#115 - DAMIEN BAUTHAMY en invité

Episode 117 December 12, 2025 03:37:45
#115 - DAMIEN BAUTHAMY en invité
Bang!Bang! RSTLSS
#115 - DAMIEN BAUTHAMY en invité

Dec 12 2025 | 03:37:45

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Show Notes

  Dans cet épisode, nous allons revenir sur le métier de producteur de spectacle et nous allons le voir d’un autre regard, celui de Damien Bauthamy qui travaille chez VERYSHOW. A savoir que ce tourneur est le 1er à nous avoir fait confiance, donc c’est un plaisir de le recevoir. Il faut savoir que nous connaissons Damien depuis fort longtemps et qu’il travaille d’arrache pieds depuis des lustres, avec son lot de réussites mais surtout de défaites. C’est un métier dur, semé d’embuches ! Il va tout nous raconter ! Et je peux même vous dire qu’on va comprendre encore...
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Episode Transcript

[00:00:08] Speaker A: Oh. [00:00:22] Speaker B: Je me rappelle des chemins de l'enfance Je me rappelle les pistaches Oh p'tit déjeuner Bienvenue à vous tous, à vous tous, bienvenue dans Bang Bang, le meilleur du métal et de l'alternative rock, c'est comme ça que vous voulez… Et des pistaches ! Des pistaches, bien évidemment ! Je ne crois pas qu'on en. [00:00:42] Speaker C: Ait. [00:00:42] Speaker B: Mais… Quoi ? Secret Girl, allô ? Qui est au bout du fil ? Ce soir, encore une fois, on va mettre en avant le métal, la musique qui nous anime, celle qui nous donne plein d'émotions, qui nous fait chialer, qui nous fait rire et qui nous donne envie de danser et de frapper. Mais on ne le fait pas bien évidemment parce que nous sommes des gens respectables, enfin normalement. Et bien sûr, avec tout cela, ce soir, nous allons bien sûr aussi parler des news, des news. [00:01:06] Speaker C: Avec Galadis, Gabi j'allais. [00:01:08] Speaker B: Dire. Galadis ? J'allais dire Galade. Oh. [00:01:12] Speaker C: Là là, oh là là, elle a sorti son. [00:01:13] Speaker B: Glaive. Elle est prête à te... [00:01:17] Speaker B: Elle. [00:01:17] Speaker C: Va me fouetter, je le sens. [00:01:18] Speaker B: Elle va te tailler en pièces. Ce soir, Gladys sera là aussi pour parler de deux morceaux qu'elle aime. Elle sera là et elle fera l'imperméable à quelque chose qu'on. [00:01:31] Speaker C: Passe assez rarement dans cette. [00:01:32] Speaker B: Émission. qui lui tient à cœur. Et qui lui tient fortement à cœur. Donc on va parler de tout cela. Il y aura aussi bien évidemment notre invité, je le dis tout de suite, Damien Botamy, qui sera là avec nous. Il nous parlera bien sûr de son parcours, de son amour de la musique et bien sûr des bons moments, des mauvais moments, bref, de tout cela. Et avec nous, il n'y a eu que des bons moments. Oh oui ! J'espère qu'il ne va pas dire qu'il y a eu des mauvais moments. Oh oui ! Non mais je suis extrêmement heureux de le recevoir, ça fait 67 millions de fois que je le harcèle pour qu'il vienne et il a. [00:02:03] Speaker D: Dit. [00:02:03] Speaker C: Je viens et après. [00:02:04] Speaker B: Je porte plainte. Voilà. Il a bien raison. Sinon Ben, comment vas-tu. [00:02:10] Speaker C: ? Bonsoir. [00:02:11] Speaker B: D'Ailleurs, je t'ai même pas dit bonsoir. Bonsoir Pierre. [00:02:13] Speaker C: Comment vas-tu ? Comment s'est passé ta soirée ? Oh, merveilleuse. [00:02:21] Speaker C: Non, écoute, très bien. Hier, j'ai travaillé cette semaine pour changer. Et hier, je suis allé voir un événement organisé par un ami à moi, qui est une exposition d'art qu'il a faite à la Clé à Saint-Germain-en-Laye. Et c'était accompagné d'un workshop sur le son spatialisé, parce que c'est aussi une chose qu'il fait dans sa démarche artistique, du son dans. [00:02:50] Speaker B: L'Espace. mais pas. [00:02:52] Speaker C: Le space où il y a les astéroïdes. La connexion intergalactique. Non, pas celui-là. Et puis, il y avait des concerts avec différents artistes. C'était plutôt électro, mais de l'électro qui tabasse. Je peux vous dire que ça tabassait. Et je me suis dit, écoutez, si un jour on venait organiser un concert et tout, je me dis que pour terminer la soirée, Ce genre de musique, ce serait vraiment pas. [00:03:19] Speaker B: Mal. Tu sais. [00:03:21] Speaker C: Il y avait 665 que tu as vus. Que j'ai vécu. Que tu as vécu. Et là, c'était dans une autre, du coup, en salle, avec des projections où, pour te donner. [00:03:33] Speaker B: Une petite idée, il. [00:03:34] Speaker C: Y avait un visage méta-humain. Très réaliste. C'est badant, ça, déjà. Ouais, surtout que la personne était âgée et ridée. Et tous. [00:03:47] Speaker B: Les. [00:03:47] Speaker C: Sons, donc tu vois un peu comment les sons réagissaient. Oui. Tous les sons, c'est réagir des lumières sur ce visage, mais aussi des expressions faciales. Et donc, il y a des phases où les yeux font comme ça. [00:03:59] Speaker C: Et on a. [00:04:01] Speaker B: L'Impression que la personne est en train de faire une. [00:04:02] Speaker C: Crise de... Ou torture ou de quelque chose qui se passe. Convulsion, on ne sait pas. Et. [00:04:08] Speaker B: Ça a mis une ambiance très particulière. [00:04:12] Speaker C: Et c'était hyper intéressant. Et les projections sont sur les murs qu'il y. [00:04:17] Speaker B: A autour ? Non, non, c'était juste. [00:04:18] Speaker C: Sur un grand écran devant. Et il y avait aussi des lasers qui venaient jouer dessus, puis des lumières. C'était quand même très impressionnant. Et puis après, il y avait d'autres artistes où il. [00:04:26] Speaker B: N'Y avait que des choses de lumière ou que l'écran. Mais c'était... Grosse influence. [00:04:31] Speaker C: Encore une fois, Train de 13 Nord, Nine Inch Nails. [00:04:34] Speaker B: ? Oui, oui, on peut dire que c'est... Il y a une... Oui. Voilà, son ombre est là. Absolument ! Et toi Pierre, une bonne semaine ? Oui, une excellente semaine ! Je n'ai encore une fois pas réussi à faire tout le travail que j'avais à faire, mais bon, ce n'est pas grave ! On va y arriver un jour ou l'autre, ce n'est pas très grave. Mais par contre, je me suis bien amusé quand même, parce que même s'il faut travailler et que j'ai du retard, je pense quand même à faire n'importe quoi. Et je suis allé à deux concerts, moi. Écoute, je suis allé voir Perturbator. C'était... J'y suis allé vendredi, moi. Vendredi soir au Bataclan. Et d'ailleurs au Bataclan à qui je fais un énorme bisou plein de love. [00:05:18] Speaker C: Love, love. Parce que lorsque je suis. [00:05:20] Speaker B: Rentré dans la salle au bar, on m'a reconnu immédiatement. Et attendez, vous êtes la star ? Vous. [00:05:26] Speaker C: Êtes celui qui picole comme un trou. [00:05:27] Speaker B: Ah non, c'est fini. Mais non, je suis juste le trou ! C'est une petite délicace pour mon frère. J'essaie de trouver comment rebondir mais je suis scotché au sol, ventousé si je peux me permettre. [00:05:44] Speaker B: En tout cas perturbator, j'ai regardé ça avec beaucoup d'attention, je me souvenais d'avoir vu ça il y a déjà fort longtemps, on avait vu ça au Hellfest aussi une fois. Et c'est très bon, c'est très très bon. Alors, il y a à la fois des choses qui sont formidables, parce que ça envoie, ça tabasse, ça. [00:05:58] Speaker C: Joue. L'hélicoptère avec les cheveux, il y a une maîtrise. Attention, parce que ça. [00:06:03] Speaker B: Fait vraiment partie du show. Est-ce qu'il arrive à s'envoler. [00:06:05] Speaker C: ? De quoi. [00:06:06] Speaker B: ? Il arrive à s'envoler ? Non, parce qu'il faisait devant, donc il aurait été tout droit comme. [00:06:10] Speaker C: Ça. C'est une ventilation. C'est une ventilation, oui. Et oui, c'est plus. [00:06:15] Speaker B: Un ventilateur, vous avez raison. Excusez-moi, il faut être précis. [00:06:20] Speaker B: Il peut faire l'avion, mais il faut avoir les bras comme ça. Et à ce moment-là ? Non, il ne fait pas ça. Mais il prend son clavier, il le secoue et il y a cette... Je te jure, je suis resté scotché. C'est incroyable, son cheveu est aussi long. Et de ne pas taper sur le clavier avec ses cheveux, il arrive à garder quand même... Je ne sais pas. Il y a un angle. [00:06:38] Speaker C: Un calcul d'angle. Je pense qu'il y a quelque. [00:06:40] Speaker B: Chose de... On peut toucher aux Jeux Olympiques. Il y a de la performance. Et comme quoi, la France a encore de. [00:06:47] Speaker C: L'Avenir. Exactement. Mais très. [00:06:50] Speaker B: Gros son, show. [00:06:51] Speaker C: Light absolument magnifique avec beaucoup de fumée. [00:06:52] Speaker B: Et puis il y. [00:06:53] Speaker C: A de. [00:06:53] Speaker B: Jeux... Ah show light d'accord, light show. Light show ouais. Non parce que show light je croyais que c'était... Bah léger. Une boisson. [00:07:02] Speaker B: Un show latte. [00:07:04] Speaker B: Bref, il y avait de très belles lumières, ça allait dans tous les sens, beaucoup de lasers, beaucoup de strobos, etc. Mais ça jouait bien. Le truc un peu kitsch, ce n'est que mon avis encore une fois, c'est ce moment où ils se séparent. C'était déjà comme ça avant. Il y a la batterie et. [00:07:21] Speaker C: Il y a lui avec les claviers. [00:07:22] Speaker B: Et une guitare électrique qui chante aussi d'ailleurs. Il chante un peu gothique. J'adore le post-punk. Bah oui, il a aussi un groupe... Oui, mais... I know, mais surtout le dernier album, il y avait pas mal de trucs post-punk. Et donc du coup, ça se sépare. Et ça se remet ensemble. Et là, tu fais... Il va se passer autre chose ou c'est juste ça ? Ouais, c'est juste ça. Ça, j'ai trouvé ça... Bon... Pas une réelle utilité. Alors on va me. [00:07:45] Speaker C: Dire, oui, mais c'est parce. [00:07:46] Speaker B: Que derrière, le décor, il y a une espèce de pierre comme ça, qui est un peu en biais. Toi, tu spoiles tout, là. J'en ai rien à foutre. De toute façon, on a mis une vidéo sur notre Instagram qui a été. [00:07:56] Speaker C: Vue énormément et qui a même été partagée. Parce qu'on va bientôt avoir Perturbattant en invité. Mais non ! Ah, je. [00:08:02] Speaker B: Peux te le dire. Je peux te dire que ce sera bientôt ici même. J'en connais un qui va. [00:08:06] Speaker C: Vraiment être malheureux de. [00:08:07] Speaker B: Cet effet. Ce sera début janvier. J'ai décidé de le. [00:08:11] Speaker C: Faire vraiment la première semaine de janvier. Perturbattant. [00:08:13] Speaker B: En invité ici. Eh ben, très bien. [00:08:16] Speaker B: Bref, non mais c'était vraiment très bien. Ah, j'ai compris. [00:08:25] Speaker B: C'est pas grave. [00:08:29] Speaker B: L'important c'est que toi t'entendes. [00:08:32] Speaker B: Non mais voilà sinon hier j'ai été voir Resolve du côté du Trabendo, un Trabendo qui était... [00:08:41] Speaker B: Oui, peut-être, un peu. Ils sont un peu moins dans le style de Papa Roach. Mais tout gentil, il y avait Aurore, il y avait Icy Dice, et c'était... Il y avait Aurore ? C'est ceux que j'ai vus en tout cas. Ouais, Aurore, Aurore, Aurore, les Marseillais, pas Aurore. Moi aussi, quand j'étais au bar en train de me prendre une petite ginger beer, et il y a le chanteur de la chaîne qui est venu et qui m'a dit « T'es en. [00:09:03] Speaker C: Train de louper Aurore. [00:09:04] Speaker B: ? » J'ai fait « Mais. [00:09:04] Speaker C: Aurore, qu'est-ce qu'ils. [00:09:05] Speaker B: Foutent là ? » Il m'a dit mes noms Aurore, Aurore comme dans le sud. Aurore comme le prénom. C'est comme le matin. Voilà, et donc j'y suis allé. Comme Aurora Illinois. Par exemple, voilà, ça. [00:09:16] Speaker C: C'Est le meilleur exemple que tu pouvais, meilleure illustration. Vous êtes fins, vous êtes fins. Ça se mange sans fin, vous savez. Pas tant, pas tant. Et donc, c'est très bien Aurore. Non mais je sais que tu dis ça pour me faire plaisir, mais que je suis gros, j'ai bien. [00:09:27] Speaker B: Compris. Merci de le rappeler encore une fois. Est-ce que je te rappelle à toutes les émissions que t'es homosexuel ? Non, c'est vrai. Eh ben non, parce que tu t'en occupes toi-même. Ça, ça fait quand même deux tards. Bon allez, Aurore, c'était très bien. Je m'attendais à un truc un peu plus hardcore, je sais pas. [00:09:46] Speaker C: Pourquoi, mais bon voilà, c'était très bien quand même. Icy Lies, bon toujours efficace, très planant, bravo aux Belges en tout cas parce qu'ils ont. [00:09:52] Speaker B: Mis une ambiance de ouf, très belle voix. Mais du coup, ils ouvrent les yeux quand même ? Oui. Ah ouais, donc c'est un peu mensonger. [00:09:59] Speaker B: C'est parce que la mienne, c'était trop chaud. Non, mais c'était très bien. Les deux groupes étaient très bien. Mais bon, j'y étais surtout allé pour Isov. Je dois bien le dire. J'avais très envie de voir ce que ça donne sur scène parce qu'on les a déjà eu en interview, mais jamais vu sur scène. Et j'ai été vraiment très impressionné. Alors, le son est extrêmement puissant dès la première note. [00:10:17] Speaker C: Et je ne sais pas comment. [00:10:19] Speaker B: Ils se débrouillent parce qu'il y a toujours ce son de batterie qui est un peu too much, qui rajoute en... et que ça dure pendant cinq heures. La reverb sur la caisse claire. Voilà. Bon, alors ça, il y en a de temps en temps, mais au début, il n'y a pas. Mais pourtant, la grosse caisse, quand j'y. [00:10:33] Speaker C: Allais, j'avais l'impression que je pouvais avoir, tu. [00:10:35] Speaker B: Sais, ce petit pois chiche qu'il y a dans mon cerveau, il tapait dans les coins comme ça, ça faisait bing bing bing, un peu secoué. Ça a eu beaucoup d'effets sur toi, alors. [00:10:46] Speaker B: Et donc ça a été très puissant, c'était extrêmement carré, bien fait, beaucoup d'émotions, de gentillesse, de sourire, de communication. Bref, le public était hystérique. Le trabano, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu, mais archi blindé comme ça. C'est-à-dire que tu ne pouvais pas te déplacer tellement il y avait de monde. Et belle performance, belle prestation, donc je les félicite. [00:11:02] Speaker C: Vraiment infiniment parce que ça joue, ça chante. [00:11:04] Speaker B: Bien et ça partage. [00:11:06] Speaker C: Vraiment beaucoup de choses. Il y avait beaucoup de slam et tout. Bref, une vraie bonne ambiance, un très très bon concert. Il y avait Grand Corps Malade, tout ça ? [00:11:14] Speaker C: J'aurais posé un slum. [00:11:17] Speaker B: Alors je vois qu'il y a. [00:11:18] Speaker C: Des gens qui ont réagi, Pierre, dans le. [00:11:20] Speaker B: Ch'Meule, et il. [00:11:21] Speaker C: Y a des gens qui disent « Pierre est gay. [00:11:22] Speaker B: ». Alors non, il n'est pas gay, il est homosexuel. Il est homosexuel, c'est pas pareil. Faites attention. Mélanger le torchon et les serviettes. Et pourtant, alors... Il connaît où quitter. Et ils vont tellement à Marseille. [00:11:38] Speaker B: Alors alors, qu'est-ce que. [00:11:40] Speaker C: Je voulais dire d'autre ? Je voulais juste faire un bisou à toutes. [00:11:42] Speaker B: Les personnes bien sûr qui sont venues me dire bonjour, un énorme bisou à Maxou ! Maxou ! Maxou ! Maxou ! Maxou ! Voilà, qui venait de très loin. Parce qu'il. [00:11:55] Speaker C: Vient de loin ! T'as besoin de son ? T'as besoin. [00:11:57] Speaker B: De son ? [00:12:00] Speaker B: C'est so mélo, mélo mélo. [00:12:02] Speaker C: ! Donc bisous à toi, il m'a. [00:12:04] Speaker B: Dit « J'en suis sûr que tu le diras pas ». Bah voilà, j'y ai pensé. Et je dis bisous à Lolita aussi, qui est… Je m'appelle Lolita ! Franchement, promis sur la chanson française. On naisse pas la culture de côté, nous. Toutes les cultures sont bienvenues chez Roseless. Ah oui, ça on les accueille à bras ouverts. [00:12:24] Speaker B: On est généreux, vous savez. Lolita, qui est quand même une personne assez extraordinaire, qui est venue en plein milieu du concert, elle arrive juste au moment où il y a le break. Elle court, elle fait « J'suis venu juste te dire que j'aime bien parce que c'est vrai que je t'adore et que. [00:12:37] Speaker C: C'Est trop bien, merci beaucoup pour ce que tu fais ! » J'étais comme. [00:12:39] Speaker B: Ça, j'ai fait «. [00:12:39] Speaker C: Et p't'être quoi, elle est repartie ? [00:12:40] Speaker B: » Elle fait « Je t'ai vue de là-bas ! » Et puis voilà, elle est retournée. Et là, je me suis dit « Waouh ! » Belle performance, donc j'aimerais que tout le monde applaudisse Lolita. Standing ovation ! Bon, on va pas se. [00:12:47] Speaker C: Lever parce que c'est compliqué, mais... Oui, puis on peut pas. Bah non, on peut pas, y'a le... [00:12:52] Speaker B: Donc voilà, en tout cas, merci à toutes les personnes. Merci ! Y'avait tous les artistes du monde entier de cette scène-là, en tout cas, qui étaient là. Des bisous à tout le monde, et c'était un très bon moment. Il y avait tout le monde. Je croyais. [00:13:07] Speaker C: Que tu parlais de la scène de la chanson française. Je croyais qu'il y avait Corneille. [00:13:12] Speaker B: Il y avait tout le monde quoi. Alizé. Vanessa Paradis. Paradise ! Papa, Paradise, voilà, c'est tout ce que j'avais à dire. Sinon, voilà, c'était une semaine qui était un petit peu chiante, mais maintenant qu'elle est passée, j'ai envie de dire qu'on est quasiment pas loin des vacances. Et on va pouvoir commencer une autre semaine chiante. Et ça ? C'est pas donné à tout le monde ! Le petit cadeau qui fait du bien. Non mais voilà, lâchez-vous en tout cas aussi, merci beaucoup à toutes les personnes qui ont fait des dons, ou toutes les personnes qui ont pris des abonnements, à toutes les personnes bien sûr qui se sont abonnées aussi sur notre Patron. Merci à tout le monde pour votre soutien, ça fait chaud au cœur et tous. [00:13:51] Speaker C: Vos gentils mots sont extraordinairement motivants. Voilà. [00:13:54] Speaker B: Tout simplement. On va se lancer sur un petit résolve parce que j'ai décidé de passer ça. Voilà, j'avais envie de partager le titre Smile parce que je suis sorti de ce concert avec. [00:14:02] Speaker C: Un énorme sourire. Et. [00:14:03] Speaker B: D'Ailleurs, ils seront nos invités. [00:14:05] Speaker A: Dans. [00:14:05] Speaker B: Ce premier semestre, normalement, premier. [00:14:08] Speaker C: Semestre de l'année 2026. Et ils sont très heureux de. [00:14:12] Speaker B: Venir. On avait déjà fait. [00:14:15] Speaker C: Une petite interview avec eux au Hellfest sur notre page. [00:14:18] Speaker B: YouTube. Effectivement, point d'exclamation bang dans le chat, au Hellfest. Mais là, ils ont beaucoup de choses à dire. Je peux pas vous dire qu'il y a... On vous le dira. Je peux pas le dire. Non. Je n'ai pas le droit. Je fais un peu de diversion, vas-y tu. [00:14:33] Speaker D: Le dis. Nous on. [00:14:37] Speaker A: N'A rien dit. En tout cas, il. [00:14:40] Speaker D: Y. [00:14:40] Speaker A: Avait des groupes de Marseille. Ça. [00:14:43] Speaker B: Ne t'aime pas le Lavandou. Non mais Aurore c'est très bien, c'est vrai. Allez, on part sur du Resolve. Bienvenue à vous toutes et à vous tous. Encore une fois, vive le métal, vive. [00:14:50] Speaker C: Vous. On y va, c'est parti, c'est bing bing. [00:17:30] Speaker C: Pour le bruit, pour le bruit. Chaque atome en. [00:17:35] Speaker B: Feu. [00:19:49] Speaker B: Bad. [00:20:17] Speaker B: Luck be damned ! [00:20:36] Speaker B: C'est. [00:20:54] Speaker B: Parti. [00:20:59] Speaker B: Elephants. [00:21:05] Speaker B: Elephants ! [00:21:37] Speaker B: C'est. [00:22:06] Speaker B: Parti ! [00:22:22] Speaker B: C'est. [00:22:52] Speaker B: Parti ! [00:22:57] Speaker B: Oh le p'tit Maïsou ! Il est là le p'tit Maïsou, il est venu avec son équipe, Alter Bridge, qu'on vient de regarder et d'écouter à l'instant avec Playing Aces, pas Aces, ça n'a rien à voir. Comment ? Faut qu'on se baisse un. [00:23:11] Speaker C: Peu comme ça parce que Mercedes a réglé la caméra du coup. Alors du. [00:23:15] Speaker B: Coup, du coup si vous voulez... Non mais voilà, Alter Bridge qui vont sortir un nouvel album c'est au mois de janvier et Alter Bridge qui seront nos invités au mois de janvier. Je peux vous dire que nous avons une émission très spéciale avec Alter Bridge. Un moment que nous avons déjà enregistré et qui est ultra cool. On en a déjà parlé mais on peut dire. [00:23:34] Speaker C: Qu'Il y a des scoops. Il y a des scoops. [00:23:37] Speaker B: On peut. [00:23:37] Speaker C: Apprendre des choses sur la vie intime. [00:23:38] Speaker B: De chacun et leur petit kink, c'est spécial. Mais on peut dire ça devant tout le monde. C'est une surprise que les gens ne peuvent pas connaître. En tout cas, on est très heureux et Miles Kennedy, c'est une personne extrêmement gentille et bien amusante quand même. Il a la petite blague quand même. Ah oui, ils étaient de bonne humeur en tout. [00:24:01] Speaker C: Cas. C'est vrai. C'est le moins qu'on puisse dire quoi. Ils ont dit, vous faites ça différemment, vous. Comment savoir si c'était une bonne note ou une mauvaise. [00:24:10] Speaker B: Note ? Je ne sais pas, mais en tout cas. [00:24:13] Speaker C: On aura ça à vous offrir sur notre. [00:24:14] Speaker B: Chaîne YouTube, en. [00:24:15] Speaker C: Exclusivité sur notre chaîne YouTube. [00:24:16] Speaker A: Donc rejoignez-la. Si ce n'est déjà. [00:24:18] Speaker B: Fait. [00:24:18] Speaker C: Point d'exclamation, bang ou restless ? Bang, bang. [00:24:20] Speaker B: Restless. Ben. [00:24:22] Speaker C: ? Je suis perdu là. Lors. [00:24:26] Speaker B: De quoi ? [00:24:28] Speaker E: Alors attends, ah je sais, je sais ce que tu veux dire. Je sais ce que tu veux dire, c'est. [00:24:33] Speaker B: L'Heure de manger des. [00:24:34] Speaker C: Chips. Ah ouais, ouais. Ah. [00:24:36] Speaker B: Bon on a ouvert des chips. Ah. [00:24:37] Speaker E: Bon ? Bah je propose qu'on. [00:24:39] Speaker C: Arrête l'émission. Ah bah ouais. À moins. [00:24:42] Speaker B: À moins que... Ce soit l'heure du... FLASHBACK ! OUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU. [00:24:52] Speaker B: C'est. [00:24:57] Speaker B: Vraiment pas le premier truc que ça casse. [00:25:21] Speaker B: Rama 1,5. Je sais qui est l'eau chaude. Elle est. [00:25:25] Speaker E: Brûlante. C'est bien la première fois qu'on. [00:25:28] Speaker C: Dit ça de moi parce que d'habitude. [00:25:29] Speaker E: On me dit que je suis froide. Ah ouais ? T'es agressive. Ils te connaissent pas bien. [00:25:34] Speaker C: Après c'est nous que tu nous racontes. Je suis chaude qu'avec les intimes. Nous tu nous racontes les vraies histoires. [00:25:44] Speaker C: Bref, bon, il s'est passé plein de choses cette semaine. Tu nous as fait un petit point. Mais comment vas-tu ? Pardon, excuse-moi. C'est vrai, tu ne me demandes jamais ce que j'ai. [00:25:53] Speaker B: Fait de ma semaine. Qu'est-ce que tu. [00:25:54] Speaker C: As fait de ta semaine ? Alors je. [00:25:56] Speaker E: Ne suis pas venue la semaine. [00:25:56] Speaker B: Dernière parce que j'étais à un. [00:25:57] Speaker C: Super concert. Ah, c'était quoi ? T'es tombée amoureuse de Seixix ? Sachixix. Sach... Saucisse ? [00:26:03] Speaker E: Sachixix. En fait, je. [00:26:06] Speaker C: Connaissais déjà cette artiste, mais on l'a. [00:26:08] Speaker E: Déjà passée. On l'a déjà passée dans l'émission. Et je suis allé revoir, ça me dit quelque chose, j'ai vu le truc, j'ai compris pourquoi elle a passé à. [00:26:15] Speaker C: Mon concert. [00:26:18] Speaker C: J'ai vu le clip, j'ai. [00:26:22] Speaker A: Vu le clip là. [00:26:22] Speaker E: Dans le tunnel, j'ai vraiment entendu. Il. [00:26:26] Speaker B: A une voix incroyable aussi. Il a un sacré organe quoi. [00:26:29] Speaker C: Il a des longs cheveux. [00:26:31] Speaker B: Noirs, c'est bizarre, il a une. [00:26:34] Speaker C: Similitude avec un autre. [00:26:37] Speaker E: Chanteur. Un peu plus juvénile. Oui un peu plus juvénile, il y a quelques années quoi, 2009. [00:26:44] Speaker C: Bref. [00:26:45] Speaker E: Il n'y avait pas grand chose cette semaine, du. [00:26:46] Speaker C: Coup je me. [00:26:46] Speaker E: Suis chauffée. J'ai glissé une. [00:26:49] Speaker B: News totalement inventée dans le lot. Ah, il y a un petit jeu. Ah, c'est un jeu. Voilà, donc. [00:26:54] Speaker C: À vous de trouver laquelle. C'est du. [00:26:55] Speaker B: Délire, alors ça y est. [00:26:56] Speaker E: On en roule libre. Ah, c'est les fake news. C'est la fin, c'est la fin. Trouvez les fake news. Bon, en gros c'est ça, à vous de trouver laquelle. Vous allez voir, c'est pas si facile. D'accord. Mais si vous la trouvez, vous gagnez mon respect. Ah, ouais, ouais. Et pas facile à gagner. Non, c'est vrai. Il y a que le premier qui trouve. J'allais dire, faut faire un mug loupé, mais... Nous, on y travaille depuis des années, on a toujours pas eu. On commence, alors on. [00:27:18] Speaker B: A Slipknot avec Kloon qui donne des nouvelles de Look Outside Your Window. Kloon a confirmé que le mystérieux album parallèle de Slipknot, Look Outside Your Window. [00:27:27] Speaker E: Est toujours prévu pour 2025. Il insiste. [00:27:37] Speaker E: Sur le fait que le disque doit. [00:27:38] Speaker C: Sortir au moment parfait, expliquant que ce. [00:27:40] Speaker B: Projet très émotionnel et expérimentable ne ressemble à rien d'autre dans. [00:27:43] Speaker C: Leur discographie. Toujours aucune date précise, mais Clou n'assure que les fans n'attendront plus. [00:27:49] Speaker B: Longtemps. Si c'est en 2025 en même temps. [00:27:51] Speaker C: Il reste deux semaines. Mais c'est pas. [00:27:51] Speaker E: Lui aussi qui. [00:27:52] Speaker B: Avait dit que ça allait arriver et que l'autre. [00:27:53] Speaker C: Avait dit non c'est faux, il dit de la merde. [00:27:55] Speaker B: Il ment. Mais là il insiste, il. [00:27:56] Speaker C: Dit que si si. [00:27:57] Speaker E: Ça va arriver cette année. Ça va tomber. [00:27:58] Speaker C: Pour Noël, c'est pas ? Si. [00:28:00] Speaker E: Ça tombe le jour de Noël, c'est un peu tard. Si il veut que les gens. [00:28:04] Speaker B: Puissent l'offrir à Noël, c'est mal barré là. Non. [00:28:07] Speaker C: Mais je pense que c'est n'importe quoi. Je pense que c'est une. [00:28:09] Speaker E: Fake news. Eh ben non. Non mais moi j'en suis sûr que c'est vrai. De toute façon, on va le dire. [00:28:13] Speaker C: À chaque fois. Non, on n'a pas le droit de dire avant la fin. Voilà. Ensuite, Parkway Drive, annulation du Parkway Festival. Ah non, c'est 2026 confirmé apparemment. Et pourtant j'ai. [00:28:23] Speaker E: Bien regardé, il a bien dit 2025. J'ai vérifié trois fois la news. Oui mais selon un mec en slip, c'est 2026. Ça serait beaucoup plus cohérent. En même temps, ça serait beaucoup plus cohérent que ce soit 2026 et non 2025, mais j'ai relu la news cinq, six fois et j'ai bien dit 2025. Après, est-ce que c'est plus cohérent qu'un mec en slip sache la date. [00:28:41] Speaker B: Ou que toi tu saches ? Un mec en slip note. Là, tout de suite, aaaah, y a débat. [00:28:48] Speaker B: Ensuite, on. [00:28:48] Speaker C: A Parkway Drive, annulation du Parkwaves Festival. [00:28:51] Speaker E: Parkway Drive annonce que le Parkwaves Festival 2025 est officiellement annulé. Le groupe explique que l'organisation n'a pas réussi à. [00:28:57] Speaker C: Atteindre les objectifs nécessaires pour garantir la tenue de l'événement. Les fans avaient beaucoup d'attentes pour. [00:29:02] Speaker E: Cette première édition, mais le groupe promet de nouveaux projets prochainement. Et j'ai envie de dire, en ce qui. [00:29:06] Speaker C: Concerne Parkway Drive, décidément. C'est vrai que oui, ça enchaîne un petit peu. Après, il vaut peut-être mieux qu'ils annulent que de faire un jeu. J'avais pas suivi, qu'est-ce qui. [00:29:14] Speaker B: Leur était arrivé ? Ils ont annulé une date, il y a deux semaines aussi ? Oui. Pour des raisons de. [00:29:19] Speaker C: Mise en place. C'est parce qu'ils pouvaient. [00:29:21] Speaker E: Pas faire de pyrotechnie. Dans la salle, la pyrotechnie était pas possible. Je sais pas, ils ont pas fourni les fliche-tec. [00:29:26] Speaker B: J'En sais rien, je sais pas ce. [00:29:27] Speaker E: Qu'Ils ont branlé. Et du coup. [00:29:29] Speaker C: Ils ont préféré annuler. Les gens ont dit. [00:29:31] Speaker E: Non mais c'est bon, vous avez pas besoin de pétard pour faire un concert. Faites comme tout le monde. [00:29:37] Speaker E: Damien, peut-être que je vous en dirai plus tout à l'heure puisqu'il a organisé... Ah pardon ! C'est lui qui a annulé le concert ! Oh my god ! Attention, ça. [00:29:47] Speaker D: Va être. [00:29:48] Speaker B: Crousti-Crousti ! Ensuite, on. [00:29:51] Speaker C: A Nekdip qui lance son jeu vidéo, je vais. [00:29:54] Speaker B: Le dire en français, 8 bits. December. Pourquoi tu me regardes en souriant ? Parce qu'il y avait le mot bit. [00:30:01] Speaker B: Au moins les gens. [00:30:05] Speaker E: Pensent à toi, Pierre. Pas forcément pour les bonnes raisons. Le groupe PopPunk sort un mini-jeu vidéo rétro où l'on incarne un alien skater. Objectif, collecter les pièces pour éviter les obstacles et aller le plus loin possible. Les trois meilleurs joueurs remporteront des lots de. [00:30:21] Speaker C: Merchs exclusifs. Et c'est disponible jusqu'au 31 décembre. Très bien. C'est cool, ouais. Sympa. [00:30:28] Speaker B: Je pense que c'est une... Non, j'en. [00:30:31] Speaker E: Sais rien. Non, non, on a dit à la fin, on a dit à la fin. On doit dire à la fin c'est laquelle la fake news. Ensuite on a Pour Stacy qui est décédée, hommage de Travis Barker et de Oliver Sykes. Le rappeur alternatif artiste Pour Stacy, connu pour ses liens avec la scène Emo Metal Moderne, est décédé à l'âge de 25 ans. Mais c'est toi. [00:30:49] Speaker B: Qui me fais rire ! Et voilà c'est de ma faute, c'est moi qui l'ai tué peut-être ! Avec ta tête là ! T'as qu'à. [00:30:55] Speaker C: Lâcher le premier cliché là ! Donc t'as Travis Barker et Olly Sykes qui lui ont rendu un hommage publiquement. Barker parle d'un artiste brillant, pur et profondément. [00:31:04] Speaker E: Inspirant. Olly Sykes, lui, évoque quelqu'un d'incroyablement gentil avec une influence majeure sur la nouvelle vague alt-émo. Une disparition donc qui secoue toute la scène alternative et j'ai décidé de Passez un clip de Poor Stacy. [00:31:17] Speaker B: Qui est en feat avec Oli. qui s'appelle. [00:31:21] Speaker C: Naftali. En fait, on va bien le dire, elle s'en fout que cette personne soit morte. Je ne. [00:31:25] Speaker E: Sais même pas qui c'est pour. [00:31:26] Speaker C: Ce tissier. Moi, elle aussi, elle ne sait. [00:31:28] Speaker B: Pas qui c'est. Elle a juste vu. [00:31:29] Speaker E: Qu'Il y avait au lycée ce qu'on a parlé. Elle sait que c'est forcément bien. J'adore le feat. Mais il. [00:31:36] Speaker B: Est vrai que je ne me suis jamais. [00:31:38] Speaker C: Vraiment intéressée à son univers musical, mais que j'ai juste. [00:31:40] Speaker E: Apprécié le feat et que j'ai trouvé ça triste de mourir aussi jeune. Moi, je n'ai pas. [00:31:43] Speaker B: Honte de le dire. C'est une cover de Daftones ou pas ? Absolument pas. Non parce. [00:31:47] Speaker E: Que c'est Live Party, c'est. [00:31:49] Speaker C: Une chanson. Ou peut-être. [00:31:51] Speaker E: Je ne sais pas. [00:31:52] Speaker C: On va écouter et puis on va. [00:31:53] Speaker B: Savoir. Cette personne est morte. [00:31:55] Speaker A: De. [00:31:55] Speaker E: Quoi ? Je ne sais pas, je n'ai pas d'infos. [00:31:58] Speaker B: Sur comment il est mort, je. [00:31:59] Speaker A: Sais juste qu'il est mort très jeune. On ne va pas. [00:32:00] Speaker C: Profiter pour faire le... Pauvre Stéphie en tout cas. Pas de rapport du coroner. Moi je l'ai aussi, j'essaye de pas rire. Non parce. [00:32:08] Speaker E: Que c'est une news triste en vrai. Ben. [00:32:10] Speaker B: Évidemment c'est triste, mais est-ce que les gens qui. [00:32:11] Speaker E: Connaissent cette personne nous connaissent ? Non. [00:32:13] Speaker B: Non mais 25 ans c'est... C'est jeune. Très. [00:32:17] Speaker C: Jeune. C'est mon âge, quoi. Dans deux ans, parce. [00:32:23] Speaker E: Que j'ai moi, mais alors là, c'est le... Voilà. Je vous laisse admirer le clip, il est. [00:32:28] Speaker C: Très cool. On y va. [00:32:28] Speaker E: On y va. [00:33:29] Speaker E: Je. [00:33:49] Speaker E: Serai ton père. [00:33:50] Speaker C: Si tu m'as promis. [00:34:06] Speaker C: Putain de merde. [00:34:09] Speaker B: ! [00:34:52] Speaker B: Vraiment un très bon choix, un très bon choix Gladys, vraiment les gens ont adoré. En plus Holy Sykes, on. [00:34:57] Speaker C: Ne s'y attendait pas. [00:35:01] Speaker C: Je suis une femme de goût, que veux-tu. Je ne m'attendais pas à ça en tout cas. T'as vu c'est cool, c'est carrément cool. Bon bah écoute une petite pensée pour lui. Merci d'avoir fait ce qu'il a fait quand même. Bah oui de ouf. Bon apparemment il avait 26 et non 25 mais bon un an prévu. [00:35:18] Speaker C: En tout cas c'est dommage. Il était plus vieux que moi quoi. Il aurait pu faire d'autres choses quoi. Ça va Enjoy ? Qu'est-ce qu'il a dit ? Qu'est-ce qu'il a dit ? Comme il dit rien justement je lui demande si ça va parce que je... Non non j'ai trouvé le morceau plutôt sympa et voilà je connaissais pas du tout pour Céci non plus donc... Toujours dans les moments comme ça où tu te dis bah oui c'est con que tu le découvres maintenant. Excusez-moi, petite digression, mais parce que je me dis peut-être que c'est aussi de ne pas avoir rencontré son public qui a fait que... [00:35:52] Speaker C: Je n'en sais rien. Et. [00:35:53] Speaker E: En fait, je repensais à Botch quand ils ont fait leur tournée 20 ans après cet arrêté. Ils ont fait une tournée internationale et ils ont joué, ils ont fait à l'Élysée Montmartre. Le public était fou et. [00:36:06] Speaker C: Ils ont fait. Merci, merci à tous. Franchement, ça fait ça fait super plaisir. Désolé qu'on. [00:36:15] Speaker E: Soit des vieux maintenant et qu'on puisse donner autant qu'avant. C'est. [00:36:19] Speaker C: Dommage qu'il. [00:36:21] Speaker E: N'Y ait pas eu autant de monde il y. [00:36:23] Speaker B: A 20 ans. Il. [00:36:25] Speaker C: Avait la petite larmichette à l'œil. C'était un moment très émouvant. Si vous aimez les groupes, intéressez-vous aux groupes qui existent et allez. [00:36:34] Speaker E: Aux concerts. En vrai, je regrette de ne pas. [00:36:36] Speaker B: Avoir dit gay au moment où j'avais vu ce feat. [00:36:37] Speaker C: Parce que j'avais kiffé et j'ai pas dit gay. C'est un regret de plus dans la longue. [00:36:43] Speaker E: Liste de mes regrets. Si tu t'étais intéressé à lui, tu vois peut-être que... Peut-être qu'il sera encore là aujourd'hui. Parce qu'il aurait eu mon audimat, le plus important de tous. Ton attention. Bref, on ensuite. On enchaîne. On enchaîne les news. La suite, c'est bon. Parce qu'aujourd'hui, on a envie d'aller vite. [00:37:04] Speaker E: Tout ça parce qu'il y a un mec que tu veux te taper qui arrive après. Il va partir, si vous continuez il va partir. J'avais réussi à ne pas dire cette banne jusqu'à maintenant. C'est bon il écoute pas, il était en train de taper des textos, il a pas entendu. Donc j'enchaîne, on a Gojira accusé d'avoir copié les baleines de Julien Doré. Petite controverse cette semaine, lors de leur concert à Bercy, Gojira a fait apparaître d'énormes baleines volantes pendant Flying Wales. Problème, Julien Doré utilise. [00:37:31] Speaker C: Exactement le même concept dans sa tournée actuelle. Plusieurs fans ont immédiatement pointé la ressemblance, suggérant que le groupe de métal aurait repris l'idée du chanteur français. Julien Doré a réagi. [00:37:40] Speaker E: Avec humour sur Instagram avec un petit post-it où c'est écrit « Prenez mes idées, j'en aurai d'autres ». De son côté. [00:37:46] Speaker B: Gojira n'a pas publié de réponse officielle. Cependant, selon les échanges. [00:37:50] Speaker C: Rapportés par un créateur de contenu, le groupe aurait travaillé avec le même prestataire que Julien Doré et aurait tenté d'utiliser. [00:37:56] Speaker E: Déjà ses baleines en 2023. Mais le matériel n'était pas disponible à l'époque puisque. [00:38:01] Speaker C: Réservé à Julien Doré. Donc aucun cloche. [00:38:03] Speaker E: Ouvert. [00:38:05] Speaker E: Réservé par Julien Doré ? Oui. Parce qu'il y a eu le truc où c'était une idée à lui et apparemment c'est. [00:38:12] Speaker C: Un truc qui existait et que lui il a utilisé. En tout cas, il n'y. [00:38:16] Speaker E: A aucun clash ouvert, c'est juste une. [00:38:17] Speaker C: Histoire de baleine volante qui a bien animé la semaine. C'est juste une histoire de baleine volante, finalement c'est. [00:38:22] Speaker E: Assez banal. En même temps, qui de plus pertinent que Gojira pour utiliser cet artifice quand même ? C'est pas moins pertinent de ce que j'ai compris dans la scéno de Julien Doré ? Après moi je n'ai pas la culture de... De toute façon c'est un mec gentil, il ne sait pas du genre à faire du clash. Franchement moi pour l'avoir rencontré je l'ai trouvé archi sympathique. Il y fait la poule. Il y fait la poule, il y fait la poule. [00:38:49] Speaker E: C'est pas ma scène, c'est pas ce que j'écoute mais... Bah. [00:38:53] Speaker B: Écoutez, on va trancher ou je vous dis la vérité ? On s'en bat les couilles. Eh oui ! Et quand j'ai dit que j'avais. [00:39:03] Speaker E: Creusé, j'ai creusé. C'est pas pour rien que j'ai fait un jeu. Ensuite on. [00:39:07] Speaker B: A Evanescence qui annonce. [00:39:09] Speaker C: La tournée 2026. Une tournée mondiale qui est... 2026 j'ai. [00:39:13] Speaker E: Dit. La tournée mondiale est officiellement annoncée. Spiritbox en. [00:39:18] Speaker C: Première partie sur. [00:39:19] Speaker E: Les dates américaines, Poppy sur les dates. [00:39:21] Speaker C: Européennes, donc peut-être que Spiritbox et Poppy peuvent passer en. [00:39:23] Speaker E: 4 régions, je ne sais. [00:39:24] Speaker C: Pas. Nova Twins sur la majorité du tour et Kefly sur quelques dates. Une. [00:39:28] Speaker E: Seule date française, Lacan Arena le 17 septembre 2026 à Paris. Très bien. On savait. [00:39:34] Speaker B: On avait bien compris qu'il allait y avoir une date de toute façon. Il y avait. [00:39:36] Speaker C: Eu Dutti et puis moi. Mais du coup, moi, je pensais que ça serait. [00:39:39] Speaker B: Les trois en même temps. Je l'aurais. [00:39:41] Speaker C: Pensé aussi. Peut-être qu'ils sont... Ça va. [00:39:43] Speaker B: Coûter trop cher, je pense. Peut-être. Ou. [00:39:46] Speaker C: Peut-Être Poppy et Spiritbox, s'ils aiment pas. Je pense pas. Laisse-moi vouloir un crack, un clash, là. Oui, d'accord. En tout cas, très cool pour Nova Twins. Oui, ça c'est très cool. Je pense que ça va leur faire un gros, gros boost. Ça, c'est bien. Surtout qu'ils ne sont plus en. [00:40:00] Speaker E: Train de monter depuis 2-3 ans, là. C'est cool. Non c'est vrai que ça fait une grosse exposition. Et ça va être un bon concert ! [00:40:06] Speaker C: On peut très rapidement parler du nouveau titre de Poppy. [00:40:08] Speaker E: Qui est sorti ? Qu'est-ce que. [00:40:08] Speaker C: C'Est. [00:40:09] Speaker E: ? Ah j'ai pas... [00:40:10] Speaker B: T'as tout dit en fait ! Roh la prod elle est horrible ! C'est celle. [00:40:13] Speaker E: Où il n'y a que le chancreur c'est ça ? Ouais Guardian ça s'appelle. [00:40:17] Speaker B: Moi je suis de la Suisse j'ai pas écouté. Non je crois qu'elle crée un peu à un moment mais c'est très... En fait j'ai l'impression. [00:40:24] Speaker C: D'Entendre Evanescence fait aujourd'hui. En termes de, tu sais, il y. [00:40:28] Speaker E: A un milliard de trucs. Il y a trop de trucs quoi. Parce que moi, il me semble que j'ai entendu un titre où il n'y avait que du chant clair. Je ne sais plus, je ne l'ai pas assez écouté. Ça ne m'a pas transcendé quoi. Décevant. Donc j'ai vite skippé. Je l'aime bien. Non, je ne l'ai pas écouté, mais bon. [00:40:45] Speaker E: Bon vas-y, on continue. Ensuite, on. [00:40:47] Speaker B: A un poulpe qui devient le nouveau batteur du groupe de Deathcore. [00:40:50] Speaker E: C'est ça, la fake news ça serait pas celle-là. Déjà l'autre elle dit la news. [00:40:54] Speaker B: Elle est morte de rire. [00:40:55] Speaker E: Pour cacher... Gladys, si tu veux... Elle rigolait aussi quand le mec s'est suicidé. Pour sa défense. [00:41:05] Speaker E: Le groupe de Descartes. [00:41:08] Speaker A: Brutal. [00:41:12] Speaker E: Marmelade, a officiellement annoncé l'arrivée de son nouveau batteur. Un poulpe géant de l'aquarium de Tokyo, surnommé Drumtacus. Selon le groupe, tout a commencé quand l'aquarium a arrêté de vieillir. [00:41:32] Speaker E: Selon le groupe, tout a commencé quand l'aquarium a remarqué que le poule peut s'amuser à reproduire des Blast Beasts. [00:41:37] Speaker B: En tapant sur des vitres de son bassin à 260 BPM. Les membres déclarent... Mais. [00:41:45] Speaker C: T'Es chiant ! Mais t'aurais pu faire quelque chose de plus. [00:41:48] Speaker B: Discret. Mais non, sinon les gens iraient dire encore que je fais des fake news. [00:41:51] Speaker C: Volontaires. Bah ouais, vas-y termine alors. Les. [00:41:54] Speaker E: Membres déclarent, on a testé les humains mais aucun n'a pu. [00:41:56] Speaker B: Suivre le poule. [00:42:04] Speaker B: Il a huit bras, ça aide ! [00:42:18] Speaker B: Les organisateurs du premier concert ont déjà précisé un bassin spécial sera installé sur... Un trigger waterproof a été inventé exprès et un technicien devra nettoyer les éclaboussures entre chaque morceau. Le groupe assure. [00:42:34] Speaker C: Que Drum Thamus a déjà composé trois. [00:42:38] Speaker E: Breakdowns et qu'il est professionnel, appliqué, mais un peu glissant. [00:42:43] Speaker E: Ben écoute, j'ai hâte. [00:42:45] Speaker C: De voir ça ! [00:42:47] Speaker C: Très bien. Attention. [00:42:50] Speaker B: Aucun animal ne sera maltraité. Ce qui. [00:42:54] Speaker C: Est bien, c'est que ça doit sentir quand même. Il ne faut pas qu'ils aillent sentir la marée. [00:43:01] Speaker E: J'aime bien la salade de poupe. [00:43:04] Speaker B: Là, il ne faut pas la manger. Il n'y a plus de concert, tu niques tout le concept. [00:43:12] Speaker B: En tout cas c'est une bonne news celle-là, elle est vraiment... Bah c'est la meilleure ! Ça je pense que c'est la vraie ! Celle-là au moins y'a aucun doute ! Mais j'imagine... Mais la. [00:43:24] Speaker C: Batterie du coup elle est grande ! [00:43:26] Speaker E: Elle est grande oui ! Et puis elle est sous l'eau ! Elle est sous l'eau du coup ! Et y'a plus qu'une grosse caisse du coup, y'en a 4-5... 4 pieds, 4 bras ! Ça fait 8 ! T'imagines il fait de la quadruple pédale ! Faut pas oublier qu'en plus avec un cerveau dans chaque tentacule putain... Avec un cerveau dans chaque tentacule... [00:43:50] Speaker B: C'était évidemment de la poulpe fictionnelle. Tout. [00:43:56] Speaker C: Ça parce qu'elle avait préparé cette vanne ! J'y crois. [00:43:59] Speaker B: Pas ! C'est. [00:44:00] Speaker C: Vraiment le bible de toute l'Amérique ! Tout était bien, et l'autre, elle termine par son... En plus, elle est fière, elle se redresse un peu, et là, elle fait... Attends, là, je lui balance... Elle a bien entendu qu'il n'y a plus. [00:44:11] Speaker E: De bruit, pour que. [00:44:12] Speaker C: Ça résonne. Bon, allez, dernière news. Par un mort. [00:44:16] Speaker E: L.A. Williams. [00:44:16] Speaker B: S'Adresse aux fans racistes, sexistes ou anti-trans. [00:44:19] Speaker E: L.A. Williams a publié. [00:44:20] Speaker C: Un message très direct. Par un mort ne veut pas de fans racistes, sexistes. [00:44:23] Speaker E: Homophobes ou anti-trans. Elle insiste sur le fait que leur communauté doit rester sûre, inclusive et respectueuse. [00:44:28] Speaker C: Elle a ajouté que personne ne devrait. [00:44:30] Speaker E: Être surpris, on le dit depuis toujours. Alors attendez, comment elle fait le truc ? Alors déjà je pense que ça c'est la fake news. Parce que voilà. Alors c'est très bien. Mais je trouve qu'il y a quand même un problème à dire ça. C'est comme s'il y avait des groupes qui disaient, non mais nous vraiment, on veut que toute notre fanbase, elle soit raciste, non. [00:44:53] Speaker B: Inclusive et anti-trans. Ah bah y'en a. Non mais pas qu'ils le disent ouvertement comme ça. Moi aussi. Ils sont peu et pas... Comme la. [00:45:02] Speaker E: Scène RAC, par exemple. Non mais d'accord, on parle de trucs. [00:45:06] Speaker B: Nuls. On parle de trucs qui existent. Moi je me dis, quand je vois ça, on a rendu célèbre la bonne. [00:45:13] Speaker E: Personne, tu vois. Mais comment ils font le tri ? Ils le font pas. [00:45:17] Speaker B: Ce qu'elle dit c'est que nous on. [00:45:18] Speaker E: En veut pas de ces gens-là dans. [00:45:19] Speaker C: Notre public, qu'on les. [00:45:20] Speaker B: Apprécie pas et si on lui donne de l'argent tant mieux mais en gros moi je les respecte pas et je trouve ça tout à son honneur de dire on n'a pas les mêmes valeurs et j'ai pas envie de partager quoi que ce soit. [00:45:28] Speaker C: Avec vous. Je m'énerve pas du tout là. Tu vois bien entre tes yeux il y a des flammes. Je commence à un peu te connaître Gladys. [00:45:36] Speaker B: Non la vérité c'est que j'étais pas énervée là en plus. Bon. [00:45:39] Speaker E: En tout cas c'est une bonne chose et. [00:45:40] Speaker B: Puis de toute façon là. [00:45:41] Speaker C: On aime bien Paramore Mais c'est d'ailleurs pour ça que j'ai choisi un clip de Paramore qui s'appelle Crush. [00:45:45] Speaker B: Crush Crush. Est-ce que j'ai mis le bon clip ou non ? Crush Crush Crush j'ai mis. C'est bon, c'est bon. Non parce que je commençais à. [00:45:51] Speaker A: Me dire je me souviens d'aucun clip de ce type. Merci beaucoup Gladys et on te retrouve dès demain à partir de 17h30 sur notre page YouTube pour ce beau résumé des news alternative rock avec cette partie poulpe. Et surtout dites-nous en commentaire quelle est la news qui est fake. Et la réponse la semaine prochaine. [00:46:14] Speaker A: Je pense plus qu'on fasse ça toutes les semaines. Une petite fake news toutes les semaines ? Ah bah oui bah vas-y. Moi j'aime beaucoup, t'as vu j'ai de l'imagination. Ah. [00:46:22] Speaker B: Ouais c'était bien facile. [00:46:23] Speaker E: Y'a que le final qui est un. [00:46:25] Speaker A: Peu bon. Faire croire qu'elle est Williams et antiraciste. Fallait chercher celle-là. Bon allez merci beaucoup Gladys tu restes encore un petit peu avec nous pour nous présenter des morceaux ? Tout à fait. Et bah c'est parti pour Paramore ! [00:47:00] Speaker A: They taped over your mouth, scribbled out the truth With their lies, you little spies They taped over your mouth, scribbled out the truth With their lies, you little spies Nothing. [00:47:26] Speaker A: Compares to a quiet evening alone Just the one, two Of us just counting on That never happens I guess I'm dreaming again Let's be more than This If. [00:47:46] Speaker A: You wanna play it like a game Well come on, come on, let's play Cause I'd rather waste my life pretending. [00:48:01] Speaker A: Sous-titres. [00:48:29] Speaker A: Rock'n'roll réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:48:47] Speaker A: Baby don't you know. [00:48:51] Speaker A: J'ai besoin de quelque chose à chanter à propos du rock'n'roll Hey ! Tu sais pas, baby, qu'on est tous seuls maintenant J'ai besoin de quelque chose à chanter à propos du rock'n'roll Hey ! Tu sais pas, baby, qu'on est tous seuls maintenant J'ai besoin de quelque chose à chanter à propos de... Rien ne nous compare à... Une chanson silencieuse et héroïque Une chanson de confiance et d'amour Une chanson de confiance et d'amour Une chanson. [00:49:13] Speaker B: De d'amour Une chanson de confiance et. [00:49:13] Speaker A: D'Amour Une chanson de confiance et d'amour Une chanson de confiance et d'amour Une chanson de confiance et d'amour Une chanson de confiance et d'amour Une chanson de confiance et d'amour Une Une chanson de confiance et d'amour Une chanson de confiance et d'amour. [00:49:20] Speaker B: Une chanson de confiance et d'amour Une chanson de confiance. [00:49:25] Speaker B: Sous-titres. [00:49:55] Speaker B: Réalisés para la communauté d'Amara.org. [00:50:00] Speaker B: We believe, I believe in love, she's my baby I believe in love, don't you dare deny I believe in love, she's my baby I believe in love, don't you dare deny I believe in love, we believe in love She's the devil, she's the devil She's the devil of my world She's my world. [00:50:31] Speaker B: C'est pas la nuit, c'est pas la. [00:50:33] Speaker E: Nuit C'est pas la nuit, c'est pas la nuit C'est pas la nuit, c'est pas la nuit C'est pas la nuit, c'est pas la nuit C'est pas la nuit. [00:51:02] Speaker E: C'est la guerre de l'indemnité C'est la guerre de l'indemnité C'est la guerre de l'indemnité. [00:51:40] Speaker E: C'est la fin du monde, c'est la fin du monde C'est la fin du monde, c'est la fin du monde. [00:52:02] Speaker E: Excusez-moi, il y a juste le petit roulant à la fin. C'est la cam. Bon, alors, il y a eu un concours. Désirless, Maynard James Keenan, une fusion des deux peut-être. D'ailleurs, on ne les a jamais eus dans la même pièce. C'est vrai que peut-être que Désirless... Désir James Keenan. Désirless Keenan. Je suis un peu jaloux, beaucoup de cheveux, mais c'est ton choix Gladys. Qu'est-ce qui s'est passé là ? Tu nous as bousillé toute notre programmation. Parce que j'avais envie de mettre un peu de Psycho, parce. [00:52:29] Speaker C: Qu'On ne parle pas de Psycho ici. Je. [00:52:30] Speaker E: Me suis dit que pour les gens qui ne connaissaient pas, j'allais faire découvrir. [00:52:33] Speaker B: C'est une reprise de Diane Vincent. Tout. [00:52:35] Speaker E: Le monde pense que. [00:52:36] Speaker D: C'Est Elvis. [00:52:36] Speaker C: Qui l'a chantée en premier, mais c'est Diane Vincent qui l'a. [00:52:38] Speaker E: Chantée en premier, bibapeloula, si je ne dis pas de bêtises. Normalement, j'ai vérifié, donc je ne devrais pas dire de bêtises. La scène Psycho, je ne sais pas si vous connaissez un peu l'origine. C'est anglais, comme toute la bonne musique de toute façon. Eux c'est des gallois. [00:52:54] Speaker E: Et en fait le psycho c'est venu d'une volonté de rendre plus agressif le rockabilly tout simplement, donc c'est un mélange de rockabilly et de punk. Et ce groupe c'est. [00:53:04] Speaker B: Sûrement le groupe le plus connu dans. [00:53:06] Speaker E: La scène psycho, c'est sûrement les patrons de la scène psycho. C'est pour ça que ça s'appelle du psychobilly. Exactement. Et Sparky est un gros gamé mais il est adorable. Voilà, pour résumer. C'est pas le seul artiste dont... Sparky ? Sparky c'est le chanteur. Ah oui. C'est aussi un personnage dont... C'est un chien. Ouais, c'est ça. C'est un amour. Moi je les ai vus, je les ai quand même vus 2-3 fois des Monty Dargo, ils sont plutôt jeunes. [00:53:29] Speaker B: Je les ai vus encore. [00:53:30] Speaker C: Il y a un peu moins de 10 ans. Il y a très peu. [00:53:33] Speaker E: De Psycho à Paris, je suis très malheureuse pour ça mais je les ai vus il y a un peu moins de dix ans et malgré son vieil âge on va dire ils étaient toujours aussi bons. Il y a encore une scène aujourd'hui ? C'est mon grand malheur moi parce que moi. [00:53:43] Speaker C: Je viens de la scène punk, hardcore mais aussi beaucoup de Psycho et de Hoy dans le nord d'où je. [00:53:48] Speaker E: Suis originaire. Il y avait énormément de concerts à l'époque et il y avait la Belgique. [00:53:51] Speaker B: Juste à côté donc j'étais tout enfourée là-bas. Il est vrai que. [00:53:54] Speaker E: Depuis que j'habite. [00:53:54] Speaker B: À Paris, je suis très malheureuse. En termes. [00:53:59] Speaker E: De concert d'Up Psycho, en 13 ans sur Paris, j'ai dû en voir deux. Ça fait pas beaucoup, effectivement. Ça fait une moyenne de 2 ans à 13 ans. J'ai calculé très rapidement. [00:54:13] Speaker B: C'est une scène. [00:54:15] Speaker E: Réellement pour le coup alternative, parce que souvent quand j'entends que le. [00:54:20] Speaker B: Métal est une musique alternative, oui dans. [00:54:22] Speaker E: Les grandes lignes, mais pour moi. [00:54:23] Speaker C: C'Est très mainstream au final et je trouve que la scène alternative, la vraie scène alternative, c'est celle dont. [00:54:28] Speaker E: Il n'y a pas d'énormes festivals. Après je pense qu'en Candy Metal c'est très large quand même, parce. [00:54:34] Speaker B: Qu'Il y a des trucs très alternatifs aussi. Moi je vais vraiment de la scène hyper underground et c'est pas des choses très connues. Et en Angleterre c'est un peu plus développé, enfin. [00:54:42] Speaker E: Au Royaume-Uni j'imagine. Bah encore qu'aujourd'hui... Il doit bien y avoir, j'en suis sûr. Plus qu'à Paris, ça c'est sûr. C'est très pauvre à Paris, c'est très pauvre, alors si jamais il y a des organisateurs de concerts qui. [00:54:54] Speaker B: Veulent s'y pencher, je dis ça comme. [00:54:56] Speaker C: Ça. A tout hasard. [00:55:00] Speaker C: Moi je veux bien plus de concerts de. [00:55:01] Speaker E: Psycho et de Hoy. Ouais. C'est. [00:55:03] Speaker B: Un rapport de l'argent quoi. Non, en. [00:55:05] Speaker C: Vrai ça paye pas. [00:55:06] Speaker E: Je crois que les. [00:55:07] Speaker C: Orgas de concert ils veulent bien plus. [00:55:08] Speaker E: De gens qui sont intéressés par des concerts. Mais c'est pour ça aussi que j'en passe ici, histoire de développer des passions peut-être chez les personnes. Mais peut-être qu'il y a des gens dans le chat qui vont en parler, qui vont dire qu'ils y sont fans et peut-être que ça va être le début d'une naissance d'un groupe. Moi je veux faire revivre ma scène tu vois. Parce que pour le coup, c'est vraiment ma scène. Autant j'écoute beaucoup de métal, autant ma scène, ma vraie. [00:55:29] Speaker C: Scène, ça a toujours été le punk, le psycho, la hoï. T'écoutes encore. [00:55:32] Speaker E: Ça aujourd'hui ? J'ai quand. [00:55:33] Speaker C: Même l'impression que t'as vu plus de. [00:55:34] Speaker E: Concerts de Bring Me The Horizon. J'ai connu à. [00:55:37] Speaker C: La même époque. Lui aussi. [00:55:40] Speaker B: Il a des vestes moutardes. Il fait du psycho-holly. [00:55:45] Speaker B: C'est un psycho-holly d'ailleurs. Ah, on a des informations ! Y'a une attitude vestimentaire aussi ? T'as un style, au lieu de la banane, parce que dans le rockabilly c'est la banane, dans le psychobilly c'est le fly, du coup vous avez pu remarquer, c'est comme une banane mais dressée. C'est comme une crête mais beaucoup plus épaisse au final, et puis ça va pas jusque derrière. En général, c'est une banane mais dressée. Et puis le style vestimentaire, c'est justement pile poil entre le punk et le rockabilly. C'est un rockabilly un peu plus customisé, un peu plus agressif. Avec une érection de cheveux. Il y a du léopard et des clous. Aussi. Comme dans le punk. C'est mieux taillé que dans le punk. Parce qu'il y a des petits vestons et tout. C'est un peu plus chic. [00:56:39] Speaker B: Bon allez, à ce moment-là de l'émission, comme tous les dimanches, il y a le choix des Headbangers. Alors. [00:56:44] Speaker C: Qu'Est-Ce que c'est que les Headbangers ? [00:56:46] Speaker B: C'est l'un des tiers de notre Patreon, c'est-à-dire que si vous voulez nous soutenir financièrement, vous pouvez vous inscrire à notre Patreon. Il y a trois tiers, un à 6,66, un. [00:56:53] Speaker E: À 16,66 et celui-là est à 26,66. [00:56:55] Speaker B: Et toutes les semaines, mon petit Ben, tiens-toi bien, il y a un concours, une espèce de battle à un moment où les gens proposent des clips, que ce soit international ou national. Et puis cette battle se fait à partir du vendredi. Vous votez, c'est ouvert à tout le monde. Et lorsque arrive notre dimanche à 15h, il y a un gagnant. Mais qu'est-ce qu'il gagne ce gagnant ? Parce qu'il gagne la gloire. [00:57:15] Speaker C: Oui, c'est vrai. [00:57:15] Speaker B: La gloire peut-être de voir son clip diffusé ici dans cette émission, mais il y a autre chose. Il a le droit de s'exprimer pendant une minute. Une minute où il a le droit de dire ce qu'il souhaite. [00:57:25] Speaker B: Normalement c'est. [00:57:28] Speaker C: Une minute bien utilisée, bon. [00:57:30] Speaker B: Là je pense qu'elle le sera. [00:57:31] Speaker C: Parce que. [00:57:32] Speaker F: Là qui était en battle c'était Kévin Parent Boulinosaur et Evan. Et il n'y avait pas Sushi ? Non Sushi elle se tient, elle se tient Sushi. Sushi fait des articles pour notre site internet donc elle a dit… Voilà, je t'empere, et puis elle sait très bien que si elle vient, elle va écraser tout le monde. Du coup, elle laisse quand même les gens proposer leurs morceaux. Et c'est donc le morceau que je ne connais absolument pas, c'est Good Till avec Parasites. Je ne. [00:57:53] Speaker A: Connais absolument. [00:57:53] Speaker F: Pas ce groupe-là, Good Till. Moi non plus. T-E-A-L pour Till, je ne sais pas si ça se dit vraiment comme ça. Et donc, c'est Boulinosaur qui a gagné. Boulinosaur qui a vaincu, pas beaucoup, mais il a quand même gagné. Et il nous a laissé ce petit message. Je suis impatient de l'entendre. Oui, je suis très impatient aussi. Allez Bouli. [00:58:13] Speaker F: Bonjour les enfants ! Bien sûr, c'est moi ! Père Noël. Oui, c'est vrai, le Père Noël regarde bing bing. Et alors ? Je fais bien ce que je veux de ma vie, non ? Vous êtes bien là, vous bandes de glandus. Alors ? Papa Noël n'a pas le droit de se gratter les couilles sur le canapé en regardant ses deux animateurs préférés. Et je vois des gens juste à côté. Oh, coucou ! Le Père Noël serait bien content de vous voir. Boulinosaur m'a chargé de vous parler de Goody... Alors, attends. Arrête-moi cette musique de merde ! Arrête ! Voilà, c'est bien mieux, le Père Noël s'entend mieux. Alors, Bouillazard m'a chargé de vous dire qu'il a choisi Goody, parce que c'est un groupe, apparemment, qui ferait du hardcore. J'en sais foutre rien de ce que c'est que le hardcore, à part, oui, certaines cassettes que j'ai eues avec la mère Noël. Mais bon, parlons d'autre chose. Le hardcore, et ils nous viennent du New Jersey, ces jeunes, et apparemment ils ne se défendent pas du tout du mouvement du hardcore de base. Je dis que c'est un espèce de hardcore qu'ils ont fait sans vraiment vouloir le faire. Écoutez. [00:59:14] Speaker B: Le Père Noël ne comprend rien à ce qu'il raconte, mais ils ont sorti. [00:59:17] Speaker C: Un EP au moins d'où le cas. Très très bien marché et du coup. [00:59:20] Speaker B: Ils ont sorti un album au mois de décembre, le mois du Père. [00:59:23] Speaker C: Noël les enfants. Voilà, donc j'espère que vous allez bien, je fais des très gros poutous à mon petit favori Ben parce qu'il a une très belle barbe et le Père Noël apprécie les belles barbes. Et voilà, je suis très content de le voir Pierre et j'espère qu'il a bien reçu mon petit cadeau, bien sûr les poires à lavement. [00:59:39] Speaker E: Du Père Noël. Je vous embrasse tous très fort et vous souhaite un très bon beng beng. Je. [00:59:45] Speaker C: Vous laisse les enfants, c'est l'heure du suppo du Père Noël ! Bon allez, au revoir les enfants ! Et bien sûr, si vous avez. [00:59:51] Speaker E: Un message, n'oubliez pas de m'envoyer ça au 36-65-65-65. Je vous embrasse, au revoir. [00:59:59] Speaker B: ! Au revoir, la fin ! Bravo, bravo ! Il est énorme ! Je ne m'y. [01:00:07] Speaker C: Attendais pas ! Très imaginatif ! Franchement, vous êtes. [01:00:09] Speaker B: Content d'avoir. [01:00:10] Speaker C: Voté pour lui ! [01:00:12] Speaker B: Maintenant il va gagner tout le temps, il y a un message spécial, tout le. [01:00:15] Speaker C: Monde va venir voter. D'ailleurs sachez que Boulinosaur. [01:00:19] Speaker B: A un podcast où il fait plein de petites scénettes comme ça. C'est exactement le même genre de production avec des petites musiques, des petits sons et tout ça. C'est super bien. Je ne me rappelle plus du nom du podcast parce que ça a changé. Mais si tu peux en parler. [01:00:36] Speaker B: Balance le lien carrément. [01:00:37] Speaker A: Boulinosaur. Ceci étant dit, je. [01:00:39] Speaker B: Trouvais qu'il y avait plus la voix de Père Fouras que du Père Noël. Mais non, c'est la voix du Père Noël, ça. Par contre, à la fin, je trouve que ça tirait un petit peu sur Kermit Terran. J'attendais le « c'est ma bite » à la fin avec la voix du Père Fouras. [01:00:53] Speaker B: Oui, bon en attendant qu'il nous donne... Ah, le lien a été donné via... via Marcel. Allez donc suivre cette personne extrêmement talentueuse et drôle. Oui, oui. Parce qu'on l'aime d'amour. Il est très créatif et dans le bon sens. C'est-à-dire qu'il n'a rien de mauvais. Il est. [01:01:12] Speaker C: Très doué. Cœur sur toi, Boulinosaur. Tout à fait, on a bien rigolé. Donc. [01:01:16] Speaker E: N'Hésitez pas à vous inscrire sur. [01:01:17] Speaker C: Notre patron, c'est tout ça pour. [01:01:18] Speaker B: Dire. [01:01:18] Speaker C: Ça, pour pouvoir faire de. [01:01:19] Speaker B: Même et laisser des messages complètement étranges. [01:01:21] Speaker C: Et magiques comme celui-ci. Merci infiniment du soutien financier et on part donc sur cette demande qu'il a eue et qui nous a…. [01:02:04] Speaker C: C'est. [01:02:33] Speaker C: Parti pour le tournage ! [01:04:47] Speaker C: Voici. [01:04:48] Speaker B: Donc le choix des bangers. [01:04:49] Speaker C: C'Était bien, c'était très très très bien. Merci Père Noël, merci Boulinosaur, merci donc aux headbangers aussi pour avoir participé. [01:04:57] Speaker B: Et avoir donné des. [01:04:59] Speaker C: Possibilités d'expression à quelques clips. D'ailleurs. [01:05:01] Speaker B: C'Est dommage parce que tous les headbangers ne s'exprimaient pas, j'aimerais vraiment. [01:05:05] Speaker C: Que tout le monde puisse proposer des clips. que tout le monde puisse envoyer de la musique. [01:05:09] Speaker B: Franchement, il ne faut pas se gêner et. [01:05:11] Speaker C: Puis perdre, ce n'est pas grave. Ce n'est pas perdre vraiment parce que vous proposez des clips, on les regarde tous et on est là comme ça sur le chat. [01:05:26] Speaker C: Eh ouais j'suis un lord, eh ouais ! Ah ça vous embouche un coin ! Moi t'es pas mon lord à moi. Mon lord à moi c'est. [01:05:33] Speaker B: Toi ! On sait qui c'est ton. [01:05:38] Speaker C: Lord. Ho ho ho ! Ho ho ho ! Jelly ! Ho ho ho ! Jelly. [01:05:47] Speaker B: ! Pomme de cage ! C'est un mec. [01:05:52] Speaker C: Qui est spécialiste en gelée et en petits pains au fromage. Ah non, il est vegan ? Il est vegan, oui. Pas du fromage de plantes. C'est con parce qu'un des meilleurs trucs. [01:06:04] Speaker B: Au Brésil, c'est les pains de cage. C'est les quoi ? [01:06:07] Speaker C: Pains de cage. C'est l'air très bon. [01:06:11] Speaker E: C'est les petits pains au fromage. Bon Gladys, on va. [01:06:14] Speaker C: Continuer. Enjoy, quelque. [01:06:15] Speaker B: Chose à dire peut-être ? Le clip était très. [01:06:17] Speaker D: Cool. Vraiment, j'ai beaucoup aimé le morceau. [01:06:20] Speaker C: Plein de surprises, vous. [01:06:21] Speaker E: Avez remarqué ? Mais j'ai cru que c'était. [01:06:22] Speaker C: Britannique, moi, du coup. Moi, ça me faisait penser à un espèce de. [01:06:26] Speaker B: Mélange entre, on disait en off, Block Party et un petit côté He's Legend aussi, que. [01:06:31] Speaker E: Je retrouvais. Je suis d'accord, je suis d'accord. Moi, je suis d'accord avec le monsieur là-bas. Je pense qu'il devrait venir plus souvent dans l'émission nous raconter des choses. Comme Père Castor. Bah oui, tout à fait, n'est-ce pas ? C'est pas faute de le vouloir, je vous jure. Mais on le sait, on le sait. On peut pas tout faire tout le temps. Mais tu sais, c'est pas parce que tu peux pas venir tout le temps qu'on t'aime pas de tout notre cœur. Nous on veut que tu sois là tout le temps, c'est tout. Voilà. Voilà ? Bah moi je t'aime aussi plus qu'avec mon cœur. [01:07:04] Speaker E: Alors on va nous quitter pas ça. C'est peut-être pour ça qu'il vient pas tout le temps. [01:07:09] Speaker E: L'horreur, c'est vraiment... Il n'y a rien qui va dans cette entreprise. Je ne sais pas si j'ai bien fait de venir aujourd'hui. Ça va, je te protège. [01:07:16] Speaker C: Je te protège. D'ailleurs, ne vous inquiétez pas, mais la porte, elle ne s'ouvre plus là-haut. J'ai tout bloqué. Bon Gladys, il y a un deuxième choix et c'est encore le tien. Tout à fait, je vais parler de Caméra Silence qui est un groupe de hoy. [01:07:29] Speaker B: Français. J'ai pris volontairement un groupe. [01:07:32] Speaker E: De hoy français et non un groupe américain ou anglais. De toute façon, il n'y. [01:07:35] Speaker C: A pas beaucoup de groupes américains. dans la oie. Pareil, un style musical qui est assez méconnu, c'est un mouvement qui à la base. [01:07:42] Speaker E: Est prolétaire, anticlassiste. qui vient de la musique ska, reggae, etc., mais qui a. [01:07:48] Speaker A: Eu envie d'un son un. [01:07:49] Speaker B: Peu plus brut, et qui a fait une espèce de fusion qui donne un. [01:07:53] Speaker E: String punk un peu plus posé. Donc ça donne de la oie, et c'est du coup un mouvement skinhead antifasciste. Et Camera Silence, c'est sûrement le groupe le plus connu en France en. [01:08:05] Speaker B: Groupe de oie, voilà. Et les plus connus, c'est des groupes comme Sham 69. [01:08:11] Speaker E: Cockney Reject, qui sont des groupes étrangers, mais en France, c'est vraiment la référence. [01:08:15] Speaker B: Est-ce qu'il y a un groupe qui s'appelle Hoy et Fine Zerbe ? Non. [01:08:19] Speaker E: Parce que moi je me dis depuis tout à l'heure, depuis que t'as dit Hoy, c'est le seul truc qui tourne dans ma tête et je me dis c'est quand même un bon nom. Pourquoi je me tâche de rire ? [01:08:29] Speaker E: Non mais ceci étant dit, il y a eu des noms avec des groupes qui sont... Non parce que les scalopes. [01:08:33] Speaker B: Les scatélites et tout ça, on connaît ! Dans le scat, ça se fait beaucoup les jeux de. [01:08:37] Speaker E: Mots. Un jour je vais vous passer un groupe de crustes aussi, vous allez voir, ça va faire tout drôle. Mais c'est vrai que c'est dommage. [01:08:42] Speaker B: Qu'Ils. [01:08:42] Speaker C: Aient pas. [01:08:42] Speaker E: D'Humour de... Ok, et. [01:08:47] Speaker B: Ils. [01:08:47] Speaker E: Existent encore ce groupe là ? Alors, Caméra. [01:08:49] Speaker B: Silène, je sais pas s'il tourne. [01:08:50] Speaker C: Encore, moi j'ai jamais eu la chance de les voir. [01:08:52] Speaker E: En live. [01:08:53] Speaker C: Par contre j'ai vu Sham69 la semaine dernière. Ah mais. [01:08:56] Speaker E: C'Est ça. [01:08:56] Speaker C: J'Allais dire, ceux que t'as. [01:08:57] Speaker B: Cités, ils sont passés dernièrement ? Alors Sham69, c'est moi qui ai organisé la date, donc forcément... Oui bah ça va, excuse-moi madame, j'aurais. [01:09:04] Speaker E: Pu dire bravo, vous avez organisé, magnifique, c'est formidable. [01:09:08] Speaker B: ! Bravo ! Regardez, j'applaudis ! La scène hoy existe davantage en. [01:09:15] Speaker C: France que la scène psycho. Il y a quand même souvent des petits concerts de hoy ou de punk, beaucoup à Montreuil d'ailleurs, plus qu'à Paris même. Mais il y. [01:09:23] Speaker E: A beaucoup de groupes en France de hoy aussi. J'ai pas mal de potes qui sont chanteurs ou guitaristes dans des groupes de hoy. Et il y a un bistrot pas loin de Voltaire qui est fortement tourné sur ce genre. [01:09:34] Speaker B: Musical. Alors je précise que c'est de la hoille et non du rac. C'est pas du tout la même chose. La hoille est par essence antifasciste, anticlassiste. Oui. [01:09:43] Speaker C: Très bien. Le rac, ça pue. Voilà. [01:09:47] Speaker E: C'est nauséabond et ça n'a rien à voir. Ok. Eh bien écoute, merci beaucoup. En tout cas, j'ai entendu parler que d'un des deux. Tant mieux. Je connais que le. [01:09:55] Speaker B: Hoille, je ne connais pas l'autre. Tant mieux. Les choses sont bien faites. On va se pencher encore une fois sur une partie de cette vie de Gladys pour en avoir un. [01:10:05] Speaker A: Peu plus d'elle avec nous. T'imagines que j'écoute ça depuis que j'ai 15-16 ans. Tu comprends mieux pourquoi t'as envie de péter la gueule des gens. Mais t'avais pas trouvé Oye et Philzerbe ? [01:10:17] Speaker A: T'organises une date qui s'appelle comme ça ? T'organises une date ou un fest, tu l'appelles Oye Finzer, ben tu vois si ça marche. [01:10:24] Speaker B: Non, après t'as un festival aussi, comment ça s'appelle ? Il y a un festival en banlieue parisienne où il y a pas mal de groupes de holly, de punk, etc. C'est... Putain j'ai oublié. Ça me reviendra peut-être après le clip. Eh ben voilà, on dira si jamais. Merci beaucoup Enjoy ! Mais de rien ! Merci d'être venu, merci pour ta gentillesse et ton savoir ! Merci Skippy ! Le grand Skippy ! Et dit Taiwan ! Tu vois dans le truc, il y a un mec qui parle. [01:10:52] Speaker C: De Crans qui est effectivement un. [01:10:54] Speaker B: Super groupe de français également, qui sont. [01:10:56] Speaker C: Très jeunes et que j'ai. [01:10:57] Speaker B: Déjà vu. [01:10:58] Speaker C: Plusieurs fois. Il y a de fins. [01:10:59] Speaker B: Connaisseurs dans le chat. Les gens échangent et c'est. [01:11:03] Speaker C: Ça l'essentiel. Excusez-moi, il ne faut pas. [01:11:05] Speaker B: Que je me trompe. On y va donc pour Caméra Silence. [01:12:01] Speaker C: Oh je... [01:12:29] Speaker C: Se sortir de. [01:12:31] Speaker B: La face C'est une façon qu'on se voit Elle est là qui t'attends Pour un peu de sourire T'en huit, t'en vingt Et c'est fini Ah, aujourd'hui comme d'honneur. [01:14:15] Speaker B: Aujourd'hui, changement ! La répro-réalité ! La répro-réalité ! La répro-réalité ! [01:15:08] Speaker B: C'est. [01:15:38] Speaker B: Sous-titres pas vrai ! C'est pas vrai ! [01:16:07] Speaker B: Réalisés para la communauté d'Amara.org. [01:16:14] Speaker B: C'est. [01:16:25] Speaker B: Pas vrai. [01:16:32] Speaker B: ! [01:17:25] Speaker B: L'au-revoir ! [01:17:35] Speaker B: Petite nouveauté, on nous dit souvent qu'on fait découvrir des. [01:17:39] Speaker C: Groupes, qu'on a des choses à montrer et que c'est toujours très intéressant. Et. [01:17:42] Speaker B: Bien là, ce groupe-là s'appelle Hell Heels. [01:17:45] Speaker C: Et la chanson s'appelle tout simplement Getting Bored. Je suis tombé dessus complètement par hasard et je trouvais. [01:17:50] Speaker B: Ça plutôt pas mal avec ses passages clairs. Alors souvent, on critique les passages. [01:17:53] Speaker C: Clairs dans cette émission. C'est doux, c'est mignon. Je. [01:17:58] Speaker B: Trouve que le. [01:17:59] Speaker C: Contraste entre les moments un peu plus. [01:18:01] Speaker B: Dynamiques et les moments calmes, c'est bien, c'est subtil. Oui, je trouvais ça. [01:18:05] Speaker D: Relativement original. C'est. [01:18:08] Speaker B: Un groupe qui vient de Lituanie. Ah, ça c'est aussi original. C'est original. Parce que qui. [01:18:13] Speaker C: Passe des groupes lituaniens. [01:18:14] Speaker B: ? C'est vrai qu'il y a un peu de monde. Qui enchaîne des clips de Hoy et des. [01:18:19] Speaker D: Clips de groupes lituaniens ? C'est vrai qu'on est tout seul. On n'en a pas beaucoup. C'est un groupe qui nous vient de Vilnius, qui a. [01:18:26] Speaker C: Commencé sa carrière en 2018. Cette petite chanson, c'est une belle nouveauté. Il y a un album qui. [01:18:32] Speaker B: Est sorti cette année qui s'appelle Price of Sympathy. Voilà, tout simplement. Si vous avez envie d'aller checker. Je mets mon téléphone dans mon dernier. Dans ton dernier. [01:18:40] Speaker A: ? Dans mon Paris dernier. C'est. [01:18:43] Speaker D: Comme un bon gâteau. Une bonne pâtisserie. [01:18:48] Speaker D: Mon petit. [01:18:49] Speaker B: Ben. [01:18:53] Speaker B: Enjoye, n'hésite pas à prendre un petit peu de flan avant de partir, si tu veux ! Ah, c'était le flan que je sentais ? Non mais t'as parlé de gâteau, ça m'a fait penser au flan, on a. [01:19:04] Speaker D: Du flan. Tu connais pas cette odeur-là ? Tu parles pas des soirées ? T'as pas le bateau phare ? 2008 ? 2009 ? C'est par là, à peu près. C'est millésime, là. C'est mon millésime, ma meilleure année ! Et on reçoit notre invité, c'est Damien Bataille ! [01:19:28] Speaker D: Belle intro. Bienvenue Damien, merci. [01:19:32] Speaker B: D'Avoir... Merci de l'invitation. Merci de l'invitation. T'es bien gentil, ça fait 800 ans qu'on. [01:19:38] Speaker C: T'A invité. Depuis le début. Au moins il vient. [01:19:42] Speaker B: Non mais je plaisante parce qu'il est très occupé, t'as une vie quand même qui est bien remplie. Ouais et puis c'est quelque chose quand même, c'est de se lancer comme ça en interview devant du monde et tout, enfin tu vois c'est pas... Il déteste te parler toi. J'aime pas trop ouais. On est entre nous là, il n'y. [01:19:58] Speaker D: A personne. [01:20:01] Speaker D: Non mais merci d'avoir accepté, je sais que c'est pas un exercice que tu aimes pratiquer, et c'est pas que t'es contre, c'est juste. [01:20:08] Speaker B: Que c'est pas là où t'es le plus à l'aise. Je le fais pas souvent quoi, donc... Ouais voilà. Bon Damien, pour les personnes qui ne te connaissent pas, qui arrivent et qui disent bah mais ce mec c'est qui, je l'ai jamais vu ou je sais pas qui c'est, que. [01:20:18] Speaker D: Fais-Tu dans la vie ? Aujourd'hui. [01:20:20] Speaker B: En tout cas. Producteur de concerts, de tournées, je repère des artistes et je les signe et on les produit après. Pour les français on les produit, on crée le concert etc. le show, après on les fait tourner, pour les artistes internes on fait juste des prods, on revend les dates. On les représente en France. Et tu fais ça pour, on peut dire chez qui ? Chez Vérichaux. [01:20:42] Speaker D: Pour Vérichaux Productions. Vérichaux, j'ai jamais entendu parler, j'espère. [01:20:46] Speaker B: Que c'est bien. Grand plaisir d'ailleurs, je le dis aux personnes, mais un grand plaisir de travailler avec vous puisque Aracelès et Vérichaux travaillent ensemble et vous êtes extrêmement généreux auprès des personnes qui nous suivent, des bangers, parce que vous offrez beaucoup beaucoup de place et vous faites partie de ceux qui nous suivent depuis le début. Ils nous ont pas boudés. Non, non, et puis c'est important. C'est important même. [01:21:07] Speaker C: Pour tous les médias, pas que vous. [01:21:09] Speaker D: Mais vous supportez la scène, donc c'est un peu normal. Tu parles de. [01:21:15] Speaker C: Scène française juste avant de se. [01:21:16] Speaker D: Lancer sur ta carrière parce que, évidemment. [01:21:18] Speaker B: Nous on te connaît depuis très longtemps, avant que tu. [01:21:20] Speaker D: Travailles chez Vericho. Moi, je pense que c'est hyper. [01:21:23] Speaker B: Intéressant que tu viennes parler de tout ça ici parce que t'en as fait des choses. Je vais essayer de m'en souvenir. Si tu ne souviens pas tout, ce n'est pas grave, mais c'est juste pour dire qu'il y a. [01:21:33] Speaker C: Eu un parcours qui mérite aussi ta place. [01:21:37] Speaker B: Aujourd'Hui. Enfin, je veux dire. [01:21:38] Speaker C: T'En as fait des choses, tu t'es battu, t'en as chié. Il y a eu des hauts, il y a eu des bas, mais tu t'es accroché, tu n'as jamais lâché. Pourtant, il. [01:21:48] Speaker B: Y a eu beaucoup de bas. Voilà, et les 10 premières années, on va dire. Voilà, ça n'a pas été simple. Mais moi, je me souviens de toi quand on était. [01:21:57] Speaker B: On s'est connu un peu plus tard nous, mais t'étais présent, t'étais le mec, c'était. [01:22:02] Speaker D: Un peu comme si, dis-moi si je me trompe, mais on parlait tout le temps de Damien, parce que c'était celui qui organisait les. [01:22:07] Speaker B: Concerts. [01:22:08] Speaker D: Un peu, qui étaient les trucs émo, les trucs un peu Metalcore, les trucs un peu... Le truc de la scène du moment quoi, avec des voix claires là comme... Vous aimez pas ? J'ai bien retenu. [01:22:30] Speaker D: Tu faisais beaucoup de ces concerts-là. C'est une alternative dans le sens large. En tout cas, tu as aussi fait de la musique. Je ne sais pas si on va en reparler. Non, non, mais j'ai cherché, mais je n'ai pas trouvé. Donc, tu n'auras pas la surprise d'avoir. Je te dis tout de suite comme ça, tu ne stresseras pas tout au long de l'émission. [01:22:49] Speaker D: Mais voilà, beaucoup d'histoires à raconter. Sauf si moi. [01:22:51] Speaker B: J'Ai trouvé quelque chose d'intéressant. On verra peut-être plus tard. [01:22:56] Speaker B: Après on a demandé à un collègue qui jouait dans un autre groupe aussi, et lui apparemment il a bien gardé les trucs et il va nous les envoyer normalement. C'est une blague. Aujourd'hui comment tu fais pour diguer des groupes français ? Parce que tu. [01:23:19] Speaker D: Dis on va chercher des groupes français, on les produit, mais c'est quand même pas chose facile que d'aller chercher et de trouver. un truc qu'on se dit, tiens, il y a quelque chose. C'est de la veille, c'est de la veille, ça prend du temps. C'est sur les réseaux sociaux, sur TikTok, Instagram, beaucoup sur YouTube aussi. Ouais. YouTube, c'est plus en... À droite, ça te propose des clips, tu passes dessus d'un clip à un autre, etc. Je dirais que l'algorithme du TikTok, c'est plus... Déjà, à partir du moment où tu commences à regarder des petites découvertes, ça va te le proposer aussi automatiquement. Et mon feed, du coup, c'est que ça. c'est vraiment la moitié de mon feed c'est que ça bon après c'est pas ça va pas chercher le petit groupe qui vient de créer sa page en fait il y a déjà l'algorithme. [01:24:04] Speaker B: Qui l'a très bien compris tu vois mais ouais instagram aussi les reels etc voilà c'est vraiment les trois plateformes Donc en vrai, si on a un jeune groupe. [01:24:13] Speaker D: Et qu'on se dit, j'aimerais bien qu'il y ait un tourneur qui s'intéresse à moi, s'ils font du contenu, alors du bon contenu évidemment, parce que sans du bon contenu ça marche pas, mais s'ils font du contenu, c'est possible qu'ils passent un moment dans les radars d'un tourneur. Ah oui, mais pas que, de tous les pros de la musique. C'est vraiment maintenant, il y a une semaine encore, j'ai découvert un groupe Il y a. [01:24:35] Speaker B: Peut-Être deux, qui s'appellent Kult 45, je voulais vous l'envoyer mais je n'ai pas eu. [01:24:41] Speaker D: Le temps. [01:24:43] Speaker D: Du plémo, mais revisité avec du son d'aujourd'hui. Et il y a encore deux semaines, je pense, sans leur nouveau titre, ils n'avaient presque pas d'abonnés. Puis d'un seul coup, il y a un titre qui a buzzé. Il y a plusieurs vidéos. Ils ont tourné ça. Je ne sais. [01:25:00] Speaker B: Pas si vous voyez toutes les trends qu'il y a sur TikTok. Donc, ils vont adapter ça avec leur nouveau morceau. Et à un moment, ça pop-up dans mon feed à moi. Et puis, d'un seul coup, je les suis comme beaucoup de gens. et. [01:25:10] Speaker D: Je vais les suivre en fait. C'est super intéressant. Comme ça tu vois un peu comment ça travaille aussi. C'est un regard pour dire tiens il y a du potentiel ou ils ont déjà fait beaucoup. [01:25:20] Speaker B: De travail. Bah oui, je remonte les vidéos, je regarde un peu l'historique. Bon. [01:25:24] Speaker D: Là je vois que c'est très récent, je crois que c'est leur deuxième morceau, je suis pas sûr, peut-être le premier. Et puis je vais suivre, on va voir, je vais peut-être les contacter à un moment pour leur demander plus de sons. Donc c'est comme ça que je procède, tu vois. [01:25:35] Speaker B: Ou même sur Insta, je vais envoyer le petit message directement à l'artiste. Donc il faut que vous regardiez les messages où c'est écrit en attente des demandes. C'est super important. Ou de mettre un email tu vois quand c'est l'insta, beaucoup. [01:25:49] Speaker D: D'Artistes ne mettent pas l'email. Enfin tu vois genre ils n'ont pas le réflexe. Même s'ils le mettent des fois ils n'ont même pas le réflexe d'aller checker leur boîte mail. Mais on en contacte beaucoup comme ça. S'il y a un groupe qui répond pas rapidement. l'abse de temps, mais je veux dire, s'il répond pas dans la semaine ou un truc comme ça, ça peut le compromettre ou il y a quand même, si tu sens que t'as vraiment une. [01:26:13] Speaker B: Vibration... Voilà, si j'ai vraiment envie, je vais commencer à mettre un commentaire, je vais essayer de répondre sur les stories, enfin tu vois, je vais être quand même assez présent pour montrer qu'eux, quoi, tu vois. Et c'est fait sous le nom de Verichow ? Non, c'est sous mon nom, c'est avec ma page perso. Celle de Vericho, c'est les artistes qu'on suit, c'est. [01:26:31] Speaker D: L'Actualité, et c'est trop engageant tout de suite. J'ai ce côté un peu digueur, où j'aime bien contacter et sentir, c'est voir comment la personne va répondre, le groupe ou l'artiste va répondre, et je trouve ça super important. Comment tu peux savoir si un truc c'est bon ou pas ? C'est une question con, mais chacun a ses goûts, parce que t'as tes goûts musicaux, mais j'imagine que tu passes au-delà aussi, parce que tu vas pas t'en donner à ça. Ça tourne quand même beaucoup autour de mes goûts. Moi je suis spé, on va dire rock alternatif, mais aussi je fais pas mal de pop aussi, tu vois. Mais non, ça va être autour de mes goûts. Ça va être vraiment ça. Moi je suis très... [01:27:15] Speaker C: La mélodie, tu vois. Ça va être la mélodie. Et si tout de suite je sens le truc, c'est viscéral, tu sens le truc, ça peut fonctionner. On. [01:27:26] Speaker B: Y croit et on va les contacter. Parce que des fois le groupe peut. [01:27:29] Speaker D: Être... Enfin je pose des questions bêtes parce que encore une fois je sais pas comment ça va, c'est pas mon métier, je pense que ça ne le sera jamais. Mais des fois t'as le groupe qui fait pas forcément bien, le son est pas forcément super bien enregistré, encore. [01:27:41] Speaker C: Qu'Aujourd'Hui y'a des techniques de fou mais... Ouais mais c'est pas grave. Parce. [01:27:44] Speaker D: Qu'On arrive à se projeter. Tu vois, c'est pas... J'en suis sûr, par exemple, le groupe Kult 45, j'espère qu'ils. [01:27:51] Speaker C: Vont pas le prendre mal en disant ça, mais. [01:27:53] Speaker D: Tu sens quand même. [01:27:53] Speaker B: Le truc un peu... Pas bidouillé, mais le son... C'est peut-être un. [01:27:57] Speaker C: Home studio, enfin tu vois, ça va. [01:27:59] Speaker B: Être... Ils ont pas enregistré un truc dans un truc de. [01:28:02] Speaker D: Fou, tu vois. Et. [01:28:03] Speaker B: On sent, mais c'est le côté brut justement qui m'intéressait sur ce groupe-là, par exemple, tu vois. Moi j'en parle là, parce que c'est le dernier groupe que j'ai découvert, et vraiment, c'est tout chaud, tu vois. Mais ouais, c'est... On se projette. On arrive à... Je sais pas, on va sentir le truc, quoi, tu vois. Et quelqu'un, il y a Boulinosaur qui dit « Ah bah merci, ça défonce, culte 45 ! » Mais il dit ça en rigolant. [01:28:26] Speaker D: Il dit qu'il vient d'écouter et que c'est cool Tu vois tu vas faire déjà des followers en plus Mais tu vois, normalement. [01:28:34] Speaker C: Mes découvertes comme ça, j'en. [01:28:35] Speaker D: Parle pas parce que je dois me les garder. Donc je. [01:28:38] Speaker C: Vais follow un peu, je vais regarder. [01:28:40] Speaker D: Mais je veux pas être trop présent parce qu'en plus faut pas que les autres boîtes aussi captent. Faut faire attention, enfin tu vois c'est... Bon bah là pour eux c'est... Désolé les gars, vous l'auriez pu mais là... Au moins ils ont vu que j'étais le premier à en parler. Je leur fais un peu de pub. Ils vont voir un petit. [01:29:00] Speaker B: Bump sur leurs écoutes. On l'espère pour eux. On leur souhaite bien évidemment. Allez tous follow et dites que vous venez de la part de Nami Abotami. [01:29:13] Speaker B: Damien Véricheaux, si vous ne savez pas écrire, votre ami... Voilà. C'est écrit, c'est écrit. C'est. [01:29:18] Speaker D: Écrit ? Oui, c'est vrai. Pardon. [01:29:22] Speaker D: Ouais, donc il y a ça. Mais on dit souvent que la France, c'est pas un pays rock, c'est pas un pays... Mais il y a quand même donc une concurrence. C'est quand même des gens qui veulent diguer. Non, parce que des petits groupes, je veux dire, il faut avoir confiance quand même pour mettre des thunes là-dedans. Enfin, je veux dire... C'est pas... Tu comprends ce que je veux dire ? C'est pas facile. Ouais, je vois. C'est d'y croire. C'est d'y croire et de voir le potentiel. L'important, c'est d'y croire. Et de voir le potentiel. Des fois, c'est son apercevoir. Très bien, très bien fait. Merde, du coup, ça m'a perdu. L'important, c'est de toujours être en amour. En gros, je ne suis pas le seul à dessiner. Il y a une équipe. Mais on se réunit, on écoute, on voit, on voit le potentiel. On se dit bon, ça, ça peut aller. loin. On envisage, bon, ça on l'imagine un jour à. [01:30:13] Speaker C: L'Olympia, aux Zéniths, etc. Mais sinon, oui. [01:30:16] Speaker D: Effectivement, on n'y va pas. Mais oui, je ne sais pas. Il y. [01:30:19] Speaker B: A quand même donc, tu. [01:30:20] Speaker D: Dis, tu trouves, tu présentes à tes collègues lors de réunions. Comme ça, il y a d'autres voies aussi. [01:30:25] Speaker B: C'Est-À-Dire que tu n'es pas tout seul à venir à un truc et que ça se plante. On n'est pas forcément. [01:30:28] Speaker D: Objectif tout le temps, en fait. Il y a des trucs où c'est trop... Tu vas faire trop parler ton cœur en fait, tu vois, genre... [01:30:38] Speaker B: Tu verras pas la possibilité d'avoir une rentabilité sur le projet, parce que c'est aussi ça, faut pas se mentir, tu vois, donc on va pas signer pour le plaisir. Et il faut trouver. [01:30:50] Speaker D: Le juste milieu, tu vois. Y'a. [01:30:52] Speaker C: Beaucoup d'inter, beaucoup d'inter en tout cas. [01:30:54] Speaker D: Qu'On fait, qu'on produit des fois pour le plaisir. [01:30:59] Speaker D: Et en gros, je sais pas, sur une... Je sais pas, aujourd'hui... Enfin moi, mon catalogue à moi, personnellement, il y a une centaine d'artistes internationaux. Là-dedans, il y en a... Bon, la plupart, je les aime vraiment beaucoup, mais il y en a vraiment 30, voire 20, qui sont pas forcément rentables. Mais c'est mon plaisir, c'est mon petit plaisir coupable, tu vois, c'est vraiment le truc. Bon, au pire, ça fera pas perdre beaucoup d'argent, mais j'arrive à équilibrer et puis voilà quoi, tu vois. Il y a toujours l'espoir que ça se... Ouais, bah après, quand c'est des vieux groupes, c'est compliqué, tu vois. Donc c'est grâce à ça... On sait jamais, après, il y a des revivals et tout ça, donc on sait pas, tu vois, mais... C'est grâce à ça qu'on peut revoir certains. [01:31:39] Speaker B: Vieux groupes où on sait que de toute façon, on ne s'en. [01:31:41] Speaker D: Fout. Oui, c'est pour le fun. [01:31:42] Speaker C: Tu vois. Après, il y a toujours le bon, bah peut-être que, tu. [01:31:44] Speaker D: Vois. On le. [01:31:45] Speaker C: Fait, tu vois, mais. [01:31:45] Speaker D: Il y a des groupes... Et ça, quand tu te dis, tiens, ce groupe-là, il marche. [01:31:49] Speaker C: Pas pas faire autrement et je suis obligé d'en demander de venir. Quand tu dis. [01:31:54] Speaker D: Ça au patron... Bah déjà je ne lui dis pas. [01:31:59] Speaker D: J'espère qu'il n'y a rien de passé. Je vais avoir des extraits, ça va être affreux. Non, non, je ne me fais pas plaisir sur un Olympia, tu vois. C'est des groupes qui ne ramènent pas grand-chose. Je vais aller dans une petite salle, type backstage, boule noire, ou un trabendo. [01:32:14] Speaker B: Grand max. Par exemple, j'ai fait Thrice dernièrement. c'était plus par plaisir, en me disant voilà, on verra, on. [01:32:22] Speaker D: Verra quoi, tu vois. Mais au final, tu vois, c'est un groupe vraiment de cœur, mais il y a un certain statut à l'international, et du coup, t'as vu j'ai les... Et ça demande beaucoup, c'est quand même un groupe qui tourne beaucoup. Donc derrière, il y avait un gros risque. Donc il y avait quand. [01:32:43] Speaker C: Même un petit plaisir perso. Et. [01:32:45] Speaker D: Puis je sais. [01:32:45] Speaker B: Pas, il y avait ce truc de. [01:32:46] Speaker D: Défi, un petit challenge de me dire. [01:32:50] Speaker B: Vas-Y, peut-être que ça va marquer. C'est un peu ça aussi qui te tient au métier ? Bien sûr. Bien sûr, on est tous épargneurs. On peut te. [01:32:57] Speaker D: Dire, aller voir Frys. [01:32:58] Speaker B: En concert, c'est incroyable en concert. C'est super beau. Vraiment incroyable en live. Il y a un univers, même de l'ancien, du nouveau, tout mélangé. [01:33:08] Speaker D: Ça reste super cohérent. Et la performance sur scène est toujours incroyable. Les chanteurs, ils chantent tous super bien. [01:33:21] Speaker D: Ah bah Outrabendo c'était pas mal blindé au final. C'était les 20 ans je crois de l'album. Je crois que c'était ça. [01:33:33] Speaker D: J'étais étonné. Il y a des fois il y a des bonnes surprises comme ça. Je me suis dit putain je vais faire 300 tickets, ça va être la galère et tout. Et. [01:33:40] Speaker B: Au final ça a fonctionné quoi. Bon, donc il y a du plaisir, il y a diguer, donc. [01:33:45] Speaker C: Quand même, boulot. [01:33:46] Speaker E: D'Écouter plein de trucs. C'est la majeure partie de mon travail. C'est vraiment diguer. Moi, c'est ce que j'aime, c'est. [01:33:52] Speaker B: Quand je rentre. Tu vois, quand j'attendais sur. [01:33:53] Speaker E: Le côté, j'étais en train de regarder des artistes. J'arrive même pas à déconnecter, tu vois. Même en sortant du taf, t'es là, tu regardes. [01:34:01] Speaker B: Enfin, tu vois, c'est un plaisir aussi. Ton job est ta passion, quoi. Ouais. [01:34:05] Speaker D: C'Est ça. [01:34:08] Speaker D: Faut faire attention à ça parce que des fois on s'énerve un peu et que du. [01:34:10] Speaker C: Coup ta vie perso se noie dans. [01:34:12] Speaker D: Le travail et là c'est un peu... Avec les années on apprend que c'est bien de prendre un peu de temps pour ça. Mais ouais tu peux pas te détacher de ça quoi. Puis j'imagine qu'il faut le faire pendant des milliers d'heures avant de trouver un truc. Non mais c'est vrai mais après en plus j'ai un genre de trouble de l'attention qui fait que je vais aller sur une vidéo et puis je vais oublier ce que je devais faire à côté et après je vais aller sur une autre vidéo, je vais aller sur une autre vidéo, enfin tu vois je vais. [01:34:37] Speaker E: Me perdre pendant trois heures comme ça. [01:34:38] Speaker C: À écouter, à regarder, enfin tu vois c'est un enfer. Oh putain, je devais faire ça, vite, vite, vite. Bon, je t'ai demandé aussi de choisir des clips. Attends, juste avant. Oui, je me souviens du nom du festival en banlieue dont je parlais, où il y avait énormément de concerts. Festival Oi, où il y avait beaucoup d'orages. C'est. [01:35:00] Speaker E: Le Bal des Vauriens et c'est au Kilo Watt. [01:35:04] Speaker D: Et c'est là où il y avait vu Crans, justement, le groupe français de Oi. Le Bal des Vauriens ? Voilà, le Bal des Vauriens. Une parenthèse pour cette information-là. D'ailleurs, juste pour revenir sur une news de tout à l'heure, sur Parkway Drive, que j'écoutais à côté... Tu veux pas revenir sur celle du pool ? En gros, ils ont annulé leur festival, enfin ils l'ont pas annulé, ils l'ont pas fait du coup, ils ont pas fait cette édition parce que tout était trop cher. Les coûts... pour faire le festival était trop cher. C'était impossible pour eux. Et c'est un truc qu'on rencontre ici aussi en France. C'est pour ça que je voulais parler de cette news, c'est qu'en fait, ça nous concerne aussi nous. Et c'est une vraie tannée. Depuis le Covid, ça a flambé. Les coups. [01:35:50] Speaker C: De prod, c'est devenu n'importe quoi. Les demandes des cachets des artistes aussi, parce qu'eux-mêmes, eux-mêmes, tu vois... Et même le. [01:35:57] Speaker E: Prix de location des salles... Est-ce qu'on sait pourquoi ça a tant augmenté ? Non parce qu'au début on nous disait, il n'y avait plus de tourbus, parce que. [01:36:11] Speaker B: Tout le monde repartait en tournée en même temps donc il n'y avait plus assez de trucs. Après on nous a dit qu'il y avait la guerre en Ukraine et que du coup l'essence, les prix avaient augmenté. Le coût de la vie a augmenté dans tout. Donc ça suit aussi. Mais je pense qu'il y avait dans la musique, il. [01:36:29] Speaker D: Fallait faire un genre de... Par exemple, les intermittents, je pense qu'avant le Covid, ils auraient dû être mieux payés, peut-être. Tu vois, par exemple. C'est vraiment... Donc là, il y a eu tout de suite, après Covid, forcément, beaucoup étaient dans la merde. Et puis il y avait de la demande, donc ils ont aussi profité. Et tant. [01:36:49] Speaker C: Mieux, tu vois, genre d'augmenter leur cachet, de faire des demandes, etc. Voilà, ça, c'est un exemple, l'intermittence. Mais je ne sais pas, il y a surtout une forte demande. Le spectacle, malgré le fait que des festivals sont en galère, etc., les coûts de prod' augmentent. Il. [01:37:03] Speaker D: Y a une demande, enfin je. [01:37:05] Speaker C: Pense qu'on n'a jamais eu autant d'artistes qui tournent en Europe, c'est vraiment dément. Alors. [01:37:10] Speaker E: On l'a vu au mois de novembre, la quantité de concerts qu'il y. [01:37:13] Speaker B: Avait c'était... Parce que maintenant ils vivent de ça, c'est-à-dire qu'avant ils pouvaient vendre des albums, des machins, là aujourd'hui ils vivent vraiment du live, donc ils n'ont. [01:37:19] Speaker D: Pas. [01:37:19] Speaker C: Le choix que de tourner en fait. Mais du coup on sait plus où mettre de la tête, c'est-à-dire qu'il y en a vraiment partout quoi. En plus t'as. [01:37:24] Speaker D: Envie de voir tout, parce qu'à l'époque t'avais l'habitude... que ce soit assez peu fréquent, donc t'y es allé tout le temps et là t'as envie de t'ouvrir parce que tu te demandes s'il va y avoir la suite. Et puis il y a une séparation aussi des classes un peu. [01:37:34] Speaker B: Parce que les tickets sont forcément. [01:37:36] Speaker D: Chers, donc la personne va sélectionner le concert. Celui qui a de l'argent. [01:37:41] Speaker C: Tant mieux, il va s'en faire 20. [01:37:43] Speaker D: Dans le mois. Mais il y a une sélection, donc c'est là où il faut être prudent, nous, producteurs de concerts. Parce que le truc qui est compliqué avec ça, c'est que les gens vont aller voir des gros artistes où ils savent qu'ils vont aimer. Et comme c'est des concerts qui sont aussi beaucoup plus chers, les gens vont plus forcément aller faire un ou deux petits trucs. Sur les découvertes, c'est plus compliqué. Donc là, le pari de lancer des. [01:38:10] Speaker B: Nouveaux artistes, il reste... Ça dépend des fans. Il y a beaucoup. [01:38:13] Speaker D: De fans qui aiment diguer justement les petits concerts. Oui, il y a des catégories de gens qui vont au concert. Il y a ceux qui veulent que les petits concerts, ceux qui veulent voir les trucs. Oui. [01:38:24] Speaker D: Moi, j'ai beaucoup de retours de gens qui me disent que du coup, ils font quand même moins. [01:38:28] Speaker B: De découvertes. Et apparemment, c'est quand même dans beaucoup de scènes. Même nous la découverte maintenant, vu que les salles maintenant aussi. [01:38:36] Speaker D: Ont augmenté leur prix etc, le ticket maintenant pour une salle de 300 de capacité, tu l'as vite à 20 euros. Enfin tu vois, minimum. Quand à l'époque, même des boules noires c'était 13-15 balles, enfin tu vois, genre maximum. 20 balles c'est déjà pas mal. Et encore c'est très rare maintenant. 20 balles prix public c'est très rare tu vois, donc on est plus sur du 23, 25 aujourd'hui tu vois et c'est quand même un biais, enfin tu vois 25 balles c'est quelque. [01:39:06] Speaker B: Chose. [01:39:08] Speaker B: C'est ta sortie quoi, c'est ta sortie du mois pour certains, parce que tu additionnes ça avec le fait de devoir venir en. [01:39:14] Speaker D: Concert, c'est-à-dire que si tu viens en voiture, ça implique du parking, de l'essence, blablabla. Si tu viens en transport, c'est différent, mais... Prendre ton verre, le verre, le merch... C'est un bon billet, même dans une petite salle... Tu peux plus aller en concert sur un coup de tête, globalement. Tu peux, il y a encore des salles qui ont des prix... Là on parle de Paris mais on parle dans la France, il y a encore tout plein de salles, des SMAC avec des petits clubs avec des tickets à 5 euros, où justement nos impôts servent à ça et c'est super quoi tu vois. C'est vrai qu'il y a les SMAC, on voit souvent à Lille, on parle souvent à Lille, comment ça s'appelle, de l'aéronef. Ouais exactement, c'est le meilleur exemple. 5 euros dans leur. [01:40:01] Speaker B: Club, ils sont à perte constamment là-dessus. [01:40:04] Speaker D: Parce que t'ouvres les portes d'une salle comme ça c'est tout de suite moins 3000 ou moins 2000, tu vois. Et derrière, des tickets à. [01:40:10] Speaker B: 5€, t'imagines bien que même si tu fais 250 entrées, tu t'y retrouves pas. [01:40:16] Speaker E: Et il faut payer le groupe. Si on pouvait en avoir partout en France. [01:40:23] Speaker B: Il y en a déjà pas mal, mais des petits clubs comme ça, c'est cool. [01:40:28] Speaker B: On va passer au. [01:40:30] Speaker A: Clip. Un premier clip que tu m'as proposé, c'est Linkin Park avec Papercut. Alors, que représente Linkin Park ? Pourquoi cette chanson-là en particulier ? [01:40:40] Speaker B: Ça a été, je pense, le. [01:40:41] Speaker C: Tournant dans ce que j'écoutais. [01:40:44] Speaker B: À l'époque. [01:40:46] Speaker B: Il faut savoir qu'au tout début, j'étais vraiment quelqu'un qui explorait tous les genres. J'écoutais du rap comme I Am, j'écoutais Muse, Damien Saez. C'est ceux qui me reviennent vraiment maintenant parce que j'avais les CD, tu vois. Et d'un seul coup, je pense que c'était un pote qui m'avait fait écouter ça, donc il m'avait filé l'album. J'étais devenu comme un fou, genre dessus. [01:41:09] Speaker C: Je mettais ça en boucle dans ma chambre, je mettais ça fort pour faire chez mes parents, j'étais. [01:41:14] Speaker B: Vraiment l'ado. Et il y a. [01:41:18] Speaker C: Eu un tournant à ce moment-là où je me. [01:41:20] Speaker A: Suis. [01:41:20] Speaker B: Dit, ces trucs où ça scream, c'est. [01:41:22] Speaker C: Trop cool. C'est le passage crié. C'est mon ouverture dans cette scène-là. Il faut bien une ouverture. Avec la bonne prod. [01:41:34] Speaker E: Et puis le mélange avec le hip-hop. Exactement. [01:41:37] Speaker B: C'Était plus facile justement à cette époque-là. Et Linkin Park, c'est quand même... C'est. [01:41:46] Speaker D: Un mot du vent ! De toute façon, on va parler justement de ces débuts de goût de la musique ! Juste après ! Mûs, c'était une bonne base déjà. Moi je dis ça, je dis rien. Bah, I Am, c'est bien aussi ! On va écouter et regarder Papercut de Linkin Park, choix de Damien Boutamy. [01:42:44] Speaker D: C'est. [01:42:59] Speaker D: Ça que j'aime ! [01:43:14] Speaker D: Musique. [01:43:38] Speaker D: C'est. [01:43:50] Speaker D: D'Outro. [01:44:02] Speaker D: Parti ! [01:44:49] Speaker D: Sous-titres. [01:45:19] Speaker D: Réalisés par la communauté d'Amara.org. [01:45:54] Speaker B: Oh, putain de merde ! [01:46:38] Speaker B: C'est. [01:47:08] Speaker B: Parti ! [01:47:11] Speaker B: C'est. [01:47:28] Speaker B: Parti. [01:47:41] Speaker B: Pour la course ! [01:48:21] Speaker B: Ah bah oui, bah écoutez, écoutez. Je reste sur ma faim. C'est juste une boucle, c'est une boucle en fade-out. C'est juste qu'on n'en sent pas le fade-out, mais c'était déjà le fade-out depuis un. [01:48:31] Speaker C: Moment. [01:48:33] Speaker C: Eh oui, mais il faut aller les écouter, c'est. [01:48:34] Speaker E: Tout. Il faut aller les rejoindre sur les réseaux sociaux, sur toutes les. [01:48:38] Speaker B: Plateformes d'écoute légales. Vous allez les liker et vous suivez. Ça s'appelle Varials, V-A-R-I-A-L-S, pour ceux qui écoutent le podcast. [01:48:47] Speaker B: Non, non, je vois dans le schmuel des gens qui parlent de Marcel, alors Marcel n'a rien fait. Non, non, non, ça c'est juste... Mais sachez que Marcel ça s'écrit avec deux L. Voilà. Mais pas de. [01:48:55] Speaker C: E. Marcille ! Très bien. [01:49:00] Speaker B: Non, ah oui ! Pas de E. [01:49:02] Speaker D: Après les deux L. M-A-R-C-E deux L, voilà. Ne faites plus. [01:49:07] Speaker C: De fautes à Marcel. Ouais, d'ailleurs Gladys. [01:49:09] Speaker D: C'Est C-E, c'est pas S. [01:49:12] Speaker D: Et Damien. [01:49:15] Speaker E: Ça s'écrit comment ? D A Bon ce petit morceau là Damien que. [01:49:22] Speaker C: Tu découvres peut-être Bah. [01:49:24] Speaker B: C'Est exactement ce qu'on disait J'ai tout de suite regardé sur Instagram pour voir parce que là il y a un coup de coeur tu vois Donc je. [01:49:32] Speaker D: Regarde, je regarde qui suis, je vais voir sur Spotify, je vais regarder les auditeurs, je vais regarder les statistiques, je vais voir l'historique, etc. [01:49:39] Speaker C: Enfin voilà, c'est tout le travail que je fais après derrière, après avoir découvert. [01:49:42] Speaker D: Un artiste. En tout cas, c'est un choix que j'ai fait pour pouvoir varier les plaisirs de la programmation de ce soir. Et puis je pensais bien. [01:49:51] Speaker B: Évidemment à Gladys qui, en écoutant ça, s'est dit tiens, ça me donne envie de foutre. [01:49:55] Speaker D: Des patates dans la gueule à n'importe qui. Vous avez remarqué que je suis parti direct ? C'est vrai. Vous avez remarqué que moi j'ai kiffé direct parce que je connaissais déjà. Ouais mais tu connais tout ce qu'il y a de bon Gladys, tu. [01:50:05] Speaker B: Le sais. En dehors de Barrios, on continue donc avec toi Damien. Merci encore une fois d'être là ce soir, de répondre à nos questions. On va revenir loin loin en arrière. Quand t'étais comme ça, bon peut-être un peu plus grand quand même. Il est né déjà balèze. Il est né, il faisait 1m80. [01:50:23] Speaker D: Déjà. J'organisais déjà des concerts. Dans le ventre de ma mère, j'étais là, je lui ai dit, je vais réaliser mon maître ! Le ticket ! Le ticket c'est 5 balles ! Il faisait ses affiches de festival de rêve, c'est incroyable. Life from the womb. [01:50:38] Speaker D: Donc t'écoutais, tout à l'heure tu disais que t'écoutais du rap, t'écoutais du rock on va dire, t'écoutais vraiment de tout, t'as même des choses que t'aimerais ne pas dire que t'as fait ? Même du math, de. [01:50:49] Speaker B: Retard. [01:50:51] Speaker B: Même du Mano, tu vois, à l'époque, on est tous tombés dedans, la variété aussi. Tout le monde n'a pas écouté le single, mais tout le monde a écouté. Mais même la chanson française, j'ai écouté, j'étais très ouvert. Je pense qu'il faut être. [01:51:09] Speaker D: Déjà très ouvert dans ce métier, je pense, pour capter toutes les... Les sensibilités. Et les trucs qu'ils peuvent faire, en disant que oui, ça, ça peut fonctionner. Si t'es trop axé dans un genre. [01:51:20] Speaker B: C'Est compliqué. Je pense qu'il faut vraiment... Je connais personne qui est bloqué. «. [01:51:27] Speaker D: Je vais faire que du métal, j'aime que du métal et je vais faire que ça. Pour moi, ça va fonctionner. » J'en ai pas vu. Et puis de toute. [01:51:34] Speaker B: Façon, si je bloque là-dedans, c'est vrai que si à un moment le mouvement est un peu en merde, t'es foutu. C'est quand même compliqué. Et donc t'écoutais de tout. A quel, donc. [01:51:42] Speaker D: C'Est Linkin Park vraiment le tout premier truc vraiment violent, entre guillemets, plus agressif que t'as écouté ? Non, je pense qu'un jour, un pote, c'était la pause déj' après. [01:51:56] Speaker B: La cantine, on allait chez lui et. [01:51:58] Speaker D: Il m'a fait écouter Slipknot. Mais c'était. [01:52:02] Speaker B: Ultra violent pour moi, tu vois. Et j'étais là, je me disais je suis pas encore prêt. Enfin tu vois j'étais pas encore prêt. [01:52:09] Speaker D: Et puis après un pote qui écoutait du punk rock m'a mis dans le punk rock et en même temps dans Korn, enfin tu vois toute la scène néo métal de l'époque et tout quoi. [01:52:20] Speaker B: Donc il y avait quand même des potes. [01:52:21] Speaker D: Qui t'amenaient des trucs un peu plus agressifs, toi t'étais quand même un petit peu dans la curiosité donc t'avais un petit peu de base, mais c'est quand même comme ça que t'as créé prononcé peut-être pour... J'avais ma bande de potes qui était aussi dans le punk et dans le punk rock et l'un d'eux avait un groupe après voilà c'est comme ça j'avais un regard un peu curieux là dedans. Tu pouvais comprendre les logiques aussi déjà de ce moment là ? Mon premier concert c'était mon pote qui jouait je sais plus où dans le 91 tu vois C'est à ce moment-là. [01:52:55] Speaker C: Aussi que. [01:52:55] Speaker D: Je me suis dit que c'est vraiment stylé ce monde-là. C'est-à-dire qu'il y a eu ce déclic de... Bon Slipknot c'est un peu violent mais je suis curieux, on m'amène ça, j'ai mes potes, et là tu te projettes déjà dans ce monde-là. T'avais quel âge ? Je pourrais pas te dire... [01:53:13] Speaker D: C'était à 25 ans, ouais je sais pas, il. [01:53:17] Speaker B: Y a 25 ans, tu vois. Donc du coup... Ouais, enfin... Bon t'avais 15-16 ans... Ouais. [01:53:22] Speaker D: Un truc comme ça, ouais, c'était vraiment... Ouais ouais, c'est ça, donc... Ok, et donc là, comme je disais, excuse-moi je t'ai coupé la parole du coup, mais tu te projetais déjà plus ou moins... C'était plus de la curiosité, j'étais. [01:53:33] Speaker B: Là, enfin tu vois... Bah c'était. [01:53:36] Speaker D: Les copains qui avaient des groupes quoi, tu vois. C'était ça, j'achète ma première guitare moi-même, enfin tu vois, je gratouille... je m'intéresse. Tu touches un peu à tout du coup. Je fais mon premier festival qui était, moi je suis un mec du 91, donc du coup c'était les FR Vesson. Il y avait Johnny Zo, je m'en souviens encore, et j'avais pris une. [01:53:59] Speaker C: Claque tellement c'était fou comment le show il était, le mec était à fond, à balle, et à côté. [01:54:08] Speaker D: Il y avait Stupeflips sur la petite scène, genre dehors, Et là je. [01:54:11] Speaker B: Me disais, mais c'est quoi ce délire ? Mais je connaissais déjà parce que j'avais écouté avant. Mais de le. [01:54:17] Speaker D: Voir, enfin stupéfié, c'était incroyable. J'étais là, je me disais, mais il est fou le mec. Il est fou, c'était... C'était stupéfiant. C'était stupéfiant. Et je suis rentré chez moi, j'étais abasourdi. C'était vraiment, j'ai halluciné. Vraiment, en me disant, tu peux prendre des claques aussi sur des styles où... t'as pas forcément la culture. Et puis j'écoutais pas Stupéfixte comme ça, j'avais écouté pour savoir ce que c'était. Et Dionysos, à part le single Jedi. Là on est dans une époque où il n'y a pas encore vraiment la démocratisation d'Internet ou si déjà ? Je pense que si. Et puis on l'a eu assez tôt nous dans le foyer, enfin familial, c'était vraiment mon frère. [01:55:03] Speaker C: Est un gros geek, donc on était. [01:55:04] Speaker D: En mode modem 33k à télécharger, des modems mp3, vraiment. illégalement, enfin tu vois... Ça a aidé à pouvoir nourrir cette curiosité aussi. Ouais c'est ça, donc non, à la fin on se retrouvait avec des disques durs remplis d'albums, enfin tu vois c'était super parce qu'il y avait ce côté de pouvoir. [01:55:23] Speaker B: Découvrir quand t'avais pas l'argent d'aller acheter un album, bah j'avais... Et ça vite ! Ouais enfin à l'époque c'était long quoi, mais c'était une heure pour un titre à un moment, c'est chiant quand même. Encore une heure c'est quand t'as de la chance, quand il y avait beaucoup de gens. [01:55:37] Speaker D: Qui le partageaient. Ouais c'est ça, en plus c'était par rapport au nombre de personnes, exactement. Non mais c'est cool, c'est cool. Donc ton frère aussi, il a de la famille dans la musique, au Mélomane ? Non pas forcément, enfin mon frère m'a fait découvrir Osprings par exemple, ça c'est vraiment le... c'était X-Nay, X-Nay of the... Ah c'est le meilleur album ! Et c'est. [01:55:56] Speaker C: Vraiment, il m'a mis dedans comme ça. C'est lui. [01:56:02] Speaker D: Après, non mon père... Non, il y avait du Charles Aznavour, ma mère du Bob Marley. Ils écoutaient beaucoup de. [01:56:11] Speaker B: La musique. C'est-à-dire qu'en rentrant. [01:56:12] Speaker D: Du collège, même peut-être de l'école, il. [01:56:17] Speaker C: Y avait tout le temps de. [01:56:17] Speaker B: La musique. Ma mère était là, elle mettait à fond. Mon père avait acheté Une chimie fille de fou ! Enfin. [01:56:24] Speaker D: Tu vois, il tenait... Ah ouais. [01:56:26] Speaker C: Ouais, quand même. [01:56:26] Speaker D: ! Ils avaient Supertramp, des vinyles de ouf, des. [01:56:31] Speaker B: Rolling Stones et tout ça. Quand. [01:56:33] Speaker C: Tu parles de goût pour la mélodie, clairement... Ça doit sûrement venir. [01:56:37] Speaker B: De ça. Je me le dis souvent. [01:56:38] Speaker D: D'Ailleurs, par rapport à mes parents, je pense. [01:56:40] Speaker B: Que dès le début, quand tu fais écouter à tes enfants, enfin, déjà des bons morceaux bien mélodiques, je pense que ça reste et c'est un truc qui reste en toi après. Et puis quand tu les vois kiffer, que le sont forts ! Tu le vis encore plus. Quand t'es gamin, je pense que ça a un effet sur toi, sur ta. [01:56:57] Speaker D: Vie, sur ta façon de voir les choses aussi. Les mélodies, c'est beaucoup d'émotions aussi. Tu sentais déjà une émotion quand t'écoutais la musique ? J'ai un souvenir qui est vraiment... C'est mon premier CD, c'était Francis Cabrel. un samedi soir sur la terre. Et j'étais en colonie de vacances. [01:57:14] Speaker B: Et c'est. [01:57:14] Speaker D: Ce moniteur qui me fait découvrir l'album, il met ce morceau, La Corrida. Et là, j'étais choqué, j'ai ressenti un truc, c'était. [01:57:26] Speaker C: Puissant, forcément tu te mets à la. [01:57:28] Speaker D: Place de l'animal, t'es là, t'es crispé aussi. Et tu te demandes si ce monde est sérieux. [01:57:36] Speaker D: Je l'avais en tête en plus. En rentrant de colonie, j'ai demandé à mes parents si ils pouvaient me l'acheter. Donc là t'as eu l'émotion. On peut quand même dire que Francis Cabrel a des textes assez incroyables. Il écrit merveilleusement bien. C'est poétique et puis c'est fort. Et après, quand t'as le métal, cette violence... [01:58:01] Speaker B: Enfin, la violence. Donc après... Enfin, François-Alexandre, c'était avant. Oui, bien sûr. C'est-à-dire que je suis un peu remonté en arrière. Je reviens un peu sur l'adolescence. Ce jour après... [01:58:07] Speaker D: Et depuis, mon rêve, c'est vraiment l'union des deux. Un featuring ! Il y a aujourd'hui. [01:58:17] Speaker C: Avec IA tu peux le faire maintenant, je crois. Oui tu peux. [01:58:20] Speaker D: Mais bon, le résultat à voir. Et donc du. [01:58:24] Speaker C: Coup, quand t'avais les sons plus. [01:58:26] Speaker D: Alternatifs, on demande souvent ça à nos invités, tout le temps. Ça t'a aidé, ça t'a procuré quelque chose, ce sont un peu plus violents, les gens qui crient, t'avais envie de crier aussi, t'avais de la haine, t'avais quelque chose, ou de l'énergie seulement. Je pense qu'on est une génération où on n'arrive pas forcément à avoir le recul sur ça. La génération d'aujourd'hui l'a, plus avec les réseaux sociaux, etc. Mais je sais pas. Je sais pas, j'étais un ado énervé. J'étais. [01:58:52] Speaker C: Un ado. [01:58:52] Speaker D: Énervé, j'étais dans ma chambre, je claquais les portes. Pour rien. Franchement, c'était débile. C'était débile quoi, tu vois, t'es là, tu te mets à pleurer. Tu vois, t'es là et... Des hormones. [01:59:07] Speaker B: Tu sais pas quoi en faire ! C'était extrêmement nul, j'étais là, je voulais un cadeau que j'avais pas pour. [01:59:13] Speaker D: Mon anniversaire, vous êtes nuls, bah bam, Nicki Martin, faut super fort, c'était... C'est ça en fait, je mettais plémo à fond, j'étais vraiment... Après avoir le recul de savoir si j'en avais vraiment besoin, mais je pense que j'avais une rage. Ça m'a peut-être aidé à la canaliser et pas à l'extérioriser, à être violent ou quoi que ce soit. [01:59:39] Speaker D: Oui après c'est vrai que ça reste à voir. Donc tes parents eux, quand t'as commencé à être soiffant, ils se sont dit bon on va le laisser un peu ou ils se sont inquiétés ? Non ils ont été cool. En vrai ils ont été cool. Déjà ils ont pas de... Tu leur as fait acheter une guitare et des choses comme ça ? Non c'est moi qui... J'ai dû travailler pour me l'acheter. Pendant les vacances d'été, j'ai travaillé. Et non, non, il voulait pas. Il voulait pas. Déjà, mon premier rêve, c'était de faire de la batterie à l'origine. Mais c'est encore plus bruyant. Et la guitare, je crois que ma mère avait tenté de négocier avec mon père à l'époque. Mais ma mère, vraiment, elle était en mode chill. C'est ça qui était bien. Enfin, j'écoutais forcément à 22 heures, à un moment, tu baisses le son. Mais c'est vrai que non, ça allait jamais. Il subissait. Mais voilà, je pense pas que... Je crois que les notes suivaient même pas à. [02:00:33] Speaker B: L'École, donc j'allais te dire... Bataille de la chance ! J'étais pas le plus à plaindre, on va dire. Non mais c'est cool, c'est cool. Et du coup ça te faisait des potes cette musique un. [02:00:44] Speaker D: Peu à l'école justement ? On avait ce groupe de potes, ce groupe de potes de gars qui écoutaient du punk rock parfois et du néo. [02:00:52] Speaker B: Métal. C'était vraiment mélangé, on était peu. Au lycée on était peut-être. [02:00:57] Speaker D: Allez, 5. Sur le lycée ? Ouais, sur tout le lycée quoi. On nous remarquait quoi, tu vois. J'avais un pote qui s'appelle Pierre, qui jouait dans un groupe qui s'appelle Tracy Gang Pu d'ailleurs. Et c'était lui, on était au lycée ensemble. Et lui était déjà bardé de piercing, de tatouage peut-être. avec le short Dickies, enfin tu vois vraiment les. [02:01:21] Speaker B: Chaussures de skate énormes et. [02:01:25] Speaker D: J'Avais un autre pote qui était plus néo métal donc c'était Baggy avec effectivement aussi le piercing mais tu sentais le truc diabolique, vous voyez la marque. [02:01:32] Speaker C: Diabolique, etc. C'était à la rue Keller là ? Goéland non Et il y avait ce pote-là qui était plus néo-métal, j'avais un autre qui écoutait un peu les deux. ? Enfin tu vois c'était vraiment... [02:01:44] Speaker D: Et moi j'étais un. [02:01:45] Speaker C: Peu plus grunge dans ma. [02:01:48] Speaker D: Façon, tu vois j'avais des all-stars remontantes, avec des dickies mais pas. [02:01:53] Speaker C: Non plus comme eux, tu vois en plus en pantalon, je mettais pas trop de short. Enfin c'était vraiment... J'en ai mis après tu vois mais... Ouais chacun on était différent quand même. Mais voilà c'était la bande de potes qui écoutait du punk-rock, dont Pierre surtout qui m'a mis beaucoup dans le punk d'ailleurs. Et puis peut-être celui qui a réussi à te faire dire on peut quand même se fringuer comme ça, on peut aller jusque là, je vais tâtonner pour voir jusqu'où, à quel niveau les parents sont. Mais moi je commençais à mettre des pif, à me faire du gel quoi, tu vois. [02:02:21] Speaker B: Faut pas faire ça, ça. [02:02:23] Speaker C: Abîme les cheveux, c'est affreux. Ah bah je. [02:02:25] Speaker D: Peux témoigner, j'enlève ma. [02:02:26] Speaker C: Casquette et j'en ai rond. Et ouais, c'était les grosses chaussures de skate. Quand t'as tes potes, tu te. [02:02:34] Speaker D: Permets de l'être parce que. [02:02:35] Speaker C: À cette époque, c'était vraiment pas accepté. Je mettais des all-stars carrément, on me traitait de tous les noms. [02:02:42] Speaker B: Enfin, tu vois, c'était vraiment... Ah ouais, c'est quoi ce mec à côté de la société. Les all-stars à l'époque, c'était pas du tout... Genre ça faisait Clodo, quoi. [02:02:53] Speaker B: Ouais c'était un. [02:02:54] Speaker C: Peu, bah ouais peut-être un peu, ouais. [02:02:56] Speaker B: Si ouais peut-être un peu Clodo. Un peu en marge de la société mais vraiment le reclus. Mais c'est surtout qu'il y a quand même, le phénomène de mode est très fort chez les ados quoi. Donc dès que t'as un truc qui sort un petit peu de ce que tout le. [02:03:11] Speaker D: Monde... À l'époque c'était pire. Tu vois. [02:03:13] Speaker C: Aujourd'Hui c'est cool. Tu vois il y. [02:03:16] Speaker B: A des expérimentations que tu peux faire mais... Alors je pense aussi c'est que maintenant on n'est plus... dans le truc et je pense qu'on ne se rend pas compte. Parce que moi, je vois quand même beaucoup de gens qui s'habillent vraiment tous pareil. Il y a un lycée juste à côté, là. Quand je l'ai vu arriver le. [02:03:34] Speaker C: Matin, ils sont vraiment tous. [02:03:35] Speaker D: Habillés exactement pareil. Et en fait, c'est. [02:03:38] Speaker B: Juste que nous, on est off de. [02:03:39] Speaker C: Ça et on se dit peut-être qu'ils. [02:03:40] Speaker D: Sont libres. Mais il y a ce truc quand même de mimétisme hyper fort. Moi, je me souviens, quand j'étais petit, il y avait la mode des. [02:03:49] Speaker B: Bomber Shot. Scott, on disait à l'époque. Et ça, vraiment, tout le monde l'avait quoi. [02:03:55] Speaker D: Ça revient en plus. Ouais, c'est revenu. Je. [02:03:57] Speaker C: Sais pas si c'est encore ou si. [02:03:58] Speaker B: C'Était il y a un ou. [02:04:00] Speaker E: Deux ans. Je crois que c'est. [02:04:01] Speaker C: Maintenant. Et c'est vrai que moi. [02:04:06] Speaker B: J'Ai vu des gens. [02:04:08] Speaker C: Qui étaient malheureux de ne pas. [02:04:09] Speaker D: Pouvoir avoir. [02:04:10] Speaker B: Le truc. Alors, excusez-moi. Oui, oui, j'ai été malheureux. J'ai fait. [02:04:14] Speaker D: Chier mes parents pour avoir mes pumps parce que moi aussi, je voulais appuyer sur cette petite bulle pour que mes chaussures. [02:04:18] Speaker C: Gonflent. J'ai tapé dessus et tu me disais mais ça fait rien en fait ! [02:04:22] Speaker E: Ça fait rien et puis après je l'ai crevé et mes parents. [02:04:23] Speaker C: Me disaient on a dépensé 250. [02:04:25] Speaker B: Balles pour ça, je peux te dire que tu vas prendre une tarte dans la gueule, bon. [02:04:27] Speaker C: Je l'avais pas. [02:04:27] Speaker B: Mais... Ils ont été grangés ! J'y vais, j'y vais ! C'est quoi celle là ? J'ai pas branché ! C'est vrai tu me l'as. [02:04:39] Speaker C: Dit en plus ? [02:04:40] Speaker B: Non mais c'est pas grave ! C'est ce qu'on appelle du direct, c'est pas très grave. Mais ouais, mais non, je pense qu'il y a quand même une pression. Après, ils sont peut-être plus ouverts d'esprit, les gamins, en termes de style musicaux, etc. C'est-à-dire que toi, t'es plus jeune que nous. [02:04:59] Speaker B: Mais nous, on n'est pas beaucoup plus jeunes que nous non plus. J'ai vu leur regard ! Laisse-le me flatter s'il te plaît ! C'est vrai Guillaume, t'es 25 ans ! Il a le même âge que moi ! J'ai fait mon. [02:05:14] Speaker C: Âge là sur Spotify, enfin je l'ai pas. [02:05:17] Speaker B: Fait, c'est le récord là. Devine à quel âge ça m'a donné quand même. Je sais pas mais il y a. [02:05:22] Speaker C: Une pote, ça. [02:05:23] Speaker D: Lui a donné 72 ans. Il y en a plein autour de moi. Le calcul est vraiment débile en fait. C'est juste pour faire un pari. Devinez, parce que c'est très drôle. Toi t'as un truc jeune toi. Toi t'as. [02:05:37] Speaker B: 12 ans. Non mais tu dois avoir. [02:05:42] Speaker C: 22. J'ai 17. Il faut grandir mon p'tit ! Parce que t'écoutes beaucoup de nouveautés. En fait il le dit en plus dans le truc en dessous, il y a une petite phrase et ça dit ça. Moi comme j'écoute beaucoup de trucs des années. [02:05:55] Speaker D: 90, ça indique que j'avais 49 ans. Moi j'avais 21 ans. C'est très proche de mon âge du coup. 49 c'est quand même plus vieux. Oui c'est plus vieux mais ça va 49 c'est un âge... J'essaie de me rassurer c'est tout ! [02:06:08] Speaker D: C'est pas loin. Moi je suis pas loin. Du coup ça m'a perdu. [02:06:12] Speaker E: Parce que j'ai 40 ans, j'en ai. [02:06:14] Speaker D: 50. Mais qu'est-ce que j'ai qu'à mon. [02:06:15] Speaker E: Âge d'adversaire ? Les jeunes aujourd'hui. [02:06:20] Speaker E: Encore une fois c'est. [02:06:21] Speaker C: Juste supposition parce que je ne suis pas dans ce style-là, mais quand je. [02:06:24] Speaker E: Vois mes neveux, mes nièces, ils n'écoutent. [02:06:25] Speaker A: Pas qu'un style de. [02:06:26] Speaker B: Musique. Ils écoutent des trucs coréens, ils écoutent du rap, ils écoutent du rock. Plus de métal que de rock quand même. Les jeunes sont beaucoup plus ouverts aujourd'hui. Et je pense qu'ils se pètent un peu moins la gueule entre eux à cause de la musique. Pour d'autres choses probablement, mais j'ai l'impression que moins pour ça. Après on va pas se mentir, à notre époque il n'y avait pas grand chose. Il n'y avait pas grand-chose et tout le monde se pétait la gueule parce qu'il n'y avait que. [02:06:52] Speaker D: Ça à faire. C'était très catégorisé. Le métal c'était le métal, tu. [02:06:59] Speaker B: Ne pouvais pas écouter autre chose. Il. [02:07:01] Speaker C: Y avait des trucs comme ça. Je. [02:07:06] Speaker B: Sais qu'on se prenait des trucs avec les copains, c'était des insultes peut-être pas, mais c'était des regards, des... Ouais, c'était. [02:07:11] Speaker D: Rabaissant quand même, c'est pas grave. Après c'est drôle parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont écouté du métal et qui aimaient tout ce qui était fusion. Le problème c'est aussi que le rap en France. [02:07:21] Speaker B: C'Était vraiment le rap français. Le rap français et après le rap US. Et même les deux s'entendaient pas. Moi j'étais rap FR, j'ai jamais trop écouté de. [02:07:32] Speaker D: Rap US. Et c'est vrai que j'avais pas ce dégoût, mais j'étais là en mode je comprends pas la vibe à toi ou aux autres. Mais j'étais pas dedans. Et j'écoutais, et je diguais déjà aussi le rap français à l'époque. En tout cas si t'avais des potes. [02:07:53] Speaker D: C'est vrai, c'est vrai, on a peu cher ! Moi j'étais réellement seule tout au collège, au lycée. [02:07:59] Speaker B: Vous avez vu la petite dans la. [02:08:00] Speaker D: Puberté qui fait un moulin à vent ? Après j'avais des potes en dehors du lycée et du collège. C'est dur, c'est dur. En plus quand tu rentrais. [02:08:09] Speaker E: Dans un lycée, moi je sais. [02:08:11] Speaker B: Que quand j'étais au collège j'étais à la campagne et quand je suis rentré au lycée c'était à la ville. l'habitant, donc c'est pas non plus... [02:08:18] Speaker D: Mais putain je m'étais chié dessus, je me disais. [02:08:20] Speaker C: Qu'Est-Ce qui m'attend de l'autre côté quoi. [02:08:21] Speaker D: ? J'avais eu hyper peur, donc quand. [02:08:24] Speaker C: T'Arrives tout seul dans ton lycée, c'est chaud de se faire des potes. Bon après il y avait plein de losers, donc ça on est devenu des potes. Parce qu'on était pas tous des losers à cette. [02:08:31] Speaker B: Époque, tu vois. Non mais bien sûr. [02:08:33] Speaker E: Que non ! Je suis un perdedor ! I'm a loser baby ! Qu'est-ce que je voulais dire ? T'avais déjà des rêves. [02:08:42] Speaker C: Quand t'étais gamin ? C'était pas la musique peut-être ? Est-ce que t'avais. [02:08:44] Speaker E: Des rêves noirs ? Non c'est rien à voir ? Par rapport au groupe. [02:08:52] Speaker C: ? C'est comme une blague. [02:08:54] Speaker E: ? Parce qu'il y avait. [02:08:54] Speaker C: Des paroles d'un antartiste que je produis et où. [02:08:57] Speaker E: Il y a des rêves noirs dedans, c'est pour ça. On s'en. [02:09:01] Speaker D: Parlait d'aujourd'hui, à cette époque-là, quand tu avais 16-17 ans, t'avais envie de faire quoi ? T'étais pas du tout dans le délire de... Ou tu voulais juste être un punk ? Non, non, parce que je pense. [02:09:10] Speaker E: Que comme tous les ados de cette époque, on est perdu, en fait, on sait pas. On sait pas et on te guide pas. [02:09:17] Speaker C: Vraiment, c'était... Bon. [02:09:18] Speaker E: Les parents... Enfin, mon père, c'était de trouver un taf le plus vite possible. J'étais kank pendant très. [02:09:24] Speaker B: Longtemps avant que je me réveille. Mais à cette époque non. Donc tu fais un lycée classique ? Non c'est une première d'adaptation parce. [02:09:37] Speaker A: Que justement j'étais kank et après c'est. [02:09:38] Speaker E: À ce moment là que je me suis enfin réveillé et je me. [02:09:42] Speaker B: Suis bougé quoi. J'ai fait une première d'adaptation aussi. J'ai fait. [02:09:45] Speaker D: Seconde, seconde, sub ça s'appelait. Alors on te. [02:09:47] Speaker B: Donne encore une chance mais. [02:09:48] Speaker C: C'Est la dernière parce que là c'est. [02:09:51] Speaker B: Quand même très mauvais. Moi c'était ça aussi un peu la première d'adaptation. Moi j'ai pas eu de... Oui bah écoute moi j'ai dû signer un contrat. Ils. [02:10:00] Speaker D: M'Ont fait venir dans leur bureau et ils m'ont dit on va te faire signer un contrat. Donc c'est un contrat, c'est quoi ? C'est qu'il me laissait passer mais je m'engageais à bien travailler l'année d'après. Merci la pression à l'époque, c'est délicaté. C'est pas que pour les cancres à la première. [02:10:17] Speaker B: Adaptation. Moi je l'ai eu parce que j'avais. [02:10:19] Speaker D: Séché ma dernière année de collège. Mais j'avais les meilleurs résultats. Moi c'est ce qu'ils appellent être un cancreur. Non, parce. [02:10:25] Speaker B: Que j'avais quand même les meilleurs résultats de ma classe au final. Mais ils avaient le seum. Mauvaise attitude. Oui, mauvaise. [02:10:30] Speaker D: Attitude. Et ben c'est pas. [02:10:31] Speaker B: Que les notes à l'école. [02:10:32] Speaker A: Oui mais ça fait pas de toi un cancre une mauvaise attitude. En fait je pense que c'est tu t'as réagi mais trop tard. Tu t'es mise à bien travailler mais c'était trop tard. Le seul choix c'est la première d'adaptation parce que tu peux pas suivre le schéma normal. En vrai c'est ma mère qui a voulu me punir parce que j'avais séché énormément. Elle m'a mis dans un truc de merde là. Dans un pressing. Alors y'en a foutu ici là elle se fait chier vas-y on lui fait faire une première d'adaptation. Bon allez on va passer de la musique comme ça on va se détendre un petit peu. Ah bah je suis pas tendu ! Mais j'ai bu une boisson avec beaucoup de caféine ! Et moi, maintenant qu'on a parlé de ma mère, je suis énervée. Bah oui, c'est pour ça qu'on va passer à la série. On va remettre du hoï et du punk. [02:11:10] Speaker A: Voilà pour que ça redescende. C'est fou l'ELA, c'est fou l'ELA ! La musique sert à ça donc, vous voyez, pour la canaliser. Blink-182, donc tu parlais de punk-rock mais de pop-punk aussi j'imagine, avec Dammit, le plus récent. [02:11:22] Speaker C: Des morceaux. Encore je voulais mettre plus vieux mais je me suis dit bon non, je crois qu'il n'y avait. [02:11:27] Speaker B: Même pas de clip. Blink c'est mon groupe préféré, c'est celui qui m'a donné. [02:11:32] Speaker E: Envie de faire aussi de la guitare. Tous mes potes pour le coup écoutaient Blink. [02:11:38] Speaker C: Ça nous réunissait, c'était vraiment fédérateur. Ah bah. [02:11:41] Speaker E: C'Était pour faire les. [02:11:41] Speaker B: Petits cons. Ouais enfin les petits cons de l'époque on était vraiment des gentils en vrai. Mais oui, c'est un groupe de cœur. On va regarder ça, comme ça tu vas pouvoir avoir des émotions, puis on espère que Gladys sera se calmer, sinon tu peux changer de place. C'est parti, Boobling Connected 2 ! [02:12:24] Speaker B: Sous-titres. [02:12:37] Speaker B: Je. [02:12:51] Speaker B: Me trace, the sad look on your face réalisés para la communauté d'Amara.org The timing and structure, did you hear? A day late, a buck short I'm writing the report On losing and failing when. [02:13:06] Speaker C: I move I'm flailing now, and it's happened once again I'll. [02:13:11] Speaker B: Turn to a friend, someone that understands Seize through the master plan. [02:13:21] Speaker B: Et. [02:13:30] Speaker B: Peut-Être, je te. [02:13:35] Speaker D: Verrai dans un film, à l'écran de scène. Tu apparaîtrais, et je passerais par là, sur l'arme de ce gars. Et je rirai, et ta voix me dirait que c'est ok. Le charade ne va pas durer, quand il sera parti, je ne reviendrai pas. Et peut-être, je te verrais dans un film, à l'écran de scène. Tu apparaîtais, et passerais par là, sur l'arme de ce. [02:13:51] Speaker B: Gars. Et je rirai, et ta voix me dirait que c'est ok. Le charade ne va pas durer, quand il sera parti, reviendrai pas. [02:13:52] Speaker D: Et. [02:14:21] Speaker D: C'Est ce que j'ai fait. [02:15:50] Speaker D: Tu n'es qu'un seul. [02:17:08] Speaker D: C'est. [02:17:37] Speaker D: Parti ! [02:17:41] Speaker D: Take all my guilt Take all my pride I wanna know you sincerely I'm on my knees Take all of me I wanna feel you here with me. [02:18:21] Speaker D: J'y. [02:18:50] Speaker D: Crois, j'y crois. [02:18:59] Speaker D: Attends, je comprends pas. Il a une torche, elle est allumée et la lumière s'éteint. [02:19:07] Speaker D: Comment c'est possible ? C'est métaphorique. Il y a l'intello là-bas, ça va ? Moi j'avais. [02:19:14] Speaker B: Des bonnes notes mais quand j'étais pas à. [02:19:15] Speaker D: L'École ! J'avais un groupe à l'époque. Je chantais de la merde d'ailleurs. Viens boire. [02:19:22] Speaker C: Un petit coup à la maison. On était. [02:19:24] Speaker D: Pas loin. Sans scat ? Allez Memphis, Mayfire, c'est ce qu'on vient de regarder et d'écouter. [02:19:29] Speaker B: Dans Bang Bang le meilleur du métal et de l'alternative rock tous les. [02:19:31] Speaker D: Dimanches soirs. C'est en live Twitch. N'hésitez. [02:19:33] Speaker B: Pas à dire à vos amis qui aiment ce genre musical de. [02:19:35] Speaker D: Nous rejoindre parce que plus on est, plus on rit et surtout plus. [02:19:38] Speaker B: On est, plus. [02:19:38] Speaker D: On pourra prouver que cette musique a sa place aussi dans les médias et que ça ne se passe pas uniquement dans les salles mais aussi en vidéo, en audio. [02:19:46] Speaker B: Partout. [02:19:49] Speaker B: C'est parce que je sais qu'il aime bien. [02:19:52] Speaker D: Le hip-hop moderne. Donc je fais brrrr. [02:19:57] Speaker D: Memphis Mayfire c'était un choix de ta part Damien. Pour la mèche. [02:20:07] Speaker D: Les gens vont les voir et tout. Non, non, non. Enfin, ça a. [02:20:10] Speaker B: Été une influence pour moi et plus pour le. [02:20:12] Speaker E: Côté. [02:20:13] Speaker D: Là, c'était le Damien musicien, on va dire. Parce qu'après, j'ai eu un groupe de musique. Enfin, j'ai eu deux groupes de musique, on va dire. [02:20:20] Speaker C: Et le dernier était très influencé par ce groupe-là. C'était vraiment notre. [02:20:23] Speaker D: Influence principale. Et voilà, c'est tout. OK, donc on a passé le lycée, donc on parle de groupe là. C'est la première fois que tu as. [02:20:32] Speaker B: Été dans un groupe. C'était. [02:20:32] Speaker D: À quel âge ? Ouf ! En fait, il y avait ce groupe de potes d'il y a très très longtemps, Ado, où mes débuts à la guitare, où on jouait dans la cave d'un pote à Melun. [02:20:50] Speaker D: On faisait des reprises. On faisait des reprises de bling, tu vois. On tentait en tout cas, je pense du Rage Against The Machine, enfin tu vois ce genre de choses. Ça c'était, on va dire, la première expérience. Voilà, il n'y avait pas encore vraiment d'attitude. Il n'y avait rien du tout. Il y avait des pics si tu veux là. Il y avait des volontés. Il était là. Il y avait une volontaire, on se prenait en photo pour faire genre, enfin c'était vraiment... C'est cool parce que vous aviez envie d'y croire et vous vous amusiez. Ouais c'était plus le fun et tout. En même temps il faut bien que ça. [02:21:22] Speaker C: Commence d'une certaine façon. Et c'était la première fois où... là c'était une construction de pods. [02:21:28] Speaker B: D'Internet. Ah ok d'accord. Tu vois, c'était. [02:21:31] Speaker D: Vraiment à Melun, enfin tu vois c'était loin du 91 niveau lycée donc je pouvais pas savoir quoi. [02:21:38] Speaker B: C'est déjà MySpace ? Non non non. [02:21:40] Speaker C: Non pas encore. C'est vrai que toi t'es un enfant MySpace toi. avant ma. [02:21:44] Speaker D: Space il y avait même d'autres trucs tu vois mais c'est vrai que non là c'était vraiment un contact comme ça je sais pas peut-être forum ou je sais plus. Il était sur Caramail, donc c'est bien il traînait. Skylog. Bien sûr, caramail enfin tu vois mais ou alors c'était le truc c'était pas Yahoo mais c'était AOL là qui avait un truc aussi un chat. Il y avait MSN Messenger. [02:22:05] Speaker D: Il y avait XCQ, il y avait... Du coup on a fait ce petit truc, c'est jamais allé loin derrière. Mais le premier groupe sérieux c'était des. [02:22:21] Speaker B: Gars à Lille, ça s'appelait Borderline. C'est ça qu'on a cherché ! [02:22:27] Speaker B: Et donc à l'origine, je les découvre, je. [02:22:32] Speaker D: Crois que je veux être leur manager ou leur tourneur, etc. Et à ce moment-là, je ne sais plus s'il manquait une guitare ou où ils voulaient se séparer du guitariste. En vrai, je ne sais plus du tout. J'ai peur de dire des bêtises, je ne veux contrarier personne. Et. [02:22:47] Speaker B: Je faisais les allers-retours Paris-Lille avec un très, très mauvais niveau à la guitare. [02:22:52] Speaker D: Au début. C'était vraiment chaotique. Mais j'étais là et je pense que le chanteur. [02:22:58] Speaker C: Prenait grave sur lui parce qu'il était aussi guitariste et. [02:22:59] Speaker B: Compositeur. Il est gentil, il nous fait jouer, il nous trouve. [02:23:04] Speaker C: Des dates mais il faudrait qu'il améliore son niveau. C'était. [02:23:07] Speaker D: Le premier groupe sérieux à commencer à faire des dates de concerts, des petites tournées. [02:23:13] Speaker D: Ça c'était en 2005 peut-être ? 2005 ouais peut-être, 2007, 2005-2007. T'avais quel âge à ce moment-là ? Je sais pas. C'est fin parce que je suis nul en calcul. [02:23:31] Speaker D: Si t'avais plus de 25 ans maintenant, il avait déjà eu 5 ans ! Je commençais déjà, jeune adulte, c'était plus l'ado de 13 ans, j'avais déjà plus de 20 ans, c'était vraiment... Après lycée t'as fait quoi ? Alors comment t'as décidé, comment te. [02:23:55] Speaker B: Diriger, enfin je sais pas si t'as. [02:23:57] Speaker D: Fait des études ou pas ? J'étais. [02:23:58] Speaker C: En BTS, électrotechnique, et en fait après. [02:24:02] Speaker D: Ça j'ai dit stop, enfin je veux pas, c'est nul. Alors il y en a qui l'ont fait, c'est juste que moi j'aimais. [02:24:10] Speaker C: Pas, je trouvais ça nul. Et après je vais me prendre une rage. [02:24:15] Speaker D: De tous les électriciens. [02:24:18] Speaker D: Mais c'était pas mon délire et j'écoutais déjà beaucoup de musique, j'avais je pense déjà aidé. [02:24:23] Speaker B: À organiser des petits trucs tu vois. [02:24:25] Speaker D: Et je suis allé voir le conseiller d'orientation en disant je veux plus d'aide d'émission, je suis parti et j'ai tout claqué comme ça quoi. Du jour au lendemain. Alors là du coup c'est là que les parents se sont dit aïe aïe. [02:24:38] Speaker B: Aïe aïe. J'ai dû trouver un taf alimentaire, d'éducateur. [02:24:44] Speaker B: Ça s'était fait via le. [02:24:47] Speaker D: Contact d'une amie, un éducateur spécialisé. [02:24:52] Speaker D: Là c'était surtout sur un handicapé. Donc ouais c'était pas facile, parce que même moi j'apprenais en même temps, enfin. [02:25:00] Speaker C: Tu vois les... Tout ça, et à. [02:25:04] Speaker D: Côté j'organisais mes petits concerts jusqu'à... Là tu commences à organiser tes concerts d'abord sur le 411 ou tu t'attaques. [02:25:10] Speaker B: Direct ? J'ai jamais organisé dans le 411. Ah jamais ? Ah non, j'ai jamais fait. Ah c'est une règle d'or. Tu. [02:25:15] Speaker D: Fais jamais chez toi. Alors tu vois c'est grâce à ça que j'en suis sorti. [02:25:20] Speaker B: Nozob in job, mais pas de concert à la maison. Non non. [02:25:24] Speaker D: Le tout premier concert c'était C'était pour aider un pote. Je crois qu'il organisait un truc et soit un gars l'a lâché ou soit il m'a demandé son aide, donc je suis venu l'aider. C'était chaotique, mais j'ai kiffé et j'ai décidé de continuer. Ça t'a intrigué ? Avec deux autres personnes. de monter après aussi une petite asso et de continuer derrière. Mais je me souviens que mes deux premiers concerts, mes deux premiers vrais concerts, c'était dans un peep show. Voilà, ça s'appelait le Joyce Peep Show. Ah bah quel bon début ! Quelle belle soirée ! Et du coup c'est marrant parce que tu voyais les groupes jouer avec des barres de lapdance. C'était marrant. Et j'avais dû amener une sono qui en plus a cramé au deuxième concert quand c'était nymphe. Mais t'as décidé de tenir bon. Hold on, on va y arriver ! Exactement, c'était Hold on production, le nom de l'assaut. Et j'ai perdu masse de fric. sur ces deux choses, c'était compliqué. Mais t'étais dans ta baie, là, non. [02:26:28] Speaker B: ? Ouais, il y avait de ça et je vivais encore chez mes parents, donc ça allait. Mais... Et puis un des associés, je crois, avait aidé aussi un peu financièrement, je suis moyennement sûr. Mais j'ai dû revendre quelques trucs, dont une guitare. C'était vraiment... Ah tu t'es quand même accroché, c'est-à-dire qu'il y a eu... T'avais envie ? J'avais envie, les deux autres. [02:26:53] Speaker D: Aussi ont pensé qu'il y. [02:26:54] Speaker B: Avait quelque chose à faire, tu vois, dans cette scène-là. Bon, ils ont vite... Déchanté. Ils se sont convaincus de toi, apparemment. Après voilà, il. [02:27:04] Speaker D: Y a eu des problèmes en interne, etc. Mais voilà, c'est comme ça que ça a commencé. Comme quoi. [02:27:12] Speaker B: Il ne faut pas s'arrêter à un échec. Tu prends une baffe dans l'aïeul, tu en. [02:27:18] Speaker D: Prends même une deuxième. Je continue à travailler à côté pour faire de l'argent et pour alimenter tout ça. Parce qu'au moment, il y en. [02:27:24] Speaker B: A quand même un qui fonctionne. Ça. [02:27:27] Speaker C: A mis du temps. Je pense que. [02:27:30] Speaker B: L'Assaut n'a jamais été rentable. Il a été fermé. [02:27:32] Speaker D: Parce qu'en plus, il y avait une soupçon d'un dégât qui... Et j'ai eu la rencontre, une bonne rencontre avec Christophe Fernandez, qui en fait est un producteur de disques, surtout de disques dans le sud. Il faisait des groupes comme Frégolo ou Févriche, ce genre de choses, Maladjet aussi. Il m'a repéré en quelque sorte et lui avait une société, donc il m'a laissé faire une filiale dans sa société. C'est là où le nom Only Talent Production est arrivé. [02:28:06] Speaker D: En gros, il m'a donné. [02:28:09] Speaker C: Les clés de sa société en disant j'ai une mine, j'ai le comptable, tu fais ton truc à toi, j'y crois, t'inquiète pas, je pense qu'on n'a jamais fait de. [02:28:19] Speaker D: Fric vraiment derrière. C'est là où j'ai fait les premières. [02:28:26] Speaker C: Belles dates dont je suis le plus fier avec le recul maintenant. Où on ne gagnait pas beaucoup d'argent. Quand je fais Parkway Drive au bateau phare qui a 120 personnes, c'est compliqué. Avec le recul, il y a. [02:28:42] Speaker D: Plein de noms aujourd'hui. [02:28:43] Speaker B: Qu'On connaît. J'ai dit ton nom à une amie, elle m'a dit que tu reçois. [02:28:48] Speaker C: Toi. J'ai dit ton nom, elle a fait... Attends, mais c'est pas le mec qui a organisé des trucs qui sont énormes et qui étaient tous pourris à l'époque ? Et j'ai dit, alors, je pense que ça doit être lui. Il y en a quelques-uns. Avec quelques noms, je crois. [02:29:01] Speaker B: Qu'Il m'a sorti Antarctica, il avait fait Antarctica, je ne sais pas. C'est peut-être de. [02:29:05] Speaker D: L'Autre, je ne sais pas. Non, c'est Anthony, ça. Attends, et au tout début, je ne saurais pas te dire, je. [02:29:11] Speaker C: Ne sais pas. Parce que c'était des. [02:29:12] Speaker D: Groupes qui se mélangeaient justement, il y avait deux boîtes en parallèle. Je crois qu'En Terre. [02:29:17] Speaker C: Chérie, la première fois qu'ils sont venus, ça devait être une société qui s'appelait. [02:29:20] Speaker D: Yardi, mais je ne suis pas sûr. [02:29:21] Speaker C: Enfois, il y en a eu d'autres, des groupes qui sont devenus... Ah oui, tu dis Parkway Drive, c'est. [02:29:27] Speaker D: Quand même. [02:29:28] Speaker C: Pas mal. Je me souviens parce. [02:29:30] Speaker B: Que le bassiste venait à peine. [02:29:31] Speaker C: D'Arriver dans le groupe, il ne connaissait. [02:29:32] Speaker B: Pas les morceaux, il venait à peine de les apprendre, il faisait des erreurs, et puis. [02:29:35] Speaker D: Surtout j'étais choqué parce qu'il était en thong sur scène. C'était. [02:29:39] Speaker B: Vraiment l'australien quoi, tu vois j'étais là je fais what the fuck en plus il était. [02:29:42] Speaker D: Blond enfin tu sais t'étais là il avait je sais pas limite mineur enfin tu vois c'était un bon souvenir sauf le nom de ticket mais... C'est drôle quand on repense à Parkway Drive à l'époque et maintenant le changement. [02:29:57] Speaker B: De manière d'aborder le live Parce qu'à l'époque c'était. [02:30:01] Speaker C: Quand même un peu les rigolos surfeurs. C'était pas très sérieux, c'était un peu la vibe australienne. Ouais, moi je. [02:30:08] Speaker D: Me souviens les avoir vus à l'Elysée Montmartre. C'était pour le Universal. Ouais, je crois que c'est ça. Et les mecs, ils faisaient du surf sur la foule, il y avait des palmiers gonflables sur scène. C'est vrai, c'est vrai. Excuse-moi, maintenant il y a des bateaux de pirates et puis les coffres remplis d'or. Maintenant il fait des clips avec des épées. [02:30:28] Speaker D: Non mais c'est drôle de voir l'évolution du truc où maintenant ils sont dans un truc qui est quand même je trouve très sérieux par rapport à la musique, enfin ils font une musique sérieuse. Et je trouve que dans l'imagerie c'est très... C'est une prise de conscience que l'humour. [02:30:41] Speaker C: Peut-Être n'en peut pas rapporter de. [02:30:43] Speaker E: Tant d'argent. Même un Brick Me au. [02:30:45] Speaker C: Début qui faisait des scores un peu pas du tout carrés. [02:30:49] Speaker B: D'Ailleurs, c'était vraiment pas carré. Mais attention à ce que tu dis parce que... Non. [02:30:52] Speaker D: C'Est vrai. Au début c'était énorme, le batteur. [02:30:55] Speaker B: Il mettait tout à côté. Un des meilleurs concerts c'est quand il s'était fait remplacer par le batteur d'Architexte. Ah ouais ? Je ne me souviens pas. Il s'était pété le bras et le batteur d'Architexte il faisait les deux sets d'affilé, ils y tournaient ensemble. Ah ok. Il faisait les deux sets d'affilé. C'était dur comme le monde ça. Les mecs ils jouaient, ils se. [02:31:13] Speaker C: Regardaient, ils faisaient Ah ça y est on a trouvé un bon bateau ! Il. [02:31:18] Speaker D: Est bon maintenant. Je crois que des fois ils ont hésité à le virer. Ah bah si t'es mauvais j'imagine qu'il y a dû y avoir plusieurs remises en question. [02:31:25] Speaker B: Même eux à l'époque. [02:31:28] Speaker D: C'Était approximatif. Et aujourd'hui tu vois la machine que c'est. [02:31:33] Speaker B: Devenu. C'est plus la même chose. Forcément déjà tu gagnes de l'expérience et puis. [02:31:38] Speaker D: Tu te trouves ta DA, tu sais ce que tu veux faire. Mais du coup, là tu apprends vraiment le métier. J'ai une petite question. Est-ce qu'à l'époque, quand tu les vois, Tu sens quand même le potentiel ? Pas du tout. Rétrospectivement, tu peux dire ? Je vais pas faire le genre, ah bah si j'ai vu tout de suite, ça va devenir fat. Non, non. J'ai vu le truc, que ça buzzait et que voilà, j'allais faire des bonnes entrées. Mais non, je me suis pas dit, putain, ça, ça va remplir. [02:32:16] Speaker C: Des arénas plus tard. En plus, c'était des scores, c'était... On était aux prémices du truc. [02:32:22] Speaker D: Quoi, c'était... C'est compliqué. Je leur dis, il n'y avait pas les. [02:32:25] Speaker C: Réseaux sociaux comme aujourd'hui. C'était avoir le. [02:32:28] Speaker D: Recul pour se dire, putain, ce genre-là... C'était qu'un bateau phare, tu vois, c'était qu'un bateau phare. T'étais pas là en train de te dire... Tu vois ? Très peu de gens du coup. Moi, par contre, je l'ai senti, moi. Ouais, bien sûr. On sait bien ce que t'as senti, ouais. Ah, mon dieu. [02:32:50] Speaker D: Du coup, avec toutes ces organisations, c'est là où t'apprends les clés. J'ai eu tellement de problèmes, mais de tout. Parce que ça ne vient pas que d'un seul truc, ce n'est pas que la vente des billets. Quand on fait ce boulot-là, il y a les groupes qui n'assurent pas ou qui ne viennent pas. J'imagine qu'il y a plein de merde, il y en a blessés, il y a manque de matos. Il y a la salle qui n'assure pas ou. [02:33:14] Speaker B: Qui prend. [02:33:15] Speaker D: L'Argent. Le bassiste qui a oublié son passeport et qui du coup n'a pas pu venir. Déjà, il y a eu de tout, ça c'est clair. Et c'est vrai que maintenant, aujourd'hui, quand il y a un problème sur une date. [02:33:30] Speaker C: C'Est... Enfin, je suis chill. Il n'y. [02:33:32] Speaker B: A plus... En fait, en gros, là, je ne sais pas. [02:33:35] Speaker D: Vraiment... C'est quoi, c'est l'expérience ou c'est parce que tu as la solidité de l'entreprise ? C'est l'expérience, je pense. Ce n'est pas du tout la solidité de l'entreprise. Ça aide, mais ce n'est pas... Non, c'est l'expérience. C'est vraiment de paf le cap. C'est vraiment genre, tu es là et... Imaginons la salle entière s'éteint, genre ça s'éteint, bon moi je suis là, je vais être là, je vais regarder comme ça à droite à gauche, juste être sûr que les gens qui sont payés pour ça sont en train de... Et sinon, si je vois que ça s'active, je suis en mode chill et tout va bien quoi. Et au pire t'as toujours des petites lampes torches. Ou alors on va demander aux gens avec leur téléphone et puis ça éclaire plutôt bien quoi tu vois. Mais c'est vrai que t'es fort merde ! Non mais j'ai eu aussi des problèmes, là petite anecdote sur Goldfinger, un groupe de punk rock, ska, c'était au bateau phare et. [02:34:32] Speaker D: J'Avais la salle, enfin le bateau phare, j'avais une co-réalisation avec eux, c'est-à-dire qu'il y avait un partage sur les entrées. J'avais prévenu, attention, ça va être complet, le groupe veut être payé en. [02:34:45] Speaker C: Cash, à cette époque ça se. [02:34:47] Speaker D: Faisait encore. [02:34:49] Speaker D: Le gars, le manager à l'époque du bateau phare me dit, ouais c'est bon, pas de problème, il y aura la thune. [02:34:56] Speaker B: Tu vois. Fin du concert, on va dans le bureau. [02:34:59] Speaker D: Il me donne de l'argent, je me rends compte, il me dit je suis désolé, je pense qu'il manquait 1000 balles ou 1500, un truc comme ça quoi, tu vois. [02:35:05] Speaker B: Qui devait être à 3000 tu vois. [02:35:08] Speaker D: Un truc comme ça. Et du. [02:35:15] Speaker D: Coup je suis là, je suis ultra embêté. [02:35:17] Speaker C: Tu vois. Je suis un peu en. [02:35:19] Speaker D: Stress. Et il faut savoir que le batteur c'était le tour manager, donc c'était le régisseur un peu de tournée, c'est. [02:35:26] Speaker B: Avec lui que tu dealais. [02:35:27] Speaker D: C'est lui qui s'assure de récupérer l'argent, c'est lui qui pète des gueules s'il n'y a pas l'argent. Je vais le voir, ils n'ont pas cette fonction là. [02:35:34] Speaker B: Normalement. C'est là où je vais en. [02:35:37] Speaker D: Venir. Et là je me souviens parce qu'on est dehors et là je lui donne la thune et je lui dis bah écoute voilà y'a pas tout la salle, ils m'ont pas filé, ils sont fous, ils comprennent pas, il est là, c'est quoi ce bordel, tu me files la thune maintenant et c'était, je sais plus si c'était des menaces mais c'était... il y a peut-être des sous-entendus de un peu je vais te péter la gueule quoi, tu vois. Et du coup je suis là, je retourne en bas, il n'y a pas moyen, enfin vraiment, il n'y a pas. [02:36:03] Speaker C: Quelque chose, ils ont un coffre, il. [02:36:05] Speaker D: Y a eu des soirées, il y a eu des clubs avant, il y a moyen, tu vois, mais non, il n'y a que le directeur d'exploitation qui peut ouvrir le truc. Et là, le batteur appelle l'agent du groupe, il me le passe au téléphone et moi je suis là, je. [02:36:20] Speaker C: Suis désolé. [02:36:21] Speaker D: C'Est la salle, il s'est trouvé des excuses et tout, il s'échange, là il. [02:36:25] Speaker B: Me gueule dessus le gars, c'est un enfer, vraiment. L'agent ou le batteur ? Les deux. [02:36:32] Speaker B: Et à la fin ça se calme, tu vois, et ils repartent en tourbus et tout, et moi je suis là, mais plus jamais. Coup de couteau, tout va bien, je suis toujours sûr. Ouais mais j'en ai pris, enfin j'étais là. [02:36:43] Speaker D: Je fais, enfin... Voilà, ça. [02:36:45] Speaker E: C'Est un souvenir du bateau phare. [02:36:46] Speaker D: Qui est... J'ai détesté le bateau phare ce jour-là, tu vois. Ah bah énorme, le coup de stress de ouf ! C'était une salle que j'utilisais beaucoup, enfin tu vois... Oui, c'est pas comme si t'avais rien fait avec eux... Ouais c'est ça, tu vois, donc la salle. [02:36:58] Speaker C: Était blindée, ils avaient fait un bar d'enculés, enfin tu vois... Oui, tu te sentais un peu trahi. Ouais ouais c'est ça ouais, il y avait une partie... De pas faire d'efforts quoi... Donc après le manager qui était sur place je le connaissais bien donc... Oui. [02:37:11] Speaker D: Tu sais qui il a fait si beau... Ça n'a pas été prévu, ça n'a pas été prévu tu vois donc... Bon voilà, mais oui c'est un des problèmes, il y a eu plein de problèmes, il y a eu... Encore le bateau phare par exemple, quand il y a trop de monde, à l'époque, ça tangue. Et là c'est un délire, là on te dit non non mais il faut que des gens qui sont dans la soute, qui sont à l'intérieur, sortent et arrivent sur le pont pour pouvoir faire un équilibre. Enfin peut-être que t'es là, tu vois, mais y'a le concert là, tu vois genre... What ? Ah dans deux minutes on va couler. [02:37:37] Speaker B: Alors ! Je pense que c'était formateur ce genre de salle, comme tous les squats que j'ai fait. [02:37:42] Speaker D: Aussi avant, j'ai fait des concerts dans des caves et tout, enfin tu. [02:37:45] Speaker C: Vois, où moi-même j'apportais, enfin, la chance c'est que j'étais aussi un peu musicien donc je savais. [02:37:50] Speaker D: Les besoins, etc. Tu comprenais. Ouais, ouais, donc... Mais oui, j'ai eu toutes sortes de galères quoi, tu vois. Non, parce que c'est vrai que tu racontes ça, mais il y a beaucoup de gens qui imaginent que. [02:38:00] Speaker A: Ça. [02:38:01] Speaker D: Peut tomber du ciel aussi, puis il y en a qui ne veulent pas fournir ces efforts-là. Pour continuer dans ce métier et puis aboutir à quelque chose, t'es obligé de foutre la main dans la merde aussi. En plus, j'ai tout fait. Et de savoir gérer ton stress. Oui, c'est le principal. Parce. [02:38:15] Speaker C: Que si t'arrives pas à prendre du recul, à être là, à te poser, vas-y je vais trouver une solution. Imaginez. [02:38:21] Speaker D: Toutes les options que tu peux avoir, tous. [02:38:23] Speaker E: Les chemins où ça va aller. C'est. [02:38:25] Speaker D: Oublié quoi, ne fais pas ce travail. C'est ça souvent le travail de producteur, c'est de... autant dans l'audiovisuel. [02:38:32] Speaker B: Que dans le spectacle ou des choses comme ça. [02:38:35] Speaker D: C'Est d'imaginer comment la chose se déroule et de voir. [02:38:38] Speaker B: Tout ce qui peut merder et de prévoir. [02:38:40] Speaker D: D'Avoir des portes de sortie pour chaque merde. C'est tout. [02:38:44] Speaker B: Prévoir. Après, voilà, c'est ça qui est super cool avec ce métier, c'est que c'est le. [02:38:50] Speaker D: Spectacle vivant. Donc, en fait, il y aura toujours des merdes vivantes. Toujours des problèmes, tu vois. [02:38:59] Speaker D: Concert dernièrement où, hélas, l'un des chanteurs a eu un malaise. On a dû faire intervenir les premiers secours, etc. Donc là, c'est vrai qu'à ce moment-là, c'était du sérieux et c'est vrai que ça faisait longtemps que je n'avais pas eu du sérieux. Et là, il y a quand même un petit stress et tu t'inquiètes beaucoup. Et pas pour le concert, c'est pour la personne. Donc voilà, tout va bien. Ouais c'est ça, donc... Puis c'est passé, enfin... Et après il faut que j'aille à les équipes aussi, quand après c'est plus... C'est ça aussi, non ? Ah non, la chance, avec Very Show, on est quand même... On est bien staffés, là. Ce qui fait que maintenant, quand il y a plus d'argent, il envoie quelqu'un d'autre aller dire... [02:39:46] Speaker D: Heureusement, ça n'arrive plus. [02:39:50] Speaker D: Et puis maintenant, ils lisent leurs contrats. C'est-à-dire qu'il n'y a plus personne qui paye. [02:39:56] Speaker C: En cash. Ça doit encore se faire, on ne va pas se mentir. Je pense qu'il y a des... Voilà. Pas chez nous. Et vraiment, c'est en ne nous demandant pas de cash. Et ça, ça ne peut plus arriver. Il y a un contrat. Maintenant, tout est stipulé. On a des personnes qui regardent les contrats avant de les signer. Donc, on est vraiment... Il y a un pôle admin qui regarde tout. Ça, c'est quand même rassurant. d'avoir des gens qui sont spécialisés dans une tâche et ça t'enlève aussi beaucoup de poids. [02:40:23] Speaker C: À la limite, tu ne penses même plus. Tu. [02:40:26] Speaker D: Peux te concentrer deux fois plus sur le vrai taf. C'est vrai que plus tu es entouré et plus tu fais ton taf à toi. Bien sûr, tu peux te concentrer sur ton truc. Grosse équipe de prod, grosse équipe d'admin, ils sont là. Il y a du juridique. [02:40:41] Speaker C: International aussi, j'imagine. Sur le pôle admin, c'est quand même un gros morceau. Il. [02:40:48] Speaker D: Y a des problèmes de règles aussi. Vous travaillez souvent avec les mêmes pays, j'imagine. C'est surtout. [02:40:53] Speaker B: Des Anglais. Les groupes sont représentés par des. [02:40:59] Speaker C: Agences en Angleterre surtout. En gros, c'est des. [02:41:04] Speaker B: Booking agents qui. [02:41:05] Speaker C: Ont eux un répertoire d'artistes. Ils sont responsables de ces artistes sur des territoires différents. Et nous on travaille avec eux. Il y en a beaucoup. [02:41:14] Speaker B: Aussi en Allemagne. C'est vraiment les deux pays, l'Angleterre et l'Allemagne, c'est là où. [02:41:18] Speaker C: Ils sont. C'est eux qui dominent un peu le truc. Et nous à côté, petits français. [02:41:24] Speaker B: On essaye d'eux. C'est vrai qu'on subit plus leur... La musique en Angleterre c'est quelque chose, tu vois. Surtout cette musique-là. Donc nous en. [02:41:37] Speaker C: France à côté on. [02:41:37] Speaker D: A un peu vu... Les baltringues ! Déjà on fait des capacités qui sont deux fois moins importantes chez nous, donc tout de suite le rapport il est différent. Puis il y a beaucoup de concurrence entre nous aussi, donc eux ils savent qu'ils ont le choix, donc on est un peu les... On fait profil bas, c'est ça qui est un peu dommage. L'Allemagne, ils ont cette position peut-être un peu plus centrale pour tout le reste de l'Europe aussi. Ils ont aussi beaucoup de compagnies avec des tourbus, des stagers, des stocks, des stocks de scènes, des choses comme ça. Parce que souvent, les groupes... Par exemple, quand un groupe américain vient avec un show, ils vont louer... Il y a. [02:42:25] Speaker C: Des choses. [02:42:26] Speaker D: Qui sont uniques et à. [02:42:27] Speaker C: Ce moment-là, ils les font soit fabriquer, soit ils les font venir de l'étranger, enfin de chez eux. Mais après, il y a énormément de choses qui se retrouvent et qui. [02:42:35] Speaker B: Sont louées pour la tournée près de... C'est vrai que. [02:42:39] Speaker D: C'Est souvent en Allemagne. C'est souvent en Allemagne, en Belgique aussi. Et c'est rarement en France. En France, on est plus cher. Par exemple, même un tourbus, un groupe qui va faire une tournée en Europe, va louer en Allemagne parce que les prix sont plus... Quitte à ce que le tourbus ait à faire la route avant pour venir chercher... Oui, parce qu'au final, c'est rien pour eux, par rapport au coût global sur la tournée. Je pensais pas que c'était moins cher l'Allemagne. C'est pour ça qu'il faut expliquer aux gens. J'apprends, j'apprends aussi. Pourquoi l'Allemagne est moins chère ? Non mais. [02:43:20] Speaker D: Peut-Être qu'on pourrait faire des choses pour que ça se développe plus en France. Peut-être que ce sera intéressant. Ah, qu'il y ait des gens qui se mettent là-dedans et qui décident de... Je sais pas, de se poser des bonnes questions peut-être. Voilà, chez vous, résolvez le problème. [02:43:35] Speaker D: Allez, démerdez-vous ! On va regarder encore un choix, ton dernier choix du coup. C'est Ashen avec Nowhere. Pourquoi tu as. [02:43:45] Speaker B: Choisi Ashen ? Parce qu'il adore la team Nowhere. J'aimais bien la team Nowhere. [02:43:51] Speaker D: Je la connais pas aujourd'hui. Mais au premier degré c'est parce que Ashen c'est pour moi genre... le groupe qui devrait suivre les pas de Landmarks, forcément, et de toute cette scène française qui, en ce moment, éclate dans le monde. Je n'ai pas peur des mots. Anthony sera très content que je dise ça. [02:44:14] Speaker D: Et pour moi, déjà, c'est mes petits... C'est vraiment... [02:44:24] Speaker D: Il y a une affection toute particulière pour eux, parce qu'effectivement on les produit, mais on y croit puissance mille, c'est vraiment... Et puis c'est Macam en fait. C'est exactement Macam. Ce modern metal, c'est ce truc un peu violent, mais en même temps mélodique et mélancolique. C'est ça et ils sont hyper talentueux. Très gentils. très gentils. [02:44:52] Speaker B: Ils sont adorables. [02:44:55] Speaker B: Ils sont venus faire l'émission. [02:44:58] Speaker D: Ils sont arrivés une ou deux heures avant et on a discuté pendant deux heures avant de faire l'émission. Et c'est aussi intéressant que pendant l'émission. Ils sont hyper gentils, très curieux. Ils ont envie d'apprendre. Oui, c'est ça. Ils sont ouverts de fou. Moi. [02:45:16] Speaker B: Quand on a une discussion. [02:45:17] Speaker D: Ils sont là. Enfin. [02:45:19] Speaker B: Ils prennent et puis après, ils réfléchissent entre eux. Et moi, ce qui est le plus kiffant dans mon métier sur les artistes français. [02:45:26] Speaker D: Parce que c'est là où on développe leur spectacle, etc. Leur carrière dans le live, c'est d'avoir quelqu'un en face d'intelligent. qui comprend, parce que des fois, moi j'ai eu des artistes, c'est pas qu'ils. [02:45:39] Speaker B: Étaient intelligents, c'est que... qu'ils n'étaient pas. [02:45:41] Speaker C: Intelligents, c'était que... ils n'avaient pas de vision. Et ça c'est dommage. Si t'as pas de vision, tu viens... Enfin, tu vois, moi, c'est. [02:45:48] Speaker D: Super, peut-être qu'on va remplir quelques salles ensemble, etc. Mais si t'as pas de vision, bah tu vas disparaître... Aussi vite que t'es arrivé, quoi. Et ils ont une vision, nous on a la vision aussi avec eux, enfin on est vraiment... on se parle tous les jours, c'est la même chose avec d'autres. [02:46:06] Speaker C: Artistes qu'on a, mais voilà, c'est super d'avoir cet échange avec eux. Est-ce que là, Horatian, t'as l'impression d'avoir accompli peut-être un truc en plus ? Oui, il y a ça aussi. Ce truc. [02:46:22] Speaker D: Perso, il y a vraiment dans la boîte, sur les artistes français. [02:46:30] Speaker D: Deux artistes en ce moment qui parlent plus qu'aux autres. Toute l'affection que j'ai pour les autres artistes, attention. C'est H&M et Houston, Houston 13, qui plus rappent chansons. Et en ce moment. [02:46:48] Speaker D: Il revient Houston, et c'est vrai qu'on fait une belle tournée qui commence à être complète. [02:46:52] Speaker E: On a un Zenith qui vient d'être complet hier. Et il y a une fierté aussi que j'ai à être. [02:47:01] Speaker D: Arrivé là. Effectivement, avec HN. [02:47:04] Speaker B: C'Est la même fierté d'avoir eu cette. [02:47:06] Speaker C: Partie 1 de tournée cette année avec des belles salles. [02:47:09] Speaker D: Complètes à 90%. Je pense que 9 dates sur 10 étaient complètes. Oui c'était un bon succès, une bonne dynamique. Le Hellfest, et 2026 ça s'annonce aussi comme ça, et c'est vrai qu'il y a une réussite avec la maroquinerie complète, de réfléchir au futur. [02:47:32] Speaker D: Mais voilà tu vois, j'entends pas de cigales là... Mais voilà quoi tu vois donc... Bien sûr c'est perso quoi. Ouais mais là t'es content. Ouais je suis content. Ça te met dans un état de... Putain c'est cool, j'ai pas... Je ne me suis pas cultivé tout ça. [02:47:51] Speaker C: Non pour rien quoi. Toutes les autres galères et tout d'avant et tout, enfin tu vois j'arrête de dire putain enfin il y en a qui break. [02:47:57] Speaker D: Tu vois il y en a... Bon financièrement. [02:47:59] Speaker C: Ça break pas ? Oui bah c'est. [02:48:01] Speaker D: Le début, c'est le développement. Pour les. [02:48:03] Speaker B: Gens qui ne savent pas, break c'est. [02:48:04] Speaker D: Quand on passe le point de ce. [02:48:06] Speaker B: Qu'On investit est inférieur à ce qu'on gagne. Et en gros, même sur un artiste comme Houston 13, on a beau avoir un zénith complet, on n'est pas rentable. [02:48:16] Speaker A: Ça met du temps à être rentable en fait. Un artiste en développement, on investit beaucoup. C'est pour ça que le choix de l'artiste, la signature, elle est... on prend notre temps quoi. Et parce qu'il faut aussi pas donner des fausses joies, enfin signer des gens pour derrière pas s'en occuper c'est aussi... [02:48:36] Speaker C: Faut faire. [02:48:37] Speaker A: Attention à ça pour. [02:48:38] Speaker B: Pas que ce soit mauvais pour l'artiste. Il y en a qui signent un peu comme ça vite, rapidement et ils se rendent pas. [02:48:45] Speaker A: Compte. [02:48:45] Speaker D: Que... Juste travailler avec les gens. [02:48:48] Speaker B: Qui qui montrent qu'ils ont envie en. [02:48:53] Speaker C: Plus et qui vont commencer à taffer. [02:48:55] Speaker B: Dessus, même gratos. Enfin tu vois, genre on s'en fout, mais qu'ils sont à fond dessus pendant un an avant de commencer à... Mais qui veulent pas aller trop vite non plus. Parce qu'il y en a plein. [02:49:04] Speaker D: Qui veulent aller trop vite. [02:49:05] Speaker C: Des artistes ? Ouais, bien sûr. Ah. [02:49:08] Speaker D: Bah ça j'imagine que... One step at. [02:49:11] Speaker B: A time, a foot in front of the other. Il faut effacer l'impatience des artistes. Et ça c'est très difficile. Quand. [02:49:20] Speaker C: Toi t'es là et tu dois aller. [02:49:21] Speaker B: Calmer sur beaucoup de choses. C'est ça, c'est une. [02:49:27] Speaker C: Étape à la fois. Et par exemple H&N. [02:49:30] Speaker D: Ou Hellfest. [02:49:32] Speaker D: Qui me disaient ouais on veut mettre des flammes et tout ça. Je me disais non les gars on reviendra. [02:49:37] Speaker B: Et puis là on fera encore un. [02:49:38] Speaker C: Plus gros show, là c'est vous, c'est vous, enfin montrez ce que vous avez vous. C'était un énorme. [02:49:44] Speaker D: Show. C'était un énorme. [02:49:47] Speaker C: Show mais. [02:49:47] Speaker B: Il n'y avait pas d'artifice. Tout le monde en a quand même parlé, donc c'est bien d'avoir gardé les fleuves pour la prochaine fois. Enfin moi. [02:49:56] Speaker C: Maintenant, tu l'as dit, t'es obligé. Je le ferai, mais c'est une envie aussi. Toi aussi. [02:50:01] Speaker B: Tu veux appuyer sur le bouton ? [02:50:04] Speaker B: On bride pas les artistes parce qu'on. [02:50:08] Speaker C: En a envie en fait, c'est juste de l'intelligence tu vois, donc voilà. Oui. [02:50:13] Speaker D: Vous avez le savoir-faire donc forcément il faut qu'ils vous écoutent un peu. Eh. [02:50:18] Speaker B: Ben on va regarder la chaîne. [02:50:19] Speaker D: Avec Nowhere et puis on reviendra juste après. [02:50:31] Speaker D: WELCOME. [02:51:03] Speaker D: J'ai l'habitude d'avoir les mains au-dessus de la tête Quand on s'envoie le bisou de l'enfer L'enfer est venu Oh, viens me dire ce que t'es en train de chercher dans ta vie Tu as vu l'attaque, l'attaque. [02:52:10] Speaker D: Yeah. [02:52:40] Speaker D: ! [02:53:35] Speaker D: C'est le début, c'est le début ! [02:56:35] Speaker D: Je veux juste vivre ! [02:57:16] Speaker D: Non. [02:58:03] Speaker D: C'est. [02:58:33] Speaker D: Pas possible ! [02:58:43] Speaker D: There's a hole in my heart. [02:59:17] Speaker D: C'était pas mal, moi j'ai bien aimé, c'est un truc pas trop connu, ça s'appelle Come Aways et la chanson. [02:59:26] Speaker E: S'Appelle I Just Wanna Live. [02:59:35] Speaker E: Non c'est pas la fin de... C'est Good Charlotte. [02:59:37] Speaker D: ! C'est les frères Madden ! C'est à le Good Charlotte ! Et eux ils sont où ? Qu'est-ce que vous faites ? Vous êtes pas sur Good Charlotte ? Je m'étonne ! Bon l'album est bon, après personne ne l'a écouté mais... C'est moi Oui, bah moi aussi. ! Vous êtes deux ? Écoute, il y a des discussions, on sait pas. Il y a des discussions depuis des années, donc comme ça je vois le... Et puis j'imagine qu'il y a plein de gens qui discutent avec eux. Les frères Madden, mais ils sont très gentils. Il est tout droit dans leur tête. Peut-être dur en business, mais ils sont très gentils. C'est des managers professionnels ? [03:00:11] Speaker B: Ouais, c'est ça, ouais. Ils ont leur boîte à eux, de management, ils managent Architects, Badments d'ailleurs, je. [03:00:16] Speaker D: Crois que c'est eux aussi. [03:00:17] Speaker C: Il me semble. Ah bah c'est. [03:00:18] Speaker D: Vrai, ils sont bien. Noah est un. [03:00:20] Speaker C: Des plus grands chanteurs de sa génération. Je sais pas ce que t'en penses mais... On a une fan. C'est vrai. C'est pas elle, c'est juste quelqu'un qui l'a dit sur nos réseaux sociaux. Et donc du coup on en fait un clin d'œil. Personne qu'on respecte. Et puis surtout on respecte Noah, qui est un des. [03:00:40] Speaker D: Plus grands chanteurs de sa génération. Bon alors, en dehors de cette petite chanson qui est passée de ce hardcore... Qu'est-ce que tu penses de Noah, un des plus grands chanteurs de cette génération ? [03:00:54] Speaker D: Remarque si plutôt c'est l'inverse, maintenant je pourrais dire des choses mais... Ooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo. [03:01:06] Speaker D: Ça. [03:01:15] Speaker D: Fait comme une histoire d'amour, effectivement. Quand tu découvres un groupe, que tu fais ses premières scènes, tu le produis pour les premières fois, c'est tes premiers concerts en France. Et effectivement, plus tard, ça devient. [03:01:29] Speaker B: Plus gros. Là, c'est des deals où tu... [03:01:31] Speaker D: C'est juste que ça se joue à l'inter. C'est des global deals, live nation, etc. ou avec des exclus, etc. Mais oui, ça fait toujours. [03:01:43] Speaker C: Une grosse peine. [03:01:46] Speaker C: Et plus que ça. [03:01:49] Speaker D: C'Est aussi une vision de, un jour tu. [03:01:52] Speaker C: Sais que tu vas faire une. [03:01:53] Speaker D: Défense aréna et ça te coupe comme ça. Quand t'as investi de l'argent et qu'ils partent au moment où t'as pas encore remboursé tout ce que t'as investi ? Sur Banomètre, ça. [03:02:02] Speaker C: Allait. Non mais ça arrive ! En vrai, ils ont. [03:02:06] Speaker D: La raison parce qu'ils ont annulé une tournée. J'avais oublié ça. J'avais deux zéniths. Et en fait, c'était quand Noah a fait un burn-out. Et il faut savoir que le burn-out n'est pas considéré par les assurances. [03:02:23] Speaker D: Tout ce qui est mental n'est pas... Bah j'espère, mais pour l'instant personne n'a l'air de bouger pour ça. Donc du coup, normalement, on a les ordonnances, on a tout ce qui est du médecin, etc. pour pouvoir se faire rembourser les pertes dans ce genre de cas. Mais sur. [03:02:41] Speaker B: Des maladies mentales, ça ne marche. [03:02:43] Speaker D: Pas. Donc du coup, il y a eu... Bah oui, forcément, oui. C'est vraiment un truc et que c'est. [03:02:48] Speaker B: Pas là, c'est le... Du coup, j'aurais bien voulu, effectivement, continuer derrière. Oui, oui, ça aurait été bien. Au moins le zénith, s'il vous plaît. [03:02:58] Speaker D: J'ai une petite question, du coup, quand il y a des artistes, par exemple américains, qui viennent, qui cherchent à faire une tournée en Europe, est-ce que, par exemple, ils vont te contacter pour faire juste... Ils vont contacter des gens dans chaque pays ? Où est-ce. [03:03:15] Speaker C: Qu'Ils vont te contacter toi et pour que tu t'occupes d'organiser pour toute l'Europe ? Ils vont contacter leur agent, ou en tout cas ils vont. [03:03:26] Speaker B: Trouver un agent qui va les représenter pour l'Europe. Nous en France, on a très peu des boîtes qui en font. C'est surtout en Angleterre, comme je. [03:03:38] Speaker D: Disais, et ce groupe là, c'est le. [03:03:41] Speaker B: Management du groupe qui est en contact avec ces agents et après ces agents. [03:03:44] Speaker D: Vont redistribuer par pays en choisissant le promoteur dans chaque pays avec qui ils veulent travailler. C'est comme ça que ça se trie. Des agents qui doivent se faire des couilles. Ils sont bien, ils sont confortables. Un jour un agent. [03:04:02] Speaker B: M'A dit, il venait d'arrêter de bosser avec un. [03:04:04] Speaker D: Certain groupe. [03:04:05] Speaker B: Un mèche. [03:04:06] Speaker D: Très gros. [03:04:08] Speaker D: Un mèche mais qui est un métauréo. Je n'irai pas plus loin. Et en gros... Mèche évolutif quand même un peu. Il me. [03:04:18] Speaker B: Sort ça et il me sort... Bon ben c'est pas grave, tant pis, ils n'ont pas compris. Bon au moins, grâce à eux, je me suis acheté ma maison secondaire. [03:04:27] Speaker B: Après, t'as des maisons à 30 000 dans le Fer. Ça veut rien dire, ça veut rien. [03:04:31] Speaker E: Dire. Eux, ils ont une place qui est un peu tricky parce que c'est en mode... Bon, effectivement. [03:04:42] Speaker B: Ils prennent une commission, mais derrière, ils n'ont pas de contrat avec les artistes. Du jour au lendemain, ils peuvent partir. Les inters n'ont pas de contrat avec ces agents qui les représentent en Europe ou en Angleterre. C'est un peu bâtard. Français, on a des contrats avec nos artistes. D'un côté, on. [03:05:03] Speaker C: Investit tellement d'argent que c'est tout à fait normal. Quand tu fais. [03:05:06] Speaker B: Du développement, j'espère. Les agents ne mettent pas. [03:05:08] Speaker C: D'Argent, ce ne sont pas des producteurs, ce sont juste des commerciaux. [03:05:12] Speaker B: Des intermédiaires. C'est. [03:05:16] Speaker C: Marrant, c'est vrai qu'on pourrait s'en passer, non ? Enfin je veux dire, si t'as les contacts, au bout d'un moment, t'as des contacts officiellement. C'est pas simple. En fait. [03:05:28] Speaker B: Un groupe. [03:05:28] Speaker C: Pourrait se passer de beaucoup de gens, même de nous en vrai. Il y a certains groupes qui s'amusent à tenter en tout. [03:05:35] Speaker D: Cas, mais arriver à un niveau, si tu veux vraiment faire de l'argent etc. T'en perds plus comme si tu disais avoir des équipes juridiques et des choses comme ça. S'il faut que tu investisses, tu supportes toi. Pour un producteur, c'est mutualisé. [03:05:55] Speaker D: Ouais c'est quand même... Bon de toute façon ils se cassent la gueule souvent les groupes quand ils décident vraiment de tout faire tout seul, tout en... Pour tout ! Je crois que Slaughter là, par exemple... Slaughter to the Privilege, c'est parce que plus personne ne le fait ! Il y avait de ça, mais c'est surtout... Ils ont toujours voulu. [03:06:11] Speaker C: Produire eux-mêmes les dates. Ils. [03:06:14] Speaker D: Voulaient parce qu'ils pensaient que, j'imagine, qu'il y avait de l'argent, des trucs comme ça. Et puis là, au final, ils ont lâché l'affaire. C'est culturel, c'est pas ce qu'ils se sont dit. Peut-être, peut-être. Mais sinon. [03:06:35] Speaker D: Pour répondre à la question sur est-ce qu'il y a vraiment besoin de cet agent ? Oui, parce qu'il a l'expérience, il a les contacts, etc. Celui qui fait toutes les teufs. Il est là. [03:06:48] Speaker C: Partout, il faut bien qu'il. [03:06:49] Speaker D: Soit là, il faut bien qu'il se fasse des contacts. C'est celui qui connaît les petites affaires et qui dit, moi je la tiens celle-là, je peux te dire qu'il restera chez moi. Imagine en tant que groupe si tu dois négocier tes contrats toi-même, les tarifs de tes dates toi-même. Non mais je pensais toi que s'ils ont un tourneur aux Etats-Unis, bon malheureusement c'est pas 46 000 mais... C'est-à-dire qu'ils pouvaient passer directement du label qui appelle en disant je veux travailler avec vous et pas passer. [03:07:11] Speaker C: Forcément par un agent qui redistribue. C'est plus simple évidemment. Bon bah c'est pas. [03:07:15] Speaker D: Grave. C'est sûr que c'est pas le. [03:07:17] Speaker C: Label qui s'occupe forcément des tournées. Oui je sais mais je posais la question. Oui bah on te répond. C'est pour te dire que t'es con. [03:07:24] Speaker C: Sorry not sorry. Est-ce que tu penses que le fait que la France soit pas un pays très rock et métal par rapport à nos voisins ? L'Allemagne, on en parlait tout à l'heure. Même l'Italie. Ou UK. Est-ce que ça rend le travail plus difficile aussi ? Parce que ça pourrait être intéressant d'avoir plus de dates des fois. [03:07:48] Speaker C: Ça l'était avant, mais aujourd'hui, je le ressens plus. [03:07:50] Speaker D: Comme ça. Aujourd'hui, ça a changé. Grâce aux réseaux sociaux. Mais tu vois, regardez, le groupe, le métal de l'époque, je parle pas de Gojira par exemple, mais de l'époque, remarquez, on va depuis longtemps, mais qui avait pété... Je pense que ça devait être Plemo, le groupe. [03:08:08] Speaker B: Métal français, qui a dû faire les plus. [03:08:10] Speaker D: Grosses capacités en France à l'époque, il y a 20 ans. Ils ont fait un zenith maximum en termes de capacités. Je crois qu'ils l'ont même pas fait en jauge, en grande jauge, je suis pas sûr. J'y étais pas. C'était quand même bien plein. Mais tu vois, c'est le maximum de l'époque. Aujourd'hui, on a un landmark qui a fait un zénith complet et qui pourrait faire beaucoup plus parce que la date, elle est dans longtemps, fin janvier. Il peut faire plus du coup. Et grâce aux réseaux sociaux, ils vont continuer à grandir. Gojira, C'est un cas un peu à part, mais je pense que maintenant la France rattrape petit à. [03:08:51] Speaker B: Petit ce retard. Par rapport à ses voisins. Par rapport à ses voisins, totalement. Justement, Lomax, Lérisol, Hachen... On commence à. [03:09:02] Speaker D: Voir ça. les agents, justement ces agents anglais, commencent à vouloir ces artistes, à se dire voilà quoi. C'est là où Anthony, avec Landmarks. [03:09:15] Speaker D: Anthony Chambon de Opus, a réussi à créer, parce que maintenant lui, Book, il fait ce taf d'agent. [03:09:22] Speaker B: Et il va trouver le bon partenaire dans chaque pays. On le fait aussi un peu sur certains d'autres artistes, pas sur le métal en soi. [03:09:32] Speaker D: Mais sur d'autres artistes on le fait aussi. T'as parlé de lui donc je vais être obligé de te poser la question. C'est quoi la question ? Il y a eu. [03:09:40] Speaker B: Quand même eu, et. [03:09:41] Speaker D: On en avait parlé quand on a reçu Anthony à l'époque, mais il y a toujours eu cette petite à la fois une sorte de rivalité, mais aussi une sorte d'émulation, de petits concours entre vous deux, que vous étiez un peu les deux organisateurs. Alors lui, il était basé à Lyon au début, toi plus à Paris, et vous faisiez un peu les mêmes groupes. Et il y a eu toujours, j'ai l'impression, peut-être que je me trompe, il y a toujours eu une petite rivalité, amour entre vous. Oui, ça, c'est indéniable, mais. [03:10:14] Speaker D: Mais comment on a chacun grandi ? Effectivement, lui à Lyon, il organisait des concerts, moi à Paris. [03:10:20] Speaker D: Moi, j'ai peut-être. [03:10:21] Speaker B: Eu la chance d'être à. [03:10:22] Speaker D: Paris, d'avoir un volume un peu plus conséquent et d'aborder... J'avais un aspect, j'avance vraiment sur des oeufs. Le téléphone sonne, excusez-moi. [03:10:39] Speaker D: J'ai entendu qu'un mot. En gros, moi. [03:10:44] Speaker B: Je vendais aussi déjà mes artistes à. [03:10:46] Speaker D: Anthony, pour qu'il organise. Après lui, t'en vendais pas ? Non, dans l'autre sens, il n'y avait pas... De mémoire. [03:10:52] Speaker B: Il n'y avait pas trop ça, en tout cas. Peut-être qu'il y a eu de Rare's Occas, et en plus, on avait chacun nos groupes aussi. Par contre, voilà, on s'est échangé comme ça. Lui. [03:11:00] Speaker D: A sûrement fait plus jouer mon groupe chez lui. Et ça, il serait content que je le dise, tu vois, il m'a toujours rendu... ce service avec mes différents groupes d'ailleurs je crois. Peut-être qu'avec Borderline, je m'en souviens plus. Mais la rivalité... Oui, oui, on se regardait de loin. Ça vous a motivé en même temps ? Ça vous a un peu excité de dire regarde je vais faire ça ? Non je pense pas, non non, non je pense pas qu'il y ait de... Non c'était juste... Parce qu'en fait, au final, la rivalité, on se marchait pas dessus, en fait. On faisait la même chose. Après, il est venu s'installer à Paris. Et là, il est venu marcher sur sa maison. Bon, ça a pas marché, la maison a brûlé, mais pas lui. Bon, pardon, c'était pas moi. Et là, oui, il était là et il commençait à faire justement Bounty Hunter Shikari, par exemple. Mais non, c'était très rare de se retrouver sur le même artiste, en fait. Oui, c'était assez rare. On avait ce socle commun qu'on adorait nous, c'est-à-dire tout ce qui était un peu émo, Sowsin ou Underoos et tout ça. Mais on n'avait pas, je crois qu'on n'a pas eu l'occasion de les faire, il me semble pas, je n'ai pas la mémoire. Mais oui. [03:12:15] Speaker B: Ça a été très rare, c'est. [03:12:16] Speaker D: Comme aujourd'hui. Aujourd'hui, il y a sa boîte, moi je suis chez Very Show, on se croit sur des artistes, on parlait d'Aurore en off, ça fait partie du. [03:12:27] Speaker B: Métier, on en rigole, oui, énorme, mais c'est comme ça. Ouais c'est comme ça en fait, t'as fait ça, putain je voulais le. [03:12:39] Speaker D: Faire, ouais bah voilà, genre c'est cool pour toi en. [03:12:42] Speaker C: Fait. Oui mais c'est amical maintenant. Oui oui c'est ça, et puis on est tous les deux tellement. [03:12:47] Speaker D: Pris par autre chose en vrai qu'on n'a pas le temps de se foutre sur la gueule. Le gaming peut-être ? Le gaming ! Ouais on a un peu vieilli et puis voilà quoi, donc non non, il y a vraiment zéro rivalité pour le coup. Est-ce. [03:12:59] Speaker C: Que t'as encore, parce que bon j'imagine que tu vas me dire oui, mais est-ce que t'as encore des rêves aujourd'hui ? Est-ce que tu te vois ailleurs, à un autre poste ? Non, je pense que. [03:13:07] Speaker D: Le rêve à moyen terme, là, c'est. [03:13:11] Speaker C: De voir Vericho s'agrandir. [03:13:15] Speaker B: Et réussir. Parce qu'on a. [03:13:20] Speaker D: Lancé plusieurs chantiers du français. Moi, je suis arrivé en 2019 chez Vericho. En 2017, il y a un autre chef de projet qui est arrivé, qui a commencé à faire du français aussi avec eux. Moi. [03:13:32] Speaker C: Je suis arrivé avec aussi des artistes français et il y avait ce truc d'une force à vouloir faire beaucoup d'artistes français. Donc voilà, c'est là où on veut... commencer à rivaliser avec. [03:13:45] Speaker D: Les grosses structures à côté qui sont des W-Spectacle, Astérios, enfin voilà c'est le but, c'est là à moyen terme, c'est ça sur les. [03:13:55] Speaker C: Français et sur les inters c'est de continuer comme on fait. [03:13:56] Speaker D: Là en ce moment je pense que. [03:13:58] Speaker B: Ça fonctionne plutôt bien avec. [03:13:59] Speaker C: Les artistes qu'on a et qui commencent à monter aussi On fait des groupes comme. [03:14:05] Speaker D: Toto ou Ubi40 qui. [03:14:07] Speaker E: Sont un peu les golds qu'on a, qui sont là depuis. [03:14:09] Speaker D: Très longtemps dans la boîte, mais à côté. [03:14:12] Speaker C: Il y a toute la. [03:14:12] Speaker D: Nouvelle scène qui cartonne, Electric Cowboy, Ice Nine Kills, qui continuent à monter, donc ça aussi on essaie. [03:14:21] Speaker C: De les garder et continuer à faire monter la boîte. [03:14:24] Speaker B: Et de. [03:14:25] Speaker C: Venir à essayer justement de On ne sera jamais un Live Nation. [03:14:30] Speaker E: Ou un AEG énorme. [03:14:32] Speaker C: Oui mais après ça c'est international. C'est international et. [03:14:35] Speaker D: C'Est pas le but. C'est. [03:14:36] Speaker E: Vraiment pas le but mais c'est nous. [03:14:37] Speaker B: En tout cas de rayonner national et. [03:14:41] Speaker C: À la terre. C'est vraiment... C'est. [03:14:44] Speaker E: Ça. C'est quoi ton groupe du moment ? Apparition bien sûr. [03:14:48] Speaker B: Mais... Mon groupe du moment... C'est un truc, même si c'est pas le métal... J'écoute beaucoup Holy Water. Je sais pas si. [03:14:57] Speaker C: Vous connaissez... On a déjà diffusé une chanson. [03:15:04] Speaker D: Que je trouve super bien. Donc ça s'écrit Oli WTR, je crois. Et c'est vraiment... Je me le passe beaucoup en ce moment. Ça. [03:15:13] Speaker B: C'Est un peu grunge, un peu neo-metal aussi. Il y a vraiment beaucoup d'influences et quand t'écoutes les gars, ils écoutent même pas ça, c'est trop marrant. Et. [03:15:22] Speaker D: Il y a des morceaux qui sont... Il y a ce morceau-là, j'écoute souvent, Pine, je sais plus quoi, où ça démarre presque guitare, folk, voix, un peu machin, et ça monte, ça monte, ça monte, et à la fin ça finit en metalcore. Ça c'est un morceau récent celui-là, non ? Non, c'est pas celui-là. Alors moi comme j'oublie tout... Alors il faut savoir un truc avec moi, c'est que je ne retiens pas les noms des morceaux. En fait j'écoute trop de morceaux pour pouvoir me retenir les morceaux, ce n'est pas possible quoi tu vois. Moi je reconnais aussi que depuis maintenant j'écoute beaucoup de choses sans regarder, je regarde à peine les noms en fait. Je sais que je like les trucs et je les réécoute mais... Tu veux connaître par cœur le morceau mais pas le nom du morceau. Ça c'est fou quoi, tu vois. C'est ça, c'est Hollywater et... On achetait les CD, on se souvenait des noms des morceaux. D'un côté on avait tellement peu de CD, on avait peu d'argent. On avait claqué 15 balles pour acheter le CD. Non, c'est plus que 15 francs. J'allais à Gilbert Jeune. Surtout qu'on jouait le fascicule, on lisait les paroles. [03:16:30] Speaker C: Les manchons. Gilbert Jeune. [03:16:33] Speaker D: C'Était pour avoir les bons plans. Ah ouais, les deux cases. C'était pas cher. Ouais et puis même il y avait. [03:16:37] Speaker B: Des arrivées des fois, c'était les labels qui... J'ai eu. [03:16:41] Speaker D: Les CD Systemes avant qu'ils sortent comme ça. [03:16:44] Speaker C: En France. J'ai eu Toxicity avant qu'ils sortent en France. Avec des titres bonus. Tu l'as toujours ? Ouais. [03:16:52] Speaker C: J'ai deux avec la pochette rouge. Personne ne l'a. C'est pas de la valeur. T'as encore de quoi écouter tes CD ? [03:17:02] Speaker C: Pourquoi t'as pas ? [03:17:03] Speaker D: Parce qu'elle voulait les récupérer pour ses collègues de pins. [03:17:08] Speaker D: Ils ont. [03:17:08] Speaker C: Dit moi je suis cd, je suis pas vinyle. Ouais et puis juste quand même petite dernière question, l'évolution entre le début et aujourd'hui. Tu as dit les réseaux sociaux c'est ça ? Je parle de ta relation avec Anthony. En plus j'ai. [03:17:23] Speaker D: Déconnecté parce que je lisais. [03:17:24] Speaker C: Le chat et le message a disparu. [03:17:27] Speaker D: Et du coup j'ai pas la suite. Tant pis. On regardera ça après si tu veux. Mais ouais, le métier, il a évolué fortement ou la base est toujours la même, c'est juste qu'il y. [03:17:40] Speaker C: A des réseaux sociaux avec ? Après, si tu parles de réseaux sociaux, le métier, il a forcément évolué du côté de l'artiste. Avant, on allait tracter. Moi, il y a un truc qui m'insupporte et je suis désolé pour les. [03:17:54] Speaker D: Artistes de. [03:17:54] Speaker C: Dire ça, mais cette flemme de devoir faire des vidéos sur les réseaux sociaux. Je la comprends, je la comprends, mais de ne pas la faire par, je sais pas, rébellion ou je sais pas, moi, je veux pas faire ça. Je peux. [03:18:10] Speaker B: Le comprendre, mais trouve un. [03:18:12] Speaker D: Autre axe pour le faire. C'est à dire que c'est comme si qu'à l'époque, il y a 20 ans, quand t'étais groupe, quand t'avais ton groupe et que tu voulais pas aller, ça veut dire que tu voulais pas les tracter à la sortie d'un concert quand il pleuvait. Tu vois, ça a remplacé un peu ça. Tu peux toujours le faire d'ailleurs, aller tracter, si t'as le fichier. Il y a toujours des moyens. Mais je trouve ça super important d'utiliser les réseaux sociaux. Aujourd'hui, ils ont une arme qui est incroyable pour aller chercher des gens. Et c'est vraiment dommage que certains ne se donnent pas la peine. C'est gratos en fait. Tu prends ton téléphone. Ça prend du temps. Oui, le temps, c'est toujours de l'argent. [03:18:54] Speaker D: Quand t'es malin et que t'y crois et que tu digues comment faire les vidéos, etc. Moi je chante d'aller tracter sous la pluie. Moi je chante avec toi, ça c'est sûr. Sous le froid... Après je pense que je suis d'accord avec toi. Enfin je pense qu'il faut... Si t'as vraiment envie, il faut se donner les moyens. Ou trouver. [03:19:11] Speaker C: Quelqu'Un qui va se donner les moyens pour toi. C'est comme aller tracter, soit tu payes quelqu'un pour aller le faire, soit... Parce que là t'as les moyens. Mais là où je trouve que c'est plus compliqué, c'est vrai que pour faire du contenu, ça nécessite une capacité de créativité qui n'est pas forcément dans le contrat de je veux faire de la musique. Et ça, c'est vrai que c'est là où tu t'entoures des gens. Après, c'est que c'est pas forcément facile de trouver des gens. Mais faire un flyer, je suis désolé, il y. [03:19:44] Speaker D: A 20 ans, l'informatique, c'était pas ce que c'était aujourd'hui. Il fallait s'entourer des gens, des bons gens, pour créer le flyer. L'avantage, c'était que tu faisais un flyer et tu l'utilisais pendant... Tu vois, tu changeais juste la date et puis t'avais ta photo avec ton machin. Alors que là, des vidéos, il faut en produire régulièrement. C'est vrai que la demande... C'est dur. Mais je suis d'accord avec toi et ça peut être un outil très intéressant. Enfin, il y a des gens qui... Mais je pense que. [03:20:10] Speaker C: Le problème, c'est qu'il faut aussi accepter que ça fasse partie de la fiche de poste du groupe. On. [03:20:18] Speaker D: N'A rien sans rien. Tu vois, le culte 45 dont je parlais tout à l'heure, c'est. [03:20:24] Speaker C: Ce morceau, ils ont fait, je sais pas, 20 vidéos déjà depuis qu'il est sorti il y a une semaine. Ils l'ont déjà teasé avant, donc voilà, en 2-3 semaines, ils en ont fait beaucoup. Et. [03:20:35] Speaker D: Je l'ai vu. Et eux, leur abonné a dû augmenter aussi avec en même temps. Et surtout, il y a une vraie corrélation entre ton nombre de vidéos, tes vues, etc., tes followers sur les réseaux, ça se traduit directement sur les plateformes de streaming. Attention, c'est pas genre je suis en train de faire ça. [03:20:54] Speaker C: Dans Duvent et tout ça. Non. [03:20:55] Speaker D: Non, ça se convertit. Ce n'est pas Duvent. Donc il faut y croire, il faut y aller. Et oui, j'ai une artiste là, dernièrement, elle pensait carrément que son profil était blacklisté par TikTok. [03:21:09] Speaker D: Du coup, on s'en est parlé. Vas-y, crée un nouveau compte. On va voir en fait. Et là, ce nouveau compte, avec une nouvelle DA, etc. aussi, tu vois. Eh ben celui-là, ça y est, il commence à reach. Enfin, tu vois. [03:21:23] Speaker D: Il faut continuer à y croire, etc. Est-ce que. [03:21:28] Speaker C: Petite question. [03:21:30] Speaker C: C'Est un truc qui revient beaucoup maintenant, le nombre de followers, le. [03:21:34] Speaker D: Nombre de plays. Forcément, c'est un truc qui influe sur l'avis qu'on peut se faire d'un artiste, parce que forcément, si on voit qu'il y a beaucoup de followers, on se dit bon, si je mise là-dessus, il y a quand même plus de chances que ça marche, puisque apparemment, il y a déjà une fanbase. Est-ce que des fois, c'est un indicateur qui est fiable ou est-ce que des fois, tu as des groupes. [03:22:01] Speaker C: Qui font beaucoup de play et qui... Ça sera. [03:22:04] Speaker D: Toujours un indicateur. qui sert, fiables, il y a toujours. [03:22:08] Speaker C: Moyen de... Tu vois, il faut savoir les interpréter. Mais on regarde. [03:22:14] Speaker D: Bien sûr, on regarde tous les chiffres. Ça ne veut pas dire que si tu n'as pas de chiffres, tu ne vas pas être intéressant. Tu vois, H&M, quand on a commencé, ils n'avaient rien, tu vois. [03:22:24] Speaker D: C'est comme ça, tu vois. Il ne faut pas... En tout cas, il ne faut pas rester dans les chiffres, ça viendra tout seul. Il ne faut pas se dire que c'est parce qu'on n'a pas les chiffres qu'il ne faut pas persévérer. Oui, c'est ça. Ça viendra. C'est vraiment... Ouais, c'est taffé encore et encore quoi, tu vois. Après on peut le dire, tous les groupes qu'on voit qui... C'est que le début, d'accord, d'accord. On peut le dire, tous les groupes qui marchent aujourd'hui, c'est pas des groupes qui viennent de nulle part. C'est des charbonneurs, on s'en rend pas compte, bien sûr. Lord Marx, ils ont pas débarqué il y a deux ans. Ça fait dix ans que le groupe il existe. Je veux dire, il faut pas oublier aussi que c'est d'échec en échec que tu vas comprendre le truc. Mais c'est surtout. [03:23:07] Speaker C: Qu'Il y a des groupes... Again and again and again. Ça là je l'ai. Vitya. Et en gros, on voit des groupes popés, en fait. Comme ça, on se dit, putain, c'est tout nouveau, c'est incroyable, tu vas faire écouter à ton voisin, etc. Et en fait, ils sont là depuis très longtemps. Et c'est faux, ils ont peut-être juste changé de nom. Tu vois, t'as pas capté en fait, ils ont changé l'ADA, etc. Mais ils sont là, les gars, ils sont là à persévérer depuis dix ans en fait, à retenter des trucs. Ils ont arrêté de mettre des palmiers gonflables et de. [03:23:42] Speaker D: Venir jouer en tongue. [03:23:44] Speaker D: Ils font des musiques faites pour des stades et puis let's go quoi, tu vois. Et en fait, c'est... Il faut se renouveler, il faut pas quand tu tombes tu te relèves et tu retentes un autre truc, ça soit changer de nom, changer de DA. La DA c'est très... très sexe, tu peux pas juste te dire bon bah vas-y je faisais du méta je vais faire du punk, c'est pas ça. [03:24:03] Speaker B: Le truc. Après il y a des groupes qui l'ont fait. Oui oui parce que je pense qu'ils en ont envie. Des groupes qui ont commencé en faisant. [03:24:07] Speaker C: Du deathcore approximatif et puis... Ils font ce qu'ils ont envie de faire, c'est ce qu'ils aiment. Mais clairement. [03:24:17] Speaker D: Il ne faut pas vendre son âme. Mais il faut aller chercher des influences, il faut aller réfléchir, il faut regarder ce qui se passe ailleurs. Parce que c'était ça le problème du métal à l'époque. C'est que le métal n'a pas su se renouveler. Le métal n'a pas... Effectivement Myspace, on en a profité à l'époque, mais c'est vite mort après. On n'a pas su s'adapter sur les nouveaux réseaux sociaux, on n'a. [03:24:39] Speaker C: Pas su... Enfin, on était largués dans le métal. [03:24:42] Speaker D: À cette époque. Et c'est le rap. qui a dominé et qui a su utiliser ses réseaux sociaux. Même YouTube, ils les utilisaient mieux que nous. Et d'un seul coup, c'est le rock qui revient en utilisant les codes du. [03:24:56] Speaker A: Rap. [03:24:57] Speaker D: Alors que c'était l'inverse avant. Et voilà, donc il faut aller regarder à droite à gauche ce qu'il se fait. Il ne faut pas hésiter. Rosalia qui sort un single qui n'a rien à voir avec son album, il est complètement différent. Enfin tu vois, c'est... Après je trouve qu'il y a aussi... [03:25:15] Speaker B: Souvent il y a des gens qui... Moi je trouve quand des gros artistes comme ça font. [03:25:19] Speaker E: Un gros switch, des gens qui font. [03:25:22] Speaker B: « Oh mais elle a osé le faire ! » Là j'ai rien à dire, en fait c'est à peu près le seul moment où tu peux le faire. [03:25:27] Speaker D: Tu vois c'est comme Lady Gaga, je pense que demain elle peut faire ce qu'elle veut. Le fait que c'est Lady Gaga fait que déjà il y aura une grosse... Les gens vont écouter juste parce que c'est elle. Et du coup, forcément, t'arrives à convertir des gens. Ils vont. [03:25:42] Speaker B: Savoir l'amener. Il y a tellement de moyens aussi. C'est comme Blackpink qui évolue et qui nous. [03:25:48] Speaker C: Fait un morceau plus techno. C'était la vibe aussi, mais qui rentre aussi dans. [03:25:51] Speaker D: La vibe. On sait que c'est un. [03:25:53] Speaker B: Gros artiste, mais même si t'es un petit artiste, je pense vraiment qu'il faut prendre des influences un peu de partout. Il faut. [03:25:58] Speaker D: T'Ouvrir. Il faut t'ouvrir et. [03:26:00] Speaker B: Tenter encore et encore. C'est vraiment ça le truc. [03:26:06] Speaker B: Ok, j'ai. [03:26:08] Speaker D: Une petite dernière question, quand tu as un média particulier que tu. [03:26:13] Speaker C: Regardes pour. [03:26:13] Speaker D: Tout ce qui est métal ou tu es vraiment libre juste à. [03:26:15] Speaker B: Checker ton flux ? pas obligé de répondre bing bing. [03:26:21] Speaker B: Après fais gaffe à ce que tu dis quand même. En vrai. [03:26:25] Speaker D: Je suis abonné à peu près à toutes les pages tu vois. C'est difficile, c'est difficile que ça vienne. Il y a tellement de trucs, je sais pas trop, il y a quelques magazines aussi en Angleterre, la version Insta et tout ça, leur profil tu vois. [03:26:43] Speaker D: C'est rare, c'est rare. [03:26:45] Speaker B: Parce que l'info je l'ai. [03:26:45] Speaker D: Forcément, ça apparaît via relayer par quelqu'un d'autre. C'est vrai que je suis moins les médias... Après t'es aussi dans un réseau, t'as des informations... [03:26:53] Speaker B: Exactement. Par des gens avec qui tu travailles. [03:26:56] Speaker D: Quoi. Peut-être le dernier média vraiment que je regardais. [03:27:00] Speaker B: Et qui popait souvent sur mon Facebook, c'était Alternative News. C'était vraiment parce que... Sa façon de poster, etc. était un peu. [03:27:09] Speaker D: Plus... Voilà. Et du coup, je voyais ça beaucoup. C'était très présent. Et je pense que je vais. [03:27:15] Speaker C: Encore sur mon Facebook. C'est. [03:27:16] Speaker B: Ça qui va apparaître. Mais c'est vrai que je suis moins sur les médias. Ça vient tout seul. La news, je vais la prendre sur n'importe quel... Non, mais j'essaie de trouver un moyen pour trouver un autre média. Ça n'a pas marché parce que moi j'ai écrit XXX. Mais Alternative News il est dans. [03:27:33] Speaker C: Le... Je sais Alternative News, on. [03:27:35] Speaker B: En parle tous les matins. Alternative. [03:27:37] Speaker C: News on s'en nourrit, et d'ailleurs ici on l'aime beaucoup évidemment. Il fait un gros gros travail gratuitement. C'est ça qui est. [03:27:45] Speaker B: Fou, c'est que vraiment il pose beaucoup, enfin vraiment il a beaucoup d'actu, et depuis longtemps. Lui aussi il aide beaucoup la. [03:27:50] Speaker D: Scène. Moi j'avais créé à l'époque des petits webzines et tout ça, enfin tu vois. C'était dur, c'était dur de suivre. [03:27:59] Speaker C: Le truc, c'était... [03:28:14] Speaker C: Bon. [03:28:14] Speaker D: Bah écoute, il y aurait tellement de choses encore dont on pourrait parler parce que. [03:28:17] Speaker B: Bon... On a un petit concept d'interview en duo qu'on. [03:28:27] Speaker C: Fera avec Anthony je. [03:28:28] Speaker B: Pense. Vous avez une émission là ? Il. [03:28:32] Speaker D: A dit. [03:28:33] Speaker C: La dernière fois qu'il était venu, il a dit tu. [03:28:34] Speaker D: Sais moi si je reviens si on fait un duo avec Damien. Ça peut être très. [03:28:38] Speaker B: Marrant. Oui ça peut être marrant, il y a de la vanne. Est-ce qu'on pourra le faire un peu plus tôt dans la journée ? Même lui il sera plus en forme en plus. Allez hop le petit pic. J'ai quand même une question, t'aimerais refaire de la musique en tant que groupe ? Non. Il a compris où était son talent. Non, déjà parce que l'instrument, enfin déjà la guitare, j'ai perdu et je pourrais plus, voilà. Mais non, aujourd'hui c'est plus un moyen de détente. J'ai commencé à faire du piano juste pour me détendre. Là, bon, je suis débordé et j'y arrive plus. Mais non, non, ça serait juste... Ouais, c'est comme ça. [03:29:15] Speaker C: Pour toi. Ouais, c'est vraiment pour le. [03:29:17] Speaker B: Plaisir, pour me détendre après le taf. C'est soit ça. [03:29:19] Speaker C: Soit je vais jouer aux jeux. [03:29:21] Speaker B: Vidéo et puis voilà. se sortir un peu du truc, c'est bien. C'est le seul moyen que j'ai trouvé pour l'instant. Bon bah écoute, merci beaucoup en tout cas d'avoir répondu à toutes ces questions. Merci d'être revenu encore, j'espère que ça va. C'est très bien passé, j'ai adoré. Vraiment c'était super et merci de l'invitation. Prêt à revenir avec Anto. Voilà, c'est la seule condition. [03:29:51] Speaker B: Merci beaucoup Gladys aussi pour les news, pour tes choix musicaux, pour nous avoir expliqué aussi tes goûts musicaux qu'on diffuse assez peu, n'hésite pas à en remettre si on a du nouveau. Et on retrouve tes news dès demain matin, dès demain après-midi 17h30 sur notre chaîne YouTube, point d'exclamation bang ou YouTube bangless. En même temps, bang bang, restless. Oui, j'ai dit bang. [03:30:17] Speaker D: Bang, restless. C'est. [03:30:17] Speaker B: Pour ça que. [03:30:18] Speaker C: J'Étais un peu coupé. Non. [03:30:19] Speaker D: Et aussi à 17h30, il y a. [03:30:20] Speaker B: L'Émission en entier avec l'équipe disponible pour tous les abonnés patrons. Et le podcast qui est disponible pour les big bangers, headbangers, à partir de 6h demain matin. J'ai eu un trouble d'attention, tu l'as parlé du replay ou pas ? On a un replay ? Il y a le replay qui sort vendredi prochain. D'accord. Est-ce que c'est pour ceux qui sont abonnés ? Non, c'est gratuit, c'est sur une chaîne YouTube, c'est à la VOD, mais sans les clips. Mais sans les clips. Alors qu'avec les clips, c'est pour. [03:30:44] Speaker C: Les abonnés. Ah d'accord. Les abonnés peuvent revoir. [03:30:48] Speaker B: L'Émission telle qu'elle a été diffusée. Avec les réactions et tout ? Voilà, et sinon... Il vaut mieux s'abonner, quoi. Bah... Bien sûr. Il vaut mieux nous donner du pognon, ça... Ah merde, c'est des patates ! [03:31:01] Speaker B: Merci infiniment à toutes celles et ceux qui le font. En tout cas merci beaucoup et merci de toute façon à tout le monde même pour votre présence, votre œil et votre visionnage, votre. [03:31:13] Speaker D: Écoute, je ne sais pas. [03:31:13] Speaker A: Ce qu'on peut dire. En tout cas merci infiniment d'aimer. [03:31:15] Speaker C: Cette musique. On va. [03:31:17] Speaker B: Se quitter avec un titre des bangers encore une. [03:31:20] Speaker E: Fois mais cette fois-ci vous pouvez nous imposer ce titre-là si vous êtes un groupe français, vous avez le droit de nous imposer une diffusion. C'est comme ça mais il faut être un groupe français, c'est quand même la seule condition. Et il faut être abonné au Patreon. Et il faut être abonné au Patreon au niveau minibanger. Voilà, le tiers le plus bas. Voilà, ça coûte pas grand chose. Et vous pouvez nous imposer ça, là c'est ennituopsar. qui nous a proposé We Hate You, Please Die, un groupe que j'aime beaucoup, qui ont joué dernièrement à Petit Bain, j'ai appris ça, je les ai loupés, avec le titre Adrenaline. Cette personne nous écrit « parce que c'est, pour moi, un des meilleurs groupes de garage punk du moment, parce qu'elles viennent de Rouen et parce que ça coche une case du lotoclip ». C'est vieux, c'était une demande d'il y a un petit moment, donc c'était un délire, je ne sais pas. Mais en tout cas, voilà. Oui, 8U Please Die, groupe français. Très, très bon groupe français qui a évolué. Mais groupe français que je vous conseille d'écouter et de découvrir. C'est très bon. Tu connais ? Non. Eh ben voilà. Tu vas découvrir, c'est maintenant. C'est un peu mon modélo, c'est parfait. Merci infiniment, Ben. Merci, Marcel. Merci aussi à Enjoy qui est passé nous faire un coucou, on l'embrasse fortement. Et puis bon courage pour demain matin, oui il faut travailler, c'est comme ça, c'est lundi, on n'a pas le choix. Mais on peut se retrouver pour la matinale, je vous fais la promotion, à partir de 8h vous pouvez vous connecter sur notre chaîne Twitch et je serai là pour hurler et bouffer des bananes. Bon, ça va être un peu un style bizarre Mais il n'y a rien de vulgaire. C'est des vraies bananes, ne vous inquiétez pas. mais... Il n'y a rien de vulgaire, c'est vraiment juste un fruit. Et puis, passez des nouveautés, il y en a neuf. Merci infiniment, on se retrouve dimanche prochain avec les Rise of the North Star qui vont venir ici. Vous parlez bien sûr de tout ce qu'ils ont sorti dernièrement et ce qui se prépare pour la suite. On va beaucoup s'amuser et puis bonne nuit, c'est déjà pas mal. Bisous, au revoir, love love. [03:34:05] Speaker E: C'est. [03:34:35] Speaker E: Pas vrai ! [03:35:42] Speaker E: Mais parfois je suis trop fort. [03:36:16] Speaker E: Hey. [03:36:45] Speaker E: ! [03:37:10] Speaker E: Un pour le caillou. [03:37:13] Speaker E: Deux pour le spectacle. [03:37:17] Speaker E: Et voilà, c'était mon souvenir. [03:37:34] Speaker E: Toutes nos émissions et chroniques sont maintenant disponibles sur vos plateformes de podcasts préférées. Spotify, Deezer, Apple, Amazon… N'hésitez pas à vous abonner !

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