#38 - Fiona alias SUPERTARTELETTE

Episode 38 March 08, 2024 03:38:42
#38 - Fiona alias SUPERTARTELETTE
Bang!Bang! RSTLSS
#38 - Fiona alias SUPERTARTELETTE

Mar 08 2024 | 03:38:42

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Show Notes

Dans cet épisode, nous recevons une personne que nous aimons énormément, qui fait un boulot incroyable sur ses réseaux : SUPERTARTELETTE ! Alors, nous l'appellerons par son prénom, Fiona, elle va nous raconter son parcours, de l'adolescence au fait de travailler avec des groupes Metal. 

Ben, Enjoy The Noise & Pierre passent des clips, donnent l’actualité et discutent de ce qui est diffusé avec les BANGERS (auditeurs, viewers de l’émission).

BANG! BANG!, c’est tous les dimanches à 19h. C’est l’émission Metal & alternative rock de RSTLSS en live TWITCH et en VOD sur notre chaine YouTube et en podcast sur toutes les plateformes.

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Retrouvez toutes les émissions en podcast sur. [00:00:03] Speaker B: Breastless.Com. [00:00:19] Speaker A: Bienvenue dans Bang Bang ! [00:00:20] Speaker C: Bang bang motherfuckers ! [00:00:24] Speaker A: Bienvenue les bangers, j'espère que vous allez bien, j'espère que vous avez passé un bon week-end, que la semaine s'annonce plutôt pas mal, même si vous allez aller travailler. Mais en attendant, on va se régaler, on va se défouler, on va monter le son et on va faire beaucoup beaucoup de bruit. N'hésitez pas chez vous à foutre ça à bloc, puisque c'est là qu'on savoure le métal, c'est en faisant du gros bruit. [00:00:41] Speaker D: Ouais, du bruit là ! Nous, le bruit, on aime ça ! [00:00:45] Speaker A: Le bon gros bruit là ! [00:00:47] Speaker D: C'est tout lien. [00:00:48] Speaker A: Qui fait vibrating ! [00:00:49] Speaker D: Ah ouais, bah ça, toi t'aimes bien quand ça vibrate. [00:00:51] Speaker A: Exactement. Ce soir, Ben, bonsoir déjà, pardon. [00:00:53] Speaker D: Bonsoir, Pierre. [00:00:54] Speaker A: Ce soir, nous avons une invitée. [00:00:57] Speaker C: Ah ! [00:00:57] Speaker A: Tu parles de Chris ? Non, non, ça c'est l'autre invité. [00:01:01] Speaker D: Ah d'accord. [00:01:02] Speaker A: Enfin, c'est le meuble. Mais non, ça c'est une vraie invitée, une invitée qui vient de loin en plus, elle vient du sud quasiment. Parce qu'elle vient de loin. [00:01:10] Speaker C: Je crois que pour te dire vrai. [00:01:11] Speaker A: C'Est Kelly, notre chroniqueuse sur le rock asiatique. [00:01:15] Speaker E: Je crois qu'il n'y a pas de son, les gens ne nous entendent pas. [00:01:17] Speaker D: Les gens ne nous entendent pas ? [00:01:18] Speaker A: Comment ça ? [00:01:19] Speaker D: Oh attention, qu'est-ce que c'est que cette histoire ? [00:01:21] Speaker A: Qu'est-ce que c'est que ça ? Ah ouais, dis donc ? Ah oui, ça ne module pas. [00:01:26] Speaker D: La seule fois où je ne l'ai pas vérifiée. Ah bah c'est bien ça, bravo. Hop, audio input. [00:01:35] Speaker A: Hey, hey, non. On peut faire des langages des signes en attendant. [00:01:43] Speaker D: Ah voilà, et là les gens nous entendent et nous remercient d'avoir vérifié. Vous inquiétez pas, on n'a rien dit d'important pour le moment. [00:01:49] Speaker A: Non, on vous a juste souhaité la bienvenue, on vous a juste dit qu'il fallait monter le son maximum, qu'il fallait foutre le bordel, que c'était ça le métal. [00:01:57] Speaker D: C'est parce que vous avez pas assez monté le son. [00:02:00] Speaker A: En tout cas, voilà, vous êtes nombreuses et nombreux. Merci encore une fois d'être là. Si vous aimez le métal, que vous connaissez des gens qui aiment le métal et l'alternative rock, eh bien il faut leur signaler que nous existons, tout simplement pour être de plus en plus nombreuses et nombreux. Parce que plus on sera, plus on sera forts pour vous offrir des choses extraordinaires. Et vous savez qu'on a des objectifs assez incroyables. Donc on compte sur vous, bien évidemment. [00:02:18] Speaker D: Vous voyez Elon Musk ? On ira plus loin. [00:02:21] Speaker A: Voilà. Peut-être pas dans les propos, mais au moins... [00:02:24] Speaker D: Ni dans le rachat de réseaux sociaux, tout ça. [00:02:26] Speaker A: Non plus. Bon, donc notre invitée ce soir, elle nous vient de loin, elle vient de Montpellier, quasiment chez moi. Parce qu'elle vient de loin ! Non, parce qu'ils n'avaient pas entendu, du coup j'ai refait. On l'appelle Super Tartelette, évidemment, parce que sur les réseaux c'est ça, mais on va l'appeler Fiona, salut ! [00:02:43] Speaker B: Salut, merci de m'avoir invitée, c'est super cool, je suis impressionnée d'être là. Je vais sortir le meilleur accent du. [00:02:50] Speaker A: Sud rien que pour vous. Quand je faisais de la radio à l'époque, on m'a dit « tu sais, si tu veux faire de la radio, c'est mort ». L'avantage des réseaux sociaux c'est que t'as le droit d'être toi vraiment totalement. [00:03:00] Speaker D: Oh putain merde, moi il est revenu du coup. [00:03:05] Speaker A: C'est presque pas mal. Y'a un petit peu mafieux. [00:03:10] Speaker B: On y croit ça va. [00:03:10] Speaker D: Parce que moi je suis vénère, je suis un mec vénère. [00:03:13] Speaker A: En tout cas, merci à toi de venir jusqu'à Paris pour répondre à nos questions. Merci aussi pour la pub que tu as faite pour nous. Tu as parlé de restless depuis déjà très longtemps, donc ça fait chaud au cœur. Donc merci infiniment. [00:03:23] Speaker D: Comme tu disais, c'est grâce à Kelly. [00:03:26] Speaker A: Qui fait une chronique qui s'appelle l'actualité rock d'Asie et qui nous a dit « Ah mais il faut l'inviter, elle est trop bien, je l'adore, génial ! » Elle m'a dit « Je peux. [00:03:32] Speaker B: Venir ce soir, je peux venir, je peux venir ? [00:03:34] Speaker A: » Je lui ai dit non. Je suis hyper distrait alors moi c'est fini. Déjà que c'est compliqué de me faire travailler donc voilà. On l'embrasse très fort. [00:03:44] Speaker D: De travailler c'est un bien grand mot. [00:03:48] Speaker A: Quel enculé. J'y crois pas. [00:03:51] Speaker D: Et pourtant l'enculé des deux c'est pas moi. [00:03:53] Speaker A: Moi je prends plaisir. Bon alors, elle n'est pas le sujet. Il y a bien sûr aussi Enjoy The Noise ce soir. Salut. [00:04:01] Speaker E: Toujours aussi désolant. [00:04:04] Speaker A: Je dis juste une vérité, c'est lui qui m'embarque dans des choses comme ça. D'ailleurs je tenais à signaler que quand j'ai mixé l'autre soir, jeudi soir, je ne me suis pas fait emmerder tout au début, sauf à un moment où on est venu me dire « tu traînes avec des violeurs, c'est nul et puis en plus l'autre il est con comme un balai ». Alors je tiens à dire à cette personne que Arthur est très gentil. Et que c'est quelqu'un qui est vraiment adorable et que je le félicite d'ailleurs pour les triomphes du métal, vous pouvez aller voir ça sur Youtube, parce que c'est vraiment très très fort de sa part de défendre autant de groupes français. Et Stéphane Beria, je l'aime beaucoup, c'est un ami, donc je vous emmerde. Mais bon voilà, je me fais toujours agresser quand je fais des mix, je me fais toujours agresser. On me traite d'homophobe parce que je passe pas les Spice Girls, bon c'est un mix métal donc a priori c'est pas censé être passé. Et Détachons-nous de ça. Bon on va pas revenir sur le détail, ce soir tu es là pour nous raconter un petit peu ton parcours, parce que je ne sais pas d'où tu viens, par contre je sais où t'es arrivée. Donc c'est assez intéressant parce que ça peut aussi donner des idées aux gens, ça peut leur donner envie de se battre, de continuer, de tenter des choses. [00:05:15] Speaker C: Parce qu'il y en a qui se. [00:05:15] Speaker A: Disent que ça sert à rien parce qu'ils ne peuvent pas. Mais je pense que tu es la preuve comme moi que les choses peuvent. [00:05:21] Speaker B: Se passer dans la vie. [00:05:23] Speaker A: Donc on va faire ça. Bon, je vais te poser des questions après, là c'est l'intro. Juste, on va parler aussi des concerts qui se sont passés, donc tu parleras sûrement de Massy Starré parce que tu. [00:05:32] Speaker D: Es dans le bikini. [00:05:33] Speaker A: Je vous parlerai tout simplement du concert de Slift qui était à La Cigale. Je me suis pris une bonne grosse claque, mais je vous en dis plus juste après. On va faire aussi une séquence news comme on est habitué maintenant de faire. [00:05:44] Speaker D: C'est une grande habitude qu'on a quand même depuis une semaine. [00:05:51] Speaker A: Ça devient déjà une habitude. On a peut-être un peu plus partagé que la dernière fois avec Enjoy The Noise ce qu'il y a de nouveauté. Et puis je vous ferai un agenda concert aussi parce qu'il y a quand même beaucoup beaucoup de choses et j'ai mélangé des petites surprises pour que tu puisses aussi commenter. N'hésite vraiment à aucun moment à me dire pourquoi tu parles de ça ou la critique est toujours bonne et c'est comme ça qu'on grandit en discutant aussi. [00:06:11] Speaker D: Tu peux l'insulter aussi si t'as pas envie d'argumenter. [00:06:14] Speaker B: Ça fait moyen de grandir mais ça fait de l'animation. [00:06:20] Speaker A: Bon en tout cas on n'est pas méchants, on est con mais pas méchants. J'ai voulu ouvrir cette émission avec Cloud Nothings qui reviennent avec un nouveau single, un nouveau clip. Je n'ai pas cherché plus d'infos juste parce que je l'ai regardé quelques fois et je me suis dit qu'est-ce que j'aime ce groupe. C'est vrai que ce n'est pas ultra métal, ce n'est pas ce qu'il y a de plus violent. [00:06:38] Speaker D: Ça commence bien. [00:06:39] Speaker A: Mais ça a amplement sa place dans cette émission et sur scène c'est très très bon. [00:06:44] Speaker D: Oui, parce qu'on aime bien aussi tout ce qui est un petit peu alternative rock. [00:06:47] Speaker A: Oui, on passe pas que des choses qui hurlent, on passe aussi des trucs un peu grunge, un peu émo, un peu... Il y a de tout dans cette émission. [00:06:54] Speaker D: Ouais, voilà. Metal à la française, quoi. [00:06:56] Speaker A: Enfin, ce qu'on... Non mais, ce qu'on met... [00:07:01] Speaker D: Alors, je vais m'expliquer tout de suite. Souvenez-vous, dans les années 90, tout ce qui est alternative rock en France... Fin. [00:07:11] Speaker A: Des années 90 ? [00:07:12] Speaker D: Non, dans les années 90. Non mais, à l'époque, tout ce qui était alternatif était métal en France. Parce que, je vous rappelle que chez nous, le rock, c'est Johnny. Donc c'est vrai que pour nous, dès que c'était un peu saturé et machin, c'était du métal. Franchement, quand on était ados, on disait métal, Nirvana c'est métal. [00:07:32] Speaker A: De toute façon, quand tu vas dans les maisons de disques, c'est toujours rangé dans métal. [00:07:35] Speaker D: Donc je dis à la française, pas dans le sens le métal français, mais dans le sens... [00:07:40] Speaker A: La logique française. Voilà. [00:07:41] Speaker D: L'appellation française. [00:07:43] Speaker A: Et là on va vexer plein de gens qui sont là « Attends mais moi j'ai jamais dit ça, moi je suis français ! [00:07:46] Speaker D: » Déjà, metal, y'a pas d'accent ! [00:07:48] Speaker B: Ah celle-là on me l'a faite, celle-là. [00:07:53] Speaker A: On me l'a faite ! On lui fait des bisous ! Non mais y'a aussi, je sais pas si t'as vu, je fais une digression encore une fois parce que je ne sais faire que ça. Y'a des gens sur le live de Fever 33 qui ont dit « T'as vu, le mec franchement il a aucune créativité, il copie le chanteur de Chaka Pong ». Il y en a un qui a dit c'est sûrement parce qu'il a trop regardé les émissions françaises. Alors il doit y avoir une ironie chez certains. L'autre peut-être... Ou alors c'est des gens qui cherchent vraiment à cracher sur la gueule de ChakaPonk, je sais pas trop. [00:08:24] Speaker D: Après chez ChakaPonk ils ont fait Taratata, alors que FeverFluFluFlu ils l'ont pas fait. [00:08:29] Speaker A: Oui c'est ça. On peut regarder que l'homme n'a plus. [00:08:34] Speaker D: De la jurisprudence naguique qui s'applique. [00:08:37] Speaker A: Tu veux qu'on parle de Nagui ? [00:08:38] Speaker C: Non. [00:08:39] Speaker A: Je pense qu'il y a plein de gens qui ne connaissent pas la vérité sur Nagui. Mais on ne va pas dire ça aujourd'hui. C'est comme Patrick Brouel. C'est pas bien. Allez, cloud nothings pour ouvrir donc ce bang bang. C'est comme ça tous les dimanches. Alors fliquez sur le petit cœur et rejoignez l'équipe. [00:10:12] Speaker C: Musique du générique. [00:11:51] Speaker B: Je ne peux pas. [00:11:52] Speaker C: M'En occuper si tu es là demain Maintenant le temps est venu mais tu n'as jamais compris But don't be surprised if you're the sound of a glorious disaster Two worlds have clearly won the lot for the cause But now you're getting closer You play with my fears But I'm watching your back, watching your back Don't pretend if you're not here I was just left in the back, left in the back So now I get it Mais tu me tiens fort, car ton objectif est de me défendre. Terrorise-moi, ça devrait être amusant. Je suis juste un autre enfant qui est rejeté. Tu joues avec mes peines. Je regarde ton dos, je regarde ton dos. Ne te prétends pas si tu n'es pas là. Maintenant tu perds la bataille, tu perds la bataille, donc maintenant tu le gagnes. C'est parti ! J'en ai marre ! [00:15:57] Speaker A: Bad Situation, donc le groupe de dealers de métal et ce groupe qu'on adore, je vous rappelle qu'ils sortent leur album le 29 mars et qu'ils sont le 30 mars à la boule noire, je crois qu'il reste encore 2-3 places, donc jetez-vous dessus parce qu'à mon avis ça sur scène ça va quand même envoyer du pâté et comme ils ont préparé un truc un peu spécial Ça vaut le coup, ça vaut le coup. Une première boule noire sold out en plus. Bon, pas mal. On les félicite et nous avez parlé de ce clip d'ailleurs dans l'émission que vous pouvez retrouver sur notre page YouTube. Vous tapez point d'exclamation bang et n'hésitez pas à la rejoindre pour regarder les anciens épisodes. Très intéressant tout ce qu'il nous avait raconté d'ailleurs sur la création de clips avec toi puisque tu fais des clips aussi. Tu sais comment ça fonctionne, moi je sais toujours pas. [00:16:37] Speaker D: Moi je savais pas, je savais pas. [00:16:39] Speaker A: Que je faisais des clips. Bon Fiona, tu fais des clips ? [00:16:42] Speaker B: Pas du tout, il vaut mieux pas. J'en ai fait, j'en ai fait. Je faisais de la batterie dans un groupe mais c'était il y a peut-être 20 ans en arrière donc voilà, ça date. Mais du coup ça m'a donné une première expérience déjà dans la musique, la batterie, un petit peu de basse et tout. [00:16:59] Speaker A: Ouais donc c'est pour ça que t'as la critique sur la musique un peu plus construite que par exemple moi qui n'ai jamais fait de musique. Parce que tu parles beaucoup des instrus, de là où c'est placé... [00:17:08] Speaker B: C'est ça, j'ai des termes peut-être un petit peu plus techniques et ça me donne de la crédibilité parce qu'en tant que femme des fois c'est compliqué ce genre de choses. [00:17:14] Speaker A: Ah ouais, tu sens qu'on te... [00:17:17] Speaker B: Énormément, ouais, énormément. Que ce soit sur mes connaissances, que ce soit pourquoi j'en suis arrivée là et comment surtout. [00:17:25] Speaker C: Ah ouais ? [00:17:25] Speaker B: Ouais, à ce point là, donc bon... [00:17:27] Speaker A: Est-ce que ça vient des vieux ou ça vient de tout le monde ? On peut imaginer que ça vient des vieux surtout. [00:17:34] Speaker B: Le problème c'est que ça vient de derrière un clavier donc du coup je sais pas. C'est jamais en vrai. [00:17:40] Speaker A: J'espère que c'est surtout les vieux parce que comme ça ils disparaîtront vite. Tu sais, la science fait plus vite que normalement les jeunes, enfin j'espère pour les jeunes. Je leur souhaite. Bon, tu nous viens de Montpellier, t'es toujours habité dans le sud ? [00:17:55] Speaker B: Ouais, toujours oui, toujours de la région. [00:17:57] Speaker A: Et alors, avant même de parler de ton parcours, le rock dans le sud c'est quand même plus compliqué. [00:18:02] Speaker B: C'est hyper compliqué, quoique maintenant, surtout au niveau de Toulouse, ça bouge énormément. Mais je sais qu'à l'époque justement, où je faisais de la musique, j'avais 18-20 ans, pour avoir des bons concerts c'était hyper compliqué. On devait vraiment faire beaucoup de routes, aller jusqu'à Lyon, pour faire sortir les gens, même encore maintenant, du côté de Nice, du côté de Montpellier, c'est... [00:18:23] Speaker A: C'est du taf, c'est du taf. Il y avait une petite salle avant dans Montpellier, je sais plus comment ça s'appelait. [00:18:28] Speaker B: Le Rockstor, ça existe toujours ? Oui, il y avait Mass, il y a quelques mois en arrière, qui ont joué. [00:18:34] Speaker A: J'avais vu Clawfinger là-bas, on était quatre. C'était cool du coup ! [00:18:39] Speaker D: Je croyais que c'était le plus gros concert d'Oclefinger en France. [00:18:41] Speaker A: C'est vrai que c'est pauvre, on aurait fait mieux. Malheureusement pour eux. Non, puis il y a le Zenith aussi. [00:18:47] Speaker B: Il y a le Zenith, après il y a le Secret Place aussi qui fait pas mal de petits concerts. C'est un peu rude. [00:18:51] Speaker A: C'est un peu à côté ça. [00:18:52] Speaker B: C'est juste à côté, c'est plus rude. Mais c'est pas mal aussi. C'est pas mal. [00:18:56] Speaker A: On aime bien les sales routes. Bon alors toi, à quel moment tu t'es mise à écouter du métal ? À quel moment la musique alternative, les musiques un peu plus amplifiées sont entrées dans ta vie ? Et pour quelle raison ? Comment ? [00:19:07] Speaker B: Alors le déclic, j'étais jeune, j'étais au collège et il y avait The Offspring qui avait sorti Why Don't You Get A Job ? Et je me suis dit c'est pas mal, c'est sympathique et tout. Et là mon oncle il me dit écoute ça, c'était Smash. The Offspring m'a dit ça c'est nul, écoute Smash. Il m'avait passé ça et X-Neon, The Hombre. Et là ça a été la découverte, je me suis dit ah ouais, ça existe, comme musique on peut faire ça. Et après j'avais mis ça un petit peu en pause jusqu'au lycée où là on m'a passé des CD, on m'a dit tiens vas-y écoute ça, il y avait Korn, il y avait Marilyn Manson et là ça a été vraiment le déclic ultime. [00:19:39] Speaker A: T'es là où t'es tombée, entre guillemets, amoureuse de cette musique ? [00:19:42] Speaker B: Ouais, vraiment. [00:19:43] Speaker A: Et entre deux, c'est juste que tu t'en foutais un petit peu ? C'est juste que c'était là comme ça, mais bon... En plus, tu consommais la musique comme ça ? [00:19:48] Speaker B: À ce moment-là, j'avais pas Internet, et j'avais des parents en mode... Pourvu que ma fille écoute pas du métal... [00:19:53] Speaker A: Elle avait bien... Mais vas-y ! [00:19:55] Speaker B: Vas-y, me filez ! T'écoutes, et tout. Du coup, j'écoutais un petit peu limite en cachette, et tout ça... Contrebande, quoi. Voilà, c'est ça. Mais voilà, j'avais pas Internet à ce moment-là. Dès que je regardais les magazines, je me disais non, non... Acheter autre chose... Non, voilà. [00:20:08] Speaker A: Ils avaient peur du métal ? Ils avaient peur de ce que ça pouvait impliquer comme bêtise, je dirais ? [00:20:12] Speaker B: Ouais, parce qu'à ce moment-là, je sais qu'il y avait eu un petit reportage sur Marilyn Manson, et je me rappelle vraiment du moment où ma mère m'avait dit « Pourvu que t'écoutes de tout, mais surtout pas Marilyn Manson ! » Et je crois que deux mois après, j'avais un poster immense de Manson dans ma chambre, à mode « Désolée. [00:20:27] Speaker A: Mais… » « Fallait pas venir, non ? [00:20:29] Speaker B: » Voilà, c'était Mechanical Animals, je me rappelle, et j'étais tombée amoureuse de cet album, vraiment. [00:20:35] Speaker A: Et avant justement que tu découvres avec Offspring, t'écoutais de la musique ? [00:20:41] Speaker B: J'écoutais un peu de rap, j'écoutais du rap US un petit peu, Eminem, Tupac, mais c'était pas des choses qui me transportaient en fait, j'écoutais vraiment... Juste parce. [00:20:49] Speaker D: Que c'était ce qui t'entourait ou ce que tes potes écoutaient ? [00:20:52] Speaker B: Ouais, c'est ça. Après s'il y avait 2-3 trucs, genre The Cranberries, je sais que mon père adorait ça, et pareil il passait Bon Jovi, Il y avait quand même un. [00:21:00] Speaker A: Tout petit peu de rock. [00:21:02] Speaker D: Il y a un truc chez les parents dans le sud avec Bon Jovi non ? [00:21:07] Speaker A: Ma mère elle est trop fan de Bon Jovi aussi. [00:21:10] Speaker B: C'est un premier pied là-dedans et du coup c'était voilà. [00:21:12] Speaker A: Oui d'accord donc il y avait quand même un petit peu de rock et tout. Les parents n'étaient pas contre non plus la guitare électrique. C'était FM on va dire. [00:21:19] Speaker B: C'est juste qu'ils voulaient pas qu'il y. [00:21:20] Speaker A: Ait des gens bizarroïdes qui se maquillent et puis qui font des saloperies quoi. [00:21:23] Speaker B: C'est ça. [00:21:23] Speaker A: Ce qui est compréhensible. On peut imaginer que ce soit normal qu'ils essaient de faire en sorte que leurs enfants ne fondent pas dans un Monde parallèle. Quand tu t'es mise à écouter ça justement, t'as créé ton crew, t'as trouvé des amis qui ont été plus importants ou ça a mis plus de temps ou t'as été isolée peut-être ? [00:21:39] Speaker B: Non, alors c'était au lycée et il y avait ce petit groupe de personnes avec les vestes un petit peu kaki et les « A » d'anarchistes écrits au stylobit derrière et tout. Et du coup on a appris à se connaître comme ça, genre arrête écoute ça et tout, voilà c'était aussi simple que ça. Du coup on était un petit groupe et on parlait de musique pas dans la pause lycée. [00:21:59] Speaker A: Alors j'espère qu'il y a la nécessité mais vous échangiez des bons plans genre attends tu connais ce groupe là. [00:22:05] Speaker B: Tiens t'es gravé un CD vas-y écoute, l'époque émule tout ça voilà. [00:22:08] Speaker A: Non parce que nous c'était les cassettes audio, on est tellement vieux. [00:22:12] Speaker B: Ça c'était au collège du coup, c'était juste avant. [00:22:14] Speaker D: Tu connais pas quelqu'un qui a un graveur de CD ? Ouais non c'est trop moderne. [00:22:19] Speaker B: J'allais exprès louer les CD à la médiathèque pour les repiquer. [00:22:25] Speaker E: Ça c'est vraiment un truc de daron, le mien faisait ça. [00:22:28] Speaker A: T'es sympa toi, ta première phrase de l'émission c'est juste pour nous casser les couilles. [00:22:34] Speaker B: C'est un truc de daron. [00:22:35] Speaker D: Surtout pour Poucaf son père. [00:22:40] Speaker A: C'est cool. En même temps, tout le monde n'a pas la chance d'avoir une médiathèque non plus. Moi, là où j'étais, c'était tellement un bled-pouille, il n'y avait vraiment pas de médiathèque. Aujourd'hui, maintenant, il y en a une. [00:22:48] Speaker D: Moi, là où j'étais, il y avait une médiathèque, mais il n'y avait pas de méta. [00:22:53] Speaker A: C'était pas trop le style. [00:22:54] Speaker D: Mente la jolie. [00:22:55] Speaker A: Il y avait peut-être un CD perdu quelque part caché. [00:22:58] Speaker D: Quelque part dans la poubelle. [00:23:01] Speaker A: Non mais c'est vrai que... Dans le sud, c'est ça qui est bizarre, c'est qu'il n'y a pas tant de... À l'époque, il n'y avait pas autant de rock partout. Par contre, il y avait quand même une culture qui est rock. Il y a des trucs cachés de grunge. Tu peux trouver des trucs rock partout. Dans l'école, j'allais au lycée, je ne dirais pas qu'il y a des millions de gens qui écoutent cette musique. Mais tu en as toujours... Enfin moi, à mon époque, je sais qu'il y avait toujours des crews rock. Et les autres, c'était même pas rap. Ils étaient juste... Ils n'en avaient rien à foutre de la musique. [00:23:24] Speaker D: Du côté Patrick Sébastien, peut-être. [00:23:26] Speaker A: Non plus. Ça, c'était plus du côté de mon père. Papa, je t'aime. C'est en balance sur les papas aujourd'hui. Si je vous disais tous les goûts musicaux de mon père. Des personnes qui t'ont accompagné sur la longueur, c'est des gens que t'as connus grâce à cette musique ? Parce qu'il y a des gens qui ont vraiment noué des liens hyper forts grâce à ce son. [00:23:52] Speaker D: Tu parles de nous, Pierre ? [00:23:54] Speaker A: Bah oui, en l'occurrence. [00:23:55] Speaker B: C'est beau. [00:23:56] Speaker A: C'est toi qui es dans la merde, c'est pas moi. [00:24:01] Speaker B: J'ai connu des amis qui m'ont fait connaître d'autres personnes et à partir de là en fait, toujours pendant l'époque lycée, et c'est comme ça que j'ai rencontré mon meilleur ami de l'époque en tout cas, qui m'a fait découvrir plein de choses, les années 80, les années 90, qui m'a vraiment aidée sur cette culture musicale-là. Du coup ça c'était assez important. [00:24:20] Speaker A: Et t'imaginais déjà ce que t'allais devenir ? [00:24:23] Speaker B: À ce moment-là, je me suis dit que je voulais être une rockstar. Je me suis dit il faut que je joue d'un instrument. J'avais acheté une basse toute pourrie, un truc à 120 euros avec le petit ampli comme ça et tout. Et je me suis dit, mon avenir c'est dans la musique, il faut que je fasse un truc là-dedans. [00:24:36] Speaker A: C'est trop bien. C'est juste trop cool quand... [00:24:38] Speaker D: C'est surtout trop cool quand aujourd'hui c'est la réalité. [00:24:41] Speaker A: C'est bien qu'aujourd'hui, effectivement, les choses aient évolué et que t'aies pu faire ta place. [00:24:47] Speaker B: À l'époque, c'était passe ton bac ma fille, après on verra, tes idées de rockstar ça va passer, c'est pas pour toi. C'est pas un vrai métier. [00:24:53] Speaker D: Tu verras, tu verras les maths, tu vas adorer ça. [00:24:57] Speaker A: C'est vraiment un truc. Est-ce que c'est les darons qui disent ça plus que les darones ? J'ai fait des maths, tu sais, c'est ça l'avenir. [00:25:03] Speaker D: Les maths, ça sert à tout. [00:25:05] Speaker E: Face à un bail scientifique, ça t'ouvrira toutes les portes. [00:25:08] Speaker A: Exactement, c'est ça. [00:25:10] Speaker D: Qui a fait un bac S ici ? [00:25:12] Speaker A: Non, pas moi, je suis le seul. Pardon, tu sais ce que j'ai fait ? J'ai fait un bac STAE à Miramas, donc il y a un truc. Il y a des gens qui vont là-bas. Et il y avait des métalleux. Et donc après, à quel moment internet est rentré dans ta vie et à quel moment tu t'es dit tiens, d'ailleurs le concept, tu t'es dit je veux juste discuter, je veux échanger mon savoir, il s'est passé quoi dans ta tête ? [00:25:37] Speaker B: En fait c'est venu vraiment au hasard parce qu'à la base j'avais fait une page sur les tatouages et je cherchais des informations sur la cicatrisation d'un full black comme ça parce que j'en trouvais pas du tout sur internet et je me suis dit je vais faire une vidéo sur ça qui a buzzé direct donc c'était une de mes premières vidéos et ensuite j'ai continué sur ça mais en mettant des musiques rock métal derrière Et les gens réagissaient à ça et je me suis dit mais pourquoi tu parles pas vraiment de ta passion plutôt que du tatouage ? Du coup j'ai enchaîné direct sur ça. Et le fait de pouvoir échanger avec d'autres personnes, dire ah je connaissais pas ce groupe, merci de me faire découvrir, voilà je me suis pris au jeu tout simplement de ça. [00:26:11] Speaker A: En fait c'est un kiff d'échange avec. [00:26:13] Speaker B: Les gens, tu discutes vraiment avec les gens. C'est ça, c'est ça. Par rapport à l'actualité, voilà j'entends des réactions, je discute avec, si je peux faire découvrir un groupe t'as mieux, voilà. C'est juste vraiment parler de ce qui se passe sur le moment. [00:26:26] Speaker A: Si jamais il y a des gens qui ne connaissent pas Super Tartelette, n'hésitez pas à la rejoindre sur les réseaux. TikTok surtout, parce que c'est là où ça cartonne, il y a plus de réactions. Il y a Instagram, évidemment, vous la retrouvez absolument partout, c'est normal. Mais voilà, TikTok et Instagram, c'est vraiment là où tout se passe. Tu parles quand même encore aujourd'hui tatouage aussi de temps en temps ? [00:26:41] Speaker B: De temps en temps, ouais. Un petit peu, quand on me pose des questions sur ça. [00:26:46] Speaker A: Et puis aussi il y a des groupes que je t'ai demandé de sélectionner certaines chansons parce qu'elles ont marqué ou il y a une petite histoire à raconter dessus et la première que je vois c'est System of a Down avec Toxicity. J'ai l'impression que c'est le groupe mondialement connu, c'est-à-dire que les gens qui n'écoutent même pas de rock connaissent System Of A Down. [00:27:06] Speaker E: On est beaucoup à être passé par System Of A Down à un moment donné. [00:27:10] Speaker D: Amen donné. [00:27:13] Speaker B: C'est l'accent qui est connu aussi. System, j'avais découvert sur une compil' une des premiers magazines que j'avais acheté, il y avait une petite compil' je sais même plus. Roxanne ? Non même pas, c'était un autre truc. Roxanne, j'ai plus le nom, ça date. Et il y avait Toxicity et je crois que le jour d'après j'allais à la Fnac ou un truc comme ça et j'ai vu l'album. Je me suis dit vas-y j'achète l'album. Je connais pas vraiment ce groupe mais Toxicity j'avais adoré. Et sur cet album il y avait le clip. Donc j'avais mis ça dans mon vieil ordinateur et j'ai vu le clip et je crois que je l'ai poncé, je l'ai mis en boucle en boucle. Et je me suis dit ce style c'est génial, j'adore. Donc c'est vraiment je pense la chanson qui a fait que j'ai voulu plus découvrir des choses dans le métal dans ce style-là. [00:27:55] Speaker A: Tu vois, alors ça, c'est le... Désolé, ça veut dire que tu n'es pas tout jeune non plus. Parce que de se dire, j'ai découvert une chanson, donc je vais aller acheter le CD, sans trop me poser de questions, il y a déjà un phénomène qui n'existe pas. Il n'y a plus de risque. [00:28:11] Speaker D: Moi, il y a des albums, je les ai achetés pour la pochette. Parce qu'il y a une époque où tu ne pouvais pas écouter les albums. Il y en a qui étaient sur les bornes d'écoute, tu pouvais les écouter, mais les autres, tu ne pouvais pas les écouter. Oh la pochette elle a l'air bien quand même ! [00:28:26] Speaker B: La pochette et le petit sticker Sparanta. [00:28:28] Speaker A: La viserie, ça ça va être bien ! Top 2010 ! Non mais c'est fou parce qu'aujourd'hui effectivement les gens ne consomment plus la musique comme ça. Il t'arrive encore de te dire tiens je prends le risque d'eux ou tu te dis bah non tant pis j'ai. [00:28:42] Speaker B: Aimé une chanson je vais pas me. [00:28:43] Speaker A: Faire chier avec le reste ? [00:28:44] Speaker B: J'avoue que j'écoute maintenant avant parce que du coup il y a ce renouveau du vinyle aussi qui fait que maintenant je vais peut-être plus me pencher vers le vinyle que sur le CD. Voilà mais en général j'écoute avant. [00:28:54] Speaker D: Plus acheté pour soutenir et pour l'objet que pour l'écouter vraiment quoi. [00:28:58] Speaker B: C'est vrai que maintenant avec toutes les plateformes d'écoute c'est devenu presque trop facile, il y a beaucoup trop de... [00:29:04] Speaker D: C'est vrai que quand on est dans le métro, enfin dans le bus ou dans les transports... [00:29:08] Speaker A: Un vinyle c'est pas pratique. [00:29:08] Speaker D: C'est pas pratique. [00:29:11] Speaker E: Tu sors ton petit pick-up de poche là. [00:29:14] Speaker D: Vous pouvez arrêter de rebondir parce que. [00:29:16] Speaker A: Là ça fait sauter. Même avec le lecteur CD. [00:29:20] Speaker D: Les premiers lecteurs CD, il n'y avait. [00:29:22] Speaker B: Pas encore le truc anti-choc. C'était l'enfer. [00:29:24] Speaker A: C'était un enfer et puis pourtant on était toujours à dire c'est pas grave, je vais y aller à l'avantage. [00:29:33] Speaker D: Quand ça sautait juste avant le passage que t'aimes bien. [00:29:36] Speaker A: Ça mordait ouf dans le bus là. [00:29:38] Speaker D: C'était toujours mieux que de devoir rembobiner la cassette. [00:29:41] Speaker A: Oui, c'est sûr. Après, c'était quand même intéressant. Bon, on va pas en faire l'histoire. Du coup, nous allons regarder ce clip, bien sûr, puisque tu as sélectionné. Nous allons regarder, nous allons le savourer. Puis je pense que tout le monde adore System of a Down, quand bien même certains pourraient râler sur les excès de voix de Serge. [00:29:59] Speaker D: Non, mais à l'époque, c'était bien. [00:30:01] Speaker A: En même temps maintenant ça existe quasiment plus. [00:30:03] Speaker B: Jusqu'à un certain album. [00:30:06] Speaker D: Je te rappelle qu'il continue encore à commettre des chansons. [00:30:09] Speaker A: Ah oui, tout seul, oui. Des chansons, je sais pas si on. [00:30:14] Speaker D: Peut appeler ça comme ça. [00:30:16] Speaker A: C'est vrai, c'est un peu désolant. [00:30:17] Speaker B: Mais j'ai pas écouté les dernières chansons. Au bout d'un moment, j'ai dit stop, j'arrive plus. [00:30:22] Speaker E: Je saurais pas dire non plus, j'ai lâché l'affaire aussi, très honnêtement. [00:30:25] Speaker A: Mais je crois qu'il s'est perdu. Tu sais, quand il vieillit, tu t'exagères tes trucs, tes défauts, tes qualités. [00:30:31] Speaker D: Moi, je pense que c'est pas ça. Ma théorie, c'est qu'en fait, quand c'était dans le groupe et qu'il y avait un producteur, il y avait des gens pour dire ça, c'est de la merde. [00:30:41] Speaker A: Oui c'est possible. [00:30:42] Speaker D: Et après le mec il est Melon. [00:30:44] Speaker A: Il est parti tout seul, il a. [00:30:45] Speaker D: Voulu... Non mais moi j'ai vendu plein d'albums, fais ce que je veux. [00:30:49] Speaker A: Il l'a fait et puis il n'a pas vendu d'albums, donc a priori c'est que ce n'est pas que lui. Bon, après avoir craché sur Système Velound et Serge Seincan, qu'on aime énormément et puis c'est quelqu'un de très très gentil. [00:30:58] Speaker D: Et puis il a des jolis pantoufles. On y va ? [00:31:03] Speaker A: On va faire raconter le clip, c'est parti. [00:31:58] Speaker C: Version software, version 7.0 Looking at life. [00:32:05] Speaker A: Through the eyes of a tire hoe. [00:32:11] Speaker C: Eating seeds as a pastime activity The toxicity of our city, of our city No! What do you own the world? How do you own the soul? Disorder ! Disorder ! Disorder ! Good for their fires, loud neighbors Flashlight reveries caught in the headlights of a. [00:33:14] Speaker A: Truck Eating seeds as a pastime activity. [00:33:19] Speaker C: The toxicity of our city, of our city Now, are they on the wall? Are they on the slaughter, the slaughter? Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Disorder ! Disorder ! Disorder ! When I became the sun I shone light into the man's heart ! When I became the sun I shone light into the man's heart ! Bang bang ! Just highlight my mistakes All I wish you'd say to remind me The way I feel I could hate myself sometimes And I would rather die other times So glad to hear that you're happy I wish it would have been Oh you know I don't care If I don't feed you Cause I will no longer feel guilty For being here I won't make no apologies And I'm done with compromises What I'm about to say I mean it And I really don't give a shit I will burn your house to the ground Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org C'est une mise en scène Pierre. [00:37:16] Speaker A: Vers chez soi évidemment. [00:37:17] Speaker D: Je suis sûr qu'en fait le truc qu'on voit brûler c'est pas vraiment une. [00:37:22] Speaker A: Vieille image, une précision récupérée. J'espère parce que je me suis dit quand même en plus ça tente d'allonger dans l'air mais il fait froid du coup tu peux choper la crème. [00:37:29] Speaker C: Bah c'est ça. [00:37:31] Speaker A: Ce que vous venez de regarder, c'est français ! Ça s'appelle Hauckmann, et c'est vraiment très très très bon. Ils étaient en concert samedi soir, hier soir, du côté de Boulogne-Biancourt, enfin dans le sud de Paris, je sais plus, au réacteur. Tout ça pour dire qu'ils étaient avec Periche et que le concert sera mis, des petits extraits, sur notre TikTok très prochainement. Oui, ils sont de Lyon, tout à fait. Et ils sortent un album, je l'ai noté, le 3 mai, il s'appelle Violent Oblivion. Ils seront d'ailleurs encore une fois en concert cette fois-ci au Supersonic, si je ne dis pas de bêtises, le 4 mai. Et ils seront dans nos studios pour répondre à nos questions. Oh ! Oui, je suis très content parce qu'ils sont cool, ils sont vraiment des gens bien. [00:38:09] Speaker D: Je suis très content de les rencontrer. [00:38:11] Speaker A: Tu penses que je suis là ? [00:38:13] Speaker C: Oui. [00:38:14] Speaker A: Bah je souhaite que tu sois là ! J'espère que je serai là aussi ! Ah bah toi t'es tout le temps. [00:38:18] Speaker D: Là de toute façon ! [00:38:19] Speaker A: Bah des fois je dors là aussi ! En tout cas voilà, à noter, Hauckman, si vous ne connaissiez pas... [00:38:25] Speaker D: On connaissait, on ne connaissait pas ! [00:38:27] Speaker A: Tu connaissais Hauckman ? [00:38:28] Speaker B: Pas du tout ! Ah bah voilà ! [00:38:29] Speaker A: Découverte ! Ça te plaît ou c'est pas le. [00:38:31] Speaker B: Genre de musique que tu aimes ? Ouais j'aime bien, j'aime bien ! C'est tranquille on va dire ! Ah oui c'est tranquille ! [00:38:36] Speaker D: Mais après je trouve pour un truc français c'est... [00:38:39] Speaker B: Pour un petit roadtrip ça sonne bien. [00:38:41] Speaker D: Je trouve derrière ! [00:38:42] Speaker A: Ouais c'est ça ! Encore une fois, je sais que c'est nul de dire ça, mais comme je suis vieux, ça sonne très américain, c'est-à-dire que c'est très bien produit, ça peut s'exporter hyper facilement, d'ailleurs ça marche très très bien à l'étranger pour eux, donc on ne peut que leur souhaiter une énorme carrière. [00:38:56] Speaker E: En plus en plateau hyper riche, c'est bon, c'est cohérent, je trouve, ça fait bien la paire. [00:39:00] Speaker D: Et ça, y'en a pas deux. [00:39:21] Speaker A: Les critiques sont autorisées. Ne soyez pas méchants pour rien, mais en tout cas, essayez de construire votre critique. On va commencer donc avec Corey Taylor. Bon là, il y a des mots à dire parce qu'on a très très envie de lui en envoyer plein la gueule. Mais il annonce déjà un nouveau masque. Le mec n'arrête pas, j'ai l'impression que tous les ans il y a un. [00:39:35] Speaker D: Nouveau masque, tous les 6 mois. Alors vas-y, dis ta news et on en parle après. [00:39:41] Speaker A: Il y a juste ça en fait, et puis il accorde un RENA si vous souhaitez y aller. C'est pas grave, c'est tant pis pour vous parce que c'est complet. Là, ça sera lieu le 12 décembre et c'est déjà sold out. [00:39:48] Speaker D: Enfin, on fera gagner des places. [00:39:50] Speaker A: Ouais ! On s'engage pas en tout cas. Surtout suivez-nous bien sur tous les réseaux. Bon on va essayer mais je pense que ton mec c'est soldat voilà. Mais en tout cas voilà ce que je comprends pas c'est le système. Lui il sait le seul à refaire son masque alors que les autres ne le refont pas. Le batteur, il n'est plus là, ça on le sait, il n'y en a même plus. Ils font une tournée sans batteur. Bon, on va en parler un petit peu après. Mais c'est quand même étrange. Corey Taylor, on lui pète les plombs, il va tout en haut, il s'envole comme une fusée. C'est-à-dire que la tête est en train de gonfler, c'est la mongolfière. Et puis les autres membres du groupe n'en se couplent, plus personne n'en parle. C'est très très étrange. [00:40:25] Speaker D: Non mais c'est surtout qu'ils nous foutent. [00:40:27] Speaker A: De leur nouvelle musique aussi. Aux dernières nouvelles, alors déjà... [00:40:31] Speaker D: Aux dernières nouvelles, il avait dit qu'il allait arrêter Slipknot. C'est quand même ça qu'il avait dit, il a dit ouais, c'est trop fatigant, je préfère me consacrer, ça m'amuse plus, machin. Bon, je vais faire un nouveau masque. Ça m'amuse, ok, je reviens. [00:40:45] Speaker A: C'est juste pour le plaisir du crafting. [00:40:46] Speaker E: Du masque en fait qu'il revient. [00:40:48] Speaker A: Non mais ça fera un truc en plus à vendre. Parce qu'il va faire forcément des produits dérivés. Mais ils font quoi des... Ah les pop ? [00:40:55] Speaker E: Ils font des pop ? [00:40:56] Speaker A: Non mais c'est quand même... Il y a un truc qui est quand même bizarre. Je sais pas ce que... Enfin on aime bien Slipknot évidemment, on aime bien Slipknot, on aime bien les vieux albums. [00:41:03] Speaker D: Alors je pense qu'on aimait bien, on aimait bien Slipknot. [00:41:07] Speaker A: Est-ce que c'est le jeu de tous les groupes gros comme ça de péter les plombs ? Regarde, on avait System of a Down, c'est... [00:41:11] Speaker D: Enfin tu vois... Non mais tu vois, je pense... Alors pour le coup, tu vois, Metallica, ils sont énormes. Et je trouve que malgré tout... Bon, ça me fait chier ce qu'ils font maintenant. Mais ça tient la baraque, c'est pas le shit show quoi. Enfin, en live un peu, mais... Enfin, surtout la batterie... Enfin bon... Non mais, tu vois ce que je veux dire ? Je veux dire, ils s'en tirent quand même bien. Mais c'est vrai que les Out, c'est... Enfin, les Slipknot... Moi, je les ai vus... Je n'avais jamais vu Slipknot. Pourtant, j'écoute depuis le premier album. Et j'ai jamais eu l'occasion de les voir. Je les ai vus au Wild Fest pour la première fois cette année. J'ai trouvé ça... Bon, après, les conditions étaient pas... Mais j'ai trouvé ça nul à chier. [00:41:53] Speaker B: C'était nul à Chou, elle fait ça. [00:41:55] Speaker D: Il n'y avait rien. [00:41:57] Speaker B: Je les ai vus un mois après aux Arènes de Nîmes, par contre là c'était vraiment bien. Après c'est les Arènes de Nîmes, donc est-ce qu'il n'y a pas aussi l'endroit qui fait que... [00:42:04] Speaker D: Je pense, il y a toujours un. [00:42:05] Speaker E: Petit grain, un petit cachet en plus les Arènes de Nîmes. [00:42:08] Speaker A: Après c'est une date où ils sont en tête d'affiche, c'est là quand le festival, tu passes au milieu de tout le monde, t'as sûrement fait la fête un peu avec tout le monde. T'es peut-être un peu ailleurs. [00:42:16] Speaker D: En tout cas, ils avaient bien fait la fête avec les gars d'Incubus parce. [00:42:20] Speaker C: Qu'Ils les ont remerciés alors qu'ils n'étaient pas là. [00:42:21] Speaker A: C'est là qu'on s'est dit, ah ouais, Slipknot, dommage. Je te laisse donner une petite nouce parce qu'on a essayé de faire une petite battle. [00:42:30] Speaker E: Alors oui, on va partir sur quelque chose d'un petit peu plus confidentiel, on va dire que Slipknot et Corey Taylor, mais il y a les français de Worst Out qui viennent tout juste de sortir un EP. [00:42:40] Speaker A: C'est quel genre ? [00:42:41] Speaker E: Worst Out c'est du crossover, donc hardcore, trash, ça remue pas mal, c'est de la bonne, il s'était fait remarquer. Ça fait le même effet. [00:42:56] Speaker A: Ah d'accord, donc au moins on est réveillé. Pour faire du sport c'est parfait. [00:42:59] Speaker E: Exactement. Ah bah oui oui, c'est totalement l'esprit. Donc ouais, Worst Out, qui vient de sortir un album, je crois que ça s'appelle Immortal Pain, et ça date... Ah c'est Bullmetal. Ils nous surprendront toujours. [00:43:08] Speaker A: Ils nous surprendront toujours. [00:43:08] Speaker C: Ils nous surprendront toujours. [00:43:09] Speaker A: Ils nous surprendront toujours. [00:43:09] Speaker C: Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. [00:43:11] Speaker D: Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. [00:43:13] Speaker A: Ils nous surprendront toujours. [00:43:13] Speaker C: Ils nous surprendront toujours. [00:43:14] Speaker A: Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. Ils nous surprendront toujours. [00:43:20] Speaker B: Ils nous surprendront toujours. [00:43:21] Speaker C: Ils nous surprendront toujours. Ils. [00:43:23] Speaker A: C'est vrai, les noms d'albums c'est toujours un peu... [00:43:27] Speaker B: C'est toujours pareil, même les clips dernièrement, c'est compliqué. Petite forêt qui passe par là. [00:43:31] Speaker D: C'est vrai qu'il y a une promo sur la forêt. [00:43:34] Speaker A: Ça coûte pas cher. Le nom c'est ? [00:43:38] Speaker E: Le nom du groupe ? [00:43:38] Speaker A: Worst Doubt. [00:43:41] Speaker D: Au cas où tu en doutais, Pierre. [00:43:45] Speaker A: Born of Osiris, je sais qu'il n'y a pas grand monde qui s'en fout, mais moi j'aime bien Born of Osiris. Ils viennent d'annoncer une tournée, un album, bref, ils font plein de choses. Il y a le clavieriste qui a dit « Ok, j'ai fait une chanson », ils ont sorti un single aussi, et il a dit « Bah du coup c'est l'occasion de sortir ce clip et d'annoncer que je me casse ». Il a dit « Je pense que j'ai mieux à faire ailleurs, attention je les aime beaucoup, mais il y a un moment où il faut grandir ». Ça j'aime grandir. Je ne comprends pas ce que ça veut dire. [00:44:11] Speaker D: Je crois qu'il est parti monter un groupe avec le clavieriste de Bring Me The Horizon. Ça va s'appeler « The Keyboards ». [00:44:17] Speaker A: « The Keys ». [00:44:18] Speaker E: « The Black Keys » peut-être même. C'est déjà pris, je crois. [00:44:24] Speaker A: Ça veut dire quoi ? Je décide de grandir ? Ceux qui ne gagnent pas assez d'argent avec Borno Fusari, c'est-à-dire que j'ouvre une pizzeria. Apparemment, ça marche. [00:44:31] Speaker D: Non, mais je pense que ce que ça veut dire, c'est qu'il a plus d'ambition que ce que lui permet d'avoir Borno Fusari. C'est méchant. Oui, mais ça existe. Dans les groupes, tu as toujours des gens qui ont plus une envie de réussite, qui ont envie d'aller plus loin, qui ont envie de plus de choses et d'autres où ils sont bien comme ça parce qu'ils ont peut-être une vie à côté et ils veulent juste un équilibre entre les deux et t'as des mecs qui font non mais moi en fait ce que je veux c'est vendre beaucoup d'albums, aller dans des stades et faire de la musique qui est plus peut-être catchy, plus voilà. Et du coup, où alors plus affirmé que deviendra-t-il ? [00:45:09] Speaker E: Si ça se trouve, on va le retrouver bientôt dans Bring me the horizon, il va peut-être reprendre le truc. [00:45:14] Speaker A: Le Mercato ! [00:45:16] Speaker E: Pour le coup, dans les news, on va y revenir. Dans les annonces d'albums qui pourraient sortir cette année, pour ceux qui s'en préoccupent, il y a un nouveau Nightwish, visiblement. [00:45:30] Speaker A: Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui aiment Nightwish, qui remplissent quand même des zéniths à travers toute la France. [00:45:34] Speaker E: Ça remplit bien, oui. Du coup, nouvelle tournée, on sait pas, mais nouvel album, donc 2024 ou horizon 2025, on sait pas trop. [00:45:42] Speaker D: Alors, spoiler, je peux mettre ma main à couper qu'il y aura une tournée après l'album. J'en suis presque sûre, c'est sympa. [00:45:50] Speaker A: Je suis prêt à rire aussi. C'est le genre de musique que t'aimes bien toi ? Pas du tout. [00:45:56] Speaker B: Non, c'est pas mon délire. Je ne sais pas, je n'ai jamais accroché sur ça. C'est quoi ? [00:46:00] Speaker A: C'est le chant lyrique ou c'est l'ensemble ? [00:46:02] Speaker B: L'ensemble. Pourtant la musique est top, les arrangements derrière, mais c'est jamais un truc que j'ai réussi à accrocher. [00:46:08] Speaker D: Parce que tu ne chevauches pas des dragons et tout ça. [00:46:11] Speaker B: Pourtant, sur mon temps perdu, non. Du tout, du tout. [00:46:17] Speaker A: Info à compléter parce que je n'ai pas toute l'information, mais j'ai gardé que l'essentiel. Non, s'il fallait travailler correctement, ça ne pourrait pas marcher. Static Dress, un groupe qu'on a beaucoup défendu ici, qu'on a célébré deux fois d'ailleurs aussi, ils vont sortir un jeu vidéo, mais alors attention, qui correspond à leur premier album, qui s'appelle donc Rouge Carpet Disaster, et ça sort sur Game Boy. Voilà, Game Boy Cooler d'ailleurs. Et ils disent bien, attention c'est celle de 98. Ça sert à rien d'essayer avec une autre, ça ne fonctionne que sur celle de 98. [00:46:46] Speaker D: Et du coup ils vont vendre des cartouches. [00:46:47] Speaker A: Peut-être 10 ? Ils vont vendre des cartouches et ils ont mis 3 ans à faire ce jeu. Et toutes leurs chansons sont dedans mais en 8 bits. Donc j'ai pensé à ça, un, ça. [00:46:57] Speaker D: Fait beaucoup de bites, deux, c'est ouf, le concept est complètement incroyable. [00:47:03] Speaker A: C'est incroyable, surtout qu'ils sont très jeunes, donc 98 ils étaient même pas là. [00:47:07] Speaker D: C'est même pas un projet. [00:47:09] Speaker E: Ils sont nés en même temps que la Game Boy Color en fait. [00:47:11] Speaker A: Un peu après. Un peu après. Mais du coup, je sais pas, c'est bizarre, non ? [00:47:16] Speaker D: Je sais pas. [00:47:17] Speaker A: Après, l'idée est cool. [00:47:18] Speaker D: Après, je trouve le concept génial. Est-ce qu'il y a un intérêt ? [00:47:23] Speaker C: Non. [00:47:23] Speaker A: Tu sais ce qui est vraiment génial ? [00:47:25] Speaker D: Tu sais ce qui est le plus génial là-dedans ? C'est que le nombre de gens qui sont au courant de cette info, le nombre de gens qui en ont parlé comparé au nombre de gens qui vont. [00:47:33] Speaker A: Y jouer, Et incroyable, le ratio, il est ouf ! [00:47:36] Speaker D: Ça se trouve, le jeu n'existe même pas ! Ils veulent juste avoir un leak des chansons en 8 bits à un moment, et les gens vont faire « Ah ouais, le jeu a sûrement dû exister ! [00:47:47] Speaker A: » C'est vrai que pour presser les cassettes, je ne sais pas comment ils vont faire. Les cartouches. [00:47:51] Speaker D: Je ne sais même pas si c'est possible à faire. Non mais après tu pourrais y jouer sur l'émulateur. [00:47:57] Speaker E: Je suis surtout en train de me demander pour ceux qui vont vouloir le collector ou qui vont le revendre, est-ce qu'il existe une catégorie spécifique sur Discogs pour vendre des cartouches ? [00:48:07] Speaker D: Il y a un truc pour les produits dérivés j'imagine. [00:48:10] Speaker E: Je crois, je ne pense pas du tout. [00:48:12] Speaker A: Peut-être qu'ils vont vendre des Game Boy avec, je ne sais pas. [00:48:16] Speaker E: Dans les annonces aussi, Revocation, qui a annoncé un album pour 2024-2025. [00:48:20] Speaker A: Il n'y a que des noms. [00:48:22] Speaker D: Ça n'a pas été révoqué, donc ils sont encore là. [00:48:26] Speaker E: Ils sont toujours là, Trash Death, un peu technique depuis ces dernières années, qui envoie bien du bois. [00:48:33] Speaker A: Ok. Enfin, il y a un truc qui est beaucoup plus soft, Godsmack. Non, il n'a pas recouché avec l'art historique. C'est fini cette histoire. [00:48:43] Speaker E: Leur amour, leur idylle, c'est terminé. [00:48:45] Speaker A: On n'en parlera en off. [00:48:49] Speaker D: Surtout n'hésitez pas à regarder pendant les clips s'ils voulaient entendre le sens net. [00:48:52] Speaker A: Mais en tout cas, ils vont sortir un dernier album. Leur tout dernier album. [00:48:57] Speaker D: Déjà, les gens sont surpris qu'ils aient continué. [00:48:59] Speaker A: Ça cartonne aux Etats-Unis. [00:49:01] Speaker D: Depuis Moon Machin, puis personne n'écoute. [00:49:04] Speaker A: Tu rigoles, aux Etats-Unis c'est énorme. Je te rappelle que Rihanna a voulu faire un duo avec eux, qu'eux ils ont dit ah non. You know who we are, we are Godsmack. Le bisou de Dieu. Faut pas oublier le nom. Non, non, I stand alone. [00:49:25] Speaker D: Ça vient d'une chanson de Luce & Chase. [00:49:29] Speaker A: Je voulais juste être méchant avec eux, c'est gratuit. Il y a un nouvel album et il y a une vidéo, un clip qui est sorti, vous pouvez aller regarder. Le clip est nul, la chanson c'est complètement mielleux, gnagnans, gnagnans. Il est avec sa femme, il regarde la télé, puis en fait elle est dégoûtée qu'il regarde plus sa télé qu'il ne s'occupe d'elle. Ou pas. Je ne sais pas quoi répondre. [00:49:49] Speaker D: Moi non plus, je balance juste des vannes. [00:49:51] Speaker A: Je vais continuer avec Gouard, on change un petit peu. Gouard on connait tous, ce groupe qui a des déguisements, des mascottes. C'est des vrais gens comme ça. Oui c'est ça. [00:50:03] Speaker E: Ils sont vraiment moches, c'est tout. [00:50:04] Speaker A: Eux aussi ils changent, le Covid a fait son petit effet alors il y a un mec qui jouait avant avec eux tout simplement costumé, il avait changé pour que ce soit un ancien qui revienne et là l'ancien repart et donc lui reprend sa place, il a dit je serai définitivement dans le groupe donc si vous voulez faire ma connaissance venez donc me voir. C'est-à-dire qu'il a le même déguisement que le mec qui est parti donc je sais pas comment... Et ils disent pas exactement ce qu'il va faire. Donc je ne sais pas, toi ? Est-ce qu'il est vraiment là ? Est-ce que c'est vraiment joué ? [00:50:32] Speaker D: Il y a un truc qui est génial, je connais quelqu'un qui a fait une interview de Gouard une fois, enfin un reportage interview, et du coup elle était en contact avec le manager, et le manager il fait « bon bah je vais chercher le chanteur » et c'est la même personne avec un costume ! [00:50:46] Speaker A: Bah il avait la même voix, bah pas du tout. [00:50:51] Speaker D: Savoir que si vous allez voir Gouard en live, Tout le premier an il faut préparer des sacs poubelles si vous voulez pas flinguer vos vêtements parce que ça balance du sang et tout. [00:51:02] Speaker A: Ouais, ça balance quelque chose qui s'apparente à du sang. [00:51:04] Speaker D: Ah non, non, c'est du vrai sang d'humain. [00:51:07] Speaker A: Où suis-je bête ? Je vais continuer, mais on parlera des autres nus que tu as juste après. Le gros dossier de cette semaine. Gros, gros, gros doss. C'est Sepultura, évidemment, le batteur qui se fait la malle et qui dit c'est la tournée de l'adieu. Vous comptez sur moi, je me casse. Mais pour aller où ? Ça, on ne sait pas. La rumeur. La rumeur dit que c'est pour partir chez Slipknot, justement. [00:51:30] Speaker D: Je te dis depuis le début que ça va être lui. [00:51:32] Speaker E: La rumeur ou la perspicacité. [00:51:34] Speaker A: Mais pour l'instant, ce qui fait dire que ça va être ça, c'est que tout le monde a dit qu'il allait chez Slipknot, il n'a pas dit non. Il a dit je vous annoncerai les choses en temps voulu. Mais je félicite mes amis de terminer leur carrière sans moi. L'appareil est communiqué de presse, il dit. Les mecs sont pas de race quoi, sans déconner. [00:51:51] Speaker D: En même temps, c'est plus le Toura, ça fait longtemps que c'est plus... Ah. [00:51:54] Speaker A: Bah ça fait longtemps que c'est plus le Toura. [00:51:55] Speaker D: De toute façon, c'est pas lui le batteur original. Donc j'ai envie de dire, voilà. Depuis que Slipknot a annoncé qu'ils n'avaient plus de batteur et qu'en même temps on savait que c'était la fin de ces poulseras, j'ai dit direct, je suis sûr que c'est ça. [00:52:11] Speaker A: A voir, t'en penses quoi ? [00:52:12] Speaker B: Moi je dis que c'est possible. Par contre toi il gagnera plus d'argent. [00:52:18] Speaker A: Avec lui toi, ça c'est sûr. Ouais sur une petite période et puis basta. Par contre il meurt. [00:52:22] Speaker D: Si vous voulez voir, il a fait des reprises de Slipknot sur Youtube. Il s'appelait Eloï Casalvandé. [00:52:30] Speaker A: Après il est très bon. [00:52:31] Speaker E: Il est très très bon. [00:52:32] Speaker D: C'est un des meilleurs batteurs je pense. [00:52:35] Speaker A: Ça coûte cher, il faut lâcher du dol. [00:52:37] Speaker D: Bah je sais pas, il reste brésilien donc tout ça. À partir du moment où tu sors de la favela, lui il est content. C'est vrai qu'on sait des Américains, donc. [00:52:44] Speaker A: Forcément comment ils traitent les autres, on sait très bien. Du coup, on va regarder un petit clip. On va regarder un petit clip de Sepultura. J'ai ressorti un vieux clip, un ratamata. Donc, je pense que j'ai envie de faire un bisou à Elisa, notre amie. [00:52:57] Speaker D: Qui a le même nom que la chanson. [00:52:58] Speaker A: Oui, approximativement. On l'aime beaucoup et on lui balance des cœurs. Donc, Sepultura, c'est aussi pour elle. [00:53:20] Speaker C: Sous-titrage Société Radio-Canada Malo, caboclada, fubanga Va au vélo, à la garage, pipoca L'éducation, c'est bien l'avion L'éducation, c'est bien l'avion L'éducation, c'est bien l'avion L'éducation, c'est bien l'avion Hello Uptown, hello Downtown, hello Midtown Faites-le ! Faites-le ! [00:59:55] Speaker A: Quelle robe ? Ça s'appelle Hearth Tongue. [00:59:59] Speaker D: Ah bah la langue de la terre. [01:00:01] Speaker A: Exactement. Et alors devinez d'où ça vient ? Ah vous devinez ? Quel pays ? [01:00:09] Speaker D: Australie. [01:00:09] Speaker A: J'aurais dit Australie aussi. [01:00:11] Speaker B: Ah la plage comme ça. [01:00:13] Speaker A: Messieurs, dames. [01:00:14] Speaker E: Etats-Unis. [01:00:15] Speaker B: Moi je vais miser sur la France, comme ça, direct. [01:00:17] Speaker A: Alors, figure-toi que tu es la plus proche. [01:00:19] Speaker D: Ils sont anglais. [01:00:21] Speaker A: Ce sont des allemands. [01:00:22] Speaker D: Ah, c'est des allemands. [01:00:23] Speaker A: Ce sont des allemands. [01:00:24] Speaker D: Mais pourtant ils chantent pas en allemand. [01:00:25] Speaker A: Gli, gli, gli. [01:00:30] Speaker C: Ein, zwei, drei. [01:00:31] Speaker A: Non, par contre, c'est plus au nord, le glüh, glüh, glüh, glüh, glüh, glüh, glüh, glüh. Bon en tout cas, ça s'appelle How Fung, j'ai trouvé ça très bien, je suis tombé complètement par hasard dessus, je n'ai fait aucun effort de ma part, j'ai fait une voiture sur la plage, j'ai cliqué, et puis j'ai fait un an, en fait c'est vachement bien, je trouve ça vraiment très très bien, boire un peu Psyké... [01:00:53] Speaker D: Un petit côté Psyké Stoner... Et comme. [01:00:57] Speaker A: On parlait dernière fois du Stoner, et qu'en France il y avait peut-être un peu moins d'élan dans ce genre musical, Je me suis dit que c'était l'occasion de le passer quand même un tout petit peu. Est-ce que j'ai une information ? Oui. Il sort un album qui s'appelle Great Hunting. Et puis, il y a quand même des membres de Nouvelle-Zélande dedans. [01:01:12] Speaker D: Il y a des membres de Nouvelle-Zélande. [01:01:15] Speaker A: Dans les deux ? Non. Ils sont trois. [01:01:19] Speaker D: Ah bon ? [01:01:19] Speaker A: Ils sont pas trois ? [01:01:20] Speaker D: Ah ouais j'sais pas, moi j'en ai vu que deux. [01:01:21] Speaker B: C'est le mec qui conduisait j'pense. [01:01:24] Speaker D: Il conduisait, c'est l'acteur, et puis... [01:01:25] Speaker B: C'est le bassiste à mon avis. [01:01:26] Speaker E: Tu sais, y'avait que deux places dans le pick-up. [01:01:27] Speaker A: Ah oui, y'a pas vraiment d'endroits. Et j'pense qu'ils étaient... [01:01:30] Speaker D: Ils sont que deux, hein. [01:01:31] Speaker A: J'sais plus. [01:01:31] Speaker D: Quoi, ils jouent, ils sont deux, donc j'pense qu'ils sont deux. [01:01:34] Speaker A: C'est quoi, c'est batterie-guitare ? [01:01:34] Speaker D: Donc, ouais. [01:01:35] Speaker A: C'est comme Bad Situation ? Bah ouais. Ah j'ai pas fait attention, y'a pas de basse. [01:01:38] Speaker D: Bah, c'est pas à l'image en tout cas. [01:01:40] Speaker A: Ouais j'ai pas, j'sais pas, j'ai... J'me souviens que des voitures qui roul. [01:01:46] Speaker D: Mais y'avait personne sur la plage ! [01:01:47] Speaker A: Ah c'est bien ça ! Y'avait une falaise ! Ils sont tombés ! [01:01:49] Speaker D: Mais non y'a le soleil ! T'as-tu joué avec le soleil ? Le soleil il est néo-zélandais ? [01:01:56] Speaker A: Bon Pour les news, il y a aussi Judas Priest ! [01:02:03] Speaker D: La Roberta ! [01:02:04] Speaker A: Notre copine ! Pour ceux que ça intéresse, si vous aimez Judas Priest, ils organisent une listening party pour le nouvel album, ça va se passer du côté du Docteur Feelgood, rue de la Roquette à Paris, donc si vous êtes parisiens, sinon tant pis ! [01:02:17] Speaker D: Si on venait à Paris ! [01:02:18] Speaker A: Ça va avoir lieu le 7 mars, juste avant la sortie de l'album. Et puis ils seront en concert, je le rappelle, à Lyon le 5 avril et à Paris le 8 avril, sinon ! Là j'ai une question, je me tourne vers les gens pleins de technologie que vous êtes tous les trois. Les Haven Sevenfold, bon on sait très bien ce qu'on en pense, ils ont sorti un... [01:02:36] Speaker D: Tu pourrais faire de la muscu aussi. [01:02:37] Speaker A: Sur le bas du corps ? Ils viennent de sortir un live en immersion réalité virtuelle. Ils ont dit attention ça ne marche qu'avec MetaQuest et Apple Vision Pro. Je vous répète ce qui est écrit parce que je n'y connais absolument rien. [01:02:51] Speaker D: C'est un casque de réalité virtuelle. [01:02:53] Speaker A: Je sais juste qu'il y en a un des deux qui n'est pas en vente en France. Déjà ça limite le truc. Est-ce que c'est une bonne idée ou une mauvaise idée qu'ils aient fait ça ? J'en sais un mais c'est un concert. C'est assez bizarre. La décoration est très bizarre. Ils sont au milieu de la forêt avec des écrans et ça change de décor. [01:03:09] Speaker D: Je sais pas trop ouais. [01:03:11] Speaker A: En tout cas ils ont été félicités parce que c'est les premiers apparemment. [01:03:15] Speaker D: Je pense que tu sais, il y a... [01:03:17] Speaker A: C'est les premiers qui suivent les plâtres. [01:03:19] Speaker E: C'est vraiment les premiers à faire un. [01:03:20] Speaker D: Concert comme ça en immersion parce que. [01:03:22] Speaker E: J'Avais fait quelques recherches dernièrement, je crois qu'il y a Payne qui avait fait ça. [01:03:29] Speaker A: Nous on a une personne qui nous avait envoyé des messages pour dire qu'ils faisaient des concerts en réalité virtuelle mais... [01:03:34] Speaker D: Non mais après c'est peut-être aussi la technologie qui a été utilisée pour capturer... [01:03:38] Speaker B: Oui, le casque vert. [01:03:39] Speaker D: C'est pas un truc où ils jouent avec des écrans derrière eux. Voilà, donc je pense que c'est ça, c'est plus la combinaison des deux éléments qui jouent avec des écrans, que ce soit en... Bon après, qui a de l'intérêt ? Moi j'ai une théorie concernant ce genre de trucs, c'est comme les clips en 360. En fait, à un moment, tout le monde faisait un clip en 360 où tu peux regarder où tu veux. En fait, personne ne trouve ça bien. mais tout le monde va en parler. Donc en fait, je pense que c'est juste pour faire parler de soi. [01:04:11] Speaker E: De toute façon, il n'y a qu'un pour cent de la population qui est équipée pour les regarder. [01:04:15] Speaker A: Il y a encore même un pour cent, je pense que c'est beaucoup. [01:04:17] Speaker D: Attends, alors en France, des fans d'Aventure Manifold conservent ? Ça n'existe pas. [01:04:23] Speaker A: Ça fait beaucoup de conditions d'un coup là. [01:04:25] Speaker D: C'est très restrictif quand même. [01:04:27] Speaker A: Mais bon voilà. [01:04:28] Speaker D: Qui est prêt à claquer plus de 1000 balles pour regarder un concert d'Invention Fold ? [01:04:31] Speaker A: Déjà c'est chiant. [01:04:32] Speaker D: En plus faut le payer en plus. [01:04:34] Speaker A: Ah bah oui. En plus du casque. C'est mort. Si j'écoutais un live plutôt que de le vivre donc de voir un truc en VR je m'en fous complètement. [01:04:43] Speaker D: Bon après si c'était un live de corne bon là tu... [01:04:48] Speaker A: Sinon, le chanteur de Adhema, tu sais c'est qui le chanteur de Adhema ? C'est le frère de John Lennon-Davis ? Non, c'est plus lui, ça fait longtemps. Vous avez perdu le truc depuis un petit moment. [01:04:59] Speaker D: On est coincé au début des années 2000. Moi, Adhema, je savais pas qu'ils avaient fait plus qu'un album. [01:05:03] Speaker A: C'est le chanteur de Julien K qui était dans Orgie. Ah ouais ? Donc du coup voilà, il est resté 3 albums a priori, donc 4 ans je crois, à peu près. Et pareil, ils viennent d'annoncer une tournée gigantesque, donc pour Adhemar, parce qu'aux Etats-Unis ça fonctionne a priori. Et puis il a dit, ça sera sans moi. Parce que je les félicite de tout ce qu'ils avaient à faire, du coup je les laisse faire tout seuls. Et le groupe a dit, c'est mieux qu'on le fasse à 4. Mais on l'aime beaucoup. Ça sent l'engueulade qui est camouflée. [01:05:32] Speaker E: Moi je pense que c'est Eloy Casagrande qui va reprendre le micro. [01:05:37] Speaker A: Ou le clavieriste de Overdose Iris, on sait pas. [01:05:41] Speaker D: Ou celui de Bring Me. [01:05:42] Speaker A: Putain, c'est trop compliqué. On s'y perd. [01:05:45] Speaker D: Comment ça fait un petit mercato dans. [01:05:47] Speaker A: Notre coin là ? Et puis il dit que Julien Cast ça marchera mieux. Là je pense que le mec... Ouais. [01:05:54] Speaker D: Je pense qu'il faudra refaire Orji, c'est le seul truc qui pourrait marcher. [01:05:57] Speaker A: Bah non Orji, ils ont sorti des morceaux, t'étais au courant ? [01:05:59] Speaker D: Non mais il fallait faire des bons morceaux ! Après ça n'empêche pas, y'a la renommée et faut quand même que ce soit pas trop à chier. Pour le coup, je ne savais même. [01:06:11] Speaker B: Plus que ça existait à des mains, je pensais que c'était... J'ai pas du tout suivi... Surtout aux. [01:06:14] Speaker A: Etats-Unis, ils ont refait deux singles qui ont très très bien marché, sur trois albums, ça fait pas grand chose, on est d'accord, mais ça continue de tourner. Là, ils ont genre 50 dates. Avec Godsmack, ça marche vraiment énormément. [01:06:28] Speaker E: Godsmack, oui, ça marche super aux Etats-Unis, ça remplit des stades et tout. [01:06:32] Speaker A: C'est huge, c'est ouf. [01:06:34] Speaker D: Fafi, Gardave Punch aussi. [01:06:35] Speaker E: C'est très américain en même temps, bon... Ça, c'est vraiment de la musique à écouter en pick-up. [01:06:42] Speaker A: Quand tu te diriges vers un salon pour acheter des vaches. [01:06:47] Speaker D: Attention, quand on parle de pick-up, c'est pas le truc avec du Nutella et des petits biscuits. Non, c'est pas ça ? [01:06:53] Speaker A: Si, ça s'appelle un pick-up. Non, non, c'est une bonne vanne. Bah rigolez merde ! [01:07:00] Speaker E: C'est les mêmes mais sans les pare-buffles. [01:07:02] Speaker A: Celui qui aura reconnu ce rire gagne. Linkin Park, bah tiens on en reparle encore une fois, ils viennent de voir leur single Indian qui a été certifié diamant. Alors, j'ai essayé de comprendre, ça veut dire 10 fois platinum, ça veut dire plus de 10 millions de ventes. [01:07:18] Speaker D: Enfin d'écoutes. [01:07:19] Speaker A: Après c'est 10 000 écoutes font une vente, Il y a un truc comme ça, il faut faire des calculs... [01:07:28] Speaker D: En tout cas, Inzian, ça a marché. Finalement. [01:07:33] Speaker C: Voilà. [01:07:33] Speaker A: Finalement. J'ai compris, j'ai compris. Je vais me retourner vers eux. Peut-être une autre information ? [01:07:42] Speaker E: Là, pour le coup, pas un groupe, mais plutôt une autrice. Autrice française, Sophie von Kellen, qui est la co-fondatrice de K.O. Non, je sais le nom, mais qui est la cofondatrice des éditions du Blouson Noir et qui en fait est actuellement en train d'écrire un bouquin sur la condition des femmes dans la scène métal et qui a lancé un appel à témoignages. Donc, si vous êtes témoignage sérieux, évidemment, si vous êtes intéressé et de témoigner, donc vous pouvez être artiste, vous pouvez travailler dans l'orgue de concert, bénévole, technicienne, etc. Oui voilà, toutes les femmes, n'importe quelle femme qui travaille, on va dire, qui a déjà travaillé dans le milieu du spectacle autour du métal, etc. peut postuler pour envoyer son témoignage. Si ça vous intéresse, allez sur la page Facebook des éditions des Flammes Noires, où il y a un poste qui récapitule le projet et comment apporter son témoignage, à quelle adresse écrire et tout. Très vachement bien. [01:08:44] Speaker A: Belle initiative, on la félicite. On en reparlera. Tout le monde ici connaît Audiotri ? [01:08:50] Speaker D: Oui. [01:08:51] Speaker A: On aime tous Audiotri. Oui. Globalement. Globalement. Bon bah je vous conseille d'aller voir sur leur site, il y a une session de Skoll qu'on aime beaucoup ici et franchement c'est très très bon. Donc voilà, j'avais juste envie de faire ce petit clin d'œil. [01:09:04] Speaker D: En attendant que Skoll vienne faire une session ici, vous avez le droit de regarder celle chez Audiotri. [01:09:08] Speaker A: Oui, bon. Sinon on parlait de Slipknot. [01:09:14] Speaker D: D'ailleurs, Skol Ofosru, n'oubliez jamais ! [01:09:19] Speaker A: Je suis bête, c'est du suédois. On parlait de Slipknot. Le batteur de Slipknot est parti chez Infectious Groove. Parce que oui, Infectious Groove existe toujours et ils sortent un nouveau morceau. Apparemment, il sera là que pour la tournée et le morceau. Je sais pas, j'imagine qu'il va y avoir peut-être un album. [01:09:38] Speaker D: C'est déjà bien suffisant. [01:09:40] Speaker A: Vu que je pensais que jamais plus il n'allait revenir Infectious Groove. [01:09:44] Speaker D: Et du coup, c'est avec Trojillo à la basse aussi. [01:09:47] Speaker A: J'ai pas remarqué qu'il n'a pas arrêté la basse. [01:09:52] Speaker E: Il n'a jamais arrêté la basse. [01:09:54] Speaker D: Dans Metallica, c'est comme s'il jouait de la guitare. [01:09:59] Speaker E: C'est surtout que Metallica n'est pas réputé pour laisser ses musiciens aller dans des projets parallèles. [01:10:04] Speaker D: Au moins qu'ils aient un peu changé. [01:10:05] Speaker E: De politique depuis Jason Newstead. [01:10:07] Speaker D: Je crois que c'est avec lui. Oui, c'est avec lui. [01:10:14] Speaker A: Bon alors par contre, il vient remplacer le batteur d'Infectious Groove qui est parti chez Avenged Sevenfold. [01:10:20] Speaker D: Putain, parce qu'il avait plus les jambes assez musclées ? [01:10:23] Speaker A: Bah non, parce que c'est l'eau qui. [01:10:25] Speaker D: Mute, c'est pas l'eau. [01:10:27] Speaker A: Attends, mais c'est pas dans... Et je. [01:10:29] Speaker D: Crois que dans Infectious, il y a le mec à la guitare, c'est le mec de Dillinger. [01:10:37] Speaker A: Bon, si vous avez un puzzle, essayez de recoller toutes les pièces, ça sera pas mal. [01:10:41] Speaker D: Ça devient quand même un milieu de consanguinement. [01:10:44] Speaker A: C'est le bordel, c'est-à-dire qu'après, tu dis dans le groupe, il y a qui ? En fait, dis-toi qu'il y a tous les membres de... tous les musiciens qui font ce genre musical. [01:10:50] Speaker D: Tant de membres qui se mélangent, Pierre, ça te fait rêver, non ? [01:10:53] Speaker A: Ça me rappelle ma jeunesse. J'aimais bien, c'était un peu humide. Sinon on va terminer sur Fred Durst de l'Imbiscuit, voilà, est-ce qu'il a besoin d'argent ? Parce qu'il est dans le nouveau clip de DIV et il participe à la chanson, je me suis dit... De DIV ? De DIV, oui, D-I-V. Voilà, c'était juste pour faire un petit clin d'œil parce que j'aime bien quand même Fred Durst mais je sais qu'il aime bien l'argent aussi. Et sur la photo qu'il y a de presse, encore une fois, je me suis dit mais le mec ne fait aucun effort. C'est-à-dire que là il a décidé... [01:11:20] Speaker D: Mais c'est son nouveau style ! [01:11:23] Speaker A: C'est... notre style ! En tout cas il fait très américain dans son pick-up ! [01:11:28] Speaker D: Depuis que j'ai vu Tom Morello en fond d'écran, en écran géant pendant le concert de BABYMETAL, j'ai envie de dire... [01:11:37] Speaker A: Tout est ouvert ! En tout cas, n'hésitez pas à commenter sur tout ce qu'on vient de dire, s'il y a des news qu'on a oubliées cette semaine. Si on se trompe, n'hésitez pas à balancer vos rages et vos énervements. Mais aussi, vos remerciements, on aime bien quand c'est gentil. D'ailleurs, je vais enchaîner, mais sur quelque chose qui n'est pas news, mais sur un choix que tu as fait. Ça te concerne ? [01:12:00] Speaker D: On peut dire aux gens, revenez la semaine prochaine pour de nouvelles news. [01:12:06] Speaker A: Voilà. [01:12:07] Speaker D: C'est bon maintenant on peut enchaîner. [01:12:08] Speaker A: C'est bon je vais pouvoir couper. Il a compris je crois. Ah bon ? J'ai cru que c'était lui qui avait fait le clip qu'on avait vu juste avant. Les problèmes de raccords. Ah ouais. [01:12:17] Speaker D: Mais je crois qu'en fait c'était monté à l'envers parce qu'à la fin il y en avait encore moins de traces. [01:12:23] Speaker A: Attention j'ai rien compris au clip, j'ai pas suivi. [01:12:24] Speaker D: Il y avait de moins en moins de traces Pierre. [01:12:26] Speaker E: C'est-à-dire qu'au début il y avait plein. [01:12:27] Speaker D: De traces et à la fin il y avait plus de traces. [01:12:28] Speaker A: Je suis pas passé par là. Promis. J'ai jeté ma dernière paille. Elle était dorée pourtant. Bon, tu as choisi, en parlant de ça, les Guns N'Roses. Depuis qu'il est arrêté, ça se passe mieux quand même. C'est le retour des Guns, mais est-ce que tu as été content de ce retour et qu'est-ce que représentent les Guns pour toi ? [01:12:53] Speaker B: Alors, contente de son retour, pas spécialement, je n'aime pas du tout sa voix maintenant, je suis totalement décrochée, mais à l'époque quand j'ai vraiment... Parce qu'il a. [01:13:03] Speaker A: Mangé trop de... De couscous ? [01:13:07] Speaker D: Pourquoi ? [01:13:08] Speaker A: Bah pourquoi pas ? [01:13:11] Speaker D: Parce qu'Axel Rose n'a pas le droit de manger de couscous peut-être ? [01:13:13] Speaker B: Ah ouais peut-être, Catherine... [01:13:14] Speaker A: Je ne suis pas sûr qu'aux Etats-Unis ce soit vraiment fréquent. Du tamoulet ! Très bien, alors je pensais plus à des burritos. [01:13:23] Speaker D: Il est pas trop mexicain. [01:13:24] Speaker E: Des burgers ? [01:13:24] Speaker A: Non mais je crois qu'il adore ça. Ah ouais ? Ouais, je crois qu'il avait dit qu'il mangeait que ça, les volets fermés. C'est vraiment pas une connerie, la précision. [01:13:33] Speaker D: De l'info quand même. [01:13:34] Speaker A: C'est lui qui le raconte, moi je ne retranscris pas le mail, c'est comme ça. Donc oui, pardon, les Guns. [01:13:41] Speaker B: Non, non, pas de souci, vous les fermez, je retiendrai ça. Non, c'est juste à l'époque où j'écoutais beaucoup de métal, où on m'a vraiment introduit aussi à la musique hard rock, ça m'a fait vraiment découvrir les bases, ou simplement des vieux groupes. et Appetite for Destruction ça a été pour moi vraiment une découverte énorme musicalement et dans le clip Welcome to the Jungle quand vraiment j'ai vu, c'était mon premier clip des Guns, le premier que j'ai vu sur VH1 Rocks à l'époque et j'ai accroché direct et je me suis dit j'adore ce style, j'adore les Guns. [01:14:13] Speaker A: On parlait des chaînes de télé tout à l'heure, effectivement ça a été important. [01:14:15] Speaker B: Dans ta vie ? MTV2, VH1, ça a été vraiment les chaînes du câble qui m'ont fait découvrir plein de groupes, c'était essentiel pour le coup. Et il y avait cette petite rivalité à l'époque, Guns N'Roses, Nirvana, j'écoutais beaucoup Nirvana et j'ai franchi le pas plus vers le glam rock des Guns. [01:14:38] Speaker A: Ok, on va regarder ce clip, parce qu'il est d'une très bonne chanson, c'est. [01:14:42] Speaker D: Un très bon choix. [01:14:44] Speaker A: Tu peux lancer la chanson. [01:15:40] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org QUOI ?! ! Cause you got a taste now Drank the Kool-Aid by the jerk So stop being a faggot Come here and give me a hug Nobody loves you like I love you, oh my dear You should have known That this was gonna end here Such a sucker for an execution The void is unfilled by your fruit CAUSE YOU GOT A TASTE NOW Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Drink the Kool-Aid by the jar So stop what you're saying Come here and give me a hug Nobody loves you like I love you You should have known You should have known You should have known That this was gonna end in tears On va faire ça comme ça. On va faire ça comme ça. On va faire ça comme ça. [01:23:26] Speaker A: Voilà. [01:23:29] Speaker D: Amène-moi l'horizon, Pierre. Amène-moi l'horizon. [01:23:31] Speaker A: Amène-moi l'horizon. Inévitable, évidemment, il y a un nouveau clip. Qu'on aime ou qu'on n'aime pas, je me dois de le diffuser dans le sens où c'est un groupe qui est grandement apprécié, qui cartonne à travers le monde entier. C'est un succès monumental. On l'avait dit à un moment, je me rappelle, dans Bring the Noise, que c'était les futurs Linkin Park. Eh bien, on ne se trompe pas parce que le succès commence à rattraper celui de Linkin Park. et ils viennent d'avoir leur premier Brit Awards, donc ils étaient très très contents parce que c'était bon, pas forcément ça qui va changer leur vie mais en tout cas ils avaient l'air très heureux. Par contre, Oli Syke, je sais pas ce qu'il se passe physiquement mais même ses camarades, lorsqu'ils parlent, le regardlent comme si c'était pas le vrai. Ah mais dis donc, il a encore changé sa tête ? Il s'est passé quoi ? Non mais il est de plus en plus... [01:24:10] Speaker D: Une coupe de cheveux, ça change tout Pierre. [01:24:12] Speaker A: Ah ouais, mais c'est ouf. Bon, il est super beau gosse, on peut pas dire le contraire, mais wow. Il y a vraiment un gros travail de séducteur. [01:24:18] Speaker D: Et pourtant, il part de loin. [01:24:20] Speaker A: C'est vrai que la première fois qu'on les avait reçus quand ils étaient ados, c'était waouh ! Oui, on est vieux. Le Metalcore, Bring Me The Horizon, je me tourne vers Fiona pour savoir ce qu'elle en pense. [01:24:32] Speaker B: Alors c'est beaucoup moins mon créneau pour le coup le Metalcore. Je peux aimer des petits morceaux par-ci par-là, mais alors écouter un album de Metalcore, en fait je ressens rien, pour moi c'est plat, c'est pas quelque chose qui me parle et j'ai l'impression que tous les groupes ont le même schéma sur tous les morceaux, sur tous les albums. C'est refrains un peu chantés, parfois un petit peu scrimés, mais moi ça me fait rien ressentir. Et je trouve que c'est aussi pour séduire un certain public très jeune ou aussi féminin, d'où le physique également du chanteur. [01:25:02] Speaker D: Là un peu boysbandisation. [01:25:04] Speaker B: Bad omens et tout ça quand on voit les vidéos des derniers concerts de Paris. Bon voilà j'ai fait une petite vidéo sur ça qui n'a pas forcément plu à tout le monde mais c'est vrai que c'était... [01:25:13] Speaker A: C'est à dire qu'on touche à des groupes qui marchent à fond donc forcément... Et puis aux jeunes qui, peut-être, ne poussent pas la réflexion. [01:25:19] Speaker D: Ouais, parce que Noah est un des plus grands chanteurs de sa génération. Déjà, à partir du moment où les gens te parlent d'un groupe en donnant le prénom du chanteur pour justifier des choses, t'es là, tu fais... [01:25:35] Speaker A: Quand je dis John Davis, tout le monde se fout de ma gueule. [01:25:37] Speaker D: Et John Didi ! Non mais c'est comme si tu disais... Non mais Jonathan est vraiment... Enfin, je veux dire, c'est... Donne au moins le nom de famille quoi ! Je suis d'accord avec toi sur cette analyse, je trouve que ça devient hyper formaté et le truc que je trouve encore plus gênant là-dedans c'est que ça devient de plus en plus surproduit. [01:26:05] Speaker A: C'est vrai que tu te demandes où est la vraie instrumentalisation. [01:26:10] Speaker D: Je pense que tout peut être fait en studio, mais on arrive à des trucs où tu sais qu'en live, ça va être 15 tonnes de bandes qui vont jouer derrière pour que t'aies un truc qui arrive Et je trouve que du coup ça perd un peu en sincérité, mais après ça va, on en a déjà parlé plusieurs fois dans l'émission, mais ça va dans le sens où les gens cherchent de plus en plus un spectacle, plus qu'une interprétation quand ils vont voir un live. [01:26:39] Speaker B: C'est moins axé sur la musique, sur la performance de tous les musiciens au final, mais le chanteur arrive, c'est une horde féminine qui va crier parce que c'est l'image du chanteur et moins Je trouve la musique... [01:26:51] Speaker A: Après, pour défendre les fans qui sont comme ça, je pense qu'il y a aussi un âge et puis le travail, il le force, comme il est beau gosse, il est sensible, etc. Non mais c'est une période qui est difficile et elle trouve un truc en lui. [01:27:08] Speaker E: Des groupes qui ont parlé à un public jeune, un public un peu plus féminin que la moyenne du métal et tout, il y en a toujours eu en fait, ça fait depuis très longtemps, ne serait-ce que dans le néo-métal, il y a eu beaucoup de groupes, qui ont donné cette accessibilité-là, en fait, aux gens en général. Et après, les gens s'y engouffrent ou restent à la porte et restent sur ces groupes-là. Après, ils font leur choix, quoi. [01:27:30] Speaker B: C'est un petit peu ce que je disais dans cette vidéo-là, où justement, ça peut être aussi une porte d'entrée pour certaines personnes à se dire, ceci est plutôt intéressant, mais je vais développer. Ou au final, ça va être juste l'effet mode actuel. [01:27:42] Speaker D: Non mais après moi je pense que ça a le mérite d'exister et c'est bien si les gens découvrent des nouveaux styles grâce à ça et si c'est une porte d'entrée comme Linkin Park à l'époque où c'était énormément décrié. Après ils étaient décriés encore à la fin. [01:27:59] Speaker A: Encore plus. [01:28:06] Speaker D: Mais après ce que je trouve dommage, c'est que je trouve pas ça dommage que ça existe, je trouve ça dommage que ça devienne la norme en fait. C'est ça que je trouve un peu gênant. qu'on s'engouffre autant dans un truc pas intéressant. [01:28:25] Speaker E: Je te rejoins là-dessus, j'en avais déjà parlé, donc du coup il y a deux semaines, quand je parlais pour le. [01:28:30] Speaker D: Coup... Non mais pas intéressant dans le sens... [01:28:33] Speaker A: C'est quand même dommage que tout le monde écoute de la chiasse sur une heure. [01:28:37] Speaker D: Je trouve que c'est bien qu'il y ait des groupes qui ouvrent des portes, mais que des groupes pensent faire sincèrement une copie de tout ce qui est déjà fait parce que ça marche, en. [01:28:50] Speaker A: Fait ça c'est gênant. C'est une formule simple après une métaphore. [01:28:56] Speaker D: Les mecs essayent de faire la même recette en pensant réinventer la roue et à un moment, bah non. [01:29:02] Speaker E: Ce que je disais, c'est là où je te rejoins. J'en avais déjà parlé il y a quelques semaines, quand j'avais parlé, pour le coup, d'un groupe que j'aime bien, qui est Wild She Sleeps, où j'avais l'impression, où je disais que je trouvais aussi qu'une grande partie de la scène Metalcore, en fait, c'est des groupes qui ressemblent un peu à des photocopies des uns des autres et qu'il y a les mêmes gimmicks, les mêmes types de prod, le même parti pris de jouer avec des accordages hyper bas, de jouer sur l'aspect bombastique de la musique plus que vraiment des... des Stabalova. [01:29:40] Speaker A: Généralement, je suis à la plage, j'ai tout lu. Mais bon, bref. [01:29:44] Speaker E: Plus sur cet aspect percutant de la musique plutôt qu'essayer de se démarquer vraiment et essayer d'apporter sa propre patte. Il y a des groupes qui y arrivent, mais ils sont relativement rares, je trouve. [01:29:57] Speaker A: Si vous êtes un groupe qui a envie de faire du métalcore, alors tentez un petit peu la différence, quitte à ce que ce ne soit pas forcément réussi, mais au moins faites... T'as un essai. [01:30:06] Speaker D: Au moins t'as plus de chances d'être repéré que d'être dans le flot. [01:30:10] Speaker A: Surtout que là ça commence à faire quelques années que c'est Metalcore. [01:30:14] Speaker B: On est noyé dans une mode Metalcore, ça devient compliqué au final. Comme je disais, tout se ressemble, ça devient compliqué. Et je pense que c'est quelque chose qu'on oubliera facilement. Il y aura certains albums, certaines chansons qui vont rester un petit peu, mais après on va vite en sortir. Enfin, on va en sortir, on oubliera je pense tout ça. [01:30:32] Speaker D: Après il y a des gens qui disaient la même chose de Colchamber à l'époque et pourtant c'est devenu que des titres golf. Ce qui est marrant c'est que j'ai. [01:30:43] Speaker E: L'Impression qu'on disait exactement la même chose il y a pratiquement 20 ans du metalcore de l'époque, comme quoi c'était beaucoup de groupes qui se ressemblent, qui font une version on va dire édulcorée du metal pour plaire aux masses. Mais les musiques se ressemblent pas en fait avec le metalcore actuel qui est beaucoup plus influencé par le métal très moderne, le djent, voilà, etc. Alors qu'à l'époque c'était plus influencé par le thrash, le heavy, le death mélodique suédois, etc. C'est deux écoles qui sont... Et puis le hardcore évidemment, bah oui, pour les moshpots, les trucs comme ça. [01:31:15] Speaker A: Très bien, justement Enjoy The Noise, comme c'est un peu le savoir de cette émission, lui aussi choisit des chansons, des morceaux. Alors là, je me suis posé la question, si je connaissais, je ne me souviens pas du tout, mais Némik, tu sais de quoi ? [01:31:28] Speaker D: Ah oui, si. Mais on n'en a pas déjà passé ? [01:31:30] Speaker E: On en a fait passer une fois. [01:31:31] Speaker A: C'est ça, alors. Je me disais, putain, mais attends, ça me parle, mais c'est juste ça, alors ok. Tu connais ? [01:31:35] Speaker E: Deux noms, ça me parle, mais... Ben Mnemik du coup, qui est un groupe danois qui était en cessation d'activité depuis quelques années, puis qui a annoncé qu'en fait il se reformait pour une tournée anniversaire de 20 ans du groupe. Donc voilà, avec le line-up d'origine, sachant qu'il y avait eu des changements, notamment question chanteur. Donc là, ils reviennent avec le chanteur d'origine qui s'appelle Michael Bogdanoff, qui était un... Ah, j'ai peur, Bogdanoff. [01:32:02] Speaker A: Ben non ! [01:32:16] Speaker E: Donc oui, avec le chanteur de l'époque, sachant qu'il y avait eu un français au micro après, donc Guillaume Bidot, qui malheureusement est mort il y a bientôt deux ans. Et donc Némi, qui a eu son petit succès en fait dans les années 2000. Pour le genre, c'est très influencé par Fear Factory, Strapping Young Lad et tout, donc c'est vraiment soulwork aussi beaucoup. Donc c'est quelque part entre le death mélodique, l'induce, le côté cyber très très très moderne. Et ils avaient sorti donc Il y a tout juste 20 ans, en 2004, un album qui s'appelle « The Audio Injected Soul », qui était, alors, s'en vantait à l'époque, notamment le... Il y a une petite explication, c'était, il se vantait, et notamment le producteur de l'époque, Tu Madson, d'avoir produit pour le premier album enregistré en binaural. et donc avec l'idée d'avoir un son qui se répartit à 360 degrés, avec vraiment une expérience auditive immersive, etc. En vrai sur l'album ça concernait certains morceaux, mais pas tous. [01:33:29] Speaker A: Et... Et puis sans être équipé, ça. [01:33:31] Speaker E: Devait pas trop marcher ? Bah en fait si, ça marche plutôt bien dans un casque classique, c'est un peu comme de l'ASMR, sauf que c'est un peu l'ASMR le plus brutal de ta vie, on va dire, voilà. Et donc j'ai choisi... Et donc j'ai. [01:33:42] Speaker A: Choisi de passer... Et donc j'ai choisi. [01:33:49] Speaker E: De passer le morceau Death Box, qui était le single, un des singles de cet album, et qui avait... Alors on l'entendra pas dans le clip malheureusement vu qu'ils l'ont cuté, mais il y avait une introduction qui exploitait beaucoup justement le binaural pour faire un espèce de crescendo jusqu'à la... Jusqu'à l'explosion de l'intro, c'était assez intéressant. Le morceau démarre en plus en trombe et ça faisait son petit effet. [01:34:13] Speaker A: C'est un vieux clip donc peut-être que l'image ne sera pas parfaite. C'est un vieux clip qui n'a pas. [01:34:19] Speaker E: Été re-uploadé en HD. [01:34:20] Speaker A: Apparemment personne n'a eu envie de... J'ai bien aimé donc franchement je ne me souvenais plus du tout de Mnemic. On ira les voir ? [01:34:30] Speaker D: En tout cas, à Mnemic, il ne manque pas de métal. [01:34:32] Speaker A: Je vais y aller. [01:34:39] Speaker C: Je suis dans un état de désespoir Rien n'a l'air d'améliorer ma tête Même si je ne peux pas être là Je ne sais pas qu'il y a un endroit pour quelqu'un C'est parti ! C'est la fin de cette vidéo. J'espère que vous allez bien ! BLAZING FIRE FIRE IN MY EYES. [01:41:18] Speaker A: Encore un petit clin d'œil pour notre monteur vidéo avec cette chanson. Je pense que ça lui a fait plaisir. [01:41:25] Speaker D: Je ne sais pas s'il est méga fan de Noclus. Tu crois qu'il n'est pas fan de Noclus ? Je ne sais pas. [01:41:31] Speaker A: Très bien, c'est le dernier single de Noclus, à savoir que le groupe va sortir le 10 mai, je ne sais pas écrire, un album qui s'appelle « You won't go before you're supposed to ». [01:41:42] Speaker D: C'est écrit par ordinateur ? [01:41:44] Speaker A: Oui je sais, mais j'arrive pas à écrire quand même. Regarde, c'est un peu plus flou là que là. [01:41:47] Speaker D: Ah ouais, mais ça c'est parce que tu poses tes doigts humides. Est-ce qu'on en parle de Noclus ? Tout le monde, c'est vraiment la sensation du moment. [01:41:57] Speaker A: C'est vraiment la sensation du moment. [01:41:59] Speaker D: Tout le monde en train de se palucher, en train de dire... Ouais, depuis 2018-2019... [01:42:02] Speaker E: J'avais entendu parler, j'écoutais encore mais je. [01:42:07] Speaker B: Pensais pas que c'était ce truc. [01:42:08] Speaker D: Depuis 2018-2019, quand ils ont apparu... [01:42:13] Speaker E: Quand ça a commencé à bien marcher, ouais. [01:42:15] Speaker D: Mais maintenant là, tout le monde est en train de dire, des gens qui n'écoutaient pas, enfin tu sais comme toujours, des gens qui ne savaient même pas que ça existait, à l'époque sont là, ah non mais moi depuis le début j'avais misé sur ce groupe qui va sortir vraiment l'album le plus violent de l'année. [01:42:33] Speaker A: Ah ça cherche la violence donc. Oui, ça cherche le frontal. [01:42:38] Speaker D: Moi je n'arrive plus à écouter ce groupe parce qu'en fait je trouve que la proposition à la voix est vraiment... Il n'y a plus... [01:42:48] Speaker A: Là il n'y a aucune variation. [01:42:49] Speaker D: Et encore sur album je trouve que c'est varié par rapport au live. Du coup je les ai vus deux ou trois fois en live et là maintenant je n'ai même plus envie d'y aller parce que ça me fait chier en fait. Bah voilà, mais apparemment j'ai tort puisque tout le monde dit que c'est le meilleur groupe du monde, donc... Je suis un vieux con, ça y est. [01:43:09] Speaker A: Après je pense que tout le monde, ça représente peut-être pas tant de monde que ça. Bon bref. Vous pouvez me le mimer ? Désolé, on est vraiment des gros fans du Grand Détournement, donc c'est systématique. [01:43:30] Speaker D: Les gens qui ont vu le générique doivent s'en retenir. [01:43:33] Speaker A: C'est pas faux. Dans toute ton évolution, donc tout à l'heure on était arrivé à ce moment où internet arrive dans ta vie, tu as commencé par quel réseau et tu pensais que tu en allais arriver là, c'est-à-dire d'avoir une communauté sur TikTok surtout, c'est là où tu as ta plus grosse communauté. [01:43:49] Speaker B: C'est par là où j'ai commencé en fait, quand vraiment je me suis mise à faire ce genre de vidéos. C'était TikTok et je faisais ça vraiment pour penser à autre chose, pour déconnecter du quotidien. Pour moi c'était fun, sans plus. Et puis j'ai vu qu'il y avait des groupes qui commençaient à me contacter. Est-ce que tu peux parler de mon groupe en jouant un concert à tel endroit ? Et puis du coup je me suis dit c'est génial et voilà c'est parti de là en fait tout simplement et je me suis dit tiens si je démarchais peut-être des labels pour parler de leur groupe ou parler de leur sortie album et ça a marché en fait il y a eu deux trois réponses qui ont bien matché et à partir de là voilà quoi j'ai continué sur cette lancée. [01:44:27] Speaker A: Nouveaux médias donc qui prend le relais des anciens. [01:44:31] Speaker B: Très compliqué d'ailleurs, très compliqué comme média que ce soit au niveau des commentaires ou au niveau de l'image en fait que ça dégage TikTok. TikTok ça a une image vraiment pas du tout sérieuse à la base on pense que c'est des gens qui dansent, qui font n'importe quoi et il y a de ça aussi sur les réseaux mais il y a aussi des personnes qui parlent d'informations assez intéressantes comme le métal, comme la musique. [01:44:53] Speaker D: C'est un peu comme tous les réseaux, au final ça dépend de comment tu entretiens ton feed et ce que tu veux suivre et tout ça. Si tu fais des sélections, bon moi je vais très peu sur TikTok et j'ai un feed qui est incroyable et j'espère qu'il ne changera jamais. Mais je ne veux pas en parler ici. [01:45:08] Speaker A: Moi j'en ai marre, je tombe que sur des messages de merde. [01:45:10] Speaker D: Ah ouais, parce que c'est ce que tu regardes ? [01:45:13] Speaker C: Non. [01:45:14] Speaker A: Bon, déjà non, il n'y a pas trop de messages. [01:45:18] Speaker D: Mais après c'est vrai que tous les contenus sont disponibles, après c'est aux gens d'aller se dire vers quoi ils veulent aller. [01:45:26] Speaker B: Oui c'est ça, après vu que je parle vraiment de métal, quand on me dit viens à tel concert, on t'invite, fais-nous une petite vidéo, je me dis c'est génial. Et voilà, les gens se disent il va y avoir la tiktokeuse avec une perche à selfie en train de se filmer, alors que pas du tout, on va juste sur le téléphone, j'essaye de filmer des moments du concert et juste profiter, mais ça a une très mauvaise image par rapport à ça. [01:45:47] Speaker A: Tu veux dire que dans les groupes, les gens se disent c'est cool qu'elles viennent, mais en même temps... Pas les groupes, non. [01:45:52] Speaker B: Les groupes, je pense qu'ils savent maintenant que TikTok, Instagram, c'est vraiment un peu le nerf de la guerre maintenant, c'est ce qui va faire aussi que leur image perdure auprès d'une nouvelle génération. c'est plutôt les personnes au concert, les fans, le public, c'est le plus compliqué. [01:46:09] Speaker A: Genre il y a des gens qui t'emmerdent, enfin qui sont assez agressifs je dirais, négatifs envers toi, quand ils te voient, ils te connaissent mais ils viennent quand même te dire que c'est... [01:46:18] Speaker B: J'ai déjà eu 2-3 personnes qui sont venues me voir en disant, ouais telle personne vient de dire ça de toi, genre elle te supporte pas, je ne la connais pas, c'est l'argile. [01:46:25] Speaker A: C'est bizarre d'aller voir quelqu'un pour dire, tiens j'ai une personne qui a dit ça. J'ai une question pour mon ami. [01:46:32] Speaker B: Et après ouais sur par message j'ai beaucoup de messages négatifs mais j'ai beaucoup plus de messages positifs. [01:46:39] Speaker A: C'est vrai que les réseaux bon c'est pas facile après t'as une communauté qui a grandi assez vite donc c'est que finalement ce que tu fais plaît je trouve que tout justement tout ce que tu fais est assez simple dans ta façon de l'annoncer de le faire il n'y a pas trop de de mise en scène ou quoi, c'est vraiment toi, on te retrouve toi, sincère en train de parler quoi. [01:47:02] Speaker B: C'est ça, bah en fait c'est ce que je dénonce aussi, c'est j'aime pas, je vais pas me maquiller, je vais pas mettre des décolletés parce que je sais que ça c'est ce qui peut te faire de la vue aussi, voilà c'est le truc. Et je vais juste me réveiller et me dire tiens j'ai envie de parler de ça donc je vais lancer la vidéo, je vais pas la prévoir en avance. voilà je fais mon contenu comme ça me vient et je pense que c'est ça qui plaît aussi parce que des personnes peuvent s'identifier et puis voilà ils se disent en fait c'est une personne... [01:47:25] Speaker C: Et puis tu parles de ce qui. [01:47:26] Speaker A: Te plaît donc en vérité tu vois pas pourquoi tu le ferais différemment quoi. [01:47:29] Speaker D: Tu pourrais mettre des décolletés pour la prochaine fois du coup ? [01:47:32] Speaker A: Je suis pas sûr que moi ça marche. [01:47:33] Speaker B: Tu peux essayer. Y'a un public pour tout ! [01:47:36] Speaker A: Y'a un public pour tout ! [01:47:37] Speaker D: Après est-ce que c'est le public qu'on a envie d'avoir ? Moi je prends tout. [01:47:42] Speaker A: Je te rappelle qu'il était question que je sois dans une bassine en bikini. C'est vrai. [01:47:51] Speaker D: On pourrait faire une nouvelle émission, ça s'appellerait Plouf Plouf. [01:47:59] Speaker A: Et les labels justement, quand tu les as contactés là-dessus, est-ce que le retour a été bon ? Est-ce que ça a été difficile ? Parce que je sais que nous on a des histoires, mais toi comment tu l'as vécu et comment eux t'ont accueilli ? [01:48:10] Speaker B: Je pense que la plupart ne m'ont pas répondu et il y a un label qui m'a répondu, qui m'a dit franchement c'est cool ce que tu fais, viens je t'envoie un vinyle et je t'envoie une invitation et c'était Nuclear Blast, donc c'était vraiment un label énorme et je me suis dit ils m'invitent à Archenemy, c'est juste fantastique. Et à partir de là, je pense que ça m'a donné vraiment de la crédibilité auprès d'autres qui m'avaient dit non, ton contenu, t'as pas assez d'abonnés ou voilà, tu débarques. Et au final, voilà, ça a un petit peu fait ce petit changement, ce revirement de situation. [01:48:43] Speaker A: Donc voilà, ça s'est bien passé. [01:48:44] Speaker B: Oui, ça reste positif. [01:48:45] Speaker A: En tout cas, dans l'évolution, tu sens qu'il y a quelque chose qui se développe, d'autant que t'as rencontré beaucoup de groupes français. [01:48:51] Speaker B: Ouais, ouais, c'est assez récent on va dire, c'est vrai que c'est des petits festes qui me contactent, qui me disent « Viens, on t'invite à notre festival, est-ce que tu peux en parler ? » Je dis « Oui, aucun problème, ça me plaît, y'a pas de soucis, je vais aller au festival, je rencontre les groupes, je me dis en fait, les groupes sont géniaux, ils sont accessibles, on peut discuter. » Et à partir de là, en fait, tout ça s'est fait tout simplement. Ils se sont dit en fait, elles cherchent rien, à part juste discuter, à part juste parler de musique, tout simplement. [01:49:16] Speaker A: Oui et puis on va pas se voiler la face, c'est-à-dire que tu restes un média, t'as une communauté qui est grandissante, hyper importante, du coup forcément c'est de la communication, ça permet aux groupes, aux artistes d'entretenir un truc. Nous on vient de la radio donc c'est un vieux média mais... mais c'est comme ça que ça fonctionne, et tout va comme ça. Donc toi, t'arrives dans ce milieu. Parce que moi, les craintes que j'aurais pour toi, c'est peut-être plus la réaction des médias en face. [01:49:45] Speaker D: Bah, je pense que, ouais, en effet, il y a encore... [01:49:48] Speaker A: Toi, des vieux médias, ils vont dire « Ah ouais, c'est qui celle-là ? [01:49:50] Speaker C: ». [01:49:50] Speaker B: Ah oui, non, mais ça c'est arrivé au Hallfest. C'est TikTok, non mais c'est... Enfin voilà, moi je suis de tel magazine depuis... [01:49:57] Speaker A: C'est pas une très journaliste, personne n'a dit ça. [01:50:00] Speaker B: Bah on m'a dit, tu te prends pour une journaliste ? Non, en fait je ne suis personne, je suis juste une fan passionnée et ça plaît au festival, ça plaît, voilà, donc je reste sur ce créneau-là et tant que ça plaît je continue en fait, tout simplement. [01:50:13] Speaker E: Il y avait un peu les mêmes réactions envers les youtubeurs il y a quelques années, alors les gens qui viennent de TikTok, je te laisse imaginer... [01:50:21] Speaker A: Il y a cette espèce d'idée de « ils viennent nous voler notre place », tu vois ce que je veux dire ? [01:50:24] Speaker B: C'est ça, j'ai eu la réflexion de « tu as pris la place de quelqu'un qui était peut-être plus légitime à ce moment-là ». Donc je me suis dit non, on m'a contactée, donc si on me contacte, voilà, je vais pas dire non pour te faire plaisir, au contraire, je prends ma place. [01:50:36] Speaker A: Et puis surtout, tu n'as pas cherché à voler la place de qui que ce soit, et surtout tu n'as pas cherché à te dire, à crier haut et fort que tu étais journaliste. Tu parles de musique, sais-tu. [01:50:43] Speaker B: Voilà, exactement, voilà, je donne juste mon avis en fait, je ne dis pas ça c'est comme ça ou comme ça, c'est mon avis, j'aime bien, j'aime pas, il y a tel album qui est sorti, voilà. [01:50:52] Speaker A: Et puis quand tu parles, il y a ce côté très neutre aussi, c'est-à-dire que tu peux critiquer une chose mais tu vas jamais dire c'est de la merde ou il ne faut pas écouter ça. [01:50:59] Speaker B: J'aime pas le conflit. C'est vrai que pour le coup j'essaye vraiment de rester sur un créneau de « on aime, on aime pas, tout le monde a le droit d'avoir son avis, mais il faut juste être ouvert aux opinions des autres ». C'est dans la bienveillance. J'essaye. [01:51:13] Speaker A: Le débat. C'est un petit peu ça, ça gueule toujours un petit peu, mais au final, normalement, tout le monde en tire ce qu'il a à en tirer, c'est tout. [01:51:20] Speaker D: Moi, ce que je trouve drôle dans la guéguerre entre les anciens médias et les influenceurs, j'aime pas trop le terme... [01:51:29] Speaker A: Pas du tout, moi non plus, je le déteste. [01:51:33] Speaker B: Créateur de contenu sur les réseaux sociaux. [01:51:35] Speaker D: C'Est un peu plus long. Mais ce que je trouve drôle, c'est qu'au final, t'as des gens qui vont faire des émissions, qui vont du coup bosser à la télé ou je sais pas quoi, qui vont venir à jalouser des gens qui font des choses... [01:51:55] Speaker C: Que. [01:51:55] Speaker D: Tu regardes la télé ou que tu regardes une vidéo sur TikTok, ça te coûte le même prix puisque à partir du moment où t'es une télé, voilà. Et ce qui est drôle, c'est que ces gens-là sont haineux envers des gens qui vont dire en effet, tu voles le travail de quelqu'un. Mais en fait, non, c'est juste les gens qui choisissent d'aller regarder quelque chose. Et c'est limite plus dur Enfin, je veux dire, t'as plus de mérite à ce qu'on vienne te regarder sur les réseaux sociaux plutôt que quand t'es dans la seule émission qui va parler d'un style de musique à la télé où t'as été imposé par des directeurs de chaîne, par des machins, par des trucs. Et de toute façon, si tu veux écouter cette musique, t'es obligé de regarder ce mec-là. Et là, t'as une plateforme où tu peux choisir de tous les gens que tu veux regarder, qui tu regardes. Donc au final, c'est comme si on avait voté pour toi. Donc dire que c'est illégitime, c'est... C'est stupide, quoi. [01:52:50] Speaker E: Oui, d'autant que quand tu crées du... J'aime pas le terme, mais contenu sur Internet, généralement, enfin quand tu démarres en tout cas, après tu peux employer des gens, etc. Mais quand tu démarres, tu fais tout, en fait, généralement. Tu fais de l'écriture, le tournage, tu t'incarnes toi-même, tu mets en jeu ta propre image... Tu fais du montage, tu fais le community management derrière, tu fais ta propre com', c'est un travail qui est beaucoup plus complet que faire partie de toute une chaîne de production d'émissions ou de production d'articles pour la presse. [01:53:22] Speaker B: C'est compliqué parce que les gens pensent vraiment qu'on a une rémunération importante par rapport à ça. Et si je gagne 30 euros dans le mois, je suis contente. Vraiment, c'est très faible. Mais même pour les concerts auxquels je me déplace, et quand je propose à des groupes de les suivre, comme Ma Cisteria, que j'ai la chance d'eux, j'y vais avec mes frais. Pour moi, c'est une opportunité de dingue. Et c'est un rêve, en fait, depuis toujours qui se réalise. Mais à côté j'ai ma vie, j'ai mon boulot, j'ai ma fille, j'ai ma famille. C'est un tout à gérer et je pense que les gens ne se rendent pas compte qu'il y a tout ça qui entre en conflit parfois. [01:53:55] Speaker A: Et du coup, on doit dire quoi de ton post ? Si on n'est pas influenceuse ou créatrice de contenu ? [01:54:03] Speaker B: Ouais, si, moi je dis que je crée du contenu sur Internet et je suis photographe de concert. Ça, un peu plus, je me la pète. Je fais photographe de concert également à côté. Parce que le terme influenceuse, il est venu vraiment quand il y avait une partie de personnes qui faisaient des vidéos pour vendre des produits. Moi, je ne vends rien. Je parle juste de ce que j'aime, tout simplement. Donc c'est pour ça que je dis créatrice de contenu. [01:54:26] Speaker A: Ok, et tu suis assistante, mais il y a d'autres choses qui se sont un peu débloquées dernièrement, je ne sais pas si tu as le droit d'en parler ? [01:54:34] Speaker B: Ah oui, si, si, j'ai le droit d'en parler. [01:54:36] Speaker A: Peut-être un peu plus tard ? Parce que tu as mis un groupe. [01:54:38] Speaker B: Qui a un lien un peu plus tard ? Oui, voilà, c'est pour ça que j'ai... [01:54:40] Speaker D: Restez bien jusqu'à la fin de la. [01:54:42] Speaker A: Vidéo, s'il vous plaît. Si jamais vous venez d'arriver et que vous ne savez pas qui est notre invité, c'est super tartelette. N'hésitez pas à noter les liens pour rejoindre tous ces réseaux, parce que c'est vraiment hyper intéressant. [01:54:54] Speaker D: Marcel va vous mettre tout ça dans le chemelot. [01:54:56] Speaker A: Et on va partir sur une chanson, je suis content, « Freak on a leash » de Korn. [01:55:00] Speaker C: Quelle. [01:55:02] Speaker A: Surprise ! Attends, je vais pas la pousser mais je vais dire oui. [01:55:08] Speaker B: Raconte alors. C'était l'époque vraiment où je commençais à écouter du métal et on m'a filé cet album de Korn, il y avait plein de Je vais pas le refaire, mais voilà, quand Jonathan Davis fait tous ces petits trucs. Et j'ai vu le clip de Freak on the leash, je me suis dit ce clip est juste génial. Les paroles, en plus, l'époque adolescente un peu torturée, on dit ça nous correspond. Et voilà, je me suis dit ce clip, ça a été aussi un tournant pour moi. Je me reconnaissais là-dedans, j'adorais la musique. Tout simplement. [01:55:35] Speaker D: Et puis le clip est magnifique. [01:55:36] Speaker B: Le clip est juste extraordinaire. [01:55:38] Speaker D: L'idée, la réalisation, tout est bien. [01:55:41] Speaker E: C'est une créativité. C'était mieux avant, mais c'est une créativité que je ne retrouve pas dans les clips de rock ou de metal actuels, ou en tout cas très difficilement. [01:55:51] Speaker D: Après, c'est les budgets qu'on ne retrouve pas. Parce que l'animation par Todd McFarlane, c'est très cher. [01:56:00] Speaker A: Bah ils avaient des zous. De toute façon c'était le moment où ils devaient être lancés donc la maison de disques avait misé un maximum de thunes sur eux pour que ça explose et ça avait marché donc voilà. On va regarder donc ce fameux clip de Corn Freakology. [01:56:38] Speaker C: Musique d'ambiance Musique de David Fortin Feeling like a freak on a leash Feeling like I have no release How many times have I felt disease Nothing in my life is free, is free Sometimes I cannot take this place Sometimes it's not. [01:58:57] Speaker A: Non, non, non... [01:59:32] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org I am a magnet for broken pieces I am attracted to broken people I pick them up and now my fingers are bleeding And it looks like my fault And it looks like I'm caught Red handed over the hill Epiphany over my head Repeatedly, thick skull, never did Nothing for me, same lesson again Give it to me, give it to me Hey, hey, what's the body count up to? Je n'ai rien pour moi, je n'ai rien pour moi, je n'ai rien pour moi, je n'ai rien pour moi C'est bon. I pick them up and now my fingers are bleeding And it looks like I'm caught red-handed. [02:04:50] Speaker A: Un accident qui finalement se finit bien, puisqu'elle est quand même. [02:04:53] Speaker D: Entière, toujours assise en train de chanter. [02:04:59] Speaker A: Dernier clip en date de Paramore, avec ce titre issu de leur dernier album. J'aime beaucoup ce nouveau Paramore, j'aime beaucoup l'attitude de la chanteuse qui est vraiment douce, mais en même temps sans torturer. Bon, apparemment c'est pas mettre de rouge à lèvres. [02:05:21] Speaker D: Pour la direction artistique du clip, ils ont fait appel au mec de Townstyle, c'est lui dont ils ont dit qu'ils allaient être très contents Je suis content de collaborer avec lui. [02:05:34] Speaker A: Tu pensais qu'il y avait des pelouses. [02:05:35] Speaker D: Des caméras électriques ? Des pelouses, des câbles électriques, tout ça. Vraiment, tout le pinteur restait là. Et ça s'est installé. Et apparemment, du coup, moi j'ai supputé qu'il s'était mis aussi au maquillage, mais que c'était pas réussi. C'est ça ma blague, du coup tu me l'as volée. [02:05:54] Speaker A: Un tuto au maquillage. [02:05:55] Speaker D: Tu m'as tué ma blague. [02:05:56] Speaker A: Désolé. Moi, tu es qu'une pauvre merde de toute façon. Bon voilà, Paramore à voir absolument aussi sur scène, très très bon groupe, c'est un groupe que t'aimes bien ? [02:06:05] Speaker B: J'aime bien ouais, j'ai eu beaucoup de mal justement avec ce nouvel album, le temps d'adaptation je pense. [02:06:10] Speaker D: Surtout quand un groupe a disparu pendant si longtemps et qu'ils reviennent avec un truc aussi différent. [02:06:16] Speaker B: Voilà, tu t'attends vraiment à l'énergie qui se dégageait avant mais au final... Ouais. [02:06:21] Speaker A: Après je peux comprendre que ça puisse décevoir mais le son, la qualité d'album est tellement... enfin c'est très C'est ce. [02:06:29] Speaker D: Que je disais, on en parlait pendant le titre. Je trouve que le nouveau style est du coup beaucoup plus calme et manque un peu de... C'est vrai qu'on a envie de se tabasser un petit peu comme avant. Mais c'est vrai que je trouve ça hyper classe, hyper bien choisi. C'est beau, c'est bien fait. En fait, il faut presque se dire que c'est un autre groupe. Il faut le vivre plus comme ça, je pense. Et là, si on se dit ça, c'est vachement bien. [02:06:56] Speaker A: Est-ce que justement ce genre d'artiste comme Ellie Williams est un exemple, tu penses, ou quelque chose de bien pour la communauté féminine, je dirais, puisqu'on parle souvent justement de la place de la femme ? [02:07:07] Speaker B: Ah oui, tout à fait. J'ai eu la chance d'interviewer Fabienne, la chanteuse de Helouveti. Justement, on avait parlé de ça un petit peu, que parfois c'était pas très facile mais qu'actuellement il y avait de plus en plus de femmes en fait dans le milieu métal et que justement ça a inspiré la jeune génération à ne pas se donner de limites en fait par rapport à ça, à ne pas se dire c'est un milieu masculin, chose qui à l'époque était quand même compliquée. Moi je sais qu'ado dans les concerts de métal il y avait très peu de femmes et on ne regardait pas avec sérieux, on pensait vraiment qu'on était là juste pour accompagner. Donc moi je pense que c'est vraiment un exemple de motivation. [02:07:45] Speaker A: Et puis en plus, elle a des sujets qui sont assez intéressants. Ça aussi, est-ce que c'est des sujets qui te parlent la santé mentale, l'amour de soi-même ? Apparemment, elle n'y arrive pas encore, mais... [02:07:55] Speaker B: Ouais, j'en parle également parce que je m'aperçois qu'on est vraiment nombreux et que les réseaux, ils n'ont pas forcément une très bonne image, mais justement, pour des personnes qui sont isolées, ça peut aider à trouver d'autres personnes qui partagent les mêmes sentiments et au final, à ne pas être seules. Donc, c'est quelque chose que je défends énormément également. [02:08:14] Speaker A: C'est vrai que c'est bien, je n'avais pas vu le concept des réseaux dans ce sens-là. J'ai vraiment le mauvais œil sur le... enfin le mauvais œil, une mauvaise image du net, moi. Quand tu cherches des gens, des amis, j'ai plus l'impression que tu vas tomber sur les mauvaises personnes. [02:08:30] Speaker B: Ah oui bon après ça aussi effectivement ça peut arriver mais je sais qu'il y a des personnes qui sont très introverties et qui sont venues me voir en me disant merci parce que grâce à toi j'ai pu discuter avec d'autres personnes dans les commentaires et éventuellement les croiser en concert donc voilà je trouve ça cool. [02:08:45] Speaker D: Même s'autoriser à aller en concert parce que tu dis je vais pas être tout seul à y aller. [02:08:48] Speaker B: C'est ça, ça aussi, tout à fait. [02:08:49] Speaker A: Et puis ça peut faire des couples, on sait quelque chose. [02:08:51] Speaker D: Ouais ouais c'est vrai. [02:08:53] Speaker A: Fais des coucou à Christina et à... Je vais vous parler d'un concert, moi. Avant de parler du concert de Slift, tu es allé voir ma sistéria. Bon, nous, ça fait longtemps qu'on ne les a pas vues en concert, ma sistéria. Maintenant, il y a la grosse séno et tout, là. Alors justement, ça donne quoi ? [02:09:13] Speaker B: C'était juste extraordinaire du début à la fin. J'ai pu assister au soundcheck, donc rien que ça, je me suis dit c'est génial. J'étais au soundcheck, je me suis dit mais rien que là, c'est énorme. Et la scénographie sur scène du début à la fin, c'est une énergie qui ne désamplit pas, donc c'est énorme. [02:09:30] Speaker D: C'est un rouleau compresseur. Mass en live, c'est... [02:09:35] Speaker A: Le son est bon. L'ingé son est très bon. Ça joue, ça envoie vénère. Il y a quand même des petits passages un peu calmes ou pas sur cette tournée ? Parce qu'il y a des chansons qui sont plus calmes mais qui n'avaient pas forcément l'envie de jouer auparavant. [02:09:50] Speaker D: Je pense pas qu'ils jouent trop de chansons calmes. [02:09:52] Speaker B: Non, pas du tout même. Il faut un cardio de dingue, surtout quand tu es au premier rang. J'ai vu des gens écrasés sur les barrières. C'est très bonne énergie du début à la fin. [02:10:03] Speaker A: Le public de Toulouse ? Extra ! [02:10:07] Speaker B: Après, c'est vraiment d'un public jeune, adolescent, jusqu'à un public qui les a connus depuis leur début. Il y avait énormément de publics jeunes. D'ailleurs, j'ai un ami, Théo, qui est extrêmement fan, qui a 16 ans, qui connaît par cœur tous les morceaux de masse. C'est vraiment toute une génération passée comme future. [02:10:28] Speaker A: Très bien, c'est cool ça, et puis je pense que ça leur fait plaisir de voir justement que ça se renouvelle, parce que c'est pas le truc le plus simple quand t'as un groupe. Moi j'ai été voir Slift, alors Slift c'est un groupe beaucoup plus jeune, qui est de Toulouse d'ailleurs, si je dis pas de bêtises, et j'avoue que c'est pas mon genre de prédilection parce que c'est une espèce de de stoner, enfin dans l'idée en tout cas, stoner, doom, psyché. [02:10:55] Speaker E: Un peu post-metal même sur le dernier album, qui va dans des contrées un petit peu plus obscures justement. [02:11:03] Speaker A: Sur scène, c'est quelque chose d'autre. Je n'ai pas rencontré le groupe que j'ai entendu sur CD. Alors peut-être que les couleurs, les visuels, parce qu'il y a des trucs psychédéliques partout en écran géant. Ils communiquent assez peu, mais en même temps, les chansons sont très longues. Voilà, mais c'est punk, c'est carrément punk, j'ai trouvé des passages punk de ouf, ça envoie vénère, c'est rapide, donc j'étais surpris, comme quoi je connaissais pas vraiment bien. Et il y a aussi des gros passages de jump, de moments où tu peux sauter, genre presque limite, alors attention, je vais peut-être un peu loin, mais néo-métal dans l'idée, c'est-à-dire que ça... Dans le groove. Dans le groove, etc. Ouais, et j'ai passé un moment extraordinaire. Premier morceau un peu compliqué. où t'es là tu dis bon voilà ils ont pas l'air bon ils se mettent en place quoi par contre après le son était incroyable la cigale en vrai mais quelle belle salle je crois que je t'ai envoyé un message j'ai dit putain mais qu'est ce qu'elle est belle cette salle je suis halluciné en fait je me suis assis je me suis dit putain j'avais jamais fait attention et le show light qu'ils font se passe dans toute la salle c'est à dire qu'il n'y a pas que sur scène que ça se passe ça se passe aussi dans les gradins au plafond de partout il y a vraiment un truc qui englobe tout le monde et là où je féliciterais encore plus le groupe c'est qu'ils ont réussi à soulever la cigale qui était archi complète. Et une ambiance de malade. Mais alors, et pareil, très très jeune. Donc bon, ça se renouvelle et c'est plutôt cool, ça fait plaisir à voir. Mais hyper jeune et ça a pogoté, ça a volé. Je n'ai jamais vu autant de crowdsurfing, donc de gens qui se mettaient sur la foule. Mais genre, ça faisait chier, personne. Pourtant, le crowdsurfing, quand t'es bloqué, bon, ça peut te casser les couilles. Mais là, tout le monde était hyper content. Et je félicite cet homme à la chemise à carreaux qui, je pense, a vraiment fait chier à l'intégralité des comptes, qui a fait 200 crowdsurfing et qui était tellement content, parce qu'il gardait sa casquette cachée, mais dès qu'il était en crowdsurfing, il mettait sa casquette et il faisait Et les mecs se croisaient, il y avait une ambiance vraiment incroyable. [02:13:00] Speaker E: C'est toujours comme ça, ça fait partie de ces groupes qui sont hérités du stoner, psyché, etc. Ou comme des groupes comme Earthless, quand ça part, il y a vraiment de l'animation sur scène et dans la foule, ça donne une dynamique assez incroyable. [02:13:15] Speaker A: Sur scène c'est vrai qu'ils ont de grosses grosses présences, pourtant le leader j'imagine, qui est le mec qui fait du clavier et qui joue de la guitare, il bouge pas trop, mais son autre pote par contre là, qui fait des sauts dans tous les sens, en plus il est très grand, et le batteur, ça aussi, big up au batteur qui est un ouf, franchement, il est tout calme, mais alors... Le mec il bombarde dans tous les sens, et en plus il a un appareil à côté de lui, donc il tape, et puis tu vois des fois. [02:13:42] Speaker D: Il bouge du bout du fond... [02:13:43] Speaker A: Il fait des explosos ! On sait jamais, j'ai pas vu ce qui se passait dessous, mais j'ai halluciné. Le batteur Barista ! Arrêtez, ouais, pas de soucis ! Putain le cappuccino ! Le batteur vraiment hallucinant, il faut absolument que vous alliez voir ce groupe sur scène. Petit clin d'oeil aussi au caméraman qui était là pour filmer. Apparemment, il était bien psychédélique. Il filmait pour des images, j'imagine, qui vont être utilisées dans des clips ou je sais pas. Mais alors, il avait un sourire qui montait comme ça. Après, il faisait des grimaces comme ça. Il avait un doux sourire. Il faisait comme ça avec sa caméra. [02:14:24] Speaker C: Il faisait ça. [02:14:25] Speaker A: Et là, je fais « Ah, c'est quand même… » Je sais pas ce que ça va donner, mais il y a un concept. [02:14:32] Speaker D: Il y a un truc qui est drôle à La Cigale, je ne sais pas si les gens sont au courant, mais en fait la salle elle est montée sur vérin, enfin là où la foule est, parce qu'en fait ça descend et en dessous il y a les fixations pour les sièges. [02:14:46] Speaker E: Un peu comme l'Olympia ou comme le Trianon aussi. [02:14:50] Speaker D: Mais la grosse différence c'est que à La Cigale, si tu as quelqu'un qui commence à sauter, en fait tout bouge. Et en fait, mine de rien, ça aide énormément à ambiancer les gens. Parce qu'en fait, dès que ça commence à prendre, tout le monde a l'impression de sauter quoi. Donc bon bah tu y vas. Et le seul problème c'est quand t'es cadreur. Moi ça m'est arrivé. Voilà, tu filmes et en fait du coup ton plan c'est comme ça. T'as pas de solution. [02:15:18] Speaker A: Lui il était sur scène. Il était dans le décor. [02:15:23] Speaker D: Il était bien dans le décor. [02:15:25] Speaker A: J'ai hâte de voir ce que ça va donner. En tout cas, il avait l'air de passer une super soirée. Je les félicite. [02:15:30] Speaker D: Une sacrée soirée. [02:15:31] Speaker A: Je remercie beaucoup Radical d'ailleurs qui m'ont invité. Merci Radical d'avoir invité Pierre. Ils allaient faire beaucoup de choses avec nous. C'est que des gens très gentils. J'avais un petit peu d'appréhension je pense. [02:15:44] Speaker D: Est-ce qu'ils sont pas un petit peu radicaux ? Et puis finalement, des amours. [02:15:49] Speaker A: D'ailleurs, ça me fait penser, on va passer la chanson parce que j'ai envie d'aller manger des radis. [02:15:52] Speaker D: D'accord. [02:15:54] Speaker A: Allez c'est parti donc pour Swift 9. [02:15:56] Speaker C: Minutes donc là c'est cool ! BOUM ! J'aimerais connaître les étoiles, où le ciel s'éteint Pour être la vérité, pour être la mer La différence entre toi et moi C'est ma réalité Ce n'est jamais ce que tu rêveras Les rues de toi sont en ruines Rien ne va en croître Un royaume dorénavant en feu La vie n'a rien à montrer C'est la mort ! C'est la mort ! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org J'ai vu les ombres de ton visage Tu devrais m'avoir sauvé Les rues sont nouvelles et avec des ruines Rien ne va grandir Un monde dorénavant, bâti par un feu Une vie en flamme, avec rien à montrer Quand tu vas partir J'ai une peau à la place où je peux danser Ou est-ce que ce n'est pas un rêve pour toi ? Trop d'années passées Ressenties comme de la merde Corruptions déformées. [02:29:06] Speaker D: Oh dis donc ! Boundaries ! [02:29:09] Speaker A: Boundaries ! [02:29:11] Speaker E: Apparemment, ils ont bien aimé le pestacle, ils lui ont jeté plein de roses à la fin. [02:29:14] Speaker A: En pleine gueule, d'ailleurs. J'ai pas l'impression que ce soit passé si bien que ça. En tout cas, j'avais envie de faire le petit contraste avec Slyft. [02:29:23] Speaker B: Petit, ouais. [02:29:25] Speaker E: Tu pars dans les étoiles et puis après on te ramène sous terre. [02:29:29] Speaker A: Alors ils ont sorti en octobre un album, si ça vous intéresse, ça s'appelle Burying Brightness. Pour ceux que ça intéresse, encore une fois. C'est le genre de musique que t'aimes à écouter toi ? [02:29:38] Speaker B: Parfois, on va dire. Pas tout le temps, pas toute une journée, peut-être même pas tout un album, mais... Ouais, c'est trop. Ouais, c'est beaucoup au bout d'un moment. [02:29:46] Speaker D: C'est intense. [02:29:47] Speaker B: C'est intense, voilà, c'est ça. C'est-à-dire qu'au bout d'un moment, tu te dis, j'ai besoin de déconnecter pour apprécier la suite des morceaux. Voilà, juste le titre. [02:29:55] Speaker A: Bon, je vais vous faire un petit agenda concert, comme d'habitude, comme ça vous saurez sur les deux semaines qui vont se passer ce qu'il va y avoir. Alors, je vais essayer de faire vite. Mais notez bien, parce que c'est quand même très compliqué, parce qu'il y en a des concerts. Donc on va commencer par lundi, demain, 4 mars, il va y avoir Fever Ray à l'Olympia. Je sais que c'est le genre de truc que tu pourrais apprécier. [02:30:15] Speaker D: Je n'irai pas parce que ça va être chiant quand même en live. [02:30:19] Speaker A: Life lives à la boule noire, voilà pour ceux que ça intéresse. Le mardi 5 mars, il y a des pêche-mode à la Cora Arena. Ça c'est bien. J'espère pouvoir y aller. Sophie Elis-Bextor. [02:30:28] Speaker D: Oh bah, Burden de this floor. [02:30:29] Speaker A: Bah ouais, je l'ai noté au Bataclan. Attends, c'est juste trop bien. T'aimes bien Sophie Elis-Bextor ? [02:30:33] Speaker B: Ouais, ouais, j'aime bien. [02:30:33] Speaker A: C'est trop trop bien. J'adore. Voilà, bon, voilà. Gruff Rees, ça c'est pour Boulinosaur que je l'ai noté. Tu pourrais aller voir ça au Solaris à Paris. Je ne sais pas ce que c'est cette salle. [02:30:42] Speaker D: Ah bah écoute, je vais chercher pendant que... [02:30:44] Speaker A: J'ai marqué « au soulage » et j'ai fait « qu'est-ce que c'est que ça ? [02:30:46] Speaker C: ». [02:30:47] Speaker A: Bref, peu importe. [02:30:47] Speaker D: C'est pas un point soleil ? [02:30:50] Speaker A: Et ils vont retrouver Brandon Boyd là-bas. [02:30:53] Speaker D: Entre Brandon Bond et Steven Tyler. [02:30:55] Speaker A: Ah putain, après ils seraient sur moi. [02:30:57] Speaker D: À la soirée niçoise. [02:30:59] Speaker A: L'ambulancier qu'on salue bien fort et qu'on aime beaucoup, qui joue au disquaire. Mercredi 6 mars, il va y avoir Tricky à l'Olympia, oui oui, il est toujours vivant. Coldrain du côté du backstage. Kelly, tu as ta place. Le jeudi 7 mars, il va y avoir Air à l'Olympia. Donc ça, ça peut être pas mal ! [02:31:16] Speaker D: Playground love ! [02:31:17] Speaker A: Bon, je pense que tous les fans de rock iront du côté du Zénith puisqu'il y a Idols, voilà, c'est le groupe qui cartonne. Youksèque, Aurex Club, bon ça c'est pour la suite de la soirée, si vous avez 2-3 petits éléments pour vous aider. Il y a aussi Orsiz, c'est français, ça c'est au point éphémère, je vous conseille vraiment, c'est très très bon. Pour le vendredi 8 mars, il y a Cocorosi, ça aussi je savais pas. [02:31:38] Speaker D: Que ça existait encore. [02:31:39] Speaker A: Voilà, ça c'est pour Petit Punk, je crois qu'il est fan. Mais c'est à l'Alhambra, il y aura Aston Village, je l'ai noté, oui oui je sais, du côté du Forum Vauréal, qu'on salue aussi, on aime beaucoup le Forum Vauréal. Matt Foxy, Zorakam à Bretigny-sur-Orge. Attention, ce ne sont que des concerts en Ile-de-France, je suis désolé. Si vous avez des concerts en province, évidemment, n'hésitez pas à les laisser dans le ch'meule, à écrire les concerts que vous conseillez dans le ch'meule, ou en commentaire, bien sûr, de la vidéo YouTube. Francis Leung, tiens, ça c'est aussi pour Bolinosaur et Maud. C'est au pop-up du label, et il va y avoir le dimanche 10 mars Diiiive, sans Fred Durst, du côté du Trianon. Il y aura lundi 11 mars Dead Poet Society, ça je sais que ça plaît énormément, ce sera à la Maroquinerie, donc c'est juste à côté. Le mardi 12 mars, on vous a offert des places, c'est pour aller voir Ugly Kid Joe, ça sera du côté du Trabendo. Il y aura aussi East East et October Drift, que j'aime beaucoup, au point éphémère. Le jeudi 14 mars, on arrive à la fin. Il va y avoir Orsk au backstage, donc voilà, je conseille aussi chaudement d'aller les voir parce que c'est très très bon. Jean-Jean, notre ami, du côté du Supersonic, j'avais envie de lui faire un petit clin d'œil parce qu'on l'aime vraiment beaucoup. Et il va y avoir aussi Supersport au Treskell. Ils font des concerts, oui, mais ils ne sont pas forcément bons, mais on les aime quand même. [02:32:49] Speaker D: Au moins, il y a de la bière. [02:32:51] Speaker A: Oui, c'est ça. Oui, au moins. Et le vendredi 15 mars, il va y avoir Black Pumas au Zénith, le faveux concert qui va faire beaucoup de bruit, je pense, et Dirty Honey à la machine du Moulin Rouge, voilà. [02:33:04] Speaker E: On peut mentionner aussi, pour vraiment aller dans la province, là pour le coup, le 8 mars, à Auch, donc en Occitanie, il y aura Grande Mazachise, qu'on a reçue il y a quelques semaines. [02:33:14] Speaker B: Alors pour le coup, moi je vais rajouter le 29, 30 et 31 mars, le festival où on a plus 20 ans. Faut tener le compte, là ça va être Takada Jones, Rise of the North Star, Akavel, Krizix, ça va être un bon gros fest. [02:33:25] Speaker A: Et c'est où tu m'as dit ? [02:33:26] Speaker B: Faut tener le compte, c'est du côté de Bordeaux. [02:33:28] Speaker A: D'accord, je vais me situer un peu plus. Et la salle Solaris alors ? [02:33:32] Speaker D: Alors écoute Pierre, la salle Solaris, ça a l'air très étrange parce que c'est une salle que tout le monde peut louer en fait. Et c'est rue Boyer, voilà. C'est vraiment très très joli. [02:33:45] Speaker A: Ça fait pas salle de concert mais c'est joli. [02:33:46] Speaker D: Non mais en fait si, tu vois il y a un petit côté théâtre. Donc je sais pas, c'est sûrement plus pour des trucs acoustiques ou des choses de la sorte mais... Ecoutez, allez-y, puis vous saurez, vous nous direz. [02:34:00] Speaker A: Voilà, vous nous raconterez. Moi j'ai des places de concert, enfin, à offrir, pour aller voir un groupe que j'aime beaucoup, que je soutiens, un groupe français qui s'appelle Seven Weeks, qu'on avait déjà reçu dans Bring the Noise à l'époque où on y était. Et ils sont vraiment adorables, ils ont sorti un album, donc je vous conseille vraiment chaudement de vous procurer de l'écouter, c'est très très bon Seven Weeks, et ils seront le 29 mars du côté de la maroquinerie. je vous offre des tickets. Si vous avez envie d'y aller, il suffit de jouer pierre-restless.com, vous mettez votre nom, votre prénom, et puis ce sera bon, normalement. J'ai un tirage au sort, je n'en ai pas 50 000 des places non plus, mais j'en ai quand même quelques-unes. [02:34:40] Speaker D: Au cas où au Restless, c'est rstlss.com. [02:34:43] Speaker A: Il va falloir apprendre à l'écrire. [02:34:46] Speaker D: On commence à fatiguer. [02:34:48] Speaker A: Justement, on va faire une pause musicale avec ce groupe fameux, Seven Weeks. [02:35:17] Speaker C: I surrender to the waves Waiting for so long to carry the weight By the tides and the line that you drew C'est un chagrin nouveau, une perfection, vous ne serez pas libres C'est un chagrin nouveau, pour tomber, pour vous perdre If the whispers of the day Send your mind C'est la fin de cette vidéo ! C'est parti ! C'est génial ! C'est la fin de cette vidéo. [02:40:40] Speaker A: Qu'est-ce que c'est que ça ? [02:40:41] Speaker D: Ça doit être quelqu'un qui doit avoir mal à la gorge à la fin de sa journée. [02:40:44] Speaker A: Mais il ne peut pas faire tout un concert, là. Bon, le clip est vieux. J'ai pas sélectionné celui avec le meilleur son, désolé. J'ai rendu compte, là, en le disant. Mais c'est toi qui as choisi ça, Joyden ? [02:40:56] Speaker E: Le morceau « Wrath » du groupe Nazum, qui était, pour le coup, parce que c'est un groupe qui n'existe plus, qui était un groupe de grindcore suédois. Et ce qu'on vient d'écouter en fait, ça a 20 ans en fait, ça a 20 ans cette année, c'est sorti en 2004. [02:41:09] Speaker D: Ça c'est du grind quoi. C'est du grind, alors ça, ça a 20 ans. Ouais, c'est bon. C'est vraiment juste des questions rhétoriques. [02:41:20] Speaker E: Alors oui, malheureusement, la qualité du clip rendait vraiment pas hommage, rendait pas vraiment honneur à la qualité de l'album, puisque du coup, double anniversaire de 20 ans, donc les 20 ans de l'album Wrath, qui est le dernier album de Nazoom, qui est un album... Ça, effectivement, c'est du grindcore, mais c'est un album qui, je trouve, est une bonne porte d'introduction à ce genre-là, puisque c'est un album qui est... Ça, c'est peut-être le morceau le plus accessible de l'album, mais en même temps, bon, c'est un album qui est bien composé, qui est assez varié, qui distribue 24 bourre-pif en 38 minutes, donc voilà, on garde quand même vraiment la dynamique du grindcore avec les morceaux courts et tout. C'est une bonne moyenne, voilà. Donc, très très bel album qui est pas mal révéré encore aujourd'hui. Et autre chose un peu plus triste en fait, c'est que c'est les 20 ans de la mort du chanteur Mieszko Talarczyk. Celui qu'on vient de voir... [02:42:14] Speaker A: Il n'est pas de chez moi. [02:42:17] Speaker E: Ah bah non, polonais, oui c'est sûr. Et en fait, du coup, il est mort lui aussi en 2004, l'année de sortie de l'album, parce qu'en décembre 2004, il est allé en vacances en Thaïlande. Et qu'est-ce qui s'est passé en Thaïlande à ce moment-là ? Il y a eu un tsunami. et il fait partie de ces touristes européens qui ont été victimes de ce tsunami. Donc malheureusement, le groupe a arrêté les frais suite à ça. Ils ont juste sorti des compilations de ce qui leur restait, des lives, etc. Ils ont fait une tournée, on va dire, d'adieu avec un autre chanteur en 2012. Et depuis, plus rien. [02:42:51] Speaker D: Après c'était quand même une bonne raison d'arrêter. C'est assez efficace quoi. [02:42:55] Speaker A: J'imagine qu'ils n'ont plus jamais repris le bateau. [02:43:01] Speaker D: T'as les noix de coco au bord de la plage... [02:43:03] Speaker A: C'est finito là... Non mais c'est horrible... [02:43:06] Speaker D: Finito les noix de coco ! [02:43:08] Speaker E: Finito les noix de coco, exactement ! [02:43:09] Speaker A: Qui tassent les bananasses ! [02:43:10] Speaker D: Ah bah sûrement ! [02:43:11] Speaker A: Couper en doses... [02:43:12] Speaker C: Les potatos ! [02:43:12] Speaker A: On va arrêter là... Ok, super l'histoire, tu avais vraiment... [02:43:20] Speaker D: Alors, de quel prochain chanteur mort, on va parler ? [02:43:23] Speaker A: Je me suis dit, il va nous dire un truc de... Ouais, c'est un truc de ouf, mais je pensais que ça allait être un peu plus positif. [02:43:28] Speaker D: Et du coup, les malheureux hasards. Pierre, entre nous, je pense qu'il a quand même un problème, parce qu'à chaque fois, il nous parle de gens qui sont morts. [02:43:33] Speaker A: C'est vrai qu'il aime bien les trucs un peu dark. [02:43:35] Speaker D: Je me demande si tu sais le gamin dans le sixième sens, c'est pas lui. Alors attention, parce que je vous vois bien. [02:43:43] Speaker A: Bon, bon, on va passer à l'ascension suivante alors. Non, mais oui, est-ce que c'est dans le même style ? Ah, je suis un démon ! Alors je ne sais même pas dire leur nom, je sais pas, toi tu sélectionnes des trucs, je sais pas d'où ça sort là. [02:43:58] Speaker D: Du coup le prochain morceau, on part. [02:43:59] Speaker A: Sur un morceau de Ishan, qui est un artiste... [02:44:15] Speaker D: Toi ? [02:44:15] Speaker A: Ah oui, moi je connais beaucoup de Hicham, oui. Non, pas pareil. [02:44:19] Speaker E: Et là, on part sur du norvégien, là, en plus. [02:44:23] Speaker A: C'est possible. C'est possible aussi. [02:44:25] Speaker E: Donc, Hicham, qui sait, c'est un artiste culte de la scène black metal. Le type qui, avec son groupe Empore, a sorti un album cultissime à ses 18 ans, donc une The Nightside Eclipse, qui a lancé, on va dire, le genre black mélodique, black symphonique même. et qui en fait, du coup, depuis 2006, a entamé une carrière solo qui mêle donc black metal, heavy, influence prog, influence un peu jazz, etc. Et donc... [02:44:55] Speaker A: T'as encore un truc de drogué là. [02:44:56] Speaker D: Non, c'est les fans de Michel Jonas. [02:44:59] Speaker A: Exactement. [02:45:00] Speaker D: Un peu party, un peu jazz... [02:45:04] Speaker A: Tu es tendu comme ça. Désolé, je crois que je te coupe. Donc Michel Jonas, black metal norvégien. [02:45:20] Speaker E: Et là, il a sorti un album en février. Un album solo qu'il a fait à fait pendant trois ans en autoproduction. C'est un album qui mélange un peu toutes ses influences et avec des orchestrations derrière. Et il a tout géré en fait. L'album est sorti en deux versions. Il y a la version classique métal avec orchestration et il y a une autre version qui est la version orchestration toute seule. On peut retrouver les deux sur les plateformes, etc. Et donc le morceau que j'ai... C'est un morceau qui est... Enfin c'est un album que j'ai écouté, que je trouve super intéressant, qui est... Qui en plus a le bon goût, je crois, de ne pas durer trop longtemps pour le genre, donc c'est plutôt une bonne chose. Et... Parce que ça peut vite... Ça peut vite être un peu inaccessible. mais un album très intéressant et donc le morceau que j'ai choisi c'est donc un des morceaux de cet album qui s'appelle Twice Born et alors le morceau je l'écoutais l'autre jour à la maison et à ce moment là il y a ma compagne donc Mylène qui est passée dans la pièce et qui a écouté un petit peu avec moi et qui a commencé à fredonner le générique des Simpsons et le problème C'est qu'une. [02:46:30] Speaker D: Fois que tu l'as entendu... Et je. [02:46:33] Speaker E: La maudis absolument, Mylène, je te maudis, parce que depuis, je ne peux plus le désentendre. [02:46:39] Speaker A: C'est mort. [02:46:41] Speaker E: La rythmique et tout, même dans les orchestrations, il y a des cordes un peu virevoltantes à la Daniel F man et tout, ça marche. Et donc maintenant, je ne peux plus y penser quand j'écoute ce morceau. [02:46:53] Speaker A: Ça salope le morceau, quoi. Voilà, c'est ça. [02:46:54] Speaker D: Alors après, si ça peut te rassurer, ils sortent une troisième version de l'album où c'est tout en ska. Et là apparemment, il y a beaucoup moins de problèmes. Apparemment, j'ai lu sur Reddit qu'ils disent. [02:47:07] Speaker C: Que... [02:47:09] Speaker D: Qu'Il y a beaucoup moins le côté Simpson dans la version Scar. Voilà, en tout cas, c'est ce que le journal Intergalactique a reçu. Par contre, il y a des gens. [02:47:19] Speaker E: Qui vont te prendre au sérieux là. [02:47:20] Speaker D: C'est les QAnon qui ont... Enfin bon, voilà, c'est un peu compliqué. [02:47:24] Speaker A: Vous cherchez. Enfin, pas trop. Vous en bombez pas en tout cas. [02:47:28] Speaker D: Mais surtout, croyez bien ce qu'on vous dit. [02:47:32] Speaker A: Du coup, ça me donne très envie de regarder ça, je pense que tout le monde aussi. Je te le laisse lancer la chanson parce que je ne pourrais pas le redire. [02:47:40] Speaker E: Du coup, c'est un morceau de E-Shan. [02:47:41] Speaker C: Le morceau c'est « Twice Born ». J'ai cru que j'allais mourir. J'ai cru que j'allais mourir. C'est terrifiant ! J'ai tombé à mes pieds et j'ai confronté la nuit, incitée par le prospect de ma démise imminente. Mes péchés s'éteignent en flamme, et le sacre s'arrête. Comme des anges, les scales s'éloignent. J'aime bien ce son. C'est le moment de l'événement, un coffre porte le Z. Ses yeux sont gros et rouges. Il sait que tu dois le voir, c'est ce qu'il faut faire. [02:54:09] Speaker A: Mais j'aime les lapins, j'adore les lapins. Mais là en l'occurrence j'ai trouvé ça très amusant et c'est un groupe que je ne connaissais pas non plus qui s'appelle The Peel et ils nous viennent tout droit de Frankfurt. [02:54:26] Speaker D: Comme quoi à Frankfurt on fait pas que des saucisses. [02:54:28] Speaker A: Bah non, on fait aussi des lapins. [02:54:29] Speaker D: Et des mecs qui jouent de la guitare après un certain âge avec des t-shirts trop courts. [02:54:35] Speaker A: J'ai pas fait trop attention. J'ai vu qu'ils avaient un certain âge mais j'ai pas fait attention. Vous voulez mieux qu'ils aient un t-shirt plus long ? [02:54:41] Speaker D: Non mais c'est bien, après il faut assumer son corps. [02:54:46] Speaker A: Il vient de sortir un EP le 1er mars donc n'hésitez pas à aller checker sur toutes les plateformes d'écoute. Notre invité ce soir c'est Super Tartelette. Fiona de son prénom. Mais c'était important pour te retrouver sur les réseaux de taper Super Tartelette. Alors, pour la petite anecdote, j'avoue que je suis tellement gourmand que la dernière fois que j'ai dit à Ben « je suis content de recevoir Super Tartelette », je t'ai dit « putain, je suis content de recevoir Super Tartiflate ». [02:55:08] Speaker B: Mais tout le monde dit ça, c'est incroyable. [02:55:10] Speaker D: Ça c'est l'hiver. [02:55:11] Speaker A: Et là je me suis dit « le mec est obsédé par le fromage », parce que ça sent le camembert aussi dans les studios parce que j'en ai acheté. Mais voilà, tout le monde te dit ça, ça me rassure. [02:55:21] Speaker D: Surtout, je voudrais dire, tu t'es acheté du camembert qui est puissant et à un moment où tu ne peux pas manger de pain, c'est-à-dire vraiment... Tu t'es dit, je vais manger du. [02:55:32] Speaker A: Camembert... Non, je l'ai chopé avant. [02:55:35] Speaker B: C'est le timing. [02:55:35] Speaker A: Et je l'ai chopé au moment où je me suis dit, j'arrive à manger quand même un peu. Et bon bref, on s'en fout. Erreur fatale. Donc super, super tartiflette, les gens, il y a des gens qui t'ont appelé comme ça ? [02:55:43] Speaker B: Ouais, ouais, les gens... [02:55:44] Speaker A: Je suis désolé, je trouve ça marrant de vous le dire parce que c'est con mais... [02:55:47] Speaker B: Mais en même temps, super tartelette, c'est très con à la base. Si j'avais su que ça marcherait, peut-être que j'aurais choisi une autre pseudo. [02:55:52] Speaker A: Pourquoi tu t'es appelée comme ça ? [02:55:54] Speaker B: C'est un pseudo qu'on m'avait donné quand j'étais ado en fait. C'était une blague, c'était partie d'une blague tout simplement. [02:55:58] Speaker A: Parce que c'est mignon, c'est super mignon. [02:56:00] Speaker B: Du coup les gens en retiennent, donc je me dis bon les gens en retiennent, je vais garder ça maintenant. Je me suis dit attends, elle doit. [02:56:03] Speaker A: Savoir faire des super tartelettes de ouf et tout. [02:56:06] Speaker B: Il y a du concept du coup, il y a un concept. [02:56:08] Speaker A: Faut faire un storytelling, tu l'inventes, on s'en fout, personne n'en aura le vérifié. Tout à l'heure tu parlais du fait que tu avais un enfant. Oui, tout à fait. Et cet enfant, est-ce qu'il écoute du rock ? [02:56:20] Speaker B: Elle a 4 ans, donc elle commence. Elle screame un petit peu, donc ça c'est bien parti. Le petit « oh » c'est pas mal. Et elle aime bien, vu qu'on met des clips en fond, « Arch Enemy », « Slipknot ». Elle aime bien, ça se passe quand même. [02:56:37] Speaker D: Alors moi j'ai énormément d'amis qui ont eu des enfants et qui ont découvert que mettre des musiques très violentes peuvent aider à endormir les enfants. Alors j'ai des exemples avec Gojira notamment, et du coup j'ai des potes et quand leurs enfants ne dorment pas, ils foutent Gojira et ça berce l'enfant. [02:56:58] Speaker B: Fun fact, nous on l'a bercée je pense les 6 ou 7 premiers mois sur le dernier album de Slipknot. Alors c'était We Are Not Your Kind, à ce moment-là, et ça l'endormait. Et alors du coup elle adore cet album. Donc je sais pas si, bien de cause à effet, si vous voulez un enfant métalleux, peut-être qu'on verra. Dans 10 ans on en reparlera si ça a eu des effets néfastes. [02:57:18] Speaker A: Souvent j'ai des amis par contre qui ont fait écouter du métal et puis leur gosse est super fan de Jul. [02:57:22] Speaker B: Ouais, je pense que de toute façon, on peut pas contrôler ce genre de choses. [02:57:27] Speaker A: J'ai espoir, j'ai espoir. [02:57:28] Speaker D: Après tous ces pierres, on m'appelle l'ovni. [02:57:31] Speaker A: On revient au message intergalactique. C'est on jamais. [02:57:35] Speaker D: En tout cas sur Reddit. [02:57:38] Speaker A: Et du coup, du côté de Montpellier, Je sais aussi que tu t'es fait des amis métalleux, dont un qu'on va recevoir la semaine prochaine, on en parlera à la fin de l'émission. Mais il y a une communauté métal qui s'est créée, que tu sens qui se crée quelque chose, il y a quelque chose qui se passe à Montpellier, parce que pour ceux qui habitent là-bas, Moi, encore une fois, je suis du Sud et je sais que sur Avignon, je ne trouve rien. Enfin, j'ai l'impression que s'il y a un bar, mais bon, il est tellement punk que bon... [02:58:07] Speaker B: Il y a de plus en plus, je pense que c'est en train un petit peu de redonner un second souffle. [02:58:11] Speaker A: Sur Aix-en-Provence, il y en a beaucoup. Il y a plein de trucs métal. [02:58:12] Speaker B: Aix-en-Provence, c'est pas mal. Il y a des bonnes salles, il y a le Sismic qui est vraiment sympathique. Mais Montpellier, oui, il y a quand même des bons concerts. Victoire 2, Secret Place, on en parlait. Il y a eu Abbatt, il n'y a pas longtemps. Ça, c'était génial. [02:58:24] Speaker A: Y'a des soirées un peu ? Y'a des trucs pour faire du... Sortir, faire des taffs ? Non parce que moi je me renseigne pour mes vacances ! [02:58:31] Speaker D: Pour rencontrer des gens qui... [02:58:34] Speaker A: On peut lire par contre, c'est très gay ça, je peux te le confirmer. [02:58:36] Speaker D: Ouais mais métal. [02:58:37] Speaker A: Ah bah peut-être qu'il y a des soins avec du métal. [02:58:38] Speaker D: Ouais mais c'est pas ça que tu demandes ? [02:58:40] Speaker A: Non, je voulais juste métal. Non, non. Juste pour aller te bonguer pendant 10 minutes et te faire « Oh putain mon dos ! [02:58:47] Speaker B: » Secret Place, pour ça c'est le bon endroit je pense. Ça bouge pas mal quand même là-bas. Petite salle, bon concert. [02:58:53] Speaker A: Bon, t'as des projets en dehors de ce dont on va parler après, parce que ce n'est pas encore dans ce speak-là ? [02:59:00] Speaker B: Oui, après les projets ça va être les festivals cet été, de toute façon... [02:59:03] Speaker A: On va te voir à Welfest ou pas ? [02:59:05] Speaker B: Normalement oui, je suis en train de planifier ça, mais j'aimerais beaucoup... Je voulais le Grasse Pop, il y a le Welfest, il y a le boulot... Donc voilà, ça va être compliqué, plus tous les petits fests aux alentours, Plein Air Fest, Furious Fest, on verra tout ça, mais ça c'est les projets qui arrivent, je pense. [02:59:22] Speaker A: Oui, à côté de chez vous, il y a l'Extrême Fest, ouais. [02:59:24] Speaker B: Il y a l'Extrême Fest aussi qui va être... C'est un très très bon festival également, donc il y a de plus en plus de festivals. De toute façon, c'est quelque chose qui est en train vraiment de se développer. [02:59:34] Speaker A: On est d'accord qu'en France, c'est ça, il y a de plus en plus de quoi se nourrir de métal, au moins en festival, si c'est pas en concert. [02:59:41] Speaker B: Et qui permet de découvrir des groupes justement. Je suis allée à un tout petit festival et j'ai découvert plein de petits groupes au final qui tournent dans d'autres festivals de plus en plus grands. Donc moi je dis qu'il faut y aller, que ce soit un petit ou un grand festival, il faut y aller, il faut découvrir les groupes parce qu'on fait de super rencontres et on découvre vraiment des musiques qui sont extrêmement géniales. [02:59:59] Speaker A: Je vais te poser une question indiscrète. C'est quoi ton taf, si tu veux bien le dire ? [03:00:04] Speaker B: Ah oui, je suis dans l'hôtellerie. Je suis réceptionniste dans un hôtel, donc je gère la réception d'un hôtel, donc voilà, c'est un peu compliqué. Même si j'ai des horaires fixes, voilà. [03:00:12] Speaker A: C'Est... Oui, c'est pas le plus simple. C'est sûr que pour la fatigue, c'est quand même assez... [03:00:17] Speaker B: Voilà, après c'est des horaires fixes, mais bon, voilà, c'est surtout pour libérer du temps, pour pouvoir partir les week-ends, revenir fatiguée en général. Je reviens avec des cernes, mon patron il sait. concert hier ? [03:00:28] Speaker A: Oui effectivement, c'est possible. [03:00:32] Speaker B: Après ils sont au courant et j'ai un patron qui est vraiment extrêmement ouvert, super cool par rapport à ça. On va voir cette année parce qu'il y a quand même plus de projets qui sont rajoutés par rapport à l'année dernière donc on va voir ça. Et peut-être qu'il suit l'émission parce que je lui ai envoyé le lien, il m'a dit qu'il regarderait. [03:00:46] Speaker A: Ah bon, on lui fait un énorme coucou et puis un gros merci à lui. [03:00:48] Speaker B: Et j'ai besoin de jours off cette année. [03:00:50] Speaker A: Faites-le s'il vous plaît, c'est quand même pour la passion et son bonheur. Si elle est heureuse, elle travaillera très bien. C'est vrai. [03:00:56] Speaker D: Ah bah toujours mieux. [03:00:57] Speaker B: C'est mieux. [03:00:57] Speaker D: Regardez Pierre. [03:01:01] Speaker A: Bon justement, on va venir à la polémique. [03:01:02] Speaker D: Ah, polémiquer. [03:01:04] Speaker A: Bah oui. On y est. [03:01:06] Speaker D: Le sujet. [03:01:06] Speaker A: Ah oui, d'accord. Tu es donc fan de Ghost ? [03:01:11] Speaker C: Oui, ça fait. [03:01:14] Speaker A: Et Ben, c'est pas qu'il est pas fan de gosses, c'est que bon... Tu vois pas vraiment d'intérêt. [03:01:19] Speaker D: Déjà je les ai vus en live. [03:01:21] Speaker A: Tu les as pas vus deux fois ? [03:01:24] Speaker D: Trop de fois, je sais pas si c'est une ou deux mais c'était trop. [03:01:26] Speaker A: C'est jamais assez, mais bon. [03:01:28] Speaker B: Tout est question de point de vue. [03:01:30] Speaker D: C'est sûr, c'est sûr, il y a les gens qui ont le bon goût et puis d'autres... Ceux qui ont le. [03:01:34] Speaker B: Bon goût vont voir, si on est d'accord. [03:01:38] Speaker D: Non mais oui, il y a des gens bien qui écoutent Ghost. [03:01:41] Speaker A: C'est quoi que t'as attiré dans Ghost ? C'est ce côté disco ? C'est ce côté pop ? [03:01:45] Speaker B: Ouais, c'est ce côté vraiment années 80 en fait. J'étais dans une période où la musique m'ennuyait. J'avais perdu carrément un petit intérêt sur la musique métal. Pour moi tout se ressemblait, c'était compliqué. Et j'avais décroché. Et il y a un ami qui me dit « t'as jamais écouté Ghost ? » Je lui dis « non, j'en ai entendu parler, je croyais que c'était du black metal ». Et je pense qu'on a beaucoup eu tous cette impression. [03:02:05] Speaker A: Le visuel. Le look. [03:02:06] Speaker B: Je me suis dit bon je vais écouter et il me fait écouter Rat de Ghost et je suis restée scotché parce que j'adore le hard rock des années 80, je retrouvais pas mal de codes là-dedans et je me suis dit je vais vraiment m'intéresser à ce groupe et j'ai adoré tout ce qui entoure ça en fait, l'histoire, les musiques, voilà c'est catchy, cette imagerie là ça m'a plu directement. [03:02:25] Speaker D: Et tu t'es dit finalement c'est pas si mal Genesis ? [03:02:29] Speaker B: C'est encore mieux. Je sais qu'il y a beaucoup de codes des années 80, qu'il y a beaucoup de choses prises un petit peu à droite à gauche, mais cet univers qu'il a su créer, cette originalité quand même, je trouve que j'aime. [03:02:44] Speaker A: Il y a un côté amusant aussi. Il y a ce côté amusant, ouais. Peut-être que lui a un melon d'enfer, mais je pense qu'il y a beaucoup de second degré dans l'histoire. D'ailleurs, ça part un petit peu dans tous les sens. [03:02:54] Speaker E: Il y a un lore complètement délirant derrière Ghost. Faut pas chercher quelque chose de très intellectuel non plus. [03:03:00] Speaker B: Oui, voilà, c'est vraiment pour rire en fait. C'est vraiment pour... C'est fun. C'est fun, j'aime la musique. Je trouve quand même que la musique, elle est bien travaillée. Il y a quelque chose derrière qui fait que... Voilà, c'est... C'est très original, moi j'adore. [03:03:14] Speaker D: Non mais après moi je comprends, j'entends tout, tous ces arguments. Après, quand on a subi les années 80, on n'a pas envie d'y retourner quoi. Normalement c'est... Voilà. [03:03:24] Speaker A: Bah moi je vais voir Kim Wilde hein, donc j'ai pas besoin d'aller voir Congole. [03:03:27] Speaker D: Ça c'est les vraies années 80. [03:03:28] Speaker A: Et les punks. La OG ! Après je suis plus vieux donc du coup je suis peut-être plus concerné par ces sons-là. [03:03:38] Speaker D: Non mais en fait je peux comprendre qu'on aime ces sons-là. Mais c'est juste que moi j'ai beaucoup de mal avec la musique des années 80. [03:03:46] Speaker A: La boîte à rythme, le saxophone... Ah le saxophone quand même c'est... Parce que dans les années 80 c'était quand même pas utilisé tout le temps d'une bonne façon. Alors je dis pas qu'aujourd'hui c'est... [03:03:59] Speaker D: Il y avait Kardesh Whisper et le reste. [03:04:01] Speaker A: Exactement, merci. [03:04:02] Speaker E: Mais justement, avec le saxo, des fois, plus c'est kitsch, mieux c'est, meilleur c'est. [03:04:07] Speaker D: Oui mais du coup, je sais pas... [03:04:09] Speaker A: On en revient au point de vue. [03:04:11] Speaker D: Non mais oui et non. Mais en fait, le problème, c'est les gens qui trouvent ça cool. [03:04:17] Speaker A: À ton style ? Ah bah non. [03:04:19] Speaker D: Exactement. Et tu viens de mettre le doigt dessus, c'est exactement ça. C'est Pinterest. Le saxophone Pinterest est interdit. [03:04:29] Speaker A: Bon, il y a le jazz aussi, tout à l'heure tu parlais de... Non mais ça aussi, je sais pas ce qu'il y a maintenant où ils le mélangent partout. Très rapidement d'ailleurs, c'est toujours des extraits très rapides qui arrivent de nulle part. [03:04:42] Speaker E: Ou alors des groupes qui intègrent ça pleinement dans leur concept, comme Shining, le groupe norvégien. [03:04:47] Speaker D: J'étais sûr. T'as dit ça ? Ah bah tiens, il va te parler de Shining dans deux secondes. [03:04:52] Speaker A: Par contre on aura remarqué qu'il préfère les groupes de l'hémisphère nord qu'au l'hémisphère sud. [03:04:54] Speaker D: Shining tatoume. [03:04:55] Speaker A: Shining plus maintenant par contre. Il brille plus. [03:05:01] Speaker D: Non parce que le chanteur est mort. [03:05:03] Speaker A: Non. [03:05:04] Speaker D: Mais la créativité, par contre. [03:05:08] Speaker A: Justement, parlons de mort, on va regarder le clip de Ghost. Il n'y a pas de poterie dedans, je vous rassure, mais beaucoup de sensualité. [03:05:17] Speaker B: L'imitation, c'est vraiment... [03:05:18] Speaker A: Il y a un travail, c'est quelque chose. Allez, c'est parti pour Ghost. [03:05:45] Speaker C: Abonnez-vous ! Merci. Cambio des flottes minimales C'est génial! C'est génial! [03:14:07] Speaker A: A Cavell à l'instant donc un groupe français. Un groupe français que j'ai pu rencontrer lors des triomphes du métal. On a bien rigolé, des gens très sympathiques. Et ça joue, ça joue. Et puis j'ai l'impression que tu les connais bien. Un petit peu. [03:14:22] Speaker B: De plus en plus on va dire. [03:14:24] Speaker A: Ils sont du sud aussi. [03:14:25] Speaker B: Ils sont d'Aix-en-Provence. [03:14:27] Speaker A: Aix-en-Provence, Tavignon, je sais. La chanteuse est voisine de mes parents. On la salue d'ailleurs, j'ai fait des grands bisous. Mais oui, Akiabelle qui prend quand même un sacré envol, qui marche plutôt pas mal. [03:14:40] Speaker B: De plus en plus, tout à fait. [03:14:42] Speaker A: Et puis toi qui se rapproche un petit peu. [03:14:44] Speaker B: Un petit peu, oui. Après, quand mon compte TikTok a commencé à décoller, c'est un des premiers groupes qui m'a dit on t'envoie des vinyles, si t'aimes bien tu en parles, si t'aimes pas c'est pas grave et tout, j'ai accroché direct. Et puis je suis allée les voir en concert, et puis on a sympathisé, et puis je les ai suivis, ça s'est fait comme ça, un petit peu effet boule de neige. Et du coup, maintenant, voilà, je les suis de plus en plus, voilà. C'est cette opportunité-là qui s'est débloquée, et c'est juste extraordinaire. [03:15:09] Speaker A: Bon, et ça peut ouvrir des portes, peut-être, sur d'autres choses. Moi, je te souhaite de trouver du travail aussi. Alors, dommage pour ton patron, mais... Comme c'est ta passion, j'imagine qu'il y a peut-être cette envie de pouvoir Passer de l'autre côté aussi ? [03:15:26] Speaker B: Bah ouais, voilà, c'est vrai qu'eux, voilà, on a vraiment sympathisé, ils m'ont donné cette chance-là depuis le départ, en fait, et j'adore leur musique, j'adore ces personnes-là, c'est des personnes vraiment sympas, qui sont ouvertes, qui discutent, qui sont proches de tout le monde, et voilà, je partageais leurs photos, leurs vidéos, ils ont dit « ok, si tu veux, tu deviens notre tour community manager, voilà, tu nous suis sur nos dates, tu partages les photos, tu fais des vidéos », c'est... Je me suis dit oui ! C'est parti, pour moi c'est pareil, c'est un rêve de gosse qui devient réalité donc je vais avoir l'opportunité de les suivre sur d'autres dates et de grandes dates à venir. [03:16:05] Speaker A: Non, en plus c'est des gens bienveillants, c'est des gens très gentils encore. Quand même, bon, pour les plus vieux, ma mère me dit, oh là là... [03:16:13] Speaker D: Elle crie fort la dame. [03:16:15] Speaker B: C'est ce que ma mère a dit en fait. Ma mère m'a dit, oui, mais tu suis ce groupe. Je suis allée voir leur profil, ils ont l'air sympathiques quand même. Ça crie, mais ils ont l'air gentils, donc non, pour le coup... Rassurez-vous, ils. [03:16:25] Speaker A: Sont très, très, très gentils. [03:16:27] Speaker B: Ils sont extra, vraiment. [03:16:28] Speaker A: Beaucoup d'humour aussi. Donc c'est cool, c'est finalement d'avoir suivi ton instinct, d'avoir fait les choses naturellement, sans trop te poser de questions aussi, parce que j'ai bien compris, ton parcours c'est un peu ça. [03:16:39] Speaker B: C'est ça, exactement. [03:16:40] Speaker A: C'est de faire les choses qui viennent, comme ça, t'as une aînée, tu t'en fais ni trop ni pas assez, juste tu fais ce que t'as envie de faire. [03:16:45] Speaker B: C'est ça, c'est au jour le jour, et voilà, je me dis bon, maintenant je fais ça aujourd'hui, pour les dates je m'organiserai, je me dis je trouverai, je vais y aller mais je trouverai comment et c'est vraiment dans le jour. [03:16:57] Speaker C: Voilà, t'es motivée de ouf de toute façon. [03:16:57] Speaker B: Voilà, ouais, voilà, de toute façon je vois que ça s'accélère un petit peu et que c'est ma passion de toute façon donc j'adore ça donc j'y vais à fond et je me dis on verra bien. [03:17:06] Speaker A: C'est génial qu'un groupe puisse justement se dire, tu sais quoi, on est content, pourquoi pas justement faire... Parce que c'est quand même très important pour un groupe d'avoir un community manager, on va pas dire l'aujourd'hui. Et c'est très compliqué d'en trouver un bon. [03:17:22] Speaker B: C'est j'espère faire le boulot. [03:17:24] Speaker A: Tu sais comment ça se passe. Tu t'es compris le fonctionnement aussi. Et je trouve ça hyper cool et courageux aussi de la part d'un groupe de te faire confiance. Je dis pas que t'es pas bon, c'est juste que c'est un investissement aussi de temps, de confiance. Et c'est cool, je les félicite. Je te félicite aussi, bravo. [03:17:43] Speaker B: Merci beaucoup. Mais voilà, c'est aussi grâce à eux tout ça. Je pense que c'est un échange de confiance. Ils ont vu qu'on pouvait se faire confiance mutuellement. Et voilà, j'essaye de les aider au maximum comme eux m'aident au maximum. Et j'espère que cet effet va porter ses fruits. [03:17:56] Speaker A: Voilà, si vous regardez cette émission et que vous appréciez le travail de Super Tartelette et que vous avez des capacités pour la rémunérer, pour faire des choses comme ça, ben pensez-y ! Non mais c'est vrai, c'est important de le dire, si vous regardez cette vidéo même plus tard, n'hésitez pas à la contacter. [03:18:11] Speaker D: Surtout dans une ère comme aujourd'hui où au final c'est quand même dur de... Enfin avant on payait... Les groupes payaient des pubs ou des... Qu'est-ce qu'on appelle ? Le public rédactionnel ou des choses comme ça. pour se faire connaître. Au final, aujourd'hui, je pense que c'est plus intéressant de donner cette mission à quelqu'un qui sait faire marcher, enfin qui sait comment fonctionnent les réseaux et pour vous aider à développer au mieux ce que vous pouvez faire. C'est vrai qu'il faut comprendre que les choses ne marchent plus comme avant, même si aujourd'hui, certains attachés de presse n'ont pas encore réussi à voir comment ça se passe la communication aujourd'hui. Il faut bien se rendre compte que ça a changé. Les gens ne sont plus au même endroit qu'avant. Les gens sont différents sur toutes les plateformes et du coup, il y a des gens qui sont spécialistes de ça et qui comprennent ça. [03:19:08] Speaker A: C'est ça, qu'ils comprennent les logiques, qu'ils le maîtrisent, et en plus qu'ils connaissent le sujet métal. Donc en général, il y a vraiment l'intégralité. [03:19:15] Speaker D: Les codes autant des réseaux que de ce style. [03:19:17] Speaker A: Exactement. Voilà. Super tartelette, notez-le. Plus Yona évidemment, mais sur les réseaux super tartelette. Et ça aussi, c'est le truc, je suis désolé encore une fois, c'est un nom qui est mignon, qui est rigolo, Mais aujourd'hui, on se parle comme ça. C'est-à-dire que moi, ça me rappelle quand on était... Bon, j'étais à la fac. Mais quand on était jeunes... Sur un. [03:19:36] Speaker D: Mécène, tu veux dire ? [03:19:36] Speaker A: Sur un ICQ, un mécène, un truc à la con comme ça. Et on avait tous nos pseudos et on s'appelait comme ça. Nous, compris. [03:19:41] Speaker D: C'était nos e-mails aussi. Tous les noms étaient pris, tu te mettais un... [03:19:46] Speaker B: C'est pour ça que j'ai gardé ça. [03:19:48] Speaker D: Moi, mon nickname, mon nom que les gens me connaissent sous un nom, ce n'était pas prévu. C'était juste mon email et j'ai commencé à faire un peu comme toi. J'ai commencé à faire des contenus avec un groupe et ils ont utilisé des photos dans un artwork d'album. Il fait « Ah, au fait, je t'ai crédité ». Je fais « Ah ouais ? T'as mis quoi ? [03:20:06] Speaker C: ». [03:20:06] Speaker D: « Ben, Berzerker ». Ok, d'accord, je garde. [03:20:10] Speaker A: Bon, je vais continuer. [03:20:12] Speaker D: Je l'ai gardé. [03:20:13] Speaker A: Moi, je ne l'ai pas gardé. Mais c'est ça qui est amusant, il n'y a plus non plus cet empêchement de l'utiliser, c'est-à-dire que normalement ça faisait pas sérieux, mais aujourd'hui on est passé au-delà parce qu'en fait c'est le symbole de qui tu es, c'est juste un nom, on a bien compris que c'était pas grave. et je trouve ça cool aussi, et ça c'est très intéressant. Bon voilà, c'est tout ce que je voulais dire, mais je voulais te féliciter, j'attendais la fin de l'émission juste pour te dire que je te souhaitais le meilleur bien sûr pour la continuité de ta carrière. [03:20:47] Speaker D: On te souhaite tout le meilleur du monde. [03:20:49] Speaker A: Et que quelqu'un, pour aujourd'hui, comme pour demain. [03:20:52] Speaker C: Merci. [03:20:52] Speaker E: Et que quelqu'un vaut autant de la... mais c'est déjà fait visiblement. [03:20:55] Speaker B: Voilà, apparemment c'est déjà fait. [03:20:56] Speaker A: On l'aura pas du tout dans la tête, c'est malin. Ça c'est l'enfer. Je me tourne vers So Enjoy the Noise parce que c'est la dernière sélection musicale avec le tout nouveau single de Horror. [03:21:07] Speaker E: Oui de Horror, bah que dire à propos de Horror, on connaît plutôt bien. Donc groupe de hip-hop, hardcore. [03:21:14] Speaker D: Indus, pas mal indus. Le titre est complètement Nine Inch Nails. [03:21:21] Speaker A: Très Nine Inch Nails. [03:21:23] Speaker D: Très très Nine Inch Nails. [03:21:30] Speaker E: Donc oui, Aurore, tout simplement. Généralement, c'est déjà de la tuerie en studio, c'est encore plus fatal en live. Donc si jamais, Aurore, il faut absolument voir en live parce que c'est là que ça dévoile absolument tout son potentiel. Et puis voilà, donc nouveaux morceaux, nouvelles tueries. Que dire de plus si ce n'est... [03:21:51] Speaker D: Que c'est merveilleux et qu'on a un passion de les revoir. [03:21:55] Speaker A: Excusez-moi, j'étais en train de me tripoter derrière moi. Tu sais que je suis amoureux d'un des deux. [03:22:00] Speaker D: C'est bien lumineux quand tu te tripotes. [03:22:03] Speaker A: Tout s'allume. [03:22:07] Speaker D: Mais oui, du coup, oui. Titre excellent d'ailleurs. [03:22:11] Speaker A: Elle est très très haute, mais ça m'a surpris, je ne m'attendais pas à ça, je m'attendais à un truc crade et tout, mais là on est passé vraiment, on a passé un step d'induce et d'agressivité différente. [03:22:22] Speaker D: Ouais ouais, je suis d'accord. Ça démarre très hip-hop lourd et après ça vire à l'induce, tout en gardant cette vibe un peu malsaine. Moi j'ai beaucoup aimé ce titre. [03:22:32] Speaker A: Et puis du très joli encore une fois, je sais pas... [03:22:35] Speaker D: Je vais pas regarder le clip. [03:22:37] Speaker E: Ils sont deux en même temps. [03:22:38] Speaker A: Ouais y'en a un qui m'intéresse moins. Celui qui prend trop de tases m'intéresse moins. Maintenant devinez. [03:22:45] Speaker D: Celui qui a un grand cheveu. [03:22:49] Speaker A: Bon allez on va regarder ça tout de suite alors. Aurore avec A Machine Off. [03:23:03] Speaker C: Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org You can't fuck with me You know you can't fuck with me Fuck I live 99 degrees Un machinave ! C'est la fin de cette vidéo ! Merci d'avoir regardé ! J'espère que vous avez apprécié cette vidéo ! Et watch as the months go by. [03:29:13] Speaker D: When you'll find out I'm not a. [03:29:15] Speaker A: Really good, really good, really good Oui, on a dit pas le physique, bon... C'est pas le physique, c'est son front. Il a un trop front. [03:29:24] Speaker D: Il a une dépression frontale. [03:29:26] Speaker A: En fait, d'un coup, il réfléchit trop fort et ça fait comme les ballons. C'est vrai que c'est le fois où. [03:29:32] Speaker D: Ça t'es arrivé aussi. [03:29:33] Speaker A: Moi, il n'y a plus rien, j'ai mis du liquide dedans. [03:29:35] Speaker D: Ah, du liquide vaisselle, c'est ça les bulles ! [03:29:39] Speaker A: Voilà, j'espère que cette émission vous plaît. N'hésitez pas à cliquer sur le petit cœur ou à nous rejoindre sur YouTube ! Merci à toutes les personnes d'ailleurs qui nous ont rejoints, je vois qu'il y a quand même pas mal. [03:29:50] Speaker D: Oui, merci beaucoup, il y a eu quelques petits subs aussi, merci beaucoup. Et si ça vous intéresse, on va peut-être faire un système où il y aura des caméras partout dans le bureau et puis vous pourrez nous voir discuter toute la journée, donc avoir ce genre de conversation. Si vous voulez le voir pire, il faudra se connecter vers 16-17h. C'est là à l'heure à laquelle il arrive. [03:30:13] Speaker A: Puis je repars pas longtemps après. C'est vraiment une petite fenêtre. [03:30:17] Speaker D: Après vers 18h, il fait « Bouh, je suis fatigué, je vais rentrer ». [03:30:23] Speaker A: C'est véridique. Puis bon, je rentre pas, je vais dans un bar. Je vais nourrir mon alcoolisme. [03:30:30] Speaker D: Faut bien nourrir quelqu'un. [03:30:32] Speaker A: En tout cas voilà, c'était One Step Closer qu'on vient de regarder, d'écouter. C'était quand même intéressant parce que, je ne sais pas si vous vous rappelez, on en a déjà passé du One Step Closer et c'était quand même un petit peu plus agressif avant, un peu plus hardcore je dirais, dans l'idée. Bon là il faut faire un petit tour dans Turnstile. [03:30:46] Speaker D: Ouais, mélodique hardcore. Bah t'as la partie un peu criée qui fait un peu come back kid version calme. Et puis la partie Turnstile, je chante les yeux rivés dans le mur. [03:30:57] Speaker A: En tout cas, il était triste, il a enlevé les photos de, j'imagine, sa meuf. [03:31:01] Speaker D: Géraldine, je crois qu'elle s'appelait. [03:31:03] Speaker E: Je sais pas pourquoi, j'avais le même nom en tête. [03:31:06] Speaker C: Gégé. [03:31:06] Speaker D: Parce qu'il y a une tête de Gégé. On l'appelle Gégé. La Gégas. La Gégène. D'ailleurs, la Gégas, si tu regardes, je te passe un coucou. [03:31:15] Speaker A: Moi, je me tais parce que j'ai trop de trucs et puis en fait, ça n'a ni d'intérêt. [03:31:20] Speaker D: Ni queue, ni tête, ni pied, ni. [03:31:22] Speaker A: Main, ni bout, ni chou. [03:31:26] Speaker D: Je le savais, c'est que si je l'avais fait ! [03:31:28] Speaker A: Bon, tu perds ta toilette ! Merci encore mille fois d'être venu jusqu'ici, j'espère que t'as passé quand même un bon moment. [03:31:33] Speaker B: Ouais, c'était génial, merci énormément. [03:31:35] Speaker A: On parle beaucoup, puis on dit beaucoup de bêtises. [03:31:36] Speaker B: J'ai lu ça, mais c'était cool. [03:31:38] Speaker A: J'ai apprécié, c'était chouette. Quelque chose à dire pour la suite ? Est-ce que tu veux annoncer quelque chose ? [03:31:44] Speaker B: Non, j'annonce rien. Au jour le jour, vous verrez ce qui se passe. Merci à tous ceux qui sont venus sur le live. Merci de continuer à me soutenir, de soutenir la scène métal et rock française. Les petits festes comme les gros. On se croise bientôt. Merci à tous. C'est ce que j'aurais à dire. [03:32:00] Speaker A: Vive le rock, vive le rock et vive le métal. Evidemment, montez le son, n'hésitez pas à faire crier ça dans votre voiture, parce qu'il y a tout le temps du rap et de la techno, pourquoi pas du métal aussi ? Bon, je sais que c'est ridicule, mais... [03:32:10] Speaker D: C'est surtout qu'il faut vraiment un bon système son pour que ça rende quelque chose. [03:32:16] Speaker A: C'est très noise. Oui, tout à fait. C'est New York. [03:32:20] Speaker D: Ah ouais, c'est tellement toi. [03:32:22] Speaker A: On fait un bisou à Julien Benatar d'ailleurs, qui est habitué de mettre de la musique, qui écoute Molchat Demba dans sa voiture. Bon, merci Enjoy The Noise aussi. On se retrouve la semaine prochaine avec, je le disais, un ami, enfin, une amie à toi. Connaissance. Un voisin. [03:32:42] Speaker B: Voilà, c'est ça, un voisin. [03:32:43] Speaker A: Eric Canto, qui va, j'espère, normalement arriver. [03:32:46] Speaker B: S'il n'y a pas de grève cette. [03:32:47] Speaker A: Fois-Ci, on croise les doigts. Sinon, on fout en l'air la SNCF, mais voilà, il sera là, il viendra nous parler de son bouquin. [03:32:53] Speaker D: Je peux dire qu'on a dénoncé les grèves SNCF, ça tremble. Là, ils savent que... Attendez, restez sur notre dos, attention à ce qu'on va faire. [03:33:03] Speaker A: C'est con parce que c'est ceux qui voulaient investir dans l'émission, mais... Tant pis. [03:33:08] Speaker D: C'est juste toi qui voulait ça pour avoir des billets de train. [03:33:11] Speaker A: Mon abonnement commence à coûter trop cher. [03:33:14] Speaker D: Donc Eric Canto qui sera là, Eric Canto qui est photographe et qui viendra nous parler de son livre Roadbook. [03:33:20] Speaker A: Et qui a vécu beaucoup, beaucoup, beaucoup. [03:33:22] Speaker D: D'Aventures et qui a vu beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses. [03:33:24] Speaker A: Il nous dira peut-être pas tout non plus parce que sinon on peut avoir des problèmes, mais en tout cas, il nous racontera ses petites péripéties. [03:33:29] Speaker D: Ce qui est drôle, c'est qu'on le connaît depuis longtemps. [03:33:31] Speaker A: Moi, Eric... Moi, je connais... Moi, je. [03:33:33] Speaker D: Pense qu'Eric, j'ai dû le rencontrer il y a presque au moins 15 ans. [03:33:38] Speaker A: T'as pas envie de dire 20 ? Bah non, parce que je pense que. [03:33:41] Speaker D: C'Est pas 20, mais je pense que c'est plus 15. Je pense que c'est plus 15. À l'époque c'était avec Ziars que je l'ai rencontré. Donc c'était... [03:33:49] Speaker A: Un groupe qui n'existe plus. Tu sais que j'ai quitté OUIFM... Ah non, c'était il y a 10 ans. [03:33:52] Speaker D: Ouais... Non mais je sais. C'était même pas il y a 10 ans. [03:33:54] Speaker A: Ouais, ça sera 10 ans, bref. Ok, bah très bien, voilà. En tout cas, je vous souhaite une bonne soirée. Merci encore. [03:34:00] Speaker D: Merci Ben pour... Oh bah de rien Pierre, tout le plaisir est pour moi. [03:34:03] Speaker A: C'était un carton plein. [03:34:04] Speaker C: Oh bah... [03:34:05] Speaker D: Sauf le son au début, mais bon. [03:34:07] Speaker A: Ça c'est parce que c'est pour mettre un peu de piment. [03:34:08] Speaker D: Bah voilà, on voulait voir si les gens faisaient bien attention. [03:34:12] Speaker E: Si les gens nous écoutaient bien avec le son. [03:34:13] Speaker D: S'ils savaient lire sur les lèvres. [03:34:15] Speaker A: Exactement, merci. On va partir sur une chanson, j'ai choisi PJ Harvey, juste parce qu'il y a un clip qui vient de sortir. Je sais, c'est pas métal, mais on aime PJ Harvey. Le début est un peu compliqué, comme d'habitude, et puis quand on rentre dans la chanson, on fait... Si vous pouviez venir ici, ce serait cool. J'aimerais beaucoup recevoir Pete Gervais. [03:34:34] Speaker D: Ah bah moi aussi. [03:34:35] Speaker A: Je pense qu'elle ne voudra pas me parler, mais... [03:34:37] Speaker D: Pyjama Harvey. [03:34:38] Speaker A: Bon allez, très bien, sur ces bonnes paroles, passez une bonne semaine, bon courage pour le travail. [03:34:42] Speaker D: Merci encore d'être venu. [03:34:43] Speaker A: Merci de suivre et merci de soutenir le métal, de suivre Super Tartelette, Restless et tous les autres, que ce soit des dealers de métal, etc, etc. Je ne vous dis pas tous les noms parce qu'il y en a beaucoup, mais c'est très important, c'est comme ça. Et monsieur coussin ours blanc mort... C'est une fin horrible. [03:35:00] Speaker D: Bisous ! [03:35:02] Speaker C: Adieu ! Rangled round the orchard Her fingernails were ripped From hauling clay-filled bits Out of the river's edges For pots with happy voices Consume it with tranquillity Only ease by scratching Whisper as slim as thistles Or sickly chicken whistles I've seen an eye of childhood With coats of real hornwood I've met friends running nowhere I've walked away when elsewhere Jusqu'à ce qu'à la barre voltée, querellée par Donna Sun, elle connaissait un vaisseau pour un autre Wardown. Où les pas doivent être bas, et leurs pieds sur les pierres, les vents du Nord s'accrochent, donnant des lignes au dieu. Of crates of real and worn wood Of not friends running nowhere Of fog of ailing elsewhere Of mother's voice not calling Of corrugated iron Of devil's birds and whiskey Of sugar hawks and fleecy Un pour le caillou. [03:38:12] Speaker A: Deux pour le spectacle. Et voilà, c'était mon souvenir. Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant. [03:38:34] Speaker C: Disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon… N'hésitez pas à vous abonner !

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