Speaker C: Pas du tout. [02:51:36] Speaker B: Bon, c'est pas ton genre non plus. [02:51:37] Speaker C: J'Imagine, parce que c'est pas... Non, pour de vrai. En plus, j'étais au show, donc j'ai pas trop entendu. Mais en vrai, ce que j'ai entendu, j'ai plutôt bien aimé. C'est pas ce que j'écouterais naturellement, mais voilà. [02:51:52] Speaker B: Tu penses quoi de cette scène française actuelle, pas que hardcore ni métal, mais la scène rock, en tout cas qui a des instruments, et qui revient en force avec des groupes comme Landmarks qui cartonnent aux Etats-Unis, en Australie, qui remplissent des sas, qui explosent... [02:52:07] Speaker C: En vrai, je suis pas très au fait de ce qui se fait... Enfin, hors hardcore, parce que c'est plus la scène qui m'intéresse. Pour le coup, je suis un peu pas trop au fait de ce qui se passe. [02:52:18] Speaker B: Il y a des groupes de hardcore français qui commencent un petit peu à... [02:52:21] Speaker C: Ouais, il y a Worst Doubt qui est pas mal, il y a Cold decay, Kalsin aussi, le dernier album est vraiment pas mal, je l'ai eu deux fois en live, c'était vraiment très cool. Ouais, Sorcerer, Sorcerer aussi, qui est vraiment très chouette. Il y a une scène parisienne qui émerge, qui est assez... J'ai une pote d'ailleurs qui a réalisé un documentaire là-dessus. [02:52:44] Speaker B: Qu'on connaît très bien, oui. [02:52:45] Speaker C: Avec Clara Grillo. À qui on fait de grands bisous. Qu'on salue. Et ouais, du coup c'est cool. Comme je disais, ça manque un peu de diversité que la scène hardcore US pousse. Oui, après il faut que les choses se fassent. Mais en tout cas, il y a un renouveau, une émergence qui est assez cool. [02:53:03] Speaker B: Tu lui trouves une différence par rapport à la scène hardcore d'avant ou... même la parisienne. [02:53:08] Speaker C: En vrai je vais pas dire que je découvre là maintenant mais je m'y plonge un peu là maintenant et moi genre le punk que j'écoutais c'était plutôt du punk, comme on le verra un peu tout à l'heure, du punk franchouillard, du punk français, c'était pas forcément du hardcore et le hardcore j'écoutais un peu Suicidal tendencies, enfin je sais pas si on considère ça comme du hardcore, moi oui. Oui, non t'as pas l'air... Non, bah. [02:53:31] Speaker B: Oui, c'est vieux et... [02:53:32] Speaker E: Un mini-microsover quoi ! [02:53:33] Speaker B: Ouais, il y a un crossover qui est assez particulier, c'est les seuls à faire ça ! [02:53:38] Speaker C: Et ouais, donc du coup j'étais un peu comme tout le monde, les madballs, les terrors, les machin-trucs... Mais du coup ouais, en termes de scène française, je découvre un peu. Et bah du coup ouais, on m'a dit un peu qu'effectivement ça se renouvelait, etc. [02:53:53] Speaker B: Il y a des lieux... C'est vrai que je peux écouter, mais c'est vrai que je connais pas vraiment... Il y a encore des lieux dans Paris où... [02:53:58] Speaker C: Le Glazart ! [02:53:58] Speaker B: Le Glazart ! [02:53:59] Speaker C: C'est vraiment le seul endroit où ils. [02:54:00] Speaker B: Sont vraiment fous ? [02:54:01] Speaker C: Bah en ce moment ouais, alors comme je disais... Je sais plus si on l'a dit hors antenne ou pas, il y avait l'espace... l'espace où a été filmé en partie le clip de Skol, où j'ai vu leur premier concert. Là-bas d'ailleurs c'est mon premier concert de hardcore, parce que ça fait assez peu de temps que je suis sur Paris, ça fait cinq ans que je suis là, et c'est le premier concert de hardcore que j'ai fait. Et bref, il y avait l'espace qui était une espèce de bar associatifs, voilà, où on peut organiser des trucs, des marchés. On peut toujours, mais on ne peut plus de concerts, malheureusement. — Pas d'acoustique. — Ouais, pas d'acoustique, mais en tout cas pas des trucs qui font du bruit, parce que voilà, voisinage qui se plaint, et en plus il y a des immeubles qui se construisent autour, donc... ils se sont dit bah on a eu des difficultés avec un voisin, on va pas s'en créer avec d'autres, donc on arrête un peu les fraises, ce qui est un peu dommage, et du coup tout le monde se replie un peu vers le glazart, un peu de temps en temps vers le petit bain aussi, mais ouais, essentiellement glazart, parce que j'imagine que c'est ce qui est le moins cher et tout, et du coup j'ai vu des trucs pas mal, j'ai revu Skoll, il y a quelqu'un dans le chat tout à l'heure qui disait qu'il les avait vus l'année dernière et je les ai vus aussi là-bas, j'ai vu pas mal de chouettes choses là-bas comme comme, je ne sais pas. [02:55:13] Speaker B: Ce qui est bien avec Glazart en plus, c'est que c'est vraiment un peu typique hardcore, c'est-à-dire que c'est une scène. [02:55:19] Speaker C: Qui est très basse, et du coup. [02:55:21] Speaker B: C'Est au niveau du public, et ça se vit avec le groupe. [02:55:25] Speaker D: C'est un côté un peu roots justement le Glazart. [02:55:28] Speaker B: Oui, c'est bien parce que c'est dans son jus. [02:55:31] Speaker C: Même si ça sert un peu de club, enfin plutôt de club, mais tout ce qui est concert, voilà, électro punk, pas électro punk, metal un peu, black metal. [02:55:42] Speaker E: Metal aussi, oui. [02:55:43] Speaker C: Mais surtout le hardcore, tout s'est retrouvé là-bas. C'est une salle alternative en fait. Donc voilà, si vous voulez un peu suivre, si ça vous intéresse, je vous conseille certaines assos, genre Arrakasso, Paris Aircore Show, Sonic Mass Booking, il y en a une autre, je ne me rappelle plus, je suis désolé. Mais voilà, surtout Arrakasso, qui font des très bonnes soirées. [02:56:03] Speaker D: J'étais allé déjà à une soirée d'Arrakasso, justement à l'espace, et qui était une très bonne soirée. C'est marrant justement, dans ce bar associatif, avec toutes les lumières allumées et des gens qui se tapent dessus, c'était grandiose. [02:56:14] Speaker C: C'était qui la soirée ? [02:56:16] Speaker D: Ouh, je me souviens plus du nom de tous les groupes... [02:56:19] Speaker C: Le là, la tête d'affiche principale. [02:56:21] Speaker B: Ouais, parce que c'est moi qui bois. [02:56:22] Speaker D: Parce que moi je suis pas du tout versé dans le hardcore ou dans la scène actuelle, donc... Je me souviens vraiment plus des noms. C'était il y a deux ans, à peu près. [02:56:33] Speaker C: J'avais vu Gel là-bas. [02:56:35] Speaker B: Ah bah oui, Gel aussi. [02:56:36] Speaker C: Qui était dans une salle absolument blindée. et c'était vraiment très cool, ça transpirait de partout, c'était génial. [02:56:43] Speaker B: Les gens volent ? [02:56:44] Speaker E: Oui. [02:56:45] Speaker C: Oui, j'en fais partie. Je le fais malheureusement moins parce qu'en fait je me suis aperçu un peu ça, en vrai si il y a une scène c'est plus facile. surtout glazart que comme tu disais la scène n'est pas très haute mais surtout en fait je me suis aperçu récemment que c'est surtout des un peu des kids qui font un peu ça et du coup je veux pas passer pour le... tu sais le... Bah t'as le. [02:57:05] Speaker B: Droit de le faire ! [02:57:06] Speaker C: Ouais ouais mais j'ai envie un peu de les laisser kiffer quoi donc voilà... [02:57:10] Speaker B: J'ai un ami à moi qui s'appelle Nicolai Ah je le connais un peu, j'avais été présenté. Et qui lui se prive pas par contre. Parce qu'à chaque fois que je le vois il me montre la quantité de bleu qu'il a sur lui, je me. [02:57:19] Speaker C: Dis c'est pas possible. Non si on s'est sûrement croisé, je crois qu'on s'est croisé une fois. Oh merde ! J'ai fait récemment au concert de Military Gun. au petit banc et c'était marrant, je me suis même retamé par terre de façon très violente. Mais oui, en fait le truc c'est que moi je suis un peu aussi timide et c'est un truc qui me désinime pas mal, mais comme à chaque fois faut se lancer même si tu l'as fait dix mille fois, tu te dis est-ce que j'ai pas gêné les gens, etc. Et en fait une fois que t'es lancé c'est parti blablabla. [02:57:49] Speaker B: Tu crois que c'est un peu la façon d'être de tous les gens qui écoutent du hardcore aujourd'hui ? [02:57:53] Speaker C: D'avoir cette petite timidité ? Je pense un peu que c'est des gens très renfermés, un peu, comment dire... J'ai plus le mot... Introvertis ? Introvertis, merci. Putain, j'avais restreint dans la tête, mais genre... [02:58:10] Speaker E: Je trouve que c'est la scène maintenant où il y a ça. Dans les années 90, dans les concerts de métal et rock en général, ça se la met à tout va. Et il n'y a que dans la scène hardcore où je trouve que c'est resté. Je me rappelle quand j'étais allé voir Knot Lose il y a deux ans avec Ben. Tout le concert, il y avait notre news, il y avait l'un de Marx, tout le concert ne s'arrêtait pas. Avant l'été, chez leur Biohazard, c'est pareil, ça n'arrêtait pas. Avec des moments... Ah, puis là, Biohazard. [02:58:39] Speaker B: C'Est normal que des gens du Moyen-Âge... [02:58:40] Speaker E: Avec des fléaux d'armes et tout... Mais du coup, ouais... C'est une belle conclusion ! Il y a un côté, je trouve ça cool parce que ça me rappelle quand j'allais voir l'Ofofora, la cascade et tout la scène française des années 90 où du coup pareil je slamais, je pogotais comme un petit jeune de 65 kilos. Voilà, c'est juste que ça me fait kiffer même si du coup J'ai eu la phase où j'aimais toujours être devant les groupes dans les concerts et du coup, je me prends les slammers et ça me gonfle. Et maintenant que je commence à être vieux, je me mets un peu plus en retrait et je laisse les jeunes s'amuser. Et de temps en temps, quand il y a un titre que j'aime bien, j'y vais, je fais la bagarre et je retourne sur le côté après. [02:59:33] Speaker B: Oui c'est vrai qu'on a tous eu cette période. Moi c'était Crash Barrières, j'ai rarement fait Pogo quand même, je l'ai fait un petit peu lorsqu'on m'entraînait. Je pense à Ben dans l'occurrence. [02:59:42] Speaker C: Je suis plus Pogo que Crash Barrières. [02:59:46] Speaker B: Ouais mais j'étais plus fan moi. Ouais je comprends. [02:59:48] Speaker C: C'est pour ça que j'écoute beaucoup plus. [02:59:51] Speaker B: De musique commerciale que vous. [02:59:54] Speaker C: Mais ça dépend des soirées. Les derniers que j'ai faits, j'étais plus en retraite mais j'ai quand même kiffé. S'il y a vraiment l'ambiance, je me fais emporter par l'ambiance. [03:00:03] Speaker B: C'est le déclic où tu deviens un peu... C'est comme le chien ou le chat qui vont courir dans tous les sens. [03:00:10] Speaker D: C'est le moment où t'as la lumière qui s'éteint à tous les étages. [03:00:15] Speaker B: Moi je reste quand même beaucoup plus souvent dans les fauteuils des gradins maintenant. Des fois quand ils me font venir au concert je suis là, y'a pas des sièges quand même ? Mais t'es pas si vieux ! [03:00:24] Speaker E: Disons la vérité, quand tu vas au concert t'es au bar. [03:00:26] Speaker B: Ouais mais il faut des tabourets. S'il n'y a pas de tabouret je. [03:00:30] Speaker E: Reste pas au bar. [03:00:31] Speaker B: Je prends mes bières, j'en prends plein d'un coup puis je m'assois. [03:00:34] Speaker E: Je prends mon seau de bière avec une paille. [03:00:36] Speaker B: Vous avez des trucs qu'on peut les porter à quatre, j'en prends trois. Je ne vous dis pas comment je porte le troisième. Alors mais... Mais oui, tu parlais donc des groupes d'avant puisque, doucement mais sûrement, on se dirige vers la fin de cette émission, mais quand j'ai vu ta dernière proposition, ça m'a rappelé ma sœur et mon frère qui ont beaucoup écouté ce groupe et qui m'ont fait surtout écouter une chanson. Bon voilà, je ne vous parlerai pas de laquelle, mais vous vous doutez bien de laquelle. Comment elle s'appelle ? Ouh là là ? Non, c'est le prénom d'une femme. [03:01:11] Speaker C: Ils en ont fait plein pour de vrai. Tu comptes pas avec Légion 88 ? Non, parce que je ne sais même. [03:01:19] Speaker B: Pas à quoi ça ressemble en vrai. [03:01:23] Speaker C: Fais des recherches tu vois. [03:01:28] Speaker B: Je connais l'histoire mais je connais pas la musique. [03:01:31] Speaker C: Le problème c'est que les gens confondent souvent quand j'en parle. [03:01:33] Speaker B: Oui mais ceux-là ils ont plus d'humour. [03:01:35] Speaker C: Et ils sont pas nazis, ils sont pas nazis. [03:01:36] Speaker B: Ça fait deux différences, c'est déjà pas mal. Non Ludwig von 88, qui sont revenus d'ailleurs. [03:01:43] Speaker C: Années et j'ai assisté à leur concert de Reformation qui était au Hellfest et j'en ai pas cru mes yeux parce que c'était un peu mon groupe d'adolescence, c'est un peu quand j'ai... je parlais tout à l'heure voilà, d'un peu je me cherchais un peu musicalement etc... Et un peu, voilà, je parlais aussi de toute cette période de chansons françaises un peu, voilà, alterno, genre Babos, etc. Genre les groupes de ska festifs, etc. Il y a aussi un peu les groupes de punk franchouillard qui étaient là depuis une éternité, mais que moi je commençais un peu à découvrir. Et donc sur la radio que j'écoutais, que je disais tout à l'heure, Radio 666, il y avait une émission qui s'appelait « La Froggy Hour », qui était consacrée justement aux... à cette musique française, à cette nouvelle scène française, enfin, plus ou moins nouvelle. Et j'ai découvert donc ce groupe, donc Ludwig Von 88, un vieux groupe de punk de l'époque des... des Bérus, etc., qui ont un peu survécu aux Bérus, etc. Et j'ai découvert, via un morceau qui s'appelle Les Aventures de Charles Hubert l'éléphant de mer, Qui n'est pas un morceau d'album, qui était un morceau sur une compile destinée à une assaut de sauvegarde des animaux, parce qu'il était très militant sur plein de choses, etc. Et ouais, j'avais écouté ça, déjà ça m'a fait rire, parce que c'était très drôle. Et ouais, il y avait une musicalité alors, qui est... simplissime, qui est limitée purée, parce qu'ils ont même pas de batterie, ils ont une boîte à rythme. Et... Et ça... [03:03:12] Speaker B: Tu grilles les yeux levés vers le ciel ! [03:03:14] Speaker E: Comme les Bérus, apparemment. [03:03:15] Speaker C: Oui, c'est vrai, comme toujours. Enfin, ils ont toujours eu... Je sais même pas s'ils ont eu une batterie, et du coup, ça m'a un peu déçu, parce que moi, j'aime bien les sons de batterie, etc. Bref, je m'y suis fait. Et ouais, c'est quelque chose qui m'a vraiment beaucoup marqué. Et ça m'est un peu resté parce que je pense que c'est un peu aujourd'hui ce qui m'a un peu construit la personnalité que j'ai aujourd'hui, c'est-à-dire, voilà, c'est une musique un peu revendicative, un peu violente, et en même temps très second degré. Et du coup, ouais, ça m'a beaucoup accompagné. Alors le truc c'est que quand j'ai découvert, vraiment ils venaient de splitter, tout simplement, donc j'ai eu le bonheur d'y arriver, mais du coup j'ai eu le temps de redécouvrir les albums, etc. Et ouais, ça m'a beaucoup accompagné dans ma prime jeunesse, un peu dans mes études et tout. Et ouais du coup ils avaient annoncé un concert de... Du coup t'as fait. [03:04:02] Speaker B: Fac de lettres ? [03:04:03] Speaker C: Pas du tout, j'ai fait les Beaux-Arts monsieur. [03:04:05] Speaker B: Ah oui bah voilà c'est pareil, excusez-moi. [03:04:08] Speaker C: Comme le montrent ma blancheur et ma barbe. [03:04:13] Speaker E: T'aurais pu faire psycho aussi. [03:04:14] Speaker B: Attends, et nous on a fait quoi ? [03:04:18] Speaker E: Bah moi j'ai fait les Beaux-Arts. [03:04:19] Speaker B: Moi j'ai fait fac de géo, bon... [03:04:23] Speaker E: Non toi t'as quand même fait ton truc agricole d'abord. [03:04:26] Speaker B: J'ai fait un lycée agricole d'abord, donc il y avait plein de gens qui écoutaient aussi cette musique là. Non mais vas-y, pardon. [03:04:32] Speaker C: Une fois j'ai fait découvrir qu'il y a quelqu'un, justement Ludwig von Karajan, il m'a dit c'est de la musique de balle. Tu vois, genre de la musique de balle, tu sais, un peu dans les villages, etc. Ah, de balle, d'accord. Pas de balle B.A.D.Z.L.O. mais de balle B.A.D. Genre dans les petits villages, quand il y a les soirées, les événements organisés, ben un peu pour les jeunes qui sont dans le coin, c'est un peu, voilà, ce qu'on passe, genre Sint-Emilia, etc. Blablabla. Du coup ça m'a fait, vous voulez quoi ? Pour moi c'était vraiment... [03:04:54] Speaker B: Tu ne m'y parlais de pourdu, mais je n'en pensais pas moi. [03:04:57] Speaker C: Non, c'est juste, je ne comprenais. [03:05:01] Speaker B: Et. [03:05:01] Speaker C: Du coup j'étais un peu triste, je me dis que c'est vraiment le genre de groupe que je ne reverrai plus jamais parce que je pense qu'ils n'en ont plus rien à foutre, etc. Et ils ont annoncé leur reformation en 2016, je crois, et donc j'ai assisté à leur concert de reformation qui était au Hellfest. C'est la première fois de ma vie que j'ai slamé et crowdsurfé sur mon groupe d'adolescence. Donc j'étais très heureux, j'étais très heureux, il y avait vraiment un monde de ouf, je pensais pas qu'ils allaient attirer tant de monde, surtout le Hellfest, il y a beaucoup d'étrangers qui viennent. [03:05:32] Speaker B: C'est quand même majoritairement français. Il doit y avoir un cinquième ou un... [03:05:38] Speaker E: C'est très français et il y a beaucoup de vieux, du coup ça colle. [03:05:44] Speaker C: C'est vrai. [03:05:45] Speaker B: Voilà. [03:05:46] Speaker E: S'il n'y a pas Iron Maiden qui. [03:05:47] Speaker B: Joue... Non, et puis ça fait partie aussi de ce paysage français, 1988 mine de rien. [03:05:54] Speaker C: Iron Maiden, d'ailleurs, le meilleur spectacle pour enfants que j'ai vu de ma vie. [03:05:58] Speaker B: Ça tacle. [03:05:59] Speaker C: Non, c'est un bon... Je suis désolé, il y a Bruce Dinkinson qui se bat contre un squelette gonflable avec une épée qui fait du feu. Un Aiden géant. [03:06:09] Speaker B: Je préfère Kiss comme spectacle pour enfants. Parce que j'adore les plateformes shoes. [03:06:14] Speaker D: Et puis au moins ils volent. [03:06:16] Speaker B: C'est vrai ils volent. [03:06:17] Speaker C: Donc ouais j'ai passé un très très bon moment et je les ai revus deux trois ans plus tard au Trianon. [03:06:24] Speaker B: Vous avez fait le Forum Vauréal. On salue d'ailleurs parce que c'est une salle magnifique. [03:06:28] Speaker C: Ils ont fait des concerts à Paris donc je crois que c'était le Trianon à côté de l'Elysée Montmartre. Oui c'est ça. C'était vraiment cool, pareil j'ai monté sur scène. [03:06:35] Speaker B: Les Forum Vauréal et le Trianon ça vaut quelque chose parce que c'est deux univers. [03:06:38] Speaker C: Ouais ouais mais ça marchait bien. [03:06:40] Speaker D: C'est l'ennoblissement tu sais. [03:06:42] Speaker C: C'était, en même temps tu vois pas la salle, mais du coup c'était une salle pas trop grande et en même temps c'était adapté... [03:06:47] Speaker E: Le trianon en même temps il y a quand même beaucoup de concerts de métal ou de punk. [03:06:52] Speaker C: Ouais c'est vrai, c'est vrai. [03:06:53] Speaker B: Je rigole, je suis type tu me vannes... Non je sais que c'est ce que tu penses. [03:06:55] Speaker E: Je pense que, je sais que t'es très fermé à l'architecture classique. Bon, enchaînons. [03:07:02] Speaker D: Ils avaient pas... [03:07:04] Speaker E: Ils ont pas fait une petite tournure il y a quelques années avec Elmer Footbeat aussi qui s'était reformé ? [03:07:09] Speaker C: C'est une bonne question, je crois pas, je crois pas, enfin peut-être... Ah si, il y avait peut-être... Ah mais c'est. [03:07:16] Speaker B: Elmer Footbeat que je confonde ! Daniela, ça m'est revenu, autant pour moi. [03:07:21] Speaker C: C'est très intéressant de les confondre. Non je déconne. Du coup j'ai pu les voir. Maintenant Fugazi c'est à vous de vous reformer, je vous le dis. Parce que j'aimerais bien vous voir avant que vous mouriez. Et donc voilà. Très content. Ils sont pas fâchés, ils font toujours des trucs ensemble, ils n'ont pas envie, mais j'aimerais bien. Je ne perds pas espoir, comme LudicFunk80 s'est reformé. C'était vraiment un truc, c'était vraiment... Ecoute, on verra. Mais oui, je pense qu'ils ne feront pas de tournée, enfin, ils n'accepteront pas. [03:07:53] Speaker E: T'as plus de chances d'avoir Fugazi le rappeur que... Remarque, t'aimes bien aussi. [03:07:57] Speaker C: Non, Fuzzati. J'ai un peu passé l'année au Fuzzati. [03:08:01] Speaker B: Je suis trop vieux. [03:08:02] Speaker C: Le club des losers. Le rappeur masqué de Versailles. [03:08:05] Speaker E: C'est vrai qu'il était une grosse période aussi. [03:08:06] Speaker C: Ouais, de ouf. L'album « Vive la vie », c'est un des trucs que j'ai plus écouté ado. Pareil, mal-être adolescent, etc. [03:08:14] Speaker E: On est tous passé par là. Et on l'a tous plus ou moins géré grâce à la musique aussi. [03:08:18] Speaker C: C'est vrai, c'est vrai. [03:08:19] Speaker B: Oui, complètement. [03:08:19] Speaker C: Mais là, c'était vraiment très... [03:08:23] Speaker B: Je voulais pas le dire à tout le monde, donc j'écoutais Jonathan Davis qui faisait du Britney Spears. [03:08:27] Speaker C: Why not ? et donc ouais donc j'ai choisi la clip parce qu'ils ont fait un clip voilà genre un clip et c'est celui là c'est pas forcément mon morceau préféré mais comme il fallait un clip et tous les vidéos de live sont absolument dégueulasses donc indiffusables Le clip est d'époque. [03:08:44] Speaker B: Ça a été récupéré sur une VHS qui a été regardé 7 600 000 fois. [03:08:48] Speaker C: Mais alors vraiment, d'où il sort ce clip ? Parce que vraiment, où il a été diffusé ? Parce que vraiment, je vois pas où est-ce que ça peut être diffusé. [03:08:55] Speaker B: Sur M6 ça a dû être diffusé. [03:08:56] Speaker C: Ah ouais ? [03:08:58] Speaker B: Si, si. [03:08:59] Speaker D: Si, si. [03:08:59] Speaker B: Non mais c'est peut-être passé que deux fois. Mais à l'époque, encore une fois, on pouvait assister à des choses improbables. Donc pourquoi pas, mais là il est dans son jus quoi. Musicalement je vous conseille après, si vous avez apprécié globalement l'idée de la chanson, d'aller l'écouter sur une plateforme d'écoute légale, ce sera mieux. [03:09:21] Speaker C: Surtout qu'ils ont tout réédité il n'y a pas longtemps. [03:09:24] Speaker B: Ben n'est pas là, donc je n'ai. [03:09:26] Speaker E: Pas... Donc on en profite pour en mettre ! [03:09:28] Speaker B: Non, c'est juste que normalement on aurait pris la chanson en bonne qualité, on l'aurait mise sur le clip, mais... [03:09:33] Speaker C: J'ai vraiment cherché, s'il y avait une meilleure qualité, j'ai vraiment pas trop aimé. [03:09:36] Speaker B: Bon, c'est pas grave, j'ai essayé de... [03:09:38] Speaker C: C'est regardable, c'est regardable. [03:09:40] Speaker B: Oui, oui, et si vous n'êtes pas content, c'est la même chose. C'est gratuit. Voilà, c'est ça ! [03:09:46] Speaker D: Écoutez, c'est l'esprit punk, c'est DIY. [03:09:49] Speaker B: Tout à fait pissé. Ça vous amène un petit peu de culture un peu plus large pour les plus jeunes d'entre vous. Ah je vois Petit Punk, bon bah d'accord. Petit Punk c'est une personne qu'on adore, qui a notre âge un peu plus. [03:10:04] Speaker C: Je vois un peu ce message en se rentrant sur plein de trucs. [03:10:07] Speaker B: C'est une personne extraordinaire. Allez on regarde ça tout de suite. Un choix de Guillaume, Ludwig von 88 avec New Orleans. C'est comme un rêve, un univers étrange Dieu m'a raisé insalubre, et ma nation fut tride Comme une nuit chaude, perlée d'air humide Rembaissante relâche, en lourdeurs orageuses Et le reste encore, sifflant hurlant dans le vent Détraîné de chasme. [03:11:26] Speaker A: J'en ai. [03:11:26] Speaker B: Montré tout cela, moi le souffle, j'en. [03:11:28] Speaker A: Ai pas su aussi tôt. [03:12:33] Speaker B: Porté par le fleuve, par un soleil de mort, Lumière diffuse et folle, à l'aune irrigueux, La moiteur profonde résonne, un refrain embrumé. Porté par le chant, du trompette désœuvré, Où quelques vieux noirs survivants se meurent sur un vieil air. Musique endiablée, pluie effluctuante, répétée mille fois. [03:13:38] Speaker A: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est parti ! As a matter of fact, I get emotional When everywhere that I turn, I see a sign Why are my other kids back to a silly growl? [03:15:32] Speaker B: I'm the chimp I am told by. [03:15:34] Speaker E: You. [03:17:41] Speaker B: The Barbarians of California. Voilà, c'est assez facile à retenir, je sais, il faut l'écrire en entier, c'est compliqué, mais The Barbarians of California avec three letters et donc... Team. [03:17:53] Speaker D: Team McElrath. [03:17:56] Speaker B: McElrath, oui. [03:17:58] Speaker D: Team McElrath de Rise Against, du coup. [03:18:01] Speaker B: Ah, c'est ça, Rise Against. Avec un mec de Whole Nation et d'autres membres. Je vous laisse rechercher parce que comme j'ai pas travaillé là-dessus, je vous démerdez. [03:18:09] Speaker C: Et parce que Sébastien, étonnamment, Il passait par là. Tu veux pas refaire un petit bol. [03:18:14] Speaker E: De clavoir par là ? [03:18:15] Speaker C: Amemeng, amemeng, t'es chez les cinq. Je suis bouleversé, je suis. [03:18:21] Speaker A: Bouleversé. [03:18:22] Speaker B: Oui, oui ! C'est la meilleure émission que j'ai passée. [03:18:25] Speaker C: J'en suis ravi ! Et pour la meilleure des raisons en plus. [03:18:29] Speaker B: Ah venez, là c'est parfait, parfait. Bon, pas la meilleure des cultures, mais après c'est celle qu'on a eue. C'est la culture française. C'est ça. Guillaume. [03:18:39] Speaker C: C'est moi. [03:18:40] Speaker B: Tu as été notre invité ce soir, est-ce que tu as envie de dire quelque chose ? Tu veux inviter les gens à te rejoindre, à échanger avec toi sur Twitter principalement ? [03:18:48] Speaker C: On se bat, on se bat sur Twitter. Mais ouais, vous pouvez me suivre, y'a pas de problème. Je stream de temps en temps, alors malheureusement pas souvent parce que c'est... bah c'est pas mon vrai métier et que c'est de la préparation et que bah mine de rien c'est vraiment du taf de se préparer donc du coup bah moi quand j'ai fini mon vrai travail j'ai pas forcément la force. [03:19:05] Speaker E: Tu sous-entends qu'on a merdé la technique ce soir, qu'on a commencé avec du retard parce qu'on n'était pas préparé ? [03:19:09] Speaker C: Non ! [03:19:11] Speaker B: Et qu'on avait une plantade en plein milieu ? [03:19:13] Speaker C: Non c'est parce qu'on a pas de. [03:19:13] Speaker D: Vrai travail, c'est ça le truc ! [03:19:17] Speaker C: Mais des fois, pourquoi pas, écoutez, vous pouvez me suivre Twitter, donnez-moi du travail aussi parce que en ce moment j'en manque pas mais voilà je suis freelance, mi-freelance mi-chômeur et donc voilà donc manger c'est bien aussi, manger c'est bien. [03:19:34] Speaker B: Sécuriser sa vie c'est pas mal. [03:19:36] Speaker C: C'est un peu une de mes grosses angoisses. Faut payer les croquettes pour polluer. Mais ça va, il en manque pas. Mais ouais, donc voilà, vous pouvez retrouver mon travail, mon taf sur Biens. N'allez pas voir son site qui est encore en ligne parce qu'il est vieux. Je ne l'ai pas mis à jour. Il est vieux, usé, fatigué, comme Jacques Chirac. Crac, crac, les pommes. Et donc voilà, Biens, Guillaume Brindon, c'est mon blaze. Et vous pouvez aussi un peu retrouver mon taf en tweet épinglé où j'ai un peu mis toutes les infos. Donc voilà, si vous êtes intéressés par mon travail, Je suis là et sinon je dis des conneries sur Twitter. Car voilà, j'aime bien ça. [03:20:07] Speaker B: Voilà, on peut te retrouver en écrivant donc principalement les lettres LVCDLLM. [03:20:12] Speaker C: Voilà, exactement. [03:20:14] Speaker B: On remettra tout ça bien sûr sur les réseaux sociaux si vous ne vous en souvenez pas. Je laisse notre ami... C'est bon il a mis... Ah non c'est... Oui, super, merci Marcel. Je te félicite. Marcel, t'es en train de prendre... Vraiment, tu commences à travailler correctement, c'est pas mal. [03:20:29] Speaker E: C'est con que tu le fasses le jour où Ben est pas là. [03:20:36] Speaker B: Il le verra quand même, je lui dirai, ne t'inquiète pas, je vais essayer de te vendre. Enfin, je veux dire... On verra, de toute façon, il faut que tu nous rapportes de l'argent aussi. [03:20:43] Speaker C: En tout cas, j'étais bien content d'être là, c'était vraiment cool, je me suis bien marré. [03:20:47] Speaker B: Oui, ça rappelle la petite chambre d'ado et Wayne's World un petit peu, parce que normalement, il y a Pipo et Molo, bon... Là, c'est l'autre Pipo. [03:20:54] Speaker C: Je me demandais qui j'étais, Pipo ou Molo, tu vois. [03:20:59] Speaker B: Je n'expliquerai pas pourquoi j'ai choisi que ce soit l'autre qui s'appelle Pipo. [03:21:02] Speaker C: Ou Kermit Terran et Jacques Chirac. Si. [03:21:13] Speaker E: Tu continues à faire ça, il n'arrivera pas à terminer l'esprit. [03:21:16] Speaker B: Il ne va jamais s'arrêter cette émission. Tu sais qu'on peut durer jusqu'à demain. [03:21:20] Speaker E: Matin, alors là... T'arrives à faire le. [03:21:22] Speaker C: Pen ou pas ? Pas trop, pas trop. [03:21:26] Speaker E: N'est-ce pas ? [03:21:27] Speaker C: C'est pas très drôle à faire Le Pen, je trouve, c'est pas très drôle. [03:21:33] Speaker E: Du coup, on a un délire où c'est les Mickey et le Mister et Le Pen ont la même voix en fait. [03:21:38] Speaker C: C'est vrai ? Putain, je vais entendre que ça maintenant. Et ils ont la passion commune de collectionner les drapeaux nazis. [03:21:56] Speaker B: Continuer cette émission parce que ça coûte un brin malheureusement à Ben, c'est pour ça qu'il n'est pas là, il est parti travailler comme un acharné pour pouvoir payer le fait de pouvoir diffuser cette émission donc n'hésitez pas à nous rejoindre sur YouTube, vous abonner à cette chaîne, rejoindre bien sûr Guillaume sur tous ses réseaux et sur sa chaîne. [03:22:13] Speaker E: Commentez partout, commentez surtout, des pouces bleus, la cloche, les subs, faites chauffer les algorithmes, commentez comme ça, ça nous fait remonter dans le truc et d'autres gens peuvent nous découvrir. [03:22:24] Speaker B: Voilà, plus vous commentez, plus ça remonte effectivement. [03:22:26] Speaker E: Même si c'est pas dire de la merde. Le gros barbier avec le t-shirt blanc, il a vraiment l'air con, il dit... Allez-y. [03:22:32] Speaker B: Ça c'est toi qui te le dis à toi-même ? [03:22:34] Speaker E: Non, du coup, il y a une de mes collègues qui a dit que j'étais un boloss. [03:22:37] Speaker B: Oui, c'est vrai, j'ai vu ça, je me suis dit, ça c'est la copine. Et toc ! Non mais voilà, je sais qu'il y en a certains aussi qui disent tout le temps « merci », j'ai écrit juste « merci ». Merci à vous aussi de le faire et puis... « Juste merci » en commentaire, c'est suffisant ! Oui, pardon ? [03:22:56] Speaker D: Non, je les ai dit « juste merci » en commentaire, si vous ne savez pas quoi dire d'autre. « Juste merci », c'est suffisant. [03:22:59] Speaker C: On fait des imitations, on fait des imitations, genre... Crac-crac ! [03:23:02] Speaker E: Crac-crac ! En français, voix de Jacques Chirac ! [03:23:06] Speaker D: Faites votre meilleure imitation en commentaire de ce replay. [03:23:22] Speaker B: Et pour ceux qui gagnent j'enverrai le lien vers son imitation de Madonna. Voilà son sketch sur Madonna. [03:23:29] Speaker C: C'est pas Vanessa Paradis ? [03:23:30] Speaker B: Oh il y a Vanessa Paradis aussi mais il y a Madonna aussi. Et Vanessa Paradis de clip de Michael Jackson. C'est ce que j'allais dire aussi Michael Jackson quand il fait Black or White. [03:23:37] Speaker E: De toute manière à mon avis que ce soit Vanessa Paradis ou Madonna c'était pareil avec des nichons en plastique et puis... C'était la même voix ! [03:23:44] Speaker B: Mais Madonna il est bien parce qu'il a une robe rouge un peu comme ça, il marche avec ses jambes marquées, il fait « Meuh meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh. [03:23:55] Speaker C: Meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh. [03:23:59] Speaker E: Meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh. [03:24:01] Speaker B: Meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh. [03:24:03] Speaker E: Meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh, meuh. [03:24:08] Speaker B: Qu'est-ce que je voulais dire d'autre ? On se retrouve dimanche prochain bien sûr. Nos invités dimanche prochain si tout se passe bien c'est Head Charger voilà puisqu'ils sortent un nouvel album et que c'est un groupe qu'on aime énormément. Je vous conseille vendredi soir si je ne dis pas de bêtises ils célèbrent la sortie de leur album au Dr Feelgood rue de la Roquette à Bassy à Paris donc ne vous gênez pas pour aller leur dire coucou et leur faire un bisou ça leur fera vraiment très très très plaisir et ce sont des gens qui sont extrêmement gentils. On les aime fortement pour ça aussi. Et dans les semaines à venir, nous recevrons les collègues de Bring The Noise puisque ce sont mes enfants. Donc on rigolera bien aussi. Je pourrais leur dire que ce qu'ils font maintenant c'est nul comparé à ce que je faisais avant. [03:24:52] Speaker E: Surtout pour certains d'entre eux, avoir abandonné Restless pour retourner dans une radio payée. [03:24:59] Speaker B: C'est un scandale ! Bon allez, sur ces bonnes paroles, j'avais envie de vous quitter avec ce groupe qui est également français, qui s'appelle Versatile. [03:25:12] Speaker C: Trois cafés gourmands. [03:25:16] Speaker B: Si le jour je passe ça, j'attendrai que Ben soit là. Et je vous conseille de vous renseigner sur Versatil, ils font des concerts, ils m'ont demandé de les annoncer, je sais qu'ils vont m'en vouloir, j'ai pas noté la date, mais allez donc voir ce groupe. Le clip, alors c'est parce que, non mais, j'ai demandé aux gens d'envoyer leur clip via Instagram ou Facebook, Messenger, etc. Et ils l'ont fait, donc je passe leur clip, je sais qu'il y a des dates de concerts qui arrivent, je vous conseille juste d'aller rejoindre leurs réseaux sociaux si vous aimez. [03:25:43] Speaker E: Si vous kiffez le clip, renseignez-vous, il passe peut-être près de chez vous. Si vous kiffez le clip, renseignez-vous, il. [03:25:46] Speaker C: Passe peut-être près de chez vous. Si vous kiffez le clip, renseignez-vous, il passe peut-être près de chez vous. [03:25:48] Speaker B: Si vous kiffez le clip C'est vous. [03:25:52] Speaker C: Qui le voyez ! [03:25:54] Speaker B: T'as les preuves ! Mais tu as fait bien la voix ! [03:25:56] Speaker C: Ah merci parce que je l'ai fait récemment en soirée très ivre, on m'a dit que je l'avais mal fait. [03:26:00] Speaker B: Alors peut-être que ivre, c'est pas pareil. [03:26:02] Speaker E: Je crois qu'on va enchaîner direct, on va enregistrer l'émission de la semaine prochaine. [03:26:07] Speaker C: Et même même que je suis headcharger. [03:26:14] Speaker B: Des gros bisous, bon courage à vous, vive le rock'n'roll, vive le métal, vive la musique globalement aussi, toutes les musiques sont bonnes, la culture globalement est bonne aussi, c'est important, il ne faut pas l'oublier, renseignez-vous avant de dire les choses et puis surtout bon courage parce que demain matin vous travaillez, moi non, mais je n'ai pas de boulot en même. [03:26:32] Speaker C: Temps, toi non plus. [03:26:33] Speaker D: Non. [03:26:35] Speaker B: Lui oui. [03:26:37] Speaker C: Moi aussi. [03:26:38] Speaker B: Toi aussi tu travailles demain matin ? Ouais. Bon courage, on vous embrasse fort, merci d'être là, merci d'être de plus en plus nombreux et on se retrouve dimanche prochain. [03:26:44] Speaker A: Bye ! Cette ordeille en un nid de pectus Alors que les fragments brisés d'un miroir Ne renvoyaient à son odieuse nature L'arbre, les stigmates, c'est ton orgueil ! L'être, c'est un fil auto-accueilli Parcourait le sol humide De sa langue frappeuse à. [03:29:31] Speaker B: La. [03:29:57] Speaker A: Arrête de craquer et ouvrir ta sœur ! C'est génial ! [03:32:09] Speaker E: Un pour le caillou. [03:32:13] Speaker B: Deux pour le spectacle. [03:32:16] Speaker C: Et voilà, c'était mon souvenir. Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. [03:32:38] Speaker B: Spotify, Deezer, Apple, Amazon... N'hésitez pas à vous abonner !

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