Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Retrouvez toutes les émissions en podcast sur breastless.com.
[00:00:04] Speaker B: Bonjour. C'est moi Orson Welles.
[00:00:09] Speaker C: Pas mal, non ?
[00:00:10] Speaker B: C'est français.
[00:00:28] Speaker C: Bonjour ! Bang bang, l'émission alternative rock métal sur Twitch. Il n'y a que nous. En vrai, il y a plein d'autres gens, mais c'est pas bien. Venez ici, dites-le à vos amis. On va se marrer, on va rigoler, on va regarder des clips. On va aussi apprendre des choses puisque ce soir, nous avons deux petites perles. On décrira la deuxième qui en fait la première en tout cas.
[00:00:51] Speaker D: Ça recommence très très bien.
[00:00:53] Speaker C: Tu sais, c'est de qualité ici. Notre première petite perle, c'est le meuble. Le fameux meuble de ZMU.
[00:01:02] Speaker D: Enjoy the noise. Ça va très bien pour vous servir.
[00:01:06] Speaker C: Tu as encore préparé des trucs progressifs ?
[00:01:09] Speaker D: Non, je vous ai épargné tout ce qui était un peu trop prog, là je suis parti sur des trucs un peu... J'ai un peu pensé à tout le monde, donc j'ai pris des trucs un petit peu plus soft, je pense que ça contentera un petit peu tout le monde. J'espère en tout cas.
[00:01:20] Speaker C: Tu vas voir, tu vas voir. Parce que je sais très bien ce que tu vas passer, et puis Ben aussi on a déjà préparé des vannes. Alors ! J'ai peur. Tu vois ce que je veux dire Ben ? Je dirais bonjour juste à la fin parce que je commence par les invités.
[00:01:31] Speaker E: Les gens importants.
[00:01:33] Speaker C: Regardez la star, elle vient d'enlever ses lunettes de soleil. Attention à la mini-jupe, si vous regardez bien, tout peut se passer.
[00:01:40] Speaker A: Attends, il y a la tasse qui est trop bien pesée.
[00:01:46] Speaker E: Ne clignez pas des yeux, parce qu'à tout moment, il peut y avoir une petite surprise !
[00:01:49] Speaker A: Ah bah paye tes surprises mon gueule !
[00:01:52] Speaker C: J'ai eu une image mon dieu, mais pourquoi j'ai eu ça dans les... Bon bref, Aurélie de Oui FM, bonsoir !
[00:01:58] Speaker B: Salut !
[00:01:59] Speaker C: Est-ce que les vacances se sont bien passées ?
[00:02:00] Speaker A: Bah écoute, on voit encore mes petites marques de bronzage, donc j'ai envie de.
[00:02:03] Speaker C: Te dire oui ! C'est chic !
[00:02:04] Speaker A: J'ai été dans le seul endroit de Grèce où ça n'a pas brûlé, donc c'est plutôt positif ! Non non, c'était de très bonnes vacances.
[00:02:09] Speaker C: Et voilà, on attaque la rentrée !
[00:02:10] Speaker A: Bah non, c'est là où c'est inondé !
[00:02:13] Speaker C: Bah oui, bien sûr les pauvres. Ils ont eu Aurélie en vacances. Le cadeau sans fin quoi ! Bon et puis Ben, toi qui es toujours là bien sûr. Ah oui, c'est vrai que je suis là. Bah oui, bonsoir mon petit Ben.
[00:02:29] Speaker E: Tu dis ça parce que j'ai pas une belle peau ? Là, j'appuie là, on te voit. Là, j'appuie là, on te voit plus. Là, on nous voit tous.
[00:02:38] Speaker D: Là, on te voit.
[00:02:39] Speaker E: Là, on nous voit.
[00:02:40] Speaker C: On te voit, on ne nous voit plus. On te voit, on ne nous voit plus.
[00:02:45] Speaker D: Vous connaissiez les hommes sandwich, maintenant vous avez l'homme switch.
[00:02:53] Speaker C: Ce soir je t'ai préparé 2-3 petits morceaux, normalement que tu aimes bien.
[00:02:57] Speaker E: J'ai vu qu'il y a des trucs que j'étais content de voir.
[00:03:00] Speaker C: J'ai vu que tu t'es fait plaisir aussi. Tu sais, quand je me fais pas plaisir, généralement je fais « Allo Ben, tu dois passer quoi comme type ? » parce que j'ai encore rien foutu.
Et puis vu ma semaine, j'ai passé une sacrée grosse semaine.
[00:03:13] Speaker E: Elle était bien grosse, bien épaisse.
[00:03:14] Speaker C: Il y a eu un foie là qui est devenu bleu, le foie qui est là est devenu violet, le foie qui est là est devenu marron.
[00:03:18] Speaker A: Mais il y a 40 choix quoi.
[00:03:19] Speaker C: Ah bah il vaut mieux parce que là, la semaine était compliquée. Mais on va raconter ça au fur et à mesure. Parce que j'ai fait quelques expériences. En public ?
[00:03:27] Speaker B: Ah oui !
[00:03:27] Speaker E: Mais moi j'ai pas eu le droit de savoir, il m'a dit, non je raconte pas tout à l'heure.
[00:03:30] Speaker C: J'ai fait quelques expériences en public. Attends, c'était où ? Je l'ai fait au Supersonic.
Et je l'ai fait aussi pendant ma soirée quand je mixe à l'Atomic 4 le jeudi.
[00:03:40] Speaker E: Ah, c'était avec la même personne ou pas ?
[00:03:42] Speaker C: Absolument pas. Mais ce sont des femmes avec qui j'ai fait ces expériences. Ah, un féministe ? Alors justement, j'aimerais bien parler de... Je suis pas sûr qu'elles soient vraiment féministes. C'est un peu particulier.
[00:03:57] Speaker E: J'étais bien certain que t'étais un cinquantenaire hétéro qui baise la tour de bras.
[00:04:03] Speaker C: Ça fait partie de ce qu'on a pu presque me dire. Le level était encore plus au-dessus.
C'est vrai que là, je vais vous raconter tout ça tout à l'heure, parce que comme ça c'est un teasing, c'est vraiment le truc qui va tenir les gens. Je tiens à faire un gros bisou à toutes les personnes qui sont dans le schmull, c'est-à-dire le chat, c'est comme ça qu'on l'appelle, les bangers qui sont là à nous laisser de multiples messages. Merci d'ailleurs à toutes les personnes qui se sont inscrites pendant notre été, puisque vous avez été très très nombreuses et nombreux. à venir nous rejoindre, après avoir vu nos vidéos sur YouTube, donc voilà, n'hésitez pas à passer le message autour de vous, c'est important !
[00:04:34] Speaker E: Bien sûr, maintenant, il y a une chaîne YouTube avec tous les épisodes de Bang Bang, donc les 14 premiers épisodes. Grâce, on peut dire, on peut dire, merci à Marcel, sans qui... Le petit bout de chou.
[00:04:45] Speaker C: Voilà.
[00:04:46] Speaker E: C'est à cause de vous qu'en même.
[00:04:48] Speaker A: Temps les géchons me détestent parce que vous avez mis l'extrait où je dis que Jared Leto est un sale con quoi. Bon après c'est vrai que Jared Leto est un sale con.
[00:04:57] Speaker E: Puis on l'a dit quand même pas mal de fois.
[00:05:00] Speaker D: En même temps, comme une certaine personne ici dit, c'est pas méchant si c'est vrai.
[00:05:04] Speaker A: Ouais, c'est vrai.
[00:05:06] Speaker E: T'as eu peur que ce soit toi ?
[00:05:10] Speaker C: Non voilà, c'est une phrase de moi.
[00:05:11] Speaker E: Je peux le dire. C'est pas méchant si c'est vrai.
[00:05:14] Speaker C: C'est une merde, c'est une merde. Ça n'empêche pas qu'on puisse aimer sa musique même si aujourd'hui tout ce qu'il fait c'est de la merde.
[00:05:21] Speaker A: On est d'accord. En vrai j'ai un peu honte de le dire mais le nouveau single, j'ai bien aimé. Ça fait partie de ces morceaux que j'appelle des morceaux de déguenial. C'est tellement dégueu que ça en devient génie.
[00:05:38] Speaker E: Je vois ce que tu veux dire mais moi ça me le fait pas trop là-dessus.
C'est vraiment trop dégueu pour que… On.
[00:05:43] Speaker C: Préfère la chanson française. Il a lâché la roupe à fond.
[00:05:46] Speaker A: Les dents les gars.
[00:05:48] Speaker C: Une fois par semaine.
[00:05:48] Speaker E: Et du coup Gilles Dore… Gilles Dore.
[00:05:52] Speaker C: Jared Leto, même combat évidemment.
[00:05:53] Speaker E: On les a jamais vus ensemble. Peut-être qu'ils ont partagé un vodka orange.
[00:05:56] Speaker C: Un jour, tu sais pas ? Vodka orange en anglais, Jared Leto.
[00:06:03] Speaker E: Je le verrais bien chanter ça pendant qu'il est en Joker.
[00:06:07] Speaker C: D'ailleurs il va refaire le Joker, il y a la suite. Ah non !
[00:06:11] Speaker D: Ah bon ? Il reprend le rôle ou il s'est fait virer ?
[00:06:13] Speaker C: J'ai juste vu, attention, ça va être encore pire qu'avant.
[00:06:16] Speaker A: Ah merde !
[00:06:17] Speaker C: Donc bon, bah je me suis dit comment on peut, c'est pas possible.
[00:06:19] Speaker A: De toute façon le Joker ça pue du cul, la meilleure c'est Harley Quinn les gars. Du coup on en parle quoi.
[00:06:23] Speaker C: On va peut-être lancer un petit clip.
[00:06:24] Speaker E: Les gens qui ont envie d'un peu de musique. C'est comme tu veux.
[00:06:26] Speaker C: On va dire des saloperies, à tout moment vous pouvez dégainer, vous sortez votre arme et... Ça s'appelle Bang Bang, attention. Piu Piu ! Ah Piu Piu ! Bon allez, comme d'habitude, je n'ai pas changé la tradition, c'est le petit Deftones.
[00:06:42] Speaker E: De début de saison.
[00:06:42] Speaker C: Ah, pas tous cool ? Allez ! Je suis facile ! En même temps, tout le monde l'attend et voilà, c'est tout, je la balance.
[00:06:48] Speaker B: Et puis c'est parti, c'est dans Bang Bang ! C'est quoi ce truc ? C'est vraiment tout ce que tu veux ! Moi j'ai...
Oh oh oh oh oh Oh oh oh oh oh Oh oh oh oh oh Réalité Réalité « Now that you need us, but you don't, so where do you go? Because back in school, we are the leaders of it all. » This is my life It's not what it was before All these feelings I've shared And these are my dreams That I've never lived before Somebody shake me cause I Et j'ai l'impression que je peux me battre et que je peux m'excuser These are my words I've never said before I think I'm doing okay This is the smile I've never shown before Somebody shake me cause I, I must be sleeping Et maintenant que nous sommes ici, c'est tellement loin Et je sens que je peux faire face au jour Je peux m'en occuper Et je n'ai pas le choix Je dois être la personne que je suis aujourd'hui Un mot sur le monde ? C'est la première fois que j'y vais et c'est super sympa.
Sous-titrage ST' 501 Jusqu'à la dernière note, Pierre.
[00:15:12] Speaker E: Je t'ai mis la dernière goutte.
[00:15:13] Speaker C: Merci de me faire comprendre au moment où je peux parler. On était en train de se mettre d'accord, donne-moi des coups de pied quand j'ai le droit de parler.
[00:15:19] Speaker E: Non, on n'a pas dit ça. Je peux te donner des coups de poing si tu veux.
[00:15:22] Speaker C: Non, coups de pied ça me... Aïe, aïe, ça me fait mal au cul.
[00:15:25] Speaker B: Ah non, pardon.
[00:15:26] Speaker C: Bang Bang, l'émission métal, tous les dimanches, désormais tous les dimanches, de 19h à 22h.
[00:15:30] Speaker E: Ça c'est vraiment une bonne idée.
[00:15:32] Speaker C: C'est la meilleure qu'on ait eu depuis.
[00:15:36] Speaker E: Puis avoir de... Voilà.
[00:15:39] Speaker C: Non mais on se marre.
[00:15:40] Speaker E: Oh pardon, attends, j'ai pas ouvert ton micro.
[00:15:42] Speaker A: Excuse-moi. C'est parce que Bring The Noise, ça vous manquait, c'est pour ça. Rappelez-vous à l'époque, on passait tous nos dimanches soirs ensemble. C'était super cool.
[00:15:49] Speaker E: Et on mangeait ensemble, tu te souviens ?
[00:15:50] Speaker A: Non, parce que vous allez manger sans moi parce que moi je réparais l'émission.
[00:15:52] Speaker C: Oh, c'est faux.
[00:15:54] Speaker A: Il y en a eu pas mal quand même.
[00:15:58] Speaker E: Tu rigoles ? Tu veux savoir la note que j'ai eue en livraison de bouffe ?
[00:16:04] Speaker A: Ben tu faisais beaucoup de livraison, mais il y a des moments où je.
[00:16:06] Speaker E: Travaillais et ils allaient au resto pour que je termine. Je crois qu'on a plus de fois commandé.
[00:16:11] Speaker C: C'est parce qu'il n'avait pas travaillé lui, c'était moi.
[00:16:14] Speaker E: Je crois qu'on a plus de fois commandé qu'on allait manger sans toi.
[00:16:18] Speaker B: C'est vrai que je te dois un stock de berrites incroyables.
[00:16:19] Speaker A: Excusez-moi j'ai fait de la pub. Enfin itch ou ce que vous voulez. C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites.
[00:16:22] Speaker E: C'est écrit de berrites.
[00:16:23] Speaker A: C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites.
[00:16:25] Speaker C: C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites.
[00:16:27] Speaker E: C'est écrit de berrites.
[00:16:27] Speaker C: C'est écrit de berrites.
[00:16:28] Speaker E: C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites.
[00:16:30] Speaker A: C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites. C'est écrit de berrites.
[00:16:33] Speaker E: C'est écrit de berrites.
[00:16:33] Speaker C: C'est écrit de ber Merci encore pour tous ces repas. C'était aussi vieux que ce clip de Steyn. J'ai choisi tout simplement de passer de Steyn parce que je suis archi fan du groupe. J'adore Steyn, mais j'adore à ronds à ronds mon petit patarron. J'écoute Steyn quand j'ai envie de crever et en ce moment j'ai beaucoup envie d'écouter Steyn. C'est parce que c'est la rentrée.
[00:17:16] Speaker E: Cette émission démarre vraiment sur les chapeaux de roue.
[00:17:36] Speaker A: Après Seine c'est une valeur sûre, les mecs ils ont toujours fait la même chose, la même truc et c'est ce qu'on attendait aussi.
[00:17:40] Speaker C: C'est sûr qu'ils n'ont pas trop changé de fil au cours des années. Et puis là s'ils sortent un album c'est clairement pour faire de l'argent parce que je crois qu'ils n'en ont plus rien à foutre.
[00:17:47] Speaker E: C'est mauvaise langue ! Si on me l'a dit, on m'a dit que t'étais de mauvaise langue.
[00:17:51] Speaker C: Oh la vipère ! Le serpent !
[00:17:56] Speaker E: Tu veux parler de mauvaise langue ?
[00:17:57] Speaker D: En plein revival l'année 2000.
[00:17:58] Speaker C: Non attendez cet album il s'appelle Confessions of the Fallen. Voilà bon.
[00:18:01] Speaker E: Ah bah voilà.
[00:18:04] Speaker C: Excusez-moi, je suis mauvaise. Alors je voulais en venir, quand je mixais jeudi, je vais vous raconter la petite histoire quand même. Ah oui, c'est maintenant.
[00:18:14] Speaker A: Bon, s'il y a des enfants près.
[00:18:15] Speaker C: De votre ordinateur, éliminez-les. Ça va être vulgaire évidemment, je préfère prévenir, je suis quelqu'un de vulgaire. Et il y a une personne qui vient, de sexe féminin a priori, qui menait, en me regardant dans les yeux comme ça, avec les yeux qui bougeaient un peu comme ça, « Tu pourrais pas me passer un petit Britney Spears, un petit Lady Gaga, un petit Spice Girls ? » Et je lui dis « Non, je peux pas, c'est une soirée rock, j'adore mais je peux pas. » « Non, t'aimes pas, ça se voit, je sais que t'aimes pas, ça se voit tout de suite que t'aimes pas ». Je lui dis « Ah bon, pourquoi ?
[00:18:46] Speaker B: ».
[00:18:46] Speaker C: Elle me fait « Bah, parce que t'es homophobe, ça se voit ». Alors là, je lui dis « Bon.
[00:18:51] Speaker E: Je vous fais un résumé parce que.
[00:18:51] Speaker C: Ça a duré une demi-heure, ça ».
[00:18:53] Speaker E: Bah, j'imagine que les phrases n'étaient pas si claires.
[00:18:55] Speaker C: Voilà, c'était un peu plus… À un moment, au bout d'un moment, je lui fais « Non, mais t'es drogué ». Elle me fait « Ah non, les professeurs d'école, ils se droguent pas ». Je lui fais « Hein ? C'est quoi cette histoire ?
[00:19:06] Speaker B: ».
[00:19:07] Speaker C: Ah mais c'était elle ! Bon bref, peu importe. Et puis au bout d'un moment, je lui raconte évidemment qu'elle s'est trompée.
[00:19:15] Speaker A: Oh putain ! Attends, est-ce qu'elle est blonde ?
[00:19:17] Speaker C: Elle est blonde.
[00:19:18] Speaker A: Oh putain, je vois qui c'est ! C'était à l'Olympi... C'était à l'Olympi...
[00:19:21] Speaker C: À l'Atomic Cats ?
[00:19:22] Speaker A: Oh putain, je vois qui c'est ! Elle adore les shooters de tequila.
[00:19:25] Speaker C: Bah apparemment pas que ! Elle était avoinée et là je commence à lui dire écoute meuf c'est une histoire de métal, rock, 92 milles, tous ces trucs là je les passerai pas sinon tu vas demander au boss qui n'est pas là. Et ta gueule parce que de toute façon je suis pédé comme la foque. Elle a fait...
Ah mais là ça se voit vraiment que t'es homophobe. Elle fait non mais faut pas dire ça moi je suis professeur des écoles il faut pas dire ça. Je fais non mais faut pas dire ça aux gens, je suis en train de parler de moi.
Et elle n'a rien compris. Elle n'a jamais rien compris.
[00:19:55] Speaker E: Après, on ne va pas mentir, t'es un petit peu homophobe, Pierre. Moi, je passe les journées avec toi dans les bureaux.
[00:20:01] Speaker C: C'est vrai que je vais se m'embêter devant mon ordi. Mais c'est mon expression, j'ai le droit, non ? Bon, elle m'a fait un flan. Au bout d'un moment, je vais passer Spice Girls.
[00:20:09] Speaker E: Elle m'a fait un flan, il était à la vanille.
[00:20:10] Speaker C: Et elle est revenue me voir, elle a compris que j'étais gay. Au bout d'un moment, ça a dû faire brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr Et là j'ai fait, dégage ! Je lui ai fait, c'est quoi dégage en fait, va t'en ! Elle était pas méchante quand même ! En vrai, elle est pas si bourrée.
[00:20:28] Speaker A: Elle est sympa en plus, je la connais, c'est une clientèle.
[00:20:30] Speaker C: Non mais elle est vraiment pas méchante et tout, t'es rigolote, elle a dansé et tout.
[00:20:33] Speaker A: Elle était un peu pétée quoi.
[00:20:34] Speaker C: Y'a un moment, un pire moment, j'avais pas vu.
[00:20:36] Speaker E: Non mais en plus, c'est surtout qu'elle aurait été homosexuelle du coup, elle aurait été lesbienne.
Ça n'aura rien changé.
[00:20:42] Speaker C: Enfin, je ne sais pas si il faut relever ce bataille. J'avais juste sa main qui se glissait délicatement comme ça sur moi et elle me regardait avec ses yeux de Merle en frise. En plus, tu détestes qu'on te touche comme ça. Dis donc, elle sentait un peu le hareng d'ailleurs aussi.
[00:20:53] Speaker D: Et elle nous regarde ce soir, d'ailleurs elle est dans le ch'meule.
[00:20:56] Speaker C: Je lui ai demandé de regarder, j'allais lui faire une dédicace.
C'est bien, avec tous les indices, il.
[00:21:02] Speaker D: Y a peut-être des gens qui ont deviné ce qu'il s'était écrit.
[00:21:03] Speaker A: C'est écrit beaucoup trop petit, on n'arrive pas à voir ce qu'il y a.
[00:21:05] Speaker E: Écrit sur le cheveu. Je vais te le mettre plus gros, t'inquiète.
[00:21:08] Speaker A: Ma mamie, elle a besoin.
[00:21:10] Speaker C: Cette phrase, je l'aime.
[00:21:11] Speaker E: Dès qu'il y a la prochaine pause, je te le mets plus gros.
[00:21:14] Speaker A: Allez, vas-y bébé, envoie tout.
[00:21:15] Speaker C: Bon, allez, on va parler un peu musique parce que c'est quand même ça l'essentiel dans cette émission.
Non, on s'en fout. Là, c'est quelqu'un qui aime la musique et qui en parle bien. Autant quand même se diriger vers notre Enjoy The Noise.
[00:21:27] Speaker E: D'ailleurs, tu veux pas changer le nom en Aime Le Bruit ?
[00:21:30] Speaker D: On apprécie le Tintamarre.
[00:21:32] Speaker E: Franchement, j'aurais fait ça. Franchement, j'aurais préféré...
[00:21:35] Speaker C: Le truc impossible à taper.
[00:21:36] Speaker E: Tint, quand même, ça c'est...
[00:21:37] Speaker C: Il faut au moins que si tu tapes Tintamarre, tu tombes sur lui.
[00:21:40] Speaker E: Avec deux ou trois R. Sinon, t'as.
[00:21:43] Speaker A: Sangéiller la chansonnette aussi, qui est pas mal.
[00:21:45] Speaker D: Putain, c'est la première fois qu'on me.
[00:21:47] Speaker A: L'A fait, elle est bien ?
[00:21:48] Speaker C: Je l'aime bien ? Allez, chialade, donne, vas-y.
[00:21:49] Speaker D: Sans jailler la chansonnette, d'accord.
[00:21:52] Speaker C: Donc tu nous parles de quel groupe ? On va commencer par Teenage Rift, c'est ça ?
[00:21:55] Speaker D: Ah, Deftones ?
[00:21:57] Speaker E: On a déjà écouté Deftones, je sais pas si on a le droit d'écouter Teenage Rift.
[00:21:59] Speaker D: Alors, il se trouve qu'ils ont un petit peu changé de style, je sais pas si t'es au courant, parce qu'au début, ça pourrait faire un petit peu Deftonesien, machin, etc. Et maintenant, ils ont compliqué.
[00:22:07] Speaker E: Alors, on va... Bon, j'attends qu'on lance le morceau, on en reparlera après, mais l'intro de ce morceau, c'est Deftones.
[00:22:14] Speaker D: Peut-être, ou rarement quoi.
[00:22:16] Speaker C: Je t'acquitte, j'aime beaucoup Tina Turiste.
[00:22:19] Speaker D: Moi aussi, figure-toi, j'aime beaucoup. Alors moi, j'avais découvert avec l'album d'avant qui s'appelait Earth Is A Black Hole, qui était un album que j'avais fait beaucoup tourner, etc. qui déjà commençait à s'éloigner un peu de leurs racines très shoegaze, de quand il y avait l'ancien chanteur, je ne me rappelle plus comment il s'appelle. Mais il a fondé un groupe assez sympa après, un groupe de grunge qui s'appelle Heavenward.
Et en fait, cet album qu'ils ont sorti en juillet dernier, le nouvel album, Still Love, je l'ai beaucoup fait tourner aussi parce que je l'ai beaucoup aimé. Là, c'est un album qui est peut-être un petit peu plus rock que pop parce que l'ancien était déjà quand même pas mal versé dans la pop.
Et là, celui-là, il rebranche un petit peu plus fort les guitares.
[00:23:00] Speaker A: C'est très grunge, t'as beaucoup de chorus, c'est très Nirvana.
[00:23:04] Speaker D: Effectivement, ça reste toujours dans cet esprit très 90's. Il y a effectivement le truc grunge à guitare qui revient vraiment en France. Ils ont des jeans troués ?
[00:23:14] Speaker A: Ils avaient eu un moment donné ce style-là aussi. Pour moi, ce groupe me fait plus penser à la branche de Seattle qu'à du Deathstone en vrai.
[00:23:21] Speaker C: Plus maintenant en tout cas.
[00:23:23] Speaker E: On en parlera pendant qu'on écoutera le morceau.
[00:23:31] Speaker B: Du.
[00:23:40] Speaker D: Coup, cet album, j'ai beaucoup aimé, notamment pour le retour en force des guitares, pour le côté peut-être un petit peu collectif aussi, parce qu'il y a pas mal de guests dans l'album. Il y a Essaye Martinez de 311, il y a Softcult aussi que j'ai pu découvrir grâce à ce featuring et que maintenant j'aime beaucoup. Du duo féminin qui est vachement bien.
[00:23:57] Speaker C: Avec qui je ne comprends pas ce Softcult sur SS ! C'est un jeu super sonique ! On passe 90 singles de softless sur Infless.
[00:24:03] Speaker D: Bah écoute, je n'étais pas tombé dessus malheureusement.
[00:24:05] Speaker E: D'ailleurs il y a une session, petite digression, une session audio tree qui est sortie sur Spotify. Du coup maintenant vous pouvez l'écouter sur Spotify, elle est très très bien.
[00:24:13] Speaker A: De softcult ?
[00:24:13] Speaker E: De softcult.
Je ne vous dérange pas plus, je vous laisse parler Monsieur Mable.
[00:24:18] Speaker D: Donc oui, Soft Cult, très bien. J'ai pu découvrir grâce à ce featuring, donc c'est très cool. Featuring aussi avec Heavenward, donc le groupe de l'ancien chanteur. Comme quoi, il reste en bons termes, il n'y a pas de soucis, etc. Et puis voilà, en gros, bon album d'été, j'ai trouvé.
Assez solaire et très énergique.
[00:24:37] Speaker C: Il y a moins de bruit, ça c'est sûr.
[00:24:40] Speaker D: Si on compare avec le premier album qui était presque Shoegaze, en fait, oui, c'est clair.
[00:24:44] Speaker C: Il y a des moments où tu faisais... On voit plus là. Mais c'est vrai que celui-là il est bien. C'est un très bon album, j'avais hésité à le faire en album de la semaine.
[00:24:51] Speaker D: Ça ne m'aurait pas étonné.
[00:24:53] Speaker C: Ça me semblait trop simple alors je.
[00:24:55] Speaker E: Suis allé chercher quelque chose de plus complexe.
[00:24:57] Speaker D: Comme toi Pierre, toi tu es complexe.
[00:25:00] Speaker E: On a du mal à te cerner rapidement.
[00:25:01] Speaker C: Je suis une facette comme ça.
[00:25:03] Speaker E: Comme un diamant en quelque part.
[00:25:12] Speaker C: Et du coup t'as choisi la chanson ?
[00:25:18] Speaker D: Du coup j'ai choisi la chanson Dark Day qui était un des singles de l'album en fait.
[00:25:23] Speaker E: C'est Sky.
[00:25:24] Speaker D: C'est Dark Sky, pardon.
[00:25:25] Speaker E: Vas-y on la refait, on la refait comme ça personne n'aura entendu.
[00:25:28] Speaker C: On refait, on coupe, clac, hop.
[00:25:30] Speaker D: Donc, j'ai choisi la chanson Dark Sky. Ah ouais ?
[00:25:32] Speaker C: Ah oui, ça c'est bien, oh là là.
[00:25:34] Speaker D: Et avec un featuring en plus, avec AC Martinez de 311, donc groupe de rock-proc.
[00:25:39] Speaker C: Il doit être jeune, hein ?
[00:25:40] Speaker D: Oui, il doit être jeune, oui, effectivement. C'est un petit jeune qui débute, c'est bien que des groupes comme Teenage Wrist mettent le pied à l'étrier, des petits newcomers comme ça.
Non mais le morceau est cool, très énergique, très rock, qui passe bien en fait. C'est peut-être celui qui fait le plus aller années 2000, presque néo-métal par moment.
[00:26:01] Speaker C: C'est pas moi qui vais dire que j'aime pas, je viens de passer Stein.
[00:26:03] Speaker E: Tu es un néo-métal un peu comme Neftunes ?
[00:26:07] Speaker C: Ça leur plairait dis donc ? Ouais, je crois qu'ils seraient pas trop contents qu'on dise qu'ils sont de Néo-Métal.
[00:26:12] Speaker E: Bah, en même temps...
[00:26:14] Speaker C: Ils sont des OTHER Néo-Métal. Bon bah on va regarder ça, c'est un joli clip.
[00:26:19] Speaker D: Oui, en plus le clip est plutôt sympa.
[00:26:21] Speaker C: Non mais c'est important parce que l'image.
[00:26:22] Speaker A: Les couleurs de la pochette... Non, le clip est à chier en fait.
[00:26:25] Speaker C: Bah t'inquiètes, rien d'abord dans la soirée. Ah ouais, des mauvais clips, on en a quelques-uns. Celui de Steyn était nul, donc on va pas se mentir.
[00:26:32] Speaker A: Après Steyn, d'Alaba, c'est nul non ? Excusez-moi.
[00:26:36] Speaker E: Ils ont choisi un clip valable.
[00:26:38] Speaker C: A la hauteur de ce qu'ils sont. Bon bah super, c'est bien vendu quand même. Teenage Wrestling, on les écoute, on les regarde tout de suite dans Bang Bang.
[00:27:26] Speaker B: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Et quand je regarde, j'ai l'impression qu'il y a un étoile qui brille, parce que je suis quelqu'un que tu penses que tu as besoin d'attraper. Bamboozled by American Assault, it's a bullshit world, it's all spectacle, and I speculate, cause Marvel's gold. Nature, boy, that's what's magical, but there's no magic when there's no magic.
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Tu es un marin.
[00:30:25] Speaker C: Je t'aime bien. C'est pour ça que je te tuerai le dernier.
[00:31:26] Speaker B: Reste cool, sac à merde.
Je comprends pas les règles, c'est un cauchemar J'ai déjà déchiré mon ventre ! J'ai mangé et bu ! Et j'ai laissé tomber !
[00:33:54] Speaker C: Tu te souviens Soli, je t'ai promis que je te tuerai le dernier. C'est vrai Patrick, c'est ce que t'as dit !
[00:33:58] Speaker B: Bébé !
[00:34:00] Speaker C: Ah, écoutez, moi je suis fan... Pierre, assez, c'est assez, dit la baleine. C'est assez, j'ai bien joué.
Ah, j'ai pas compris. Bah oui, les Toulousains, Dalia, Jacques Taest, moi je... En fait, pourquoi j'ai passé ça, c'est parce que lorsque je suis tombé sur les trois singles qui sont sortis en 2023, c'est un EP qui arrive au mois de septembre, je sais pas la date, je suis désolé, il s'appelle Ad Augusta.
[00:34:22] Speaker E: Parce qu'il faut pas rêver non plus, il a pas préparé l'émission.
Parce que c'était long à trouver, l'information.
[00:34:29] Speaker C: J'ai regardé, j'ai pas trouvé, tant pis. Mais ça sort ce mois-ci, il faut rester juste à...
[00:34:33] Speaker E: J'ai pas compris, j'ai tapé ALSJCTS et je trouvais que des trucs en latin.
[00:34:36] Speaker C: J'ai tombé sur plein de choses. Mais... Non, bref. Moi, j'aime bien les Toulousains qui reviennent en force. Parce qu'en fait, je me souviens à l'époque, quand justement on était en brisonnage, j'avais reçu des trucs et j'avais pas vraiment apprécié. Il y avait quelque chose qui m'avait moins touché. Là, je sais pas, j'ai trouvé ça...
[00:34:50] Speaker E: C'est mieux fait aujourd'hui.
[00:34:51] Speaker C: C'est mieux fait aujourd'hui. Puis je pense qu'en plus, j'ai vu qu'ils avaient commencé à avoir vraiment une...
une popularité beaucoup plus internationale et je voulais juste passer en français pour dire voilà vous voyez en france on fait des choses et on avance et quel que soit le genre musical on s'y retrouve il y a de tout en france et d'ailleurs je tenais aussi à dire que j'ai rencontré des marseillais qui me parlaient de ce mouvement grunge français qui vient uniquement de marseille ah ouais et là j'ai fait bah oui c'est.
[00:35:16] Speaker E: Sûrement pour les mêmes raisons que le grunge est né à seattle Sauf que c'est parce qu'il fait trop chaud maintenant. Du coup, ils ne peuvent plus sortir. Du coup, c'est comme quoi des causes différentes peuvent produire les mêmes effets.
[00:35:30] Speaker C: Le temps, c'est important madame. Bon, enfin voilà, Jacques Taes, inscrivez-vous sur les réseaux sociaux si vous aimez. Ce n'est pas plus compliqué. Bon Aurélie, on t'a quand même invitée pour que tu viennes parler de musique. Comme je viens de passer quelque chose que tu apprécies bien, on va écouter un truc qui te plaît un peu plus.
[00:35:49] Speaker E: Elle a dit assez, c'est assez.
[00:35:51] Speaker A: C'est pas que j'apprécie Guère, mais c'est vrai que c'est une des raisons pour lesquelles j'ai arrêté aussi de faire Bring The Noise. C'est vrai que ce genre de musique, de hardcore, que je trouve extrêmement masculine, me touche pas du tout en fait. Je trouve que c'est extrêmement cliché. Après c'est très bien fait, c'est de très bons musiciens, le clip est cool, il y a tout un univers, mais c'est vrai que moi ce genre de musique, ça me fatigue en fait. C'est toujours épais.
[00:36:12] Speaker C: Les goûts et les couleurs, ça ne se dispute pas.
[00:36:13] Speaker E: Après, tu sais, même moi ça me fatigue assez vite.
[00:36:17] Speaker A: Après je comprends qu'on en écoute et je suis super impressionnée de voir des meufs aussi écouter ce genre de musique. Comme quoi ça peut aussi les toucher. C'est cool.
[00:36:24] Speaker C: C'est pas au goûter surprise. J'ai d'autres surprises pendant la programmation. Comme quoi il a vraiment travaillé. Au moins une demi-heure.
Comment ça se tacle ?
[00:36:51] Speaker A: Oui Softplay ! D'ailleurs ce nom un peu chelou, Softplay en fait c'est Slaves, le duo Slaves, un duo britannique, je crois qu'ils sont de... Brighton ? Non ils sont pas de Brighton, je crois qu'ils ont dû dire de Leeds mais c'est pas ça. Mais en tout cas ils sont...
Ils sont en tout cas anglais et je sais que c'est un groupe que j'ai beaucoup diffusé dans Bring The Noise, j'avais eu l'occasion de les avoir en interview, j'avais même eu droit à une nouvelle coupe de cheveux du guitariste Laurie Vincent qui m'avait rasé la tête en interview.
de Paris qu'on avait fait. Je sais que j'en garde un très bon souvenir. Et Slaves nous avait laissé en 2018 avec un troisième album, un excellent album. Et par la suite, les membres de Slaves ont vécu vraiment des choses vraiment hyper dures. Il y a le guitariste Laurie Vinson qui a perdu sa femme d'un cancer, qui a dû gérer ses deux gamins. De l'autre, il y a Isaac, le chanteur, qui lui a été vraiment touché par la dépression et compagnie. Il en a beaucoup parlé sur ses réseaux sociaux. C'est vrai que Quand Slave s'est séparé, je l'ai vraiment vécu comme une sorte de gros... Je sais pas, ça m'a brisé le cœur. Parce que vraiment, pour moi, je trouve qu'ils ont une représentation du punk anglais que j'aime beaucoup. C'est-à-dire que c'est pas le punk à la Sex Pistols, Sex, Rock, Rock'n'Roll, nos futurs machins. Non, c'est un punk très politisé, très de gauche. Dans leur musique, ils parlent de leur vie.
de l'Angleterre, de la culture populaire de l'Angleterre aussi. Je sais que Slaves était vraiment un groupe que je trouvais hyper important dans la scène punk britannique. Et ils sont revenus. On a appris ça l'année dernière sous le nom de Softplay. Ils ont annoncé changer de nom parce que Slaves ne leur correspondait pas. Moi je trouve que Softplay c'est pas top mais on s'en fout. L'intérêt c'est qu'ils sont de retour et qu'ils ont balancé un nouveau single qui s'appelle Punk's Dead. Je trouve ça très drôle qu'eux sortent un morceau qui s'appelle Punk's Dead alors que pour moi ils sont le renouveau du punk. Je trouve qu'ils ont beaucoup de second degré dans ce qu'ils font et en même temps ils le font avec beaucoup de cœur. Et ils vont sortir un nouvel album normalement à la fin du mois si j'ai bien tout suivi. Et surtout, le truc qui est hyper drôle dans ce morceau, c'est qu'il va y avoir un petit break avec une petite voix toute fluette qui n'est autre que la voix de Robbie Williams. Parce que Robbie Williams a contacté le guitariste Laurie Vincent en mode « Mec, j'aime trop ce que tu fais ! » Et du coup, t'as un putain de featuring avec Robbie Williams !
[00:39:18] Speaker C: J'ai même pas capté le morceau, je me connais donc là vous avez toute ma curiosité !
[00:39:24] Speaker A: Même moi en écoutant le morceau, je n'avais pas fait gaffe et je trouve ça hyper plaisant. Ils ont sorti, on va voir le clip de ce morceau dans quelques instants et en plus on va voir notamment le fils de Laurie Benson qui joue dans ce clip.
Moi je les trouve, de tous les groupes que j'ai pu interviewer dans Bring the Night, je trouve que c'est vraiment les musiciens les plus honnêtes.
et les plus sincères, les plus attachants en tout cas que j'ai pu recevoir et je suis très contente de les retrouver d'autant plus que quand on sait que la vie leur a un peu chié sur la gueule et ben voilà ça fait plaisir de les revoir et j'espère qu'on va les croiser en concert très bientôt et voilà bref en tout cas je les aime je suis très très fan de ce groupe et j'avais envie de vous en passer ce soir.
[00:40:04] Speaker C: J'ai l'impression qu'elle aime bien quand même.
[00:40:07] Speaker D: C'est extrêmement bien vendu du coup je suis très très curieux.
[00:40:11] Speaker C: Parce que quand moi j'aime bien les trucs je les vends mal c'est ça ?
[00:40:13] Speaker B: On a envie d'aller boire des bières avec eux.
[00:40:17] Speaker C: Bon allez on regarde ça tout de.
[00:40:18] Speaker E: Suite on est tous curieux.
[00:40:20] Speaker C: C'est parti.
[00:40:34] Speaker E: Bonjour ?
[00:40:35] Speaker B: Oui, oui, d'accord, d'accord.
[00:40:39] Speaker E: Désolé, je reviendrai dans une minute. D'accord, d'accord.
[00:40:43] Speaker B: Au revoir.
Oh, t'es bien, mec ?
[00:41:02] Speaker C: J'Ai perdu le castillon.
[00:41:05] Speaker B: Où est-ce que tu veux ? Là-bas. Félicitations, tu as un bon look, un peu de soft play. C'est ça, un peu de soft play.
[00:41:17] Speaker C: Bien joué, bébé.
[00:41:40] Speaker B: Soft play, non I don't like this spineless shit Not one bit, I thought you ate Turns out you're just another couple of overly emotional pricks Get these liberal lefties typical This shit isn't cool, I'm done with it all Are there any real men left in Britain? I'm starting to think that there isn't I don't like change Boxstairs, pushing up daisies Come and get a load of these C'est quoi ce jeu ? T'aurais dû faire ta recherche ! Pushing off daisies, come and get a load of these PC babies Why can't you just stay the same? Fuck that Pushing off daisies, come and get a load of this shit I love you but I disagree This is bullshit And I just wanted you to know Écoutez les gars, je n'ai pas de problème de changer de nom, de dire que je suis un homme, de voir ce que je veux, mais votre nouveau nom, c'est de la merde.
[00:43:19] Speaker C: Quand je dis Washington, vous avez un.
[00:43:20] Speaker B: Nom pour notre groupe. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom.
[00:43:23] Speaker C: Changez de nom.
[00:43:23] Speaker B: Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom.
[00:43:25] Speaker C: Changez de nom.
[00:43:26] Speaker B: Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom.
[00:43:27] Speaker C: Changez de nom.
[00:43:28] Speaker B: Changez de nom.
[00:43:28] Speaker C: Changez de nom.
[00:43:29] Speaker B: Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom.
[00:43:32] Speaker A: Changez de nom.
[00:43:33] Speaker B: Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de nom. Changez de Pog's dead, Pog's dead, cause.
[00:43:44] Speaker C: Of you Pog's dead It's a fake.
[00:43:46] Speaker A: I believe all the shit that you.
[00:43:47] Speaker B: Said Johnny rotten, it's turning and it's bad I was gonna say great, but the fucker ain't dead I don't like change Pog's dead, pushing like daisies Come and get a load of these PC babies Oh!
Musique du générique de fin.
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Il.
[00:47:20] Speaker C: Y en a une qui vient d'aller aux toilettes, elle a couru, je vous raconte même pas le délire.
[00:47:23] Speaker E: On dira pas qui c'est !
[00:47:24] Speaker C: Quand on passe StatikX...
[00:47:27] Speaker B: Attention !
[00:47:28] Speaker C: Oh là là ! C'est pas si loin là ! On vient d'avoir un pic d'audience ! Static X à l'instant, bien sûr dans Bang Bang. Oui, j'ai 43 ans, donc évidemment j'ai une culture musicale qui date des années 90. Et Static X qui vont sortir un album. Static X qui vont sortir un album qui s'appelle Project Regeneration, volume 2, parce qu'il y a déjà eu le volume 1. Ça va sortir le 3 novembre prochain. J'aurais pu passer un récent single.
[00:48:07] Speaker A: Ils ont retrouvé des enregistrements de voix du chanteur qui datent à... Non, il.
[00:48:12] Speaker C: Y a un twist. Justement.
Dans ce volume 2, c'est les voix de Wayne Static qui nous envoient des voix. Le mec qu'ils ont engagé comme chanteur ne doit être là que pour faire.
[00:48:22] Speaker E: Semblant.
[00:48:36] Speaker A: Je pense que ça doit être très dur psychologiquement. En fait, pendant les concerts, le mec va être derrière les backstages.
[00:48:42] Speaker E: Non, il a un masque avec des lumières.
[00:48:44] Speaker C: Il a un masque avec la même coupe que Wayne Static.
[00:48:46] Speaker E: C'est la tête de Wayne Static avec la coupe de cheveux de Wayne Static.
[00:48:49] Speaker C: On est d'accord, c'est un peu creepy.
[00:48:52] Speaker E: Après, l'avantage, c'est que Statistics, il y avait ce côté un peu technoïde. Un peu marxiste, un peu chelou.
[00:48:58] Speaker C: Avant ses histoires, non.
[00:49:00] Speaker D: Il y avait le côté un peu indus.
[00:49:01] Speaker E: Si, un peu indus là.
[00:49:02] Speaker C: Un peu comme Orgy quoi.
[00:49:06] Speaker E: Du coup ils ont fait le truc, maintenant c'est un robot, parce que c'est déjà ce qu'ils avaient dit, quand ils ont refait le truc c'était genre une version robot de lui qui revenait avec son esprit, je sais pas quoi.
[00:49:15] Speaker D: Du coup s'ils font avec une IA c'est cohérent ?
[00:49:18] Speaker E: Bah oui !
[00:49:20] Speaker C: Du coup, la chanson est vraiment chiante. Celle qui est sortie, j'ai écouté et je me suis dit...
[00:49:25] Speaker A: Il partait pas déjà de très haut.
[00:49:27] Speaker C: Il y avait quelques morceaux, comme pour Queen of the Dame, c'était pas mal.
[00:49:31] Speaker E: Queen of the Dame !
[00:49:32] Speaker C: Trrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr Cold, so cold ! C'est moi qui vais enchaîner après. Donc Slowdice, maintenant mon petit chéri, Slowdice.
[00:50:22] Speaker E: Slowdice, le groupe.
[00:50:25] Speaker A: Tout le monde m'a parlé d'une nouvelle album en me disant « wild, amazing ».
[00:50:29] Speaker C: Et tu l'as écoutée et ?
[00:50:30] Speaker A: Je l'ai trouvée chiant.
[00:50:31] Speaker C: On n'a qu'à faire un vote, qui.
[00:50:34] Speaker B: Trouve ça chiant ?
[00:50:37] Speaker A: Et le pire c'est que je l'ai écouté mais genre j'ai vraiment écouté. Une fois j'ai trouvé ça chiant peut-être parce que j'aimais bien l'écouter.
[00:50:42] Speaker B: Tu vois écoute nous approcher.
[00:50:43] Speaker A: Ah non c'est sacrément chiant.
[00:50:45] Speaker C: La troisième fois même mon chat il.
[00:50:47] Speaker A: En avait marre tu vois.
[00:50:49] Speaker C: Vraiment y'a un truc.
[00:50:50] Speaker D: Je peux comprendre qu'on trouve ça chiant. Faut vraiment se mettre dans un mood parce que sinon effectivement quand tu es ici t'attends des trucs. Slowdive ça a jamais été très remuant.
[00:50:58] Speaker E: Pourtant dans la dépression moi je suis plutôt bien placé.
[00:51:00] Speaker C: C'est ce que j'allais dire faut pas être trop déprimé parce que t'écoutes Slowdive tu finis...
[00:51:05] Speaker E: Moi, pourquoi je dirais que ça me dérange, c'est que quand je l'écoute, ça me fait des fourmis dans les jambes. Ça me donne envie de... Je me dis, il faut que je bouge parce que c'est pas possible. Ça me met mal à l'aise, carrément.
[00:51:17] Speaker C: Ton corps réagit.
[00:51:18] Speaker E: Mon corps réagit en mode, il faut.
[00:51:19] Speaker B: Que je bouge parce que la musique elle bouge pas. Fuir ! Fuir !
[00:51:23] Speaker E: Voilà. Mais après, je peux comprendre qu'on aime bien.
[00:51:25] Speaker C: Ça cartonne, ça a été assez dithyrambique les critiques dessus.
[00:51:31] Speaker D: En même temps, Slowdive, pour recontextualiser, c'est l'un des groupes de Shoegaze occultes des années 90, donc une carrière en plusieurs temps.
Première phase, c'était les années 90 avec trois albums qui sont restés dans les annales du genre. Ensuite, après 95, ils s'arrêtent. Et ensuite, pendant les années qui ont suivi, on a constaté que leur influence avait infusé un peu de partout, que ce soit dans des groupes de pop ou rock indé. Par exemple, je ne sais pas si vous voyez, le premier exemple qui me vient en tête, c'est Cigarettes After Sex.
[00:52:03] Speaker A: J'adore ! Par contre, le chanteur n'a pas du.
[00:52:07] Speaker D: Tout la gueule de sa voix, mais j'adore.
[00:52:11] Speaker C: Pour moi, Cigarettes After Sex, en fait, c'est du slowdive. C'est ça la musique !
[00:52:15] Speaker B: Non mais.
[00:52:17] Speaker A: Ça m'avait choquée quand j'avais vu la gueule ! Je me disais « Ah ! Je ne m'attendais pas à ça !
[00:52:20] Speaker E: » Moi je ne m'attendais pas à.
[00:52:21] Speaker D: Ce qu'ils te voient Texan non plus.
[00:52:22] Speaker E: Mais ils le font pourtant.
[00:52:25] Speaker D: Mais du coup pour reprendre l'exemple, Cigarette After Sex pour moi c'est juste Slow Dive un peu soft et sans la partie expérimentale.
C'est dans le pur héritage je trouve.
Et après, il y en a qui ont pioché dans l'héritage de Slowdive, jusque dans les franges les plus atmosphériques du black metal, pour citer juste un nom par exemple les français d'Alceste, c'est typiquement l'héritage de Slowdive très clairement.
Et donc après Slowdive se sont reformés en 2014, on commençait à refaire des concerts, ça cartonnait, le public était au taquet, ils se sont dit bon ben on va refaire des albums et puis on voit ce qu'il se passe. Donc du coup ils ont fait un premier album de retour qui était en 2017, qui avait bien fonctionné, et donc du coup ils reviennent cette année avec un nouvel album, que moi j'ai trouvé plutôt sympa en fait. Alors je peux comprendre que sur la.
[00:53:15] Speaker C: Longueur c'est vrai qu'il y a un moment où tu nies C'est-à-dire, moi j'arrive.
[00:53:21] Speaker D: Moi qui écoute par exemple, qui peut sans problème écouter de l'ambiante, des trucs comme ça, ça me va. Mais c'est une question de goût bien sûr, de sensibilité.
[00:53:28] Speaker A: En fait, c'est un album qui est.
[00:53:32] Speaker D: Fait pour les fans en fait, à la base. Je pense que ça parle vraiment aux gens. Et encore, on a échappé à un truc vraiment expérimental, parce qu'à la base, le chanteur Neil Halstead, il voulait le faire presque solo, juste avec des synthés modulaires, des trucs comme ça. Il avait commencé à bosser dessus, genre pendant le confinement 2020 et tout, puis après t'as tout le reste du groupe qui a commencé à s'impliquer et ça a donné du slowdive finalement. Et finalement, c'est un album que j'aime beaucoup, avec forcément la recette slowdive typique, c'est-à-dire les grandes débuleuses de guitare avec énormément d'effets.
[00:54:02] Speaker C: Oh la hateuse !
[00:54:08] Speaker D: Je vais dérouler point par point ce pourquoi j'aime et elle va dire pourquoi.
[00:54:13] Speaker A: J'aime bien du punk, c'est complètement l'opposé.
[00:54:17] Speaker D: Parce que j'allais dire aussi, moi j'aime beaucoup les voix très vaporeuses de Neil Halstead et Rachel Goswell.
Pourquoi c'est chiant ? J'anticipe ! Et puis voilà, avec en plus le petit côté électronique, les nappes de synthé, les petites textures qui vont avec. Moi qui aime bien l'ambiante, les textures sonores, forcément c'est quelque chose que je vais plutôt être du genre à aller rechercher.
[00:54:43] Speaker C: Là c'est comme si t'étais un peu Dragon Ball sur son nuage mais en plus lent.
[00:54:46] Speaker E: C'est un peu ça, ouais. C'est électronique, mais pas supersonique.
[00:54:49] Speaker A: J'adore cette...
[00:54:51] Speaker E: Je l'ai préparé depuis tout à l'heure.
[00:54:52] Speaker D: Sangoku qui dort sur son nuage, peut-être.
[00:54:54] Speaker C: C'est mignon, mais c'est mignon, il y a un côté River.
[00:54:57] Speaker D: Clairement, oui. Après, il y a un côté très adolescent, en fait, depuis longtemps, chez Slowdive. Déjà parce qu'ils avaient commencé tôt, dans les années 90, ils étaient tout juste vingtenaires et tout, donc c'était...
Il sortait tout juste de là. Et en plus de ça, par exemple, le réalisateur Greg Araki, qui a fait énormément de films sur le thème de l'adolescence, dans certains de ses premiers films, il utilisait du slowdive, comme quoi ça se marie bien. Alors, c'est pas le morceau que j'ai choisi. C'est pas forcément celui que je préfère dans l'album. Malheureusement, celui que je préfère, il n'a pas de clip, donc je l'ai pas fait. Et en plus, je pense que j'ai bien fait de ne pas le choisir parce que c'était peut-être le morceau le plus atmosphérique de tout l'album.
[00:55:35] Speaker E: Il va y avoir eu encore des.
[00:55:35] Speaker D: Remarques, donc j'ai pris peut-être le morceau.
[00:55:37] Speaker A: Le plus... Ah mais on refait une.
[00:55:38] Speaker C: Petite sieste, t'inquiètes ! Donc j'ai pris... Désolé, hein ! Non mais j'ai anticipé !
[00:55:48] Speaker D: Mais non, il était bien, il était bien !
[00:55:50] Speaker C: Oui, on dit ça, on dit ça.
[00:55:51] Speaker E: C'est qu'elle trouve qu'il n'y a pas assez de testostérone en slowdive.
[00:55:56] Speaker D: Ça ne donne pas envie de mettre assez de pieds-bouches, c'est pas assez mono-neuronal, pas assez corps.
[00:56:01] Speaker C: Non mais c'est très bien, mais l'album il y a des trucs bien, j'avoue que les singles, enfin moi je suis surtout bloqué sur les singles, parce que c'est ça qu'on passe au final à la radio, et j'ai pas été déçu par les singles, même ce morceau là je le trouve pas mal, c'est juste que l'album à écouter en entier, pourtant il est pas méga long, je crois.
[00:56:18] Speaker D: Il doit durer peut-être une quarantaine de.
[00:56:20] Speaker C: Minutes, un truc comme ça, j'ai plus le choix. Il y a un moment j'étais... Non mais pour moi ça manquait un peu.
[00:56:27] Speaker B: De disco quoi !
[00:56:30] Speaker C: Voilà. Mais c'était bien, t'as raison de le défendre parce qu'il y a beaucoup de gens qui aiment ça. Heureusement qu'il y a des gens qui sont là pour défendre ce genre de musique. Non mais c'est ça, c'est pareil, on a chacun des personnages différents parce que sinon, c'est que moi on passerait que du néométal.
[00:56:43] Speaker E: C'est l'intérêt d'avoir des invités dans cette émission, sinon il n'y aura pas de nouveautés déjà.
[00:56:47] Speaker C: Franchement, si tu fais pas plus opposé, c'est trop cool. C'est pour ça qu'on s'adore, il écoute du prog et ce genre de musique.
[00:56:54] Speaker A: Il écoute de la musique intellectuelle.
[00:56:55] Speaker C: Bah lui oui. Alors j'ai vu la liste de ce.
[00:56:59] Speaker E: Qu'Il y a plus tard.
[00:57:00] Speaker C: Pas que !
[00:57:00] Speaker E: Et moi j'adore, je suis très content des choix que j'ai vus.
[00:57:06] Speaker D: On se sait, on se sait, je.
[00:57:07] Speaker E: Sais de quoi tu parles.
[00:57:08] Speaker C: Non mais ça fait du bien, ça.
[00:57:09] Speaker B: Peut être un beau petit massage slowdive.
[00:57:10] Speaker C: Arrête, t'as l'échec, on sait plus tard.
[00:57:14] Speaker D: Donc oui, j'ai choisi le morceau Kisses, qui est peut-être le plus classique slowdive, le plus adolescent, que j'ai trouvé très sympa, en plus le clip est plutôt sympa. Très esthétique 90's, très shoegaze, vaporeux, avec les images un peu floues.
[00:57:27] Speaker C: Ils ont des boutons plein la gueule.
[00:57:29] Speaker E: Ah ouais putain !
[00:57:30] Speaker C: Très adolescent ! J'avais oublié ! Moi j'ai retenu juste ce que tu m'as dit ! Et quand j'ai regardé j'ai fait ah oui c'est vrai j'avais pas fait attention !
[00:57:38] Speaker E: Au début je croyais que c'était un groupe qui s'appelait Casio mais en fait non !
[00:57:41] Speaker C: Oh putain ! Ça c'est une bonne référence !
[00:57:43] Speaker E: Ouais t'as vu ? Il y avait Texas Instruments ! C'était mieux d'ailleurs Texas Instruments !
[00:57:48] Speaker C: Ça collait plus ! Enfin bref ! On va regarder ça tout de suite dans Bang Bang ! C'est le principe de cette émission ! Alternative Rock Metal ! Le meilleur avec Slowdive !
[00:57:56] Speaker B: Merci Enjoy The Noise ! A plus ! Ok...
What's right? Whatever is just enough Living with the truth Ils disent qu'il y a une police... Aujourd'hui, une perte de réalité Un cerveau qui n'était pas à son endroit Aujourd'hui, un bruit de l'écran Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Spread your wings Show us who you are Spread your wings You'll go far Oui, les ramènes instantanés c'est ici, ouais. Merci !
[01:05:55] Speaker C: Il les a encore mis sur sa tête. C'est quand même moche de gaspiller la bouffe.
[01:05:59] Speaker E: Mais après, tu sais, quand t'as pas de cheveux, t'as pas le choix.
[01:06:02] Speaker C: Non mais attends, en vérité, quand on l'a fait en interview, cet été au Hellfest, le mec est quand même super beau gosse.
[01:06:07] Speaker E: La vidéo arrive un jour.
[01:06:08] Speaker C: Le mec est quand même super beau gosse. Bon, on avait mis une vidéo déjà.
[01:06:11] Speaker E: Oui, non mais...
[01:06:14] Speaker C: J'en prends compte.
[01:06:15] Speaker E: D'accord. Très bien Pierre, merci.
[01:06:16] Speaker C: La belle vidéo solide et dure. Celle où ils parlent de leurs sentiments et de leurs émotions. Et c'est très très bien, et j'avoue.
Mais ça viendra. Ils sont obligés de la bouffer. Sinon je leur fous deux tartes.
[01:06:31] Speaker E: Deux tartes à la pistache.
[01:06:36] Speaker C: Code Orange qui ont... Alors j'ai préféré mettre ce titre là parce qu'évidemment il y a Billy Corgan. Donc c'était un petit clin d'oeil pour notre ami Manu de visual-music.org.
[01:06:43] Speaker E: Pour une fois que Billy Corgan est sur un bon morceau.
Enfin récemment je veux dire.
[01:06:48] Speaker C: Bah du coup c'est pas les siens.
[01:06:49] Speaker E: Bah c'est pour ça.
[01:06:50] Speaker C: Non ce morceau il est cool, c'est un peu old school.
[01:06:53] Speaker E: Apparemment il est quand même allé les voir pendant l'enregistrement, il a fait «.
[01:06:56] Speaker A: Eh les gars, vous voudriez pas qu'on mette un petit peu des petits claviers.
[01:06:59] Speaker C: Comme ça qui vont… » Et le.
[01:07:01] Speaker E: Mec il a fait « Non. Nous ici on est à moitié japonais, t'as pas vu mes cheveux ?
[01:07:07] Speaker C: » C'est d'une source presque sûre. Je ne sais pas quoi dire.
[01:07:14] Speaker E: C'est parce que l'autre fois j'étais à l'Atomic Cat et il y avait une blonde qui m'a raconté cette histoire.
Elle sentait un peu le haram mais elle était sympa.
[01:07:22] Speaker D: Arrête, faut pas dire ça, désinstite.
[01:07:25] Speaker C: Comment tu sais ? Je sais plus, j'ai plus d'informations, y'a un album qui va sortir, bref, vous cherchez.
[01:07:33] Speaker E: Le Code Orange, ouais, j'ai vu, y'a un nouveau single aussi qui est sorti.
[01:07:35] Speaker C: Y'a un nouveau single qui est sorti avec la chanteuse, enfin avec la nana qui chante, et j'avoue que c'est pas mal, mais bon. Désolé, Aurelie ne m'en veut pas, j'ai pas mis la nana qui chante, j'ai.
[01:07:43] Speaker E: Mis le mec qui chante. J'ai entendu ce nouveau titre-là, Ouais mais on dirait pas Code Orange.
[01:07:49] Speaker C: Ah non, par contre, ça n'a rien à voir.
[01:07:51] Speaker A: J'ai l'impression qu'ils sortent plein de trucs.
[01:07:53] Speaker B: Complètement différents à chaque fois.
[01:07:54] Speaker C: Ils en ont plus rien à foutre, c'est ce qu'ils disent. Mais c'est cool aussi, ils font ce qu'ils veulent.
[01:07:57] Speaker E: Déjà c'est mieux ça que quand ils faisaient du Robe Zombie Matrix. Ça c'était compliqué.
[01:08:02] Speaker C: C'était pas bien. Et à savoir qu'on l'a vu en interview, il a dit de toute façon maintenant c'est moi qui décide. Ah ouais.
C'est moi le capitaine, il a dit.
[01:08:13] Speaker E: Si t'es pas content, tu montes pas sur mon bateau, il a dit.
[01:08:16] Speaker C: C'est pas une barque en plus.
[01:08:18] Speaker E: C'est moi qui ai le gouvernail. A moi la grosse roue, il a dit.
On va pas tout révéler maintenant.
[01:08:25] Speaker C: Il faut garder quelques petits secrets de cette attaque. Non mais il était hyper sympa. Ils sont américains ou canadiens ?
[01:08:35] Speaker D: Américains je crois. Je sais plus.
[01:08:37] Speaker C: Il fait quand même très américain.
[01:08:38] Speaker A: On va demander à Alex. C'était Alex qui nous avait fait diffuser du code Orange Kid à l'époque. C'était Alex qui nous avait diffusé ça en début.
[01:08:47] Speaker E: On lui fait des bisous Alex. D'ailleurs Alex il est en studio.
[01:08:51] Speaker C: Avec du prestige !
[01:08:53] Speaker E: Avec du prestige, ils vont enfin sortir.
[01:08:54] Speaker C: Un nouvel album !
[01:08:57] Speaker E: Ils n'ont jamais été aussi prêts de sortir un nouvel album depuis dix ans. C'est un peu le tout le français quelque part.
[01:09:03] Speaker B: C'est ça.
[01:09:04] Speaker C: Et tout le monde les attend.
[01:09:06] Speaker E: Avec impatience. De toute façon, ils ont déjà booké un Bercy.
[01:09:10] Speaker C: Il va falloir les mettre en vente maintenant.
[01:09:12] Speaker D: Eux aussi, ils vont être programmés au Power Trip Festival avec ACDC.
[01:09:16] Speaker C: Ben voilà, c'est ça, ils sont bien installés.
[01:09:18] Speaker E: Je crois qu'ils ont récupéré la place d'Ozzy Osbourne qui peut finalement faire le...
[01:09:22] Speaker C: Il enregistre des podcasts maintenant, Osbourne.
[01:09:25] Speaker A: Ah ouais ? Ouais, ça a l'air hyper cool avec.
[01:09:27] Speaker C: Charane et ses des gamins. Ça a l'air d'être tout aussi brillant.
[01:09:32] Speaker A: J'ai adoré l'émission qu'ils avaient qui diffusait sur MTV qui était géniale. La Osbourne familiale.
[01:09:39] Speaker E: Par contre, il a vieilli depuis. Je sais pas si vous avez vu la vidéo où il marche dans la rue, là ? C'est surtout qu'il a pris de l'acide pendant des années.
[01:09:49] Speaker C: 47, 48 ans. Parce qu'il y en a 2600.
[01:09:52] Speaker A: Je pense que si tu cumules tout ce qu'on a pris dans notre vie Pierre et moi, on n'arrive même pas au 1 dixième de ce qu'il y a prévue.
[01:09:56] Speaker C: J'espère bien oui.
[01:09:58] Speaker E: Apparemment il a pris de l'acide tous les jours pendant 5 ans ou un truc comme ça. Pierre c'était pas long à l'époque.
[01:10:06] Speaker C: C'est pas vrai, c'est faux.
[01:10:08] Speaker E: Regarde il a encore des cloisons nasales. Il a plus de dents mais il a des cloisons nasales.
[01:10:12] Speaker C: Et c'est des vrais ! Oh il en manque quelques-unes derrière mais... En tout cas j'ai un sourire droit !
[01:10:21] Speaker E: Le dentiste il a fait ah putain j'ai jamais vu des dents qui s'alignent aussi parfaitement. On dirait qu'elles ont été limées les unes sur les autres.
[01:10:28] Speaker C: Il m'a dit vous devriez mettre des gouttières quand même. J'ai fait oh c'est pas la nuit. Enfin c'est la nuit mais c'est pas quand je dors. Et elle a fait ah bah vous pouvez quand même mettre des gouttières de toute façon y'a plus besoin d'ouvrir la bouche.
[01:10:39] Speaker E: Oh j'ai des images dans la tête.
[01:10:42] Speaker C: Sinon. Oui ? Y'a eu dans les albums de la semaine de Restless Mutoidman.
[01:10:45] Speaker E: Ah Mutoidman !
[01:10:47] Speaker A: Ils sont de retour putain c'est vrai !
[01:10:49] Speaker E: Bah oui !
[01:10:49] Speaker A: Et j'ai compris ! On s'appelait d'écouter leur album.
[01:10:53] Speaker C: Il est bon, il est très très bon cet album de Motown. Il est bon comme du bon jambon. Ça dépend mais oui.
[01:11:01] Speaker E: Juste parce que ça rime.
[01:11:03] Speaker C: Ils seront au Petit Bain.
Quand ?
[01:11:06] Speaker B: Le 17.
[01:11:06] Speaker A: Donc possiblement ils seront là. On va s'y croiser. Ils sont là. Je sais que t'as merde.
[01:11:13] Speaker E: Moi j'ai merde.
[01:11:13] Speaker A: Maintenant je joue en tribute Nirvana le 17 et merde.
[01:11:17] Speaker E: Bah c'est peut-être pas à la même heure.
[01:11:19] Speaker A: Bon on va jouer à 21h30 donc je pense que ça va être un.
[01:11:21] Speaker E: Peu compliqué de faire le Super Sonic.
[01:11:22] Speaker A: Et le Tibor en même temps.
[01:11:23] Speaker E: C'est ça le problème de Headline.
[01:11:26] Speaker A: C'est ça le problème de faire du rock'n'roll mon gars. Surtout je vais massacrer du Nirvana dans un projet de tribute que je n'aurais jamais dû accepter.
[01:11:32] Speaker E: Après l'avantage c'est que déjà à la base en live ils jouaient pas forcément de ouf.
Tu dis non mais je voudrais vraiment coller à l'esprit.
[01:11:40] Speaker A: Moi je gâche pas que genre je joue les morceaux je suis en mode ça et à chaque fois que je joue je fais putain Kurt je suis désolée.
[01:11:48] Speaker E: Faut juste que tu prennes une guitare pourrie comme ça tu peux la péter à la fin, avant la fin du morceau. Comme ça déjà t'as à prendre que la première moitié.
[01:11:53] Speaker A: J'ai une guitare, c'est ma guitare.
[01:11:56] Speaker E: Mais non, tu vas à Cache Converter, t'en achètes une à 50 balles. C'est ce qu'ils faisaient.
[01:12:00] Speaker A: Ah ouais mais non...
[01:12:02] Speaker C: Il est à l'aide d'ailleurs à Cache Converteur.
[01:12:04] Speaker B: Bon bah allez, je vais essayer.
[01:12:05] Speaker C: Je vous dirai la semaine prochaine. J'avoue, je suis un peu perdu. Tu trouves une guitare à 50 balles, tu joues avec la tienne et puis d'un seul coup, tu la mets de côté, tu prends l'autre comme si c'était la même. On ne sait pas de la même couleur, tu fais croire aux gens. Tu dis si, c'est parce que vous avez pris des acides justement.
Et puis voilà, tu la caches.
[01:12:20] Speaker A: En tout cas, ça permet de faire un peu de promo. Une soirée supersonique gratos, tribute Nirvana dimanche si vous voulez vous amuser, ça va être rigolo. Ou sinon, il y a le concert de Muto In Man.
[01:12:29] Speaker C: Voilà, à Petit Bain.
[01:12:31] Speaker A: Qui sera sûrement vachement mieux, je pense.
[01:12:33] Speaker C: C'est différent, c'est pas pareil.
[01:12:35] Speaker E: Après, vous n'êtes peut-être pas le seul groupe qui joue.
[01:12:39] Speaker A: Oui, heureusement, il y aura quatre groupes de tribute. Il y aura quatre groupes qui vont reprendre du Nirvana.
[01:12:46] Speaker E: C'est bien si des gens veulent découvrir Nirvana.
Non mais ce que je veux dire c'est que Nirvana tu n'as pas souvent l'occasion de l'entendre en live. Parce que apparemment ils ne font plus trop de concerts.
[01:12:58] Speaker C: Ils ne font plus trop de concerts. J'ai fait une petite soirée au Supersonic.
Il y avait du Nirvana. D'ailleurs je salue Palem qui fait avec son groupe les reprises au Supersonic, c'est énorme. Ça joue hyper bien, j'hallucine.
[01:13:13] Speaker E: Tu viens de lui foutre un peu la pression.
[01:13:15] Speaker C: Mais non, elle sera avec son groupe, t'es le pitisse, tu fais ça avec les pitisses.
[01:13:18] Speaker A: Mais non, je fais pas ça avec le pitisse, je fais justement... Il s'appelle comment le mec que tu connais de son groupe là ?
[01:13:21] Speaker C: Palem.
[01:13:22] Speaker A: Mais Palem, c'est son prénom ?
[01:13:23] Speaker C: L'infralain...
[01:13:25] Speaker E: L'ambulancier.
[01:13:27] Speaker A: Ah non, c'est pas lui. Mais du coup, je joue avec une autre formation.
[01:13:30] Speaker C: Son nom de scène, c'est l'ambulancier.
[01:13:32] Speaker E: J'ai l'impression de rien comprendre à ce qu'il se passe.
[01:13:36] Speaker C: C'est un artiste français, il est vachement bien.
[01:13:38] Speaker D: Franchement, je l'aime beaucoup.
[01:13:39] Speaker E: Je n'en doute pas une seule seconde.
[01:13:41] Speaker A: C'est-à-dire que sur cette conversation, on passe à autre chose ?
[01:13:43] Speaker D: J'ai l'impression que dans tous les cas, c'était pas Palem.
[01:13:49] Speaker E: Pierre, on peut écouter Muto Hitman ? Parce qu'il sera en concert le 17.
[01:13:52] Speaker C: Septembre à Petit Bain.
[01:13:56] Speaker E: Oh putain non !
[01:13:57] Speaker C: Pardon, j'ai des références de vieux. Mutohinman, oui, donc le 17 septembre, vous y allez au concert, achetez vos plats, c'est pas cher. Petit bain, c'est formidable, un endroit magnifique.
[01:14:05] Speaker E: Petit bain, c'est bien.
[01:14:06] Speaker C: Petit bain, c'est très bien. On les embrasse d'ailleurs parce qu'on les aime beaucoup. Et Mutohinman, on écoute la chanson Call of the Void.
Mesdames et Messieurs, bienvenue à votre dernière.
[01:14:21] Speaker B: Stop ici à la mission Mutant Theme.
[01:14:24] Speaker C: Park Resort Artificial Intelligence Research Center et Bird Sanctuary. Boy, on s'est bien amusé aujourd'hui et on va tout capter avec une performance de la meilleure bande au monde, Mutoid Man.
[01:15:30] Speaker B: Où les yeux de ceux qui l'ont vécu, maintenant il n'y a plus d'empilage. Le diable, le diable s'installe à l'intérieur, en train de surprendre toutes les âmes sans aide. Nous devons éviter, l'appel de l'étoile. Appelez-le à nous. Nous devons éviter, l'appel de l'étoile.
Oh oh oh oh Oh oh oh oh Close, close up to the blast Hang on to your heads It's a real shit show Pain, pain is here at last Time to take your meds Oh oh oh oh ! Oh oh oh oh ! Hurry up and die This is just another lie Hell awaits you now All that I believe is how Oh oh oh oh ! Oh oh oh oh ! Oh oh oh oh ! Mutoid Man, mesdames et messieurs, c'est Exeter. S'il vous plaît, considérez de doner un dollar aux oiseaux. It doesn't matter what they say about us I don't give a f**k, don't give a f**k about it They don't know a thing about us And I don't care cause I choose you J'y ai rien fait ! C'est bon, c'est bon.
[01:22:55] Speaker C: Et voilà, on est tous d'accord. Cette chanson fait partie d'un album qu'on a célébré aussi. La Sainte Agnès.
[01:23:05] Speaker E: Sainte Agnès qui se cherche mais se trouve. Parce que d'album en album, ça change quand même beaucoup. Ça a démarré et ça ressemblait à du Like a Buffalo.
[01:23:18] Speaker C: À Dead Weather.
[01:23:22] Speaker E: Au début c'était très Dead Weather, après ils ont eu un passage un peu plus horror punk rock machin.
[01:23:30] Speaker C: Après c'est retourné sur l'induce.
[01:23:32] Speaker E: Et heureusement il y a l'induce.
[01:23:34] Speaker C: Bravo.
[01:23:34] Speaker A: J'ai envie de te dire, il aura fallu Sainte Agnès pour nous faire un bon morceau de Nine Inch Nails.
[01:23:39] Speaker C: Merci à eux. C'est sûr que c'est pas terminé.
[01:23:42] Speaker E: Ça balance ! It's balancing !
[01:23:45] Speaker C: Je voulais passer du Nine Inch Nails, tu vois, en vrai, et je suis tombé sur toutes les photos qui sont sorties dans les tabloïds américains. Parce qu'il est dans tous les tabloïds américains.
[01:23:54] Speaker E: Qui ça ?
[01:23:55] Speaker C: Très très nord.
[01:23:56] Speaker E: Ah parce qu'il a fait la BO de Tortues Ninja ?
[01:23:57] Speaker C: Et ouais.
[01:24:01] Speaker E: J'ai failli aller le voir juste pour ça.
[01:24:02] Speaker C: Il commence à prendre un peu d'âge quand même maintenant.
[01:24:04] Speaker E: Ah bah oui.
[01:24:05] Speaker C: Ah oui ? Je crois qu'il a arrêté un peu la muscus aussi. Et quand on arrête la muscus… Mais non, il a fait la présentation déjà.
[01:24:12] Speaker A: Il a mangé de la pizza.
[01:24:15] Speaker C: Très bien.
Bon, Saint-Agnès qui est un album de la semaine chez nous, mais tu l'as choisi pour quoi Aurélie ?
[01:24:19] Speaker A: Ouais bah écoute, je l'ai choisi parce que ça fait partie de mes coups de cœur de cette rentrée. Vraiment comme tu disais, c'est vrai que Saint-Agnès, ça fait partie des groupes que je suis déjà depuis pas mal d'années. Et je trouve ça hyper intéressant leur évolution musicale et surtout je trouve ça hyper courageux de leur part d'avoir à chaque fois sorti des albums. On sent qu'ils cherchent, qu'ils taisent des nouvelles choses.
Et là je trouve qu'avec ce côté indus, ils touchent à quelque chose de sympa et qui leur va très très bien. Encore une fois c'est un groupe anglais, la scène britannique, tout ça que j'adore de tout mon cœur. Et puis même pareil, j'aime bien aussi d'avoir toujours de plus en plus de femmes représentées dans cette scène alternative rock et d'avoir cette cette chanteuse avec ce côté hyper badass, avec plein de codes à la fois gothique, à la fois grunge, à la fois hindus, ça fait du bien. Je trouve que c'est hyper rafraîchissant d'avoir ce genre de groupe dans la scène Alternative Rock et ça fait partie de mes coups de cœur de cette rentrée.
[01:25:15] Speaker C: Excusez-moi, je vais parler physique.
[01:25:18] Speaker E: Tu veux dire qu'on voit qu'elle est anglaise ?
[01:25:21] Speaker C: Non j'allais pas dire ça. Je suis choqué.
[01:25:28] Speaker E: Parce que ça se voit.
[01:25:29] Speaker C: Oui mais elle est anglaise parce qu'elle dégage quelque chose de très fort.
[01:25:33] Speaker E: Non je parlais de ses dents.
[01:25:34] Speaker B: Ah oui les dents, c'est vrai qu'il.
[01:25:35] Speaker C: Y a un problème au niveau des dents. Mais c'est pas ça, elle m'a fait penser à une amie à nous qui s'appelle Christina et elle me fait penser aussi un petit peu en termes d'attitude à la nana de Wargasm.
[01:25:43] Speaker E: Ouais, ouais, ouais.
[01:25:44] Speaker C: Le côté un peu hyper mêlé, comme ça, qui donne des patates, tu vois.
[01:25:48] Speaker E: Puis cheveux courts et blonds aussi. Enfin, je sais plus si elle a les cheveux...
[01:25:51] Speaker C: Elle est redevenue brune. J'arrive pas à suivre, moi.
[01:25:55] Speaker E: Les cheveux, ça me dépasse.
[01:25:56] Speaker C: Vous avez compris ?
[01:25:57] Speaker E: Parce que j'en ai plus. Les cheveux, il leur restait, c'est bon.
Ça, c'est ce que me disent tous les mecs bourrés.
[01:26:06] Speaker C: C'est vrai qu'il m'a dit ça.
[01:26:09] Speaker E: Non, lui, il n'a pas dit ça. Lui, il a dit, ta putain de perruque est tombée et elle est en bas.
[01:26:16] Speaker C: Bonne mode. C'était rigolo.
[01:26:18] Speaker E: On a bien rigolé.
[01:26:19] Speaker C: C'était rigolo, mais il a fait des tâches de whisky dans le couloir. C'est pas moi.
[01:26:25] Speaker E: Elle a bien rigolé quand même.
[01:26:27] Speaker C: Bon, en tout cas, je croyais qu'il y avait un concert d'annoncés.
Là, j'ai checké.
[01:26:32] Speaker A: Ils vont faire un Culture Box, un enregistrement sur l'émission Culture Box avec Daphné Burki, qui est une super animatrice télé que j'adore.
Et Culture Boxx qui est une émission musicale, pas comme ce qu'on fait avec Bang Bang qui est beaucoup plus ouverte, mais en tout cas ça reste quand même une émission financée par France Télé qui propose plein de... que ce soit de la musique, des groupes, des danses, du théâtre... C'est culturel. Et apparemment ils vont participer à cette émission prochainement, de ce que j'ai pu entendre dire.
[01:27:05] Speaker E: Je crois que Rise of the North Star a enregistré pour Culture Box.
[01:27:08] Speaker A: Mais non, sérieux ?
[01:27:09] Speaker E: Oui, avant l'été. Et ? Je ne sais pas quand est-ce que ce sera diffusé.
[01:27:13] Speaker A: C'est génial !
[01:27:14] Speaker E: Je crois que ça a été fait.
[01:27:15] Speaker A: Pour être honnête avec vous, c'est par rapport à Bring the Night, c'est une partie de mes dernières interviews que j'ai faites avant d'arrêter l'émission. Et c'est vrai que de retrouver Rise of the North Star, c'est...
[01:27:23] Speaker E: C'est le monde charge.
[01:27:25] Speaker A: Ah d'accord. Qu'est-ce qui fait caca ?
[01:27:27] Speaker E: Non, c'est le monde charge qui se met en route des fois.
[01:27:30] Speaker A: Et du coup genre vraiment Rise of the North Star, c'était pas la première fois que je les avais en interview dans l'émission et on en parlait hors micro tout à l'heure mais vraiment très bel album et je trouve que c'est l'un des rares groupes de hardcore que j'aime encore écouter parce qu'ils apportent un peu de diversité et puis il y a toute leur culture japonisante derrière.
[01:27:48] Speaker E: Parce que c'est pas que du hardcore.
[01:27:49] Speaker A: Voilà, il y a toute leur culture japonaise en arrière, les mecs sont cools, ils réfléchissent à leurs costumes, à leurs vidéos.
[01:27:57] Speaker E: Erotenne c'est bien plus qu'un simple groupe hardcore, c'est dans les paroles.
[01:28:02] Speaker A: Mais en tout cas, si Rise of the North Star est dans CultureVogue, je trouve ça génialissime.
[01:28:09] Speaker E: Ils étaient aussi dans cette émission, vous pouvez aller la retrouver sur notre chaîne YouTube. Plus de deux heures d'interviews avec Rise of the North Star, où ils parlent de ce qu'ils aiment et on peut apprendre plein de choses.
[01:28:24] Speaker C: C'est très bien.
Faut s'inscrire, faut liker, faut appuyer sur les petits pouces bleus les machins. Moi je me suis toujours dit que je voulais dire des trucs comme ça comme des youtubeurs. Je sais que c'est pas bien mais...
[01:28:32] Speaker E: Cliquez, mettez la cloche.
[01:28:34] Speaker D: Ah oui, mettez la cloche.
[01:28:36] Speaker C: Le pouce bleu, le pouce vers le haut. Et laissez un petit comment la commu parce que ce serait super cool.
[01:28:42] Speaker D: Si vous aussi vous êtes plus qu'un groupe de hardcore, mettez un petit commentaire et racontez-nous.
[01:28:46] Speaker E: Ah ouais, faites ça. Et si vous répondez à la question 2 plus 2, vous gagnez un cadeau.
[01:28:54] Speaker C: D'ailleurs le cadeau, si la personne regarde, je sais plus comment il s'appelle, je suis désolé. Ton cadeau, il est prêt à partir mais tu ne réponds pas à mon mail, donc il faut que tu répondes à mon email pour que je puisse t'envoyer ta figurine.
Voilà, parce que je vais pas l'envoyer si t'es pas là.
[01:29:08] Speaker E: On a fait gagner une figurine avec le groupe Rise of the Nonstar.
[01:29:12] Speaker C: Sinon Aurélien a choisi aussi un autre groupe, alors je te remercie parce que c'est vrai que je n'ai jamais su si je pouvais le passer dans Bang Bang, mais c'est un groupe que j'adore, mais je le sur-kiffe et c'est Coach Party.
J'aime beaucoup plus Coach Party que Saint Agnes mais toi c'est l'inverse. Je sais pas, je connais pas Coach Party.
[01:29:32] Speaker E: C'est Choupi.
[01:29:33] Speaker A: Alors Coach Party, c'est un groupe qui a vraiment été... Non même pas, on est plus sur de l'indie rock et encore une fois c'est un groupe de Grande-Bretagne. J'aime beaucoup la scène anglaise, on n'en a rien à dire. Ils sont de l'île de White, ils sont potes avec les Whitelegs, donc comme quoi ils sont un peu dans cette même niche là. Quoique musicalement, c'est quand même un peu différent. Et quand je suis partie, c'est un groupe que j'ai découvert grâce à la programmation des festivals. Puisque cet été, ils ont fait plein de programmations de festivals français. Et j'ai eu l'occasion de les croiser au festival Rock En Seine. J'ai fait une interview avec eux, enfin avec les deux nanas du groupe, avec Steph et Jess pour WeFM. Je vais vous mettre justement l'interview traduite très prochainement sur le site. Je suis en train de finir le montage de tout ça. Mais en tout cas, ça fait vraiment partie de mes coup de cœur de cet été. Ils viennent tout juste de sortir leur album, La Kid Joy, qui est sorti ce vendredi. Et on est vraiment dans cette scène indie-rock, mais vraiment ce renouveau de la scène britannique avec plein de sonorités. Encore une fois, c'est 13 années 90, que ce soit dans le look, dans l'ambiance, dans les thèmes, il va y avoir des petites sonorités post-punk, il va y avoir un petit côté un peu walfalice aussi sur certains morceaux. Et puis encore une fois, c'est un groupe hyper paritaire où t'as deux meufs, deux gars, ils sont mignons, ils sont chopits, t'as envie d'aller boire des bières avec eux, ils sont hyper sympas. J'ai vraiment eu une sorte d'énorme crush avec ce groupe.
Quand on les écoute, quand on les voit sur scène, on a envie d'aller faire la fête avec eux et leur nouvel album, il fait du bien.
[01:31:05] Speaker C: C'est pire que ça, c'est que quand.
[01:31:09] Speaker E: Tu l'as dit, j'ai cru que t'avais dit Wolfalice.
[01:31:31] Speaker C: Oh mon dieu ! Cette émission est à son climax !
[01:31:37] Speaker A: Merde !
[01:31:38] Speaker B: On part ! J'aime bien les gars ! Oh ! Il est chaud !
[01:31:44] Speaker D: Le point lol l'habit a été atteint !
[01:31:45] Speaker C: Il est rouge ! Il est rouge !
[01:31:47] Speaker E: Je viens de...
[01:31:47] Speaker C: J'arrive plus à respirer !
[01:31:50] Speaker E: Il est chaud ! Il est très chaud !
[01:31:53] Speaker C: En tout cas, c'est vrai qu'ils sont hyper choupis. Je les trouve hyper... Parce que c'est pas tout en marrant ce qu'ils racontent, faut pas oublier ça.
[01:32:04] Speaker A: Mais encore une fois, ça fait partie un peu de ces groupes. Comme je disais avec Clef, c'est quoi ce que j'aime beaucoup, c'est la sincérité des musiciens. C'est que tu vas voir des groupes qui vont se donner une image et se donner un genre. Et on peut le comprendre aussi. Ça peut être aussi un atout de vente, entre guillemets. Et puis, il y en a d'autres qui vont juste être là pour partager leur musique, partager leur univers, leur message, leur vie et en fait c'est un peu ça en fait. Et c'est vrai que quand tu vas voir un groupe comme Coach Party sur scène, il n'y a pas de chichi, il n'y a pas de spectacle, ils sont juste là pour te partager ce qu'ils sont. Et moi c'est le genre de musique en tout cas que j'ai envie d'écouter et qui me fait du bien. On ne se les connaît pas et pourtant quand j'écoute leur musique j'ai l'impression que c'est des copains qui me parlent en fait.
Encore une fois, je trouve qu'ils ont ce curseur très intéressant entre avoir des références très années 90, très indie rock, et de l'autre apporter aussi leur petite touche perso, et ça fait que ça fonctionne, et ça fonctionne simplement.
[01:32:59] Speaker C: Et bien voilà, on leur souhaite d'avoir une magnifique carrière !
[01:33:02] Speaker A: Mais ils seront en concert au mois de novembre, ils ont annoncé pas mal de dates, il y aura notamment un café de la danse à Paris, qui sera, j'ai plus trop les dates, mais ils vont jouer aussi à Nantes, à Lille, ils me disaient, enfin voilà, il y a au moins 4-5 dates, donc n'hésitez pas à aller les suivre, et aller découvrir leur nouvel album Kill Joy qui est dans les vagues depuis vendredi, et je vais être honnête, en venant ici, j'étais en train d'écouter leur album, pour vous dire, voilà, tout simplement.
[01:33:26] Speaker C: Je ne savais pas quoi faire comme album de la semaine, c'était celui-là que je voulais choisir. C'est parti, ça se décide maintenant.
[01:33:32] Speaker D: C'est bon, t'as tout l'argumentaire.
[01:33:33] Speaker C: Un dimanche soir, le mec a bien bossé.
Merci, je t'enverrai pour les semaines à venir ce que tu préfères. Disons, t'as écouté quoi comme album ? On va regarder ce clip de Coach Party qui s'appelle « What's the point of life ?
[01:33:47] Speaker B: ».
[01:33:47] Speaker C: J'ai essayé de le dire avec un accent un peu british, mais comme je suis très mauvais en accent… C'est des.
[01:33:50] Speaker A: Très américains-texans de Porte de la Chapelle.
[01:33:54] Speaker C: Voilà, bah écoutez, on regarde ça tout de suite dans le Bang Bang.
[01:34:57] Speaker B: C'Est Keep your big mouth shut Can not tell them of what you've seen I got a thang, I've been feeling it hard I wanna make all of these caregivers run and hide Can I get a minute of your mind? I got bullshit, I got bullshit, bitch Are you feeling down? Take a pill and fix your shit It's the same as a broken elbow Can you settle down? She got the wrong pistols, I'm real dead wrong Just chemicals, you know?
Play with you C'est parti !
[01:38:02] Speaker C: All the people that come to see.
[01:38:03] Speaker B: Me can't see me for me Don't ever cry again.
[01:39:23] Speaker E: Est-ce que t'étais pas un peu en vacances quand t'as regardé ce clip ?
[01:39:28] Speaker C: Je l'ai bouffé cet album, je l'ai dévoré. J'ai bien mangé aussi chez mes parents effectivement. Non, non, j'adore. Kim Dracula, j'adore. En fait, il tue tout, c'est-à-dire qu'en même temps, tu peux ne faire que le détester parce qu'il fait tout pour que ce soit le cas, et il en a rien à branler, il fait ce qu'il veut. C'est-à-dire que c'est très compliqué, il est chez Warner. Et j'ai rencontré des gens de chez Warner qui ont dit « Pourquoi on a signé ce mec ? » Et j'ai dit « Bah c'est vachement bien, ils font... On ne sait même pas faire un dossier de presse, on ne sait pas à qui il faut envoyer ça ». Je fais « Bah pourquoi ? Parce qu'il fait du rap, parce qu'il fait de la funk, parce qu'il fait du jazz, parce qu'il fait du métal, parce qu'il met tout ça en même temps ». Et qu'effectivement, écoutez, ça peut être très compliqué, mais c'est hyper créatif, et il y a plein de trucs de films, comme tu disais, cartoon aussi.
[01:40:12] Speaker E: L'album c'est vraiment, alors il est très très riche l'album, c'est vraiment, c'est un peu trop.
[01:40:18] Speaker C: Ça peut être compliqué.
[01:40:19] Speaker E: En fait, tu sais pas quand commence une chanson, quand s'arrête une autre. Et ça part, mais il y a des trucs où ça passe de passage black metal avec du bribri à une espèce de salsa mexicaine pour revenir avec des sons de cartoon. Après c'est Korn, après c'est Faith No More, après ça n'arrête jamais.
[01:40:38] Speaker C: C'est comme dans ma tête.
[01:40:42] Speaker A: Moi aussi je suis un peu larguée par rapport à ces artistes-là, c'est que t'en as de plus en plus de groupes comme ça depuis ces dernières années, qui je pense sont un peu la représentation de cette nouvelle génération qui écoute de la musique via les plateformes de streaming, Spotify...
[01:40:57] Speaker C: Là c'est un artiste TikTok.
[01:40:59] Speaker A: Mais surtout ils écoutent 15 milliards de trucs, tu regardes les jeunes aujourd'hui, ils vont autant écouter du hip-hop qu'ils vont écouter du rock, qui vont écouter du punk, qui vont écouter des fois des trucs de salsa. Là dernièrement, par exemple, ce week-end, je suis tombée sur une série Netflix qui s'appelle Infamia, qui est incroyable, qui parle de la culture rome avec une rappeuse dans une famille roumaine qui t'explique, enfin voilà, tu vois un peu son univers. Et pareil, il y a des morceaux de hip-hop que j'ai trouvé géniaux, tu vois, et je ne me serais jamais vue écouter ça.
[01:41:31] Speaker C: Elle s'ouvre, elle s'ouvre. C'est une petite fleur en train d'éclore.
[01:41:37] Speaker A: Aujourd'hui, c'est là où tu te rends compte que même dans les séries, dans les films, on te fait connaître des musées complètement variés. Et je pense qu'aujourd'hui, quand t'as un groupe, tu peux te permettre maintenant de pouvoir aller où tu veux. T'as un champ des possibles qui est infini.
[01:41:54] Speaker C: Pour toucher des gens, c'est quand même compliqué parce que là, il a trouvé son public. Qu'est-ce qui se passe ?
[01:41:59] Speaker E: J'ai touché des gens.
[01:42:01] Speaker D: Et des jambes.
[01:42:03] Speaker C: La jambe surtout. Non, c'est pas la jambe, celle-là. C'est celle-là. Putain, j'ai eu peur. Ça va pas ?
[01:42:13] Speaker B: Non mais alors ?
[01:42:14] Speaker E: Tu m'as pris pour qui ?
[01:42:16] Speaker C: Je t'ai pris pour une blonde qui sent l'or.
Mais oui, je sais, elle est trop gentille, on a le droit de se moquer des gens, non ? Mais c'est juste de me faire une leçon sur des choses qui n'ont pas de sens.
[01:42:25] Speaker E: Et en plus, c'est pas méchant si c'est vrai.
[01:42:27] Speaker C: Non mais non, c'est pas vrai.
[01:42:29] Speaker E: Ah ça j'en sais rien, moi je fais confiance à Pierre, excuse-moi. Excuse-moi, je fais confiance à mon meilleur ami.
[01:42:33] Speaker C: Kim Dracula, juste, où on aura compris aussi qu'il y a tout cet univers émo, ce qui m'a amené avec les...
[01:42:38] Speaker E: Tout le look un peu Gérard Way. Gérard Way, Way, Way, même.
[01:42:42] Speaker C: Gérard Chemin, Way, Way.
[01:42:44] Speaker B: Gérard Way, Way.
[01:42:45] Speaker C: Non mais je vous conseille d'ailleurs aux gens qui sont un peu curieux d'aller écouter Kim Dracula, c'est vrai que ça nique ni tête en réalité mais c'est hyper bien fait. Il y a un truc un peu plus émo, parce que l'émo revient aussi sur le devant de la scène.
Le néo-métal est en plein dedans.
[01:42:59] Speaker A: Il y a qui ?
[01:43:00] Speaker C: Taking Back Sunday, très bon morceau effectivement. Mais j'ai découvert le groupe, alors je ne pourrais pas vous en parler plus que ça parce que je n'ai fait aucune recherche. Mais le groupe s'appelle The Requiem.
On est en plein dedans, c'est-à-dire que là, s'il fallait marcher dans du caca, on n'a pas de chaussure et ça passe entre les doigts de pied.
Et bien l'émo peut mettre des méduses noires, ça va de soi !
[01:43:29] Speaker E: Ou transparentes !
[01:43:30] Speaker C: Transparentes grises ! Non, à paillettes, tu sais ! J'adore !
[01:43:37] Speaker E: C'est dégueulasse !
[01:43:38] Speaker C: Et je vois, comme le dit Legend Lolo, un groupe que j'adore aussi, See You Space Cowboy, qui est énormissime, j'adore ! Et c'est dans la même lignée que Kim Dracula, c'est des amis tout ça, c'est des gens qui craignent tous ensemble.
[01:43:48] Speaker A: See You Space Cowboy, c'est beaucoup plus vénère quand même.
[01:43:50] Speaker C: Et le dernier Sea of Space Cowboy est très doux.
[01:43:56] Speaker E: Kim Dracula, il y a des titres survénères. Vraiment.
[01:43:59] Speaker D: Parce qu'il me semble qu'on en avait déjà passé et que c'était beaucoup plus vénère que ça.
[01:44:04] Speaker E: Ça c'est leur titre pop. Il y a des trucs vraiment vénères. Par contre, pour terminer sur Kim Dracula, je trouve ça extrêmement bien fait parce que la prod est cohérente. Ils ont réussi à trouver un truc.
[01:44:16] Speaker C: Qui fait que quand ça passe de.
[01:44:19] Speaker E: L'Un à l'autre, C'est vraiment différent, ça marche ensemble, il n'y a pas de gros gap genre ils ont mis carrément une autre bande-son derrière.
[01:44:32] Speaker C: En tout cas, j'ai découvert que ce groupe s'appelle The Requiem, je n'ai rien à dire vraiment dessus, vous allez regarder le clip, vous allez écouter la chanson. Je pense que si vous aviez une mèche comme ça à l'époque, Brune, évidemment, ça va de soi, avec des chaussettes à carreaux. Noir corbeau.
[01:44:51] Speaker E: Rouge et noir.
[01:44:51] Speaker C: Les 30 meilleurs moments de la télé.
[01:44:52] Speaker E: J'ai vérifié la dorotée.
[01:44:58] Speaker C: Personne ne peut comprendre.
[01:45:01] Speaker E: C'est ce moment-là où t'as pleuré ?
[01:45:03] Speaker C: Non, c'était quand il y avait Pradel, Jacques Pradel.
[01:45:08] Speaker E: Perdu de recherche.
[01:45:10] Speaker C: Parce que je sais ce que ces gens font dans la vraie vie quand ils s'amusent et c'est pas beau.
[01:45:13] Speaker B: Mais.
[01:45:15] Speaker C: Ouais, ouais.
[01:45:16] Speaker E: Bon après, t'sais, mais les enfants c'est pas forcément...
Oh mais non, c'est pas ça. Non mais j'ai lu un article dans Libération, ils disent que c'est OK.
[01:45:23] Speaker C: Ah ouais, bah alors Libération, bon.
On sait plus où ils mettent leurs quéquettes.
ce live Twitch, ou si tu regardes la VOD sur notre page YouTube.
[01:45:49] Speaker E: Sache qu'on est prêts à réinstaller un lit pour que Pierre refasse cette interview avec toi.
[01:45:53] Speaker C: Exactement. Où on retournera dans le même hôtel Ibis à place de Cliché. Et là je peux te dire que.
[01:45:58] Speaker E: Tu vas pas être déçu.
[01:45:58] Speaker C: Non, parce que je mettrai mes petites chaussures rouges, tu vas les apprécier. Et moi, paupiètes de couilles. Bon allez, on balance le requiem.
[01:50:06] Speaker B: J'ai besoin de ressentir quelque chose de bien J'ai besoin de ressentir quelque chose de réel Quelque chose d'autre que ce que je suis censé ressentir C'est génial!
Abandonner toi-même ne vient pas d'un endroit de haine comme tu t'es dit toi-même !
[01:52:35] Speaker C: Aurélie qui se bat avec son micro, c'est n'importe quoi. Excusez-moi, un bang bang. Le meilleur du métal, le meilleur de l'alternative rock, c'est ici. Si vous avez envie de passer un bon dimanche soir, de vous lâcher, de pouvoir un petit peu... Et non pas de vous lâcher ! Non, si vous avez envie de lâcher des caisses, c'est vous, vous pouvez faire.
[01:52:50] Speaker D: Ce que vous voulez.
[01:52:51] Speaker C: On le fait pareil ici, entre nous.
[01:52:53] Speaker D: Non merci.
[01:52:55] Speaker C: Pensez aux invités. Non mais voilà, la Capra, on est là depuis le début.
[01:53:02] Speaker E: On a écouté, il y avait un titre de sortie, on le diffusait déjà.
[01:53:05] Speaker C: On était tout sauf, on a fait oh putain c'est bon ça.
[01:53:07] Speaker E: Après ils avaient quand même sorti ce titre qui s'appelait Samouraï à carré.
[01:53:10] Speaker C: Bah oui c'est pour ça que c'était ça qui m'avait attiré en premier jour. Ah c'était la chanson The Balls of Jericho ?
[01:53:18] Speaker A: Bien sûr ! La Candace !
[01:53:20] Speaker C: Oui parce qu'elle a dit, en fait c'est elle qui l'a influencé, qui lui a fait comprendre qu'il fallait qu'elle gueule et qu'elle aimait bien voir des battes de baseball et que c'était cool quoi.
[01:53:28] Speaker A: Je me souviens toujours la première fois que j'ai vu Waltz of Jericho sur scène, mais vraiment la meuf, elle est arrivée et encore une fois c'était une période où il y avait encore balle de keum sur les scènes de festival. Je crois que c'était à Rock en Seine, non c'était à Welfest ?
[01:53:41] Speaker E: Parce que je crois pas qu'ils aient fait Rock en Seine à Waltz of Jericho.
[01:53:44] Speaker D: Ah j'aurais bien aimé !
[01:53:46] Speaker A: Dans la gueule que je m'étais prise d'avoir cette meuf arrivée, on aurait dit une prof de crossfit mais qui était vénère.
[01:54:00] Speaker C: Des jours de crush suite quoi !
[01:54:05] Speaker A: Et c'est en vrai, je crois que c'est la première fois que je voyais une meuf, sur scène, être chanteuse d'un groupe de punk, enfin de hardcore. Et même si c'est pas mon style, je l'avais trouvé mais captivante quand même, mon dieu !
[01:54:19] Speaker E: C'est surtout qu'elle a beaucoup de charisme et elle a une voix qui est très imposante.
C'est l'avantage, c'est qu'elle n'a pas à pâlir face aux... De toute façon, la.
[01:54:32] Speaker C: Différence, la vraie différence qu'il y a entre les deux, c'est que l'autre aime beaucoup mettre des robes zébrées. Oui, entre autres. Sinon, elle a... Excuse-moi, j'ai une cacahuète qui vient de voler.
[01:54:45] Speaker A: Sinon, elle a...
[01:54:46] Speaker C: J'ai une cacahuète qui vient de voler parce que j'étais bloqué dans une dent qui manque.
Je n'ai pas eu d'aventures ce week-end qui m'ont permis d'avoir une quéquette qui.
[01:54:57] Speaker E: Sort de ma bouche.
[01:54:58] Speaker C: C'est pas Wolfalus. Mais non, mais Capra c'est énorme. Ils étaient passés à Paris faire un concert, on a vu 2-3 extraits sur les internets.
[01:55:07] Speaker E: Moi j'ai pas vu mais j'aurais dû l'aimer.
[01:55:09] Speaker C: Ça avait l'air un peu vénère quand même.
[01:55:10] Speaker E: Mais il y a longtemps.
[01:55:12] Speaker C: Au début, au tout début.
[01:55:13] Speaker E: Ouais, c'est ça. Parce que là, ils sont passés en France, mais ils ont fait que l'Extrême Fest et des trucs comme ça. J'ai hésité à y aller, puis c'était un peu compliqué.
Juste pour aller les voir eux, c'était compliqué.
[01:55:27] Speaker C: Mais bon voilà, Capra, notez-le, le nom, il n'est pas compliqué. C-A-P-R-A, tout simplement. On se dirige vers notre gentleman, celui qui respecte absolument tout.
[01:55:37] Speaker E: Le gentleman cambrioleur de cœur.
[01:55:40] Speaker C: Oh, et cambrioleur de teint.
[01:55:40] Speaker D: C'est comme de dresser un de ses portraits dis donc.
[01:55:44] Speaker C: Non, c'est parce qu'en fait j'ai eu cambrioleur de cul, je me suis dit ah non ça c'est plus moi. Ah ça c'est toi ouais.
[01:55:52] Speaker D: Cette circonstance.
[01:55:53] Speaker C: C'est la chasse d'eau ça ?
[01:55:55] Speaker E: Non, non, c'est le monte-charge, Pierre. Gunschi fait remonter le caca.
[01:55:59] Speaker C: Ça me fait rire. Je vois que ça n'a pas changé. Surtout n'hésitez pas à m'insulter, j'aime ça en plus. Vraiment pas de problème. Arschloch !
[01:56:12] Speaker E: Si c'est en allemand, c'est mieux.
[01:56:14] Speaker C: Bon, j'allais faire une blague, mais non.
[01:56:17] Speaker A: Ce soir, c'est la première fois que je ne fais pas Bring The Noise, puisque du coup, je ne fais plus cette émission sur OUIFM, mais de la faire avec vous.
[01:56:26] Speaker C: C'est rafraîchissant. Il y a des choses qui changent.
[01:56:31] Speaker A: Et puis il y a des choses immuables.
Tu vois genre t'as les marées, t'as les trucs de la lune, c'est pareil.
[01:56:44] Speaker D: C'est bien d'avoir un retour de quelqu'un qui les connait depuis longtemps, moi je les pratique que depuis un an.
[01:56:49] Speaker A: Un jour on s'y fait.
[01:56:51] Speaker E: Psychologiquement, on se fait pas perdre des.
[01:56:54] Speaker A: Neurones mais on s'y fait.
[01:56:55] Speaker C: Ça me rassure que tu dis ça.
[01:56:56] Speaker B: On est sûrs aussi.
[01:56:57] Speaker C: On se fait pas perdre des neurones, ça va il en a plein. Lui ! On parle de Gunship ? Oui. Non, parce que du coup, j'avoue que je ne crois pas le connaître.
[01:57:09] Speaker E: Moi, je connais.
En plus, il y a un feat. Il y a un feat que tu connais.
[01:57:13] Speaker D: Il y a plein de featuring et puis donc, tu connais.
[01:57:18] Speaker C: C'est dégueulasse ! Oh.
[01:57:23] Speaker D: Il est dégueulasse !
[01:57:25] Speaker C: Mickey Way ! Il est dégueulasse !
[01:57:27] Speaker D: Gunship, ça correspond à un de mes petits kinks musicaux qui est la Synthwave.
[01:57:32] Speaker E: Tes kinks musicaux ! Avant que tu te lances là-dessus, je dois dire qu'il y a un nouveau membre dans l'équipe qui est Marcel, qui est fan de Synthwave.
Il a 21 ans. Traduction de la vague synthétique.
[01:57:51] Speaker C: De la vague synthétique.
[01:57:53] Speaker E: Il est fan de ça aussi, donc je pense qu'il va falloir que vous vous rencontriez.
[01:57:58] Speaker D: Nouvelle amitié qui commence.
[01:58:00] Speaker C: Vous allez mettre des bottines avec des néons, je peux vous le dire.
[01:58:04] Speaker E: Je sortirai mes plus belles épaulettes.
[01:58:07] Speaker D: Ça va flamber à Walibi.
[01:58:13] Speaker C: Oh putain ! Et on en est pas marre ! Bon allez, excuse-moi.
[01:58:22] Speaker D: Gunship à l'origine, il me semble que dans une ancienne émission j'avais déjà parlé de Fightstar.
[01:58:26] Speaker C: Oui, tout à fait.
[01:58:27] Speaker D: Gunship, c'est des anciens de Fightstar. En fait, c'est des gens qui viennent de Fightstar.
C'est Alex Westaway qui était guitare et chant de Fightstar et Dan Haig qui est basse chez Fightstar, qui se sont mis un jour à faire petits projets électroniques pendant un hiatus de Fightstar, etc. Et en fait, de fil en aiguille, c'est devenu la Synthwave et c'est devenu Gunship. Et en fait, Gunship, Synthwave, donc forcément années 80, très influencé dans l'imagerie par la pop culture de l'époque, le cinéma américain, etc. C'est très référencé, ne serait-ce que le premier logo du groupe, c'était un pastiche du logo de la Canon Film.
Dans certains de leurs clips, il y a carrément des... Excuse-moi, non mais je continue.
Va falloir expliquer.
[01:59:09] Speaker C: Non.
[01:59:10] Speaker E: Dans certains problèmes, on peut pas tout expliquer.
[01:59:12] Speaker C: Sinon je vais finir en prison, je préfère pas. Ok.
[01:59:16] Speaker D: On va passer au silence.
Dans certains de leurs clips, il y a des références très évidentes. Il y a un de leurs premiers clips qui était pour Tech Noir, déjà grosse référence à Terminator. C'était un clip tout en stop motion, en patamodelé, qui envoyait énormément de références à la culture VHS, films de genre des années 80, de Hellraiser à Robocop. C'était vraiment un gros univers de films de genre de l'époque. Et en fait, Gunship, c'est...
Dans le paysage de la Synthwave, il y a beaucoup de projets qui sont exclusivement instrumentaux ou dans lesquels il y a peu de chant. Chez Gunship, il y a du chant tout le temps. C'est toujours au format chanson, soit chanté par Alex Westaway directement, avec sa voix qu'il utilisait déjà chez Fightstar.
Soit avec pas mal de guests. Parmi les guests qui sont passés, il y a par exemple Indiana qui est une chanteuse très spécialisée aussi dans la pop, synpop, etc. Il y a eu Kat Von D aussi dans le deuxième album. Il y a eu Charlie Simpson, le chanteur de Fightstar. Ils ont eu sur leur premier album John Carpenter himself qui a fait un petit speech en intro d'un de leurs morceaux.
Et puis là, ils en sont à leur troisième album. Et le single que j'ai choisi, qui a été clippé et qui est un beau clip, je trouve, s'appelle Monster in Paradise. Alors là, il y a pas moins de quatre guests. Donc Milky Way de Wargasm.
Il y a aussi Dave Lombardo, qu'on ne présente plus, batteur, etc. Il y a Tyler Bates. Ouais je confonds toujours avec Brian Tyler mais non c'est Tyler Bates donc lui aussi compositeur pour le cinéma et pour le jeu vidéo mais qui ici joue de la guitare et puis il y a aussi donc le saxophoniste tout musculeux Tim Capello qui est...
[02:01:00] Speaker C: C'est pas le fils de Maître Capello ? Non rien à voir ! Non tu verras !
[02:01:04] Speaker E: J'étais sûr ! Ah je l'attendais aussi ! J'avais du compte dans ma tête avant.
[02:01:08] Speaker C: De la passer !
[02:01:09] Speaker D: Non mais Maître Capello qui joue du saxophone, moi j'aurais demandé à voir, ça.
[02:01:12] Speaker C: Aurait été très drôle je pense. Ah putain, bah oui effectivement, voir... Ah j'aurais... Et écouter... Bah ça donne ça.
Mais oui mais pardon, excusez-moi, je suis très embêtant. Oh sexy saxman ! C'est vrai qu'il y a du beau monde, là, quand même.
[02:01:30] Speaker D: Il y a vraiment du beau monde. Là, c'est leur troisième album. Il va sortir le 29 septembre, si je ne me gourre pas. Ça, c'était leur premier single, je crois, qui était sorti. Je crois que c'était début juillet. La première fois que je l'ai écouté, c'était une écoute un peu distraite. J'ai fait, ouais, bon, sans plus. Deuxième écoute, j'ai fait, oh, putain, c'est génial. Et depuis, en fait, le morceau loge dans ma tête sans payer de loyer. C'est infernal.
[02:01:52] Speaker E: Il est vraiment cool ce morceau, j'ai beaucoup aimé.
[02:01:54] Speaker D: Il est vraiment cool, il y a vraiment très belle alchimie entre les deux voix qui se répondent bien, il y a un refrain qui tue, il y a un point instrumentel qui est super bon, le saxophone forcément, ça c'est triché pour moi, j'ai oublié de le dire aussi tout à l'heure dans le cas de Teenage Wist mais ils ont un saxophone sur un des derniers titres de l'album et ça c'est triché pour me draguer, donc voilà.
[02:02:20] Speaker E: Je trouve que ce titre, on reconnaît le style, mais je trouve qu'ils arrivent à l'enrichir, à rendre ça moins cliché.
[02:02:32] Speaker D: En fait ce qui est bien avec Gunship c'est que c'est toujours sur le format chanson et puis il y a un esprit qui est très rock en fait.
Il y a un esprit qui est très rock.
[02:02:40] Speaker E: Dans les structures et tout ça aussi.
[02:02:42] Speaker D: Avec des structures, avec beaucoup de place qui est laissée à la voix, à la mélodie vocale. C'est vraiment construit sur des morceaux à chaque fois qui sont très catchy et ça fonctionne très souvent très bien.
[02:02:55] Speaker C: On va s'en délecter, on va se régaler les oreilles, les yeux, tout ça. Bag and chips, c'est parti. Moi, je ne dis plus rien parce que je suis ému.
[02:04:34] Speaker B: C'est parti pour le tour du monde ! C'est parti ! C'est parti pour le tour de l'île ! C'est parti ! Qu'est-ce que c'est que ça ? C'est quoi ça ? Nothing but bogus operandi, yeah Mmh, stand to the side when my shit starts breaking You're gonna think you've gone blind I only need a moment, the moment's come around You're gonna think you've gone blind I'm Jordan, you're Nandy Bogus, I'm Brandy My motors, so handy Nothing but bogus, I'm Brandy, yeah Non ne m'abandonne pas ! BING BING !
[02:12:48] Speaker C: Avec The Hives à l'instant, qui seront le 26 septembre à l'Olympia.
[02:12:54] Speaker A: Et puis il y a aussi des dates à Lyon et à Toulouse... Et.
[02:13:00] Speaker E: Puis sinon vous pouvez les entendre à la Sabotage Rock Party.
[02:13:05] Speaker A: À feu les sabotages rock party !
[02:13:07] Speaker E: C'était ça la blague ? Parce qu'en fait c'est un peu la.
[02:13:11] Speaker C: Même chose qu'à l'époque.
[02:13:12] Speaker B: Mais c'est ça qu'on aime avec les Hives !
[02:13:14] Speaker A: C'est qu'ils nous font la même recette mais c'est pour ça qu'on les aime !
[02:13:17] Speaker C: J'adore ! Ils ont sorti un album qui est très bon.
[02:13:20] Speaker A: The death of Randy Fitzsimons.
[02:13:24] Speaker C: C'est du The Hives. On en parlait en antenne, c'est juste comme tu le disais Oli, ils ne changent pas la recette, ils n'en ont rien à branler, ils font toujours la même chose, ils espacent un peu pour que ça soit peut-être un peu digest.
[02:13:35] Speaker B: Voilà, ça faisait 12 ans quand même.
[02:13:36] Speaker D: Qu'on soit content de les retrouver, qu'on.
[02:13:37] Speaker C: Soit « Ah c'est les Hives, comme.
[02:13:39] Speaker D: Je les ai connus, ça fait plaisir ».
[02:13:40] Speaker C: Ils jouent avec les cycles, c'est très bien, c'est très bien. Puis sur scène, ça n'a jamais été mauvais. Tu te défoules, tu danses, tu chantes.
[02:13:49] Speaker A: En plus l'album fait 30 minutes, t'as tes gros Larsen, plusieurs dégoulinants comme on aime. C'est Garage Punk quoi, c'est les hives, c'est à la suédoise, c'est classe.
[02:14:03] Speaker E: Je trouve pas ça très garage quand même. C'est bien produit mais il y a.
[02:14:08] Speaker D: Le côté un peu crac crac quand même.
[02:14:09] Speaker E: Il y a ce côté un peu.
[02:14:10] Speaker A: Guitare dégoulinante, c'est très garage.
[02:14:11] Speaker E: C'est de la saleté suédoise quoi, c'est de la saleté propre. Ils sont suédois c'est ça ?
[02:14:15] Speaker B: Oui.
[02:14:15] Speaker C: T'as pas vu dans le clip qu'il y a des saumons ?
[02:14:18] Speaker E: Non j'ai pas pu parce que j'étais en train de travailler.
[02:14:21] Speaker C: Ah pardon.
[02:14:23] Speaker A: En plus de revenir avec un nouvel album, ils ont créé tout un univers avec leur personnage Randy Fitzsimons qui était le nom sur lequel ils créditaient tous leurs morceaux.
Ils ont un peu justifié le fait qu'ils n'avaient pas sorti d'album depuis 11 ans en disant que ce fameux Randy Fitzsimons était mort.
C'est ce qu'on découvre dans ce clip-là, en fait. En plus, ils reprennent un peu tous ces vieux clichés, des vieux films d'horreur un peu ringards. Moi, j'aime bien. Il y a un truc hyper travaillé derrière.
[02:14:54] Speaker E: Tu veux dire que c'est un peu mieux que le retour de Tool, c'est ça que tu veux dire ?
[02:14:57] Speaker A: Franchement, Tool, s'ils ne reviennent pas, moi, franchement, ils ne me dérangent pas.
[02:14:59] Speaker C: Ils sont revenus.
[02:15:00] Speaker A: Ils sont venus à faire du vent en Californie, mon gars. Moi, ça ne me dérange pas.
[02:15:03] Speaker D: Ça va. En 15 ans, on n'en entendra plus. Il n'y aura plus de nouvel album, de toute façon.
[02:15:07] Speaker E: Il y a des chansons qui meurent avant qu'ils aient un nouvel album.
[02:15:10] Speaker A: Bah après, est-ce que c'est vraiment grave ? Bah que vous mourriez, oui, mais que.
[02:15:14] Speaker E: Tool en sorte pas d'être mort ? Ça, ça m'arrangerait, mais...
[02:15:17] Speaker D: En tant que personne qui aime bien Tool, le Zouyafe, ça fait toujours plaisir. Et puis en plus, avec un clip un peu cracra avec du sang partout, moi j'aime bien.
[02:15:26] Speaker E: Ça fait plaisir.
[02:15:27] Speaker C: Non, moi je voulais juste dire qu'il.
[02:15:28] Speaker A: Faut y aller voir un concert.
[02:15:29] Speaker C: Moi j'ai préféré entendre Glashow par contre.
[02:15:30] Speaker A: Ils sont où Glashow ? Qu'est-ce qu'ils font Glashow ?
[02:15:32] Speaker E: Glashow, bah... Parce que j'ai vu que.
[02:15:35] Speaker A: Le chanteur, il avait fait un featuring avec Blue Misery Zone, qui était énorme !
[02:15:40] Speaker E: Mais il a besoin d'argent, je pense.
[02:15:42] Speaker A: Non mais ça veut dire que... Est-ce.
[02:15:43] Speaker B: Que Glashow sera de retour ?
[02:15:44] Speaker E: Ah non ! Bah Glashow, tu sais, ils partent jamais vraiment. Moi je les ai vus... Il y a un an, je les ai vus en concert.
[02:15:50] Speaker A: Ouais, mais ils n'ont pas joué à Paris ?
[02:15:51] Speaker B: Non.
[02:15:52] Speaker C: Ils ont fait deux batailles en un an.
[02:15:53] Speaker E: Non, ça c'est sûr qu'ils ne jouent pas en France, non.
D'ailleurs, en parlant de groupes qui ne marchent pas, qui ne jouent pas en France, il y a Sparta qui font une tournée en Europe, sauf en France, donc allez les voir.
[02:16:06] Speaker C: Oui, c'est ce mois-ci aussi.
[02:16:07] Speaker E: C'est en Belgique. Bruxelles, c'est dimanche prochain, ce qui fait que je n'y serai pas.
[02:16:11] Speaker A: Mais il faut leur dire que la Mécanique Condulatoire va rouvrir sa salle de concert. C'est le mois d'octobre, non ? Je crois que c'est le 9 octobre, la première date de concert qu'ils ont annoncée. C'est trop tard. La salle de la MECA réouvre. Dommage. Ça permet quand même d'annoncer que la mécanique de l'Atar obsesse à le concert.
[02:16:29] Speaker C: Bon sinon tu nous avais choisi autre chose Aurélie, tu nous avais choisi Bandi Bandi.
[02:16:32] Speaker B: Ah !
[02:16:34] Speaker E: Coca Coca Bandi Bandi !
[02:16:36] Speaker A: Good care encore une fois pour la scène française et pour le coup Bandi Bandi ça fait quand même un petit bout de temps que je les suis.
[02:16:42] Speaker E: Alors à la base c'est... Attends avant que tu commences je voudrais dire c'est Bandi Bandi et pas Bandai Bandai.
[02:16:46] Speaker C: Non, je sais, mais alors j'avoue que, pareil, ça je pense que j'aime bien, moi, Bandy Bandy, mais j'en aurais jamais passé dans Bang Bang. Ça passe sur SLS, mais je sais pas pourquoi j'en aurais jamais passé.
[02:16:57] Speaker E: Ah, parce que tu veux dire que c'est pas métal ?
[02:16:59] Speaker C: C'est moins ce que j'imagine passer ici, mais attends, je suis très content que tu le fasses.
[02:17:03] Speaker E: Après, on a eu Slowdive.
[02:17:03] Speaker C: Je suis très content que tu le fasses parce que ça permet de bouger.
[02:17:06] Speaker D: Après, c'est vrai que Slowdive, on l'a passé tout à l'heure.
[02:17:08] Speaker E: Oui, Slowdive c'est encore moins... Bon, vas-y, Bandy Bandy !
[02:17:12] Speaker A: Bon, en tout cas, voilà, je suis mal demandée, envoie-moi 5 morceaux que t'aimes bien de machin, et c'est vrai que Bandy Bandy, ça fait partie de ces groupes de la scène française que je trouve hyper rafraîchissant. D'un côté, tu as Maéva et Hugo, donc c'est vraiment un duo, à la vie comme à la scène, qui ont réussi à mêler leur univers musical qui est hyper intéressant, parce que d'un côté tu vas voir Hugo qui va être très... Nirvana, Black Rebel Motorcycle Club et compagnie. Et puis de l'autre, tu vas voir Maeva qui va elle plus être branchée sur la scène française, elle est très branchée sur tout ce qui va être Gainsbourg et compagnie.
Et là, ils vont sortir un premier album, 11h11, qui sortira le 29 septembre, que j'ai de la chance d'écouter un petit peu en avance puisque je les ai eus en interview et en session sur WeFM. Et le mélange de leur univers est juste incroyable. C'est vraiment, c'est chanté en français, c'est extrêmement bien écrit. Pour être honnête avec vous, il y a un groupe français qui, pour moi, écrit magnifiquement bien, c'est les Pogos Krakash Kontrol, vous le savez. Et pour moi, ils sont en deuxième. Je trouve qu'ils ont une façon d'écrire qui est hyper intelligente, qui est rafraîchissante. Et écrire en français, on le sait, c'est pas facile. C'est hyper casse-gueule. Et eux, en tout cas, ont réussi à faire le truc. C'est sexy, c'est charmeur. L'univers de Bandi Bandi, en tout cas, sur ce nouvel album, je le trouve... Pour moi, je pense que ça va être mon album de l'année 2023, vraiment.
Et on va avoir des morceaux qui vont être hyper variés. Donc d'un côté, on va avoir des morceaux un petit peu plus mid-tempo, comme La Marée qu'ils ont partagé, qui va être beaucoup plus slow, beaucoup plus chanson française. Et puis de l'autre, ils ont dévoilé Toxic Exit, qui en plus, dans les paroles, a un petit côté féministe. Parce qu'il faut savoir que Maéva, la chanteuse, est une féministe revendiquée et qui a ses avis, ses pensées.
et elle profite de sa musique aussi pour partager des choses importantes, d'autant plus que quand on est une femme dans la musique, c'est pas forcément facile tous les jours, donc c'est des choses sur lesquelles elle ose parler, sur lesquelles elle ose balancer des trucs, et j'avais envie en tout cas de vous en passer ce soir.
[02:19:16] Speaker C: Alors moi je tiens à revenir sur Pogo Car Crash Control, c'est des mots qui vont pas ensemble, les paroles du groupe.
Je les adore en plus.
[02:19:25] Speaker A: C'est deux salles, deux ambiances. En tout cas, je trouve que dans la façon de l'écriture en français et de chanter en français, ils ont une.
[02:19:33] Speaker C: Subtilité qui est un peu équivalente.
[02:19:38] Speaker A: C'est l'occasion d'écouter les albums de Pogo.
[02:19:40] Speaker E: Déjà, le titre « Toxic Exit », ça pourrait être un titre de Pogo qu'il a très chanteur.
[02:19:45] Speaker A: On est d'accord, vraiment.
Et pourquoi pas, est-ce qu'on pourrait proposer, si jamais ils écoutent l'émission ce soir, un petit split EP, les Pogos qui reprennent du... Ou sinon ils viennent faire.
[02:19:56] Speaker E: Des sessions ensemble ici.
[02:20:00] Speaker A: Et chacun reprend un morceau de l'autre.
[02:20:01] Speaker E: Où ils font ensemble un nouveau morceau. Bonne from nothing !
[02:20:07] Speaker A: Le rendez-vous est lancé les gars !
[02:20:10] Speaker C: Bon il va falloir que si vous les connaissez il faut leur lancer le message parce que bien sûr qu'ils sont là à regarder mais ils ont sûrement pas l'intention.
[02:20:17] Speaker E: Si seulement on connaissait quelqu'un qui connaît les deux ! Je me demande qui pourrait, attends je réfléchis, qui pourrait proposer ça ?
[02:20:25] Speaker C: Je sais pas, on va y réfléchir pendant la chanson. D'accord. Comme ça on regarde le clip.
[02:20:29] Speaker D: A dire combien la chanson, comme ça on sait combien de temps on a pour réfléchir.
[02:20:32] Speaker C: On va vous le dire une fois qu'elle sera lancée. Allez, c'est un choix d'Aurélie ce soir, Aurélie de WeFM, qui nous a choisi Bandy Mandy avec Toxic Exit.
[02:20:51] Speaker B: Trop de vices, t'es comme un feu de bungalow sans artifice Arrête, éteins ta cigalette, je ne peux plus respirer, t'es le brouillardé On en prie, ça fait de toi c'est quoi Qui a pris possession de moi ? C'est parti !
[02:24:55] Speaker C: Ah la Norvège, ces petits paysages délicats, ces gens si mignons, si chaleureux.
[02:25:00] Speaker E: Ah c'est norvégien ?
[02:25:00] Speaker C: C'est norvégien oui, alors je viens de regarder, je remets, voilà. Norvégien, il sort un album le 29 septembre qui s'appelle World Domination. Et ils viennent de Bergen, en même temps. Toi tu connais mieux le Bergen toi.
[02:25:14] Speaker A: De Bergen ?
[02:25:14] Speaker C: Attends, Bergen ! Non, Bergen, pas le Bergen. Ils viennent pas d'un club, ils viennent d'une ville où il y a 40.
[02:25:20] Speaker B: Millions de gens qui vivent.
[02:25:21] Speaker A: Je suis sûr qu'il y a des.
[02:25:21] Speaker E: Gens qui sont tombés enceintes au Bergen.
[02:25:25] Speaker C: Ça ne m'est pas arrivé. Juste en tombant au sol.
[02:25:30] Speaker E: Pierre, il a essayé plein de fois et il n'a jamais réussi.
[02:25:32] Speaker C: Pourtant il s'est fait remplir.
[02:25:33] Speaker E: Ça ne m'a jamais fait d'enfant. Pourtant il s'est fait remplir et ça fait pire que moi.
[02:25:39] Speaker A: Tant de poésie.
[02:25:41] Speaker C: Quand j'arrivais à la radio, des fois je te disais que j'en ai encore sur la cuisse qui coule.
Surtout je voudrais voir… Au revoir, merci tout le monde ! Si vous aimiez cette émission !
[02:25:49] Speaker A: Il s'appelait comment ton prof que tu niquais dans les studios et qui avait laissé une grosse tâche de jute sur le bureau de la radio ?
[02:25:54] Speaker C: C'était Mourad.
[02:25:55] Speaker A: Ah Mourad, voilà. C'était pas un prof ?
[02:25:57] Speaker C: Si, il était prof de maths.
[02:25:58] Speaker E: Ah ouais, il était prof ?
[02:25:59] Speaker C: Mais maintenant il est… Bref. Bon bref. Passons. Il sera certainement très heureux de savoir.
[02:26:05] Speaker D: Qu'On parle de lui en ces termes dans cette émission.
[02:26:06] Speaker A: Sache que Mourad, ta tâche de sperme, on a fait parler beaucoup à WFM.
[02:26:13] Speaker C: C'est-à-dire que surtout quand j'expliquais que ça partait du canapé jusqu'à l'autre bout de.
[02:26:16] Speaker A: La pièce, et que tout le monde.
[02:26:17] Speaker C: Me disait que c'était faux, je me.
[02:26:18] Speaker A: Disais non non c'est pas faux.
[02:26:20] Speaker E: Une si petite tâche et une si grande histoire.
[02:26:23] Speaker C: T'es quand même assez balèze.
[02:26:25] Speaker E: Surtout vu la distance.
[02:26:26] Speaker C: Arrêtez de parler de tout ça, les gens vont trouver ça sale. Les gens n'ont pas envie de ce genre de potin.
[02:26:30] Speaker E: Et les gens ne savent pas ce qui s'est passé sur ce canapé où vous êtes assis.
S'il y a eu d'autres miracles balistiques c'est ça ? Ah bah pas que !
[02:26:42] Speaker C: Ah bah là tu mets une lumière, c'est quoi c'est une lumière noire c'est ça ?
[02:26:45] Speaker E: Ah bah ouais, enfin n'importe quelle lumière.
[02:26:47] Speaker C: Même une lumière normale !
[02:26:48] Speaker E: Il y a des struts, des traces de struts !
[02:26:55] Speaker D: Je suis sûr que tu passes un peu de luminol sur le canapé, t'obtiens.
[02:26:57] Speaker E: Des résultats très intéressants. Ah non mais y'a pas besoin, juste une lampe torche, classique.
[02:27:00] Speaker C: Bah t'as pas remarqué que quand tu t'assoies t'as du mal à te relever, c'est juste que t'es collé.
Et pourtant il a été lavé plein de poids.
[02:27:06] Speaker D: Mais je croyais que c'était la chaleur ça.
[02:27:09] Speaker C: Bon sinon voilà, on va passer à autre chose. Après ce petit moment de poésie. Dans l'ensemble des musiques qu'on a pu passer aujourd'hui dans cette émission, je me suis dit Il me manque un truc, j'avais envie d'un truc un peu plus... Un peu plus poétique. De toute façon, ça c'est pas très compliqué que ce soit plus poétique que...
[02:27:28] Speaker E: Darling faisons l'amour ce soir.
[02:27:29] Speaker B: Ça m'a été sûr.
[02:27:30] Speaker C: Je me suis dit, putain, il faudrait que je trouve une chanson des Poetic Lovers. Mais voilà. Je ne sais plus où je vais en venir. Bref, je voulais quelque chose de plus léger, de plus amusant, qui me rappelle un peu l'adolescence. Et le pop-punk, ça fait quand même partie de ces musiques... Ah génial !
[02:27:44] Speaker A: Tu vas passer du Saint-Panthéwan ?
[02:27:46] Speaker E: Ça me fait plaisir.
[02:27:46] Speaker A: Tu vas passer du Saint-Panthéwan ?
[02:27:48] Speaker C: Non, j'ai passé un groupe de filles qui font du pop-punk, ça s'appelle Meet Me at the Altar. Et je les trouve super choupies, c'est toujours très rigolo. La mode fluo, je trouve que c'est un peu dépassé, mais elles aiment beaucoup, c'est leur problème. C'est le pop-punk. C'est vrai, c'est pas faux.
Mais ça me donne toujours envie de sourire, de kiffer ma journée, d'être content. Je sais pas, c'est le genre de musique qui est feel good un petit peu, tu vois ce que je veux dire ?
[02:28:11] Speaker E: Ouais, c'est pour ça que j'aime pas moi. J'aime que la musique qui te donne envie de chialer.
[02:28:15] Speaker C: C'est vrai qu'il aime que les trucs super tristes.
[02:28:18] Speaker E: Pardon, ma vie est trop heureuse sinon. Comment je fais ? Je suis obligé d'écouter des trucs tristes.
[02:28:24] Speaker C: Ça me fait plaisir quand il dit que grâce à moi sa vie est trop heureuse.
[02:28:28] Speaker E: C'est vraiment mon rayon de soleil.
[02:28:29] Speaker C: J'ai l'impression qu'il y a un mensonge là-dedans.
[02:28:34] Speaker E: Mon petit soleil dans la nuit.
[02:28:36] Speaker C: Ah, j'ai eu peur. Bon voilà, en tout cas, Midmidi Altar, si vous avez l'occasion de les rencontrer, de les voir, c'est très très bien. Elles sont super cool.
[02:28:43] Speaker E: Et c'est facile parce qu'il suffit d'aller à l'altar, la scène, au Hellfest, et vous les retrouvez là-bas.
[02:28:49] Speaker C: Alors musicalement, ça ne correspond pas trop.
[02:28:51] Speaker E: C'est exactement la même chose. Apparemment, elles ouvrent pour Behemoth.
[02:28:57] Speaker C: Je sais pas quoi répondre, je suis pantois. Ça me fait bien résonner dans le néant. C'est le premier mot poli correct de cette émission.
[02:29:07] Speaker E: Premier mot, il y a autant de syllabes. Allez !
[02:29:10] Speaker C: C'est parti, allez, meet me at the altar. Et kiffez.
[02:29:13] Speaker E: Attends, je cherche l'animé. Vas-y, refais, refais.
[02:29:15] Speaker C: Hey, meet me at the altar. C'était là-bas.
[02:29:18] Speaker E: Et kiffez. Non, en face. Et tu dis, et kiffez à la fin.
[02:29:21] Speaker C: Et kiffez à la fin.
[02:29:22] Speaker E: Mais non !
[02:29:22] Speaker B: Putain !
[02:29:23] Speaker C: Ah pardon !
[02:29:24] Speaker E: Meet me at the altar et kiffez !
[02:29:25] Speaker C: Ah ouais ! Meet me at the altar et kiffez !
[02:29:29] Speaker B: C'est nul ! J'ai des yeux étranges dans ma tête qui ne s'éteignent pas Bla bla bla Bla bla bla bla J'ai des yeux étranges dans ma tête qui ne s'éteignent pas J'hate le drag, parce qu'il n'y a pas de fun Mais j'ai entendu dire que c'était une blague à quelqu'un Je ne peux pas me confier, c'est un peu effrayant Ne me reconnais pas C'est parti ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org This world, I am in Losing track of where the fun begins Cause I'm 12 stages straight from where you now decay And I read I won't change the way the angels sing I send my grace Not the time or the place And my conscience starts to scream I'm gonna find the love of a son On the run Always wasting precious minutes Dedicated and indebted to you Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Je n'ai jamais perdu et je ne ressens rien. J'ai regardé les lumières de la voie, j'ai regardé tout. Et je veux m'en aller. J'entends que mon cerveau commence à pleurer. Comment peut-elle vivre sa vie ? C'est parti pour le tournage !
[02:35:41] Speaker C: Koyo dans Bang Bang, voilà Koyo, K-O-Y-O, c'est pas compliqué à écrire au moins, c'est facile à retenir. Koyonokan ! Oui, par exemple.
[02:35:49] Speaker E: Koyonokan !
[02:35:50] Speaker C: Ah, tu crois que c'est des fans de Deftones ?
[02:35:53] Speaker E: Ah bien sûr, tout le monde est fan de Deftones.
[02:35:57] Speaker C: Live Spill, voilà, c'était le nom de la chanson. Toi tu les as vus en concert ?
[02:36:00] Speaker D: Ouais, ouais, bah en concert gratuit au Supersonic, j'y étais allé à la base pour voir Pensyslow et Fleshwater, et il y avait Koyo qui jouait juste après.
Et heureusement que tu m'as encouragé à rester pour les voir parce que ce n'était pas mon plan à la base. Et finalement, j'ai bien fait de me laisser tenter parce que c'était super bien.
Hyper bonne énergie.
[02:36:23] Speaker E: Après, ça dépend de ce que tu veux comme conseil. Si tout ce qui est lubrifiant, tout.
[02:36:26] Speaker C: Ça, il peut vachement... Ça, c'est faux. Je ne suis pas à l'ancienne, mais à old school. Ça fait plutôt sensation. Bref. Encore il y en avait.
[02:36:41] Speaker A: Ça le tire à balle réelle.
[02:36:43] Speaker C: Tiens d'ailleurs, en parlant d'expérience, je suis allé à un concert avec ma nièce, vendredi. Je suis allé voir Chase Atlantique.
[02:36:49] Speaker E: Ça commencerait bien quand il parle de.
[02:36:50] Speaker C: Sa nièce, après avoir parlé de... Oh la pauvre.
Et je l'aime de tout mon cœur, Mania, c'est vrai. Je lui ai dit... Bah déjà, tu.
[02:36:59] Speaker E: T'Es démené pour lui avoir une place...
[02:37:01] Speaker C: Ah bah tiens, Cheese Authentic, c'était chaud. C'est quoi Cheese Authentic ? C'est un groupe qui est quand même archi connu, que je ne connaissais absolument pas.
[02:37:08] Speaker E: Je pense qu'il faut avoir moins de 25 ans pour connaître.
[02:37:11] Speaker C: Je pense qu'en moins de 25 ans, être très réseau sociaux et tout ça... Mais genre, ça cartonne, mais c'est impensable comment ça cartonne. Et c'est un groupe qui m'intriguait parce qu'on a été contacté par le label qui a demandé à Natacha de presse, que tu connais très bien, Walter.
[02:37:26] Speaker A: Walter ! Il s'occupait de Yes !
[02:37:29] Speaker C: C'est bizarre j'ai l'impression que tous les...
[02:37:43] Speaker E: On retourne toujours un peu sur le même pattern pour dire que c'était bien.
[02:37:46] Speaker C: T'as jamais remarqué que quand je travaille mal c'était bizarre que les gens s'entendent bien avec moi ?
[02:37:49] Speaker A: Mais les gens sont sympas, on fait la fête et puis des apéros à la fin du travail.
[02:37:53] Speaker C: Et donc, ils ont fini par nous contacter pour nous dire on va essayer.
[02:37:56] Speaker E: De faire un truc.
[02:37:56] Speaker C: Bon, ça, c'est pas fait. Bon, ça, c'est autre chose. Mais ils m'ont filé des places. Ils nous ont filé des places à faire gagner. Je suis allé là-bas. Déjà, pour moi, Chase Atlantic, c'est un groupe. C'est un vrai groupe. Il y a deux gratteux, un bassiste, un batteur. Il y a un mec qui a un peu un clavier. C'est un vrai groupe. Il y a un chanteur. C'est du...
Pour moi c'est du hip-hop. Bon, quand j'ai dit ça aux nanas qui étaient, parce qu'il y a que des meufs par contre, 97% de fans féminines. Donc c'est comme Britney Spears, c'est-à-dire que quand ça commence le concert, ça crie, j'ai les oreilles qui ont éclaté.
Et j'ai quand même demandé à ma nièce si elle voulait que je reste là, si elle avait pas trompe de moi, parce que quand ils ont passé un petit extrait de Britney Spears, j'ai commencé un petit peu à me déhancher, à la dandiller.
[02:38:32] Speaker E: Tu pouvais pas « hips don't lie » ?
[02:38:34] Speaker C: Et puis je lui dis « je suis désolé, t'as peut-être honte », elle a fait « non, t'as déjà été pire ». Et je l'embrasse d'ailleurs.
[02:38:42] Speaker E: Si jeune et déjà si clairvoyant.
[02:38:43] Speaker A: C'est un peu rare un tonton, un.
[02:38:44] Speaker C: Tonton de gueule, c'est cool. Moi je suis le tonton du mariage, celui qui fait chier moi, par contre c'est pas le meilleur.
[02:38:49] Speaker A: En fait, on doit observer avec le tonton, Ton tonton gay et en même temps ton oncle raciste. Vous êtes un peu les deux.
[02:38:54] Speaker C: Non même pas. Ça va pas ou quoi ?
[02:38:56] Speaker E: Bah aussi l'autre fois quand tu disais vraiment faudrait qu'ils rentrent chez eux tout ça. Tu veux pas ?
[02:39:01] Speaker C: J'ai jamais dit ça. J'ai jamais dit ça. J'ai dit qu'ils viennent tous à la maison.
[02:39:05] Speaker E: Je transpire beaucoup quand même pour quelqu'un.
[02:39:07] Speaker C: Qui a pas dit ça.
[02:39:08] Speaker E: T'es gêné ?
[02:39:09] Speaker C: T'es con. Bref, Chase Atlantic, ils sont australiens et ils font une espèce de hip-hop mélangé avec du néo-métal, mélangé avec du R&B, mélangé avec de la salsa et mélangé avec du saxophone. C'est comme Kim Dracula. C'est un peu comme Kim Dracula, mais en beaucoup plus écoutable. Et quand t'écoutes, t'as vraiment l'impression d'avoir un tube radiophonique sur scène.
Je connais pas trop, donc je regardais, je me disais c'est intéressant. Tu faisais une étude quoi.
Et lorsque le guitariste était en train de faire un gros riff, Naskou a mis sa guitare de côté comme ça, puis il a pris le saxophone. Et puis toutes les meufs qui font avec leur voix pour faire le saxophone.
[02:39:51] Speaker E: Là, je suis méga vieux, je suis un ringard.
[02:39:53] Speaker C: J'ai envie de leur dire arrêtez tout.
Ne faites plus de musique s'il vous plaît les enfants.
[02:40:04] Speaker E: C'est pas une question d'être vieux ça.
Moi je me souviens la dernière fois que j'ai vu Queens of the Sun Edge sur Burn the Witch, la guitare a commencé et les gens étaient là...
[02:40:14] Speaker B: Oh c'est vrai ! Cauchemar !
[02:40:16] Speaker E: Cauchemar, allez tous crever !
[02:40:18] Speaker C: Non oui mais écoute-moi, c'est-à-dire que ça tu le connais déjà, c'est-à-dire que t'aimes pas ça, mais que les gens fassent le saxophone, c'est, on est arrivé à un level au-dessus, tu vois, on est passé... Il y a un cap !
[02:40:27] Speaker E: Si tu veux qu'il y ait du saxophone dans Queens of Stonehenge, ça arriverait aussi chez les trentenaires.
[02:40:30] Speaker C: Et ce qu'il faut... C'est pas faux ! Même ceux de plus vieux. Oui bah je vais essayer d'être gentil. Mais ce qui est marrant aussi, c'est que c'est le genre de groupe qui met une demi-heure de set de musique à eux avant leur concert. Et tous les nanas chantaient toutes les paroles en hurlant.
[02:40:51] Speaker E: C'est pour réviser avant le...
[02:40:54] Speaker C: J'ai demandé, j'ai dit au mec, c'est normal ? Il fait oui, oui, c'est parce que là, de toute façon, ça marche. Ça marche. On peut réduire les sets. Et en fait, les fans demandent s'il y a plus de chansons diffusées peut-être. Et après, le concert qui soit plus court pour qu'elles puissent ne pas trop souffrir. Parce que ça tombe dans les pommes. Le mec, il a enlevé le T-shirt. C'était la folie.
Mais il est à la folie. C'est César que je suis désolé. Effectivement, je ne sais pas quel est la moyenne d'âge. Je n'ai pas fait une étude vraiment approfondie. J'ai resté en surface. Mais ça a hurlé. Et le mec n'est même pas bien gaulé. César, c'est Chester Bennington qui venait de boire 850 litres de bière. Et avec des tresses.
[02:41:33] Speaker B: Que devant.
[02:41:33] Speaker C: C'est un peu Cole Chamberlain aussi. Il n'y a pas de cheveux derrière. C'est peut-être possible.
Mais tu as dit Aurélie, pardon ?
[02:41:43] Speaker A: C'est bien, ça donne de l'espoir pour tous les physiques.
[02:41:46] Speaker C: Alors par contre, ils ne sont que de bons messages. C'était tout le long du truc. Alors dans leur chanson, ils disent, ouais, on s'est drogués, on boit de l'alcool, on pète la gueule, machin. Et puis le mec dit, alors c'est ma femme qui écrit les paroles. Moi, évidemment, on ne prend pas d'alcool, on ne boit pas, on ne se drogue pas.
[02:41:59] Speaker A: Genre c'est ma femme qui fait de la merde.
[02:42:00] Speaker C: Non, non ! Elle a écrit des scénarios et nous on les chante et on fait une espèce de mini-truc. Et il a dit, surtout, il ne faut jamais faire ça. Après, ils avaient un rainbow, ils ont fait un message sur les lesbiennes, d'abord sur les lesbiennes et après sur les gays. Après, ils ont fait une chanson homophobe.
[02:42:14] Speaker E: Parce qu'ils voulaient faire une chanson sur les gays. Et puis, il n'y avait personne qui était concerné dans la salle. Ils ne savaient pas que tu étais là.
[02:42:22] Speaker C: Moi, je faisais « Coucou !
[02:42:24] Speaker B: C'est Bobo le drapeau !
[02:42:26] Speaker C: Super homme ! Super bonhomme ! » Et du coup, ils ont enlevé la lumière qui était vers moi. Ah ouais, t'en étonnes pas. Non, mais j'ai trouvé, en fait, c'est impressionnant. C'est juste, quand t'as un mec qui est en train de faire de la grosse guitare ou un gros hip-hop, tu sais, où le mec fait... Comme ça, tu fais... Je m'y attendais pas.
Et puis d'un seul coup tout s'arrête, tu peux avoir du jazz d'un coup au milieu. Et là tu fais, ouais, bravo, bravo l'Australie.
On aime les Australiens.
[02:42:53] Speaker A: Bon alors après si vous voulez écouter des vrais groupes australiens vraiment chouettes, il y a Desert Disguise.
[02:42:58] Speaker C: Je pense que c'est un truc qui doit pas être si mauvais parce qu'avec 1,2 milliard de fans, je pense que c'est pas mal, non ?
[02:43:04] Speaker A: Je te rappelle que Coldplay remplissent trop de groupes à l'instant, donc c'est pas gaz de qualité.
[02:43:08] Speaker C: Ils sont pas si mauvais que ça Coldplay, on les aime pas.
On les aime plus.
[02:43:12] Speaker E: Le premier album, je le trouve incroyable.
[02:43:16] Speaker A: Moi y'a un truc avec WeFM où y'a trois groupes où ça peut plus.
[02:43:19] Speaker E: C'Est Coldplay, U2 et Noir Désir.
[02:43:26] Speaker A: Arrêtons de diffuser un mec qui a tué sa bonne femme en la tabassant, s'il vous plaît.
[02:43:31] Speaker E: Si on se limite à des choses comme ça aussi.
C'est des arguments quand même un peu.
[02:43:37] Speaker C: Légers, ça arrive quand même.
[02:43:40] Speaker E: Par contre ce qui est bizarre c'est que WeFM ne diffuse plus Lost Prophets.
Bon il y a quand même des bonnes chansons, on va pas se mentir.
[02:43:51] Speaker C: Alors, 36 Crazy Fists, on va parler un peu différemment.
[02:43:57] Speaker E: Bah quoi, ça va, ils ont tué personne.
[02:43:59] Speaker C: Ah non, ils ont rien fait. Bon, ça va, ils ont pas trop de casques.
[02:44:01] Speaker E: Ah non, bah non, ça suit sur l'Alaska. À part manger des saumons, ils font rien.
[02:44:08] Speaker D: Un jour, ils ont peut-être pété la gueule à un ours, on sait pas.
[02:44:11] Speaker A: Non, c'est un ours qui leur a pété la gueule.
[02:44:12] Speaker D: Ouais, ce serait plutôt ça.
[02:44:14] Speaker E: Le chanteur, c'est un peu un ours.
[02:44:16] Speaker D: Un petit peu, ouais. Il est oursin. Ouais, mais je préfère sa voix au granument des ours.
[02:44:19] Speaker E: Ah, moi aussi.
C'est plus du chien, d'ailleurs.
[02:44:24] Speaker D: Dans le règne animal, oui, il est plutôt herbivore du coup. Mais après, je sais que le grand trémolo dans la voix clean, etc. Ça peut éventuellement irriter, mais moi, c'est quelque chose qui m'a toujours plu en fait. Ça fait partie des trucs qui me plaisent beaucoup dans ce groupe. C'est la voix de Brock Lindo qui m'a toujours...
[02:44:44] Speaker B: Le petit trémolo dans la voix clean.
[02:44:46] Speaker C: Est-ce que c'est le même que celui quand t'éjacules et que t'as la jambe qui tombe un peu ? C'est bon, la chanson s'est enregistrée.
[02:44:58] Speaker A: Si certaines des personnes féminines sur Twitch ont déjà fait des pipes, est-ce qu'ils ont vraiment fait ça ?
[02:45:06] Speaker E: A moi, c'est pas possible. Pourquoi des filles et des hommes aussi ? Tu sais, ici, on est ouverts.
[02:45:16] Speaker A: On va transformer cette émission en émission de bits.
[02:45:18] Speaker E: Je peux te dire qu'ici, de 4 personnes qui sont ici, la personne qui a sucé le plus de bits, c'est un homme.
[02:45:26] Speaker A: Autant dire qu'il en a des roulets du câble.
[02:45:30] Speaker C: J'en suis assez fier.
[02:45:31] Speaker B: Mais je ne sais même pas qui c'est.
[02:45:32] Speaker A: Entre Bastille et le 9-3.
[02:45:34] Speaker C: Oh, j'ai fait le 9-4, j'ai fait tout, j'ai même l'étranger.
[02:45:38] Speaker E: Tu l'as fait toute la Champions League, 7-5, 7-6.
[02:45:40] Speaker C: Tu te rappelles que j'ai mis le monde avec des punaises.
[02:45:42] Speaker A: Je me souviens, à l'époque où tu allais dans certains pays, je te demandais d'envoyer des messages, tellement j'avais peur.
[02:45:49] Speaker C: C'est pas con, ça a raconté des trucs. Ouais, on leur fait des gros bisous.
[02:45:53] Speaker E: Attention, il faut éviter de donner des coups de pied dans le micro.
[02:45:55] Speaker C: C'est parce qu'elle a les chaussures du cow-boy, là.
[02:45:59] Speaker A: Mais non !
[02:45:59] Speaker C: Attention, oui. Oh putain Aurélie ! Oh le replay en même temps ! Mais c'est pour ça qu'on aime !
[02:46:07] Speaker B: Tu mettrais un petit chat, tu ferais...
[02:46:10] Speaker E: T'entends Marcel, voilà ce qu'il faut que tu fasses.
[02:46:12] Speaker C: C'est Marcel qui va être content dedans.
[02:46:14] Speaker A: Bisous Marcel !
[02:46:15] Speaker C: Mais il est tout mignon Marcel.
Il est longroi et pourtant il est tout mignon.
[02:46:19] Speaker B: Oh !
[02:46:19] Speaker A: Qu'est-ce que t'as dit à Mathieu ?
[02:46:22] Speaker C: Excusez-moi, donc l'Alaska, qui est déneigée devant chez eux.
[02:46:28] Speaker E: Il neige un peu là-bas, non ?
[02:46:29] Speaker D: Oui, il neige un peu, et avec le froid, tu sais, t'as la voix qui tremble.
[02:46:33] Speaker E: Elle grelotte en fait.
[02:46:35] Speaker D: Oui, mais en plus...
[02:46:39] Speaker C: L'émission est bientôt terminée, donnez encore un peu s'il vous plaît. C'est la grande fatigue.
[02:46:43] Speaker E: Tu te souviens Pierre quand tu m'as demandé l'heure, tu fais c'est bien on est dans les timings. Non ça y est. Allez, on se coupe pub, premier on se tait.
[02:46:51] Speaker D: Ok, donc je vais essayer de faire concis. 36 Squaziface donc...
[02:46:56] Speaker E: Tiens concis ouais. Voilà, désolé.
[02:46:59] Speaker D: 36 Squaziface donc c'était un des... Oui, bah voilà.
[02:47:04] Speaker C: C'est quoi, c'est les fesses folles ? Les 36 crazy fesses ? Putain, les mecs, crazy fesses, celle-là, elle est...
[02:47:14] Speaker D: Je sens que ça va finir en reel sur Instagram.
[02:47:16] Speaker C: Ceci dit, ça n'en perd !
[02:47:20] Speaker D: Je sens que ça va finir en short en reel, ce truc.
[02:47:22] Speaker C: Ça fait combien de troufions ?
[02:47:25] Speaker D: 18, j'en sais rien, mais...
[02:47:27] Speaker E: Vous avez.
[02:47:28] Speaker C: Vu comme je sais calculer vite ?
[02:47:30] Speaker D: Et encore, je m'étonne qu'ils aient pas fait de jeu de mots sur le nom du groupe depuis que je suis lancé, parce que c'était facile.
[02:47:36] Speaker C: Bon, on a parlé de Yann Moitis tout à l'heure, donc les crazy fists, on va peut-être éviter.
Donc, mais eux sont très gentils, non mais les Crazy Fish c'est vraiment des gentils, c'est des tout mignons.
[02:47:49] Speaker E: Ouais.
[02:47:50] Speaker C: Voilà, je continue, je me tais.
[02:47:51] Speaker D: Donc, avant c'était, au début des années 2000, il faisait partie de l'écurie Roadrunner, mais ça fait partie un peu de ceux qui ont peut-être pas été les plus retenus dans l'histoire en fait, sauf que...
[02:48:02] Speaker C: Alors je suis désolé, quand tu mixes en soirée métal, pas une soirée rock indie évidemment, bon là ça ne parle pas, mais tout le monde connaît 36 Crazy Fist.
[02:48:12] Speaker D: Ah bon bah bonne surprise alors, parce que je pensais en tout cas qu'en Europe ça n'avait pas vraiment bien marché en fait.
[02:48:20] Speaker E: Je pense que ça a marché, le premier album a marché, le deuxième un peu et puis après...
[02:48:25] Speaker C: Ils n'ont pas changé de chanteur ?
[02:48:28] Speaker D: Non, non, ça a toujours été le même. Ça a toujours été le même. Mais du coup, groupe de Metalcore un peu émo, un peu New Metal sur les bords, etc. que moi, j'aime beaucoup. J'ai écouté essentiellement trois albums. dont celui dont j'ai extrait un morceau, donc on va passer là. Le morceau que j'ai choisi c'est Bloodwork, qui est peut-être leur morceau le plus connu, qui était un single de leur album A Snow-Capped Romance, qui est sorti il y a 20 ans d'ailleurs, sorti en 2003.
[02:48:53] Speaker C: Ça fait mal !
[02:49:01] Speaker D: C'est très mal. Donc il y a un album que moi j'aime beaucoup qui charcle pas mal, qui a beaucoup de passages... Qui charcle pas mal ? Qui charcle pas mal.
[02:49:09] Speaker C: Bah oui.
[02:49:10] Speaker A: Ça veut dire quoi ?
[02:49:10] Speaker C: Qui frappe.
[02:49:11] Speaker D: Qui frappe, qui vénère pas mal.
[02:49:13] Speaker B: Carache !
[02:49:13] Speaker C: De la musique, d'accord.
[02:49:15] Speaker E: L'expression de Jeanne, la charque, d'accord.
[02:49:18] Speaker A: Charcle.
[02:49:19] Speaker D: Charcle.
[02:49:19] Speaker A: Charcle.
[02:49:20] Speaker D: Je charcle, tu charcles, il charcle.
[02:49:22] Speaker C: La prononciation est compliquée. Le charcle ! Le charcle ! Bon, on va y arriver.
[02:49:30] Speaker D: Donc un album qui est entre agressivité et beaucoup d'émotion, le côté EO dont j'ai déjà parlé, avec voix scream, voix clean, qui est toujours bien gérée sur les deux tableaux. Et en fait, ça fait partie de ces albums que j'ai pas mal écouté à une époque. J'ai écouté essentiellement trois albums, donc Snowcapped Romance et puis les deux suivants, qui sont Wraith Inside The Flames, peut-être plus accessible, celui-là un petit peu plus propre sur lui, et le suivant, qui s'appelait « The Tide and Its Takers », qui lui est un peu plus sombre, qui est un petit peu plus ténébreux, avec la voix qui descend un peu dans le mix, mais qui marchait toujours très bien, que moi je trouve très beau. Et après, j'ai un petit peu lâché, donc je sais pas trop exactement ce qu'ils ont fait depuis, je sais que leur dernier album doit dater de 2017, donc ils ont pas sorti de trucs vraiment très récents.
[02:50:18] Speaker E: Je crois qu'il y a eu une grande pause, ils n'ont rien fait pendant longtemps et je crois qu'ils sont juste revenus pour faire le... Moi je viens.
[02:50:25] Speaker C: De retrouver le nom du morceau que j'aime bien, « At the end of August ».
[02:50:30] Speaker E: C'est sur le même album.
[02:50:32] Speaker D: C'est sur le même album en fait, c'était un des singles toujours de Snowcapped Romance et Bloodwork c'était un autre single.
J'ai hésité entre les deux. J'ai vraiment hésité parce que At the End of August, je l'aime beaucoup. Mais non, c'est surtout qu'on a une émission vidéo et en fait, le clip de Bloodwork est beaucoup plus rigolo, je trouve.
[02:50:51] Speaker E: Alors, il y a des petites... Alors moi, du coup, j'avais écouté avec l'album d'avant, celui où il y a Sleet Twist Theory et tout ça, qui est un peu moins bien produit. Et alors, le truc qui est drôle, c'est qu'il y avait eu un leak énorme de l'album A Snow-Capped Romance avec des versions différentes. C'est-à-dire qu'il y avait des versions leakées où en fait, ils gueulaient du début à la fin. Et en fait, sur la version finale sur album, il y avait des voix chantées et tout ça. Donc, on imagine bien que c'est le label qui avait... Enfin, je ne sais pas qui avait demandé quoi, mais bon, il y avait eu un retour et ça a été refait. Et du coup, c'était vraiment les mêmes morceaux, sauf qu'il y a des passages vénères qui étaient devenus des passages chantés et tout ça. Et quand c'est sorti, en fait, quand l'album est sorti, les gens écoutaient déjà depuis deux mois la version leakée. Et du coup, quand ils ont entendu le truc, ils ont dit « Ah putain, mais c'est nul, c'était mieux quand ils gueulaient ».
[02:51:44] Speaker D: Et du coup, ils avaient dit «.
[02:51:45] Speaker E: Ouais, bah c'est ça ». Sur Myspace, à l'époque, ça avait fait tout en barouf. Et les gens se plaignaient et le groupe avait dit « Ah bah désolé, on fait des efforts, on essaie de chanter, vous pourriez au moins respecter ça ».
[02:51:59] Speaker C: Et il faudrait que je les retrouve.
[02:52:00] Speaker E: Parce que je les ai, ces versions.
[02:52:02] Speaker D: Mais ouais, moi je serais très intéressé parce que je les ai jamais entendus.
Je vais essayer de te les retrouver. Et encore, pour un leak, c'était des vraies chansons de 36 Crucifix, parce que.
[02:52:12] Speaker E: J'Avais déjà vécu d'autres...
[02:52:13] Speaker C: C'était pas le Tool outtake.
[02:52:15] Speaker E: Une fois, j'ai eu une chanson de Tool qui était sortie du studio, c'était un mec qui disait « Poissirène ! Poissirène !
[02:52:24] Speaker C: Je suis là pour ton bonheur, Poissirène ! » C'était moi.
[02:52:29] Speaker D: Je me souviens d'une époque où, quand on attendait le Linkin Park, la Minutes to Midnight, quand il y avait eu des premiers leaks sur les réseaux sociaux, pas à l'époque, mais sur les casalites.
[02:52:43] Speaker E: Sur les réseaux peer-to-peer, c'était pas du.
[02:52:45] Speaker D: Tout des morceaux de Linkin Park. En fait, il y avait des gens qui avaient vu que du feu. Par exemple, What I've Done, c'était un morceau qui était d'un autre groupe, tout simplement.
[02:52:53] Speaker E: Et les gens, ils l'ont cru. C'est bien triste.
[02:52:58] Speaker C: Mais c'est comme ça. Bon on va regarder ce petit clip parce que du coup moi je le connais pas le clip. Je l'ai jamais vu de ma vie. Donc voilà cette chanson je l'aime beaucoup.
[02:53:03] Speaker D: Et plutôt marrant.
[02:53:04] Speaker C: Mais on va rigoler donc avec 36 Crazy Fesses et Blood Walk dans Bang Bang.
[02:53:36] Speaker B: C'est votre personnage cassé ! Le seul restant de l'Avenir ! Les ciseaux l'ont coupé de l'écran ! L'exemple ! Continuez à lire, sans retracer les étapes ! Touchez-moi ! L'hémorragie a été sauvée ! A été sauvée ! Et c'est pour ça qu'il s'agit de l'Avenir ! De l'Avenir ! Here is your waking smile That you seem to need The safe and the touch That's beyond the wheel Right where you placed it, the night revolves Agents in the makeshift You're right where you say that you are Right where you are Now swallow these capsules You'll be getting back C'est parti ! Tu n'es qu'un vagabond et n'as pas l'ordre d'attendre Sous-titrage Société Radio-Canada C'est parti !
[02:59:24] Speaker E: Ça suffit Pierre !
[02:59:25] Speaker C: Arrête de me provoquer ! Arrête de me provoquer ! Arrête de me provoquer !
[02:59:32] Speaker E: Provoker !
[02:59:33] Speaker C: Oui j'ai compris, j'allais dire.
[02:59:34] Speaker E: Bah enchaîne !
[02:59:35] Speaker C: Provoker c'est ce qu'on vient d'écouter à l'instant et qu'on vient de regarder dans Bang Bang, alors oui ! Je sais, on l'a si bien dit. Attends, mais c'est vachement poppy quand même. Attention.
[02:59:44] Speaker E: Non, poppy c'est une chanteuse.
[02:59:47] Speaker C: Mais Provoker avec un K, déjà, c'est très important pour moi. Et un seul, attention. Et un seul, tout à fait. C'est déjà bien suffisant quand tu as un K. Qu'est-ce que j'allais dire Provoker ? En fait, c'est du post-punk. Et vous savez que je suis fan de post-punk.
[03:00:01] Speaker E: Ah bon ?
[03:00:02] Speaker C: Et ce n'est pas moi qui ai...
[03:00:04] Speaker A: C'est un post-punk très poppy quand même.
[03:00:06] Speaker C: T'as pas écouté le reste.
[03:00:07] Speaker E: Ah ouais, parce que je peux te dire que...
[03:00:11] Speaker C: Le reste, carrément, je pense que même The Cure peut les cacher.
Et ce n'est pas moi qui ai découvert ce groupe. Ce n'est pas moi, c'est cette personne-là.
[03:00:22] Speaker E: Tu sais, moi, je suis prêt à tout pour te faire plaisir. Et m'écouter des trucs que je déteste. Après, tu remarqueras que je l'ai mis. Maintenant, quand je repère des titres, je les mets et je lance le truc et je regarde Pierre. Et Pierre, il a fait...
[03:00:36] Speaker C: Il s'est ouvert tel une fleur. Sur le schmuel je sais que normalement il y a Petit Punk qui vient de réagir d'ailleurs. Va écouter, tu vas voir.
[03:00:49] Speaker E: C'est pas le titre le plus... Non.
[03:00:51] Speaker C: Celui-Là ne représente pas beaucoup.
[03:00:52] Speaker E: Par contre il y a un EP qui est sorti avec deux titres, où c'est vraiment...
[03:00:56] Speaker C: Attention les stations.
[03:00:57] Speaker E: Ah bah alors là, plus Post-Punk.
[03:00:59] Speaker C: Ah oui on peut pas.
[03:01:00] Speaker D: C'est compliqué.
[03:01:00] Speaker C: Il dit ça du Post-Punk, tu vois il sait ça.
Non mais parce que ce titre est...
[03:01:05] Speaker E: En fait, la prod est post-punk, mais le morceau est assez...
[03:01:08] Speaker C: C'est très pop, oui, effectivement, c'est beaucoup plus ouvert. Mais c'est des Californiens, donc il faut quand même qu'ils fassent un petit peu...
[03:01:13] Speaker D: La Californie, quoi.
[03:01:14] Speaker C: Parce que bon, post-punk, Californie... Parce qu'ils.
[03:01:15] Speaker E: Ont quand même du soleil chez eux.
[03:01:17] Speaker C: C'est ça. C'est comme le fameux grunge ensoleillé de Marseille.
En tout cas, voilà, j'avais juste envie d'en passer, c'est tout, voilà, j'avais envie de terminer là-dessus. J'aimerais juste vous remercier d'avoir été nombreux et nombreux à avoir regardé ce soir, bien sûr, ce live Twitch. C'est très, très gentil. Vous savez que plus vous serez nombreux, plus ça nous donnera envie de continuer. Je sais que je suis en train de faire un discours qui est chiant, mais je veux le faire.
[03:01:37] Speaker E: Non, mais après, tu sais, c'est pas plus chiant que le reste de ce que tu dis.
[03:01:44] Speaker B: Tac, tac, tac !
[03:01:46] Speaker C: Dans cette jambe ! Voilà, j'ai vu qu'il y a Lapin Calypse qui s'est abonné, merci à toi Lapin pour cet abonnement, parce que ça nous aide aussi grandement, bien sûr, tous ces abonnements que vous pouvez faire sur notre Twitch. Et n'hésitez pas à aller liker aussi notre page YouTube, arrobase bangbang.restless.
[03:02:03] Speaker E: D'ailleurs, ce serait très bien qu'on arrive à passer les mille... 4000 ?
[03:02:08] Speaker C: 1000.
[03:02:08] Speaker E: 1000 abonnés, parce qu'à partir de 1000 abonnés, on peut commencer à débloquer des trucs un peu sur le YouTube. Donc n'hésitez pas à envoyer les gens suivre.
[03:02:17] Speaker C: Ça peut être un challenge. En fait le challenge serait avant la fin de l'année, avant le 1er janvier, il faut qu'on soit 1000 sur Twitch et 1000 sur cette page YouTube. Je pense que c'est jouable.
[03:02:25] Speaker A: Le millième abonné, il aura droit de gagner ma tasse Restez dans laquelle j'ai bu de la bière. Elle ne sera pas lavée.
[03:02:31] Speaker C: 700 bières.
[03:02:33] Speaker D: Je peux proposer la même mais ce sera certainement un peu moins intéressant.
[03:02:48] Speaker A: Attends, ils sont ratés le logo, il.
[03:02:51] Speaker C: N'Est pas la bonne couleur. Celui-là, il n'est pas raté. Celui-là, il n'a même pas de couleur. Merci beaucoup et n'hésitez pas, on parle autour de vous si vous avez passé un bon moment. Vous pouvez aussi faire des critiques négatives, on est preneurs.
[03:03:02] Speaker E: On ne vous écoutera pas, mais faites-les.
[03:03:05] Speaker C: Sinon, vous allez sur notre Facebook, il y a le lien de notre Discord pour venir discuter avec nous. Bien sûr, on est là tout le temps, on répond tout le temps.
[03:03:11] Speaker E: Et contrairement à son nom, sur le Discord, on s'entend bien.
[03:03:15] Speaker C: C'est vrai.
C'est vrai, mais vous pouvez venir foutre la merde, moi je m'en fous.
[03:03:19] Speaker E: Foutre le dawa comme disent les jeunes.
[03:03:21] Speaker C: On est là pour discuter, vous avez le droit de ne pas être d'accord.
[03:03:23] Speaker E: Le zbeul !
[03:03:24] Speaker B: Le bronx !
[03:03:25] Speaker C: Une petite liberté d'expression, mais quand même dans le respect. Pas nous, mais au moins des autres gens qui sont dessus. Merci beaucoup Enjoy The Noise !
[03:03:33] Speaker D: Et de rien.
[03:03:34] Speaker C: Voilà, Chris, enjoy the noise. Bon, on va t'appeler enjoy the noise.
[03:03:36] Speaker D: Chris, enjoy the noise, le bub.
[03:03:39] Speaker E: Qu'est-ce que t'avais dit tout à l'heure ? C'était ?
[03:03:42] Speaker D: La chansonnette.
[03:03:43] Speaker A: S'enjailler la chansonnette.
[03:03:45] Speaker D: S'enjailler la chansonnette, voilà. Faut vraiment que je le retienne.
[03:03:48] Speaker C: On te retrouve en live le vendredi ?
[03:03:50] Speaker D: J'ai pas encore repris, mais ça reprendra bientôt.
La petite session EnjoyFM le vendredi sur Twitch.
[03:03:57] Speaker C: Il y a une chaîne Twitch aussi.
[03:03:59] Speaker E: Nous on a arrêté le vendredi pour te laisser la place parce qu'on a.
[03:04:02] Speaker D: Vu qu'on faisait trop de concurrence.
[03:04:03] Speaker E: Qu'est-ce que c'est sport, merci beaucoup. On a vu que tes audiences baissaient depuis qu'on était là.
[03:04:09] Speaker C: Non c'est faux, c'est complètement faux.
[03:04:12] Speaker D: Mais cela dit, c'est grâce au fait qu'on livait chacun le vendredi qu'on a fini par rentrer en contact.
[03:04:18] Speaker E: Exactement.
[03:04:19] Speaker C: C'est ça aussi la magie de Twitch.
[03:04:21] Speaker E: Et quelle rencontre ?
[03:04:23] Speaker C: On l'adore, il est beau gosse en plus. Je sais qu'il est maqué donc je n'attaque pas.
[03:04:28] Speaker E: Il est maqué, l'élève MGA.
[03:04:31] Speaker C: Ça m'intéresse.
Bon, merci beaucoup aussi Aurélie d'être venue. Avec grand plaisir. De nous avoir proposé des groupes aussi différents et variés. Et d'ailleurs, on va terminer avec un groupe que tu as choisi encore. Mais juste avant, je tenais à remercier Ben parce que c'est quand même grâce à lui qu'il y a toute la technique, parce que ce n'est clairement pas moi. Ben l'architecte. Si, si. Attends, première de rentrée.
[03:04:59] Speaker E: On n'a pas eu trop de problèmes.
[03:05:01] Speaker C: Franchement, il n'y a pas eu vraiment de problèmes.
[03:05:02] Speaker E: Non, non.
2-3 enchaînements un peu chelou mais bon... De toute façon sur le replay ça se verra pas.
[03:05:10] Speaker D: Magie du montage.
[03:05:10] Speaker C: Non mais c'est du direct après, on peut pas non plus être parfait.
[03:05:13] Speaker E: Voilà, et puis c'est pas comme si c'était notre métier.
[03:05:15] Speaker C: Non.
Moi c'est un peu mon métier. En tout cas merci pour tout.
[03:05:18] Speaker E: De rien Pierre, tout le plaisir est pour moi.
[03:05:20] Speaker C: Je suis très content qu'on soit revenu dans ce live.
[03:05:23] Speaker E: Merci.
[03:05:24] Speaker C: J'ai passé un bon moment.
[03:05:25] Speaker E: Merci pour cette belle programmation Pierre.
[03:05:28] Speaker C: J'ai essayé de travailler un peu.
[03:05:29] Speaker E: Je vois, je vois l'intelligence.
[03:05:31] Speaker C: On a l'intention, c'était que la première.
[03:05:33] Speaker E: J'ai remarqué que les quatre premières, puis généralement la cinquième.
[03:05:39] Speaker C: L'émission de vendredi, les nouveautés rock, est prête. C'est juste que je ne l'ai pas enregistrée parce que ce n'est pas possible.
[03:05:45] Speaker E: L'avantage, c'est que la cinquième, je ne serai pas là.
[03:05:48] Speaker C: Oui, on verra. Il va falloir que je m'entraîne. J'essaie de faire des choses.
Je pense que je peux.
[03:05:58] Speaker E: J'ai réfléchi, peut-être que c'est quelqu'un d'autre qu'il faut que je forme. On va en parler après.
[03:06:05] Speaker C: Bravo, merci de me faire confiance. Oui, bien sûr. 20 ans, je sais. J'ai réussi à faire l'autre truc, même si c'est beaucoup plus simple.
Moi aussi.
[03:06:19] Speaker E: Non mais là le problème c'est de faire les deux.
[03:06:20] Speaker C: Bon bref.
[03:06:21] Speaker E: Je crois qu'Aurélie il faut qu'elle nous parle d'un artiste en plus que j'adore.
[03:06:24] Speaker C: J'ai été super content lorsque j'ai vu que tu avais proposé ça parce que évidemment quand ce morceau est sorti je l'ai rentré immédiatement et tout. J'adore. L'univers j'adore. Finalement c'est vrai ça m'a fait beaucoup penser à toi.
[03:06:36] Speaker A: Mais en fait t'es très féministe Pierre en fait.
[03:06:39] Speaker C: Bah non je suis ni féministe ni masculiniste de droite comme on a déjà dit d'ailleurs. On va en parler à la même occasion.
[03:06:44] Speaker E: Par contre t'es sacrément pédé.
[03:06:45] Speaker C: Alors ça par contre c'est vrai.
[03:06:46] Speaker A: Non il est queer. Queer, s'il te plaît.
[03:07:06] Speaker C: Décidément, on m'a déjà dit de retravailler mon périnée, mais bon. Donc, on va terminer avec Lamborghini Girls. Je sais que les John Lullo adorent aussi.
[03:07:14] Speaker A: Du coup, Lamborghini Girls, encore une fois un groupe de Londres, un groupe anglais, que j'ai découvert pendant mes vacances. Et j'avoue que j'avais pris grand plaisir à découvrir leur album en Grèce, sur les plages. J'avais ma petite dose de féminisme.
Un pur groupe qui est issu de toute cette culture Riot Grrrls années 90. Ah non mais ça reprend vraiment toute cette idéologie de Kletty Nana, de Bikini Kill, vraiment tout ce Riot Grrrls années 90 de Seattle et compagnie en intégrant tout ce ce féminisme d'aujourd'hui et surtout moi je me souviens le premier morceau que j'avais découvert de second place c'était « Boys in a band ». Bon c'est pas celui-là que je vais vous passer parce que malheureusement elles n'ont pas fait le clip sur ce titre mais qui parle de ces hommes artistes qui ont des casseroles au cul de viol, d'agression sexuelle mais on va dire « Séparer l'homme de l'artiste ». Elle parle vraiment de sujets d'actualité. Et c'est vrai que depuis le mouvement hashtag MeToo, même dans la musique, on a eu le mouvement aussi MeToo qui s'est pas mal libéré par rapport à tout ce sexisme qu'on peut vivre. Moi pour vous dire, je ne m'en cache pas, même en bossant à la radio, j'ai été victime de sexisme. Et même encore aujourd'hui, il y a du sexisme en fait dans la radio.
dans les médias en règle générale et ça fait partie de ces groupes qui en parlent dans leur musique et je trouve ça hyper important et c'est ce que j'aime aussi dans la musique que j'écoute, c'est d'avoir des groupes qui vont en même temps faire de la musique hyper bien produite, vachement bien foutue, avec des super mélodies, des super textes et un message de ouf derrière.
On a besoin aujourd'hui de musiciennes comme ça dans la scène et vraiment gros gros énorme coup de cœur pour Lambrini Girls et pour toutes ces femmes qui ouvrent leur gueule et qui le font en musique parce que c'est pas facile de le faire tous les jours.
[03:09:13] Speaker C: C'est une des règles qu'on s'est donnée aussi sur SLS, c'est d'essayer de multiplier la variété de gens qui font de la musique, que ce soit femmes, hommes, que ce soit avec une couleur de peau différente, peu importe, ça reste aussi de la musique. Nous on est plus dans le style c'est de la musique donc tout le monde a le droit de la faire et c'est bien de présenter tous les quatre figures.
Et tous les messages sont bons à prendre quand ils font évoluer la société. Mais en tout cas, voilà, moi j'aime beaucoup ce groupe là aussi. Et je suis persuadé que les gens de Lolo, ils l'adorent. Je sais que je parle beaucoup de lui, mais c'est parce que c'est l'un de nos auditeurs qui nous raconte le plus ses goûts et qui nous partage le plus ses avis sur les groupes. D'ailleurs, il n'a pas sa langue dans la poche puisque des fois, il me dit « Ah non, ce que t'as mis, c'était vraiment de la merde ». Non mais c'est bien, j'aime bien justement, c'est ça qu'on veut, après on peut en discuter, parce que c'est pas dit méchamment. Bon en tout cas merci beaucoup encore une fois à toutes les personnes qui ont regardé, qui ont participé, qui ont laissé des messages, qui ont pris un abonnement ou qui sont juste là pour le fun, le plaisir, qui regardent même via notre site internet.
[03:10:10] Speaker E: Pour le plaisir.
[03:10:11] Speaker C: Ah bah, Herbert Leonard. Non il est pas mort pardon. Mais merci beaucoup Enjoy The Noise, merci Aurélie d'être venue, on s'est bien marré.
[03:10:20] Speaker A: Franchement, moi je reviens tous les dimanches si vous voulez. En tout cas ce matin j'ai plus Bring the Night, j'ai peu.
[03:10:26] Speaker B: Ah si je peux rappeler quand même.
[03:10:28] Speaker A: Que Bring the Night sur WFM reprend ce soir et c'est avec Marie et.
[03:10:31] Speaker C: Lucas, nouvelle équipe d'animateurs. Vous pouvez bifurquer sur WFM là maintenant.
[03:10:34] Speaker A: Vous pouvez y aller, ils sont là jusqu'à minuit, ils vont tout gérer.
[03:10:38] Speaker C: Très bien, merci, passez une bonne semaine, on se retrouve bien sûr sur SLS avec les nouveaux Théorox et l'émission tous les jours à 17h quand je veux bien. Et il y a aussi un débat qui arrive sur Aussies, enfin une discussion autour de sa carrière et de savoir qui il est. Est-ce que c'est chiant ou est-ce que.
[03:10:54] Speaker A: John Doyer est un con ?
[03:10:56] Speaker C: On parle de ça.
[03:10:58] Speaker A: Moi j'ai la réponse à une des deux questions.
[03:10:59] Speaker C: Allez vas-y, on va y répondre. En tout cas, merci. Passez une bonne soirée. C'est parti pour les Lamborghini Girls. Je crois que je dis Lamborghini, moi, n'importe quoi. J'ai envie d'avoir une voiture de sport.
[03:11:13] Speaker E: Avec la chanson ?
[03:11:15] Speaker C: Tu veux le nom de la chanson ? White Van.
[03:11:17] Speaker B: Bisous ! Au revoir ! C'est parti ! Roses are red, boy let the baby show me Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? J'ai atteint la courbe pour être défendue par un autre nul, ZERO ! C'est vrai, j'ai hâte de voir toi partir. Mais j'ai hâte de voir toi partir, mon amour !
[03:14:35] Speaker C: Pour le guillou.
[03:14:39] Speaker B: Pour le spectacle.
[03:14:41] Speaker C: Et voilà c'était mon souvenir.
[03:14:58] Speaker A: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon... N'hésitez pas à vous abonner !